Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

256743 actualités disponibles
Il y a 5 ans et 0 jours

Architecture post-COVID : vers un retour aux sources du modernisme ?

Le Covid-19 a poussé les architectes à réviser leur manière de concevoir les espaces pour inclure les ...En savoir plus Cet article Architecture post-COVID : vers un retour aux sources du modernisme ? est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 5 ans et 0 jours

Rénovation énergétique : l'Etat promet des "annonces fortes"

PLAN DE RELANCE. Le Gouvernement souhaite aller plus vite sur la rénovation énergétique des bâtiments, comme l'a confirmé la secrétaire d'État Agnès Pannier-RUnacher lors des questions au Gouvernement, au Sénat.
Il y a 5 ans et 0 jours

Confinement: l'arrêt du BTP français a été plus brutal qu'ailleurs selon Bouygues

Le monde français du BTP a connu un arrêt particulièrement brutal par rapport à d'autres pays à la suite des mesures de lutte contre le coronavirus, a estimé  Martin Bouygues,.
Il y a 5 ans et 0 jours

7,8 millions de salariés au chômage partiel fin mai

"Fin mai, 7,8 millions de Français ont été en chômage partiel, mais c'est moitié moins d'heures qu'en avril, la décrue est vraiment manifeste, c'est vrai dans le commerce et le bâtiment", a-t-elle détaillé."Au total, depuis le début, on a dépensé pas loin de 17 milliards d'euros" pour financer cette activité partielle, a-t-elle dit. 31 milliards d'euros ont été inscrits dans le dernier budget rectificatif pour payer la facture."En mai, dans le secteur privé, un salarié sur deux est allé travailler sur son lieu de travail, un sur quatre (était) en télétravail, un quart en chômage partiel, en garde d'enfant ou en arrêt maladie", a-t-elle détaillé."Un quart de la force de production en moins, c'est beaucoup dans un pays, cela a contribué à la récession", a-t-elle dit, estimant que "ça devient vraiment dangereux pour l'emploi si ça ne reprend pas plus massivement".Appelée à commenter une phrase d'Emmanuel Macron indiquant dimanche soir qu'il faudrait "travailler davantage", la ministre a répondu: "Aujourd'hui, notre enjeu, c'est de travailler tous".Selon les derniers chiffres de la Dares, le service statistiques du ministère, publiés mercredi, "en mai, 5% seulement des salariés étaient dans une entreprise dont l'activité s'était arrêtée, après 12% en avril et 19% en mars".Selon les estimations de la Dares, le nombre de salariés en chômage partiel a été de 8,7 millions en avril, et 7,2 millions en mars. Les entreprises, qui font une demande d'activité partielle pour un volume d'heures, ont un an pour faire leur demande d'indemnisation.Interrogées dans le cadre de l'enquête "Acemo" (activité et conditions d'emploi de la main-d'oeuvre pendant la crise sanitaire Covid-19), les entreprises voient comme "principales difficultés" de la reprise "la disponibilité limitée de certains salariés, l'organisation de l'activité de manière à respecter la distanciation sociale, et le manque de débouchés".S'agissant des mesures de protection individuelles liées à la crise sanitaire, "les entreprises qui estiment qu'elles diminuent la productivité ou augmentent les coûts représentent la moitié des salariés et celles qui pensent cet impact supérieur à 10% emploient un cinquième des salariés".
Il y a 5 ans et 0 jours

Flash Training du Campus Zehnder : des formations gratuites en ligne pour perfectionner les connaissances des professionnels

Pendant le confinement, le centre de formation Campus de Zehnder Group France a mis en place des formations courtes à distance pour les professionnels (installateurs, distributeurs, bureaux d’études…). Ces Flash-training, animés par un animateur en « live », ont permis à plus de 700 participants de se perfectionner sur des thématiques majeures dans l’univers du chauffage central, du chauffage électrique et de la ventilation double flux. Fort du succès rencontré, le Campus de Zehnder Group France poursuit son initiative jusqu’à mi-Juillet 2020 avec de nouveaux modules. Flash-training : 20 modules de formations distancielles gratuites Animés par un formateur du Campus Zehnder, les flash-training, formations gratuites en ligne, abordent des problématiques précises sur le chauffage et la ventilation double flux. Les participants peuvent poser leurs questions en direct au formateur. 20 modules différents sont aujourd’hui proposés aux professionnels et pour répondre à des problématiques spécifiques : • sur la ventilation double flux : . Covid et ventilation : le vrai du faux, . règles de dimensionnement d’un système de VMC double flux, . chiffrage et utilisation du logiciel Zehnder Comfoquote, … • sur le chauffage central : . différents types d’installation, . les systèmes basse température, . détermination des radiateurs en chauffage central, … • sur le chauffage électrique : . introduction au chauffage électrique, . les différents types de régulation, . les typologies de radiateurs et argumentaires de vente… Accessibles depuis les sites internet https://acova.fr/pro (pour les formations chauffage) et https://www.zehnder.fr (pour les formations ventilation double flux), les professionnels accèdent aux calendriers des formations et s’inscrivent facilement en ligne. Avec la mise en place de ces Flash-training, Zehnder Group France démontre sa volonté d’être au plus proche des professionnels, de les écouter et les former afin de développer leurs compétences pour assurer la qualité des installations.
Il y a 5 ans et 0 jours

Boostheat suspend la commercialisation de ses chaudières "révolutionnaires"

La société Boostheat, déçue des retours des premiers clients équipés avec sa nouvelle chaudière à gaz, suspend temporairement leur commercialisation. Et travaillera avec de nouveaux intermédiaires.
Cimbat
Il y a 5 ans et 0 jours

Le Cluster Lumière renouvelle partiellement son Conseil d'Administration

Le 11 juin 2020, l’Assemblée Générale du Cluster Lumière a procédé au renouvellement partiel du Conseil d’Administration ; celui-ci a ensuite renouvelé sa confiance à son président, Philippe Badaroux, ainsi qu’aux membres du Bureau.
Il y a 5 ans et 0 jours

Putzmeister présente son nouveau Mixokret M 740

Le transporteur à chape Mixokret M 740 Stage V. Putzmeister devait présenter sa dernière génération de transporteurs de chape sur le salon EPF. Celui-ci ayant été annulé suite à l’épidémie de Covid-19. La marque allemande dévoile, dès à présent, le nouveau Mixokret M 740 Stage V. Ce dernier semble être assez similaire à son prédécesseur de par son aspect extérieur. Les plus grands changements ont été effectués sous le capot. Qui continue de s’ouvrir de manière centrale comme sur l’ancienne version. Le moteur turbo 3 cylindres de Deutz fonctionne désormais avec une puissance de 36,4 kW, soit environ 10 % de puissance de plus que son prédécesseur. Le compresseur de Rotocomp délivre une capacité d’air allant jusqu’à 4,35 m3/mn. Grâce au post-traitement sophistiqué des gaz d’échappement, avec un filtre à particules diesel, la machine répond à toutes les exigences de la norme d’émission “Stage V” sans utiliser d’AdBlue. 15 % d’économie de carburant Afin de pouvoir s’adapter de la manière la plus flexible possible aux conditions respectives de chaque chantier, la nouvelle gestion des performances permet de sélectionner cinq vitesses de transport différentes. Ceci permet de faire des économies de carburant allant jusqu’à 15 %, en pompant en mode “Eco”. Pour des distances de transport plus longues, l’augmentation de la vitesse en mode “Power” garantit une performance maximale. Sur ce nouveau modèle, le malaxeur est désormais à entraînement hydraulique, permettant à l’utilisateur de faire fonctionner l’arbre de malaxage en sens inverse pour “décoincer” le mélange si besoin. Enfin, plus jamais une batterie ne sera déchargée le lendemain matin, grâce à la fonction d’extinction automatique. En standard sur la machine, elle déconnecte automatiquement tous les consommateurs électriques, même si l’interrupteur principal n’est pas éteint en fin de journée. Il est en donc fini des temps d’arrêt inutiles dus aux batteries déchargées.
Il y a 5 ans et 0 jours

Weber lance une gamme de mastics

C'est ainsi qu'à l'issue d'une enquête de satisfaction, Weber a choisi de compléter son large panel de produits par un cœur de gamme de mastics : 8 solutions qui constituent, à elles seules, 80% des besoins du marché, et s'adressent tant aux professionnels qu'aux particuliers bricoleurs.Après avoir développé dans les négoces ses libres-services carrelage puis maçonnerie, enrichi son expertise en colles par une nouvelle gamme dédiée aux revêtements de sol souples, Weber diversifie encore ses offres, lui permettant d'être véritablement présent à toutes les étapes chantiers.Une gamme simple et pratique Partant du constat que le marché des mastics se révèle « sur-segmenté » (avec pléthore de produits aux formulations très proches mais multipliant les packagings pour occuper l'espace dans les points de vente), Weber a souhaité en prendre le contre-pied et favoriser la simplicité et l'efficacité, misant sur une compréhension immédiate de sa gamme. Les 8 solutions que la société a ainsi sélectionnées alimentent 80 % du marché des mastics.Ce cœur de gamme présente l'avantage d'une grande praticité pour les négoces qui regroupent leur commande multi-produits auprès d'un même fournisseur (d'autant que le capital confiance envers Weber est très élevé), véritable atout en termes de logistique et gain de temps.Toujours en vue de renforcer la notion de services, Weber a imaginé un format inédit de carton prêt-à-vendre pour chacune des 8 références : il suffit d'en découper le haut et placer directement la box où on le souhaite dans le point de vente, en dehors du rayon dédié pour jouer l'achat d'impulsion ou, au contraire, au sein d'une zone où l'achat sera facilité par la complémentarité (les mastics carrelage dans l'espace dédié au carrelage). Exit la fastidieuse étape de mise en rayon !8 produits essentielsWeber présente tout d'abord 3 silicones, tous en cartouche 300 ml : weberseal tile se destine au carrelage, weberseal sanitary aux sanitaires et weberseal construction au bâtiment en général. Neutre, weberseal tile peut être utilisé sur du carrelage (pour réaliser des joints de raccordement entre paroi et baignoire ou bac de douche, étancher les joints dans les pièces humides) mais également des surfaces béton et bois. Riche de 7 couleurs inaltérables très résistantes aux UV, il demeure insensible aux moisissures.Présentant les mêmes performances techniques, weberseal sanitary est un silicone acétique qui s'avère extrêmement malléable offrant une adhérence optimale aux supports sanitaires (pour étancher les joints entre murs et lavabos, entre sols et toilettes par exemple) et weberseal construction, disposant du label SNJF Façade 25E, se met en œuvre sur pratiquement tous les supports (joints de construction courants, vitrages et joints de raccordement, joints entre PVC, profilés en métal, bois traité et verre).Cette nouvelle gamme Weber intègre également une mousse expansive, destinée au remplissage des cavités et conduits, aux applications dans les joints statiques ou encore à l'installation et la réparation de tuiles faîtières. Disponible en cartouches de 500 ou 750 ml (manuelle et pistolable), weberfoam PU bénéficie d'un fort rendement de remplissage ainsi que d'une grande stabilité de forme (pas de retrait ou post-expansion). Il procure une excellente isolation thermique et acoustique.Enfin, au rang des divers mastics, se distingue weberseal MS, dont la formule se révèle particulièrement résistante aux intempéries et aux UV. Là où d'autres mastics requièrent de préparer le support en amont, weberseal MS peut s'appliquer directement sur tous supports, même légèrement humides. Ses usages sont multiples : étanchéité et collage dans les industries de la construction et de métal, collages structuraux dans des applications vibrantes, rejointoyage des joints de sol, joints de raccordement et de dilatation entre les profilés des fenêtres et le mur...weberseal PU40, disposant comme weberseal construction du label SNJF Façade 25E, est adapté aux collages et à la réalisation de joints d'étanchéité, adhérant à de très nombreux matériaux, sans risque de déchirures. Enfin, weberseal roof tile est une colle à tuile d'une grande élasticité et weberseal acrylic, labellisé SNJF Façade 12,5P, recouvrable après durcissement, offre une excellente adhérence à de nombreux matériaux poreux et à l'aluminium (joints aux appuis de fenêtres, entre plinthe et mur, entre maçonneries, etc.).
Il y a 5 ans et 0 jours

VELUX remporte le Red Dot Award

La solution Cascade de verrières modulaires VELUX remporte le Red Dot Award pour la qualité de son design .
Il y a 5 ans et 0 jours

Vers les centrales solaires hybrides

Producteur indépendant d’énergie renouvelable, ZE Energy s’ancre dans le secteur des EnR (énergies renouvelables) avec sa solution de centrales solaires hybrides combinant photovoltaïque et stockage adaptées à l’Europe continentale. Le modèle a séduit les investisseurs DEMETER, HTGF, EverWatt et Ze Way Invest. La startup vient de lever 4 millions d’euros pour accélérer son développement.
Il y a 5 ans et 0 jours

Arcades et embruns, une capitainerie et une maison de pêcheurs par Oh!Som architectes

Après le béton, la brique et le bois, les éditions Phaidon ont choisi d’explorer la pierre en portant un regard nouveau sur la beauté, la diversité et la polyvalence de ses architectures. D’une grande richesse visuelle, l’ouvrage montre la fascination qu’exerce ce matériau incontournable à travers 170 réalisations des […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 0 jours

Des décrets à venir pour la reconnaissance du Covid-19 en maladie professionnelle

M. Pietraszewski a rappelé que la reconnaissance en maladie professionnelle pour les soignants, promise par le ministre de la Santé, Olivier Véran, était "un devoir" envers ces professions.Il répondait à une question du député (Génération.s) de la Loire Régis Juanico sur la reconnaissance en maladie professionnelle pour les métiers autres que soignants (caissiers, pompiers, postiers, agents de maintenance...), souvent désignés comme "deuxième ligne"."Pour les autres travailleurs que vous évoquez, qui ont pu être contaminés dans le cadre de leur activité professionnelle, nous allons aussi faire en sorte qu'ils puissent obtenir une indemnisation au titre de la maladie professionnelle", a-t-il dit."Je ne partage pas votre proposition de créer un fonds, je crois qu'il est logique d'inscrire cela dans le système de maladie professionnelle qui est déjà éprouvé, qui fonctionne bien et qui me paraît tout à fait adapté", a-t-il ajouté."Nous présenterons dans les jours qui viennent les décrets qui seront ensuite publiés très rapidement sur le sujet", a-t-il ajouté. Le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, avait jugé la semaine dernière "insupportable" de n'être toujours pas fixé de manière claire sur la reconnaissance comme maladie professionnelle du coronavirus.La CFDT souhaite la reconnaissance du Covid-19 comme maladie professionnelle pour tous les métiers, de même que d'autres organisations syndicales, et pas uniquement pour les soignants.Une liste des maladies professionnelles reconnues est établie dans des tableaux annexés au code de la sécurité sociale et au code rural.Si le salarié entre dans les critères (avec des durées d'exposition au risque), il n'a pas besoin de prouver le lien entre sa pathologie et son travail. Si tous les critères ne sont pas remplis, il faut apporter la preuve du lien entre son travail et la maladie et c'est donc bien plus compliqué.Par ailleurs, en dehors de ces tableaux, tout salarié estimant avoir contracté une maladie du fait de son travail peut faire un dossier auprès d'un comité régional de reconnaissance des maladies professionnelles. Le processus est alors très long, "un parcours du combattant" selon plusieurs sources
Il y a 5 ans et 0 jours

BIM d'OR : il est encore temps de candidater

Si vous n'avez pas encore déposé vos dossiers de candidatures pour les BIM d'OR, il est encore temps de le faire. La date de clôture, fixée au 17 juin, est prolongée jusqu'au 29 juin.
Il y a 5 ans et 0 jours

Un rapport du Sénat propose des mesures pour soutenir les PME fragilisée par la crise sanitaire

Ce rapport de la Commission des affaires économiques du Sénat rassemble 17 mesures qui visent notamment à "éviter une vague de faillites" parmi les PME et à "relancer le commerce de proximité", selon une synthèse consultée par l'AFP.Il s'agit de "donner un certain nombre d'idées à l'exécutif pour la mise en œuvre du plan de relance" qui sera dévoilé en septembre, a précisé à l'AFP Serge Babary, sénateur (LR) d'Indre-et-Loire, copilote de la cellule à l'origine du rapport."Il reste encore des professions en grande difficulté, certaines sont connues et structurées comme l'événementiel, mais on s'inquiète aussi de tous les professionnels en amont de ces activités", a-t-il ajouté, citant par exemple les traiteurs, photographes et fleuristes qui gravitent autour de l'industrie du mariage.Pour accélérer la reprise de l'activité, les sénateurs proposent par exemple de baisser la TVA "par exemple à 5,5%" pour les secteurs les plus touchés par la crise (commerce, hôtellerie, restauration, etc.) ce qui pourrait se traduire par "une baisse des prix améliorant le pouvoir d'achat des consommateurs" et par "une hausse des marges" des entreprises concernées.Le rapport suggère aussi de renforcer et de prolonger jusqu'à la fin de l'année certains dispositifs existants. Il préconise en particulier d'assouplir les conditions d'éligibilité au fonds de solidarité permettant aux très petites entreprises de toucher une aide financière.Il recommande également de renforcer les fonds propres des TPE et des PME avec des prêts participatifs ou des obligations convertibles afin de "rétablir leur capacité d'investissement".Les commerçants et les artisans, "frappés de plein fouet" par l'interdiction d'accueillir du public, étaient déjà fragilisés par plusieurs facteurs, souligne le rapport, comme une faible trésorerie, la désertification des centres-villes ou leur manque de numérisation.Ils doivent donc "être durablement accompagnés dans la transition numérique", estiment les sénateurs, qui proposent de "soutenir la formation des dirigeants et salariés" dans ce domaine et de les inciter "à améliorer leur visibilité sur internet", à l'aide notamment d'un crédit d'impôt.Le commerce de proximité "doit être revalorisé", insiste le rapport, qui plaide pour sa promotion dans une campagne nationale.Pour dynamiser ces filières, l'aide à l'embauche d'un apprenti doit être renforcée, estime également le document.
Il y a 5 ans et 0 jours

La garantie des travaux doit être transmise à la vente de l'immeuble

L'acte de vente d'un immeuble ne peut pas priver l'acquéreur des garanties légales en cours à la suite de travaux réalisés depuis moins de dix ans.
Il y a 5 ans et 0 jours

Découvrez les lauréats du Concours Acier 2020

RÉALISATIONS. Le jury du Concours Acier 2020 a sélectionné cette année trois lauréats et décerné une mention spéciale parmi les 12 finalistes qui ont présenté leurs dossiers. La 11e édition de ce palmarès centré sur les constructions métalliques était consacrée à l'adaptation des projets architecturaux aux changements climatiques et au bien-être de la population.
Il y a 5 ans et 0 jours

Quelles sont les inquiétudes des artisans du Bâtiment post-confinement ?

ETUDE. Les artisans du BTP ont-ils le moral ? Quelles sont leurs craintes dans cette période incertaine ? Téléchargez l'infographie et les principaux résultats de l'étude PrimesEnergie.fr pour découvrir leurs réponses.
GDA
Il y a 5 ans et 0 jours

Osmose, la nouvelle création Perene

La dernière création de Perene, baptisée Osmose, met l’accent sur l’intérieur protecteur. Le choix des matières et... Cet article Osmose, la nouvelle création Perene est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 5 ans et 0 jours

Fermob se dévoile pour la première fois à la TV !

CAMPAGNE. Le spécialiste du mobilier de jardin design, Fermob, sponsorise pour la première fois de son histoire des programmes télé.
Il y a 5 ans et 0 jours

L'ordonnance de modernisation des Scot présentée en Conseil des ministres

PLANIFICATION. Prévue par la loi Elan, l'ordonnance de modernisation des Schémas de cohérence territoriale (Scot) vise à rendre le document plus simple d'utilisation et à élargir son périmètre au bassin d'emploi.
Il y a 5 ans et 0 jours

Les renouvelables, "levier essentiel" pour la reprise selon la profession

Les énergies renouvelables peuvent être "un levier essentiel du redémarrage de l'économie", ont souligné les responsables du syndicat de la profession (SER), en présentant leurs préconisations.
Il y a 5 ans et 0 jours

Renouvellement urbain : le pic de 2024 sous contrôle

L’utilisation des 46 milliards d’euros totalisés par le premier programme de l’Agence nationale pour la rénovation urbaine a recueilli un satisfecit global, le 17 juin devant la commission des finances du Sénat. Le lent démarrage du second exercice et l’interminable solde du premier ouvrent des pistes de progrès dans la gestion du tuilage.
Il y a 5 ans et 0 jours

Les ESH et les OPH "en ordre de marche" pour négocier la relance

ENTRETIEN. Valérie Fournier, présidente de la Fédération des Entreprises sociales pour l'Habitat (ESH) et Marcel Rogemont, président de la FOPH (Fédération des offices publics de l'habitat), répondent aux questions de Batiactu quelques jours après la publication de leur "Manifeste pour une relance socialement juste".
Il y a 5 ans et 0 jours

Kingfisher remonte la pente et lance un nouveau plan stratégique

STRATEGIE. Kingfisher, qui dispose des enseignes françaises Castorama et Brico Dépôt, commence à voir sa situation s'améliorer. Outre les résultats de son exercice 2020-2021, le groupe britannique vient de dévoiler les grandes lignes de son nouveau plan stratégique baptisé "Powered by Kingfisher".
Il y a 5 ans et 0 jours

Travaux ferroviaires : des opportunités à saisir dans les pays nordiques

Le Danemark, la Norvège et la Suède ont adopté des plans de soutien ambitieux pour le secteur et les projets d’infrastructures se multiplient.
Il y a 5 ans et 0 jours

Les artisans du bâtiment déçus par le projet de loi de finances, font 6 propositions au gouvernement pour relever le défi de la reprise

Ce plan n'est cependant pas à la hauteur de la situation d'urgence dans laquelle se trouvent les entreprises artisanales du bâtiment. Le Gouvernement occulte la question de la prise en charges des surcoûts liés aux précautions sanitaires et exclut les entreprises du BTP des mesures d'exonération de cotisations et contributions sociales. La CAPEB souhaite donc alerter les parlementaires et propose des mesures fortes, parfois déjà formulées lors du précédent projet de loi de finances pour 2020, qui permettront au secteur de se maintenir et de relever le défi de la reprise de l'activité économique. La CAPEB formule en outre six propositions au plus proche du terrain afin de déverrouiller certains obstacles à la reprise totale de l'activité.Patrick Liébus, Président de la CAPEB : « La crise qui frappe nos entreprises est un choc d'une ampleur inédite. La situation est grave : nous faisons face à de très fortes contraintes de trésorerie et nous devons nous organiser pour accroitre progressivement notre niveau d'activité, notamment en ce qui concerne les chantiers les plus complexes. N'oublions pas que notre secteur représente 6,4% de l'emploi et 5% de la valeur ajoutée en France et qu'il offre, au redémarrage de l'économie nationale, de puissants effets d'entraînement ! nous avons donc formulé des demandes concrètes et adaptées à la réalité du terrain, que les pouvoirs publics doivent prendre en compte pour relever le défi de la reprise de l'activité de l'artisanat du bâtiment. A situation exceptionnelle, nous voulons des mesures exceptionnelles. C'est le moment de prendre en considération certaines de nos propositions rejetées l'an passé, mais également d'en retenir de nouvelles. Nous demandons à nos CAPEB départementales de les porter à la connaissance de leurs parlementaires. »Des mesures gouvernementales à renforcerA l'occasion de l'examen du projet de loi de finances rectificatives qui sera examiné à l'Assemblé Nationale, la CAPEB souhaite interpeller les députés pour qu'ils alertent le Gouvernement sur la question de la prise en charge des surcoûts engendrés par la mise en place des précautions sanitaires. Pour la rénovation des logements, la CAPEB estime le surcoût des travaux sur site de l'ordre de 10 à 20%.Les postes les plus lourds concernent notamment la réorganisation des chantiers notamment en cas de co-activité entre plusieurs entreprises ou plusieurs équipes, le transport des salariés, la désinfection des surfaces, la gestion des déchets. Cela concerne également l'obligation de réaménagement des bases de vie, des vestiaires, des sanitaires sur site et bien évidemment de fournir aux travailleurs tous les équipements de protection nécessaires (gants, masque, etc.).La solution proposée par le Gouvernement réside dans la négociation ou la renégociation, et tout particulièrement en marché public. Or de quelle marge de manœuvre dispose une entreprise artisanale face à son client particulier ou encore face à son maitre d'ouvrage public. Cette mesure est, dans tous les cas, inopérante pour une petite structure.La CAPEB rappelle que ces coûts contribuent à augmenter les montants des devis et souhaite que l'État puisse prendre des dispositions compensatoires pour alléger les coûts des entreprises qui supporteront pour partie ces surcoûts.Le troisième projet de loi de finances rectificative prévoit par ailleurs d'accorder aux entreprises les plus touchées par la crise économique et sanitaire actuelle des mesures exceptionnelles d'exonération de cotisations et contributions sociales ainsi que des remises de dettes et des plans d'apurement. Ces mesures sont proposées aux secteurs d'activité les plus touchées notamment les secteurs du tourisme, de l'hôtellerie, de la restauration de la culture de l'événementiel du sport et du commerce de détail non alimentaire ainsi que les secteurs dont l'activité dépend de celles de ces secteurs. Elles ne concernent pas le secteur du Bâtiment pourtant lourdement touché par la crise économique actuelle, notamment en raison du temps nécessaires qu'il a fallu pour établir le guide officiel de recommandations sanitaires sur les chantiers et en raison des refus de la clientèle privée et des particuliers (87% de l'activité du secteur) de procéder aux chantiers.Compte tenu de son poids dans l'économie et de son importance pour l'activité dans les territoires, la CAPEB demande l'extension de ces mesures exceptionnelles d'exonération des cotisations et contributions ainsi que les remises de dettes, aux employeurs et travailleurs indépendants relevant du secteur du Bâtiment et des Travaux Publics.Projet de loi de finances rectificatives : l'occasion de revenir sur des erreurs du projet de loi de finances initialLe projet de loi de finances pour 2020 prévoyait d'exclure du CITE les 9° et 10° déciles qui représentent les ménages les plus « aisés ». Si l'on peut comprendre que le Gouvernement, au travers d'une mesure sociale, soutienne légitimement les ménages modestes et très modestes, pour autant en termes de massification des travaux et sur un plan environnemental, exclure les 9° et 10° déciles, qui réalisent actuellement près de 50% des travaux relevant du CITE, marque une incohérence et conduira inévitablement à une baisse du nombre de rénovations énergétiques des logements. Le projet de loi de finances rectificatives constitue une occasion de revenir sur cette mesure, en lien avec les objectifs fixés par le Président de la République qui souhaite mettre l'accent sur la rénovation énergétique.Le projet de loi de Finances 2020 supprimait en outre le CITE pour les ménages intermédiaires, concernant les chaudières gaz à très haute performance énergétique (THPE). Or, il est objectivement démontré que ces équipements ont vocation à remplacer le parc des chaudières fioul et gaz existant, en contribuant à la diminution des consommations énergétiques et des émissions de gaz à effet de serre. Une suppression brutale du CITE sur les chaudières gaz à très haute performance énergétique n'est donc pas concevable aujourd'hui.Enfin, la CAPEB plaide pour un retour de la TVA à un taux réduit de 5,5% pour l'ensemble des travaux de rénovation. Cette mesure représenterait une réponse concrète aux enjeux économiques et climatiques actuels.Six propositions simples et au plus proche du terrain pour soutenir l'activité du secteurLa CAPEB adresse par ailleurs aux pouvoirs publics des demandes adaptées au quotidien des entreprises artisanales. Tous les obstacles de terrain que peuvent rencontrer les entreprises artisanales et toutes les incohérences administratives qui minent le quotidien des entreprises artisanales doivent être levés afin que leur survie économique soit assurée.Afin de renforcer leur trésorerie pour éviter au maximum les défaillances d'entreprise, la CAPEB demande :Le paiement direct à l'entreprise de l'avance et du solde des aides aux travaux (MaPrimeRénov, Anah, Action Logement…)Anticiper le versement des primes CEE aux clients, notamment pour les chantiers engagés, afin d'accélérer les règlements envers les entreprisesPermettre aux collectivités territoriales de supprimer les « droits de trottoir » afin que ces entreprises puissent reprendre leur activité sur tout le territoire et le plus rapidement possibleLe droit au stationnement pour les véhicules professionnelsAutoriser durant les mois de l'été la mise en place d'échafaudages et/ou de bennesAccroître les rénovations par la possibilité de déroger au PLU, en favorisant un plus grand niveau de constructibilitéPatrick Liébus, Président de la CAPEB : « Pour conclure, et pour le moment, j'ai bien peur que ce que nous appelons « reprise » ne corresponde en fait qu'à l'exécution des devis et commandes d'avant Covid. Par conséquent, ce qui est très inquiétant pour les semaines et mois à venir, c'est l'éventuelle insuffisance des nouvelles commandes, qui constitueraient la « vraie » reprise. Mes deux craintes : un trou d'air en automne et encore trop peu de chantiers en activité totale et normale. Je rappelle que le dernière enquête des CERC fait apparaître que seulement 63% des chantiers repris fonctionnent à 100%. Malheureusement, un bon nombre d'entreprises artisanales sont amenées à supporter les surcoûts, notamment quand elles réalisent des travaux pour les particuliers, ce qui risque de les conduire à des situations de trésorerie très dégradées, voire de les conduire à la faillite. Enfin, sous peu, nous présenterons l'intégralité du plan de relance que la CAPEB propose pour le secteur, plan qui intégrera bien sûr ces quelques propositions »
Il y a 5 ans et 0 jours

"Les financements sont là, il manque les projets", A.Grizaud, Les Canalisateurs

INTERVIEW. La reprise est bien enclenchée dans les entreprises de canalisations, selon Alain Grizaud, président du syndicat de spécialité qui les réunit. S'il n'est pas inquiet pour le court terme, la suite est plus incertaine. En cause notamment: des projets qui ne sortent pas, alors même que les aides pour les financer restent disponibles.
Il y a 5 ans et 0 jours

Réforme du DPE : deux décrets en consultation publique

RÉNOVATION ENERGETIQUE. Les deux projets de décrets réformant le diagnostic de performance énergétique (DPE) sont en consultation publique jusqu'au 10 juillet prochain.
Il y a 5 ans et 0 jours

93% des chantiers ont repris en France, selon Julien Denormandie

"Nous sommes à 93% de reprise des chantiers sur le territoire national", a déclaré M. Denormandie sur la chaîne BFM Business.De nombreux chantiers étaient tombés à l'arrêt au printemps, à la suite des mesures de confinement décidées contre la propagation du coronavirus. Même si ces chantiers n'étaient pas interdits, il s'est souvent révélé difficile de respecter les contraintes sanitaires, du moins dans un premier temps."Il y a à peu près 15 jours, nous étions à 70%, et il y a un mois, nous étions à à peine 50%", s'est félicité M. Denormandie. "La reprise est là et la dynamique est là."Pour autant, la reprise est plus lente que l'objectif qu'avait fixé le ministre. Il désirait, voici environ un mois, que l'intégralité des chantiers aient repris dès la fin mai.De plus, parmi les chantiers qui ont repris, certains restent en deçà de leur activité normale."Ils sont environ pour 70% d'entre eux repartis à pleine activité", a détaillé M. Denormandie. "Tous n'ont pas encore retrouvé leur régime de croisière."Confiant sur la reprise immédiate, le ministre craint surtout un "trou d'air" à l'automne, qui répercuterait les difficultés actuelles des entreprises à engranger des commandes.Le secteur craint que les mesures de relance prévues à l'automne par le gouvernement arrivent trop tard. Il regrette de ne pas faire l'objet, dès maintenant, d'un plan spécifique comme l'automobile, l'aéronautique et le tourisme."Notre objectif aujourd'hui, c'est de relancer la commande", a promis M. Denormandie, qui dit avoir mis la pression en ce sens sur les organismes dépendant directement de son ministère.Il a aussi rappelé que le gouvernement allait donner une enveloppe d'un milliard d'euros aux collectivités locales pour leurs investissements, bien que les fédérations du secteur jugent la mesure insuffisante en l'état.
Il y a 5 ans et 0 jours

Prysmian développe un câble chauffant pour protéger les vignobles du gel

Prysmian Group, leader mondial de l’industrie des câbles et des systèmes pour l’énergie et les télécommunications, s’est vu attribuer un contrat par une coopérative chablisienne pour le développement d’une solution complète de câbles chauffants permettant la protection des vignes contre le gel, dans le vignoble du Chablis, dans l’Yonne (89). Les vignes subissent les aléas météorologiques, et notamment, l’impact des températures négatives, de la neige, de la glace, ou encore des gelées du printemps. Pour les protéger et éviter la perte de leur récolte, les vignerons peuvent avoir recours à plusieurs techniques, comme les bougies aux pieds des vignes, l’aspersion ou encore l’hélicoptère : des systèmes particulièrement polluants, onéreux et nécessitant plus de mains d’oeuvre. Aujourd’hui, Prysmian Group change la donne avec SENOWATT®, sa solution de câble chauffant antigel, pouvant être installée à demeure dans le vignoble pour de nombreuses années et sans gêne pour la culture. Prysmian a fourni pour le vignoble chablisien plus de 35 km de câbles basse tension 500 V SENOWATT®, conforme NFC32-330 et NFC15-100, un câble chauffant à la gaine résistante aux intempéries, aux UV et aux traitements chimiques. Fixé tout au long du fil de palissage, le câble est relié grâce à un système de connectique à une armoire étanche de distribution. Le système est enclenché lorsque les températures chutent (efficace jusqu’à -10°C) et maintient à la surface du câble une élévation de température constante et homogène située entre 15°C et 20°C. Cette technologie de câble chauffant est une solution innovante, fiable, économique et écologique pour protéger les vignes. Son installation très simple et rapide peut être réalisée directement par les vignerons et ne nécessite aucune maintenance. En effet, les grandes longueurs de câbles (environ 1km), d’une puissance de 120 à 140 kW / ha, qui s’adaptent parfaitement à la forme des parcelles, et la liaison en boucle sans connectique facilitent considérablement l’installation en un temps réduit. Les équipes R&D de Prysmian ont développé ce câble pour répondre parfaitement aux attentes des vignerons et en accord avec les prérogatives du Groupe concernant la réduction de l’impact environnemental. « Nous sommes fiers de contribuer au développement d’une solution innovante, durable et respectueuse de la nature et de l’environnement. Ce projet illustre notre ambition d’aller toujours plus loin pour répondre aux défis techniques posés par nos clients », a conclu M. Fabien Queffelec, Directeur Industrie & Spécialités Prysmian Group France. Les câbles sont fabriqués dans l’Yonne (89) sur le site industriel Prysmian Group de Paron, qui se démarque pour son excellente offre de câbles basse tension, spéciaux et industriels dans le monde entier.
Il y a 5 ans et 0 jours

Baisse de 30% des transactions immobilières sur toute la France mais un marché rééquilibré prêt à rebondir

Cette période a été l'occasion, pour de nombreux ménages, de repenser leur mode de vie et d'y adapter leur projet d'achat immobilier. Néanmoins, dans ce contexte, les conditions d'obtention d'un prêt se sont resserrées en raison notamment de la hausse des taux d'emprunt conjuguée à la baisse du taux d'usure [1]. Cette situation a engendré un effet ciseau [2] et pénalisé en premier lieu les ménages aux revenus les plus modestes.Afin de construire et de mener à bien sa demande de prêt, dans les conditions les plus avantageuses possibles et ce, quels que soient son profil ou sa situation financière, il est aujourd'hui plus que jamais nécessaire de se faire accompagner par un professionnel du crédit immobilier, tel que La Centrale de Financement. Les conditions d'emprunt sont d'ailleurs plus favorables au mois de Juin 2020 que sur le mois précédent ; après une remontée des taux des crédits immobiliers constatés au mois de Mai, ceux-ci ont finalement diminué sur l'ensemble des durées d'emprunt supérieures à 10 ans. À l'inverse, les taux ont confirmé leur tendance haussière sur les emprunts de courte durée (7 et 10 ans). Malgré le contexte de crise, les conditions d'emprunt restent donc toujours attractives et la pierre une valeur sûre !Une diminution du nombre de transactions profitable au marché du crédit immobilierAlors qu'en 2019 le nombre de transactions avait dépassé le million, le marché immobilier était au bord de la surchauffe sans avoir de véritables solutions pour le freiner et éviter le risque d'inflation. Avec la crise épidémique, la demande de crédit s'est fortement freinée permettant de rééquilibrer le marché du crédit immobilier, sans intervention du Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF).La Centrale de Financement a en effet constaté une diminution d'environ 30% de la demande de crédit, de janvier à Mai 2020 sur l'ensemble de la France, par rapport à 2019.« La diminution des demandes de prêt est légèrement moindre dans les zones les plus touchées par l'épidémie (-28,75%) en raison d'une volonté plus marquée des ménages installés en Ile-de-France de faire évoluer leur projet de vie vers des résidences situées à proximité d'espaces verts ou en bord de mer. », précise Sylvain Lefèvre, Président de La Centrale de Financement.Malgré les dommages induits par l'augmentation du chômage partiel en France, le marché du crédit immobilier devrait également être en mesure de rebondir.« Les pertes temporaires engendrées sur le marché par les emprunteurs (issus du secteur de la restauration, de l'hôtellerie etc.) ne pouvant plus honorer leurs échéances de prêts seront compensées par l'augmentation du pouvoir d'achat d'acquéreurs travaillant dans d'autres secteurs d'activité (santé, nouvelles technologies etc.). Le marché du crédit immobilier n'en est finalement que peu impacté. La Centrale de Financement reste donc très confiante sur l'avenir du crédit immobilier qui demeure l'un des investissements préférés des Français ! » déclare Sylvain Lefèvre.La Banque de France se veut également rassurante sur l'évolution du secteur, elle s'attend à un retour à la normale à partir de juillet. Pour elle, l'effet du confinement n'aura finalement eu qu'un impact « temporaire » sur le marché immobilier.Une période favorable au mûrissement des projets d'achat immobilierMalgré le confinement, les ménages français sont restés confiants et ont profité de cette période pour mûrir un projet d'achat ou le faire évoluer. Nombre d'entre eux ont notamment orienté leur réflexion vers l'acquisition d'une résidence secondaire.« Nous avons constaté une augmentation d'environ 10% des intentions d'achat pour les résidences secondaires, plus particulièrement dans l'Ouest (en Bretagne notamment) et dans le Sud, où les villes les plus attractives ont eu le vent en poupe (Nantes, Bordeaux, Montpellier, Avignon, etc.). Il s'agit, pour la plupart, de ménages parisiens qui souhaitent s'éloigner de la capitale tout en restant à proximité des grands axes TGV. » ajoute Sylvain Lefèvre.Si le marché du crédit immobilier peut s'appuyer sur de nombreux leviers pour repartir, la crise a néanmoins eu pour effet de pénaliser les emprunteurs les plus modestes. En cause : l'augmentation des taux d'emprunt conjuguée à la baisse du taux d'usure. Pour favoriser la reprise, il est donc nécessaire de proposer des solutions permettant aux ménages d'accéder à l'emprunt et ce, quels que soient leur situation financière ou leur profil.Favoriser la reprise en luttant contre l'effet pervers du taux d'usure, grâce à la délégation d'assurance !Fixé à la fin de chaque trimestre par la Banque de France, le taux d'usure protège l'emprunteur contre des taux supérieurs à ce taux plafond, dont le dépassement pourrait placer l'emprunteur dans une situation financière difficile. Mais, depuis le début de l'année, il baisse pour la deuxième fois et se rapproche des taux moyens pratiqués par les banques (qui ont augmenté pendant la crise), générant un effet ciseau. A ce jour, celui-ci laisse peu de marges aux emprunteurs modestes dont le dossier nécessite de négocier des intérêts plus élevés (banques et assurance de prêt compris) ...Afin de permettre aux ménages impactés par cet effet ciseau d'accéder à un crédit immobilier dans les meilleures conditions possibles, la Centrale de Financement, propose des solutions de financement sur-mesure et parvient à réduire significativement le coût de l'assurance, grâce à une délégation d'assurance adaptée.Le montant de l'assurance de prêt varie selon l'état de santé du contractant au prêt. Si ce dernier est atteint d'une ou plusieurs pathologies, le montant de l'assurance proposé par les Banques, généralement un contrat d'assurance groupe négocié en amont avec un assureur, peut être suffisamment important pour que son Taux Annuel Effectif Global (TAEG) atteigne rapidement le taux d'usure en vigueur. Le montant des assurances crédit proposées par les banques se base généralement sur le calcul d'un taux moyen établi selon le profil de l'emprunteur, et appliqué au montant total du capital emprunté.Or, avec une délégation d'assurance, l'emprunteur bénéficie de garanties d'assurance véritablement adaptées à son profil et ses capacités financières. Elle permet de bénéficier d'un remboursement évolutif et se base non pas sur le capital total à rembourser mais sur ce qui reste à rembourser par l'emprunteur. Ainsi, tout au long du remboursement du prêt, le montant de l'assurance diminue et engendre des mensualités moins importantes pour l'emprunteur, lui permettant de contracter un prêt immobilier dans les meilleures conditions.Juin 2020, un mois plus favorable à l'emprunt que le précédent !Après une hausse des taux généralement constatés sur le mois de Mai, ceux-ci ont finalement diminué sur les durées de prêt supérieures à 10 ans pour le mois de Juin 2020, améliorant les conditions d'emprunt sur 12, 15, 20 et 25 ans.Ainsi, avec les taux annoncés ce mois-ci, pour un emprunteur contractant un prêt d'un montant de 180 000 € sur 20 ans à 1,27%, la mensualité s'élèvera à 849,6 euros avec un coût total de crédit de 23 904 euros.Évolution des tauxLes taux immobiliers moyens de juin 2020 par durée d'empruntLes conditions de taux généralement constatées augmentent de 0,02% pour les prêts de courtes durées, à savoir sur 7 à 10 ans. En revanche, pour les emprunts d'une durée supérieure, les taux ont finalement diminué de 0,04% pour les prêts sur 12, 20 et 25 ans et de 0,03% pour les prêts contractés sur une durée de 15 ans. Les meilleurs taux immobiliers de juin 2020 par durée d'empruntLes meilleurs taux du mois de Juin restent stables par rapport à ceux du mois de Mai pour l'ensemble des durées d'emprunt. Un emprunteur bénéficiant d'un très bon dossier pourra donc solliciter un financement, avec un taux hors assurance, aussi avantageux que le mois précédent. Profil des emprunteurs ayant réalisé leur projet en mai 2020Usage du bien financé en mai 2020L'emprunteur type du mois de mai 2020[1]Le taux dit d'usure est celui au-dessus duquel les établissements de crédit n'ont pas le droit d'accorder de prêt. Il ne s'applique pas uniquement au taux d'emprunt proposé par la banque, mais au Taux Annuel Effectif Global (TAEG) qui inclut l'assurance emprunteur et les frais annexes.[2]Avec l'augmentation des taux pendant la crise, l'écart entre le TAEG et le taux d'usure s'est réduit : il s'agit de l'effet ciseau. Dans ces conditions, les futurs emprunteurs ont atteint plus rapidement le taux d'usure, entraînant ainsi le refus de leur prêt immobilier.[3]https://www.tresor.economie.gouv.fr/Articles/2020/03/26/les-seuils-de-l-usure-au-1er-avril-2020[4]Incluant les opérations de crédit destinées à regrouper des crédits antérieurs comprenant un ou des crédits mentionnés au 1° de l'article L. 313-1 du code de la consommation dont la part relative dépasse 60% du montant total de l'opération de regroupement de crédit.[5]S'agissant du taux de l'usure applicable aux crédits à taux fixe, fixation de seuils de l'usure par tranche de maturité: moins de 10 ans, 10 ans à moins de 20 ans, 20 ans et plus.[6]La délégation d'assurance, dans le cadre d'un crédit immobilier, permet aux emprunteurs de contracter une assurance emprunteur auprès d'une compagnie autre que l'organisme de crédit qui lui accorde le prêt (également appelée assurance de prêt « hors banque »)
Il y a 5 ans et 0 jours

Les Français ont repris leurs projets immobiliers (Opinionway)

SONDAGE. Opinionway, qui a interrogé les Français début juin sur leurs projets immobiliers, relève une nette reprise de ces projets, malgré des inquiétudes quant aux crédits. Inquiétudes en partie justifiées, d'après Artemis Courtage.
Il y a 5 ans et 0 jours

Activité partielle : "Il faut vraiment que ça reparte", insiste Muriel Pénicaud

RELANCE. La ministre du Travail appelle les entreprises et les salariés à reprendre une activité normale pour éviter que l'emploi n'en pâtisse. Muriel Pénicaud a aussi fourni les derniers chiffres sur le chômage partiel et annoncé une évolution des guides de bonnes pratiques sanitaires.
Il y a 5 ans et 1 jours

Les travaux de la reconstruction de Notre-Dame pourront débuter en janvier 2021

"On finit toute la consolidation. Raisonnablement, on peut commencer les travaux en janvier 2021", a-t-il déclaré à la presse lors de l'inauguration d'une exposition de dessins d'enfants représentant la cathédrale, sur la palissade du chantier, en présence de Jean-Louis Georgelin, chef des opérations de la reconstruction du joyau de l'art gothique."Il y a toujours des aléas. Mais c'est raisonnable de le penser", a-t-il ajouté, saluant par ailleurs, devant plusieurs dizaines d'écoliers présents, le "signe d'espérance" donné par les enfants avec leurs dessins.Le chantier a connu des aléas. Il avait été retardé durant l'été par des mesures contre la contamination au plomb. Puis à l'automne et à l'hiver, les intempéries ont bloqué les travaux. Au printemps, le coronavirus a plongé le chantier dans le sommeil. Il pu reprendre récemment avec notamment la dernière phase de la délicate opération de démontage de l'échafaudage de la flèche de Notre-Dame, qui a commencé la semaine dernière.L'ambition du président Emmanuel Macron est de redonner vie à la cathédrale d'ici 2024.Mgr Aupetit a également béni une réplique de la statut de Notre-Dame, - la Vierge au pilier- installée depuis quelques jours sur le parvis.
Il y a 5 ans et 1 jours

Outils numériques dans la construction : la France 4e utilisateur mondial

Réalisée entre avril 2019 et mars 2020, une enquête, sponsorisée par l’éditeur de logiciels Autodesk, donne un aperçu par pays de la maturité en matière d'outils numériques des métiers de la construction.
Il y a 5 ans et 1 jours

Saint-Gobain développe des vitres de protection sanitaire

Saint-Gobain produit différentes solutions en kits complets (verres et fixations), faciles et rapides à poser pour se conformer à toutes les configurations de comptoirs ou de bureaux.Une offre plurielle pour répondre à tous les besoinsSaint-Gobain développe des ensembles en kits complets dont les modules peuvent être composés de 1 ou 3 faces en verre. Ils peuvent intégrer une ouverture « passe-documents » ou un parloir en fonction des besoins. Les vitres sont montées sur des profilés en aluminium ou assemblées avec des pièces métalliques selon les modèles. La stabilité des kits installés est renforcée par des systèmes d'adhésifs ou de pièces métalliques vissées directement sur le support. Les verres et les accessoires en aluminium sont totalement recyclables.Saint-Gobain propose différents designs de vitres de protection sanitaire en fonction du style souhaité. Leurs accessoires métalliques sont aussi disponibles en plusieurs finitions.En standard, les kits intègrent du verre PLANICLEAR® SECURIT (verre de sécurité trempé, norme EN 12150) dont l'épaisseur varie de 4 à 10 mm. Dans la mesure où ces épaisseurs sont respectées, des solutions avec des verres feuilletés de sécurité peuvent aussi être étudiées : STADIP PROTECT® pour une sécurité renforcée, STADIP SILENCE® pour plus d'isolation phonique, ou encore STADIP COLOR® pour ajouter de la couleur à la transparence.Pour les projets qui nécessitent une solution personnalisée, Saint-Gobain peut concevoir une solution spécifique : dimensions, contraintes techniques, association particulière entre le verre et les accessoires, etc.Une protection efficace et durableLes vitres de protection sanitaire Saint-Gobain constituent d'excellentes protections contre la contamination bactérienne ou virale.La surface lisse du verre offre un nettoyage facile et efficace, qui rend le matériau à la fois hygiénique et esthétique dans la mesure où la transparence perdure, sans jaunissement ni voile blanc après vieillissement du verre.Contrairement à d'autres types de matériaux de synthèse, les verres Saint-Gobain peuvent être nettoyés avec un produit anti-virus, à base d'alcool à 70° au minimum, sans risquer d'altérer leur surface au fil du temps.Une solution esthétique et modulableLa vitre de protection sanitaire crée une séparation transparente entre deux espaces et laisse pénétrer la lumière naturelle. Particulièrement esthétique et durable, cette solution offre un agencement sécurisé des comptoirs et bureaux dans tous types d'établissements : bars, restaurants, hôtels, bureaux, boutiques, centres de santé et autres bâtiments recevant du public.Les kits de vitres de protection sanitaire de Saint-Gobain s'installent sur tous types de supports solides et plans comme le bois, le béton, le carreau de plâtre, le verre... dont la surface est propre, lisse et résistante. En fonction du style souhaité, le kit peut être composé avec différentes options de verres décoratifs de la gamme Saint-Gobain :verre texturé trempé des gammes DECORGLASS® ou MASTERGLASS®, pour un effet translucide décoratif qui donne du caractèreverre de sécurité trempé avec impression digitale PICTURE-it®, pour des décors personnalisés : textes, logos, graphismes, photos, etc.vitrages à occultation commandée, vitrages chauffants, etc.
Il y a 5 ans et 1 jours

Edycem BPE présente son nouveau réseau So’Lumiliss®

Edycem BPE présente son nouveau réseau So’Lumiliss® destiné à réunir les applicateurs spécialisés dans la réalisation... Cet article Edycem BPE présente son nouveau réseau So’Lumiliss® est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 5 ans et 1 jours

"Un plan de soutien historique pour le BTP" - Antoine Sentis (groupe EBP)

Tribune d'Antoine Sentis, directeur de la communication du groupe EBP, au sujet du plan de soutien mis en place par le Gouvernement concernant le BTP. Il livre une analyse sur la manière dont les pouvoirs publics ont souhaité régler la question des surcoûts liés à la crise, la manière dont la reprise va s'opérer notamment par la commande publique. Enfin, les mesures liées à l'apprentissage. Autant de dispositions qui vont venir en aide à un secteur majeur de l'économie constitué en grande partie de TPE/PME et d'ETI.
Il y a 5 ans et 1 jours

bio'bric s'organise avec ses partenaires pour accompagner et faciliter la reprise du marché

« On a vécu et on vit encore une période exceptionnelle. Même si le marché connait une période d'incertitude, la société Bouyer Leroux est aujourd'hui pleinement opérationnelle pour y faire face auprès de l'ensemble de ses clients (professionnels de la distribution, entreprises de maçonnerie, plâtriers plaquistes, couvreurs, constructeurs et promoteurs) grâce à ses équipes techniques et commerciales qui se sont adaptées aux nouvelles contraintes » révèle Pierre-Alexandre Cheminel directeur marketing et commercial.Une écoute du marché renforcée pour ajuster la production sur les besoins des clientsIl y a encore une interrogation concernant le mois d'août qui traditionnellement est un mois plus faible en activité pour le bâtiment.« Les entreprises maintiendront-elles leur activité pour rattraper les retards dus aux mois de mars et avril ? Optimiseront-elles leurs chantiers avant d'entrer dans la saison d'hiver? Il y a encore des inconnues. Nous avons anticipé plusieurs scénarios pour faciliter cette reprise et d'ores et déjà, acquis de nouvelles manières de travailler » confie PierreAlexandre Cheminel.Un plan d'actions spécifique pour mieux s'adapterOptimisation du stock, souplesse de la production et réactivité des équipes techniques et commerciales bio'bric sont les trois conditions pour répondre aux contraintes liées à la gestion du Covid-19 sur les chantiers et pour aider ces derniers à repartir au plus vite et efficacement.« Le bon partenaire en temps de crise est celui qui sait être à l'écoute du marché et adapter sans cesse son organisation pour répondre aux besoins de ses clients » souligne Pierre-Alexandre Cheminel. « Pour nous assurer que nous serions bien en mesure de le faire, nous nous sommes attachés à lever au sein de nos processus l'ensemble des risques potentiels liés à la situation d'incertitude que nous vivons ».Un dispositif industriel flexible pour pouvoir approvisionner les chantiers sur l'ensemble du territoire et éviter toute rupture de produitsBouyer Leroux a aujourd'hui un stock qui permet de construire 9000 logements (5000 maisons, 4000 logements collectifs), soit l'équivalent d'une ville de 20000 habitants. Ce stock est en cours de renforcement, avec l'objectif de couvrir 3 mois de ventes à fin juillet. De plus, Bouyer Leroux a la capacité d'augmenter rapidement et significativement sa production dans l'hypothèse d'un rattrapage d'activité dans les prochains mois.Grâce à une chaine d'approvisionnement 100% locale et en propriété, la disponibilité de la matière première, l'argile, n'est pas un sujet pour la brique. Bouyer Leroux dispose en effet de plus de 30 années de réserves d'argile. Un volume équivalent à plus de 6 mois de fabrication est déjà extrait et prêt à l'emploi.Le dispositif industriel composé de 9 usines idéalement situées en France permet de pallier l'éventualité d'un isolement de certaines régions dans le cas d'une deuxième vague. Un plan de substitution est déjà prévu en ce sens. Enfin, le panel de transporteurs partenaires de Bouyer Leroux a été évalué et permettra ainsi de répondre à la demande.Accompagner les clientsDans ce contexte de profonde transformation, notamment digitale, la direction marketing et commerciale bio'bric a rapidement mis en place des solutions en modifiant l'organisation de ses équipes techniques et commerciales, et en les formant.Les maîtres mots : bonnes pratiques et adaptabilité Les équipes techniques et commerciales bio'bric, doivent aussi s'adapter pour continuer à être aux côtés de leurs clients et de leurs partenaires, et les accompagner aux mieux en leur proposant de nouveaux services :Développement du digital et de la visio-conférencePour accompagner le protocole sanitaire des clients qui demande de limiter au maximum les rendez-vous physiques, les commerciaux peuvent désormais entrer en contact avec eux par visio-conférence (100% des commerciaux sont équipés). Cela change la conduite des entretiens. Il faut en peu de temps être pertinent en proposant le service le mieux adapté au besoin du client. Pour accompagner ce changement dans les pratiques et le discours commercial, 600 heures de formation des commerciaux ont été programmées en mai.Des tutoriels ont été créés pour la mise en œuvre des produitsDifficile de se rendre sur tous les chantiers actuellement, c'est pourquoi plusieurs vidéos courtes et explicites sont mises à la disposition des équipes techniques et commerciales.Des supports de communication adaptés aux besoins actuels des entreprisesAinsi, une fiche montrant que la brique collée est un système compatible avec les gestes barrières a été mise à disposition des entreprises. Ces dernières peuvent intégrer ces préconisations dans leur propre protocole de reprise sanitaire.Une offre pertinente dans le contexte actuelCompte tenu des surcoûts liés à l'instauration des mesures sanitaires sur les chantiers face au coronavirus, les promoteurs et constructeurs de maisons individuelles sont, aujourd'hui, en recherche de produits compétitifs qui offrent les performances thermiques, acoustiques et mécaniques attendues.Les nouvelles solutions, telles que la colle fix'bric et la planelle supeRmax, commercialisées par Bouyer Leroux répondent à ces critères.En collectif : la solution brique répond parfaitement aux attentes du marchéAinsi, pour compenser une partie des frais générés par la mise en application des gestes barrières sur chantiers, la solution brique très économique présente un intérêt certain pour les promoteurs qui ne travaillent pas encore avec ce système constructif qui a fait ses preuves. Selon la dernière étude Batiétude, la brique détenait en effet 27% de parts de marché dans le collectif en 2018.Les promoteurs qui font déjà confiance à la brique sont confortés dans leur choix. Non seulement la solution brique est économique mais elle est aussi très pertinente thermiquement. Par exemple, l'association de la planelle supeRmax (résistance thermique de 1,7 m². K/W) et la brique bgv'costo th+ optimise la performance de l'enveloppe du bâtiment tout en maîtrisant les coûts. Plus largement, le Pack Collectif bio'bric, qui associe des briques isolantes à des accessoires pour traiter de manière optimale les ponts thermiques, permet aux promoteurs de proposer plus facilement à leurs clients des espaces extérieurs tels que les balcons et terrasses qui devraient être plébiscités après cette période de confinement.En maison individuelle, les constructeurs cherchent à raccourcir leur temps de chantiers pour rattraper les retards fix'bric, la colle prête à l'emploi pour la bgv20, est une solution qui permet de gagner jusqu'à 1h30 par jour et par chantier ! Elle remporte un franc succès auprès des constructeurs et maçons. Maison France Confort, membre du groupe Hexaom, vient de l'adopter sur la région Midi-Pyrénées et la déploie actuellement sur la région Île-de-France.
Il y a 5 ans et 1 jours

La filière gaz attaque la RE2020 devant le Conseil d'Etat

RECOURS. L'Association française du gaz (AFG) vient de porter un recours en annulation partielle devant le Conseil d'État contre la programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE), qui contient des dispositions qui impacteront la réglementation environnementale 2020 (RE2020). Patrick Corbin, son président, détaille auprès de Batiactu les enjeux de cette saisine.