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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 4 ans et 255 jours

Lancement d'une souscription pour la cité d'artistes La Ruche à Paris

Pour ce chantier qui doit démarrer début 2021, 1,9 million d'euros sont quasiment assurés sur les 3 millions nécessaires. La rénovation de l'immeuble Léger, aujourd'hui vétuste, redonnera tout son lustre à ce lieu de rendez-vous des artistes du début du XXe siècle, situé près de la Porte Brancion, dans le sud de Paris.L'immeuble Fernand Léger de 1.600 m2, ainsi nommé parce que le plasticien y a travaillé, compte une vingtaine d'ateliers que louaient des artistes et une salle d'exposition.Vice-président de la Fondation, l'artiste de rue, Ernest Pignon-Ernest, qui vit à la Ruche, a retracé l'histoire de ce site construit en 1902 avec des matériaux récupérés sur le site de l'exposition universelle de 1900 et dont on avait voulu faire "un phalanstère d'artistes".Les peintres ou sculpteurs Ossip Zadkine, Marc Chagall, Chaïm Soutine, Fernand Léger, Alexander Archipenko, Henri Epstein l'ont fréquenté. De même que des écrivains et des poètes: Max Jacob, Blaise Cendrars, Guillaume Apollinaire...Dans les années 50 et 60, elle est à l'abandon, le sol jonché de carcasses de voitures, avant d'être sauvée in-extremis de la démolition, grâce à une mise de fonds de la famille Seydoux. D'autres cités d'artistes ont été démolies à cette époque.Pour le nouveau chantier de rénovation, 1,7 million vont aller à la restauration du clos couvert, et 1,3 aux réaménagements intérieurs. Une douzaine de nouveaux ateliers devraient être disponibles.La Ruche a déjà été dotée de 300.000 euros par la Mission Bern et de 500.000 euros par l'entreprise Gecina, un des mécènes de la Fondation du patrimoine. Les collectivités (Etat, région, ville) se sont dites prêtes à apporter plus d'un million d'euros.A la tête depuis l'été de la fondation La Ruche-Seydoux, qui gère le site, l'ancien président d'Arte, Jérôme Clément, n'a pas caché des "incertitudes" créées par le Covid, les collectivités étant "extrêmement sollicitées" pour leurs prochains budgets culturels.Un premier chantier en 2010 avait permis la rénovation de sa rotonde.
Il y a 4 ans et 255 jours

Quelles nouveautés pour les chantiers collectifs en brique ?

Début 2020, bio’bric ajoutait à sa gamme de produits la planelle supeRmax ; meilleure performance du marché avec une résistance thermique de 1,70 m².K/W. Associée à la brique spécial collectif, la bgv’costo th+ (R = 1,50 m².K/W), bio’bric propose le système d’excellence pour la construction de bâtiments à étages : Ψ L9 = 0,26 W/m².K en plancher béton.Meilleure performance thermique du marché pour des économies d’énergieÉviter les ruptures d’isolation en logements collectifs au droit des ouvertures et à la jonction des planchers avec la façade permet de stopper les déperditions thermiques, empêcher les problèmes d’inconfort ainsi que les dégradations éventuelles dans la construction, comme l’apparition de condensation. Le pack collectif bio’bric, grâce à ses accessoires isolants, génère des économies de chauffage et donc moins d’émissions de gaz à effet de serre (Eges) durant la phase exploitation du bâtiment.Un système constructif compétitif Ce système constructif est jusqu’à 40% moins cher sur la partie élévation des murs par rapport à une solution en béton banché.Naturellement isolante, la brique en terre cuite permet de réduire l’épaisseur de l’isolant jusqu’à 4 cm. Vous gagnez de la surface habitable équivalent à un 3 pièces*. C’est plus de m² vendus pour le promoteur.L’utilisation de la planelle supeRmax évite de recourir à des rupteurs thermiques d’about de plancher onéreux ou à l’Isolation thermique par l’extérieur (ITE).Une solution constructive respectueuse de l’environnementL’impact environnemental de la brique en terre cuite et donc son bilan carbone est positif, notamment grâce à son fort pouvoir isolant. Le passage de la terre crue à la terre cuite est une transformation qui nécessite de l’énergie thermique et dégage par conséquent du carbone (CO²). En revanche, sur l’ensemble du cycle de vie d’un bâtiment, cet impact est compensé par les économies de chauffage réalisés : cliquez ici pour en savoir plusEn parallèle, sur chantier, la mise en œuvre de la brique bgv’costo th+ avec du mortier-colle à joint mince permet d’économiser jusqu’à 90% d’eau par rapport à la fabrication d’un mortier traditionnel.De plus, grâce à sa hauteur de 31,4 cm (6,35/m²) et comparé à un bloc béton de granulats courants, la bgv’costo th+ offre un gain de 30% de poids manutentionné. Sa palettisation avantageuse nécessite également moins de rotations de grues sur les chantiers.Cliquez ici pour en savoir plusDocumentationPDF livret collectif – version NordPDF livret collectif – version SudPDF livret pont thermique – version NordPDF livret pont thermique – version Sud* Une étude réalisée par Pouget Consultant pour la FFTB (Fédération Française des Tuiles et Briques) démontre que sur un immeuble à usage collectif de 2 000 m2 SHAB, soit 34 logements, la brique terre cuite permet de gagner 60 m2 supplémentaires. L’étude a été réalisée en janvier 2017 sur 8 zones climatiques, avec des briques de 20 cm à R = 1 m².K/W. Dans son pack collectif, bio’bric propose la brique spécial collectif bgv’costo th+ avec une Rth de 1,50 m².K/W.
Il y a 4 ans et 255 jours

AT/MP : notification dématérialisée obligatoire pour les sociétés de plus de 10 salariés

RÉGLEMENTATION. La notification dématérialisée du taux de cotisation d'accidents du travail et de maladies professionnelles deviendra obligatoire pour les entreprises d'au moins 10 salariés relevant du régime général de la Sécurité sociale à compter de janvier 2021. Un site Internet est mis à la disposition des sociétés à cet effet.
Il y a 4 ans et 255 jours

L'Etat ne souhaite pas réglementer sur la "nuisance sonore des pompes à chaleur"

INSTALLATEURS. Les pouvoirs publics ont été sollicités sur la question des nuisances sonores liées aux pompes à chaleur, parfois à l'origine de problèmes de voisinage. Le Gouvernement vient de répondre qu'il ne souhaitait pas réglementer sur ce point, déjà pris en compte par le Code de la santé publique.
Il y a 4 ans et 255 jours

Les Coulisses du Bâtiment : 18e édition

Les 8 et 9 octobre prochains, les Coulisses du Bâtiment ouvriront leurs portes partout en France pour la 18e édition. [©Coulisses du Bâtiment] Voilà les informations qui étaient parues en juin 2020. L’optimisme était de rigueur. Les 8 et 9 octobre prochains, les Coulisses du Bâtiment ouvriront leurs portes partout en France pour leur 18e édition. Dans une situation encore incertaine, les professionnels du secteur réaffirment ainsi leur attachement et leur fidélité à ce rendez-vous plébiscité par le milieu scolaire et la profession. Cette 18e édition proposera aux curieux de tout âge de découvrir la face cachée d’un chantier ou d’un atelier. Ainsi que tous les secrets de fabrication – ou de rénovation – d’un bâtiment. Chantiers de toutes tailles, maisons individuelles, immeubles de bureaux, monuments historiques… Cette année, les visites seront aussi étendues aux centres de formation des apprentis (CFA). De quoi, donner aux jeunes un premier aperçu des métiers du bâtiment, un secteur aux multiples facettes qui recrute ! Rappelons que cette manifestation rassemble 75 000 visiteurs environ chaque année.  Mais ça, c’était avant ! Face aux risques liés à la situation sanitaire, une solution alternative et innovante est proposée aux établissements scolaires : une visite de chantiers en direct sur Youtube. [©Coulisses du Bâtiment] En effet, face aux risques liés à la situation sanitaire, il y aura moins de chantiers ouverts, car moins de personnes pourront se déplacer. De plus, une solution alternative et innovante est proposée aux établissements scolaires. A savoir, pour les scolaires, une visite de chantiers en direct sur Youtube. Un direct en duplex aura lieu le jeudi 8 octobre de 9 h 00 à 10 h 00. Et sera ensuite en replay jusqu’au 16 octobre. Ainsi, si les jeunes ne peuvent pas venir aux Coulisses du Bâtiment, les Coulisses du Bâtiment iront à eux. Quelques chantiers seront toutefois ouverts sur le territoire. Les visites se feront dans le respect des prescriptions sanitaires. Les Coulisses du Bâtiment permettent aux jeunes de découvrir la face cachée d’un chantier ou d’un atelier et tous les secrets de fabrication – ou de rénovation – d’un bâtiment. Chantiers de toutes tailles, maison individuelle, immeubles de bureaux, monuments historiques… Le spectre est large !
Il y a 4 ans et 255 jours

Graal - Portrait

Fondée en 2011 par Nadine Lebeau et Carlo Grispello, diplômés de l’Ensa Paris-La Villette et anciens collaborateurs de Nasrine Seraji et Renzo Piano, l’agence Graal s’intéresse à l’architecture autant qu’aux stratégies urbaines. C’est par l’enquête territoriale et la dimension économique du projet que […] Lire l'article
Cimbat
Il y a 4 ans et 255 jours

Total Eren, Eren Industries et Aden créent une coentreprise en Chine

"Basée à Shanghai, l'entreprise se consacrera au développement de solutions durables et innovantes en matière d'efficacité énergétique pour les secteurs commerciaux, industriels et publics en Chine, et participera ainsi activement à la transition énergétique bas-carbone du pays", détaille un communiqué.Total Eren apportera son expérience de producteur indépendant d'électricité d'envergure internationale et son expertise dans les systèmes éoliens, solaires photovoltaïques et hybrides.Eren Industries propose elle à ses clients des solutions pour l'optimisation de la consommation énergétique et le financement des projets de réduction de l'empreinte carbone.Enfin, Aden Group est présent en Asie depuis plus de 20 ans et gère le réseau d'installations de 80 villes chinoises.Ces dix dernières années, "la Chine a multiplié les efforts autour de l'amélioration de l'efficacité énergétique. Le pays s'est aussi fixé des objectifs ambitieux pour accroître la part des énergies renouvelables. La Chine en particulier a connu une évolution rapide d'un système de grandes centrales électriques vers une production d'électricité décentralisée et multidirectionnelle", rappelle le communiqué."Nous sommes à un moment où toutes les pièces du puzzle sont en train de s'assembler en Asie: gestion des actifs, gestion des bâtiments, production et optimisation de l'énergie", relève François Amman, cofondateur et coprésident d'Aden Group, tandis que Joachim Poylo, le président, estime à "1.000 milliards de dollars" le marché de la transition énergétique en Chine.
Il y a 4 ans et 255 jours

Bordeaux rénove et étend son réseau de chaleur

Bordeaux métropole rénove et étend son réseau de chaleur. Les travaux qui débuteront en 2021 permettront à termes d’améliorer la performance énergétique du réseau, de répondre à l’ambition de développement de la chaleur renouvelable de près de 30% et de chauffer 14 300 équivalent-logements.
Il y a 4 ans et 255 jours

Mise en lumière par la matière

Éclairage d’ambiance, intense ou d’appoint, les revêtements translucides de la gamme So Light de Clipso laissent... Cet article Mise en lumière par la matière est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 255 jours

Ecoles résilientes 3/5 - Gignac-la-Nerthe éveille les enfants à l’agriculture

A la rentrée 2021 à l’ouest de la métropole Aix-Marseille-Provence, Gignac-la-Nerthe va réceptionner l’école Marie-Maurin. Ce bâtiment à énergie positive entend contribuer à la lutte contre toutes les formes de gaspillage, en résonance avec la politique municipale d’agriculture urbaine. La commune parie sur les économies de fonctionnement pour amortir l’investissement de 5,6 millions d’euros HT, dont 18 % liés à la conception bioclimatique.
Il y a 4 ans et 255 jours

PlanRadar choisit Matthieu Walckenaer pour diriger sa filiale française

Cet acteur en forte croissance sur les marchés de la ConTech et de la PropTech propose une solution numérique simple, rapide et efficace pour gagner en productivité et en rentabilité sur tous types de projets. Pour assurer le lancement et la croissance de sa nouvelle filiale, l'entreprise vient de nommer Matthieu Walckenaer Country Manager France.Matthieu Walckenaer a rejoint PlanRadar le 1er juillet au poste de Country Manager France. Basé à Paris, il a pour mission d'orchestrer le développement des activités en France, un marché stratégique pour l'entreprise basée à Vienne depuis 2013.Âgé de 41 ans et père de 3 enfants, Matthieu Walckenaer est diplômé de Neoma Business School. Il est doté d'une solide connaissance du secteur du numérique acquise ces 7 dernières années en tant que co-fondateur et CEO de Nudge APM, éditeur de logiciels dédiés à la gestion des performances des applications.Cette expérience entrepreneuriale menée avec succès jusqu'à la vente de la startup en 2019 lui a permis de développer une véritable expertise multidisciplinaire, à la fois commerciale, marketing, managériale, financière et technique.Il avait auparavant occupé pendant plus de 11 ans des fonctions commerciales à forte dimension internationale chez SAGEMCOM puis SOLUTIONS 30 dont il a assuré la direction commerciale pendant 4 ans. À ce titre, il a notamment été en charge de l'ouverture de nouveaux marchés, de la création de nouvelles filiales en Europe et mené des opérations de croissance externe.Cette nomination s'inscrit dans la stratégie de développement international de PlanRadar qui compte aujourd'hui 7 bureaux dans le monde et affiche de fortes ambitions sur le marché français de la construction et de l'immobilier.« Il est aujourd'hui primordial de travailler et de communiquer en de multiples sites. C'est pourquoi notre rôle dans la numérisation des secteurs de la construction et de l'immobilier est plus que jamais nécessaire. PlanRadar permet aux équipes de suivre, de se connecter et derésoudre les problèmes, du bureau au terrain. Nous sommes ravis d'accompagner nos clients français, anciens et nouveaux, grâce à une équipe pilotée par Matthieu Walckenaer, pour permettre au secteur d'améliorer la qualité, d'optimiser les coûts et de mener à bien les projets plus rapidement. »-Ibrahim Imam et Sander Van de Rijdt, Co-CEOs de PlanRadar« PlanRadar a su développer une solution très intuitive et facile à utiliser qui répond à des besoins clés dans la gestion des projets de construction et d'immobilier. L'atout majeur de cette solution collaborative est de permettre à nos clients d'être plus efficaces dans leur travail au jour le jour. La digitalisation des sociétés et des équipes de ce secteur leur assurera croissance et succès en gagnant en productivité et en qualité, indispensable en cette période compliquée que nous traversons où il faut se réinventer et s'adapter rapidement. Sans oublier que PlanRadar donne une nouvelle image de marque à nos clients pour leur permettre d'attirer de jeunes talents. »« Toutes ces raisons m'ont poussé à intégrer ce projet très ambitieux auquel je vais pouvoir apporter mes connaissances et mon expérience. La France est un des plus grands marchés en Europe en ce domaine, nous allons investir massivement, en particulier en embauchant des équipes commerciales et marketing ; déjà 3 personnes sont arrivées en août et d'autres recrutements sont en cours. Nous avons en outre la chance de pouvoir nous appuyer sur une équipe dynamique et ultra compétente basée à Vienne qui a su démontrer la force de notre solution avec déjà plus de 8.000 clients dans 45 pays. L'ouverture d'un bureau en France va nous permettre d'être proches de nos nouveaux clients et de créer une très grande communauté d'utilisateurs de PlanRadar en France. »-Matthieu Walckenaer, nouveau Country Manager France de PlanRadar Les chiffres clésPlus de 8.000 clients dans 45 paysPlus de 25.000 projets réalisés chaque semainePlus de 100 collaborateurs7 bureaux dans le mondeUne levée de fonds de 30M€ en 2020
Il y a 4 ans et 255 jours

Rieder : Des façades en béton fibré pour les centrales géothermiques de Paris-Saclay

Avec ses éléments d’angles monolithiques sur les deux centrales énergétiques de ZAC Moulon et de ZAC Polytechnique, la façade en voile de béton concrete skin est non seulement remarquable par son architecture, mais aussi par sa durabilité et ses caractéristiques écologiques qui ont su séduire les concepteurs et les maîtres d’ouvrage. La ZAC Moulon et la ZAC Polytechnique font partie d’un réseau intelligent de chaleur et de froid à basse température utilisant de la géothermie profonde, et contribuent à faire de Paris-Saclay un éco-territoire à énergie positive. Bien évidemment, la maîtrise d’ouvrage a veillé à ce que les matériaux choisis pour ces bâtiments répondent à des exigences de durabilité et longévité. La façade en voile de béton concrete skin n’est pas interrompue par des fenêtres, et souligne ainsi la verticalité du projet et lui confère une apparence futuriste. Les éléments d’angle de la nouvelle gamme formparts fab en béton armé de fibres de verre et aux arêtes nettes impressionnent par leur modernité et leur élégance. Le jeu homogène de joints sur la façade est particulièrement exceptionnel. Les architectes de l’agence Fricout-Cassignol ont d’ailleurs attaché une grande importance à sa réalisation minutieuse. Un détail architectural très intéressant de l’ouvrage de la ZAC Moulon est la transition de la façade vers une partie semi-transparente, où elle se transforme en garde-corps pour le toit végétalisé, qui représente également la signature écologique du bâtiment.Pour Rieder, l’innovation et le développement durable sont deux des moteurs essentiels au perfectionnement constant de ses produits. Les panneaux plats en voile de béton ont une faible épaisseur de treize millimètres et réduisent ainsi le besoin en matières premières. Ils se déclinent en une multitude de coloris, surfaces et textures, et s’adaptent ainsi parfaitement à des projets architecturaux des plus variés. En renonçant à des composants superflus, le caractère et l’aspect authentique du béton est préservé. L’absence de produits polluants et dangereux comme le dioxyde de silicium cristallin en font un bardage dont l’usinage et la manipulation ne présente aucun danger – même en intérieur –, et rendent possible le recyclage complet des panneaux. Allant dans le sens d’une philosophie du zéro déchet, des technologies innovantes aident à optimiser les découpes et les déchets persistants sont en grande partie reconvertis en produits de plus petits formats. Afin de réduire son empreinte carbone, Rieder a mis en place une stratégie qui vise à systématiser l’utilisation d’énergies renouvelables pour la production, le remplacement d’une partie du ciment par d’autres liants plus écologiques et la compensation de l’empreinte carbone inévitable par des mesures supplémentaires sur lesquelles le groupe va communiquer prochainement.Pour en savoir plus, vous pouvez contacter Rieder et visitier le site de Rieder, ainsi que son compte Instagram et sa page Facebook. Visuels : © Rieder La Rédaction
Il y a 4 ans et 255 jours

Au festival Annecy Paysages, un parasol de 259 cônes d’osier

Patrick Bouchain, Philippe Madec, Michel Desvigne ou encore Patrick Rubin présenteront au Moniteur Innovation Day (MID), le 19 octobre 2020, leurs engagements dans la construction d'un monde plus résilient. Le 19 octobre 2020, le Moniteur Innovation Day (MID) prendra ses quartiers à la Seine Musicale, à Boulogne-Billancourt. Une journée de conférences […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 256 jours

Bernard Laporte, le patron du rugby français, placé en garde à vue dans une enquête sur ses liens avec Altrad

Le patron du groupe, Mohed Altrad, propriétaire du club de Montpellier et sponsor des Bleus, a également été placé en garde à vue par la police financière, tout comme le patron du Mondial-2023 Claude Atcher, et deux hauts responsables de la Fédération, Serge Simon et Nicolas Hourquet.Laporte est notamment soupçonné d'avoir favorisé le Montpellier Hérault Racing (MHR), en intervenant auprès de la commission d'appel de la FFR pour faire diminuer des sanctions contre le club, fin juin 2017.Le patron du rugby français, 56 ans, est arrivé mardi matin dans les locaux de la Brigade de répression de la délinquance économique (BRDE) à qui le parquet national financier (PNF) avait confié les investigations en 2017, ont indiqué des sources concordantes à l'AFP. Le vice-président de la FFR, Serge Simon, s'est aussi présenté à la BRDE mardi matin, a constaté une journaliste de l'AFP.Laporte, ancien sélectionneur des Bleus (2000-2007), devenu ensuite secrétaire d'Etat chargé des Sports de Nicolas Sarkozy (2007-2009), s'est toujours défendu de toute intervention en faveur de Montpellier, même s'il a reconnu avoir téléphoné au président de la commission, Jean-Daniel Simonet.Des inspecteurs généraux du ministère des Sports ont également établi dans un rapport transmis à la justice que les décisions de la commission ont été "modifiées", entre les 29 et 30 juin 2017. Dans un premier temps, la commission d'appel aurait décidé de confirmer les sanctions prononcées par la Ligue (LNR), soit 70.000 euros d'amende et un match à huis clos, avant de passer à 20.000 euros d'amende et un sursis sur le match à huis clos. Le dossier portait sur le déploiement de banderoles hostiles à la Ligue par les supporteurs du MHR.France 2023Trois mois plus tôt, le groupe Altrad, spécialisé dans les matériels de bâtiment, était devenu le premier sponsor maillot du XV de France, avant de soutenir la candidature française, finalement victorieuse, pour l'organisation de la Coupe du monde 2023.En révélant l'affaire en août 2017, le JDD avait aussi mis au jour l'existence d'un contrat entre BL Communication, une société dirigée par Bernard Laporte, et Altrad Investment Authority, pour un montant de 150.000 euros. Sous la pression, l'ancien manager de Toulon y avait renoncé.Les policiers ont déjà entendu plusieurs protagonistes en 2019, notamment les trois membres de la commission d'appel de la FFR qui devaient juger le dossier le 29 juin 2017.Sur fond de vives tensions entre la Ligue de rugby et la Fédération, l'affaire avait gâché le début de mandat de Bernard Laporte, élu le 3 décembre 2016. Elle risque maintenant de gêner la dernière ligne droite de sa campagne auprès des clubs, chargés de le départager face à son principal opposant, Florian Grill.Lundi, l'avocat de Laporte, Me Jean-Pierre Versini-Campinchi, a dénoncé le "timing" de cette convocation, une "ingérence judiciaire" dans le processus électoral selon lui."intérêt supérieur"Dans une interview au Parisien, Bernard Laporte avait assuré qu'en appelant Simonet, il avait simplement souhaité lui "donner un éclairage politique" sur les tensions dans le rugby et qu'il fallait apaiser la situation au sein du rugby professionnel.Jean-Daniel Simonet, lui, a assuré aux inspecteurs du ministère des Sports que sa commission n'en était qu'au stade d'une "hypothèse" de décision le 29, d'après lui trop sévère.Interrogé par le tribunal lors d'un procès en diffamation perdu par le patron de la FFR contre L'Equipe, le 9 mai 2019, Philippe Peyramaure, un des membres de la commission d'appel, avait livré un témoignage beaucoup moins consensuel.D'après lui, Simonet l'avait appelé au matin du 30 juin pour lui raconter le coup de fil d'un Bernard Laporte "pas content", qui lui "avait dit, de manière plutôt brutale, qu'Altrad était un sponsor important de l'équipe de France (premier sponsor maillot), un soutien important pour la candidature" victorieuse de la France à l'organisation du Mondial-2023 "et qu'il fallait supprimer ces sanctions". "C'est l'intérêt supérieur du rugby", aurait ajouté Jean-Daniel Simonet, selon cette version.
Il y a 4 ans et 256 jours

Les Grand Prix d’architectures, c’est à tout-va pour tout Le Monde

Les Prix d’architectures 10+1, imaginés par le magazine D’A, ont été remis le 17 septembre au soir au Centre Georges Pompidou à Paris. Le Grand Prix d’architectures a été décerné à Simon Teyssou (Atelier du Rouget) pour la station de pleine nature de Mandailles-Saint-Julien, dans le Cantal. Le Grand Prix quoi ? Et que vient faire […] L’article Les Grand Prix d’architectures, c’est à tout-va pour tout Le Monde est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 256 jours

Les emplois délocalisés à l’étranger ne reviendront plus selon des économistes

"La France a de vraies capacités d'avoir des relocalisations industrielles", déclarait à la mi-septembre le ministre de l'Économie Bruno le Maire à l'occasion de la tenue d'un Conseil national de l'industrie.Depuis la crise financière de 2008, la question du "made in France" revient régulièrement sur la table. Car "la France a été le pays européen qui a le plus délocalisé", avec un million d'emplois industriels perdus entre 2000 et 2016, a rappelé le 12 septembre lors des Rencontres économiques d'Aix-en-Provence la ministre déléguée à l'Industrie Agnès Pannier-Runacher.Avec la crise actuelle, les annonces de fermetures de sites ou de réduction d'effectifs dans l'industrie vont se multiplier, soit en conséquence directe de l'épidémie de coronavirus comme chez Airbus, soit par manque de compétitivité comme chez Bridgestone à Béthune (Pas-de-Calais).Aussi le gouvernement a-t-il prévu dans son plan de relance des aides à la modernisation et à la localisation, mais celles-ci devront être "soutenables économiquement" pour ne pas financer des projets à perte, affirme la ministre.Robotisation"Dans tous les pays riches, l'industrie est un secteur en diminution en terme d'emplois parce qu'il a des gains de productivité plus élevés que le reste de l'économie, notamment du fait de l'automatisation qui est importante", explique Vincent Vicard, économiste au Cepii (Centre d'études prospectives et d'informations internationales).Pour El Mouhoub Mouhoud, professeur d'économie à Paris-Dauphine, il n'est pas toujours nécessaire de distribuer des aides publiques.C'est le cas dans les secteurs "pour lesquels il n'y a pas d'obstacle technique à la robotisation des chaînes d'assemblage et de montage", par exemple "l'automobile, la mécanique, y compris le bois, l'ameublement", détaille l'économiste.Au contraire, des industries intenses en main d'oeuvre et dont les tâches ne sont pas robotisables ne reviendront pas en France."On va recréer des emplois, mais pas ceux qu'on a perdus en délocalisant", résume M. Mouhoud, auteur d'un livre intitulé "Mondialisation et délocalisation des entreprises" (éd. La Découverte).Il existe "des secteurs sur lesquels on avait un savoir-faire qu'on a plus du tout parce que les technologies ont évolué", comme celui des écrans pour téléviseurs, relève pour sa part Paul-Adrien Hyppolite, auteur d'un récent fascicule intitulé "Relocaliser la production après la pandémie ?".Dans l'électronique notamment, "les parts de marché ont été gagnées par des géants asiatiques. Faire produire par un producteur français ou européen ne serait pas du tout envisageable", argue-t-il, mais "on pourrait envisager d'attirer en Europe des producteurs asiatiques qui sont en pointe sur ces technologies", comme le font les Américains avec une usine du géant taïwanais de la sous-traitance Foxconn dans le Wisconsin.Cibler les aidesPour M. Mouhoud, ce qui fait sens en matière d'aides publiques, c'est "la politique d'investissement dans l'innovation, d'aide à la recherche, parce que ça aide aussi ces entreprises à devenir plus efficaces."Dans l'industrie, les coûts du travail ne sont pas déterminants et "ne permettent absolument pas d'expliquer la différence entre la France et l'Allemagne", même si on intègre le poids de la fiscalité, estime pour sa part M. Vicard, pour lequel entrent davantage en considération des questions d'organisation comme le choix de nombreux grands groupes français de produire à l'étranger plutôt qu'en France.En France, les aides pour réduire le coût du travail ont jusqu'ici été inefficaces. Une étude que vient de publier France Stratégie, une agence qui conseille le gouvernement, montre que le Crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi (CICE), a coûté en 2016 quelque 18 milliards pour créer seulement 100.000 emplois, soit 180.000 euros par poste.Et le CICE a eu "un impact sur les exportations et l'investissement nul", toujours selon M. Vicard.
Il y a 4 ans et 256 jours

Bayou-sur-Yon, on dirait le Sud. Une éco-fiction

Incendies monstrueux en Californie, la Sibérie en état d’hypothermie, la banquise transformée en glaçon, la France sous la canicule ou noyée sous les inondations… Les nouvelles se suivent et donnent aux informations des airs d’apocalypse. Mais le pire est-il vraiment à venir ? Sur son piton rocheux, Talmont-Saint-Hilaire, c’est Aigues-Mortes de la Vendée. Le château écroulé […] L’article Bayou-sur-Yon, on dirait le Sud. Une éco-fiction est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 256 jours

Les parasites, moteur de l’évolution : entretien avec Jean-Lou Justine, parasitologue

Quand Jean-Lou Justine, professeur au Muséum national d’histoire naturelle de Paris, expose sa spécialité, la parasitologie, ...En savoir plus Cet article Les parasites, moteur de l’évolution : entretien avec Jean-Lou Justine, parasitologue est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
GDA
Il y a 4 ans et 256 jours

Louis Natter élu à la présidence de l’Unicem entreprises engagées

Directeur du développement durable et des affaires publiques de Cemex France, Louis Natter a été élu président de l’association Unicem entreprises engagées. [©Unicem] Directeur du développement durable et des affaires publiques de Cemex France, Louis Natter a été élu président de l’association Unicem entreprises engagées. Il succède à Sylvie Lebreton qui assurait cette fonction depuis 2017. Louis Natter souhaite poursuivre la dynamique impulsée sous l’ancienne présidence et continuer à faire grandir l’association. En y intégrant davantage de PME/TPE. « Il est indispensable de faire rayonner les actions de l’association auprès de ces différents interlocuteurs. […] Ceci, pour atteindre leurs objectifs en matière environnementale et sociétale », souligne Louis Natter.  Son parcours Et de poursuivre : « De nombreux outils se développent dans le monde de l’évaluation RSE, car chacun a besoin de solidifier son organisation et de réduire les risques. En maîtrisant sa performance environnementale et/ou RSE. Avec notre démarche sectorielle RSE, nous disposons déjà des moyens importants pour maîtriser nos risques. Il est désormais nécessaire d’établir des passerelles entre les démarches d’évaluation des uns et des autres. Et ce, pour plus de lisibilité et de reconnaissance. Le label sectoriel RSE et la gestion de ce dernier sont des chantiers importants qui répondront à ce besoin ». Géographe de formation, Louis Natter débute sa carrière au sein de la Unicem en 2003, où il exerce plusieurs missions dans les domaines de l’environnement et du développement durable. En 2013, il rejoint Cemex. Il participe à différents projets de l’entreprise en matière de développement, d’innovation, de marketing, de RSE et d’affaires publiques.
Il y a 4 ans et 256 jours

Blagnac : la nouvelle clinique d’Andromède verra le jour d’ici fin 2021

La clinique du quartier d’Andromède en Haute-Garonne doit être livrée en 2021.
Il y a 4 ans et 256 jours

Suez va investir 1 milliard d’euros en France

Suez et son partenaire Vauban Infrastructure Partners ont décidé de doubler le financement de leur société commune - Suez Investissement Local pour de nouveaux projets dans le secteur de l’eau, de l’assainissement et des déchets.
Il y a 4 ans et 256 jours

A Villejuif, WRA transforme le microfoncier en ‘Friendly building’

Fin 2019, les Wild Rabbits Architectes (WRA) ont livré à Villejuif (Val-de-Marne), dans un tissu urbain complexe, un petit bâtiment visant à accueillir 17 étudiants. Bien loin de l’image du triste clapier pour étudiants, la dent creuse ainsi habitée fait désormais office de trait d’union architectural et social. Visite guidée. Le temps de marcher les […] L’article A Villejuif, WRA transforme le microfoncier en ‘Friendly building’ est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 256 jours

"Forte incertitude" sur la consommation électrique de l'hiver 2020-2021

RÉSEAU. Si, après une baisse observée pendant le confinement, la consommation d'électricité de la France s'est redressée en cette rentrée 2020, elle demeure toujours en retrait de son niveau habituel. Dans ses perspectives réactualisées pour l'hiver 2020-2021, RTE maintient sa vigilance et indique que le parc nucléaire ainsi que les importations seront davantage sollicités.
Il y a 4 ans et 256 jours

Repenser le métier d’architecte, nouveaux champs de compétence ?

Du global au local, faire système paraît, mieux que l’autoroute, un chemin tracé pour la profession. L’interview de Véronique Biau publiée par Chroniques le 1er septembre 2020(1), qui portait sur son long travail de recherche sur les évolutions de la profession, a suscité des réactions contrastées révélatrices d’une fracture générationnelle. De fait, de cet entretien, […] L’article Repenser le métier d’architecte, nouveaux champs de compétence ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 256 jours

Quels sont les aspects essentiels de l'enveloppe d'un bâtiment pour garantir sa performance énergétique ?

Les communications sur la performance énergétique des bâtiments se multiplient ces derniers mois (propositions de la convention citoyenne pour le climat, appel du Haut Conseil pour le Climat, annonces gouvernementales…).Pour ce Groupe de Travail du Pôle de compétitivité Fibres Energivie, une enveloppe constituée d'une isolation homogène et de ponts thermiques traités efficacement permet de diminuer considérablement la consommation énergétique. Les usagers voient ainsi leur "reste à vivre" augmenter. D'ailleurs, selon une étude menée par FLIR Systems, les ménages français gaspillent 11,5 milliards d'euros chaque hiver en raison d'une mauvaise isolation (401 € en chauffage pour un foyer moyen en France). De même, selon l'Observatoire national de la précarité énergétique (ONPE), 6,8 millions de personnes se trouvent en situation de « précarité énergétique », c'est-à-dire que leur facture énergétique pèse pour plus de 8 % de leur revenu. Enfin, la rénovation des passoires énergétiques supposerait une économie moyenne dans les dépenses des ménages à hauteur de 1.100 €/an, soit environ l'équivalent d'un Smic net par an. Le dispositif prévu par la loi n° 2009-323 du 25 mars 2009, dite loi MOLLE, permet au bailleur qui réalise des travaux d'économie d'énergie dans les parties privatives communes d'un bâtiment, de demander aux locataires une « contribution pour le partage des économies de charges ». Cette contribution figure dans la quittance sur une ligne spécifique appelée communément « 3ème ligne de quittance ». Ainsi, le bailleur dispose de revenus supplémentaires pour financer les opérations de rénovation futures destinées à réaliser des économies d'énergie. Celles-ci sont évaluées selon une méthode de calcul conventionnel de la consommation d'énergie résultant d'une étude thermique (dite réglementaire), et servent de base au calcul de la contribution demandée au locataire (avec un plafond fixé par la loi à 50% des économies d'énergies). Cependant, pour le Groupe de Travail, il s'avère primordial de rappeler que cette méthode de calcul comporte des incertitudes sur la représentativité réelle des consommations. Les bailleurs sociaux s'exposent alors au risque de devoir faire face à des situations conflictuelles avec : Une économie d'énergie non atteinte, ne permettant pas de concrétiser la réduction de charge escomptée ; Une 3ème de quittance injustifiée aux yeux des locataires ; Un montant de loyer sensiblement identique, voire en augmentation ; Une possible diminution du reste à vivre des foyers induisant une croissance des impayés pour le bailleur social ayant engagé des travaux. Cette possibilité offerte aux bailleurs représente un levier financier important, mais peut rapidement devenir contreproductive lorsque les méthodes de calcul ne sont pas représentatives des performances réelles du bâtiment après travaux. Ainsi, la difficulté récurrente à estimer précisément le gain énergétique, et à garantir la performance énergétique d'un projet de réhabilitation demeure un obstacle majeur pour définir avec assurance les économies atteintes en exploitation. Le bailleur social reste sous le joug d'une contre-référence tant énergétique que financière, pouvant aller jusqu'à hypothéquer sa capacité financière à poursuivre sa stratégie de rénovation sur le moyen terme.« Il semble que notre monde actuel ait pris conscience des enjeux d'aujourd'hui mais également ceux de demain. Cela est d'autant plus précieux que cette prise de conscience émane directement des citoyens. Il est donc primordial que les décisions, qui se prennent actuellement, positionnent le curseur au bon endroit. La rénovation des bâtiments existants est le levier majeur d'un des secteurs les plus énergivores de notre société. C'est en ce sens qu'elle doit être appréhendée plus en profondeur que par le passé : promouvoir et favoriser très en amont une Isolation Thermique par l'Extérieur « durablement » pérenne. Des garde-fous doivent être conservés, renforcés, intégrés à notre réglementation, mais la démarche doit aller plus avant en faisant de la mise en œuvre un point clé. Nous devons faire de l'accompagnement et la formation professionnelle aux métiers de l'ITE, l'un des socles de nos ambitions… » -Stéphane Lambert, Président du SNBVILa valeur « verte » des logements Au-delà des conséquences positives sur le reste à vivre des foyers, une enveloppe de qualité permet également de maintenir, voire d'augmenter la valeur patrimoniale d'un bien, dite la « valeur verte » des logements. En 2018, les notaires ont indiqué que les maisons de classe F-G se sont vendues, en moyenne, de 6 à 19 % moins cher que les maisons de classe D. A contrario, celles de classe A-B affichent, en moyenne, un prix de 5 à 11 % supérieur à celles de classe D.Les enjeux liés à la future RE2020"Afin de garantir une qualité homogène de l'enveloppe du bâti depuis la conception, la réalisation et pendant l'exploitation du bâtiment, il est nécessaire d'utiliser des indicateurs réglementaires ambitieux dans la prochaine RE2020. Par exemple, l'isolation en rénovation est un concentré de cas particuliers. Il convient donc d'être en mesure d'évaluer les singularités alors que la bibliothèque RT actuelle est à vocation générique ! Il est nécessaire de mettre en place des garde-fous cohérents avec les objectifs ambitieux de performance en exploitation pour réussir la transition énergétique des bâtiments. Pour les opérations de constructions neuves, les méthodologies d'évaluation des déperditions thermiques laissent toujours place à des approximations favorables à l'adoption de solutions techniques peu performantes sur le plan thermique, privilégiant une rationalisation financière des projets. Ainsi, nombre de solutions « optimisées » induisent en réalité des déperditions thermiques notables dégradant de plus de 50 % les Uparois, sans générer la moindre alerte de non-conformité réglementaire. Ces bâtiments neufs prétendant atteindre une cible de besoin de chauffage à hauteur de 30 kWh/m².an seront plutôt, en réalité, à des niveaux proches de 50 kWh/m².an, générant des surcoûts en exploitation, et des risques pour le confort et la santé des occupants" (cf. CP précédent du Groupe de Travail sur la Qualité de l'Enveloppe). -David Corgier, cabinet d'ingénierie énergétique MANASLUDans le cadre de l'élaboration de la future RE2020, le Groupe de Travail souhaite appuyer les priorités suivantes concernant les indicateurs réglementaires : Le besoin Bioclimatique (Bbio) doit être équivalent à : standard RT2012 - 40 % ; La Consommation d'énergie primaire (Cep) doit être équivalente à : standard RT 2012 - 20 % (et suppression de toute dérogation) ; Les seuils pour limiter les ponts thermiques doivent être conservés voire renforcés ; Réintroduction de bibliothèques de bases de données de ponts thermiques mises à jour à partir des configurations et des méthodes constructives actuelles ; Mise en place d'un suivi de la performance énergétique. Dans certains cas, une procédure de commissionning doit être rendue obligatoire (petite enfance, EHPAD, santé, éducation…).Pour le Groupe de Travail qui milite en faveur d'une qualité homogène de l'enveloppe du bâtiment, il est impératif : d'adopter une approche globale pour l'efficience des opérations (coût global, 3ème ligne de quittance, reste à vivre, durabilité…). de conserver et introduire des indicateurs et des garde-fous cohérents dans la RE2020 pour la construction neuve et adapter la règlementation à la rénovation (Bbio, Cep, garde fous sur les ponts thermiques, Bases de données actualisées, méthode de commissionning). de garantir les moyens de la rénovation et de la construction neuve : mettre en place des obligations de moyens mais surtout de résultats associés à une évaluation objective de la performance (réelle et vérifiée).
Il y a 4 ans et 256 jours

Pour un architecte, le crime n’est pas toujours signé

L’architecte qui aime la discrétion signe-t-il pour autant ses bâtiments ? Le devrait-il ? Ethel Hazel, poursuivant son analyse, se demande ce que cache cet art de la dissimulation. *** « Je n’ai jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture n’ait dissipé » Montesquieu *** C’est justement parce qu’elle s’apprêtait à recevoir l’architecte Dubois qu’Ethel Hazel […] L’article Pour un architecte, le crime n’est pas toujours signé est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 256 jours

De la beauté pour survivre… – Lettre ouverte de Beyrouth, par Lina Ghotmeh

Le 4 août 2020 juste avant 18h00, alors que je venais d’arriver à Beyrouth depuis Paris, une explosion massive a frappé la ville, effaçant son cœur battant par le Port. Plus de 191 morts, 6500 blessés, 300 000 déplacés et au-delà de 6000 maisons détruites. De nombreux bâtiments historiques ont été réduits en poussières, faisant […] L’article De la beauté pour survivre… – Lettre ouverte de Beyrouth, par Lina Ghotmeh est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 256 jours

Eiffage Construction termine le gros-œuvre de l’Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux

Le gros-œuvre des travaux de rénovation de l’Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux sur le point d’être achevé par Eiffage Construction.
Il y a 4 ans et 256 jours

Carpentras : 432 logements de la cité du Pous du Plan rénovés d’ici début 2022

L’achèvement des travaux de réhabilitation de 432 logements de la cité du Pous du Plan à Carpentras est prévu pour début de l’année 2022.
Il y a 4 ans et 256 jours

Grand Paris : une nouvelle enveloppe de 3Mds€ de crédits bancaires

BANQUE. La Société générale mobilise de nouveaux fonds afin de financer des projets en lien avec le Grand Paris. Acteurs publics, promoteurs, aménageurs, entreprises de BTP peuvent dès à présent les solliciter.
Il y a 4 ans et 256 jours

L'impact de la crise sanitaire sur les entreprises de la transition énergétique et numérique

Tous marchés confondus, le chiffre d'affaires global réalisé en France en 2019 s'est élevé à 20 Mds €. À l'international, la profession représente un chiffre d'affaires de 7,1 Mds € (6,6 Mds € en 2018). Les 260 entreprises adhérentes du SERCE emploient près de 135 000 salariés, répartis sur plus de 900 sites en France.La croissance de l'activité est restée principalement soutenue par les marchés de réseaux et d'infrastructures qui ont poursuivi leur progression de 7,7% en 2019, malgré un fléchissement au dernier trimestre (7,8% en 2018). Sur le marché de l'industrie l'activité est restée dynamique avec une progression de 5,6% (4,4% en 2018). Le marché tertiaire a quant à lui connu une nette accélération en progressant de 5% en 2019 (contre 1,2% en 2018).2020-2021 : la crise sanitaire porte un coup d'arrêt brutal à l'activitéAu début de l'année 2020, la tendance haussière observée en 2019 semblait devoir se poursuivre jusqu'à ce que la crise sanitaire ne porte un coup d'arrêt à l'activité, tous secteurs confondus.Si la reprise de l'activité amorcée début mai a permis de retrouver quasiment un plein niveau d'activité début juillet, la crise impacte fortement les entreprises.Du point de vue économique, les surcoûts des chantiers liés à la mise en place des mesures sanitaires pèsent sur la rentabilité prévue des projets. Le partage de ces surcoûts a donné lieu à de longs échanges avec les maîtres d'ouvrage. Des solutions ont été trouvées et certains maîtres d'ouvrage ont fait preuve d'une réelle compréhension des difficultés auxquelles font face les entreprises mais parfois le dialogue est plus difficile.Les perspectives de la fin de l'année et surtout du 1er semestre 2021 restent incertaines. Les reports de commandes et la crise couplée aux élections municipales, retardant le lancement des appels d'offres, ont rétréci sérieusement l'horizon des entreprises. Le plan de relance annoncé par le gouvernement devrait bénéficier aux territoires, notamment dans le champ de la transition énergétique. Il faut espérer que l'ensemble des acteurs économiques, dont les collectivités, se mobilisent à court terme pour apporter des effets rapides sur le carnet de commandes du secteur du BTP.2019, une année bien orientée pour l'ensemble des marchésEn 2019, la part de l'activité réalisée sur le marché tertiaire s'est légèrement repliée à 36% (37% en 2018). L'activité est principalement soutenue par la commande privée et certaines régions plus dynamiques, telle que l'Île de France même si les chantiers du Grand Paris ou des “Jeux olympiques” ne génèrent pas encore de lots techniques. Des grands projets en santé et en hôtellerie devraient permettre de soutenir l'activité en 2021 - 2023 (PACA, Bretagne, Pays de la Loire…).Avec 23,5% de part de marché, le volume d'activité réalisée dans l'industrie progresse légèrement en 2019 (23% en 2018), portée par les investissements.Toutefois cette tendance est à nuancer en fonction des bassins d'emplois et des secteurs d'activité dont les plus dynamiques sont la pharmacie, l'IAA, la défense…Les travaux d'infrastructures et de réseaux représentent toujours une part importante de l'activité des entreprises du SERCE à hauteur de 38%, comme en 2018.Sur le segment des “Lignes et réseaux électriques”, les investissements prévus par le Réseau de Transport d'Électricité, le gestionnaire du réseau de distribution électrique (Enedis) et les syndicats d'énergie ont généré un volume d'activité important. Les entreprises déplorent toutefois la lourdeur administrative et les délais cachés, qui pèsent sur leur trésorerie. Le renouvellement des équipes à la suite des élections municipales de 2020 aura un impact sur la composition des syndicats d'énergie et pourrait contribuer à fragiliser l'activité.Dans le domaine du numérique, le marché du déploiement de la fibre optique est entré dans sa phase d'accélération, ce qui rend plus prégnante la question de la pénurie de compétences.En associant l'énergie et le numérique, les entreprises du SERCE proposent de nouvelles solutions pour interagir avec les équipements de la ville et adapter, en temps réel à la situation analysée : éclairage public intelligent, mobilier urbain connecté, gestion du stationnement et horodatage, bornes de recharge, régulation de la circulation… Leur savoir-faire d'intégrateurs leur permet de proposer de nombreux services associés (pilotage à distance du réseau, monétique, application mobile, hypervision) et contribue à élaborer et déployer les systèmes sur lesquels repose la SmartCity.Dans le domaine de la mobilité, la mise en oeuvre du programme de rénovation du réseau ferré et le projet du Grand Paris Express assurent un volant d'activité dynamique. La publication fin 2019 de la Loi d'Orientation sur la Mobilité (LOM) encourage le développement de solutions de mobilité propre et durable, de plus en plus souvent connectée et partagée (covoiturage, autopartage, etc…) et favorise la multimodalité.
Il y a 4 ans et 256 jours

MaPrimeRénov : les acteurs du chauffage bois veulent un meilleur traitement des dossiers

CRITIQUE. Le déploiement de MaPrimeRénov est-il limité par des soucis techniques à répétition et de manque de formation de certains sous-traitants ? C'est ce qu'affirme le syndicat français des chaudiéristes biomasse (SFCB). Eric Trendel, son président, en dit plus à Batiactu.
Il y a 4 ans et 256 jours

Sur la rénovation comme sur le neuf, les architectes "attendent des actes"

RELANCE. Jean-Michel Woulkoff, président de l'union syndicale des architectes (Unsfa), a réagit, en marge de la journée de rentrée du mouvement HLM, au discours de la ministre Emmanuelle Wargon. S'il le juge ambitieux sur certain points, il demande surtout à connaître les conditions de réalisation des objectifs.
Il y a 4 ans et 256 jours

Chronique du Geek – Les applications de septembre 2020

Une partie du travail de l’architecte ne s’effectue pas toujours à l’agence, peu s’en faut. Entre les visites et suivis des chantiers, la reconnaissance des lieux des futurs projets, sans parler des déplacements pour les rendez-vous professionnels, le Geek propose en cette fin septembre cinq applications pour vous accompagner, vous guider et vous détendre lors […] L’article Chronique du Geek – Les applications de septembre 2020 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 256 jours

Frédéric Didier, nouveau DG de Wienerberger France

Suite au décès de Francis Lagier, Wienerberger nomme un professionnel des matériaux de construction à la tête de son activité en France.
Il y a 4 ans et 256 jours

EnergieSprong : Myral récompensé lors des Prix de l’Innovation

A l’occasion du Forum Innovation EnergieSprong, le Secrétaire d’État au logement a remis à Myral et à ses partenaires, Kingspan et Maître Cube, le prix de 2e lauréat dans la catégorie « Façades collectives » de ce concours d’innovation pour des solutions de rénovation à zéro énergie garantie. Les principaux atouts de cette solution sont sa faible épaisseur, sa légèreté et sa performance, le tout étant parfaitement adapté pour réaliser un maximum d’économies d’énergie sur l’ensemble du cycle de vie d’un bâtiment. Avec ce prix, Myral va pouvoir encore plus valoriser et faire connaître sa solution d’isolation thermique par l’extérieur. Elle va désormais pouvoir être mise en avant par les bailleurs sociaux labellisés EnergieSprong. Avant la remise des prix, un certain nombre de projets avaient déjà anticipé la démarche EnergieSprong. C’est notamment le cas du projet Podélia à Nantes. Le prochain objectif est désormais de concrétiser davantage de projets sur le label EnergieSprong qui a su susciter l’intérêt de nombreux bailleurs sociaux. Avec le prix de 2e lauréat, Myral et ses partenaires ont désormais une belle valeur ajoutée à faire valoir. Ils ont été reconnus par un jury d’experts comme étant un groupement capable de proposer une solution parfaitement adaptée aux enjeux de la massification.
Il y a 4 ans et 256 jours

France Relance Bâtiment : de nouvelle précisions ... et conditions

Le gouvernement met 7,4 milliards d’euros sur la table pour le logement pendant deux ans, détaille un peu son offre et, en échange, demande aux Fédérations du Bâtiment de prendre des engagements.
Il y a 4 ans et 256 jours

Le Groupe VELUX s’engage pour une « neutralité carbone à vie »

Le Groupe VELUX s’engage à réduire ses futures émissions de carbone et à capturer l’équivalent de son empreinte carbone historique depuis sa création en 1941, représentant un total de 5,6 millions de tonnes de CO2. Pour cela, il s’est allié au WWF pour mettre en œuvre des projets de reforestation afin de lutter contre le réchauffement climatique. Ces projets ont pour but de stopper la détérioration d’habitats naturels et ainsi de préserver la biodiversité et d’améliorer les conditions de vie au niveau local. David Briggs, PDG du Groupe VELUX, a déclaré : « La planète fait aujourd’hui face à une crise grave en termes de climat et de biodiversité, ce qui nécessite des mesures exceptionnelles. En accord avec nos valeurs d’entreprise, nous cherchons à faire toujours plus que la majorité ; c’est donc pour cela que nous avons développé l’engagement de « neutralité carbone à vie ». Cet engagement novateur implique un partenariat de 20 ans avec le WWF International, afin de capturer l’équivalent de nos émissions de carbone historiques d’ici 2041. Nous réduirons également significativement nos futures émissions de CO2… » Le partenariat avec le WWF s’inscrit plus largement dans la stratégie de développement durable « Sustainability Strategy 2030 » du Groupe VELUX afin de devenir une entreprise neutre en émission de CO2 d’ici 2030. Cet objectif de réduction des émissions se base sur la science, grâce au programme « Science Based Targets Initiative ». Afin de révolutionner son activité, le Groupe VELUX accélère ses investissements dans l’efficacité énergétique au sein de ses sites de production, la transition vers les énergies renouvelables et l’achat d’électricité 100 % renouvelable. Il s’est également engagé à modifier de manière significative la façon dont il effectue la sélection et l’achat de matériaux.
Il y a 4 ans et 256 jours

La crise sanitaire dope le marché des piscines privées

Ce couple de Seine-et-Marne visait New York et Budapest, mais "nous avons été contraints de réorganiser nos vacances en France et notre seul critère était une maison avec piscine", explique Joachim Lathuiliere, 28 ans."Dès le retour de congés, j'ai pris contact avec des piscinistes et on a signé dans les jours suivants", poursuit-il. "Partir en vacances sans visée touristique mais uniquement pour avoir une maison avec piscine ce n'est pas forcément le plus rentable, autant l'avoir directement chez soi". La construction débutera en octobre et le bassin devrait être prêt pour l'été.Restriction des déplacements, volonté de passer de bons moments à la maison: de nombreux Français sautent le pas. "Le nombre de commandes de piscines a été multiplié par deux voire par trois par rapport à 2019 pendant la même période", rapporte Gilles Mouchiroud, président de la Fédération des professionnels de la piscine et du spa."Météo favorable pendant le confinement et inquiétudes des familles françaises sur ce qui peut se passer demain avec la crise sanitaire : il y a vraiment eu une réflexion autour du bien-être chez soi", poursuit-il. "Les familles sont de plus en plus attachées à aménager leur chez-eux. La piscine est un produit vraiment adapté".Le nombre de bassins livrés pour l'année 2020 a augmenté de 6% sur un an, selon la Fédération. Le prix moyen d'une piscine en 2020 se situe entre 19.000 et 22.000 euros, pour 37 mètres carrés."La tendance est favorable. Notre filière est préservée de la crise, même si nous restons prudents", assure le président de la FPP.Le baromètre du printemps 2020 de la Fédération indique une augmentation de 3% du chiffre d'affaires piscine. Le chiffre d'affaires négoce, c'est-à-dire ce qui concerne les équipements accessoires comme les filtres à eau et l'électrolyse, a quant à lui augmenté de 9,5%, selon M. Mouchiroud.En 2019, le seuil des 2,5 millions de piscines privées de plus de 10 mètres carrés a été dépassé, indique la FPP. 2020 pourrait être la cinquième année consécutive de progression du marché de la piscine. En 2019, le secteur avait enregistré une hausse de 11% de son chiffre d'affaires.L'essor de la locationLa location de piscines privées a, elle aussi, le vent en poupe. Sur le même principe qu'Airbnb pour les logements, des propriétaires de piscines louent leurs bassins à la journée.Patricia Sase est propriétaire d'une piscine à Choisy-le-Roi, dans le Val-de-Marne. Avec son mari, elle s'est inscrite sur le site Swimmy, la première plateforme de location de piscines entre particuliers en France, en juin dès la sortie du confinement.A 20 euros par personne la demi-journée, son agenda de location ne désemplit pas. "Pour la plupart, ce sont des gens qui ont l'habitude de partir en vacances, mais cette année ils n'ont pas pu", affirme-t-elle."On s'est gardé deux jours par semaine, le mardi et le mercredi pour pouvoir en profiter, sinon tous les jours étaient complets", assure Patricia.Le couple de sexagénaires a prévu d'interrompre les locations à partir du 15 septembre, alors qu'il y a encore de la demande. "On nous a écrit pour le mois d'octobre, et même pour avril!".Le site Swimmy, concurrencé par LouerUnePiscine.com, a connu un énorme pic d'activité à la sortie du confinement. "Sur notre chiffre d'affaires de mai 2020, on a fait fois 30 par rapport à mai 2019", affirme Raphaëlle de Monteynard, fondatrice de la start-up. "On a multiplié par quatre notre chiffre d'affaires sur toute la saison"."Après le confinement, on était dans une volonté de refaire des événements entre amis ou en famille", poursuit Raphaëlle de Monteynard.Le nombre de propriétaires et locataires inscrits sur la plateforme est resté croissant tout au long de l'été. Le site compte désormais plus de 110.000 inscrits contre 45.000 au début de la saison.
Il y a 4 ans et 256 jours

Knauf France va construire une nouvelle usine de plaques de plâtre à Fos-sur-Mer

N°1 mondial de la plaque de plâtre, le Groupe Knauf a annoncé l’acquisition, en partenariat avec le Groupe F-SCOTT, de BMG Holding France, société porteuse d’un projet industriel pour la production de plaques de plâtre en France. Cette opération, pilotée par Dominique Bossan, CEO Knauf Western Europe & Latin America, et Christine Muscat, Directeur Général de Knauf France, permet de déclencher immédiatement un investissement industriel de 60 millions d’euros, pour la construction d’une usine de plaques de plâtre basée sur le port de Fos-sur-Mer (13). La pose de la première pierre est prévue d’ici fin 2020. Cette nouvelle usine, dotée des outils de production de dernière génération, sera opérationnelle fin 2022 pour une commercialisation dès début 2023.
Il y a 4 ans et 256 jours

Expoprotection et Preventica reportés en 2021

Ces deux rendez-vous autour de la santé et de la sécurité au travail, prévus pour l'un en septembre et pour l'autre en novembre, n'auront finalement pas lieu cette année.