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Il y a 4 ans et 87 jours

Pénurie et hausse des coûts des matières 1ères : Inoha alerte les pouvoirs publics et l’ensemble de la filière

Inoha, l’association professionnelle des Industriels du Nouvel Habitat, est en alerte avec l’ensemble des acteurs de la filière, ainsi que les pouvoirs publics, sur les risques que font peser la hausse des coûts et la pénurie des matières premières sur le secteur, mais aussi sur la relance de l’économie française. Alors que le marché du bricolage et de l’amélioration de l’habitat est porté par l’engouement des Français depuis le début de la pandémie, les industriels, impactés déjà par la hausse des coûts de productions de près de 20% liée à la crise sanitaire, sont maintenant confrontés, depuis octobre 2020, à une forte hausse des prix des matières premières (selon les métaux, hausse de 30% à 100%) sans compter le prix du transport, notamment des containers venant de chine dont le prix a été multiplié par 5. « A la hausse s’ajoute maintenant une véritable pénurie de matières premières qui va avoir de lourds impacts sur nos productions » déclare Jean-Luc Guéry, Président d’Inoha, les Industriels du Nouvel Habitat, qui a alerté, tout début Janvier 2021, la Fédération Nationale des Magasins de Bricolage (FMB) sur les risques de rupture d’approvisionnements et les conséquences sur les taux de service. En parallèle, Inoha a pris l’initiative de se rapprocher des pouvoirs publics pour les informer de leurs difficultés face aux lourdes conséquences que cela pourrait avoir sur leurs activités, et plus globalement sur celle de l’ensemble de la filière. A cet effet, un rendez-vous a eu lieu à Bercy le 8 février dernier entre le Cabinet de Madame Agnès Pannier-Runacher, Ministre déléguée auprès du Ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance, chargée de l’Industrie et l’équipe de direction d’Inoha qui a fait part de ses inquiétudes. Une autre rencontre est prévue la semaine prochaine avec le Cabinet d’Alain Griset, ministre délégué chargé des Petites et Moyennes Entreprises. Jean-Luc Guéry, Président d’Inoha, tient à rappeler « le sens des responsabilités qui anime chaque acteur de la filière pour faire face à cette situation qui pourrait avoir des effets négatifs sur l’ensemble de la filière ». Il est par ailleurs en contact étroit avec la FMB afin que « le dialogue entre les industriels et les distributeurs soit constructif car ces hausses, certes conjoncturelles, et ces tensions d’approvisionnement contraignent de manière significative les marges des industriels déjà impactées par les surcoûts liés à la crise du COVID et à la suractivité de ces derniers mois ». Pour cela, il rappelle que la filière Inoha / FMB peut s’appuyer sur la recommandation 19-1 de la Commission d’Examen des Pratiques Commerciales (CEPC) qui stipule que « le règlement des litiges liés à l’application des pénalités logistiques doivent être appréciés en tenant compte également, outre la force majeure, d’autres circonstances indépendantes de la volonté des parties et extérieures aux parties » et un peu plus loin précise que « certaines circonstances externes aux fournisseurs et aux distributeurs ne remplissant pas les conditions de le force majeure et perturbant les livraisons (par exemples, blocage des sites industriels ou d’entrepôt de stockage ou des axes de transport, pénurie avérée de matières premières avec délai de prévenance, crise sanitaire, aléa climatique d’une ampleur exceptionnelle, etc…) peuvent également constituer des causes d’exonération des pénalités ». Inoha souligne sa conviction que l’ensemble des acteurs de la filière fasse, une nouvelle fois, preuve de responsabilité et de solidarité.
Il y a 4 ans et 87 jours

Le nouveau DPE représente une "transition" pour les agents immobiliers

PERFORMANCE ÉNERGETIQUE. La Fnaim voit dans le nouveau DPE présenté le 15 février "un outil plus fiable et plus lisible au service de la rénovation énergétique". Son caractère opposable et sa présentation obligatoire dans les agences immobilières sont également salués.
Il y a 4 ans et 87 jours

Eclisse 40, une huisserie inédite et révolutionnaire

ECLISSE 40, l'huisserie sous un autre angleLes portes affleurantes, aussi appelées portes invisibles, sont de plus en plus proposées dans les projets. Le côté opposé n'était à ce jour pas exploité. ECLISSE 40 est née de cette idée en y laissant apparaître le cadre en aluminium. D'un côté la porte est à fleur de mur et de l'autre, l'huisserie est apparente et s'incline à 40°. Elle émerge du mur avec finesse et subtilité.L'inclinaison de 40° crée un sentiment de profondeur. L'aluminium, résistant et élégant, permet un jeu de lumière et une apparence originale. L'huisserie visible et raffinée laisse son empreinte dans la pièce, tout en s'adaptant à son environnementElle se décline en quatre finitions : brut avec primaire, bronze clair, bronze foncé et bronze graphite.Avec cette innovation, ECLISSE crée une nouvelle façon d'imaginer la porte d'intérieur, tout en conservant l'aspect d'une porte à fleur de mur.Les caractéristiques techniques d'ECLISSE 40Compatible avec les cloisons en plaques de plâtre d'épaisseur finie de 100 mmLargeur de porte : de 616 à 1016 mmHauteur de porte standard : 2040 mmHauteur sur-mesure disponible : de 1650 à 2700 mmPour plus d'informations : télécharger la brochure
Il y a 4 ans et 87 jours

Matériels de BTP : Le Seimat table sur + 8 % en 2020, sauf pour le béton

Seules, les pompes à béton stationnaires ont progressé de 6 % en 2020, en nombre de matériels vendus. [©ACPresse] « On a craint le pire ! » Ainsi, Pascal Guillemain, président du Seimat*, est-il entré dans le vif du sujet. Celui détaillant les résultats 2020 et les perspectives 2021 de la vente de matériels de BTP. « Début mars, lorsque tout s’est arrêté, nous étions inquiets. Mais finalement, la crise n’a pas été si dramatique pour l’activité. » Ceci, par rapport à ce qu’on en aurait pu en attendre…  Dans ce contexte particulier, l’année 2020 s’est achevée avec un recul des ventes de 16 %, tous matériels confondus. Soit un passage de 2,8 à 2,2 Md€ de chiffre d’affaires pour l’ensemble des industriels représentés par le syndicat. « Le Seimat réunit 41 adhérents pour 76 marques identifiées. C’est l’équivalent de 75 % du marché du matériel en France », rappelle Pascal Guillemain. Et Pascal Petit-Jean, secrétaire général du Seimat, de compléter : « Nous n’avons eu aucune nouvelle adhésion en 2020. Sans doute, les effets indirects de la crise sanitaire. Mais nous espérons faire changer les choses cette année… » Aussi bien qu’en 2009 Plus dans le détail, le premier semestre 2020 est celui qui a enregistré la plus forte baisse. Ce qui semble logique, avec un arrêt presque total de l’activité économique durant quelques semaines. Ainsi, à fin juin, les ventes de matériels affichaient un triste – 30 %. Mais la seconde moitié de l’année a connu un important rebond, finissant à – 3 %. Et 2021 devrait s’inscrire dans cette belle dynamique. « Nous attendons une progression de 8 % sur l’année. » Soit la vente de 52 700 matériels, contre 50 000 tout juste en 2020. Malgré tout, ce chiffre restera inférieur aux exceptionnelles 60 000 unités enregistrées à fin 2019. « Mais il ne faut pas bouder son plaisir, reprend Pascal Guillemain. L’année 2021 devrait être comparable à 2008, avec ses 53 200 matériels. Un chiffre historique. » Juste avant la chute mémorable liée à la crise des sub-primes de 2009. Mais ne jouons pas les Cassandre, cette fois-ci, la crise inattendue est passée avant…  Centrales, pompes et toupies, plombées par le Covid Et dans cette situation plutôt positive, qu’en est-il des matériels pour le béton ? A vrai dire, ce sont eux qui tirent le moins bien leur épingle du jeu. Ils finissent bon dernier, à -38 %. « Nous étions déjà sur une tendance baissière en 2019 et avions anticipé un recul de – 10 % en 2020 », confie Olivier Saint-Paul, responsable positionnement et réforme des statuts du Seimat. La crise du Covid a juste enfoncé le clou ! Ainsi, les toupies passent de 1 148 unités en 2019, à tout juste 819, en 2020. Soit un recul de 40 %. Les pompes automotrices terminent l’année à – 24 % (52 unités vs 68 un an plus tôt). Seules, les pompes stationnaires se distinguent, progressant de 6 %. A relativiser tout de même, car cela représente une unité en plus (soit 17 pompes en 2020 contre 16 en 2019 !). Quant aux tapis de transport du béton, ils quittent provisoirement la partie, faute de combattants… « Il n’y a plus de statistiques officielles concernant ces équipements, car il n’y a pas assez d’adhérents dans cette catégorie », précise Pascal Petit-Jean.  Un second semestre 2021 incertain dans le béton Dans ce contexte, l’année 2021 ne s’annonce pas sous les meilleurs auspices. Le Syndicat national du béton prêt à l’emploi (SNBPE) table sur une progression de l’activité de 1 %. De facto, les achats de matériels (centrales, pompes comme toupies) ne devraient pas exploser les compteurs. Au mieux, le Seimat espère atteindre les 3,5 % de hausse. Et encore, pas répartis de manière équitable. « Les 3,5 % constituent la version haute, conclut Olivier Saint-Paul. Plus vraisemblablement, nous nous situerons entre 0 et 3,5 %. » Sachant que, s’il y a de bonnes attentes sur le premier semestre 2021, les incertitudes planent sur le reste de l’année… Frédéric Gluzicki *Syndicat des entreprises internationales de matériels de travaux publics, mines et carrières, bâtiment et levage. 
Il y a 4 ans et 87 jours

Réinventer Paris 3, j’y pense, je baille et puis j’oublie

Parmi les initiatives pour résorber la crise de l’habitat, voici Réinventer Paris 3, qui « s’attaque » vaillamment aux bureaux vacants de la capitale pour les convertir en logements. Depuis le 9 février 2021 en effet, les propriétaires, concepteurs et architectes sont invités à « imaginer à quoi ressembleront les habitations de demain grâce aux locaux vides d’aujourd’hui ». […] L’article Réinventer Paris 3, j’y pense, je baille et puis j’oublie est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 87 jours

Le Puca lance un concours d'idées sur neuf secteurs inondables

RENOUVELLEMENT URBAIN. Faire du risque inondation "un levier de projet au service de la réduction de la vulnérabilité" des territoires, c'est l'objet de ce concours d'idées lancé notamment avec le Cerema, sur neuf sites sélectionnés en 2020.
Cimbat
Il y a 4 ans et 87 jours

Une nouvelle formule du DPE dès juillet pour lutter contre les passoires énergétiques

Le DPE, créé en 2006, renseigne sur une échelle de A à G sur la performance énergétique d'un logement et oriente notamment les choix en termes de travaux de rénovation.La méthode de calcul du DPE élimine désormais la référence à la consommation énergétique sur la base des factures passées pour s'appuyer "sur les caractéristiques physiques du logement comme le bâti, la qualité de l'isolation, le type de fenêtres ou le système de chauffage", précise le ministère.Cette modification apportera "plus de fiabilité" et évitera des "DPE vierges" en l'absence de facture disponible qui représentent près de 20% des DPE réalisés, selon la même source.A partir du 1er juillet, ce nouveau DPE deviendra "opposable juridiquement" au même titre que les autres diagnostics du bâtiment, comme ceux relatifs à l'état des installations électriques ou la présence d'amiante ou de plomb, précise le ministère.Les étiquettes F et G de ce nouveau DPE désigneront dès son entrée en application les logements qualifiés de "passoires énergétiques". Leur nombre est évalué à 4,8 millions par la dernière étude du ministère de la Transition écologique.Ces deux catégories de logements devront être rénovées sous peine d'être exclues du marché locatif d'ici 2028, avec deux étapes intermédiaires: la première en 2023 avec une interdiction pour les logements les plus énergivores (plus de 450kWh au m2 par an) et une deuxième en 2025 pour les logements classés G.La nouvelle étiquette "énergie" tiendra compte "à la fois de la consommation d'énergie primaire et des émissions de gaz à effet de serre", précise le ministère.Le DPE comportera en outre des recommandations, qu'il s'agisse de travaux de rénovation ou de bons usages du logement et donnera une estimation du coût des travaux à entreprendre.Les DPE réalisés avant le 1er juillet et dans la limite de leur validité actuelle (10 ans) pourront néanmoins encore être utilisés pour conclure des ventes ou des baux immobiliers pendant une phase transitoire qui durera jusqu'au 31 décembre 2024, précise le ministère.Cette refonte du DPE était prévue dans la loi Elan (évolution du logement, de l'aménagement et du numérique) de 2018.
Il y a 4 ans et 87 jours

BTP Consultants change de gouvernance et d’actionnaires

De gauche à droite, Roland Le Roux, nouveau président du groupe BTP Consultants, et Jean-François Baron, nouveau président de BTP Consultants. [©BTP Consultants] Pour accélérer son développement, le groupe BTP Consultants (BTP Consultants, Citae et MBAcity) s’appuie sur une nouvelle gouvernance. Ainsi que sur de nouveaux actionnaires à compter du 1ermars 2021. Ainsi, Roland Le Roux en devient le nouveau président. Et succède à Patrick Vrignon, fondateur du groupe. Ce dernier est nommé président du conseil de surveillance auprès des investisseurs. Jean-François Baron, actuel directeur opérationnel, est, quant à lui, le nouveau président de BTP Consultants. Rony Chebib reste directeur général de cette entité et aidera Jean-François Baron dans ses nouvelles fonctions. Vers une croissance organique De plus, le groupe BTP Consultants fait entrer les fonds d’investissement Apax Partners et Bpifrance. Fort de ce soutien, il ambitionne de poursuivre sa croissance organique et de déployer une stratégie d’acquisitions ciblées. « L’arrivée d’Apax et de BpiFrance et l’entrée au capital de plus de 20 managers vont nous permettre d’aller plus loin encore. De précurseur dans nos métiers, nous nous donnons les moyens de devenir acteur de référence de la transformation complète des secteurs de l’immobilier et de la construction, explique Roland Le Roux, nouveau président du groupe. Et de poursuivre : « Fort de ce soutien, le groupe BTP Consultants vise à poursuivre sa croissance annuelle supérieure à 10 %. Et à déployer une stratégie d’acquisitions ciblées. A horizon 2025, nous avons pour ambition de doubler notre chiffre d’affaires en régions. Ainsi que de renforcer notre présence sur des segments à fort potentiel de croissance. Industrialisation et digitalisation de la conception et de la construction, rénovation énergétique et impact carbone. Mais aussi mise à disposition et gestion des données sont autant de thématiques sur lesquelles nous nous positionnons comme leader pour nos professions. Ainsi que pour l’ensemble du secteur d’activité ». Près de 60 M€ de chiffre d’affaires Spécialiste du secteur des Tic (Testing, Inspection et Certification), le groupe BTP Consultants s’est imposé comme référent technique des acteurs du bâtiment et de la conception des projets de rénovation. Créé en 1996, il propose une offre complète de services de contrôle technique pour la construction, la coordination SPS (Sécurité et Protection de la Santé), les diagnostics immobiliers et l’assistance à maîtrise d’ouvrage. Ainsi que des prestations liées au BIM. Il emploie plus de 500 collaborateurs à travers un réseau de 24 agences en France. De plus, il réalise un chiffre d’affaires de près de 60 M€. Et compte plus de 6 000 clients au sein de son portefeuille. « Nous franchissons une étape importante dans la transmission progressive du groupe à son management. Je suis fier du travail accompli par l’ensemble des collaborateurs du de BTP Consultants. Et certain que le savoir-faire des investisseurs et de la nouvelle équipe dirigeante lui permettra de poursuivre sa croissance basée sur la culture clients et l’innovation »,conclut Patrick Vrignon, fondateur et président du conseil de surveillance.
Il y a 4 ans et 87 jours

Le logement, la crise dont les Français se fichent éperdument ?

Dans notre article consacré au rapport Lemas* publié le 26 janvier 2021, nous indiquions qu’un autre rapport, celui du député Modem de la Haute-Garonne Jean-Luc Lagleize, avait été « enterré ». Enterré était sans doute trop vite dit, comme a tenu à nous l’expliquer le député. Ce n’est pas pour autant une bonne nouvelle. Explications. Dans son […] L’article Le logement, la crise dont les Français se fichent éperdument ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 87 jours

La division “Véhicules industriels” de Daimler va se scinder en deux

En 2019, Daimler a livré un total d’environ 500 000 camions et bus dans le monde. [©Daimler] Daimler prévoit un changement fondamental dans sa structure. Le but ? Libérer le plein potentiel de ses activités, afin d’accélérer la mise en place du “zéro émission”. Le conseil de surveillance et le directoire envisagent une scission partielle de ses activités industrielles dans le secteur des camions et des bus. L’idée est de créer, d’un côté, Mercedes-Benz Cars & Vans et, de l’autre, Daimler Truck & Bus. Cette dernière entité aura une gestion indépendante et une gouvernance d’entreprise autonom. Y compris un président indépendant du conseil de surveillance. La transaction et la cotation de Daimler Truck & Bus à la bourse de Francfort devraient être achevées avant la fin de l’année 2021. En outre, Daimler a l’intention de se rebaptiser Mercedes-Benz, en temps voulu…  Mercedes-Benz est la marque automobile la plus connue au monde « C’est un moment historique pour Daimler. Il représente le début d’un profond remodelage pour la société. Mercedes-Benz Cars & Vans et Daimler Trucks & Bus sont des entreprises différentes, avec des clients, des voies technologiques et des besoins en capitaux spécifiques », déclare Ola Källenius, président du conseil d’administration de Daimler et Mercedes-Benz. Et de poursuivre : « Mercedes-Benz est la marque automobile la plus connue au monde, offrant des voitures désirables à des clients exigeants. Daimler Truck & Bus fournit des solutions de transport et des services de pointe à ses clients. Les deux sociétés opèrent dans des secteurs qui sont confrontés à des changements structurels et technologiques majeurs. Dans ce contexte, nous pensons qu’elles seront en mesure de fonctionner plus efficacement en tant qu’entités indépendantes. Dotées de fortes liquidités nettes et libérées des contraintes d’une structure de conglomérat ». A travers cette scission, Daimler Truck entend créer de la valeur pour ses actionnaires. Ceci, en accélérant l’exécution de ses plans stratégiques. En augmentant sa rentabilité et en poursuivant le développement de technologies sans émissions pour ses camions et ses bus. 500 000 camions et bus en 2019 « L’indépendance s’accompagne de plus grandes possibilités, d’une plus grande visibilité et d’une plus grande transparence, explique Martin Daum, membre du conseil d’administration de Daimler et président du conseil d’administration de Daimler Truck.  Nous allons poursuivre notre croissance dans le domaine des moteurs alternatifs et de l’automatisation. Nous avons déjà défini l’avenir de nos activités avec des camions à batteries et à piles à combustible. Ainsi que des positions fortes dans la conduite autonome. Grâce à des partenariats ciblés, nous allons accélérer le développement des technologies clefs. Ceci, pour proposer à nos clients les meilleurs produits de leur catégorie. » Daimler Truck & Bus est le plus important constructeur de camions et de bus à l’échelle mondiale. Avec plus de 100 000 employés, il réunit 7 marques : BharatBenz, Freightliner, Fuso, Mercedes-Benz, Setra, Thomas Built Buses et Western Star. En 2019, un total d’environ 500 000 camions et bus de la marque a été livré dans le monde. Le chiffre d’affaires 2019 des différentes divisions a atteint 40,2 Md€ pour la partie “Trucks” et 4,7 Md€ pour la partie “Bus”. « La transformation de notre industrie progresse très vite. Pour que nous puissions suivre le rythme, nous devons investir dans l’innovation. A cette fin, nous allons créer un fonds de 1,5 Md€ pour Daimler Truck. En plus de nos plans financiers actuels », conclut Michael Brecht, Président du Comité d’Entreprise de Daimler.
Il y a 4 ans et 87 jours

L’illibéralisme en ville, les promoteurs (p)osent de nouveaux jalons

Une tribune de Véronique Bédague, directrice générale de Nexity, publiée dans Le Monde le 12 février 2021 ne promeut rien moins, mètre carré par mètre carré, qu’un accaparement de l’espace public. Les communs à la sauce promoteur, une dystopie ? Vendredi 11 février 2021 commençait mal, Patrick Bouchain était l’invité sur France Culture de la chronique […] L’article L’illibéralisme en ville, les promoteurs (p)osent de nouveaux jalons est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 87 jours

Restaurons Notre-Dame dévoile ses premières études pour la restitution de la charpente et de la flèche

Mobilisant de nombreux experts et dans un premier temps 30 jeunes architectes et ingénieurs en Master II Génie Civil « Architecture Bois Construction » de l'École Nationale Supérieure d'Architecture de Nancy (ENSAN) et de l'École Nationale Supérieure des Technologies et des Industries du Bois d'Épinal (ENSTIB), Restaurons Notre-Dame (rND) s'est constitué en un véritable « PÔLE BOIS » avec l'ambition de contribuer à la restitution optimale de la charpente, de la flèche et de la toiture de Notre-Dame de Paris. rND dévoile aujourd'hui la phase 1 de son programme menée par ces étudiants de nos Grandes Écoles.Les équipes ont établi une série de propositions en s'inscrivant dans la forme, la géométrie et l'aspect extérieur d'origine de la toiture tout en restant dans le champ de la conservation du patrimoine. Bien que ces scénarios puissent s'éloigner parfois d'une restauration « à l'identique » comme l'entendrait un néophyte, il s'agit ici, avant tout, de mettre en lumière la problématique complexe de la charpente et flèche de Notre-Dame de Paris dont on ne peut faire l'économie.Les propositions pour la charpente, flèche et toiture de Notre-Dame prennent en compte différents critères comme le nombre de points d'appui, la conservation ou la réduction du poids propre de l'ensemble de la charpente, le choix du matériau de couverture, la maintenance de la charpente et de la couverture, la sécurité incendie, etc.Ces scénarios utilisent judicieusement des modules paramétriques qui permettent d'adapter toute solution à la pathologie de la maçonnerie de la Cathédrale sérieusement affectée par l'incendie.Les propositions s'intéressent également aux moyens de production actuels, aux enjeux environnementaux, aux questions de salubrité des matériaux employés, au développement de la filière bois, de ses métiers et des bénéfices qui pourraient en résulter, en particulier pour la formation des jeunes en leur ouvrant de nouvelles perspectives d'emploi.Deux articles complètent ce communiqué et donnent de plus amples précisions sur ce programme :« Les Grandes Écoles se mobilisent pour La charpente et la flèche de Notre-Dame de Paris » (par Alain Hays)« Un programme ambitieux pour la restauration de la toiture de Notre-Dame de Paris : Charpente - Flèche - Couverture » (par Pascal Jacob)
Il y a 4 ans et 87 jours

"Nous sommes prêts à attaquer le marché", DG France Knauf Ceiling Solutions

INTERVIEW. Nouvelle division du groupe Knauf, Knauf Ceiling Solutions affiche des ambitions marquées sur le secteur des plafonds. Niels-Christian Havsteen, directeur général France de cette division, nous en dit plus.
Il y a 4 ans et 87 jours

Total: les écologistes rejoignent les raffineurs contre la fermeture de Grandpuits

Une centaine d'ouvriers de Total rejoints par des militants écologistes se sont rassemblés devant le siège de Total à la Défense (92) pour contester la reconversion de la raffinerie de Grandpuits (77).
Il y a 4 ans et 87 jours

Hausse des prix des matériaux (acier, bois...) : comment les entreprises font face

TENSIONS. Depuis deux mois, les tensions sur le marché des matières premières et matériaux se multiplient. Comment les entreprises et artisans du bâtiment peuvent-ils faire face à ces hausses ? Réponses avec la Fédération française du bâtiment (FFB) et la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb).
Il y a 4 ans et 87 jours

Le paradoxe du contexte : l’incantation n’est pas une réponse

Pour être architecte, il faut avoir une utopie, une manière de faire rêver, avant d’être confronté à la réalité, celle du contexte. Que pensez-vous de la ville du Quart d’heure ? Que pensez-vous de Line city ? Et de la ville flottante ? … Cette question m’a été posée par un critique réputé qui ajoutait : Et vous, quelle est […] L’article Le paradoxe du contexte : l’incantation n’est pas une réponse est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 87 jours

Insens, une douche connectée pour économiser l’eau et augmenter le confort

Inman, start-up strasbourgeoise, a créé Insens, une douche électronique, connectable ou autonome, qui assure d’importantes économies d’eau et un confort accru. Elle lance une levée de fonds sur WiSeed
Il y a 4 ans et 87 jours

Hausse des redevances aéroportuaires : refus à Lyon, feu vert à Marseille

L'ART, chargée de la régulation des activités ferroviaires routières et aéroportuaires, "refuse l'homologation des tarifs des redevances aéroportuaires applicables aux aérodromes de Lyon-Bron et de Lyon-Saint-Exupéry pour la période tarifaire du 1er avril 2021 au 31 mars 2022", a-t-elle expliqué dans un communiqué.La demande portait sur une hausse homogène de 4,9%, "qui n'a pu être considérée comme modérée"."Dès lors, les tarifs des redevances aéroportuaires et leurs modulations actuellement en vigueur demeureront applicables au 1er avril 2021 sur ces aérodromes", a ajouté l'autorité.En décembre, l'ART avait déjà rejeté une première demande du gestionnaire des aéroports lyonnais, qui portait alors sur une hausse de 9% des tarifs.A l'époque, l'organisme avait également mis son veto à la demande d'homologation du gestionnaire de l'aéroport de Marseille-Provence, pour des tarifs en hausse de 8,2%.Cette demande a été revue à la baisse à 3,1%, et l'ART a cette fois décidé de l'homologuer, remarquant qu'il s'agissait d'une "augmentation moyenne différenciée des tarifs (...) reposant notamment sur un partage des risques et opportunités entre l'exploitant et les compagnies aériennes concernant le taux de remplissage des aéronefs".Les redevances aéroportuaires, réclamées par les aéroports aux compagnies aériennes et revues chaque année, correspondent à l'usage des infrastructures et équipements aéroportuaires nécessaires à l'atterrissage, au décollage et à la circulation au sol.Ces propositions donnent chaque année lieu à un bras de fer entre les aéroports et les compagnies aériennes.
GDA
Il y a 4 ans et 87 jours

Un nouveau binôme à la tête d'Action Logement Services

CARNET-NOMINATION. Le départ de Jean-Michel Royo entraîne la promotion d'Olivier Rico au poste de directeur général et de David Delage à celui de directeur général délégué.
Il y a 4 ans et 87 jours

Ursa dévoile Cladursa, une nouvelle solution monocouche dédiée au bardage métallique

Meilleur classement de résistance au feu, très bonne performance thermique, rapidité et facilité de mise en œuvre... : avec ses nombreux bénéfices, CLADUSA saura très vite trouver sa place sur le marché et se rendre indispensable pour tous les acteurs.Avec ce lancement, URSA confirme ainsi sa volonté de répondre à toutes les problématiques du marché, y compris en isolation intégrée.Le bardage métallique double-peau : une solution idéale, en particulier pour les locaux d'activitésPrincipalement utilisé dans les grands entrepôts industriels, le bardage métallique double-peau présente des avantages non négligeables : structures faciles à monter, simplicité et rapidité de mise en œuvre, résistant aux intempéries, avec des finitions modifiables à souhait (couleurs, rainures...). Pour ce type de construction, l'isolation se doit donc d'être tout aussi efficace et performante.Pour répondre à ce besoin, URSA lance CLADURSA : une solution associant performance thermique et facilité de mise en œuvre.CLADURSA, la nouvelle référence URSA pour les bardages métalliquesPrésenté sous la forme d'un panneau de laine de verre semi-rigide densifié et rainuré, CLADURSA est la nouvelle solution monocouche spécialement conçue pour les bardages métalliques, lancée par le spécialiste de l'isolation, URSA.CLADURSA présente de nombreux avantages pour tous les acteurs (installateurs, occupants...) :De très bonnes performances thermiques, grâce à un rainurage de l'isolant garantissant un maintien parfait, compatible avec tous les profils de lèvres du marché* et présentant une excellente résistance thermique (lambda = 32).Une mise en œuvre rapide et facile : solution monocouche, légère et semi-rigide, permettant ainsi une pose plus rapide et facilitée.Un gain économique, grâce à la mise en œuvre d'une seule couche d'isolant et à l'absence d'écarteur pour les bardages verticaux.Le meilleur classement de résistance au feu : classé A1, CLADURSA répond aux exigences les plus fortes en termes de résistance au feu.CLADURSA est disponible à partir de 11,66€/m², hors main d'œuvre, en négoces.*Les lèvres sont des appuis présents sur les plateaux de bardages, permettant la fixation du bardage extérieur. Ces lèvres peuvent être "droites" ou en "en caissons". CLADURSA est compatibles avec les 2 profils.
Il y a 4 ans et 87 jours

SikaRapid-8 Slag, un nouvel accélérateur de durcissement

Sika déploie des solutions en faveur de la fabrication de bétons bas carbone. [©Sika] A l’heure de la transition écologique et de la RE 2020, la filière béton travaille à la réduction de son empreinte carbone. Objectif : diminuer de 80 % des émissions de CO2 à l’horizon 2050. Ainsi que Sika vient de développer SikaRapid-8 Slag, un nouvel accélérateur de durcissement, spécifique aux bétons dits “bas carbone”, c’est-à-dire formulés avec une addition de laitier ou à base de ciment recomposé en contenant. SikaRapid-8 Slag est destiné aux bétons prêts à l’emploi, ainsi qu’aux bétons préfabriqués armés ou précontraints. Il permet une montée en résistance à court terme de ces bétons : + 30 % de résistances mécaniques à 20 °C et + 40 % à 5 °C (au bout de 18 h, pour un mélange 50/50 CEM I/laitier). Ainsi qu’une réduction des délais de décoffrage en BPE. Et une amélioration des cadences et une diminution de l’étuvage en préfabrication. Enfin, SikaRapid-8 Slag améliore l’aspect du béton. Conforme à la norme NF EN 934-2 et titulaire de la marque NF, SikaRapid-8 Slag est fabriqué dans l’usine Sika située à Gournay-en-Bray (76).
Il y a 4 ans et 87 jours

La chapelle de Ronchamp en Haute-Saône conçue par Le Corbusier va être restaurée

Les travaux vont principalement consister à colmater les fissures qui affectent l'édifice construit en pierre et en béton en 1955, a décrit Jean-Jacques Virot, président de l'Association Œuvre Notre-Dame-du-Haut (AONDH), propriétaire du site.Ils porteront aussi sur l'étanchéité, les vitraux et le parement dans le but de retrouver la blancheur mate d'origine, a complété M. Virot.Les travaux se dérouleront en cinq phases pendant trois ans, dont la plus importante s'achèvera dès octobre prochain, a-t-il ajouté au cours d'un point de presse.Ils représentent un montant de 2,3 millions d'euros, apporté à 90% par les pouvoirs publics (État, Région Bourgogne-Franche-Comté, département de la Haute-Saône) et à 10% par l'AONDH, selon le communiqué de l'association.Pour financer sa contribution, celle-ci a lancé un appel au mécénat d'entreprises et aux dons de particuliers, selon un objectif de collecte de 75.000 euros cette année, ont exposé ses responsables."Depuis sa construction, elle n'a pas fait l'objet d'une reprise globale de ses pathologies subies par les bétons au cours du temps", a également rappelé M. Virot.La chapelle Notre-Dame-du-Haut de Ronchamp est classée monument historique depuis 1967 et est inscrite depuis 2016 au patrimoine mondial de l'Unesco, parmi 17 sites œuvres de Le Corbusier. Elle est considérée comme l'une des réalisations majeures de l'architecte français d'origine suisse (1887-1965), qui révolutionna sa discipline au XXème siècle."Ce n'est pas un monument en péril, mais c'est un monument malade quand même", a commenté Richard Duplat, architecte en chef des monuments historiques en charge de la chapelle.Les travaux permettront de "fermer le robinet de ce qui l'agresse, pour faire durer" la chapelle, a-t-il ajouté lors du point de presse. Avant le Covid-19, la chapelle était fréquentée par 70.000 visiteurs chaque année, a indiqué l'association.
Il y a 4 ans et 87 jours

Kramer candidat à la reprise d’une usine Jacob Delafon

Le spécialiste lorrain de la robinetterie s’est porté acquéreur du site de production de céramique sanitaire de Jacob Delafon à Damparis auprès du groupe Kohler.
Il y a 4 ans et 87 jours

La prise en charge de l'activité partielle repoussée jusqu'au 31 mars 2021

SOUTIEN. Alors que le Gouvernement avait laissé entendre que le dispositif d'activité partielle serait progressivement réduit, la ministre du Travail Élisabeth Borne a confirmé ce 16 février que les taux actuels de prise en charge seront prolongés pendant encore tout le mois de mars.
Il y a 4 ans et 87 jours

TraceParts & BIM&CO proposent aux fabricants la création et la publication unifiées des données CAO & BIM

Les fabricants pourront dorénavant publier sur la plateforme TraceParts, directement depuis les outils développés par BIM&CO, sans coûts supplémentaires.   Saint-Romain, France – le 10 février 2021 Les fabricants de la construction doivent aujourd’hui fournir de nombreuses données aux différents métiers du BTP. La multitude de formats géométriques et de données produits demandée rendent la phase de création et de maintenabilité de ces éléments complexes. Pour faire face à ces besoins, les processus sont souvent dupliqués et engendrent alors des coûts de gestion de projets et de services supplémentaires. Les délais de mise sur le marché des données produits se voient rallongés et il devient difficile de les maintenir dans le temps. C’est pour répondre à ces difficultés que TraceParts et BIM&CO ont choisi d’unir leurs forces dans le but de rendre cette transition plus facile pour leurs clients actuels et à venir. Ce partenariat TraceParts/BIM&CO permet en effet aux fabricants qui le souhaitent de faire modéliser leurs produits et de les diffuser dans une multitude de formats BIM et CAO (STEP, SOLIDWORKS, CATIA, AutoCAD 3D, Revit, Inventor…) en s’appuyant sur un processus unique et en bénéficiant d’une visibilité accrue. Les objets CAO sont automatiquement transformés à partir des données BIM et publiés sur la plateforme de contenu CAO TraceParts. Cela permet au fabricant d’avoir une plus grande diffusion de ses produits, mais aussi de réduire les coûts de création et de maintenance de ses données dans le temps. Un concept qui séduit déjà puisque de nombreux fabricants étaient en attente d’une solution qui leur permette de gérer plus aisément l’ensemble de leurs données à partir d’un seul et unique outil. Le fabricant de solutions HVAC France Air voit en cette solution un réel gain de productivité. Juliette FORTE, Expert Support Technique, précise :  « Il nous est déjà arrivé d’être confrontés à un litige sur un chantier, en raison d’une référence obsolète du modèle CAO utilisé par le client. Cette expérience nous a prouvé à quel point la mise à jour régulière de nos fichiers était cruciale. La solution de gestion de contenu proposée par BIM&CO se révèle être un véritable PIM pour notre quotidien et permet à nos équipes d’être plus efficaces sur la qualité des données tout en simplifiant le workflow de diffusion ! »   Antoine PIGEON, Directeur Commercial de TraceParts commente : « En publiant leurs catalogues depuis les outils BIM&CO, les fabricants ont également la possibilité de les rendre disponibles sur TraceParts.com, dans plus de 60 formats. Ils profitent par la même occasion de nos 30 ans d’expérience et d’une diffusion auprès d’une audience de plus de 29 millions d’ingénieurs et de concepteurs sur TraceParts et son réseau de sites partenaires TraceParts Publishing Network – c’est-à-dire autant de prescripteurs potentiels ! ». Les outils d’analyse et de statistique fournis par TraceParts et BIM&CO permettent en effet aux fabricants d’analyser les performances de leurs catalogues BIM ou CAO, mais également d’accéder aux profils des ingénieurs et concepteurs. Un moyen malin pour eux d’étendre le nombre de leurs prospects, d’identifier de nouveaux prescripteurs, ainsi que des pays prometteurs en matière de ventes. La diffusion des produits sur TraceParts et leur analyse statistique sous forme de rapport sera gratuite. Cependant la mise à disposition des données utilisateurs sera elle soumise à un abonnement annuel. Baptiste MULLIE, CEO de BIM&CO complète : « Les solutions de gestion de contenu BIM&CO permettent de convertir les modèles BIM en CA0 à la volée, et ce, en toute facilité, puisque le processus sera complètement transparent. Les fabricants pourront centraliser leur bibliothèque et structurer la publication digitale de l’ensemble de leurs produits au sein d’un seul et même workflow. Au-delà de l’aspect pratique, cette solution simplifiée représente un gain de temps, mais surtout d’argent puisque la diffusion sur TraceParts.com est totalement gratuite pour nos clients actuels et futurs ! » Pour en savoir plus sur les modalités de diffusion de catalogues CAO & BIM rendez-vous sur TraceParts.com ou bimandco.com.     À propos de TraceParts TraceParts est l’un des principaux fournisseurs mondiaux de contenu numérique 3D pour l’ingénierie. Appartenant au groupe Trace fondé en 1990, l’entreprise fournit de puissantes solutions web, telles que des bibliothèques de composants CAO, des catalogues électroniques et des configurateurs de produits. TraceParts propose des services de marketing numérique pour aider les fabricants de composants, les fournisseurs d’impression 3D, les éditeurs de logiciels et les fournisseurs de matériel informatique à promouvoir leurs produits et services et à générer des prospects B2B de grande qualité. Le portail TraceParts est accessible gratuitement à des millions d’utilisateurs CAO dans le monde entier. Il donne accès à des centaines de catalogues de fournisseurs et à plus de 100 millions de modèles CAO et fiches techniques qui répondent parfaitement aux besoins spécifiques des processus et des opérations de conception, d’achat, de fabrication et de maintenance.   À propos de BIM&CO – bimandco.com/fr – @bimandco BIM&CO évolue dans le monde de la digitalisation de la construction, en particulier dans le BIM, Building Information Modeling.   BIM&CO est un éditeur de logiciels SaaS qui propose aux acteurs de la construction et aux fabricants, des solutions de gestion et partage de leurs objets BIM. BIM&CO apporte un vrai gain opérationnel, en gérant l’ensemble des objets BIM constituant la maquette numérique, telle une base de données, et en assurant leur compatibilité avec les standards et logiciels du marché.   Son positionnement « au-delà des standards », s’appuie sur sa technologie d’harmonisation des données et permet aux clients de bénéficier pleinement de la valeur du BIM : réduire les erreurs, réaliser des calculs rapidement, connecter et documenter pour mieux exploiter, accélérer et automatiser les échanges avec les fournisseurs, ou encore mieux choisir les produits dont le projet a besoin.   BIM&CO est un acteur global, présent à Paris, Bologne, Madrid et en Asie. BIM&CO s’appuie sur son réseau de partenaires pour construire une communauté de spécialistes.   Contact Presse BIM&CO : press@bimandco.com
Il y a 4 ans et 87 jours

Mobi, des artisans qui adhèrent à une tradition d’excellence dans la production de meubles

La recherche de la perfection implique souvent un désir de combiner la tradition avec une... Cet article Mobi, des artisans qui adhèrent à une tradition d’excellence dans la production de meubles est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 87 jours

Orange signe un contrat avec Engie pour l'achat d’électricité renouvelable

Signé pour 15 ans, ce contrat d'achat d'électricité (connu sous le nom de "Corporate Power Purchase Agreement" ou "Corporate PPA") doit permettre le développement de deux parcs solaires de 51 MWc dans les Hautes-Alpes, sur les communes de L'Epine (38 MWc) et Ribeyret (13 MWc). Leur mise en service est prévue au plus tard en janvier 2023.L'accord comprend aussi la gestion de la production de l'ensemble des capacités renouvelables contractées par Orange auprès d'autres producteurs.Par exemple, en juillet 2020, Orange avait annoncé un contrat avec Boralex pour se fournir directement en électricité auprès de ce producteur d'énergie éolienne.Engie devra aussi fournir des volumes complémentaires d'électricité pour répondre à la consommation effective d'Orange."L'ambition d'Orange pour 2025 est de réduire de 30% ses émissions de CO2 directes par rapport à 2015 et d'atteindre 50% d'énergies renouvelables dans son mix électrique", a souligné Fabienne Dulac, directrice générale adjointe d'Orange et CEO d'Orange France, citée dans le communiqué."La signature de notre accord avec Engie (...) témoigne de notre volonté d'être un acteur majeur des PPA en France", a-t-elle ajouté.Ces contrats de type "corporate PPA", entre producteurs de renouvelables et entreprises de secteurs divers, se développent fortement en France depuis deux ans.
Il y a 4 ans et 87 jours

Une nouvelle déchetterie à Vigny en milieu d’année

Une nouvelle déchetterie est en cours de construction à Vigny. La réalisation des travaux est prévue pour ce premier semestre 2021.
Il y a 4 ans et 87 jours

Anhydritec : « L’année 2021 sera celle de l’évolution majeure de la Thermio+ »

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Francis Augustin, directeur marketing et commercial Europe d’Anhydritec. [©Anhydritec]    Anhydritec existe depuis 7 années. Quel regard portez-vous sur le chemin parcouru ? Et le futur ? Francis Augustin : Anhydritec s’inscrit dans la continuité de La Chape Liquide, marque née il y a 30 ans. Marque forte aussi, qui s’est “générisée” au fil du temps. Pour beaucoup, Chape Liquide et chape fluide sont des synonymes. Aujourd’hui, notre politique est de mettre en avant le nom Anhydritec et d’estomper La Chape Liquide, au profit des marques que sont Thermio+, Excelio, Initio Classic… En rejoignant le groupe espagnol Minersa, en 2013, nous nous sommes enrichis, réciproquement. Tout en réalisant une intégration verticale, aboutissant à une meilleure maîtrise de nos matières premières. Avec Minersa, nous sommes passés d’une approche par pays à une stratégie transversale. Chaque marché se nourrit des expériences de tous. Ainsi, Excelio en est un exemple emblématique : l’expérience sur les chapes adhérentes, répandues aux Pays-Bas, a été le point de départ du développement d’Excelio. A commencer par le Royaume-Uni, marché où ce type de solutions n’existait pas. Nous allons continuer notre stratégie d’innovation et de différenciation en Europe. La Slovaquie est le prochain pays sur notre liste. En revanche, en Allemagne, l’adoption de l’innovation est plus lente, car ce marché est très réglementé et apparaît plus conservateur. Pourtant, c’est là que sont nées les chapes fluides anhydrite, il y a plus de 50 ans. Enfin, en France, nous restons n° 1, dans notre domaine d’activité. Quelque 230 centrales à béton proposent nos solutions et près de 600 entreprises applicatrices sont agréées Anhydritec. Vous lancez des technologies additionnelles. En quoi consistent-elles ? SP ou “Sans pellicule/sans ponçage” est la première technologie additionnelle que nous avons lancée. C’est une solution intéressante, en termes de gain de temps pour les entreprises applicatrices. Ce principe est demandé ou attendu, en particulier par des pays matures, comme la France ou le Royaume-Uni. Nous en poursuivons le développement avec deux nouvelles technologies. Tout d’abord, la solution SA ou “Séchage accéléré”. Son développement a nécessité 3 années de travail, dont 2 ans de tests sur le terrain. SA est commercialisée depuis 2 ans maintenant. Son action : faire sécher la chape plus vite, en provoquant une évacuation plus rapide de l’humidité. Le processus se fait, entre autres, via une modification de la structure interne de la chape. L’autre technologie additionnelle s’appelle R+R ou “Recouvrement plus rapide”. Cette fois-ci, il s’agit de permettre de recouvrir la chape plus tôt, malgré une humidité résiduelle plus importante : 2 % dans le cas du carrelage contre 1 % pour les autres chapes anhydrite sans R+R. Cette solution est sous Avis technique depuis le printemps 2019. SA et R+R sont des complémentaires. Elles sont proposées avec les chapes fluides Classic et Thermio+. D’autres technologies additionnelles verront le jour dans le futur… Au-delà de ces “compléments”, Anhydritec prépare-t-il le lancement de nouvelles chapes fluides ? L’année 2021 sera celle de l’évolution majeure de la Thermio+. Cette chape fluide anhydrite avait été lancée à l’occasion de la mise en application de la RT 2012. Avec l’arrivée de la RE 2020, elle sera disponible dans une nouvelle génération. D’autres chapes sont aussi au programme, mais pour plus tard. Beaucoup de choses nouvelles sont proposées depuis quelques mois. Une innovation majeure par an est un bon rythme. Une nouveauté, c’est 50 % de recherche en laboratoire, 50 % de tests sur chantiers. A quoi il faut ajouter 50 % à 100 % de temps additionnels pour accompagner le déploiement sur le terrain ! Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 92
Il y a 4 ans et 87 jours

Knauf déploie sa solution de recyclage de PSE en France

Après une phase pilote concluante, Knauf Circular se déploie sur la France entière à partir de mars 2021.
Il y a 4 ans et 87 jours

Comment l'Aire des vents compte profiter de l'élan donné par les Jeux olympiques

PARIS 2024. La commune de Dugny, en Seine-Saint-Denis, accueillera le village des médias lors des Jeux olympiques et paralympiques de 2024. Il occupera une partie d'un terrain appelé l'Aire des vents, et sera transformé après l'événement en un écoquartier et en un parc accessible aux habitants.
Il y a 4 ans et 87 jours

Grand Paris Express : Atos, Axione et Siemens réaliseront le réseau multi-services des lignes 15, 16 et 17

Le groupement a remporté le marché d'un montant de 153 M€ pour la fourniture, la mise en oeuvre et la maintenance des infrastructures réseaux, datacenters, technologies de contrôle d’accès et de détection intrusion, solutions de téléphonie, surveillance de la qualité de l’air et de vidéosurveillance intelligente des trois lignes.
Il y a 4 ans et 87 jours

Pénalités et indemnités : Les conséquences des retards de chantiers dus à la Covid-19

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Fermetures de chantiers et protocoles sanitaires stricts ont été le fruit de la crise liée à la Covid-19. [©ACPresse] La crise liée à la Covid-19 a imposé des fermetures de chantiers, puis la mise en place de protocoles sanitaires stricts. Autant de contraintes qui ont abouti, parfois, à des retards dans les travaux. Donc à des pénalités et des indemnisations. Toutefois, leur application diffère selon que les retards aient été pris jusqu’au 10 septembre 2020 ou postérieurement à cette date. Ceci, qu’ils aient été pris en raison de l’arrêt des chantiers ou de l’application des protocoles sanitaires… Les retards jusqu’au 10 septembre 2020 Trois textes du gouvernement ont pour but de “geler” les pénalités de retard dues à l’épidémie : les lois du 23 mars 2020 et du 11 mai 2020. Ainsi que l’ordonnance du 25 mars 2020. Principalement, la loi du 23 mars 2020 a fixé une période d’urgence sanitaire du 24 mars au 24 mai 2020. Ensuite étendue jusqu’au 10 juillet 2020 par la loi du 11 mai 2020… En substance, le gouvernement a estimé que la poursuite des travaux pendant la période du 12 mars au 10 septembre 2020 était assez difficile pour que les sanctions contractuelles de retards de livraison n’aient pas à s’appliquer. Aucune pénalité de retard n’est ainsi due pour la période du 12 mars au 10 septembre 20201. Il convient donc de distinguer trois situations : 1 – Le chantier devait se terminer entre le 12 mars et le 10 septembre 2020. Les pénalités de retard sont dues à compter du 11 septembre 2020. 2 – Le chantier devait se terminer avant le 12 mars 2020. Il n’y a pas de pénalités de retard pour la période allant du 12 mars au 10 septembre. Elles restent néanmoins dues pour les périodes antérieure et postérieure. 3 – Le chantier devait se terminer après le 10 septembre 2020. Malheureusement, le retard pris pendant la période d’urgence sanitaire est sans effet sur les pénalités dues. Outre les pénalités de retard, une livraison tardive peut aussi entraîner un préjudice – perte de loyers ou d’exploitation, avantage fiscal… -, dont l’indemnisation peut être demandée. Les textes sus-cités sont sans effet sur ces préjudices, dont l’indemnisation sera due à défaut de démonstration d’une cause classique d’exonération : force majeure, travaux supplémentaires, faute du client. Pour la force majeure, chaque situation doit être analysée au niveau individuel. Enfin, il faut aussi prendre en compte la stipulation d’une clause particulière au contrat. Retards postérieurs au 10 septembre 2020 Malheureusement, les retards pris depuis le 10 septembre dernier sont de la responsabilité de l’intervenant. Aucune disposition n’est intervenue pour bloquer les pénalités contractuelles pour la seconde période d’état d’urgence sanitaire2. Donc a priori, les pénalités de retard, tout comme l’indemnisation des préjudices, sont dues. Ceci, sauf démonstration d’une cause classique d’exonération ou la présence d’une clause contractuelle de “hardship3”, ou encore de prorogation du délai de livraison en plus de celle de report ou suspension du délai (intempéries, grèves…). La clause de “hardship” impose la renégociation de bonne foi en cas de circonstances exceptionnelles. Celle de prorogation retarde la livraison d’un temps supérieur (le double par exemple) à celui pendant lequel le chantier connaît des difficultés (arrêt partiel ou total). Par ailleurs, le respect des protocoles sanitaires génère des surcoûts. Les seules solutions sont les clauses contractuelles ou le cas d’une différence de coût très importante (art.1195 Code civil). Il faut aussi se tourner vers ses contrats d’assurance. Cependant, la majorité des contentieux naissent non pas en raison du retard lui-même, mais de l’absence de réponse du maître d’œuvre et/ou intervenant. Aussi, il est essentiel de maintenir la communication avec le commanditaire, en plus de revoir dès maintenant ses contrats (pour les dispositions concernant le présent comme pour les faire évoluer pour l’avenir). Pierre Lacoin Avocat à la Cour et co-fondateur du cabinet 1792 Avocats. 1Fin de l’état d’urgence sanitaire le 10/07/2020 + 1 mois (art. 1 ord. 25/03) + 1 mois (art. 4).2La seconde période d’urgence sanitaire a été fixée par décret et non par une loi.3Le terme anglais “hardship” signifie épreuve, adversité. Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. [/abonnes]
Il y a 4 ans et 87 jours

Herige regarde vers l’avenir

Benoît Hennaut, président du directoire du groupe Herige depuis septembre 2021. [©Herige] En septembre 2020, Benoît Hennaut prenait la présidence du directoire du groupe Herige. Succédant ainsi à Alain Marion. Après être parti à la rencontre des différents sites du groupe, afin de « découvrir et de comprendre les expériences de chacun », le président entrant a présenté une nouvelle orientation pour ces prochaines années. En 2020, le groupe qui comprend les branches VM (négoce), Atlantem (menuiserie) et Edycem (béton), a réalisé un chiffre d’affaires consolidé de 600,4 M€. « Un résultat très satisfaisant. Nous avons bénéficié d’un marché qui a bien tenu, explique Benoît Hennaut. De plus, nous avons très vite pris des mesures, en travaillant sur l’innovation et des produits qui ont porté cette croissance. » La nouvelle orientation du groupe Herige repose sur trois grands piliers. Le premier concerne la RSE. « La question de l’environnement peut être vue comme contraignante. Nous voulons aller au-delà de cette idée et créer une vraie culture environnementale au sein du groupe. » Ainsi, Herige compte développer un politique RSE ambitieuse. « Nous souhaitons le faire avec humilité. En mesurant déjà nos impacts pour les améliorer. La nouvelle génération que nous accueillons porte un regard plus critique sur ces sujets. C’est notre rôle en tant qu’industriel de répondre à ces évolutions. Nous sommes dans des secteurs où nous pouvons influer sur l’impact carbone du bâtiment. » Décarboner les activités Les mesures “éco-responsables” mises en place concernent aussi bien le fonctionnement en interne : régulation de la consommation énergétique, d’eau, gestion des déchets, évolution de la flotte de camions vers l’hybride ou le biogaz… Que la conception et la commercialisation de solutions bas carbone. « Cela passe par exemple, par les bétons “bas carbone” ou les granulats recyclés… Ce sont des avancées qui vont se poursuivre et s’accélérer. Nous avons aussi lancé la filière Menrec qui collecte et démantèle des menuiseries en fin de vie. » Des annonces sur ces évolutions “produits” devraient fragmenter l’année 2021 tout comme des objectifs chiffrés. Afin d’intégrer pleinement cette démarche au groupe, Herige a décidé de créer un comité RSE. « Le Comité de surveillance a validé une nouvelle politique de rémunération des comités de direction basée sur une variable de 30 % sur des indicateurs RSE. Une façon de connecter ces ambitions à la performance de chacun. » Miser sur le capital humain Pour le groupe vendéen créé il y a déjà plus de 114 ans, le capital humain tient une place importante. Le renforcement et la valorisation de ce capital constituent le deuxième pilier de la nouvelle orientation d’Herige. « Il faut se réinventer, changer, donner la priorité à la sécurité et à la santé. Il faut aussi se rencontrer ! Nous sommes dans des activités d’interactions, de mouvements, avec la livraison, les déplacements… Nous devons mettre en place des méthodes et la vie et l’humain en avant. » Cet axe se traduit ainsi par le développement des compétences des collaborateurs, des actions liées à la sécurité ou encore la poursuite du travail de l’association Martial Caillaud. Une entité créée par les acteurs et clients d’Herige, qui initie des projets humanitaires dans les pays en voie de développement. « Nous souhaitons donner du sens à ce que nous faisons et chercher comment contribuer au futur du bâtiment en France. Et ce, au même titre que la mise en valeur et le développement des compétences de chacun. » La data pour s’améliorer Enfin, le troisième pilier engagé par Herige concerne l’accélération de l’innovation et du digital. « Le digital transforme nos vies et certains pans de l’industrie. Le bâtiment en fait partie. » Le groupe compte bien poursuivre la digitalisation de ses process et de ses services. De plus, l’industriel cherche à recruter un data manager. Sa mission ? Identifier, qualifier et analyser l’ensemble des datas, tous métiers confondus. Le but étant d’optimiser et d’améliorer chaque branche d’Herige. Enfin, le groupe prévoit une nouvelle édition du concours de l’innovation. « Porteur d’initiatives fortes, il donne lieu à la concrétisation de projets tels qu’Ecop’Sûr pour sécuriser le prélèvement de granulats dans les centrales à béton. » Les partenariats avec le Village by CA qui permet au groupe de rencontrer des start-up ou encore entre Edycem et l’Ecole centrale de Nantes illustrent bien cette ambition. « Covid ou non, il n’y aura pas de retour à la normale, conclut Benoît Hennaut. Mais des changements et de grandes évolutions. Nous devons comprendre les usages d’aujourd’hui et de demain. »
Il y a 4 ans et 87 jours

Domaine d’Adèle: des maisons passives en bois construites par un promoteur hyperactif

Maxime Brard d’Ecolocost a réussi son pari : loger 26 familles de primo-accédants dans son lotissement de maisons passives à Villeneuve-Saint-Georges, en banlieue sud de Paris.
Il y a 4 ans et 87 jours

Icade choisit les interphones avec ou sans fil Urmet

Le contrat de partenariat référence une liste de produits de fabrication française : les plaques de rue, claviers codés connectés, kits de gestion à distance (modem), boutons poussoirs, badges, télécommandes et moniteurs vidéo.Urmet recommande aussi les partenaires installateurs Urmet Premium partout en France pour mettre en œuvre les solutions sur les projets Icade.La Direction Technique et Achats d’Icade Promotion explique l’importance d’un tel contrat : « Nous tendons vers la simplification de la conception et l’anticipation des usages de demain. L’harmonisation des choix de matériaux et d’équipements des halls et des parties communes des programmes de logement s’inscrivent dans cette démarche. La proposition d’Urmet France répond au triptyque du concept « hall by Icade » : être fonctionnel, sensoriel et connecté avec un niveau de prestation évolutif selon la gamme choisie pour chaque programme. Ce que nous avons retenu dans l’offre d’Urmet c’est l’ouverture et l’évolutivité de la solution Tel2Voice afin de pouvoir répondre à des usages d’aujourd’hui, mais aussi à ceux de demain avec un système pouvant s’interfacer avec nos smartphones si besoin ».Cyril Roumier, responsable prescription nationale pour Urmet France ajoute : « nous avons pu nouer une relation privilégiée avec lcade qui perçoit tout l’intérêt de notre interphone hybride. Dans le logement, les résidents peuvent, suivant leur mode de vie, répondre avec un poste audio ou vidéo ou avec un smartphone. Notre offre Tel2Voice préserve le choix de chacun, sans contraindre au seul smartphone qui n’est parfois pas adapté, faute de réseau suffisant par exemple, ou pour les jeunes enfants, les amis, les locataires fréquents. Grâce à la plateforme en ligne Visiosoftweb, le gestionnaire peut entre autres administrer en temps réel et à distance, ses contrôles d’accès, changer des codes claviers ou communiquer une information sur l’écran de la platine. Ce gain de temps génère moins de charges pour la copropriété. Urmet rejoint la vision d’Icade d’un logement durable et connecté qui est à l’écoute des besoins des résidents. »Icade est un opérateur immobilier intégré, qui conçoit des produits et des services immobiliers. Société cotée (SIIC) sur Euronext Paris. Ses actionnaires de référence sont le Groupe Caisse des Dépôts et Crédit Agricole Assurances. C’est à la fois une foncière, un développeur et un promoteur, 6è acteur en France pour plus de 6.000 logements par an et 1er acteur sur le tertiaire, avec 100.000 m² de surface de bureau par an. Plaçant la RSE et l’innovation au cœur de sa stratégie, Icade est au plus près des acteurs qui font la ville et allie l’investissement en immobilier tertiaire et de santé à la promotion pour contribuer à l’émergence des villes de demain, vertes, intelligentes et responsables.
Il y a 4 ans et 87 jours

ZAD du Triangle de Gonesse: les travaux ne concernent pas la gare

Les travaux que veulent empêcher des militants hostiles à l'urbanisation du Triangle de Gonesse ne concernent pas une future gare du métro du Grand Paris, mais les voies du métro lui-même,..
Il y a 4 ans et 87 jours

Un rapport préconise une "écotaxe" sur les poids lourds en Ile de France

Un rapport sur les mobilités en grande couronne d'Ile-de-France appelle à un "plan Marshall" pour les transports, financé notamment par une "écotaxe" sur les poids lourds.
Il y a 4 ans et 87 jours

Le Groupe BTP Consultants se projette vers l’avenir

Le Groupe BTP Consultants, référent technique de l’univers du bâtiment et spécialiste du secteur des TIC (Testing, Inspection et Certification), s’appuie sur de nouveaux actionnaires et une nouvelle gouvernance. Dans un objectif de croissance interne et externe, il compte accroître sa présence sur la construction hors site, le numérique et la rénovation énergétique.
Il y a 4 ans et 87 jours

La trajectoire bas-carbone du secteur résidentiel est insuffisante

A l’occasion de la présentation en Conseil des ministres du projet de loi « Climat et Résilience » issu de la Convention Citoyenne pour le Climat, le Ministère de la Transition écologique a demandé au Boston Consulting Group de mener une étude indépendante pour évaluer l’impact des mesures prises depuis 2017 ou actuellement en discussion sur la trajectoire bas-carbone au regard de l’atteinte de l’objectif de réduction de 40% des émissions de gaz à effet de serre à horizon 2030. Entre 2010 et 2018, les émissions de gaz à effet de serre du secteur résidentiel ont baissé de 4,6% /an grâce à la baisse d’émissions des usages de combustion, en particulier pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire. Cette diminution a été tirée par la baisse de la consommation par m2 et la modification du mix énergétique induisant une amélioration du taux d’émission (-2,3% /an), alors que la surface totale du parc a continué à croître (+0,8% sur la période). Les émissions liées à la climatisation ont quant à elles augmenté de 1,8% entre 2010 et 2018. A horizon 2030, trois leviers majeurs sont considérés : • L’interdiction d’installation de chaudières au fioul, couplée aux aides pour les remplacer par des chaudières moins énergivores et décarbonées (en particulier les pompes à chaleur), qui feraient gagner 6,3 MtCO2e (remplacement de 175k chaudières par an d’ici 2030) ; • La rénovation des passoires thermiques, devenue obligatoire pour les bailleurs et fortement incitée par des financements significatifs sur l’ensemble du parc (en faisant l’hypothèse a minima du maintien du niveau des aides prévues en 2021-2022 grâce à France Relance), qui permettrait un gain de 3,8 MtCO2e ; • La rénovation du reste du parc et son renouvellement vers des bâtiments neufs, dont on considère que le rythme soutenu historique sera poursuivi (environ -2% de baisse de consommation par m2 par an), en plus des efforts majeurs sur les passoires et le remplacement des chaudières et ce malgré la crise et la fragilisation du secteur. Un gain de 7,3 MtCO2e est ainsi comptabilisé, soit 90% du potentiel initial compte tenu du fait que les aides sur ce levier restent dans les mêmes ordres de grandeur qu’aujourd’hui. A cela s’ajoutent l’augmentation de la part du biométhane injecté dans le réseau (1,8 MtCO2e), et l’effet de la réglementation sur les gaz fluorés (0,7 MtCO2e). Dans le scénario volontariste, les émissions du secteur résidentiel sont 1,2 MtCO2e au-dessus de l’objectif de la Stratégie Nationale Bas Carbone.
Il y a 4 ans et 87 jours

Les professionnels de la rénovation énergétiques inquiets de la fin de certaines aides

Le ministère du Logement a pour projet de stopper plusieurs dispositifs coups de pouce financés par les certificats d’économie d’énergie dès juillet 2021. L’annonce de cette possible suppression, dès juillet 2021, inquiète aussi le syndicat de la rénovation énergétique Symbiote. Pour Symbiote, l’Etat ne peut pas retirer son soutien alors que la filière professionnelle a créé 15 000 emplois directs assurant la vitalité économique au plan local. Le dispositif des coups de pouce, mis à mal à son démarrage par des éco-délinquants et désormais assaini grâce aux visites obligatoires avant travaux et les contrôles a posteriori qui peuvent être encore amplifiés. Même si un changement dans le dispositif est nécessaire, il ne doit surtout pas créer de trou d’air et les décisions de l’Etat doivent faire en sorte que les professionnels aient le temps d’organiser leur mutation économique pour sauvegarder les emplois et permettre la mise en place d’une offre de rénovation globale aux ménages.  Depuis l’annonce de ce projet, les professionnels du secteur souhaitent  se faire entendre pour modérer l’impact des mesures envisagée sur les ménages, l’emploi, l’économie et l’environnement.
Il y a 4 ans et 87 jours

Knauf Circular se déploie sur toute la France

Knauf et Knauf Industries (dont les marques Isobox Isolation et Isobox Agromer) lançaient il y a un an, sur le quart Sud-Est de la France, le service Knauf Circular : une initiative de collecte et de recyclage des déchets de PSE (polystyrène expansé), issus des chantiers de construction et de l’emballage. Fort d’une phase pilote concluante, Knauf Circular se déploie sur la France entière à partir de mars 2021. Knauf Circular opère la collecte sur sites des déchets propres de PSE : chutes de chantier d’isolation (hors déconstruction), caisses marée, emballages industriels et commerciaux, calages de protection…, commercialisés par Knauf ou non, pour les introduire dans une filière de collecte et de recyclage responsable, fiable, et garante de leur revalorisation en de nouveaux produits en polystyrène pour le bâtiment, l’emballage ou la vie courante. Pour s’assurer d’une valorisation optimale, vertueuse et suivie des déchets de PSE, il suffit pour l’entreprise qui souhaite bénéficier de Knauf Circular de signer la convention prévue à cet effet. Cette prestation de service payante Knauf Circular se traduit par la mise à disposition de sacs de 1 m³ de contenance (ou le cas échéant, d’un moyen de reprise plus conséquent) et de leur reprise sous 10 jours sur sites (chantiers, entreprises, points de regroupement…) pour un minima de sacs de PSE établi en fonction de la quantité de déchets de PSE générée par l’activité et le profil de l’entreprise (industriels, négoces, mareyeurs, déchetteries…). Knauf Circular se veut d’une grande praticité d’utilisation au quotidien, avec des sacs faciles à porter, fermés et transparents qui seront enlevés sur site sur simple appel au numéro vert dédié. Lors de cette collecte, un bordereau de suivi des déchets sera délivré, pour preuve de traçabilité, justifiant du recyclage des déchets.