Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

255421 actualités disponibles
Il y a 4 ans et 103 jours

Mont Ventoux : un plan d’investissement pour moderniser les équipements des stations de ski

La communauté d’agglomération Ventoux Comtat Venaissin (COVE) assure désormais l’investissement dans les stations de ski du Mont Ventoux.
Il y a 4 ans et 103 jours

Déchets du BTP : Ecodrop lève 5 M€ auprès de deux fonds d'investissement

Les fonds Turenne et Amundi, accompagnés de business angels et de Saint-Gobain, accompagnent la start-up spécialisée dans le traitement des déchets de chantier.
Il y a 4 ans et 103 jours

Un futur écoquartier autour de la gare d’Arceuil-Cachan

La mairie de Cachan et la Société du Grand Paris (SGP) s’unissent pour la réalisation d’un écoquartier autour de la gare.
Il y a 4 ans et 103 jours

De nouvelles démarches pour le projet de rénovation de la route Villers-Mélicocq

Dans l’Oise, la route reliant Villers à Mélicoq est fortement dégradée. Les études de circulation dans le cadre de sa rénovation sont prévues courant mars.
Il y a 4 ans et 103 jours

Huawei : construction d’une usine de production à Brumath

Le géant chinois des télécommunications Huawei vient de présenter officiellement la construction de sa première usine hors de Chine.
Il y a 4 ans et 104 jours

Comment la filière bois compte atteindre 20 à 30% de part de marché d'ici à 2030

CONSTRUCTION. La dynamique lancée par la RE2020 pourrait permettre au bois d'atteindre entre 20 et 30% de part de marché à l'horizon 2030, espère Luc Charmasson, président du comité stratégique de filière bois, auprès de Batiactu.
Cimbat
Il y a 4 ans et 104 jours

Un chef d'œuvre de l'Art nouveau ouvre ses portes au public à Bruxelles

"C'est peut-être plus important encore en temps de Covid de pouvoir passer un moment relax au milieu de cette beauté totale", sourit (derrière son masque) Pascal Smet, secrétaire d'Etat au Patrimoine dans l'exécutif de la région bruxelloise.Cet élu de la capitale fait office de guide ce jour-là pour une poignée de journalistes dans l'Hôtel Solvay. Et il emploie l'adjectif "total" à dessein pour décrire cet hôtel particulier de trois étages, à la cage d'escalier majestueuse où la lumière naturelle entre par un vitrail multicolore.Construit par Horta entre 1895 et 1903 pour un fils de l'industriel belge Ernest Solvay, le lieu a conservé, dans leur version originale, la gamme complète des réalisations du maître de l'Art nouveau. Qui concevait la structure (apparente) du bâtiment mais dessinait aussi le mobilier des pièces à vivre, radiateurs et poignées de porte compris."Cela donne le sentiment du bâtiment parfait, tout a été pensé dans le moindre détail", poursuit Pascal Smet dans ce décor jaune-orange-beige où la couleur chaude des fauteuils est assortie à celle des boiseries.L'Unesco a inscrit l'Hôtel Solvay sur la liste de son patrimoine mondial au début des années 2000.Selon l'organisme des Nations unies, c'est "l'œuvre la plus ambitieuse et la plus spectaculaire de Horta qui nous soit parvenue de la période Art nouveau", un style qui à la fin du XIXe siècle révolutionna l'architecture avec son esthétique des courbes, appliquée à des matériaux nouveaux à l'époque (verre et acier)."Sauvé de la démolition"L'hôtel particulier a connu une histoire mouvementée après la mort de son premier propriétaire en 1930.Endommagé par une bombe allemande pendant la Deuxième guerre (il a fallu reconstruire le vitrail principal), il a été "sauvé de la démolition" à la fin des années 50, quand un couple dirigeant une maison de haute couture a décidé de le racheter pour en faire son atelier.A l'époque, l'Avenue Louise, le large boulevard où l'édifice est situé, voyait se multiplier les grands immeubles de bureaux, et les constructions Art nouveau étaient même menacées par les promoteurs, assure l'actuel propriétaire, Alexandre Wittamer, petit-fils du couple."Cela paraît difficile à imaginer mais dans les années 50-60 à Bruxelles tout était autorisé, et c'est arrivé qu'on démolisse des bâtiments Art nouveau, qu'ils soient d'Horta ou d'autres architectes", raconte ce quadragénaire, cadre dans la finance, qui organise désormais les visites.Pour l'instant, ce joyau architectural ne sera accessible que les jeudis et samedis, à condition d'avoir réservé préalablement un créneau horaire sur internet (le site hotelsolvay.be). C'est le principe appliqué par tous les musées belges, restés ouverts malgré la pandémie.Faute de touristes étrangers (pas les bienvenus en ce moment), la région de Bruxelles, partenaire financier, joue la carte de la clientèle nationale et du "beau bâtiment méconnu des Bruxellois", selon M. Smet.Depuis les années 80, après la fin de l'activité de couture, l'Hôtel Solvay servait à des événements privés et ne se visitait qu'à de rares occasions comme les Journées du patrimoine.L'ancienne maison personnelle de Victor Horta (1861-1947) où il avait aussi son atelier, tout près de là, est devenue un musée en 1969.
Il y a 4 ans et 104 jours

De nouveaux marchés attribués sur le Grand Paris Express

CONTRATS. La Société du Grand Paris a récemment notifié plusieurs marchés. L'un concerne le réseau multi-services et les systèmes de surveillance sur les lignes 15, 16 et 17. L'autre porte sur les ouvrages de service sur le tronçon sud-est de la ligne 15.
Il y a 4 ans et 104 jours

La FFB dénonce la signature de deux conventions collectives du bâtiment inadaptées

Cette signature inopportune intervient dans une période de grandes difficultés pour les artisans et entrepreneurs du bâtiment qui doivent faire face à des enjeux actuels sans précédents : maintien de l’activité économique, sauvegarde de l’emploi et soutien à l’apprentissage, protection des salariés pendant la crise sanitaire, ouverture des restaurants pour les compagnons, etc.« Cette initiative déstabilise les artisans et entrepreneurs en cette période critique. Dans ce contexte déjà très difficile dû à la crise sanitaire Covid, la FFB, majoritaire chez les artisans et les entreprises, dénonce ces accords qui déséquilibrent et sèment le trouble dans le bâtiment. Il est primordial, au contraire, d’enclencher une démarche innovante pour renforcer le dialogue social et mutualiser nos forces, au bénéfice de toutes les entreprises, et non pas de casser le secteur en deux. Nous prendrons nos responsabilités quant à la suite à donner. Pour le moment, toute notre énergie est concentrée sur la sauvegarde de l’activité et sur le soutien de nos adhérents. C’est bien là l’essentiel ! »Olivier Salleron, président de la FFB
Il y a 4 ans et 104 jours

Le dispositif d'activité partielle évolue à compter du 1er février 2021

SOUTIEN. Mesure-phare des dispositifs d'aide mis en place par le Gouvernement pour épauler les entreprises durant la crise du Covid, le dispositif d'activité partielle - ou chômage partiel - évolue à partir de ce 1er février 2021. Pour le BTP, ce changement se traduit par une baisse de la prise en charge.
Il y a 4 ans et 104 jours

Loi SRU : des obligations de rattrapage jusqu'en 2046 ?

LOGEMENT SOCIAL. Thierry Repentin a rendu ses propositions sur l'avenir de la loi SRU et de son obligation de 25% de logements sociaux au-delà de 2025, date limite pour atteindre cet objectif. A ce jour, un millier de communes sont encore sous le coup de cette obligation de rattrapage.
Il y a 4 ans et 104 jours

Dans les Bouches-du-Rhône, une opération de renouvellement de voie ferroviaire en cours

CONTRAT. Colas Rail mène un chantier confié par SNCF Réseau pour renouveler la voie entre Septèmes-les-Vallons et la gare de Marseille Saint-Antoine.
Il y a 4 ans et 104 jours

Quelle est l'image des éoliennes auprès des Français ?

ETUDE. Les Français plébiscitent-ils les éoliennes ? Sont-ils prêts à en accueillir sur leur territoire ? France Energie Eolienne a interrogé plus de 1000 Français et plus de 1000 citoyens vivant à moins de 5 kilomètres d'un parc éolien. Découvrez et téléchargez les résultats.
Il y a 4 ans et 104 jours

LafargeHolcim se renforce à Lyon et Milan avec deux petites acquisitions

Le cimentier franco-suisse a fait l'acquisition de Cemex Rhône Alpes ainsi que de l'entreprise italienne Edile Commerciale, basée à Varèse, au Nord-Ouest de Milan.
Il y a 4 ans et 104 jours

Découvrez quelques réalisations des trois premiers lauréats du Palmarès BBCA 2020

CONCOURS. Parmi les lauréats de l'édition 2020 du palmarès de l'Association Bâtiment bas-carbone (BCCA), les entreprises Nexity, Woodeum et Icade constituent le top 3. Tour d'horizon des projets les plus emblématiques de ces constructeurs.
Il y a 4 ans et 104 jours

Pour 2022, les salons Batimat, Idéobain et Interclima se réinventent

En proposant un format AUGMENTÉ grâce au digital, Reed Expositions France, l'Afisb[1] et Uniclima[2] entendent également accompagner les professionnels toute l'année pour les aider à saisir l'ensemble des opportunités du secteur et découvrir les innovations.Plus de convivialité : le Mondial du Bâtiment revient à ParisDepuis 2013, toutes les demandes allaient dans ce sens : faire revenir le Mondial du Bâtiment au cœur de Paris. C'est chose faite pour l'édition 2022 qui réintègre donc le parc d'exposition rénové de la Porte de Versailles. Ce retour est largement plébiscité puisque 93,6% des exposants et 97,9% des visiteurs ont exprimé leur intention de venir à la prochaine édition des salons[3].Programmés du 3 au 6 octobre 2022, les salons Batimat, Idéobain et Interclima occuperont 6 pavillons, soit plus de 140 000 m² d'exposition.En un seul et même lieu, tous les professionnels auront accès aux innovations, conseils et démonstrations pour expérimenter et appréhender toutes les évolutions de leur secteur. Mais audelà de ces 4 jours, le Mondial du Bâtiment souhaite également animer la communauté des professionnels et créer du lien tout au long de l'année grâce à une stratégie qui mise sur la complémentarité du digital et de la présence physique.Plus économiques : les salons apportent un meilleur retour sur investissement pour les exposants Sur les six pavillons qu'occuperont les salons Batimat, Idéobain et Interclima, le nouveau format d'exposition limite la taille des stands à 99 m² par société, avec la possibilité d'inclure un étage. Il simplifie également l'implantation des pavillons avec des modules de stand multiples de 9. Les surfaces prévues pour chaque stand s'échelonnent ainsi de 9 à 99 m² soit 9 m², 18 m², 36 m², 54 m² et 99 m².Cette refonte de l'implantation apporte de multiples avantages aux exposants : choix de l'emplacement dès l'inscription, augmentation significative du retour sur investissement (ROI) par une réduction des coûts d'exposition et du passage à 4 jours pour tous les salons.Par ailleurs, les stands de 9, 18 et 36 m² seront proposés avec une gamme d'aménagement clés en main à personnaliser. Cette nouveauté répond à une demande des exposants de simplifier la préparation des salons, et permettra d'améliorer les flux logistiques autour de la porte de Versailles.Plus hybrides : les salons se digitalisent pour devenir des salons augmentésDepuis plusieurs années, le Mondial du Bâtiment et les salons Batimat, Idéobain et Interclima sont engagés dans une démarche qui vise à animer la communauté des professionnels entre deux éditions et pas uniquement sur 4 jours de présence physique. Cette anticipation a notamment permis d'acquérir une forte expertise en matière de référencement sur les moteurs de recherche comme Google que les professionnels du secteur utilisent de plus en plus.Fort de cet acquis, Reed Expositions France, l'Afisb et Uniclima proposeront à partir de mai 2021, des salons « AUGMENTÉS » grâce à un blog unique. Celui-ci complètera l'usage des sites internet dédiés aux salons physiques en regroupant les univers métiers des 3 salons du Mondial du Bâtiment. Les professionnels pourront y entrer en contact avec les marques, donner leur avis ou leurs appréciations et ils disposeront d'outils adaptés à leurs besoins :Des fiches produits conçues avec les codes du e-commerce ;Un annuaire de fournisseurs, avec les produits/services proposés ;Des show-rooms virtuels ;Des vidéos démos ;Des contenus sur les métiers qu'ils retrouveront sur les salons physiques.Toujours en amont des salons physiques, Batimat, Idéobain et Interclima initient une matinale, « Les rendez-vous du Mondial du Bâtiment ». Diffusée sur Batiradio en podcasts et en format vidéo, elle décryptera les grandes tendances de la construction pour animer les communautés et favoriser les échanges entre professionnels face aux enjeux du secteur.Enfin, durant les 4 jours de l'édition 2022, les salons Batimat, Idéobain et Interclima proposeront une expérience digitale permettant d'assister à distance à une grande partie des contenus des salons physiques.Les rendez-vous du Mondial du BâtimentÀ retrouver une fois par mois, chaque premier vendredi à partir du 2 avril de 9h00 à 12h30. Cette matinée, destinée à toute la communauté des professionnels du bâtiment, décrypte les sujets phares du secteur en présence des plus grands experts. Ces rendez-vous fédérateurs, préparés en partenariat avec l'Afisb, l'ACIM, CCCA-BTP, Construction 21, Hors-Site, Plan Bâtiment Durable, Uniclima.Chaque mois des thématiques récurrentes : Le rendez-vous France Relance ; Le Grand Dossier du Mondial du Bâtiment ; La rénovation énergétique dans les territoires ; Le décryptage RE2020 ; Les métiers ; La Construction 4.0 ; Les Tendances et le Design. Ce programme LIVE s'accompagne de vidéos de pitchs Innovation et d'un programme de replays.Les thématiques 2021 :2 avril : En quoi la RE2020 va-t-elle permettre de construire durable ?7 mai : REP : quels enjeux pour le secteur du bâtiment ?4 juin : Accessibilité : pourquoi le zéro ressaut en salle de bains impacte-t-il tout le bâtiment ?2 juillet : Quelles solutions pour réduire l'empreinte carbone des chantiers ?3 septembre : Énergies renouvelables1er octobre : Rénovation5 novembre : Industrialisation du bâtiment3 décembre : Qualité de l'air.Ce programme est conçu pour répondre aux souhaits des professionnels de disposer d'un rendez-vous périodique et synthétique pour suivre de manière régulière les toutes thématiques fortes de transformation du secteur.Plus engagés : les salons deviennent plus sobresL'arrivée à Porte de Versailles et les nouvelles attentes des visiteurs et des exposants sont aussi l'occasion pour le Mondial du Bâtiment de lancer une démarche d'amélioration sur des sujets RSE fondamentaux. Batimat, Idéobain et Interclima prennent leurs responsabilités et s'engagent sur 4 ambitions prioritaires pour faire de l'édition 2022 une édition exemplaire :Réduire l'empreinte carbone : dès 2022, les organisateurs du Mondial du Bâtiment mesureront l'empreinte carbone des salons et mettront en œuvre une série d'actions concrètes dont l'optimisation des process logistiques et de transport, l'accès au site privilégiant les mobilités écologiques, et l'écoconception des aménagements, des zones communes et des stands packagés.Améliorer la gestion des déchets : avec pour ambition d'atteindre à terme le zéro déchet, les organisateurs du Mondial du Bâtiment ont pour objectif de réduire les déchets des salons d'au moins 10% en 2022, d'accroître la circularité des matériaux utilisés, d'améliorer le dispositif de tri et de mieux gérer les déchets grâce à des systèmes d'analyse, de traçabilité et de pilotage.Mettre en place une offre de restauration responsable en luttant contre le gaspillage et en gérant les surplus, en valorisant les bio déchets et en adoptant des conditionnements et une alimentation responsables.Privilégier les achats responsables en favorisant les achats auprès du secteur du travail protégé et adapté (STPA), en intégrant des critères RSE aux politiques d'achats et notamment dans le choix des fournisseurs et en privilégiant des produits et des services écoconçus et respectueux de l'environnement.« Nous sommes convaincus que le bâtiment, la ville et les territoires seront au centre des transformations sociétales des dix prochaines années. Et nous sommes intimement persuadés que notre rôle est d'une part d'anticiper ces changements et d'autre part d'accompagner les professionnels chaque jour pour les aider à saisir toutes les opportunités qui peuvent s'offrir à eux. C'est avec cette ambition que nous avons repensé le Mondial du Bâtiment et ses 3 salons. »Guillaume Loizeaud, Directeur du Mondial du BâtimentAvec cette stratégie innovante combinant physique et digital, les salons Batimat, Idéobain et Interclima souhaitent fédérer l'ensemble des professionnels du secteur du bâtiment et accroître le nombre d'exposants de 15% pour l'édition 2022.[1] Afisb, Association Française des Industries de la Salle de Bains, propriétaire du salon IDÉOBAIN.[2] Uniclima, Syndicat des industries Thermiques, Aérauliques et Frigorifiques, propriétaire du salon INTERCLIMA.[3] Sondage réalisé entre le 19 et le 26 janvier 2021. Bases contacts 2017 et 2019. Répondants : 141 exposants et 3507.
Il y a 4 ans et 104 jours

Changement de têtes au Conseil d'orientation des infrastructures

ARRÊTÉ. Un mois après avoir précisé la feuille de route de l'instance, la composition du nouveau conseil d'orientation des infrastructures est désormais en partie connue. Il est grandement renouvelée par rapport à sa version initiale. Si Philippe Duron cède sa place, le président de la FNTP Bruno Cavagné conserve son siège.
Il y a 4 ans et 104 jours

Le nombre d'auto-entrepreneurs en forte progression à fin juin 2020

Bien qu'encore soutenue, cette progression ralentit nettement aux deux premiers trimestres 2020, en lien avec la forte décélération des immatriculations enregistrée dans le contexte de la crise sanitaire du Covid-19 et de la crise économique afférente. Celles-ci augmentent de 6,4% sur un an au deuxième trimestre 2020, contre 22,1% un an auparavant.846 000 auto-entrepreneurs déclarent un chiffre d'affaires positif au deuxième trimestre 2020, soit 8,0% de moins que l'année précédente. Ces auto-entrepreneurs représentent 44,5% des inscrits (46,6% si l'on exclut les comptes qui auraient dû être radiés), en baisse de 14,4 points par rapport à l'an passé (-12,3 points avec simulation des radiations).Le chiffre d'affaires trimestriel global diminue de 18,9% sur un an. Cette baisse épargne de très rares activités, notamment celles de poste et de courrier, qui sont toutefois en ralentissement. Le chiffre d'affaires trimestriel moyen diminue de 11,9% sur un an, passant sous la barre des 4 000 euros (3 792 euros contre 4 303 euros un an auparavant).L'hébergement, les taxis et VTC, les arts, spectacles et autres activités récréatives, la restauration et débits de boissons, et le commerce de détail sur marchés sont les secteurs les plus impactés par la crise.Le nombre d'auto-entrepreneurs économiquement actifs diminue sensiblement dans toutes les régions métropolitaines, et plus particulièrement en Île-de-France.
GDA
Il y a 4 ans et 104 jours

Albums des jeunes architectes et paysagistes (AJAP) : les lauréats 2020 dévoilés

Les lauréats 2020 des Albums des jeunes architectes et paysagistes (AJAP) ont été dévoilés le 29 janvier dernier... Cet article Albums des jeunes architectes et paysagistes (AJAP) : les lauréats 2020 dévoilés est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 104 jours

Le changement de cap de LD Contrôles

Fabrice Lapié est le gérant de LD Contrôles. [©LD Contrôles] La question devient un peu traditionnelle : comment avez-vous traversé cette très particulière année 2020 ? Plutôt bien, grâce à nos partenaires et à nos clients. Nous avons trouvé avec eux et nos équipes des protocoles sanitaires, qui nous ont permis de maintenir une activité certaine. Il faut ici remercier nos collaborateurs, qui ont pris conscience de l’enjeu et se sont adaptés à ce moment compliqué. Je les remercie très sincèrement. Beaucoup d’entreprises redoutent l’année 2021. Est-ce aussi votre cas ? Il y a une inquiétude de la profession pour le 2e semestre de l’année prochaine. Il faut que l’Etat joue le jeu, en comprenant que le meilleur soutien qui peut être apporté au secteur, c’est de nous faire travailler. Il faut donc des investissements structurels, qui apportent des chantiers. Mais il faut savoir sortir par le haut de ces phases compliquées. Chacun devra être prêt pour le redémarrage et savoir faire fructifier les 5 à 10 % de positif qu’il y a à tirer de cette période. Chez nous, l’année 2021 avait été programmée pour être une année d’évolution, elle le sera d’autant plus. Pouvez-vous nous en dire plus ? Vous investissez notamment au sein de votre siège social d’Aurillac… Oui, nous allons passer notre site d’Aurillac à environ 600 m2. Nous avons aussi maintenu tous nos investissements prévus sur nos différents sites, sur des véhicules hybrides et sur des rectifieuses automatiques. L’année 2021 sera la concrétisation d’un travail de fond entamé il y a bientôt 3 ans. Nous avons formé nos collaborateurs à de nouveaux métiers et accueilli de nouvelles compétences. Nous avons aujourd’hui des capacités en tirants d’ancrage et en maturométrie, mais aussi en métrologie et en formations. Nous pouvons proposer désormais ces services. Dans le même temps, nous sommes en train de revoir nos outils de communication, notre site Internet, notre logo… Pour nous, l’année 2021 sera un nouveau cap, que nous concrétiserons avec l’inauguration de notre nouveau siège, avec une très belle surprise. LD Contrôles évolue aussi, de plus en plus, vers des services aux entreprises, et ne se limite plus à la seule analyse de laboratoire… Mon mentor disait qu’il fallait faire comprendre que nous ne sommes pas que des “casseurs d’éprouvettes”, même si l’essai de compression est la base de notre métier, et nous permet d’être auprès de nos clients pour toutes les autres études. Aujourd’hui, c’est plus que jamais vrai. A la création de l’entreprise, les essais courants constituaient 80 % de notre chiffre d’affaires. A l’heure actuelle, ils ne représentent plus que 35 %, dans une activité en croissance continue. Notre approche de plus en plus environnementale nous permet d’accompagner et d’encadrer les opérations de nos clients. Ceci, en matière de bétons bas carbone, de gestion des eaux, des poussières et des boues dans les carrières, ou encore sur des questions de réutilisation de matériaux. Cela vous permet de travailler plus en amont avec les industriels ? Tout à fait. Je suis assez fier de pouvoir dire que nous sommes désormais reconnus sur nos domaines de compétence et d’accréditation ou certification (Cofrac, Afnor). Ceci, grâce à l’expertise de nos équipes et le travail de fond sur les questions techniques mené par Laurent Dujols1. Nous sommes maintenant souvent consultés dans la phase de développement des solutions. Ce qui nous ouvre de nouvelles perspectives de travail. Est-ce que les investissements pour ce nouveau cap concernent aussi l’ouverture de nouvelles agences ? Avez-vous des ambitions internationales ? Nous nous installons dans des zones où nous estimons que nous ne sommes pas à la hauteur de nos ambitions de qualité de service. C’est pourquoi, début 2021, nous allons ouvrir un laboratoire LD Contrôles à Poitiers. Nous allons aussi concrétiser, sur cette nouvelle année, notre projet parisien, sur sa façade Ouest. Avec cela, nous couvririons nos besoins sur le territoire national. Nous répondons déjà à des besoins internationaux, en recréant dans nos locaux d’Aurillac, les conditions climatiques voulues, afin de réaliser des tests spécifiques. Cela permet de suivre nos clients dans leurs interventions en dehors des frontières. Mais ouvrir un laboratoire hors Hexagone n’est pas d’actualité. 1Laurent Dujols est le directeur technique de LD Contrôles.
Il y a 4 ans et 104 jours

Combien coûterait un reconfinement à l'économie et aux finances publiques

Impact sur l'activitéSelon plusieurs économistes interrogés par l'AFP, un confinement d'un mois, avec un niveau de restrictions globalement similaire à celui observé en novembre, amputerait le produit intérieur brut (PIB) d'environ un point, soit un peu plus de 20 milliards d'euros, sur l'année.Sachant que le couvre-feu pénalise déjà l'activité, "le premier trimestre sera certainement un trimestre de récession", avance Ludovic Subran, chef économiste de l'assureur Allianz.Selon le ministère de l'Économie, le confinement pourrait entraîner une perte mensuelle d'activité allant de 10 à 18% par rapport au niveau d'avant la crise. En novembre, l'activité avait baissé de 12% par rapport à son niveau de fin 2019 et en avril, de plus de 30%.Le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a aussi reconnu mercredi qu'en cas de nouvelles mesures de restrictions, "bien entendu, nous aurons une croissance qui ne pourrait pas atteindre les 6% en 2021", comme le prévoit pour l'instant le gouvernement.Nouvelles dépenses et pertes de recettesActuellement, avec le couvre-feu à 18H00, "les aides coûtent environ 6 à 7 milliards d'euros par mois à l'État", montant auquel il faut ajouter les pertes de recettes fiscales, ce qui conduit à plus de 10 milliards d'euros, selon le député LREM et rapporteur général du budget à l'Assemblée Laurent Saint-Martin."En confinement, si on est sur le format du mois de novembre dernier, cela va probablement coûter encore plus cher (...) ça peut approcher les 15 milliards d'euros toutes dépenses et non-ressources confondues", a-t-il affirmé sur Radio J dimanche dernier.Les trois principales mesures de soutien mises en place par le gouvernement sont le fonds de solidarité pour les entreprises, la prise en charge du chômage partiel et les exonérations de charges.Pour le mois de novembre par exemple, le gouvernement a dépensé plus de 4 milliards d'euros au titre du fonds de solidarité, et l'addition pourrait encore monter car les entreprises ont jusqu'au 31 janvier pour en faire la demande.Le chômage partiel a concerné 3,1 millions de salariés en novembre pour un montant de 2,3 milliards d'euros, selon les chiffres de la Dares.A cela s'ajoutent de possibles aides supplémentaires pour soutenir les secteurs qui restent très touchés par la crise. Bruno Le Maire a ainsi évoqué mercredi au Sénat la possibilité de convertir certains prêts garantis par l'État en subvention, si Bruxelles donne son feu vert.Comment l'État va financer ces aidesLe gouvernement a été "prévoyant" en 2020, a affirmé à plusieurs reprises Bruno Le Maire. De fait, sur le budget prévu pour financer les aides, 28,8 milliards d'euros n'ont pas été dépensés l'an dernier. Cette enveloppe est donc disponible pour cette année, même si environ 9 milliards sont déjà préemptés pour financer les aides attribuées au titre de 2020, mais qui n'ont pas encore été payées.La semaine dernière, le ministre avait indiqué qu'à situation sanitaire constante, le gouvernement pouvait "tenir 3 mois et demi" sans avoir besoin de réabonder le budget 2021.Mais en cas de reconfinement, il faudra en passer par un projet de loi de finances rectificative.Il pourrait survenir "probablement à la fin du premier trimestre (...) fin mars-début avril, mais cela peut-être accéléré en fonction des besoins", selon Laurent Saint-Martin.
Il y a 4 ans et 104 jours

Smac cède sa production de lanterneaux à Kingspan

Smac cède ses activités de lanterneaux, à savoir Skydôme et Essemes Services, des divisions d’Axter, à la société Kingspan.
Il y a 4 ans et 104 jours

Le n° 2 de “Monuments & Patrimoine” est sorti

La nouvelle revue “Monuments & Patrimoine” fait la part belle à tous les édifices, connus ou méconnus de France. Le n° 2 vient de sortir. [©DR] Les monuments sont un lien entre les générations, une trace dans l’histoire. Certains sont si emblématiques qu’ils sont associés à un lieu, une ville ou même un pays. Ils ont indéniablement un attrait touristique. La nouvelle revue “Monuments & Patrimoine” fait la part belle à tous ces édifices, connus ou méconnus de France. On trouve aussi bien de monuments (château de Cheverny, tour Eiffel) que contemporains (Cité du Vin, à Bordeaux, Opéra de Lyon). Pour ce qui concerne notre thématique “béton”, la 2e édition de “Monuments & Patrimoine” est l’occasion de découvrir un portrait de Le Corbusier, le projet fou de la construction du Palais idéal du facteur Cheval ou la visite de l’église Notre-Dame-des-malades, à Vichy, temple de l’Art déco où domine le béton… Un nouveau magazine à soutenir… En kiosque, 6,90 €
Il y a 4 ans et 104 jours

3 acteurs majeurs s'associent pour faciliter le renouvellement du parc de chaudières à gaz et réduire la consommation énergétique des ménages

L'opération Coup de Pouce Chauffage du ministère de la Transition écologique et solidaire encore active en 2021 permet d'offrir un financement extrêmement attractif, pouvant aller jusqu'à la totalité du montant des remplacements, pour des travaux engagés jusqu'à la fin de l'année. 2021 devrait être la dernière année pour bénéficier du Coup de Pouce Chauffage du ministère de la Transition écologique et solidaire pour ce type d'opération.L'objectif du partenariat entre Chaffoteaux, Cheminées Poujoulat et Sonergia est de faire bénéficier de cette offre à de nombreux bailleurs et gestionnaires de parcs de logements, grâce à la mobilisation d'un large éventail de services et d'équipements : conduits d'évacuation, chaudières, financement et suivi administratif. Déjà plus de mille foyers ont bénéficié du partenariat.« Remplacer des chaudières à condensation implique le surcoût, souvent oublié, du remplacement des systèmes d'évacuation de fumées. Ce partenariat permet à la fois d'aider les maîtres d'ouvrage à passer outre cet obstacle et d'œuvrer à la réduction de l'impact environnemental de leurs logements. »Jean Louis Prost, Directeur des ventes et du développement Chauffage de Poujoulat« Ce partenariat est une très belle opportunité pour les bailleurs de valoriser leur parc de logements et d'améliorer le confort quotidien de leurs locataires grâce au système de régulation très performant de nos chaudières »Félix Cazères, Responsable prescription secteur résidentiel de Chaffoteaux« Nous sommes très heureux de cette association avec deux fleurons historiques de l'industrie du chauffage. Ce partenariat va permettre le déploiement d'équipements performants auprès de ménages logés par des bailleurs ou des résidents de copropriétés qui pourront réduire leur consommation de gaz avec un gain direct sur leur facture.»Franck Annamayer, président de Sonergia et cofondateur du GPCEE
Il y a 4 ans et 104 jours

Bouygues choisi pour la rénovation de la gare du Nord

GRANDS PROJETS. C'est Bouygues qui devrait réaliser la modernisation de la gare du Nord, à Paris, a annoncé la société en charge du projet. Un chantier à 600 millions d'euros.
Il y a 4 ans et 104 jours

Bouygues Bâtiment Ile-de-France pressenti pour la transformation de la Gare du Nord

Un mois après le dépôt du permis de construire modificatif, StatioNord a désigné Bouygues Bâtiment Ile-de-France « constructeur pressenti » du projet de transformation de la Gare du Nord, au terme d’une longue et exigeante procédure d’appel d’offres. Les travaux préparatoires ont débuté en juillet dernier et cette nouvelle étape doit permettre d’ouvrir une phase d’étude, puis de donner le coup d’envoi des travaux.
Il y a 4 ans et 104 jours

Engie et Neoen dévoilent un gros projet solaire en Gironde

Le projet, baptisé Horizeo, doit s'implanter sur la commune de Saucats. Il prévoit "un parc photovoltaïque d'une puissance d'un gigawatt, pour une production d'électricité équivalente à la consommation annuelle de plus de 600.000 personnes", détaillent les deux entreprises du secteur énergétique dans un communiqué commun.Autour du parc sont aussi prévus des batteries de stockage d'électricité, une unité de production d'hydrogène vert, un centre de données et une surface associant agriculture et production d'électricité solaire.Le projet s'étend sur une surface boisée d'environ 1.000 hectares et supposera par conséquent une "autorisation de défrichement". Les entreprises s'engagent toutefois à "des boisements compensateurs supérieurs à la surface concernée".La Commission nationale du débat public (CNDP) a décidé d'organiser un débat public sur Horizeo.Outre sa taille, le projet se distingue également par son modèle économique. L'électricité d'origine solaire serait en effet revendue dans le cadre de contrats de gré à gré et non via les appels d'offres publiques, avec les subventions attachées."Horizeo est un projet d'envergure qui entend démontrer qu'il est possible d'accélérer la transition énergétique en France en proposant directement à des entreprises une énergie renouvelable compétitive", a souligné Paul-François Croisille, directeur général adjoint de Neoen, cité dans le communiqué.
Il y a 4 ans et 104 jours

AJAP 2020 : Les lauréats

Le jury de la session 2020 des Albums des jeunes architectes et paysagistes s’est tenu les 14 et 15 janvier 2021 en adaptant ses modalités à la crise sanitaire. Placé sous la présidence de la ministre de la Culture, il était coprésidé par Jacqueline Osty, paysagiste, Grand Prix national du paysage 2018 et Grand Prix national de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 104 jours

Figure de proue boulevard Brune à Paris, un conservatoire signé Bruno Mader

Bruno Mader a livré en novembre 2019 le nouveau conservatoire du XIVe arrondissement de Paris. L’ouvrage de quatre étages sur rez-de-chaussée – surface 4056 m² / 2410 m² SU ; montant des travaux : 13.9 M€ HT – compte, outre un Grand Studio, un studio d’art dramatique et une salle d’orchestre, tous les équipements associés à sa […] L’article Figure de proue boulevard Brune à Paris, un conservatoire signé Bruno Mader est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 104 jours

Très légère hausse des ventes en 2020 pour Würth

Le groupe allemand fait état d'un volume de ventes de 14,41 Md €, en hausse de +0,9 %.
Il y a 4 ans et 104 jours

Capremib : Etre encore plus réactif

Clément Blanc, directeur général de Capremib-Cibetec : « Nous sommes de plus en plus engagés sur la voie du bas carbone ». [©ACPresse] Pour Capremib, l’année 2020 a été celle des grandes évolutions. Et le programme a été chargé. Entre l’intégration du BIM, la mise en service d’une centrale à béton dédiée aux Bfup et la signature d’un partenariat avec HGCT, les changements s’annoncent profonds. « La préfabrication, c’est un puzzle pour les chantiers. » Ainsi Clément Blanc, directeur général de Capremib et Cibetec, définit-il le travail de l’industrie du béton. Aussi et malgré le développement du BIM, les plans fournis par les entreprises ne sont pas toujours exploitables en usine de préfabrication. « Les bureaux d’études réalisent le dimensionnement des pièces et non des dessins exploitables en atelier. Les clients ne sont pas des spécialistes de la préfabrication, d’où des décalages entre leurs besoins et nos impératifs techniques. » A vrai dire, les contraintes de la préfabrication ne sont pas intégrées au BIM. C’est pour combler ce manque que Capremib vient d’adopter le BIM au sein de son bureau d’études. « Nous serons pleinement opérationnels dès le début de l’année 2021 », confirme Clément Blanc. Trois postes sont, d’ores et déjà, équipés du logiciel Tekla Structures de Trimble. « A présent, nous sommes en mesure de recevoir les plans BIM de nos client. Et de leur proposer des solutions plus lisibles. La visualisation 3D est aussi très utile pour bien comprendre les pièces en préfabrication. » Une centrale dédiée aux Bfup Surtout, Tekla Structures va faciliter le travail de Capremib autour des plans BIM, que l’industriel pourra compléter à loisir selon ses propres impératifs. Et sans devoir repartir de zéro. La division Cibetec, spécialiste des bétons architectoniques, profitera de la technologie BIM du bureau d’études Capremib. De même que les projets clients non encore développés en BIM. Et puis, cette technologie permettra d’aller plus loin. Comme d’indiquer le bilan carbone des pièces préfabriquées directement dans les données BIM. « Le délai est notre meilleur allié, reprend Clément Blanc. La préfabrication est un travail en temps masqué pour le chantier. Avec le BIM, nous sommes en mesure d’être encore plus réactifs. » L’autre porte d’entrée vers une meilleure réactivité se situe dans l’atelier. Là, Capremib vient d’inaugurer une nouvelle centrale à béton, installée dans un bâtiment neuf et isolé de 250 m2. « Cet équipement est dédié à la production de Bfup et de bétons fibrés. C’est une centrale d’ingénierie qui nous permettra aussi de tester de nouvelles formules, de réaliser des bétons spéciaux en petites quantités. » Un partenariat avec HGCT L’installation s’articule autour d’un malaxeur conique Kniele, d’une capacité de 1 500 l. C’est BSC qui en a assuré la fourniture, mais aussi la conception et la construction de la centrale à béton dans son ensemble. Côté matériaux, Capremib a opté pour le BSI du groupe Eiffage. Outre l’intégration du Bfup dans ses process de production, Capremib a signé un accord avec l’industriel du ciment Hoffmann Green Cement Technologies. L’objectif ici est de permettre une accélération vers la transition écologique, tout en luttant contre la mauvaise image du béton auprès des non-initiés… « Avec HGCT, nous pensons aller plus vite, car ils sont en pointe sur ces sujets », insiste Clément Blanc. Capremib a signé pour la fourniture du ciment décarboné H-UKR, même s’il n’est pas encore “qualifié” génie civil. « C’est un premier pas dans ce sens, pour eux comme pour nous. » Aussi, les premières utilisations de ce ciment se feront dans les écrans acoustiques. Des petits ouvrages d’art, à leur niveau…, qui intéressent les collectivités. Alors proposer des éléments plus vertueux vis-à-vis de l’environnement, réduits en carbone, permet de se démarquer face à la concurrence. « Ce choix de l’H-UKR, c’est aussi un moyen efficace pour mettre au défi les autres industriels du ciment », conclut Clément Blanc.
Il y a 4 ans et 104 jours

Eric Jost, Qualibat : « La qualification-chantier est d’abord destinée aux artisans qui ne sont pas RGE »

Eric Jost, directeur général de Qualibat, revient sur la qualification RGE Chantier, entrée en vigueur en début d'année.
Il y a 4 ans et 104 jours

La CAPEB, la FFB et l'OPPBTP lancent le site internet des Règles de l'art pour réduire l'exposition au risque amiante lors de travaux en sous-section 4

Pour cette raison, la CAPEB, la FFB et l'OPPBTP, avec le soutien du PACTE et de l'Etat, ont uni leurs efforts afin d'élaborer les « Règles de l'art des travaux courants d'entretien et de maintenance sur matériaux amiantés dans les bâtiments » (sous-section 4).Le projet « Règles de l'art Amiante » s'appuie sur le geste métier et les retours d'expérience pour proposer des modalités d'intervention sur matériaux et produits contenant de l'amiante dans le cadre de travaux en sous-section 4. Afin de promouvoir ces solutions opérationnelles auprès du plus grand nombre de professionnels, les partenaires ont développé des outils simples, accessibles et pédagogiques, désormais mis à disposition sur un site internet dédié : www.reglesdelartamiante.fr.Accompagner l'ensemble des professionnels sur les travaux en sous-section 4 (SS4)En matière d'intervention sur des matériaux ou produits contenant de l'amiante (MPCA), chaque entreprise est tenue de former ses équipes et d'établir des modes opératoires pour la réalisation des travaux conformément à la réglementation du travail. Si les entreprises certifiées pour le retrait de matériaux et produits amiantés sont aguerries, cette tâche s'avère particulièrement complexe pour la majorité des entreprises du bâtiment, dont le cœur de métier n'est pas les interventions sur matériaux amiantés. Les Règles de l'art Amiante visent ainsi à accompagner ces entreprises formées en sous-section 4 (intervention d'entretien et de maintenance des matériaux et produits contenant de l'amiante) afin qu'elles s'approprient les gestes de prévention amiante, en complément de leur gestes « métier ».Né de discussions au sein du Plan Recherche et Développement Amiante (PRDA), le projet est piloté par l'OPPBTP, en partenariat avec la CAPEB et la FFB. Il est par ailleurs soutenu par les pouvoirs publics (DGT, DHUP) et par le Programme d'Action pour la qualité de la Construction et la Transition Energétique (PACTE).Définir des modalités d'intervention en se basant sur les gestes métiers et le retour d'expérienceLes Règles de l'art Amiante s'inscrivent aussi dans la continuité de la campagne « Pas formé, pas toucher » et du projet CARTO Amiante initié en 2014 par la profession, piloté par l'OPPBTP en partenariat avec la Direction Générale du Travail et l'INRS, qui a permis d'établir une cartographie représentative de l'empoussièrement amiante des processus de travail les plus courants du BTP en sous-section 4 (SS4). Les Règles de l'art Amiante ont pour vocation de rendre plus concrètes les préconisations issues de ces mesures en les mettant en œuvre de manière opérationnelle sur les chantiers. Elles décrivent ainsi des modalités d'intervention reconnues et validées que les entreprises pourront s'approprier.Afin de faire de ces modalités d'intervention de véritables pratiques de référence, la CAPEB, la FFB et l'OPPBTP ont travaillé sur une vingtaine de situations courantes lors d'interventions d'entretien et de maintenance en SS4. Celles-ci concernent des métiers représentatifs du secteur : couvreurs, peintres / soliers, façadiers, plâtriers, maçons, plombiers, électriciens et carreleurs.Des groupes de travail composés d'experts de l'OPPBTP et de représentants de quatre entreprises volontaires de même métier, recrutées par la CAPEB et la FFB, ont établi les premières versions de ces Règles de l'art, basées sur les retours d'expérience et la réflexion de ces groupes d'entreprises réunis dans huit régions distinctes.Ces travaux ont ensuite reçu l'approbation d'un Comité réunissant des représentants de la filière construction (CAPEB, FFB, AQC, USH et UNSFA), des préventeurs (OPPBTP), des assureurs (FFA), et des pouvoirs publics (DGT et DHUP).Un site internet complet pour diffuser les solutions opérationnelles au plus grand nombreAfin de rendre les Règles de l'art accessibles au plus grand nombre d'intervenants formés en SS4, la CAPEB, la FFB et l'OPPBTP lancent le site internet dédié www.reglesdelartamiante.fr. Intuitif et offrant un accès facile aux solutions opérationnelles, le site répertorie en libre accès, sur PC et mobile, l'ensemble des modalités d'intervention établies sous forme de fiches pratiques « Règles de l'art Amiante ». Celles-ci sont accessibles grâce à une recherche par métier, par technique ou à l'aide d'un moteur de recherche intelligent.Aujourd'hui, une dizaine de fiches correspondant à différentes interventions sont déjà disponibles. Simples et pédagogiques, elles détaillent chaque modalité d'intervention sur MPCA par des illustrations particulièrement axées sur le geste métier, afin d'en favoriser une appropriation optimale. Ainsi, les professionnels retrouvent sur chaque fiche un listing du matériel, des consommables et des EPI nécessaires à chaque situation, suivi des grandes étapes d'une intervention : la préparation, l'intervention en elle-même, le repli et la décontamination.Afin de favoriser le partage des bonnes pratiques, chaque fiche peut être téléchargée en format PDF, imprimée ou envoyée directement par mail à un collaborateur.Destiné à évoluer, le site internet sera progressivement enrichi de nouvelles fiches. Il sera également complété de deux modules de mise en situation en « serious game », permettant aux intervenants de visualiser et de s'approprier les Règles de l'art Amiante SS4 avant une intervention ou lors d'une formation.Faire évoluer les modalités d'intervention sur matériaux et produits amiantésLes fiches Règles de l'art Amiante s'appuient sur les résultats et les innovations techniques issus notamment des travaux du PRDA et de la CEVALIA.Ces nouvelles solutions opérationnelles permettent d'adapter les moyens de protection collective et les équipements de protection individuelle nécessaires à chaque type d'intervention. C'est le cas en particulier des « fiches d'intervention ponctuelle », dédiées à des interventions de courte durée, non répétitives et de faible empoussièrement, pour lesquelles, en raison des très faibles empoussièrements constatés, un seul opérateur est requis, avec des moyens d'intervention, de repli et de décontamination plus simples à mettre en oeuvre. Ces fiches permettent de poursuivre l'ambition pédagogique de sensibiliser les professionnels quant à la nécessité absolue de mettre en place des mesures de protection dès lors qu'ils interviennent en présence d'amiante.« Près des 2/3 de notre chiffre d'affaires sont réalisés en entretien et amélioration de bâtiment. Dans des proportions quasiment identiques, ces travaux sont réalisés par les entreprises artisanales. On peut en déduire que toutes nos entreprises peuvent être un jour ou l'autre confrontées au problème de l'amiante. Notre devoir était de les accompagner dans une démarche vertueuse et réglementaire et, dans un premier temps sur le chantier même, de préserver la santé des chefs d'entreprises et de leurs compagnons. Ce que le PACTE nous a permis de faire est vraiment accessible à tous, dans la clarté et la simplicité. C'est un bel exemple d'actions conduites dans la filière, et nous allons faire une large promotion dans notre réseau de ce site internet. »Cécile Beaudonnat, cheffe de file de la CAPEB pour les questions de Santé-Sécurité au travail« Dans le cadre réglementaire existant, notre souhait est que les règles de l'art amiante en sous-section 4 permettent une meilleure approche de ce sujet très complexe pour nos métiers. Les éléments mis à disposition ne pourront que faciliter cette prise en compte. Tous ces travaux ne seront bien évidemment utiles que si les entreprises sont sensibilisées et formées.»Frédéric Reynier, Président de la Commission prévention de la FFB« Notre ambition est d'assurer un haut niveau de protection des professionnels tout en leur faisant gagner un temps précieux et en réduisant les aléas de chantiers, les délais et les coûts d'intervention. Les Règles de l'Art Amiante associent conseils professionnels et pédagogie et conjuguent ainsi prévention et performance des entreprises. »Paul Duphil, Secrétaire général de l'OPPBTP
Il y a 4 ans et 104 jours

Tribune : Contre la marchandisation de l’espace public

Le projet de transformation de la Gare du Nord, intitulé « StatioNord », initié en 2016 ...En savoir plus Cet article Tribune : Contre la marchandisation de l’espace public est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 104 jours

Sika lance le SikaFlex Pro-11 FC® et réinvente le polyuréthane avec la technologie Purform®

La technologie Purform® permet ainsi de répondre aux nouvelles réglementations comme la restriction sur le taux de diisocyanate présent dans les produits en polyuréthane, adoptées en août 2020, dans le cadre de la réglementation REACH et applicable dès 2023.Précurseur, Sika est allé plus loin dans le développement de cette technologie avec une formulation qui ajoute également des performances uniques au polyuréthane en matière de rapidité de remise en service, de durabilité et d'impact environnemental.Mise au point fin 2020, la technologie Purform® est d'ores et déjà appliquée au best-seller de la gamme de mastic-colle Sika : Sikaflex® Pro-11 FC.En parallèle, Sika lance sa nouvelle gamme de mastics-colles composée de 6 solutions répondant à toutes les spécialités de collage et de jointoiement pour les professionnels.La Technologie Purform® pour une nouvelle génération de mastics-colles haute performanceLa réglementation européenne REACH entrée en vigueur en 2007 a pour objectif d'améliorer la protection de la santé humaine et de l'environnement contre les risques liés aux produits chimiques. Dans le cadre de cette réglementation, une nouvelle restriction a été adoptée sur les diisocyanates, le 4 août 2020, et publiée dans le Journal Officiel de l'Union Européenne.Cette restriction exige que les produits concernés, dont les produits en polyuréthane, présentent une teneur en diisocyanate inférieure à 0,1 % à partir de 2023. Dans le cas contraire, les professionnels utilisant ces substances devront recevoir une formation et obtenir une certification avant de pouvoir les utiliser.Pour anticiper les besoins de demain et cette nouvelle restriction de la réglementation REACH, le département R&D de Sika a mis au point la technologie Purform®.Cette innovation réduit considérablement la teneur en diisocyanate dans ses produits et ajoute de la performance au polyuréthane. Il en résulte ainsi :Une remise en service plus rapide avec un temps de séchage amélioré ;Une meilleure durabilité avec un vieillissement amélioré en condition humide ou chaude ;Moins d'impact environnemental avec un taux de diisocyanate inférieur à 0,1%.Cette technologie conserve également les performances du polyuréthane, à savoir :une facilité d'application avec une extrusion facile, sans coulage et sans odeur ;une bonne adhérence sur la plupart des matériaux de construction ;une excellente résistance à la déchirure, à l'abrasion et aux intempéries ;une grande flexibilité et récupération élastique.Sikaflex® Pro-11 FC : le mastic-colle tout-en-un dernière générationPremier choix des professionnels pour les applications exigeantes de collage et d'étanchéité, le polyuréthane offre la résistance, la flexibilité et la durabilité nécessaires. Référence des professionnels pour l'étanchéité et le collage dans la construction, le mastic-colle Sikaflex® Pro-11 FC est le premier produit à intégrer la technologie Purform®.Mastic-colle multi-usage, Sikaflex® Pro-11 FC est la solution idéale pour tous les collages souples, en intérieur comme en extérieur : étanchéité des éléments de maçonnerie, façade, toiture, terrasse, collage d'éléments rapportés (carrelage, crédence, plinthe, détecteur de fumée…), rebouchage de fissures, calfeutrement des fenêtres…Il bénéficie des performances de la technologie Purform® et garantit :un collage puissant et pérenne;un joint élastique qui s'adapte aux variations de température pour une meilleure durabilité;une très bonne adhérence sur la plupart des matériaux (bois, béton, brique, céramique, pvc, aluminium…);une très bonne résistance en intérieur comme en extérieur;une remise en service rapide;une teneur en monomère très faible, sans solvant, incolore et niveau A+ "très faible émission”;une certification SNJF, label « façade ».Sikaflex : une nouvelle gamme professionnelle encore plus performanteSika dévoile sa nouvelle gamme de colles et mastics proposant une solution pour chaque application et répondant à toutes les spécialités de collage et de jointoiement recherchées par les professionnels. Elle se compose de solutions multi-usages, d'agencements et de spécialités approuvées, certifiées et reconnues par les professionnels.Les colles multi-usages :Sikaflex® High Tack, colle offrant un maintien puissant sans bande de maintien, ni clous, ni vis, sur de nombreux supports. Elle se caractérise également par une forte capacité de charge.Sikaflex®- 112 Crystal Clear, colle totalement transparente garantissant un maintien immédiat et une excellente adhérence sur de nombreux supports. Souple, elle absorbe les vibrations. Très résistante aux UV, elle supprime les changements de couleur.SikaBond®- 114 Contact, colle bâtiment multi-usages à prise rapide pour des applications en intérieur. Facile à utiliser sur support vertical ou horizontal, elle assure un maintien immédiat et puissant (500 kg/10 cm2). Elle permet de fixer sur de nombreux supports sans maintien complémentaire.La colle d'agencement :Sikabond®- 115 Déco Fix, colle destinée à la pose d'éléments décoratifs en intérieur ou en extérieur abrité. Elle garantit un collage durable et solide sur de nombreux supports et offre un maintien immédiat, sans clous, ni vis.Les colles de spécialité :Sikaflex®- 113 Turbo, colle d'assemblage à prise rapide offrant un maintien immédiat et une excellente adhérence sur le verre et le métal. Les éléments collés peuvent être sollicités après 20 minutes.Sikaflex®- 117 Métal Force, colle pour éléments métalliques. Elle assure un collage puissant et rapide avec une élasticité permanente pour suivre la dilatation des matériaux. Non corrosif pour les métaux, elle offre une bonne résistance au vieillissement naturel, à l'eau et à l'eau de mer, aux enduits de ciment et détergents en dispersion aqueuse.Le nouveau Sikaflex® Pro-11 FC et la nouvelle gamme collage seront disponibles dans les négoces dès mi-janvier 2021. Pour accompagner le lancement et offrir une belle visibilité, des outils de merchandising spécifiques sont créés. Ils habilleront les différents linéaires et permettront de théâtraliser les produits.De nombreuses documentations techniques sur les produits et sur la réglementation seront mis à disposition des négoces et des professionnels.
Il y a 4 ans et 104 jours

Quotas de HLM : la moitié des communes concernées ratent leurs objectifs

Sur le millier de communes françaises soumises à des obligations de créations de HLM, environ la moitié n'ont pas atteint leurs objectifs entre 2017 et 2019, montre un bilan du gouvernement.
Il y a 4 ans et 104 jours

IIe-de-France : d'importants surcoûts pour le chantier du RER E

Le conseil régional d'Ile-de-France a voté sa participation à un "protocole-relais", une rallonge budgétaire pour la construction du prolongement du RER E à l'ouest, victime d'importants surcoûts.
Il y a 4 ans et 104 jours

Open Data pour l’aménagement cyclable de la France

Les maîtres d’ouvrage d’aménagements cyclables disposent enfin d’une base de données commune pour communiquer entre eux, à toutes les échelles territoriales. L’association Vélo & Territoires et le ministère des Transports ont présenté le 29 janvier le schéma de données d’aménagements cyclables mis en ligne le 16 décembre sur la plateforme nationale data.gouv.fr.
Il y a 4 ans et 104 jours

La FFB dénonce les deux nouvelles conventions collectives élaborées par la Capeb

La CAPEB a élaboré, avec les partenaires sociaux majoritaires, CFDT, CGT et UNSA, deux nouvelles conventions collectives nationales inter-catégorielles (ouvriers, ETAM, cadres), l’une concernant les entreprises du bâtiment employant jusqu’à 10 salariés et l’autre concernant les entreprises du bâtiment employant plus de 10 salariés. Ces nouvelles conventions collectives viennent remplacer des dispositions, pour certaines d’entre elles, datant de 1990. Les principales évolutions concernent : – l’augmentation du contingent annuel d’heures supplémentaires (220 heures annuel en substitution des 180 heures ou 145 heures) ; – la mise en place du non-cumul, pour les ouvriers non sédentaires, de l’indemnité de trajet et du paiement du trajet en temps de travail ; – la fixation du montant des indemnités de licenciement sur les dispositions légales pour les ouvriers ETAM et cadres ; – la suppression dans le calcul de l’ancienneté des périodes de maladie non-professionnelle ; – le paiement du travail exceptionnel de nuit à 100% ; – la suppression des jours de carence pour les seuls salariés qui comptent un an d’ancienneté dans l’entreprise et uniquement pour le 1er arrêt maladie sur 12 mois glissants ; – l’allongement de la durée d’absence pour certains jours pour événements familiaux Pour les entreprises jusqu’à 10 salariés, certaines spécificités ont été introduites comme la possibilité de renouveler la période d’essai pour les ouvriers ; l’allongement de la période de préavis pour les ouvriers démissionnaires ; une durée minimale pour les ETAM administratifs à temps partiel (20 heures au lieu de 24 heures) ou l’intégration dans un an de l’augmentation des jours pour évènements familiaux. Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « La CAPEB est fière d’avoir pu mener une telle négociation avec les partenaires sociaux. Il était plus que nécessaire de réviser des dispositions qui, rappelons-le, dataient, pour certaines d’entre elles, d’il y a plus de 30 ans ! Ces 2 conventions collectives apportent plus de simplicité et d’efficacité pour les entreprises. » La FFB a réagi sans tarder en dénonçant la signature de ces deux conventions collectives par une organisation patronale minoritaire avec trois centrales syndicales. Pour la fédération, cette manœuvre tente de briser en deux la branche du bâtiment selon le nombre de salariés employés par les entreprises. Pour Olivier Salleron, président de la FFB : « Cette initiative déstabilise les artisans et entrepreneurs en cette période critique. Dans ce contexte déjà très difficile dû à la crise sanitaire Covid, la FFB, majoritaire chez les artisans et les entreprises, dénonce ces accords qui déséquilibrent et sèment le trouble dans le bâtiment. Il est primordial, au contraire, d’enclencher une démarche innovante pour renforcer le dialogue social et mutualiser nos forces, au bénéfice de toutes les entreprises, et non pas de casser le secteur en deux. Nous prendrons nos responsabilités quant à la suite à donner. Pour le moment, toute notre énergie est concentrée sur la sauvegarde de l’activité et sur le soutien de nos adhérents. »
Il y a 4 ans et 104 jours

La métamorphose du Mondial du Bâtiment

Depuis 2013, toutes les demandes allaient dans ce sens, faire revenir le Mondial du Bâtiment au cœur de Paris. C’est chose faite pour l’édition 2022 qui réintègre le parc d’exposition rénové de la Porte de Versailles. Ce retour est largement plébiscité puisque 93,6 % des exposants et 97,9 % des visiteurs ont exprimé leur intention de venir à la prochaine édition des salons. Programmés du 3 au 6 octobre 2022, les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA occuperont 6 pavillons, soit plus de 140 000 m2 d’exposition. le nouveau format d’exposition limite la taille des stands à 99 m2 par société, avec la possibilité d’inclure un étage. Il simplifie également l’implantation des pavillons avec des modules de stand multiples de 9. Les surfaces prévues pour chaque stand s’échelonnent ainsi de 9 à 99 m2 soit 9 m2, 18 m2, 36 m2, 54 m2 et 99 m2. Cette refonte de l’implantation apporte de multiples avantages aux exposants : choix de l’emplacement dès l’inscription, augmentation significative du retour sur investissement (ROI) par une réduction des coûts d’exposition et du passage à 4 jours pour tous les salons. Les salons se digitalisent pour devenir des salons AUGMENTÉS Depuis plusieurs années, le Mondial du Bâtiment et les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA sont engagés dans une démarche qui vise à animer la communauté des professionnels entre deux éditions et pas uniquement sur 4 jours de présence physique. Cette anticipation a notamment permis d’acquérir une forte expertise en matière de référencement sur les moteurs de recherche comme Google que les professionnels du secteur utilisent de plus en plus. Fort de cet acquis, Reed Expositions France, l’Afisb et Uniclima proposeront à partir de mai 2021, des salons « AUGMENTÉS » grâce à un blog unique. Celui-ci complètera l’usage des sites internet dédiés aux salons physiques en regroupant les univers métiers des 3 salons du Mondial du Bâtiment. Les professionnels pourront y entrer en contact avec les marques, donner leur avis ou leurs appréciations et ils disposeront d’outils adaptés à leurs besoins : – Des fiches produits conçues avec les codes du e-commerce ; – Un annuaire de fournisseurs, avec les produits/services proposés ; – Des show-rooms virtuels ; – Des vidéos démos ; – Des contenus sur les métiers qu’ils retrouveront sur les salons physiques.
Il y a 4 ans et 104 jours

ITE, solaire... : Effy élargit son offre de travaux

Chaudières gaz THPE, autoconsommation solaire et isolation thermique par l’extérieur : Effy lance cette année trois nouvelles offres de travaux 100 % accompagnés et garantis. Le spécialiste de la rénovation énergétique va aussi proposer des outils de financement bancaire pour faciliter le paiement du reste à charge.