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Il y a 4 ans et 61 jours

Wolf Reicht Architects – Concevoir des bâtiments qui se distinguent

Certains bâtiments sont créés pour être pratiques, d'autres pour plaire à l’œil. Seuls quelques-uns peuvent... Cet article Wolf Reicht Architects – Concevoir des bâtiments qui se distinguent est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 61 jours

Objectifs de la loi AGEC et RE 2020, quelle est la place de la santé ?

Certes, la RE 2020 impose enfin, pour seulement le résidentiel neuf, une obligation de vérification du fonctionnement correct du système de ventilation aux bouches, déterminant important d'une bonne qualité de l'air des bâtiments. Une approche sanitaire plus globale sera-t-elle reportée dans un label réglementaire, incitatif mais non obligatoire, comme si on ne construisait que pour l'environnement et pas encore pour l'Homme ?En février 2020, la loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire, dite loi AGEC, inscrit, dans son article 51, la priorité du réemploi des produits et matériaux lors de travaux de démolition ou réhabilitation significative. À défaut, leur valorisation par les filières de recyclage recommandées doit s'assurer de leur caractère réutilisable, mais les critères d'évaluation ne sont pas précisés. Peut-on espérer que leur impact sanitaire soit considéré ?La pression est donc forte pour favoriser le réemploi, la réutilisation, le recyclage, le local… Comme toute démarche nouvelle, l'économie circulaire soulève des enjeux économiques, de structuration de la filière, de compétences. Lorsqu'on évoque les questions du recyclage ou du réemploi, les freins le plus souvent cités par les professionnels du bâtiment et maîtres d'ouvrage sont le manque de connaissances des concepts et des modalités de mise en œuvre de ces matériaux ainsi que le problème d'assurabilité et les contraintes réglementaires. Outre ces diverses problématiques, la question sanitaire est rarement évoquée. Leur éventuel impact sur la qualité de l'air des bâtiments où ils seront utilisés n'est même pas abordé et ne fait donc pas l'objet de recommandations dans les labels et certifications des bâtiments.C'est pour aborder toutes ces questions que le prochain colloque LES DÉFIS BÂTIMENT SANTÉ (24 juin 2021) centré sur « ÉCONOMIE CIRCUL'AIR, LA SANTÉ DANS LA BOUCLE » fera le point sur les actions, les innovations et les réalisations qui intègrent une réflexion sanitaire dans les opérations de recyclage, de réemploi et de réutilisation, dans le secteur des produits et équipements du bâtiment. Les matériaux bas carbone qu'ils soient biosourcés, recyclés, réemployés, réutilisés vont connaître un développement accéléré. Comment garantir qu'ils soient sains pour l'homme ?Économie circulaire, des matériaux plus sains ?"Au sein de la RE 2020, réduire l'impact environnemental des bâtiments neufs, en contrôlant leur empreinte carbone dès leur construction, tracer les matériaux qui seront utilisés ou encore améliorer le confort des habitants, en adaptant les logements au nouveau climat, comme les épisodes de forte canicule, sont des façons transversales de porter attention à la santé des usagers" témoigne Corinne Langlois, Architecte et urbaniste en chef de l'État, Sous-directrice de l'architecture, de la qualité de la construction et du cadre de vie Ministère de la Culture.À la différence des produits de construction ou de décoration, qu'ils contiennent ou non une fraction de matières premières secondaires, les matériaux issus du réemploi ne sont pas soumis à l'étiquetage obligatoire des émissions de polluants volatils (instauré par le décret n° 2011-321 du 23 mars 2011) ainsi qu'à la réglementation relative aux composés cancérogènes, mutagènes ou reprotoxiques de catégories 1 et 2 (arrêtés des 30 avril et 28 mai 2009)."Lors des opérations de réemploi de matériaux, la santé doit être prise en compte : c'est d'ailleurs une exigence réglementaire de supprimer les produits contenant de l'amiante ou du plomb... Parmi les développements nécessaires et selon la date de mise en œuvre des produits, il faut notamment travailler sur l'évaluation des émissions de biocides, de composés volatils notamment du formaldéhyde" précise Stéphane Le Guirriec, Directeur général d'Agyre, hub d'accélération nationale de l'économie circulaire dans la construction, créé début 2020."Dans la loi AGEC, seuls les articles 13 et 14 abordent un aspect sanitaire", souligne Suzanne Déoux, docteur en médecine, initiatrice de l'ingénierie de santé dans le cadre bâti et urbain et des DÉFIS BÂTIMENT SANTÉ. "En effet, afin d'informer les consommateurs, notamment les femmes enceintes, un article est inséré dans le code de la santé publique qui oblige d'apposer un pictogramme ou d'avoir recours à un autre moyen de marquage, d'étiquetage ou d'affichage sur certaines catégories de produits contenant des substances à caractère perturbateur endocrinien. Néanmoins cela ne concerne pas directement les produits issus du réemploi ou du recyclage. Cet aspect est cependant évoqué dans une des actions de la 2ème Stratégie Nationale sur les Perturbateurs Endocriniens (SNPE2) : ne pas recycler et remettre sur le marché des produits contenant des perturbateurs endocriniens et développer des filières d'élimination des déchets contenant des perturbateurs endocriniens".Certains supposent que les matériaux issus du réemploi sont favorables à la qualité de l'air et considèrent que les émissions de substances volatiles sont faibles car survenues lors de leur première utilisation. Or, Suzanne Déoux attire l'attention sur la nécessité d'une évaluation sanitaire lors du réemploi de certains produits : "Les panneaux à base de bois retenus dans une démarche de réemploi pourront entraîner des niveaux d'émission significatifs en formaldéhyde, d'abord selon le type de colle utilisé (c'est-dire-dire sa capacité à résister à l'hydrolyse), ensuite s'ils sont réemployés sous leur forme brute, et enfin, si le revêtement appliqué ne crée pas d'effet barrière. Des mesures des émissions, comme pour les produits neufs, doivent donc être réalisées et mentionnées dans les FDES des panneaux de bois de réemploi".Un défi collaboratif déjà engagéDans moins d'un an, un cadre réglementaire sera mis en place : la réglementation environnementale 2020 (RE 2020) pour prioriser la réduction de l'empreinte carbone des projets neufs. Ensuite, le décret d'application du diagnostic Produits-Matériaux-Déchets (PMD) prévoit d'estimer la nature et la quantité des éléments réemployables sur les opérations de démolition ou de réhabilitation lourde (plus de 1 000 m²).La filière s'organise donc concrètement et certains acteurs n'ont pas attendu : "les architectes travaillent depuis longtemps pour limiter les déchets. Il ne faut pas oublier que le meilleur déchet, c'est celui qu'on ne produit pas ! Ils travaillent donc d'abord à transformer l'existant, l'adapter et éviter de le démolir. On retrouve la notion de bâtiment évolutif en fonction des besoins et des étapes de vie" précise Corinne Langlois, "pour construire, ils font souvent appel à des circuits courts. Beaucoup utilisent le chanvre, le bois, la terre, la paille… dans une logique de proximité. Bien sûr, ils peuvent utiliser aussi des matériaux recyclés, mais il ne faut pas oublier : les architectes engagent fortement leur responsabilité professionnelle sur les projets qu'ils conduisent. Ils sont donc très sensibles à la qualité des matériaux qu'ils utilisent. Les contrats d'assurance les encouragent à la prudence, et ce, aussi sur les risques sanitaires".Pour Nicolas Masson, Directeur général d'Evertree, une société spécialisée en chimie végétale, qui conçoit des résines biosourcées à destination des panneaux de bois, sans formaldéhyde et sans isocyanate, "l'initiative passe par le maître d'ouvrage public ou privé. Il est l'acteur-clé car à l'origine du projet et arbitre des financements. Mais il faut embarquer tous les acteurs ! Et pour cela, il y a deux volets complémentaires : la communication, qui passe par la sensibilisation, et la formation… Et puis, espérons que la prochaine réglementation, à l'horizon 2025, intègre la qualité de l'air intérieur dans les exigences !".
Il y a 4 ans et 61 jours

Le marché des portes d’entrée à fin 2020 : la tendance du connecté s’affirme

TBC Innovations vient de publier une nouvelle étude de marché sur les portes d’entrée en France qui subit la moindre dynamique des chantiers de maisons individuelles.
Il y a 4 ans et 61 jours

LafargeHolcim acquiert 24 centrales à béton en Auvergne-Rhône-Alpes

LafargeHolcim France annonce l’acquisition de 24 centrales à béton et d’une carrière du groupe Cemex, implantées en Auvergne-Rhône-Alpes.
Il y a 4 ans et 61 jours

Retour d'expérience d'un installateur menuiserie sur l'utilisation d'une solution Web de chiffrage et commande

Le chiffrage avec MyPricer« Avec MyPricer, je réalise mon devis directement chez le client. Un gain de temps et de réactivité qui font la différence ! »Depuis combien de temps utilisez-vous MyPricer ?Cela fait 1 an ! Depuis le tout début, lorsque PICARD SERRURES a déployé la solution auprès de ses serruriers agrées. Julien MALIAR, Animateur Réseaux Installateurs agréés PICARD, m'a proposé de faire partie des clients test de MyPricer. Ça a été une grande fierté et j'y ai tout de suite vu un intérêt pour mon activité quotidienne avec une solution qui me facilite la vie. Julien m'avait déjà fait la remarque : la première fois que j'ai vendu le modèle de porte le plus haut de gamme de chez PICARD SERRURES, il ne comprenait pas que je puisse proposer un produit de ce standing avec un devis papier. Je ne pouvais pas continuer comme ça, je devais m'équiper d'une solution de chiffrage.Que vous apporte MyPricer dans la réalisation de vos devis ?MyPricer me permet de chiffrer tout de suite devant le particulier, de choisir les options en fonction de ses besoins. Le prix s'ajuste à chaque option ajoutée ou supprimée. Pouvoir faire mon chiffrage directement chez mon client est un facteur décisif et m'offre un gain de temps déterminant. Le fait que le prix varie suivant les options permet aussi au client de faire son choix plus facilement. Le tout directement sur ma tablette avec un simple partage de connexion.MyPricer me permet également d'aller plus vite dans le chiffrage d'options particulières. Avant, je devais demander un devis à mon commercial et je faisais patienter mon client le temps d'avoir son retour. Je perdais entre 24h et trois jours. Aujourd'hui avec MyPricer, j'ai tout de suite ma réponse.Cette réactivité que vous apporte MyPricer est-elle un avantage concurrentiel ?Complètement ! Parfois j'arrive en rendez-vous chez le client, ce dernier attend encore le devis d'un confrère depuis deux semaines. Alors qu'avec moi, il a son devis tout de suite : tout est prêt pour signer, c'est déterminant ! MyPricer me permet d'être plus efficace sur le terrain, c'est le facteur clé décisif et les clients y sont très sensibles. Je suis un technicien qui est devenu technico-commercial et avec MyPricer, j'arrive à être plus réactif que certains commerciaux qui ne font que de la vente, alors que je gère aussi la pose. C'est un avantage pour moi ! Les clients ont le sourire quand ils voient cette réactivité.Le fait de fournir un devis professionnel au client particulier a-t-il un impact sur la vente ?Il n'y a pas photo, même pour une simple serrure ! Avant, je n'utilisais MyPricer que pour chiffrer les portes car le descriptif technique est important, alors que quand vous vendez une serrure, vous n'avez qu'à donner le prix. Mais je me suis rendu compte que lors d'une intervention sur une serrure, nous avons les mains prises, avec de la graisse ou du lubrifiant sur les doigts, on n'a pas le temps donc on n'écrit pas forcément bien. Maintenant, même pour les serrures, je prends ma tablette et je fais un devis propre tout de suite.Entre un devis papier manuscrit comprenant quelques lignes, et un devis au format PDF, bien écrit, avec des lignes détaillées, le prix de la porte ou la serrure, la ligne de main d'œuvre etc… il n'y même pas de comparaison ! Cela fait toute la différence aux yeux du client.MyPricer vous aide-t-il à vendre davantage ?Il y a concrètement un impact ! Ce n'est pas uniquement lié à la solution mais il y a un effet MyPricer. Je n'ai pas forcément vendu plus de portes, mais j'ai vendu beaucoup plus de portes haut de gamme, notamment des portes pavillonnaires avec imposte, qui sont des portes avec des options supplémentaires donc forcément plus chères. MyPricer permet d'avoir le prix directement chez le client : c'est un facteur décisif pour la vente !Le passage de commandes avec MyPricer« Je peux être n'importe où, dans mon véhicule ou sur un chantier, je suis capable de passer ma commande. Je n'ai besoin de rien, mis à part d'une connexion Web »Vous passez également vos commandes à PICARD SERRURES via MyPricer ?Oui, c'est moi qui passe toutes les commandes de portes. Le process de passage de commande est simple et efficace. En quelques clics la commande est envoyée et toutes les données nécessaires à la fabrication sont renseignées. Ce que j'apprécie particulièrement dans MyPricer, c'est la ligne « ajouter des commentaires pour la commande ». A titre d'exemple, dans la méthode de travail PICARD SERRURES, quand je commande une porte en dépose totale avec un bati doublage rénovation, j'ai besoin de renseigner deux côtes : une côte extérieure et une côte intérieure finie. Dans la configuration du produit je ne peux en mettre qu'une seule. Avec l'ajout de commentaires, je peux dire au bureau veux en côte tableau extérieur et une cote intérieure. Je peux aussi ajouter des annotations quand j'ai besoin d'une clé supplémentaire. Avant MyPricer, il fallait que j'appelle directement PICARD SERRURES, c'était assez compliqué. C'est un ajout très intéressant et très pertinent, j'y vois un gros intérêt.Justement, de manière plus générale, comment faisiez-vous pour passer vos commandes avant d'être équipé de MyPricer ?PICARD SERRURES mettait à notre disposition un fichier A4 Adobe à remplir, à signer avec son doigt et à renvoyer au format PDF pour ensuite avoir le retour du bureau d'études. Cela demandait beaucoup de temps. Avec MyPricer, c'est beaucoup plus simple. Je peux être n'importe où, dans mon véhicule ou sur un chantier, je suis capable de commander. Je n'ai besoin de rien, mis à part d'une connexion Web. Pendant le confinement, j'ai même réussi à vendre trois portes parce qu'avec MyPricer, j'ai pu passer ma commande de chez moi. Si on a bien fait son travail, que les côtes sont bien remplies et que les spécificités sont précisées en commentaire, tout est limpide au niveau de la commande. C'est un gain de temps et de réactivité énorme.Pour résumerS'il fallait résumer MyPricer en quelques mots ?Réactivité et gain de temps ! Je ne comprends pas que tout le monde n'y ait pas encore adhéré. En interne, au début, c'était un peu compliqué de convaincre mes collègues. Mais maintenant, ils sont tous adeptes ! Nous sommes clairement passés de la préhistoire au 2.0 et cela me donne des ailes pour aller encore plus loin. Je ne peux que remercier PICARD SERRURES et Julien MALIAR, c'est aussi grâce à eux que j'ai pu progresser à ce point-là. Quand les bonnes personnes vous accompagnent, vous donnent des outils fiables et vous démontrent l'intérêt, on voit tout de suite la différence, ça a complétement métamorphosé ma façon de travailler.Pour en savoir plus sur MyPricer : www.elcia.com/mypricer
Il y a 4 ans et 61 jours

Près de 300 millions d'euros seront investis dans le réseau fluvial en 2021

Près de 300 millions d'euros seront investis en 2021 pour moderniser les infrastructures fluviales, notamment les écluses, et développer ce mode de transport, a annoncé Voies navigables de France (VNF).
Cimbat
Il y a 4 ans et 61 jours

L’UFME accélère la mise en place du réseau de collecte et de démantèlement des fenêtres

Après avoir lancé en 2019 sa Charte d’engagement présentant les bonnes pratiques nécessaires à la collecte et à la maîtrise du traitement des déchets, l’UFME intègre depuis octobre 2020 deux…Cet article L’UFME accélère la mise en place du réseau de collecte et de démantèlement des fenêtres est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 61 jours

Une tuile canal à emboitement invisible

Pour préserver les terroirs, architectes et ABF souhaitent des tuiles avec un aspect parfaitement traditionnel. Les couvreurs, quant à eux, se tournent vers un produit qui puisse respecter le style esthétique des toits anciens tout en étant confortable à poser et utilisable sur une grande variété de pentes. Le service R&D Bouyer Leroux a créé un système de blocage invisible pour la nouvelle tuile canal’di. Les tuiles de chapeau sont bloquées sur les tuiles de courant. L‘accroche est masquée sous le recouvrement de la tuile. Fonctionnelle et esthétique, cette tuile garantit une facilité de mise en œuvre pour les couvreurs en gardant un aspect traditionnel.
Il y a 4 ans et 61 jours

Nouvel acteur français sur le marché de l’étanchéité des toitures-terrasses

FLATLINE est une nouvelle société du Groupe ONDULINE, sœur d’ALWITRA, fabricant allemand de solutions d’étanchéité de hautes performances, suite à son rachat.  Distributeur exclusif de l’ensemble des gammes ALWITRA (membranes EVALON, EVALASTIC…), FLATLINE a pour vocation d’accompagner les applicateurs, les architectes, bureaux d’étude et maîtres d’ouvrage dans la conception et la réalisation de systèmes d’étanchéité technique et environnementaux pour les toitures-terrasses. L’offre de cette nouvelle entité se décline en un très large choix de membranes d’étanchéité, cassettes et tapis végétalisés, gamme complète pour le photovoltaïque, différents systèmes pour toitures-terrasses, joints debouts, couvertines d’acrotères, profilés de rives…  Photo : Alwitra 
Il y a 4 ans et 61 jours

« Les restrictions foncières favorisent l’éparpillement », François Rieussec, président de l’Union nationale des aménageurs

Avec un rapport intitulé « L’utilisation du foncier pour le logement à l’horizon 2030. Besoins et préconisations », l’Union nationale des aménageurs s’invite au débat sur l’artificialisation des sols. Vent debout contre des mesures administratives et centralisées qui caractérisent selon lui le projet de loi Climat et Résilience, son président François Rieussec prône la voie contractuelle. Il réitère son offre de services à l’Agence nationale pour la cohésion des territoires.
Il y a 4 ans et 61 jours

A Marseille, Bouygues TP et Rudy Ricciotti livrent deux ponts en un

A l’est de Marseille, dans le quartier de Saint-Loup, proche d’un nœud autoroutier, le groupement de conception-réalisation, piloté par Bouygues Travaux publics avec l’agence d’architecture Rudy Ricciotti, a livré en février, à la Métropole Aix-Marseille-Provence, deux ponts métalliques aux lignes fluides pour se fondre dans un tissu urbain. Enjambant le fleuve côtier l’Huveaune, ils sont posés sur trois appuis conçus sur le principe du profil Naca utilisé pour la construction d'ailes d'avion ou de quilles de bateau de manière à favoriser l'écoulement de l'eau dans une zone soumise au risque inondation.
Il y a 4 ans et 61 jours

Façade de marbre plissé pour un cinéma à Tremblay par LA SODA

Le groupement formé par Insolites Architecture, Corinne Vezzoni, Ilex et Tribu se voit confié la mission d’études, d’expertise et de conseil  pour le suivi de la mise en œuvre du plan guide du projet urbain de Gerland, à Lyon. Implanté sur plus de 700 hectares d'anciennes friches industrielles au cœur de Lyon, dans un secteur […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 61 jours

Fermes verticales : solution ou utopie pour l’alimentation urbaine ?

Un peu partout dans le monde, on voit se développer des fermes urbaines. Qu’elles soient sur les toits ou dans des bâtiments dédiés, leur objectif est de nourrir les villes. Est-ce vraiment la solution écologique pour y parvenir ? [Traduit de l’article de Eric Wagner du Magazine Low-Tech] Si l’électricité d’une ferme verticale est fournie […]
Il y a 4 ans et 61 jours

RE 2020 : ArcelorMittal, Ursa, Vicat et Wienerberger en guerre contre l'ACV dynamique

Dans une tribune publiée par Les Echos mercredi 3 mars les dirigeants des quatre entreprises s'élèvent contre le mode de calcul du poids carbone des matériaux qui risque selon eux de favoriser "l'intérêt particulier de quelques industriels du bois".
Il y a 4 ans et 62 jours

Biennale d’architecture de Venise 2021 : le pavillon français dévoilé

L’Arsenal et les Giardini de Venise devraient bel et bien ouvrir leurs portes aux visiteurs pour la 17e Biennale d’Architecture du 22 mai au 21 novembre 2021. Le thème de cette édition choisi par l’architecte libanais et commissaire général Hashim Sarkis est « Comment vivrons-nous ensemble ? ». Christophe Hutin, désigné commissaire du pavillon français, répond avec son projet « Les communautés à l’œuvre » qui place les transformations collectives des usagers au cœur de...
Il y a 4 ans et 62 jours

Les principales mesures de la réforme contestée de l'assurance-chômage

Nouveau calcul de l'indemnisationLa modification du calcul du salaire journalier de référence (SJR, base de l'allocation) entrera en vigueur en juillet. L'exécutif défend "un enjeu d'équité" car l'indemnisation est actuellement plus favorable aux personnes alternant contrats courts et inactivité qu'à celles travaillant en continu, car elle est calculée en divisant les revenus par les seuls jours travaillés pendant la période de référence.La réforme initiale prévoyait que le SJR soit calculé en divisant les salaires perçus au cours des 24 mois précédant la situation de chômage, par l'ensemble des jours -travaillés ou non- entre le premier et le dernier jour d'emploi de cette période de 24 mois.Mécaniquement, cela aurait baissé fortement le montant de l'allocation de ceux, souvent précaires, qui alternent contrats courts et chômage. Pour corriger le dispositif, le ministère a prévu un plancher garantissant une allocation minimale. Le nombre de jours non travaillés pris en compte sera plafonné à un maximum de 13 jours non travaillés sur 30.Le ministère a donné l'exemple d'une personne ayant travaillé huit mois sur les 24 derniers mois payée au Smic. Elle aurait bénéficié d'une allocation de 985 euros pendant huit mois avec les règles de 2017. Avec la réforme de 2019, elle aurait perçu 389 euros versés 24 mois. Avec la nouvelle version de la réforme, l'allocation serait de 667 euros versée pendant 14 mois.Le ministère estime que "plus de 800.000 personnes" seraient concernées par une baisse du SJR par rapport au système de 2017. Mais il souligne qu'"elles vont arriver progressivement" au fur et à mesure des fins de contrat et que "les droits ne sont pas diminués" car ils sont ouverts "plus longtemps".Pour qui et pour quand le bonus-malus ?La réforme crée un "bonus-malus" sur la cotisation d'assurance-chômage payée par les entreprises de plus de 11 salariés dans sept secteurs grands consommateurs de contrats précaires (hébergement-restauration, agroalimentaire, transports...).A partir du 1er juillet, le comportement des entreprises sera observé et le bonus-malus appliqué à partir de septembre 2022.Pour ces entreprises, on calculera sur une année leur taux de séparation, soit le nombre de fins de contrats - CDI, CDD ou intérim - divisé par leur effectif. En fonction de la comparaison avec le taux médian du secteur, l'entreprise verra l'année suivante sa cotisation varier entre 3 et 5,05% de sa masse salariale, contre un taux de 4,05% aujourd'hui.Certains secteurs particulièrement touchés par la crise, comme l'hôtellerie-restauration, seront dans un premier temps exemptés.Combien de mois de travail pour ouvrir des droits ?La réforme prévoyait initialement de travailler au moins six mois sur les 24 derniers pour ouvrir des droits à l'assurance-chômage, au lieu de quatre mois sur les 28 derniers. Le seuil permettant un rechargement des droits, lorsqu'on travaille pendant sa période de chômage, a été aussi durci, passant d'un à six mois.Ce durcissement pénalisait particulièrement des jeunes ou des saisonniers qui multiplient les contrats courts (CDD ou mission d'intérim), souvent avec le même employeur qui les réembauche.Il a été appliqué de novembre 2019 à juillet 2020 avant d'être en partie suspendu du fait de la crise (retour à 4 mois pour ouvrir des droits mais aussi pour les recharger).Le gouvernement a annoncé mardi le maintien du seuil à 4 mois pour tous les demandeurs d'emploi tant que la situation économique est dégradée. Le durcissement de l'ouverture des droits de 4 à 6 mois se fera selon une clause de "retour à meilleure fortune" appréciée sur six mois à partir du 1er avril: il faudra qu'il y ait à la fois une baisse du nombre de demandeurs d'emploi en catégorie A de 130.000 sur six mois et 2,7 millions embauches de plus d'un mois en cumul sur quatre mois.Quelle dégressivité pour les cadres ?Les salariés de moins de 57 ans qui avaient un revenu du travail supérieur à 4.500 euros brut par mois - soit environ 3.500 euros net - devaient voir leur indemnisation réduite de 30% à partir du septième mois.Alors que les offres d'emploi ont chuté pour les cadres, le gouvernement a décidé que cette dégressivité, qui aurait concerné 90.000 personnes par an, ne s'appliquerait qu'à partir du neuvième mois jusqu'au "retour à meilleure fortune". Comme pour l'éligibilité, le durcissement au 7e mois interviendra en fonction de l'amélioration des deux indicateurs cités.
Il y a 4 ans et 62 jours

Le Sénat a modifié, en deuxième lecture, la proposition de loi visant à moderniser les outils et la gouvernance de la Fondation du Patrimoine

Adoptée à l’unanimité le 23 octobre 2019 par le Sénat, en première lecture, cette proposition de loi a été modifiée par l’Assemblée nationale le 30 janvier 2020.La commission de la culture, de l’éducation et de la communication du Sénat a examiné ce texte, en deuxième lecture, le 17 février 2021, en suivant la procédure de législation en commission (selon laquelle le droit d'amendement des sénateurs et du Gouvernement s'exerce en commission, tandis que la séance plénière est centrée sur les explications de vote et le vote).Sur le rapport de Mme Sabine Drexler, la commission a adopté des amendements de coordination légistique ayant pour effet de :supprimer l’article 1er du texte, dont les dispositions sont entrées en vigueur le 1er août dernier à la suite de leur intégration dans la loi du 30 juillet 2020 de finances rectificative pour 2020 (amt COM-2) ;remplacer les références obsolètes aux immeubles inscrits à l’« inventaire supplémentaire » des monuments historiques, à l’article L. 143-2-1 du code du patrimoine et dans d’autres codes (amt COM-3).En séance, le 2 mars 2021, le Sénat a adopté la proposition de loi ainsi modifiée.
Il y a 4 ans et 62 jours

Nouveaux télémètres connectés GLM 50-27 C/CG professional : Une robustesse à toute épreuve et un transfert des données encore plus rapide grâce au cloud

Un design anti-choc au service des chantiers les plus exigeants Idéals pour les chantiers les plus rudes, les nouveaux télémètres GLM 50-27 C Professional (faisceau rouge) et GLM 50-27 CG Professional (faisceau vert) de Bosch offrent une meilleure visibilité du point de laser, notamment dans les zones avec une luminosité difficile, et effectuent des mesures de distance précises de ± 1,5 mm jusqu’à 50 m. Autre particularité, ils sont d’une conception extrêmement robuste. En effet, ils disposent d’un boîtier renforcé à 360° en caoutchouc, qui absorbe efficacement les chocs, et d’un écran incassable avec un clavier en silicone d’une grande résistance. Même après des chutes d’une hauteur de 1,50 m sur du béton, ils restent intacts. Certifiés IP65, ils résistent à la fois aux projections d’eau et à la poussière. Une interface utilisateur optimisée et des fonctions étendues L’interface utilisateur intelligente des télémètres GLM 50-27 C/CG Professional offre de nombreuses fonctions. Intuitive, grâce à une molette de sélection et de larges touches du clavier, l’utilisation de l’appareil est encore plus facile, même avec des gants de travail. Les différentes fonctions s’affichent par des symboles et des mots-clés tels que «Longueur», «Mesure continue» ou «Niveau». Les télémètres Bosch réalisent en toute simplicité des mesures indirectes, des calculs de surface et de volume. Dotés d’un capteur d’inclinaison, ils peuvent être utilisés pour mesurer les pentes et servir de niveau à bulle numérique. Les GLM 50-27 C/CG Professional disposent de nouvelles fonctions : – Assistance pour guider l’utilisateur lors de ses premiers pas avec l’outil en lui proposant des animations claires sur les différentes fonctions de mesures, – Mètre ruban pour simplifier la lecture des différentes mesures prises, – «Grands chiffres» pour prendre des mesures en série, – Annotation pour mesurer et marquer des distances très rapidement. D’autre part, les nouveaux télémètres Bosch offrent un maximum de lisibilité des données grâce à un écran couleur à contraste élevé. Celui-ci pivote automatiquement, comme sur les Smartphones, pour permettre à l’utilisateur de lire facilement les valeurs affichées dans n’importe quelle position. Par ailleurs, si l’écran est hors de vue de l’utilisateur, les GLM 50-27 C/CG Professional émettent un Bip sonore et des vibrations qui confirment que les mesures effectuées sont bien enregistrées. Enfin, l’autonomie de la batterie a été améliorée grâce à 2 piles AA et à l’optimisation des parties matérielle et logicielle. Traitement des données plus facile grâce à la connectivité Bluetooth et à la nouvelle application MeasureOn Bosch Grâce à l’interface Bluetooth, les télémètres GLM 50-27 C/CG Professional Bosch se synchronisent à la nouvelle application MeasureOn Bosch, qui fusionne le chantier avec le Smartphone. Les architectes, les peintres, les électriciens, les façadiers… peuvent ainsi établir rapidement et facilement de la documentation, créer des devis, calculer les besoins en matériel, la superficie de pièces et de murs, la pose d’éléments de fixation, ajuster des plans… Un véritable gain de temps ! En effet, le travail est plus efficace car les mesures enregistrées et les informations collectées peuvent être transférées directement vers l’application et traitées ultérieurement. Tout est archivé dans un seul endroit, un espace de travail numérique, pour avoir une meilleure vue d’ensemble de tous les projets. L’utilisateur peut organiser les informations en fonction de ses besoins et partager rapidement les données et les documents à des clients, des collègues… Avec l’application MeasureOn, les mesures peuvent être ajoutées aux photos, des plans organisés par pièces peuvent être dessinés rapidement et intuitivement avec un doigt, les photos et les notes peuvent être combinées dans une même vue… L’application calcule alors automatiquement les surfaces au sol, les surfaces des murs et la superficie de la pièce. Les erreurs de transmission manuelle sont éliminées par le transfert de données numériques et celles liées aux notes illisibles également. Gratuite et téléchargeable depuis l’App Store d’Apple et le Google Play Store, l’application MeasureOn est compatible avec tous les télémètres laser connectés Bosch. Les données stockées dans l’application peuvent être enregistrées dans le cloud afin que les informations soient automatiquement disponibles sur tous les appareils de l’utilisateur (tablette, smartphone, PC), quel que soit l’endroit où il se trouve (chantier, bureau, maison…). Le cloud est accessible sur le site dédié à l’application via tous les navigateurs internet. Un identifiant Bosch permet d’accéder à tous les services numériques Bosch. Prix de vente conseillés : GLM 50-27 C : 179 € H.T / GLM 50-27 CG : 199 € H.T Points de vente : Négoces en matériaux, Fournitures industrielles
GDA
Il y a 4 ans et 62 jours

Felix Clercx et Fiberdeck donnent naissance à… Felix Distribution

Il y a plus d’un an, le groupe français Forestia, principalement connu pour sa filiale de bois composite Fiberdeck a repris l’importateur de bois tropicaux néerlandais Felix Clercx, fondé en 1891. Malgré la pandémie de Coronavirus, l’année écoulée s’est avérée très fructueuse et les sociétés Felix Clercx (BV & Gmbh) et Fiberdeck (SAS) implantées aux Pays-Bas, en Allemagne et en France ont décidé d’unir leurs activités pour donner naissance à Felix Distribution. – Fiberdeck, spécialiste des bois composites co-extrudés à très longue durée de vie propose une gamme complète qui comprend des lames de terrasse, des clôtures et du bardage. – Felix Clercx, avec sa marque FelixWood®, apporte son savoir-faire unique et reconnu en matière d’importation de bois tropicaux et feuillus de qualité avec une certification de gestion durable. Felix Distribution devient le spécialiste des produits d’aménagement extérieur en bois et bois composite qu’il distribue en Europe avec ses marques : Fiberdeck® (bois composite), FelixWood® (bois exotique), Cobrafastner® (fixation & structure terrasse) et Owlialights® (éclairage terrasse). D’autres marques exclusives selon chaque pays complètent l’assortiment : Fiberon®, Newtechwood® (bois composite), Moso® (thermo-bambou) et Bfix® (fixation terrasse). « L’UNIFICATION DES GAMMES OFFRE À NOTRE CLIENTÈLE EUROPÉENNE UN PLUS LARGE CHOIX DE PRODUITS ATTRACTIFS ET BIOSOURCÉS. » Les valeurs des deux entreprises se reflètent également dans cette nouvelle entité. Chez Felix Distribution, l’humain est au centre de tous les projets. La qualité des relations avec ses différents partenaires, employés, clients, fournisseurs et prestataires est la priorité. Les efforts sont concentrés sur la satisfaction de leurs besoins en développant des services adaptés FELIX DITRIBUTION ASSURE UNE QUALITÉ DE SERVICE À TRAVERS TOUTE L’EUROPE Les synergies entre les plateformes logistiques de Helmond (NL) et Lille (FR) permettent d’améliorer la réactivité de livraison et d’offrir davantage de produits avec une préparation de commandes à la pièce. UN NOUVEAU SITE … Pour améliorer la communication, un nouveau site internet www.felixdistribution.com avec une plateforme BtoB facilite les échanges de données et d’informations avec les clients et partenaires. Cette plateforme BtoB s’est enrichie de nouvelles fonctionnalités comme une banque d’images multimarques, des fiches techniques, ainsi que des configurateurs de terrasses et de clôtures 3D : fr.mydeckplanner.com et fr.myfenceplanner.com. RENDRE LES PRODUITS PLUS ABORDABLES AVEC UN CONSEIL PERTINENT, MAIS AUSSI SIMPLIFIER LA RELATION CLIENT, TEL EST L’OBJECTIF. Notre planète a des ressources limitées. Felix Distribution a délibérément fait le choix de commercialiser des nouveaux produits pratiques, fonctionnels et à longue durée de vie, mais surtout respectueux de l’environnement. 100% des bois sont d’origine légales, et plus de 50% des volumes sont déjà certifiés FSC®. Tout est mis en œuvre pour proposer d’ici 5 ans 100% de bois certifiés. L’entreprise est exemplaire au Pays-Bas dans l’application de la législation EUTR et en tant que membre de l’association FSC® Tous les bois composites sont fabriqués avec 95% de matières plastiques recyclées. Sur l’année qui vient de s’écouler cela représente 6 500 tonnes de déchets plastiques qui ont été transformés en produits très durables. Tous les déchets de bois entrant dans la fabrication des lames composites sont certifiés FSC®. L’utilisation de polyéthylène recyclés d’origine européenne dans les bois composite permet de réduire de plus de 50% les émissions de CO2 par rapport à l’utilisation de plastique vierge. C’est une première étape dans la démarche de réduction de l’empreinte carbone du groupe. Évitons le gaspillage, en utilisant des produits éco-conçus, à longue durée de vie et respectueux de notre environnement. Felix Distribution : DES PRODUITS « SMART » ET UN COMMERCE ÉQUITABLE POUR L’HOMME ET L’ENVIRONNEMENT. FELIX WOOD Felix Clercx, fondée en 1891 à Helmond (Pays Bas) est une entreprise familiale qui a développé son savoir-faire à travers 3 générations dans l’importation et la distribution de bois exotiques. L’entreprise a été rachetée par le groupe Forestia en décembre 2019. La marque FelixWood® a été créée en 1992. Elle est reconnue dans l’univers des bois de jardin haut de gamme (terrasse et clôture). En provenance principalement d’Indonésie et d’Afrique, les bois tropicaux sélectionnés sont déjà à plus de 50% certifiés FSC® et 100% d’origine légale. Felixwood® propose aussi un bois feuillus européen : le Robinier (naturellement imputrescible) et une gamme de bois thermo-chauffés pour offrir une alternative aux bois exotiques. Les bois thermo-chauffés sont très stables et durables sans traitement chimique. Les bois FelixWood® sont sélectionnés selon un cahier des charges très strict avec un contrôle permanent de ses partenaires pour s’assurer d’une qualité homogène. www.felixwood.com FIBERDECK Fiberdeck® a été créée à Lille (France) en 2006 dans le but de développer des produits en bois composite pour l’aménagement extérieur. Les lames de terrasse, de bardage et de clôture distribuées par Fiberdeck® ont été développées à partir des dernières technologies de co-extrusion. La co-extrusion consiste à appliquer un film de protection de polyéthylène à la surface des lames. Cette technologie révolutionne le marché du bois composite. Elle permet de régler les problèmes récurrents de taches et de décoloration des lames composite de première génération. Avec un retour d’expérience de près de 10 ans, Fiberdeck garantie ses produits sur une durée de 20 ans en utilisation résidentielle et 10 ans en utilisation commerciale contre toute décoloration. Lancée en 2019, la première lame de bardage à claire-voie co-extrudée WEO est certifiée par le CSTB (Centre Scientifique Technique du Bâtiment- Paris) avec un ATEx (Avis Technique Expérimental). Une lame a l’aspect résolument moderne sans aucun entretien, avec une couleur d’origine garantie pendant 20 ans. Les produits Fiberdeck® sont simples à entretenir et durent très longtemps. Ils sont fabriqués à partir de 95% de déchets recyclés et n’utilisent pas de résines polymères vierges. Le bois, qui représente 60% du volume des produits provient de déchets (sciures) d’industrie du meuble. Il est certifié FSC. Réalisée à partir de déchets recyclés, la matière produite est 100% recyclable et ne libère aucun produit toxique. Les bois composite Fiberdeck® offrent ainsi une alternative séduisante par rapport à d’autres matériaux moins durables et moins simple à entretenir. www.fiberdeck.com COBRAFASTENER Les produits Cobrafastener® ont été mis au point pour faciliter la mise en œuvre des terrasses en bois et bois composite et augmenter la durée de vie de leur structure. Le dernier produit mis au point est le clip Cobra Hybrid. Il s’agit d’un clip universel qui permet de fixer les lames de terrasse en bois composite. Ce clip bi-matière est constitué d’une plaque en inox crantée et d’une vis pré-équipée dans le clip. Il permet un gain de temps à la pose de 30% par rapport à d’autres clips. Il s’ajuste à la rainure de la lame. Sa vis est compatible pour être utilisée sur des lambourdes en bois exotique ou aluminium. Cobrafastener®, est aussi une gamme de cales, plots réglables Nivo, d’un concept de structure aluminium Structural et des ancres de fondation. La gamme est complétée par des outils comme le redresseur de lame de terrasse, un gabarit de pose, des forêts, permettant de faciliter la mise en œuvre. Avec les produits Cobrafestener® la pose des terrasses en bois devient plus facile et plus durable. www.cobrafastener.com
Il y a 4 ans et 62 jours

Une campagne pour valoriser l'usage du PVC auprès des architectes

COMMUNICATION. Le syndicat professionnel de l'extrusion plastique (Snep) lance une campagne pour mettre en avant les avantages du PVC auprès des architectes.
Il y a 4 ans et 62 jours

Foncia va identifier les copropriétés à rénover parmi celles qu'elle gère

RÉNOVATIONS ÉNERGETIQUES. Le syndic, qui gère 60.000 copropriétés, les a catégorisées selon leur besoin de travaux et les aides disponibles pour lancer un mouvement massif de rénovations.
Il y a 4 ans et 62 jours

En Île-de-France, le Bâtiment veut mobiliser davantage de jeunes vers ses métiers

FORMATION PROFESSIONNELLE. À l'occasion du Mois de l'orientation dans le bâtiment, les acteurs franciliens du secteur organisent une série d'évènements virtuels pour mettre en valeur les différents corps de métiers et ainsi inciter les jeunes à opter pour l'apprentissage. Si les chiffres de la formation professionnelle sont excellents, la filière reste néanmoins confrontée à un manque de recrutements.
Il y a 4 ans et 62 jours

La France "dans le peloton de tête" des pays les plus en avance sur l'hydrogène

DÉCARBONATION. Le Gouvernement a profité de la première réunion du Conseil national de l'hydrogène le 25 février dernier à Albi (Tarn) pour dresser un point d'étape sur la stratégie française de développement de cette technologie décarbonée. Les projets ne manquent pas et la filière semble se structurer progressivement en vue d'une industrialisation.
Il y a 4 ans et 62 jours

Spie batignolles œuvre sur l'extension du métro de Lisbonne

Le Metropolitano de Lisboa a confié à un groupement constitué de la société Mota-Engil (mandataire) et de Spie batignolles international la conception/réalisation de la station « Santos » et de la liaison entre cette station et la station « Cais do Sodré », au sud-est de la capitale, pour un montant de 73.5 millions d’euros.
Il y a 4 ans et 62 jours

RE2020 : de grands industriels veulent "éviter la guerre des matériaux"

COUP DE GUEULE. La fronde persiste contre les projets gouvernementaux concernant la réglementation environnementale 2020 (RE2020). Plusieurs industriels de la filière construction viennent de prendre la plume pour demander d'éviter d'ouvrir une "guerre des matériaux". Trois d'entre eux, Vicat, Ursa et Wienerberger s'expliquent auprès de Batiactu.
Il y a 4 ans et 62 jours

L'acier, le ciment et la brique dénoncent le "dogme" du bois dans la RE2020

Ces chefs d'entreprise contestent la nouvelle méthode retenue pour l'analyse du cycle de vie (ACV) des produits pour la construction, appelée ACV "dynamique et simplifiée" qui, affirment-ils, a été "établie selon des paramètres empiriques" et "sans étude d'impact".Selon les signataires de la tribune, "le gouvernement choisit ainsi arbitrairement des paramètres qui avantagent à court terme les produits ayant des émissions notables en fin de vie (tous les produits contenant du carbone comme les plastiques ou le bois)".Cette nouvelle disposition reflète "un dogme selon lequel seul le bois permettrait de réduire l'empreinte carbone", affirment-il. "Ce dogme est faux. C'est par la complémentarité des matériaux qu'on progressera... pas en les dressant les uns contre les autres", ajoutent-ils."Si le gouvernement persiste contre toute logique, à imposer l'ACV dynamique simplifiée, nos industries, privées pour certaines de 40% de leur marché, devront fermer des sites", affirment encore les auteurs de la tribune.Le texte est signé du président d'ArcelorMittal France, Philippe Darmayan, du président du groupe cimentier Vicat, Guy Sidos, du directeur général du fabricant de briques en terre cuite Wienerberger, Frédéric Didier, et du directeur général du fabricant d'isolants Ursa France, Jean-Pierre Laherre.
Il y a 4 ans et 62 jours

Vous construisez et vous posez des questions sur l'évacuation ? Les avantages du système d'évacuation SANCOL à joint

1 – Les avantages de mise en œuvre du système d’évacuation SANCOL à jointVotre réseau d’évacuation en extérieur des bâtiments est principalement enterré. De ce fait il est soumis au poids de la terre et au tassement naturel du sol.Pour cela ATE a développé la 1ère gamme de tubes et raccords renforcés Ø 100 à joint : la gamme SANCOL.D’un classement résistance SN4 ou SN8 pour le tube et SN4 pour les raccords, la gamme SANCOL diamètre 100 à joint a été étudiée pour résister dans le temps à son usage enterré. Les produits SANCOL sont équipés d’un joint renforcé permettant de garantir l’étanchéité et d’accompagner les mouvements de sol ainsi que d’éviter les déboitements.2 – Une technologie tri-couche compact pour le tube SANCOLDurant la conception du système SANCOL, notre département développement a prouvé par de nombreux tests en laboratoire, le meilleur comportement des tubes tri-couche compact par rapport aux tubes expansés.Sa résistance accrue à l’écrasement... (Poids : > 1.280 kg/ml pour le SN4 et > 1.480 kg/ml pour le SN8)3 – Un tube d’évacuation des eaux Ø 100 à joint, pour une parfaite étanchéité du systèmeLa gamme tubes et raccords SANCOL développée par ATE, est la seule solution du marché à joint D 100 pour l’évacuation enterrée des eaux.Joint conforme à la NF EN 681-1 & 2Les avantages du joint :Amortir les mouvements du solParfaite étanchéité du systèmeGain de temps significatif lors de la mise en œuvre (pas de montage à blanc, ni collage)4 – Une mise en œuvre simple et efficace du système d’évacuationL’emboitement des tubes et raccords devient facile avec la possibilité d’ajustement de la pose. Contrairement à une installation classique de tubes à coller, il suffit de lubrifier les éléments et de les assembler sereinement.Le chanfreinage des tubes se fait facilement avec l’outil ATE adapté.Conclusion : Un tube de qualité, c’est la garantie d’un réseau d’évacuation des eaux pérenne dans le temps. Il est nécessaire d’adapter le bon produit en fonction du lieu et des contraintes de mise en œuvre.Nous conseillons sur le partie extérieur des bâtiments, où les Ø 100 est demandé, de poser les tubes et raccords Sancol ; pour sa technologie de conception permettant une résistance mécanique importantepour son joint garantissant son étanchéité et permettant d’accompagner les mouvements du sol.Pour des conseils de mise en œuvre etc… Nos techniciens sont à votre disposition pour vous épauler.ATE Drainage - https://www.ate-drainage.com/
Il y a 4 ans et 62 jours

Kit interphone MiniNote+ Urmet : nouvelle plaque de rue

Le MiniNote+ change de plaque de rue, pour une utilisation simplifiée et un design modernisé. Il s’habille aussi d’un nouveau packaging privilégiant le carton exclusivement pour réduire son poids et l’impact environnemental. La gamme des kits interphones pour villas 1 ou 2 boutons comprend aujourd’hui 3 kits, allant du MiniNote2, au Note2, le plus complet de la gamme avec son contrôle d’accès par badge intégré et sa version ERP avec boucle magnétique. Les kits sont les solutions les plus fiables du marché, offrant de très nombreuses fonctionnalités, avec notamment, pour MiniNote+ et Note2 l’émetteur Yokis intégré et les scénarios domotiques facile à mettre en œuvre. Ils existent aussi avec le module CallMe intégré ou en option pour le transfert des appels de vos visiteurs vers 1 ou plusieurs smartphones. Le MiniNote+ existe aussi en 2 boutons pour les habitations composées de deux familles avec une entrée commune (1722/96). Le kit 1722/95 contient : 1 MONITEUR  : • Ecran tactile LCD couleur 7’’ (17,8 cm) mains-libres en ABS blanc finition brillante. • Étrier métal fourni pour fixation murale avec ajustement de la verticalité. • Pose en saillie. • Menu d’accès aux réglages et à la configuration. • Mémoire vidéo de 100 images (50 appels). • Réglage du niveau de la sonnerie + coupure avec signalisation lumineuse. • Réglage de luminosité, contraste, couleur. • 5 mélodies au choix pour l’appel depuis la plaque de rue ou l’intercommunication. • 2 commandes d’accès : ouverture de la porte, ouverture du portail motorisé. • 8 commandes domotiques + 4 scénarios : éclairage, volets roulants, scénarios de  départ ou d’arrivée. • 1 touche de fonction vidéosurveillance permettant d’afficher les images provenant de la plaque de rue. • 2 voyants de fonction : coupure de sonnerie, domotique. • 1 sortie pour sonnerie supplémentaire ou carillon sans fil 43300 et 43305. • Dimensions (HxLxP) : 136 x 211 x 22 mm. 1 PLAQUE D’APPEL : • Module d’appel extérieur 2 fils vidéo. • IP 55, IK 07. • Pose en saillie. Montage encastrée avec le kit optionnel réf. 1723/50 • Caméra couleur CCD 1/3” objectif 2mm. Angle de vue horizontal : 60°, vertical : 46°. • Façade en zamac gris. • Raccordement des boutons de sortie. • Commande d’ouverture de la serrure électrique de porte par tension de 12 V fournie, temporisable 0.3, 3, 6, 9 s. • Commande d’ouverture du portail motorisé par contact sec libre de potentiel. • Dimensions (HxLxP) : 180 x 100 x 28 mm. 1 COUPLEUR : • Permet de connecter un bus 2 fils vers la plaque et un bus 2 fils vers le moniteur principal et les éventuels moniteurs secondaires. • Boîtier modulaire rail DIN 2 modules. 1 ALIMENTATION
Il y a 4 ans et 62 jours

Traitement de l'air intérieur : une solution efficace pour lutter contre la Covid-19

L'ozone et la photocatalyse sont deux techniques éprouvées depuis 30 ans par le groupe IDR qui publie aujourd'hui un livre blanc pour répondre, preuve à l'appui, à la controverse.L'air purifié est un besoin fondamental, qui plus est en pleine épidémie. Différentes technologies existent à cette fin et se disputent la légitimité de leur offre. Certains organismes ont récemment mis en garde contre l'utilisation de l'ozone et de la photocatalyse. Deux techniques de purification de l'air dont IDR Groupe est spécialiste depuis 30 ans.En se basant sur des études récentes, conformes au protocole AFNOR, IDR Groupe dénonce ces conclusions et apporte ses recommandations :Il a été prouvé que l'ozone tue les coronavirus responsables du SARS et qu'il a des effets inactivants sur les protéines responsables de sa transmission en respectant les règles de sécurité lors de son utilisation.La photocatalyse fait partie des rares technologies qui permettent la réelle destruction des polluants présents dans l'air en présence humaine. Cette solution réduit bien la charge virale des COV dans l'air mais il est vrai que nous manquons de données concernant la Covid-19.L'intention du livre blanc produit est d'apporter de manière détaillée toutes les réponses aux différentes déclarations et prises de positions, et de répondre par des recommandations au caractère scientifiquement prouvé.Aujourd'hui et demain, le traitement de l'air est plus que fondamental pour se protéger au quotidien et ne pas négliger notre santé.Pour télécharger le livre blanc, cliquez ici.
Il y a 4 ans et 62 jours

Seine-Saint-Denis : renouvellement des voies du T4 entre Bondy et Aulnay-sous-Bois

En Seine-Saint-Denis, 6 km de voies, entre Bondy et Aulnay-sous-Bois, seront remplacés, pour renforcer la sécurité de la ligne T4.
Il y a 4 ans et 62 jours

Essonne : des travaux sur le réseau de gaz à Athis-Mons

En Essonne, la ville d’Athis-Mons engage des travaux sur le réseau de gaz.
Il y a 4 ans et 62 jours

Le concours Ecoles Cimbéton/SNBPE 2021 est ouvert

Les candidats devront faire preuve d’imagination, tout en se basant sur un socle technique réaliste et crédible. [©Cimbéton] L’édition 2021 du concours à l’attention des écoles d’ingénieurs et des IUT génie civil est officiellement lancée ! Et ceci, à l’initiative du Syndicat national du béton prêt à l’emploi (SNBPE) et du Centre d’information sur le ciment et ses applications (Cimbéton). C’est ainsi que le thème de cette 7eédition est “le biomimétisme, source d’inspiration pour les bétons : à la conquête des villes du futur”. Peut-on s’inspirer de la nature pour mieux construire ? Et construire en béton ? C’est à cela que devront répondre les étudiants.  Dimensions environnementales et sociétales  En effet, leurs dossiers devront mettre en lumière les dimensions environnementales et sociétales des apports du ciment et du béton. Le tout dans une logique d’économie circulaire et d’innovation. Surtout, les candidats devront faire preuve d’imagination, tout en se basant sur un socle technique réaliste et crédible. Un jury composé de professionnels adhérents au SNBPE, de Cimbéton et de professionnels de l’enseignement du génie civil attribueront les prix en octobre prochain. Aussi, il s’attachera à noter l’inventivité, dont feront preuve les candidats. Ces derniers devront composer des groupes de 2 à 6 personnes et soumettre un dossier répondant au thème proposé. Tous les moyens et techniques de communication pourront être utilisés pour le présenter : exposé, photo, vidéo, dessin, images de synthèse, pièce de théâtre…  Pour plus d’informations, rendez-vous ici
Il y a 4 ans et 62 jours

Bilan d'une année de crises et prospective 2021 du marché du logement neuf en Île-de-France

-45% de mises en vente sur l'année 2020 Selon le CAPEM*, 15.300 logements neufs ont été lancés sur l'année 2020 par les promoteurs immobiliers franciliens, avec 13.500 appartements classiques, 1.300 résidences avec services et 500 maisons. Par rapport à 2019, les mises en vente ont baissé de 45%. Pour le collectif classique, la baisse est encore plus drastique avec -49% de mises en vente.« Si on regarde les autorisations de permis de construire, nous avons une baisse régulière depuis 3 ans. En 2020, nous avons produit 22.000 logements de moins qu'en 2017. En regardant ce qu'il y a devant nous, c'est encore pire. »analyse Marc VILLAND, président de la Fédération des promoteurs immobiliers d'Île-de-France.Depuis plus d'un an, l'acte de construire est stigmatisé et pour la première année, les promoteurs franciliens ont en moyenne autant de refus de permis de construire que d'obtention.« C'est regrettable car nous ne sommes pas les ennemis de la transition écologique, bien au contraire. Notre secteur a énormément travaillé sur lui-même notamment sur les enjeux environnementaux avec la RT2012 qui est l'une des réglementations les plus performantes d'Europe » alerte Marc VILLANDL'offre est en chute libre en Île-de-France Selon le CAPEM, seulement 17.300 logements sont disponibles à fin 2020, avec 15.800 appartements classiques, 1.100 résidences avec services et 400 maisons. L'offre totale a baissé de 25 % sur un an (-28 % pour le collectif classique).Selon le rythme actuel de ventes, dans il faudrait moins de 10 mois pour écouler l'intégralité du stock de logements neufs en Île-de-France.Pour Marc VILLAND, « On est en train de créer le choc de la pénurie de l'offre. Cela va se répercuter sur le prix du foncier et des logements, cela va désolvabiliser une partie des franciliens. L'acte de construire a la particularité de concerner des multiples acteurs, l'État, les Collectivités Locales, les architectes, les entreprises du bâtiment, les promoteurs mais il ne faut pas que ce soit sans cesse le secteur privé qui soit réinterrogé. Par exemple, faire entrer la nature en ville est un enjeu de long terme qui nécessite la mise en œuvre des technologies numériques et de questionner notre mode de gouvernance et son émiettement territorial ».-44 % de ventes sur l'année 2020, l'investissement locatif souffre le plus Selon le CAPEM, les promoteurs franciliens ont vendu 21.000 logements en 2020 (contre 38.000 en 2019) tous types d'habitats confondus : 19.500 lots en collectif classique, 600 résidences avec services et 900 maisonsL'investissement locatif connait sa plus forte baisse depuis la mise en place du dispositif PINEL avec 8.000 lots vendus en 2020 (-48% par rapport à 2019). Le volume des ventes en accession à la propriété a lui aussi chuté de 42% en 2020« La demande reste importante mais s'exerce sur un choix moindre. Le taux de désistement augmente, lié à un financement bancaire plus difficile »ajoute Marc VILLAND, président de la Fédération des promoteurs immobiliers d'Île-de-France.La production de logements sociaux à la peine En 2017, les promoteurs franciliens ont produit 10.000 logements sociaux représentant 1/3 des logements sociaux agréés par l'Etat en Île-de-France. Cette production a baissé pour se situer à 6.500 logements sociaux produits en 2020.« Il y a une corrélation évidente entre la crise de la promotion immobilière francilienne et la chute de la production de logements sociaux. Pour produire des logements sociaux et atteindre les objectifs fixés par l'Etat, il faut pouvoir construire ! La mixité étant devenue l'un des critères essentiels d'intervention des promoteurs franciliens » conclut Marc VILLAND, Président de la FPI IDF.* Centre d'Analyse et de prévisions immobilières, Observatoire de la FPI IDF
Il y a 4 ans et 62 jours

Appel aux dons pour lutter contre la précarité énergétique

Un collectif de lutte contre l'exclusion énergétique a lancé une vaste campagne d'appel aux dons pour permettre aux plus modestes de financer des travaux de rénovation de leurs logements.
Il y a 4 ans et 62 jours

Château médiéval disparu et jeu de paume à Villers-Cotterêts

Destiné à accueillir la future Cité internationale de la langue française, le château de Villers-Cotterêts fait l’objet depuis 2019 d’un chantier de restauration d’envergure. Au cours de l’été 2020, une première fouille menée par les archéologues de l’Inrap et du service archéologique de l’Aisne a porté sur les abords du logis royal et la cour du jeu de paume. Une deuxième fouille se déploie actuellement dans la Cour des Offices, sur une surface de 3700 m². Une des principales problématiques des archéologues concerne le château médiéval, arasé au début du XVIe siècle, dont ni le plan, ni l’évolution au cours du Moyen Âge ne sont documentés par des archives. Les fouilles archéologiques menées entre mai et août 2020 ont permis de reconstituer en grande partie son plan. Les archéologues ont ainsi montré que le logis Renaissance prenait appui à son arrière (nord) sur la semelle du château médiéval et qu’il a été construit avec les pierres retaillées de ce dernier. Ils ont également mis au jour les vestiges d’une tour carrée, un grand fossé défensif (large de 13-14 m et profond de 6,5 m) ainsi qu’un réseau de canalisations. Un autre grand fossé protégeait la basse-cour médiévale. Les archéologues y ont mis au jour de nombreuses fosses, un puisard et des latrines mais aussi, au centre, un grand bâtiment. De plan rectangulaire, long de 18 m et large de 5 m, il comprend au moins trois pièces. Il est daté de la fin du Moyen Âge mais sa fonction reste pour l’instant inconnue. À Villers-Cotterêts, François Ier érige une demeure royale au cœur du Valois et de la forêt giboyeuse de Retz, dans le cadre d’un vaste programme de construction de châteaux royaux. Afin d’ériger les deux grandes ailes des Offices, le fossé sud de la basse-cour est comblé et le grand bâtiment est arasé. La fouille a remis au jour les murets soutenant des galeries connues par des plans et gravures des XVIe et XVIIe siècles et situées le long des murs des Offices. Les archéologues ont également exhumé une canalisation en terre cuite glaçurée participant du système d’adduction d’eau et qui, venant de la forêt, alimentait le château, les fontaines et son fossé sec. La fontaine apparaît sur les plans anciens mais il n’en reste plus que le socle et la cuve centrale. La cour de l’ancien logis de François Ier accueillait un jeu de paume, connu grâce au plan réalisé par Jacques Androuet du Cerceau vers 1570. L’âge d’or de ce jeu de balle, très prisé par François Ier et par la Cour, s’étend de la fin du XVe au premier tiers du XVIIe siècle. Celui de Villers-Cotterêts est ceinturé par les façades de la cour centrale, bordées de galeries. Les rebonds spectaculaires des esteufs (balles) sur ces parois, exigeaient de la part des participants une grande dextérité qui « épate la galerie ». Les archéologues ont mis au jour le radier de pierre, initialement couvert par un dallage de terre cuite que l’on appelle le « carreau » (d’où l’expression « rester sur le carreau »). Au centre de la façade est, le mur présente un biseau, nommé tambour, qui permet de surprendre l’adversaire en produisant des rebonds aléatoires. Parmi les cinq jeux de paume ayant fait l’objet d’une fouille archéologique en France, celui de Villers-Cotterêts est le plus ancien. Il appartient à une époque où les règles et l’architecture du jeu commencent à se fixer. Les trois jeux de paume précédemment mis au jour par l’Inrap à Versailles (celui de Louis XIII), Marseille et Rennes datent du XVIIe et XVIIIe siècles. Aménagement : Centre des Monuments Nationaux Contrôle scientifique : Service régional de l’archéologie (Drac Hauts-de-France) Recherche archéologique : Inrap/service archéologique de l’Aisne Responsables scientifiques : Bénédicte Guillot, Inrap ; Thierry Galmiche (département de l’Aisne) Responsable scientifique jeu de paume : Aurélie Raffin, Inrap Photo : Fosse latrine rectangulaire construite en pierres de taille. Le conduit d’alimentation est creusé dans le contrefort (front nord). M. Poux, Inrap  
Il y a 4 ans et 62 jours

Venise, pavillon français : vous avez dit communautés ?

À vos agendas : 22 mai, ouverture de la 17e édition de la Biennale d’architecture de Venise, ...En savoir plus Cet article Venise, pavillon français : vous avez dit communautés ? est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 62 jours

EPR, une technologie d'avenir

Il y a 4 ans et 62 jours

Concours national des Entrées de ville, bourg et territoire

Zones de transition, zones commerciales, zones d’activités, zones d’échanges circulatoires intenses, interfaces entre urbain et rural, les entrées de villes concentrent de grands enjeux d’aménagement. Aujourd’hui, les entrées de ville présentent souvent des « architectures provisoires ». De belles villes sont trop souvent abîmées par leurs entrées défigurées et marquées par une anarchie qui s’oppose aux efforts réalisés dans les centres-villes. Les franges urbaines s’étendent et entrent en concurrence avec les coeurs de ville, d’une part, et consomment des terres agricoles et des espaces naturels, d’autre part. Sites & Cités remarquables de France et la Fédération Patrimoine-Environnement, organisent un concours pour faire circuler les expériences et les idées et faire progresser, au plan national, la qualité de la conception et l’aménagement des entrées de ville, de bourg, de territoire et des franges urbaines. Cette année il s’ouvre à toutes les villes et décernera deux prix : l’un pour les collectivités de moins de 2 000 habitants et le second pour les collectivités de plus de 2 000 habitants. Les candidatures doivent être envoyées au plus tard le 5 avril 2021. http://www.patrimoine-environnement.fr/concours-national-des-entrees-de-ville/  
Il y a 4 ans et 62 jours

Pour les bailleurs sociaux, la RE2020 est désormais "techniquement applicable"

MONDE HLM. Effort de construction, RE2020, aménagement, friches... Emmanuelle Cosse a fait le point, le 3 mars, sur l'actualité politique et législative concernant le secteur HLM.
Il y a 4 ans et 62 jours

Nouvelles formules Compo-Clean et Compoxell® Owatrol pour nettoyer et protéger les bois composites

Mieux maîtrisés et de meilleure qualité ces matériaux exigent donc un véritable soin comme les essences pures. En effet, les composites aussi solides, durs et denses qu’ils soient, se salissent, s’encrassent, et subissent fortement l’attaque des UV. Il est donc nécessaire de les entretenir si l’on souhaite les garder beaux !Dans cette optique, Durieu qui n’a de cesse de travailler à la longévité des matériaux, vient de transformer la formule de son duo dédié aux composites pour décupler son efficacité et limiter l’impact sur l’environnement.Rappel - Qu'est-ce qu'un composite ?Un matériau composé d’une matrice plastique et d’une charge de particules de bois ou de matériaux approchants. La répartition « plastique versus particules de bois » varie beaucoup d’une sorte de composite à l’autre. De même la qualité du plastique utilisée diffère d’un type à l’autre influant sur la qualité du produit final suivant que cette part est majoritairement recyclée ou pas.Ainsi dans un composite : plus la matière plastique utilisée est composée d’éléments recyclés et plus la part de plastique versus les particules de bois est importante plus le composite obtenu est fragile.Quelles difficultés avec les composites ?Ils présentent généralement une texture rainurée qui capte facilement les saletés. Celles-ci se retrouvent coincées, générant des taches, et mêmes des mousses. Une fois attaqués par la saleté, les composites peuvent aussi jaunir.Enfin les UV vont attaquer la fibre plastique contenue dans le composite en l’asséchant et la durcissant, conduisant ainsi les lames à devenir cassantes. Il est donc très important d'apporter une protection particulière aux ouvrages en composite si l’on souhaite les conserver durablement.C’est dans cette volonté d’améliorer encore la pérennité de ce matériau que Durieu a travaillé sur les formules de son duo pour accompagner encore mieux les supports en composite tout en limitant les impacts sur l’environnement.Solutions Owatrol® - Explications :Nettoyer : mode d'emploi avec COMPO-CLEANDe par leur texture spécifique, les composites ne peuvent pas être nettoyés avec un simple nettoyant ménager comme l’on pourrait être tenté de le faire. Il faut un produit adapté.COMPO-CLEAN avec sa nouvelle formule agit comme un dégraissant puissant et vient dissoudre les taches de graisses, toutes les salissures incrustées dans les rainures et toutes les particules présentes sur le support.Le plus : Plus efficace et en même temps plus douce, sa nouvelle formule est aussi plus respectueuse de l’environnement.Protéger : une réponse optimale avec COMPOXELL®En 3 mots : Oléofuge, hydrofuge et durabilité grâce à une résistance accrue aux UV.Explications : Grâce aux résines acryliques de qualité ainsi qu’aux additifs oléofuges et hydrofuges de sa nouvelle composition, COMPOXELL® permet aux ouvrages en composite de mieux résister aux taches de gras, aux effets de l’eau et à la pollution ambiante. La protection accrue aux UV donne au support une meilleure durabilité en évitant aux lames de casser.Enfin la qualité des résines du COMPOXELL® lui confère une adhérence optimum sur tous les composites quelle que soit leur qualité. COMPOXELL® est ainsi une excellente solution pour faire durer le composite moyen de gamme.
Il y a 4 ans et 62 jours

Le BTP demande le maintien du Gazole non routier (GNR)

Le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire a été interpellé par les organisations syndicales du BTP pour le maintien du GNR. [©DR] Dans une lettre adressée à Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, les syndicats du BTP appellent au maintien du Gazole non routier (GNR) pour la profession. La Capeb1, le CNATP2, la FFB3 et la FNTP4 proposent au ministre de faire ce geste en leur faveur, en raison du contexte économique. Dans cette lettre, les syndicats rappellent « qu’après une baisse d’activité historique de l’ordre de 14 % en 2020, les perspectives pour les entreprises du BTP restent inquiétantes, malgré “France relance”. De fait, les appels d’offres des collectivités locales ressortent toujours à la peine, les blocs communal et intercommunal enregistrant respectivement des baisses de – 27 % et – 37 % en janvier 2021 comparé à janvier 2020. Quant aux marchés privés, les permis en logement comme en non résidentiel affichent des chutes respectives de 15 % et 20 % en 2020 ». Les attentes du secteur sur le GNR Ajoutant que « le BTP fait partie des secteurs qui ont le plus eu recours aux Prêts garantis par l’Etat (PGE), ainsi qu’aux crédits divers cette dernière année. Ce qui témoigne d’une situation de trésorerie très dégradée, notamment des TPE/PME ». De plus, les organisations insistent sur le fait que le gouvernement avait pris un engagement en 2019. Celui de mettre en place un carburant non routier spécifique au BTP, pour accompagner la suppression du GNR pour le secteur. Mais cet engagement ne pourra être respecté d’ici le 1er juillet 2021, comme c’était prévu. Le ministère de la Transition écologique table sur 24 mois d’attente au moins pour sa mise en service. Les réunions entre les syndicats et le gouvernement n’ont pas non plus permis d’établir des pistes en adéquation avec les attentes du secteur sur ce sujet. Et la lettre, de conclure : « c’est pourquoi, dans le contexte actuel, les entreprises de la construction demandent un geste de bon sens de la part du gouvernement. Ceci, pour soutenir l’activité dans un secteur qui emploie près de 1,7 M de personnes ». 1Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment.2Organisation professionnelle des artisans des travaux publics et du paysage.3Fédération français du bâtiment.4Fédération nationale des travaux publics.