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Toute l'actualité du bâtiment

256150 actualités disponibles
Il y a 4 ans et 254 jours

Blagnac : la nouvelle clinique d’Andromède verra le jour d’ici fin 2021

La clinique du quartier d’Andromède en Haute-Garonne doit être livrée en 2021.
Il y a 4 ans et 254 jours

Suez va investir 1 milliard d’euros en France

Suez et son partenaire Vauban Infrastructure Partners ont décidé de doubler le financement de leur société commune - Suez Investissement Local pour de nouveaux projets dans le secteur de l’eau, de l’assainissement et des déchets.
Il y a 4 ans et 254 jours

A Villejuif, WRA transforme le microfoncier en ‘Friendly building’

Fin 2019, les Wild Rabbits Architectes (WRA) ont livré à Villejuif (Val-de-Marne), dans un tissu urbain complexe, un petit bâtiment visant à accueillir 17 étudiants. Bien loin de l’image du triste clapier pour étudiants, la dent creuse ainsi habitée fait désormais office de trait d’union architectural et social. Visite guidée. Le temps de marcher les […] L’article A Villejuif, WRA transforme le microfoncier en ‘Friendly building’ est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 254 jours

"Forte incertitude" sur la consommation électrique de l'hiver 2020-2021

RÉSEAU. Si, après une baisse observée pendant le confinement, la consommation d'électricité de la France s'est redressée en cette rentrée 2020, elle demeure toujours en retrait de son niveau habituel. Dans ses perspectives réactualisées pour l'hiver 2020-2021, RTE maintient sa vigilance et indique que le parc nucléaire ainsi que les importations seront davantage sollicités.
Il y a 4 ans et 254 jours

Repenser le métier d’architecte, nouveaux champs de compétence ?

Du global au local, faire système paraît, mieux que l’autoroute, un chemin tracé pour la profession. L’interview de Véronique Biau publiée par Chroniques le 1er septembre 2020(1), qui portait sur son long travail de recherche sur les évolutions de la profession, a suscité des réactions contrastées révélatrices d’une fracture générationnelle. De fait, de cet entretien, […] L’article Repenser le métier d’architecte, nouveaux champs de compétence ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 254 jours

Quels sont les aspects essentiels de l'enveloppe d'un bâtiment pour garantir sa performance énergétique ?

Les communications sur la performance énergétique des bâtiments se multiplient ces derniers mois (propositions de la convention citoyenne pour le climat, appel du Haut Conseil pour le Climat, annonces gouvernementales…).Pour ce Groupe de Travail du Pôle de compétitivité Fibres Energivie, une enveloppe constituée d'une isolation homogène et de ponts thermiques traités efficacement permet de diminuer considérablement la consommation énergétique. Les usagers voient ainsi leur "reste à vivre" augmenter. D'ailleurs, selon une étude menée par FLIR Systems, les ménages français gaspillent 11,5 milliards d'euros chaque hiver en raison d'une mauvaise isolation (401 € en chauffage pour un foyer moyen en France). De même, selon l'Observatoire national de la précarité énergétique (ONPE), 6,8 millions de personnes se trouvent en situation de « précarité énergétique », c'est-à-dire que leur facture énergétique pèse pour plus de 8 % de leur revenu. Enfin, la rénovation des passoires énergétiques supposerait une économie moyenne dans les dépenses des ménages à hauteur de 1.100 €/an, soit environ l'équivalent d'un Smic net par an. Le dispositif prévu par la loi n° 2009-323 du 25 mars 2009, dite loi MOLLE, permet au bailleur qui réalise des travaux d'économie d'énergie dans les parties privatives communes d'un bâtiment, de demander aux locataires une « contribution pour le partage des économies de charges ». Cette contribution figure dans la quittance sur une ligne spécifique appelée communément « 3ème ligne de quittance ». Ainsi, le bailleur dispose de revenus supplémentaires pour financer les opérations de rénovation futures destinées à réaliser des économies d'énergie. Celles-ci sont évaluées selon une méthode de calcul conventionnel de la consommation d'énergie résultant d'une étude thermique (dite réglementaire), et servent de base au calcul de la contribution demandée au locataire (avec un plafond fixé par la loi à 50% des économies d'énergies). Cependant, pour le Groupe de Travail, il s'avère primordial de rappeler que cette méthode de calcul comporte des incertitudes sur la représentativité réelle des consommations. Les bailleurs sociaux s'exposent alors au risque de devoir faire face à des situations conflictuelles avec : Une économie d'énergie non atteinte, ne permettant pas de concrétiser la réduction de charge escomptée ; Une 3ème de quittance injustifiée aux yeux des locataires ; Un montant de loyer sensiblement identique, voire en augmentation ; Une possible diminution du reste à vivre des foyers induisant une croissance des impayés pour le bailleur social ayant engagé des travaux. Cette possibilité offerte aux bailleurs représente un levier financier important, mais peut rapidement devenir contreproductive lorsque les méthodes de calcul ne sont pas représentatives des performances réelles du bâtiment après travaux. Ainsi, la difficulté récurrente à estimer précisément le gain énergétique, et à garantir la performance énergétique d'un projet de réhabilitation demeure un obstacle majeur pour définir avec assurance les économies atteintes en exploitation. Le bailleur social reste sous le joug d'une contre-référence tant énergétique que financière, pouvant aller jusqu'à hypothéquer sa capacité financière à poursuivre sa stratégie de rénovation sur le moyen terme.« Il semble que notre monde actuel ait pris conscience des enjeux d'aujourd'hui mais également ceux de demain. Cela est d'autant plus précieux que cette prise de conscience émane directement des citoyens. Il est donc primordial que les décisions, qui se prennent actuellement, positionnent le curseur au bon endroit. La rénovation des bâtiments existants est le levier majeur d'un des secteurs les plus énergivores de notre société. C'est en ce sens qu'elle doit être appréhendée plus en profondeur que par le passé : promouvoir et favoriser très en amont une Isolation Thermique par l'Extérieur « durablement » pérenne. Des garde-fous doivent être conservés, renforcés, intégrés à notre réglementation, mais la démarche doit aller plus avant en faisant de la mise en œuvre un point clé. Nous devons faire de l'accompagnement et la formation professionnelle aux métiers de l'ITE, l'un des socles de nos ambitions… » -Stéphane Lambert, Président du SNBVILa valeur « verte » des logements Au-delà des conséquences positives sur le reste à vivre des foyers, une enveloppe de qualité permet également de maintenir, voire d'augmenter la valeur patrimoniale d'un bien, dite la « valeur verte » des logements. En 2018, les notaires ont indiqué que les maisons de classe F-G se sont vendues, en moyenne, de 6 à 19 % moins cher que les maisons de classe D. A contrario, celles de classe A-B affichent, en moyenne, un prix de 5 à 11 % supérieur à celles de classe D.Les enjeux liés à la future RE2020"Afin de garantir une qualité homogène de l'enveloppe du bâti depuis la conception, la réalisation et pendant l'exploitation du bâtiment, il est nécessaire d'utiliser des indicateurs réglementaires ambitieux dans la prochaine RE2020. Par exemple, l'isolation en rénovation est un concentré de cas particuliers. Il convient donc d'être en mesure d'évaluer les singularités alors que la bibliothèque RT actuelle est à vocation générique ! Il est nécessaire de mettre en place des garde-fous cohérents avec les objectifs ambitieux de performance en exploitation pour réussir la transition énergétique des bâtiments. Pour les opérations de constructions neuves, les méthodologies d'évaluation des déperditions thermiques laissent toujours place à des approximations favorables à l'adoption de solutions techniques peu performantes sur le plan thermique, privilégiant une rationalisation financière des projets. Ainsi, nombre de solutions « optimisées » induisent en réalité des déperditions thermiques notables dégradant de plus de 50 % les Uparois, sans générer la moindre alerte de non-conformité réglementaire. Ces bâtiments neufs prétendant atteindre une cible de besoin de chauffage à hauteur de 30 kWh/m².an seront plutôt, en réalité, à des niveaux proches de 50 kWh/m².an, générant des surcoûts en exploitation, et des risques pour le confort et la santé des occupants" (cf. CP précédent du Groupe de Travail sur la Qualité de l'Enveloppe). -David Corgier, cabinet d'ingénierie énergétique MANASLUDans le cadre de l'élaboration de la future RE2020, le Groupe de Travail souhaite appuyer les priorités suivantes concernant les indicateurs réglementaires : Le besoin Bioclimatique (Bbio) doit être équivalent à : standard RT2012 - 40 % ; La Consommation d'énergie primaire (Cep) doit être équivalente à : standard RT 2012 - 20 % (et suppression de toute dérogation) ; Les seuils pour limiter les ponts thermiques doivent être conservés voire renforcés ; Réintroduction de bibliothèques de bases de données de ponts thermiques mises à jour à partir des configurations et des méthodes constructives actuelles ; Mise en place d'un suivi de la performance énergétique. Dans certains cas, une procédure de commissionning doit être rendue obligatoire (petite enfance, EHPAD, santé, éducation…).Pour le Groupe de Travail qui milite en faveur d'une qualité homogène de l'enveloppe du bâtiment, il est impératif : d'adopter une approche globale pour l'efficience des opérations (coût global, 3ème ligne de quittance, reste à vivre, durabilité…). de conserver et introduire des indicateurs et des garde-fous cohérents dans la RE2020 pour la construction neuve et adapter la règlementation à la rénovation (Bbio, Cep, garde fous sur les ponts thermiques, Bases de données actualisées, méthode de commissionning). de garantir les moyens de la rénovation et de la construction neuve : mettre en place des obligations de moyens mais surtout de résultats associés à une évaluation objective de la performance (réelle et vérifiée).
Cimbat
Il y a 4 ans et 254 jours

De la beauté pour survivre… – Lettre ouverte de Beyrouth, par Lina Ghotmeh

Le 4 août 2020 juste avant 18h00, alors que je venais d’arriver à Beyrouth depuis Paris, une explosion massive a frappé la ville, effaçant son cœur battant par le Port. Plus de 191 morts, 6500 blessés, 300 000 déplacés et au-delà de 6000 maisons détruites. De nombreux bâtiments historiques ont été réduits en poussières, faisant […] L’article De la beauté pour survivre… – Lettre ouverte de Beyrouth, par Lina Ghotmeh est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 254 jours

Eiffage Construction termine le gros-œuvre de l’Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux

Le gros-œuvre des travaux de rénovation de l’Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux sur le point d’être achevé par Eiffage Construction.
Il y a 4 ans et 254 jours

Carpentras : 432 logements de la cité du Pous du Plan rénovés d’ici début 2022

L’achèvement des travaux de réhabilitation de 432 logements de la cité du Pous du Plan à Carpentras est prévu pour début de l’année 2022.
Il y a 4 ans et 254 jours

Grand Paris : une nouvelle enveloppe de 3Mds€ de crédits bancaires

BANQUE. La Société générale mobilise de nouveaux fonds afin de financer des projets en lien avec le Grand Paris. Acteurs publics, promoteurs, aménageurs, entreprises de BTP peuvent dès à présent les solliciter.
Il y a 4 ans et 254 jours

L'impact de la crise sanitaire sur les entreprises de la transition énergétique et numérique

Tous marchés confondus, le chiffre d'affaires global réalisé en France en 2019 s'est élevé à 20 Mds €. À l'international, la profession représente un chiffre d'affaires de 7,1 Mds € (6,6 Mds € en 2018). Les 260 entreprises adhérentes du SERCE emploient près de 135 000 salariés, répartis sur plus de 900 sites en France.La croissance de l'activité est restée principalement soutenue par les marchés de réseaux et d'infrastructures qui ont poursuivi leur progression de 7,7% en 2019, malgré un fléchissement au dernier trimestre (7,8% en 2018). Sur le marché de l'industrie l'activité est restée dynamique avec une progression de 5,6% (4,4% en 2018). Le marché tertiaire a quant à lui connu une nette accélération en progressant de 5% en 2019 (contre 1,2% en 2018).2020-2021 : la crise sanitaire porte un coup d'arrêt brutal à l'activitéAu début de l'année 2020, la tendance haussière observée en 2019 semblait devoir se poursuivre jusqu'à ce que la crise sanitaire ne porte un coup d'arrêt à l'activité, tous secteurs confondus.Si la reprise de l'activité amorcée début mai a permis de retrouver quasiment un plein niveau d'activité début juillet, la crise impacte fortement les entreprises.Du point de vue économique, les surcoûts des chantiers liés à la mise en place des mesures sanitaires pèsent sur la rentabilité prévue des projets. Le partage de ces surcoûts a donné lieu à de longs échanges avec les maîtres d'ouvrage. Des solutions ont été trouvées et certains maîtres d'ouvrage ont fait preuve d'une réelle compréhension des difficultés auxquelles font face les entreprises mais parfois le dialogue est plus difficile.Les perspectives de la fin de l'année et surtout du 1er semestre 2021 restent incertaines. Les reports de commandes et la crise couplée aux élections municipales, retardant le lancement des appels d'offres, ont rétréci sérieusement l'horizon des entreprises. Le plan de relance annoncé par le gouvernement devrait bénéficier aux territoires, notamment dans le champ de la transition énergétique. Il faut espérer que l'ensemble des acteurs économiques, dont les collectivités, se mobilisent à court terme pour apporter des effets rapides sur le carnet de commandes du secteur du BTP.2019, une année bien orientée pour l'ensemble des marchésEn 2019, la part de l'activité réalisée sur le marché tertiaire s'est légèrement repliée à 36% (37% en 2018). L'activité est principalement soutenue par la commande privée et certaines régions plus dynamiques, telle que l'Île de France même si les chantiers du Grand Paris ou des “Jeux olympiques” ne génèrent pas encore de lots techniques. Des grands projets en santé et en hôtellerie devraient permettre de soutenir l'activité en 2021 - 2023 (PACA, Bretagne, Pays de la Loire…).Avec 23,5% de part de marché, le volume d'activité réalisée dans l'industrie progresse légèrement en 2019 (23% en 2018), portée par les investissements.Toutefois cette tendance est à nuancer en fonction des bassins d'emplois et des secteurs d'activité dont les plus dynamiques sont la pharmacie, l'IAA, la défense…Les travaux d'infrastructures et de réseaux représentent toujours une part importante de l'activité des entreprises du SERCE à hauteur de 38%, comme en 2018.Sur le segment des “Lignes et réseaux électriques”, les investissements prévus par le Réseau de Transport d'Électricité, le gestionnaire du réseau de distribution électrique (Enedis) et les syndicats d'énergie ont généré un volume d'activité important. Les entreprises déplorent toutefois la lourdeur administrative et les délais cachés, qui pèsent sur leur trésorerie. Le renouvellement des équipes à la suite des élections municipales de 2020 aura un impact sur la composition des syndicats d'énergie et pourrait contribuer à fragiliser l'activité.Dans le domaine du numérique, le marché du déploiement de la fibre optique est entré dans sa phase d'accélération, ce qui rend plus prégnante la question de la pénurie de compétences.En associant l'énergie et le numérique, les entreprises du SERCE proposent de nouvelles solutions pour interagir avec les équipements de la ville et adapter, en temps réel à la situation analysée : éclairage public intelligent, mobilier urbain connecté, gestion du stationnement et horodatage, bornes de recharge, régulation de la circulation… Leur savoir-faire d'intégrateurs leur permet de proposer de nombreux services associés (pilotage à distance du réseau, monétique, application mobile, hypervision) et contribue à élaborer et déployer les systèmes sur lesquels repose la SmartCity.Dans le domaine de la mobilité, la mise en oeuvre du programme de rénovation du réseau ferré et le projet du Grand Paris Express assurent un volant d'activité dynamique. La publication fin 2019 de la Loi d'Orientation sur la Mobilité (LOM) encourage le développement de solutions de mobilité propre et durable, de plus en plus souvent connectée et partagée (covoiturage, autopartage, etc…) et favorise la multimodalité.
Il y a 4 ans et 254 jours

MaPrimeRénov : les acteurs du chauffage bois veulent un meilleur traitement des dossiers

CRITIQUE. Le déploiement de MaPrimeRénov est-il limité par des soucis techniques à répétition et de manque de formation de certains sous-traitants ? C'est ce qu'affirme le syndicat français des chaudiéristes biomasse (SFCB). Eric Trendel, son président, en dit plus à Batiactu.
Il y a 4 ans et 254 jours

Sur la rénovation comme sur le neuf, les architectes "attendent des actes"

RELANCE. Jean-Michel Woulkoff, président de l'union syndicale des architectes (Unsfa), a réagit, en marge de la journée de rentrée du mouvement HLM, au discours de la ministre Emmanuelle Wargon. S'il le juge ambitieux sur certain points, il demande surtout à connaître les conditions de réalisation des objectifs.
Il y a 4 ans et 254 jours

Chronique du Geek – Les applications de septembre 2020

Une partie du travail de l’architecte ne s’effectue pas toujours à l’agence, peu s’en faut. Entre les visites et suivis des chantiers, la reconnaissance des lieux des futurs projets, sans parler des déplacements pour les rendez-vous professionnels, le Geek propose en cette fin septembre cinq applications pour vous accompagner, vous guider et vous détendre lors […] L’article Chronique du Geek – Les applications de septembre 2020 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 254 jours

Frédéric Didier, nouveau DG de Wienerberger France

Suite au décès de Francis Lagier, Wienerberger nomme un professionnel des matériaux de construction à la tête de son activité en France.
Il y a 4 ans et 254 jours

EnergieSprong : Myral récompensé lors des Prix de l’Innovation

A l’occasion du Forum Innovation EnergieSprong, le Secrétaire d’État au logement a remis à Myral et à ses partenaires, Kingspan et Maître Cube, le prix de 2e lauréat dans la catégorie « Façades collectives » de ce concours d’innovation pour des solutions de rénovation à zéro énergie garantie. Les principaux atouts de cette solution sont sa faible épaisseur, sa légèreté et sa performance, le tout étant parfaitement adapté pour réaliser un maximum d’économies d’énergie sur l’ensemble du cycle de vie d’un bâtiment. Avec ce prix, Myral va pouvoir encore plus valoriser et faire connaître sa solution d’isolation thermique par l’extérieur. Elle va désormais pouvoir être mise en avant par les bailleurs sociaux labellisés EnergieSprong. Avant la remise des prix, un certain nombre de projets avaient déjà anticipé la démarche EnergieSprong. C’est notamment le cas du projet Podélia à Nantes. Le prochain objectif est désormais de concrétiser davantage de projets sur le label EnergieSprong qui a su susciter l’intérêt de nombreux bailleurs sociaux. Avec le prix de 2e lauréat, Myral et ses partenaires ont désormais une belle valeur ajoutée à faire valoir. Ils ont été reconnus par un jury d’experts comme étant un groupement capable de proposer une solution parfaitement adaptée aux enjeux de la massification.
Il y a 4 ans et 254 jours

France Relance Bâtiment : de nouvelle précisions ... et conditions

Le gouvernement met 7,4 milliards d’euros sur la table pour le logement pendant deux ans, détaille un peu son offre et, en échange, demande aux Fédérations du Bâtiment de prendre des engagements.
Il y a 4 ans et 254 jours

Le Groupe VELUX s’engage pour une « neutralité carbone à vie »

Le Groupe VELUX s’engage à réduire ses futures émissions de carbone et à capturer l’équivalent de son empreinte carbone historique depuis sa création en 1941, représentant un total de 5,6 millions de tonnes de CO2. Pour cela, il s’est allié au WWF pour mettre en œuvre des projets de reforestation afin de lutter contre le réchauffement climatique. Ces projets ont pour but de stopper la détérioration d’habitats naturels et ainsi de préserver la biodiversité et d’améliorer les conditions de vie au niveau local. David Briggs, PDG du Groupe VELUX, a déclaré : « La planète fait aujourd’hui face à une crise grave en termes de climat et de biodiversité, ce qui nécessite des mesures exceptionnelles. En accord avec nos valeurs d’entreprise, nous cherchons à faire toujours plus que la majorité ; c’est donc pour cela que nous avons développé l’engagement de « neutralité carbone à vie ». Cet engagement novateur implique un partenariat de 20 ans avec le WWF International, afin de capturer l’équivalent de nos émissions de carbone historiques d’ici 2041. Nous réduirons également significativement nos futures émissions de CO2… » Le partenariat avec le WWF s’inscrit plus largement dans la stratégie de développement durable « Sustainability Strategy 2030 » du Groupe VELUX afin de devenir une entreprise neutre en émission de CO2 d’ici 2030. Cet objectif de réduction des émissions se base sur la science, grâce au programme « Science Based Targets Initiative ». Afin de révolutionner son activité, le Groupe VELUX accélère ses investissements dans l’efficacité énergétique au sein de ses sites de production, la transition vers les énergies renouvelables et l’achat d’électricité 100 % renouvelable. Il s’est également engagé à modifier de manière significative la façon dont il effectue la sélection et l’achat de matériaux.
GDA
Il y a 4 ans et 254 jours

Knauf France va construire une nouvelle usine de plaques de plâtre à Fos-sur-Mer

N°1 mondial de la plaque de plâtre, le Groupe Knauf a annoncé l’acquisition, en partenariat avec le Groupe F-SCOTT, de BMG Holding France, société porteuse d’un projet industriel pour la production de plaques de plâtre en France. Cette opération, pilotée par Dominique Bossan, CEO Knauf Western Europe & Latin America, et Christine Muscat, Directeur Général de Knauf France, permet de déclencher immédiatement un investissement industriel de 60 millions d’euros, pour la construction d’une usine de plaques de plâtre basée sur le port de Fos-sur-Mer (13). La pose de la première pierre est prévue d’ici fin 2020. Cette nouvelle usine, dotée des outils de production de dernière génération, sera opérationnelle fin 2022 pour une commercialisation dès début 2023.
Il y a 4 ans et 254 jours

Expoprotection et Preventica reportés en 2021

Ces deux rendez-vous autour de la santé et de la sécurité au travail, prévus pour l'un en septembre et pour l'autre en novembre, n'auront finalement pas lieu cette année.
Il y a 4 ans et 254 jours

Après avoir eu le vent en poupe en 2019, l'éolien demande de nouvelles mesures en 2020

RENOUVELABLES. Raccordements supplémentaires, production annuelle cumulée, créations d'emplois : tous les indicateurs de la filière éolienne ont enregistré une progression en 2019. Les professionnels du secteur mettent en avant ces bonnes tendances pour demander aux pouvoirs publics de lever les freins au développement des parcs.
Il y a 4 ans et 254 jours

Le monde HLM devrait maintenir un rythme solide de construction de logements

Le monde HLM français devrait résister à la crise, à court et long terme, et maintenir un rythme solide de construction de logements grâce au bas niveau des taux d'intérêts, a estimé la Caisse des dépôts.
Il y a 4 ans et 254 jours

Travaux publics : l'activité peine toujours à se redresser

CONJONCTURE. Les derniers chiffres publiés par la FNTP pour le mois de juillet 2020 montre que la reprise reste lente pour le secteur. Et certains signaux n'engagent pas à renouer avec l'optimisme à court terme.
Il y a 4 ans et 254 jours

Emmanuelle Wargon veut faciliter l'expulsion de squatteurs

La ministre en charge du Logement Emmanuelle Wargon a soutenu un amendement sur le projet d'accélération et de simplification de l'action publique visant à faciliter l'expulsion de squatteurs.
Il y a 4 ans et 254 jours

Le réseau Tryba poursuit sa croissance

D'ores et déjà, Tryba a en cours : 14 ouvertures et 7 reprises de fonds de commerce, pour le deuxième semestre 2020. 36 secteurs géographiques sont encore disponibles sur toute la France, en concessions classiques ou en “Carré”.Tryba, marque nationale, stable et pérenne, affiche une dynamique d'expansion forte, depuis sa création, il y a 40 ans. Le réseau, forgé sur les 4 valeurs fondamentales de la marque (l'excellence, la performance, le respect mutuel et l'engagement), compte plus de 300 Espaces-conseil, répartis sur toute la France. S'appuyant sur la puissance industrielle du Groupe Atrya, groupe familial alsacien, qui figure parmi les leaders européens dans le domaine de la fabrication et de la distribution de menuiseries PVC, bois et aluminium, Tryba est la fois concepteur, fabricant, et installateur. Au final, ces 3 métiers constituent bien 3 expertises au service des clients de la marque.Pour répondre davantage encore aux attentes des consommateurs en quête de fabrication française, de durabilité et d'éco-performance, Tryba a continué d'étoffer son maillage territorial en ouvrant 12 Espaces-conseil en France au premier semestre 2020.Très bon démarrage en 2020 : 12 ouvertures au 1er semestre 2020Tryba souhaite être au plus près des consommateurs et rendre ses magasins accessibles à tous. Les 12 ouvertures du premier semestre 2020 viennent donc renforcer la proximité locale de la marque sur des secteurs jusque-là disponibles et trop éloignés des autres magasins du réseau.Répartis sur toute la France, au travers de 10 régions et 12 départements, les 12 ouvertures de ce début d'année, malgré un contexte imprévu dû au confinement de début 2020, sont en parfaite corrélation avec les ambitions de croissance de la marque, et vont permettre de dépasser les objectifs de développement fixés pour l'année 2020. Preuve que l'enseigne Tryba attire toujours et encore de nouveaux chefs d'entreprise !Dorénavant, les clients pourront aller à la rencontre de Tryba dans les villes suivantes : En magasin principal :Vernon (27),Pontivy (56),Saint-Nazaire (44),Vierzon (18),Cannes (06)En magasin secondaire :Dol-de-Bretagne (35),Riom (63),Marignane (13),Fargues-Saint Hilaire (33),Lannemezan (65),Champagne-au-Mont-d'Or (69),Boulogne-sur-Mer (59)En conclusion, pour ce premier semestre 2020, malgré le contexte particulier du début de l'année, Tryba a créé 5 Espaces-conseil à titre de magasin principal, et 7 magasins secondaires. La fin d'année devrait être toute aussi dynamique, puisqu'au total ce seront 25 nouveaux Espaces-conseil qui devraient ouvrir sur la totalité de l'année 2020.36 villes encore disponibles sur toute la France :Cependant, Tryba, en tant que réseau mature comptant le plus grand nombre de points de vente de menuiseries en France, ne souhaite pas s'arrêter là ! Avec 36 secteurs géographiques encore disponibles sur 9 régions, la marque au célèbre Sumo ambitionne de s'implanter, autant dans des grandes villes que dans des villes de taille moyenne.Elle souhaite installer un Espace-conseil dans les zones de chalandise de 150000 à 200000 habitants, comme à Laval ou Nevers, ou un « Carré Tryba », dans des zones de chalandises de 70000 habitants, comme à Aurillac ou Châtellerault.En effet, le modèle de franchise participative, instauré en 2013, dénommé « Carré Tryba », continue de se développer. On en compte aujourd'hui 18, dont 10 sont devenus concessionnaires, en 3 ans maximum.Véritables opportunités, ces secteurs géographiques exclusifs ont pour but de permettre à des entrepreneurs motivés de devenir leur propre patron tout en étant formés et accompagnés par un réseau solide, qui a prouvé sa pérennité, sa rentabilité et sa notoriété.Secteurs exclusifs disponibles pour l'implantation d'espaces-conseil en 2020 – 2021:Hauts-de-France : Lille (59) et Abbeville (80)Normandie : Cherbourg (50), Saint Lô (50), Dieppe (76) et Rouen Sud (76)Bretagne : Rennes (35)Pays de la Loire : Laval (53) et Les Herbiers (85)Nouvelle-Aquitaine : Bressuire (79), Niort (79), Agen (47), Villeneuve sur Lot (47), Mont-de-Marsan (40) et Angoulême (16)Grand Est : Charleville-Mézières (08), Epinal (88), Chaumont (52) et Bar-le-Duc (55)Auvergne - Rhône-Alpes : Montluçon (03) et Roanne (42)Bourgogne - Franche-Comté : Nevers (58) et Beaune (21)Secteurs disponibles pour l'implantation de "Carré" Tryba :Normandie : Coutances (50)Bretagne : Redon (35)Pays de la Loire : Mayenne (53) et Pornic (44)Centre : Loches (37), Chinon (37) et Châtellerault (86)Nouvelle-Aquitaine : Cognacq (16)Grand Est : Boulay-Moselle (57)Auvergne - Rhône-Alpes : Moulins (03) et Aurillac (15)Bourgogne - Franche-Comté : Fontaine-les-Dijon (21) et Avallon (89)La marque offre également de nombreuses opportunités de reprises sur tout l'hexagone, aux entrepreneurs qui préfèreraient racheter une concession existante. En effet, les reprises de fonds de commerce ont le vent en poupe dans le réseau Tryba, avec 11 rachats de concessions ayant eu lieu en 2019, et autant prévues en 2020. Avec 40 ans d'existence pour la marque, certains concessionnaires ont rejoint le réseau il y a longtemps, et la marque trouve alors un repreneur à celui qui quitte le réseau, notamment pour cause de départ à la retraite, après une belle carrière aux côtés de l'enseigne.Des concessions avec une rentabilité de 8 à 10% Un espace-conseil Tryba réalise, au bout de 3 ans, un chiffre d'affaires de 1350000 euros, pour un revenu net à disposition du concessionnaire à hauteur de 8 à 10% du chiffre d'affaires. Les nouveaux concessionnaires prennent la tête d'une structure à taille humaine, avec une équipe polyvalente de 6 à 8 personnes (assistant, commerciaux et techniciens-poseurs), positionnée comme référence sur un secteur géographique exclusif et étendu. Chaque nouvelle concession ouvre un magasin ayant pignon sur rue, avec un showroom permettant de mettre en valeur les produits Tryba et de faire la différence sur la qualité de produits proposés et fabriqués sur mesure en France par les usines Tryba.Un accompagnement fort pour se lancer dans une aventure maitriséeGrâce à un accompagnement important et constant, l'un des points forts de Tryba, la marque intègre aujourd'hui 80% d'entrepreneurs qui ne sont pas issu du secteur de la menuiserie. La formation poussée, voulue et dispensée par le franchiseur, est donc essentielle pour que le partenariat soit gagnant-gagnant pour les deux parties.La marque accompagne donc les entrepreneurs, tout au long du processus de création ou de reprise d'une concession, au travers de toutes les étapes du projet, que ce soit :La présentation des secteurs disponibles en création et/ou des concessions à racheter,Des informations transparentes sur l'enseigne de franchise Tryba, ses méthodes et son expérienceLa découverte du métier avec un stage de découverte « vismavie » en concession pilote,La recherche et la négociation de locaux adaptés,La recherche de financement,La création de la société,La formation du concessionnaire à son nouveau métier.A chaque nouvel arrivant, Tryba dispense dès son arrivée dans le réseau, une formation initiale gratuite de trois semaines sur tous les domaines : produits, commerce, technique, logiciels informatiques… Il bénéficie également de l'accompagnement soutenu et gratuit sur le terrain de la cellule ouverture, composée de 4 formateurs. Ceux-ci se déplacent sans frais chez le nouvel entrepreneur, pendant 6 mois, avec l'organisation de rendez-vous bi-mensuels en agence, pour lui transmettre dans la durée, tout le savoir-faire de Tryba, et lui permettre de se perfectionner à son rythme. Par la suite, un animateur technico-commercial prend le relais et rend visite toutes les 3 semaines au concessionnaire.L'équipe d'animateurs réseau a été renforcée et en compte désormais 9, répartis par grandes régions. Véritable lien entre Tryba et le terrain, il s'occupe en moyenne de 20 concessionnaires.En parallèle, de nombreux outils permettent également de se former en continu : formations produits et pose chaque année, programmes e-learning …Un réseau qui se digitalise en 20202020 c'est l'année d'une grande dynamique digitale dans le réseau Tryba. Alors que le déploiement de la nouvelle solution intégrée CRM Métier démarre en Septembre, c'est aussi l'occasion pour les équipes de ventes de se digitaliser : Nouveau PC-tablette vendeur intégrant la signature électronique et réunissant tous les outils digitaux en un seul ; nouvelle application mobile pour prendre en photos ses réalisations et les publier en 3 clics sur son site et sur les réseaux sociaux. Avec le Pack Digital lancé en début d'année, tout est également fait par Tryba pour booster la visibilité web locale des concessions : gestion du référencement web de la concession, campagnes e-marketing, accompagnement réseaux sociaux. Et les résultats sont au rendez-vous : +30% de contacts web sur le 1er semestre 2020.
Il y a 4 ans et 254 jours

Stéphane Bern tend la main au vaste projet de rénovation des Murs à Pêches de Montreuil

Montreuil : les Murs à Pêches font objet d’un vaste projet de rénovation grâce au soutien de Stéphane Bern.
Il y a 4 ans et 254 jours

Senlis : l’ancienne clinique Saint Joseph deviendra une résidence en 2022

Rénovation de l’ancienne clinique Saint Joseph de Senlis : des nouveaux logements seront prêts en 2022.
Il y a 4 ans et 254 jours

Le gouvernement va renforcer les dispositifs pour l'emploi des jeunes

Le dispositif des emplois francs permet à tout employeur, situé ou non en quartier de politique de la ville (QPV), de bénéficier d'une aide de 5.000 euros par an, pendant trois ans maximum, pour une embauche en CDI d'un chômeur habitant dans ces quartiers (et de 2.500 euros par an, pendant deux ans maximum, pour un CDD d'au moins six mois).Pour renforcer son impact auprès des jeunes, le gouvernement voudrait permettre à l'employeur de cumuler cette aide avec celle prévue dans le plan jeunes (1.000 euros par trimestre pendant un an pour toute embauche de moins de 26 ans sur un contrat d'au moins trois mois d'ici fin janvier).Un décret en ce sens "est à l'étude", a-t-on appris au ministère.Expérimenté depuis avril 2018 dans une dizaine de zones, le dispositif des emplois francs avait déjà été généralisé en 2020 à l'ensemble des 1.500 quartiers prioritaires pour amplifier des résultats quantitatifs modestes.Le ministère tablait sur 40.000 emplois créés d'ici fin 2020, mais la crise a réduit le nombre d'embauches.Selon la Dares (le service statistiques du ministère), le nombre hebdomadaire de demandes d'aides acceptées par Pôle emploi a été divisé par près de quatre après les quatre premières semaines du confinement, passant de 700 à moins de 200. Il s'est ensuite stabilisé entre 200 et 300 par semaine, avant d'augmenter légèrement à partir de fin juin (entre 250 et 350 par semaine).
Il y a 4 ans et 254 jours

Quelques mots sur les bétons du Grand Paris…

Retrouvez cet article dans le n° 84 de Béton[s] le Magazine La “faille” est la trémie d’accès au chantier de la gare souterraine Eole La Défense, opérée à travers plusieurs niveaux de parking. [©Gérard Guerit] Le Grand Paris. Derrière cette appellation se cache une multitude de chantiers, mais aussi de donneurs d’ordre. Le point commun de tous ces projets est d’aboutir à une importante amélioration des transports publics en Ile-de-France. Un défi qui s’accompagne d’aménagements conséquents autour des futures gares : construction de bureaux, d’habitations, de commerces… En résumé, le Grand Paris, c’est d’abord la construction de nouvelles lignes de métro, sous la houlette de la Société du Grand Paris (SGP). Vient ensuite le programme Eole, visant à creuser le tronçon manquant de la ligne E du RER, entre Haussmann – Saint-Lazare et Nanterre, géré par SNCF Réseau. De son côté, la Ratp poursuit l’extension de son réseau existant avec le prolongement de plusieurs lignes de métro. Enfin, il y a le CDG Express, qui reliera dès 2025 la Gare de l’Est à l’aéroport Roissy – Charles-de-Gaulle.  Toutes les entreprises du BTP se sont mobilisées pour participer à chacun de ces projets. Vinci Construction France, comme les autres. Et de mettre tout en place pour répondre aux exigences des donneurs d’ordre en matière de bétons. A ce niveau, la liste est longue et les références réglementaires plus que variés, créent parfois quelques contradictions.  Le choix de l’IN 0034 « Nous avons été amenés à faire quelques clarifications et précisions,explique François Cussigh, expert béton chez Vinci Construction France. En effet, le contexte normatif est évolutif et il était important de savoir quels étaient les CCTG applicables dans le cadre de ces chantiers. » En l’occurrence, il s’agit principalement de l’opération de construction de la gare souterraine Eole La Défense, située sous le Cnit, et des projets des lignes de métro 14 (lot GC 02) et 15 (lots T3C et T2D). Pour commencer, les entreprises visent une durabilité de 100 ans, ce qui est classique pour des bétons de génie civil. En plus de la norme béton NF EN 206/CN, le Fascicule 65 traite de ce type de béton. Sauf que la version 2017 est sortie en cours de route, imposant une modification du Livret 10 des bétons, édité par la Société du Grand Paris. Ce dernier document renvoie aussi au référentiel IN 0034 de la SNCF. Si l’IN 0034 et le Fascicule 65 vont dans le même sens, en termes de durabilité. Lesecond demande une plus grande réduction d’eau. « Mais cela complique les choses pour ce qui est des bétons de fondation, qui peuvent devenir délicats à mettre en place quand la réduction d’eau est très importante », souligne François Cussigh. De fait, c’est l’IN 0034 qui a été retenue comme référentiel concernant le rapport Eau/Liant max.  François Cussigh, expert béton chez Vinci Construction France. [©ACPresse] En attendant Perfdub En même temps, le Fascicule 65 parle certes de justification de la durabilité par approche performantielle. Mais seulement dans le domaine de la corrosion des armatures. Au contraire, pour ce qui est des aspects touchant aux attaques chimiques, le document est limité à l’approche prescriptive traditionnelle. Faute d’un recul suffisant. « Le projet national Perfdub apportera des réponses concrètes issues de l’expérimentation. Toutefois, ces éléments ne seront pas exploitables avant fin 2019, début 2020. Et les conclusions définitives seront publiées d’ici la fin de l’année prochaine.  Aussi, si la réduction d’eau reste un facteur important, en termes de durabilité des bétons, le choix du liant est tout aussi crucial. Ce dernier doit présenter une résistance élevée aux attaques chimiques.  D’ores et déjà, une approche performantielle est mise en œuvre par Vinci Construction France pour les bétons de la gare souterraine Eole La Défense. La formulation des bétons suit une démarche type Fascicule 65 (avec des compléments concernant les attaques chimiques définis en concertation avec la maîtrise d’œuvre), qui demande une justification des performances en amont des travaux. Puis, un suivi par prélèvements et essais pour garantir qu’il n’y a pas de dérive.  Puits de démarrage du tunnel de la ligne 14 Sud – Lot GC 02. [©ACPresse] Du côté des fondations profondes « Dans tous les cas, la finalité n’est pas de faire de la surqualité pour compenser les éventuelles variations, en termes de qualité de produit, de teneur en eau du béton ou de méthodes de fabrication », rappelle François Cussigh. Car il s’agit toujours d’une approche technico-économique… « Nous sommes en train d’acquérir l’expérience sur l’influence de la variation de la production des bétons sur la performance de durabilité. »Enfin, la durabilité des bétons de fondations profondes reste un autre sujet de recherche. « Nous travaillons à une meilleure maîtrise de ces bétons à l’état frais. Pour ce faire, nous avons mis en place un cahier des charges spécifiques Vinci – Botte », dévoile François Cussigh. En effet, un très long maintien de rhéologie – caractéristique de base d’un béton de fondation profonde – doit s’accompagner d’une grande stabilité du mélange. Aussi, le cahier des charges précise les essais de ressuage en condition normale et sous pression à réaliser. Et leurs vérifications à différentes températures extérieures. « Ces essais existaient déjà et sont normalisés. Nous les avons francisés, car il y a une volonté des professionnels des fondations d’aller plus loin dans ce domaine. » Dorénavant, les bétons sont qualifiés selon ces essais. Dans le futur, ce cahier des charges spécifiques pourrait constituer un complément à l’annexe D de la norme béton NF EN 206/CN, à l’occasion d’une prochaine mise à jour. En attendant, un peu de travail reste encore à faire sur l’interprétation des essais et la maîtrise des seuils. Des recherches FNTP sont en cours sur le sujet… Retrouvez cet article dans le n° 84 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 254 jours

Route décarbonnée et connectée : pourquoi la France reste en retrait sur la scène internationale

Malgré les initiatives des industriels pour encourager le déploiement de nouvelles technologies, les acteurs peinent à s'organiser faute d'une gouvernance efficace. De surcroît, l’adaptation des infrastructures, hexagonales comme européennes, n’est quasiment pas intégrée dans la réflexion sur l’émergence des véhicules électriques ou des voitures connectées.
Il y a 4 ans et 254 jours

Route décarbonée et connectée : pourquoi la France reste en retrait sur la scène internationale

Malgré les initiatives des industriels pour encourager le déploiement de nouvelles technologies, les acteurs peinent à s'organiser faute d'une gouvernance efficace. De surcroît, l’adaptation des infrastructures, hexagonales comme européennes, n’est quasiment pas intégrée dans la réflexion sur l’émergence des véhicules électriques ou des voitures connectées.
Il y a 4 ans et 254 jours

L’œuvre de Tony Garnier inscrite à l’Unesco? - Table ronde à Lyon

L’exposition «Tony Garnier… et maintenant? L’œuvre bâtie de Tony Garnier à Lyon, photographies Anne-Sophie Clémençon» est la dernière manifestation du cycle célébrant le 150e anniversaire de la naissance de l’architecte. Pour la prolonger a lieu, le 25 septembre 2020, une table ronde sous forme de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 254 jours

Aménagement de l’A 480 : poursuite des travaux

Les travaux d’aménagement de l’A 480 suivent leur cours.
Il y a 4 ans et 254 jours

Plus de report de cotisations sociales… sauf exception

Alors que les entreprises doivent de nouveau s’acquitter de l'entièreté de leurs cotisations, l’Acoss dévoile quatre... Cet article Plus de report de cotisations sociales… sauf exception est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 254 jours

« La prochaine étape est de produire en Europe », Olivier Gareil directeur Europe et Moyen-Orient de SageGlass

Pour s'imposer dans les bâtiments performants de demain, le verre électrochrome de Saint-Gobain doit voir sa production passer un cap. Ce que lui permettrait l'implantation d'une usine en Europe.
Il y a 4 ans et 254 jours

Les concertations sociales commenceront par l'assurance chômage fin septembre

Selon ce calendrier, qui décline les thèmes arrêtés lors de la "conférence de dialogue social" tenue à Matignon le 17 juillet (et qui se réunira à nouveau la deuxième quinzaine d'octobre), "trois groupes paritaires thématiques", animés par la ministre Elisabeth Borne ou son cabinet, seront lancés fin septembre/début octobre.L'un d'eux traitera du "suivi des réformes", notamment celle de l'assurance chômage décidée l'année dernière et qui a été suspendue en juillet jusqu'à la fin de l'année par Jean Castex.Quatre points de la réforme sont concernés, dont le durcissement de la période d'affiliation (de quatre à six mois) pour ouvrir des droits et la dégressivité des allocations au bout de six mois pour les hauts revenus. S'y ajoute la modification du calcul de l'indemnisation (le "Salaire journalier de référence, SJR"), rejetée par les syndicats car elle pénaliserait ceux qui alternent contrats courts et chômage, et enfin le bonus-malus, contesté par le patronat, pour inciter les entreprises de certains secteurs à moins recourir à des contrats courts.Dans son courrier, le ministère du Travail indique qu'il présentera "des pistes" aux partenaires sociaux sur ces points, hormis la durée d'affiliation.Ce groupe reviendra aussi sur la réforme de la formation professionnelle, notamment pour traiter des reconversions professionnelles d'une branche à une autre, comme par exemple de l'aéronautique à l'agroalimentaire, complexe actuellement.Un deuxième groupe "sur les nouveaux modes de travail et la reconnaissance des salariés" fera le point sur la concertation en cours sur le télétravail et lancera une concertation sur le partage de la valeur (participation, intéressement...).Enfin un troisième groupe sera chargé du suivi social du plan de relance (plan jeunes notamment), de sa déclinaison territoriale et lancera un travail avec les branches sur les métiers en tension.Trois autres groupes seront constitués plus tard dans l'automne sur les autres sujets de l'agenda social: "formes particulières d'emploi" (droits des travailleurs des plateformes, valorisation des travailleurs de la "deuxième ligne" et diminution du recours au travail détaché); "évaluation de la protection sociale" (travail des seniors et devenir de la réforme des retraites ainsi que création de la branche autonomie) et enfin "financement de la protection sociale" (retraites, assurance chômage, résorption de la dette Covid...).
Il y a 4 ans et 254 jours

Printemps 2021 : livraison attendue de la nouvelle caserne de Saint-Germain-lès-Corbeil

Une gendarmerie flambant neuve verra le jour au courant de l’année 2021 à Saint-Germain-lès-Corbeil.
Il y a 4 ans et 254 jours

Alpes-Maritimes : le chantier de restructuration du port Vauban va être entamé

Les travaux d’envergure qui visent à la restructuration du port Vauban vont démarrer.
Il y a 4 ans et 254 jours

Béton[s] le Magazine 90 Réparer plutôt que jeter !

Retrouvez le numéro dans la boutique acpresse.fr Pour protéger, renforcer, rénover, analyser et prévenir la dégradation des ouvrages d’art et des constructions en béton, les ingénieurs, maîtres d’œuvre, chercheurs et fournisseurs de matériaux déploient un ensemble de compétences et de savoir-faire. A travers plusieurs exemples, cette édition traite des solutions mises en œuvre pour prolonger la vie des constructions en béton. Vous découvrirez, entre autres, comment les fabricants de matériaux complètent leur offre, en proposant une analyse des pathologies et les solutions idoines de rénovation. Quels sont les moyens mis en œuvre pour prévenir la corrosion et contrôler l’état chimique des bétons ? Comment les nouvelles technologies participent à la réalisation de l’état des lieux des ouvrages d’art ? Et enfin, le rôle d’un expert en responsabilité civile. Avec ce dossier, nous vous invitons à partager une analyse 360° sur la question de la gestion de la durabilité des ouvrages en béton. Béton[s] le Magazine 90 est disponible en ligne dans la boutique acpresse.fr, pour les abonnés avec votre compte premium. Ou sur simple commande si vous n’êtes pas abonné.   A découvrir également dans ce numéro • Pour les passionnés d’architecture, nous irons visiter le bâtiment des Archives départementales de l’Isère et sa sublime façade constituée de monolithes de béton dans “Techniques et Architecture”. • Pour les inconditionnels de l’innovation, rendez-vous avec trois start-up innovantes : Sekoya, la nouvelle plate-forme de recherche autour du bas carbone, Anomera ou comment une société canadienne améliore la performance du ciment avec de la cellulose. Et enfin, Sonocrete ou l’influence des ultrasons sur les capacités mécaniques du béton.  • Notre focus “Région” avec les entreprises du Grand Ouest. • Un moment aussi pour se pencher sur les chiffres et leurs analyses avec vos indicateurs économiques de la rentrée. • A l’heure des initiatives écologiques, les toupies  adoptent les carburants alternatifs. “Un Zoom sur” consacré au marché des toupies “vertes”. • Pour les experts du matériau béton, “Les laboratoires de la matière”, avec les fissurations thermiques et la valorisation des sédiments dans le béton et le ciment. Portrait d’une architecte hors normes • Nous vous offrons aussi un petit voyage dans le temps avec notre  “Passé simple” consacré à Zaha Hadid, l’architecte-urbaniste, figure incontournable du courant “déconstructiviste”.  Nous vous souhaitons une bonne lecture et une belle rentrée !
Il y a 4 ans et 254 jours

La Poste du Louvre, le tampon de Dominique Perrault faisant foi

La Poste du Louvre à Paris, métamorphosée par l’architecte Dominique Perrault, mixera les usages, intégrant commerces, lieux de restauration et d’hébergement, espaces de bureaux et services, y compris le retour du bureau de Poste historique. Au cœur de la capitale, une transformation spectaculaire à découvrir en vidéo. L’article La Poste du Louvre, le tampon de Dominique Perrault faisant foi est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 254 jours

Béton et composites, un accord parfait ?

Franck Glowacz, innovation content leader chez JEC Group. [©JEC Group] Depuis 1963, le JEC Group s’attache à promouvoir et à accompagner le développement des matériaux composites. D’ailleurs, chaque année, l’association organise le JEC World1, grande messe dédiée aux acteurs du secteur. Quelles sont les caractéristiques de ces matériaux ? Quelles relations entretiennent-ils avec le monde de la construction, et plus particulièrement, avec le béton ? Réponses avec Franck Glowacz, innovation content leader chez JEC Group. Pouvez-vous nous donner votre définition des matériaux composites ? Que regroupent-ils ? De façon générale, un composite est l’association d’au moins deux matériaux, qui tire parti des meilleures propriétés de ses constituants. Dans notre cas particulier, on associe des fibres de verre, de carbone, de basalte, naturelles comme le lin ou le chanvre, à une matrice plastique. Communément, les matériaux composites sont des plastiques renforcés. Tous les nouveaux avions, les bateaux de plaisance, les raquettes de tennis, les vélos du Tour de France sont faits dans ces matériaux. Dans l’automobile aussi, on retrouve de nombreuses pièces faites en composites. En France, tous les boîtiers extérieurs pour les compteurs électriques sont aussi en composites. Les exemples d’application ne manquent pas. Que peuvent-ils apporter au monde de la construction ? Beaucoup, tant leurs propriétés sont intéressantes. Mais focalisons-nous pour l’instant sur deux très importantes. En premier lieu pour la construction, la résistance à la corrosion. Les composites peuvent être utilisés seuls, mais aussi en substitution des armatures acier pour les bétons armés. Il n’y a plus d’éclatement du béton armé en environnement salin dans ce cas. Ensuite, la légèreté. Par rapport à l’aluminium, on peut espérer des gains de masse de 35 à 40 %. Et jusqu’à 70 % par rapport à de l’acier. Ces deux propriétés s’allient dans un cercle vertueux avec des armatures plus légères et moins de béton. Les structures sont beaucoup plus légères, et donc plus faciles et moins coûteuses à installer. Rouleau d’armature en fibres de verre époxy. [©JEC Group/Foucha-Muyard] On parle beaucoup de développement durable, de respect de l’environnement et de préservation des matières premières… Comment se situent les matériaux composites ? Toute activité humaine cause malheureusement un impact sur l’environnement. Les composites regardés isolément semblent ne pas être toujours les meilleurs élèves. Mais dans la majorité des cas, si l’on regarde à plus grande échelle sur toute la durée d’installation, de vie et de maintenance des édifices, les composites tirent leur épingle du jeu face à la plupart des autres matériaux. Le contexte actuel est aussi en faveur des composites. Il est demandé aux cimentiers de baisser drastiquement leurs émissions de CO2. Nous assistons à une pénurie de sable de qualité pour la fabrication du béton. Et dans de nombreuses zones du globe, il y a raréfaction des ressources d’eau douce. En conséquence, les formulations de béton vont évoluer et il faudra être de plus en plus économe en matière. En tant qu’armature du béton, avec les formulations actuelles ou de nouvelles plus corrosives, les composites vont s’imposer de plus en plus. Le 27 mai dernier, le JEC Group organisait une viso-conférence intitulée “Béton et composite : Le mélange parfait”. En quoi, ces deux matériaux, s’accordent-ils bien ? On tire le meilleur des deux mondes. Le béton est très résistant à la compression, les composites le sont à la traction. Résultat : moins de faiblesse. Parmi les exemples cités lors de cette conférence, la société française TechnoCarbon Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne