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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 4 ans et 59 jours

Décès de Henri Gaudin, architecte du stade Charléty

Diplômé de l'école des Beaux-Arts, il fut deux fois lauréat de la prestigieuse Equerre d'argent (prix français d'architecture), médaille d'or de l'Académie d'architecture 1994, et avait refusé le Grand prix d'architecture en 1989.Son œuvre, de la Cité de la musique et de la danse de Strasbourg au stade Charléty qu'il avait conçu avec son fils Bruno, en passant par Normale Sup Lyon et le Musée national des arts asiatiques - Guimet offre un équilibre plaisant entre sens de la tradition, respect de la fonction et formes libres.Une synthèse symbolisée par le grand escalier du musée Guimet, tout en béton mais dont les formes rendent hommage à la période baroque.Il avait également signé d'autres bâtiments d'envergure à travers la France, comme les archives du Quai d'Orsay à La Courneuve ou le Théâtre de Lorient, reconnaissables pour ce mélange entre lignes droites et courbes douces.
Il y a 4 ans et 59 jours

Chalucet à Toulon, exemplaire

Vaste programme que celui du réaménagement du quartier Chalucet à Toulon : proposé par l’agence Corinne ...En savoir plus Cet article Chalucet à Toulon, exemplaire est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 59 jours

Les « Construction Days», salon des TP en septembre, sont avancés d’une semaine

Bousculades et effets dominos sont les conséquences de la crise sanitaire sur les salons et congrès. Comme d’autres événements, ce nouveau rendez-vous des TP subit un réajustement de calendrier.
Il y a 4 ans et 59 jours

Jeux olympiques : le projet de piscine de Noisy-le-Sec tombe à l'eau

ÉQUIPEMENTS. La piscine olympique de Pont de Bondy, à Noisy-le-Sec, ne verra pas le jour. En tout cas pas pour les Jeux de 2024. Mais la ville de Seine-Saint-Denis pourrait récupérer, après les Jeux, l'un des bassins provisoires qui serviront à l'entraînement.
Il y a 4 ans et 59 jours

"Louer en confiance" : les professionnels enthousiastes, l'Anil pointe les risques

RAPPORTS LOCATIFS. Les propositions du député Mickaël Nogal ont encore une chance d'être discutées à l'Assemblée avant la fin du mandat. Les professionnels de l'immobilier y sont favorables, comme ils l'ont expliqué lors des Assises de l'habitat et de la mixité urbaine.
Il y a 4 ans et 59 jours

Naissance du "Cercle des Territoires pionniers de la sobriété foncière"

COLLECTIVITÉS. Comment conjuguer développement urbain et sobriété foncière ? Afin d'accompagner les territoires engagés dans cette démarche, encourager les bonnes pratiques et l'innovation pour surmonter les difficultés, une démarche expérimentale a été lancée : "Territoires pilotes de la sobriété foncière", qui a donné naissance à un "Cercle des territoires pionniers de la sobriété foncière."
Cimbat
Il y a 4 ans et 59 jours

Les entreprises d'ingénierie ont perdu 11% de leur chiffre d'affaires en 2020 sous l'effet de la crise

Selon une étude de la profession réalisée avec les partenaires sociaux, le redémarrage sera lent et le retour à la normale n'aura pas lieu avant 2022. Les ingénieristes, qui ont eu massivement recours aux mesures de soutien pour préserver l'emploi, rappellent que leurs ressources sont clé pour la relance économique. A travers Syntec-Ingénierie, leur fédération professionnelle, elles demandent aux pouvoirs publics davantage de souplesse et d'accompagnement dans l'accès aux formations.Une activité en baisse de 11% pour les ingénieristesL'ingénierie regroupe 73.000 entreprises en France qui fournissent des prestations intellectuelles à haute valeur ajoutée à leurs clients publics et privés : conception de bâtiments et d'ouvrages, optimisation de chaînes industrielles, contribution à la R&D, innovation numérique, conseils sur l'adaptation au changement climatique… Présentes dans tous les secteurs d'activité, elles sont durement touchées par la crise sanitaire et enregistrent des pertes de 11% de chiffre d'affaires. Selon l'étude, cette chute s'explique en priorité par l'arrêt des projets pendant le confinement et la chute des prises de commandes. C'est particulièrement vrai pour les entreprises des filières industrielles, notamment automobile et aéronautique. Un an après le début de la crise, 41% d'entre elles déclarent encore une baisse de leurs prises de commandes, selon un baromètre Syntec-Ingénierie. Sans surprise, la région Occitanie figure parmi les plus touchées.En parallèle, 40% des ingénieristes souffrent depuis septembre 2020 de l'allongement des délais de paiement, qui s'échelonnent jusqu'à +60 jours pour 5% d'entre elles. Une situation dégradée qui occasionne des difficultés de trésorerie pour plus d'1/4 des sociétés interrogées.Parmi les autres difficultés rencontrées, les entreprises pointent le manque de visibilité et les problématiques d'organisation du travail.« Avec 17% de nos collaborateurs en travail sur le site de l'entreprise – soit moins d'un jour par semaine par collaborateur -, nos entreprises respectent scrupuleusement le protocole sanitaire en vigueur. Nous sommes pleinement mobilisées pour endiguer la pandémie. Nos efforts ne sont néanmoins pas sans conséquence sur l'activité de nos entreprises, dont l'essence est de travailler en équipe sur des projets collaboratifs et innovants. Les mesures de distanciation ralentissent l'avancée des projets que nous menons, sans compter que nous avons aussi à souffrir parfois de désorganisations chez nos clients ».Pierre Verzat, président de Syntec-IngénieriePréserver l'emploi : une priorité absolue en vue du redémarrage économiqueL'étude souligne que malgré les fortes baisses d'activité, les entreprises se mobilisent pour préserver leurs ressources et être prêtes à redémarrer. « La richesse de nos entreprises réside dans nos salariés. C'est pour nos idées, notre matière grise que nos clients font appel à nous. La préoccupation première des ingénieristes est donc de préserver l'emploi. » explique Pierre Verzat.Sans surprise, les profils juniors apparaissent comme les plus à risque. L'étude indique que les jeunes diplômés arrivent sur le marché de l'emploi dans un contexte bien plus concurrentiel. De l'autre côté de l'échiquier, les seniors sont fragilisés car perçus comme moins agiles et moins à l'aise avec les nouvelles technologies. Ingénieur ICT (c'est-à-dire du conseil en technologies, intervenant beaucoup dans les filières industrielles automobile et aéronautique) et chef de projet sont identifiés parmi les métiers les plus à risque.Pour préserver l'emploi, 45% des ingénieristes ont eu recours à l'activité partielle, 31% ont sollicité des prêts garantis par l'État, et 23% se tournent vers les aides au recrutement d'alternants. Côté formation, 1/4 d'entre elles ont mis ou vont mettre en place des parcours spécifiques pour leurs salariés. Avec pour objectifs : monter en expertise sur les métiers et accroitre la polyvalence en même temps que le socle de compétences.Si les dispositifs de soutien ont largement favorisé le maintien de l'emploi jusqu'à présent, l'étude met en garde contre l'effet retard des pertes d'emplois. Selon les données du Baromètre APEC [1], les offres d'emplois ont déjà chuté de 32% au cours de l'année 2020. À cela s'ajoutent les 15 000 postes qui étaient créés chaque année avant crise par les entreprises d'ingénierie.Les ingénieristes appellent à davantage de souplesse et d'accompagnement dans l'accès aux formationsA travers leur fédération professionnelle Syntec-Ingénierie, les entreprises d'ingénierie alertent néanmoins sur l'existence de rigidités dans l'accès aux formations, qui pourraient mettre en risque le maintien de l'emploi sur le long terme. Elles appellent les pouvoirs publics à davantage d'accompagnement, en particulier pour les formations lourdes, mais aussi à davantage de souplesse. Cela concerne notamment l'usage du FNE-formation : les entreprises ayant engagé une négociation en matière de PSE ne sont plus habilitées à y recourir, malgré le fait qu'il puisse s'agir d'entités de travail distinctes. Syntec-Ingénierie rappelle que chaque situation d'entreprise est particulière et qu'il convient de prendre en compte toutes les situations.« Au-delà de notre profession, il est urgent de comprendre que la préservation des compétences dans l'ingénierie est un enjeu économique global. L'ingénierie est en amont de tous les projets. Ce sont nos professionnels qui inventent les ouvrages, bâtiments, infrastructures et industries de demain. Ils accompagnent les grandes transitions climatique, énergétique ou encore industrielle en concevant de nouvelles solutions technologiques. Perdre nos compétences, c'est mettre en jeu le redémarrage de notre économie toute entière. Il est impératif de préserver les capacités de rebond des entreprises, partout où cela est possible. »Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie[1] Baromètre Apec des intentions de recrutement et de mobilité des cadres - 1er trimestre 2021
Il y a 4 ans et 59 jours

PRB séduit à nouveau par le système de palettes consignées Chep

PRB renouvelle sa collaboration avec Chep, le loueur de palettes bleues. [©PRB] Convaincu de l’intérêt environnemental du système de partage et de réutilisation des palettes Chep, l’industriel PRB renouvelle sa collaboration deux années. Ce contrat porte sur l’utilisation annuelle de 120 000 palettes consignées dans l’Hexagone. Depuis sa création, en 1975, le groupe familial vendéen s’est engagé à réduire de manière durable son empreinte carbone, à travers une feuille de route. Cette dernière prévoit le développement de produits éco-conçus  avec des matières biosourcées. Mais aussi une réduction des émissions carbone, en privilégiant les transports en train. Ensuite, une diminution de la pénibilité pour les opérateurs. Puis, l’utilisation d’engins de manutention nouvelle génération moins énergivore et la chasse aux déchets. Et enfin, la réduction des émissions de CO2 occasionnées par le transport. Réduction de 28 % des émissions de CO2 pour PRB Une fois chargées, les palettes sont prêtes pour être transportées vers les différents magasins de la grande distribution. [©PRB] Le choix d’une nouvelle logistique des palettes était donc une évidence. Preuve en est : comparé à l’utilisation des palettes perdues, le système de partage et de réutilisation proposé par Chep a déjà permis à PRB de réduire de 28 % ses émissions de CO2. « Avant, nous utilisions des palettes perdues pour livrer nos produits. Notre entreprise ayant beaucoup évolué en matière de responsabilité environnementale, il nous a paru évident de repenser la logistique des palettes, souligne Joël Tesson, directeur logistique achats de PRB. Et de détailler : « Nos clients distributeurs sont eux-mêmes dans une démarche d’amélioration, tant au niveau des produits qu’ils référencent que sur leurs propres actions. Il y a deux ans, nous leur avons proposé ce nouveau dispositif qu’ils ont accepté. Et nous avons basculé en moins de trois mois vers ce modèle. Le bilan est très positif ». Le choix d’une solution vertueuse et performante Désormais et depuis 2018, les outils de production ont été adaptés pour recevoir les palettes bleues Chep, qui sont livrées en 72 h à l’usine des Achards, en Vendée. Elles sont stockées sous abri durant une quinzaine de jours pour garantir leur parfait séchage. Et passent ensuite en production. Une fois chargées, les palettes sont transportées vers les différents magasins de la grande distribution. En fin de parcours logistique, elles sont récupérées par Chep et ramenées dans les centres de service pour être inspectées, triées et remises en circulation. Le système de Chep a permis d’éliminer le gaspillage, grâce à l’utilisation de ses supports partagés, qui ont remplacé ceux à usage unique. Depuis, les résultats de PRB sont significatifs en matière d’organisation logistique et de réduction de gaz à effet de serre.
Il y a 4 ans et 59 jours

Smac se sépare de son pôle membranes Axter

CESSION. Smac, spécialiste des travaux de l'étanchéité, de façades et de l'entretien de l'enveloppe du bâtiment, a cédé son pôle de production et commercialisation de membranes Axter.
Il y a 4 ans et 59 jours

La maire de Biarritz refuse de financer le projet de réhabilitation du plateau d’Aguilera

La municipalité de Biarritz ne compte pas subventionner le projet de rénovation du plateau d’Aguilera.
Il y a 4 ans et 59 jours

Liaison ferroviaire Roissy-Picardie : enquête publique jusqu’au 6 avril 2021

L’enquête publique concernant le projet de liaison ferroviaire Roissy-Picardie est ouverte.
Il y a 4 ans et 59 jours

L'Autorité de la concurrence inflige une sanction de 435.000 euros à une filiale de Vinci pour entente illicite

L'Autorité de la concurrence a infligé "solidairement une sanction de 435.000 euros à la société Santerne Nord Tertiaire et à plusieurs sociétés du groupe Vinci pour avoir mis en oeuvre une pratique concertée ayant pour objet de fausser la concurrence", a-t-elle indiqué dans un communiqué."Vinci ne commente pas les décisions administratives. Nous prenons acte de celle-ci et nous réservons le droit de faire appel", a indiqué Vinci interrogé par l'AFP.L'Autorité reproche à Santerne d'avoir "participé à des échanges d'informations avec une autre entreprise candidate, Neu, en vue de la passation du marché de maintenance et de transformation des installations de gestion technique des bâtiments de Lille métropole communauté urbaine".Les échanges entre les deux entreprises "portaient sur des éléments significatifs du marché", selon le communiqué, citant "le prix des équipements et matériels les plus importants et le contenu de l'offre technique".L'Autorité estime que le dépôt de deux offres séparées, "en apparence indépendantes, a conduit à tromper le maître d'ouvrage sur l'intensité de la concurrence qui s'est exercée entre les candidates", pour ces appels d'offres lancés en 2013 et 2014.La décision a été rendue à la suite d'"un refus de transaction de la part de la société Santerne" ayant entraîné la saisine de l'Autorité de la concurrence, précise le communiqué.
Il y a 4 ans et 59 jours

Moselle : cinq entreprises s’implanteront à Folschviller

Cinq nouvelles entreprises emménageront dans le parc industriel du Furst, à Folschviller.
Il y a 4 ans et 59 jours

Soupçons de fraude : l'Etat va renforcer le coup de pouce "rénovation globale"

ARRÊTÉ. Après avoir été interpellé par plusieurs acteurs du secteur au sujet de possibles fraudes sur l'offre coup de pouce "rénovation globale", le ministère de la Transition écologique, contacté par Batiactu, explique comment il compte retoucher le dispositif pour le sécuriser.
Il y a 4 ans et 59 jours

Plaque de Plâtre : Saint-Gobain améliore son outil de production en Espagne

INVESTISSEMENT. Saint-Gobain va réaliser une nouvelle ligne de production de plaques de plâtre dans son usine de Quinto, près de Saragosse, en Espagne.
Il y a 4 ans et 59 jours

Décès de l'architecte Henri Gaudin

DISPARITION. L'architecte Henri Gaudin est décédé dans la nuit de jeudi à vendredi à l'âge de 87 ans, a annoncé son entourage à l'AFP. Parmi ses oeuvres, le stade Charléty (avec son fils Bruno), l'extension-restructuration du Musée Guimet à Paris, ou encore, l'école normale supérieure de Lyon et la Cité de la musique et de la danse de Strasbourg.
Il y a 4 ans et 59 jours

Les Géomètres-Experts plaident pour un projet de loi climat et résilience qui préserve un développement équilibré des territoires

En tant que garants du cadre de vie durable, les géomètres-experts sont mobilisés depuis plusieurs années pour accompagner l'État dans la politique de sobriété foncière et de réduction de l'artificialisation des sols qu'il a engagée.En janvier 2020, déjà, l'OGE avait été invité à intégrer le groupe de travail interministériel Zéro Artificialisation Nette et Friches après avoir publié un manifeste et formulé 10 propositions allant vers la protection des sols agricoles et naturels, dans une démarche tenant compte des spécificités de chaque territoire. C'est pourquoi aujourd'hui la profession salue pleinement les ambitions affichées par la Convention Citoyenne pour le Climat et portées par le Gouvernement à travers le projet de loi Climat et Résilience et son volet « Se loger ».Les géomètres-experts souhaitent cependant alerter le Gouvernement sur plusieurs mesures dont la rédaction est aujourd'hui susceptible de provoquer des effets contraires aux résultats escomptés.Une méthode d'analyse de l'artificialisation des sols inéquitable et lacunaireEn déterminant les objectifs de réduction de l'artificialisation des sols par rapport aux projets de construction conduits sur les dix dernières années, le Gouvernement pourrait voir s'accentuer la désertification dans certaines régions. Cette méthode conduirait les villes et villages qui ont fait le choix de contraindre l'artificialisation de leurs sols par le passé à ne plus avoir la possibilité de construire de nouveaux logements, de rouvrir des écoles, des commerces ou des services.A l'inverse, les territoires ayant sur-consommé leurs espaces naturels et agricoles se verraient « récompenser » avec l'octroi d'un droit supplémentaire à artificialiser, au détriment donc des territoires économes. Les grandes aires urbaines poursuivraient leur étalement, avec le risque croissant de destruction des corridors écologiques et des réservoirs de biodiversité qui les séparent encore aujourd'hui.Une définition de la notion d'artificialisation à préciserEnsuite, la notion d'artificialisation doit encore être clairement définie. Actuellement fondée sur une vision macro-spatiale, il est essentiel que cette définition, et les mesures associées pour observer les évolutions à venir, prennent en compte l'ensemble des terrains réellement artificialisés (non compris les jardins, parcs, etc…).La profession alerte également quant au glissement de la notion d' « artificialisation nette des sols » vers celle d' « artificialisation » : loin de sanctuariser des sols (naturels, forestiers, agricoles…), la sémantique d'artificialisation nette introduit un juste équilibre entre l'artificialisation de certains sols et la renaturation d'espaces artificialisés, dans l'intérêt des villes et de leurs habitants. Un système de compensation à l'échelle du territoire observé doit pouvoir être ainsi mis en place.Les propositions de l'OGE pour concilier rééquilibre des territoires et préservation de la natureActeurs majeurs de l'aménagement des territoires métropolitains et ultramarins, les géomètres-experts occupent un poste d'observation privilégié qui leur apporte une connaissance fine des enjeux locaux. C'est la raison pour laquelle l'OGE porte aujourd'hui quatre amendements dans le cadre du projet de loi Climat et Résilience :Le premier vise, animé d'une volonté de cohérence, à circonscrire la territorialisation de ces dispositions au périmètre de la loi SRU (communes dont la population est au moins égale à 3 500 habitants et qui sont comprises, au sens du recensement de la population, dans une agglomération de plus de 50 000 habitants comprenant au moins une commune de plus de 15 000 habitants).Le deuxième propose d'instaurer un moratoire de 10 ans pour les territoires vertueux, c'est-à-dire les communes dont le rythme d'artificialisation sur les dix dernières années est inférieur de 50% au rythme d'artificialisation moyen observé dans l'intercommunalité, et à défaut à l'échelle du SCOT, sur la période de référence. Au terme de ce moratoire, un bilan des résultats sera établi et les outils de poursuite de l'effort de sobriété foncière seront réinterrogés et ajustés afin de récompenser ces territoires.Le troisième défend une nécessaire contextualisation des objectifs de réduction de l'artificialisation par la voie d'une étude de densification, afin de tenir compte des besoins et des enjeux auxquels sont confrontés les territoires ruraux. Conjuguée aux différents dispositifs mis en place par le Gouvernement pour endiguer le phénomène de désertification qui frappe certaines régions (Actions Cœur de Ville, Petites Villes de Demain…), cette approche ciblée permettra d'accompagner ces territoires dans leurs projets de développement.Enfin, l'Ordre des géomètres-experts milite pour que les communes ne soient pas systématiquement obligées d'urbaniser leurs friches disponibles alors que celles-ci pourraient accueillir des espaces verts et naturels. Le Gouvernement doit faire de la dédensification des espaces urbains un enjeu majeur de ses politiques d'aménagement : il en va de leur résilience.
Il y a 4 ans et 59 jours

L'Ordre des Géomètres-Experts plaide pour que le projet de loi climat et résilience préserve un développement équilibré des territoires

En tant que garants du cadre de vie durable, les géomètres-experts sont mobilisés depuis plusieurs années pour accompagner l'État dans la politique de sobriété foncière et de réduction de l'artificialisation des sols qu'il a engagée.En janvier 2020, déjà, l'OGE avait été invité à intégrer le groupe de travail interministériel Zéro Artificialisation Nette et Friches après avoir publié un manifeste et formulé 10 propositions allant vers la protection des sols agricoles et naturels, dans une démarche tenant compte des spécificités de chaque territoire. C'est pourquoi aujourd'hui la profession salue pleinement les ambitions affichées par la Convention Citoyenne pour le Climat et portées par le Gouvernement à travers le projet de loi Climat et Résilience et son volet « Se loger ».Les géomètres-experts souhaitent cependant alerter le Gouvernement sur plusieurs mesures dont la rédaction est aujourd'hui susceptible de provoquer des effets contraires aux résultats escomptés.Une méthode d'analyse de l'artificialisation des sols inéquitable et lacunaireEn déterminant les objectifs de réduction de l'artificialisation des sols par rapport aux projets de construction conduits sur les dix dernières années, le Gouvernement pourrait voir s'accentuer la désertification dans certaines régions. Cette méthode conduirait les villes et villages qui ont fait le choix de contraindre l'artificialisation de leurs sols par le passé à ne plus avoir la possibilité de construire de nouveaux logements, de rouvrir des écoles, des commerces ou des services.A l'inverse, les territoires ayant sur-consommé leurs espaces naturels et agricoles se verraient « récompenser » avec l'octroi d'un droit supplémentaire à artificialiser, au détriment donc des territoires économes. Les grandes aires urbaines poursuivraient leur étalement, avec le risque croissant de destruction des corridors écologiques et des réservoirs de biodiversité qui les séparent encore aujourd'hui.Une définition de la notion d'artificialisation à préciserEnsuite, la notion d'artificialisation doit encore être clairement définie. Actuellement fondée sur une vision macro-spatiale, il est essentiel que cette définition, et les mesures associées pour observer les évolutions à venir, prennent en compte l'ensemble des terrains réellement artificialisés (non compris les jardins, parcs, etc…).La profession alerte également quant au glissement de la notion d' « artificialisation nette des sols » vers celle d' « artificialisation » : loin de sanctuariser des sols (naturels, forestiers, agricoles…), la sémantique d'artificialisation nette introduit un juste équilibre entre l'artificialisation de certains sols et la renaturation d'espaces artificialisés, dans l'intérêt des villes et de leurs habitants. Un système de compensation à l'échelle du territoire observé doit pouvoir être ainsi mis en place.Les propositions de l'OGE pour concilier rééquilibre des territoires et préservation de la natureActeurs majeurs de l'aménagement des territoires métropolitains et ultramarins, les géomètres-experts occupent un poste d'observation privilégié qui leur apporte une connaissance fine des enjeux locaux. C'est la raison pour laquelle l'OGE porte aujourd'hui quatre amendements dans le cadre du projet de loi Climat et Résilience :Le premier vise, animé d'une volonté de cohérence, à circonscrire la territorialisation de ces dispositions au périmètre de la loi SRU (communes dont la population est au moins égale à 3 500 habitants et qui sont comprises, au sens du recensement de la population, dans une agglomération de plus de 50 000 habitants comprenant au moins une commune de plus de 15 000 habitants).Le deuxième propose d'instaurer un moratoire de 10 ans pour les territoires vertueux, c'est-à-dire les communes dont le rythme d'artificialisation sur les dix dernières années est inférieur de 50% au rythme d'artificialisation moyen observé dans l'intercommunalité, et à défaut à l'échelle du SCOT, sur la période de référence. Au terme de ce moratoire, un bilan des résultats sera établi et les outils de poursuite de l'effort de sobriété foncière seront réinterrogés et ajustés afin de récompenser ces territoires.Le troisième défend une nécessaire contextualisation des objectifs de réduction de l'artificialisation par la voie d'une étude de densification, afin de tenir compte des besoins et des enjeux auxquels sont confrontés les territoires ruraux. Conjuguée aux différents dispositifs mis en place par le Gouvernement pour endiguer le phénomène de désertification qui frappe certaines régions (Actions Cœur de Ville, Petites Villes de Demain…), cette approche ciblée permettra d'accompagner ces territoires dans leurs projets de développement.Enfin, l'Ordre des géomètres-experts milite pour que les communes ne soient pas systématiquement obligées d'urbaniser leurs friches disponibles alors que celles-ci pourraient accueillir des espaces verts et naturels. Le Gouvernement doit faire de la dédensification des espaces urbains un enjeu majeur de ses politiques d'aménagement : il en va de leur résilience.
GDA
Il y a 4 ans et 59 jours

A Lyon, Atrium Gerland, par SOHO ATLAS IN FINE

L’agence SOHO ATLAS IN FINE a réalisé à Lyon (Rhône), pour DCB INTERNATIONAL maître d’ouvrage, l’Atrium Gerland, le siège de la direction régionale Pôle Emploi. Un voile de Métal Déployé rythme les façades et assure protection solaire et intimité. La Direction Régionale de Pôle Emploi occupe ce bâtiment de 8 500 M² particulièrement bien adapté […] L’article A Lyon, Atrium Gerland, par SOHO ATLAS IN FINE est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 59 jours

Au pied du mont Fuji, la "ville tissée" de Toyota

Conçue par le danois Bjarke Ingels, cette ville futuriste, neutre en carbone, sera alimentée grâce à l'énergie solaire, la géothermie et la technologie des piles à hydrogène.
Il y a 4 ans et 59 jours

A Paris, l’Ancienne-Comédie rénovée par Raf Listowski, ce n’est pas du théâtre

Raf Listowski Atelier d’architecture a livré en février 2021 la réhabilitation et transformation d’un bâtiment historique en quatre logements et deux bureaux au 14 rue de l’Ancienne-Comédie à Paris (VIe). Sur une surface totale de 1200m² (442 m² de bureaux ; 760 m² de logements), pour un montant des travaux de 3,45 M €, un nouveau […] L’article A Paris, l’Ancienne-Comédie rénovée par Raf Listowski, ce n’est pas du théâtre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 59 jours

Quelles sont les exigences d’une isolation par l’extérieur ?

Depuis plusieurs années, l’isolation thermique constitue un élément important dans la lutte contre le réchauffement climatique et la réduction des factures énergétiques. De ce fait, il existe un grand nombre de procédés, notamment l’isolation par l’extérieur (ITE) qui devient la grande tendance depuis une décennie. Cependant, pour les professionnels qui réalisent ses travaux, ces derniers doivent être faits dans les règles de l’art en respectant certaines exigences établies par la réglementation. Un procédé d’évaluation Avant toute chose, il faut s’assurer que la technique utilisée relève d’un procédé courant. Plus précisément, elle doit disposer d’une norme NF DTU ou obéir aux règles professionnelles de la Commission Prévention Produits (C2P). À défaut, le système installé doit faire l’objet d’une procédure d’évaluation du type Avis technique (Atec) ou Agrément Technique Européen avec approbation de la C2P. Il faut s’assurer que le procédé choisi convient au travail à réaliser. Vous pouvez par exemple utiliser le polyuréthane comme isolant lors de travaux de rénovation d’une maison. Résistante et fine, cette matière répond parfaitement à la réglementation. Aussi, vous devez requérir du fournisseur de l’ITE un rapport écrit relatif à l’analyse et à la confirmation du support, du type d’isolant et de finition. La gestion des interfaces Si l’isolant thermique doit être posé sur une construction neuve, celui-ci sera réalisé en prenant en compte les interfaces et les éléments concernés par la façade. Si par exemple vous travaillez sur un support en béton, vous devez opérer dans le respect des normes NF DTU relatives à la planéité. Pour cela, vous devez bien vérifier les caractéristiques préconisées dans le cahier de charge avant de vous lancer dans votre tâche. Selon le type du support, il est important de veiller à l’épaisseur de l’isolant pour ne pas causer des problèmes d’étanchéité ou d’aération. Pour une exécution sans difficulté, vous pouvez exploiter le guide de conception de bâtiments neufs isolés par une ITE. La rénovation d’enduits sur un isolant Les travaux de rénovation sur une isolation thermique extérieure avec enduit sur isolant sont encore plus délicats. Pour cette catégorie d’opérations, vous pouvez vous référer aux règles professionnelles « ETICS » pour l’entretien et la réfection des systèmes ITE. En général, vous devez avant toute chose établir un diagnostic de l’ancienne installation. Cette étape vous permettra de mieux définir les tâches à réaliser et leur ampleur. Si vous avez besoin d’aide, vous pouvez consulter un blog pour conseils sur les travaux et le bricolage. Gardez à l’esprit que vous devez toujours respecter les normes relatives au procédé utilisé et à son installation.
Il y a 4 ans et 59 jours

En 2020, les acteurs du logement neuf ont maintenu le cap de la qualité environnementale

Focus sur les principaux chiffres de la certification NF Habitat - NF Habitat HQE et labels associés en 2020, avec CERQUAL Qualitel Certification, organisme certificateur de l'Association QUALITEL.NF Habitat - NF Habitat HQE & labels associés : ce que l'on peut retenir pour 2020En 2020, plus de 141.000 logements ont été engagés en certification NF Habitat - NF Habitat HQE, en construction et en rénovation. Sur ce volume global, l'activité de certification a été particulièrement soutenue pour le collectif, sur le segment du neuf.En effet, si les demandes de certification pour le logement collectif en rénovation restent globalement stables par rapport à 2019, en construction, elles sont en progression de 10%. Une tendance qui confirme l'engagement des acteurs du collectif neuf en faveur de la qualité, a fortiori d'un habitat durable :Avec 47.890 logements, NF Habitat progresse de 5% en 20201 ;NF Habitat HQE progresse quant à elle de 14%, avec 61.891 logements[1].Côté labels, associés à la certification NF Habitat - NF Habitat HQE, cela se vérifie également, avec notamment :Label E+C- : 17.947 logements neufs (10.401 en 2019) ;Label BBCA : 3.200 logements (672 en 2019) ;Label Bâtiment Biosourcé : 3.230 logements (2.228 en 2019).Un grand nombre d'acteurs de l'habitat collectif neuf ont ainsi maintenu le cap de la qualité certifiée, et notamment la qualité environnementale et la construction bas carbone, malgré une conjoncture extrêmement complexe en 2020. « Cela montre, et c'est une bonne nouvelle, que pour cette typologie de logement, la qualité certifiée, en lien avec les enjeux environnementaux et énergétiques de l'habitat, reste un repère essentiel. C'est un bon signal, une dynamique qu'il faut maintenir dans la perspective de la future RE 2020. Dans ce cadre, je ne doute pas que les acteurs de la maison individuelle prendront le même chemin. »Antoine Desbarrières, Président de CERQUAL« Ces résultats en hausse, malgré un climat anxiogène, démontrent une nouvelle fois la volonté, portée haut par les professionnels du logement collectif, d'apporter des réponses à la hauteur des aspirations, en faveur d'une meilleure qualité de vie en milieu urbain et d'une performance environnementale accrue. »Marjolaine Meynier-Millefert, Présidente de l'Alliance HQE-GBC et députée de la 10ème circonscription de l'IsèreNF Habitat - NF Habitat HQE : détail des chiffres 2020Côté certificationCôté labelsEn 2020, en association avec la certification NF Habitat - NF Habitat HQE, les demandes de labels de performance environnementale et énergétique ont concerné plus de 107 000 logements (+11% v/s 2019) :89.277 en construction (E+C-, BBCA, Bâtiment Biosourcé, RT 2012 -10% et -20%...) ;18.145 en rénovation (BBCA, BBC Effinergie Rénovation, HPE Rénovation...).[1] Demandes de certification
Il y a 4 ans et 59 jours

Logements anciens à Paris: hausse des prix de 5,4% au 4e trimestre 2020

Les prix de l'immobilier ancien à Paris ont grimpé de 5,4% au dernier trimestre 2020 avec une moyenne de 10.770 € le m2 contre 10.220 € au 4e trimestre 2019,
Il y a 4 ans et 59 jours

Gaz: les tarifs réglementés augmentent de 5,7% en moyenne en mars

Les tarifs réglementés du gaz appliqués par Engie vont augmenter de 5,7% en moyenne au 1er mars.
Il y a 4 ans et 59 jours

Un nouvel éclairage signé Trilux pour le site de stockage Yves Rocher de la Villouët en Bretagne

L’objectif était de réduire la consommation d’énergie et de favoriser le bien-être des salariés. Grâce à sa large gamme de solutions et un accompagnement personnalisé, TRILUX a su apporter la réponse adaptée au cahier des charges du site. L’enseigne a opté pour 2 références TRILUX, dont Mirona Fit LED, combinées au système de gestion d’éclairage LiveLink. Pleins feux sur le projet.Une rénovation complète pour le site de stockageC’est à La Gacilly, berceau historique d’Yves Rocher, que TRILUX a entièrement rénovél’éclairage du site de stockage de la Villouët. D’une surface de 33 000 m2, le bâtimentbénéficiait d’un éclairage vieillissant et énergivore. L’objectif était de disposer d’une installation moderne économe en énergie, tout en favorisant le confort visuel et le bien-être des opérateurs.Offrant une faible consommation d’énergie pour un éclairage puissant et de haute qualité,l’armature industrielle Mirona Fit LED et la ligne lumineuse E-Line LED ont été sélectionnéespour équiper le bâtiment. Avec un efficacité énergétique élevée, une longue durée de vie, une garantie de 5 ans ainsi qu’une fabrication en Europe, les solutions TRILUX répondentparfaitement aux objectifs fixés par les équipes d’Yves Rocher.« La rénovation du site s’est faite en 3 temps. Nous avons souhaité commencer par l’une de nos tours de stockage. Un espace bénéficiant d’une lumière naturelle, mais manquant de lumière dans l’allée principale, où le personnel intervient régulièrement. Satisfaits des économies d’énergie réalisés et de la qualité de l’éclairage, nous avons décidé d’équiper un second espace l’année suivante, puis l’intégralité du site de stockage », développe Stéphane Coyac, Responsable Technique Distribution du Groupe Yves Rocher.551 armatures Mirona Fit LED ont ainsi été installées sur le site et 216 E-Line LED entre lesracks de stockage.TRILUX, un partenaire à l’écoute de chaque exigence« Nous faisons confiance à TRILUX depuis près de 8 ans, particulièrement grâce à la qualité des produits et services proposés. Pour ce projet, nous souhaitions des luminaires le plus adaptés à chacune de nos activités, avec une certaine garantie en termes de durée de vie », raconte Stéphane Coyac.Afin de répondre à la demande d’Yves Rocher, Mirona Fit LED était la solution d’éclairageidéale pour ce site de stockage. Ce luminaire facilite la mise en œuvre de projets importantset convient à de nombreuses applications d’éclairage industriel grâce à la grande diversité de ses versions et de nombreux atouts.De plus, avec une durée de vie supérieure à 50 000 heures (L85 à 50 °C), l’armature MironaFit LED répondait au critère de longévité fixé par Yves Rocher. Un produit à la fois extrêmement durable et fiable, nécessitant peu d’entretien.Passer à la technologie LED lors d’une rénovationLa rénovation avec des luminaires LED TRILUX offre de nombreux avantages par rapport aux installations d’éclairage conventionnelles. Ils assurent notamment un confort visuel et une qualité d’éclairage élevés pour les utilisateurs.« Nous sommes très satisfaits du résultat. Il était facile de combler notre premier besoin, qui était de bénéficier d’un niveau d’éclairement suffisant, mais nous aurions pu avoir un inconfort, de l’éblouissement ou une mauvaise couleur. Or, le niveau de confort est parfait », ajoute Stéphane Coyac.D’un point de vue durable et financier, la technologie LED permet de réaliser de nombreuseséconomies grâce à une efficacité énergétique élevée, une réduction de la consommationd’énergie et à l’allongement des intervalles de maintenance.« Depuis la rénovation, nous avons diminué notre consommation, liée à l’éclairage, de 53 %. Le nombre adéquat de luminaires a été installé (pas de sur-éclairage ni de sous éclairage), offrant un excellent ratio entre le niveau d’éclairement et la consommation », précise Stéphane Coyac.Parmi les points forts de Mirona Fit LED, on note une excellente efficacité énergétique pouvant atteindre 150 lm/W, couplée à une qualité d’éclairage élevée grâce à des flux lumineux de 13 000 lm, 26 000 lm et 52 000 lm, permettant de diminuer le nombre de points lumineux d’une installation.Cette efficacité énergétique réduit nettement les coûts d’exploitation par rapport à une solution d’éclairage conventionnelle, entraînant un amortissement rapide de l’investissement.« Nous souhaitons passer ce site de stockage en bas carbone pour avoir une neutralité carbone d’ici l’an prochain. Passer à l’éclairage LED, grâce à TRILUX, faisait sens », souligne Stéphane Coyac.Gestion d’éclairage LiveLink, bien-être des opérateurs et économies d’énergieEn adaptant l’éclairage en fonction des besoins, le système de gestion d’éclairage intelligentLiveLink de TRILUX contribue à réduire davantage les coûts d’exploitation de l’éclairage et àaméliorer le confort visuel.3 scénarios ont été programmés via le système LiveLink afin de s’adapter aux différents usages de l’espace : une intensité lumineuse de 200 lux lors de l’activité des opérateurs ; un flux réduit à 100 lux pendant les pauses et enfin un niveau d’éclairage minimum, le soir lors des opérations de nettoyage.« Aujourd’hui nous avons des luminaires avec une technologie qui offre des résultatsintéressants en termes d’économie d’énergie lorsque nous réduisons le niveau d’éclairement, ce qui n’était pas possible avec nos anciennes installations », développe Stéphane Coyac.Pour aller plus loin, la gestion de l’éclairage automatique se fait aussi en fonction de l’apportde lumière extérieure, grâce à l’intégration de capteurs de lumière du jour.La première tour de stockage est également équipée de capteurs qui déclenchent l’éclairageuniquement en présence des équipes et lorsque les chariots-élévateurs entrent dans les allées (éclairage "suiveur-accompagnant"). « C’est sur ce bâtiment que nous avons le plus gagné en termes d’économie d’énergie. La tour mesure 15 mètres de haut, ce qui implique un éclairage puissant. Notre ancien éclairage était en marche de façon continue pendant les heures d’activité, de 5h du matin à minuit », complète Stéphane Coyac.
Il y a 4 ans et 60 jours

Requalification du passage Carnot à Pau : livraison en 2022

Le passage Carnot à Pau fait actuellement l’objet de travaux de requalification.
Il y a 4 ans et 60 jours

Saint-Tropez : une nouvelle maison médicale attendue fin 2021

Un nouveau centre de santé est en travaux à Saint-Tropez. Il devrait être opérationnel vers la fin de l’année 2021.
Il y a 4 ans et 60 jours

Sélestat : lancement d’une consultation publique avant la réouverture du Vieux Chemin

La Ville de Sélestat lance une consultation publique en vue de la réouverture de la circulation sur le Vieux Chemin, entre Châtenois et Sélestat.
Il y a 4 ans et 60 jours

Prix Paris Shop & Design – Appel à candidatures 2021

Vous avez créé ou rénové un point de vente à Paris ? Candidatez pour le prix Paris Shop & Design et développez votre notoriété ! Jusqu’au 31 mai 2021. La Chambre de commerce et d’industrie de Paris (CCI) lance la 7ème édition du prix Paris Shop & Design qui récompense les initiatives les plus innovantes […] L’article Prix Paris Shop & Design – Appel à candidatures 2021 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 60 jours

Dans un contrat, les sanctions légales sont toujours possibles

La Cour de cassation rappelle en effet que "le droit commun des contrats", c'est-à-dire la loi, dans le code civil, demeure applicable.L'acquéreur d'un immeuble en construction se plaignait de retards et soutenait que le promoteur en était responsable. Il lui demandait des indemnités après avoir, de son côté, suspendu ses paiements comme le permet la loi. Celle-ci permet de suspendre l'exécution de son obligation tant que l'autre n'exécute pas la sienne. La loi permet aussi à celui qui reproche à l'autre de ne pas exécuter son engagement de demander "la résolution" du contrat, c'est-à-dire son abandon avec restitution de ce qui a été versé de part et d'autre.Mais le promoteur refusait de verser les indemnités demandées car il faisait valoir que les seules sanctions applicables étaient celles prévues à l'avance, au moment de la conclusion du contrat. Et la seule sanction prévue était le paiement de pénalités de retard.La justice lui a donné tort. Un débiteur peut toujours refuser ou suspendre sa propre exécution lorsque son cocontractant n'a pas fourni la prestation qu'il avait promise et qu'il devait réaliser préalablement.Pour la Cour de cassation, les sanctions classiques prévues par la loi sont toujours applicables, même si des sanctions particulières ont été prévues par le contrat. En prévoyant des dédommagements particuliers, on ne renonce pas aux possibilités de réclamations offertes par la loi.(Cass. Civ 3, 14.2.2019, V 17-31.665).
Il y a 4 ans et 60 jours

Le tunnel de la ligne 14 sud est terminé

Le 3 mars, le tunnelier Allison a percé le tympan sud de la future station Maison-Blanche, à Paris, dans le XIIIe arrondissement. Son arrivée marque la fin du creusement des 14,2 kilomètres de tunnel du prolongement vers l’aéroport d’Orly.
Il y a 4 ans et 60 jours

L’entrepôt devenu bureaux

Autrefois entrepôt de stockage d’un antiquaire, le 5 rue de Téhéran (Paris 8e) abrite aujourd’hui... Cet article L’entrepôt devenu bureaux est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 60 jours

Sothoferm a maintenu le cap en 2020

Malgré un arrêt de la production de plus d’un mois, le numéro un du volet battant en France a clôturé son exercice 2020 avec une hausse de son chiffre d’affaires de près de 4 %.
Il y a 4 ans et 60 jours

L'UNICEM demande à son tour l'annulation de la suppression du GNR

L'UNICEM alerte une nouvelle fois sur les conséquences pour la profession de la suppression du tarif réduit de taxe intérieure sur la consommation des produits énergétiques (TICPE) sur le gazole non routier (GNR).Acteurs engagés et reconnus pour leurs actions en faveur de la préservation de la biodiversité, de l'approvisionnement en circuit court des chantiers de construction et de la réduction de l'empreinte carbone, les adhérents de l'UNICEM ont conscience que l'interdiction au 1er juillet prochain du GNR est destinée à encourager les industries à « verdir » la motorisation des engins de chantiers. Or, cette évolution reste encore marginale, voire impossible à mettre en œuvre. En effet, les solutions « vertes », censées favoriser l'évolution des usages au sein du secteur, n'existent tout simplement pas à l'heure actuelle : cette offre est inexistante dans les catalogues des principaux fabricants internationaux.En conséquence, ce changement de règlementation se traduira à court terme par une augmentation de leurs coûts sans réel moyen d'y échapper.Le maintien de la décision viendrait s'ajouter aux incertitudes liées à la RE2020Pour les industries de carrières et matériaux de construction, composées à 90 % de PME et TPE, l'augmentation du prix du carburant sera extrêmement lourde à supporter financièrement après une année 2020 marquée par des épisodes répétés de confinement et la mise en place de protocoles liés aux contraintes sanitaires. Le secteur des matériaux a été ainsi très lourdement impacté au premier semestre 2020 (-17 % d'activité). Même s'il s'est ressaisi au second, rattrapant une partie du retard accumulé, il n'a toutefois pas pu combler le plongeon enregistré sur la première moitié de l'année. La production de granulats 2020 a baissé de près de 7 % par rapport à 2019. Celle du béton prêt à l'emploi chutant pour sa part de plus de 9 %.Les prévisions pour 2021 ne traduisent pas un rattrapage d'activité. Le rebond serait quasi nul et les niveaux d'activité resteraient identiques à ceux de 2020, bien inférieurs à ceux de 2019 : des signaux inquiétants pour les professionnels de la filière. Pour les deux principaux marchés des industries de carrières et de matériaux de construction que sont les travaux publics et le bâtiment, les perspectives pour 2021 suggèrent elles aussi des niveaux d'activité qui, en dépit d'un certain rebond, resteront bien en dessous de ceux de 2019.Dans les travaux publics, les carnets de commandes tardent à se remplir, notamment côté clientèle publique, et les appels d'offres affichent des baisses de -25 %. Quant au bâtiment, les permis enregistraient encore en janvier des chutes de -16 % pour les logements (en cumul sur les douze derniers mois) et de -19 % pour les locaux d'activité.Dans le contexte des crises sanitaire et économique, les entreprises adhérentes de l'UNICEM ont tout mis en œuvre pour préserver les emplois au cœur des territoires et maintenir leur outil industriel en fonctionnement pour avoir la capacité de répondre à la demande de leurs clients du BTP et soutenir les efforts du gouvernement en faveur du maintien d'un certain niveau d'activité. Elles ne comprendraient pas le maintien en l'état de la décision de supprimer le GNR, qui viendrait s'ajouter aux incertitudes liées à l'entrée en vigueur dans les prochains mois de la norme RE2020 : des perspectives à même d'assombrir fortement l'avenir de nombreux acteurs du secteur.Aussi l'UNICEM demande au Gouvernement de faire preuve de bon sens afin de soutenir les entreprises de la filière en maintenant l'utilisation du Gazole Non Routier.
Il y a 4 ans et 60 jours

Parité dans l'architecture: les hommes n'ont pas conscience des inégalités

Alors que les femmes architectes représentent aujourd’hui 30,7% des professionnels inscrits à l’Ordre (contre 16,6% en 2001) la dernière édition d’Archigraphie consacre un chapitre à part entière à l’analyse de leur place au sein de la profession. Il s’appuie sur une enquête réalisée […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 60 jours

Artistes et architectes femmes, candidatez à l'appel à projets du Frac Centre

Le Frac Centre-Val de Loire met en place une bourse d'aide à la création à destination des artistes et architectes femmes de la région Centre-Val de Loire. Les candidatures sont ouvertes jusqu'au 25 mars 2021. Dans le cadre de ses missions de sensibilisation, de valorisation et de diffusion, le Frac Centre Val de Loire souhaite davantage promouvoir la […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 60 jours

Segat se réoriente

Foncier -
Il y a 4 ans et 60 jours

Femat : du négoce à l'accompagnement des chantiers

Rénovation énergétique -
Il y a 4 ans et 60 jours

Utiliser l’impression en 3d de manière utile

L’usage de l’impression 3d est devenu populaire dans le monde professionnel, notamment dans le secteur médical et industriel. Cette nouvelle technologie a permis des avancées majeures dans plusieurs secteurs d’activités. Grâce à elle, les sociétés ont un gain de temps favorable dans le processus de développement. Découvrez ci-dessous comment utiliser cette révolution d’une manière utile et nécessaire. Comment fonctionne l’impression 3D ? Tout commence par un modèle numérique 3D créé par un logiciel. Ce modèle conçu est ensuite découpé en plusieurs couches pour que l’imprimante 3D puisse le lire convenablement. Le matériau utilisé par l’imprimante 3D est superposé couche par couche selon le modèle 3D et le processus de fabrication. Bien évidemment, les procédés de fabrication 3D utilisent différents types de matériaux comme : plastique, métaux, céramique, sable, biomatériaux, aliments, matières organiques, etc. Cependant les imprimantes d’entrée de gamme ne peuvent pas utiliser l’ensemble de ces matériaux. Chacune de ces machines traite les matériaux de différentes manières. C’est un point important à ne pas oublier et qui est malheureusement l’une des limites de cette révolution. Les procédés d’impression courants •   La stéréolithographie ou SLA C’est l’un des premiers procédés de l’impression 3D à avoir été mise en pratique. Elle a été créée par l’américain Charles Hull, fondateur de 3D Systems. Ce processus se base sur la création d’un modèle numérique pour la fabrication d’un prototypage. Il utilise un liquide photosensible (résine photopolymère) maintenu dans la cuve qui réagit avec le rayon laser ultraviolet et se durcit petit à petit pour former une forme précise. Généralement, ce type d’imprimante comporte quatre parties principales : le réservoir q, la plateforme perforée, le rayonnement UV et l’ordinateur qui commande la plateforme ainsi que le laser. Ce premier procédé est toujours mis en œuvre puisqu’il offre des finitions bien précises et abouties. D’ailleurs, si vous cherchez une impression 3d à Paris, optez pour cette solution. •   Le traitement numérique de la lumière ou DLP Ce traitement est similaire à la stéréolithographie, car il fonctionne avec des photopolymères. L’unique différence est la source de lumière. Cette seconde technique utilise effectivement des lampes à arc avec un panneau à cristaux liquides ou un dispositif à miroir déformable. Ces accessoires sont ensuite appliqués sur la surface de la cuve. Bien entendu, le temps de fabrication s’avère être plus rapide par rapport à la précédente. •   Le frittage laser ou fusion au laser ou SLS Il s’agit d’un processus d’impression par laser. Le faisceau laser ultra puissant va entrer en fusion une poudre compacte (le polyamide) positionnée sur la plateforme mobile. Ce matériau va être balayé par les faisceaux laser à des points bien précis définis par le fichier STL communiqué par l’ordinateur ou l’imprimante 3D. Au final, les particules vont se solidifier et former un prototype. L’avantage de cette technique est que vous aurez la possibilité d’employer la poudre comme support afin de créer des pièces plus ou moins complexes. La matière première est généralement de couleur blanche et va donner une surface poreuse. Vous pouvez la repeindre si vous désirez lui donner de la couleur. La céramique ainsi que la poudre de verre peuvent aussi être utilisés sans problème lors de la découpe au laser en ligne. •   La 3DP ou Three-Dimensional Printing La 3DP constitue la base du processus d’impression 3D de Z Corporation. Le principe est simple, il étale une fine couche de poudre de composite sur une plateforme. Ensuite, la tête d’impression va déposer de fine gouttes de glu colorées qui vont combiner entre elles pour obtenir un panel de couler. La plateforme s’abaisse lentement jusqu’à ce que les couches de poudre se collent et obtiennent l’objet final. Pour avoir une finition impeccable, il suffit de brosser ou de poncer l’excédent de poudre sur la pièce et de la chauffer pour achever la solidification. Comme vous pouvez le constater, la 3DP est une méthode très rapide et propose une grande variété de couleurs. Malgré le fait qu’elle manque un peu de précision et de qualité d’impression, son prix est 6 fois moins cher que l’imprimante 3D SLA. •   Fused Deposition Modeling ou FDM/FFF/MPD C’est une méthode très courante pour les impressions 3D. La majorité des imprimantes 3D personnelles suivent ce principe. Elle fait fondre le filament de matière thermoplastique à 200 °C par le biais d’une extrudeuse et dépose une par une les couches de plastique sur une plateforme. Le plastique chauffé se durcit afin de former l’objet imaginé par l’imprimante. La tête d’impression se déplace en fonction des coordonnées transmises par le fichier 3D correspondant au modèle 3D de l’objet à imprimer. Grâce à l’évolution, cette imprimante ne se limite plus à du plastique. Elle peut supporter les filaments composites à base de métal, de fibres de carbone et de bois. À part la société Stratasys qui l’a inventé, la fabrication par dépôt de fil fondu est aussi adoptée dans la médecine, les aliments agroalimentaires.
Il y a 4 ans et 60 jours

Aborder la vente du stade Vélodrome à l'OM serait "trop prématuré", selon la mairie de Marseille

"Il n'y aura pas de vente tant que la situation du club ne sera pas stabilisée", a insisté la municipalité, en commentant la rencontre entre le maire, Benoît Payan, et Frank McCourt, lundi."L'ambition du maire de Marseille Benoît Payan reste de vendre le stade au club", a toutefois confirmé la ville: "Mais laissons les choses se calmer et attendons de voir les ambitions de M. McCourt"."M. McCourt a dit qu'il reviendrait prochainement, le sujet pourra alors être abordé concrètement", a précisé la mairie."Mais il faut d'abord laisser la situation du club revenir dans l'ordre", insiste-t-on à l'hôtel de ville, en référence aux bouleversements récents au sein de l'OM, avec le limogeage du président Jacques-Henri Eyraud, son remplacement par l'Espagnol Pablo Longoria, ex-directeur sportif, et l'arrivée d'un nouvel entraîneur avec l'Argentin Jorge Sampaoli.La mairie avait déjà précisé que l'échange de lundi entre M. Payan et MM. McCourt et Longoria, à la mairie, avait été "cordial et constructif". Le maire de Marseille avait "de nouveau demandé à M. McCourt d'apaiser la situation" née notamment des très mauvaises relations entre M. Eyraud et les supporters, sur fond de résultats en berne.Le 4 février, lors d'un échange sur Facebook avec des internautes, M. Payan avait rappelé son intention de vendre le Vélodrome, "une gabegie financière": "Niet, terminé, 15 millions d'euros de la poche des Marseillaises et des Marseillais pendant 30 ans, terminé", avait-il lâché.Il faisait référence au partenariat public-privé liant la ville et Arema, une filiale du groupe de BTP Bouygues, depuis 2015 et jusqu'en 2045, à la suite des travaux de rénovation du stade pour l'Euro-2016.De même, M. Payan a toujours dénoncé comme insuffisant le loyer de cinq millions d'euros par an versé par l'OM à la ville pour pouvoir jouer au Vélodrome. Selon un rapport de la Chambre régionale des comptes de novembre 2020, ce loyer devrait être de huit millions d'euros par an."Mais cette question du loyer est difficile à aborder dans le contexte actuel" du football, avec des stades vides en raison de la crise du Covid-19, reconnaissait-on jeudi à l'hôtel de ville, du côté de la nouvelle municipalité de gauche.Maire LR de la ville pendant 25 ans, Jean-Claude Gaudin avait toujours refusé "d'être le maire de Marseille qui vendra le Vélodrome".