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Toute l'actualité du bâtiment

256974 actualités disponibles
Il y a 4 ans et 54 jours

Mirova (Natixis) entre au capital de Corsica Sole

Mirova (Natixis) va entrer au capital du producteur d'énergie solaire Corsica Sole, qui compte notamment développer des projets de stockage d'énergie, ont annoncé les deux parties.
Il y a 4 ans et 54 jours

Verrières aluminium et les lanterneaux modulaires

Les verrières aluminium VELUX et des lanterneaux modulaires sont désormais disponibles en France. Les verrières sont composées de panneaux préfabriqués dotés de profilés fins. Elles peuvent être configurées de différentes façons afin de créer des puits de lumières sur des toits en pente et des pyramides sur des toits plats. Les équipements permettent de contrôler la lumière naturelle, la chaleur et la ventilation, en vue d’optimiser le climat intérieur et la performance du bâtiment. Les lanterneaux, quant à eux, peuvent être combinés grâce à des poutres de connexion. Il est possible de les installer seuls ou bien de constituer une longue rangée de lanterneaux sur des toits plats. Cette solution est idéale pour les couloirs et les bâtiments annexes. La gamme propose différents types de modules conçus sur mesure : petites et grandes dimensions, ouvrants ou fixes sans différence visible entre modules en position fermée.  Photo : rénovation de l’emblématique « intu Metrocentre » à Gateshead près de Newcastle – velux
Il y a 4 ans et 54 jours

Bourneuf s’agrandit et obtient une nouvelle certification

L’activité bois dans les menuiseries, très porteuse, opère une évolution notable sur le marché des chantiers de rénovation où la demande client est de plus en plus forte, mais aussi dans le neuf. Pour répondre à cette évolution, le Groupe Lorillard a choisi d’augmenter la capacité de production bois de plus de 25 % d’ici 2022. 2,5 millions € viennent d’être investis chez Bourneuf, à Parigné L’Évêque, pour l’intégration entre autres d’un nouveau centre d’usinage au sein du nouvel agrandissement de près de 1000 m² de l’usine. La nouvelle ligne de production accueille 4 machines neuves dont une tronçonneuse, une déligneuse, une corroyeuse et un centre d’usinage nouvelle génération. L’intérêt majeur de cette nouvelle chaîne est son concept de commande modulaire qui va permettre à Bourneuf d’accroître sa productivité. L’entreprise a obtenu début 2021 la certification CR3 anti effraction pour ses fenêtres, en vertu des normes EN1627 à EN1630. Ces normes classifient les menuiseries selon un critère unique : le retard à l’effraction. Celui-ci est mesuré selon le temps de résistance et le type de matériel autorisé. La force physique avec l’aide d’outils tels qu’un pied de biche s’applique à une menuiserie CR3, capable de garantir un temps de résistance à l’effraction de 5 minutes.
Il y a 4 ans et 54 jours

Cinquième période des CEE : les opérateurs satisfaits des annonces, mais vigilants

RÉACTIONS. Les opérateurs CEE se montrent globalement satisfaits des annonces gouvernementales pour la cinquième période des CEE. Quelques points d'alertes sont toutefois soulevés, notamment en ce qui concerne la question du reste à charge et du soutien aux ménages précaires.
Il y a 4 ans et 54 jours

Objectif BBC Effinergie rénovation grâce à une ITE sur une résidence

La résidence de la Vanne à Montrouge a été construite au tournant de la décennie 1970. Après une consultation des habitants, CDC Habitat Social a lancé un projet global de…Cet article Objectif BBC Effinergie rénovation grâce à une ITE sur une résidence est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 54 jours

Pufferfish : un nouveau concept solaire de purification de l’eau

Pufferfish a inspiré un nouvel appareil capable du taux le plus élevé de purification solaire passive de l’eau – selon ses créateurs Xiaohui Xu et ses collègues de l’Université de Princeton. Basé sur un hydrogel avancé, le système peut rapidement absorber et filtrer l’eau lorsqu’elle est froide, puis libérer de l’eau propre lorsqu’elle est chauffé […]
Cimbat
Il y a 4 ans et 55 jours

La Seyne-sur-Mer : début des travaux pour la réfection de la corniche Giovannini

La métropole Toulon Provence Méditerranée a démarré la réfection de la corniche Giovannini, entre le rond-point Casanova et le chantier naval Monaco Marine.
Il y a 4 ans et 55 jours

Un nouveau centre aquatique à l’étude à Étampes

Une étude de faisabilité concernant le projet de centre aquatique sur l’île de loisirs d’Étampes va être lancée. Le projet est soutenu par la Région Île-de-France et le Département de l’Essonne.
Il y a 4 ans et 55 jours

L’Etat engage 4,1 milliards d’euros pour financer la LGV Bordeaux-Toulouse

Interpellé par les élus d’Occitanie sur les « risques d’une France à deux vitesses », le gouvernement s’engage à hauteur de 4,1 milliards d’euros pour financer la LGV Bordeaux-Toulouse.
Il y a 4 ans et 55 jours

Tribune. « L’«Accompagnateur Rénov’» existe déjà, c’est l’architecte »

Dans une tribune publiée sur le site du Conseil national de l'Ordre des Architectes (Cnoa), son président... Cet article Tribune. « L’«Accompagnateur Rénov’» existe déjà, c’est l’architecte » est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 55 jours

"Lumière, lumières": le pavillon français à l'exposition universelle de Dubaï

Sous le nom, "Lumière, lumières", le patrimoine, l'art et l'innovation technologique articuleront leurs facettes dans un pavillon "éco-responsable" de 55 mètres de large, 20 mètres de haut et 63 mètres de profondeur.Elles ont été présentées lundi en visioconférence par Erik Linquier, son commissaire général, en présence du ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian.L'exposition, reportée l'an dernier en raison du Covid, est prévue du 1er octobre 2021 au 31 mars 2022, avec la participation de 190 pays. Elle a pour thème la ville intelligente et durable avec pour slogan "Connecter les esprits, construire le futur".Symbolisant la conjonction des "lumières" du présent et du passé, les 2.500 m³ de tuiles photovoltaïques du pavillon français abriteront une édition originale des 35 tomes de l'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert, prêtée par les Archives Nationales.Des expositions temporaires seront dédiées à cinq expertises artistiques: l'art digital (sur Notre-Dame), les arts de la table, l'art cinétique, l'architecture et la mode (les cinquante années de création de Jean Paul Gaultier)."Notre-Dame de Paris, l'Expérience" est une immersion historique virtuelle, présentée par L'Oréal et réalisée par la start-up Histovery en collaboration avec l'Etablissement public. Les visiteurs pourront découvrir le chantier au Moyen-Âge, assister au sacre de Napoléon, à l'édification de la flèche de Viollet-le-Duc ou encore plonger au coeur des opérations de sécurisation actuelles."Antarctique, un laboratoire du futur" sera une autre expérience immersive au coeur des recherches de pointe menées en Antarctique sur le réchauffement.Le Petit Prince de Saint-Exupéry proposera un voyage imaginaire, montrant les connexions multiples qui relient arts, sciences, techniques et cultures.Ce rendez-vous est comme toujours l'occasion pour les grandes entreprises, de Renault à EDF, et pour des start-up, d'y faire connaître leurs projets technologiques d'avenir.Ainsi, la maquette d'un bateau-musée sera exposée de même qu'un dirigeable pour le transport cargo aérien, solution "écolo-compatible" du futur imaginée par la start-up Flying Whales.Jean-Yves Le Drian a souligné la pertinence du thème retenu pour "Dubaï 202": "En 2050, il y aura 2,5 milliards d'urbains de plus. Et c'est en 2050 que nous sommes en train de décider d'être au niveau de la neutralité carbone. Comment régler cette contradiction sinon par la ville sobre et intelligente."
Il y a 4 ans et 55 jours

COMBAS Architectes : Centre Socio-Culturel de Cabrières

À Cabrières (30), l’agence COMBAS Architectes vient de livrer le nouveau centre socio-culturel de la commune. En transformant la pierre en fil conducteur de leur projet, les architectes ont choisi de rendre hommage à l’histoire du site. Il est des programmes qui participent activement au rayonnement et à la vitalité d’un territoire. Le centre socio-culturel Cabrières fait partie de ceux-là, car il constitue une pierre angulaire pour le renouveau de la commune. Au programme : une grande salle avec 200 places assises, un espace multifonctionnel traversant sur parvis de 300 mètres carrés, une scène, une grande loge, un grand hall doté d’un bar et plusieurs zones de stockages. À Cabrières, le long du Chemin du Moulin à Vent, axe historique joignant le cimetière à l’église, s’élève le nouveau centre socio-culturel. Depuis l’espace public, la minéralité du bâtiment retient l’attention et joue la carte de la continuité avec le bâti existant. Construire un tel équipement public en pierre, c’est choisir de créer des liens entre une culture du rassemblement et son paysage tellurique. C’est d’ailleurs ce qui a guidé l’implantation du projet. Les écoliers avaient l’habitude de traverser le site sur sa partie sud, et de créer un trait d’union entre le chemin du Moulin à Vent et la route départementale. Le boulodrome, symbole de festivités, ponctuait ce parcours. Dans une volonté de préserver les traditions des Cabriérois, le bâtiment vient souligner un front bâti minéral et conserve les parcours habituels des locaux.En s’inspirant d’une logique de murs d’enceinte, typiques et représentatifs des tissus locaux, l’édifice met en valeur le patrimoine architectural de Cabrières. Dans une parcelle représentant le double de sa superficie, le centre socio-culturel s’inscrit parfaitement dans le site, et enrichit ainsi l’identité du lieu. Le bâtiment préserve les déambulations existantes tout en soulignant son tissu urbain. Le bâtiment abrite deux espaces majeurs : le hall d’accueil et la salle principale. Ces grands espaces naissent des interstices et des vides creusés dans l’ensemble minéral. Les pièces privées et techniques correspondent quant à elles aux socles massifs du projet. Le hall d’entrée, ouvert sur l’esplanade, s’entoure du bar et de la salle des associations, tandis que l’espace scénique de la salle principale est adjacent aux locaux de rangement, loges et zones techniques. Chaque articulation du programme permet à l’ensemble de fonctionner par secteur, et d’assurer ainsi une adaptation parfaite à chaque usage.Pour en savoir plus, visitez le site de l’agence COMBAS Architectes. Visuels : © COMBAS ArchitectesLa rédaction
Il y a 4 ans et 55 jours

Quelles pompes à chaleur individuelles en logements collectifs neufs ?

La RE2020 favorise les pompes à chaleur au détriment du gaz en construction neuve. Voici le quatrième article sur les solutions de pompes à chaleur en construction neuve de logements collectifs.
Il y a 4 ans et 55 jours

L'Insee dévoilera vendredi si l'économie française a résisté en début d'année

L'économie française est-elle repartie début 2021, ou faudra-t-il encore attendre une nette amélioration sur le front sanitaire pour tourner le dos à la récession?Début mars, l'Insee tablait sur une croissance de 1% pour le premier trimestre, après la récession record de 8,2% en 2020, et un recul du produit intérieur brut (PIB) de 1,3% sur le seul dernier trimestre.La France se situe sur "une ligne de crête" sanitaire et économique, estimait alors Julien Pouget, chef du département conjoncture de l'Insee.C'était avant le durcissement des restrictions imposé mi-mars dans 19 départements, dont ceux d'Ile-de-France, suivi par l'annonce d'un troisième confinement dans toute la France.Depuis, l'Insee n'a pas actualisé sa prévision, mais la Banque de France a dit s'attendre à une "légère croissance" du produit intérieur brut (PIB) au premier trimestre, inférieure à 1%. Le consensus d'analyste compilé par Factset table sur +0,1%.Fin 2020 et début 2021, "globalement ce sont des trimestres perdus, qui n'ont pas fait avancer l'activité par rapport au retard accumulé en 2020", juge Philippe Ledent, économiste chez ING, qui table sur une stabilité du PIB.Ainsi, selon la Banque de France, le PIB français serait ainsi en mars encore 4% en dessous de son niveau d'avant crise (en janvier et février 2020), contre -5% environ en décembre."On a toujours une image très hétérogène", de l'économie, avec des secteurs "qui restent très directement affectés par les mesures sanitaires" comme l'hôtellerie-restauration, l'évènementiel, les activités récréatives, les services de transports et la fabrication des matériels de transport (aéronautique, automobile), détaille Hélène Baudchon, économiste chez BNP Paribas.A l'inverse, certains sont plus proches de leur niveau d'avant-crise, comme l'immobilier et les services publics non marchands, ajoute-t-elle.L'industrie en particulier semble s'être bien repris, tirée par la demande internationale, à en croire différents indicateurs publiés ces dernières semaines.Rebond reporté mais pas perduLa consommation des ménages, moteur traditionnel de la croissance française, ne devrait en revanche pas beaucoup progresser par rapport à fin 2020."Au premier trimestre, il n'y avait pas encore l'effet psychologique de la vaccination. On était plutôt dans l'attente et la peur d'une troisième vague", estime Philippe Ledent.La France devrait toutefois afficher de meilleurs résultats trimestriels que ses principaux voisins européens. Une comparaison flatteuse seulement due au "timing de la gestion de la pandémie", selon Philippe Ledent, avec un durcissement des restrictions décalé en janvier en Allemagne par exemple.En revanche, le deuxième trimestre sera sans doute encore mitigé, avec le reconfinement censé durer jusqu'à la mi-mai. "On va en sortir sans doute encore plus progressivement que du précédent, donc cela va continuer de contraindre l'activité sur une bonne partie du deuxième trimestre", avance Hélène Baudchon.Ce début d'année difficile, recule donc la perspective du rebond de l'économie française, que le ministre de l'Economie Bruno Le Maire prédit "très fort" à partir de l'été, visant une croissance de 5% sur l'ensemble de 2021.La Banque de France table elle sur 5,5%, une progression supérieure à la moyenne attendue pour la zone euro."Le rebond est reporté", mais si la vaccination se passe bien, "le potentiel de rebond ne sera pas remis en cause", estime Hélène Baudchon.A condition qu'aucun nouveau variant ne vienne menacer la sortie de la crise sanitaire. La France n'aura alors pas totalement tourné le dos à la crise, mais commencera doucement à voir le bout du tunnel.
Il y a 4 ans et 55 jours

Bouygues Construction et Dassault Systèmes veulent numériser le secteur de la construction

NUMERIQUE. Bouygues Construction et Dassault Systèmes prolongent leur partenariat pour développer un outil numérique qui veut faciliter le secteur de la construction et le rendre plus durable.
Il y a 4 ans et 55 jours

Matériaux biosourcés : un nouveau livre blanc sur les atouts de la ouate de cellulose

ISOLATION. L'Association européenne des fabricants de ouate de cellulose publie l'édition 2021 de son livre blanc intitulé "10 bonnes raisons d'isoler sa maison avec de la ouate de cellulose", destiné aux particuliers comme aux professionnels. Un bon timing à l'heure où la Réglementation environnementale 2020, qui consacre les matériaux biosourcés, a été validée.
Il y a 4 ans et 55 jours

Un nouveau directeur technique pour Sto

CARNET-NOMINATION. Le spécialiste allemand des peintures et des enduits, Sto, présente son nouveau directeur technique en la personne de Jean-Philippe Ndobo-Epoy.
GDA
Il y a 4 ans et 55 jours

Bois : la profession dénonce des amalgames dans « un coup de gueule »

« Peut-on passer du bois ? » est le titre provocateur d’un « coup de gueule » de deux responsables de l’Enstib (Ecole Nationale des Technologies et Industries du Bois) qui tiennent à rappeler quelques évidences.
Il y a 4 ans et 55 jours

Poids climatique dans les rémunérations : qu'en est-il des patrons de la construction ?

ETUDE. L'ONG, Oxfam, a rédigé une étude sur la rémunération des patrons du Cac 40, en s'attachant à regarder le poids des objectifs financiers et non financiers (climat, égalité salariale...). Quid des dirigeants du secteur de la construction ? Réponse.
Il y a 4 ans et 55 jours

"1 jeune, 1 solution" lance un nouveau dispositif d'aides pour les moins de 30 ans

AIDES. La plateforme "1 jeune, 1 solution" va proposer un simulateur d'aides financières pour accompagner les jeunes dans leurs démarches.
Il y a 4 ans et 55 jours

La toiture, un argument essentiel pour vendre une maison

Quand on veut louer ou vendre une maison, plusieurs éléments peuvent être mis en avant pour attirer des clients. L’un de ces arguments que l’on peut souligner est la toiture. Bien entretenir cet élément de la maison peut se révéler payant si l’on veut vendre ou mettre en location sa maison. Nous vous expliquons par ces lignes, pourquoi la toiture est un argument de vente efficace. Un aspect visuel qui peut séduire La toiture définit l’aspect général de la maison. Elle est considérée comme la cinquième façade de l’habitat. De ce fait, c’est l’un des éléments que les clients regarderont en premier. L’architecture du toit peut être un point déclencheur de vente. Vous pouvez l’aménager suivant des styles de toits très appréciés comme les toits arrondis qui sont originaux et design, ou des toits plats qui sont tendances et qui peuvent être végétalisés pour des clients écologistes. Les matériaux utilisés contribuent aussi au rendu visuel de la maison. Vous pouvez opter par exemple pour des couvertures de toit nobles comme les tuiles, l’ardoise ou le bois. Il y a aussi les matériaux tendance qui peuvent présenter différents motifs comme l’acier, l’aluminium ou le zinc. En plus, le toit peut arborer différents coloris qui peuvent se marier avec les façades. Vous pouvez choisir de garder les coloris originaux des matériaux, ou de peindre avec la couleur que vous jugeriez adaptée à l’ensemble de la maison. Vous pouvez vous faire assister par des couvreurs professionnels dans vos choix et dans l’aménagement de la toiture pour un rendu visuel attrayant et convaincant. Une bonne isolation de la toiture pour plus de confort Il est clair que le confort à l’intérieur de la maison reste le critère primordial pour les acheteurs. Et ce confort doit être ressenti par le client dès son entrée dans la maison. Une bonne isolation de la toiture contribue grandement à ce confort. L’isolation thermique permet d’atténuer la chaleur en été, et protège les occupants d’une maison du froid en hiver. L’isolant améliore la performance énergétique avec la déperdition thermique, et contribue à réduire la consommation. L’isolation phonique de la toiture offre un confort acoustique, qui tend à réduire les bruits venant de la couverture de toit comme le craquement des tôles et des tuiles sous l’effet du soleil, du vent, de la pluie ou de l’environnement extérieur. Le choix du système d’isolation et la qualité des isolants peuvent apporter une plus-value à la bâtisse. Cet artisan couvreur https://www.artisan-couvreur-paris.fr/ qui se trouve à Paris peut vous guider dans vos sélections et vous garantir d’excellents travaux d’isolation. Un niveau d’entretien de la toiture rassurant Il est clair qu’une maison bien entretenue se vendra mieux et se vendra vite. Une toiture bien entretenue est une des conditions exigées par les acheteurs. Cela leur permet d’avoir une assurance sur la robustesse et la longévité de la maison, et aussi d’éviter de faire des travaux supplémentaires comme la réfection ou le démoussage. L’entretien de la toiture reflète l’entretien général de la maison, et peut être une garantie supplémentaire en matière d’hygiène relative à des moisissures ou bactéries dues à des fuites par exemple. Faire appel à un couvreur professionnel pour l’entretien de la toiture est alors indispensable pour garantir à vos acheteurs des travaux d’entretien de qualité, et augmenter la valeur de la maison.
Il y a 4 ans et 55 jours

Maison de la sagesse, entretien avec Yasaman Esmaili

Faire renaître une tradition du IXe siècle, sauver l’architecture vernaculaire, faire coexister le séculier et le ...En savoir plus Cet article Maison de la sagesse, entretien avec Yasaman Esmaili est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 55 jours

Reprise, aides, emploi : "Tout le monde doit continuer à jouer le jeu", D. Métayer (U2P)

INTERVIEW. Prêts garantis par l'État, Plan indépendants, formations professionnelle et continue, réformes de l'assurance-chômage et des retraites... Le nouveau président de l'Union des entreprises de proximité (U2P), Dominique Métayer, est revenu en détails sur tous ces dossiers d'actualité dans une longue interview accordée à Batiactu. Pour lui, la reprise économique doit s'accompagner d'un maintien des aides et la "paix sociale" doit être préservée pour le moment d'une réforme des retraites qui jetterait de l'huile sur le feu.
Il y a 4 ans et 55 jours

Cinquième période des CEE : l'Etat revoit sa copie en augmentant l'objectif

ANNONCE. Les pouvoirs publics, après une période de concertation avec les acteurs, viennent d'annoncer un certain nombre d'ajustements en ce qui concerne la cinquième période des certificats d'économie d'énergie (CEE).
Il y a 4 ans et 55 jours

Origine, un immeuble bioclimatique et intelligent à Nanterre

EN IMAGES. Maud Caubet Architectes a dessiné un ensemble de plusieurs bâtiments autour d'une placette dans le quartier de la future station Nanterre-La Folie, à proximité immédiate du coeur de La Défense. L'immeuble de bureaux Origine, avec sa structure bois-métal-béton, se veut à la pinte du "renouvellement de l'architecture en bois pour des volumes contemporains".
Il y a 4 ans et 55 jours

Le gouvernement rehausse les obligations des certificats d'économie d'énergie

Le dispositif des CEE repose sur une obligation de réalisation d'économies d'énergie imposée par les pouvoirs publics aux vendeurs d'énergie - comme EDF, Engie, Total, etc. - appelés les "obligés". Cela finance notamment des travaux d'isolation thermique ou d'installation de chauffage plus performant.Concrètement, les CEE se traduisent par un volume d'énergie épargnée à atteindre pour chaque vendeur d'énergie: celui-ci peut les obtenir en incitant directement ses clients à réduire leur facture, par exemple en offrant des primes pour certains travaux, ou en les achetant auprès d'intermédiaires.Pour la nouvelle période 2022-2025, le gouvernement prévoit désormais des obligations globales d'économies d'énergie de 2.500 térawattheures (TWh), a indiqué le ministère de la Transition écologique dans un communiqué.C'est un peu plus que les 2.400 TWh qui avaient été annoncés en février et mis en consultation.Cela représente une hausse de 17% par rapport à la période précédente (2018-2021).Sur le total, au moins 730 TWh "seront réalisés au bénéfice des ménages en situation de précarité énergétique (contre 600 TWhc dans la version soumise à la consultation)", souligne le ministère.Cette augmentation "traduit la volonté du gouvernement d'accroître encore l'ambition écologique et de s'assurer que le soutien à la transition énergétique bénéficie en priorité aux ménages les plus précaires", selon le gouvernement.Ce dernier avait récemment annoncé un recentrage des bonifications et "coups de pouce" qui augmentent les certificats accordés pour certaines opérations.Cela mettra par exemple fin aux offres d'isolation des combles "à un euro" à partir de juillet.Les associations de consommateurs ont critiqué les CEE, jugeant ce dispositif complexe. Il donne aussi lieu à des fraudes.Le gouvernement a indiqué qu'il menait une concertation portant notamment sur les "contrôles" et la "simplification".Les obligations diffèrent selon le type d'énergie (carburant, gaz, électricité...) commercialisée par les entreprises.Le mode de calcul des obligations liées à chaque énergie a été revu pour prendre en compte uniquement les volumes vendus, sans tenir compte désormais de l'effet prix.Concrètement, "la contribution relative des fournisseurs de gaz est plus élevée", indique-t-on au ministère."L'état d'esprit est de se rapprocher de ce qui a le plus de sens: plus de volumes vendus, plus d'obligations", fait-on valoir.
Il y a 4 ans et 55 jours

Matières premières : inquiets, les canalisateurs alertent leurs donneurs d’ordres

L’organisation membre de la fédération nationale des travaux publics craint une rupture d’approvisionnement et une augmentation des coûts pour les entreprises de canalisations. En cause : la pénurie de matières premières, plastiques et métalliques en tête, subie par leurs fournisseurs.
Il y a 4 ans et 55 jours

Coûts de construction : sur 100 métropoles mondiales, Lyon, Paris et Nice maintiennent leur compétitivité

Car au-delà des comparaisons relatives entre métropoles, on constate que les coûts de construction dans le monde n’ont que faiblement évolué en 2020, démontrant le caractère atypique de la crise et la grande résilience du secteur. « En France à fin 2020, l’activité s’était largement contractée mais les prix ne se sont pas effondrés pour autant, démontrant des effets complexes entre fluctuation de l’offre et de la demande et surcoûts liés aux mesures sanitaires. » précise Nicolas Boffi, City Executive Paris chez Arcadis. « Jusqu’ici la situation a donc été maîtrisée, mais les effets indirects commencent à se faire sentir depuis le début de l’année 2021, en particulier sur les matières premières. » poursuit-il.Depuis plusieurs mois, les professionnels du secteur alertent sur les difficultés d’approvisionnement et la hausse du prix des matières premières. En raison de la crise sanitaire, leur production a chuté ou a été stoppée, et la reprise a conduit à un rebond de la demande générant par exemple une pénurie de plastique ou d’acier dont les prix se sont envolés. Afin de soutenir les entreprises qui ne peuvent subir de plein fouet ces augmentations importantes, le gouvernement réfléchit à des mesures d’accompagnement, comme la possibilité systématique de revoir les termes initiaux du contrat concernant les prix et les délais, et cela même lorsque le contrat a été négocié à prix ferme.Face à un risque important de pénurie des matières premières et donc d’augmentation des coûts de construction, l'économie circulaire et le réemploi des matériaux semblent les solutions à privilégier. Outre les effets bénéfiques pour la planète, le recyclage et la réutilisation des matériaux le sont tout autant pour le portefeuille. « Alors que le gouvernement saisit l’opportunité de la crise pour faire la part belle à la transition bas carbone avec son plan de relance, c’est le moment d’accélérer le réemploi et de mettre sur le devant de la scène les filières de valorisation, qui sont parfaitement en ligne avec cette stratégie. » conclut Nicolas Boffi.Les 10 villes où le coût de construction est le plus élevé sont :GenèveLondresCopenhagueOsloZurichNew YorkSan FranciscoHong KongDublinMacaoLe rapport complet est téléchargeable à cette adresse.
Il y a 4 ans et 55 jours

Quels sont les frais liés à la micro station d’épuration?

Lorsque que vous décidez d’effectuer un investissement relativement conséquent comme c’est le cas avec une micro station d’épuration, un certain nombre de questions vous viennent à l’esprit. Parmi les questions fréquentes lors de ce type d’achat il y a l’interrogation sur les frais liés à la micro station d’épuration. Dans cet article nous allons vous indiquer les divers types de frais liés à cet équipement. Ils se divisent en quatre grandes parties. Les frais d’achat Dans un premier temps, le montant le plus élevé concernant la micro station d’épuration est bien évidemment le prix d’achat du produit. Ce tarif est variable, il dépend notamment de la taille de la micro station (il existe actuellement 3 différents modèles, les prix varient entre 5 000€ et 9 000€ environ), de la marque proposée (il en existe une petite dizaine sur le marché français à l’heure actuelle) et du type de micro station (fonctionnement à culture fixée, à lit fluidisé ou à réacteur biologique séquentiel). Les frais de pose Dans la majeure partie des cas, les frais d’installation sont compris dans le prix d’achat. En effet, la pose nécessite les compétences d’un professionnel. Néanmoins, concernant la préparation du terrain, peu de frais sont à prévoir, il est parfois nécessaire d’effectuer un épandage du terrain mais cela n’est pas obligatoire. Vous trouverez sur ce guide un comparatif des travaux à effectuer entre la fosse toutes-eaux classique (l’ancienne appellation étant la « fosse septique ») et la micro station : https://fosses-septiques.fr/micro-station . Vous verrez qu’il y a 18 types de travaux pour la première et seulement 5 pour la seconde. L’investissement de départ qui peut paraître plus élevé, à savoir l’achat de l’équipement, est largement compensé par la simplicité de l’installation. Les frais d’entretien et de maintenance Il est important de prendre conscience des frais d’entretien et de maintenance du dispositif de traitement des eaux. Une vidange annuelle doit être réalisée tous les 6 mois à an selon le type de machine et il est nécessaire que cette vidange soit réalisée par un professionnel. Cette opération engendre donc des frais supplémentaires. Les tarifs liés à cette intervention dépendent du prestataire il faudra compter en moyenne 400€ pour une vidange complète. A noter néanmoins que plus votre cuve sera de grande dimension, moins la vidange sera fréquente. Concernant le risque de panne, bien que peu élevé, il est à prendre en compte ainsi que le coût des pièces à renouveler si cela est nécessaire. Une micro station d’épuration fonctionne grâce à l’électricité, la consommation énergétique de ce dispositif n’est que très peu élevé puisqu’il correspond à une trentaine d’euros à débourser par an. Les frais de certification du produit par la SPANC La SPANC (Service Public d’Assainissement Non Collectif) intervient dans un premier temps lors de l’installation de la micro station d’épuration. L’objectif de cette intervention est de permettre à la SPANC de certifier votre dispositif (il en résultera la délivrance d’un certificat de conformité), cette étape obligatoire est facturée à l’acquéreur, il faudra compter environ 180€. A noter également que la SPANC intervient aussi tous les 4 ans afin de vérifier si le dispositif de traitement de l’eau est toujours fonctionnel, cet opération est également payante et à la charge du propriétaire, dans ce cas de figure il faudra compter environ 150€.  
Il y a 4 ans et 55 jours

L’effet "Réinventons" galvanise les villes moyennes

L’effet catalogue porte le rayonnement des 112 communes engagées dans « Réinventons nos cœurs de villes ». Sur ce total qui dépasse la moitié des territoires du programme gouvernemental Action cœur de ville (ACV), l’Agence nationale pour la cohésion des territoires (ANCT) et le Plan urbanisme, construction et architecture (Puca) recensent 37 projets lancés, dont 11 avec des opérateurs définitivement identifiés. Le bilan d’étape dressé le 28 avril conforte les deux pilotes : Hélène Peskine, directrice du Puca, et Rollon Mouchel-Blaisot, directeur du programme ACV.
Il y a 4 ans et 55 jours

Les émissions de CO2 liées à l'énergie rebondiront fortement en 2021

Les émissions de gaz à effet de serre liées à la production et à la consommation d'énergie devraient rebondir au point de frôler en 2021 leur sommet d'avant-Covid-19.
Il y a 4 ans et 55 jours

Les États-Unis mènent la reprise économique mondiale, les pays émergents sont à la traîne

Dans ce contexte, les perspectives de retour à la normale sont à la fois inégales et incertaines en fonction des secteurs d'activité et des zones géographiques, selon le dernier baromètre de Coface, acteur leader de l'assurance-crédit.Comme dans son dernier baromètre, Coface prend pour hypothèse que la reprise économique gagnera en dynamisme à partir de l'été 2021, lorsque les États-Unis et l'Europe auront vacciné une part suffisamment importante de leur population. Cependant, il existe un risque de retard dans le déploiement des vaccins, notamment en raison de contraintes d'offres des producteurs, résultant de pénuries de certains composants et de restrictions d'exportation.La prévision de croissance mondiale par Coface est toutefois revue, en hausse d'un demi-point (+5,1% en 2021), grâce à une croissance plus forte qu'anticipée aux États-Unis. Dans ce contexte macroéconomique plus favorable, Coface reclasse 35 secteurs d'activité contre seulement 3 déclassements. En plus des États-Unis, plusieurs autres pans de l'économie mondiale ont déjà ou auront retrouvé leur niveau d'activité d'avant crise d'ici l'été: la Chine, l'industrie et les échanges internationaux. En revanche, d'autres restent à la traine : les activités de services nécessitant un contact physique avec le client et les économies européennes. Enfin, dans quelques grandes économies émergentes, la reprise est aussi freinée par la hausse de l'inflation qui contraint les banques centrales à durcir leur politique monétaire.L'économie américaine cherche à atteindre le régime de « haute pression »Depuis le début de l'année 2021, la balance des surprises penche du côté positif, malgré les incertitudes sanitaires toujours nombreuses.L'écart de croissance attendu entre la zone euro et les États-Unis est habituel, particulièrement en phase de reprise. Il résulte en partie des moindres stabilisateurs automatiques aux États-Unis qui accélèrent les ajustements en matière d'emploi et de revenu.Mais cette fois-ci, les raisons de cet écart en faveur des États-Unis sont différentes. Les restrictions de mobilité moins contraignantes qu'en zone euro, à la fois en 2020 et en début d'année 2021, ainsi que le déploiement plus rapide des vaccins dans la population, expliquent ce décalage. Des différences en matière de politique économique peuvent aussi expliquer cette performance américaine. Du côté des politiques monétaires, si la Réserve fédérale américaine (Fed) a davantage augmenté la taille de son bilan (son programme d'achats d'actifs a augmenté d'environ 13 points de PIB en 2020, contre 9 points pour la BCE), celle-ci atteint désormais le même niveau dans les deux zones (environ 30% du PIB). Enfin, et surtout, des soutiens budgétaires de plus grande ampleur, permettront à l'économie américaine de retrouver son niveau de PIB d'avant-crise.Adopté en mars 2021, le nouveau plan de soutien américain s'élève à 1 900 milliards de dollars (USD), et portera le total de la réponse budgétaire à la crise à un montant équivalent à 27 % du PIB américain, plus que toute autre économie mature. Coface estime que le déficit pourrait être jusqu'à 56 milliards plus élevé qu'il ne l'aurait été sans ce plan de relance.Cette stratégie a pour vocation de placer l'économie américaine en régime de « haute pression », c'est-à-dire de mettre en œuvre des politiques économiques monétaires et budgétaires très expansionnistes pour favoriser le retour à l'emploi des personnes les moins employables (chômeurs de longue durée ou en inactivité par découragement, personnes peu qualifiées et catégories de population subissant des discriminations à l'embauche).Zone euro : les défaillances d'entreprises restent « cachées »Dans ce contexte, la zone euro retrouverait son niveau de PIB d'avant crise seulement en 2022. Au cas où les principales mesures de restriction de mobilité et d'activité étaient levées d'ici la fin de l'été, cela devrait aller de pair avec un arrêt progressif des mesures d'aide aux entreprises susceptible de provoquer une montée du chômage. Par ailleurs, l'augmentation de l'endettement des entreprises, permis à des conditions favorables à travers les prêts garantis par les États, devrait durablement limiter leur capacité d'investissement.Aujourd'hui, les principales aides gouvernementales mises en place en 2020 n'ont pas été supprimées. Malgré l'effet stabilisateur des aides publiques, la santé financière des entreprises s'est sensiblement détériorée en 2020 - ce qui devrait normalement entraîner une hausse des défaillances. Selon Coface, les défaillances en 2020 auraient dû augmenter de 19% en Espagne, 6% en France, 6% en Allemagne et 7% en Italie. Coface estime ainsi le nombre des défaillances cachées à 44% des défaillances enregistrées en 2019 pour la France, 39% pour l'Italie, 34% pour l'Espagne et 21% pour l'Allemagne.Économies émergentes : la hausse de l'inflation contraint les banques centrales à durcir leurs politiques monétairesD'après les prévisions du FMI d'avril 2021, les économies émergentes seront plus durablement pénalisées par la crise actuelle que les économies matures.En 2024, le PIB des économies émergentes sera 4 points de pourcentage inférieur à celui qui aurait été observé sans la crise COVID. Pour les économies matures, l'écart serait de seulement un point (contre 10 lors de la crise financière mondiale). Plusieurs raisons expliquent ce décalage attendu entre le redémarrage des économies matures et émergentes.Sur le plan sanitaire, d'abord, le processus de vaccination est plus avancé dans les pays matures, même si quelques économies émergentes font figure d'exception : Émirats Arabes Unis, Chili et, dans une moindre mesure, Turquie et Maroc. Au moins 10% de la population y avait déjà été complètement vacciné le 8 avril dernier. Mais en dehors de ces quelques cas, la réservation de la majorité des vaccins disponibles par les États-Unis et l'Europe laisse en effet peu de doses disponibles pour les autres. Parmi les quatre principales zones productrices de vaccins (Chine, États-Unis, Europe occidentale et Inde), la tentation de la mise en place de mesures protectionnistes est de plus en plus forte. Par exemple, l'Inde a déjà annoncé un arrêt temporaire de l'exportation de vaccins afin de privilégier leur déploiement sur le territoire national, où le nombre de cas a beaucoup augmenté depuis le début du mois de mars.Outre ces incertitudes sanitaires toujours fortes, bon nombre d'économies émergentes restent pénalisées par leur exposition aux secteurs d'activité durablement touchés par la crise (tourisme, transport notamment).Du côté des bonnes nouvelles, cependant, la hausse des cours du pétrole ou encore des principales matières premières agricoles constituent une bouffée d'oxygène pour les économies ayant souffert de la tendance inverse l'année dernière. Sans compter que les perspectives positives pour la consommation américaine devraient alimenter de forts volumes d'exportations notamment chez les producteurs de biens de consommation.En revanche, dans le même temps, le creusement du déficit budgétaire américain favorise des sorties de capitaux des marchés émergents, dans la mesure où les révisions haussières des perspectives de croissance du PIB américain, favorisent une augmentation des taux d'intérêt à long terme aux États-Unis, une réduction de l'écart avec ses homologues des pays émergents, et, par-delà, un moindre attrait pour les marchés financiers de ces derniers. Cela a pour conséquence une dépréciation de devises émergentes, notamment en Turquie, ou encore au Brésil.
Il y a 4 ans et 55 jours

Le bâtiment ne fait plus chanvre à part

Le chanvre a une place à prendre dans la construction. Aussi, ses applications se développent, notamment sous la forme de béton de chanvre, à l'appui d'opérations pilotes et de programmes de R&D.
Il y a 4 ans et 55 jours

Habiter l’espace, avec Claudie Haigneré

Ce samedi 24 avril 2021, l’astronaute français Thomas Pesquet a fait son entrée dans la Station ...En savoir plus Cet article Habiter l’espace, avec Claudie Haigneré est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 55 jours

L'assouplissement du télétravail sera progressif

TRAVAIL. Elisabeth Borne a déclaré qu'un premier assouplissement du télétravail se fera dès la mi-mai.
Il y a 4 ans et 55 jours

Représentativité patronale : la Capeb interpelle la ministre du Travail

Conviée à l’assemblée générale annuelle de la Capeb, qui s’est tenue le 22 avril, Elisabeth Borne, ministre du Travail, a pointé le blocage « fâcheux » du dialogue social qui sévit depuis trois ans dans le bâtiment. L’organisation professionnelle a plaidé, auprès de la locataire de la rue de Grenelle, pour une modification des règles sur le droit d’opposition dans le cadre de la validation des accords collectifs.
Il y a 4 ans et 55 jours

Pour exporter son architecture, la France doit prendre exemple sur le Royaume-Uni

DIPLOMATIE. Le soutien aux architectes à l'export est mieux organisé outre-manche, pointe l'Afex dans un rapport commandé par le ministère des Affaires étrangères. La France, deuxième en Europe dans le domaine, pourrait mieux mettre son réseau diplomatique au service de cette activité dont les enjeux économiques dépassent le métier d'architecte.
Il y a 4 ans et 55 jours

Coûts de construction : Lyon, Paris et Nice dans le top 30 des villes les plus chères

CHANTIER. Trois métropoles françaises se classent parmi les villes mondiales où les coûts de construction sont les plus élevées, selon le rapport annuel Arcadis. Malgré un arrêt brutal des chantiers au printemps 2020, le bâtiment a résisté à la crise du Covid-19.
Il y a 4 ans et 55 jours

Siprotool DF-M300 : la première ponceuse de sol qui prend soin des opérateurs de désamiantage

En effet, outre son efficacité et sa robustesse, la nouvelle ponceuse de sol se montre à la fois compacte et relativement légère. Elle répond aux besoins des opérations de désamiantage, mais aussi à d'autres types de chantiers nécessitant le ponçage des sols. Voici un produit qui marque une rupture évidente au service des techniciens. Nombreuses sont les opérations et les manipulations très physiques sur les chantiers. Si les machines au service des techniciens facilitent grandement la tâche et réduisent les temps d'exécution, elles restent parfois un fardeau quant à leur déplacement et au transport. Ce sujet fait l'objet d'une attention de plus en plus grande de la part des entreprises. Soucieux de cette approche, Lapro Environnement met en valeur les avancées de Siprotool appliquées à la nouvelle ponceuse de sol DF-M300. Compacte et légèreCette ponceuse offre l'avantage d'une réelle compacité en comparaison des produits de puissance équivalente habituellement proposés sur le marché. Par exemple, son manche se replie pour une hauteur totale de moins de 50 cm, afin de faciliter le stockage dans un local, le transport dans un véhicule compact ou un déplacement sur les chantiers parmi les plus difficiles d'accès. Sa largeur ? À peine plus large qu'une feuille A4 (328 mm). De quoi passer partout ou presque. Cette compacité facilite l'opération de mise en double sac étanche en sortie de zone de travail confinée. Avec une masse de seulement 35 kg, la ponceuse Siprotool est par ailleurs bien plus légère que ses concurrents dotées d'un moteur conventionnel et pesant bien souvent plus de 60 kg ! Deux poignées facilitent le portage sans risquer que la machine ne glisse des mains. À l'heure de la chasse aux troubles musculo-squelettiques (TMS) en entreprises, voilà une bonne nouvelle pour les techniciens et les responsables de la prévention santé-sécurité sur les chantiers. Et ce n'est pas tout : l'intégration d'un moteur électrique de nouvelle génération contribue à réduire le niveau sonore et les vibrations de la machine.Moteur à haut rendementDotée d'un moteur électrique sans balais (technologie brushless) de 2 200 W, la ponceuse de sol Siprotool DF-M300 développe un meilleur rendement (absence de surchauffe) et consomme moins d'énergie pour un volume et un encombrement inférieur. Le moteur brushless contribue largement à alléger la machine et se contente d'une maintenance réduite. Le tout pour une puissance de travail sur chantier équivalente.Largeur de travail de 300 MMCarénée selon un design simple et avant tout efficace, la ponceuse adopte une bavette anti poussière intégrale, doublée en option, sous laquelle œuvre un disque de 300 mm de diamètre à 2 200 tr/mn. Ce dernier est surmonté du bloc moteur et de deux collecteurs d'aspiration latéraux. L'aspiration des poussières s'effectue selon un système ALS / DLS (A La Source / De La Source) afin de garantir la sécurité maximale des opérateurs. Au choix, deux disques peuvent équiper la ponceuse : Disque vert (universel) - Il convient à la majorité des traitements ;Disque Fuschia à segments PCD (Poly-Cristal Diamonds) - Il est parfaitement adapté au retrait des colles et autres couches minces. Le changement de disque s'effectue très simplement et sans perte de temps.
Il y a 4 ans et 55 jours

Livraison du pôle résidentiel de l’ensemble immobilier Treed It à Champs-sur-Marne

ADIM Paris Île-de-France, filiale de développement immobilier de VINCI Construction France, a livré le dernier bâtiment d’habitation de l’opération Treed It à Champs-sur-Marne (77), début mars. Au sein de la Cité Descartes, qui regroupe 25 % de la R&D française dédiée à la ville durable, cet îlot mixte de 23.000 m2 offre 624 logements étudiants, des commerces, un parking ainsi qu’une future maison de santé. Point culminant et saillant de l’opération, sa tour en ossature bois qui s’élève à 37 mètres, l’une des plus hautes de France. Les travaux, qui avaient débuté en mars 2019 ont été menés par Sicra Île-de-France et Arbonis, toutes deux filiales de VINCI Construction France également.Treed It, une réalisation qui mixe les usages au cœur de la Cité DescartesL’aménageur du territoire, EpaMarne, pionnier de la construction décarbonée, est engagé en faveur d’une ville résiliante et durable et mobilise sa capacité d’innovation pour de nouvelles pratiques urbaines. Développé par ADIM Paris Île-de-France, le programme Treed It s’inscrit dans cette dynamique portée par EpaMarne et contribue à renforcer l’attractivité du territoire en proposant des logements et des commerces dans un cadre de vie agréable. Il bénéficiera d’une connexion renforcée à Paris intramuros dès 2025 avec la ligne 15 du Grand Paris Express. Conçu par Saison Menu Architectes Urbanistes et Art’Ur architectes, l’ensemble immobilier mixte de 23.000 m2 est composé de trois bâtiments de logements, d’un parking silo, de commerces en pied d’immeubles et d’un bâtiment à réversibilité d’usages :Une résidence étudiante sociale de 284 logements réalisée pour le compte de 3F Résidences et gérée par ARPEJ.Une résidence foyer de 120 jeunes travailleurs, construite pour le compte d’Arcade dont la gestion a été confiée aux Apprentis d’Auteuil.La plus haute tour bois d’Île-de-France, tour en ossature bois de onze étages avec un noyau béton, érigée pour le compte de l’investisseur Kley et qui offre 220 logements étudiants avec des espaces communs de détente, de cuisine et de coworking.Un parking silo en bois-béton de trois étages, mutualisé pour le stationnement de tout l’ensemble immobilier.Un bâtiment à réversibilité d’usages, qui sera livré en 2022 et abritera une maison de santé d’environ 3.000 m2 ainsi que 1.250 m2 de bureaux.Une construction durable avec l’emploi du mix-matériau bois/béton La tour à ossature bois de onze étages et le parking silo à structure bois également ont été érigés par Arbonis, filiale de VINCI Construction France spécialisée dans la conception construction bois. Les équipes ont mis en œuvre une structure bois-béton, des planchers bois-béton grâce à leur procédé constructif innovant Arbodal® ainsi que des murs à ossature bois préfabriqués en atelier. La combinaison du bois et du béton, utilisé chacun dans leur domaine optimal de performance, a permis d’obtenir la meilleure empreinte environnementale sur la durée de vie des bâtis.Un projet innovant à haute performance énergétiqueLes résidences de logements de Treed It ont obtenu un très haut niveau de performance environnementale avec la certification NF Habitat HQE niveau « Très performant » et affichent un niveau RT2012 amélioré de 20 %. La tour bois est par ailleurs labellisée Bâtiment biosourcé niveau 2. La résidence étudiante sociale et le foyer de jeunes travailleurs sont ainsi équipés d’un système de récupération de chaleur sur les eaux grises (eaux usées domestiques), nommé Power Pipe. Grâce à ce système, 20 % de l’eau chaude sanitaire et du chauffage sont produits par de l’énergie renouvelable avec la chaleur contenue dans les eaux grises transférée vers l’eau froide d’alimentation. Un procédé vertueux qui permet de réduire la consommation d’énergie pour la production d’eau chaude.Un immeuble de bureaux évolutif, transformé en maison de santéL’immeuble de bureaux qui a été conçu selon un procédé innovant de réversibilité, propre à groupe VINCI Construction France, fait l’objet d’une transformation. L’emplacement des noyaux béton, l’épaisseur du bâtiment, la trame structurelle et la réalisation de gaines verticales ont permis de transformer sans modification lourde les bureaux en une maison de santé pluriprofessionnelle. Elle regroupera une pharmacie, un laboratoire, des box de consultations, un cabinet dentaire, un service de kinésithérapie, un centre de cardiologie et un centre ophtalmologique. Le mode constructif évolutif garantit ainsi une grande pérennité à l’ouvrage qui pourra à tout moment changer de destination et s’adapter aux usages de demain.