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Toute l'actualité du bâtiment

255421 actualités disponibles
Il y a 4 ans et 103 jours

Le critique d’architecture, un journaliste spécialisé dans les voyages ?

Herbert Wright est journaliste et auteur d’architecture au Royaume-Uni, un pays où la critique est réputée vigoureuse. Laquelle serait aujourd’hui étouffée par la générosité des « public relations » des agences (de voyages) ? Chronique d’Outre-Manche. Ecrire sur l’architecture, principalement pour le magazine Blueprint, m’a emmené en 2018 dans dix pays autres que le Royaume-Uni. Idem en 2019. […] L’article Le critique d’architecture, un journaliste spécialisé dans les voyages ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 103 jours

Économie circulaire : comment Eurovia compte accélérer

MATÉRIAUX. Le groupe Eurovia déploie une marque dédiée à l'économie circulaire sur la moitié de ses centres de recyclage, comprenant tous ceux qui trient, valorisent et vendent des granulats recyclés. La filiale de Vinci nourrit de fortes ambitions, espérant doubler d'ici à 2030 sa production de matériaux recyclés.
Il y a 4 ans et 103 jours

Les taux des prêts immobiliers sont restés stables en janvier

Le taux moyen des nouveaux crédits s'était établi au même niveau en décembre après avoir augmenté "de 16 points de base entre mars et juin" avant de perdre 10 points au cours du second semestre, indique dans un communiqué l'observatoire Crédit Logement/CSA, qui associe les principales banques françaises à un institut d'études de marché.Ce taux n'est pour autant pas revenu à son niveau d'avant confinement, ajoute l'Observatoire.En janvier, ce sont les plus hauts salaires qui ont bénéficié des taux les plus intéressants.Ainsi, pour les emprunteurs dont les revenus sont au moins égaux à 3 SMIC le taux moyen a reculé de 3 points de base entre décembre et janvier soit "1,13% pour les 3 à 5 SMIC et 1% pour les 5 SMIC et plus", mais "il s'est accru de 3 points pour les moins de 3 SMIC pour un taux de 1,25%", a indiqué l'Observatoire.La durée moyenne des prêts s'est établie en janvier à 227 mois, son niveau de l'automne 2019, après avoir atteint un niveau jamais observé de 235 mois en octobre.Cette durée moyenne s'était accrue dès le début de l'été "afin d'absorber les conséquences de la hausse des prix des logements" mais elle avait commencé à reculer à partir de décembre, une baisse qui s'est poursuivie en janvier, selon l'organisme.Le nombre de prêts immobiliers a chuté en France en 2020 malgré des taux d'intérêt toujours très bas, l'activité étant plombée par les conséquences de la crise sanitaire au détriment notamment des plus pauvres.Le nombre total de nouveaux prêts a reculé de 18,1% l'an dernier.Fin 2020, "la mise en œuvre du deuxième confinement a affecté les conditions de réalisation des projets immobiliers des ménages et provoqué l'abandon d'opérations envisagées", avait expliqué l'observatoire en décembre.
Il y a 4 ans et 103 jours

L’accompagnateur BDF, l’invention du siècle (en IDF seulement)

La nouvelle année est venue avec sa kyrielle de résolutions et de décisions déterminées, notamment aujourd’hui le souci de bienveillance et de tolérance à l’égard d’une administration que j’ai si souvent égratignée. Comment par exemple ne pas être impressionné par le tout nouveau BDF qui se propose de faire un bout de chemin avec les […] L’article L’accompagnateur BDF, l’invention du siècle (en IDF seulement) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 103 jours

Archéologie du présent, photographie de paysages engloutis

L’archéologie exige un engagement avec le paysage, or le paysage, c’est la culture. De la discussion « micro » de l’architecture à la discussion « macro » de la culture, chronique-photos d’Erieta Attali. Le degré auquel un bâtiment réagit avec la culture ou le paysage d’un lieu est principalement contrôlé par l’intention de la conception, […] L’article Archéologie du présent, photographie de paysages engloutis est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 103 jours

L’architecture est un instrument d’environnements (suite)

[…] L’ar(t)chitecture instrument d’environnements doit aider (en complément des jardins ou des espaces « naturels » ou en libre évolution), à travers des environnements plus divers, plus subtils, plus parfumés, à produire un nouvel équilibre entre les milieux physiques et virtuels. Le luthier (ou l’architecte) L’architecte conçoit un instrument à vivre et pour vivre : […] L’article L’architecture est un instrument d’environnements (suite) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Cimbat
Il y a 4 ans et 103 jours

Bouygues s'engage à diminuer fortement son empreinte carbone

La filiale construction du groupe français Bouygues a annoncé qu'elle s'engageait à réduire fortement son empreinte carbone directe et indirecte, entre 30 et 40% , dans les années à venir.
Il y a 4 ans et 103 jours

LafargeHolcim croît en France et en Italie

LafargeHolcim vient de reprendre 24 centrales à béton Cemex en Rhône-Alpes – Auvergne. [©Cemex] LafargeHolcim a annoncé l’acquisition simultanée d’Edile Commercial, en Italie, et le rachat de l’outil industriel de Cemex en Rhône-Alpes – Auvergne. Ces deux transactions concernent, en premier lieu, des unités de production de béton prêt à l’emploi. Pour ce qui est de Cemex, l’accord signé voit la cession de 24 centrales à béton et d’une carrière. Toutefois, Cemex conserve ses activités situées dans la métropole lyonnaise… L’industriel prévoit de finaliser la transaction d’ici début avril, une fois les conditions de clôture remplies. Et précise que « le produit de cette transaction sera affecté dans des projets de croissance sur des marchés clefs… » Côté italien, Edile Commerciale apporte à LafargeHolcim 11 centrales à béton, toutes situées sur le secteur de Milan. Ainsi, ce sont 35 unités de production de BPE qui viennent enrichir le parc des équipements du groupe franco-suisse.  Le béton vert EcoPact Ainsi, ces opérations renforcent la position de LafargeHolcim dans deux des zones les plus dynamiques et les plus attractives d’Europe. Des acquisitions complémentaires qui s’ajoutent à 8 initiatives similaires réalisées en 2020…  Ceci, en Australie, au Canada, aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et en Suisse. « Je suis enthousiasmé par les perspectives de croissance à venir avec Edile Commerciale et Cemex Rhône-Alpes,souligne Jan Jenisch, directeur général de LafargeHolcim. Ces deux acquisitions s’inscrivent dans notre stratégie de croissance […]. Elles confirment notre ambition de revitaliser des villes de premier plan comme Milan et Lyon. Et notre vision de faire de l’Europe une région zéro net carbone d’ici 2050. Pour être un partenaire clef dans ce voyage, nous avons lancé le béton vert EcoPact l’année dernière. Je m’engage à assurer son déploiement rapide dans le monde entier. Cette année, nous avons une occasion unique d’accélérer la transition vers la construction durable. Ceci, avec une vague sans précédent de plans de relance gouvernementaux, axés sur les infrastructures, avec l’Europe en tête. »
Il y a 4 ans et 103 jours

La filière bois présente son « Plan Ambition Bois-Construction 2030 »

Cette règlementation doit permettre au secteur du bâtiment, qui compte parmi les plus émissifs du pays, de prendre sa part à la décarbonation de l'économie. Dans ce cadre, les professionnels alertent sur le fait qu'un arbitrage qui consisterait à renoncer ou affaiblir l'ACV dynamique serait catastrophique. En effet, si l'ACV dynamique, pilier incontournable de la RE2020, devenait facultative (renvoyée à un label) et non réglementaire en 2021, pour n'être ensuite qu'hypothétiquement reconsidérée en 2024, alors la France ne tiendrait pas ses engagements pris lors des Accords de Paris pour le secteur du bâtiment.Consciente de l'enjeu historique auquel doit impérativement répondre la RE2020, la Filière Bois Construction se mobilise pour apporter sa contribution à l'effort collectif nécessaire à la décarbonation de la construction française. C'est pourquoi les acteurs de la forêt et du bois-construction s'engagent aujourd'hui solennellement auprès des élus, du Gouvernement et de leurs partenaires en lançant le « Plan Ambition Bois-Construction 2030 ».Ils prennent 10 engagements concrets pour faciliter la transition du secteur du bâtiment vers la neutralité carbone, du renouvellement des arbres à la fin du cycle de vie du bois de construction. Ces engagements stratégiques portent sur la formation, l'emploi, l'investissement, la recherche et le développement, le développement de l'offre en bois français, l'implantation dans les territoires, la mixité des matériaux, la gestion durable de la forêt, la réduction des coûts et enfin le recyclage du bois en fin de vie.La filière bois construction, convaincue que l'enjeu de la décarbonation réunira l'ensemble des métiers de la construction autour d'une vision durable et circulaire de la vie du bâtiment, démontre ainsi qu'elle sera au rendez-vous de la RE2020 et apportera tout son concours à l'avènement d'un secteur de la construction exemplaire. La mixité assumée des solutions constructives et des matériaux ainsi qu'une accélération des mises en chantier dès que l'incertitude sur les arbitrages de la RE2020 sera levée, profiteront économiquement à l'ensemble de la construction. Pour la seule filière bois, ce marché de la construction mixte représente déjà plus de 10 milliards d'euros de valeur ajoutée créée annuellement et 205 000 emplois directs sur les marchés finaux de la construction durable et bas carbone.Le « Plan Ambition Bois-Construction 2030 » : une réponse à la RE 2020La RE2020 doit permettre au secteur du bâtiment d'accélérer sa transition vers la neutralité carbone et de participer à l'effort collectif de décarbonation complète de l'économie. Cette transition et cet objectif ambitieux constituent un remarquable accélérateur d'innovation et de mixité des matériaux, synonyme de valeur ajoutée supplémentaire pour les métiers et l'économie de la construction.L'enjeu est de taille pour le secteur du bâtiment, toujours régi par une norme antérieure aux Accords de Paris sur le Climat – la RT2012 - et frappé par la crise sanitaire et économique. La réussite de cette transition passe donc à travers la RE2020 par l'innovation et une mixité accrue des matériaux. Dans ce contexte la part du bois et des matériaux bio-sourcés est inévitablement appelée à rapidement s'accroitre.10 engagements pour accélérer la transition écologiqueAucun matériau n'est aussi vertueux que le bois et les matériaux biosourcés pour réduire rapidement et durablement l'empreinte carbone du bâtiment. Le « Plan Ambition Bois-Construction 2030 » témoigne de la capacité de la filière bois-construction à répondre à la hausse de l'utilisation des matériaux bois et biosourcés. Il rassemble ses 10 engagements pour accompagner l'ensemble des professionnels de la construction dans la transition qui s'annonce :Former : « Nous nous engageons à accompagner, dans l'acte de construire, les opérateurs de la famille des bâtisseurs en lien avec les organismes de formation. Nous nous engageons également dans un effort de formation continue de nos professionnels, de l'amont à l'aval. »Développer l'emploi : « Nous nous engageons, en augmentant nos capacités de production, à développer l'emploi et à produire de la valeur ajoutée. »Mobiliser les volumes : « Nous nous engageons à favoriser les investissements liés au développement des usines de première et de deuxième transformation vers des produits mixtes, combinant le bois à d'autres matériaux, afin de répondre aux exigences du marché en termes de volume. »Investir en recherche et développement : « Nous nous engageons vers un effort constant en matière de recherche et développement, allant de l'ingénierie à la conception de produits et systèmes constructifs novateurs, afin de favoriser l'essor des marchés de la construction bois et biosourcée. »Développer l'offre en bois français : « Nous nous engageons à favoriser la construction de logements bas-carbone avec une priorité donnée au bois français. »Soutenir l'économie des territoires : « Nous nous engageons à développer des acteurs industriels de référence et des capacités de transformation au cœur des territoires français. »Favoriser la mixité des matériaux : « Nous nous engageons à relever le défi de l'accroissement de la mixité des matériaux auprès des entreprises de la construction, forts de tous les acquis des programmes démonstrateurs menés depuis plusieurs années. »Planter et replanter : « Nous nous engageons à maintenir un effort constant afin de garantir le renouvellement de la forêt française. »Réduire les coûts : « Nous nous engageons à maintenir un effort constant afin de massifier l'utilisation du bois et investir dans des outils de production pour diminuer les coûts. »Recycler le bois en fin de vie : « Nous nous engageons à investir dans les usines biomasse et à optimiser l'utilisation des produits bois en fin de vie. »
Il y a 4 ans et 103 jours

Plainte contre Century 21, accusé d'enfreindre le plafonnement des loyers

Le groupe immobilier Century 21 est visé par une plainte de l'association CLCV, qui accuse le réseau d'agences de diffuser des annonces ne respectant pas le plafonnement des loyers à Paris.
Il y a 4 ans et 103 jours

Weber incubateur, un nouveau service dédié aux artisans

Loin d’un simple effet d’annonce, cette volonté s’affirme par des mesures très concrètes, dont le lancement aujourd’hui d’un nouveau service : weber incubateur. Il s’agit d’accompagner les artisans créatifs qui innovent pour réinventer leur métier.« Vous avez l’ébauche d’un nouveau produit, service ou accessoire pour améliorer votre quotidien et révolutionner votre métier, weber incubateur vous apporte toute l’aide nécessaire pour passer de l’idée à la réalité » interpelle Laetitia Lemoigne, Responsable de l’Expérience Client, en s’adressant aux artisans.Le principe est simple : un artisan imagine une solution, notamment pour gagner en confort de travail (la réduction de la pénibilité constituant un thème cher à Weber) mais n’a ni le temps ni les moyens de la concrétiser. Il contacte alors Weber, via la plateforme collaborative incubateur, qui va réaliser une étude de faisabilité approfondie et l’accompagner jusqu’au dépôt de brevet, voire même jusqu’au contrat de commercialisation.Premier bénéficiaire de ce nouveau service, Jean-Jacques Carbon, gérant de l’entreprise F2J CARRELAGE à Rennes (35). Fort du constat que manipuler tous les jours jusqu’à 15 seaux de colle à carrelage de 32 kg en étant en position à genoux s’avérait éreintant (avec notamment des douleurs à l’épaule du fait de le tirer à soi à chaque avancement du sol carrelé), ce carreleur a pensé un dispositif astucieux afin de le déplacer sans efforts et pallier tout risque de TMS¹.« Un chariot qui permet de transporter les seaux de colles en ras de sol avec un centre de gravité relativement bas. C’est un système qui est extrêmement léger, évolutif et qui facilite beaucoup la vie ! » confie l’entrepreneur. Weber incubateur lui a ainsi permis de protéger son invention qui sera distribuée prochainement en France sous la marque Weber (Monsieur Carbon étant bien entendu intéressé financièrement aux ventes de son outil).Pour solliciter incubateur, rien de plus simple : sur www.fr.weber, en accès libre, le candidat remplit un formulaire et poste un pitch décrivant l’unicité de son idée. Il reçoit une confirmation de bonne réception du dossier puis sera recontacté par Weber, sous quelques semaines, pour l’informer des suites données à son projet.1 . (TMS) Troubles musculosquelettiques
Il y a 4 ans et 103 jours

D.Kube, le nouveau conditionnement recyclable et Eco Label qui remplace le pot de peinture

Pourquoi une brique ?Dans sa démarche citoyenne et en parallèle du strict respect de la règlementation Durieu réfléchit constamment aux moyens de rendre ses produits toujours plus en adéquation avec le respect de l'environnement, plus pratiques, plus simples à utiliser… Cela passe aussi bien par l'amélioration ou l'aménagement des formulations que par la recherche packaging.Dans cette optique les équipes de Durieu ont lancé une étude pour un nouveau type d'emballage à la fois pratique à utiliser et à stocker et plus eco-friendly.Les désagréments d'un pot de peinture classiqueDifficile à ouvrir, à refermer,Perte de produit lorsque l'on verse le pot dans un contenant,Coulures de peinture sur le pot…L'idée est donc née de changer complètement de concept pour offrir un nouvel emballage en forme de brique.Les avantages immédiats du D.KUBEÉquipé d'un bec verseur avec bouchon, le versement, l'ouverture, et la fermeture sont facilités.Le stockage est plus simple en magasin et chez le particulier : la forme en brique du nouveau D.KUBE permet de le ranger facilement, sans perdre de place.Recyclage simplifié de la brique une fois son utilisation terminée.Nouvel emballage pour un contenu 100% efficaceL'innovation packaging du D.KUBE n'éclipse en rien une formulation pointue : dans le D.KUBE, on retrouve toute la qualité De Keyn d'une peinture acrylique haut de gamme :Application simple avec un très bon pouvoir couvrant résultant d'une très bonne opacité.Grâce à la qualité de ses résines, la peinture est lavable et offre une résistance renforcée à l'usure du temps.Très beau rendu mat bien garnissant qui permet de masquer les aspérités et les défauts du mur.Le plus - Atout stockage : D.KUBE est parfaitement adapté à son nouveau contenant avec une très bonne stabilité des pigments et l'absence de sédimentation, ce qui permet de garder la peinture longtemps ouverte ou non.Explications : une fois ouverte D.KUBE se conserve très bien (plusieurs années) dans des conditions normales de stockage. En effet au fur et à mesure de l'utilisation, la poche à l'intérieur de la brique se dégonfle et évite l'entrée de l'oxygène qui pourrait oxyder la peinture restante. Le produit se trouve alors naturellement à l'abri de l'oxygène et des bactéries et se conserve ainsi encore plus longtemps.Déco infinie : 45 teintes hyper tendance, blanc inclus.
Il y a 4 ans et 103 jours

Objectif BBC rénovation : il faut limiter le nombre d'étapes de travaux selon l'Ademe

Selon une étude de l’Ademe, l’atteinte du niveau BBC rénovation par des parcours de 4 étapes de travaux ou plus à un coût acceptable et d’ici 2050, semble peu réaliste.
Il y a 4 ans et 103 jours

Eqiom défend une stratégie globale béton bas carbone

La société Eqiom, filiale du groupe irlandais CRH depuis 2015 a mis au point une stratégie globale pour ses produits en béton bas carbone sur lesquels elle entend mieux communiquer.
Il y a 4 ans et 103 jours

Doka France lance le Cadre-Etais

Le Cadre-Etais Doka assure la verticalité des étaiements en toute sécurité. [©Doka] Depuis plus de 30 ans, Doka France propose des solutions de coffrages et d’étaiements ergonomiques. C’est ainsi qu’elle vient de lancer le Cadre-Etais. Ceci, pour les coffrages de dalles ou la pose de prédalles. Avec une hauteur d’utilisation de 1,70 à 3,50 m, ce cadre-étais assure la verticalité des étaiements dans des trames d’espacements réguliers. Et offre ainsi une meilleure stabilité de l’ensemble. Les montants longitudinaux sont reliés entre eux par des croisillons transversaux. La longueur de ces derniers est comprise entre 1,50 et 3 m. Quant au poids de ce cadre-étais, il s’élève à 13,56 kg. Les croisillons, eux, pèsent entre 4,1 et 6,6 kg. Le Cadre-Etais permet de coffrer ou de décoffrer autour de l’étaiement plus facilement. Il peut bien sûr être démonté indépendamment des étaiements de séchage. Le montage et le démontage sont plus sûrs, grâce à l’auto-stabilisation du Cadre-Etais et des étaiements. Le tout améliorant les conditions de travail et réduisant le risque de troubles musculo-squelettiques (TMS). Sa manipulation est donc légère et sécurisée. Le Cadre-Etais Doka est fabriqué avec de l’acier galvanisé haute résistante, garantissant une longévité du produit et une durabilité plus élevée.
Il y a 4 ans et 103 jours

Un nouveau Cerema pour un monde en grande mutation

Le Cerema opère sa mue en capitalisant sur ses forces qu'il met au service des territoires engagés dans une démarche résiliente.Mieux adapté aux problématiques de terrain des collectivités et des aménageurs qui y œuvrent au quotidien, il se positionne résolument comme un tiers de confiance engagé durablement pour plus d'efficacité pour affronter les défis actuels et futurs. Une vision moderne portée par une direction en phase avec les enjeux environnementaux à l'échelle globale comme aux échelles locales les plus fines.Cette mue se traduit aussi par une nouvelle identité visuelle et coïncide avec l'arrivée d'une nouvelle présidente, Marie-Claude Jarrot, élue de terrain pour qui la résilience des territoires est un enjeu concret et essentiel.Afin de clarifier son action, le Cerema se positionne sur six grands domaines d'expertise tous liés à l'adaptation au changement climatique :Expertise et ingénierie territorialeBâtimentsMobilitésInfrastructures de transportEnvironnement et risquesMer et littoralIl propose des solutions, sur-mesure aux collectivités, maîtres d'ouvrage, entreprises ou porteurs des politiques publiques.Partenaire des territoires, le Cerema veille plus que jamais à s'adapter à leurs besoins afin de les accompagner dans leur transition pour les aider à gérer l'inévitable et à éviter l'ingérable.
Il y a 4 ans et 103 jours

Le groupe Apave accélère sa transformation

Le groupe Apave a présenté son plan stratégique 2025. Parmi les ambitions : accélérer sa croissance et être plus innovant et digital.
GDA
Il y a 4 ans et 103 jours

Granudem : « Par ricochet, nous sommes concernés par la RE 2020 »

Stéphane Poullard est le gérant de l’entreprise Granudem. [©ACPresse] Pouvez-vous nous rappeler en quoi consiste le concept de Granudem ? Nous avons travaillé à produire des granulats recyclés, faciles à réutiliser dans des productions différentes et issus d’apports hétérogènes. Nos produits sont utilisés par les préfabricants, les BPE, les artisans ou des particuliers. Point important : l’utilisation de nos granulats recyclés ne change pas les habitudes de travail. L’enjeu essentiel est d’obtenir un produit homogène ? Nous avons un process qui permet d’assurer l’homogénéité des matériaux. La plupart de nos apports viennent de nos démolitions. Les matériaux sont alors déferraillés, concassés, lavés, puis l’on sépare les boues. Enfin pour obtenir des granulats, nous criblons le tout, le sable est lui obtenu par un cyclonage. Lors de ce dernier process, les matériaux de moindre qualité sont éliminés pour nous permettre d’obtenir, in fine, des sables qui vont de 63 µm à 4 mm. Nous effectuons aussi un travail sur la forme du granulat, pour augmenter sa résistance et son absorption. Le process est normé depuis cette année. Vous travaillez notamment avec l’industriel du béton Spurghin Leonhart. Est-ce par proximité géographique ? Pour le moment, notre zone de chalandise se limite aux alentours de Chartres. Spurghin Leonhart a travaillé sur le chantier du Onze, dans la même ville, chantier auquel nous avons collaboré aussi. A l’issue des travaux, l’industriel est revenu vers nous pour pérenniser nos liens. Aujourd’hui, nous avons une semi-remorque qui part chaque jour vers son usine. Nous sommes autour de 4 000 t livrées sur un an. Spurghin Leonhart incorpore 15 % de granulats Granudem dans leurs formulations. Un pourcentage limité par notre propre capacité de production, l’installation est prévue pour 40 t/h, mais nous sommes plus à 200 t/semaine. Nous allons passer à un taux d’incorporation de 20 % en début d’année prochaine. Il vous faut réfléchir à un nouvel outil industriel ? Oui, il nous faut passer à un niveau supérieur. Nous allons changer de site, je l’espère dans l’année, afin de doubler nos installations. A l’heure actuelle, notre site ne nous permet pas d’augmenter la production. Et encore moins d’élargir notre gamme. Par exemple, nous ne pouvons que produire du béton avec 100 % de granulats recyclés, ce qui n’est pas normé. Avec un nouveau site et un nouveau process, nous pourrons avoir des bétons entrant dans la norme. Nous pourrons aussi élargir le panel de nos apports. Nous avons aussi entamé des discussions avec des industriels qui sont intéressés par notre brevet. L’idée est d’avoir des franchisés que nous accompagnons dans la mise en place de leur business, en utilisant notre concept. Mais ce processus prend du temps. Faire accepter les granulats recyclés est aussi un processus assez long… Au début, on nous prenait pour des extra-terrestres. Mais au fil de nos collaborations, les professionnels ont pris conscience que cela marchait. Nos clients deviennent nos meilleurs promoteurs. Et puis, nous avons désormais le soutien de la métropole de Chartres, puisqu’il est inscrit dans leur PCAET1 que chaque chantier public de bâtiment doit incorporer une part de granulats recyclés. Nous avançons… Pourtant, l’économie de ressource n’est pas une notion présente dans la RE 2020. Avez-vous l’impression d’être soutenu par l’Etat ? La RE 2020 ne parle que d’économie de CO2. Pourtant, nous travaillons en circuit court, sans production de nouvelle matière, c’est de l’économie de carbone indirecte. Mais la RE 2020 met en avant des systèmes vertueux. Par ricochet, nous sommes concernés. Il est aussi compliqué de convaincre des politiques et des entrepreneurs de viser une croissance économique avec moins de production… Nous avons lancé ce concept, parce que nous y croyions, sans aide gouvernementale. Nous sommes sans doute des précurseurs, mais je veux faire comprendre à tous que l’on peut faire du business avec du recyclage ou des solutions vertueuses. La croissance verte est possible. Nous en sommes un très bon exemple. 1PCAET : Plan climat-air énergie territorial.
Il y a 4 ans et 103 jours

fib Symposium 2021

Congrès des structures en Béton : Nouvelles tendances en matière d'éco-efficacité et de performance.
Il y a 4 ans et 103 jours

L’AF Ventilation fédère les organisations professionnelles du secteur

La toute nouvelle Association française de la ventilation est sur les rails.
Il y a 4 ans et 103 jours

Economie circulaire : Eurovia monte en puissance

En vue de doubler sa production de matériaux recyclés, la filiale du groupe Vinci déploie Granulat +. Une marque qui regroupe l’ensemble de ses sites français engagés dans la collecte, le traçage et le recyclage des déchets minéraux issus de la construction.
Il y a 4 ans et 103 jours

Bouygues retenu pour le chantier de rénovation de la gare du Nord

"Au terme d'un appel d'offres, nous avons retenu Bouygues Bâtiment Ile-de-France comme attributaire pressenti des travaux de rénovation qui représentent 600 millions sur les 900 millions du projet au total pour StatioNord, en y incluant l'aménagement des abords de la gare, les frais financiers, les taxes etc..", déclare Aude Landy-Berkowtiz, présidente du directoire de StatioNord.En ajoutant une passerelle piétonne et cyclable devant surplomber les voies qui ne relève pas du même budget, un parking souterrain et un nouveau bâtiment SNCF, le projet total dépassera la barre du milliard d'euros.Les travaux qui devraient être lancés d'ici juin, "sans attendre la délivrance du permis modificatif et la purge des recours, comme le droit de l'urbanisme nous le permet", dureront quatre ans, puis StatioNord exploitera les espaces commerciaux jusqu'en 2065, indique la dirigeante.Selon Mme Landy-Berkowitz, les travaux vont générer 450 emplois, puis 1.800 emplois directs permanents pour les diverses activités de la gare, hors SNCF.Un accord avait été conclu fin 2020 avec la mairie de Paris sur la forme finale de la gare qui devrait avoir un peu moins de surfaces commerciales et un peu plus de parkings à vélos qu'initialement prévu.Le Terminal TransManche, d'où part l'Eurostar, devrait être livré "à temps pour la Coupe du monde de rugby de 2023" et "tous les ouvrages ferroviaires seront opérationnels pour les Jeux Olympiques de 2024" prévus à Paris, ajoute-t-elle.Le projet comporte peu de démolitions, et le principe d'une construction en métal et verre, qui ne nécessite qu'un assemblage d'éléments, a été retenu pour accélérer le chantier et minimiser les nuances.Plus de 700.000 personnes transitent chaque jour dans cette gare aujourd'hui "et 900.000 sont prévus en 2030", selon Mme Landy-Berkowitz.
Il y a 4 ans et 103 jours

Etude Ademe : les clés pour atteindre une rénovation performante

L’ADEME a étudié les conditions techniques permettant la rénovation des maisons individuelles au niveau Bâtiment Basse Consommation en moyenne nationale. Ce niveau, fixé par la Stratégie nationale bas carbone, est celui que doit atteindre le parc des maisons individuelles, pour respecter les objectifs de neutralité carbone à l’horizon 2050. La tendance actuelle des ménages français, analysée dans l’enquête TREMI pour la période 2016-2017, montre que 75% des travaux de rénovation en maisons individuelles n’ont pas permis de changer de classe de DPE. Il y a donc un enjeu majeur à accélérer le rythme des rénovations plus performantes. L’étude s’attache à définir les conditions techniques pour qu’une rénovation puisse être performante. Elle précise le nombre d’étapes maximum ainsi que les risques d’impasses techniques en cas de rénovation partielle. Elle s’inscrit dans le cadre du Plan de relance et du renforcement des dispositifs d’aide « MaPrimeRenov’ » et « Coup de POUCE CEE » vers les rénovations performantes diminuant à minima de 55% les consommations énergétiques. Les principaux constats de l’étude Pour les maisons individuelles datant d’avant 1982, un parcours de rénovation performante comprend nécessairement 6 postes de travaux : isolation des murs, de la toiture, du plancher bas, remplacement des menuiseries extérieures, systèmes de ventilation et de chauffage/Eau Chaude Sanitaire. L’étude pointe que la réalisation de travaux de rénovation énergétique, non coordonnés, peut conduire à des impasses techniques incompatibles avec une rénovation performante. L’étude montre aussi que l’ordonnancement des travaux est crucial pour le bon fonctionnement des systèmes de production de chauffage. La première étape doit préférentiellement viser les travaux d’isolation et de ventilation, pour éviter des pathologies et un surdimensionnement des systèmes de chauffage, grevant la performance des systèmes de production de chauffage. La rénovation performante doit privilégier les énergies renouvelables (EnR) pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire (poêle à bois, chaudières bois, pompes à chaleur, chauffe-eau solaire). Le système de chauffage choisi doit posséder un bon rendement, y compris à basse puissance puisque les besoins sont fortement réduits dans une rénovation performante. Elle doit veiller à assurer le confort et la santé des habitants en se prémunissant des conséquences d’une mauvaise ventilation, de ponts thermiques et de condensations qui peuvent provoquer le développement de moisissures et de pathologies diverses. Elle gagne pour cela à être réalisée en une seule étape et au maximum en deux ou trois grandes étapes cohérentes afin de traiter des interfaces et interactions entre postes de travaux. Elle exige d’être coordonnée par un pilote (maître d’oeuvre ou architecte, groupement d’entreprise, contractant général). Les travaux de rénovation de qualité et pensés dans leur ensemble méritent donc d’être encouragés via des aides financières attractives pour les travaux et leur conception et pilotage. Les récentes évolutions de MaPrimeRénov’ et des « coup de pouce » des Certificats d’économie d’énergie décidées dans le cadre du Plan de relance vont dans ce sens. https://www.ademe.fr/renovation-performante-etapes   Visuel : Pertes de chaleur d’une maison d’avant 1974 non isolée. Source : Guide Isoler sa maison de l’ADEME.
Il y a 4 ans et 103 jours

Saint-Gobain diminue ses émissions de CO2

En 2020, Saint-Gobain a diminué de plus de 20 % à 30 % ses émissions de CO2 pour la fabrication en France du verre plat pour le bâtiment. Ces résultats sont le fruit de multiples actions mises en place pour réduire les émissions de CO2 sur toute la durée de vie du verre : l’amélioration des outils de fabrication pour réduire leur consommation énergétique, la réintroduction dans les fours des chutes de coupe de production ou des vitrages collectés sur les chantiers de rénovation ou de déconstruction, ou encore une implantation régionale très forte en France pour limiter le nombre de kilomètres parcourus par les matériaux. Autant d’actions concrètes qui permettent aujourd’hui à Saint-Gobain de proposer du verre de 4 mm d’épaisseur à moins de 10 kg de CO2 éq. /m2, une valeur qui pourrait devenir la nouvelle référence pour les bâtiments. Par ailleurs, le groupe vient de publier 44 nouvelles FDES sur la base INIES qui viennent démontrer l’impact positif de ses actions sur l’empreinte carbone de ses produits. Photo : Saint-Gobain – Iris LEBRUN
Il y a 4 ans et 103 jours

Vicat créé sa filiale dédiée à l’économie circulaire

Vicat a créé sa filiale dédiée à l’économie circulaire : CIRCULère. Elle permet d’apporter des solutions concrètes aux entreprises des territoires pour la valorisation de leurs déchets. Cette entité emploie une douzaine de collaborateurs (ingénieurs et scientifiques), elle compte deux plateformes de traitement des déchets en collaboration avec le groupe Serfim : Terenvie, dépollution des friches industrielles (69) et Bioval, production de combustibles solides de récupération (73). Cette filière est née d’une double ambition : accompagner l’élimination des énergies fossiles carbonées et importées dans les cimenteries du groupe Vicat et contribuer au développement économique des territoires, principalement dans les régions où l’entreprise est implantée (Auvergne-Rhône-Alpes, Provence-Alpes-Côte d’Azur, Grand Est et Grand Paris). Elle s’articule autour de 3 axes : la valorisation des terres excavées (dépollution des sols), le recyclage des matériaux issus de la déconstruction et la substitution des combustibles fossiles par des combustibles secondaires (pneux broyés, CSR…), avec pour ambition d’atteindre 0% d’énergie fossile dans le processus cimentier en France d’ici à 2025. En 2019, l’utilisation de combustibles et matières de substitution a permis de valoriser près de 450 kt de déchets dans les 5 cimenteries françaises du Groupe et d’éviter la consommation de plus de 625 kt de charbon. Cette démarche contribue également aux objectifs de réduction des émissions de CO2 du groupe Vicat.
Il y a 4 ans et 103 jours

Les « Rues aux Écoles » d’AREP au cœur du Paris de demain ?

L’agence AREP concevra les prototypes de rues aux écoles de certains arrondissements parisiens en partenariat avec l’anthropologue Sonia Lavadinho/Bfluid et le créateur d’aires de jeux Playgones. L’appel d’offres de la Ville de Paris consistait à concevoir un nouveau vocabulaire de l’espace urbain faisant office de signal pour les écoles parisiennes, tout en soulignant les engagements post-carbone […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 103 jours

Lycéennes, lycéens, découvrez le métier d’architecte !

Cette année, crise sanitaire oblige, la traditionnelle Journées des lycéen·ne·s sera virtuelle. Le mercredi 3 février 2021 de 14h30 à 15h30, l’Ordre des architectes d'Île-de-France organise une réunion d'information à destination des lycéen·ne·s, de leurs familles et des acteurs de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 103 jours

Transformation de bureaux vides en logements, c’est le moment !

Les surfaces de bureaux vides se comptent en millions de m², la pénurie de logements croît et une nouvelle source de financement de la transformation de bureaux en logements est disponible
Il y a 4 ans et 103 jours

Parution du NF-DTU 53.12 - Préparation du support et revêtements de sol souples

Paru en décembre 2020, le NF DTU 53.12 encadre désormais la pose des revêtements de sol textiles, PVC, linoléum et la préparation des supports.
Il y a 4 ans et 103 jours

A Reims, l’extension de l’EHPAD Roederer-Boisseau signée Ameller Dubois

L’agence parisienne Ameller Dubois a livré en 2020, pour le CHU de Reims (Marne), maître d’ouvrage, l’extension (4 740 m² SDP) de l’EHPAD Roederer-Boisseau. Créée au XIXe siècle, cette maison de retraite est la plus ancienne des résidences pour personnes âgées de la ville. Communiqué. L’extension, réalisée avec un budget de 8,3M€, accueille 90 lits […] L’article A Reims, l’extension de l’EHPAD Roederer-Boisseau signée Ameller Dubois est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 103 jours

A Reims, l’extension de l’EHPAD Roederer-Boisseau signée Ameller Dubois

L’agence parisienne Ameller Dubois a livré en 2020, pour le CHU de Reims (Marne), maître d’ouvrage, l’extension (4 740 m² SDP) de l’EHPAD Roederer-Boisseau. Créée au XIXe siècle, cette maison de retraite est la plus ancienne des résidences pour personnes âgées de la ville. Communiqué. L’extension, réalisée avec un budget de 8,3M€, accueille 90 lits […] L’article A Reims, l’extension de l’EHPAD Roederer-Boisseau signée Ameller Dubois est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 103 jours

Sylvania propose SmartServices, un bouquet de services clé en main pour une optimisation énergétique des installations d'éclairage

Afin d'aider les bâtiments tertiaires à répondre aux objectifs de réduction de consommation d'énergie définis par la loi ELAN, Sylvania accompagne sa gamme de luminaires LED éco-performants d'une offre complète de services à la carte : SmartServices.
Il y a 4 ans et 103 jours

Pour la 1ère fois,

Le fabricant de portes d'intérieur, Eclisse France, veille à ce que ses prescripteurs (bureaux d'études, architectes, décorateurs d'intérieur, artisans-poseurs, menuisiers, installateurs...) préconisent ses produits pour leur design, technicité et qualité. Pour aller plus loin, en 2021, Eclisse France s'est donné comme objectif de développer sa marque auprès des architectes et décorateurs d'intérieur. Objectif ? Développer la relation et toujours mieux les accompagner dans leurs réalisations.
Il y a 4 ans et 103 jours

Nouveau - Plaque stabilisatrice de gravier URBANGRAVEL JOUPLAST

L'offre JOUPLAST® s'urbanise Leader européen des plots de terrasse, JOUPLAST®, marque de TMP CONVERT, se présente comme le spécialiste en solutions constructives dédiées aux aménagements extérieurs. Reconnue pour ses produits innovants et durables, JOUPLAST® élargit son offre et cible l'aménagement en milieu urbain. Avec URBANGRAVEL®, le fabricant français lance sur le marché une solution qui permet de consolider la pose de gravier pour les parkings, routes d'accès, zones industrielles ou commerciales, même avec un trafic dense.
Il y a 4 ans et 103 jours

MEWA Dynamic Flame : des vêtements de protection contre la chaleur et les flammes

Il existe une règle élémentaire concernant les vêtements de protection : plus ils sont confortables, plus ils seront portés. C'est pourquoi MEWA a développé une collection pensée pour les soudeurs. Les vêtements de protection contre la chaleur et les flammes existent en trois versions, adaptées aux travaux de soudage selon leur fréquence : occasionnelle, régulière ou continue.
Il y a 4 ans et 103 jours

L’Université populaire d’architecture fait sa rentrée

Pour cette nouvelle session 2021, l’Université populaire propose 4 cours en ligne sur les « actes fondamentaux » présentés par Richard Scoffier. Ce troisième cycle débute ce samedi 6 février de 11h à 13h, en direct sur le site du Pavillon de l’Arsenal.  Ce mois de février correspond au début du cycle des actes fondamentaux de de l’Université populaire du Pavillon de l’Arsenal. Ces cours proposent une réflexion sur une action élémentaire interrogée par le prisme de l’architecture....
Il y a 4 ans et 103 jours

Dupont Sustainable Solutions dévoile les lauréats du 14ème Prix DuPont Safety & Sustainability

Les prix DuPont Safety & Sustainability récompensent les organisations innovantes et leur engagement en matière de sécurité, développement durable et excellence opérationnelle.
Il y a 4 ans et 103 jours

ACOVA complète sa gamme ARTEMIA avec une version chauffage central

Fabriqué en France, le nouveau radiateur vertical ARTEMIA en version chauffage central est doté de nombreuses innovations. Pour s'harmoniser aux intérieurs contemporains, il bénéficie également d'un design minimaliste et de finitions soignées.
Il y a 4 ans et 103 jours

Le MuMo, ou le camion-musée signé Hérault-Arnod

L’agence Hérault-Arnod (Isabel Hérault – Yves Arnod) a été en janvier 2021 désignée lauréate pour la conception réalisation du camion-musée MuMo x Centre Pompidou. Ou quand le musée va vers les gens en camion… Pour tout comprendre en 30 secondes chrono ! L’article Le MuMo, ou le camion-musée signé Hérault-Arnod est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 103 jours

Le MuMo, ou le camion-musée signé Hérault-Arnod

L’agence Hérault-Arnod (Isabel Hérault – Yves Arnod) a été en janvier 2021 désignée lauréate pour la conception réalisation du camion-musée MuMo x Centre Pompidou. Ou quand le musée va vers les gens en camion… Pour tout comprendre en 30 secondes chrono ! L’article Le MuMo, ou le camion-musée signé Hérault-Arnod est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 103 jours

Le projet Clos Hédonia sera livré en 2022

L’ancienne gendarmerie de la commune de Plaisir fera place à de nouveaux logements en 2022.