Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 5 ans et 6 jours

Rockwool crée Rockcommerce, une plateforme en ligne qui permet à ses clients de gérer l'ensemble de leurs démarches

Les démarches administratives accompagnant l'approvisionnement en produits du BTP peuvent parfois s'avérer complexes. Conscient de ces obstacles, ROCKWOOL, leader de la production d'isolant en laine de roche, a décidé de mettre à la disposition de ses clients un outil digital sur mesure afin de leur faciliter la gestion de l'ensemble des services proposés. Grâce à la nouvelle plateforme ROCKCOMMERCE, commander un produit, suivre une livraison ou obtenir ses factures n'a jamais été aussi simple. Rendez-vous sur shop.rockwool.com !Flexibilité, liberté et autonomie, à la portée de tous !Accessible via ordinateur, tablette ou smartphone, ROCKCOMMERCE, c'est avant tout une plateforme simple et intuitive permettant d'harmoniser et d'optimiser la réalisation des démarches, le tout de manière autonome. Développée et conçue spécialement pour simplifier le quotidien des clients et des commerciaux de ROCKWOOL, la plateforme digitale offre une toute nouvelle expérience en matière d'approvisionnement.En quelques clics, il est désormais possible de consulter l'ensemble des fiches produits, de passer une commande de manière simplifiée, d'effectuer un tracking en temps réel sur ses livraisons mais aussi de visualiser et d'archiver ses factures. Tout ce qu'il suffit de faire en amont, c'est de créer son mot de passe.Personnalisez et optimisez le pilotage de toutes vos démarchesAvec ROCKCOMMERCE, non seulement l'état des commandes est visible en un coup d'œil, mais la plateforme propose également de les trier par critères, les modifier ou même les annuler. La date initiale d'une livraison en cours doit être changée ? Elle est modifiable en un seul clic et sans passer par un intermédiaire. Pour connaître l'avancement d'une commande, le service Track and Trace propose la géolocalisation en temps réel des camions acheminant les produits. Au-delà de l'accès rapide à toutes les fiches produits, ROCKCOMMERCE, c'est aussi la possibilité de passer sa commande 7 jours sur 7, 24h sur 24.Enfin, afin de faciliter la gestion comptable pour les clients, la plateforme propose un accès à l'historique des commandes depuis 2017 et la possibilité de télécharger instantanément toutes les factures.« Chez ROCKWOOL, la transformation digitale est considérée comme la pierre angulaire de notre croissance. Ainsi, depuis plusieurs années déjà, nous l'intégrons à notre fonctionnement en interne comme en externe. La notion de service nous étant toujours primordiale, il était naturel que nos clients puissent aussi bénéficier d'un service digitalisé. Au-delà des avantages fournis, nous souhaitons les aider à se familiariser au concept afin qu'eux-mêmes puissent se lancer dans leur propre transformation digitale » déclare Thibaut Van Den Berghe, directeur commercial chez ROCKWOOL France.Découvrez la plateforme ROCKCOMMERCE en vous rendant sur shop.rockwool.com.Pour plus d'informations, visitez le site de ROCKWOOL.
Il y a 5 ans et 6 jours

Circulaire surcoûts : "Tout ça, pour ça...", réagit la FNTP

Après une longue attente, la déception est grande pour les acteurs. Mardi 9 juin, le Premier ministre rédigeait une circulaire relative à la prise en charge des surcoûts liés à la crise du Covid-19 dans les marchés de l'Etat. La Fédération nationale des travaux publics réagit et dénonce une coquille vide.
Il y a 5 ans et 6 jours

Les Travaux publics prévoient une forte chute de leurs revenus

Les groupes de travaux publics pensent qu'ils mettront des mois à retrouver une activité normale à la suite de la crise du coronavirus, rapporte une enquête de leur fédération.
Il y a 5 ans et 6 jours

Lancement de waggon.io, l'appli qui bouscule les règles du marché pro de l'architecture

Lors de pics d'activités ou de projets volumineux, les Architectes et les Aménageurs d'espaces font appel à des solutions externes pour concevoir et réaliser les projets de leurs clients. Les Agences adaptent alors leur organisation pour répondre au mieux à la diversité et à l'envergure de leurs projets en se tournant vers leur réseau de freelances ou vers des agences d'intérim spécialisées. Mais cela est souvent complexe, long et mal adapté aux besoins du projet.Après plusieurs années passées en Agences, les co-fondateurs Edson et Cédrick ont été frustrés de ne pas avoir un accès centralisé aux Freelances, pour intervenir sur des projets, renforcer ou compléter des équipes partout en France. La recherche de « compétences externes » était souvent longue et complexe. De leurs côtés, les Freelances disposant de compétences spécialisées et d'expériences probantes, pouvaient rencontrer des difficultés à accéder aux projets des Agences françaises.Waggon est né pour répondre plus vite et mieux à ces problématiques :« Waggon simplement une solution dont nous aurions aimé disposer : nous l'avons créé pour offrir un service global, pratique et performant pour les Agences »Avec l'outil waggon.io, les Agences disposent d'une interface permettant de déposer des projets et de recevoir en moins de 48h, trois profils de Freelances appropriés.Notre algorithme effectue une pré-sélection de Freelances, notre équipe s'appuie sur notre expertise et notre expérience pour analyser les besoins du projet et proposer trois profils ciblés aux Agences.Pour les Agences, Waggon c'est :Une interface accessible 24h/24 et 7j/7 pour déposer des projets,Un accès à une communauté de Freelances,Une messagerie interne pour échanger et diffuser des documents,Un tableau de bord permettant la gestion des projets confiés (accès aux devis, avancement des projets, bons de commandes, factures, …)Waggon permet aux Agences de gagner un temps considérable pour leurs recherches de partenaires et sécurise les prestations que les Agences souhaitent confier.Un unique tarif : 13% du montant de la prestation du Freelance.Pour les Freelances, Waggon c'est :Un accès totalement gratuit à la solution Waggon,Une qualification des projets en accord avec leur compétences, singularités et envies,Un accès à la communauté des Freelances de France leur permettant de s'entraider et d'échanger sur les objectifs communs.Afin d'aller plus loin que l'expérience digitale et de créer une véritable communauté de Freelances, nous avons créé les « Waggon Events » : des événements qui rassemblent et fédèrent la communauté à travers toute la France pour partager et s'enrichir.Waggon est une nouvelle solution attendue. Preuve de cet engouement, plusieurs projets ont été rapidement déposés et au bout de trois semaines, plus de 300 freelances se sont inscrits.La volonté du développeur est que Waggon soit utilisé par toutes les agences françaises et ainsi devenir le pôle de compétences externes de leurs organisations.A terme Waggon prévoit également de s'implanter dans plusieurs pays européens.
Il y a 5 ans et 6 jours

Soutien au BTP : les mesures du gouvernement

A l’occasion de la présentation en Conseil des ministres, mercredi 10 juin du 3e projet de loi de finances rectificative pour 2020, le gouvernement a présenté des mesures de soutien pour accompagner la reprise d’activité du secteur.
Il y a 5 ans et 6 jours

«Il faut utiliser le béton pour densifier le tissu urbain existant et limiter l’artificialisation des sols», Philippe Gruat, président de la filière béton

Comme nombre de branches du secteur de la construction, la Filière Béton, association professionnelle qui rassemble tous les organismes représentatifs de cette industrie, de l’extraction, à la fabrication de ciment, et aux produits finis, a fait des propositions au gouvernement pour une relance efficace et écologique. Son président, Philippe Gruat insiste sur les qualités du matériau pour en faire un instrument de cette relance.
Cimbat
Il y a 5 ans et 6 jours

Le confinement révèle les inégalités en matière de logement

Comment les Français confinés ont-ils apprécié la qualité de leur logement pendant ces longues semaines ? L’Association Qualitel et l’Institut Ipsos ont mené l’enquête.
Il y a 5 ans et 6 jours

300 nouveaux projets pour accélérer l'installation de panneaux photovoltaïques sur les bâtiments

Ces lauréats vont bénéficier d'un soutien public pour l'électricité renouvelable produite. Ils contribueront ainsi à l'atteinte des objectifs français de production d'électricité renouvelable, conformément à la Programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) récemment publiée.« Alors que nous entrons dans une phase de reprise progressive de l'activité, nous poursuivons nos échanges avec la filière des énergies renouvelables pour la soutenir, pour identifier les freins à cette reprise et pour donner de la visibilité sur les prochains mois. La PPE doit en cela être un élément structurant du futur plan de relance, la transition énergétique étant à la fois un défi à relever collectivement et une opportunité pour notre économie. » a déclaré aujourd'hui Élisabeth Borne. Le prix moyen de cet appel d'offres est de 93,98 €/MWh pour la famille des projets d'une puissance entre 100 kWc et 500 kWc et 83,06 €/MWh pour la famille entre 500 kWc et 8 MWc.Cette désignation se fera de manière dématérialisée grâce à un nouvel outil développé par le ministère de la Transition écologique et solidaire afin de faciliter et d'accélérer les interactions entre les porteurs de projets et l'administration.En complément, afin de soutenir les porteurs de projets d'énergies renouvelables confrontés à des difficultés du fait de la crise sanitaire, le ministère a pris diverses mesures de simplification, notamment en accordant des délais supplémentaires pour finaliser et mettre en service les projets.A la suite de la publication du décret portant la Programmation pluriannuelle de l'énergie, le ministère a également mis en consultation les projets de cahiers des charges de la deuxième PPE, afin de recueillir les propositions des parties prenantes.Retrouvez en ligne la liste des lauréats désignés.
Il y a 5 ans et 6 jours

Transition : "Nous avons une opportunité historique", Hervé de Maistre (AIMCC)

FILIÈRE. La crise sanitaire et économique du coronavirus doit être l'occasion de passer à la vitesse supérieure de la transition énergétique des bâtiments, selon Hervé de Maistre, président de l'Association française des industries de produits de construction (AIMCC). L'organisation apporte sa contribution au plan de relance du Gouvernement, en demandant notamment de mettre le paquet sur l'accompagnement des ménages.
Il y a 5 ans et 6 jours

Pierres plissées pour grands crus, par Carl Fredrik Svenstedt

Europan, le concours d'idées biennal d'architecture et d'urbanisme, recherche des sites de projet à soumettre aux candidats de sa seizième édition. Rendez-vous très attendu des jeunes architectes, paysagistes et urbanistes désireux de se frotter à des sites de projet d'envergure, le concours d'idées biennal Europan est […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 7 jours

CSTB'Lab : bienvenue à Epidherm, FlexThings, Reso 3D et Baulders !

Avec pour thématique « Outils et méthodes pour le chantier », le dernier jury du CSTB'Lab a permis de sélectionner quatre nouvelles jeunes pousses : Epidherm, FlexThings, Reso 3D, Baulders. Elles seront accompagnées par l'accélérateur de start-up du CSTB, qui leur ouvrira son écosystème scientifique et technique et leur permettra d'affiner et fiabiliser leurs solutions innovantes liées à des enjeux majeurs du secteur de la construction, comme la digitalisation de services, la gestion collaborative de projets, la visualisation 3D des réseaux, etc. Les start-up sélectionnées proposent : Epidherm - Un logiciel de « générative design » à destination des acteurs du bâtiment, qui associe les algorithmes au calcul du cloud, pour générer des solutions en réponse aux contraintes spécifiques de chaque projet. FlexThings - Différentes solutions (réalité augmentée, Internet des objets, PLM) d'accompagnement des industriels dans la mise en place d'un système interconnecté dans lequel les machines, les processus et les produits communiquent en permanence. Reso 3D - Une application mobile permettant de relever la position des tranchées ouvertes, et de dresser le plan des réseaux souterrains afin d'en connaître la nature et la position exacte dans les trois dimensions (récolement). Baulders - Une plateforme SAAS collaborative de gestion de projets du secteur de la construction, utilisant les techniques d'automatisme et d'IA afin d'optimiser la performance globale. Ces quatre start-up ont été sélectionnées sur la base de quatre critères : Le caractère innovant de leur proposition L'équipe (les compétences et expertises mobilisées, la capacité à porter le projet) La pertinence de l'accompagnement scientifique que peut délivrer le CSTB au projet Le business modèle du projet À propos du CSTB'Lab Créé en 2017 avec le soutien d'Impulse Partners, le CSTB'Lab vise à accélérer et pérenniser les projets de jeunes entreprises innovantes, au service du bâtiment intelligent, durable, responsable et connecté. Près de 40 start-up ont ainsi pu rejoindre l'écosystème CSTB'Lab depuis sa création, bénéficiant d'un accompagnement transverse, associant : Appui scientifique et technique Partage des expertises, connaissances et résultats de Recherche & Développement du CSTB ; accès aux ressources et moyens du CSTB Collaboration avec des chercheuses et chercheurs sur des thématiques dédiées Etc. Soutien business et services adaptés, mis en place avec Impulse Lab Facilitation des synergies inter start-up Coaching et accompagnement business/marketing Etc. En savoir plus : Le site du CSTB'Lab
Il y a 5 ans et 7 jours

Coup de filet contre la "mafia des déblais" sur la Côte d'Azur : 11 interpellations, 6 sociétés visées

"Depuis quelques mois, des plaintes et des signalements au sujet de +déballes+ sauvages de remblais de chantiers (...) étaient en cours auprès des parquets de Draguignan et Nice", a rappelé dans un communiqué le parquet de Draguignan.L'enquête a mis au jour "un système organisé depuis plusieurs années", a-t-il précisé: "Des centaines de milliers de mètres-cubes de terre, de béton, de ferraille, de goudron avaient ainsi été déversés sur une vingtaine de sites irrémédiablement défigurés, entre Fréjus, Le Luc et Trans-en-Provence, dans le Var, et jusqu'à Sospel dans les Alpes-Maritimes".Les entreprises obtenaient des marchés d'évacuation de gravats, facturaient au tarif réglementaire mais écoulaient et entreposaient les déblais "sur des terrains privés ou publics, en trompant ou menaçant les propriétaires", le tout coûtant "environ cinq fois moins cher", a encore décrit le parquet.Le coup de filet de mardi a mobilisé près de 200 gendarmes, appuyés par un hélicoptère et assistés par des agents de l'administration fiscale et de la direction régionale de l'environnement.Plusieurs camions et engins de chantier ont été saisis en lien avec les multiples infractions soupçonnées: gestion irrégulière de déchets en bande organisée, abandon de déchets en bande organisée, escroquerie en bande organisée, blanchiment d'escroquerie en bande organisée, menace de mort, de crime ou délit sur un officier public, extorsion par violence, blanchiment de délit, travail dissimulé par dissimulation d'activité et par dissimulation de salariés.Les peines encourues peuvent aller jusqu'à 10 ans de prison et un million d'euros d'amende, outre les dommages et intérêts et frais de remise en état des terrains souillés.Le traitement des déchets, notamment de chantiers, est problématique dans le Sud-Est. En août 2019, le maire du village varois de Signes Jean-Mathieu Michel, 76 ans, est mort écrasé accidentellement par une camionnette dont il souhaitait verbaliser les occupants qui avaient déchargé des gravats dans la nature, une affaire qui n'a rien à voir avec le dossier évoqué mardi par le procureur de Draguignan.
Il y a 5 ans et 7 jours

Top 10 des villes étudiantes les plus chères de France en 2020

ETUDE. Locservice.fr a mené une étude sur près de 50.000 demandes de locations d'étudiants réalisées sur les 12 derniers mois afin de définir un panorama de ce secteur dans le parc privé. Téléchargez l'infographie.
Il y a 5 ans et 7 jours

Des "centaines de milliers" de personnes vont perdre leur emploi en France selon Bruno Le Maire

"Nous avons devant nous une vague de faillites, une vague de difficultés sur le front de l'emploi très violentes. Nous nous y préparons et nous voulons faire face en trouvant des solutions nouvelles", a assuré le ministre de l'Économie sur RTL mardi soir.Alors que le gouvernement doit présenter mercredi en conseil des ministres le 3e volet du projet de loi de finances rectificative pour faire face à la crise, M. Le Maire a précisé que 45 milliards d'euros seraient mis sur la table pour tenter de préserver au maximum l'emploi malgré la sévère récession qui s'annonce."Nous sommes à un peu plus de 8% de taux de chômage et je vous parle de centaines de milliers de chômeurs en plus, c'est sans doute la perspective la plus réaliste aujourd'hui", a reconnu M. Le Maire."Nous allons être amenés à prendre des mesures originales, singulières" pour "préserver à tout prix l'emploi en France", a-t-il ajouté.Il a évoqué "des dispositifs d'activité partielle qui font que des salariés restent dans l'entreprise plutôt que de quitter l'entreprise". "On peut envisager aussi que des salariés passent d'une entreprise à une autre", a-t-il lancé.Tout en redisant son hostilité à un alourdissement de la fiscalité pour financer la crise, il s'est déclaré "ouvert à des idées de +chèques+ qui permettent de soutenir ceux qui sont vraiment le plus en difficulté"."On peut envisager des chèques, qui peuvent être des chèques verts pour les personnes qui sont les plus en difficulté pour relancer la demande" a-t-il dit.Le ministre s'est aussi déclaré intéressé par des idées avancées récemment par trois économistes issus d'un comité de réflexion mis en place par l’Élysée qui proposent que l'État subventionne les salaires des travailleurs dans les secteurs les plus touchés."C'est une idée qui est tout-à-fait concevable" a-t-il jugé.
Il y a 5 ans et 7 jours

Soutien au BTP ? "Il n’en est rien… ou presque !" selon la FFB

La Fédération française du bâtiment a affiché une énorme déception à l'annonce des mesures de soutien au secteur présentées par le gouvernement en conseil des ministres le 10 juin
Il y a 5 ans et 7 jours

Chantiers : le gouvernement envisage la prise en charge des surcoûts sanitaires

Le gouvernement envisage de prendre en charge les surcoûts liés aux mesures de protection sanitaire dans le bâtiment, a déclaré mardi à l'Assemblée le ministre de l'Economie Bruno Le Maire.
Il y a 5 ans et 7 jours

Le gouvernement sort le grand jeu pour relancer le BTP

Dans le cadre du 3e projet de loi de finances rectificative (PLFR3), l’Etat entend compenser les surcoûts et accélérer la reprise du BTP. [©ACPresse] Suite au conseil des ministres du 10 juin, le gouvernement a présenté de nouvelles mesures pour aider les entreprises du BTP. Dans le cadre du 3e projet de loi de finances rectificative (PLFR3), l’Etat entend compenser les surcoûts et accélérer la reprise du secteur. En effet, le BTP a lourdement été touché ces derniers mois. Ses secteurs ont connu une baisse d’activité de – 88 % en avril. Si depuis mi-mai, seuls 1 % des chantiers de travaux publics et 15 % du bâtiment sont encore à l’arrêt, les entreprises n’ont pas sorti la tête de l’eau pour autant. Ainsi, concernant la prise en compte des surcoûts qu’a engendrée la crise sanitaire, plusieurs axes ont été présentés. Dès le 9 juin, le Premier ministre a demandé aux maîtres d’ouvrage de l’Etat de négocier rapidement avec les entreprises du BTP, pour leurs marchés de travaux. Et ce, pour une prise en charge d’une partie des surcoûts directs liés à l’arrêt des chantiers et aux mesures sanitaires. Dans une circulaire datant du 20 mai 2020, les préfets ont été mis à contribution. En effet, ils sont chargés de promouvoir des chartes, définissant une approche solidaire des surcoûts entre les entreprises du BTP, les maîtres d’ouvrage, dont les collectivités et bailleurs, et les maîtres d’œuvre. Les préfets peuvent aussi utiliser leur pouvoir de dérogation, afin de mobiliser les des dotations de l’Etat. Ceci, pour aider les collectivités territoriales à gérer ces surcoûts. Le PLFR3 prévoit une baisse de charges sociales (jusqu’à 50 % sur les mois de mars à mai) pour les entreprises de moins de 50 salariés ayant subi des pertes de chiffre d’affaires importantes. « Toutes les entreprises pourront demander un plan d’apurement de leurs charges sociales reportées depuis mars sur une durée pouvant aller jusqu’à 36 mois », indique le gouvernement. Ce dernier a aussi créé un comité de suivi, afin d’évaluer les surcoûts liés aux pertes de rendements dues à la mise en place des règles de sécurité sanitaire sur les chantiers [Lire article sur le guide de l’OPPBTP]. Le PLFR3 prévoit une baisse de charges sociales (jusqu’à 50 % sur les mois de mars à mai) pour les entreprises de BTP de moins de 50 salariés. [©ACPresse] 10 Md€ de dotations d’investissement pour les collectivités locales « Ce nouveau comité de suivi est piloté par le Commissariat général au développement durable, en lien avec les fédérations professionnelles. Il permettra de donner des références pour la négociation entre maîtres d’ouvrage et entreprises du BTP », précise le gouvernement. Enfin, et toujours pour la gestion des surcoûts, les maîtres d’ouvrage sont encouragés à faire usage de l’ordonnance n° 2020-319 du 25 mars 2020. Cette dernière permet d’augmenter les avances aux entreprises titulaires de marchés publics au-delà de 60 %, sans obligation de garantie à la première demande. Par ailleurs, les pénalités de retard ont été reportées de plusieurs mois. Du côté de la relance économique, le gouvernement porte à 1,6 Md€ l’enveloppe PLFR3 dédiée à la dotation de soutien à l’investissement local. Elle permettra de soutenir les collectivités sur différents projets structurants. Dans les domaines de la santé, la transition écologique, ou encore la rénovation thermique de bâtiments publics, et la rénovation du patrimoine. « En 2020, l’Etat versera aux collectivités locales près de 10 Md€ de dotations d’investissement, commente le gouvernement. Il s’agit d’un effort très important qui apportera des commandes aux entreprises du BTP dans les prochains mois. Surtout dans le contexte de la mise en place des nouvelles équipes municipales et intercommunales. » Les pénalités de retard ont été reportées de plusieurs mois. [©ACPresse] Une aide au recrutement d’apprentis pour le BTP Le dispositif de garantie de l’Etat à l’assurance-crédit est renforcé à travers le PLFR3. Cette mesure est mise en place de manière immédiate par décret pour les PME et entreprises intermédiaires. Le gouvernement s’attaque aussi à l’impôt sur les sociétés. Les entreprises qui y sont soumises pourront demander, cette année, le remboursement immédiat de leur stock de créances de report en arrière de leurs déficits. Tout comme les créances constatées en 2020 liées aux pertes engendrées par la crise sanitaire. Concernant les forces vives au sein des entreprises, le plan de reprise comprend la création d’une aide au recrutement d’apprentis. Allant de 5 000 à 8 000 € par contrat, elle concerne les diplômes allant jusqu’à la licence professionnelle. « Cette aide sera versée aux entreprises de moins de 250 salariés sans condition. Et aux entreprises de plus 250 salariés à la condition qu’elles s’engagent à atteindre l’objectif, déjà fixé par la loi, de 5 % d’alternants en 2021. Cela devrait représenter plus de 130 M€ pour le secteur. » Des concertations et un nouveau plan à la rentrée Enfin, le gouvernement prolonge la possibilité d’organiser les assemblées générales de copropriétés, par visioconférence ou par correspondance jusqu’au 31 janvier 2021. Une façon de favoriser et de déclencher rapidement les décisions de travaux. Ces mesures “d’urgence” seront renforcées par un plan de relance économique présenté à la rentrée. L’Etat compte se pencher sur la transformation de l’économie française « pour la rendre plus compétitive et plus décarbonée ». Si de grandes concertations sont prévues pour inclure les différents segments d’activités, dont le BTP, le gouvernement parle déjà de simplification de procédure pour la rénovation thermique, et d’accélération de la transition écologique… A suivre…
GDA
Il y a 5 ans et 7 jours

L'arrêt du BTP a été "plus brutal" en France qu'ailleurs selon Martin Bouygues

CRISE SANITAIRE. Auditionné par la commission des affaires économiques de l'Assemblée nationale, le P-DG du groupe Bouygues a fait un point sur l'impact du confinement sur son activité de construction.
Il y a 5 ans et 7 jours

Soutien au BTP : la FNTP déplore « une occasion historique manquée »

Déçue par le projet de loi de finances rectificative présenté le 10 juin en Conseil des ministres, la Fédération nationale des travaux publics anticipe un effondrement rapide du secteur.
Il y a 5 ans et 7 jours

BiodiverCity, un label multicritères "d'excellence"

RETOURS D'EXPÉRIENCES. Six ans après sa création, le label BiodiverCity, qui compile de nombreux critères allant de la connaissance du site au bien-être des usagers, a récompensé 67 projets immobiliers. Le Cibi, association qui le porte, a invité Bouygues Immobilier et Gecina a expliquer ce que ce label apporte, dans la conception, la construction et la gestion d'actifs immobiliers.
Il y a 5 ans et 7 jours

Eurovia dynamise sa marque employeur en s'appuyant sur la régionalité

CAMPAGNE. La filiale infrastructures du groupe Vinci, Eurovia, a lancé une campagne pour booster sa marque employeur avec en filigrane un objectif de recrutement. Le groupe s'est appuyé sur ses forces en région pour créer son dispositif.
Il y a 5 ans et 7 jours

Les mesures de soutien au BTP "ne font pas rêver" le secteur

ÉCONOMIE. Le Gouvernement a annoncé, ce 10 juin 2020, un plan pour accompagner les entreprises dans la reprise de l'activité de la construction. Inscrites dans le troisième projet de loi de finances rectificatives pour 2020, les mesures restent très insuffisantes pour les professionnels.
Il y a 5 ans et 7 jours

Le déconfinement va se poursuivre "avec beaucoup de prudence"

A l'issue du Conseil des ministres, la porte-parole a cependant précisé que deux conseils de défense "spécifiquement consacrés à la question sanitaire" se tiendraient vendredi et la semaine prochaine, qui "nous permettrons de voir ce qu'il est possible de faire évoluer dans la perspective du 22 juin".Cette date a été fixée par le gouvernement pour entrer dans une troisième phase du déconfinement, entamé le 11 mai. Le patronat a appelé mercredi le gouvernement à accélérer le déconfinement des entreprises, le président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux lui demandant de "réviser les protocoles sanitaires s'appliquant en entreprise" pour permettre un "retour à la normale" rapide.Pour Sibeth Ndiaye, "même si l'épidémie est maîtrisée, nous savons que le virus circule toujours sur le territoire. Elle n'est pas encore vaincue et c'est pour cette raison que, avec beaucoup de prudence, de sérieux, nous avançons sur la voie du déconfinement"."La France est très largement aux avant-postes du déconfinement" par rapport à d'autres pays, a-t-elle affirmé.Au cours du Conseil des ministres, le Premier ministre Édouard Philippe a présenté le projet de loi organisant la fin, le 10 juin, de l'état d'urgence sanitaire mis en place fin mars pour lutter contre l'épidémie de coronavirus. "Il n'est pas justifié de proroger cet état d'urgence sanitaire" à la lumière de l'évolution de la situation sanitaire mais "nous n'avons pas souhaité qu'il n'y ait pas une sortie sèche mais plutôt en biseau pour une période transitoire de quatre mois", a expliqué Sibeth Ndiaye.Pendant cette période, le gouvernement pourra réglementer au besoin l'accès aux transports, limiter ou interdire certains rassemblements et fermer à nouveau certains établissements accueillant du public.Matignon avait indiqué mardi soir que l'état d'urgence sanitaire devait "demeurer un régime d'exception".Le Medef appelle le gouvernement à accélérer le déconfinement des entreprisesLe patronat appelle le gouvernement à accélérer le déconfinement des entreprises, le président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux lui demandant de "réviser les protocoles sanitaires s'appliquant en entreprise" pour permettre un "retour à la normale" rapide."L'exécutif doit dire aux Français: il est temps, tout en respectant les gestes barrières, de retourner travailler et consommer. Soyons clairs: nous attendons l'équivalent du +Restez chez vous+ du mois de mars", déclare M. Roux de Bézieux dans une interview aux Échos de mercredi.Pour lui, "une parole publique forte est indispensable pour que les deux étapes du 15 (réouverture des frontières) et 22 juin (nouvelle phase de déconfinement) soient le signal d'un retour vers la normale".Se basant sur une certaine "confiance" des consommateurs, même si elle n'est pas perceptible dans tous les secteurs, le responsable patronal, qui dit refuser de considérer "les destructions massives d'emplois comme acquises", espère ainsi arriver à une "reprise plus rapide".Pour y parvenir, il demande une révision et un allègement "des soixante protocoles sanitaires mis en place dans l'urgence pendant le confinement pour les entreprises", qui génèrent selon lui des surcoûts de 10 à 15% pour les entreprises."Il est clair que le chômage partiel pour garde d'enfants reste très important" ajoute-t-il. "Quand le Conseil scientifique dit qu'il faut alléger les protocoles sanitaires à l'école, je l'entends", souligne M. Roux de Bézieux en estimant que les textes français sont "trois ou quatre fois plus touffus" que dans les pays voisins pour "les mêmes gestes barrières".
Il y a 5 ans et 7 jours

Europan 16 se penchera sur les "villes vivantes"

CONCOURS. La 16e session d'Europan sera décalée d'environ deux mois, en raison des événements sanitaires. Elle aura pour thème les "villes vivantes" et sera lancée au printemps prochain. La recherche de sites est toujours en cours.
Il y a 5 ans et 7 jours

Face une récession historique, l'OCDE appelle à une économie "plus juste et plus durable"

"Le choix entre la santé et l'économie est un faux dilemme. Si la pandémie n'est pas jugulée, il n'y aura pas de reprise économique robuste", a prévenu lors d'une visioconférence le secrétaire général de l'organisation, Angel Gurria, alors que le confinement de la moitié de l'humanité a brutalement freiné l'activité au printemps.Dans ses perspectives intitulées "L'économie mondiale sur la corde raide", l'OCDE a échafaudé deux scénarios: l'un où l'épidémie de Covid-19 "reste sous contrôle" et l'autre où elle repart avec une deuxième vague.Dans le premier cas, le produit intérieur brut (PIB) mondial reculera en 2020 de 6%, dans le deuxième de 7,6%. Mais même dans le meilleur des cas, ce recul est "de loin le plus important dans les 60 années depuis que l'OCDE a été créée", a indiqué M. Gurria.Sans retour du coronavirus, la croissance mondiale rebondira de 5,2%, mais seulement de 2,8% s'il recommence à circuler, avec ce que cela implique de mesures de confinement ou de quarantaine.La zone euro sera particulièrement touchée avec un recul du produit intérieur brut (PIB) prévu à 9,1% dans le scénario le plus favorable, et à 11,5% en cas de deuxième vague en 2020.La France fait partie, avec l'Italie et l'Espagne, des pays les plus durement frappés: le PIB devrait reculer dans l'Hexagone de 11,4% en 2020, et même de 14,1% en cas de deuxième vague. 2021 devrait toutefois amener un puissant rebond de 7,7% si l'épidémie en reste là, et tout de même de 5,2% en cas de retour du virus.Pour les États-Unis, l'OCDE prévoit une diminution du PIB de 7,3% ou de 8,5%, selon les scénarios.La Chine, deuxième économie mondiale derrière les États-Unis et encore championne de la croissance l'an dernier avec 6,1%, verra elle aussi son économie se contracter, de 2,6%, voire de 3,7% cette année si le virus y ressurgit massivement.Tensions socialesLa chef économiste de l'OCDE Laurence Boone a précisé que l'économie planétaire s'était contractée de 3% au premier trimestre et qu'elle allait encore perdre 10% au second.En conséquence, le point de départ pour une reprise "est extrêmement bas pour nous ramener là où nous étions en 2019", selon Mme Boone, car "après un rebond initial, revenir au niveau initial est plus difficile", certains secteurs ne pouvant pas repartir rapidement.En dehors d'un possible retour du virus, elle pointé comme facteurs d'incertitudes le "comportement des consommateurs" et "les relations commerciales", qui vont "freiner l'investissement".Louant les mesures prises par de nombreux gouvernements pour préserver l'emploi, elle ajouté que "l'une des inquiétudes que nous avons concerne les travailleurs du secteur informel, parce qu'ils sont très difficiles à atteindre", ainsi que les précaires, les auto-entrepreneurs, dont la situation risque de provoquer des "tensions sociales".L'OCDE relève toutefois que certains secteurs devraient sortir renforcés de la crise, comme le "e-commerce" ou "les équipements pour la santé".Les gouvernements "devraient faciliter la transition" vers ces secteurs tout en "protégeant les revenus des travailleurs", selon Mme Boone.Ne pas revenir à la normaleFace à la concentration de la production de médicaments ou de matériel de protection sanitaire dans certains pays, "il faut passer de la production à flux tendus et à la production +au cas où+" (du 'just in time' au 'just in case') et constituer les stocks nécessaires, plaide l'économiste."Mais nous devons considérer que le commerce fait partie de la solution", ajoute-t-elle en mettant en garde contre les blocages des chaînes d'approvisionnement par des mesures protectionnistes.Car l'épidémie a aussi "accéléré le basculement d'une +grande intégration+ vers une +grande fragmentation+" de l'économie mondiale, remarque encore Mme Boone dans un éditorial.M. Gurria a d'autre part appelé à ce que la crise soit l'occasion d'une transition vers "une croissance plus solide et plus durable". "Le but ne doit pas être de revenir à la normale", car "la normalité est ce qui nous amenés là où nous nous trouvons actuellement".Il a pris pour exemple la pollution atmosphérique qui tue 4 millions de personnes par an et dont on a découvert qu'elle "aggravait les conséquences de la Covid-19".Enfin, face à une situation où la confiance est limitée par l'incertitude, "la communauté internationale devrait s'assurer que lorsque qu'un vaccin ou traitement sera disponible il pourra être distribué rapidement dans le monde entier", demande Mme Boone, car "sinon, la menace persistera".
Il y a 5 ans et 7 jours

Frans Bonhomme reprend totalement ses activités

Depuis le 8 juin, les 260 agences françaises de l’enseigne spécialisée dans les travaux publics, aménagement extérieur et l’assainissement non collectif sont ouvertes. Et les équipes commerciales ont repris leur activité.
Il y a 5 ans et 7 jours

Un éco-hôtel de luxe choisit le bois Kebony

Le Carbis Bay Hotel choisit le bois Kebony pour revêtir l’ensemble de ses installations. Un choix cohérent.. Cet article Un éco-hôtel de luxe choisit le bois Kebony est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 5 ans et 7 jours

Le gouvernement présente un nouveau budget en soutien aux secteurs fragilisés dont le bâtiment

Il s'agit du troisième projet de loi de finances rectificative élaboré depuis le début de la crise et il correspond au "deuxième temps de la réponse à la crise", a affirmé mardi soir le ministre de l'Économie Bruno Le Maire sur RTL."Le deuxième temps, c'est de venir au secours de tous les secteurs qui sont les plus menacés", a-t-il ajouté.Après les plus de 400 milliards d'euros de mesures d'urgence prises dans les deux budgets précédents, ce nouveau budget rectifié va faire monter le soutien public à "460 milliards" d'euros, a précisé le ministre.Il inclut ainsi les 18 milliards d'euros du plan d'aide au secteur du tourisme, l'un des plus affectés par le confinement, les 8 milliards d'euros du plan pour l'automobile, les 600 millions pour la French Tech, ou encore les 15 milliards d'euros de soutien au secteur de l'aéronautique et les aides au secteur du livre. S'y ajouteront des mesures en faveur du petit commerce et du bâtiment.Le gouvernement fait de premiers pas pour alléger les surcoûts liés à la crise dans le bâtimentLes entreprises du bâtiment seront aidées à assumer les coûts supplémentaires induits sur leurs chantiers par les mesures de lutte contre le coronavirus, a annoncé le gouvernement, promettant surtout de mettre à contribution les clients publics."Le gouvernement a décidé de prendre des mesures pour aider les entreprises du BTP à compenser les surcoûts et à accélérer la reprise", a annoncé l'exécutif, en marge de la présentation d'un nouveau budget rectificatif. Le bâtiment est l'un des secteurs qui a été largement contraint à l'inactivité par le confinement mis en place entre mars et mai. De nombreux chantiers ont dû s'arrêter, faute de pouvoir mettre en place des mesures sanitaires adéquates. Depuis, le plus gros des chantiers ont repris, plus de 85% dans le bâtiment, selon le gouvernement, mais le secteur doit assumer des coûts supplémentaires pour assurer la sécurité sanitaire.A plusieurs reprises, ses fédérations ont demandé à partager ces coûts avec les clients, publics et privés. En début de semaine, dans une lettre ouverte, la FFB, principale organisation du secteur, et la FNTP, centrée sur les travaux publics, accusaient encore le gouvernement de "tergiverser".Celui-ci va d'abord demander aux clients publics de prendre leur part. Le Premier ministre, Edouard Philippe, a prié les organismes dépendant de l'Etat "de négocier rapidement avec les entreprises du BTP une prise en charge d'une partie des surcoûts".Au-delà, le gouvernement annonce la mise en place d'un "comité de suivi" qui doit permettre d'évaluer précisément le manque à gagner des entreprises.Ses conclusions doivent servir de base aux négociations avec les clients, publics et privés. L'exécutif a, par ailleurs, mis en avant d'autres mesures qui ne sont pas spécifiques au bâtiment mais le concernent largement, comme l'annulation de plusieurs mois de charges pour les petites entreprises, moins de 50 salariés, ayant subi une chute de leurs revenus. Néanmoins, la mise en place d'un plan de relance du secteur attendra la rentrée, avec la présentation plus générale de mesures destinées à orienter la reprise économique à long terme."Le secteur du BTP sera directement concerné par ce plan de relance au titre de l'investissement notamment pour la rénovation thermique et au titre des simplifications de procédure", a affirmé le gouvernement.Vague de faillites et perte de centaines de milliers d'emploisAlors que se profilent "une vague de faillites" et des "centaines de milliers" de pertes d'emploi, selon Bruno Le Maire, le gouvernement va renforcer d'environ 5 milliards d'euros le dispositif de chômage partiel et débloquer 1 milliard pour élargir les aides aux entreprises qui embauchent un apprenti.Même si à Bercy, on défend une politique de soutien à "l'offre", ce budget intégrera aussi des aides exceptionnelles directes pour les 800.000 jeunes précaires de moins de 25 ans et les ménages les plus modestes.Enfin, il doit entériner un soutien de 4,5 milliards d'euros de l'État pour les collectivités, au moment où leurs recettes fondent avec la crise.Au total toutefois, les dépenses budgétaires directes supplémentaires ne représenteront que 13 milliards d'euros, le reste étant des mesures de trésorerie (reports de charges, prêts garantis, etc.).Malgré ce nouveau soutien, certains secteurs s'estiment oubliés, comme l'agriculture ou les transports publics.L'ONG environnementale Greenpeace regrette elle qu'à côté des plans pour l'automobile ou l'aérien, il y ait "toujours zéro pour la relance du ferroviaire".Récession, déficit et dette recordsOutre ces plans d'aides, le gouvernement est contraint d'aggraver encore ses prévisions économiques pour cette année. Il table désormais sur une récession de -11%, contre 8% de baisse du PIB anticipée il y a seulement quelques semaines.Les difficultés du secteur du tourisme devraient à elles seules amputer le PIB de quasiment un point cette année.Conséquence: avec des recettes fiscales qui vont fondre de 27 milliards de plus par rapport à l'estimation déjà en baisse du précédent budget rectifié, le déficit devrait encore s'aggraver à 11,4% du PIB et la dette publique gonfler à 120,9%, estime le gouvernement.Mardi, la Banque de France a elle tablé sur une chute d'environ 10% du PIB cette année. Si elle envisage un rebond de l'activité dès le troisième trimestre, le patron du Medef, appelle lui dans un entretien aux Echos à accélérer le déconfinement et à "réviser les protocoles sanitaires s'appliquant en entreprise".De son côté, le gouvernement souhaite mettre fin au 10 juillet à l'état d'urgence sanitaire, a annoncé Matignon mardi soir.Inquiétude du Haut conseil pour les finances publiquesLe Haut conseil des finances publiques (HCFP) s'inquiète que le gouvernement ait pu sous-évaluer les dépenses prévues pour faire face à la crise, et à l'inverse minimiser la perte de recettes attendues, dans son avis sur le troisième projet de budget rectifié pour 2020."Toutes les mesures de soutien de l'activité annoncées par le gouvernement, notamment certains plans sectoriels de relance, n'ont pas été traduites" dans ce projet de loi de finances rectificative (PLFR), écrit notamment le Haut conseil dans son avis publié mercredi au moment où le gouvernement présente son projet de budget rectifié en conseil des ministres.Par ailleurs, "une partie des mesures présentées comme des mesures de trésorerie pourrait finalement avoir un impact sur le déficit dès cette année", note-t-il.Or le gouvernement prévoit déjà que la dépense publique atteindrait 63,6% du PIB cette année, "un niveau jamais atteint au cours de ces 70 dernières années", souligne le HCFP.Côté recettes, le Haut conseil note que des "aléas négatifs" entourent la prévision du gouvernement d'une baisse de 27 milliards des rentrées issues des prélèvements obligatoires.En particulier, le gouvernement n'a pas révisé celles provenant de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux.De même, le gouvernement "fait l'hypothèse forte que les reports de quelques mois d'échéances fiscales et sociales ne donneront pas lieu à des abandons de créances significatifs en 2020, alors même que de nombreuses entreprises concernées par ces reports seront fragilisées par la chute de leur activité du fait de la crise sanitaire", prévient le HCFP.Déjà à plusieurs reprises inquiète de l'état des finances publiques, l'instance alerte enfin une nouvelle fois sur le fait que la dette, qui devrait gonfler à 120,9% du PIB selon le gouvernement, contre 98,1% l'an dernier, "fragilise la soutenabilité à moyen terme des finances publiques de la France et appelle une vigilance particulière".Il s'agit d'une "hausse massive" de la dette, a commenté mercredi lors d'une audition à l'Assemblée nationale le président du HCFP, Pierre Moscovici. Depuis la création de la zone euro, "un tel niveau de dette n'avait été atteint (...) que par très peu de pays", a-t-il souligné.En revanche, le Haut conseil apparait un peu plus optimiste que le gouvernement sur l'ampleur de la récession, attendue à -11% par le gouvernement.Il juge "prudente" cette prévision, estimant que le taux d'épargne des ménages "pourrait être inférieur au niveau exceptionnellement élevé prévu par le gouvernement pour 2020 (23,2 % contre 14,9 % en 2019), et donc la consommation plus élevée".De même il juge que "l'emploi pourrait être un peu plus élevé que prévu par le gouvernement", qui table sur 1,2 million d'emplois perdus en fin d'année.Au total, depuis la loi de finances initiale, "les prévisions se sont dégradées de plus de 12 points de croissance, de 9 points de déficit public et de 22 points de dette, c'est évidemment considérable (...), c'est à la hauteur du choc que nous traversons", a observé M. Moscovici, qui souhaite que "les missions, le champs de compétences et les moyens" du Haut Conseil soient renforcés.
Il y a 5 ans et 7 jours

Le gouvernement français déploie un nouveau budget en soutien aux secteurs fragilisés

Il s'agit du troisième projet de loi de finances rectificative élaboré depuis le début de la crise et il correspond au "deuxième temps de la réponse à la crise", a affirmé mardi soir le ministre de l'Économie Bruno Le Maire sur RTL."Le deuxième temps, c'est de venir au secours de tous les secteurs qui sont les plus menacés", a-t-il ajouté.Après les plus de 400 milliards d'euros de mesures d'urgence prises dans les deux budgets précédents, ce nouveau budget rectifié va faire monter le soutien public à "460 milliards" d'euros, a précisé le ministre.Il inclut ainsi les 18 milliards d'euros du plan d'aide au secteur du tourisme, l'un des plus affectés par le confinement, les 8 milliards d'euros du plan pour l'automobile, les 600 millions pour la French Tech, ou encore les 15 milliards d'euros de soutien au secteur de l'aéronautique et les aides au secteur du livre.S'y ajouteront des mesures en faveur du petit commerce et du bâtiment.Pour ce dernier secteur, le gouvernement envisage notamment de compenser les surcoûts engendrés par les mesures sanitaires sur les chantiers."L'accent est mis sur des secteurs qui sont des marqueurs forts de l'économie française et qui concernent beaucoup d'emplois. Cela permet d'envoyer un signal positif pour soutenir la confiance des entrepreneurs et des ménages", estime Hélène Baudchon, économiste chez BNP Paribas.Alors que se profilent "une vague de faillites" et des "centaines de milliers" de pertes d'emploi, selon Bruno Le Maire, le gouvernement va renforcer d'environ 5 milliards d'euros le dispositif de chômage partiel et débloquer 1 milliard pour élargir les aides aux entreprises qui embauchent un apprenti.Même si à Bercy, on défend une politique de soutien à "l'offre", ce budget intégrera aussi des aides exceptionnelles directes pour les 800.000 jeunes précaires de moins de 25 ans et les ménages les plus modestes.Enfin, il doit entériner un soutien de 4,5 milliards d'euros de l'État pour les collectivités, au moment où leurs recettes fondent avec la crise.Au total toutefois, les dépenses budgétaires directes supplémentaires ne représenteront que 13 milliards d'euros, le reste étant des mesures de trésorerie (reports de charges, prêts garantis, etc.).Malgré ce nouveau soutien, certains secteurs s'estiment oubliés, comme l'agriculture ou les transports publics.L'ONG environnementale Greenpeace regrette elle qu'à côté des plans pour l'automobile ou l'aérien, il y ait "toujours zéro pour la relance du ferroviaire".Récession, déficit et dette recordsOutre ces plans d'aides, le gouvernement est contraint d'aggraver encore ses prévisions économiques pour cette année. Il table désormais sur une récession de -11%, contre 8% de baisse du PIB anticipée il y a seulement quelques semaines.Les difficultés du secteur du tourisme devraient à elles seules amputer le PIB de quasiment un point cette année.Conséquence: avec des recettes fiscales qui vont fondre de 27 milliards de plus par rapport à l'estimation déjà en baisse du précédent budget rectifié, le déficit devrait encore s'aggraver à 11,4% du PIB et la dette publique gonfler à 120,9%, estime le gouvernement.Mardi, la Banque de France a elle tablé sur une chute d'environ 10% du PIB cette année. Si elle envisage un rebond de l'activité dès le troisième trimestre, le patron du Medef, appelle lui dans un entretien aux Echos à accélérer le déconfinement et à "réviser les protocoles sanitaires s'appliquant en entreprise".De son côté, le gouvernement souhaite mettre fin au 10 juillet à l'état d'urgence sanitaire, a annoncé Matignon mardi soir.Inquiétude du Haut conseil pour les finances publiquesLe Haut conseil des finances publiques (HCFP) s'inquiète que le gouvernement ait pu sous-évaluer les dépenses prévues pour faire face à la crise, et à l'inverse minimiser la perte de recettes attendues, dans son avis sur le troisième projet de budget rectifié pour 2020."Toutes les mesures de soutien de l'activité annoncées par le gouvernement, notamment certains plans sectoriels de relance, n'ont pas été traduites" dans ce projet de loi de finances rectificative (PLFR), écrit notamment le Haut conseil dans son avis publié mercredi au moment où le gouvernement présente son projet de budget rectifié en conseil des ministres.Par ailleurs, "une partie des mesures présentées comme des mesures de trésorerie pourrait finalement avoir un impact sur le déficit dès cette année", note-t-il.Or le gouvernement prévoit déjà que la dépense publique atteindrait 63,6% du PIB cette année, "un niveau jamais atteint au cours de ces 70 dernières années", souligne le HCFP.Côté recettes, le Haut conseil note que des "aléas négatifs" entourent la prévision du gouvernement d'une baisse de 27 milliards des rentrées issues des prélèvements obligatoires.En particulier, le gouvernement n'a pas révisé celles provenant de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux.De même, le gouvernement "fait l'hypothèse forte que les reports de quelques mois d'échéances fiscales et sociales ne donneront pas lieu à des abandons de créances significatifs en 2020, alors même que de nombreuses entreprises concernées par ces reports seront fragilisées par la chute de leur activité du fait de la crise sanitaire", prévient le HCFP.Déjà à plusieurs reprises inquiète de l'état des finances publiques, l'instance alerte enfin une nouvelle fois sur le fait que la dette, qui devrait gonfler à 120,9% du PIB selon le gouvernement, contre 98,1% l'an dernier, "fragilise la soutenabilité à moyen terme des finances publiques de la France et appelle une vigilance particulière".Il s'agit d'une "hausse massive" de la dette, a commenté mercredi lors d'une audition à l'Assemblée nationale le président du HCFP, Pierre Moscovici. Depuis la création de la zone euro, "un tel niveau de dette n'avait été atteint (...) que par très peu de pays", a-t-il souligné.En revanche, le Haut conseil apparait un peu plus optimiste que le gouvernement sur l'ampleur de la récession, attendue à -11% par le gouvernement.Il juge "prudente" cette prévision, estimant que le taux d'épargne des ménages "pourrait être inférieur au niveau exceptionnellement élevé prévu par le gouvernement pour 2020 (23,2 % contre 14,9 % en 2019), et donc la consommation plus élevée".De même il juge que "l'emploi pourrait être un peu plus élevé que prévu par le gouvernement", qui table sur 1,2 million d'emplois perdus en fin d'année.Au total, depuis la loi de finances initiale, "les prévisions se sont dégradées de plus de 12 points de croissance, de 9 points de déficit public et de 22 points de dette, c'est évidemment considérable (...), c'est à la hauteur du choc que nous traversons", a observé M. Moscovici, qui souhaite que "les missions, le champs de compétences et les moyens" du Haut Conseil soient renforcés.
Il y a 5 ans et 7 jours

Frumecar et l’UPTC créent une nouvelle chaire

La mission de la nouvelle chaire UPCT-Frumecar sera d’étudier le développement technologique des machines de production et de transport du béton. [©Frumecar] L’Espagnol Frumecar et l’Université polytechnique de Carthagène (UPCT), en Espagne ont signé un accord visant à créer une nouvelle chaire UPCT-Frumecar. La mission de cette chaire sera d’étudier le développement technologique des machines de production et de transport du béton. Elle se chargera de diffuser les recherches dans le domaine de l’industrie du béton. Formera les étudiants de l’UPCT et proposera des cours de formation, des conférences. Ainsi que sa coopération en matière d’éducation. Les lignes prioritaires de recherche seront la robotique collaborative, l’IoT et l’intelligence artificielle (machine learning). Ceci, afin de développer, dans un futur proche, des centrales à béton autonomes dotées de dispositifs d’intelligence et de communication. Qui activeront à la demande les commandes des automates de production, sans intervention humaine. Cette chaire permettra de participer à des projets nationaux et internationaux. Et de promouvoir des rencontres avec des spécialistes lors de journées et de congrès, aussi bien en Espagne qu’à l’étranger.
Il y a 5 ans et 7 jours

Covid : l'Etat dévoile un arsenal de mesures pour soutenir les entreprises

ANNONCES. Les pouvoirs publics viennent d'annoncer une série de mesures visant à soutenir économiquement les entreprises du secteur de la construction en cette période difficile. Au programme : soutenir les trésoreries, les carnets de commande, et adresser le sujet des surcoûts liés aux mesures sanitaires.
Il y a 5 ans et 7 jours

A Perpignan, relance musclée pour le BTP

Perpignan Méditerranée Métropole, la Ville de Perpignan et l’Office public HLM Perpignan-Méditerranée ont adopté un plan triennal de 750 millions d’euros en faveur du bâtiment et des travaux publics.
Il y a 5 ans et 7 jours

Le SNEP présente son étude "Perception et usage du PVC par les architectes"

La parole aux architectesLorsque la parole leur est laissée pour parler du PVC, il en ressort les points suivants :Le PVC est un matériau très intéressant pétri de qualités,Il est un bon compromis entre le bois et l'aluminium,Il demeure nécessaire et irremplaçable,Ses qualités indéniables sont : facilité d'entretien, haute recyclabilité, performance thermique et durabilité.Cette perception du PVC par les architectes en fait un matériau de choix sur leurs chantiers. Selon l'étude, 71,6% du panel estiment que le PVC est un matériau intéressant.Les qualités du PVC selon les architectesLes qualités intrinsèques du PVC sont connues et reconnues par les architectes qui citent spontanément :Son aspect économique, qu'ils prescrivent aussi bien pour les logements sociaux que chez les particuliersSes performances techniques, avec sa rapidité de mise en œuvre, ses performances énergétiques, ses performances d'isolation, son excellente durée de vie, sa résistance à l'humidité, sa simplicité d'entretien, ou encore le large panel de couleurs et de personnalisation qu'il offre.L'utilisation du PVC dans le bâtimentPlus de 75% du PVC est utilisé dans le bâtiment. Ce matériau incontournable trouve sa place dans de nombreuses applications, mais quelles sont celles où les architectes y voient un intérêt prioritaire ? Pour les fenêtres pour 69,7%, pour les revêtements de sols pour 77,4%, et jusqu'à 90,4% pour les applications sanitaires (plomberie...).La fenêtre PVC : le choix des architectesEn France, près 3 fenêtres sur 5 sont en PVC. Et les architectes y sont pour quelque chose ! Pour la rénovation, 52,1% des architectes recommandent la fenêtre PVC. Pour une construction neuve, ils sont 53,4% à la prescrire. Quelles raisons ressortent parmi de multiples motivations ? Son coût imbattable à 39,7%, son excellente isolation thermique à 11,1%, à la demande du client à 9,5%, son excellent rapport performance/prix à 8,5%.Fenêtre PVC, bois ou aluminium ?Lorsque l'on demande aux architectes de comparer les menuiseries PVC, bois et aluminium, la fenêtre PVC tire son épingle du jeu sur le prix où il demeure sans conteste le matériau le plus concurrentiel.Mais ses autres particularités, qui le différencient du bois et de l'aluminium, sont également bien connues des architectes :92,7% des architectes connaissent la fenêtre PVC en couleurs qui offre un choix et une diversité sans pareil.83,8% savent qu'il existe des fenêtres PVC grande dimension, ce qui permet d'imaginer les meilleures solutions en terme d'ouvertures, sans contrainte technique, et quel que soit le chantier.63,9% savent que la fenêtre PVC se recycle. Et ils ont raison ! Depuis 2015, le SNEP a contribué à la mise en place d'une filière de 200 points de collecte des produits PVC en fin de vie à travers toute la France et sensibilise les entreprises de construction, de démolition et les prescripteurs au recyclage de leurs produits PVC, en particulier les profilés menuiseries et châssis de fenêtres. En France en 2018 : 105 517 tonnes de PVC ont été recyclées (source VinylPlus 2018).62,6% savent qu'il existe une marque de qualité pour les menuiseries PVC. Et ils ont raison ! QualiPVC fenêtre est une marque créée et déposée à l'INPI le 25 mars 2016 par le SNEP. Cette marque, gage de qualité, est une vraie reconnaissance pour les menuisiers qui en bénéficient. Faire le choix d'une menuisier QualiPVC, c'est bénéficier de la fabrication française, d'un contrôle qualité strict, de la bonne application de la charte recyclage, d'un professionnel qualifié à proximité, de l'expertise d'un syndicat professionnel.Le PVC et la fenêtre PVC demeurent plus que jamais des incontournables du bâtiment, que ce soit dans le résidentiel ou le tertiaire, et les architectes ne diront pas le contraire !
Il y a 5 ans et 7 jours

Le belge Besix aménagera l'une des principales gares du Grand Paris Express

"Besix France remporte le marché des travaux d'aménagement de la gare de Saint-Denis Pleyel du Grand Paris Express", a indiqué le groupe belge dans un communiqué."Le montant du marché attribué à Besix [est] supérieur à 100 millions d'euros", précise-t-il, confirmant des annonces effectuées en avril par la Société du Grand Paris, l'établissement public qui gère ce projet majeur d'urbanisme autour de la capitale.La gare de Saint-Denis Pleyel constitue l'une des principales stations de métro prévues dans le cadre de l'extension du réseau. Elle sera à la fois le nouveau terminus de l'actuelle ligne 14 et verra aussi passer les futures lignes 15, 16 et 17.La gare doit être prête début 2024 pour les Jeux Olympiques. Des travaux ont déjà commencé, notamment menés par le géant français Eiffage, mais Besix réalisera le gros du projet."Les travaux comprennent les importantes façades et la verrière, les voiries et réseaux divers, les corps d'état architecturaux -parachèvements- et les corps d'état techniques", dont les travaux d'électricité, a énuméré le groupe belge.
Il y a 5 ans et 7 jours

Supertoys Supertoys : Objects for an animist world

Le studio néerlandais de design Supertoys Supertoys imagine des objets étranges, dont les couleurs pastel et les formes singulières questionnent les rapports que l’être humain entretient avec les objets. L’architecte d’intérieur Merle Flügge et l’architecte Job Mouwen ont fondé le studio de design Supertoys Supertoys en 2018 et diffusent depuis une vision animiste de la subjectivité et du monde. Avec leurs tonalités pastel, leurs formes bizarres et leur dimension ludique, les objets conçus par Merle Flügge et Job Mouwen relèvent de l'animisme, réévaluant ainsi les systèmes socioéconomiques actuels qu’ils rejettent.Et si une table veut être une fleur ? Ou si une table, qui s’apparente à une fleur, se transforme à nouveau en table, que désire alors la table ? Voilà les questions étonnantes que se pose le duo lorsqu’il cherche à appréhender les caractéristiques imperceptibles de la matière, de la forme et de l’objet. Le fauteuil Creature Comfort, est doté d’une assise en bois dur laqué et poli et d’un dossier en mousse rond et souple, et se veut à la fois ludique et sage, confortable et inconfortable, convivial et austère. La table Cosmic Flower, quant à elle, est fabriquée avec une résine époxy couleur Cantaloupe ou vert menthe légèrement translucide. Sa grande originalité laisse place à notre imagination. Des objets curieux qui invitent à considérer l’essence des objets plutôt que leur fonctionnalité. Pour en savoir plus, visitez le site de Supertoys Supertoys. Photographies : © Pim TopLéa Pagnier
Il y a 5 ans et 7 jours

BMW sollicite Colas pour ses infrastructures routières en République tchèque

La filiale locale, Colas CZ, construit le site d’expérimentation de l’entreprise allemande d'automobiles. Les travaux impliquent de recourir à des solutions géotechniques particulières.
Il y a 5 ans et 7 jours

Wi-Fi et Courant Porteur, l’association idéale en télétravail

Deux développements récents renforcent l’intérêt du Wi-Fi : la nouvelle norme Wi-Fi 6 en cours d’introduction, les nouvelles bornes CPL/Wi-Fi de Devolo
Il y a 5 ans et 7 jours

Notaires: l'Autorité de la concurrence tiendra compte de la crise

L'Autorité de la concurrence tiendra compte des effets économiques de la crise du coronavirus pour gérer la suite de l'ouverture de la profession de notaires, a-t-elle promis.
Il y a 5 ans et 7 jours

Les deux géants français des centres commerciaux rouvrent leurs sites

Klépierre et Unibail-Rodamco-Westfield (URW), les deux géants français des centres commerciaux, rouvrent actuellement l'essentiel de leurs sites à travers le monde.
Il y a 5 ans et 7 jours

La Cité de l'architecture et du patrimoine rouvre ses portes

Après plusieurs semaines de fermeture pour empêcher la propagation du coronavirus, la Cité de l'architecture et du patrimoine rouvre ses portes à Paris, à partir du 17 juin 2020. Il faudra réserver en ligne pour profiter de l'ensemble des collections permanentes et accéder à la bibliothèque. Avis aux amateurs, la Cité de […] Lire l'article