Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

256743 actualités disponibles
Il y a 4 ans et 361 jours

Une île triangulaire de 43 logements, signée BFV à Nanterre

Pour penser le "monde d'après", l'architecte doit relever les défis qui s'imposent à lui aujourd'hui. Son métier, son rapport à l'écologie et à la conception de la ville et du logement, autant de sujets que la crise sanitaire a ébranlé. La Cité de l'architecture et du patrimoine […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 362 jours

AFEX 2020 – Grand Prix, Mention spéciale et le palmarès

Le Grand Prix AFEX 2020 a été décerné à l’agence architecturestudio pour l’immeuble Summers à Buenos Aires en Argentine. Un Prix spécial du jury a été attribué au Campus scolaire construit par l’Atelier Tanka dans la vallée du Zanskar en Inde. Grand Prix AFEX 2020 – Immeuble Summers à Buenos Aires, Argentine, par architecturestudio A […] L’article AFEX 2020 – Grand Prix, Mention spéciale et le palmarès est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 362 jours

L’Atelier Confiné des étudiants à l’ENSA-V

A la Galerie d’architecture à paris, une sélection de dessins d’étudiants de l’ENSA-Versailles produits durant le confinement. Atelier encadré par Guillaume Ramillien. Jusqu’au 17 juillet 2020. Lundi 16 mars, midi. Comme nous tous, mes étudiants et moi-même nous sommes trouvés assignés à résidence pour participer à lutter contre la propagation de l’épidémie de COVID-19 alors […] L’article L’Atelier Confiné des étudiants à l’ENSA-V est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 362 jours

Pour le groupe scolaire Ernest Renan de Villeurbanne, c’est Moon Safari

L’agence bordelaise Moon Safari réalisera l’extension et la restructuration du groupe scolaire Ernest Renan à Villeurbanne (Rhône). Avec une surface de 1 727 m² et un budget de 4,3 M€ HT, le projet entend mettre en valeur un patrimoine architectural de qualité. Communiqué succinct. Situé au cœur d’un quartier en pleine mutation à Villeurbanne, le […] L’article Pour le groupe scolaire Ernest Renan de Villeurbanne, c’est Moon Safari est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 362 jours

ADP : quatre grands chantiers relancés

Sur les plateformes de Roissy et Orly, le groupe Aéroports de Paris a redémarré ses travaux prioritaires. Le point sur la situation avec Thierry de Séverac, directeur ingénierie et aménagement du groupe.
Il y a 4 ans et 363 jours

Esprit Loft ? Cinq demeures d’exception à Deauville signées Wilmotte & Associés

Faubourg Immobilier, promoteur spécialisé en immobilier résidentiel, et le cabinet d’architectes de renom Wilmotte & Associés ont travaillé de concert à une réalisation exceptionnelle intitulée Esprit Loft, cinq villas au cœur de la presqu’île à Deauville (Calvados). Communiqué. Faubourg Immobilier a présenté en juin 2020 sa dernière opération prestigieuse réalisée en collaboration avec Wilmotte & Associés […] L’article Esprit Loft ? Cinq demeures d’exception à Deauville signées Wilmotte & Associés est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Cimbat
Il y a 4 ans et 363 jours

Les professionnels déplorent le maintien des recommandations du HCSF sur les crédits immobiliers

Parmi ces mesures, celle de "laisser inchangé à 0% le coussin de fonds propres bancaires contra-cyclique" au vu des "circonstances actuelles et pour soutenir l'offre de crédit aux entreprises, notamment les TPE et PME qui dépendent fortement du financement bancaire", indique le HSCF dans un communiqué.Le "coussin contra-cyclique" est une réserve supplémentaire de capital à mettre de côté par les banques en cas de retournement de la conjoncture financière.Ce coussin s'élevait à 0,25% des fonds propres des banques depuis le 1er juillet 2019, et devait être augmenté à 0,5% en avril. Conséquence du Covid-19, il a été supprimé dès le 18 mars.Rappelant que les acteurs financiers français ont abordé cette crise dans une position "solide" avec des réserves de capital renforcées, le Haut Conseil continue d'appeler à "une attitude responsable" les banques et assurances en matière de distribution de dividendes, rachats d'actions et versements de rémunérations variables.Le HCSF, qui rassemble notamment le ministère de l'Économie et la Banque de France, anticipe par ailleurs "une reprise d'activité rapide" sur le marché immobilier tout en rappelant ses recommandations de prudence dans l'octroi de crédits immobiliers: pas d'emprunt supérieur à une durée de 25 ans et respect d'un taux d'endettement à 33%.En toile de fond "les risques pour le système financier restent toutefois à un niveau élevé, compte tenu de l'ampleur des pertes économiques déjà subies et à venir", estime le HCSF, soulignant "l'incertitude sanitaire et la trajectoire de la reprise".D'où également le maintien de sa mesure dite "grands risques", en vigueur depuis mai 2018, consistant à réduire l'exposition des grandes banques aux grandes entreprises endettées en limitant leur exposition à ces dernières à un niveau maximum de 5% de leurs fonds propres éligibles.Cette mesure vise aussi à faciliter "la mise en œuvre des dispositifs de soutien au financement des entreprises", explique-t-il.Sur la possible création d'une structure de défaisance, ou "bad bank", une source proche du HCSF écarte cette option."Ce n'est pas à l'ordre du jour actuellement en France (...) le secteur financier est tout a fait à même d'absorber cette crise et même d'accompagner les entreprises françaises dans cette crise en faisant plus de prêts", estime cette même source.Les primo-accédants encore plus pénalisés face à l'emprunt immobilier selon La Centrale de FinancementLes primo-accédants sont une source naturelle de la production de crédit immobilier. Avec la crise sanitaire, ceux-ci ont été fortement impactés par la baisse de leur pouvoir d'achat, ne leur permettant plus de s'engager sur un projet d'emprunt immobilier. La décision du Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) risque d'aggraver la situation d'un pan de la population déjà suffisamment meurtri par la crise...« Le maintien de ces mesures restrictives par le HCSF (pas d'emprunt supérieur à une durée de 25 ans ni d'endettement au-delà de 33%) aura pour effet premier de pénaliser encore davantage les primo-accédants, déjà fortement affectés par l'augmentation du chômage partiel. C'est une véritable mauvaise nouvelle pour le marché du crédit immobilier.Celui-ci s'était naturellement régulé avec la crise sanitaire et ce, sans intervention du HCSF. Le premier semestre 2020 illustre d'ailleurs cette tendance avec 200 000 transactions immobilières de moins par rapport à l'année passée. Alors que nous envisagions sereinement la reprise, la décision du HCSF n'envoie aucun signe positif pour l'encourager et la favoriser... Cette position inflexible et intransigeante est en totale contradiction avec les annonces formulées par le gouvernement et les pouvoirs publics souhaitant, à l'inverse, dynamiser l'activité économique. Le marché du crédit immobilier porte notre économie, Il est donc plus que jamais urgent d'en assouplir les conditions d'accès ! »Sylvain Lefèvre, Président de La Centrale de FinancementLCA-FFB déplore le maintien des recommandations du HCSFÀ l'heure où les remontées de terrain sur la très forte dégradation de l'activité commerciale du secteur se confirment dans les statistiques du marché, au moment où le Gouvernement prépare un plan de relance de la construction, LCA-FFB s'étonne que le HSCF confirme sa position. Ces règles conduisent à fortement contraindre la distribution de crédits immobiliers, avec des effets qui se font durement ressentir (en particulier par les jeunes ménages et les familles modestes). L'enquête conduite début juin par LCA-FFB auprès de ses adhérents montre que 75% d'entre eux constatent un net durcissement des conditions d'octroi des prêts immobiliers, proportion en hausse de 11 points par rapport à la précédente enquête de fin avril.À fin avril, les ventes de maisons neuves en secteur diffus se sont écroulées de 36% sur trois mois en glissement annuel[1] et de 59% sur le mois d'avril. À fin mars, selon les données publiées par le Ministère du Logement[2], les réservations de logements neufs auprès des promoteurs immobiliers ont chuté de 24% par rapport au premier trimestre 2019 (-24% pour le collectif et -29% pour l'individuel groupé) et les mises en vente de logements enregistrent un recul de 28% sur cette même période.Grégory Monod, Président de LCA-FFB : « le maintien des recommandations du HCSF est incompréhensible au regard de la maîtrise des risques par le système financier français, qui ne montre toujours pas de signes de fragilité, et alors que la situation du logement neuf se dégrade fortement. Le violent trou d'air provoqué par la crise du Covid-19 va lourdement frapper nos entreprises et nos emplois. Un plan de relance d'envergure, à court et à moyen terme, et à la hauteur des enjeux du secteur est indispensable.Dans l'immédiat, il faut permettre aux établissements de crédit d'accompagner les particuliers dans la réalisation de leurs projets. Ensuite, il faut prendre des mesures pour améliorer la solvabilisation des ménages et séduire les investisseurs disposant d'épargne. Les outils peu coûteux qui ont fait leurs preuves par le passé doivent être privilégiés : prêt à taux zéro, APL Accession, dispositif Pinel.Il est urgent de les renforcer car sans une réaction rapide, le pire est à craindre ! »[1] CGI Bâtiment/Caron Marketing, indicateur Markemétron.[2]Service des données et études statistiques (SDES) / Enquête sur la commercialisation des logements neufs (ECLN)
Il y a 4 ans et 364 jours

Prolongation de l’exposition “Home Stories : 100 ans, 20 intérieurs visionnaires” jusqu’en 2021

L’exposition “Home Stories : 100 ans, 20 intérieurs visionnaires” est prolongée jusqu’au 28 février 2021 au Vitra Design Museum... Cet article Prolongation de l’exposition “Home Stories : 100 ans, 20 intérieurs visionnaires” jusqu’en 2021 est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 364 jours

Le gouvernement devrait reporter d'un an la révision de la fiscalité du gazole

"A la demande des professionnels, et dans le cadre des mesures de soutien aux entreprises face à la crise, on a accepté de décaler d'un an l'entrée en vigueur de la suppression de l'avantage fiscal sur le GNR pour l'ensemble des secteurs concernés", a indiqué à l'AFP un porte-parole du ministère de l'Économie et des Finances.Cette suppression devait s'effectuer de façon progressive, en trois paliers successifs: avec une hausse de la fiscalité le 1er juillet 2020 puis le 1er janvier 2021, avant l'élimination complète de la niche fiscale au 1er janvier 2022.Un amendement du gouvernement sera déposé dans le cadre de la troisième loi de finances rectificative pour décaler ce calendrier et supprimer entièrement l'avantage fiscal au 1er juillet 2021, explique-t-on à Bercy."On décale l'entrée en vigueur (d'un an) pour protéger les entreprises et leur trésorerie, mais par contre, il n'y aura pas de progressivité: on ira directement au taux de droit commun (...) La suppression (en totalité) de cet avantage fiscal sera effective six mois avant la date prévue initialement", insiste-t-on au ministère.Les entreprises du bâtiment et des travaux publics étaient très mobilisées ces derniers mois pour réclamer le maintien du taux préférentiel sur la taxe frappant l'usage du GNR afin de surmonter les graves difficultés économiques générées par la crise sanitaire du Covid-19 et le confinement."Je me réjouis que le gouvernement ait finalement accédé à notre demande de bon sens, dans le contexte de crise et de difficultés de trésorerie (...) Le maintien du premier relèvement de taxes au 1er juillet aurait exacerbé les tensions au sein de nos entreprises", a observé jeudi Bruno Cavagné, président de la Fédération nationale des Travaux publics, dans une réaction transmise à l'AFP.De son côté, l'organisation CNATP (artisans des travaux publics et du paysage) a salué jeudi soir un résultat obtenu selon elle grâce à son "travail sans relâche (...) depuis des semaines", tout en évoquant des points de "vigilance" sur l'application de cette mesure, notamment des points techniques comme la coloration du carburant.
Il y a 4 ans et 364 jours

Atelier Data : Casa no cercal

C’est à Cercal dans la région du Centre au Portugal que l’agence d’architecture Atelier Data a réinterprété la maison traditionnelle portugaise en érigeant une villa solaire qui s’intègre parfaitement au paysage vallonné alentour. Casa no cercal est une maison de 195 mètres carrés ouverte sur la nature. Fascinés par les reliefs de la région, les architectes d’Atelier Data ont choisi de valoriser la relation de la villa avec les éléments naturels environnants, notamment les collines et la rivière. Les architectes ont ainsi abaissé les frontières entre intérieur et extérieur grâce à des fenêtres et des portes vitrées coulissantes qui laissent entrer la lumière naturelle et offrent de belles vues sur le paysage. Dans la même logique, ils ont également agencé plusieurs patios, des petits espaces extérieurs plus confidentiels, qui font circuler la lumière dans la maison, et crée une grande salle de séjour qui ouvre de plain-pied sur une grande terrasse prolongée par une couloir de nage. À l’intérieur, le blanc règne en maître absolu. Partout des meubles dépareillés, des matières naturelles, des céramiques colorées distillent un esprit estival. Une véritable ode à la nature ! Pour en savoir plus, visitez le site d’Atelier Data. Photographies : © Richard John SeymourLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 364 jours

Conseils pour bien communiquer lors d’un salon du BTP

Les salons sont des opportunités en or pour conclure un contrat ou faire connaitre sa société. Et cela est valable même dans le secteur du BTP. Pour certains débutants, établir une bonne communication avec les clients cibles semble difficile voire impossible. Car il faut le dire, vous aurez beau fournir le meilleur travail au monde, la visibilité reste la clé du succès. Adopter la bonne communication dans le BTP aide ainsi à faire connaître aux clients potentiels votre savoir faire. Il n’est pas alors d’une simple rencontre mais d’un échange au profit des intervenants. Les règles de la communication Dans le BTP, établir une communication efficace permet d’obtenir des résultats rapides. Durant un salon, faites connaître vos activités en respectant les règles de base de la communication suivantes : Cibler la clientèle : établir une communication vous oblige à vous adresser à la bonne clientèle. Déterminez ainsi quel genre de personne vous cherchez à atteindre. Privilégier l’e-relation : c’est-à-dire que vous devez accorder la présence en ligne. Vous pouvez ainsi créer un site internet ou encore posséder une page sur les réseaux sociaux. Faites une bonne exploitation des réseaux sociaux  car c’est un outil important. Sur les réseaux sociaux, vous pouvez montrer vos projets et parler directement avec les clients. Privilégier le contact réel : durant le salon rapprochez vous de vos clients (partagez des flyers, donnez des cartes de visite, faites bon usage des affiches). Faites vous aidez par des auxiliaires comme www.maxilia.fr/. Misez sur votre compétence, sur votre originalité et ce qui vous démarque des autres participants. La visibilité dans les lieux dédiés au BTP Parce que vous n’aurez pas à participer qu’à un seul salon. Dans la mise en place d’une bonne communication, il faut aussi que vos présences aient lieu dans des espaces dédiés au BTP (CCI, chambre des métiers, chambre de commerce, etc.). Ainsi votre visage ne sera pas nouveau tout en ayant la possibilité de trouver des gens intéressés par votre travail. Lors d’un salon donné, soyez dans la catégorie des entreprises du bâtiment. Ainsi lorsque des visiteurs passent dans le salon, ils sauront pertinemment vers où se diriger pour consulter des spécialistes du BTP. Pour plus de visibilité, mettez en avant des outils de communication indiquant que vous êtes dans le domaine du BTP (si vous vendez des machines par exemple alors n’hésitez pas à les exposer de façon stratégique). Le but est d’attirer l’attention des personnes cibles en indiquant de façon suggestive que vous êtes le professionnel à qui ils doivent faire appel. Privilégier le partenariat Dans le domaine du BTP, les activités se basent aussi sur des partenariats. Avant même le commencement du salon, faites des alliances avec d’autres professionnels dans le domaine. Si vous vendez par exemple des machines de chantier, vous pouvez adopter comme partenariat une entreprise experte dans la construction. L’avantage avec le partenariat c’est que vous jouissez d’une double communication lors d’un salon. Ainsi lors de cet évènement, vous faites connaitre votre service et celui de votre partenaire. Ce dernier en fera de même pour vous. Dans cette perspective, il est toujours conseillé d’avoir de bonnes relations avec les investisseurs. Ces derniers peuvent rapidement vous mettre en contact avec des clients en référençant vos compétences. L’idéal est de privilégier les partenariats avec des constructeurs. Car ces derniers peuvent proposer un meilleur rapport qualité-prix tout en effectuant votre publicité auprès de leurs clients.
Il y a 4 ans et 364 jours

Un tiers des Français souhaitent rénover leur logement d'ici la fin de l'année

Après deux mois de confinement et alors que la crise sanitaire se poursuit, la maison est plus que jamais un refuge pour les Français qui ont envie de s'y sentir bien. Dans ce contexte, Cofidis a interrogé les Français sur la rénovation de leur logement : envisagent-ils de rénover leur logement ? quels projets de rénovation souhaitent-ils mener ? quelles sont leurs motivations ? quels sont leurs freins ? quel est leur budget ? comment envisagent-ils de financer leur projet ?Les travaux de rénovation ont la coteParmi les résultats marquants de l'étude, on remarque que les Français aiment entreprendre des travaux de rénovation : près des trois quarts d'entre eux (73%) en ont effectués ces dernières années, notamment les retraités (78%) et les propriétaires (86%) qui sont largement représentés en France (58% des Français sont propriétaires de leur résidence principale)[1].À noter que 65% des chantiers réalisés sont assez récents (moins de deux ans) et ont été effectués principalement par les personnes qui s'installent dans la vie, les moins de 35 ans (79%).54% des Français, soit près de 30 millions de personnes, ont l'intention de faire des travaux de rénovation prochainement, notamment les 25/34 ans (68%) et les CSP+ (65%) ; et un tiers (37%) d'ici la fin de l'année 2020. C'est le 2ème projet le plus populaire chez les Français après « partir en voyage »[2].Le confort de vie est la raison principale pour laquelle les Français entreprennent des travaux de rénovation,pour améliorer le confort de leur logement (52%) et éviter la vétusté (32%) :48% d'entre eux envisagent des travaux de décoration des pièces de vie (murs, sols, etc.), notamment les locataires (64%) et les personnes résidant en appartement (57%).32% planifient la réfection d'une cuisine ou d'une salle de bain, en particulier les Franciliens (41%).La rénovation énergétique passe au second planSeul un Français sur 4 (26%) prévoit des travaux de rénovation énergétique ou d'isolation thermique, principalement les habitants des petites et moyennes villes[3] (35%) et les propriétaires (29%).Seuls 24% des Français affirment vouloir entreprendre des travaux pour réduire leur facture énergétique, en particulier les personnes résidant dans une maison (28%).Le financement reste le principal freinPour les Français, la rénovation du logement rime d'abord avec budget (pour 55% des Français), loin devant l'efficacité énergétique (37%).Le budget envisagé par les Français pour leurs travaux de rénovation n'est pas neutre : 9 550€ en moyen, avec des différences importantes selon les catégories de Français : 6 400€ en moyenne pour les 18/24 ans. A savoir que plus d'un quart d'entre eux (26%) estiment leur budget à moins de 1 000€.10 050€ en moyenne pour les CSP- sachant qu'un tiers prévoient un budget de moins de 5 000€.10 200€ en moyenne pour les CSP+. On note que 21% d'entre eux déclarent un budget de 10 000€ et plus.9 480€ pour les retraités. Plus d'un quart (27%) estiment une facture supérieure à 10 000€ et plus.31% des Français affirment que le manque de budget est la raison pour laquelle ils n'envisagent pas de travaux ; un frein principalement évoqué par les CSP- (39%), dont la situation financière risque de se dégrader dans les prochains mois. En effet, selon le dernier Baromètre du pouvoir d'achat Cofidis / CSA publié début juin, 54% des CSP- déclarent que leur situation financière personnelle est déjà touchée par la crise sanitaire. La somme qui leur manque pour financer leurs travaux est de 14 400€ en moyenne. Un montant qui s'élève à 16 000€ chez les retraités.Les conclusions de l'enquêteLa faible part des Français qui prévoient des travaux de rénovation énergétique ne serait dont pas liée à un désintérêt pour les enjeux environnementaux (d'après la consultation citoyenne « Inventer le monde d'après », le respect de l'environnement est au cœur des problématiques exprimées[4]).Elle pourrait s'expliquer par le coût important qu'elle engendre et l'impossibilité des Français de financer de tels travaux : parmi les travaux de rénovation énergétique, l'isolation est le chantier privilégié des Français (38% choisissent d'abord d'isoler leur logement[5]). Selon l'Ademe, le coût de tel travaux se situerait entre 2 000€ et 7 600€ HT mais ils permettraient aux Français de réaliser jusqu'à 25% d'économie sur leur facture énergétique annuelle. Pour optimiser son système de chauffage, le coût des travaux s'élève entre 4 000€ et 12 000€ HT, selon le dispositif choisi.Pour financer leurs travaux de rénovation, les Français utilisent principalement le budget qu'ils ont économisé à cet effet (50%) notamment les 50/64 ans (54%), ou alors, le budget courant de leur foyer (40%) en particulier les foyers les plus modestes (43%).Ils font également appel à d'autres modes de financement qui viennent compléter leur stratégie et leur capacité financière, comme le crédit à la consommation (17%), surtout les 18/24 ans (27%).En revanche, seuls 9% des Français déclarent faire appel aux aides financières / crédits d'impôts mis en place par l'État. Ces dispositifs « verts » sont en effet mal connus (65% des Français déclarent mal les connaître), ce qui peut expliquer la part faible des Français qui engagent des travaux de rénovation énergétique.Afin de réduire leurs factures, les Français réalisent eux-mêmes leurs travaux : une grande majorité (61%) font leurs travaux en partie eux-mêmes et seul un Français sur six (17%) confie l'ensemble de ses travaux à des professionnels.Ils privilégient également la location et l'occasion : location d'outils ou de matériels d'une enseigne commerçante (72%), l'achat d'outils ou de matériels à prix discount ou d'occasion (66%) ou encore la location d'outils ou de matériels entre particuliers (58%).Mathieu Escarpit, Directeur Marketing de Cofidis, déclare : « Les Français sont familiers des travaux de rénovation. Le confinement a renforcé cette tendance et, malgré la crise économique qui s'amorce, les Français maintiennent leurs envies de réaliser des travaux de rénovation. On observe que la priorité est donnée au confort et à l'agrément de leur habitat plutôt qu'à la rénovation énergétique, plus onéreuse. À juste titre, le financement pour entreprendre des travaux de grande ampleur reste une problématique majeure pour les Français alors que des financements alternatifs et des aides et crédits d'impôts existent. Chez Cofidis, nos 800 conseillers sont à l'écoute de nos clients pour les aider à réaliser leur projet et à construire la stratégie financière la plus adaptée à leur situation financière personnelle ».Pour télécharger l'infographie des résultats de l'enquête, cliquez ici[1]Source Insee – Statistique Propriétaires et Locataires. 27 février 2020[2]Selon les résultats de la 9ème édition du Baromètre du pouvoir d'achat Cofidis / CSA (juin 2020)[3]Entre 2 000 et 20 000 habitants[4]Consultation citoyenne menée par un groupement d'associations. « Inventons le monde d'après ». Du 10 avril au 25 mai 2020. Consultable sur Make.org[5]Source Ademe - Observation sur les prix de la rénovation énergétique des logements. Octobre 2019.
Il y a 4 ans et 364 jours

Un tiers des Français souhaite rénover leur logement d'ici la fin de l'année

Après deux mois de confinement et alors que la crise sanitaire se poursuit, la maison est plus que jamais un refuge pour les Français qui ont envie de s'y sentir bien. Dans ce contexte, Cofidis a interrogé les Français sur la rénovation de leur logement : envisagent-ils de rénover leur logement ? quels projets de rénovation souhaitent-ils mener ? quelles sont leurs motivations ? quels sont leurs freins ? quel est leur budget ? comment envisagent-ils de financer leur projet ?Les travaux de rénovation ont la coteParmi les résultats marquants de l'étude, on remarque que les Français aiment entreprendre des travaux de rénovation : près des trois quarts d'entre eux (73%) en ont effectués ces dernières années, notamment les retraités (78%) et les propriétaires (86%) qui sont largement représentés en France (58% des Français sont propriétaires de leur résidence principale)[1].À noter que 65% des chantiers réalisés sont assez récents (moins de deux ans) et ont été effectués principalement par les personnes qui s'installent dans la vie, les moins de 35 ans (79%).54% des Français, soit près de 30 millions de personnes, ont l'intention de faire des travaux de rénovation prochainement, notamment les 25/34 ans (68%) et les CSP+ (65%) ; et un tiers (37%) d'ici la fin de l'année 2020. C'est le 2ème projet le plus populaire chez les Français après « partir en voyage »[2].Le confort de vie est la raison principale pour laquelle les Français entreprennent des travaux de rénovation,pour améliorer le confort de leur logement (52%) et éviter la vétusté (32%) :48% d'entre eux envisagent des travaux de décoration des pièces de vie (murs, sols, etc.), notamment les locataires (64%) et les personnes résidant en appartement (57%).32% planifient la réfection d'une cuisine ou d'une salle de bain, en particulier les Franciliens (41%).La rénovation énergétique passe au second planSeul un Français sur 4 (26%) prévoit des travaux de rénovation énergétique ou d'isolation thermique, principalement les habitants des petites et moyennes villes[3] (35%) et les propriétaires (29%).Seuls 24% des Français affirment vouloir entreprendre des travaux pour réduire leur facture énergétique, en particulier les personnes résidant dans une maison (28%).Le financement reste le principal freinPour les Français, la rénovation du logement rime d'abord avec budget (pour 55% des Français), loin devant l'efficacité énergétique (37%).Le budget envisagé par les Français pour leurs travaux de rénovation n'est pas neutre : 9 550€ en moyen, avec des différences importantes selon les catégories de Français : 6 400€ en moyenne pour les 18/24 ans. A savoir que plus d'un quart d'entre eux (26%) estiment leur budget à moins de 1 000€.10 050€ en moyenne pour les CSP- sachant qu'un tiers prévoient un budget de moins de 5 000€.10 200€ en moyenne pour les CSP+. On note que 21% d'entre eux déclarent un budget de 10 000€ et plus.9 480€ pour les retraités. Plus d'un quart (27%) estiment une facture supérieure à 10 000€ et plus.31% des Français affirment que le manque de budget est la raison pour laquelle ils n'envisagent pas de travaux ; un frein principalement évoqué par les CSP- (39%), dont la situation financière risque de se dégrader dans les prochains mois. En effet, selon le dernier Baromètre du pouvoir d'achat Cofidis / CSA publié début juin, 54% des CSP- déclarent que leur situation financière personnelle est déjà touchée par la crise sanitaire. La somme qui leur manque pour financer leurs travaux est de 14 400€ en moyenne. Un montant qui s'élève à 16 000€ chez les retraités.Les conclusions de l'enquêteLa faible part des Français qui prévoient des travaux de rénovation énergétique ne serait dont pas liée à un désintérêt pour les enjeux environnementaux (d'après la consultation citoyenne « Inventer le monde d'après », le respect de l'environnement est au cœur des problématiques exprimées[4]).Elle pourrait s'expliquer par le coût important qu'elle engendre et l'impossibilité des Français de financer de tels travaux : parmi les travaux de rénovation énergétique, l'isolation est le chantier privilégié des Français (38% choisissent d'abord d'isoler leur logement[5]). Selon l'Ademe, le coût de tel travaux se situerait entre 2 000€ et 7 600€ HT mais ils permettraient aux Français de réaliser jusqu'à 25% d'économie sur leur facture énergétique annuelle. Pour optimiser son système de chauffage, le coût des travaux s'élève entre 4 000€ et 12 000€ HT, selon le dispositif choisi.Pour financer leurs travaux de rénovation, les Français utilisent principalement le budget qu'ils ont économisé à cet effet (50%) notamment les 50/64 ans (54%), ou alors, le budget courant de leur foyer (40%) en particulier les foyers les plus modestes (43%).Ils font également appel à d'autres modes de financement qui viennent compléter leur stratégie et leur capacité financière, comme le crédit à la consommation (17%), surtout les 18/24 ans (27%).En revanche, seuls 9% des Français déclarent faire appel aux aides financières / crédits d'impôts mis en place par l'État. Ces dispositifs « verts » sont en effet mal connus (65% des Français déclarent mal les connaître), ce qui peut expliquer la part faible des Français qui engagent des travaux de rénovation énergétique.Afin de réduire leurs factures, les Français réalisent eux-mêmes leurs travaux : une grande majorité (61%) font leurs travaux en partie eux-mêmes et seul un Français sur six (17%) confie l'ensemble de ses travaux à des professionnels.Ils privilégient également la location et l'occasion : location d'outils ou de matériels d'une enseigne commerçante (72%), l'achat d'outils ou de matériels à prix discount ou d'occasion (66%) ou encore la location d'outils ou de matériels entre particuliers (58%).Mathieu Escarpit, Directeur Marketing de Cofidis, déclare : « Les Français sont familiers des travaux de rénovation. Le confinement a renforcé cette tendance et, malgré la crise économique qui s'amorce, les Français maintiennent leurs envies de réaliser des travaux de rénovation. On observe que la priorité est donnée au confort et à l'agrément de leur habitat plutôt qu'à la rénovation énergétique, plus onéreuse. À juste titre, le financement pour entreprendre des travaux de grande ampleur reste une problématique majeure pour les Français alors que des financements alternatifs et des aides et crédits d'impôts existent. Chez Cofidis, nos 800 conseillers sont à l'écoute de nos clients pour les aider à réaliser leur projet et à construire la stratégie financière la plus adaptée à leur situation financière personnelle ».Pour télécharger l'infographie des résultats de l'enquête, cliquez ici[1]Source Insee – Statistique Propriétaires et Locataires. 27 février 2020[2]Selon les résultats de la 9ème édition du Baromètre du pouvoir d'achat Cofidis / CSA (juin 2020)[3]Entre 2 000 et 20 000 habitants[4]Consultation citoyenne menée par un groupement d'associations. « Inventons le monde d'après ». Du 10 avril au 25 mai 2020. Consultable sur Make.org[5]Source Ademe - Observation sur les prix de la rénovation énergétique des logements. Octobre 2019.
Il y a 4 ans et 364 jours

Etat des lieux sur les ciments à base de sédiments

La norme ciment NF EN 197-1 est contraignante sur le produit final. Mais ne fournit aucune exigence sur les caractéristiques des matières premières du cru… Opération de préparation du cru dans une cimenterie. ACPresse] I – A quelles problématiques peut répondre la synthèse des ciments ? De nos jours, le niveau de production de déchets solides dans le monde est compris entre 1,3 à 2,2 Mdt/an. Ce volume devrait sans doute s’accroître en raison du développement démographique et économique mondial. Mais aussi du fait d’une surconsommation et d’une utilisation inefficiente des matériaux. En général, les déchets produits, ainsi que les émissions s’y rapportant, sont liés à des produits de la construction, aux ordures ménagères, à l’exploitation minière, aux processus agricoles, aux déchets municipaux et industriels, à la circulation maritime… Il y a donc lieu de trouver des méthodes de gestion efficaces, des techniques d’élimination appropriées. Une dose d’innovation conduisant in fine à l’utilisation de matériaux durables, telle qu’impulsée dans bon nombre de doctrines de l’Union européenne, à l’image du “Green Deal”, des programmes H2020…  Outre le problème de la gestion des déchets et du fait qu’entre 6 et 10 Mdt de bétons sont produits chaque année dans le monde, l’industrie de la construction a un Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 364 jours

Une relance verte aux contours encore flous

"Notre priorité est de reconstruire une économie forte, écologique, souveraine et solidaire", déclarait encore le président Emmanuel Macron il y a quelques jours.Estimant qu'il fallait "créer les emplois de demain par la reconstruction écologique qui réconcilie production et climat", il a plaidé pour "un plan de modernisation du pays autour de la rénovation thermique de nos bâtiments, des transports moins polluants, du soutien aux industries vertes".Le ministre de l'Économie Bruno Le Maire répète aussi depuis des semaines que le plan de relance, prévu pour la rentrée, devra "faire de la France la première économie décarbonée d'Europe".Investissements massifs? Incitations fiscales? Contribution des territoires? Engagements contraignants? A quelle échelle de déploiement? L'exécutif s'est peu avancé sur la manière de concrétiser ses engagements."La décarbonation sera un fil rouge de toutes nos décisions même si cela nous force à faire des choix difficiles" à l'égard de certains projets ou entreprises, assure-t-on à Bercy.Moment de véritéJusqu'à présent, les plus de 460 milliards d'euros de soutien public déployés face à la crise intègrent très peu de contraintes ou de contreparties écologiques. La priorité était de sauver entreprises et emplois, se défend le gouvernement.Les aides aux secteurs aéronautique et automobile ont été teintées de vert, avec des primes à l'achat de véhicules électriques, une réduction des vols intérieurs ou des investissements dans l'avion à hydrogène.Mais on est loin du compte, ont regretté ONG et élus écologistes, quand les pouvoirs publics devraient mobiliser "seulement" 7 à 9 milliards d'euros de plus par an pour financer la transition écologique, selon l'Institut de l'économie pour le climat (I4CE)."On vient de dépenser 130 milliards d'euros en trois budgets rectificatifs. Il fallait les soutiens d'urgence, mais est-ce que la place de la transition écologique était suffisante? La réponse est non, toujours pas", pointe le député Matthieu Orphelin (ex-LREM). En particulier, "il n'y a rien eu sur la modération du transport aérien à long terme"."Un moment de vérité s'ouvre à nous: on veut un virage plutôt qu'un mirage", appuie Véronique Andrieux, du WWF.Une certitude: le plan de relance devrait faire la part belle à la rénovation thermique des bâtiments. Mais d'autres plans sur le sujet lancés par le passé n'ont pas eu le succès escompté."Une priorité sera donnée aux bâtiments publics (crèches, écoles, hôpitaux, universités)" et aux Ehpad, même si les travaux sont "parfois difficiles à déclencher car l'État n'a pas toujours la main", au côté des régions et communes, indique-t-on à Bercy et à l'Écologie.Hydrogène, train, citoyensLe gouvernement compte ainsi sur le milliard d'euros accordé aux collectivités pour leurs investissements.Le recours à cette enveloppe "devra être conditionné aux investissements dans la transformation écologique et sociale, et exclure tout investissement climaticide", comme "des rocades ou des ronds-points", réclame la Fondation Hulot.Car la France, qui vise la neutralité carbone d'ici à 2050, n'est pas sur cette voie. Ses émissions de gaz à effet de serre ont reculé depuis 1990, notamment dans l'industrie manufacturière, mais transports, résidentiel, agriculture restent de forts contributeurs. Et ce bilan n'inclut pas l'empreinte des importations.Le plan gouvernemental prévoit de soutenir l'hydrogène vert, technologie d'avenir pour les transports volumineux, l'industrie et le stockage d'énergie. Un appel à projet franco-allemand est dans les tuyaux, indique-t-on à Bercy, alors que les Allemands viennent d'annoncer un plan de 9 milliards.Et quid du train? Rien n'a encore été annoncé, même si le gouvernement a "des ambitions très fortes sur le ferroviaire" et compte accompagner la SNCF, assure à l'AFP la ministre de l'Écologie Elisabeth Borne.La compagnie nationale, qui a perdu 4 milliards d'euros de revenus avec la crise, risque de devoir reporter des investissements, a prévenu son président Jean-Pierre Farandou.
Il y a 4 ans et 364 jours

Une reprise post-COVID en toute sécurité

Le CNPP diffuse un guide des bonnes pratiques pour la reprise de l'activité des entreprises.
Il y a 4 ans et 364 jours

Covid-19 : les PME européennes seront les plus touchées par les défaillances

L’assureur-crédit français Euler Hermes a publié une étude dans laquelle il estime que la plupart des victimes de la crise sanitaire seront les petites et moyennes entreprises. Il prévoit une augmentation des défaillances des PME du secteur de la construction de 24% en Espagne, de 19% en France et aux Pays-Bas, et de 15% en Italie et au Royaume-Uni.
Il y a 4 ans et 364 jours

Le gouvernement assouplit les règles de la commande publique

Les entreprises en redressement judiciaire et qui "bénéficient d'un plan de redressement", jusqu'ici empêchées de se porter candidates à la commande publique, ne pourront plus être exclues des procédures de passation de marchés publics, prévoit notamment cette ordonnance."Les pratiques des acheteurs sont en effet diverses et il convient de sécuriser l'accès de ces entreprises en voie de redressement aux marchés publics", a justifié le gouvernement dans le compte-rendu du conseil des ministres de mercredi.Les acheteurs publics seront également désormais tenus de réserver directement ou indirectement au moins 10% de la valeur estimée de leurs marchés globaux à des petites et moyennes entreprises (PME) et à des artisans."La part que les candidats à ces marchés globaux s'engagent à confier à des PME ou à des artisans devient en outre un critère obligatoire de sélection des entreprises titulaires", affirme le gouvernement.Ces deux mesures resteront en vigueur jusqu'au 10 juillet 2021, précise le texte de l'ordonnance.Troisième évolution: lorsque le chiffre d'affaires d'une entreprise est un critère d'attribution d'un marché public, l'administration concernée "ne [tiendra] pas compte de la baisse du chiffre d'affaires intervenue au titre du ou des exercices sur lesquels s'imputent les conséquences de la crise sanitaire liée à l'épidémie de Covid-19", prévoit l'ordonnance.Cette mesure s'appliquera jusqu'à fin 2023.Par ailleurs, deux autres textes prévoyant d'autres allègements des passations des marchés publics sont actuellement examinés par le Conseil d'État, a indiqué le ministère de l'Économie à l'AFP.Le premier prévoit un relèvement temporaire à 70.000 euros du seuil nécessitant une publicité de mise en concurrence pour une commande publique, afin de faciliter la candidature des PME.Le second relève à 100.000 euros le seuil des marchés publics pour la fourniture de denrées alimentaires périssables, ceci afin de permettre aux entreprises d'écouler les stocks importants réalisés pendant le confinement, en particulier de viandes ayant dues être congelées, explique-t-on à Bercy.
GDA
Il y a 4 ans et 364 jours

Hyatt Place à Cannes, par International D’Architecture (ID’A) : contextuel ?

Hyatt a annoncé le 11 juin 2020 l’ouverture en 2023 du Hyatt Place Cannes, un hôtel de 152 chambres dont la conception a été confiée à International d’Architecture (ID’A), l’agence parisienne de Julian Rincon. Communiqué. Situé sur la Côte d’Azur, Hyatt Place Cannes offrira à ses clients un emplacement de choix en bord de mer, […] L’article Hyatt Place à Cannes, par International D’Architecture (ID’A) : contextuel ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 364 jours

Les acteurs du bois plaident pour son rôle dans la reprise et la décarbonation

FILIÈRE. Le bois doit servir aussi bien à relancer l'économie qu'à jouer un rôle dans la Réglementation environnementale 2020, d'après les professionnels du secteur, qui mettent en avant ses vertus écologiques mais aussi économiques. Détails.
Il y a 4 ans et 364 jours

Dans le Vaucluse, une charte de bonnes pratiques pour une gestion équitable des chantiers post-Covid-19

Le 22 juin, la Fédération du bâtiment et des travaux de publics du Vaucluse va signer avec la Ville d’Avignon une « Charte de bonnes pratiques pour la gestion des chantiers en situation de crise sanitaire liée à la Covid-19 ». Rédigé en concertation avec le Croa, le Cinov et les Constructeurs et Aménageurs de la FFB de Paca, le texte acte le principe d’un partage équitable des surcoûts.
Il y a 4 ans et 364 jours

Routes de France prévoit aussi une forte baisse de l'activité en 2020

CONJONCTURE. Le syndicat de spécialité Routes de France a tenu son assemblée générale le 17 juin. A cette occasion, il a revu à la baisse ses prévisions d'activité, anticipant une forte chute dont l'ampleur dépendra beaucoup de la relance des projets locaux.
Il y a 4 ans et 364 jours

Bruno Cavagné, un 3e mandat de “combat” à la FNTP

Pour son 3e mandat à la tête de la FNTP, Bruno Cavagné milite pour l’adoption de deux plans de relance. [©FNTP] Dans un contexte de crise, Bruno Cavagné, 57 ans, a été réélu président de la Fédération nationale des travaux publics (FNTP) . Ceci, pour un troisième mandat de trois ans. Ce mandat de “combat” s’ouvre dans une période de crise sanitaire et économique inédite. Bruno Cavagné milite ainsi pour l’adoption de deux plans de relance. D’abord, un plan d’urgence pour soutenir l’investissement public local. Puis, un plan de transformation au service de la transition écologique. Bruno Cavagné sera entouré d’une équipe renouvelée représentative des métiers, des territoires et des typologies d’entreprises de travaux publics. « C’est une course contre la montre » « Les administrateurs de la FNTP ont souhaité me renouveler leur confiance dans cette période, qui s’annonce très difficile pour le secteur des travaux. Et je les en remercie. Mon seul combat est aujourd’hui de surmonter la crise que nous vivons. Et pour ce faire, je plaide pour l’adoption en urgence d’un plan de soutien à l’investissement public local et d’un plan de transformation de nos infrastructures au service de la transition écologique. Le temps nous est compté et c’est une course contre la montre qui s’engage avec le gouvernement. Plus il tardera à engager ces plans, plus les dommages de la crise seront profonds dans notre secteur », estime Bruno Cavagné.  Celui-ci est toujours investi dans le groupe Giesper, à Toulouse, spécialisé dans les activités de génie civil, de canalisations, de VRD, de gros œuvre, de peinture, de recyclage, d’hôtellerie et de promotion. Homme d’échanges, Bruno Cavagné s’est impliqué dans la vie professionnelle comme dans son entreprise, depuis de longues années. Ainsi, Il est membre du bureau du Medef (Mouvement des entreprises de France), conseiller du Conseil économique, social et environnemental (Cese) au titre de la vie économique et du dialogue social. Et administrateur de BTP Banque, de la SMAvie BTP et de la Caisse nationale des entrepreneurs de travaux publics (CNETP). Il est aussi vice-président de la SGAM BTP, vice-président du Conseil d’orientation des infrastructures.
Il y a 4 ans et 364 jours

Risque plomb : L’OPPBTP et GESTES réalisent un recueil de solutions

Afin de répondre à la demande exprimée par des entreprises confrontées au risque plomb, l’OPPBTP et le Groupement des Entrepreneurs Spécialisés dans le Traitement et l'Embellissement des Surfaces (GESTES) ont réalisé un kit de documents utiles pour les travaux de peinture en présence de plomb dans les cages d’escaliers en sites occupés. Ces outils pratiques ont pour but d’aider les entreprises à préparer une intervention en toute sécurité et à communiquer avec les maîtres d’ouvrage et occupants des bâtiments avant et pendant les travaux
Il y a 4 ans et 364 jours

Assistance technique des départements, PIA... Vos textes officiels du vendredi 19 juin 2020

La rédaction du "Moniteur" vous propose une sélection quotidienne des textes officiels intéressant le secteur. Le concept : du lundi au vendredi, un article d'alerte par jour, avec les textes BTP-centrés, résumés en quelques lignes. Au menu : droit de la construction, urbanisme, commande publique et privée, réglementation technique, logement, social…
Il y a 4 ans et 364 jours

A quoi ressemble le jardin rêvé des Français en 2020 ?

ETUDE. Le confinement a confirmé le besoin de terrasses et de jardin des Français. Une étude de l'Ifop menée pour Brico Depôt avant cette période donne un aperçu du jardin rêvé.
Il y a 4 ans et 364 jours

Kadoor de Thirard, l'ouvre porte au pied qui facilite le quotidien après le Covid-19

Créé par l'agence LS Design et fabriquée par Thirard, Kadoor est une solution très pratique au quotidien et (presque) sans contact pour tous les professionnels en milieu hospitalier, industries, entreprises, lieux publics et particuliers.Kadoor, où comment ouvrir et fermer facilement les portes avec le pied !Kadoor a été pensé pour rendre l'ouverture des portes accessible à tous. En complément d'une poignée classique, l'ouverture au pied est rendue possible grâce à une béquille installée en bas de la porte. Poignées haute et béquilles basses sont reliées par un câble (ou une tige métallique fine) placé le long de l'ouvrant.En appuyant sur la béquille basse - la pédale - avec un pied, la poignée haute s'actionne. Le système de câble et de biellettes Kadoor entraine la rotation du carré et le retrait du pêne ½ tour. La serrure est ouverte, la porte est libérée. Elle peut donc être ouverte puis refermée en la tirant ou la poussant avec le pied. Des caoutchoucs placés sur les béquilles basses facilitent encore les mouvements exercés sur la porte avec le pied.Kadoor est un dispositif discret et très simple à installer. En seulement quelques minutes, toute porte intérieure devient plus accessible. Pour ouvrir les portes, c'est vraiment le pied !Kadoor libère vos mouvements !Kadoor est ingénieux ! Il permet l'accessibilité à toutes les personnes se déplaçant les mains prises par des colis, des documents ou même des cafés… Ce système apporte également une solution pour certaines personnes ayant un handicap en leur permettant de gagner en autonomie.Cet ouvre porte est aussi un accessoire « propre » puisqu'il évite tout contact avec les mains. Il sera donc très utile dans un environnement industriel, des cuisines ou des ateliers, où l'on est souvent amené à avoir les mains sales.Permettant une ouverture des portes sans contact, Kadoor devient par extension une réponse évidente et indispensable aux problématiques de sécurité sanitaire actuelle. Une solution plus hygiénique que l'ouverture des portes avec les mains !Kadoor, c'est la simplicité et la sécurité au service de tous !Pensé par LS Design, fabriqué par Thirard, Kadoor réinvente l'ouverture de porte pour améliorer le bien-être de tous vos collaborateurs quel que soit le secteur : médical, industrie, entreprises de service, artisanat, salons de coiffure, restaurants… ou même particuliers en recherche de solutions astucieuses pour leur garage, Kadoor permet d'ouvrir la majorité des portes intérieures tout en assurant une utilisation saine et accessible au plus grand nombre !Le nouveau Kit main libre Kadoor MK1 (garniture sur rosace) est disponible dès juillet 2020 au prix public de 49.76 euros TTC
Il y a 4 ans et 364 jours

Reportée, la suppression du gazole non-routier pour le BTP se fera en une fois

FISCALITÉ. A deux semaines de la mise en place de le première tranche de la mesure, la suppression progressive du gazole non-routier pour le BTP a finalement été repoussée d'un an, a-t-on appris le 18 juin 2020. Les artisans des travaux publics, qui ont négocié jusqu'au dernier moment, s'en félicitent, même si certains sujets restent en question.
Il y a 4 ans et 364 jours

Artificialisation : les propositions de la convention climat

AMÉNAGEMENT. La convention citoyenne va discuter, entre le 19 et le 21 juin, ses 150 propositions pour le climat. Parmi celles-ci, six concernent la lutte contre l'artificialisation des sols, dont l'interdiction ferme d'urbaniser tant que des friches subsistent dans "l'enveloppe urbaine existante". Elisabeth Borne, ministre de la Transition écologique et solidaire, s'est prononcée pour un référendum sur certaines des propositions des citoyens tirés au sort.
Il y a 4 ans et 364 jours

ISOcomble s'adapte en cette période délicate

En adaptant parfaitement ses méthodes selon les exigences actuelles dues au contexte sanitaire, toutes les agences ont pu reprendre leur activité depuis mi-avril pour le côté technique, et le 11 mai pour l'activité globale. Zoom sur l'accompagnement du réseau en cette situation délicate et sur cette dynamique reprise.Cette période de crise sanitaire aura été un véritable défi pour bon nombre d'entreprises. Cependant, des dispositifs d'aide ainsi que des initiatives de la part de certaines sociétés ont permis de faire face à certaines difficultés. C'est pourquoi ISOcomble a particulièrement mis l'accent sur l'accompagnement complet de son réseau mais aussi auprès des particuliers, afin de préserver la santé et le bien-être de chacun malgré les tensions existantes.Suite à l'annonce du confinement et à la fermeture des agences, Stéphane Lagneaux, Directeur réseau ISOcomble, a tenu à garder un lien régulier avec les franchisés, en les informant par téléphone ou par email sur toutes les démarches possibles susceptibles de les aider. Puis, selon le souhait et la capacité de chacun, des chantiers ont pu reprendre chez les particuliers, en respectant à la lettre les mesures d'hygiène et de sécurité via les préconisations de l'OPPBTP (L'Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics).Stéphane Lagneaux précise : « Avant toute intervention, les équipes veillent à obtenir de la part du client la garantie de non contamination par le Covid-19 ainsi qu'un accord d'intervention. Nous insistons également sur la nécessité d'interagir le moins possible avec les experts ISOcomble sauf si nécessaire au moment de la signature des fins de travaux ou lors de l'état des lieux, en respectant les gestes barrières et en portant l'équipement de sécurité indispensable. »Grâce à des dispositifs clairs et précis informant les clients de manière détaillée sur le déroulement de la future intervention des équipes ISOcomble, tous les chantiers initialement prévus ont pu aboutir, soit un par jour par franchisé, et ce, dans de bonnes conditions sans que la qualité du travail effectué ne soit altérée. Par ces différentes actions, l'enseigne met en lumière ses atouts essentiels : la qualité des relations humaines via un accompagnement quotidien, l'ancrage local des agences de proximité ISOcomble et la qualité des travaux réalisés par des experts qualifiés pour rendre les habitats plus sains.Cela fait déjà plusieurs semaines que l'enseigne prépare sa reprise d'activité totale pour revenir au plus vite à des niveaux d'activité important. Dans ce sens, le réseau a axé ses réflexions autour d'actions de communication spécifiques permettant de valoriser le concept écologique, en plus de rappeler que l'opération « Coup de Pouce Isolation » se poursuit pour une isolation à partir de 1 euro.Un accent mis sur la communication digitaleEn vue d'optimiser la reprise d'activité totale des agences de proximité dès le 11 mai, le réseau a choisi d'accompagner ses franchisés sur tous les fronts. Notamment sur le volet digital avec un lancement prochain de campagnes SMS géolocalisées ainsi que des envois d'emailings ciblés, venant soutenir l'ancrage local des 20 agences existantes. Ces actions seront réalisées dans le but de gagner davantage en contacts qualifiés et d'accompagner au mieux l'ensemble du réseau en cette période transitoire. C'est pourquoi ISOcomble entend davantage occuper le terrain digital, plus que jamais dans l'air du temps, en accentuant sa présence sur les réseaux sociaux.Ces opérations ont pour but de se rapprocher des consommateurs vivant à proximité des agences et également de les rassurer sur les bonnes pratiques en cette période de reprise.Des atouts essentiels assurant la réussite du réseauTout en s'adaptant aux exigences actuelles face au contexte sanitaire, les équipes continuent d'assurer une isolation de qualité avec l'isolant le plus performant et durable existant sur le marché, ISOtextil, fabriqué à partir de chutes de vêtements neufs recyclés. Par ailleurs,il bénéficie d'un atout supplémentaire et non négligeable, une garantie de 15 ans, unique sur le marché.De plus, afin de répondre aux besoins des particuliers et s'adapter à tous les budgets, l'opération « Coup de Pouce Isolation » via les mécanismes de Certificats d'Économie d'Énergie (CEE) se poursuit. Celle-ci participe amplement à la progression des agences ISOcomble tant en franchise qu'en succursale, témoin de l'engouement des consommateurs souhaitant bénéficier d'une isolation de qualité effectuée par des experts qualifiés et de proximité, à un prix minime.
Il y a 4 ans et 364 jours

Un nouveau tour de magie digitale pour Point.P

SIMULATEUR. Les outils digitaux se multiplient dans le secteur du Bâtiment pour faciliter la projection et enclencher des travaux. En la matière, Point.P présente Magic View à destination des professionnels et particuliers.
Il y a 4 ans et 364 jours

Les solutions créatives de sols textiles Balsan à la portée de tous avec BIMobject

Audrey Chanvril, Responsable Prescription chez Balsan, fabricant de sols textiles, livre sa vision sur l’engagement BIM du groupe. Le groupe Balsan en quelques mots Balsan est un fabricant français de sols textiles en lés et dalles avec des usines au cœur du Berry dans l’Indre, près de Châteauroux. Balsan, fondé en 1751, est le spécialiste français des revêtements de sol textiles et fabrique des moquettes en dalles et en rouleaux pour différents marchés tels que les espaces tertiaires et commerciaux, les hôtels et restaurants, les cinémas, sans oublier l’activité résidentielle. En tant que prescriptrice, j’apporte des solutions créatives et décoratives à nos promoteurs, architectes, aménageurs et bureaux d’études parisiens, grâce à une large gamme de produits et de coloris. Balsan compte 220 employés dont la majorité se situe en France – entre les personnels de production, administratifs et les équipes commerciales. Je n’oublie pas mes collègues à l’étranger générant près de 45% du Chiffre d’affaires. Les produits Balsan ont des domaines d’application divers à la fois sur des réalisations en neuf ou en rénovation pour des logements collectifs et tertiaires. Nos clients sont la maîtrise d’ouvrage publique, privée, la maîtrise d’œuvre, les entreprises générales, les entreprises de pose et le réseau de distributeurs professionnels. Produits BIM Balsan sur BIMobject Pourquoi Balsan s’est-il lancé dans une démarche BIM ? Balsan est activement engagé dans la démarche BIM depuis 2019. Nos motivations sont nombreuses. Tout d’abord, le BIM est un outil de travail d’avenir dans lequel Balsan croit très fortement. Nous souhaitons offrir à nos clients prescripteurs la possibilité de travailler leurs projets en amont avec nos produits, facilitant ainsi leur intégration dans leurs projets. Le BIM est la parfaite expression de l’évolution des métiers de la conception et de la construction et nous voulons y être associés. En plus d’apporter des solutions techniques et décoratives, nos produits sont désignés et fabriqués en France, et nous savons combien nos clients y sont sensibles. L’organisation Balsan par sa force de vente, son service clients et ses usines, est taillée pour répondre aussi bien aux prescripteurs qu’aux entreprises et assurer le bon suivi des projets conséquents. Quels sont les défis liés au BIM auxquels vous devez faire face ? La création et la mise à jour des objets BIM sont très consommatrices de temps et il a fallu mettre en place les ressources nécessaires pour y parvenir. Heureusement, nous avions déjà beaucoup d’éléments suite à la refonte récente de notre site internet pour lequel beaucoup d’éléments avaient été regroupés. Notre service Marketing s’est montré très réactif. En externe, notre défi est de faire connaître à nos clients cette nouvelle possibilité d’intégrer nos produits dans leurs projets et nous devons redoubler nos efforts de communication pour les informer et les accompagner. Quelles sont vos motivations de disposer d’objets BIM ? Balsan a de tout temps été précurseur dans son domaine et nous pensons qu’il est important de bien suivre les évolutions des marchés et des méthodes de travail. La révolution numérique ne s’arrête pas en marche et le monde du bâtiment prend un nouveau virage avec l’arrivée du BIM. Donner les bons produits et outils à nos clients et prescripteurs pour travailler est une de nos priorités. Les objets BIM permettent d’intégrer tous les aspects de nos références, à la fois déco, techniques qu’environnementaux. Nous cherchons à faciliter la vie de nos clients en leur apportant les bonnes réponses. De plus, les objets BIM permettent des mises à jour rapides. Il est clair que rapidité et optimisation des process permettront de générer des économies pour tous. Après avoir étudié les différentes possibilités s’offrant à nous, BIMobject nous est paru comme étant le portail le plus utilisé et adapté à nos clients et à notre couverture géographique. Prduits de revêtements de sols Balsan sur BIMobject La collaboration entre Balsan et BIMobject nous donne satisfaction. Les échanges sont fluides et les collaborateurs de BIMobject disponibles. La notoriété du portail est appréciable ainsi que les délais de développement et la qualité des objets. Votre entreprise a-t-elle retiré des bénéfices avec le BIM ? Même s’il est un peu tôt pour répondre à cette question, je pense que cela nous permettra de mieux faire connaître nos produits et de nous intégrer sur un plus large panel de projets. Pourquoi participez-vous au salon BIM World avec BIMobject cette année ? Encore tout récent sur la plateforme BIMobject, participer au salon BIM World cette année nous offrira l’occasion de communiquer sur notre présence. Il sera également intéressant d’avoir un retour direct de nos prescripteurs afin d’apporter les compléments ou améliorations nécessaires. Showroom parisien Visitez le site Balsan pour connaitre tout l’univers et les collections de ce fabricant de sols textiles. Parcourez les 36 familles de produits Balsan disponibles sur la plateforme BIMobject.
Il y a 4 ans et 364 jours

Dans les agences, après la crise, le mauvais temps

Pas de nouveau marché à l'horizon, baisse drastique de la facturation et réduction des effectifs. Voilà les enseignements inquiétants de l'étude menée en mai et juin 2020 par l'Unsfa, syndicat employeur de la branche architecture, auprès des agences. Le "monde d'après" ne s'annonce pas radieux pour la […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 364 jours

"Nous avons retrouvé notre niveau normal d'activité", N.Moulin (Vos travaux éco)

ENTRETIEN. Le fondateur du délégataire en certificats d'économie d'énergie (CEE) Vos travaux éco, Nicolas Moulin, revient auprès de Batiactu sur les conséquences de la période de confinement et ses attentes par rapport aux pouvoirs publics dans le pilotage des aides à la rénovation.
Il y a 4 ans et 364 jours

Élection de Cécile Mazaud à la présidence de Foncière Logement

À l'issu du Conseil d'administration, Cécile MAZAUD a déclaré : « Fière de poursuivre les actions engagées au service des entreprises, des salariés et des territoires, je sais l'importance de la mission qui m'attend pour faire perdurer les valeurs de Foncière Logement. Mon engagement en matière d'insertion et de logement se concrétise plus encore. »Cécile Mazaud est présidente de la société Mazaud, entreprise générale de bâtiment, basée à Villeurbanne. Depuis 2019, elle préside la Chambre de maçonnerie et béton armé de la fédération BTP Rhône et métropole. Elle est co-présidente du Comité Territorial Insertion Emploi de Villeurbanne. Au sein du Medef, elle est membre du COMEX 40 et co-dirige un groupe de travail sur le thème de la démocratie.
Il y a 4 ans et 364 jours

L’avenir des Champs-Elysées

L’idée de végétaliser l’avenue des Champs-Elysées est celle qui émerge le plus fortement. [©PCA-Stream] Pendant la période de confinement, alors que les espaces culturels étaient fermés, le Pavillon de l’Arsenal et l’agence d’architectes PCA-Stream ont lancé la version virtuelle de l’exposition “Champs-Elysées : Histoire et Perspectives” L’occasion de revenir sur l’histoire, mais aussi sur l’avenir de “la plus belle avenue du Monde”. Le public ayant été invité à réinventer les “Champs”. En effet, particularité de l’évènement, cette visite immersive était aussi participative. Parents et enfants pouvaient, depuis leur canapé, se promener sur les Champs-Elysées du futur et en devenir les co-constructeurs. Plus de 2 000 propositions et 450 000 votes Le Comité Champs-Elysées et Make.org dévoilent aujourd’hui les résultats de cette consultation citoyenne. Cette dernière s’est déroulée du 14 février au 4 juin 2020. Soit avant, pendant et après le confinement. Et peut se lire en filigrane comme une synthèse des attentes des Franciliens pour “la ville d’après”. Avec près de 100 000 participants, il s’agit de la plus vaste consultation jamais réalisée dans le cadre d’un projet de réaménagement urbain. Les citoyens étaient invités à répondre à une question simple : “Qu’aimeriez-vous changer pour améliorer les Champs-Elysées ?” Parmi les 2 000 propositions, 6 grandes idées ont été plébiscitées. Les 6 idées par ordre d’importance Idée 1 – Végétaliser l’avenue est le concept, qui émerge le plus. Il s’agit de “verdir” l’artère, avec des plantations d’arbres, arbustes ou l’installation de parcs.  Idée 2 – Créer une véritable promenade piétonne des Tuileries jusqu’à l’arc de Triomphe, en facilitant la traversée des piétons (notamment de la place de la Concorde). Idée 3 – Le meilleur partage de l’espace public entre les différentes mobilités apparaît comme une priorité pour les citoyens.  Idée 4 – Les citoyens plébiscitent la promotion d’une offre de commerce plus authentique et plus française. Valorisant davantage le savoir-faire, la gastronomie et l’art de vivre français. Ceci, plutôt que des grandes chaînes internationales perçues comme aseptisées et peu différenciantes.  Idée 5 – Préserver ou revaloriser les éléments patrimoniaux de l’avenue comme les lampadaires, les colonnes Morris, les façades haussmaniennes, les pavés et les jardins historiques.  Idée 6 – Enfin, les citoyens plaident pour préserver la sécurité et la tranquillité de l’avenue. D’une part, en intensifiant la lutte contre les pickpockets et les sollicitations non-désirées. D’autre part, en renforçant les efforts en matière de propreté. M. C.
Il y a 4 ans et 364 jours

Rénovation énergétique : le « Non au tout électrique » de 18 organisations

Dix huit organisations militantes pour la performance énergétique demandent au Premier ministre de revoir les points essentiels des réglementations thermiques en révision : RE 2020, DPE et label BBC.
Il y a 4 ans et 364 jours

La FNTP annonce le report d'un an de la suppression du GNR

Dans un communiqué publié dans la soirée du 18 juin, la Fédération des Travaux publics explique que le gouvernement va accéder à cette demande dans le cadre du projet de loi de finances rectificative dont l'examen débute la semaine prochaine à l'Assemblée nationale.
Il y a 4 ans et 364 jours

Malgré le report, contre-la-montre à Dubaï pour finir le chantier de l'Expo universelle

Dubaï a investi 8,2 milliards de dollars pour assurer le succès, durant six mois, de l'exposition universelle présentée comme le plus grand événement jamais organisé dans un pays arabe. Voulue comme un moyen de stimuler l'attractivité de la ville, l'exposition affiche déjà son logo partout dans l'émirat.Aussi, malgré le report à octobre 2021, Dubaï semble vouloir mettre un point d'honneur à livrer dans les délais les principales infrastructures dédiée à l'événement.Pourtant, les organisateurs font eux-mêmes face à des vents contraires, comme l'apparition de cas d'infections au nouveau coronavirus sur des chantiers."Le Covid-19 a affecté bien sûr la logistique et les processus de livraison de certains travaux", reconnaît auprès de l'AFP Ahmed al-Khatib, responsable du développement et des livraisons.Mais ceux-ci "se poursuivent et certains pavillons ont atteint un stade final. 2020 est l'année de livraison", insiste-t-il.25 millions de visiteurs ?Sur le site de 4,5 km2, les pavillons ont commencé à prendre forme. Celui des Emirats arabes unis, en forme de faucon volant, est en voie d'achèvement. Le pavillon adjacent de l'Arabie saoudite ressemble maintenant à une immense fenêtre à ciel ouvert.Sous le thème "connecter les esprits, créer le futur", l'Expo, qui visait les 25 millions de visiteurs, verra la participation de 192 pays, dont Israël, qui n'a pourtant pas de relations avec les Émirats arabes unis.Servi par une importante campagne de promotion avec des vedettes comme le footballeur Lionel Messi, l'événement avait vocation à servir de planche d'appel pour les secteurs de l'immobilier, du tourisme et du commerce, atones ces dernières années.Mais la situation a au contraire été aggravée par le ralentissement de l'économie mondiale provoqué par le Covid-19.Manal AlBayat, chargée de mission à l'Expo 2020 Dubai, veut rester optimiste: le report n'a pas eu d'impact sur "l'engagement à réaliser une exposition qui inspire le monde", assure-t-elle."Fort malheureusement, un certain nombre d'employés vont nous quitter. La décision a été très difficile à prendre", ajoute la responsable, en allusion à une vague de licenciements parmi le personnel de l'Expo 2020 Dubai car les budgets ne seront pas augmentés à la suite du report, approuvé en mai par le Bureau international des Expositions (BIE) basé à Paris.InfectionsSur les chantiers, dans le sud de Dubaï, le Covid-19 n'a pas épargné un certain nombre d'employés et les Emirats arabes unis annoncent encore des centaines de nouvelles infections chaque jour.Mais des tunnels ont été creusés, des routes pavées, un système de sonorisation et des antennes 5G installés. Et les manguiers et oliviers plantés continuent eux aussi de pousser sous un soleil brûlant.Parmi les mesures de précaution prises dans le cadre de la lutte contre la pandémie figure la création de centres de tests sur le site et le lancement d'une campagne de sensibilisation, selon Mme AlBayat.Là encore, si elle reconnaît "quelques cas positifs" au sein des ouvriers et parmi le personnel de l'Expo, aucun chiffre ne filtre. Toute personne infectée n'est acceptée sur le site qu'une fois totalement rétablie, enchaîne-t-elle.Plus de la moitié des cas de coronavirus enregistrés dans les six pays arabes du Golfe, qui dépassent aujourd'hui les 355.000, concernent des travailleurs étrangers, lesquels vivent souvent dans des conditions d'exiguïté.Pour contenir la pandémie, Dubaï s'est fermée en mars mais veut rouvrir ses portes avant le début de la saison touristique en septembre. L'an dernier, l'émirat avait accueilli 16,7 millions de visiteurs et visait les 20 millions en 2020.Dans le "monde d'après", Dubaï devra-t-il revoir à la baisse ses objectifs de fréquentation pour son exposition universelle?"Nous travaillerons pour atteindre la meilleure fréquentation possible. (...) Un an de report signifie plus de marge de manoeuvre pour améliorer les choses", veut croire Ahmed al-Khatib.
Il y a 4 ans et 364 jours

Photovoltaïque : des panneaux plus puissants et toujours moins coûteux

L’amélioration des panneaux photovoltaïques se poursuit. La génération 2020 dépasse 500 Wc, peut être posée sur les pentes Nord des toitures et les prix baissent encore.
Il y a 4 ans et 364 jours

Une maison bois et terre en spirale avec jardin sur le toit sur l’île d’Awaji au Japon

Ryuichi ashizawa architect & associates a créé une résidence pour une famille de quatre personnes, située sur l’île d’Awaji, à hyogo, au japon. Les clients avaient demandé « une maison qui grandit avec la famille », ce qui a incité les architectes à repenser le concept d’espace de vie idéal. Pour utiliser le site au maximum, Ryuichi […]
Il y a 4 ans et 364 jours

La pierre dans tous ses états - Livre

Après le béton, la brique et le bois, les éditions Phaidon ont choisi d’explorer la pierre en portant un regard nouveau sur la beauté, la diversité et la polyvalence de ses architectures. D’une grande richesse visuelle, l’ouvrage montre la fascination qu’exerce ce matériau incontournable à travers 170 réalisations des […] Lire l'article