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Toute l'actualité du bâtiment

256742 actualités disponibles
Il y a 5 ans et 22 jours

Le gouvernement parie sur une reprise totale des chantiers d'ici fin mai

L'activité a redémarré sur 72% des chantiers, a déclaré le ministre du Logement Julien Denormandie, alors que le gouvernement vise une reprise totale avant la fin du mois dans le secteur.
Il y a 5 ans et 22 jours

A Rouen, le campus de Mont-Saint-Aignan promis à la démolition

Peut-être ce livre se serait-il appelé Naissance d’un pont, si le titre n’avait pas déjà été pris par Maylis de Kerangal pour son roman. Quoi qu’il en soit, "Autopsie d’un pont" retrace parfaitement l’aventure de la construction du pont de Gênes, dont on connaît la fin tragique, le 14 août 2018, son […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 22 jours

Covid-19 : sur l’usage de la ventilation et de la climatisation

Compte tenu de la situation actuelle et des interrogations concernant l’usage de la ventilation et de la climatisation dans le contexte de la pandémie Covid-19, Uniclima, l’Afpac et le Snefcca ont travaillé conjointement à la rédaction d’une foire aux questions (FAQ) afin d’informer sur les préconisations à respecter.
Il y a 5 ans et 22 jours

Rabot Dutilleul Construction assure une reprise progressive de ses chantiers en toute sécurité

Une décision qui a pour objectif de soutenir l'activité de l'entreprise en cette période difficile. La nouvelle gouvernance de l'entreprise, qui prendra ses fonctions à compter du 17 avril aura également à cœur de relever les défis d'aujourd'hui et répondre aux enjeux de demain.Redémarrer rapidement au moins un chantier par Région d'implantationC'est l'objectif que s'est fixé Rabot Dutilleul Construction pour cette reprise progressive de l'activité. Sont ainsi concernés les chantiers des Grands Moulins de Paris et de Jean Macé dans les Hauts-de-France ; la réhabilitation en logements des anciens hôpitaux Villemin Maringer Fournier à Nancy, le CROUS de Strasbourg, un EHPAD et un service de soins à domicile à Moyenmoutier (88) dans le Grand Est ; ainsi qu'un chantier de logements à Massy en Ile-de-France. L'Ile-de-France où Rabot Dutilleul Construction a par ailleurs assuré vendredi dernier la livraison du nouveau plateau médico-chirurgical de l'hôpital Henri Mondor qui compte notamment un service de réanimation d'une capacité de 55 chambres, ainsi qu'un service dédié aux soins critiques avec 30 chambres de surveillance continue.« Je tiens ici à saluer l'engagement de l'équipe du chantier de l'hôpital Henri Mondor qui a montré un grand professionnalisme et a travaillé 7j/7 pour pouvoir mettre à disposition des chambres pour les patients atteints de Covid-19 », déclare Frank Fessenmayer, Directeur régional de Rabot Dutilleul Construction en Ile-de-France.Une reprise dans le respect des conditions sanitairesLa sécurité des compagnons et de l'encadrement des chantiers est une priorité pour Rabot Dutilleul Construction qui a adopté des mesures de prévention afin de protéger la santé des collaborateurs et de les inciter à veiller sur leur santé, leur sécurité et celle de leur entourage. Un guide interne « Covid RDC » basé sur le guide de l'OPPBTP, a ainsi été diffusé auprès de toutes les équipes: port du masque, de gants, mise à disposition de gel hydroalcoolique, nettoyage des équipements,… sont autant de mesures à mettre en œuvre pour assurer une reprise des chantiers en toute sécurité. Des postes de « Chargé de Prévention Covid » ont également été créés au sein de l'entreprise pour garantir la sécurité sanitaire des personnels présents et entrants sur chaque chantier. Nomination d'une nouvelle gouvernanceA compter du 17 avril 2020, une nouvelle gouvernance sera mise en place chez Rabot Dutilleul Construction pour prendre en main l'entreprise dans la période critique, organiser la reprise et poursuivre le déploiement de la stratégie engagée. Frédéric STERNHEIM est nommé Président de Rabot Dutilleul Construction. Patrick ADAM prend la direction générale de Rabot Dutilleul Construction et remplace Thierry GEFFROY. Arnaud MERVEILLE est nommé Directeur Administratif et Financier de Rabot Dutilleul Construction.Cette équipe de tête apporte toutes ses compétences à l'entreprise pour poursuivre sa transformation en cohérence avec le plan stratégique « Demain 2025 ». En cette période particulière, elle s'attachera également à mettre en œuvre toutes les solutions permettant de passer cette crise en assurant la reprise des chantiers, le pilotage actif de la trésorerie, mais aussi en réfléchissant à de nouveaux modèles. Pour cela, Rabot Dutilleul Construction peut s'appuyer sur son savoir-faire et ses compétences centenaires, des technologies performantes, des collaborateurs engagés et un carnet de commandes solide de 400 millions d'euros en construction en France.
Il y a 5 ans et 22 jours

Grand Paris Express: un groupement mené par Vinci remporte un contrat

La Société du Grand Paris (SGP) a attribué à un groupement d'entreprises mené par Vinci un contrat de 799 millions d'euros pour la construction d'un tronçon sur la ligne 18 du réseau de métro francilien
Il y a 5 ans et 22 jours

Trêve hivernale jusqu'en octobre dans les logements sociaux parisiens

La mairie de Paris va prolonger la trêve hivernale "jusqu'en octobre" dans les logements sociaux pour les locataires qui "n'arrivent pas à payer leur loyer".
Cimbat
Il y a 5 ans et 22 jours

Décret tertiaire, arrêté du 10 avril 2020 – Quelles sont les modalités d’application relatives aux actions de réduction des consommations d’énergie ?

Suite à la publication du décret tertiaire en juillet 2019, tous les bâtiments à usage tertiaire (bureaux professionnels, commerces, établissement d’enseignement, établissement de santé, locaux sportifs, locaux culturels, entrepôts, etc) d’une superficie supérieure ou égale à 1 000 m² ont maintenant l’obligation de réduire leur consommation d’énergie finale. Le 10 avril 2020, un nouvel arrêté est paru précisant : Les conditions de modulation des objectifs en fonction du secteur d’activité, Les modalités d’ajustement de la consommation d’énergie finale en fonction des variations climatiques, du volume d’activité, … Les éléments à fournir (pièces justificatives) et le contenu du dossier technique à transmettre sur la plateforme OPERAT, Les dispositions relatives à la plateforme OPERAT, au recueil et au suivi des données de consommation d’énergie. I- Rappel sur le décret tertiaire a. Les objectifs de réduction des consommations d’énergie Les bâtiments à usage tertiaire d’une superficie d’un minimum de 1 000 m² auront pour obligation de réduire la consommation de leur(s) bâtiment(s) de -40 % d’ici 2030, -50 % d’ici 2040 et -60 % d’ici 2050 en fonction de l’année de référence choisie par l’assujetti. L’année de référence doit correspondre à une année pleine d’exploitation antérieure à 2010. Cette année sera en générale l’année pour laquelle la consommation aura été la plus élevée. b. Les dates à retenir Différentes dates sont déjà fixées par le décret tertiaire. Première transmission des données de consommation en septembre 2021 sur la plateforme OPERAT. Premier audit de vérification d’atteinte de l’objectif de -40 % en décembre 2031. Second audit concernant l’objectif de -50 % en décembre 2041. Troisième audit concernant l’objectif de -60 % en décembre 2051. c. Les sanctions encourues En cas de non-transmission des données, un dispositif de Name & Shame sera mis en place pour dénoncer les personnes n’ayant pas respectées l’obligation de transmission. En cas de non-atteinte des objectifs, une mise en demeure sera effectuée et les obligés risqueront 1 500 € à 7 500 € d’amende. II- Décryptage de l’arrêté du 10 avril 2020 suite au décret tertiaire a. Modulation des objectifs en fonction des catégories d’activité Le niveau de consommation sera exprimé en valeur absolue par catégorie d’activité recensée et pour l’ensemble de ses usages énergétiques. À savoir, que le niveau de consommation d’énergie finale fixé en valeur absolue, exprimé en kWh/an/m² d’énergie est noté Cabs. Le niveau d’énergie finale noté Cabs est constitué de deux composantes : Cabs = CVC+USE CVC, qui correspond à la consommation énergétique relative à l’ambiance thermique et à la ventilation des locaux, définie pour chaque catégorie d’activité en fonction de la zone climatique et de l’altitude, USE, qui correspond à la consommation énergétique relative aux usages spécifiques énergétiques propres à l’activité.  b. Modalités d’ajustement de la consommation d’énergie finale Ajustement des données de consommation d’énergie finale en fonction des variations climatiques. Les données climatiques prises en compte sont celles de la station Météo France la plus proche du site concerné. Cet ajustement est effectué sur la base de Degré Jour Unifié de la station météo de référence. La plateforme OPERAT affecte automatiquement la station météo de référence du département dans lequel le bâtiment se situe. L’assujetti doit renseigner sur la plateforme de suivi les valeurs des indicateurs d’intensité d’usage relatives aux activités du site. Ensuite, une modulation automatique est effectuée par la plateforme en fonction du volume d’activité. c. Contenu à fournir pour le dossier technique Ce dossier technique permet de justifier les modulations des objectifs. Il devra couvrir tous les usages énergétiques des bâtiments (chauffage, refroidissement, ventilation, éclairage, eau chaude sanitaire et tous les autres usages spécifiques à l’activité). Le dossier technique permet à l’assujetti d’identifier la situation de référence du bâtiment ou parc de bâtiments, d’identifier les contraintes techniques, architecturales ou patrimoniales, d’élaborer un programme d’actions pour l’atteinte des objectifs de réduction des consommations et de moduler éventuellement le plan d’actions. Le dossier technique doit donc être composé : D’une étude énergétique sur les actions d’amélioration de la performance énergétique et environnementale du bâtiment réalisée par un prestataire ou personnel justifiant de compétences en énergétique du bâtiment, D’une étude énergétique portant sur les actions visant à réduire les consommations des équipements liés aux usages spécifiques, D’une identification des actions portant sur l’adaptation des locaux à usage économe et sur la sensibilisation des occupants, Et d’un programme d’actions permettant d’atteindre les objectifs de réduction des consommations d’énergie finale. d. Dispositions relatives à la plateforme de recueil et de suivi La plateforme OPERAT, de transmission des données a été mise en place par l’agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME). Chaque porteur de projet, assujetti est donc responsable de fournir les informations à l’ADEME pour chaque bâtiment(s) ou partie de bâtiments. Cette plateforme permettra aux assujettis de déclarer leur patrimoine, de renseigner l’année de référence choisie, de renseigner ses consommations d’énergie finale annuelle, de modifier ses indicateurs d’intensité d’usage, d’intégrer son plan d’actions, d’accéder aux statistiques relatives à son patrimoine, de saisir des paramètres pour appliquer une correction… III- Les solutions pour répondre au décret tertiaire Afin d’anticiper le décret tertiaire et de préparer la première transmission des données en septembre 2021, vous pouvez d’ores et déjà agir : Définissez qui sera le porteur de projet entre le bailleur et le locataire, Faites-vous aidez par un Energy Manager pour choisir votre année de référence sur laquelle l’ADEME se basera pour vérifier l’atteinte des objectifs, Faites appel à un Energy Manager pour réaliser l’audit énergétique de votre bâtiment ou parc de bâtiments, cela permettra d’avoir une analyse détaillée et d’établir votre plan d’actions, Déployez un système de management de l’énergie selon la norme ISO 50001 qui répond aux enjeux de réduction des consommations d’énergie et qui vous permettra d’identifier les gisements d’économie d’énergie. Envoyez vos données de consommation automatiquement sur la plateforme OPERAT via un système de management de l’énergie. Contactez notre équipe pour échanger avec une Energy Manager et mettre en place un système de suivi des consommations.
Il y a 5 ans et 22 jours

BDR Thermea Group devient pionnier de la production d'hydrogène vert avec un centre R&D en Italie

Bassano del Grappa, lieu d'autoproduction d'hydrogène vert Bassano del Grappa, en Italie, est le site de la plus grande usine de production de BDR Thermea. Depuis 2018, le groupe produit sa propre électricité à Bassano del Grappa grâce à 6 000 m² de panneaux solaires sur le toit de son usine. Cette électricité alimente déjà la production d'environ 4 000 chaudières par jour, évitant ainsi le rejet de plus de 400 tonnes de CO² par an.Aujourd'hui, un équipement d'électrolyse a été installé à Bassano en Italie. Il transforme l'électricité de ses panneaux photovoltaïques en hydrogène. Cet hydrogène sera utilisé pour tester et piloter le développement de prototypes de mélange 100% hydrogène et hydrogène/gaz naturel dans le centre de R&D dédié à la technologie des chaudières à hydrogène pour tout le groupe.« Permettre la transition énergétique mondiale est la force motrice de BDR Thermea Group. L'autoproduction d'hydrogène vert de Bassano en est un autre exemple concret. Nous avons créé une chaîne énergétique durable complète : nous produisons de l'électricité solaire, nous l'utilisons pour transformer l'eau en hydrogène par électrolyse, puis nous utilisons cet hydrogène pour alimenter nos nouvelles innovations dans nos chaudières d'essai à hydrogène », déclare Peter Snel, directeur technique de BDR Thermea Group.BDR Thermea Group à la pointe de la technologie des chaudières à hydrogène L'intérêt pour l'hydrogène dans les appareils de chauffage domestique est en forte croissance dans l'UE, où 40% de la consommation d'énergie primaire est utilisée pour le confort thermique et l'eau chaude sanitaire. L'hydrogène peut être stocké pendant de plus longues périodes pour pallier les fluctuations saisonnières.Depuis juin 2019, BDR Thermea Group pilote la première application réelle de sa chaudière à hydrogène à haut rendement et à 100%, conçue et développée à Bassano del Grappa en Italie ainsi qu'à Rozenburg aux Pays-Bas. En novembre dernier, le groupe est devenu la première entreprise en Europe à recevoir la certification pour l'utilisation d'un mélange d'hydrogène dans les chaudières domestiques aux Pays-Bas. De plus, la société participe au programme britannique Hy4Heat et explore activement des projets pilotes sur l'hydrogène partout en Europe.« Chez BDR Thermea Group, nous aidons à décarboner le chauffage et à permettre la transition vers des énergies durables. C'est pourquoi nous investissons considérablement dans des solutions telles que les chaudières à hydrogène et les pompes à chaleur », explique Bertrand Schmitt, PDG de BDR Thermea Group.
Il y a 5 ans et 23 jours

L'EPA Sénart recrute urbanistes et paysagistes

L’établissement public d’aménagement de Sénart (EPA Sénart) recrute cinq équipes pluridisciplinaires d’urbanistes et de paysagistes afin de coordonner 23 projets urbains, répartis sur l'ensemble du territoire de l’opération d’intérêt national de Sénart et au-delà, en […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 23 jours

A Chongqing, signée IDO, l’école primaire est un village

L’agence IDO (Init Design Office), fondée à Chongqing par Zong Dexin, Su Yunfeng et Chen Jun en 2012, a livré début 2019 une école primaire de neuf classes, chacune devenant une « maison » d’un village destiné à développer l’esprit d’exploration des enfants. Paradis scolaire pour bambins ? Communiqué. Cette école primaire est située à Yorkville North, un […] L’article A Chongqing, signée IDO, l’école primaire est un village est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 23 jours

Diffusion en ligne des nouveaux cours de Jean-Louis Cohen sur Mies van der Rohe

Les cours Mies van der Rohe et la construction de la métropole, de Berlin à Chicago, qui devaient être dispensés par Jean-Louis Cohen au Collège de France à Paris du 6 mai au 1er juillet 2020, seront disponibles en ligne à partir du mercredi 27 mai à 18h. Ces neuf cours invitent à découvrir ou redécouvrir l’histoire et l’œuvre d’un architecte né Allemand, comptant parmi les plus célèbres du XXe siècle. Ces cours enregistrés et diffusés en ligne sur le site internet du Collège...
Il y a 5 ans et 23 jours

De nouvelles serres en toiture déployées en Europe

Serre en toiture, Université Autonome de Barcelone, Espagne. Photos : CSTBCombien d'énergie, d'eau et d'émissions CO2 peuvent-elles être économisées grâce aux serres en toiture ? Les avantages de ces dispositifs sont analysés par onze partenaires européens de cinq pays, dont le CSTB pour la France, dans le cadre du projet GROOF (programme Interreg North-West Europe). À l'issue d'une phase d'étude de la situation actuelle, le consortium s'est engagé dans la réalisation de quatre serres en toiture et dans l'accompagnement de dix projets en Europe. Ceux-ci vont permettre d'identifier les bonnes pratiques en matière d'agriculture urbaine sur les toits, et de contribuer au développement des techniques en faveur de l'adaptation des villes au changement climatique. Atouts des installations Deux ans de travaux (2017-2019) ont permis de dresser un bilan des serres sur le toit, actuellement installées en milieu urbain à l'échelle Nord-Ouest européenne. Ce bilan s'appuie sur une étude du contexte et sur l'analyse de serres en toiture existantes, sur l'ensemble de leur cycle de vie. Le bilan a quantifié les avantages des serres installées en toitures, selon quatre axes : technique (construction et bâtiment), énergétique et environnemental, botanique (gamme de plantes) et économique. Il met en avant leurs atouts : l'utilisation de l'eau de pluie pour irriguer les cultures ; la réduction des émissions de CO2 dans la construction et l'exploitation du bâti, et dans la distribution de la production de la serre ; l'utilisation d'une part de la déperdition thermique de toiture pour chauffer la serre ; l'augmentation de la valeur patrimoniale du bâtiment. Bien évidemment très variable selon les situations, ce bilan met en évidence des impacts potentiels en matière d'économie d'énergie et de diminution des émissions de CO2, impacts qu'il s'agit de confronter à la réalité. Projets pilotes Le consortium d'experts scientifiques et techniques de GROOF s'attache désormais à démontrer l'intérêt d'installer des serres sur les toits, au travers de projets pilotes. Pour cela, il pilote de A à Z la construction et le pilotage de quatre serres en toiture, au Luxembourg (Bettembourg), en Belgique (Liège, province de Liège), en Allemagne (Bürstadt, Land de Hesse) et en France (Saint-Denis, Île-de-France). À ce jour, les permis de construire ont été validés. Quand les serres seront construites et en service, des mesures seront menées pendant un an. La mise en place des serres pilotes devrait permettre une économie de 300 tonnes de CO2/an d'ici à septembre 2021 (fin du projet GROOF) et de 2 millions de tonnes dix ans après. En outre, le consortium accompagne les porteurs de dix projets de serres sur le toit (conception et réalisation) dans cinq pays. La sélection des projets, dans le cadre d'un appel à candidature européen, a été mené en septembre 2019 avec le jury de GROOF dont le CSTB a fait partie. Cinq de ces projets, menés en France, sont désormais coachés par le CSTB : Toits vivants à Arcueil ; Jardins perchés à Tours ; Yncrea - Le Palais Rameaux à Lille ; Culinea Hortus à Paris ; Symbiose à Nantes. Retours d'expérience Les retours d'expérience, liés à la réalisation de serres pilotes, permettent d'identifier les solutions les plus pérennes et pertinentes et d'éviter les écueils sur les plans : technique : structure porteuse, appareillage pour optimiser énergie, systèmes de culture, etc. ; réglementaire : hauteur du bâtiment (PLU), éclairage nocturne, sécurité des personnes (accueil du public), risques sanitaires, etc. ; économique (modèle d'affaire). Au travers de ces expérimentations, les experts évaluent également l'intérêt mais aussi les problèmes potentiels de chaque solution selon l'usage de la serre : serre productive pour circuit court ; serre expérimentale pour développer une gamme végétale ou pour tester un dispositif d'économie des flux (eau, énergie) ; serre communautaire pour créer du lien ou pour former aux pratiques agricoles urbaines. Guide pratique Les partenaires européens du projet GROOF sont actuellement engagés dans la rédaction d'un guide de bonnes pratiques ; sa publication est prévue fin 2020. Destiné à l'ensemble des acteurs de la ville, de la construction et de l'agriculture, ce guide leur fournira une aide concrète pour réduire la consommation d'énergie et les émissions de CO2 issues du bâtiment, grâce aux serres sur les toits. Il les accompagnera pour cela dans le choix de solutions pérennes et adaptées. Concrètement, ce guide comportera par exemple des recommandations concernant les solutions techniques privilégiées, le choix des gammes végétales, les règles du marché à respecter, et les modèles d'affaires pertinents. En savoir plus : GROOF (2017-2021) : projet R&D européen pour la construction de serres sur les toits Site du projet GROOF (Greenhouses to Reduce CO2 on Roofs) Tous les projets de serres en toiture (rubrique Coaching)
Il y a 5 ans et 23 jours

Urmet se renforce dans les solutions de sécurité pour le tertiaire

RACHAT. Le spécialiste des solutions de sécurité pour les bâtiments, Urmet, a acquis un fabricant de solutions de contrôle d'accès, alarme intrusion, protection bancaire. Découvrez lequel.
Il y a 5 ans et 23 jours

La France va devoir faire face à son tour aux faillites et licenciements

La crise du Covid-19 a mis un coup d'arrêt brutal à l'économie partout dans le monde. Et les conséquences ne se sont pas fait attendre dans certains pays.Exemple emblématique: les États-Unis où le taux de chômage a explosé, atteignant 14,7% en avril, contre 3,5% en février, soit son plus bas niveau depuis 50 ans. Au total, 38,6 millions de personnes ont demandé une allocation chômage depuis l'arrêt de l'économie mi-mars.En Amérique latine, 11,5 millions de personnes supplémentaires vont être au chômage en 2020, en raison de la pandémie, selon un récent rapport de deux agences onusiennes.La France semblait jusqu'à présent relativement épargnée. Le nombre de chômeurs a certes progressé de 7,1% sur un mois en mars, mais cela s'explique essentiellement par le non-renouvellement de CDD, missions d'intérim ou de reports/annulations d'embauches.Principal rempart de protection contre les vagues de licenciements: la prise en charge par l’État du chômage partiel, un dispositif dont 8,6 millions de salariés auraient bénéficié, selon une estimation du ministère du Travail."L’État n'a pas hésité à dépenser", il s'agit d'une "mesure très centrale du soutien à l'économie qui a permis de sauvegarder des emplois", a observé auprès de l'AFP Anne Eydoux, maîtresse de conférences d'économie au Cnam et membre des Économistes atterrés.Le gouvernement souhaite toutefois réduire progressivement à partir de juin ce dispositif de soutien au chômage partiel, une mesure à laquelle s'oppose notamment le Medef. De son côté, la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) demande d'attendre septembre avant une réduction "sensible" de la prise en charge, s’attendant à des licenciements.Le sort du pays va en effet se noircir: "Il y aura des faillites et il y aura des licenciements dans les mois qui viennent", a prévenu sur Europe 1 le ministre de l'Économie Bruno Le Maire.Entreprises "non profitables"Les faillites vont se produire "petit à petit", mais il est "extrêmement compliqué" d'anticiper précisément à quoi s'attendre, a indiqué à l'AFP Eric Heyer, directeur du département analyse et prévision de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE). Selon lui, le nombre de disparitions d'entreprises dépendra notamment du retour ou non de la consommation et du soutien que le gouvernement proposera aux entreprises."La capacité de rebond de la demande est plus forte en France qu'ailleurs, puisque les ménages ont un revenu qui s'est mieux maintenu", grâce au chômage partiel, a relevé M. Heyer."La consommation va repartir dans certains secteurs qui pourront rattraper une partie du retard, mais pas dans d'autres où la facture va s'alourdir", a-t-il cependant expliqué.Le tourisme, l'hôtellerie et la restauration, encore à l'arrêt, sont particulièrement en danger, ainsi que certaines branches industrielles, telles que l'automobile et l'aéronautique, pour lesquelles le gouvernement doit présenter prochainement des plans de soutien spécifiques.Les petites entreprises sont menacées tout comme de grands fleurons français, à l'instar de Renault - qui "joue sa survie", selon les mots de Bruno Le Maire.Autre difficulté pour les sociétés: les mesures sanitaires entraînent des coûts supplémentaires et ralentissent la production. "Beaucoup d'entreprises - mais c'est très difficile à chiffrer aujourd'hui - vont devenir non profitables pour une durée que ni vous ni moi on sait estimer", a souligné lors d'une audition à l'Assemblée nationale le patron du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, prévoyant également des faillites.Face à ces difficultés qui se profilent, les syndicats sont déjà en alerte.La CFDT, qui s'attend à ce que la crise soit sévère, appelle notamment à une "mobilisation générale sur l'emploi". De son côté, FO réclame "un contrôle strict des procédures de suppressions d'emplois, afin d'empêcher les licenciements quand une entreprise a bénéficié ou bénéficie d'aides publiques en particulier".
Il y a 5 ans et 23 jours

Début des négociations entre la France et l'UE sur les fonds européens 2021-2027

RELANCE. Jacqueline Gourault et Amélie de Montchalin, respectivement ministre de la Cohésion des territoires et secrétaire d'Etat aux Affaires européennes, ainsi que Renaud Muselier, président de Régions de France, ont amorcé les négociations avec la Commission européenne sur le déblocage des fonds communautaires pour la période 2021-2027. Avec un espoir de mobilisation pour répondre à la crise du coronavirus.
Il y a 5 ans et 23 jours

Modernisé, ce triplex parisien retrouve volume, style et cachet

DIAPORAMA. Ce grand appartement avait besoin d'être rafraîchi et réorganisé en profondeur pour accueillir ses nouveaux propriétaires. Aéré et subtilement modernisé, il a gagné de vastes pièces de vie et un style savamment travaillé, entre ancien et moderne.
Il y a 5 ans et 23 jours

L'OPH de Bobigny annule les loyers d'avril

LOGEMENT SOCIAL. Comme elle l'avait annoncé en avril, la mairie de Bobigny a fait voter par l'Office public de l'habitat (OPH) municipal l'annulation des loyers d'avril. Une décision qui doit encore passer le contrôle de légalité du préfet.
GDA
Il y a 5 ans et 23 jours

Radiateurs sèche-serviettes électriques Acova Versus : les serviettes jouent à cache-cache dans la salle de bains

Plaçant l’innovation au service du bien-être, Acova dévoile, dans sa Collection Signature, son nouveau radiateur sèche-serviettes électrique Acova Versus. Avec sa façade lisse en verre chauffant et ses barres porte-serviettes rétractables à l’arrière de l’appareil, Acova Versus allie design, confort et astuces de rangement dans la salle de bains. L’innovation au service du bien-être et de l’accessibilité Proposé dans deux hauteurs (1,50 m et 1,75 m), une largeur (47,5 cm) et deux puissances (600 et 750 watts), Acova Versus se compose d’une surface en verre de sécurité feuilleté (2 x 4 mm) qui intègre un panneau chauffant électrique. Astucieux, il est équipé de 1 ou 2 barres porte- serviettes rétractables positionnées à l’arrière de l’appareil pour un séchage des serviettes en toute discrétion. Par simple appui sur leur extrémité, les barres porte-serviettes s’ouvrent sur le côté du radiateur, à droite ou à gauche, de façon symétrique ou asymétrique au choix. Pratique au quotidien pour poser, ranger et prendre les serviettes facilement, cette fonction permet également au radiateur de s’adapter aux contraintes d’espace et d’aménagement des salles de bains. Un design minimaliste épuré et intemporel Avec sa façade lisse en verre et les trois finitions proposées (noir brillant, blanc brillant et miroir), Acova Versus bénéficie d’un design épuré et intemporel qui s’adapte idéalement dans toutes les salles de bains contemporaines. Les serviettes sont cachées au dos du radiateur : fini les serviettes mal rangées ! Cette fonction contribue à valoriser le design épuré et les finitions en verre du radiateur. Le confort programmable Acova Versus procure une chaleur douce et une mise en chauffe rapide. Sa programmation et son pilotage s’effectuent soit via l’interface tactile intégrée sur la face avant du radiateur (3 niveaux de température au choix, fonction boost et verrouillage) soit par la télécommande infrarouge à distance (programmation hebdomadaire, sélection de modes, détection/ ouverture de fenêtre, mise en marche forcée). Il est compatible fil pilote 6 ordres. http://www.acova.fr
Il y a 5 ans et 23 jours

Qui est le nouveau directeur communication d'Hager ?

CARNET-NOMINATION. Hager group, spécialiste des solutions électriques, a nommé un nouveau directeur de la communication et des relations publiques. Détails.
Il y a 5 ans et 23 jours

Conflit entre le Conseil supérieur du notariat et la Fnaim

JUSTICE. L'affaire date de plusieurs mois, mais elle n'a été rendue publique que ce lundi. Le Conseil supérieur du notariat a assigné en référé la Fnaim pour que cesse l'utilisation d'un panonceau ressemblant, selon le CSN, à celui des notaires. La Fnaim a réagi.
Il y a 5 ans et 23 jours

Le second tour des élections municipales fixé au 28 juin 2020

SCRUTIN. Même si plus de 30.000 communes françaises ont déjà pu installer leur nouveaux conseils municipaux suite au premier tour organisé le 15 mars dernier, environ 5.000 agglomérations et 1.100 intercommunalités sont toujours paralysées par l'absence d'exécutifs. Sauf retournement de situation, le second tour du scrutin devrait donc se tenir le 28 juin prochain.
Il y a 5 ans et 23 jours

Reprise des chantiers : le dilemme des artisans face aux surcoûts

ACTIVITÉ. La reprise d'activité pour les artisans est une bonne nouvelle. Mais elle les place devant un dilemme, entre la hausse des coûts liés aux pratiques sanitaires, et le fait de vouloir conserver leur clientèle.
Il y a 5 ans et 23 jours

Covid-19 : le point sur les dispositifs pour les entreprises en difficulté

Au total, l'exécutif a déployé 450 milliards d'euros d'aides et de garanties de l'État, selon le ministre de l’Économie Bruno Le Maire. Le point sur les principaux dispositifs et les conditions pour en bénéficier. Le fonds de solidaritéPour aider les plus petites entreprises victimes de la crise, l'Etat a mis en place un fonds de solidarité doté de 7 milliards d'euros. Le premier volet de ce dispositif prévoit de compenser jusqu'à 1.500 euros la perte de chiffre d'affaires des très petites entreprises (TPE), des indépendants, micro-entrepreneurs et professions libérales.Pour en bénéficier, ces sociétés doivent notamment avoir fait l'objet de fermetures administratives, réaliser un chiffre d'affaires de moins un million d'euros et employer moins de 10 personnes.Le deuxième volet permet aux entreprises connaissant le plus de difficultés d'obtenir quant à elles jusqu'à 5.000 euros d'aide complémentaire versée par les régions.Plus spécifiquement pour les secteurs à l'arrêt comme l'hôtellerie, la restauration ou l'événementiel, l'aide est portée jusqu'à 10.000 euros et l'accès au fonds prolongé jusqu'à fin 2020.Le prêt garanti par l’État (PGE)Toutes les entreprises, quelle que soit leur taille ou leur forme juridique, ayant des difficultés de trésorerie, peuvent en faire la demande auprès de leur banque. Annoncés fin mars, les prêts garantis par l'Etat pourront atteindre au total 300 milliards d'euros, soit l'équivalent de 15% du produit intérieur brut (PIB) français.Ce qui veut dire qu'en cas de non-remboursement, l'État prendra à sa charge la majeure partie du reste du crédit à rembourser. Seules sont exclues de ce dispositif certaines sociétés civiles immobilières, les établissements de crédit et les sociétés de financement.Depuis le lancement du PGE, les banques françaises ont comptabilisé environ 80 milliards d'euros de demandes, pour un demi-million de prêts, a précisé jeudi Bruno Le Maire au Figaro.L'activité partielleSelon une estimation du ministère du Travail fin mai, le cumul des demandes d'autorisation de chômage partiel a atteint 12,7 millions depuis le 1er mars, tandis que 8,6 millions de salariés auraient bénéficié du dispositif qui a jusqu'ici permis d'éviter une explosion du chômage en France.Les salariés du privé mis au chômage partiel par leur entreprise bénéficient actuellement d'une garantie de 84% du salaire net (100% au niveau du Smic), que l’État et l'assurance chômage remboursent intégralement aux employeurs dans la limite de 4,5 Smic.En raison du déconfinement, le gouvernement a toutefois prévu que les entreprises contribuent dans des "proportions raisonnables" aux salaires des employés maintenus au chômage partiel, après le 1er juin, l'objectif étant d'inciter à la reprise d'activité.En revanche, le recours à l'activité partielle pour les entreprises du tourisme et de la restauration sera possible jusqu'à au moins fin septembre, "dans les mêmes conditions qu'aujourd'hui", a précisé le Premier ministre.Le report des chargesDepuis le 15 mars, les entreprises en difficulté ont la possibilité de décaler de trois mois la date de paiement de leurs cotisations sociales, sans pénalité. Très sollicités, ces reports s'élevaient à 17 milliards d'euros début mai, selon le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin. Ce bilan provisoire concerne les charges sociales des régimes général, agricole et Agirc-Arcco.Côté fiscal, les entreprises ont également la possibilité de demander le report de l'impôt sur les sociétés ou les taxes sur les salaires auprès de la Direction générale des finances publiques (Dgfip).Les charges pour les entreprises de moins de 10 salariés ayant fait l'objet d'une fermeture administrative depuis le 15 mars, sont elles supprimées.
Il y a 5 ans et 23 jours

Le Groupe Legendre a un nouveau directeur des grands projets

NOMINATION. François Burel, passé par la direction immobilière de la SNCF et BNP Paribas Immobilier notamment, a rejoint les équipes de Legendre Immobilier.
Il y a 5 ans et 23 jours

La Cour des comptes recommande un nouveau "fonds bois" pour la construction

Dans un rapport sur la filière bois commandé par la commission des finances de l'Assemblée nationale et publié le 25 mai, la Cour estime qu'un tel fonds, géré par Bpifrance, pourrait notamment permettre de soutenir la production de CLT.
Il y a 5 ans et 23 jours

Un nouveau directeur pour Wavin France et Iberia

Antoine Zenone rejoint le groupe spécialisé dans les canalisations plastiques.
Il y a 5 ans et 23 jours

Les assemblées générales virtuelles des copropriétés pourront être généralisées

"Je vais présenter tout à l'heure en conseil des ministres un bout de texte législatif qui va permettre de rendre possible les AG de copropriétaires, mais de matière dématérialisée: par visioconférence, par téléphone", a déclaré sur Sud Radio le ministre du Logement, Julien Denormandie.Les assemblées générales sont essentielles au bon fonctionnement d'une copropriété, car c'est là que les propriétaires décident des frais à engager, en particulier les travaux. Ils s'y prononcent aussi pour renouveler ou non le mandat du syndic, l'organisme généralement professionnel qui gère la copropriété pour leur compte.Le gouvernement avait déjà accédé à une demande des syndics en prolongeant de plusieurs mois les mandats qui devaient arriver à échéance pendant la crise, les assemblées ne pouvant se tenir alors qu'un strict confinement était imposé aux Français.Mais le secteur voulait aller plus loin en permettant que les AG se tiennent à distance, dans l'idée qu'il sera impossible d'en organiser suffisamment tout en respectant les restrictions sanitaires contre le coronavirus. Les rassemblements publics de plus de dix personnes sont ainsi exclus pour l'heure.La participation à distance est déjà une possibilité si la copropriété le décide, mais une telle mesure nécessite d'être elle-même adoptée lors d'une précédente assemblée générale. Pour éviter une situation inextricable, le gouvernement va donc généraliser temporairement cette possibilité."On va le rendre possible à partir de début juin", a déclaré M. Denormandie. Le ministère a précisé à l'AFP que la mesure courrait jusqu'au 31 janvier 2021.
Il y a 5 ans et 23 jours

Ingénierie, une reprise à la peine malgré le déconfinement

Les entreprises d’ingénierie sont désormais 86% à enregistrer une baisse des prises de commandes (vs. 70% il y a deux semaines) selon le 2e Baromètre Covid-19 de l’ingénierie proposé par Syntec Ingénierie.
Il y a 5 ans et 23 jours

Estudio Persona : Connection

Pour sa dernière collection de meubles baptisée « Connection », le duo du studio de design Estudio Persona imagine des pièces sculpturales aux tonalités sobres en bois, métal ou tissu mohair. Installées aux États-Unis après avoir grandi en Amérique du Sud, deux créatrices uruguayennes, la designeuse industrielle Emiliana Gonzalez et l’artiste Jessie Young, ont fondé leur studio en 2014 à Los Angeles (Californie). Ensemble, elles travaillent depuis des matériaux industriels ou organiques, et dessinent des chaises, des fauteuils, des luminaires, des tables ou des objets, dont les teintes naturelles et les lignes épurées sont inspirées de leur Uruguay natal. Les pièces de leur dernière collection témoignent de leur volonté de redorer l’image du design sud-américain. Pour « Connection », Emiliana Gonzalez et l’artiste Jessie Young ont privilégié des couleurs unies, des belles matières et des formes simples. La série rassemble ainsi des tables-basses en bois clair ou foncé, des chaises et des fauteuils confortables habillés de tissu mohair respectivement vert ou orange, ainsi qu’une lampe en acier noirci, également disponible en laiton. Avec ces nouvelles créations, Emiliana Gonzalez et Jessie Young séduisent une nouvelle fois collectionneurs et galeries. Pour en savoir plus, visitez le site de Estudio Persona.Photographies : © Estudio PersonaLéa Pagnier
Il y a 5 ans et 23 jours

Mesures sanitaires : la Capeb chiffre le surcoût journalier entre 10 et 20%

La confédération de l'artisanat a analysé trois principaux postes de surcoûts : la coactivité, la désinfection et les équipements de protection.
Il y a 5 ans et 23 jours

Il va de soi que l'agent immobilier doit trouver un locataire solvable

L'agent immobilier qui a reçu un mandat de location doit rechercher un locataire solvable sans que cela ait besoin d'être précisé dans le contrat signé avec le propriétaire.
Il y a 5 ans et 23 jours

Le gouvernement souhaite élargir l'utilisation des fonds du Livret A qui a battu des records en avril

En avril, la collecte nette sur le Livret A a atteint 5,47 milliards d'euros contre 2,71 milliards en mars. Un an plus tôt, elle s'élevait à un peu moins de deux milliards, selon des chiffres publiés mercredi par la Caisse des dépôts.La collecte sur le Livret de développement durable et solidaire (LDDS), qui contribue au financement de l'économie sociale et solidaire, a également atteint un niveau mensuel historique à 1,93 milliard d'euros.Au total, la collecte nette sur le Livret A et le LDDS réunis, placements tous les deux défiscalisés, s'est élevée à 7,39 milliards d'euros en avril. En cumulé sur les quatre premiers mois de l'année depuis janvier, elle a atteint plus de 17 milliards d'euros.Fin avril, l'encours total d'épargne placée sur les deux produits atteignait 428,2 milliards d'euros."Niveau jamais atteint"C'est "un niveau jamais atteint depuis la précédente crise (...) trois fois plus qu'au mois d'avril 2019", a affirmé mercredi matin Éric Lombard, directeur général de la Caisse des dépôts, lors d'une audition devant des commissions sénatoriales.Cet embellie n'est pas le résultat d'une rémunération attractive : le taux de rémunération du Livret A et du LDDS a été abaissé en février de 0,75% à 0,5%, soit son plus bas niveau historique."Les Français ont épargné parce qu'ils ne pouvaient pas dépenser et cette absence de dépenses naturellement pèse sur l'économie", a estimé M. Lombard.En France, les mesures sanitaires mises en place pour lutter contre le Covid-19 ont entraîné la fermeture pendant plusieurs semaines des commerces non-essentiels.À cette épargne forcée s'est ajoutée une autre épargne, volontaire celle-ci, placée en réserve par certains ménages inquiets."Aujourd'hui, nous estimons l'épargne des Français à 40% de leurs revenus", a souligné mercredi M. Lombard, ajoutant "que le plus tôt elle [ressortirait] (...) pour financer la consommation et l'investissement, le mieux ce [serait]"."Mais dans l'intervalle, cette épargne ne dort pas, elle est pleinement utilisée pour le soutien de notre économie: l'activité de financement du logement social se poursuit, l'activité de financement des collectivités locales a augmenté de façon importante et, de plus en plus, nous allons l'utiliser", a détaillé le numéro un de la Caisse des dépôts.Utilisation "élargie" des fonds"Nous sommes très favorables à l'idée (...) que l'utilisation de ces fonds puisse être élargie pour être plus utile et plus efficace en cette période de sortie de crise", a-t-il défendu devant les sénateurs.Le directeur de la Caisse des dépôts rejoint ainsi les propos tenus à la mi-avril par le ministre de l'Économie Bruno Le Maire, qui souhaitait de l'investissement et non de l'épargne pour relancer l'économie."Le mois d'avril restera dans les annales de l'épargne française. (...) Malgré leur faible rendement, le Livret A et le LDDS sont les grands gagnants de cette période très particulière d'épargne subie", a réagi dans une note Philippe Crevel, directeur du Cercle de l'épargne, cabinet de réflexion sur l'épargne et sa réglementation.De façon plus générale, "l'augmentation de l'épargne de précaution a été constatée lors de chaque crise depuis 1973", relève cet analyste."La collecte du mois d'avril 2020 est une collecte d'attente, mais aussi de précaution. Dans un contexte plus qu'incertain, les ménages ont décidé de renforcer leur épargne liquide afin de faire face à d'éventuelles problèmes de court terme. Parmi les sujets d'inquiétudes figurent évidemment la santé mais aussi le risque de perte d'emploi ou de revenus", explique-t-il.Selon lui, "au regard des précédentes crises, le dégonflement de l'épargne de précaution sera progressif et risque de ne pas être totale d'autant plus que le retour à la normale s'annonce long. Les craintes d'une longue crise économique incitent les ménages à maintenir un fort volant de liquidités".
Il y a 5 ans et 23 jours

Wall&deco : CWC

Longtemps considéré comme vieillot, le papier peint fait un retour fracassant dans nos intérieurs, notamment grâce à de nouveaux designs insufflés par les marques spécialisées. Un virage que la marque italienne Wall&deco a su prendre avec brio puisque sa collection CWC – pour Contemporary Wallpaper Collection – propose des modèles uniques, allant du revêtement vintage aux papiers peints graphiques en passant même par des panneaux adaptés à l’extérieur. Zoom sur des murs qui ont du caractère ! Fondée par le photographe de mode Christian Benini, la société de papiers peints de Wall&deco propose depuis sa création des revêtements avant-gardistes et graphiques, réalisés grâce à de nombreuses collaborations avec des artistes plastiques, des designers, illustrateurs, stylistes ou encore architectes. Des regards uniques qui permettent à l’enseigne de proposer des décors éclectiques, toujours plus innovants. « Grâce à l’apparition de nouveaux supports et techniques d’impression, notamment numériques, il devenait possible de réinventer complètement ce revêtement. » Christian Benini, fondateur de Wall&decoLancée en 2017, la collection « CWC » est agrémentée cette année de plus de 70 modèles, majoritairement en vinyle. Cette année est également celle de la présentation d’un nouveau substrat CWC-ECO, un support respirant, écologique et 100% recyclable, en plus du CWC traditionnel. Côté motifs, il y en a pour tous les goûts ! Du papier peint fleuri inspiré des salons de nos grands parents aux motifs colorés et graphiques pop en passant par des supports texturés semblables au béton, toutes les pièces et toutes les envies trouveront leur revêtement idéal. Une marque à côté de laquelle il est impossible de passer.Pour en savoir plus, visitez le site de Wall&decoPhotographies : DRZoé Térouinard
Il y a 5 ans et 23 jours

Zaha Hadid Architects : ME Dubaï Hotel

Situé dans le quartier Burj Khalifa de Dubaï (Emirats arabes unis), le bâtiment de l’Opus, conçu en 2007 par Zaha Hadid, accueille depuis peu le dernier hôtel de la chaîne « ME by Melia ». Signé entièrement par l’architecte irako-britannique, l’établissement rend hommage au style si particulier de cette grande dame de l’architecture, disparue en 2016, quatre ans après le début des travaux. Il n’y a qu’à Dubaï qu’un tel ensemble pouvait voir le jour. Composé de deux tours fusionnées par un pont culminant à 71 mètres de haut, le bâti de 84 300 mètres carrés est caractérisé par son cube central largement évidé, rythmé par des ondulations défiant les lois de la physique. Grâce à un revêtement anti-UV et un motif en pointillé, la façade s’amuse avec les rayons du soleil et les lumières de la ville tout en diminuant les besoins en climatisation d'un tel édifice. Le complexe réunit en son sein des appartements privés, des locaux tertiaires, deux restaurants et un nouvel hôtel, également conçu par Zaha Hadid : le ME Dubaï Hotel. L’entrée de l’établissement cinq étoiles se fait dans un atrium de quatre étages aux volumes impressionnants. Le sol en marbre agrémenté de mobilier sculptural est ici dominé par une succession de balcons voluptueux soulignés de percées lumineuses. Les visiteurs prennent place sur les fameux canapés « Petalinas » et les cosses « Ottomans », déclinés ici dans des teintes luxueuses, allant du pourpre au doré. Dans les 74 chambres et 19 suites qui composent l’hôtel, du mobilier hybride « Work & Play » et des lits suspendus sur-mesures viennent habiller les espaces de nuit. Côté salles de bain, le cabinet londonien rend une nouvelle fois hommage à la figure de Zaha Hadid en réinterprétant la collection « Vitae » que l’architecte avait imaginé en 2015 pour la marque Norken Porcelanosa. A peine inauguré, le ME Dubaï Hotel est déjà en passe de devenir iconique. Pour en savoir plus, visitez le site de Zaha Hadid ArchitectsPhotographies : Laurian GhinitoiuZoé Térouinard
Il y a 5 ans et 23 jours

AMCC décline ses coulissants alu en version à galandage

Une esthétique panoramique 1 pour un confort sans limiteIdéal pour supprimer les frontières entre l'intérieur et l'extérieur de l'habitat, les nouveaux coulissants aluminium à galandage CG70 d'AMCC associent :un dormant de 160 mm à coupe droite, avec ou sans panneau isolant,un ouvrant équipé d'un double vitrage à isolation thermique renforcée 4/20/4 avec intercalaire à bord aluminium pour la ligne Élégance et à bord chaud pour la ligne Excellence.Ces caractéristiques techniques confèrent à l'ensemble d'excellentes performances pour atteindre un coefficient de transmission thermique de 1,7 à 1,4 W/m2.K et une étanchéité à l'air et à l'eau respectivement de A*3-E*6B-V*A2 pour le coulissant aluminium CG70 Élégance, et de A*4-E*6B-V*A2 pour la ligne Excellence.Avec leurs profilés et leur montant central étroits, les coulissants aluminium à galandage d'AMCC autorisent la création de larges baies vitrées, y compris de grande hauteur (jusqu'à 2,60 m), avec un clair de jour optimal.Disponibles sur-mesure en version monorail 1 vantail (avec refoulement sur un côté) ou monorail 2 vantaux (à refoulement sur deux côtés), les coulissants CG70 sont munis d'un rail en polyamide qui, associé à des joints en partie basse, facilite leur manipulation. Les vantaux disparaissent alors entièrement dans l'épaisseur de la cloison pour apporter un maximum de lumière naturelle.Cette ouverture maximale du coulissant permet également de gagner en liberté de circulation grâce à un accès totalement dégagé sur l'extérieur.Des coulissants à la sécurité assurée 2 et au design préservéPermettant de créer de larges ouvertures pour offrir une vue imprenable sur le paysage, les coulissants aluminium à galandage d'AMCC laissent entrer la nature dans le séjour sans négliger la sécurité. Pour cela, ils disposent :d'un profilé de réception de cloison qui garantit une rigidité maximum et une protection renforcée,d'une serrure à 2 ou 3 points de fermeture par crochets et gâches inox au service d'une grande résistance à l'effraction.Pour répondre aux exigences esthétiques et décoratives de chaque habitat, les nouveaux coulissants CG 70 sont proposés dans un large choix de coloris, en finition lisse ou granité mate ainsi qu'en bi-coloration, procédé qui permet d'appliquer une teinte différente sur les profilés intérieurs et extérieurs.Et pour une finition parfaite jusque dans les moindres détails, les coulissants sont manœuvrables à l'aide de différents modèles de poignées (poignée décalée anti-pince doigt, poignée Aktiv ou encastrée).En enrichissant sa gamme de coulissants aluminium avec ces versions à galandage, AMCC propose une offre complète de coulissants, fenêtres et porte-fenêtres à frappe qui s'associent parfaitement, créant ainsi une harmonie entre l'ensemble des menuiseries de la maison.
Il y a 5 ans et 23 jours

Le mauvais conseil d'un gestionnaire n'implique pas forcément une indemnisation

Le mauvais conseil d'un gestionnaire de patrimoine pour défiscaliser ne justifie pas toujours une indemnisation.
Il y a 5 ans et 23 jours

« De la Terre au Soleil » : le nouveau rapport RSE de Terreal met en lumière son engagement profond et ses initiatives innovantes

Aussi le titre de son nouveau rapport RSE, « de la Terre au Soleil », n'est pas un hasard. Tout en restant ancré dans les traditions liées à la terre cuite, TERREAL a pris un tournant majeur avec un développement fort du solaire pour affirmer son engagement dans la transition énergétique et la lutte contre le réchauffement climatique. Avec ce rapport RSE riche en infographies, TERREAL explicite la pertinence de ses réalisations et de ses objectifs, de ses succès mais aussi de certaines difficultés, dans un contexte de transformations environnementales, économiques, industrielles et socioculturelles.La RSE est plus qu'un concept pour le secteur de l'habitat qui est en constante mutation : elle constitue un levier de performance puissant que TERREAL a su saisir pour écrire son futur et garantir la pérennité de ses activités. Pour atteindre ses objectifs, le Groupe a en effet définit une stratégie RSE forte, articulée autour de 4 engagements principaux :agir pour l'environnement ;accompagner localement;développer des relations et des conditions de travail responsables ;soutenir l'innovation durable. En visant un horizon à très court terme et en y consacrant des investissements immédiats, TERREAL s'emploie à construire, promouvoir et généraliser une démarche collaborative et opérationnelle d'ici à 2021.Il s'appuie pour cela sur une organisation dédiée, intégrant des comités de pilotage, des groupes de travail et des référents pour chacun des objectifs fixés. TERREAL a également réalisé en 2019 un Code de Conduite qui est aujourd'hui appliqué à l'ensemble du Groupe et a été diffusé à toutes ses parties prenantes.En route vers le bas carbone !Mener une démarche concrète de développement durable est un pilier stratégique de TERREAL qui cherche au quotidien à éviter, réduire et compenser les impacts de ses activités grâce à différentes initiatives, dont l'application d'une feuille de route bas carbone.Conscient de son rôle dans la conservation des ressources et de la biodiversité, TERREAL engage des actions d'économies afin de limiter ses prélèvements d'argile et de sable. L'entreprise se mobilise pour concevoir des projets de carrière les moins impactants possible, pour revitaliser les milieux et enrichir la biodiversité pendant et après exploitation. Ses carrières font aussi l'objet d'initiatives complémentaires visant à approfondir sa connaissance de la biodiversité et à conduire, le cas échéant, des actions de compensations.La culture du mécénat inscrite dans l'ADN de TERREALLa présence de TERREAL à l'échelle des territoires implique une relation de confiance et un dialogue constant avec tous les acteurs locaux : collaborateurs, clients, utilisateurs finaux, associations, collectivités locales et institutions.TERREAL met en place des actions pour la formation et la création d'emplois en zone rurale, le soutien aux initiatives culturelles et sociales, ainsi que la préservation du patrimoine avec pour exemple en 2019 l'opération emblématique de mécénat du château de La Salvetat-Saint-Gilles ou l'annuel Concours des Terroirs de TERREAL.Château de La Salvetat-Saint-GillesGarantir la santé et la sécurité de tous les collaborateurs : une priorité absolue Attachés à la transmission et au partage de valeurs communes, TERREAL place l'humain au cœur de ses préoccupations. Ses collaborateurs constituent en effet sa première richesse et TERREAL agit au quotidien pour leur garantir un environnement de travail adapté et sain.Ainsi, le travail en hauteur, les interventions sur machine et la circulation piéton-engin ont fait l'objet de nombreuses initiatives pour réduire ces risques potentiellement grave.En 2019, TERREAL a même lancé son Challenge Sécurité interusines. Il permet ainsi à ses collaborateurs d'être acteur de leur sécurité et d'identifier toutes les situations dangereuses pour les traiter immédiatement et éviter les accidents. La prévention a franchi un cap supplémentaire avec 4 fois plus de remontées terrain identifiées dont 83% déjà traitées.Une innovation au service de ses clients et au développement de l'habitat durable avec le solaireLe bâtiment représente aujourd'hui environ 40% des consommations totales d'énergie en France et près de 20% des émissions de CO2. Face à ce constat, TERREAL s'est donné pour mission de contribuer au développement d'un habitat sain et durable. Entretenir des relations durables, transparentes et éthiques avec toutes ses parties prenantes, écouter et accompagner ses clients lui permet de continuer à avancer et à anticiper les attentes et les changements de la société. Déjà au cœur de la stratégie d'innovation de TERREAL, l'objectif pour 2021 est que 100% de ses produits soient couverts par une démarche d'éco-conception.L'innovation responsable de TERREAL repose sur 3 grands axes :contribuer à accroître l'efficacité énergétique et à réduire l'impact carbone des maisons,permettre de préserver l'identité et le caractère patrimonial de nos régions,donner la possibilité à ses clients de travailler en sécurité et de préserver leur santé.Lancé en janvier 2020, le programme « Demain, Tous Solaire » de TERREAL s'inscrit pleinement dans cette stratégie d'innovation. Avec ce programme, le Groupe s'inscrit davantage dans les grandes mutations du bâtiment pour construire l'habitat du futur au travers de solutions de toitures solaires intelligentes, permettre la production hyperlocalisée d'énergie verte et accompagne ses clients historiques dans le virage énergétique.
Il y a 5 ans et 23 jours

Une subvention pour financer des équipements de protection du Covid-19

Les entreprises de moins de 50 salariés peuvent bénéficier d’une subvention « Prévention Covid » destinée à les aider à financer des équipements de protection.
Il y a 5 ans et 23 jours

Une librairie au-dessus des nuages à Shanghai par Wutopia Lab

Wutopia Lab (architecte Yu Ting) a livré en août 2019 au 52ème étage du plus haut bâtiment de Shanghai – la tour de Shanghai – le nouveau magasin phare de la société d’édition Shanghai Century Publishing Group. Une librairie de 2 300 m² bien perchée ? Communiqué. Ce magasin est en soi un petit complexe culturel […] L’article Une librairie au-dessus des nuages à Shanghai par Wutopia Lab est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 23 jours

Panorama du gaz renouvelable : une dynamique encore peu encouragée

L’injection de biométhane enregistre une forte dynamique depuis cinq ans. Mais les objectifs de la Programmation Pluriannuelle de l’Énergie publiée en avril dernier sont décevants selon le syndicat de la filière.