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Il y a 4 ans et 256 jours

Cité des sciences et de l’industrie : Giga tours et méga ponts, format “XXHL”

Retrouvez l’article dans le Béton[s] le Magazine n° 90. “XXHL, giga tours et méga ponts”. La construction hors norme investit la Cité des sciences et de l’industrie jusqu’au 7 mars 2021. « Un autre type de muséographies est expérimenté dans cette exposition de 1 000 m2 immersive et numérique. Cette dernière sensibilise le public aux prouesses techniques et aux savoir-faire développés par les ingénieurs, les architectes et les constructeurs. Que des prouesses techniques… Cela suscitera peut-être des vocations chez les ados ! », souligne Evanthia Ioannidou, cheffe de projet Universcience. De Dubaï à Millau De la Burj Khalifa, à Dubaï, au viaduc de Millau, dans l’Aveyron, en passant par le projet de rénovation de la tour Montparnasse, à Paris. Chacun des édifices illustre une problématique d’ingénierie. A savoir : la résistance des matériaux et des structures, les techniques des fondations… La Freedom Tower est le principal bâtiment du nouveau complexe World Trade Center dans le Lower Manhattan, à New York. Et le plus haut gratte-ciel de l’hémisphère Ouest (417 m de haut). Sa construction a nécessité 48 000 t d’acier et plus de 83 500 m3 de béton. [©ACPresse]A Paris, la tour Montparnasse actuelle (209 m de haut) va être rénovée, pour y amener des forêts en hauteur, ainsi que des vitres pour plus de luminosité. [©ACPresse]« Le dessin du viaduc de Millau semble simple sur le papier, alors qu’il est d’une formidable complexité d’ingénierie », insiste Jean-Michel Pereira, professeur de l’école des Ponts ParisTech, département génie civil et construction. [©ACPresse]Le Péloponnèse est relié à la Grèce continentale depuis 2004 grâce au pont Rion-Antirion, le troisième plus long pont à haubans du monde (2,2 km), après Millau (France) et Jia-Shao (Chine). Certaines de ses piles sont immergées de plus de 60 m ! [©Vinci]Burj Khalifa, appelée Burj Dubaï jusqu’à son inauguration, est un gratte-ciel situé à Dubaï, aux Emirats arabes unis, devenu en mai 2008 la plus haute structure humaine jamais construite. Sa hauteur finale, atteinte le 17 janvier 2009, est de 828 m. [©Pexel]Par son comportement hybride, le pont Yavuz Sultan Selim sur le Bosphore, en Turquie résout l’équation contradictoire d’un ouvrage suspendu et haubané à profil aérodynamique. Conçus par Jean-François Klein avec l’aide de l’architecte Frédéric Zirk, les pylônes sont de section triangulaire variable avec des fûts élancés légèrement convergents réunis par une entretoise en partie supérieure. Ils ont été réalisés jusqu’à 208 m de hauteur avec un coffrage glissant. [©GettyImages]Le siège de la Télévision centrale de Chine est un ensemble d’immeubles situé dans le nouveau quartier d’affaires de l’Est de Pékin, en Chine. Son bâtiment principal, le plus spectaculaire, atteint 234 m et se distingue par sa forme originale. L’ensemble a été conçu par le cabinet d’architecte néerlandais Rem Koolhaas. [©Vesa Niskanen]La Dubaï Marina compte plus de 200 tours, dont la Cayen tower reconnaissable grâce à son architecture atypique, les 73 étages tournant sur eux-mêmes. [©Pexel] Dans cette exposition, les visiteurs découvrent comment s’élèvent au fur et à mesure ces immenses édifices et le secret des architectes. Grandiose… Le béton, l’allié idéal “XXHL, giga tours et méga ponts” permet aux visiteurs de comprendre les enjeux de la réalisation de ces ouvrages exceptionnels. Enfin, une exposition grand public, qui illustre la manière de travailler du secteur de la construction. Cette expérience immersive fera découvrir des savoir-faire uniques. Qui repoussent toujours plus loin les limites du possible, en hauteur comme en longueur. D’où “XXHL”. Les plus jeunes apprendront pourquoi le béton est l’allié idéal des architectes et des ingénieurs. L’histoire par un film Un film inédit ouvre l’exposition. Projeté à 360° sur quatre écrans géants, il passe en revue un ensemble de questions et de solutions techniques en matière d’ingénierie. Composé d’images d’archives et de synthèse, le film offre à voir de nombreuses constructions emblématiques. L’exposition se poursuit avec une série de tables animées en vidéo-mapping1. Avec ses 828 m de haut, la Burj Khalifa est aujourd’hui la tour la plus haute au monde. Une vidéo, projetée sur une maquette de l’édifice, révèle comment cette gigantesque tour peut résister au vent. Et conserver son assise sur un sol aussi meuble que le sable du désert.  Immersion numérique Au milieu du parcours, deux tables (plus traditionnelles au niveau scénographique) présentent des échantillons véritables de matériaux de construction et la façon de les assembler. On y apprend qu’armé, précontraint ou encore imprimé, le béton s’adapte, pour réaliser des édifices hors norme. Ici, une tour esthétique réalisée dans le laboratoire des Ponts ParisTech. [©A. Robin-EPPDCSI]A l’entrée de l’exposition, un tableau comparatif met en exergue l’évolution des tours, de la pyramide de Gizeh, 139 m de hauteur (3 siècle av-J. C.) en Egypte ou de la tour Eiffel, à Paris (312 m de hauteur) jusqu’à la tour Burj Khalifa, à Dubaï, plus haute tour actuelle de 828 m. [©A. Robin-EPPDCSI]A travers l’exemple de la tour Montparnasse se pose l’urgence d’une rénovation. Quatre ans de travaux seront nécessaires pour la rendre moins énergivore. Quatre tablettes numériques de tailles différentes en réalité augmentée permettent de mesurer ces défis écologiques. Très interactif. Pour toute la famille. [©A. Robin-EPPDCSI]L’exposition “Giga tours et méga ponts, format “XXHL” est interactive, à destination de toute la famille. Ludique et instructif. [©A. Robin-EPPDCSI] La deuxième table propose un rapide historique des grandes étapes. Qui ont marqué la construction des tours et des ponts depuis l’Antiquité. De plus, à travers l’exemple de la tour Montparnasse se pose l’urgence d’une rénovation. Quatre ans de travaux seront nécessaires pour la rendre moins énergivore. La révolution du BIM Quatre tablettes numériques de tailles différentes en réalité augmentée permettent de mesurer ces défis écologiques. Mais comment conserver l’historique d’une telle construction ? En ayant recours au BIM, véritable révolution technologique. Au milieu du parcours, deux tables (plus traditionnelles au niveau scénographique) présentent des échantillons véritables de matériaux de construction. Et la façon de les assembler. On y apprend qu’armé, précontraint ou encore imprimé, le béton s’adapte, pour réaliser des édifices hors norme. Trois ponts exemplaires “XXHL, giga tours et méga ponts” se conclut par une analyse comparative de trois types de ponts – à haubans, suspendu et hybride –. Ceci, en s’appuyant sur le viaduc de Millau, le pont du détroit d’Akashi, au Japon, et le pont Yavuz Sultan Selim, situé en Turquie.  « Le dessin du viaduc de Millau semble simple sur le papier, alors qu’il est d’une formidable complexité d’ingénierie », insiste Jean-Michel Pereira, professeur de l’école des Ponts ParisTech, département génie civil et construction. Enfin, le film projeté sur la dernière table expose les facteurs qui contribuent au choix du type et de la méthode de construction. En complément 1Technique de projeter de la vidéo sur des volumes comme des façades architecturales, des tables, des murs… des décors pour le spectacle vivant ou juste dans son salon. C’est l’idée de la transformation d’un objet réel par le virtuel. Du 1er septembre 2020 au 7 mars 2021, www.cite-sciences.fr. Muriel Carbonnet Retrouvez l’article dans le Béton[s] le Magazine n° 90.
Il y a 4 ans et 257 jours

Covid-19 : le crédit consommation en France s'est effondré de 36% au 2e trimestre

Au deuxième trimestre, le mouvement s'est logiquement amplifié et a touché la totalité des secteurs, comme le montrent les chiffres de l'ASF.La dégradation de l'activité a été particulièrement marquée pour les prêts personnels, dont le volume s'est écroulé de 45% entre avril et fin juin par rapport à la même période en 2019.Les nouvelles utilisations de crédits renouvelables ont quant à elles chuté de 35% sur cette même période, après une dégradation de 4% sur les trois premiers mois de l'année.Du côté des financements automobiles, la baisse a atteint un peu plus de 36%, tant pour les véhicules d'occasion que pour les voitures neuves, après des baisses respectives de 11% et 9% sur les trois premiers mois de l'année.L'érosion s'est en revanche révélée moindre pour les financements affectés à l'amélioration de l'habitat: ceux-ci ont baissé de 16% au deuxième trimestre après une petite hausse de 1,6% au premier.Au total, le crédit à la consommation a essuyé sur les six premiers mois de l'année une chute de son activité de 21%, "soit une décrue d'une ampleur sans précédent en trente ans de suivi statistique de l'activité", pointe l'ASF, qui précise que la plus forte baisse enregistrée jusqu'alors était celle constatée au premier semestre 2019 (-15,8%).
Il y a 4 ans et 257 jours

Qui est le nouveau directeur général de Wienerberger France ?

CARNET-NOMINATION. Le spécialiste de la terre cuite, Wienerberger France, annonce la nomination de Frédéric Didier au poste de directeur général.
Il y a 4 ans et 257 jours

Est-il préférable de confier un chantier à une entreprise générale ou à différents prestataires ?

Dans la mesure où la construction d'un bâtiment se décompose en autant de lots que de métiers du BTP, il est nécessaire de décider au préalable s'ils seront exécutés ou non par la même entité juridique. En effet, les implications sur l'organisation du chantier ne sont pas les mêmes, notamment pour les architectes et les maîtres d'œuvre responsables de la conduite et de la bonne exécution des travaux.L'entreprise générale : un interlocuteur uniqueLa première option est de rechercher une seule entreprise du bâtiment capable de réaliser l'ensemble des prestations prévues par les plans d'exécution.Aussi appelée « entreprise tout corps d'état », l'entreprise générale prend en charge la totalité des travaux de construction, du gros œuvre (fondations, toiture...) au second œuvre (plomberie, électricité...). En sa qualité de contractant unique, elle est la garante de leur bonne exécution. Toutefois, le maître d'œuvre aura affaire à une seule personne lors du déroulement des travaux : le responsable de chantier de l'entreprise. En cela, le suivi et les réunions de chantier s'en trouvent facilités étant donné qu'il ne s'adressera qu'à une seule personne, quelle que soit la nature des travaux concernés. Aussi, la réception des travaux se fera avec l'unique responsable de chantier.De la même manière, le temps consacré à la consultation des entreprises est plus simple, car nettement réduit. En effet, l'appel d'offres se résume à étudier les propositions de quelques entreprises, contre plusieurs dizaines en corps d'état séparés. Cependant, l'enveloppe budgétaire proposée est souvent plus élevée d'environ 10%. Ceci correspond en général à l'économie que fait le maître d'ouvrage sur la coordination des travaux du fait de l'interlocuteur unique.Les entreprises générales sont le plus souvent des entreprises du bâtiment spécialisées dans un métier du BTP qui font appel à des sous-traitants pour les lots qu'elles ne maîtrisent pas. Même si elle ne dispose pas de toutes les compétences techniques, une entreprise générale est en quelque sorte le chef d'orchestre qui dirige les travaux et endosse toutes les responsabilités juridiques. À ce titre, une entreprise dont l'assise financière est sûre sera plus à même d'affronter les difficultés que peuvent générer un abandon de chantier, un accident ou un dépôt de bilan par l'un de ses sous-traitants. C'est également l'entreprise générale qui est tenue d'en supporter l'assurance décennale. Les corps d'état séparés : plusieurs métiers du BTPFaire appel à des corps d'état séparés consiste à travailler différemment dans la préparation et l'organisation du chantier.Contrairement à l'entreprise générale, le recours à des corps d'état séparés nécessite de faire autant d'appels d'offres que de lots à contractualiser. Chacun des différents intervenants avec qui le maître d'œuvre est amené à négocier est un spécialiste dans le secteur du bâtiment. La procédure de consultation des entreprises est par conséquent plus longue. Mais à son issue, il travaillera avec des prestataires compétents qui auront été choisis pour leur compétitivité, leur savoir-faire, mais aussi leur solidité financière. Cela n'exclut cependant pas le risque d'un dépôt de bilan de l'un d'entre eux. Dans cette éventualité, le maître d'ouvrage en supportera directement les conséquences. Par ailleurs, en matière de garanties, celles-ci sont réparties par travaux.En évitant les intermédiaires, on peut compter sur des économies substantielles. Lorsque chaque prestation de chaque offre est soupesée, analysée et négociée, le maître d'œuvre a de meilleures chances de respecter le budget prévisionnel alloué et s'assure une bonne gestion financière. Ceci est d'autant plus réaliste que chaque corps d'état est directement responsable de la qualité de son ouvrage et doit fournir une garantie décennale sur ses travaux.La réalisation d'un chantier en corps d'état séparés génère des besoins spécifiques lorsqu'il s'agit de coordonner les travaux. Il est clair que la démultiplication des intervenants exige le respect des règles de sécurité et d'organisation, de l'ouverture à la réception du chantier. Si l'entreprise générale prend en charge de fait la coordination des travaux puisqu'elle fait intervenir ses employés et ses propres sous-traitants, le recours à des corps d'état séparés nécessite un pilote de chantier. Cela peut être un coordonnateur OPC (ordonnancement, pilotage, coordination) ou un AMO (assistance à maîtrise d'ouvrage). Celui-ci aura alors la charge l'avancement des travaux et de faire respecter les délais.« Beaucoup de promoteurs ou de maîtres d'ouvrage s'interrogent sur la pertinence d'un chantier en entreprise générale ou en corps d'état séparés. La réponse ne peut cependant pas être tranchée. Elle dépend de nombreux facteurs dont notamment la nature du projet de construction et le budget alloué. Mais cela va bien au-delà.En effet, la maîtrise d'ouvrage doit aujourd'hui relever de nombreux défis, mais aussi affronter des risques assortis de contraintes croissantes. Réaliser un bâtiment à forte performance énergétique est un défi de plus en plus exigeant. Respecter des règles constamment de plus en plus contraignantes en matière de santé et de sécurité les expose à de nombreux risques de nature pénale. Quant aux délais de réalisation des travaux, ils doivent être toujours plus courts pour répondre aux contraintes d'une nouvelle clientèle, plus exigeante. »-Alexandre Brochot, Président Cofondateur d'AOS
Il y a 4 ans et 257 jours

Logement neuf et PLF 2021 : "Ce que nous aurons ne sera pas suffisant" A.Dinin (Nexity)

IMMOBILIER. Alors que la crise sanitaire n'est pas encore derrière nous, le promoteur souhaite d'ores et déjà se projeter et accélérer le développement de solutions répondant aux nouveaux usages.
Il y a 4 ans et 257 jours

CIRQ 2020 consacre 10 startups spécialistes de la rénovation

ARTIBAT, salon d’affaires des professionnels de la construction de l’Ouest, et NOVABUILD, l’allié solutions climat des acteurs de la construction et de l’immobilier en Pays de la Loire, s’associent une nouvelle fois pour valoriser les solutions innovantes des startups de la construction. Jeudi 22 octobre 2020, relevons ensemble le défi de la décennie le temps d'une journée 100% en ligne 100% rénovation2020 est l'année zéro, celle d'un point de départ où la question de la crise climatique devient centrale. Part du problème, notre filière est donc aussi une part de la solution. ARTIBAT et NOVABUILD se sont donnés comme ambition avec CIRQ 2020 de faciliter la massification de la rénovation, une « solution climat » en réponse à l'atténuation et à l'adaptation au dérèglement climatique aujourd'hui nécessaire pour notre filière construction. Massifier suppose d'innover : une innovation à la fois technique et organisationnelle pour lever les blocages. C'est la raison pour laquelle ils ont lancé un appel à solutions pour faciliter la rénovation auprès de startups.Le jeudi 22 octobre, ARTIBAT et NOVABUILD vous invitent à un événement dédié aux démarches innovantes et aux retours terrain pour une rénovation de qualité, performante, sur les aspects thermiques, environnementaux et prenant en compte les usagers.Toute la journée, alterneront des séquences de présentation des solutions innovantes portées par les 10 lauréats CIRQ 2020 avec des séquences thématiques d‘experts de terrains et des retours d'expériences autour de : l'innovation pour massifier, la rénovation du patrimoine bâti, la massification dans le logement individuel et collectif, l'économie circulaire en rénovation.Marjolaine MEYNIER MILLEFERT, Députée et co-Présidente du PREB (Programme de Rénovation Énergétique du Bâtiment) et Sabine BASILI, Présidente du Programme national pour la qualité de la construction et de la transition énergétique, ouvriront cette journée. Elles nous présenteront le plan rénovation, les moyens alloués par le gouvernement grâce au plan de relance et les solutions proposées par les entreprises. Laurent ROSSEZ, Président de NOVABUILD, et Michel BROCHU, Président de la CAPEB Pays de la Loire, récompenseront en clôture, les 3 premiers lauréats.CIRQ 2020 consacre 10 startups spécialistes de la rénovationSélectionnés par un jury d'experts après un large appel à candidature, le dispositif CIRQ permet d'accroître la visibilité des porteurs de projets et startups qui innovent pour la filière BTP. L'édition 2020 a tenu toutes ses promesses avec une dizaine de dossiers sélectionnés, dont 3 projets particulièrement remarqués pour leur solution en matière de rénovation.« À l'image des startups que nous valorisons, CIRQ doit être agile et s'adapter au contexte qui l'entoure. Ce sera donc, en 2020, une édition 100% en mode virtuel pour parler de préoccupations réelles : Comment innover en rénovation pour des bâtiments plus respectueux de notre environnement ? »-Valérie Sfartz, directrice du salon ARTIBAT« La massification de la rénovation est un élément clé pour la réussite de la stratégie bas carbone du BTP et de l'immobilier. De nombreuses solutions existent et peinent à s'installer sur le marché. CIRQ sera l'occasion de leur donner de la visibilité et permettra à NOVABUILD de commencer à établir un catalogue de « solutions-climat» utiles pour les acteurs de la construction et de l'immobilier. »-Pierre-Yves Legrand, directeur de NOVABUILDZoom sur les 10 lauréats CIRQ 20201er Prix du jury :Isol'En Paille :ISOL'en Paille produit sur mesure une gamme d'isolants de qualité adaptée aux besoins de la construction comme de la rénovation. La botte de paille est l'isolant low-tech open-source le plus abouti ! La Botte de 22, de dimensions innovantes, est une solution de bottes en paille de 22 cm d'épaisseur. Elle est produite dans une usine dédiée et respecte le cahier des charges des règles professionnelles de la construction paille.2ème Prix du jury :AIR :Signée YLE Architectures, cette solution de végétalisation destinée aux cours d'immeubles haussmanniens garantit l'apport d'air frais dépollué dans les appartements grâce à un système de cheminées solaires basé sur le principe de tirage thermique. La création d'écosystèmes rafraîchissants avec des cours végétalisées selon un principe de strates végétales dépolluantes, couplée au réinvestissement des cheminées raccordées, assure une qualité de l'air optimale des différents lots habitat de la copropriété.3ème Prix du jury :MAXEEM :Maxeem, plateforme de services numérique, agrège un ensemble de données permettant d'accéder à distance à des informations relatives au bâtiment (surface, nombre d'étage, année de construction…), d'évaluer son potentiel de rénovation, de structurer un préchiffrage travaux ainsi que le montage du plan de financement. Elle identifie les professionnels RGE à proximité pour faciliter la mise en œuvre des projets de rénovation énergétique. Les professionnels sont plus performants grâce à ces outils, développant la confiance avec les donneurs d'ordres. Ces trois lauréats se verront récompensés d'une journée de coaching par OmniGibus (agence spécialisée dans la « Formation Média Training et Prise de parole ») ainsi que d'une dotation de 2 000 € (pour le 1er prix) et 1 000 € (pour les 2ème et 3ème prix).ARTICONNEX :Articonnex apporte aux artisans du bâtiment des solutions pour améliorer leur gestion des matériaux et leurs investissements en machine tout en plaçant l'économie du circulaire au cœur du projet. Articonnex propose un triptique de solutions : une marketplace (revente de matériaux neufs et de réemploi - location d'atelier et matériels de chantiers), un premier entrepôt physique dédié au réemploi et un web magazine pédagogique.BATIRESO :Plateforme de digitalisation et de dématérialisation permettant de contextualiser les échanges entre donneurs d'ordre et entreprises de la construction. Cet outil en ligne est destiné à moderniser les process administratifs de lancement d'appels d'offre et de suivi de chantiers entre professionnels du bâtiment. BATIRESO permet de gagner en productivité en diminuant les tâches administratives liées aux échanges sur un projet de construction.BIModeler :Modélisation BIM semi-automatique des lots architecturaux sur REVIT en LOD 200 / 300 à partir du plug-in BIModeler. Cette solution se caractérise par le suivi de la prestation via une plateforme collaborative full web ainsi que le suivi et le contrôle du process par un expert en modélisation BIM. BIModeler permet une diminution des coûts et délais de modélisation ainsi que des erreurs humaines. BIModeler facilite l'accès au processus BIM.FEELBAT :Les capteurs DELTA Feel permettent de suivre l'évolution des fissures et mouvements d'un bâtiment ou ouvrage d'art via une application dédiée. Le système permet de démocratiser la solution, d'anticiper les désastres sur les balcons et bâtiments. Par leur taille et leur prix ils peuvent couvrir plus de zones que les capteurs actuels.L'ASSECHEUR :Ce procédé assèche tous types de murs : plein/creux, quel que soit le matériau à la suite d'un dégât des eaux : inondation, infiltration, remontées capillaires. Il s'agit d'un traitement naturel de l'humidité du mur : pas de produit chimique, pas d'onde magnétique. L'évolution technologique du syphon atmosphérique par l'utilisation de composants électroniques miniaturisés garantit un volume d'air circulant dans le mur est constant et suffisant pour l'assécher.MON Artiz :Cette initiative structure un réseau d'artisans sélectionnés sous une marque commune pour promouvoir la rénovation énergétique. Elle met à disposition une application numérique pour les accompagner dans leur quotidien et disposer d'une offre élargie par de nouveaux services innovants (possibilité d'intégrer une maquette BIM simplifiée, proposition de variantes pour une rénovation énergétique performante).We Love Réno :Plateforme web collaborative de gestion de travaux, de la gestion commerciale, jusqu'à la réception du chantier. Tous les intervenants du projet peuvent s'organiser, interagir et suivre en temps réel l'évolution du chantier. La plateforme intègre à la fois un CRM, les notices de travaux avec estimatif, un espace d'échange de documents, une planification du suivi de chantier ou encore l'organisation de rendez-vous BtoB.Rendez-vous sur ARTIBAT les 13, 14 et 15 octobre 2021 pour rencontrer « physiquement » les lauréats CIRQ 2020.Au sein d'un espace interactif, l'événement CIRQ donnera la parole aux 10 lauréats 2020 qui présenteront leurs solutions et produits aux professionnels visiteurs pendant les 3 jours du salon.
Cimbat
Il y a 4 ans et 257 jours

Malgré la crise, Hexaom espère atteindre 1 milliard de chiffre d’affaires en 2021

Comme pour de nombreuses entreprises du secteur, le chiffre d’affaires du groupe spécialisé dans la construction de maisons individuelles, particulièrement affecté par la crise sanitaire, est en recul au premier semestre 2020.
Il y a 4 ans et 257 jours

Les habitants et élus de Belle-Ile-en-Mer veulent maîtriser l'avenir de leur île

Éric Guillot ne s'y attendait pas : sa pétition "pour préserver" Belle-Ile-en-Mer, lancée fin juillet, fait un carton, rassemblant plus de 13.000 signatures."C'est à Belle-Ile de garder la maîtrise de son avenir et la préservation de son identité", peut-on lire sur change.org. "Je ne m'attendais pas à un chiffre pareil", commente, à la terrasse d'un café de Palais, principale commune de l'île, ce chef d'entreprise de Vannes qui possède une résidence secondaire sur Belle-Ile.Son texte énumère quelques-uns des projets qui pourraient mettre en péril le caractère unique de l'île aux yeux des signataires: "éoliennes flottantes", "tourisme", "investisseurs". "A qui profiteront réellement ces transformations? Belle-Ile, un nouvel eldorado de la finance sans scrupule?" interroge-t-il."On sent à l'heure actuelle une tendance, des projets lancés par des groupes financiers pour capter l'image de Belle-Ile", déplore Catherine Maréchal-Gouée, présidente de l'association Union Belliloise pour l'environnement et le développement.Si le parc éolien flottant en est encore aux préliminaires, un projet viticole porté par Christian Latouche, 56ème fortune de France selon Challenges, envisagé sur une vingtaine d'hectares, dont des parcelles proches de la mer classées Natura 2000, inquiète. M. Latouche "cible des sites en bord de mer pour des raisons marketing", accuse Gilles Smadja, de l'association "La Bruyère Vagabonde"."La priorité ici, c'est plutôt le maraichage que la vigne", assène Marc Suquet, du collectif Belle-Ile Climat. Selon une étude officielle de 2019, l'île de 85 km2, avec une quarantaine d'exploitations agricoles, couvre 6% de ses besoins alimentaires.Oui, il faut développer l'agriculture mais, dans le paysage, la vigne "est moins haute que le maïs" et vaut "mieux que des friches", sources potentielles d'incendie, s'exclame Annaïck Huchet, maire de Bangor depuis 2014 et nouvelle présidente de la communauté de communes de Belle-Ile."Une île morte"Deux autres projets concernent des investissements à vocation touristique sur une île qui manque cruellement de logements accessibles aux 5.500 insulaires, s'accordent à dire associations et élus.Le premier, vieux d'une dizaine d'années, Penecam, est prévu sur l'une des rares réserves foncières aux portes de Palais.Le second, "Terra Lodges Resort", se veut dans l'air du temps: "votre lodge éco-conçu en pleine nature" avec services, piscine, peut-on lire sur le site internet du promoteur.Ces projets sont "comme des symptômes", analyse Claire Liagre, vétérinaire et membre de "Chemin faisan", une association qui cible notamment la problématique du logement. "Il y a un décalage de pouvoir d'achat catastrophique entre les travailleurs ici" et les personnes de l'extérieur qui viennent acheter un bien, assure-t-elle.Du travail, il y en a sur l'île, mais que des insulaires soient contraints de partir faute de logements abordables, "c'est terrible", considère Mme Huchet, rappelant que certains "ont perdu la constructibilité de leur terrain" du fait de la loi Littoral. "Sur l'île, on a plus de 60% de résidences secondaires. Au bout d'un moment, ça commence à devenir compliqué", constate-t-elle. Parmi les personnes qui "viennent investir ici, certaines le font pour leur tranquillité et voudraient que l'île se fige", regrette-t-elle, mais "l'argent ne donne pas tous les droits"."Nous sommes à un vrai carrefour", reconnaît le maire nouvellement élu à Palais, Thibault Grollemund, 37 ans. Pour lui aussi, le premier dossier sera le logement: "On veut toucher la catégorie intermédiaire, ceux qui sont juste au-dessus du SMIC, pour qu'ils puissent vivre ici", affirme-t-il.Concernant le tourisme, l'île, qui accueille 380.000 visiteurs par an, attire "de nouveaux investisseurs", observe-t-il, et des hôtels "familiaux" depuis des années sont effectivement passés récemment aux mains de financiers extérieurs."Belle-Ile ne doit pas devenir une île de riches (...) Il faut que les Bellilois puissent vivre sur leur île; sinon, ce sera une île morte", craint Éric Guillot.
Il y a 4 ans et 257 jours

Olivier de Longeaux, nouvel homme fort de K-Line

Olivier de Longeaux est nommé au poste de directeur général de K-Line... Cet article Olivier de Longeaux, nouvel homme fort de K-Line est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 257 jours

Industrie : chaleur fatale pour logement social

Dans le cadre de son "Festival Innovation", Engie a présenté au cours d'une table ronde consacrée à la décarbonation de l'industrie un projet de récupération de la chaleur fatale d'une usine pour assurer le chauffage de près de 800 logements sociaux à Vienne.
Il y a 4 ans et 257 jours

Lancement d'une souscription pour la cité d'artistes La Ruche à Paris

Pour ce chantier qui doit démarrer début 2021, 1,9 million d'euros sont quasiment assurés sur les 3 millions nécessaires. La rénovation de l'immeuble Léger, aujourd'hui vétuste, redonnera tout son lustre à ce lieu de rendez-vous des artistes du début du XXe siècle, situé près de la Porte Brancion, dans le sud de Paris.L'immeuble Fernand Léger de 1.600 m2, ainsi nommé parce que le plasticien y a travaillé, compte une vingtaine d'ateliers que louaient des artistes et une salle d'exposition.Vice-président de la Fondation, l'artiste de rue, Ernest Pignon-Ernest, qui vit à la Ruche, a retracé l'histoire de ce site construit en 1902 avec des matériaux récupérés sur le site de l'exposition universelle de 1900 et dont on avait voulu faire "un phalanstère d'artistes".Les peintres ou sculpteurs Ossip Zadkine, Marc Chagall, Chaïm Soutine, Fernand Léger, Alexander Archipenko, Henri Epstein l'ont fréquenté. De même que des écrivains et des poètes: Max Jacob, Blaise Cendrars, Guillaume Apollinaire...Dans les années 50 et 60, elle est à l'abandon, le sol jonché de carcasses de voitures, avant d'être sauvée in-extremis de la démolition, grâce à une mise de fonds de la famille Seydoux. D'autres cités d'artistes ont été démolies à cette époque.Pour le nouveau chantier de rénovation, 1,7 million vont aller à la restauration du clos couvert, et 1,3 aux réaménagements intérieurs. Une douzaine de nouveaux ateliers devraient être disponibles.La Ruche a déjà été dotée de 300.000 euros par la Mission Bern et de 500.000 euros par l'entreprise Gecina, un des mécènes de la Fondation du patrimoine. Les collectivités (Etat, région, ville) se sont dites prêtes à apporter plus d'un million d'euros.A la tête depuis l'été de la fondation La Ruche-Seydoux, qui gère le site, l'ancien président d'Arte, Jérôme Clément, n'a pas caché des "incertitudes" créées par le Covid, les collectivités étant "extrêmement sollicitées" pour leurs prochains budgets culturels.Un premier chantier en 2010 avait permis la rénovation de sa rotonde.
Il y a 4 ans et 257 jours

Quelles nouveautés pour les chantiers collectifs en brique ?

Début 2020, bio’bric ajoutait à sa gamme de produits la planelle supeRmax ; meilleure performance du marché avec une résistance thermique de 1,70 m².K/W. Associée à la brique spécial collectif, la bgv’costo th+ (R = 1,50 m².K/W), bio’bric propose le système d’excellence pour la construction de bâtiments à étages : Ψ L9 = 0,26 W/m².K en plancher béton.Meilleure performance thermique du marché pour des économies d’énergieÉviter les ruptures d’isolation en logements collectifs au droit des ouvertures et à la jonction des planchers avec la façade permet de stopper les déperditions thermiques, empêcher les problèmes d’inconfort ainsi que les dégradations éventuelles dans la construction, comme l’apparition de condensation. Le pack collectif bio’bric, grâce à ses accessoires isolants, génère des économies de chauffage et donc moins d’émissions de gaz à effet de serre (Eges) durant la phase exploitation du bâtiment.Un système constructif compétitif Ce système constructif est jusqu’à 40% moins cher sur la partie élévation des murs par rapport à une solution en béton banché.Naturellement isolante, la brique en terre cuite permet de réduire l’épaisseur de l’isolant jusqu’à 4 cm. Vous gagnez de la surface habitable équivalent à un 3 pièces*. C’est plus de m² vendus pour le promoteur.L’utilisation de la planelle supeRmax évite de recourir à des rupteurs thermiques d’about de plancher onéreux ou à l’Isolation thermique par l’extérieur (ITE).Une solution constructive respectueuse de l’environnementL’impact environnemental de la brique en terre cuite et donc son bilan carbone est positif, notamment grâce à son fort pouvoir isolant. Le passage de la terre crue à la terre cuite est une transformation qui nécessite de l’énergie thermique et dégage par conséquent du carbone (CO²). En revanche, sur l’ensemble du cycle de vie d’un bâtiment, cet impact est compensé par les économies de chauffage réalisés : cliquez ici pour en savoir plusEn parallèle, sur chantier, la mise en œuvre de la brique bgv’costo th+ avec du mortier-colle à joint mince permet d’économiser jusqu’à 90% d’eau par rapport à la fabrication d’un mortier traditionnel.De plus, grâce à sa hauteur de 31,4 cm (6,35/m²) et comparé à un bloc béton de granulats courants, la bgv’costo th+ offre un gain de 30% de poids manutentionné. Sa palettisation avantageuse nécessite également moins de rotations de grues sur les chantiers.Cliquez ici pour en savoir plusDocumentationPDF livret collectif – version NordPDF livret collectif – version SudPDF livret pont thermique – version NordPDF livret pont thermique – version Sud* Une étude réalisée par Pouget Consultant pour la FFTB (Fédération Française des Tuiles et Briques) démontre que sur un immeuble à usage collectif de 2 000 m2 SHAB, soit 34 logements, la brique terre cuite permet de gagner 60 m2 supplémentaires. L’étude a été réalisée en janvier 2017 sur 8 zones climatiques, avec des briques de 20 cm à R = 1 m².K/W. Dans son pack collectif, bio’bric propose la brique spécial collectif bgv’costo th+ avec une Rth de 1,50 m².K/W.
Il y a 4 ans et 257 jours

AT/MP : notification dématérialisée obligatoire pour les sociétés de plus de 10 salariés

RÉGLEMENTATION. La notification dématérialisée du taux de cotisation d'accidents du travail et de maladies professionnelles deviendra obligatoire pour les entreprises d'au moins 10 salariés relevant du régime général de la Sécurité sociale à compter de janvier 2021. Un site Internet est mis à la disposition des sociétés à cet effet.
Il y a 4 ans et 257 jours

L'Etat ne souhaite pas réglementer sur la "nuisance sonore des pompes à chaleur"

INSTALLATEURS. Les pouvoirs publics ont été sollicités sur la question des nuisances sonores liées aux pompes à chaleur, parfois à l'origine de problèmes de voisinage. Le Gouvernement vient de répondre qu'il ne souhaitait pas réglementer sur ce point, déjà pris en compte par le Code de la santé publique.
Il y a 4 ans et 257 jours

Les Coulisses du Bâtiment : 18e édition

Les 8 et 9 octobre prochains, les Coulisses du Bâtiment ouvriront leurs portes partout en France pour la 18e édition. [©Coulisses du Bâtiment] Voilà les informations qui étaient parues en juin 2020. L’optimisme était de rigueur. Les 8 et 9 octobre prochains, les Coulisses du Bâtiment ouvriront leurs portes partout en France pour leur 18e édition. Dans une situation encore incertaine, les professionnels du secteur réaffirment ainsi leur attachement et leur fidélité à ce rendez-vous plébiscité par le milieu scolaire et la profession. Cette 18e édition proposera aux curieux de tout âge de découvrir la face cachée d’un chantier ou d’un atelier. Ainsi que tous les secrets de fabrication – ou de rénovation – d’un bâtiment. Chantiers de toutes tailles, maisons individuelles, immeubles de bureaux, monuments historiques… Cette année, les visites seront aussi étendues aux centres de formation des apprentis (CFA). De quoi, donner aux jeunes un premier aperçu des métiers du bâtiment, un secteur aux multiples facettes qui recrute ! Rappelons que cette manifestation rassemble 75 000 visiteurs environ chaque année.  Mais ça, c’était avant ! Face aux risques liés à la situation sanitaire, une solution alternative et innovante est proposée aux établissements scolaires : une visite de chantiers en direct sur Youtube. [©Coulisses du Bâtiment] En effet, face aux risques liés à la situation sanitaire, il y aura moins de chantiers ouverts, car moins de personnes pourront se déplacer. De plus, une solution alternative et innovante est proposée aux établissements scolaires. A savoir, pour les scolaires, une visite de chantiers en direct sur Youtube. Un direct en duplex aura lieu le jeudi 8 octobre de 9 h 00 à 10 h 00. Et sera ensuite en replay jusqu’au 16 octobre. Ainsi, si les jeunes ne peuvent pas venir aux Coulisses du Bâtiment, les Coulisses du Bâtiment iront à eux. Quelques chantiers seront toutefois ouverts sur le territoire. Les visites se feront dans le respect des prescriptions sanitaires. Les Coulisses du Bâtiment permettent aux jeunes de découvrir la face cachée d’un chantier ou d’un atelier et tous les secrets de fabrication – ou de rénovation – d’un bâtiment. Chantiers de toutes tailles, maison individuelle, immeubles de bureaux, monuments historiques… Le spectre est large !
Il y a 4 ans et 257 jours

Graal - Portrait

Fondée en 2011 par Nadine Lebeau et Carlo Grispello, diplômés de l’Ensa Paris-La Villette et anciens collaborateurs de Nasrine Seraji et Renzo Piano, l’agence Graal s’intéresse à l’architecture autant qu’aux stratégies urbaines. C’est par l’enquête territoriale et la dimension économique du projet que […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 257 jours

Dufrêne Rénovation : Adapter la prévention à des chantiers de particuliers

Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine Un turn-over limité permet d’assurer dans la durée des formations de fond. Anne (2e personne à gauche au 2e rang) et David Dufrêne (1e personne à gauche au 1er rang) assurent la co-direction de l’entreprise Dufrêne Rénovation. [©Dufrêne Rénovation] Dans les régions de tuiles canal et de toitures à faible pente, les entreprises de gros œuvre assurent souvent les travaux de couverture. C’est tout à fait la situation de l’entreprise Dufrêne, spécialiste de la rénovation en gros œuvre et couverture, avec des chantiers traités surtout auprès de particuliers. La sous-traitance est limitée, le turn-over réduit, ce qui permet “d’asseoir” les actions de formation, de prévention et d’organisation du travail dans la durée. L’entreprise est certifiée RGE. Il y a quelques années, David Dufrêne, dirigeant de l’entreprise, a suivi une formation Feebat. Qui apporte une meilleure connaissance des autres corps d’état. Un plus dans une époque de transversalité croissante entre les différents intervenants d’une opération. Cette formation a été très utile à un moment où l’entreprise assurait aussi des prestations de second œuvre. Alors qu’elle s’est maintenant recentrée sur ses métiers d’origine.  La raison n’est pas due à un manque de chantiers. Mais à une difficulté récurrente à recruter du personnel qualifié et assez motivé par les métiers du bâtiment. En effet, dans cette région de production de Cognac, les grandes maisons attirent la main d’œuvre locale. Ceci, avec des conditions de travail et des niveaux de salaires, qui compliquent le recrutement pour les autres secteurs d’activité… Preuve de ces difficultés, les CFA ont du mal à remplir leurs cessions. « La demande est forte. Nous sommes dans une région prospère. Le niveau de commandes reste élevé. Pourtant, malgré tous les efforts et les actions mises en place depuis plusieurs années, le monde de la construction peine toujours à être suffisamment attractif », conclut David Dufrêne. Une méthodologie adaptée « Près de 70 % de nos chantiers concernent des interventions plus ou moins lourdes chez des particuliers »,explique Anne Dufrêne, co-dirigeante de l’entreprise éponyme. Cela va de la réfection de façades en pierre, nombreuses dans la région, à la rénovation lourde d’un bâtiment. Voire à des extensions neuves exécutées dans le respect de l’existant. Les chantiers peuvent durer 3 à 4 mois. D’autres, une demi-journée. Là se situe une vraie difficulté : assurer une prévention égale sur les chantiers longs comme courts. Les principaux risques sont liés aux chutes de hauteur, mais aussi à la rencontre de réseaux (électricité, gaz…) mal ou pas repérés. La mécanisation d’un maximum de tâches est une priorité permanente des dirigeants de Dufrêne Rénovation.[©Dufrêne Rénovation] Afin d’éviter toute dérive, chaque chantier est préparé avant le début des travaux par l’équipe désignée pour l’intervention. L’établissement du devis est aussi l’occasion d’un repérage des difficultés, des risques inhérents au chantier et de l’établissement d’un plan de travail. Lorsqu'ils débutent les travaux, les compagnons savent quels sont leurs besoins exacts en matériel, en échafaudages et en matériaux. Ce qui évite les pertes de temps dues à des allers et retours plus ou moins répétés chez des fournisseurs. Au préalable, David Dufrêne aura défini les possibilités de mécanisation des manutentions et des postes de travail, ainsi que les matériels nécessaires. Il aura aussi choisi les modes d’exécution en fonction du contexte (lieu habité ou non), afin de réduire au maximum les nuisances liées aux bruits et aux poussières. Enfin, Dufrêne Rénovation aura pris contact avec les différents concessionnaires, afin d’obtenir la communication des implantations des différents réseaux, qu’il s’agisse de l’électricité, du gaz, de l’eau ou des réseaux de communication. Mécaniser tout ce qui peut l’être L’amélioration de la prévention et des conditions de travail passe par le renouvellement régulier des véhicules de chantier, afin de s’assurer d’une fiabilité maximale et de profiter des équipements de sécurité les plus récents.[©Dufrêne Rénovation] Dans un contexte de difficultés de recrutement, la qualité des conditions de travail fait la différence. Les dirigeants de Dufrêne Rénovation mettent un point d’honneur à mécaniser tout ce qui peut l’être, dans une démarche d’élimination des tâches les plus pénibles. Cette approche passe aussi par la recherche de modes opératoires visant à limiter la fatigue des compagnons. « Si la maçonnerie reste plutôt traditionnelle, les travaux de couverture permettent parfois de sortir des poses classiques, qu’il s’agisse de l’emploi de panneaux supports de couvertures ou de la mise en œuvre de sarkings, ajoute Anne Dufrêne.Des solutions intéressantes, en termes de performances, de rapidité de pose et de réduction de la pénibilité, dès lors que la réfection totale d’une couverture doit être envisagée. » Ces opérations impliquent d’intervenir en hauteur et de manutentionner des matériaux lourds. Afin d’optimiser la prévention et les conditions de travail, Dufrêne Rénovation s’est équipée au fur et à mesure de matériels performants : mini-tombereau, mini-pelle, engin de levage télescopique, échafaudages de pied, grues... Ces équipements qui représentent un investissement élevé ont parfois bénéficié d’aides de la Carsat, de l’OPPBTP, de Constructis… Le personnel de chantier - 11 compagnons au total - est titulaire des différents Caces nécessaires à l’utilisation de ces matériels. De plus, une démarche importante a été engagée au niveau de l’outillage électroportatif. L’entreprise loue l’ensemble de son matériel. Les raisons en sont multiples. Le matériel est toujours opérationnel et en parfait état. Les gammes sont sans cesse renouvelées et incorporent les derniers progrès au niveau de l’ergonomie, de la réduction du poids et des vibrations. Ces progrès sont importants, car ils représentent un vecteur significatif de réduction de la fatigue physique et des risques d’apparition de troubles musculo-squelettiques. La prévention, source de productivité Afin d’assurer une quantité suffisante d’échafaudages pour une façade standard, Dufrêne Rénovation a mis au point un système d’échafaudages transportés sur remorque en racks.[©Dufrêne Rénovation] L’amélioration de la protection contre les chutes de hauteur est au cœur du système de prévention. « Nous investissons en permanence dans les échafaudages de pied, afin de ne jamais être en rupture et d’éviter toute intervention à risques, détaille Anne Dufrêne. Ces matériels sont équipés pour le montage/démontage en sécurité. Ils sont utilisés en travaux de façade comme en couverture. C’est la garantie de conditions de travail et de sécurité optimisées, quelle que soit l’importance de l’opération. » Afin d’assurer une quantité suffisante d’échafaudages pour une façade standard, mais aussi pour simplifier les opérations de manutention et de stockage, Dufrêne Rénovation a mis au point un système d’échafaudages transportés sur remorque en racks. L’équipement ainsi préparé permet d'échafauder la façade d'une maison de taille moyenne, avec un débordement suffisant en partie supérieure. Même si quelques compléments sont parfois nécessaires. Le personnel suit des formations régulières de montage/démontage d'échafaudages, sans oublier de nombreuses démarches de prévention engagées sur plusieurs années avec l’OPPBTP. « Ces investissements nous font gagner en productivité, tout en diminuant la pénibilité. L’optimisation de la prévention fait aussi gagner de l'argent »,complète David Dufrêne. Une évidence qui a mis du temps à entrer dans les mœurs, nombre d’entreprises percevant uniquement ces investissements comme des dépenses sans retour. Quatre personnes disposent du Caces de grutier, deux sont habilités à utiliser les engins de terrassement, et la quasi-totalité du personnel dispose de l’habilitation PEMP (plate-forme élévatrice mobile de personnes). Un pompier bénévole et un deuxième en formation assurent une sécurité complémentaire sur les différents chantiers de l’entreprise. Gérard Guérit Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine
GDA
Il y a 4 ans et 257 jours

Bordeaux rénove et étend son réseau de chaleur

Bordeaux métropole rénove et étend son réseau de chaleur. Les travaux qui débuteront en 2021 permettront à termes d’améliorer la performance énergétique du réseau, de répondre à l’ambition de développement de la chaleur renouvelable de près de 30% et de chauffer 14 300 équivalent-logements.
Il y a 4 ans et 257 jours

Mise en lumière par la matière

Éclairage d’ambiance, intense ou d’appoint, les revêtements translucides de la gamme So Light de Clipso laissent... Cet article Mise en lumière par la matière est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 257 jours

Ecoles résilientes 3/5 - Gignac-la-Nerthe éveille les enfants à l’agriculture

A la rentrée 2021 à l’ouest de la métropole Aix-Marseille-Provence, Gignac-la-Nerthe va réceptionner l’école Marie-Maurin. Ce bâtiment à énergie positive entend contribuer à la lutte contre toutes les formes de gaspillage, en résonance avec la politique municipale d’agriculture urbaine. La commune parie sur les économies de fonctionnement pour amortir l’investissement de 5,6 millions d’euros HT, dont 18 % liés à la conception bioclimatique.
Il y a 4 ans et 257 jours

PlanRadar choisit Matthieu Walckenaer pour diriger sa filiale française

Cet acteur en forte croissance sur les marchés de la ConTech et de la PropTech propose une solution numérique simple, rapide et efficace pour gagner en productivité et en rentabilité sur tous types de projets. Pour assurer le lancement et la croissance de sa nouvelle filiale, l'entreprise vient de nommer Matthieu Walckenaer Country Manager France.Matthieu Walckenaer a rejoint PlanRadar le 1er juillet au poste de Country Manager France. Basé à Paris, il a pour mission d'orchestrer le développement des activités en France, un marché stratégique pour l'entreprise basée à Vienne depuis 2013.Âgé de 41 ans et père de 3 enfants, Matthieu Walckenaer est diplômé de Neoma Business School. Il est doté d'une solide connaissance du secteur du numérique acquise ces 7 dernières années en tant que co-fondateur et CEO de Nudge APM, éditeur de logiciels dédiés à la gestion des performances des applications.Cette expérience entrepreneuriale menée avec succès jusqu'à la vente de la startup en 2019 lui a permis de développer une véritable expertise multidisciplinaire, à la fois commerciale, marketing, managériale, financière et technique.Il avait auparavant occupé pendant plus de 11 ans des fonctions commerciales à forte dimension internationale chez SAGEMCOM puis SOLUTIONS 30 dont il a assuré la direction commerciale pendant 4 ans. À ce titre, il a notamment été en charge de l'ouverture de nouveaux marchés, de la création de nouvelles filiales en Europe et mené des opérations de croissance externe.Cette nomination s'inscrit dans la stratégie de développement international de PlanRadar qui compte aujourd'hui 7 bureaux dans le monde et affiche de fortes ambitions sur le marché français de la construction et de l'immobilier.« Il est aujourd'hui primordial de travailler et de communiquer en de multiples sites. C'est pourquoi notre rôle dans la numérisation des secteurs de la construction et de l'immobilier est plus que jamais nécessaire. PlanRadar permet aux équipes de suivre, de se connecter et derésoudre les problèmes, du bureau au terrain. Nous sommes ravis d'accompagner nos clients français, anciens et nouveaux, grâce à une équipe pilotée par Matthieu Walckenaer, pour permettre au secteur d'améliorer la qualité, d'optimiser les coûts et de mener à bien les projets plus rapidement. »-Ibrahim Imam et Sander Van de Rijdt, Co-CEOs de PlanRadar« PlanRadar a su développer une solution très intuitive et facile à utiliser qui répond à des besoins clés dans la gestion des projets de construction et d'immobilier. L'atout majeur de cette solution collaborative est de permettre à nos clients d'être plus efficaces dans leur travail au jour le jour. La digitalisation des sociétés et des équipes de ce secteur leur assurera croissance et succès en gagnant en productivité et en qualité, indispensable en cette période compliquée que nous traversons où il faut se réinventer et s'adapter rapidement. Sans oublier que PlanRadar donne une nouvelle image de marque à nos clients pour leur permettre d'attirer de jeunes talents. »« Toutes ces raisons m'ont poussé à intégrer ce projet très ambitieux auquel je vais pouvoir apporter mes connaissances et mon expérience. La France est un des plus grands marchés en Europe en ce domaine, nous allons investir massivement, en particulier en embauchant des équipes commerciales et marketing ; déjà 3 personnes sont arrivées en août et d'autres recrutements sont en cours. Nous avons en outre la chance de pouvoir nous appuyer sur une équipe dynamique et ultra compétente basée à Vienne qui a su démontrer la force de notre solution avec déjà plus de 8.000 clients dans 45 pays. L'ouverture d'un bureau en France va nous permettre d'être proches de nos nouveaux clients et de créer une très grande communauté d'utilisateurs de PlanRadar en France. »-Matthieu Walckenaer, nouveau Country Manager France de PlanRadar Les chiffres clésPlus de 8.000 clients dans 45 paysPlus de 25.000 projets réalisés chaque semainePlus de 100 collaborateurs7 bureaux dans le mondeUne levée de fonds de 30M€ en 2020
Il y a 4 ans et 257 jours

Rieder : Des façades en béton fibré pour les centrales géothermiques de Paris-Saclay

Avec ses éléments d’angles monolithiques sur les deux centrales énergétiques de ZAC Moulon et de ZAC Polytechnique, la façade en voile de béton concrete skin est non seulement remarquable par son architecture, mais aussi par sa durabilité et ses caractéristiques écologiques qui ont su séduire les concepteurs et les maîtres d’ouvrage. La ZAC Moulon et la ZAC Polytechnique font partie d’un réseau intelligent de chaleur et de froid à basse température utilisant de la géothermie profonde, et contribuent à faire de Paris-Saclay un éco-territoire à énergie positive. Bien évidemment, la maîtrise d’ouvrage a veillé à ce que les matériaux choisis pour ces bâtiments répondent à des exigences de durabilité et longévité. La façade en voile de béton concrete skin n’est pas interrompue par des fenêtres, et souligne ainsi la verticalité du projet et lui confère une apparence futuriste. Les éléments d’angle de la nouvelle gamme formparts fab en béton armé de fibres de verre et aux arêtes nettes impressionnent par leur modernité et leur élégance. Le jeu homogène de joints sur la façade est particulièrement exceptionnel. Les architectes de l’agence Fricout-Cassignol ont d’ailleurs attaché une grande importance à sa réalisation minutieuse. Un détail architectural très intéressant de l’ouvrage de la ZAC Moulon est la transition de la façade vers une partie semi-transparente, où elle se transforme en garde-corps pour le toit végétalisé, qui représente également la signature écologique du bâtiment.Pour Rieder, l’innovation et le développement durable sont deux des moteurs essentiels au perfectionnement constant de ses produits. Les panneaux plats en voile de béton ont une faible épaisseur de treize millimètres et réduisent ainsi le besoin en matières premières. Ils se déclinent en une multitude de coloris, surfaces et textures, et s’adaptent ainsi parfaitement à des projets architecturaux des plus variés. En renonçant à des composants superflus, le caractère et l’aspect authentique du béton est préservé. L’absence de produits polluants et dangereux comme le dioxyde de silicium cristallin en font un bardage dont l’usinage et la manipulation ne présente aucun danger – même en intérieur –, et rendent possible le recyclage complet des panneaux. Allant dans le sens d’une philosophie du zéro déchet, des technologies innovantes aident à optimiser les découpes et les déchets persistants sont en grande partie reconvertis en produits de plus petits formats. Afin de réduire son empreinte carbone, Rieder a mis en place une stratégie qui vise à systématiser l’utilisation d’énergies renouvelables pour la production, le remplacement d’une partie du ciment par d’autres liants plus écologiques et la compensation de l’empreinte carbone inévitable par des mesures supplémentaires sur lesquelles le groupe va communiquer prochainement.Pour en savoir plus, vous pouvez contacter Rieder et visitier le site de Rieder, ainsi que son compte Instagram et sa page Facebook. Visuels : © Rieder La Rédaction
Il y a 4 ans et 257 jours

Au festival Annecy Paysages, un parasol de 259 cônes d’osier

Patrick Bouchain, Philippe Madec, Michel Desvigne ou encore Patrick Rubin présenteront au Moniteur Innovation Day (MID), le 19 octobre 2020, leurs engagements dans la construction d'un monde plus résilient. Le 19 octobre 2020, le Moniteur Innovation Day (MID) prendra ses quartiers à la Seine Musicale, à Boulogne-Billancourt. Une journée de conférences […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 257 jours

Bernard Laporte, le patron du rugby français, placé en garde à vue dans une enquête sur ses liens avec Altrad

Le patron du groupe, Mohed Altrad, propriétaire du club de Montpellier et sponsor des Bleus, a également été placé en garde à vue par la police financière, tout comme le patron du Mondial-2023 Claude Atcher, et deux hauts responsables de la Fédération, Serge Simon et Nicolas Hourquet.Laporte est notamment soupçonné d'avoir favorisé le Montpellier Hérault Racing (MHR), en intervenant auprès de la commission d'appel de la FFR pour faire diminuer des sanctions contre le club, fin juin 2017.Le patron du rugby français, 56 ans, est arrivé mardi matin dans les locaux de la Brigade de répression de la délinquance économique (BRDE) à qui le parquet national financier (PNF) avait confié les investigations en 2017, ont indiqué des sources concordantes à l'AFP. Le vice-président de la FFR, Serge Simon, s'est aussi présenté à la BRDE mardi matin, a constaté une journaliste de l'AFP.Laporte, ancien sélectionneur des Bleus (2000-2007), devenu ensuite secrétaire d'Etat chargé des Sports de Nicolas Sarkozy (2007-2009), s'est toujours défendu de toute intervention en faveur de Montpellier, même s'il a reconnu avoir téléphoné au président de la commission, Jean-Daniel Simonet.Des inspecteurs généraux du ministère des Sports ont également établi dans un rapport transmis à la justice que les décisions de la commission ont été "modifiées", entre les 29 et 30 juin 2017. Dans un premier temps, la commission d'appel aurait décidé de confirmer les sanctions prononcées par la Ligue (LNR), soit 70.000 euros d'amende et un match à huis clos, avant de passer à 20.000 euros d'amende et un sursis sur le match à huis clos. Le dossier portait sur le déploiement de banderoles hostiles à la Ligue par les supporteurs du MHR.France 2023Trois mois plus tôt, le groupe Altrad, spécialisé dans les matériels de bâtiment, était devenu le premier sponsor maillot du XV de France, avant de soutenir la candidature française, finalement victorieuse, pour l'organisation de la Coupe du monde 2023.En révélant l'affaire en août 2017, le JDD avait aussi mis au jour l'existence d'un contrat entre BL Communication, une société dirigée par Bernard Laporte, et Altrad Investment Authority, pour un montant de 150.000 euros. Sous la pression, l'ancien manager de Toulon y avait renoncé.Les policiers ont déjà entendu plusieurs protagonistes en 2019, notamment les trois membres de la commission d'appel de la FFR qui devaient juger le dossier le 29 juin 2017.Sur fond de vives tensions entre la Ligue de rugby et la Fédération, l'affaire avait gâché le début de mandat de Bernard Laporte, élu le 3 décembre 2016. Elle risque maintenant de gêner la dernière ligne droite de sa campagne auprès des clubs, chargés de le départager face à son principal opposant, Florian Grill.Lundi, l'avocat de Laporte, Me Jean-Pierre Versini-Campinchi, a dénoncé le "timing" de cette convocation, une "ingérence judiciaire" dans le processus électoral selon lui."intérêt supérieur"Dans une interview au Parisien, Bernard Laporte avait assuré qu'en appelant Simonet, il avait simplement souhaité lui "donner un éclairage politique" sur les tensions dans le rugby et qu'il fallait apaiser la situation au sein du rugby professionnel.Jean-Daniel Simonet, lui, a assuré aux inspecteurs du ministère des Sports que sa commission n'en était qu'au stade d'une "hypothèse" de décision le 29, d'après lui trop sévère.Interrogé par le tribunal lors d'un procès en diffamation perdu par le patron de la FFR contre L'Equipe, le 9 mai 2019, Philippe Peyramaure, un des membres de la commission d'appel, avait livré un témoignage beaucoup moins consensuel.D'après lui, Simonet l'avait appelé au matin du 30 juin pour lui raconter le coup de fil d'un Bernard Laporte "pas content", qui lui "avait dit, de manière plutôt brutale, qu'Altrad était un sponsor important de l'équipe de France (premier sponsor maillot), un soutien important pour la candidature" victorieuse de la France à l'organisation du Mondial-2023 "et qu'il fallait supprimer ces sanctions". "C'est l'intérêt supérieur du rugby", aurait ajouté Jean-Daniel Simonet, selon cette version.
Il y a 4 ans et 257 jours

Les Grand Prix d’architectures, c’est à tout-va pour tout Le Monde

Les Prix d’architectures 10+1, imaginés par le magazine D’A, ont été remis le 17 septembre au soir au Centre Georges Pompidou à Paris. Le Grand Prix d’architectures a été décerné à Simon Teyssou (Atelier du Rouget) pour la station de pleine nature de Mandailles-Saint-Julien, dans le Cantal. Le Grand Prix quoi ? Et que vient faire […] L’article Les Grand Prix d’architectures, c’est à tout-va pour tout Le Monde est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 257 jours

Les emplois délocalisés à l’étranger ne reviendront plus selon des économistes

"La France a de vraies capacités d'avoir des relocalisations industrielles", déclarait à la mi-septembre le ministre de l'Économie Bruno le Maire à l'occasion de la tenue d'un Conseil national de l'industrie.Depuis la crise financière de 2008, la question du "made in France" revient régulièrement sur la table. Car "la France a été le pays européen qui a le plus délocalisé", avec un million d'emplois industriels perdus entre 2000 et 2016, a rappelé le 12 septembre lors des Rencontres économiques d'Aix-en-Provence la ministre déléguée à l'Industrie Agnès Pannier-Runacher.Avec la crise actuelle, les annonces de fermetures de sites ou de réduction d'effectifs dans l'industrie vont se multiplier, soit en conséquence directe de l'épidémie de coronavirus comme chez Airbus, soit par manque de compétitivité comme chez Bridgestone à Béthune (Pas-de-Calais).Aussi le gouvernement a-t-il prévu dans son plan de relance des aides à la modernisation et à la localisation, mais celles-ci devront être "soutenables économiquement" pour ne pas financer des projets à perte, affirme la ministre.Robotisation"Dans tous les pays riches, l'industrie est un secteur en diminution en terme d'emplois parce qu'il a des gains de productivité plus élevés que le reste de l'économie, notamment du fait de l'automatisation qui est importante", explique Vincent Vicard, économiste au Cepii (Centre d'études prospectives et d'informations internationales).Pour El Mouhoub Mouhoud, professeur d'économie à Paris-Dauphine, il n'est pas toujours nécessaire de distribuer des aides publiques.C'est le cas dans les secteurs "pour lesquels il n'y a pas d'obstacle technique à la robotisation des chaînes d'assemblage et de montage", par exemple "l'automobile, la mécanique, y compris le bois, l'ameublement", détaille l'économiste.Au contraire, des industries intenses en main d'oeuvre et dont les tâches ne sont pas robotisables ne reviendront pas en France."On va recréer des emplois, mais pas ceux qu'on a perdus en délocalisant", résume M. Mouhoud, auteur d'un livre intitulé "Mondialisation et délocalisation des entreprises" (éd. La Découverte).Il existe "des secteurs sur lesquels on avait un savoir-faire qu'on a plus du tout parce que les technologies ont évolué", comme celui des écrans pour téléviseurs, relève pour sa part Paul-Adrien Hyppolite, auteur d'un récent fascicule intitulé "Relocaliser la production après la pandémie ?".Dans l'électronique notamment, "les parts de marché ont été gagnées par des géants asiatiques. Faire produire par un producteur français ou européen ne serait pas du tout envisageable", argue-t-il, mais "on pourrait envisager d'attirer en Europe des producteurs asiatiques qui sont en pointe sur ces technologies", comme le font les Américains avec une usine du géant taïwanais de la sous-traitance Foxconn dans le Wisconsin.Cibler les aidesPour M. Mouhoud, ce qui fait sens en matière d'aides publiques, c'est "la politique d'investissement dans l'innovation, d'aide à la recherche, parce que ça aide aussi ces entreprises à devenir plus efficaces."Dans l'industrie, les coûts du travail ne sont pas déterminants et "ne permettent absolument pas d'expliquer la différence entre la France et l'Allemagne", même si on intègre le poids de la fiscalité, estime pour sa part M. Vicard, pour lequel entrent davantage en considération des questions d'organisation comme le choix de nombreux grands groupes français de produire à l'étranger plutôt qu'en France.En France, les aides pour réduire le coût du travail ont jusqu'ici été inefficaces. Une étude que vient de publier France Stratégie, une agence qui conseille le gouvernement, montre que le Crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi (CICE), a coûté en 2016 quelque 18 milliards pour créer seulement 100.000 emplois, soit 180.000 euros par poste.Et le CICE a eu "un impact sur les exportations et l'investissement nul", toujours selon M. Vicard.
Il y a 4 ans et 257 jours

Bayou-sur-Yon, on dirait le Sud. Une éco-fiction

Incendies monstrueux en Californie, la Sibérie en état d’hypothermie, la banquise transformée en glaçon, la France sous la canicule ou noyée sous les inondations… Les nouvelles se suivent et donnent aux informations des airs d’apocalypse. Mais le pire est-il vraiment à venir ? Sur son piton rocheux, Talmont-Saint-Hilaire, c’est Aigues-Mortes de la Vendée. Le château écroulé […] L’article Bayou-sur-Yon, on dirait le Sud. Une éco-fiction est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 257 jours

Les parasites, moteur de l’évolution : entretien avec Jean-Lou Justine, parasitologue

Quand Jean-Lou Justine, professeur au Muséum national d’histoire naturelle de Paris, expose sa spécialité, la parasitologie, ...En savoir plus Cet article Les parasites, moteur de l’évolution : entretien avec Jean-Lou Justine, parasitologue est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 257 jours

Louis Natter élu à la présidence de l’Unicem entreprises engagées

Directeur du développement durable et des affaires publiques de Cemex France, Louis Natter a été élu président de l’association Unicem entreprises engagées. [©Unicem] Directeur du développement durable et des affaires publiques de Cemex France, Louis Natter a été élu président de l’association Unicem entreprises engagées. Il succède à Sylvie Lebreton qui assurait cette fonction depuis 2017. Louis Natter souhaite poursuivre la dynamique impulsée sous l’ancienne présidence et continuer à faire grandir l’association. En y intégrant davantage de PME/TPE. « Il est indispensable de faire rayonner les actions de l’association auprès de ces différents interlocuteurs. […] Ceci, pour atteindre leurs objectifs en matière environnementale et sociétale », souligne Louis Natter.  Son parcours Et de poursuivre : « De nombreux outils se développent dans le monde de l’évaluation RSE, car chacun a besoin de solidifier son organisation et de réduire les risques. En maîtrisant sa performance environnementale et/ou RSE. Avec notre démarche sectorielle RSE, nous disposons déjà des moyens importants pour maîtriser nos risques. Il est désormais nécessaire d’établir des passerelles entre les démarches d’évaluation des uns et des autres. Et ce, pour plus de lisibilité et de reconnaissance. Le label sectoriel RSE et la gestion de ce dernier sont des chantiers importants qui répondront à ce besoin ». Géographe de formation, Louis Natter débute sa carrière au sein de la Unicem en 2003, où il exerce plusieurs missions dans les domaines de l’environnement et du développement durable. En 2013, il rejoint Cemex. Il participe à différents projets de l’entreprise en matière de développement, d’innovation, de marketing, de RSE et d’affaires publiques.
Il y a 4 ans et 257 jours

Blagnac : la nouvelle clinique d’Andromède verra le jour d’ici fin 2021

La clinique du quartier d’Andromède en Haute-Garonne doit être livrée en 2021.
Il y a 4 ans et 257 jours

Suez va investir 1 milliard d’euros en France

Suez et son partenaire Vauban Infrastructure Partners ont décidé de doubler le financement de leur société commune - Suez Investissement Local pour de nouveaux projets dans le secteur de l’eau, de l’assainissement et des déchets.
Il y a 4 ans et 257 jours

A Villejuif, WRA transforme le microfoncier en ‘Friendly building’

Fin 2019, les Wild Rabbits Architectes (WRA) ont livré à Villejuif (Val-de-Marne), dans un tissu urbain complexe, un petit bâtiment visant à accueillir 17 étudiants. Bien loin de l’image du triste clapier pour étudiants, la dent creuse ainsi habitée fait désormais office de trait d’union architectural et social. Visite guidée. Le temps de marcher les […] L’article A Villejuif, WRA transforme le microfoncier en ‘Friendly building’ est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 257 jours

"Forte incertitude" sur la consommation électrique de l'hiver 2020-2021

RÉSEAU. Si, après une baisse observée pendant le confinement, la consommation d'électricité de la France s'est redressée en cette rentrée 2020, elle demeure toujours en retrait de son niveau habituel. Dans ses perspectives réactualisées pour l'hiver 2020-2021, RTE maintient sa vigilance et indique que le parc nucléaire ainsi que les importations seront davantage sollicités.
Il y a 4 ans et 258 jours

Repenser le métier d’architecte, nouveaux champs de compétence ?

Du global au local, faire système paraît, mieux que l’autoroute, un chemin tracé pour la profession. L’interview de Véronique Biau publiée par Chroniques le 1er septembre 2020(1), qui portait sur son long travail de recherche sur les évolutions de la profession, a suscité des réactions contrastées révélatrices d’une fracture générationnelle. De fait, de cet entretien, […] L’article Repenser le métier d’architecte, nouveaux champs de compétence ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 258 jours

Quels sont les aspects essentiels de l'enveloppe d'un bâtiment pour garantir sa performance énergétique ?

Les communications sur la performance énergétique des bâtiments se multiplient ces derniers mois (propositions de la convention citoyenne pour le climat, appel du Haut Conseil pour le Climat, annonces gouvernementales…).Pour ce Groupe de Travail du Pôle de compétitivité Fibres Energivie, une enveloppe constituée d'une isolation homogène et de ponts thermiques traités efficacement permet de diminuer considérablement la consommation énergétique. Les usagers voient ainsi leur "reste à vivre" augmenter. D'ailleurs, selon une étude menée par FLIR Systems, les ménages français gaspillent 11,5 milliards d'euros chaque hiver en raison d'une mauvaise isolation (401 € en chauffage pour un foyer moyen en France). De même, selon l'Observatoire national de la précarité énergétique (ONPE), 6,8 millions de personnes se trouvent en situation de « précarité énergétique », c'est-à-dire que leur facture énergétique pèse pour plus de 8 % de leur revenu. Enfin, la rénovation des passoires énergétiques supposerait une économie moyenne dans les dépenses des ménages à hauteur de 1.100 €/an, soit environ l'équivalent d'un Smic net par an. Le dispositif prévu par la loi n° 2009-323 du 25 mars 2009, dite loi MOLLE, permet au bailleur qui réalise des travaux d'économie d'énergie dans les parties privatives communes d'un bâtiment, de demander aux locataires une « contribution pour le partage des économies de charges ». Cette contribution figure dans la quittance sur une ligne spécifique appelée communément « 3ème ligne de quittance ». Ainsi, le bailleur dispose de revenus supplémentaires pour financer les opérations de rénovation futures destinées à réaliser des économies d'énergie. Celles-ci sont évaluées selon une méthode de calcul conventionnel de la consommation d'énergie résultant d'une étude thermique (dite réglementaire), et servent de base au calcul de la contribution demandée au locataire (avec un plafond fixé par la loi à 50% des économies d'énergies). Cependant, pour le Groupe de Travail, il s'avère primordial de rappeler que cette méthode de calcul comporte des incertitudes sur la représentativité réelle des consommations. Les bailleurs sociaux s'exposent alors au risque de devoir faire face à des situations conflictuelles avec : Une économie d'énergie non atteinte, ne permettant pas de concrétiser la réduction de charge escomptée ; Une 3ème de quittance injustifiée aux yeux des locataires ; Un montant de loyer sensiblement identique, voire en augmentation ; Une possible diminution du reste à vivre des foyers induisant une croissance des impayés pour le bailleur social ayant engagé des travaux. Cette possibilité offerte aux bailleurs représente un levier financier important, mais peut rapidement devenir contreproductive lorsque les méthodes de calcul ne sont pas représentatives des performances réelles du bâtiment après travaux. Ainsi, la difficulté récurrente à estimer précisément le gain énergétique, et à garantir la performance énergétique d'un projet de réhabilitation demeure un obstacle majeur pour définir avec assurance les économies atteintes en exploitation. Le bailleur social reste sous le joug d'une contre-référence tant énergétique que financière, pouvant aller jusqu'à hypothéquer sa capacité financière à poursuivre sa stratégie de rénovation sur le moyen terme.« Il semble que notre monde actuel ait pris conscience des enjeux d'aujourd'hui mais également ceux de demain. Cela est d'autant plus précieux que cette prise de conscience émane directement des citoyens. Il est donc primordial que les décisions, qui se prennent actuellement, positionnent le curseur au bon endroit. La rénovation des bâtiments existants est le levier majeur d'un des secteurs les plus énergivores de notre société. C'est en ce sens qu'elle doit être appréhendée plus en profondeur que par le passé : promouvoir et favoriser très en amont une Isolation Thermique par l'Extérieur « durablement » pérenne. Des garde-fous doivent être conservés, renforcés, intégrés à notre réglementation, mais la démarche doit aller plus avant en faisant de la mise en œuvre un point clé. Nous devons faire de l'accompagnement et la formation professionnelle aux métiers de l'ITE, l'un des socles de nos ambitions… » -Stéphane Lambert, Président du SNBVILa valeur « verte » des logements Au-delà des conséquences positives sur le reste à vivre des foyers, une enveloppe de qualité permet également de maintenir, voire d'augmenter la valeur patrimoniale d'un bien, dite la « valeur verte » des logements. En 2018, les notaires ont indiqué que les maisons de classe F-G se sont vendues, en moyenne, de 6 à 19 % moins cher que les maisons de classe D. A contrario, celles de classe A-B affichent, en moyenne, un prix de 5 à 11 % supérieur à celles de classe D.Les enjeux liés à la future RE2020"Afin de garantir une qualité homogène de l'enveloppe du bâti depuis la conception, la réalisation et pendant l'exploitation du bâtiment, il est nécessaire d'utiliser des indicateurs réglementaires ambitieux dans la prochaine RE2020. Par exemple, l'isolation en rénovation est un concentré de cas particuliers. Il convient donc d'être en mesure d'évaluer les singularités alors que la bibliothèque RT actuelle est à vocation générique ! Il est nécessaire de mettre en place des garde-fous cohérents avec les objectifs ambitieux de performance en exploitation pour réussir la transition énergétique des bâtiments. Pour les opérations de constructions neuves, les méthodologies d'évaluation des déperditions thermiques laissent toujours place à des approximations favorables à l'adoption de solutions techniques peu performantes sur le plan thermique, privilégiant une rationalisation financière des projets. Ainsi, nombre de solutions « optimisées » induisent en réalité des déperditions thermiques notables dégradant de plus de 50 % les Uparois, sans générer la moindre alerte de non-conformité réglementaire. Ces bâtiments neufs prétendant atteindre une cible de besoin de chauffage à hauteur de 30 kWh/m².an seront plutôt, en réalité, à des niveaux proches de 50 kWh/m².an, générant des surcoûts en exploitation, et des risques pour le confort et la santé des occupants" (cf. CP précédent du Groupe de Travail sur la Qualité de l'Enveloppe). -David Corgier, cabinet d'ingénierie énergétique MANASLUDans le cadre de l'élaboration de la future RE2020, le Groupe de Travail souhaite appuyer les priorités suivantes concernant les indicateurs réglementaires : Le besoin Bioclimatique (Bbio) doit être équivalent à : standard RT2012 - 40 % ; La Consommation d'énergie primaire (Cep) doit être équivalente à : standard RT 2012 - 20 % (et suppression de toute dérogation) ; Les seuils pour limiter les ponts thermiques doivent être conservés voire renforcés ; Réintroduction de bibliothèques de bases de données de ponts thermiques mises à jour à partir des configurations et des méthodes constructives actuelles ; Mise en place d'un suivi de la performance énergétique. Dans certains cas, une procédure de commissionning doit être rendue obligatoire (petite enfance, EHPAD, santé, éducation…).Pour le Groupe de Travail qui milite en faveur d'une qualité homogène de l'enveloppe du bâtiment, il est impératif : d'adopter une approche globale pour l'efficience des opérations (coût global, 3ème ligne de quittance, reste à vivre, durabilité…). de conserver et introduire des indicateurs et des garde-fous cohérents dans la RE2020 pour la construction neuve et adapter la règlementation à la rénovation (Bbio, Cep, garde fous sur les ponts thermiques, Bases de données actualisées, méthode de commissionning). de garantir les moyens de la rénovation et de la construction neuve : mettre en place des obligations de moyens mais surtout de résultats associés à une évaluation objective de la performance (réelle et vérifiée).
Il y a 4 ans et 258 jours

Pour un architecte, le crime n’est pas toujours signé

L’architecte qui aime la discrétion signe-t-il pour autant ses bâtiments ? Le devrait-il ? Ethel Hazel, poursuivant son analyse, se demande ce que cache cet art de la dissimulation. *** « Je n’ai jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture n’ait dissipé » Montesquieu *** C’est justement parce qu’elle s’apprêtait à recevoir l’architecte Dubois qu’Ethel Hazel […] L’article Pour un architecte, le crime n’est pas toujours signé est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 258 jours

De la beauté pour survivre… – Lettre ouverte de Beyrouth, par Lina Ghotmeh

Le 4 août 2020 juste avant 18h00, alors que je venais d’arriver à Beyrouth depuis Paris, une explosion massive a frappé la ville, effaçant son cœur battant par le Port. Plus de 191 morts, 6500 blessés, 300 000 déplacés et au-delà de 6000 maisons détruites. De nombreux bâtiments historiques ont été réduits en poussières, faisant […] L’article De la beauté pour survivre… – Lettre ouverte de Beyrouth, par Lina Ghotmeh est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 258 jours

Eiffage Construction termine le gros-œuvre de l’Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux

Le gros-œuvre des travaux de rénovation de l’Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux sur le point d’être achevé par Eiffage Construction.
Il y a 4 ans et 258 jours

Carpentras : 432 logements de la cité du Pous du Plan rénovés d’ici début 2022

L’achèvement des travaux de réhabilitation de 432 logements de la cité du Pous du Plan à Carpentras est prévu pour début de l’année 2022.
Il y a 4 ans et 258 jours

Grand Paris : une nouvelle enveloppe de 3Mds€ de crédits bancaires

BANQUE. La Société générale mobilise de nouveaux fonds afin de financer des projets en lien avec le Grand Paris. Acteurs publics, promoteurs, aménageurs, entreprises de BTP peuvent dès à présent les solliciter.