Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

256858 actualités disponibles
Il y a 5 ans et 39 jours

L’état des chantiers face au Covid-19

Les chantiers ouverts au 9 mai 2020. [©BTP Consultants]Les chantiers ouverts au 9 mai 2020. [©BTP Consultants]Les chantiers ouverts et fermés le 2 mai par rapport 9 mai. [©BTP Consultants]Les chantiers ouverts et fermés dans le marché public. [©BTP Consultants]Les chantiers ouverts et fermés dans le marché privé. [©BTP Consultants]Les chantiers fermés le 2 mai par rapport 9 mai. [©BTP Consultants] Un dessin vaut mieux qu’un long discours. Cet adage, BTP Consultants le met en pratique avec brio. Ainsi, d’un simple coup d’œil, chacun peut juger de la situation du BTP dans ce contexte de fin de confinement lié au Covid-19. Toutefois, quelques chiffres forts se dégagent : • Plus de 36,4 % des chantiers sont ouverts en métropole, soit une progression 69 %, comparé à la semaine du 2 mai.  • Avec une hausse de + 109 %, les réouvertures des chantiers dans le Sud-Ouest sont les plus importantes. En Ile-de-France, la hausse est de + 49 %. • De manière globale, la volonté de reprise des chantiers est en augmentation avec un joli + 15 %.  • Quelque 42 % des chantiers en marché privé ont désigné un référent MOA Covid-19 pour sécuriser le chantier. Dans les marchés publics, le chiffre n’est que de 20 %…  Les infographies reposent sur une analyse statique de plus de 5 000 chantiers de bâtiment suivis par BTP Consultants. Ainsi que ses partenaires en métropole (Citae et MBAcity).
Il y a 5 ans et 39 jours

L’ingénierie touchée de plein fouet par la crise

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Il y a 5 ans et 39 jours

Emetteur d’Europe 1 : La cathédrale des ondes

A 317 m d’altitude, le bâtiment s’étend sur 82 m de longueur, 43 m de largeur et 16 m de hauteur maximale. [©Marco Kany] En 1954, la Sarre est toujours sous occupation française (même système économique). De fait, nombre de bâtiments sont réalisés par des architectes français. Afin de contourner la contrainte issue du système de radiodiffusion française de droit public, à l’extérieur des contours de la France naissent des radios dites “périphériques“ (Luxembourg, Monaco, Andorre et la Sarre pour Europe 1). Le projet de cet émetteur est imaginé par Jean-François Guédy (1908-1955), son premier grand projet, sorti fraîchement de l’Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts. L’avant-projet de mars 1954 révèle une architecture futuriste dotée d’une tour d’émission massive. Si la toiture du hall, rappelant une feuille de palmier est portée par un système de raidisseurs disposé en éventail, la construction cependant n’était pas réalisable selon ce tracé de légèreté. Ainsi, les architectes Bernard Lafaille (1900-1955) et René Sarger (1917-1988) sont engagés pour revoir la copie. Flanquée de studios de télévision, de bureaux, de locaux sociaux et d’une tour-antenne, le grand hall de l’émetteur en forme de cœur et l’extraordinaire forme de toiture constituent ainsi le centre du complexe. Le bâtiment s’étend sur 82 m de longueur, 43 m de largeur et 16 m de hauteur maximale. Un “psychodrame technique”. De gauche à droite : Eugène Freyssinet prend les opérations en mains pour reconstruire la couverture. En renforçant les fondations, les ancrages périphériques, ainsi que les éléments porteurs, Eugène Freyssinet parvient à sauver le dessin et la forme mis au point par Guédy et Lafaille. La hall majestueux de l’émetteur Europe n° 1 à Feldberg. [©Marco Kany] Le choix architectural d’origine a conduit à une structure novatrice, constituée d’une coque béton à double courbure, de 5 cm d’épaisseur, bordée par une poutre ceinture en béton armé, elle-même appuyée sur les fins poteaux périphériques que l’on peut voir en façade. L’effet de voûte ne peut se mobiliser qu’en cas de blocage horizontal des ponts d’appuis (contreforts de nos cathédrales), contreforts inexistants dans le projet et supposés être remplacés par quelques tirants transversaux. L’effet de poussée des pseudo-voûtes de coque est d’ailleurs complété (et probablement dominé), par la poussée également transversale au bâtiment des arcs formant la poutre-ceinture, chargés par les effets de suspension de la coque en direction longitudinale. La combinaison en tension dans le sens de la longueur du bâtiment et en pseudo-compression dans le sens de la largeur est extrêmement difficile à évaluer dans les années 1950.  L’ouvrage ressemble au contour d’une goutte d’eau très aplatie ou d’une coquille Saint-Jacques. Eugène Freyssinet le comparait à un cœur. Les façades sont constituées de hautes vitres enserrées entre des poteaux très élancés, espacés d’environ 3 m environ et donc la hauteur va de 4,5 m vers la pointe de la goute à 9,5 m au milieu du bord opposé, en culminant à 16 m aux deux bords les plus éloignés. Les sommets des poteaux sont ainsi dans demi-plans, légèrement inclinés sur l’horizontale, formant un dièdre comme un livre ouvert, dont l’arête joint la pointe au milieu de la façade. Environ 3 000 m2 intérieurs sont couverts sans appuis intermédiaires par un voile mince en béton armé de 5 cm d’épaisseur, ayant une courbure concave vers le haut dans le sens perpendiculaire à l’axe de symétrie, et vers le bas dans le sens de cet axe. Ce voile, qui forme donc une voûte, est lié à une puissante ceinture supportée par les poteaux et donc chaque moitié, de part et d’autre de l’axe, forme dans un demi-plan une sorte d’arc prenant appui côté pointe sur un massif fixe. De l’autre sur une béquille articulée, est sous-tendu par trois puissants tirants rayonnants à partir de la pointe. La toiture suspendue en béton armé devait être sertie dans un cerclage périphérique, afin de pouvoir créer un espace libre de points porteurs. La poutre de rive devait être contenue par des tenseurs complémentaires, pour être appuyée sur trois points porteurs significatifs. Au début de l’été 1954, la construction est bien avancée. C’est alors que le directeur technique de l’entreprise chargée des travaux demande au bureau technique de lui indiquer la surélévation qu’il faut donner à chaque étai pour qu’après le décoffrage le voile, qui descend sous son propre poids, se trouve à sa cote théorique. Après plusieurs jours, il apprend que ces flèches atteignent par endroits au moins 70 cm, autant dire que l’opération de décoffrage lui paraît impossible. Au même moment, ce directeur technique dirige la construction d’un pont  franchissant la Sarre, en béton précontraint selon les procédés Freyssinet. L’idée lui vient de remplacer les armatures de béton armé, inertes, qui arment le voile et l’accrochent à la couronne, par des câbles Freyssinet traversant la couronne. Et en les tendant, de soutenir le poids du béton du voile, pour assurer le décoffrage, sans avoir à toucher aux étais. Soumis au bureau technique, ce projet est accepté. Une note technique justifiant les parties précontraintes de l’ouvrage doit être fournée…, mais elle ne le sera que partiellement (sans justification relative à la résistance de l’ouvrage). Le dossier de demande de permis de construire pour le projet fut déposé en avril 1954. Les notices de calcul jointes ultérieurement au dossier révèlent que la toiture s’affaisserait d’environ 70 cm à l’issue du décoffrage. Au vu de cette éventualité, on envisage de changer de principe constructif, en tentant d’intégrer dans le concept statique le système de béton précontraint mis au point par Eugène Freyssinet (1879-1962). Cette alliance de deux principes statiques différents échoua, et il se produisit au cours du processus de mise sous tension les 8 et 9 septembre 1954 une fissuration irréparable de la toiture.  Le “psychodrame” technique va alors débuter. Refuser de commencer les mises en retard aurait risqué de déclencher des pénalités de retard. Période de congés et précipitation de l’entreprise pour coller aux demandes d‘Europe 1 s’ajoutèrent. Et là, ultime erreur, les mises en tension commencèrent. Cela commença plutôt bien, mais le voile de béton se déchira sur toute la longueur du bâtiment. Dans le projet initial, les tirants étaient passifs. De ce fait, lors du décintrement du voile par la mise en précontrainte des câbles longitudinaux, le voile s’est déchiré parallèlement aux câbles. Et ce , en raison de la déformation de la ceinture sous l’effet de la précontrainte : les tirants non tendus ne pouvant s’y opposer, sans une déformation excessive pour le voile.Un seul recours : faire appel à des experts, qui déclinèrent, donc l’atout maître fut Eugène Freyssinet lui-même, que nul n’avait pensé déranger pendant ses vacances pour le consulter. L’homme comprend de suite ce qui s’est passé. « De toute évidence, les sollicitations imposées à la ceinture par la tension des câbles tendaient à la déformer, en l’élargissant transversalement, cette déformation devant être empêchée par l’action des tirants transversaux. […] Le directeur de l’opération crut pouvoir réussir à soulever sa voûte, en exagérant les tensions. Il accumula ainsi une énorme énergie potentielle dans les câbles et les bétons, en imposant des tractions plus fortes à sa voûte, dans une direction où elle n’était pourvue d’aucune armature efficace. »1.Pour faire simple : la mise en tension des câbles n’était pas la cause du sinistre. Elle l’avait néanmoins provoqué. Freyssinet, en renforçant les fondations, les ancrages périphériques ainsi que les porteurs, parvint à sauver le dessin et la forme mis au point par Guédy et Lafaille.  Eugène Freyssinet convainquit les experts de la pertinence de son diagnostic. Et il prit les opérations en mains pour reconstruire la couverture. Et ce, à 75 ans ! Il imposa des conditions particulièrement rigoureuses. Et il fit remercier tous les auteurs du projet de bâtiment. Les travaux se terminèrent à la fin de l’automne 1954. Une intervention lourde de rénovation a été programmée au début des années 1980, confiée à Freyssinet International. Les six gros tirants transversaux furent remplacés complètement par des tirants-butons. Les câbles de 12 fils de 5 mm longitudinaux de la coque furent changés par des paires de torons graissées de 15 mm plaqués sous la coque. L’isolation de la toiture reconstituée en face externe, sous la protection d’une nouvelle étanchéité. Grâce à son caractère unique, l’édifice a été classé monument protégé en 1999. Depuis août 2016 l’émetteur est la propriété de la Commune de Uberherrn. “Eugène Freyssinet. Une révolution dans l’art de construire”, 2004, Association Eugène Freyssinet, Presses de l’école nationale des Ponts et Chaussées. 2004. 1Revue “Travaux”, février 1956, n° 256, p. 49 à 58. “Résonnances : l’architecture française en Sarre après la seconde Guerre mondiale” du 11 au 13 octobre , conférence, visite de bâtiments dont l’émetteur.
Il y a 5 ans et 39 jours

Un guide de recommandations sanitaires pour l’industrie du béton

Le guide de recommandations sanitaires dédié à l’industrie du béton est publié : il vise à assurer la santé et la sécurité des salariés, et contribuer à la relance économique.
Il y a 5 ans et 39 jours

La membrane d'étanchéité RubberGard™ EPDM célèbre ses 40 ans

Ces atouts, conjugués à l'expertise de plus d'un siècle dans la technologie du caoutchouc du Groupe Bridgestone/Firestone, ont permis à Firestone Building Products de fournir plus de 1,5 milliard de m² de membranes d'étanchéité RubberGard™ EPDM aux quatre coins de la planète. En France, l'industriel s'appuie sur ses distributeurs agréés, pour commercialiser RubberGard™ EPDM. Il offre également des services de proximité, aux maîtres d'œuvre et d'ouvrage ainsi qu'aux étancheurs, du lancement du projet à sa livraison : formation, calculs techniques, assistance sur site lors de l'installation et inspection une fois les travaux achevés.« Lorsque l'expert en pneus, Firestone, a décidé d'entrer dans l'industrie de la toiture plate en 1980, le marché, dominé à l'époque par les produits en asphalte, avait commencé à évoluer. Les membranes monocouches synthétiques ont émergé avec le désir de construire des bâtiments à haute performance et à des coûts d'installation plus compétitifs. Aujourd'hui, on considère que le rôle de la toiture d'un bâtiment va bien au-delà de la protection du contenu et de ses occupants. Elle doit être facile à installer, respectueuse de l'environnement et efficace du point de vue énergétique. Autant de critères auxquels répond la membrane RubberGard™ EPDM. Les 30 millions de m² installés chaque année dans le monde en témoignent. », explique Steven Forger, Directeur Firestone Building Products France et Europe du Sud.Zoom sur l'un des premiers chantiers françaisFirestone Building Products a installé l'une de ses premières membranes d'étanchéité RubberGard™ EPDM en France en 1998, sur une charpente en lamellé collé. Situé à Montauban, ce bâtiment industriel a été racheté en 2011 par Doumerc Pneus International. « Les 11 000 m² de membranes ont été mis en œuvre il y a 22 ans et à ce jour il n'y a aucun changement d'aspect en partie courante. L'étanchéité est quasi comme neuve malgré une tempête de grêle violente survenue en 2015. Alors que nous avons dû remplacer les 99 lanterneaux endommagés durant cet orage, les membranes, elles, sont restées intactes. Pas de poinçonnement ni de fuite ! Malgré les fortes chaleurs que nous connaissons dans le Sud-Ouest, notamment ces dernières années, les membranes restent souples sans s'abîmer ou se fissurer. Aujourd'hui, un étancheur agréé Firestone Building Products doit simplement reprendre quelques patches au niveau des angles des lanterneaux. De petits travaux de maintenance normaux après plus de deux décennies de mise en service. », explique son dirigeant Patrick Doumerc.Les atouts de RubberGard™ EPDMLa membrane d'étanchéité RubberGard™ EPDM a réussi le test EMMA (Equatorial Mounted Mirrors Ageing) qui l'a soumise à une exposition de 2 000 000 Langleys, soit en moyenne 20 ans sous les rayons du soleil équatorial. Les essais réalisés par le Süddeutsche Kunststoff Zentrum (SKZ), institut de recherche allemand, démontrent également que les membranes en EPDM conservent une élasticité jusqu'à 150% même après 50 ans d'utilisation grâce à leur composition exempte de plastifiant. Cette souplesse permet de faire face aux fluctuations importantes de température et aux éventuels mouvements des bâtiments. RubberGard™ EPDM fait preuve d'une haute résistance à l'ozone, aux UV, aux micro-organismes et aux conditions météorologiques extrêmes telles que la grêle. Chimiquement inerte, elle ne libère aucune substance toxique, ce qui en fait la solution idéale pour la récupération des eaux pluviales.Universelle, cette solution se pose à froid sans aucune flamme sur tous les types de bâtiments (commerciaux, industriels, tertiaires et résidentiels collectifs), et ce, quel que soit le climat, des températures inférieures à zéro de la Russie au soleil du désert d'Arabie Saoudite. Elle est compatible avec l'installation de toitures végétalisées extensives et photovoltaïques. Légère (1,35 kg/m²), elle peut être mise en œuvre sur une étanchéité existante. Ses grandes nappes (de 30,5 m de long, et entre 3,05m et 9,15m de largeur) permettent de réduire le nombre de joints, assurant une installation rapide, aisée et fiable par une entreprise agréée Firestone Building Products. Les modifications futures du toit, telles que l'ajout de puits de lumière ou l'intégration d'extensions du bâtiment, peuvent être effectuées facilement tout en conservant les performances globales du système de toiture.
Il y a 5 ans et 39 jours

Travaux publics : une faible part d'entreprises reste au chômage forcé

Le pourcentage d’entreprises sans activité, d’abord autour de 70% au 10 avril 2020, n’atteignait plus que 17% au 30 avril, selon un sondage de la FNTP. Les entreprises toujours à l’arrêt envisagent pour 81% d'entre elles une reprise sur le mois de mai.
Cimbat
Il y a 5 ans et 39 jours

A Toronto, Google renonce à son projet de smart city

Sidewalk Labs, la filiale smart city et urbanisme du groupe Alphabet (maison-mère de Google), renonce à transformer Quayside en un quartier ultramoderne, avec habitats modulables et pavés chauffants.
Il y a 5 ans et 39 jours

LafargeHolcim : échec de la cession de sa filiale aux Philippines

Annoncé en mai 2019, l'accord portant sur la vente au conglomérat San Miguel Corporation de 87,5% des parts que détient le cimentier dans Holcim Philippines a échoué, l'autorisation de l'autorité de la concurrence locale n'ayant pas été délivrée dans les délais impartis.
Il y a 5 ans et 39 jours

SPIE innove et déploie l'intelligence artificielle pour répondre aux besoins de Thésée DataCenter

SPIE ICS est spécialisée dans les services liés aux infrastructures ICT1, depuis l'environnement utilisateurs jusqu'au data center. La filiale a été sélectionnée pour assurer la mise en œuvre technique de ce data center de colocation2 particulièrement novateur. SPIE ICS se voit ainsi confier les prestations de conseil et ingénierie avant intégration ainsi que l'installation des différents équipements techniques et de sûreté. Ce contrat ambitieux vient couronner une relation privilégiée initiée en 2016.« Nous sommes fiers de voir ce projet se concrétiser et d'en être l'un des principaux opérateurs. Nous avons très tôt fait confiance aux fondateurs de Thésée DataCenter dont l'audace et la compréhension des enjeux techniques ont été déterminantes », a déclaré Fabrice Raison, Directeur de Département chez SPIE ICS. « Nous en sommes d'autant plus heureux que nous partageons un ADN commun : la volonté d'allier innovations technologiques et efficacité énergétique ». Dès septembre 2020, plus de 40 collaborateurs de SPIE ICS seront mobilisés sur ce chantier préalablement modélisé en BIM3. La livraison du projet est prévue pour le 28 février 2021.Les équipes de SPIE ICS déploieront dans le cadre de cette mission l'ensemble de leurs compétences techniques en matière de data center. Elles s'attacheront tout particulièrement à mettre en œuvre des technologies de pointe permettant de garantir les objectifs de performance énergétique du projet. Il s'agira notamment d'atteindre une consommation électrique inférieure de 25% à celle des data centers de colocation les plus récents avec une empreinte carbone également réduite de 25%. « Au-delà de la solution de free-cooling4, nous avons eu recours à des techniques d'intelligence artificielle. La gestion et la régulation de la température en salle seront assurées par des capteurs dont les données seront analysées en temps réel par des algorithmes. 90% du temps, les salles informatiques seront ainsi refroidies sans aucune consommation d'énergie », indique Fabrice Raison.Autre expertise majeure apportée par SPIE ICS : la sécurisation du site avec une infrastructure de sûreté à 7 niveaux d'accès entre l'entrée sur le site et l'accès aux baies informatiques privatives et des points de passage obligés disposant des dernières technologies en termes de biométrie et de vidéosurveillance. Celles-ci seront couplées au dispositif de gestion technique du bâtiment ainsi qu'à un portail de services ouvert aux clients de Thésée DataCenter.1 Information and Communication Technology2 Un centre de colocation ou « hôtel porteur » est un type de centre de données où l'équipement, l'espace et la bande passante sont disponibles à la location pour les clients de détail.3 Le BIM ou Building Information Modeling est un processus intelligent basé sur un modèle 3D qui offre aux professionnels de l'architecture, de l'ingénierie et de la construction (AEC) les informations et les outils nécessaires pour planifier, concevoir, construire et gérer plus efficacement des bâtiments et des infrastructures.4 Technique qui consiste à limiter l'usage de la climatisation en refroidissant un bâtiment grâce à l'air extérieur
Il y a 5 ans et 39 jours

Le renouvellement urbain s’adapte à la crise

La renouvellement urbain s’adapte à la crise et maintient son cap. En « 10 réponses sur le déroulement des projets » signées par son directeur général et son président, l’agence nationale pour le renouvellement urbain (Anru) manifeste sa volonté de souplesse et de pragmatisme. Crise ou pas, l’année 2020 reste celle de l’engagement du Nouveau programme national de renouvellement urbain et de la clôture du cycle engagé en 2004.
Il y a 5 ans et 39 jours

Icons at Risk : préserver l’architecture moderne

L’initiative internationale “Icons at Risk” vise à préserver les créations architecturales du XXe siècle, qui sont menacées de disparaître car elles ne bénéficient pas du label “patrimoine”. Cet article Icons at Risk : préserver l’architecture moderne est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 5 ans et 39 jours

Thermador finalise l'acquisition de Thermacome malgré la crise sanitaire

Malgré la crise sanitaire, le distributeur en gros d'articles de robinetterie Thermador Groupe a finalisé l'achat de la société normande Thermacome.
Il y a 5 ans et 39 jours

Participez au concours 2020 de la fondation Jacques Rougerie

Télétravail, chômage partiel, poursuite des études, reprise ou arrêt des chantiers. L'organisation des architectes est mise à rude épreuve par le travail à distance imposé pour lutter contre l'épidémie de coronavirus. Pourtant, dans les agences -ou plutôt hors les agences-, les échanges entre […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 39 jours

Les revenus de Nexity et Hexaom baissent au 1er trimestre face au coronavirus

"C'est (...) une crise économique hors normes, qui impacte fortement l'offre et la demande et qui laissera des traces profondes", a résumé dans un communiqué Alain Dinin, PDG de Nexity.Le groupe, dont le directeur général Jean-Philippe Ruggieri est décédé fin avril du Covid-19, a enregistré au premier trimestre un chiffre d'affaires de 786,8 millions d'euros, soit une baisse de 10,7% par rapport à un an plus tôt.Sur les deux dernières semaines de mars, période où le confinement a commencé en France, Nexity estime que la crise lui a coûté 130 millions d'euros, sans quoi ses revenus trimestriels auraient progressé.Le groupe a surtout pâti de l'impossibilité de livrer des logements dans les temps prévus, de nombreux chantiers étant arrêtés, même s'il a aussi souffert dans d'autres domaines: la fermeture des commerces non essentiels a ainsi largement contraint à l'inactivité Century 21, sa filiale d'agences immobilières.Pour autant, "il convient de garder la tête froide", a relativisé M. Dinin. "La demande de logements, tirée par la démographie et le déficit d'offre structurel, ne disparaît pas: elle se reporte."Le groupe, qui ne donne pas encore de prévision pour 2020, signale pour l'heure que la moitié de ses chantiers étaient repartis fin avril et que l'ensemble devrait avoir repris début juin.Un autre grand acteur de l'immobilier, le constructeur de maisons Hexaom, premier de son secteur, a aussi fait état d'un recul de ses revenus trimestriels, de 2,6% à 195,8 millions d'euros."Pendant le confinement, une majorité de clients a été dans l'impossibilité de signer l'acquisition de leur terrain (...) et l'instruction des permis de construire par les administrations a été fortement ralentie voire arrêtée", regrette Hexaom, qui a toutefois limité les dégâts grâce à une bonne performance dans son activité minoritaire de rénovation."Les enjeux pour le groupe seront d'une part de combler une partie de cet allongement du délai administratif qui pourrait impacter les futures ouvertures de chantiers et, d'autre part, de rattraper une partie du retard de la production subi en avril et mai, pendant la période estivale", a conclu Hexaom, qui ne donne pas non plus encore de prévisions.
Il y a 5 ans et 39 jours

Covid 19 et reprise des chantiers, semaine 6

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Il y a 5 ans et 39 jours

Edycem : Fonctionner malgré tout

Philippe Queneau, directeur général d’Edycem, et Estelle Breillat, directrice qualité et développement. [©Edycem] En concomitance avec les annonces gouvernementales, Edycem, comme beaucoup d’industriels, décide de stopper son activité le 17 mars dernier. Ce jour-là, à midi, ses sites de production de béton, implantés du Finistère Sud au Bassin d’Arcachon, s’arrêtent. Tandis que les services supports (comptabilité, commercial, ressources humaines…) sont mis en télétravail. Edycem BPE, la branche béton prêt à l’emploi, compte 33 centrales et l’activité préfabrication – Edycem PPL –, une usine à Saint-Georges de Montaigu (85). « L’arrêt de l’activité est compliqué, explique Philippe Queneau, directeur général d’Edycem. Le télétravail était pratiqué très ponctuellement jusqu’alors dans l’entreprise et nous venions aussi d’acquérir 6 nouvelles centrales. » Dès la fin de la semaine, l’équipe dirigeante s’interroge sur une reprise partielle des unités de production, afin d’assurer les commandes et répondre aux demandes des chantiers encore ouverts. « Avant toutes décisions, nous avons voulu demander qui était capable de revenir ? » Une question évidente pour l’industriel qui place les valeurs familiales au cœur de son fonctionnement. Et Estelle Breillat, directrice qualité et développement, de poursuivre : « Nous avons mis en place une enquête et contacté près de 317 collaborateurs. » Résultat : 79 % des répondants souhaitaient retrouver leur travail. A contrario, 15 % étaient des personnes à risques ou avec des enfants à la maison et 6 % ont signifié leurs craintes par rapport à la reprise. Ainsi, les sites se sont ouverts en fonction des demandes. Une reprise progressive En mars, 14 centrales à béton étaient actives et engrangeaient 15 % de l’activité, par rapport à un mois de mars “traditionnel”. En avril, Edycem a pu assurer 42 % de son activité. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 39 jours

Dossier : 5 restaurants atypiques parisiens

Déconfinement, jour 1 ! Pourtant, si l'on peut doucement commencer à sortir de chez soi, reprendre le court de sa vie semble encore être une illusion. Pour se préparer au lendemain ou s'échapper le temps d'un fantasme, Muuuz vous propose cette semaine un florilège de restaurants parisiens tous plus fous les uns que les autres, au sein desquels il fera bon de retrouver ses amis une fois le temps venu. Simon Porte Jacquemus : Restaurant OursinEn passe de prendre la capitale d'assaut, Simon Porte Jacquemus récidive après le succès de son premier établissement le Café Citron et ouvre une nouvelle adresse, toujours en association avec Caviar Kaspia : le Restaurant Oursin. Tout comme sa première enseigne, déjà auréolée de succès, Oursin prend place au sein des très chics Galeries Lafayettes Champs Elysée et invite les gourmets du 8ème arrondissement à voyager sous le soleil. . Delphine Sauvaget : Grand BeauPrenant place au 3ème étage des Galeries Lafayette Beaugrenelle (15ème arrondissement), le restaurant Grand Beau propose un retour aux sources des plus agréables dans un décor aux inspirations naturelles. Focus sur un havre de paix en pleine capitale signé Delphine Sauvaget. . Friedmann & Versace : RivieraLe studio français Friedmann & Versace, formé par les décoratrices Virginie Friedmann et Delphine Versace, imagine un décor aux accents méditerranéens pour le restaurant Riviera. Pour la nouvelle adresse parisienne des restaurateurs David et Lionel, le tandem féminin signe un intérieur estival aux allures de maison de vacances. De quoi prolonger l’été toute l’année. . Atelier Tsuyoshi Tane Architects : Restaurant MaisonManger au restaurant comme on dine à la maison ? Pari tenu pour les équipes de l’Atelier Tsuyoshi Tane Architects – ATTA – qui transforment un ancien entrepôt à vin du 11ème arrondissement de la capitale en une auberge conviviale où les clients se rassemblent autour d’une grande table dans un cadre champêtre et confortable. . Studio Parisien : Grand Café d’AthènesNouvelle adresse de Filakia, enseigne grecque située dans les 2ème et 5ème arrondissements, le Grand Café d'Athènes est une véritable invitation au voyage. Troquet aux murs olive et à la vaisselle typique dépareillée, ce nouveau temple de la gastronomie méditerranéenne est signé du Studio Parisien, à qui l'on doit également le restaurant Yoko (2ème arrondissement). . La Rédaction
Il y a 5 ans et 39 jours

Reprise d'activité commerciale, Edilteco France reste inflexible sur l'accompagnement de ses clients

Deux raisons majeures ont incité EDILTECO® France à maintenir son activité. La première, aboutie suite à une réflexion menée sur l'anticipation de la reprise, a poussé EDILTECO® France à maintenir une activité partielle mais suffisante pour se préparer à la levée du confinement, la deuxième, étant les commandes des clients.« Depuis quelques semaines, les commandes commencent à se débloquer et les clients réouvrent doucement. Pour le moment, ce sont encore beaucoup de commandes de réapprovisionnement. La quasi-totalité de nos clients sont réouverts en mode drive. » explique Laurent Mainy.EDILTECO® France ne déroge pas à son éthique : « la gestion se fait en bon père de famille », pour ainsi dire l'entreprise se veut active mais prudente, attentive et soucieuse de ses salariés et de ses clients.L'activité de l'entreprise se maintient et les projets en cours n'ont pas été stoppés. Un nouvel expanseur automatique discontinu, de dernière génération, va notamment être implanté en complément des 2 autres. Il sera opérationnel dès la mi-mai pour une expansion optimisée des billes de PSE.De leur côté, les commerciaux ont repris il y a 3 semaines en télétravail. EDILTECO® France qui entretient ses étroites relations avec les acteurs de la distribution du BTP, a maintenu une permanence commerciale depuis le début du confinement.« Nous sommes dans une démarche d'accompagnement et nous sommes prêts à faire les efforts nécessaires pour aider au mieux nos clients. Pour ce faire, l'équipe commerciale a la latitude d'ajuster tarifs et franco, sans quantité d'approvisionnement minimale, afin de répondre aux besoins des clients et leur éviter du stock. C'est la force de notre PME : maintenir un niveau de service élevé » indique Laurent Mainy.
GDA
Il y a 5 ans et 39 jours

Agence Muoto: "Le confinement a rappelé la valeur de la présence physique dans notre travail, celle des maquettes d’études qu’on peut faire et défaire"

Télétravail, chômage partiel, poursuite des études, reprise ou arrêt des chantiers. L'organisation des architectes est mise à rude épreuve par le travail à distance imposé pour lutter contre l'épidémie de coronavirus. Pourtant, dans les agences -ou plutôt hors les agences-, les échanges entre […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 40 jours

Séméio architecture en terrain conquis à Saint-Martin-Le-Vinoux ?

Après avoir livré en 2018 à Saint-Martin-Le-Vinoux, petite ville iséroise située à quelques kilomètres de Grenoble, un programme mixte de logements et bureaux, Séméio architecture (Ivan Le Garrec, Carine Deschamps, Paul Jubert, Silvère Weiss et Andreina Risi) a inauguré en février 2020, juste à côté et pour le même promoteur, une résidence étudiante de 4 […] L’article Séméio architecture en terrain conquis à Saint-Martin-Le-Vinoux ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 41 jours

Mutualisation des usages signée TAA sur les Ramblas toulousaines

L’agence TAA (Pierre-Louis Taillandier), avec Scalène Architectes, a livré en janvier 2020 un parc de stationnement public de 400 places (10 040 m²) en infrastructure au-dessus du tunnel du métro, en partie haute des Ramblas de Toulouse (Haute-Garonne). Libération d’espace ? Communiqué. Les allées Jean-Jaurès sont les Champs-Elysées Toulousains. De 1824 à 1960, appelées les Allées […] L’article Mutualisation des usages signée TAA sur les Ramblas toulousaines est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 42 jours

Etudiants d’architecture : concours ouvert pour les ouvrants

GYPASS, spécialiste des ouvrants, a lancé un concours pour les étudiants en écoles d’architecture. Inscriptions jusqu’au 15 juin 2020. La porte de garage et le portail sont des éléments-clés de valorisation de l’espace extérieur d’un habitat. Au-delà de leur aspect purement fonctionnel, ils contribuent à personnaliser un lieu et donner style et caractère à une […] L’article Etudiants d’architecture : concours ouvert pour les ouvrants est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 42 jours

Moscou va relancer l'industrie et le BTP mais ne lève pas le confinement

Selon Sergueï Sobianine, la situation dans la capitale russe permet d'autoriser le redémarrage de l'activité sur les chantiers et dans les industries, mais pas dans les magasins, restaurants, bureaux et autres entreprises de services.Ce sont 500.000 personnes qui pourront ainsi retourner au travail.Pour les autres, le confinement "ne sera pas assoupli. Au contraire, il faut le respecter précisément", a-t-il déclaré mercredi.Il s'agit de "stabiliser la situation épidémiologique et, progressivement et en fonction des possibilités, d'ouvrir un secteur d'activité après l'autre", a ajouté le maire.Sur le plan médical, il a relevé qu'au cours des deux dernières semaines, il n'y avait pas eu d'"augmentation du nombre des hospitalisations et des malades en état grave" ce qui témoignerait d'une "certaine stabilisation de la situation" à Moscou.La capitale russe compte plus de la moitié des 165.929 cas répertoriés en Russie. Ce chiffre fait de ce pays le 5e le plus touché en Europe et le 6e dans le monde, selon un comptage de l'AFP. Son taux de mortalité reste cependant faible, selon le bilan officiel, avec 1.537 morts.
Il y a 5 ans et 42 jours

Dunes et plages de Méditerranée en France abîmées par l'artificialisation et le tourisme

"Le bassin méditerranéen constitue l'un des 36 points chauds de la biodiversité dans le monde, où la biodiversité est particulièrement riche, mais aussi particulièrement menacée", rappelle le comité français de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) dans un communiqué.La situation est identique en France, où "sept des neuf écosystèmes constituant les cordons dunaires et rivages sableux méditerranéens, représentant environ 26% du linéaire méditerranéen en France, dont la Corse, sont évalués +en danger+ ou +vulnérable+", poursuit l'UICN, qui a mené cette évaluation avec l'Office français de la biodiversité (OFB) et le Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN)."Cette première évaluation de l'état de dégradation des littoraux sableux méditerranéens en France révèle combien ces écosystèmes ont été profondément affectés et fragmentés par l'artificialisation du littoral depuis les années 1960", souligne l'UICN, qui pointe aussi du doigt "les impacts actuels de la surfréquentation touristique et de la modification de la dynamique sédimentaire littorale à l'échelle de la façade méditerranéenne, qui aggravent les phénomènes d'érosion des côtes".Ces dunes et plages sableuses "limitent l'érosion et le recul du trait de côte" en France, tout en accueillant de nombreuses espèces, notamment des oiseaux migrateurs: la Camargue et les étangs palavasiens, à côté de Sète "rassemblent près de 190.000 oiseaux". Cette région accueille aussi "l'unique zone de nidification en France du flamand rose et plus de 80 % de la population française de la sterne naine".Les écosystèmes les plus menacés sont les dunes blanches, "en danger" selon la classification de l'UICN. Elles ont souvent disparu "au profit d'une urbanisation implantée directement en haut de plage, en particulier sur le littoral du golfe du Lion".Celles qui n'ont pas été artificialisées sont adossées à des routes, des parkings ou des zones urbaines "qui bloquent totalement leur mobilité". Le piétinement par les touristes l'été déstabilise les plantes et animaux et "accélère l'évacuation du sable par le vent".Six écosystèmes sont "vulnérables" sur le pourtour méditerranéen français: les plages sableuses, les laisses de mer végétalisées, les dunes grises , les junipéraies dunaires, les dunes embryonnaires et les dunes boisées. Deux autres milieux, les fruticées dunaires et les dépressions dunaires, doivent être étudiées de manière plus approfondie.
Il y a 5 ans et 42 jours

Aperio fête ses 10 ans !

Il y a 5 ans et 42 jours

Réouverture de la Galerie d’architecture le 12 mai !

La Galerie d’architecture, fermée depuis la mi-mars, rouvrira ses portes le 12 mai. Une bonne occasion pour découvrir l’exposition... Cet article Réouverture de la Galerie d’architecture le 12 mai ! est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 5 ans et 42 jours

PPE : Équilibre des Énergies invite à maintenir le cap sur la réduction des énergies fossiles

Pour Brice Lalonde, ancien ministre de l'Environnement, Président de l'association Équilibre des Énergies : « Il faut lancer un programme de renaissance de l'activité économique de la France, fondé sur l'électricité et sur les autres énergies décarbonées, pour lutter contre le dérèglement climatique, conforter l'indépendance nationale, assurer la santé publique et promouvoir la justice sociale ».Baisser la consommation des énergies fossiles et développer les énergies décarbonées Le décret de la PPE impose une réduction significative de la consommation des énergies fossiles les plus présentes en France : d'ici à 2028, la consommation du pétrole devra avoir chuté de 34% par rapport à 2012 et celle de gaz naturel de 22%. Les pouvoirs publics confirment ainsi leur volonté de construire une politique énergétique fondée sur l'efficacité énergétique et sur des formes d'énergies décarbonées, électricité et énergies thermiques renouvelables essentiellement.Équilibre des Énergies salue ces dispositions et invite les pouvoirs publics à résister aux appels à la procrastination de ceux qui ne s'y retrouvent pas. L'urgence sanitaire ne doit faire oublier l'urgence climatique.Intégrer la transition énergétique dans un programme de renaissance économiqueLe défi du Gouvernement est à présent de parvenir à intégrer ces mesures, conçues avant la crise du Covid-19, dans une stratégie globale de renaissance économique visant à reconstruire l'économie française sur des bases décarbonées. Le problème est celui de l'urgence : la crise du COVID-19 fait obligation de définir rapidement des priorités et de sélectionner les actions les plus efficaces sur le plan énergétique, économique, environnemental et sociétal. Sans négliger les autres formes d'énergies décarbonées, réseaux de chaleur décarbonés et solaire thermique notamment, Équilibre des Énergies constate que l'électricité « coche toutes les cases » exigées par une relance économique vertueuse.C'est aujourd'hui qu'il faut engager la deuxième révolution électrique, celle qui permettra de faire passer, dans les meilleurs délais possibles, de 25 à 50% la part de l'électricité dans la couverture des besoins finaux. C'est la meilleure façon pour la France de se recentrer sur ses propres ressources énergétiques, de reconstruire son activité industrielle, de faire face aux défis climatiques, économiques et sociétaux et d'apporter de l'emploi et du confort à nos concitoyens.Relancer la constructionL'adoption de la PPE doit être l'occasion de jeter les bases d'une relance massive de la construction. L'administration doit finaliser sans attendre les grands chantiers réglementaires engagés avant la crise : RE 2020, nouveau DPE, traitement des logements à consommation excessive, remplacement des chaudières à fioul, etc.Les solutions sont là : construction bas carbone, solutions électriques (pompes à chaleur notamment), énergies thermiques renouvelables… L'industrie française et les installateurs sont prêts à se mobiliser pour répondre aux besoins.Une ambition forte pour le véhicule électriqueLe rôle de la mobilité électrique se trouve renforcée par le décret du 23 avril qui prévoit, d'ici à 2028, 5,2 millions de véhicules électriques ou hybrides rechargeables en circulation en France et 100 000 points de recharge ouverts au public seront disponibles.Équilibre des Énergies s'en réjouit mais alerte les pouvoirs publics sur les difficultés pratiques qui subsistent, notamment quant au développement des infrastructures de recharge accessibles au public ou en copropriété. Le marché est encore très fragile et la demande a besoin d'être davantage soutenue pour permettre le déploiement de la mobilité électrique à grande échelle.Retrouver une vision industrielleComme après toutes les grandes crises, l'énergie et l'électricité en particulier joueront un rôle essentiel. Développer les usages de l'électricité, c'est donner du confort et du mieux-être aux citoyens mais c'est aussi permettre à l'industrie française de se moderniser et à tout un ensemble d'industriels français de retrouver le chemin de la croissance et de participer au redressement national.C'est avec cette vision qu'il faut maintenant aborder l'Acte II de la PPE.
Il y a 5 ans et 42 jours

Sergei Tchoban – Une ville dessinée

Une ville dessinée, présentée par Sergei Tchoban, révèle l’interaction contrastée entre l’architecture historique et l’architecture moderne, si fortement présente dans nos villes. A Paris, jusqu’au 13 juin 2020. L’avenir de la ville européenne est le thème central du travail de Sergei Tchoban. Il est évident que le langage de l’architecture contemporaine et l’échelle des gestes […] L’article Sergei Tchoban – Une ville dessinée est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 42 jours

Siège social de Xenocs à Grenoble conçu par Aotu à Shanghai

Le studio Aotu architecture, fondé en 2006 à Shanghai par Hugues Leclercq, a livré en 2020 un immeuble tertiaire de 5 500m² à Grenoble (Isère). Le projet (8.3 M€ HT) intègre des bureaux, laboratoires ainsi qu’un showroom ouvert sur l’espace public. Communiqué du maître à tout faire. GSE a achevé en avril 2020 la construction d’un […] L’article Siège social de Xenocs à Grenoble conçu par Aotu à Shanghai est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 42 jours

Covid-19 : Londres élargit ses trottoirs et multiplie les pistes cyclables

Ces mesures visent à éviter que les transports en communs se retrouvent bondés une fois que les Britanniques reprendront le chemin du travail et à favoriser des alternatives aux trajets en voiture, plus polluants.Ces changements peuvent permettre de multiplier par 10 les kilomètres parcourus en vélo et par cinq la marche après la sortie du confinement, estiment la mairie et l'autorité chargée des transports londoniens, TFL, dans un communiqué.Pour cela, Londres va créer un nouveau réseau cyclable temporaire, imitant d'autres villes comme Berlin ou New York qui ont aménagé la voirie pour favoriser les déplacements en petite reine.Les trottoirs seront aussi agrandis dans les rues commerçantes pour permettre aux gens de garder leurs distances lorsqu'ils se croisent ou quand ils font la queue à l'entrée des magasins.Le stationnement et les voies réservées aux voitures seront déplacées pour permettre ces transformations."La capacité de nos transports publics sera considérablement réduite après le coronavirus en raison des énormes défis auxquels nous sommes confrontés en matière de distanciation sociale", a déclaré le maire travailliste de Londres, Sadiq Khan, dans ce communiqué.Tout en appelant ceux qui le peuvent à continuer de travailler à domicile, l'édile a expliqué vouloir aider "ceux qui doivent se rendre au travail" et permettre aux "nombreux Londoniens qui ont redécouvert la joie de la marche ou du cyclisme pendant le confinement" de les pratiquer en toute sécurité.Le confinement a été décrété le 23 mars et doit être réévalué jeudi, des annonces du gouvernement sur un assouplissement progressif étant attendues sous peu.Actuellement, les autorités recommandent d'éviter tout déplacement "non essentiel" mais autorisent les Britanniques à sortir de chez eux et faire de l'exercice une fois par jour.
Il y a 5 ans et 42 jours

Une maison semi-enterrée de 1985 dans une colline de Sheridan Usa

« Nous sommes en train de paver et de recouvrir ce pays à mort ». Ce sont les mots de l’architecte du Massachusetts Malcolm Wells qui, dans les années 1970, alors que le mouvement environnemental prenait de l’ampleur aux États-Unis, a renoncé au design contemporain en faveur de logements souterrains à faible consommation d’énergie. Ses plans prévoyaient […]
Il y a 5 ans et 43 jours

Les réseaux se tissent aussi en BIM

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Il y a 5 ans et 43 jours

Dordogne : un plan de reprise à 8 millions d'euros

CORONAVIRUS -
Il y a 5 ans et 43 jours

Covid-19 : la trêve hivernale des expulsions prolongée jusqu'en juillet

"On va décaler la trêve hivernale jusqu'en juillet", a déclaré Julien Denormandie sur Franceinfo, ajoutant que la date précise serait annoncée dans la journée après consultation des parlementaires. La trêve avait jusqu'à présent été prolongée jusqu'au 31 mai pour aider les ménages, dont les revenus ont été amputés à cause du confinement.Mi-mars, le président de la République Emmanuel Macron avait annoncé, dans le cadre de la lutte contre la pandémie de Covid-19, un premier report inédit de deux mois de la fin de la trêve hivernale."Dès le début de l'épidémie, on a tout de suite décalé cette trêve hivernale et comme cette épidémie continue, on décale à nouveau cette trêve hivernale (...). Il est important de ne pas ajouter à cette période sanitaire des drames familiaux, des drames humains", a expliqué M. Denormandie jeudi.Interrogé sur une possible prolongation de la trêve jusqu'au début de l'hiver, le ministre n'a pas tranché mais a répondu vouloir, sur le principe, que les expulsions soient interdites tant que la crise continue.Les associations s'attendent, avec la baisse des revenus causée par le confinement et la crise économique engendrée, à une explosion des impayés de loyers et à une hausse des procédures d'expulsion intentées par les propriétaires.Ouvertes au début de la crise, les 20.000 places supplémentaires d'hébergement d'urgence devraient par ailleurs être maintenues au-delà du 11 mai, date du début du déconfinement, laisse entendre Julien Denormandie."Quand vous êtes dans un décalage de la trêve hivernale, ça veut bien dire que l'intention est de ne jamais avoir de mise à la rue pendant cette période que nous traversons", selon lui.Près de 180.000 personnes ont pu être mises à l'abri par les associations et les services de l'État depuis le début de la crise, notamment dans des chambres d'hôtel réquisitionnées.
Il y a 5 ans et 43 jours

Ça bouge chez Urbat !

CARNET-NOMINATION. Le Conseil de Surveillance de la société Urbat Promotion a nommé un nouveau président du Directoire et président de la Société. Découvrez son profil.
Il y a 5 ans et 43 jours

Sécurité et santé au travail : "pas question de déresponsabiliser les entreprises", selon Pénicaud

"Les organisations patronales ont demandé qu'on regarde ça", a-t-elle indiqué à l'occasion d'un déplacement sur ce thème dans une entreprise du Val-de-Marne."Avec le Premier ministre nous avons déjà répondu qu'il n'était pas question de déresponsabiliser les entreprises, qui ont la responsabilité de la santé et de la sécurité de leurs salariés, et c'est logique et c'est normal", a-t-elle ajouté."Dans le contexte d'une pandémie, évidemment c'est bien une obligation de moyens: comment on organise le travail, l'espace de travail, et c'est cela qui compte, c'est ce qu'on a montré dans le protocole de déconfinement" publié dimanche à destination des entreprises privées, a-t-elle dit.Le ministère du Travail a affirmé ces dernières semaines que les fiches "conseil métiers" qu'il confectionne, avec les recommandations sanitaires, pouvaient être opposables en cas de contentieux.Plusieurs sources syndicales ont rapporté à l'AFP que nombre d'entreprises craignaient des contentieux sur cette obligation "d'assurer la sécurité et de protéger la santé physique et mentale de ses salariés".D'où une lettre commune des organisations patronales (Medef, CPME, U2P, FNSEA, Unapl, Udes) à la ministre du Travail pour lui demander "d'adapter le cadre juridique à la situation actuelle" et "de limiter et de clarifier le périmètre de cette obligation" en s'appuyant sur une directive européenne de 1989 sur la sécurité et la santé au travail."Atténuer les responsabilités de qui que ce soit ne serait pas responsable au moment où tout le monde doit être très responsable pour aider à repartir, je pense que ce ne serait pas un bon signal, en revanche on peut aider à clarifier", a indiqué la ministre sur Europe 1 avant son déplacement.Cette question fait l'objet d'un débat au Parlement.Le Sénat a donné son feu vert lundi, contre l'avis du gouvernement, à un dispositif visant à aménager le régime de responsabilité pénale des employeurs, élus locaux et fonctionnaires amenés à prendre des mesures pour permettre la sortie du confinement.Dans un communiqué publié mercredi, CPME, U2P, et FNSEA "soutiennent sans réserve l'initiative sénatoriale" qui circonscrit la responsabilité pénale des chefs d'entreprise notamment "aux fautes intentionnelles ou commises par négligence ou par imprudence"."Elles en appellent aux députés pour maintenir le texte en l'état sur ce point" lorsque le texte reviendra à l'Assemblée.Ces organisations estiment en effet que "le protocole de déconfinement" présenté par le ministère du Travail "sera extrêmement difficile à mettre en œuvre"."Bon nombre des obligations prévues ne prennent en compte ni la réalité des entreprises, ni la diversité du tissu entrepreneurial français", ajoutent-elles.Dans une interview au Monde mardi, Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT, avait estimé pour sa part qu'une modification de la loi "serait un très mauvais signal". "Il faut une obligation de moyens renforcée. C'est sur ce sujet que doit être évaluée la responsabilité pénale ou civile des entreprises", a-t-il ajouté.
Il y a 5 ans et 43 jours

"L'économie française doit redémarrer" : le plan de déconfinement dévoilé

REPRISE. Le Premier ministre Edouard Philippe a présenté le plan de déconfinement qui entrera en vigueur le 11 mai : transports, charges, aides, précautions sanitaires... font partie des mesures qui ont été détaillées. Mais le Gouvernement appelle maintenant le pays à relancer impérativement son activité économique, tout en restant vigilant sur la circulation du virus.
Il y a 5 ans et 43 jours

Télétravail : ces 5 pratiques digitales vont-elles survivre à la crise ?

INITIATIVES DIGITALES. Café digital, quiz, visio recrutement... Nombreuses opérations digitales ont été imaginées et ont permis au numérique une poussée accélérée dans les entreprises en cette période de confinement. Vont-elles s'ancrer dans la durée ? La question est lancée.
Il y a 5 ans et 43 jours

Energie: retour à la normale en septembre pour les activités moins prioritaires

Le gouvernement vise un retour à la normale en septembre pour les activités jugées moins prioritaires dans le secteur de l'énergie, selon la ministre de la Transition écologique et solidaire, Elisabeth Borne.