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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 4 ans et 51 jours

Dans quelles mesures faut-il changer les gouttières de sa maison?

Au cours de la construction d’une maison ou d’un immeuble, l’installation des gouttières est incontournable. Ces dispositifs assurent l’évacuation des eaux de pluie qui tombent sur la toiture. Ils contribuent également à la protection de la structure, car ils acheminent les eaux de pluie le plus loin possible des fondations et de la façade. Vu leur importance, il est crucial d’entretenir régulièrement les gouttières. Cependant, il peut arriver qu’on soit obligé de les remplacer. Justement, nous allons voir dans quelles mesures procéder à leur changement. Remplacer ses gouttières : un diagnostic préalable s’impose À la fin de la saison hivernale ou après un épisode de grêle, il est toujours conseillé d’inspecter ses gouttières, car celles-ci peuvent être endommagées ou fissurées. Idéalement, on effectue cette opération durant les beaux temps. D’ailleurs, elle nécessite quelques préparations comme les travaux d’inspection seront exécutés en hauteur. Il faudra donc bien s’équiper pour éviter les accidents. Ainsi, l’opérateur doit impérativement porter un casque de protection, des chaussures antidérapantes, des harnais, etc. Avant de diagnostiquer les gouttières, il faudra éliminer les résidus de végétaux et tous les éléments qui sont logés dans leurs parois. Ce nettoyage permet d’avoir une meilleure visibilité sur les défauts de celles-ci. Pour l’ensemble de ces opérations, vous pouvez solliciter les services d’un couvreur professionnel comme https://www.artisan-couvreur-86.fr/ . Quels sont les signes de détérioration des gouttières ? Certains symptômes témoignent de la détérioration des gouttières. Il s’agit entre autres de : La stagnation d’eau Des fuites d’eau au niveau des joints Des trous et des fissures Des crochets endommagés ou fragilisés. Dans la mesure où vous constatez l’un ou plusieurs de ces signes, cela signifie que vos gouttières sont endommagées. Toutefois, il faut savoir qu’un tel phénomène empêche la bonne évacuation des eaux de pluie. Des travaux de réparation s’imposent alors s’il est impossible de remplacer uniquement les portions de gouttières percées. Ici encore, nous vous encourageons à contacter un couvreur professionnel. Un diagnostic approfondi de vos gouttières lui permettra de déterminer les différentes réparations à opérer. À qui faire appel pour le remplacement de ces gouttières ? Comme vous l’aurez compris, le remplacement des gouttières nécessite absolument l’intervention d’un professionnel. En effet, les travaux ne sont pas aussi faciles qu’ils paraissent. Outre le démontage des conduits, il faudra également emboiter les unes aux autres différentes parties des gouttières et les installer convenablement. D’ailleurs, le choix du matériau et la réussite de leur pose sont les garanties d’une bonne évacuation des eaux. Par conséquent, n’hésitez pas à contacter un couvreur-zingueur, car c’est le spécialiste en travaux des gouttières. Pour trouver un bon artisan, vous pouvez demander conseil à vos proches ou faire des recherches sur internet. Dans tous les cas, pensez à demander une demande de devis pour vos travaux auprès de 3 ou 4 entreprises spécialisées. Cela vous donnera une idée du budget que vous devez préparer. Vous saurez également ce qui se fait sur le marché. Pour terminer, sachez que ce professionnel peut également se charger de l’entretien et de la réparation de vos gouttières en plus de leur installation.
Il y a 4 ans et 51 jours

Le CSTB et la RIVP renouvellent leur partenariat pour faire avancer la recherche

Dans la continuité d'une première collaboration engagée en 2018, la RIVP (Régie immobilière de la Ville de Paris) et le CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) renouvellent leur partenariat de recherche pour 3 ans.Cette nouvelle étape s'inscrit dans la stratégie de gestion de patrimoine de la RIVP et permet d'explorer et approfondir différents sujets en lien avec des thématiques clés du bâtiment et de la ville durables : matériaux biosourcés, rénovation thermique & industrialisation, trajectoire carbone, confort d'été à l'échelle quartier (ICU), Qualité de l'Air intérieur et Linked Data.S'appuyant sur l'expertise pluridisciplinaire du CSTB appliquée aux projets de la RIVP, ces travaux permettront de renforcer la convergence entre Recherche et réalité de la construction, réhabilitation et exploitation des immeubles.Déployer l'innovation en confiance : une priorité pour le CSTB comme pour la RIVPÉtablissement public, le CSTB structure ses activités de recherche et expertise, évaluation, essais, certification et diffusion des connaissances, pour répondre aux enjeux des transitions environnementale, énergétique et numérique dans le monde de la construction et de l'aménagement urbain. L'objectif est d'anticiper le bâtiment et la ville de demain, en accompagnant l'innovation dans une approche systémique. Une vision pleinement partagée avec la RIVP, bailleur social innovant, solidaire et éthique.« Notre partenariat avec le CSTB, basé sur du long terme, permet de nouer des relations de confiance sur des domaines d'innovation au service du logement social, qui bénéficient plus largement aux domaines de la construction et de l'environnement. Cette année encore, nous poursuivons notre collaboration et nos expérimentations sur des problématiques concrètes non résolues par les règles de l'art actuelles, afin d'accompagner la transition dans le bâtiment de demain, mais aussi l'évolution des usages pour les habitants. Et je suis fier de pouvoir signer cet accord afin de contribuer à une meilleure qualité de vie de nos locataires et relever les défis environnementaux », s'exprime Serge Contat, directeur général de la RIVP, acteur majeur du logement à Paris avec plus de 62.000 logements sociaux.Forts de cette ambition commune, les deux acteurs avaient noué un premier partenariat de recherche en 2018, autour du numérique, de l'énergie & carbone, de l'amiante et de la sécurité incendie. Un partenariat aujourd'hui renouvelé pour approfondir certains de ces sujets et en explorer de nouveaux.« Les échanges entre nos équipes au cours de la première collaboration ont prouvé l'utilité et l'intérêt réel de travailler en commun pour faire avancer la recherche sur de nombreux sujets. Et les résultats sont concrets puisque des avancées significatives ont été faites sur des sujets comme les punaises de lit, le confort d'été ou bien la sécurité incendie. Il reste encore d'importants sujets sur lesquels travailler de concert, il était donc tout naturel de poursuivre ce travail avec le CSTB. »Serge Contat, Directeur général de la RIVP« La première phase de notre partenariat avec la RIVP a permis au CSTB d'expérimenter, en situation réelle, de nombreuses approches et outils, au service des bâtiments dans toute la diversité de leurs fonctions et usages. Je suis heureux de poursuivre cette collaboration, d'approfondir les connaissances déjà mobilisées et d'élargir les domaines explorés, en lien avec les grands enjeux du logement social, et plus largement du bâtiment et de la ville de demain. »Etienne Crépon, Président du CSTBNouvelle période de collaboration : programmation & thématiquesLes matériaux biosourcés : pour réduire l'empreinte carbone des bâtiments, le recours aux matériaux biosourcés est un levier pertinent, à organiser, structurer et renforcer, dans une approche systémique. Dans le cadre du partenariat RIVP - CSTB, une recherche sera menée pour explorer des méthodes d'analyse multicritère de ces matériaux combinant les enjeux de durabilité, pathologie(s), thermique, sécurité, etc.La rénovation / industrialisation : l'industrialisation des process, via l'usage de la maquette numérique à toutes les étapes des projets, permet de massifier, sécuriser et optimiser les opérations de rénovation performante, contribuant à réduire l'empreinte carbone des bâtiments et diminuer les charges des locataires. Les équipes du CSTB et de la RIVP travailleront sur cet enjeu associant rénovation thermique et maquette numérique. Des procédés industrialisables et duplicables, mais néanmoins « sur-mesure », seront ainsi étudiés, notamment dans le domaine de l'ITE.Trajectoire Carbone : pour réduire le bilan carbone de son parc, en partie lié à la consommation énergétique des immeubles, la RIVP souhaite développer son recours à des énergies moins carbonées. Pour accélérer la démarche et nourrir les process de décision, le partenariat de recherche avec le CSTB intègrera une série de travaux dédiés à cet enjeu.Confort d'été à l'échelle quartier (ICU) : la RIVP et le CSTB ont récemment mené des travaux sur le confort d'été des logements, à l'échelle des bâtiments. L'objectif est aujourd'hui d'élargir cette réflexion à l'échelle des espaces extérieurs, en abordant plus particulièrement la question des îlots de chaleur urbains.Qualité de l'Air Intérieur : thématique majeure en termes de santé publique et de confort, la qualité de l'air intérieur fera l'objet de travaux plus exploratoires et complémentaires aux programmes nationaux déjà engagés. Il s'agira notamment, au-delà des obligations règlementaires, de définir des prescriptions spécifiques aux opérations de construction.Linked Data : permettant de constituer un entrepôt unique de multiples données, connectées à des outils métier, la technologie Linked Data pourrait être mobilisée pour optimiser la gestion et le traitement des données patrimoniales et techniques intégrées dans le BIM Gestion Exploitation Maintenance. En collaboration avec d'autres partenaires bailleurs et des éditeurs de logiciel de gestion patrimoniale, des travaux seront menés pour étudier le recours à une telle technologie dans les systèmes d'information techniques.
Il y a 4 ans et 51 jours

Loi Climat : CINOV regrette que la prestation de services intellectuels ne soit pas prise en compte

La Fédération regrette néanmoins l'absence de prise en compte des entreprises de la prestation de services intellectuels, qui devraient pourtant être au cœur de la réussite de la transition écologique. CINOV considère en outre que ces expertises sont porteuses de solutions efficientes, qui gagneraient à être entendues pour atteindre les objectifs ambitieux du projet de loi.Un projet de loi porteur de réelles avancées…La Fédération CINOV considère que le projet de loi illustre une réelle prise de conscience du Gouvernement face aux enjeux historiques liés au dérèglement climatique, et qu'il contient un certain nombre de mesures qui s'avéreront bénéfiques pour lutter contre ses effets.Fédération engagée depuis longtemps sur les enjeux de développement durable et de transition écologique, CINOV partage les objectifs du texte et rappelle l'importance de réduire les émissions de gaz à effet de serre, et plus globalement de repenser en profondeur nos modes de production et de consommation.… mais dont la méthode retenue suscite interrogations et inquiétudesLa Fédération CINOV considère toutefois que le projet de loi « Climat et Résilience » possède un certain nombre de limites. Si l'ambition d'accélérer la réduction des émissions de gaz à effet de serre fait consensus, la méthode retenue suscite de nombreuses interrogations et inquiétudes : la Fédération regrette notamment l'absence de prise en compte des entreprises de la prestation de services intellectuels. En effet, selon Frédéric LAFAGE, Président de CINOV, « les TPE-PME de la branche BETIC bénéficient d'un fort ancrage territorial et d'une agilité qui leur permettraient d'être des acteurs clés dans la réussite de la transition écologique. Nous sommes donc légitimes à nous exprimer sur ces questions. »En outre, la Fédération CINOV tient à rappeler la dimension stratégique des métiers qu'elle représente, et estime que seules l'expertise, l'expérimentation et le déploiement à grande échelle permettront d'atteindre les objectifs ambitieux émis par le Gouvernement. Aussi, la Fédération considère que le changement des habitudes et des organisations doit être central dans le projet de loi. Selon Frédéric LAFAGE, « les prestations de services intellectuels neutres et indépendantes sont en première ligne pour accompagner ces mutations, et en renforcer l'acceptabilité sociale. »En complément du projet de loi, CINOV préconise de mettre en place dix mesures concrètesForte de ces considérations, et afin d'impliquer davantage les TPE PME dans la transition écologique, la Fédération CINOV appelle à mettre en place un crédit d'impôt « RSE » à destination de ces entreprises.La Fédération appelle également le Gouvernement à soutenir financièrement et à accompagner la nécessaire transformation des organisations – notamment des TPE PME qui représentent 99% des entreprises françaises – en ayant recours pour cela aux métiers de la prestation de services intellectuels. Cela permettra de s'appuyer sur l'expertise terrain de ces métiers et de soutenir l'emploi dans les PME par l'appropriation du numérique.Enfin, pour atteindre les objectifs fixés, CINOV considère qu'il sera nécessaire d'intégrer un accompagnement biodiversité pour tout projet d'aménagement et de construction. Pour ce faire la fédération propose d'adapter les critères d'attribution des marchés publics pour mieux répondre aux enjeux environnementaux, de pousser à la rénovation énergétique en une fois et d'organiser une offre d'ingénierie territoriale adaptée aux ambitions des transitions recherchées.Pour accéder au détail des propositions émises par CINOV, cliquez ici.
Il y a 4 ans et 51 jours

Nouveau DPE : "L'avis favorable du CSCEE n'est pas un blanc-seing" (Christian Cardonnel)

INTERVIEW. Alors que le Conseil supérieur de la construction et de l'efficacité énergétique a rendu un avis favorable à la nouvelle mouture du diagnostic de performance énergétique (DPE) des logements, l'expert Christian Cardonnel, défenseur de la méthode finalement choisie, détaille les améliorations demandées par le Conseil.
Il y a 4 ans et 51 jours

Skyhome, sur l’Ile de Nantes, un projet signé XDGA

Dans le quartier Tripode-Viviani, Skyhome, conçu par Xaveer De Geyter Architects (XDGA), bénéficie d’une situation exceptionnelle en bord de Loire, à deux pas de boulevard de Gaulle et du Busway. Ce projet de logements et de bureaux répartis sur 16 715m² se démarque par sa qualité architecturale. Livraison 2022. Un programme immobilier entre ciel et […] L’article Skyhome, sur l’Ile de Nantes, un projet signé XDGA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Cimbat
Il y a 4 ans et 51 jours

EDGAR - Portrait

Né en 2017, Edgar est l'acronyme de ses trois fondateurs, diplômés de l'école nationale supérieure d'architecture et de paysage de Bordeaux : Stanislas Elluin, Igor Duolé et Ludovic Gillon. La pratique de l'agence EDGAR est fondée sur une culture commune autour de la notion d'habiter et de la conception des systèmes […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 51 jours

En Chine, au pied de la Montagne du Dragon, un pavillon signé Aurélien Chen

Le Pavillon de la Montagne du Dragon est une installation de 350 m² construite à Rizhao, dans le Shandong en Chine, au pied du site naturel de Dragon Mountain (Zhulong Shan). Livrée en 2019, cette œuvre signée par l’architecte français Aurélien Chen recrée avec 200 poteaux en inox perforé une version éthérée et abstraite d’un […] L’article En Chine, au pied de la Montagne du Dragon, un pavillon signé Aurélien Chen est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 51 jours

Toulouse : la piscine Alban Minville désormais opérationnelle

La piscine Alban Minville, à Toulouse, a été livrée en octobre 2020, mais attend sa réouverture au public.
Il y a 4 ans et 51 jours

Neoen veut plus que doubler sa capacité d'actifs d'ici fin 2025

L'an passé, le groupe coté en Bourse depuis octobre 2018 a vu son résultat net être pratiquement divisé par 10 pour atteindre 3,9 millions d'euros, contre 36 millions en 2019, a-t-il détaillé jeudi.Cette dégringolade s'explique par des éléments exceptionnels qui ont plombé ses comptes, dont une perte de change pour 9,4 millions d'euros grandement due à la dévaluation du peso argentin. Le bénéfice net intégrait par ailleurs en 2019 quelque 15,8 millions de résultat de cession de son activité de biomasse.En revanche, l'excédent brut d'exploitation (Ebitda) de Neoen a gonflé de 25% en 2020 pous atteindre 270,4 millions d'euros, notamment porté par la hausse de 18% du chiffre d'affaires, à 298,8 millions d'euros.Dans le détail, la progression des revenus a été portée par l'activité solaire, dont le chiffre d'affaire a grimpé de 20%, grâce à la contribution de centrales mises en service au Salvador et au Mexique par exemple."La forte hausse du chiffre d'affaires et de l'Ebitda démontrent une nouvelle fois le profil de croissance de Neoen", s'est félicité son PDG, Xavier Barbaro, cité dans un communiqué.Cette situation incite Neoen à l'optimisme pour les années à venir. D'ici à fin 2025, il escompte porter à plus de 10 GW sa capacité d'actifs en opération ou en construction, alors que celle-ci s'établissait à 4,1 GW fin 2020.Pour y parvenir, il n'exclut pas de "saisir des opportunités de croissance externe", a-t-il souligné dans un second communiqué. Au total, le groupe s'attend à ce que le montant de ses investissements s'élève à environ 5,3 milliards d'euros sur la période de son plan.Dans le même temps, Neoen envisage de lever du capital, évaluant son besoin de fonds propres additionnels à un maximum de 1,2 milliard d'euros d'ici fin 2025."Forts de notre important pipeline, nous allons accélérer le rythme de gain de nouveaux projets. (...) Cette ambition repose notamment sur le fort potentiel des pays dans lesquels nous sommes déjà établis", a relevé M. Barbaro.Côté financier, le groupe vise un Ebitda compris en 295 et 325 millions d'euros en 2021 et espère ensuite le faire croître d'au moins 20% en 2022.
Il y a 4 ans et 51 jours

Début de carrière sportive pour des attelles écologiques développées pour les hôpitaux

Matériau biodégradable et léger constitué de bois et de biopolymères, le Woodcast avait pour objectif initial de remplacer les plâtres traditionnellement utilisés dans les hôpitaux. Conçu par l’entreprise technologique finlandaise Onbone, ce matériau s’est avéré si polyvalent qu’il est désormais utilisé dans une gamme étendue de secteurs, parmi lesquels le sport. Les blessures en tout genre sont monnaie courante dans le sport. On peut souvent les traiter sur place en se servant de simples supports de différents types. L’ennui, c’est que ces supports sont rigides, souvent inconfortables et pas très respectueux de l’environnement. Le Woodcast offre une méthode pratique de fabrication de supports biodégradables, confortables et tellement fins qu’ils peuvent même être portés dans les chaussures. « Il suffit d’un sèche-cheveux ou d’un pistolet thermique pour façonner l’attelle de manière à lui donner la forme adéquate pour qu’elle soutienne de manière optimale la zone blessée ou vulnérable, explique Jimmy Takki, P-DG d’Onbone. Les attelles en Woodcast sont légères et compactes, ce qui signifie que les équipes médicales les ont à portée de main, où qu’elles accompagnent les sportifs en compétition ou en entraînement dans le monde. Il suffit de réchauffer le matériau pour le retirer ou le remodeler facilement. » Un impact environnemental réduit Pour accélérer le développement de solutions sportives avec le Woodcast, Onbone s’est associé au Comité olympique de Finlande et à son équipe d’athlètes, médecins, physiothérapeutes et entraîneurs. « Avec le Woodcast, non seulement on immobilise et on protège les os cassés ou doigts victimes d’entorses, mais en plus on protège contre les lésions, précise Jimmy Takki. Les athlètes peuvent éviter bon nombre de blessures en portant des supports légers individuellement façonnés et ayant la dose de rigidité adéquate. Il existe de nombreux produits concurrents de ce type, mais rares sont ceux qui peuvent être façonnés de manière à apporter le degré de support idéal ou qui offrent une gamme aussi étendue de possibilités d’utilisation que le Woodcast. En outre, grâce à sa composition en bois et biopolymères, le Woodcast est également respectueux de l’environnement. » Onbone a déjà développé un nouveau type d’attelles pour poignet et cheville, mais ce matériau peut être utilisé pour bien d’autres applications de soutien dans le secteur sportif. « Pour améliorer ma technique de natation, j’ai récemment reçu une paire de plaquettes en Woodcast coupées au laser, explique Kerkko Visuri, chef du service numérique chez Onbone. Grâce à ce matériau si facile à façonner, j’ai des plaquettes parfaitement adaptées à mes mains. » Mise au banc d’essai aux Jeux olympiques Le Woodcast peut aussi être utilisé dans l’eau, ce qui en fait un matériau intéressant dans de nombreuses disciplines sportives pratiquées en extérieur. C’est aussi la raison pour laquelle le Comité olympique de Finlande est devenu un partenaire clé d’Onbone pour le développement produit de nouveaux supports sportifs. « Cette coopération va permettre de couvrir une gamme étendue de besoins dans différentes disciplines, explique Jimmy Takki. Nos attelles et supports chauffants seront aussi à la disposition de l’équipe finlandaise lors des prochains Jeux olympiques à Tokyo et à Pékin. » Pour le Comité olympique, l’objectif de cette coopération avec Onbone est d’améliorer la sécurité de l’ensemble des athlètes. « Nous soutenons tout ce qui peut éviter les blessures sportives et contribuer à les traiter rapidement le cas échéant, explique Ville Köngäs, directeur marketing du Comité olympique de Finlande. L’expertise dont jouit Onbone, ses produits et sa technologie en font le partenaire idéal. Les avantages du Woodcast en matière d’environnement sont aussi importants pour nous, car nous voulons réduire l’impact environnemental du sport. » https://vimeo.com/519958655/02c7d3b9bb  Onbone Onbone Oy a été fondé en 2008 par deux chercheurs de l’Université d’Helsinki. Deux ans plus tard, le Woodcast Splint faisait son entrée dans les blocs opératoires en Finlande. Ce matériau est un mélange propre de bois et de polymères biodégradables auxquels on peut appliquer différents degrés de robustesse et d’autres propriétés suivant les applications visées. Depuis 2010, la gamme de produits s’est étendue pour couvrir de nombreux aspects d’immobilisation, stabilisation et protection non seulement dans les soins médicaux, mais aussi dans d’autres secteurs comme le sport et la médecine vétérinaire.   Contacts : Jimmy Takki, P-DG Tél. : +358 50 575 7337 E-mail : jimmy.takki@onbone.com www.onbone.com
Il y a 4 ans et 51 jours

Plan de relance : 192 réponses à l'appel à projets pour la reconversion des friches polluées

L'appel à projets lancé par l’Ademe pour la reconversion de friches polluées issues d’anciens sites industriels ou miniers vient de se clôturer. il a reçu 92 candidatures pour le financement de travaux et 100 pour des études, pour un montant de dépenses éligibles de l’ordre de 190 M€, correspondant à un volume d’aide maximum compris entre 59 et 77 M€.
Il y a 4 ans et 51 jours

Ville, campagne : les sénateurs imaginent un new deal

Le bousculement des idées reçues a vivifié la commission Aménagement du territoire du Sénat, le 10 mars sur un thème aux allures convenues : « Aménagement, égalité, cohésion des territoires : comment concilier métropolisation et développement territorial équilibré ? » Deux géographes, un architecte et un urbaniste ont proposé quelques clés pour apaiser les relations ville campagne, au prix de remises en cause radicales.
Il y a 4 ans et 51 jours

Spie solide dans la crise

Le leader européen des services multi-techniques pour l'énergie et les communications a su rebondir après le choc du confinement. Le recul de l'activité a été limité au second semestre ( -1,4 %) et Spie a bouclé 2020 avec un chiffre d'affaires de 6, 642 Mds €, en repli de 4,7 % par rapport à 2019 et un résultat net part du groupe de 53 M€
Il y a 4 ans et 51 jours

Le groupe Kramer à nouveau candidat au rachat du site industriel Jacob Delafon de Damparis dans le Jura

Le groupe Kramer s'était officiellement positionné comme un éventuel repreneur le 5 février dernier et avait retiré son offre le 26 février suivant. Dans un contexte social tendu, le groupe Kramer ne souhaitait pas être tenu responsable d'un report du PSE (fixé au 3 mars), tout en étant dans l'impossibilité de répondre aux conditions et délais imposés par le groupe Kohler, au regard de l'opacité dont faisait preuve le groupe Kohler en matière d'informations.Avec le soutien de l'État, de la Région, de ses partenaires commerciaux, le groupe Kramer réaffirme son implication dans la sauvegarde d'un site historique et dans la préservation d'emplois. Il a désormais la confiance du personnel du site de Damparis.Dans un contexte aujourd'hui différent et après signature du PSE, le projet du groupe Kramer repose sur une nouvelle activité qui ne dépend plus du groupe Kohler, avec un programme de progression d'embauches dans lequel les futurs ex-salariés seront les bienvenus.Par cette acquisition, le groupe Kramer entend toujours diversifier ses activités, étoffer logiquement son offre sur l'ensemble du marché sanitaire (céramique et robinetterie) au niveau national et à l'export, selon les valeurs du Made in France.« Il ne s'agit pas de stratégie mais de philosophie d'entreprise, inscrire l'humain au cœur de notre écosystème » exprime en ce sens Manuel Rodriguez, Président du groupe Kramer.
Il y a 4 ans et 51 jours

Notre-Dame: des chênes sélectionnés pour la reconstruction de la flèche

Huit premiers chênes ont été sélectionnés en forêt de Bercé (Sarthe) pour servir à la reconstruction du tabouret de la flèche de Notre-Dame: une étape symbolique préparatoire à la reconstruction de la cathédrale.
Il y a 4 ans et 51 jours

Antibes: enquête préliminaire visant le port Vauban après un signalement d'Anticor

Une enquête préliminaire visant le port Vauban à Antibes, a été ouverte par le parquet de Grasse à la suite d'un signalement de l'association anti-corruption Anticor.
Il y a 4 ans et 51 jours

Développement de l’industrie des résines biosourcées

Lixol, PME basée à La Teste-de-Buch (33) et filiale du Groupe Berkem depuis 2017, a investi 1 M€ sur 18 mois dans son outil industriel pour le moderniser et développer de nouvelles gammes, notamment biosourcées. Spécialiste des résines dites alkydes (réalisées à partir d’huiles végétales) destinées aux marchés de l’industrie, du bâtiment, du bois et des encres d’imprimerie, l’entreprise entend ainsi accélérer sa croissance (objectif CA 2021 : 6,8 M€ contre 6 M€ en 2020), et recruter 10 collaborateurs cette année. C’est pour servir un marché en croissance que le groupe a investi sur ce site et lui permet de démultiplier ses capacités de production. Lixol a entrepris une rénovation de son outil industriel (mise à neuf des bâtiments, automatisation des process), et une modernisation de ses équipements : automatisation de la ligne de conditionnement, acquisition de matériels complémentaires. Parmi eux, une chambre chaude pour mise à température (+/- 40°C) des résines afin d’en faciliter la manipulation. Le site dispose désormais de 2 réacteurs de fabrication, un 3ème réacteur de 10 m3 est prévu en 2021. Mais aussi de : 5 dilueurs dont 3 de 5 m3 et 1 de 20 m3, une cuve de dilution/fabrication de 23 m3, 6 citernes de 36 m3 pour le stockage des matières premières liquides et 1 citerne compartimentée de 30 m3 pour les livraisons en vrac.
GDA
Il y a 4 ans et 51 jours

Déforestation dans les Landes et centrales photovoltaïques

L’interprofession des Landes de Gascogne, s’alarme de la recrudescence des défrichements liés à l’installation de centrales photovoltaïques. Ce phénomène dépasse déjà plus d’un millier d’hectares sur le Massif Landais, sans…Cet article Déforestation dans les Landes et centrales photovoltaïques est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 51 jours

Validation technique ITI en verre cellulaire

Pittsburgh Corning France renouvelle, avec SOCOTEC, la validation technique de la pose de l’isolation thermique en verre cellulaire FOAMGLAS en doublage intérieur (mur et plafond), intitulée « Isolation par l’intérieur…Cet article Validation technique ITI en verre cellulaire est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 51 jours

L'architecte du théâtre contemporain Jean Perrottet est décédé

L’architecte Jean Perrottet est décédé le 26 février 2021 à Montreuil (Seine-Saint-Denis), à l’âge de 95 ans. Il avait reçu le prix de l’Equerre d’argent en 1960, et avait participé avec Jacques Allégret à fonder l’AUA, l’Atelier d’urbanisme et d’architecture. On lui doit, […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 52 jours

« Nous avons une responsabilité en matière de biodiversité », Heimo Scheuch, P-DG de Wienerberger

Industrie - Pour le fabricant de briques autrichien, le profit ne peut plus être le seul horizon d'un groupe industriel.
Il y a 4 ans et 52 jours

Quand l'ancien révèle son potentiel avant-gardiste

Esthétique -
Il y a 4 ans et 52 jours

La chasse au gaspillage est ouverte

Application - Chaque année, des tonnes de produits sont jetées sans même avoir été utilisées. Une perte sèche à laquelle StockPro veut remédier.
Il y a 4 ans et 52 jours

Le Conseil de Paris vote une place Claude-Goasguen après un échange houleux

La délibération a été adoptée par 82 voix pour, dont celle de la maire PS Anne Hidalgo et de son adjoint Patrick Bloche qui présidait la séance, 34 contre et 2 abstentions.La future place Claude-Goasguen se situe dans le quartier de La Muette, au coeur du XVIe arrondissement dont il fut maire de 2008 à 2017.Au nom du groupe EELV, l'élue Alice Coffin s'est opposée à un tel hommage "en raison de multiples comportements et déclarations relevant du racisme, du sexisme, de l'homophobie, du classisme".Le conseiller LR Francis Szpiner a alors accusé la militante féministe et des droits LGBT de "cracher sur la mémoire de Claude Goasguen" et cité le poète René Char: "il existe une sorte d'homme qui sont toujours en avance sur leurs excréments".Fatoumata Koné, présidente du groupe EELV, a accusé M. Szpiner d'être "insultant", lui demandant des excuses ainsi qu'un scrutin public et une interruption de séance. "Je persiste et signe", a répondu M. Szpiner."C'est vous qui êtes insultante", a répliqué Aurélie Pirillo, élue LR qui avait auparavant fait l'éloge de Claude Goasguen, "un homme de valeur", "très ouvert d'esprit" mais qui "comme tout homme de convictions, pouvait être clivant".L'adjointe PCF à la mémoire, Laurence Patrice, a soutenu l'hommage à "un élu républicain, là où il fut maire", et souligné que cette dénomination "n'avait pas porté à discussion" lors de son passage en commission.Figure de la droite parisienne, Claude Goasguen est décédé d'un arrêt cardiaque fin mai 2020, à l'âge de 75 ans, alors qu'il se rétablissait du coronavirus.Le président de la République Emmanuel Macron avait salué "une grande voix politique qui manquera au débat républicain". Mais pour ses détracteurs, Claude Goasguen fut dans sa jeunesse partisan de l'Algérie française et dirigeant de la Corpo d'Assas, syndicat étudiant proche d'Occident, ainsi qu'un opposant au Pacs et au mariage pour tous."On vit déjà dans une société où l'égalité des droits est loin d'être effective pour en plus honorer la mémoire d'un sinistre personnage qui s'est distingué par son homophobie, son racisme et son sexisme crasses", a notamment protesté sur Twitter Aurélien Beaucamp, président de l'association Aides.
Il y a 4 ans et 52 jours

Artibat vous donne rendez-vous en octobre 2021 à Rennes

À quelques mois de cet événement incontournable de la filière, qui sera d'ailleurs probablement le premier grand rendez-vous sectoriel physique depuis le début de la pandémie, ARTIBAT constitue, pour les exposants, une véritable valeur sûre, tant pour la rencontre conviviale avec les professionnels que pour le business qu'il génère.Du côté des visiteurs (entreprises, artisans, prescripteurs), ARTIBAT s'annonce comme LE rendez-vous très attendu par la profession, surtout après cette année si particulière. Les visiteurs (40 000 attendus) connaissent bien le salon, savent et apprécient ce qu'ils viennent y trouver : le rapport direct avec les exposants, la possibilité de toucher les produits, les tester et découvrir les dernières nouveautés.Comme de coutume, ARTIBAT 2021 éditera son catalogue millésime des nouveautés et proposera une véritable vitrine technologique des produits de la filière. Ce guide des nouveautés, distribué gratuitement aux visiteurs, leur permettra de poursuivre l'expérience « Nouveautés vues sur ARTIBAT » après le salon.ARTIBAT, lieu d'échanges sur les sujets qui font l'actualitéARTIBAT, c'est aussi des temps forts dédiés à des sujets en phase avec l'actualité, tels que la rénovation énergétique et ses enjeux. Rappelons d'ailleurs qu'il sera possible de découvrir, sous la marque CIRQ* hébergée au cœur du salon, les innovations des 15 startups sélectionnées par un jury de professionnels. La Scène de CIRQ donnera également, pendant 3 jours, la parole à des architectes, des fabricants et institutions afin d'éclairer les visiteurs sur les bonnes pratiques en matière de rénovation énergétique et de débattre sur les moyens pour lutter activement contre le réchauffement climatique.L'édition d'ARTIBAT 2021 permettra également de vivre une expérience aussi unique qu'immersive grâce au partenariat engagé avec HB Développement**. Les organisateurs font le pari d'une approche sensorielle pour cette installation temporaire, déployée sur 130 m².Ce projet d'envergure a pour ambition d'inviter à innover, repenser et/ou apporter des aménagements et solutions qui permettraient d'améliorer ou d'adapter le quotidien des personnes âgées ou en situation de handicap.Concrètement, les visiteurs, vêtus de simulateurs de vieillissement, d'équipements 3D et autres dispositifs de simulation pourront tester des installations afin d'appréhender et ressentir les obstacles auxquels les personnes à mobilité réduite ou en situation de handicap doivent faire face dans leur quotidien.ARTIBAT oblige, les visiteurs pourront également tester les nouveaux matériaux et nouvelles solutions améliorant les conditions de vie des usagers.« C'est grâce à la confiance de nos exposants que nous gardons le cap et l'envie de préparer un salon exceptionnel pour la fin de cette année. L'éclaircie se devine sur le second semestre et l'équipe est pleinement mobilisée afin d'accompagner les exposants dans leurs préparatifs, organiser les projets ambitieux qui font l'actualité du bâtiment et évidemment, veiller au respect des mesures sanitaires indispensables au rassemblement de plus de 40 000 professionnels. Nous avons hâte de tous vous retrouver. Rendez-vous en octobre 2021 à Rennes ! »Valérie Sfartz, Directrice du Salon ARTIBAT* Une marque co-déposée par ARTIBAT et Novabuild.** HB Développement : détenteur de marques qui garantissent l'expertise des artisans du bâtiment pour tous types de travaux liés au confort d'usage, le maintien à domicile et l'accessibilité de l'habitat. Tous les projets ainsi que le salon seront évidemment organisés dans le strict respect des consignes sanitaires qui seront en vigueur en octobre 2021.
Il y a 4 ans et 52 jours

Comment entretenir une toiture-terrasse?

L’entretien de la toiture est une tâche que de nombreux propriétaires de maison omettent. En effet, il ne suffit pas de passer un coup d’aspirateur ou de balai pour la nettoyer. En raison de l’importance de son rôle, cet élément de la maison mérite une plus ample attention. En effet, le nettoyage du toit est une opération incontournable, et ce, qu’importe sa forme (pentu ou plat). Dans cet article, nous allons nous pencher sur l’entretien d’une toiture plate que l’on appelle également « toiture-terrasse ». Pourquoi entretenir sa toiture-terrasse ? Il faut rappeler que la toiture remplit une fonction protectrice. En effet, c’est la partie de la maison qui garantit son bon état et les autres éléments qui la composent (charpente, façade, fondation, etc.). En outre, la toiture peut être transformée en un espace de vie. C’est le cas de la toiture — terrasse. En général, on peut accéder à ce type de toit. Il est donc plus facile de l’entretenir. Encore faut-il utiliser le bon matériel pour obtenir un résultat impeccable. Au même titre que les autres sortes de toiture, la toiture-terrasse finit par être envahie par les mousses, les lichens et les algues à mesure que le temps passe. D’ailleurs, ces végétaux parasites ont tendance à se développer sur ce type de toit, et cela s’explique. À la différence de la toiture en pente, la forme plate de celle-ci favorise la stagnation des eaux de pluie du fait que leur évacuation s’opère difficilement. C’est une conséquence de la faible inclinaison de sa pente. Un toit humide est cependant un environnement favorable au développement et à la prolifération des champignons. Ces derniers n’affectent pas seulement le revêtement. Ils peuvent occasionner de sérieux problèmes d’infiltration d’eau. Il est donc primordial de les éradiquer pour que l’intégrité et la longévité de la toiture soient préservées. Pour cette tâche, vous pouvez vous adresser à une entreprise de couverture comme https://www.entreprise-couverture-60.fr/. Comment procède-t-on à l’entretien d’une toiture-terrasse ? Comme vous l’aurez compris, il faut nettoyer la toiture-terrasse à un intervalle régulier. Pour assurer sa propreté, il faudra : Nettoyer la toiture plate Les travaux de nettoyage se matérialisent par le retrait des impuretés présentes à sa surface. C’est le cas des débris de végétaux, des poussières et des champignons. Pour la mise en œuvre de cette opération, on peut se servir d’une brosse dure ou d’un nettoyeur à haute pression. Appliquer un traitement hydrofuge Après l’avoir nettoyé, il est vivement conseillé de pulvériser un produit hydrofuge sur la surface du toit. Cette opération est avantageuse sur différents plans. Elle empêche la formation et la propagation des pollutions vertes (mousses, lichens, algues). L’hydrofuge rend également le support plus étanche et moins sensible à l’encrassement. Toutefois, nous vous recommandons de solliciter les conseils d’un couvreur professionnel afin de savoir quel type d’hydrofuge convient le mieux aux caractéristiques de votre toit. Régénérer la membrane d’étanchéité Quand la membrane d’étanchéité n’a pas été entretenue depuis longtemps, des boursouflures finissent par apparaitre et l’altérer. Dans ce cas, il faut envisager sa rénovation complète ou partielle. Cette opération implique la mise en place d’un revêtement spécial sur les zones concernées. Il peut s’agir d’une feuille bitumée ou de l’asphalte. Ici encore, nous vous incitons à requérir les conseils d’un expert en travaux de toiture. Ce professionnel peut vous diriger dans votre choix du revêtement. Il peut même s’occuper de son installation. Nettoyer les gouttières Pour empêcher les stagnations d’eau, il est crucial de débarrasser les gouttières des saletés qui se longent dans leurs parois. L’idéal est de ramasser à la main les déchets qui sont vulnérables de les obstruer. Quant aux parties difficilement accessibles, un nettoyeur à haute pression sera utilisé pour leur nettoyage.
Il y a 4 ans et 52 jours

Les aides à l'embauche prolongées au minimum jusque fin mai

Avec comme principe conducteur "de la visibilité pour l'employeur et de la dégressivité pour préparer l'après", le ministère du Travail a présenté plusieurs options aux syndicats sur la prolongation de ces aides. L'arbitrage final sera annoncé lors de la conférence de dialogue social le 15 mars à Matignon.Pour l'aide à l'embauche de jeunes de moins de 26 ans (1.000 euros par trimestre de contrat pendant au maximum un an), le ministère a soumis deux hypothèses.Dans l'hypothèse "haute", le dispositif est prolongé jusque fin mai selon les mêmes modalités (jusqu'à une rémunération de 2 Smic), puis jusque fin octobre aux jeunes dont la rémunération est inférieure à 1,6 Smic (90% des jeunes). Le surcoût après mars serait alors de 750 millions d'euros. Dans l'hypothèse basse, le dispositif s'arrête fin mai et le seuil d'1,6 Smic est retenu après mars. Le surcoût n'est alors plus que de 150 millions d'euros.Selon le ministère, près de 1,3 million de moins de 26 ans ont été embauchés en CDI ou CDD de plus de trois mois entre août et janvier, dont 340.000 ont fait l'objet pour l'instant d'une demande d'aide. Le coût entre juillet 2020 et le 31 mars 2021 est évalué à 803 millions d'euros.Pour les aides à l'apprentissage et aux contrats de professionnalisation (8.000 euros pour un majeur, 5.000 pour un mineur), l'hypothèse haute serait de les prolonger à l'identique jusque fin mai, puis, entre mai et décembre d'exclure les bac +5 et de réduire l'aide à 4.000 euros pour les entreprises de plus de 250 salariés. Le surcoût après mars serait de l'ordre de 1,7 milliard d'euros.Dans l'hypothèse basse, le dispositif s'arrête fin mai, et le surcoût n'est que de 70 millions d'euros.Le ministère a enregistré jusqu'ici 495.000 demandes d'aides pour un coût évalué entre juillet 2020 et le 31 mars 2021 à 2,3 milliards d'euros.La conférence de dialogue devrait être axée sur "la préparation de la sortie de crise". La ministre du Travail, Elisabeth Borne, a indiqué mardi que "des concertations sectorielles seraient menées dès la semaine prochaine pour préparer la levée progressive des restrictions sanitaires et adapter de manière pertinente le niveau de soutien aux entreprises dans la perspective de ces allégements".
Il y a 4 ans et 52 jours

LafargeHolcim entre au capital d'un acteur de l'impression 3D

PARTICIPATION. Le cimentier LafargeHolcim investit dans un acteur de l'impression 3D en entrant à son capital.
Il y a 4 ans et 52 jours

Achères : le projet de rénovation et d’extension du gymnase Pierre de Coubertin sera livré en 2023

Le gymnase Pierre de Coubertin, à Achères, fera prochainement l’objet de travaux de réfection et d’agrandissement.
Il y a 4 ans et 52 jours

Impression 3D : LafargeHolcim entre au capital de XtreeE

XtreeE compte bien se positionner en un acteur majeur dans la croissance du marché de l’impression 3D. [©Plurial Novalia] LafargeHolcim entre au capital de XtreeE à hauteur de 20 %. Le nouvel administrateur rejoint ainsi les co-fondateurs de l’entreprise, Vinci Construction Invest et le fonds d’investissement Shibumi International. Pour les entités concernées, cette opération a pour but de renforcer leurs savoir-faire techniques et leur R&D. Et de poursuivre le développement et la commercialisation de solutions industrielles 4.0. Le tout, dans un objectif de décarbonation des bâtiments et infrastructures. « La transformation écologique du secteur de la construction et plus particulièrement du béton passe aussi par la révolution numérique et les nouvelles performances environnementales qu’offre l’impression 3D, explique François Petru, Dg de LafargeHolcim France. En renforçant notre partenariat stratégique avec XtreeE, un des leaders les plus innovants dans ce domaine, nous ouvrons un nouveau chapitre pour nos matériaux et pour l’évolution des modes constructifs. » [Inter] Booster le déploiement de l’impression 3D XtreeE pourra bénéficier de la forte implantation internationale du cimentier. Et par la même occasion, de ses capacités de R&D sur son site de L’Isle-d’Abeau (38) et de sa force de prescription. « L’expertise de LafargeHolcim dans les bétons à haute performance, ainsi que ses savoir-faire sur toute la chaîne de valeur de la construction vont venir enrichir le développement national et international de notre réseau d’unités d’impressions 3D connectées, poursuit Alban Mallet, président de XtreeE. Avec ce réseau, nos clients acquièrent non seulement la capacité de produire eux-mêmes, au plus proche de leur marché. Mais aussi, la maîtrise de la chaîne numérique, de la conception à la réalisation. » Retrouvez notre dossier complet sur l’impression 3D -> Ici.
Il y a 4 ans et 52 jours

Pyrénées-Atlantiques : des travaux en cours dans la commune de Boucau

Mars 2021 : des travaux sur la voirie et des modifications de circulation sont en cours dans la ville de Boucau.
Il y a 4 ans et 52 jours

En 2020, le BTP n'aura pas retrouvé son niveau d'emploi avant-crise

ACTIVITÉ. Le secteur de la construction aura poursuivi son difficile redressement au 4e trimestre 2020 avec un niveau global d'heures travaillées toutefois toujours en repli en comparaison à la fin d'année 2019. La reprise observée durant le second semestre n'aura pas permis de compenser l'arrêt brutal des chantiers dû au premier confinement sanitaire.
Il y a 4 ans et 52 jours

Le Mipim finalement reporté à septembre... en présentiel

SALONS. Le Mipim, rendez-vous mondial des professionnels de l'immobilier, sera de retour en présentiel à Cannes les 7 et 8 septembre, a annoncé le 11 mars son organisateur, qui espère accueillir en personne entre 5.000 et 10.000 participants, si la situation sanitaire le permet.
Il y a 4 ans et 52 jours

Quelle maison individuelle pour demain ? High tech et imprimée 3D ou low tech et frugale ?

BATIACTU BUSINESS CLUB. Jeudi 8 avril 2021, le Batiactu Business Club consacrera une visioconférence à la maison individuelle de demain. High tech, imprimée en 3D, low tech : à quoi ressemblera-t-elle ? Plusieurs acteurs viendront débattre : Hexaom (Ex groupe Maisons France Confort), XtreeE, expert de l'impression 3D et l'architecte Philippe Madec.
Il y a 4 ans et 52 jours

Le conseil d'orientation des infrastructures a été installé ce 11 mars

TRANSPORT. Le ministre délégué aux Transports, Jean-Baptiste Djebbari, vient d'installer ce 11 mars 2021 le conseil d'orientation des infrastructures.
Il y a 4 ans et 52 jours

Quelle évolution des taux et du pouvoir d'achat de biens immobiliers depuis 20 ans ?

CREDIXIA a calculé l'évolution de la capacité d'emprunt au cours des 20 dernières années. Et, grâce à la baisse des taux, elle a progressé de + de 68% en 20 ans. En revanche, dans certaines villes d'Ile-de-France, les prix immobiliers, eux, se sont envolés. En 20 ans, a-t-on gagné en pouvoir d'achat immobilier ?2001, début d'un nouveau millénaireSi l'euphorie des années 2000 et l'arrivée de l'euro ont entrainé une hausse du pouvoir d'achat en 2001 (+ 1,6% de pouvoir d'achat / an de 2000 à 2008), l'emprunt n'est pas favorisé à cette période. En effet, les taux sont très élevés (7% pour un prêt sur 20 ans) et la France connait une inflation des prix de l'immobilier. En 2001, les banques ont accordé seulement 66.182 millions d'Euros de crédits aux particuliers.2011, sortie de criseLa crise financière de 2008 marque un coup d'arrêt brutal dans l'économie et impact de plein fouet le secteur de l'immobilier. On assiste à un « retournement du marché », les taux et les prix dégringolent. Si la situation se stabilise aux alentours de 2011, la baisse des taux reste constante et dure notamment jusqu'en 2014. En 2011, les taux s'affichent aux alentours de 4,20% en moyenne sur 20 ans, et au mois de mars 2011 ils atteignent un taux record de 3,60% (selon l'Observatoire Crédit Logement). Malgré la chute des taux, l'année 2011 enregistre une baisse de - 6,1% des ventes immobilières par rapport à 2010.2021, les séquelles de la COVID 19Depuis 2014, le marché de l'immobilier connait de belles années, on relève notamment le cap du million de transactions immobilières dépassé en 2019 qui témoigne de son état favorable. Néanmoins, la crise sanitaire vécue en 2020 a fait baisser le pouvoir d'achat (-0,5%) et a entrainé une légère augmentation des taux d'intérêt sur une courte période (février à mai 2020). Le nombre de transactions immobilières annulées à cause de la COVID19 s'élève à 250.000. Heureusement, 2021 connait une augmentation de +10% des demandes de prêt par rapport à 2020, cette hausse se justifie en partie par des taux exceptionnellement bas : le taux moyen relevé en février 2021 est de 1,03% pour un emprunt sur 20 ans, CREDIXIA annonce même un taux record à 0,70% sur la même durée.Évolution des taux des crédits immobilier de 2001 à 2021Force est de constater que depuis 20 ans, les taux des crédits immobiliers sont à la baisse avec une dégringolade depuis 2015 comme le démontre le graphique ci-joint.En 20 ans, la capacité d'emprunt a grimpé de plus de 68%Prenons l'exemple d'un couple qui souhaite acheter un appartement ancien en Ile-de-France. Ils gagnent 60.000€ net par an et détiennent 10% d'apport. Afin de respecter les normes du HCSF (Haut Conseil de Stabilité Financière), leur mensualité s'élève à 1713€ (33% d'endettement hors assurance).Le constat est clair, en 20 ans, la capacité d'emprunt de ce ménage a augmenté de + 68%. Entre 2001 et 2021, les taux d'intérêt ont énormément baissé, passant de 7% en moyenne à 1,03% sur 20 ans. Néanmoins, sur cette même période, les prix de l'immobilier ont flambé en Ile-de-France. Afin de calculer l'évolution réelle du pouvoir d'achat, CREDIXIA a comparé la surface achetable de ce couple par décennie.En 20 ans, un parisien a perdu 50% de sa surface habitable lors d'un achat immobilierCREDIXIA a choisi 3 villes où sont implantées ses agences pour calculer l'évolution des prix au m².A Paris et Versailles, si la capacité d'emprunt a augmenté grâce à la baisse des taux, le prix au m² a connu une telle inflation que la surface achetable s'est considérablement réduite en 2021 par rapport à 2001.A Versailles, le couple perd 94,78 m² de surface habitable, et à Paris, il perd 37,77 m² soit une perte respective d'environ 67% et 51% de la surface habitable.Même constat pour la ville de Chelles, malgré une capacité d'emprunt qui a doublé et une hausse du prix du m² moins important le couple perd 77,87 m² soit une perte d'environ 41% de la surface habitable.
Il y a 4 ans et 52 jours

Le "débranchement" des aides Covid "n'est pas encore arrivé" assure Castex

ÉCONOMIE. Le Premier ministre a affirmé devant le Sénat que les mesures de soutien mises en place par le Gouvernement pour passer la crise économique du coronavirus allaient encore être maintenues pendant un certain temps. Des parlementaires réclament des annulations "au moins partielles" de charges pour les entreprises.
Il y a 4 ans et 52 jours

Au Chili, l’étage libre qui fait la différence

Le bureau d’architectes et promoteur immobilier Norte Verde a remporté l’édition 2020 du prix Aporte Urbano avec son projet Ñuñoa Vida, récemment inauguré à Santiago du Chili. Ce double édifice relié par une passerelle aérienne vouée aux activités récréatives, « lui donne la possibilité d’une vie de quartier », selon le lauréat.