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Toute l'actualité du bâtiment

255358 actualités disponibles
Il y a 4 ans et 88 jours

Réforme du DPE : 600.000 logements chauffés à l'électricité sortent du statut de passoire

PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE. La future étiquette énergétique issue de la réforme du diagnostic de performance énergétique a été dévoilée le 15 février. Malgré le maintien du calcul en énergie primaire, elle va permettre la sortie du statut de passoire énergétique de 600.000 logements chauffés à l'électricité. Le nombre global de passoires ne va pas évoluer.
Il y a 4 ans et 88 jours

En Normandie, la région et le département à la rescousse du contournement de Rouen

INFRASTRUCTURE. Alors que la métropole de Rouen a annulé sa participation financière au projet de contournement autoroutier de l'agglomération, les deux autres collectivités engagées proposent de compenser la part métropolitaine.
Il y a 4 ans et 88 jours

Zoom sur : PRATIKA INTRANO

Fondée en 2020, la marque suisse PRATIKA INTRANO propose du mobilier et des petits objets résolument contemporains. Zoom sur un jeune éditeur qui vante une épure formelle sobre et un retour à l’essentiel. Avec la création de leur marque PRATIKA INTRANO, les designers suisses Laurent de Bernardini et Stéphane Badet conçoivent des objets épurés mêlant inspirations passées et lignes contemporaines : « Les objets anciens, anonymes, qui ont évolué en fonction de leur usage nous inspirent énormément », explique Stéphane Badet. Ainsi associées à des récits passés, toutes les créations de la première collection racontent des histoires. Le duo a également fait le choix de mettre en valeur matière, qui devient un fil conducteur du processus de création. Des beaux matériaux sont en effet travaillés par des entreprises et artisans suisses avec lesquels la marque collabore pour donner vie à leurs créations. Lors de ces échanges riches et constructifs, les designers multiplient les recherches, esquisses et prototypes. « Rechercher la bonne forme pour un objet est un processus lent qui demande beaucoup d’allers-retours entre les dessins et les maquettes, mais nous adorons cela ! Il y a un moment assez inexplicable où tout semble s’aligner et nous savons alors que cela va fonctionner, que les proportions sont justes », assure Stéphane Badet.Aussi belle que réfléchie, la première collection de PRATIKA INTRANO se verra par la suite enrichie de nouvelles créations, toutes conçues et fabriquées en Suisse.Pour en savoir plus, visitez le site de PRATIKA INTRANO.Visuels : © Nadia GagnebinLa rédaction
Il y a 4 ans et 88 jours

Haute-Saône : restauration en vue pour la chapelle de Ronchamp, signée Le Corbusier

PATRIMOINE. L'association propriétaire de la chapelle construite sur la colline de Ronchamp, en Haute-Saône, a annoncé que l'édifice allait bénéficier d'une première restauration d'envergure, dont les travaux s'étaleront jusqu'en 2024. Classée monument historique depuis 1967, la chapelle a été conçue par l'architecte Le Corbusier.
Il y a 4 ans et 88 jours

Johanna Rolland, maire de Nantes et présidente de Nantes Métropole et France urbaine

Maire de Nantes et présidente de Nantes Métropole, Johanna Rolland est élue présidente France urbaine en septembre 2020.
Il y a 4 ans et 88 jours

Paris La Défense lance la métamorphose en profondeur de la Place de La Défense

Véritable centre névralgique du premier quartier d'affaires européen, la Place de La Défense fait le lien entre le Parvis, au pied de la Grande Arche, et l'Esplanade du Général de Gaulle qui mène vers Paris (cf. plans de situation ci-après). Conçue au début des années 70 et dans sa configuration actuelle depuis 1981, la Place se devait de retrouver un nouveau souffle. Au-delà de la résolution de points techniques (étanchéité et revêtements de sol notamment), Paris La Défense souhaite réaffirmer l'identité de la Place en la dotant d'une dimension plus végétale, plus arborée et plus fluide, tout en maintenant son aspect convivial et attractif, et en s'appuyant notamment sur deux œuvres d'art, pièces maîtresses du décor de la Place : l'Araignée rouge de Calder et les Personnages fantastiques de Miró.« 2021 sera riche en changements pour trois lieux emblématiques du territoire : le Parc, les espaces sous-dalle et, plus particulièrement, la Place de La Défense. Point central du grand paysage urbain de La Défense, c'est aussi notre « place du village », lieu de vie et de rencontres, théâtre de nombreux rendez-vous festifs comme le festival Jazz à La Défense. Il était urgent de lui redonner un nouvel éclat, tout en misant sur son adaptabilité, à l'image d'un quartier qui se renouvelle en permanence. »Pierre-Yves Guice, Directeur Général de Paris La DéfenseEn tant que maître d'ouvrage, Paris La Défense a confié au paysagiste Base la reconfiguration de la Place de La Défense. Rappelons que cette place n'est pas un espace public traditionnel. Sa transformation a impliqué l'intégration de contraintes nombreuses et complexes, l'ensemble étant édifié au-dessus d'infrastructures situées sous la dalle (parking, voies souterraines, réseaux de transports...).« Nous reconfigurons l'espace dans sa totalité en menant un travail d'ensemblier visant à intégrer les éléments sculpturaux existants, tout en conservant ses fondamentaux en matière de circulations et d'usages. Nous souhaitons offrir à la Place de La Défense une dimension sensuelle et organique. » ajoute Adrien Fourès, paysagiste de l'agence BASE, en charge de la recomposition de la Place.Une Place événement et quatre espaces à vivreLa Place offre un espace carré de 20 000 m² bordé par le centre commercial Westfield Les 4 Temps d'un côté, et la Maison de La Défense de l'autre (cf. plans de situation ci-après).Voici les 5 espaces de la future Place : La Place centrale de 4 000 m² offrira un sol nivelé au revêtement plus adapté et unifié, rythmé de lignes, en écho à celles du Parvis. Le béton coulé en place, puis poncé, révélera des détails colorés et des étoiles incrustées en laiton. Les accès au parking seront, quant à eux, améliorés avec la rehausse des ascenseurs. Des failles de brumisation rafraîchiront les passants l'été. Régulièrement théâtre de nombreux événements et festivités, hors contexte sanitaire actuel, la Place disposera de tous les atouts pour renforcer sa vocation première : être le cœur battant du territoire.Recadrée et entièrement refaite, la grande pelouse de près 2 000 m² plongera les visiteurs dans une ambiance plus végétale.L'espace à vivre autour de l'Araignée rouge de Calder : l'œuvre d'art va s'élever au milieu d'un espace vert, caractérisé par une végétation de grande hauteur dont la plantation est possible à cet endroit. L'espace sera ainsi planté d'essences colorées aux teintes chaudes (Érables de Montpellier, Charmes et Sorbiers), en écho à la sculpture et de nouvelles assises, plus nombreuses, seront installées.L'espace à vivre autour de l'œuvre de Miró : les Personnages fantastiques vont se retrouver au cœur d'un jardin tout en courbes, à leur image. Conservé, l'emmarchement sera intégré à l'ensemble, en partie planté et agrémenté d'essences fleuries et colorées (Amélanchiers, Sorbiers, Cerisiers d'ornement).L'espace à vivre du côté de la verrière (verrière située au-dessus de la gare Cœur Transport) sera agrémenté de nouveaux arbustes (Arbres de Judée, Érables champêtres, Cerisiers d'ornement), créant un encadrement végétalisé. Un système de brumisation complétera les nouveaux aménagements.Entièrement reconfiguré, l'éclairage de la Place va simplifier et fluidifier les circulations piétonnes ainsi que celles des personnes à mobilité réduite, en particulier à la sortie des transports en commun. Les 18 mâts seront remplacés par 8 projecteurs de 14 et 18 mètres de haut, ils permettront ainsi d'éclairer jusqu'au centre de la Place.Les premiers travaux vont s'effectuer par phases et par secteurs en commençant par les zones périphériques de la Place pour s'achever par la partie centrale. Les circulations seront donc maintenues tout au long du chantier. La première étape, de mars à septembre 2021, concerne la recomposition de l'espace nord, du côté de la Maison de La Défense et de l'Araignée rouge de Calder, ainsi qu'une zone autour de la verrière RATP, avec des travaux de nuit pour ne pas interrompre l'accès à Cœur Transport la journée. Les phases se succéderont ensuite pour une livraison au printemps 2023.Les travaux sont réalisés en trois étapes :La démolition des revêtements existants et des sous-couches (remblai et étanchéité)La mise en place d'un nouveau complexe d'étanchéitéLa réalisation sur place des dalles en béton coulé (ce ne seront pas des éléments préfabriqués)
Cimbat
Il y a 4 ans et 88 jours

Fin du coup de pouce "chaudière gaz" : "Les particuliers nagent en pleine confusion"

RÉACTION. La colère de certains professionnels ne faiblit pas à la suite de l'annonce des projets gouvernementaux de mettre fin aux coups de pouce isolation et gaz le 1er juillet prochain. C'est à présent au tour du syndicat national de la maintenance et des services en efficacité énergétique (Synasav) de dénoncer la démarche.
Il y a 4 ans et 88 jours

Santé au travail : l'Assemblée nationale se penche sur la prévention

C'est la première fois qu'un texte d'initiative parlementaire s'attaque à la traduction d'un accord national interprofessionnel (ANI) sur le sujet, le premier du genre lui aussi, validé le 10 décembre par les partenaires sociaux en vue d'une réforme reportée depuis des années.Adoptée cette semaine en commission des Affaires sociales, la proposition de loi vise à "décloisonner la santé publique et la santé au travail" pour "répondre aux enjeux contemporains et futurs" en la matière, selon la députée LREM Charlotte Parmentier-Lecocq, auteure et rapporteure de la PPL avec Carole Grandjean (LREM).La France, qui ne consacre que "3% des cotisations AT/MP (accidents du travail/maladies professionnelles) à l'évaluation des risques professionnels, contre 10% pour l'Allemagne", doit "rattraper son retard", selon Mme Grandjean.A cette fin, la proposition de loi comme l'ANI prévoient une "offre socle" supposée plus accessible aux services de santé au travail (SST), qui deviennent des services de prévention et de santé au travail (SPST). Ils sont axés sur trois missions: "La prévention, le suivi médical et la prévention de la désinsertion professionnelle", c'est-à-dire le maintien en emploi des salariés ayant été touchés par des problèmes de santé."Suite au confinement de mars et la fermeture de certains services de santé au travail, il y a une réelle inquiétude sur leur activité en période de Covid, et cela montre combien le sujet est extrêmement important", a souligné Mme Grandjean auprès de l'AFP.Dépistage, vaccinationAlors que le gouvernement entend accélérer la campagne de vaccination contre le Covid-19, le texte réaffirme la possibilité de campagnes vaccinales et de dépistage par les services de santé au travail, notamment "contre le Sars-Cov-2", ce qui existait déjà pour la grippe, avec le consentement obligatoire du salarié.Il entérine, par ailleurs, sur la base du volontariat, le recours aux médecins généralistes appelés "médecins praticiens correspondants" pour pallier la pénurie de médecins du travail. Ils sont environ 5.000 pour 18 millions de salariés, selon les données officielles.Députés de l'opposition et syndicats restent "dubitatifs" sur cette mesure, au vu de la "désertification médicale". Ils craignent en outre une "dévalorisation" de la profession de médecin du travail alors que les représentants des généralistes eux-mêmes ont "peu ou pas" été consultés.La proposition de loi prévoit également le recours à des "infirmièr(e)s en pratique avancée" dont le "statut sera revalorisé" et qui travailleront "sous la responsabilité du médecin du travail", salarié protégé par le Code du travail. L'intégration de kinésithérapeutes dans les équipes pluridisciplinaires des SPST est également actée.Données médicales partagéesAutre mesure phare: le médecin du travail pourra consulter le dossier médical partagé (DMP) avec l'accord du salarié. Le "médecin praticien correspondant", dont le texte prévoit une formation spécifique en santé au travail, pourra de son côté consulter le dossier médical en santé au travail (DMST) du salarié, inclus dans le DMP.Un "rendez-vous de liaison" entre l'employeur et le salarié en arrêt de travail à la suite d'un accident ou une maladie, est aussi prévu avant la "visite de pré-reprise". Il doit permettre d'"informer" sur les conditions d'un retour au travail mais fait craindre à certains députés d'opposition des "pressions" que pourrait exercer l'employeur à cette occasion sur le salarié.Lors des débats en commission, les députés d'opposition ont regretté une proposition de loi "peu audacieuse" faisant "référence à la gouvernance des services de santé sans aborder la question des moyens" (PS) ni "le financement" des cellules professionnelles envisagées pour lutter contre la désinsertion professionnelle (LR).Ils ont dit leur "amertume" face à un texte qui "jamais ne s'en prend aux causes" (LFI) et rappelé que "le quinquennat a(vait) démarré sur une attaque frontale avec la suppression des CHSCT (comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail)" dans les entreprises, regrettant une proposition de loi "coincée dans un petit périmètre" (PCF).Pour Libertés et Territoires, qui insiste sur "le respect du consentement" de tous les salariés, "la crise sanitaire a mis en lumière les dysfonctionnements" de la santé au travail avec des médecins et services "pas à la hauteur" de la situation.
Il y a 4 ans et 88 jours

Meva prend les rênes de la PME Acropol

Les responsables de l’entreprise Acropol (à gauche) transmettent les rênes à Meva. [©Meva] Composée de Nadine Bonnast et de Bernard Bron, la famille dirigeante d’Acropol a passé les rênes de sa PME à l’Allemand Meva, dans le cadre d’une cession d’entreprise. Le rachat a eu lieu le 21 janvier dernier. Avec 25 employés à Landen, en Belgique et à Rodange, au Luxembourg, Acropol s’est fait un nom dans la location de coffrages de voiles et de dalles. Ainsi que dans celle de systèmes d’étaiement et de soutènement destinés à la construction résidentielle. Cette entreprise est très ancrée dans le tissu économique local. Meva va donc étendre sa présence au Benelux.  Le coffreur Meva se lance en Belgique et au Luxembourg Pour ce fabricant de coffrages basé en Forêt Noire, à Haiterbach (Bade-Wurtemberg), ce rachat ouvre de nouvelles possibilités. Ceci, afin de poursuivre le développement de ses activités dans les pays voisins. Ainsi, les clients du Benelux pourront non seulement profiter de la large palette de produits. Mais aussi bénéficier de l’accompagnement et des services de Meva. Les entreprises de construction du Nord-Est de la France et de l’Ouest de l’Allemagne disposeront, de par un approvisionnement plus rapide, de la proximité des nouveaux sites.  De plus, de nouvelles prestations vont venir étoffer l’offre Meva. Outre la location, l’accent va être mis sur la vente de coffrages et de prestations de services, telles que le suivi de projet, la réalisation des plans de coffrage et d’exécution en 3D. Ainsi que la statique, les coffrages spéciaux et le savoir-faire en matière de béton apparent.  Le nouveau site de Meva, à Landen, dispose d’un hall de 3 000 m², de bureaux modernes, de salles de formation et d’exposition. Ainsi que de 20 000 m² extérieurs, destinés à la préparation des coffrages, à la logistique et à l’agrandissement du parc de matériels. 
Il y a 4 ans et 88 jours

Nord : consécration pour la chapelle rénovée de l'Université catholique de Lille

RÉHABILITATION. Considérée comme un élément des plus remarquables du patrimoine lillois, la chapelle de l'Université catholique de la capitale des Flandres vient d'être fraîchement rénovée. Ouvert en 1925, l'édifice de 928 m² a directement participé à l'histoire du campus et a connu des usages multiples. Le chantier de modernisation a été initié en 2013, la dernière tranche de travaux ayant nécessité quelque 3,6 millions d'euros.
Il y a 4 ans et 88 jours

CNDB : Le bois, révélateur d’intérieur

Le Comité National pour le Développement du Bois (CNDB) œuvre depuis plus de 30 ans pour promouvoir et accompagner l’usage du matériau bois en aménagement, construction et rénovation. Son premier thème pour l’année 2021 est l’usage du bois en aménagement d’intérieur. Mobiliers, sols, cuisines, salles de bain, panneaux décoratifs, claustras… le bois sublime chaque recoin de nos intérieurs. Personnalisable à l’infini, il confère une certaine aura à ces espaces de vie. Plénitude des sens, il est aussi agréable pour la vue que pour le toucher, mais sollicite aussi notre olfaction. Entrer dans un univers fait de bois est un appel au calme, une invitation au cocooning. Pas étonnant donc qu’il rencontre un grand succès tant auprès des particuliers que des entreprises.Matériau noble, durable, malléable, le bois fait son grand retour. Qu’il s’agisse d’une démarche éco-responsable ou d’une envie de pimper son intérieur, on ne peut plus s’en passer. Les architectes ne se lassent pas de travailler et de jouer avec ses textures. Autrefois apprécié pour sa robustesse, il est aujourd’hui un incontournable des écoconstructions et des intérieurs durables. Le bois est d’ailleurs très apprécié par les entreprises, qui envisagent leurs espaces de travail comme des lieux de vie et d’épanouissement. Par exemple, le siège Santé publique France, construit par Atelier du Pont, est entièrement habillé de bois. « Le bâtiment est intégralement conçu en bois que ce soit l’ossature, le plancher mais aussi les façades et l’aménagement intérieur. C’est un lieu de travail soucieux du bien-être des utilisateurs et très agréable à vivre. Nous avons utilisé des procédés de construction et des matériaux naturels, recyclables, sans solvant ni plastique », explique Anne-Cécile Comar, architecte et co-fondatrice d’Atelier du Pont, agence d’architectes créée en 1997.Too much, le tout bois ?Non, et bien au contraire ! Le bois peut se travailler de façon brute ou bien de façon plus délicate à travers des panneaux décoratifs, du mobilier ou encore des claustras. Les possibilités sont infinies ! « Il faut trouver une harmonie entre les différents types de bois mais on peut jouer avec les lasures, les différentes essences mais aussi du bois brut ou non. C’est ce que nous avons fait lors de la construction d’un hôtel auto-suffisant à Minorque. Le bois, travaillé par des artisans locaux, côtoie ainsi la pierre extraite in-situ ou dans des carrières Minorquines. Le bois est prédominant sans jamais être étouffant !», se réjouit d’ailleurs Anne-Cécile Comar.Pour en savoir plus, visitez le site et les réseaux sociaux du CNDB. Visuels : 1, 2 ) Siège de Santé publique France en lisière du bois de VincennesArchitecte et Architecte d’intérieur : Atelier du Pont (Anne-Cécile Comar & Philippe Croisier)Maître d’ouvrage : Santé publique France© Karel Balas, Takuji Shimmura 3) Hôtel autosuffisant et écologique à MinorqueArchitecte et Architecte d’intérieur : Atelier du Pont (Anne-Cécile Comar & Philippe Croisier)La rédaction
Il y a 4 ans et 88 jours

Partenariat “bas carbone” entre PBM et Vicat

PBM Groupe vient de signer un partenariat avec le cimentier Vicat pour l’utilisation du ciment bas carbone Naturat. [©PBM Groupe] Spécialiste de la préfabrication d’escaliers en béton, PBM Groupe s’engage en faveur de l’environnement et du bas carbone. Ainsi, il vient d’annoncer la signature d’un contrat de partenariat avec Vicat, visant la fourniture du ciment bas carbone Naturat.« PBM obtient ainsi l’exclusivité de l’utilisation du ciment Naturat pour la préfabrication de ses escaliers en béton », précise Bernard Michel, directeur de production chez PBM. L’enjeu est de diminuer le bilan carbone des escaliers de 30 %. Pour Didier Fiducia, directeur des ventes ciment chez Vicat, « ce partenariat illustre la mobilisation des équipes Vicat aux côtés de ses clients pour décarboner le secteur de la construction ». Le ciment Naturat de Vicat PBM Groupe va utiliser Naturat dans ses formules béton. Ce ciment bas carbone multi-usages de type CEM IV est destiné aux travaux courants en neuf et rénovation. Il est composé de pouzzolanes naturelles et de pierres volcaniques issues des volcans d’Auvergne. Produit à Créchy (03), Naturat utilise des ressources locales, afin de réduire l’impact carbone. La composition et le process de fabrication de ce ciment répondent aux exigences de la future RE 2020. Pour s’acquitter de sa mission de préfabrication, le groupe PBM emploie plus de 600 collaborateurs répartis sur 9 sites de production en Europe. Son chiffre d’affaires est de 125 M€.
Il y a 4 ans et 88 jours

KP1 : Longrines et planchers sur vide sanitaire conformes à la loi Elan

KP1 propose des solutions industrielles conformes aux exigences de la loi Elan. [©KP1] Pour tout contrat de construction de maisons individuelles conclu depuis le 1eroctobre 2020, la loi Elan instaure de nouvelles obligations dans les zones à risques argiles “moyen” ou “fort”. Plus de la moitié du territoire est concernée ! Cela implique de renforcer les fondations et de rigidifier les structures, après la réalisation d’une étude de sol. Ceci, afin de supprimer toute menace géotechnique, à l’image du phénomène de retrait-gonflement. Ainsi, KP1, spécialiste des systèmes constructifs préfabriqués, propose des solutions industrielles conformes à ces exigences. A savoir, ses longrines sur mesure et ses planchers sur vide sanitaire associés. Les atouts des longrines et des planchers KP1 Livrées en 7 j, les longrines KP1 sont une alternative aux pratiques traditionnelles de “murs de soubassement maçonnés/fondations avec semelles filantes”. Elles sont compatibles avec les différents types de fondations. D’une part, superficielles ou semi-profondes à l’aide de semelles isolées ou de puits. D’autre part, profondes et intégrant des pieux, micropieux ou puits profonds.KP1 propose aussi différents systèmes de planchers sur vide sanitaire : Isoleader, Milliwatt classique ou chauffant pour des planchers isolants. Ainsi que EMS EcoVS pour des planchers non isolants ou associés à une isolation rapportée en chape flottante. Ces planchers sur vide sanitaire limitent les risques liés à une accumulation d’humidité et de radon, engendrée par une mauvaise qualité des sols.
Il y a 4 ans et 88 jours

Le trafic dans les aéroports d'Europe a régressé de 25 ans

Les aéroports du Vieux Continent ont vu passer 728 millions de voyageurs l'année dernière, contre 2,4 milliards en 2019, a précisé le Conseil international des aéroports (ACI Europe) qui les fédère."Les aéroports européens sont revenus à leurs niveaux de trafic de 1995. Aucun secteur ne peut supporter seul un tel choc", a estimé le directeur général de l'organisation Olivier Jankovec, en renouvelant son appel à davantage d'aides d'État, étant donné "les baisses de trafic supplémentaires ces dernières semaines et l'absence de perspectives de reprise".Ce sont les aéroports situés dans l'Union européenne qui ont le plus souffert, avec un trafic en chute de 73% sur un an, tandis que les pays hors UE mais situés dans le périmètre d'ACI Europe ont légèrement mieux résisté avec un recul de 61,9%, une tendance tirée par la Russie et la Turquie, moins touchées par des restrictions de déplacement.Côté aéroports, le classement des principales plates-formes de correspondances du continent par nombre de passagers a été bouleversé: Londres-Heathrow, Paris-Charles-de-Gaulle, Amsterdam-Schiphol et Francfort, les quatre premiers "hubs" en 2019, ont disparu du "Top 5", au profit d'Istanbul, passé de la cinquième à la première place.Un autre aéroport turc, Istanbul-Sabiha Gocken, pointait à la deuxième place, suivi des trois principaux aéroports moscovites (Cheremetievo, Domodedovo et Vnoukovo).
Il y a 4 ans et 88 jours

Mérule : l'Etat n'imposera pas aux assureurs de couvrir tous les dommages

DÉCENNALE. Les dégâts provoqués par la mérule sont à l'origine de réparations onéreuses pour les propriétaires. Pour autant, l'État ne compte pas modifier la code des assurances de manière à imposer aux assureurs de les prendre en charge.
Il y a 4 ans et 88 jours

Election du président de l’Unicem Auvergne – Rhône-Alpes

Jérôme Montané, nouveau président élu à l’Unicem Auvergne – Rhône-Alpes. [©Unicem] L’élection de Jérôme Montané a eu lieu le 2 février dernier. Il devient le nouveau président de l’Unicem Auvergne – Rhône-Alpes. Et succède à Alain Boisson, devenue président de l’Unicem nationale. Il sera à la tête de l’antenne régionale durant 3 ans. Dans la même ligne que son prédécesseur, Jérôme Montané compte continuer les actions du syndicat. Il entreprend aussi d’améliorer la communication et la collaboration avec les différents acteurs de la filière carrières et matériaux. Il a pour mission de fédérer les adhérents et de défendre les intérêts des entreprises de la filière.  Jérôme Montané souhaite aussi fait entendre les acteurs du marché sur certaines problématiques. Telles que la préservation des ressources, les évolutions normatives, ainsi que les solutions constructives. De plus, il encourage tous les acteurs de la filière à prendre en compte les évolutions liées à la société, ainsi qu’aux changements climatiques et écologiques. « L’Unicem a été créée sur une volonté de s’unir pour défendre les intérêts que chacun ne pourrait faire individuellement, souligne Jérôme Montané.Nous irons toujours plus loin en travaillant collectivement ! Nous devrons aussi travailler de façon prospective pour être encore plus associés aux débats sociétaux. Et expliquer que nos matériaux ne sont pas un problème, mais font partie des solutions. » Son parcours Avec l’obtention d’un premier diplôme d’ingénieur en 1998 et d’un second en 2008 à HEC Paris, Jérôme Montané est un expert dans son domaine. Depuis 2017, il était le vice-président de l’Unicem régionale en charge de la commission territoriale BPE. A ce poste, il a initié de nouveaux projets dans la région. En parallèle de son activité syndicale, Jérôme Montané est directeur du secteur matériaux (granulats et béton) de Cemex  région Rhône – Ain – Loire. Il a occupé différent poste au sein du groupe, dans l’industrie du béton et des carrières. Charline David
Il y a 4 ans et 88 jours

Soprema, une entreprise formatrice de nos jeunes

Soprema Entreprises est engagée dans la formation des jeunes talents. [©Soprema Entreprises] Acteur de l’enveloppe du bâtiment, Soprema est engagée dans la formation de jeunes talents depuis plusieurs années. Les formations dans les métiers pointus du secteur du bâtiment ne sont pas nombreuses… C’est Soprema Entreprises qui s’occupe de cette mission. Cette filiale joue un rôle actif dans la formation en alternance. Depuis 2016, en collaboration avec le Cesi de Strasbourg, l’industriel a créé une formation Bac+2 de conducteur de travaux. Et aujourd’hui, un Bac+3 d’ingénierie des enveloppes du bâtiment. Cette licence accueille neuf étudiants.  « Notre volonté est de capter des profils provenant d’un BTS enveloppe du bâtiment ou d’un DUT génie civil. Et ayant déjà une connaissance du secteur et un projet professionnel plus mature », témoigne Rodolphe Lefèvre, directeur général adjoint de Soprema Entreprises. Cette dernière entité a donc a pour objectif de recruter ces étudiants opérationnels. La philosophie de l’entreprise est de former des jeunes, en les accompagnant à chaque étape de leur nouvel vie active. Les étudiants sont ainsi responsabilisés et découvrent le métier de l’intérieur. Grâce à l’alternance, ils acquièrent une réelle expérience de terrain. Un vrai plus pour cette génération, qui recherche du concret pour leur futur.  L’ADN de l’entreprise  Soprema Entreprises participe à d’autres programmes de formation en alternance, toujours autour des métiers du BTP. Ainsi que de la gestion. « Il n’y a pas qu’une seule formule en matière d’alternance, explique Armandine Rémy, responsable recrutement. Notre volonté est de monter, selon les besoins, des dispositifs sur mesure à l’échelle régionale et en collaboration avec les acteurs du territoire. » L’entreprise a multiplié par trois le nombre de contrats chez Soprema, l’alternance permet une transmission de savoir-faire et de savoir-être intergénérationnel. Celle-ci assure un développement et une pérennité à l’entreprise. Pour la troisième année consécutive, l’enquête Happy Trainee place Soprema comme une entreprise où il est bon de réaliser son alternance.  Pour connaître toutes les informations concernant les alternances chez Soprema, consultez le site dédié. Charline David
GDA
Il y a 4 ans et 88 jours

Publication d’une nouvelle fiche conseils par l’OPPBTP

Cette nouvelle fiche conseil sde l’OPPBTP vient compléter la boîte à outils Covid-19. [©OPPBTP] En raison des restrictions sanitaires liées à la crise du Covid-19, la prise de repas sur les chantiers est devenue un moment délicat. Les distances de sécurité ne peuvent pas être toujours respectées. Et les entreprises rencontrent des difficultés à réaliser un roulement. Pour cela, l’utilisation de séparations physiques est fortement recommandée. L’OPPBTP publie donc une fiche de conseils et prévention pour aider au choix et à l’utilisation de ces séparations. Elle complète la boîte à outils Covid-19 mis en place par l’OPPBTP à disposition des entreprises du secteur.  Largement recommandées par l’OMS, le Haut conseil de la santé et bien d’autres organismes, ces séparations physiques sont indispensables. Elles permettent d’intercepter les gouttelettes respiratoires et les particules projetées lors d’une discussion. Elles sont aussi utiles pour garantir la distanciation sociale, tout en gardant un lien entre les professionnels. Dans ce guide, l’OPPBTP rappelle des points de vigilance à prendre absolument en compte quant à l’utilisation de ces séparations. Les entreprises doivent s’assurer que les séparations sont aux bonnes dimensions, qu’elles protègent l’utilisateur de tous les côtés. Il faut aussi éviter les séparations avec ouvertures et privilégier celles disposant de moyens de fixation sur les surfaces. Enfin, il est recommandé d’aérer régulièrement l’espace de prise de repas, ainsi que de le nettoyer entre chaque personne (cette dernière remarque reste valable même hors période Covid…). L’OPPBTP demande aussi de ne retirer le masque qu’en position assise.  Retrouvez la fiche conseils sur le site internet de preventionbtp.fr Charline David 
Il y a 4 ans et 88 jours

Nouvelle tuile design Karat XXL-D en gris graphite teintée dans la masse

Depuis cinquante ans, la tuile Karat© crée de magnifiques toitures intemporelles et s’accorde parfaitement avec l’architecture contemporaine. Elle s’est distinguée par sa technique unique et son design raffiné, salué par de nombreux prix.Une variante teintée dans la masseSa grande sœur, la tuile Karat© XXL, se décline désormais en une variante teintée dans la masse. Ses lignes droites et ses bords nets sont soulignés par le grès bigarré de Thuringe (Allemagne). Grâce à sa version gris graphite, il n’est même plus nécessaire de retravailler les bords de coupes ou les épaufrures, inévitables sur le chantier. Cet élément confère sa rentabilité à la tuile Karat© XXL-D.Une tuile de grande taille avec du caractèreLa tuile Karat© XXL-D possède de nombreux avantages qui facilitent sa mise en œuvre. Son poids unique de 5,3 kg simplifie grandement sa manutention sur le toit. Son pureau variable de 20 mm en fait aussi une star chez les couvreurs. Cette tuile se démarque aussi par sa pente de toit nominale de 22° et sa pente minimale de 10°.Sa pose ne nécessite que dix tuiles par mètre carré. La tuile Karat© XXL-D se montre donc particulièrement rentable pour les grandes surfaces et les structures porteuses. Grâce à son double emboîtement latéral et au niveau de la tête, elle garantit une grande résistance aux infiltrations d’eau. Enfin, la tuile Karat© XXL-D achève de convaincre avec sa grande résistance à la grêle (classe 4).Une garantie de disponibilité longue duréeLa garantie de disponibilité s’applique également à la tuile Karat© XXLD. ERLUS s´engage à livrer un modèle de tuile identique et garantit une disponibilité du modèle pendant une durée de 20 ans, à partir de la date de livraison. Les tuiles ERLUS sont disponibles auprès des négoces de matériaux.Fiche technique Karat © XXL-DPureau moyen : 38,5 – 40,5 cmDimensions : environ 32,5 x 48,0 cmTuiles par m2: environ 9,0 piècesPente nominale du toit : 22°Pente de toit minimale : 10°Résistance à la grêle (HW) : 4
Il y a 4 ans et 88 jours

Que comporte le projet de loi Climat et Résilience ?

Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique. [/DR] Mercredi 10 février 2021, Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, a présenté en conseil des ministres le projet de loi Climat et Résilience. Le texte, qui reprend en partie des propositions de la Convention citoyenne pour le climat (CCC), tourne autour de six grandes thématiques : consommer, produire et travailler, se déplacer, se loger, se nourrir et renforcer la protection judiciaire de l’environnement. « Il ne s’agit pas seulement de changer les moteurs de nos voitures ou les machines de nos usines, déclare Barbara Pompili. Il s’agit de changer de civilisation, de culture et de mode de vie. C’est un texte qui mettra un coup d’arrêt à l’étalement urbain sans fin […] et qui permettra de mettre en location des logements décents sur le plan énergétique. » Le projet de loi impacte à différents niveaux l’industrie de la construction. Une nouvelle façon de se déplacer Tout un chapitre du projet de loi est consacré à l’optimisation du transport routier de marchandises et la réduction de ses émissions. Ainsi, l’article 30 propose la suppression progressive de l’avantage fiscal sur la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (Ticpe) entre 2023 et 2030. Le texte prévoit une formation à l’éco-conduite, l’intégration des émissions des transports de marchandises dans la déclaration de performance extra-financière (Dpef). Il compte aussi instaurer la mise en place de zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m) dans les agglomérations métropolitaines de plus 150 000 habitants, d’ici le 31 décembre 2024. Rénover les passoires thermiques Une série d’articles du projet de loi Climat et Résilience s’intéresse à la rénovation énergétique des bâtiments. Dont la réforme du Diagnostic de performance énergétique (DPE) ou encore, le gel des loyers des bâtiments passoires énergétiques. Si la proposition de la Convention citoyenne pour le climat d’obliger les propriétaires à les rénover d’ici à 2040 n’a pas été retenue, le texte entend interdire la location de passoires thermiques (actuelles étiquettes F et G) dès le 1er janvier 2028. Outre ces mesures, la loi prévoit la mise en place d’un service public de la performance énergétique de l’habitat. C’est-à-dire, la création d’un guichet unique et gratuit de conseils décliné sur tout le territoire autour de la rénovation. Lutte contre l’artificialisation des sols La loi Climat et Résilience fixe comme objectif la réduction par deux du rythme d’artificialisation des sols sur les deux prochaines années par rapport à la décennie précédente. Elle en inclut aussi une définition. « L’objectif sera décliné dans les territoires, précise le gouvernement. Un principe général d’interdiction de création de nouvelles surfaces commerciales qui entraîneraient une artificialisation des sols est posé [Ndlr : dans la loi]. » De plus, des mesures seront prises par ordonnance, permettant aux collectivités locales d’adapter leurs territoires côtiers au recul du trait de côtes. Transformer au lieu de démolir Dans le texte, le gouvernement entend donc impacter l’aménagement du territoire. Cela inclut les schémas régionaux de planification et les documents d’urbanisme. Mais aussi, la requalification des friches existantes avec le frein au développement de zones commerciales en périphérie des villes. Le projet de loi comprend aussi un potentiel de réversibilité. Ainsi, la requalification d’un bâtiment avant démolition doit être prise en compte. Selon un rapport de Boston Consulting Group, commandé par le ministère de la Transition écologique, les émissions en France sont en baisse tendancielle. Ces dernières sont de l’ordre de 445 MtCO2e émises en 2018 contre 548 MtCO2e en 1990 (année de référence dans la Stratégie nationale bas carbone). L’objectif à atteindre est à hauteur de 330 MtCO2e d’ici 2030. Pour le cabinet de conseils, « le potentiel de réduction des émissions de gaz à effet de serre visé par l’ensemble des mesures déjà prises au cours du quinquennat et proposées dans le projet de loi Climat et Résilience est globalement à la hauteur de l’objectif de 2030. Sous réserve de leur exécution intégrale et volontariste ».
Il y a 4 ans et 88 jours

Airbnb fait un pas vers la transparence demandée par les villes

Airbnb annonce souscrire en partie aux engagements demandés par des associations d'élus, des collectivités et des métropoles, afin que sl'activité de ses plateformes de locations soit plus transparente.
Il y a 4 ans et 88 jours

Au Pays-Bas, le Pavillon Loenen, signé KAAN, est un mémorial multifonction

KAAN Architecten a livré en novembre 2020 à Loenen (Pays-Bas) un mémorial dédié à la mémoire des victimes néerlandaises de la Seconde Guerre mondiale et des conflits internationaux plus récents. Au programme de ce bâtiment multifonction de 583 m² : auditorium, espace éducatif, salle d’exposition, espace condoléances. Communiqué. Conçu à la demande de la fondation néerlandaise […] L’article Au Pays-Bas, le Pavillon Loenen, signé KAAN, est un mémorial multifonction est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 88 jours

Les chaussures de sécurité : des indispensables en BTP

Dans la réalisation d’un travail, s’équiper de certains matériaux est parfois nécessaire. Comme en BTP, on en trouve pas mal qui sont indispensables pour les constructions et les rénovations elles-mêmes. Les chaussures de sécurité sont justement de rigueur pour tous ceux qui interviennent sur un chantier. L’utilité des chaussures de sécurité Travailler dans le secteur du bâtiment nécessite un savoir-faire particulier. À part maîtriser différentes méthodes, il faut savoir utiliser les outils. Cependant, on n’est jamais à l’abri des risques divers. Malgré le talent et la maîtrise que l’on puisse avoir, on peut parfois échapper des instruments ou marcher sur quelque chose de tranchant. Les chaussures de sécurité btp ont justement été conçues à cet effet, pour protéger les pieds. Recevoir un objet lourd sur l’un des pieds peut entraîner une blessure grave. Selon le degré de la douleur ou de la blessure, cela entraîne parfois un arrêt temporaire dans l’exercice de l’activité. Dans certains cas, les victimes portent même des séquelles à vie. Les conditions de travail en BTP sont particulièrement délicates. Durant une intervention, on retrouve des morceaux de bois, des petits cailloux ou des clous éparpillés un peu partout sur le chantier. Lorsqu’on est concentré sur les opérations, on ne fait pas forcément attention là où l’on met les pieds. Justement, les chaussures protectrices contre les accidents sont aussi utiles pour éviter de perforer les pieds. Par ailleurs, la nature du terrain est aussi source d’accidents des fois. On trouve du terrain irrégulier, glissant ou qui est en contact avec un conducteur électrique alimenté. Pour la sécurité des travailleurs, il est important de s’équiper de ce type de chaussures. De cette manière, on arrive à limiter les dégâts des accidents au niveau des pieds, voire même les éviter. Comment choisir ses chaussures de sécurité ? Ces accessoires offrent une protection optimale aux pieds, aux chevilles et aux mollets selon le modèle. Par ailleurs, il ne faut pas qu’elles gênent la personne qui les porte. Enfiler des chaussures de sécurité ne doit pas être un obstacle dans la bonne réalisation d’un travail. Au contraire, cela doit aider l’ouvrier que cela soit pour le maçon, le charpentier, le peintre, etc. Par conséquent, il est important de bien choisir des modèles confortables. Étant donné qu’on va les porter tout le long de la journée, la légèreté est un excellent critère. Ce sont les éléments composant les chaussures qui font qu’elles soient légères ou non. On doit alors tenir compte de l’embout de sécurité qui est la coquille même pour la protection. Il y a aussi la semelle anti-perforation, en acier ou non métallique. Outre la question du confort, il est préférable de choisir des équipements adaptés. Dans le secteur du bâtiment, les modèles les plus conformes sont les chaussures de protection étanches et fiables. Cela dit, le choix du matériau est aussi primordial. Certains ont la particularité d’être lavables et hydrophiles. D’autres sont plus résistantes à l’abrasion et aux déchirements. Chaque matériau offre un aspect unique. Néanmoins, ce qui importe le plus aussi, c’est que les chaussures aient été conçues selon les normes en vigueur.
Il y a 4 ans et 88 jours

Vestas accélère dans l'éolien en mer après un bond de ses ventes en 2020

L'an passé, Vestas a dégagé un bénéfice net en hausse de 10% à 771 millions d'euros, malgré des effets de la crise sanitaire sur sa chaîne d'approvisionnement, tandis que le chiffre d'affaires a atteint un nouveau sommet à 14,82 milliards d'euros, soit un bond de 22%.Dans un secteur toujours tiré par les investissements mondiaux importants dans les énergies renouvelables, les commandes ont en revanche légèrement ralenti (-8%), à 12,7 milliards, indique le groupe danois dans son rapport financier annuel.Leader historique de l'éolien terrestre et numéro un mondial du secteur en général, Vestas cherche actuellement à rattraper son retard dans l'éolien en mer, où il fait notamment face à la concurrence du germano-espagnol Siemens Gamesa ou encore de l'américain GE.En octobre, le fleuron danois avait annoncé prendre le contrôle à 100% de sa coentreprise d'éolien en mer lancée en 2014 avec le japonais Mitsubishi Heavy Indutries, contre près de 700 millions d'euros.En 2021, la priorité du groupe sera "d'intégrer complètement l'offshore et de répondre à des défis d'exécution" de ses plans, commente le PDG Henrik Andersen dans le rapport.Le groupe a dévoilé mercredi une nouvelle éolienne en mer géante de 15 mégawatts, avec laquelle il compte participer aux appels d'offres dès 2021 pour de premières installations en 2024.Selon Vestas, son modèle de turbine offshore pourrait produire 80 gigawattheures par an, soit la consommation de 20.000 foyers européens."Vestas est le leader mondial dans l'éolien terrestre, néanmoins pour continuer à mener la croissance de l'énergie éolienne (...) il est crucial pour Vestas de devenir un leader dans l'éolien en mer", indique le groupe dans un communiqué.Pour 2021, le groupe vise un chiffre d'affaires compris entre 16 et 17 milliards d'euros, soit une hausse de 8 à 15%. Vestas prévoit aussi une marge opérationnelle avant éléments spéciaux comprise entre 6 et 8%, contre 5,1% en 2020.Peu après l'ouverture à la Bourse de Copenhague, l'action abandonnait environ 2% à 1.252 couronnes.Fin 2020, Vestas employait quelque 29.000 personnes dans le monde, dont 6.000 au Danemark.
Il y a 4 ans et 88 jours

JO-2024: la justice rejette le recours déposé contre le village des médias en Seine-Saint-Denis

La justice a rejeté le recours déposé par des opposants à la cession d'une partie du parc départemental Georges-Valbon en Seine-Saint-Denis, qui doit accueillir le village des médias pour les JO.
Il y a 4 ans et 88 jours

Contournement de Rouen : région et département proposent de payer à la place de la métropole

Le président du conseil régional Hervé Morin (les Centristes) a annoncé lors d'une conférence de presse aux côté de Bertrand Bellanger, président LREM du département, qu'ils allaient proposer "à l'État de prendre en charge la partie qui devait être financée par la métropole pour que cet équipement puisse voir le jour".Le conseil régional votera sur le sujet lundi et le conseil départemental le 8 avril, ont-ils précisé. Lundi dernier, le conseil métropolitain, présidé par le socialiste Nicolas Mayer-Rossignol, allié à EELV, a voté le retrait de la contribution de 66 millions au financement de ce projet de 41,5 km d'autoroute payante votée en 2017. La métropole était alors présidée par un autre PS."En dépit de l'effort que cela peut représenter sur le budget régional, la majorité régionale a décidé d'augmenter sa contribution de 48 millions d'euros" pour la porter à "205 millions", a précisé M. Morin.De son côté le président du conseil départemental va "proposer que le département augmente sa contribution pour la porter de 22 millions à 40 millions".Selon M. Morin les deux collectivités vont adresser vendredi un courrier à l'État.Interrogé jeudi, le ministère des Transports n'a pas donné suite dans l'immédiat. Questionné lundi sur le retrait de la métropole, un porte-parole du ministère avait indiqué qu'il attendait "les retours officiels de chacun". L'État "n'imposera pas un projet qui ne fait pas consensus parmi les acteurs locaux", avait-il ajouté.Evalué à 886 millions HT en 2015, le projet devait être financé à hauteur de 245 millions d'euros par l'État, son maître d'oeuvre. L'apport du futur concessionnaire devait être de 396 millions."Nous considérons que la décision de la métropole est trop grave car elle engage définitivement vers la non réalisation de cet équipement pour que nous ne prenions pas nos responsabilités", a aussi déclaré M. Morin.Sollicité par l'AFP, le président de la métropole Nicolas Mayer-Rossignol s'est interrogé sur la façon dont la région et le département "financeraient ces dizaines et dizaines de millions supplémentaires qu'elles annoncent à quelques mois des élections locales". "La région réduirait ses financements sur le train ? Le département ses financements en matière sociale?"."C'est une gifle adressée à tous les habitants de la Normandie qui ne sont pas dans la métropole de Rouen", a renchéri le député européen EELV David Cormand. "Ca veut dire concentrer la quasi totalité de la capacité d'investissement de la région dans les années qui viennent uniquement sur un projet inutile et pour la métropole de Rouen".Les partisans de ce projet estiment qu'il est indispensable pour désengorger le centre de Rouen et pour son développement économique, ce que contestent ses opposants pour lesquels il est contraire à l'urgence climatique.Le 7 janvier 2020, l'État s'était engagé devant l'Assemblée nationale à lancer la procédure compétitive visant à désigner un concessionnaire d'ici la fin d'année 2022.
Il y a 4 ans et 88 jours

Vinci accuse une lourde chute de son bénéfice net annuel en 2020

Vinci a accusé en 2020 une chute de 61,9% de son bénéfice net à 1,24 milliard d'euros, plombé par la baisse de ses activités autoroutière et aéroportuaire.
Il y a 4 ans et 88 jours

Le confort d’usage et le plaisir d’habiter sont l’essence du projet Woodway

Séméio architecture réalise Woodway, un programme de 62 appartements en accession sociale à la propriété, inspiré des... Cet article Le confort d’usage et le plaisir d’habiter sont l’essence du projet Woodway est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 88 jours

Des résultats en baisse pour Schneider Electric en 2020

RESULTATS. Malgré un bon second semestre, Schneider Electric annonce des résultats 2020 en baisse. Toutefois, l'industriel se montre optimiste pour 2021 et 2022.
Il y a 4 ans et 88 jours

Grand Paris des entreprises : action coordonnée pour la relance du secteur de la construction

Depuis un an, l’activité du secteur de la construction en Ile-de-France s’est dégradée. Même si ce secteur semble mieux résister que d’autres à la crise actuelle, ce résultat est en trompe-l’œil. En effet, en excluant les grands projets et les glissements de chantiers, le manque de perspectives est criant, surtout pour les TPE et PME. Autour de la CCI Paris Ile-de-France, les professionnels du secteur expriment trois vœux pour rebondir et construire la ville de demain.  Relancer la commande publique  Aujourd’hui, les professionnels s’accordent à dire qu’il est temps de lancer les marchés, de libérer les projets et de garantir l’approvisionnement des chantiers en accélérant les autorisations d’exploitation de carrières et d’acceptation de déblais. Les programmes de construction et de rénovation sont nécessaires au développement du territoire et doivent être engagés dès à présent pour contribuer durablement à la croissance des entreprises locales.  Répondre à la forte demande de logement  La production de logements est au ralenti : ces derniers mois, les autorisations sont inférieures aux mises en chantier en Ile-de-France. Pourtant la crise a renforcé les aspirations des franciliens vers le mieux-habiter. Il faut donc rapidement répondre à ces attentes de construction neuve et durable. Plusieurs leviers existent : accélérer réellement l’instruction des autorisations d’urbanisme (-25% en 2020, un trimestre de délivrance en moins), mobiliser le foncier public (près de 150 ha fléchés en Île-de-France), développer le segment intermédiaire (près de 7 000 logements locatifs intermédiaires ont été agréés en 2019 et l’objectif est de 100 000 à l’horizon 2030) et transformer des bureaux vacants en logements (en relevant le bonus de constructibilité).  Choisir le bon tempo pour avancer  Malgré l’absence de visibilité à moyen-terme et la stagnation, voire la baisse, des prix des marchés de travaux, les entreprises maintiennent leurs effectifs et remplissent leurs objectifs élevés en matière d’apprentissage. A ce titre, la FFB reconduit son opération « 15 000 bâtisseurs » et la FRTP IDF œuvre en faveur de l’attractivité des métiers avec son opération #DirectionTravauxPublics qui promeut les métiers et formations de la filière.  Pour tenir le cap, le remboursement du PGE qui pourra être différé d’une année supplémentaire, voire plus, est une bonne nouvelle. Mais en cette période d’incertitudes, ce n’est pas le bon moment pour ajouter du flottement. La règlementation environnementale (RE 2020) va perturber la filière construction dans le choix des matériaux et équipements. Les professionnels du secteur demandent à jouer la carte de la complémentarité des différents modes constructifs. De plus, il faut miser sur le recyclage et la valorisation des déchets de chantier en circuits-courts et des ouvrages démonstrateurs.  Source : CCI Paris Ile-de-France
Il y a 4 ans et 88 jours

Habiter autrement dans les petites villes de demain

Le 1er octobre 2020, Jacqueline Gourault a annoncé le lancement du programme Petites Villes de demain, porté par l’Agence nationale de cohésion des territoires (ANCT). Ce programme est une véritable boîte à outils qui permet aux villes de moins de 20 000 habitants de bénéficier d’un soutien spécifique de l’État et de ses partenaires pour leurs projets de revitalisation. En février 2021, une consultation lancée pour deux mois auprès des communes en constitue la première étape et répond à un double objectif : identifier les besoins nécessitant un soutien public pour concevoir et déployer des projets d’habitat innovant, en particulier inclusif en cœur de ville et identifier des initiatives et des conditions de réussite pour favoriser le partage d’expérience et d’initiatives entre petites villes de demain. Un groupe de compagnonnage entre élus intéressés et mobilisés autour des enjeux de l’habitat et de la transition démographique sera mis en place dans le cadre du club Petites Villes de demain, en s’appuyant sur des territoires pionniers en la matière.
Il y a 4 ans et 88 jours

Espaces d'exposition à Cognac, par l'agence BLP & associés

En novembre dernier, l’Ordre des architectes, l’UNSFA, le Syndicat de l’architecture et la Mutuelle des architectes français, ont lancé, avec le soutien du ministère de la Culture, l’enquête « Comment va votre agence » auprès des architectes français éprouvés par l’année 2020. Avec plus de 3800 […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 88 jours

[Concept] L’habitat éco-conçu modulaire et évolutif de Bruno GOBERT

Imaginez-vous dans un habitat modulable à souhait dont l’impact sur l’Environnement serait minimisé au possible et qui serait pré-construit hors-site pour une installation vertueuse et rapide… C’est ce qu’a imaginé puis conçu Bruno GOBERT via sa SAS BG EtRe EcoReS. Cet article vous présente ce concept. Fondée par Bruno GOBERT en 2020, la SAS BG EtRe […]
Il y a 4 ans et 89 jours

« Prise d’Assaut » : une résidence de création d’arts visuels à Ajaccio

Dans le cadre du programme d’activation de la Citadelle, la Ville d’Ajaccio et la SPL Ametarra, avec l’appui de Manifesto, proposent une résidence de création de quatre mois. Jusqu’au 9 mars 2021. Dans le cadre d’un concours, cet appel à création vise à sélectionner un.e artiste pour une résidence de création au sein de la […] L’article « Prise d’Assaut » : une résidence de création d’arts visuels à Ajaccio est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 89 jours

A Camerino (Italie), un conservatoire signé Alvisi Kirimoto (avec Harcome)

L’agence romaine Alvisi Kirimoto (Massimo Alvisi and Junko Kirimoto) a livré en octobre 2020, avec le jeune studio Harcome, pour la Fondation Andrea Bocelli, la nouvelle Académie de Musique de Camerino, dans le centre de l’Italie. Communiqué. Cet ouvrage de 600 m², édifié en 150 jours, est le troisième reconstruit depuis le tremblement de terre […] L’article A Camerino (Italie), un conservatoire signé Alvisi Kirimoto (avec Harcome) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 90 jours

Memphis : 40 ans de kitsch et d’élégance

Le mouvement Memphis, crée par un groupe de designers et architectes italiens est l’un des phénomènes les plus incroyables de ces dernières décennies. Au Vitra Design Museum. Jusqu’au 23 février 2022. Le mouvement Memphis apparaît à l’hiver 1980/1981, lorsqu’un groupe de jeunes designers désireux de rompre avec les dogmes du fonctionnalisme et le design industriel […] L’article Memphis : 40 ans de kitsch et d’élégance est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 90 jours

En Chine, The Mountain View, par Onexn Architects : une renaissance ?

Fin 2019, l’agence Onexn Architects (Zhang Bo, Wang Jingjing) a livré Mountain View, la réhabilitation et restructuration du ‘Building 6’ de Xiangshan Village à Shenzhen (Chine). Dans un contexte naturel, l’ancien bâtiment délabré est devenu un espace culturel et commercial et un lieu couru en ville. Communiqué. Environnement naturel et serein Situé à côté de […] L’article En Chine, The Mountain View, par Onexn Architects : une renaissance ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 91 jours

Rénovation : "Il faut écarter l'idée de travaux isolés", M. Meynier-Millefert (députée)

TRANSITION ÉCOLOGIQUE. La députée Marjolaine Meynier-Millefert revient pour Batiactu sur les principaux messages du rapport de la mission d'information parlementaire consacrée à la rénovation thermique des bâtiments, dont elle est rapporteure. Lisibilité et stabilité des mécanismes, gouvernance, structuration de l'État comme du BTP, et financements : le texte, fraîchement publié, dresse un constat et des propositions sur ces différents points.
Il y a 4 ans et 91 jours

Signature d'une convention pour promouvoir les métiers du gros oeuvre

COMPÉTITION. L'union de la maçonnerie et du gros oeuvre (UMGO-FFB) vient de passer une convention avec Worldskills France de manière à promouvoir ce type de métiers.
Il y a 4 ans et 91 jours

Les opérations retenues par le plan France Relance dans les Alpes-Maritimes

Un montant de 3,6 M€ est mis à profit des projets déployés dans l’Est du département des Alpes-Maritimes.
Il y a 4 ans et 91 jours

La métropole de Nice Côte d'Azur installe son Conseil du climat

"Naturellement, nous serons jugés", a souligné M. Estrosi, en promettant la publication d'"un observatoire avec les plus et les moins" et en annonçant une panoplie de mesures, qualifiées après la réunion de "positives mais tardives et pas assez ambitieuses" par le Collectif Citoyen 06."J'entends ceux qui parlent de la mobilité douce, non, il faut agir sur tout", a ajouté M. Estrosi. La loi impose aux collectivités de se doter d'un comité de suivi pour mettre en oeuvre leur plan climat respectif.Le Conseil niçois rassemble 80 membres, dont 30 représentants associatifs et citoyens qui siègent avec des acteurs économiques et administratifs.Parmi les mesures annoncées, M. Estrosi a indiqué qu'à compter du 1er juin, la circulation des poids lourds de plus de 3,5 tonnes sur la Promenade des Anglais serait "complètement interdite". Environ 1.800 camions circulent chaque jour sur ce boulevard longeant le littoral niçois.Une "mesure vitrine", a estimé auprès de l'AFP Airy Chrétien, siégeant pour le Collectif Citoyen 06 et qui milite pour un abandon de l'extension de l'aéroport.La métropole entend aussi puiser dans l'enveloppe du plan de relance gouvernementale pour la rénovation énergétique des bâtiments, à commencer par les vieux campus universitaire ou les HLM mal isolés de Côte d'Azur Habitat.Pour les particuliers, le nombre de rénovations doit passer de 200 à 1.500 par an, notamment grâce à ces fonds. "92% des logements en copropriété à Nice et 80% sur la métropole, contre 76% en France, doivent faire l'objet de rénovation", a pointé M. Estrosi.L'élu prévoit aussi de développer de nouveaux réseaux de chaleur par géothermie ou par récupération sur le circuit des eaux usées, d'aider les copropriétés à abandonner le fioul et de livrer un cadastre solaire d'ici fin 2021, de développer les pistes cyclables, etc."Cela fait deux ans qu'on réclame ce conseil et on sort de dix ans de léthargie avec un retard colossal dans tous les domaines", a commenté M. Chrétien en espérant que le comité ne reste pas une coquille vide.Selon la présentation du géographe Nicolas Martin, le climat sur la Côte d'Azur s'annonce "plus chaud" et avec "moins d'eau", et avec des températures maximales moyennes autour de 30°C d'ici 2100, soit un réchauffement de 6,5°à 7°C en juillet comparé à la fin du XXe siècle.