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Toute l'actualité du bâtiment

256710 actualités disponibles
Il y a 5 ans et 22 jours

Secrets d’archi : 1941 – 20 architectes français invités par Goebbels en Allemagne

En 1941, Louis Hautecoeur, secrétaire aux Beaux-Arts à Vichy, fut sommé d’établir une liste d’architectes. Il en retint une vingtaine. L’année suivante, l’architecte Pierre Villon prenait la tête du Front National clandestin. Les années de guerre (1939 – 1945) que l’on évoque ces derniers temps pour éclairer les évènements actuels liés à la pandémie – […] L’article Secrets d’archi : 1941 – 20 architectes français invités par Goebbels en Allemagne est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 22 jours

Des pêcheurs manifestent en baie de Saint-Brieuc contre un projet de parc éolien

"Ça s'est passé dans le calme, comme on l'avait demandé", a déclaré à l'AFP Alain Coudray, président du comité des pêches des Côtes d'Armor, qui estime qu'il y avait entre 50 et 70 bateaux sur zone.La préfecture maritime de l'Atlantique a pour sa part comptabilisé 60 navires "au plus fort" et appelé "au calme et au respect de l'ordre public en mer".Deux navires de la marine nationale ainsi qu'un patrouilleur et une vedette de la gendarmerie avaient été dépêchés sur place.Des bateaux de pêche sont entrés dans la zone interdite par arrêté préfectoral mais il n'y a pas eu de verbalisation, selon la préfecture maritime.Les pêcheurs manifestaient contre le lancement d'une campagne de sondages géophysiques et de détections pyrotechniques menés par le Réseau de Transport d'électricité (RTE) en vue de la construction du parc éolien en mer de Saint-Brieuc."Ils sont venus faire ces études sans aucune concertation de la profession.Quand ils feront une concertation, après, on verra", a lancé M. Coudray."Nous restons ouverts au dialogue avec les pêcheurs", a souligné RTE auprès de l'AFP. "Nous entendons leurs préoccupations et nous avons tout mis en oeuvre pour y répondre", a-t-on ajouté de même source.Une réunion s'est ensuite tenue avec des représentants de l’État, des pêcheurs et les porteurs du projet de parc éolien.Le parc éolien en mer de Saint-Brieuc doit être érigé à 16,3 kilomètres au large des côtes bretonnes. D'une capacité totale de 496 MW, avec 62 éoliennes, il est censé produire 1.820 GWh par an, l'équivalent de la consommation électrique annuelle de 835.000 habitants, selon son promoteur, Ailes Marines, filiale de l'espagnol Iberdrola.Le parc éolien doit être opérationnel en 2023.
Il y a 5 ans et 22 jours

Services énergétiques : 11 propositions pour une relance responsable

Tandis que le gouvernement prépare un plan de relance, la FEDENE, qui regroupe les principales sociétés de services énergétiques, opérateurs de la transition énergétique et climatique, et qui milite de longue date en faveur d’une démarche de croissance verte, se mobilise pour développer des projets qui concrétiseront cette relance. A ce titre, elle rassemble dans le document joint 11 propositions autour des réseaux de chaleur et de froid, de la rénovation énergétique des bâtiments et du Facility Management.
Il y a 5 ans et 22 jours

Chronique du Geek – Les applications de mai 2020

Parce que le métier d’architecte est aussi très technique, de nombreuses applications permettent d’accompagner sa pratique lorsqu’il s’agit de définir des capacités, des contraintes, des pressions, des conversions et autres coûts. Ce mois-ci, le Geek propose cinq applications mobiles pour vous aider dans les calculs de conception de bâtiments aussi résistants et performants qu’esthétiques ! […] L’article Chronique du Geek – Les applications de mai 2020 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 22 jours

Juste avant la crise, les autorisations de logements ont bondi

CONJONCTURE. Selon les chiffres officiels, rendus publics le 26 mai, les autorisations de logements ont connu, entre décembre et février derniers, une forte hausse. Sur un an, les chiffres sont plus stables.
Il y a 5 ans et 22 jours

Le Foyer Maurice Ravel de Nanterre tout déglingué, c’est normal ?

Le foyer Maurice Ravel à Nanterre (Hauts-de-Seine) permet à une centaine d’étudiants musiciens, pour lesquels le logement est souvent difficile, de poursuivre leurs études en travaillant leur instrument dans des conditions optimales. Mais ce lieu unique, tant par sa vocation que par le geste architectural qu’il représente, est aujourd’hui si mal entretenu qu’il est menacé […] L’article Le Foyer Maurice Ravel de Nanterre tout déglingué, c’est normal ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Cimbat
Il y a 5 ans et 22 jours

Moso International enrichit sa gamme de lames de bardage Bamboo X-treme®

Un nouveau profil « fermé », respectant les normes européennes les plus strictes en matière de sécurité incendie De nouvelles dimensions pour libérer sa créativité MOSO® international, pionnier des solutions innovatrices en bambou pour l’intérieur comme l’extérieur, enrichit sa gamme de lames de bardage Bamboo X-treme® avec de nouvelles dimensions et un nouveau profil « fermé », respectant les normes européennes les plus strictes en matière de sécurité incendie. Un profil « fermé » pour une sécurité incendie renforcée Le bardage MOSO® Bamboo X-treme® est une lame extérieure de bambou massive de haute densité fabriquée à partir de lamelles en bambou compressées. Un procédé de traitement thermique à 200°C permet au Bamboo X-treme® d’avoir la plus haute classe de durabilité qui existe selon les normes européennes, l’augmentation de la stabilité et de la densité, et par conséquent de la dureté. Le nouveau profil fermé ne présente aucun espace entre les lames ; il ne permet donc pas la circulation de l’air entre les lames ce qui réduit considérablement la propagation des flammes et de la fumée. Il permet ainsi au bardage Bamboo X-treme® d’atteindre la classe feu B-s1-d0 (EN 13501-1) et un indice de propagation de la flamme Classe A (ASTM E84). Ce classement ne s’applique pas seulement au produit installé mais à l’ensemble du système, des lames au bardage. Le bardage Bamboo X-treme® ne nécessite aucune adjonction de produits ignifuges coûteux et nocifs à la fois pour l’environnement et les personnes qui le manipulent pendant le processus de production et d’installation. Il peut ainsi être installé en toute sécurité dans des lieux très fréquentés, tels que les immeubles d’habitation, les stations-service, les bâtiments commerciaux… Lame Bamboo X-treme® en 75mm Le bardage en MOSO® Bamboo X-treme® est disponible en deux usinages : forme à double feuillure inversée ou trapèze. La première se fixera grâce aux clips de fixation (18 mm), la seconde par vissage en parement. Ces deux formes sont désormais disponibles dans des dimensions 1850x75x18 et 1850x75x12. La combinaison de différentes largeurs et profils autorise des créations design et de façades en bambou originales. L’alternative écologique aux bois tropicaux Le bambou est la plante possédant la croissance la plus rapide sur terre. Matériau disponible en abondance, sa culture ne provoque pas de déforestation. Tous les produits en bambou MOSO® ont une empreinte carbone négative sur l’ensemble du cycle de vie. Le site Le rapport d’ACV (analyse du cycle de vie) réalisé par la TU Delft (ISO 14040/44) montre que le revêtement Bamboo X-treme®, évalué sur l’ensemble de son cycle de vie, est certifié CO2 neutre. Grâce à des résultats de tests supplémentaires et à la possibilité de l’utiliser comme matériau certifié FSC, le bambou massif contribuent à l’évaluation des certifications de bâtiments durables telles que LEED et BREEAM. Durables, sûrs et beaux, les produits en bambou MOSO® représentent une alternative durable au bois tropicaux de plus en plus rares. www.moso-bamboo.com/fr
Il y a 5 ans et 22 jours

Beauvais : Un théâtre de blanc vêtu

Le nouveau Théâtre du Beauvaisis s’inscrit dans un environnement urbain face à des petits immeubles de logements en R + 4 au maximum. [©AJC] Retrouvez cet article dans le dernier numéro de Béton[s] le Magazine. La pierre de Saint-Maximin est le matériau qui caractérise la ville de Beauvais, dans l’Oise. Sa teinte claire donne sa dimension à la cathédrale gothique Saint-Pierre, tout comme à l’église Saint-Etienne, de style roman. Nombre de bâtiments de la cité présentent une couleur similaire, créant une unité urbaine.  Le nouveau théâtre de Beauvais est déjà considéré par certains comme la 3e cathédrale de la ville. [©Eqiom] Devant s’intégrer dans cet environnement, le nouveau Théâtre du Beauvaisis a vocation à remplacer une salle plus ancienne et plus modeste. La parcelle se situe dans une rue assez étroite et fait face à des petits immeubles de logements en R + 4 au maximum. Pour donner une respiration au lieu, les architectes François Chochon et David Joulin, associés au cabinet AJC, ont très vite l’idée de tourner le bâtiment d’un peu plus de 90° et d’en reculer les façades par rapport à la limite de propriété. Dans cette configuration, l’entrée principale, devenue traversante, part d’une petite esplanade plantée. D’une capacité de 674 places, pour 1 150 m2 au sol, Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 22 jours

Point.P dévoile son nouveau catalogue professionnel 2 en 1

Avec plus de 25 000 références, dont de nombreuses nouveautés produits, ce catalogue diffusé à 365 000 exemplaires à travers toute la France reste l'outil incontournable pour les acteurs du BTP. A l'image des engagements de l'enseigne, il a pour objectif de simplifier la vie et de faire gagner du temps au professionnel.Toute l'offre de matériaux, outillage et consommables en un seul outilLes métiers du BTP sont de moins en moins segmentés, c'est pourquoi les professionnels ont souvent besoin de s'équiper en matériaux de construction ainsi qu'en outillage, sans distinction. Afin de faciliter leurs recherches, POINT.P a choisi de réunir son offre de matériaux, d'outillage et de consommables en un seul et même support. Ainsi, qu'il soit maçon, plaquiste ou encore électricien, le professionnel, quelque soit son corps de métier, trouvera rapidement et simplement le produit qu'il recherche dans ce catalogue simple, clair et fonctionnel. Les deux sens de lecture (l'un pour les matériaux, l'autre pour l'outillage et les consommables) lui permettront en un geste de se diriger vers l'offre la plus adaptée à ses besoins. De plus, chaque offre dispose d'un index spécifique pour aider le professionnel à sélectionner rapidement le ou les produits souhaités.Pour répondre aux spécificités de chaque région, le catalogue 2020 Matériaux, Outillage & Consommables de POINT.P se décline en 10 versions régionales. Pour chacune, la partie Matériaux regroupe en moyenne 5 000 références dans 11 univers : Gros œuvre, Façade ITE, Assainissement, VRD-TP, Bois et Panneaux, Couverture, Systèmes plaque et plâtre, Isolation, Plafond, Menuiseries intérieures & extérieures et Revêtements sol & mur.La partie Outillage répertorie quant à elle 6 000 références d'outillage réparties en 8 univers : Connectivité-Electricité-Ventilation, Electro & Consommables, Matériel de chantier, Protection individuelle, Outillage manuel, Fixation-Quincaillerie, Plomberie-Sanitaire et Mastic-Peinture-Droguerie.POINT.P propose une offre très large de références pour tous les professionnels, puisqu'au total sur l'ensemble du territoire, ce sont plus de 25 000 produits, dont de nombreuses nouveautés, qui sont référencés dans l'édition 2020 de son catalogue, et 100 000 sur le site pointp.fr.Un catalogue pense au service du professionnelLe nouveau catalogue 2 en 1 a été entièrement repensé pour correspondre au mieux aux attentes de l'artisan. Au travers de cet outil, l'enseigne s'engage à simplifier la vie du professionnel et à lui faire gagner du temps.Dans cette optique, le catalogue intègre notamment un nouveau service client permettant au professionnel d'entrer directement en contact par SMS avec leur agence POINT.P. Celle-ci peut ainsi répondre immédiatement et à tout moment au besoin du client (informations horaires, disponibilité produits…). Pour cela, un listing des agences disposant de ce service est disponible en fin de catalogue, avec le numéro de téléphone portable renseigné en face de chaque agence concernée.Toujours dans une démarche de simplification et de gain de temps pour le professionnel, l'intégralité des références sont accompagnées d'un code-barre pour accéder à la fiche produit associée sur pointp.fr ainsi qu'aux informations de stocks et de disponibilité dans son agence. Cela permet au professionnel de passer commande depuis son téléphone en direct du chantier, puis de venir retirer rapidement son produit dans l'une des 800 agences POINT.P ou de se faire livrer.De plus, pour aider le professionnel à faire le meilleur choix au meilleur prix, les produits offrant le meilleur rapport qualité/prix de chaque marque de distributeur POINT.P (Cada, Ultibat, Deltapro, Arte, Novipro) sont mis en avant, avec une offre personnalisée pour chaque région.Enfin, dès les premières pages, les nombreux services que propose l'enseigne sont présentés, avec notamment :Le programme Génération Artisans et ses services et logiciels pour aider l'artisan au quotidien (Solu+, Tolteck, Renoprim+ Direct, CapRenov+, Objectif RGE, La Maison Saint-Gobain, Studio GA, Dynabuy,...).Les engagements livraison sur chantier avec suivi en temps réel par SMS.La possibilité d'ouvrir un compte en quelques minutes et de bénéficier du paiement à crédit.Les engagements de la marque POINT.P permettant à tous les clients de gagner du temps et de leur simplifier la vie. Une démarche environnementale forteLa volonté de POINT.P de regrouper l'ensemble de ses références en un seul catalogue s'inscrit également dans une démarche de protection de l'environnement. Ce catalogue unique permet en effet de répondre aux enjeux de réduction des déchets papiers. Fabriqué à partir de papier recyclé, il est distribué dans les agences de l'enseigne en 365 000 exemplaires seulement, soit environ 40 % de moins qu'en 2019, afin de correspondre au plus près des besoins sur le terrain et éviter le gaspillage.
Il y a 5 ans et 22 jours

Climatisation : les nouveaux fluides HFO nuisent à l’environnement

Les fluides HFO utilisés en climatisation en remplacement des CFC, HFC et HCFC se décomposent dans l’environnement en acides perfluorocarboxyliques dangereux pour la santé humaine.
Il y a 5 ans et 22 jours

Ordonnance du 13 mai : le bâtiment redoute les défaillances d’entreprises

L’ensemble des professions du bâtiment, de l’architecte à l’artisan, dénonce une ordonnance promulguée le 13 mai qui selon elles, va accroître, au second semestre, le nombre de défaillances d’entreprises.
Il y a 5 ans et 22 jours

Le gouvernement parie sur une reprise totale des chantiers d'ici fin mai

L'activité a redémarré sur 72% des chantiers, a déclaré le ministre du Logement Julien Denormandie, alors que le gouvernement vise une reprise totale avant la fin du mois dans le secteur.
Il y a 5 ans et 22 jours

A Rouen, le campus de Mont-Saint-Aignan promis à la démolition

Peut-être ce livre se serait-il appelé Naissance d’un pont, si le titre n’avait pas déjà été pris par Maylis de Kerangal pour son roman. Quoi qu’il en soit, "Autopsie d’un pont" retrace parfaitement l’aventure de la construction du pont de Gênes, dont on connaît la fin tragique, le 14 août 2018, son […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 22 jours

Covid-19 : sur l’usage de la ventilation et de la climatisation

Compte tenu de la situation actuelle et des interrogations concernant l’usage de la ventilation et de la climatisation dans le contexte de la pandémie Covid-19, Uniclima, l’Afpac et le Snefcca ont travaillé conjointement à la rédaction d’une foire aux questions (FAQ) afin d’informer sur les préconisations à respecter.
Il y a 5 ans et 22 jours

Rabot Dutilleul Construction assure une reprise progressive de ses chantiers en toute sécurité

Une décision qui a pour objectif de soutenir l'activité de l'entreprise en cette période difficile. La nouvelle gouvernance de l'entreprise, qui prendra ses fonctions à compter du 17 avril aura également à cœur de relever les défis d'aujourd'hui et répondre aux enjeux de demain.Redémarrer rapidement au moins un chantier par Région d'implantationC'est l'objectif que s'est fixé Rabot Dutilleul Construction pour cette reprise progressive de l'activité. Sont ainsi concernés les chantiers des Grands Moulins de Paris et de Jean Macé dans les Hauts-de-France ; la réhabilitation en logements des anciens hôpitaux Villemin Maringer Fournier à Nancy, le CROUS de Strasbourg, un EHPAD et un service de soins à domicile à Moyenmoutier (88) dans le Grand Est ; ainsi qu'un chantier de logements à Massy en Ile-de-France. L'Ile-de-France où Rabot Dutilleul Construction a par ailleurs assuré vendredi dernier la livraison du nouveau plateau médico-chirurgical de l'hôpital Henri Mondor qui compte notamment un service de réanimation d'une capacité de 55 chambres, ainsi qu'un service dédié aux soins critiques avec 30 chambres de surveillance continue.« Je tiens ici à saluer l'engagement de l'équipe du chantier de l'hôpital Henri Mondor qui a montré un grand professionnalisme et a travaillé 7j/7 pour pouvoir mettre à disposition des chambres pour les patients atteints de Covid-19 », déclare Frank Fessenmayer, Directeur régional de Rabot Dutilleul Construction en Ile-de-France.Une reprise dans le respect des conditions sanitairesLa sécurité des compagnons et de l'encadrement des chantiers est une priorité pour Rabot Dutilleul Construction qui a adopté des mesures de prévention afin de protéger la santé des collaborateurs et de les inciter à veiller sur leur santé, leur sécurité et celle de leur entourage. Un guide interne « Covid RDC » basé sur le guide de l'OPPBTP, a ainsi été diffusé auprès de toutes les équipes: port du masque, de gants, mise à disposition de gel hydroalcoolique, nettoyage des équipements,… sont autant de mesures à mettre en œuvre pour assurer une reprise des chantiers en toute sécurité. Des postes de « Chargé de Prévention Covid » ont également été créés au sein de l'entreprise pour garantir la sécurité sanitaire des personnels présents et entrants sur chaque chantier. Nomination d'une nouvelle gouvernanceA compter du 17 avril 2020, une nouvelle gouvernance sera mise en place chez Rabot Dutilleul Construction pour prendre en main l'entreprise dans la période critique, organiser la reprise et poursuivre le déploiement de la stratégie engagée. Frédéric STERNHEIM est nommé Président de Rabot Dutilleul Construction. Patrick ADAM prend la direction générale de Rabot Dutilleul Construction et remplace Thierry GEFFROY. Arnaud MERVEILLE est nommé Directeur Administratif et Financier de Rabot Dutilleul Construction.Cette équipe de tête apporte toutes ses compétences à l'entreprise pour poursuivre sa transformation en cohérence avec le plan stratégique « Demain 2025 ». En cette période particulière, elle s'attachera également à mettre en œuvre toutes les solutions permettant de passer cette crise en assurant la reprise des chantiers, le pilotage actif de la trésorerie, mais aussi en réfléchissant à de nouveaux modèles. Pour cela, Rabot Dutilleul Construction peut s'appuyer sur son savoir-faire et ses compétences centenaires, des technologies performantes, des collaborateurs engagés et un carnet de commandes solide de 400 millions d'euros en construction en France.
Il y a 5 ans et 22 jours

Grand Paris Express: un groupement mené par Vinci remporte un contrat

La Société du Grand Paris (SGP) a attribué à un groupement d'entreprises mené par Vinci un contrat de 799 millions d'euros pour la construction d'un tronçon sur la ligne 18 du réseau de métro francilien
Il y a 5 ans et 22 jours

Trêve hivernale jusqu'en octobre dans les logements sociaux parisiens

La mairie de Paris va prolonger la trêve hivernale "jusqu'en octobre" dans les logements sociaux pour les locataires qui "n'arrivent pas à payer leur loyer".
Il y a 5 ans et 22 jours

Maisons Jaoul : Emotions brutes

Le Corbusier a aussi imaginé les Maisons Jaoul après la Seconde Guerre mondiale. Ces deux habitations atypiques ont été créées pour la famille du même nom. [©Novbéton/Fondation Le Corbusier/ADAGP] Retrouvez cet article dans le dernier numéro de Béton[s] le Magazine. Autant critiqué qu’adulé, Charles-Edouard Jeanneret-Gris, dit Le Corbusier, a voulu insuffler sa vision de l’architecture et de l’urbanisme. Ceci, durant tout son règne… Sa théorie du Modulor, basée sur les proportions du corps appliquées au dessin d’un bâtiment, et son approche brutaliste et moderniste de la discipline se retrouvent dans ses réalisations de Marseille, dans le Sud de la France, ou à Chandigarh, dans le Nord de l’Inde. Le Corbusier a aussi imaginé des choses plus modestes, telles les Maisons Jaoul. Conçues après la Seconde Guerre mondiale et sises à Neuilly-sur-Seine (92), ces deux habitations atypiques ont été créées pour la famille du même nom. Construites sur une parcelle de 950 m2, elles s’organisent de manière indépendante, tout en gardant un lien commun : le sous-sol. Formant ainsi un ensemble collectif. La maison A accueillait l’industriel André Jaoul, sa femme et ses enfants. Tandis que la maison B a été conçue pour son fils aîné Michel Jaoul et sa famille. Depuis leur construction, entre 1953 et 1955, ces bâtiments inscrits aux Monuments historiques ont changé deux fois de propriétaires. Et bénéficié de petites rénovations dès le début des années 1990.  Les maisons correspondent bien à la doctrine de Le Corbusier. Le bois, la brique et le béton s’épousent pour former la façade. Comme une ode au brutalisme, l’architecte a laissé chaque matériau exprimer son authenticité, sa particularité. Le béton armé a d’ailleurs gardé les veinures de son coffrage en planches de bois non rabotées. Tantôt verticales et horizontales, ces empreintes renforcent l’aspect Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
GDA
Il y a 5 ans et 22 jours

BDR Thermea Group devient pionnier de la production d'hydrogène vert avec un centre R&D en Italie

Bassano del Grappa, lieu d'autoproduction d'hydrogène vert Bassano del Grappa, en Italie, est le site de la plus grande usine de production de BDR Thermea. Depuis 2018, le groupe produit sa propre électricité à Bassano del Grappa grâce à 6 000 m² de panneaux solaires sur le toit de son usine. Cette électricité alimente déjà la production d'environ 4 000 chaudières par jour, évitant ainsi le rejet de plus de 400 tonnes de CO² par an.Aujourd'hui, un équipement d'électrolyse a été installé à Bassano en Italie. Il transforme l'électricité de ses panneaux photovoltaïques en hydrogène. Cet hydrogène sera utilisé pour tester et piloter le développement de prototypes de mélange 100% hydrogène et hydrogène/gaz naturel dans le centre de R&D dédié à la technologie des chaudières à hydrogène pour tout le groupe.« Permettre la transition énergétique mondiale est la force motrice de BDR Thermea Group. L'autoproduction d'hydrogène vert de Bassano en est un autre exemple concret. Nous avons créé une chaîne énergétique durable complète : nous produisons de l'électricité solaire, nous l'utilisons pour transformer l'eau en hydrogène par électrolyse, puis nous utilisons cet hydrogène pour alimenter nos nouvelles innovations dans nos chaudières d'essai à hydrogène », déclare Peter Snel, directeur technique de BDR Thermea Group.BDR Thermea Group à la pointe de la technologie des chaudières à hydrogène L'intérêt pour l'hydrogène dans les appareils de chauffage domestique est en forte croissance dans l'UE, où 40% de la consommation d'énergie primaire est utilisée pour le confort thermique et l'eau chaude sanitaire. L'hydrogène peut être stocké pendant de plus longues périodes pour pallier les fluctuations saisonnières.Depuis juin 2019, BDR Thermea Group pilote la première application réelle de sa chaudière à hydrogène à haut rendement et à 100%, conçue et développée à Bassano del Grappa en Italie ainsi qu'à Rozenburg aux Pays-Bas. En novembre dernier, le groupe est devenu la première entreprise en Europe à recevoir la certification pour l'utilisation d'un mélange d'hydrogène dans les chaudières domestiques aux Pays-Bas. De plus, la société participe au programme britannique Hy4Heat et explore activement des projets pilotes sur l'hydrogène partout en Europe.« Chez BDR Thermea Group, nous aidons à décarboner le chauffage et à permettre la transition vers des énergies durables. C'est pourquoi nous investissons considérablement dans des solutions telles que les chaudières à hydrogène et les pompes à chaleur », explique Bertrand Schmitt, PDG de BDR Thermea Group.
Il y a 5 ans et 22 jours

L'EPA Sénart recrute urbanistes et paysagistes

L’établissement public d’aménagement de Sénart (EPA Sénart) recrute cinq équipes pluridisciplinaires d’urbanistes et de paysagistes afin de coordonner 23 projets urbains, répartis sur l'ensemble du territoire de l’opération d’intérêt national de Sénart et au-delà, en […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 23 jours

A Chongqing, signée IDO, l’école primaire est un village

L’agence IDO (Init Design Office), fondée à Chongqing par Zong Dexin, Su Yunfeng et Chen Jun en 2012, a livré début 2019 une école primaire de neuf classes, chacune devenant une « maison » d’un village destiné à développer l’esprit d’exploration des enfants. Paradis scolaire pour bambins ? Communiqué. Cette école primaire est située à Yorkville North, un […] L’article A Chongqing, signée IDO, l’école primaire est un village est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 23 jours

Diffusion en ligne des nouveaux cours de Jean-Louis Cohen sur Mies van der Rohe

Les cours Mies van der Rohe et la construction de la métropole, de Berlin à Chicago, qui devaient être dispensés par Jean-Louis Cohen au Collège de France à Paris du 6 mai au 1er juillet 2020, seront disponibles en ligne à partir du mercredi 27 mai à 18h. Ces neuf cours invitent à découvrir ou redécouvrir l’histoire et l’œuvre d’un architecte né Allemand, comptant parmi les plus célèbres du XXe siècle. Ces cours enregistrés et diffusés en ligne sur le site internet du Collège...
Il y a 5 ans et 23 jours

De nouvelles serres en toiture déployées en Europe

Serre en toiture, Université Autonome de Barcelone, Espagne. Photos : CSTBCombien d'énergie, d'eau et d'émissions CO2 peuvent-elles être économisées grâce aux serres en toiture ? Les avantages de ces dispositifs sont analysés par onze partenaires européens de cinq pays, dont le CSTB pour la France, dans le cadre du projet GROOF (programme Interreg North-West Europe). À l'issue d'une phase d'étude de la situation actuelle, le consortium s'est engagé dans la réalisation de quatre serres en toiture et dans l'accompagnement de dix projets en Europe. Ceux-ci vont permettre d'identifier les bonnes pratiques en matière d'agriculture urbaine sur les toits, et de contribuer au développement des techniques en faveur de l'adaptation des villes au changement climatique. Atouts des installations Deux ans de travaux (2017-2019) ont permis de dresser un bilan des serres sur le toit, actuellement installées en milieu urbain à l'échelle Nord-Ouest européenne. Ce bilan s'appuie sur une étude du contexte et sur l'analyse de serres en toiture existantes, sur l'ensemble de leur cycle de vie. Le bilan a quantifié les avantages des serres installées en toitures, selon quatre axes : technique (construction et bâtiment), énergétique et environnemental, botanique (gamme de plantes) et économique. Il met en avant leurs atouts : l'utilisation de l'eau de pluie pour irriguer les cultures ; la réduction des émissions de CO2 dans la construction et l'exploitation du bâti, et dans la distribution de la production de la serre ; l'utilisation d'une part de la déperdition thermique de toiture pour chauffer la serre ; l'augmentation de la valeur patrimoniale du bâtiment. Bien évidemment très variable selon les situations, ce bilan met en évidence des impacts potentiels en matière d'économie d'énergie et de diminution des émissions de CO2, impacts qu'il s'agit de confronter à la réalité. Projets pilotes Le consortium d'experts scientifiques et techniques de GROOF s'attache désormais à démontrer l'intérêt d'installer des serres sur les toits, au travers de projets pilotes. Pour cela, il pilote de A à Z la construction et le pilotage de quatre serres en toiture, au Luxembourg (Bettembourg), en Belgique (Liège, province de Liège), en Allemagne (Bürstadt, Land de Hesse) et en France (Saint-Denis, Île-de-France). À ce jour, les permis de construire ont été validés. Quand les serres seront construites et en service, des mesures seront menées pendant un an. La mise en place des serres pilotes devrait permettre une économie de 300 tonnes de CO2/an d'ici à septembre 2021 (fin du projet GROOF) et de 2 millions de tonnes dix ans après. En outre, le consortium accompagne les porteurs de dix projets de serres sur le toit (conception et réalisation) dans cinq pays. La sélection des projets, dans le cadre d'un appel à candidature européen, a été mené en septembre 2019 avec le jury de GROOF dont le CSTB a fait partie. Cinq de ces projets, menés en France, sont désormais coachés par le CSTB : Toits vivants à Arcueil ; Jardins perchés à Tours ; Yncrea - Le Palais Rameaux à Lille ; Culinea Hortus à Paris ; Symbiose à Nantes. Retours d'expérience Les retours d'expérience, liés à la réalisation de serres pilotes, permettent d'identifier les solutions les plus pérennes et pertinentes et d'éviter les écueils sur les plans : technique : structure porteuse, appareillage pour optimiser énergie, systèmes de culture, etc. ; réglementaire : hauteur du bâtiment (PLU), éclairage nocturne, sécurité des personnes (accueil du public), risques sanitaires, etc. ; économique (modèle d'affaire). Au travers de ces expérimentations, les experts évaluent également l'intérêt mais aussi les problèmes potentiels de chaque solution selon l'usage de la serre : serre productive pour circuit court ; serre expérimentale pour développer une gamme végétale ou pour tester un dispositif d'économie des flux (eau, énergie) ; serre communautaire pour créer du lien ou pour former aux pratiques agricoles urbaines. Guide pratique Les partenaires européens du projet GROOF sont actuellement engagés dans la rédaction d'un guide de bonnes pratiques ; sa publication est prévue fin 2020. Destiné à l'ensemble des acteurs de la ville, de la construction et de l'agriculture, ce guide leur fournira une aide concrète pour réduire la consommation d'énergie et les émissions de CO2 issues du bâtiment, grâce aux serres sur les toits. Il les accompagnera pour cela dans le choix de solutions pérennes et adaptées. Concrètement, ce guide comportera par exemple des recommandations concernant les solutions techniques privilégiées, le choix des gammes végétales, les règles du marché à respecter, et les modèles d'affaires pertinents. En savoir plus : GROOF (2017-2021) : projet R&D européen pour la construction de serres sur les toits Site du projet GROOF (Greenhouses to Reduce CO2 on Roofs) Tous les projets de serres en toiture (rubrique Coaching)
Il y a 5 ans et 23 jours

Urmet se renforce dans les solutions de sécurité pour le tertiaire

RACHAT. Le spécialiste des solutions de sécurité pour les bâtiments, Urmet, a acquis un fabricant de solutions de contrôle d'accès, alarme intrusion, protection bancaire. Découvrez lequel.
Il y a 5 ans et 23 jours

La France va devoir faire face à son tour aux faillites et licenciements

La crise du Covid-19 a mis un coup d'arrêt brutal à l'économie partout dans le monde. Et les conséquences ne se sont pas fait attendre dans certains pays.Exemple emblématique: les États-Unis où le taux de chômage a explosé, atteignant 14,7% en avril, contre 3,5% en février, soit son plus bas niveau depuis 50 ans. Au total, 38,6 millions de personnes ont demandé une allocation chômage depuis l'arrêt de l'économie mi-mars.En Amérique latine, 11,5 millions de personnes supplémentaires vont être au chômage en 2020, en raison de la pandémie, selon un récent rapport de deux agences onusiennes.La France semblait jusqu'à présent relativement épargnée. Le nombre de chômeurs a certes progressé de 7,1% sur un mois en mars, mais cela s'explique essentiellement par le non-renouvellement de CDD, missions d'intérim ou de reports/annulations d'embauches.Principal rempart de protection contre les vagues de licenciements: la prise en charge par l’État du chômage partiel, un dispositif dont 8,6 millions de salariés auraient bénéficié, selon une estimation du ministère du Travail."L’État n'a pas hésité à dépenser", il s'agit d'une "mesure très centrale du soutien à l'économie qui a permis de sauvegarder des emplois", a observé auprès de l'AFP Anne Eydoux, maîtresse de conférences d'économie au Cnam et membre des Économistes atterrés.Le gouvernement souhaite toutefois réduire progressivement à partir de juin ce dispositif de soutien au chômage partiel, une mesure à laquelle s'oppose notamment le Medef. De son côté, la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) demande d'attendre septembre avant une réduction "sensible" de la prise en charge, s’attendant à des licenciements.Le sort du pays va en effet se noircir: "Il y aura des faillites et il y aura des licenciements dans les mois qui viennent", a prévenu sur Europe 1 le ministre de l'Économie Bruno Le Maire.Entreprises "non profitables"Les faillites vont se produire "petit à petit", mais il est "extrêmement compliqué" d'anticiper précisément à quoi s'attendre, a indiqué à l'AFP Eric Heyer, directeur du département analyse et prévision de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE). Selon lui, le nombre de disparitions d'entreprises dépendra notamment du retour ou non de la consommation et du soutien que le gouvernement proposera aux entreprises."La capacité de rebond de la demande est plus forte en France qu'ailleurs, puisque les ménages ont un revenu qui s'est mieux maintenu", grâce au chômage partiel, a relevé M. Heyer."La consommation va repartir dans certains secteurs qui pourront rattraper une partie du retard, mais pas dans d'autres où la facture va s'alourdir", a-t-il cependant expliqué.Le tourisme, l'hôtellerie et la restauration, encore à l'arrêt, sont particulièrement en danger, ainsi que certaines branches industrielles, telles que l'automobile et l'aéronautique, pour lesquelles le gouvernement doit présenter prochainement des plans de soutien spécifiques.Les petites entreprises sont menacées tout comme de grands fleurons français, à l'instar de Renault - qui "joue sa survie", selon les mots de Bruno Le Maire.Autre difficulté pour les sociétés: les mesures sanitaires entraînent des coûts supplémentaires et ralentissent la production. "Beaucoup d'entreprises - mais c'est très difficile à chiffrer aujourd'hui - vont devenir non profitables pour une durée que ni vous ni moi on sait estimer", a souligné lors d'une audition à l'Assemblée nationale le patron du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, prévoyant également des faillites.Face à ces difficultés qui se profilent, les syndicats sont déjà en alerte.La CFDT, qui s'attend à ce que la crise soit sévère, appelle notamment à une "mobilisation générale sur l'emploi". De son côté, FO réclame "un contrôle strict des procédures de suppressions d'emplois, afin d'empêcher les licenciements quand une entreprise a bénéficié ou bénéficie d'aides publiques en particulier".
Il y a 5 ans et 23 jours

Début des négociations entre la France et l'UE sur les fonds européens 2021-2027

RELANCE. Jacqueline Gourault et Amélie de Montchalin, respectivement ministre de la Cohésion des territoires et secrétaire d'Etat aux Affaires européennes, ainsi que Renaud Muselier, président de Régions de France, ont amorcé les négociations avec la Commission européenne sur le déblocage des fonds communautaires pour la période 2021-2027. Avec un espoir de mobilisation pour répondre à la crise du coronavirus.
Il y a 5 ans et 23 jours

Modernisé, ce triplex parisien retrouve volume, style et cachet

DIAPORAMA. Ce grand appartement avait besoin d'être rafraîchi et réorganisé en profondeur pour accueillir ses nouveaux propriétaires. Aéré et subtilement modernisé, il a gagné de vastes pièces de vie et un style savamment travaillé, entre ancien et moderne.
Il y a 5 ans et 23 jours

L'OPH de Bobigny annule les loyers d'avril

LOGEMENT SOCIAL. Comme elle l'avait annoncé en avril, la mairie de Bobigny a fait voter par l'Office public de l'habitat (OPH) municipal l'annulation des loyers d'avril. Une décision qui doit encore passer le contrôle de légalité du préfet.
Il y a 5 ans et 23 jours

Reprise des chantiers : quels surcoûts liés aux mesures sanitaires pour les artisans du bâtiment ?

Les enquêtes-flash réalisées chaque semaine par le GIE CERC auprès de 1416 entreprises du bâtiment confirment ce redémarrage. Cependant, même si la part des chantiers en activité « normale » est également en hausse en mai, cette activité n'est pas effective sur la totalité des chantiers. Pour autant, il ne faudrait pas occulter un point important qui risque de compromettre la reprise et met en péril nombre d'entreprises. Il s'agit de l'absorption des surcoûts car de nombreuses entreprises travaillent à perte aujourd'hui compte tenu du refus de nombre de clients, notamment particuliers, d'en tenir compte. Après deux mois d'arrêt ou de confinement, comment prendre le risque de perdre sa clientèle ? Cette problématique est particulièrement préoccupante pour les entreprises artisanales. Dans l'attente de son étude exhaustive sur le sujet, la CAPEB dévoile l'estimation des trois principaux postes de surcoûts : la coactivité, la désinfection et les équipements de protection.« Depuis le déconfinement, nous constatons une hausse du redémarrage de l'activité du BTP estimée entre 50% et 60% par rapport à la situation d'avant crise sanitaire. Et nous nous en réjouissons. Mais les retours terrain dont la CAPEB dispose vont tous dans le même sens : les surcoûts de la sécurité sanitaire. Les situations sont très différentes dans le neuf ou en rénovation, ce qui explique la fourchette de notre estimation. Les 3 grands postes de surcoûts sont : la coactivité qui est le plus important et qui peut atteindre dans certains cas 50% du surcoût total, la désinfection et dans une moindre mesure les équipements individuels et/ou collectif de protection. La « coactivité », englobant le transport, est le surcoût de production le plus lourd à supporter. La distanciation sanitaire oblige les équipes, les salariés et les métiers à intervenir successivement sur un chantier, ce qui allonge, de surcroit en site occupé, les délais de réalisation. Perdre des heures, perdre du temps, protéger efficacement ses salariés et ses clients augmentent les charges. Alors bien sûr, pour le moment les entreprises font face, mais pour combien de temps ? A ce titre, la désinfection est un enjeu essentiel pour rassurer les clients et notamment les particuliers en entretien-rénovation en site occupé. Ce surcoût est incompressible pour redonner la confiance. A la nécessaire réorganisation sanitaire des chantiers pour mettre en œuvre les gestes barrières, s'additionnent les difficultés d'approvisionnement et une charge administrative en hause liée au Covid-19. A ce stade, il est encore difficile de connaître avec certitude le montant exact de tous ces surcoûts mais nous pouvons d'ores et déjà affirmer que le retour de l'activité sur certains chantiers se fait à perte. Nous restons donc très attentifs à l'évolution de ces surcoûts qui, selon notre première estimation, varierait entre les différents types de marchés : entre 10 et 20% en entretien / rénovation et 10% dans le neuf. Cette situation est évidemment extrêmement préoccupante et pourrait conduire à de nombreuses défaillances d'entreprise si rien n'est fait. A moyen terme, l'expérience me dit que de nouvelles méthodes de travail, d'organisation, de phasage des chantiers seront à inventer ». - Patrick Liébus, président de la CAPEBEstimation des surcoûtsLa coactivité/productivité (allongement des délais, coordination, phasage complexe à organiser, location de nouveau moyen de transport ….) va engendrer un surcoût entre 4 et 10% du coût journalier. Ce poste peut représenter jusqu'à 50% du surcout sanaitaire total.Les équipements (gants, masques, gel…) vont représenter entre 2 et 4% du coût journalierLa désinfection (décontamination, nettoyage du matériel, outillage supplémentaire…) entre 4 et 8% du coût journalier.Les surcoûts sont plus élevés en rénovation notamment en site occupé. On estime ainsi le surcoût moyen entre 10 et 20% en entretien-rénovation contre 10% dans le neuf.Reprise des chantiers : une montée en puissance de l'activité inégale en fonction des régionsLa publication des recommandations sanitaires élaborées par l'OPPBTP ainsi que le déconfinement ont permis aux entreprises du bâtiment de reprendre sensiblement leur activité. Les résultats de l'enquête-flash GIE-CERC montrent qu'au 14 mai, ce sont 72% des chantiers qui étaient ouverts contre 53% au 5 mai. Au 14 mai, 37% des chantiers affichaient un niveau d'activité normale alors qu'ils n'étaient que 22% avant le déconfinement. Une montée en puissance qui permet de maintenir l'activité de 76% des salariés du BTP et intérimaires ETP (en équivalant temps plein) contre 57% au 5 mai.Cette hausse de l'activité connaît cependant de fortes disparités entre les régions. Ainsi, la part des chantiers en activité normale dans le Sud-Est de la France (36%) et le Nord-Est (48%) est plus importante qu'en Ile-de-France (22%). A noter que certaines activités peinent à reprendre. C'est le cas de l'activité commerciale dont les carnets de commandes se sont drastiquement réduits pendant le confinement et qui mettront plusieurs semaines avant de se remplir à nouveau. Une situation également délicate dans le secteur des marchés publics qui n'ont pas encore tous réouvert. Les entreprises artisanales attendent pourtant un soutien fort de la part de la commande publique. En tout, ce sont donc encore 15% des chantiers qui sont fortement ralentis et 28% des chantiers qui sont toujours à l'arrêt. Une situation qui devrait s'améliorer dans les jours à venir. Ainsi, 33% des chantiers qui étaient à l'arrêt au 14 mai devraient reprendre d'ici le 18 mai. Les artisans renouent également avec la confiance : 67% des chefs d'entreprises déclarent avoir confiance en la reprise de leur activité contre 58% le 5 mai.Malgré la reprise de l'activité, le contexte sanitaire particulier dans lequel les entreprises artisanales du bâtiment travaillent comporte son lot de difficultés qui continuent de ralentir les chantiers.Des difficultés toujours présentes et recensées par la CAPEB, qui ralentissent fortement les chantiers Des difficultés d'approvisionnement : les artisans continuent d'être confrontés à un ralentissement d'approvisionnement des matériaux et matériels, notamment en provenance d'Espagne et d'ItalieDes contraintes administratives en hausse : les charges administratives et les contraintes d'organisation liées au COVID 19 représentent une charge supplémentaire pour les chefs d'entreprisesDes reports voire des annulations de travaux chez les particuliers : certains particuliers sont toujours réticents quant à la réalisation de travaux chez eux et préfèrent reporter voire annuler des travaux pourtant prévus en amontDes reports de paiements dus à l'arrêt des marchés publics : l'arrêt des marchés publics à cause du confinement a entraîné l'arrêt des paiements pour les chantiers réalisés en amont du confinementDes difficultés pour gérer les déchets : on constate ainsi un ralentissement de l'enlèvement des déchets du BTP pendant le confinement qui a entrainé l'accumulation des déchets au niveau des entreprises
Il y a 5 ans et 23 jours

Radiateurs sèche-serviettes électriques Acova Versus : les serviettes jouent à cache-cache dans la salle de bains

Plaçant l’innovation au service du bien-être, Acova dévoile, dans sa Collection Signature, son nouveau radiateur sèche-serviettes électrique Acova Versus. Avec sa façade lisse en verre chauffant et ses barres porte-serviettes rétractables à l’arrière de l’appareil, Acova Versus allie design, confort et astuces de rangement dans la salle de bains. L’innovation au service du bien-être et de l’accessibilité Proposé dans deux hauteurs (1,50 m et 1,75 m), une largeur (47,5 cm) et deux puissances (600 et 750 watts), Acova Versus se compose d’une surface en verre de sécurité feuilleté (2 x 4 mm) qui intègre un panneau chauffant électrique. Astucieux, il est équipé de 1 ou 2 barres porte- serviettes rétractables positionnées à l’arrière de l’appareil pour un séchage des serviettes en toute discrétion. Par simple appui sur leur extrémité, les barres porte-serviettes s’ouvrent sur le côté du radiateur, à droite ou à gauche, de façon symétrique ou asymétrique au choix. Pratique au quotidien pour poser, ranger et prendre les serviettes facilement, cette fonction permet également au radiateur de s’adapter aux contraintes d’espace et d’aménagement des salles de bains. Un design minimaliste épuré et intemporel Avec sa façade lisse en verre et les trois finitions proposées (noir brillant, blanc brillant et miroir), Acova Versus bénéficie d’un design épuré et intemporel qui s’adapte idéalement dans toutes les salles de bains contemporaines. Les serviettes sont cachées au dos du radiateur : fini les serviettes mal rangées ! Cette fonction contribue à valoriser le design épuré et les finitions en verre du radiateur. Le confort programmable Acova Versus procure une chaleur douce et une mise en chauffe rapide. Sa programmation et son pilotage s’effectuent soit via l’interface tactile intégrée sur la face avant du radiateur (3 niveaux de température au choix, fonction boost et verrouillage) soit par la télécommande infrarouge à distance (programmation hebdomadaire, sélection de modes, détection/ ouverture de fenêtre, mise en marche forcée). Il est compatible fil pilote 6 ordres. http://www.acova.fr
Il y a 5 ans et 23 jours

Qui est le nouveau directeur communication d'Hager ?

CARNET-NOMINATION. Hager group, spécialiste des solutions électriques, a nommé un nouveau directeur de la communication et des relations publiques. Détails.
Il y a 5 ans et 23 jours

Conflit entre le Conseil supérieur du notariat et la Fnaim

JUSTICE. L'affaire date de plusieurs mois, mais elle n'a été rendue publique que ce lundi. Le Conseil supérieur du notariat a assigné en référé la Fnaim pour que cesse l'utilisation d'un panonceau ressemblant, selon le CSN, à celui des notaires. La Fnaim a réagi.
Il y a 5 ans et 23 jours

Le second tour des élections municipales fixé au 28 juin 2020

SCRUTIN. Même si plus de 30.000 communes françaises ont déjà pu installer leur nouveaux conseils municipaux suite au premier tour organisé le 15 mars dernier, environ 5.000 agglomérations et 1.100 intercommunalités sont toujours paralysées par l'absence d'exécutifs. Sauf retournement de situation, le second tour du scrutin devrait donc se tenir le 28 juin prochain.
Il y a 5 ans et 23 jours

Reprise des chantiers : le dilemme des artisans face aux surcoûts

ACTIVITÉ. La reprise d'activité pour les artisans est une bonne nouvelle. Mais elle les place devant un dilemme, entre la hausse des coûts liés aux pratiques sanitaires, et le fait de vouloir conserver leur clientèle.
Il y a 5 ans et 23 jours

Covid-19 : le point sur les dispositifs pour les entreprises en difficulté

Au total, l'exécutif a déployé 450 milliards d'euros d'aides et de garanties de l'État, selon le ministre de l’Économie Bruno Le Maire. Le point sur les principaux dispositifs et les conditions pour en bénéficier. Le fonds de solidaritéPour aider les plus petites entreprises victimes de la crise, l'Etat a mis en place un fonds de solidarité doté de 7 milliards d'euros. Le premier volet de ce dispositif prévoit de compenser jusqu'à 1.500 euros la perte de chiffre d'affaires des très petites entreprises (TPE), des indépendants, micro-entrepreneurs et professions libérales.Pour en bénéficier, ces sociétés doivent notamment avoir fait l'objet de fermetures administratives, réaliser un chiffre d'affaires de moins un million d'euros et employer moins de 10 personnes.Le deuxième volet permet aux entreprises connaissant le plus de difficultés d'obtenir quant à elles jusqu'à 5.000 euros d'aide complémentaire versée par les régions.Plus spécifiquement pour les secteurs à l'arrêt comme l'hôtellerie, la restauration ou l'événementiel, l'aide est portée jusqu'à 10.000 euros et l'accès au fonds prolongé jusqu'à fin 2020.Le prêt garanti par l’État (PGE)Toutes les entreprises, quelle que soit leur taille ou leur forme juridique, ayant des difficultés de trésorerie, peuvent en faire la demande auprès de leur banque. Annoncés fin mars, les prêts garantis par l'Etat pourront atteindre au total 300 milliards d'euros, soit l'équivalent de 15% du produit intérieur brut (PIB) français.Ce qui veut dire qu'en cas de non-remboursement, l'État prendra à sa charge la majeure partie du reste du crédit à rembourser. Seules sont exclues de ce dispositif certaines sociétés civiles immobilières, les établissements de crédit et les sociétés de financement.Depuis le lancement du PGE, les banques françaises ont comptabilisé environ 80 milliards d'euros de demandes, pour un demi-million de prêts, a précisé jeudi Bruno Le Maire au Figaro.L'activité partielleSelon une estimation du ministère du Travail fin mai, le cumul des demandes d'autorisation de chômage partiel a atteint 12,7 millions depuis le 1er mars, tandis que 8,6 millions de salariés auraient bénéficié du dispositif qui a jusqu'ici permis d'éviter une explosion du chômage en France.Les salariés du privé mis au chômage partiel par leur entreprise bénéficient actuellement d'une garantie de 84% du salaire net (100% au niveau du Smic), que l’État et l'assurance chômage remboursent intégralement aux employeurs dans la limite de 4,5 Smic.En raison du déconfinement, le gouvernement a toutefois prévu que les entreprises contribuent dans des "proportions raisonnables" aux salaires des employés maintenus au chômage partiel, après le 1er juin, l'objectif étant d'inciter à la reprise d'activité.En revanche, le recours à l'activité partielle pour les entreprises du tourisme et de la restauration sera possible jusqu'à au moins fin septembre, "dans les mêmes conditions qu'aujourd'hui", a précisé le Premier ministre.Le report des chargesDepuis le 15 mars, les entreprises en difficulté ont la possibilité de décaler de trois mois la date de paiement de leurs cotisations sociales, sans pénalité. Très sollicités, ces reports s'élevaient à 17 milliards d'euros début mai, selon le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin. Ce bilan provisoire concerne les charges sociales des régimes général, agricole et Agirc-Arcco.Côté fiscal, les entreprises ont également la possibilité de demander le report de l'impôt sur les sociétés ou les taxes sur les salaires auprès de la Direction générale des finances publiques (Dgfip).Les charges pour les entreprises de moins de 10 salariés ayant fait l'objet d'une fermeture administrative depuis le 15 mars, sont elles supprimées.
Il y a 5 ans et 23 jours

Le Groupe Legendre a un nouveau directeur des grands projets

NOMINATION. François Burel, passé par la direction immobilière de la SNCF et BNP Paribas Immobilier notamment, a rejoint les équipes de Legendre Immobilier.
Il y a 5 ans et 23 jours

La Cour des comptes recommande un nouveau "fonds bois" pour la construction

Dans un rapport sur la filière bois commandé par la commission des finances de l'Assemblée nationale et publié le 25 mai, la Cour estime qu'un tel fonds, géré par Bpifrance, pourrait notamment permettre de soutenir la production de CLT.
Il y a 5 ans et 23 jours

Un nouveau directeur pour Wavin France et Iberia

Antoine Zenone rejoint le groupe spécialisé dans les canalisations plastiques.
Il y a 5 ans et 23 jours

Les assemblées générales virtuelles des copropriétés pourront être généralisées

"Je vais présenter tout à l'heure en conseil des ministres un bout de texte législatif qui va permettre de rendre possible les AG de copropriétaires, mais de matière dématérialisée: par visioconférence, par téléphone", a déclaré sur Sud Radio le ministre du Logement, Julien Denormandie.Les assemblées générales sont essentielles au bon fonctionnement d'une copropriété, car c'est là que les propriétaires décident des frais à engager, en particulier les travaux. Ils s'y prononcent aussi pour renouveler ou non le mandat du syndic, l'organisme généralement professionnel qui gère la copropriété pour leur compte.Le gouvernement avait déjà accédé à une demande des syndics en prolongeant de plusieurs mois les mandats qui devaient arriver à échéance pendant la crise, les assemblées ne pouvant se tenir alors qu'un strict confinement était imposé aux Français.Mais le secteur voulait aller plus loin en permettant que les AG se tiennent à distance, dans l'idée qu'il sera impossible d'en organiser suffisamment tout en respectant les restrictions sanitaires contre le coronavirus. Les rassemblements publics de plus de dix personnes sont ainsi exclus pour l'heure.La participation à distance est déjà une possibilité si la copropriété le décide, mais une telle mesure nécessite d'être elle-même adoptée lors d'une précédente assemblée générale. Pour éviter une situation inextricable, le gouvernement va donc généraliser temporairement cette possibilité."On va le rendre possible à partir de début juin", a déclaré M. Denormandie. Le ministère a précisé à l'AFP que la mesure courrait jusqu'au 31 janvier 2021.
Il y a 5 ans et 23 jours

Ingénierie, une reprise à la peine malgré le déconfinement

Les entreprises d’ingénierie sont désormais 86% à enregistrer une baisse des prises de commandes (vs. 70% il y a deux semaines) selon le 2e Baromètre Covid-19 de l’ingénierie proposé par Syntec Ingénierie.
Il y a 5 ans et 23 jours

Estudio Persona : Connection

Pour sa dernière collection de meubles baptisée « Connection », le duo du studio de design Estudio Persona imagine des pièces sculpturales aux tonalités sobres en bois, métal ou tissu mohair. Installées aux États-Unis après avoir grandi en Amérique du Sud, deux créatrices uruguayennes, la designeuse industrielle Emiliana Gonzalez et l’artiste Jessie Young, ont fondé leur studio en 2014 à Los Angeles (Californie). Ensemble, elles travaillent depuis des matériaux industriels ou organiques, et dessinent des chaises, des fauteuils, des luminaires, des tables ou des objets, dont les teintes naturelles et les lignes épurées sont inspirées de leur Uruguay natal. Les pièces de leur dernière collection témoignent de leur volonté de redorer l’image du design sud-américain. Pour « Connection », Emiliana Gonzalez et l’artiste Jessie Young ont privilégié des couleurs unies, des belles matières et des formes simples. La série rassemble ainsi des tables-basses en bois clair ou foncé, des chaises et des fauteuils confortables habillés de tissu mohair respectivement vert ou orange, ainsi qu’une lampe en acier noirci, également disponible en laiton. Avec ces nouvelles créations, Emiliana Gonzalez et Jessie Young séduisent une nouvelle fois collectionneurs et galeries. Pour en savoir plus, visitez le site de Estudio Persona.Photographies : © Estudio PersonaLéa Pagnier