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Toute l'actualité du bâtiment

256872 actualités disponibles
Il y a 5 ans et 42 jours

Sergei Tchoban – Une ville dessinée

Une ville dessinée, présentée par Sergei Tchoban, révèle l’interaction contrastée entre l’architecture historique et l’architecture moderne, si fortement présente dans nos villes. A Paris, jusqu’au 13 juin 2020. L’avenir de la ville européenne est le thème central du travail de Sergei Tchoban. Il est évident que le langage de l’architecture contemporaine et l’échelle des gestes […] L’article Sergei Tchoban – Une ville dessinée est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 43 jours

Siège social de Xenocs à Grenoble conçu par Aotu à Shanghai

Le studio Aotu architecture, fondé en 2006 à Shanghai par Hugues Leclercq, a livré en 2020 un immeuble tertiaire de 5 500m² à Grenoble (Isère). Le projet (8.3 M€ HT) intègre des bureaux, laboratoires ainsi qu’un showroom ouvert sur l’espace public. Communiqué du maître à tout faire. GSE a achevé en avril 2020 la construction d’un […] L’article Siège social de Xenocs à Grenoble conçu par Aotu à Shanghai est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 43 jours

Covid-19 : Londres élargit ses trottoirs et multiplie les pistes cyclables

Ces mesures visent à éviter que les transports en communs se retrouvent bondés une fois que les Britanniques reprendront le chemin du travail et à favoriser des alternatives aux trajets en voiture, plus polluants.Ces changements peuvent permettre de multiplier par 10 les kilomètres parcourus en vélo et par cinq la marche après la sortie du confinement, estiment la mairie et l'autorité chargée des transports londoniens, TFL, dans un communiqué.Pour cela, Londres va créer un nouveau réseau cyclable temporaire, imitant d'autres villes comme Berlin ou New York qui ont aménagé la voirie pour favoriser les déplacements en petite reine.Les trottoirs seront aussi agrandis dans les rues commerçantes pour permettre aux gens de garder leurs distances lorsqu'ils se croisent ou quand ils font la queue à l'entrée des magasins.Le stationnement et les voies réservées aux voitures seront déplacées pour permettre ces transformations."La capacité de nos transports publics sera considérablement réduite après le coronavirus en raison des énormes défis auxquels nous sommes confrontés en matière de distanciation sociale", a déclaré le maire travailliste de Londres, Sadiq Khan, dans ce communiqué.Tout en appelant ceux qui le peuvent à continuer de travailler à domicile, l'édile a expliqué vouloir aider "ceux qui doivent se rendre au travail" et permettre aux "nombreux Londoniens qui ont redécouvert la joie de la marche ou du cyclisme pendant le confinement" de les pratiquer en toute sécurité.Le confinement a été décrété le 23 mars et doit être réévalué jeudi, des annonces du gouvernement sur un assouplissement progressif étant attendues sous peu.Actuellement, les autorités recommandent d'éviter tout déplacement "non essentiel" mais autorisent les Britanniques à sortir de chez eux et faire de l'exercice une fois par jour.
Il y a 5 ans et 43 jours

Une maison semi-enterrée de 1985 dans une colline de Sheridan Usa

« Nous sommes en train de paver et de recouvrir ce pays à mort ». Ce sont les mots de l’architecte du Massachusetts Malcolm Wells qui, dans les années 1970, alors que le mouvement environnemental prenait de l’ampleur aux États-Unis, a renoncé au design contemporain en faveur de logements souterrains à faible consommation d’énergie. Ses plans prévoyaient […]
Il y a 5 ans et 43 jours

Les réseaux se tissent aussi en BIM

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Il y a 5 ans et 43 jours

Dordogne : un plan de reprise à 8 millions d'euros

CORONAVIRUS -
Cimbat
Il y a 5 ans et 43 jours

Ça bouge chez Urbat !

CARNET-NOMINATION. Le Conseil de Surveillance de la société Urbat Promotion a nommé un nouveau président du Directoire et président de la Société. Découvrez son profil.
Il y a 5 ans et 43 jours

Sécurité et santé au travail : "pas question de déresponsabiliser les entreprises", selon Pénicaud

"Les organisations patronales ont demandé qu'on regarde ça", a-t-elle indiqué à l'occasion d'un déplacement sur ce thème dans une entreprise du Val-de-Marne."Avec le Premier ministre nous avons déjà répondu qu'il n'était pas question de déresponsabiliser les entreprises, qui ont la responsabilité de la santé et de la sécurité de leurs salariés, et c'est logique et c'est normal", a-t-elle ajouté."Dans le contexte d'une pandémie, évidemment c'est bien une obligation de moyens: comment on organise le travail, l'espace de travail, et c'est cela qui compte, c'est ce qu'on a montré dans le protocole de déconfinement" publié dimanche à destination des entreprises privées, a-t-elle dit.Le ministère du Travail a affirmé ces dernières semaines que les fiches "conseil métiers" qu'il confectionne, avec les recommandations sanitaires, pouvaient être opposables en cas de contentieux.Plusieurs sources syndicales ont rapporté à l'AFP que nombre d'entreprises craignaient des contentieux sur cette obligation "d'assurer la sécurité et de protéger la santé physique et mentale de ses salariés".D'où une lettre commune des organisations patronales (Medef, CPME, U2P, FNSEA, Unapl, Udes) à la ministre du Travail pour lui demander "d'adapter le cadre juridique à la situation actuelle" et "de limiter et de clarifier le périmètre de cette obligation" en s'appuyant sur une directive européenne de 1989 sur la sécurité et la santé au travail."Atténuer les responsabilités de qui que ce soit ne serait pas responsable au moment où tout le monde doit être très responsable pour aider à repartir, je pense que ce ne serait pas un bon signal, en revanche on peut aider à clarifier", a indiqué la ministre sur Europe 1 avant son déplacement.Cette question fait l'objet d'un débat au Parlement.Le Sénat a donné son feu vert lundi, contre l'avis du gouvernement, à un dispositif visant à aménager le régime de responsabilité pénale des employeurs, élus locaux et fonctionnaires amenés à prendre des mesures pour permettre la sortie du confinement.Dans un communiqué publié mercredi, CPME, U2P, et FNSEA "soutiennent sans réserve l'initiative sénatoriale" qui circonscrit la responsabilité pénale des chefs d'entreprise notamment "aux fautes intentionnelles ou commises par négligence ou par imprudence"."Elles en appellent aux députés pour maintenir le texte en l'état sur ce point" lorsque le texte reviendra à l'Assemblée.Ces organisations estiment en effet que "le protocole de déconfinement" présenté par le ministère du Travail "sera extrêmement difficile à mettre en œuvre"."Bon nombre des obligations prévues ne prennent en compte ni la réalité des entreprises, ni la diversité du tissu entrepreneurial français", ajoutent-elles.Dans une interview au Monde mardi, Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT, avait estimé pour sa part qu'une modification de la loi "serait un très mauvais signal". "Il faut une obligation de moyens renforcée. C'est sur ce sujet que doit être évaluée la responsabilité pénale ou civile des entreprises", a-t-il ajouté.
Il y a 5 ans et 43 jours

"L'économie française doit redémarrer" : le plan de déconfinement dévoilé

REPRISE. Le Premier ministre Edouard Philippe a présenté le plan de déconfinement qui entrera en vigueur le 11 mai : transports, charges, aides, précautions sanitaires... font partie des mesures qui ont été détaillées. Mais le Gouvernement appelle maintenant le pays à relancer impérativement son activité économique, tout en restant vigilant sur la circulation du virus.
Il y a 5 ans et 43 jours

Télétravail : ces 5 pratiques digitales vont-elles survivre à la crise ?

INITIATIVES DIGITALES. Café digital, quiz, visio recrutement... Nombreuses opérations digitales ont été imaginées et ont permis au numérique une poussée accélérée dans les entreprises en cette période de confinement. Vont-elles s'ancrer dans la durée ? La question est lancée.
Il y a 5 ans et 43 jours

Energie: retour à la normale en septembre pour les activités moins prioritaires

Le gouvernement vise un retour à la normale en septembre pour les activités jugées moins prioritaires dans le secteur de l'énergie, selon la ministre de la Transition écologique et solidaire, Elisabeth Borne.
Il y a 5 ans et 43 jours

"Cette crise va faire émerger encore plus de vulnérabilités" (ICF Habitat)

ENTRETIEN. Romain Dubois, directeur général d'ICF Habitat et Emmanuelle Barbet, directrice générale d'ICF Habitat Atlantique reviennent, pour Batiactu, sur l'impact du confinement sur le métier de bailleur, et esquissent les modalités de la reprise.
Il y a 5 ans et 43 jours

Un assureur du BTP débloque un fonds exceptionnel pour les entreprises

Le groupe SMA met en place des mesures exceptionnelles pour aider ses sociétaires à traverser la crise du Covid-19. La plupart s’appliqueront automatiquement pour faciliter la vie des entreprises.
Il y a 5 ans et 43 jours

Infranum lance une étude d'impact de l'épidémie de covid-19 sur ses activités

FIBRE OPTIQUE. La fédération Infranum a commandé une étude pour mesurer l'impact de la crise sanitaire sur la filière des infrastructures numériques. Un diagnostic qui doit l'aider à formuler des propositions précises et chiffrées au gouvernement dans le cadre du futur plan de relance de l'économie.
Il y a 5 ans et 43 jours

Patrimoine et métiers d'art : "Il faut soutenir les petits chantiers", S. Bern

PATRIMOINE. La délégation sénatoriale aux collectivités territoriales a auditionné ce 7 mai l'animateur Stéphane Bern sur deux sujets : la Mission Patrimoine qu'il dirige et qui lui a été confiée par Emmanuel Macron, et le rôle des collectivités et des métiers du bâtiment dans la sauvegarde du patrimoine local. Le journaliste en appelle notamment à un "New Deal du patrimoine".
Il y a 5 ans et 43 jours

Le chiffre d'affaires de Nexity impacté par le confinement

RÉSULTATS. Le groupe de promotion immobilière Nexity enregistre une baisse de son chiffre d'affaires au premier trimestre 2020. Son PDG, Alain Dinin, reste confiant sur le niveau d'activité post-crise.
GDA
Il y a 5 ans et 43 jours

La RE2020 repoussée à l'été 2021

REGLEMENTATION. Crise du covid obligé, les pouvoirs publics ont décidé de reporter plusieurs mesures emblématiques, dont la réglementation environnementale 2020. D'autres réformes pourraient être concernées, comme le diagnostic de performance énergétique ou le label Reconnu garant de l'environnement.
Il y a 5 ans et 43 jours

Le chômage partiel sera pris en compte pour la retraite de base

"Je présenterai demain au Conseil des ministres une disposition législative qui permettra l'acquisition des droits à la retraite de base pendant les périodes d'activité partielle", a déclaré Mme Pénicaud au Sénat.Actuellement, cette indemnité (84% du salaire net, 100% au niveau du Smic) n'est pas prise en compte par l'Assurance vieillesse, ni pour la durée d'activité (trimestres cotisés), ni pour le montant de la pension (salaires des 25 meilleures années)."Jusqu'ici, cela avait peu d'importance puisque l'activité partielle était peu utilisée, pour des périodes courtes, donc ça ne pénalisait pas les personnes concernées", a expliqué la ministre.Mais le coronavirus et le confinement ont créé "une situation tout à fait exceptionnelle, avec un chômage partiel massif", qui touche plus de 12 millions de salariés et "qui va durer de façon assez prolongée dans un certain nombre de secteurs qui ne peuvent pas rouvrir tout de suite", a-t-elle ajouté.Le problème avait été soulevé la semaine dernière par une note du cabinet de conseil Groupe Alpha, qui affirmait que "de nombreux salariés pourraient perdre des trimestres", en particulier dans l'hôtellerie, la restauration et le tourisme.Des syndicats s'en étaient émus, Dominique Corona (Unsa) craignant que cela "joue sur la décote en fin de carrière" tandis que Frédéric Sève (CFDT) s'inquiétait pour "ceux qui font des petits volumes horaires, comme les aides à domicile".
Il y a 5 ans et 43 jours

Délais d'instruction : une nouvelle ordonnance pour "stabiliser" la situation

RÉGLEMENTATION. Julien Denormandie a présenté, ce jeudi en Conseil des ministres, une nouvelle ordonnance fixant la date de reprise des délais d'instruction des demandes d'urbanisme, et du droit de recours notamment.
Il y a 5 ans et 43 jours

Les artisans invitent les particuliers à les soutenir

COMMUNICATION. Malgré une période incertaine, les artisans n'ont pas failli à leur réputation de service de proximité. Dans la mesure du possible, ils ont poursuivi leur activité. Malheureusement, pour certains, l'arrêt des chantiers fut brutal. Afin de relancer la machine, des campagnes de communication tentent de rassurer et sensibiliser les particuliers.
Il y a 5 ans et 43 jours

Covid-19 : Le patronat satisfait par les exonérations de charges mais demande encore un effort

Le Premier ministre Édouard Philippe a indiqué lundi au Sénat que le gouvernement était prêt à convertir les reports déjà accordés "en exonérations définitives de charges, non seulement pour les entreprises du secteur de la restauration et du tourisme, mais aussi pour toutes les TPE ayant fait l'objet de mesures de fermeture"."Le Medef portait une demande de dégrèvement, d'annulation de charges", car "une entreprise, un commerce qui a totalement fermé ne sera pas dans la capacité de rembourser, parce que le chiffre d'affaires perdu s'est envolé à jamais", a réagi sur LCI son vice-président et porte-parole Fabrice Le Saché.L'Union des entreprises de proximité (U2P), qui représente des commerçants, artisans et professions libérales, s'est elle félicitée dans un communiqué "que le gouvernement donne ainsi une suite favorable à sa demande".L'exonération annoncée par le Premier ministre Edouard Philippe permettra selon l'U2P "d'aborder la relance de l'activité dans de meilleures conditions".La mesure gouvernementale "répond à la logique +zéro recette, zéro dépense+ défendue par l'U2P depuis le début de la crise", explique cette organisation."C'est une bonne mesure, mais nous considérons que c'est une première étape" et "il nous semble que de toute façon il faudra l'élargir", a estimé de son côté le président de la CPME François Asselin, dans un entretien à l'AFP."Au-delà des secteurs qui ont subi une fermeture administrative, il y en a d'autres qui s'en trouvent directement victimes", a-t-il expliqué en citant en exemple les distributeurs de boissons, car "leurs clients étant fermés, ils ne vendent plus".Pour le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises, "il faut y aller avec une épuisette un peu plus large en n'oubliant personne, parce qu'il y en a qui, s'ils n'ont pas cette mesure d'exonération de charges, ne pourront jamais redémarrer".Du côté du réseau des Chambres de métiers et de l'artisanat (CMA France), on salue cette décision tout en demandant aussi une "équité de traitement en direction de l'ensemble des entreprises artisanales" avec la "nécessité d'annuler ces charges y compris pour les entreprises qui ont pu ouvrir pendant cette période et dont la perte de chiffre d'affaires est conséquente".Dans la même ligne, la Fédération du commerce coopératif et associé (FCA), qui couvre une trentaine de secteurs d'activité (alimentation, bricolage, sport, pharmacie, optique...), estime qu'"un très grand nombre de commerces ne sont pas concernés par la fermeture administrative mais ont subi une fermeture de fait, en raison du confinement".Elle réclame donc aussi pour eux un "effort", par "exigence d'égalité et de justice".
Il y a 5 ans et 43 jours

RE2020 : la méthode est publiée, les exigences manquent encore

Le 21 avril, le gouvernement a publié quatre documents sur la future RE2020 qui détaillent la méthode de calcul. 
Il y a 5 ans et 43 jours

L'office HLM de Bobigny opposé à l'annulation des loyers d'avril

L'office public de l'habitat de Bobigny (93) a averti que "le manque de bases légales" et sa santé financière "ne permettent pas" l'annulation des loyers d'avril pour 4.000 locataires.
Il y a 5 ans et 43 jours

Les loueurs ne veulent pas être une variable d’ajustement

Le syndicat des loueurs (DLR), par la voix de son délégué général, Hervé Rebollo, a appelé au respect de son activité. [©DLR] Dans un long communiqué, le syndicat des loueurs, DLR, a rappelé que « les loueurs ne sont pas une variable d’ajustement ». Un appel à l’honnêteté et à la solidarité de leurs clients. D’après le syndicat, les « professionnels de la location de matériels constatent le retour de pratiques dignes des pires moments vécus lors de la dernière crise économique. Déclaration de fausses intempéries, non-déclaration de remise en marche des matériels loués arrêtés sur sites depuis le début de la crise ». Alors que le retour à l’activité est encore limité, DLR « redoute que ces pratiques ne se généralisent dans les semaines et mois à venir. Celles-ci permettent à certains clients de tenter d’améliorer de manière artificielle la rentabilité de leurs activités, au détriment de leurs partenaires loueurs ». L’effort de guerre a été fourni L’occasion de rappeler que « les loueurs de matériels ont subi brutalement et sans préavis l’arrêt des activités dans le pays. Dans les premiers jours, ils ont dû se battre littéralement pour que leurs matériels ne soient pas laissés à l’abandon. Ceci, par des clients qui ne voulaient plus en assurer la garde. Puis dans un second temps, très rapproché, ces mêmes clients ont unilatéralement suspendu dans le meilleur des cas. Et souvent mis fin, aux contrats qui les liaient ». « L’effort de guerre » a été fourni (et le sera encore dans les mois à venir) par les professionnels de la location de matériels. « Mais ces professionnels refusent d’être considérés à leur détriment [par leurs clients] comme une simple variable d’ajustement de leur rentabilité. DLR considère que les facturations LMD et LLD doivent reprendre courant mai . C’est une question de survie pour certains loueurs et une garantie de la pérennité de l’activité même de leurs clients ». 
Il y a 5 ans et 43 jours

Gamme pour toitures en zinc mates

GRANUM de Rheinzink a été conçue pour réunir les zincs mats permettant de magnifier les bâtiments haussmanniens ou les toitures à l’impériale, tout comme les architectures contemporaines. Les aspects de surface Skygrey et Basalte évoluent et donnent naissance à GRANUM, une ligne dédiée à ces finitions. Les propriétés des zincs Skygrey et Basalte ont évolué et ont été optimisés pour une plus grande stabilité de l’aspect et de meilleures aptitudes au profilage. La surface mate, obtenue par un traitement de haute technicité, laisse transparaitre, de façon pérenne, la veinure typique du zinc. Un atout esthétique et technique adapté aussi bien en rénovation qu’en constructions neuves. La gamme ne nécessite aucun entretien et constitue une solution durable pour tous les domaines d’application. RHEINZINK, premier fabricant mondial de zinc-titane pour le bâtiment, complète son offre d’aspects de surface de zinc, avec GRANUM, une gamme dédiée aux zincs mats.
Il y a 5 ans et 43 jours

LafargeHolcim limite les conséquences du Covid-19

Jan Jenisch est le CEO de LafargeHolcim. [©LafargeHolcim] LafargeHolcim affiche un recul de ses ventes de 3,3 % au premier trimestre de cette année. Un résultat impacté par la crise de Covid-19 qui secoue l’Europe, et, avant elle, la Chine. « Nous faisons face à une crise sanitaire sans précédent avec le Covid-19. Qui change la manièr, dont nous vivons et dont nous travaillons, de bien des façons, a expliqué Jan Jenisch, CEO du groupe LafargeHolcim. Garder nos employés en bonne santé et en sécurité est notre préoccupation n° 1. Mais les résultats du premier trimestre montrent combien nous sommes résilients en tant qu’acteurs économiques. Grâce au renforcement de nos bases économiques, nous sommes tout à fait aptes à traverser cette tempête. Je suis confiant dans le fait que LafargeHolcim émerge de cette pandémie comme un acteur important du retour à la normale de la construction ». Encore trop tôt… Dans le détail des résultats région par région, l’Europe a montré une activité solide. Notamment grâce aux performances de la Suisse et de l’Allemagne. Alors que les marchés britannique, espagnol et français étaient fortement impactés par la crise. En revanche, l’Amérique du Nord a obtenu d’excellents résultats. Avec une demande constante en ciment et en granulats. Le volume total a progressé de 12 %, par rapport à l’année précédente. C’est surtout grâce aux très importants travaux engagés le long du fleuve Mississippi. En Amériques centrale et latine, le Mexique a fait figure de locomotive. Alors que l’Argentine, le Brésil la Colombie et l’Equateur, ont été fortement impactés à la mi-mars. L’Afrique et le Moyen-Orient ont obtenu de bons résultats, malgré des confinements en Afrique du Sud et au Liban. Et c’est sans surprise que l’Asie, qui a subi le plus fort impact de la pandémie, avec un marché chinois quasiment à l’arrêt depuis début janvier… Les conséquences les plus fortes sur l’économie sont attendues pour le 2e trimestre de l’année par le groupe cimentier. Notamment en Europe. Mais les résultats d’avril ont été encourageants dans de nombreux pays, notamment en Chine. Cependant, il est encore trop tôt pour que LafargeHolcim annonce des objectifs révisés pour cette année 2020.
Il y a 5 ans et 43 jours

Rencontre avec : Eva Nielsen

Diplômée des Beaux-Arts de Paris en 2009, l’artiste franco-danoise Eva Nielsen crée des œuvres protéiformes énigmatiques. Avec ses toiles peintes, parfois imprimées ou sérigraphiées, elle bouscule les codes de la peinture, mixe les médiums et sollicite l’imagination du regardeur. Rencontre avec une peintre inspirée et inspirante. Muuuz : Pouvez-vous nous raconter votre parcours ?Eva Nielsen : Quand j’étais jeune, je ne voulais pas être artiste. Après un DEUG de Lettres Modernes et une maîtrise d’Histoire Européennes à la Sorbonne, j’ai finalement tenté les Beaux-Arts de Paris et j’ai été acceptée. Mon entrée aux Beaux-Arts a été une étape décisive dans mon parcours. J’ai adoré mes années là-bas. J’ai rencontré mes amis, des artistes très intéressants qui m’ont appris autant que mes professeurs. Grâce à la bourse Socrate, j’ai étudié à la Central Saint Martins en 2008. Ce séjour à Londres a été très enrichissant. Ensuite, j’ai rapidement commencé à travailler avec des galeries. Plusieurs résidences artistiques en France et à l’étranger ont ponctué ma carrière. J’ai eu la chance d’aller en Norvège avec l’artiste Mireille Blanc pour travailler à LKV en 2012, puis à Los Angeles avec le peintre Raphaël Barontini pour profiter de tous les ateliers techniques de The Cabin en 2017. Les expositions collectives ont également jalonné mon parcours. J’aime que mes œuvres soient confrontées aux créations d’autres artistes. Quelle est votre approche de la peinture ?Dans ma peinture, il est d’abord question de promouvoir l’hybridité, le collage et la pluridisciplinarité. La toile permet de saisir une partie d’un tout. Je suis très intéressée par l’image photographique, et son aspect tronqué. En photographie comme en peinture, l’artiste capture une vision, qui est forcément parcellaire. Le hors-champs est tout aussi intéressant que la toile. Techniquement, ma peinture se définit par superposition. J’aime, par exemple, faire coïncider un fond diffus avec une ligne franche obtenue par sérigraphie. La technique va aussi de pair avec l’intellect. Quand j’ai en tête une image, je choisis une technique spécifique pour la poser sur la toile. La technique découle ainsi de l’idée. J’aime cette rencontre du geste avec l’esprit. Vous êtes peintre, mais aussi photographe et sérigraphe. De la peinture à la sérigraphie, quel est votre processus de création ? Mon processus de création n’est pas défini. Il y a toujours une prise de risque, qui est d’ailleurs très excitante. En ce moment, je mixe toutes les techniques. Je peins ma toile, je l’introduis dans une imprimante et je la sérigraphie. Je me perds aussi dans les étapes, du collage à la surimpression. L’expérimentation de l’atelier au quotidien apporte son lot d’aléas. C’est important de voir l’accident et de le conserver. Quand j’étais étudiante, je m’opposais à l’accident. Aujourd’hui, au contraire, je chéris les imprévus. L’art le plus complet est sans doute celui où l’artiste parvient à réguler les improvisations pour les incorporer complétement au processus de création. Ainsi, la séance à l’atelier est complexe et intéressante. Parfois, je jette mes toiles. J’aime ce geste confiant, qui révèle une mise à distance de l’acte de création. Je reste persuadée que l’égo pour l’égo est assez nuisible, car l’envie de créer doit prévaloir. Mon œuvre rassemble des références multiples. L’art est une rencontre entre différents domaines. Je suis fascinée par le Black Mountain College, une université américaine humaniste qui fut marquée par les préceptes de Josef et Anni Albers. Avec l’arrivée du couple aux États-Unis au début des années 1930, le Black Mountain College devient une école avant-gardiste, où toutes les disciplines artistiques sont enseignées. J’aime toutes les créations. Je ne pourrais pas me cantonner à un seul médium. Beaucoup de vos œuvres sont issues d’une réflexion sur l’espace urbain. D’où vous vient cette fascination pour les paysages ? Je vis et travaille en banlieue depuis dix ans. La banlieue m’inspire beaucoup. Les paysages périurbains sont toujours pluriels. Ils évoluent constamment. En banlieue, j’aime l’alternance entre des paysages très construits et des lieux abandonnés comme les carrières en friche. À Villeneuve-Saint-Georges, par exemple, toutes les étapes de l’urbanisation sont visibles. Dès que je voyage, je prends les transports en commun et je visite les banlieues, que ce soit à Berlin ou à New York. J’aime découvrir comment une ville évolue. Les banlieues sont des lieux qui sont eux-mêmes des collages, des oxymores. J’aime que l’espace ne soit jamais défini. Je peins des lieux possibles, qui ne sont jamais figés. Je ne suis pas documentaliste ni géographe. Les lieux que je peins ne sont donc pas vraiment réels.Quel rapport entretenez-vous avec l’architecture ?Mon rapport avec l’architecture est empirique. Je la vis, je la vois, je la documente, je la peins. Je suis fascinée par la maison, mais aussi par l’abris tel que Louise Bourgeois le défini. Juste après la crise des subprimes, j’ai fait un road trip à Détroit et j’ai découvert tous les logements abandonnés, toutes ces habitations qui perdent leur valeur première d’espace vécu. L’architecture est à fois fabuleuse et fragile, car elle porte en elle-même sa propre fin. Lorsque je peins des architectures, ce n’est pas le bâtiment en soi qui m’intéresse, mais le rapport que l’homme entretient avec lui. Je suis aussi passionnée par la réalisation de maquettes. Quand j’avais dix ans, je me suis cassée la jambe. Après l’incident, j’ai dû rester sans bouger pendant un an. Un jour, mon père m’a offert une maquette. J’ai alors occupé ma convalescence en fabriquant des tonnes de maquettes. Quels artistes vous inspirent ? Pourquoi ?Je suis influencée par de nombreuses personnalités. J’aime beaucoup les peintres romantiques comme Caspar David Friedrich, qui laisse une grande place au regardeur dans ses peintures. Je cherche moi-même à substituer mes yeux à ceux du regardeur. Je souhaite que le regardeur puisse laisser libre cours à son imagination. On retrouve cela chez les artistes surréalistes. Man Ray me plaît beaucoup car il incarne parfaitement la modernité. Je m’inspire également de plusieurs artistes modernes et contemporains. J’adore Paul Cézanne, Paul Klee, Ed Ruscha, Georgia O'Keeffe, Lee Lozano ou encore Helen Frankenthaler. Mais je suis aussi fascinée par la photographie et l’architecture. Je suis fan des clichés poétiques pris par Luigi Ghirri et des architectures complexes imaginées par Zaha Hadid. Sur quoi travaillez-vous en ce moment ? Actuellement, je travaille sur trois séries. Dans une série, je peins des architectures anthropomorphiques, c’est-à-dire des architectures qui prennent une morphologie humaine. C’est lors d’un séjour à Sibiu en Roumanie que j’ai découvert ces bâtiments surprenants. Je réfléchis également sur l’idée d’image troublée, qui est d’ailleurs parfaitement illustrée par la photographie Portrait de l’espace de Lee Miller. Dans une autre série, j’envisage les architectures comme des percées dans l’horizon, des orbites à travers lesquels on tente de deviner une partie du paysage. J’aime travailler sur plusieurs séries simultanément pour pouvoir aller de l’une à l’autre sans me lasser. Pour en savoir plus, visitez le site de l’artiste Eva Nielsen et le site de la Galerie Jousse Entreprise. Visuels : Portrait © Vincent Ferrane, Œuvres © Eva NielsenLéa Pagnier
Il y a 5 ans et 43 jours

Rénovation d’une toiture amiantée sans dépose

Déposer une toiture amiantée peut vite devenir lourd d’un point de vue financier car il convient de faire appel à une société spécialisée et certifée sous section 3 du Code du travail. Celle-ci doit sécuriser l’ensemble du chantier, dans un cadre législatif très strict. Pour rénover la toiture de leur concession automobile et éviter toute perte d’exploitation durant le chantier, les dirigeants de cette entreprise, située à Caudan dans le Morbihan, ont choisi une rénovation en sur-toiture avec le système ONDUCLAIR RENOV FC proposé par ONDULINE. Le bâtiment est composé de 3 halls, chacun recouvert d’une toiture ondulée en fibrociment amianté de 1 400 m2, soit une surface totale de 4 200 m2. Compte tenu de l‘importance de la surface à rénover et des contraintes économiques, il a été choisi de conserver l’ancienne toiture et de la recouvrir sans perçage avec un matériau adapté. Il a fallu opter pour une solution légère, qui puisse être supportée par la charpente existante.
Il y a 5 ans et 43 jours

Pierres en trompe l’oeil sur une façade en aluminium

Le Centre International de Conventions du Pays de Galles conçu par le cabinet Boyes Reed Architects, reprend certaines caractéristiques des bâtiments locaux, en les revisitant avec une vision actuelle. Pour le design de la façade, les architectes se sont inspirés des murs en pierre typiques des bâtiments civils du sud du Royaume-Uni, évoquant l’effet d’ardoise – gris foncé – et la pierre calcaire -gris clair chaud. Ils ont utilisé un revêtement en aluminium plié sous forme de blocs rectangulaires de différentes dimensions, de chez Kingspan. Les panneaux ont un noyau isolant hybride exclusif qui peut atteindre des valeurs de U de 0.08 W / m2 ∙ K. La jonction entre les panneaux se réalise à l’aide de languettes et fentes crénelées et atteint une excellente étanchéité à l’air. Les couches d’aluminium sont prétraitées afin d’améliorer la résistance à la corrosion et sont peintes avec la peinture en poudre de la collection Patina Stone (Adapta Color) classe 2. L’objectif n’est pas d’imiter la pierre, simplement l’évoquer grâce à la couleur, l’effet et l’opacité de cette gamme de peinture.
Il y a 5 ans et 43 jours

“Champs-Elysées : Histoire et Perspectives”, une expo immersive et participative

« Il faut plus de végétal, plus d’arbres, plus de fleurs pour que les petits oiseaux et les pollinisateurs reviennent à Paris », insiste le commissaire de l’exposition, Philippe Chiambaretta. [©PCA-STREAM] Au travers de dessins, films, photographies inédites, gravures et cartes créées pour l’occasion, l’exposition “Champs-Elysées : Histoire et Perspectives”, a débuté, le 14 février dernier, au Pavillon de l’Arsenal. Elle retrace l’histoire de cette avenue imaginée par Le Nôtre en 1664. Baptisée Champs-Elysées à partir de 1709, l’artère a été aménagée par Jacques-Ignace Hittorff et Adolphe Alphand au XIXesiècle.  En cette période de confinement, alors que les espaces culturels sont fermés, le Pavillon de l’Arsenal et l’agence d’architectes PCA-Stream ont lancé la version virtuelle de l’exposition. L’occasion de revenir sur l’histoire, mais aussi sur l’avenir de “la plus belle avenue du Monde”. Le public étant invité à réinventer les “Champs”. En effet, particularité de l’évènement, cette visite immersive est aussi participative. Parents et enfants peuvent désormais, depuis leur salon, se promener sur les Champs-Elysées du futur et en devenir les co-constructeurs. « Avec une ambition affichée : faire des Champs-Elysées le nouveau symbole d’une ville désirable, durable et inclusive », commente Philippe Chiambaretta, architecte chez PCA-Stream et commissaire de l’exposition. Pendant le confinement… Avant sa fermeture début mars dernier, cette exposition enregistrait déjà un succès aussi bien, en termes de fréquentation physique que de participation en ligne. Quelque 46 000 Franciliens avaient déjà formulé 1 600 propositions et réalisé 210 000 votes. Les résultats de cette consultation citoyenne, qui continuent, seront annoncés à la fin du mois de juin et remis aux pouvoirs publics. L’exposition propose toujours de nombreuses pistes pour permettre aux habitants de se réapproprier “leur” Champs-Elysées. A la fin de leur parcours, les internautes sont en effet invités à voter et à soumettre leurs propositions pour transformer l’avenue, via la plate-forme citoyenne Make.org. Et les enfants pourront partager leur vision de l’avenir des Champs-Elysées. Ceci, grâce à un concours de dessin en partenariat avec l’association Paris Mômes. Ce concours leur propose de s’inspirer de l’exposition virtuelle. Puis, de dessiner leur projet pour l’avenir des Champs-Elysées sur un fond à imprimer chez soi. Les enfants peuvent ensuite photographier et envoyer leur œuvre, jusqu’au 10 mai inclus par mail à : concours@parismomes.fr “Champs-Elysées : Histoire et Perspectives” a ainsi été réalisée en collaboration avec le prestigieux Media Lab MIT (Massachusetts Institute of Technology) pour réaliser sa mise en ligne. Ceci, en utilisant la palette la plus large possible de formats : plans du quartier en timelapse, films historiques, projection de flux dynamiques, vidéo immersive d’une “Vision 2030” pour les Champs-Elysées…  Une “Vision 2030” Les Champs-Élysées sont l’avenue la plus connue au monde et pourtant ils sont de moins en moins fréquentés par les Parisiens. Sur les 100 000 piétons qui l’arpentent quotidiennement, à peine 5 % sont des Parisiens en promenade. [©PCA-STREAM]Beaucoup de Parisiens n’aiment pas – ou n’aiment plus – les Champs-Élysées. [©PCA STREAM]Les 15 hectares de jardins sont relativement 40 fois moins fréquentés que le parc Monceau, distant d’un kilomètre seulement. [©PCA-STREAM]39 % des Parisiens déclarent en avoir une « mauvaise image », dont les principales caractéristiques sont selon eux d’être « touristiques », « bruyants », « artificiels », « stressants ». (Étude IFOP 2019). [©PCA-STREAM]En réalité le désamour des parisiens n’a rien d’irréversible, il exprime surtout le désir pour une nouvelle urbanité, dans un contexte de crise environnementale, d’accélération démographique et de creusement des inégalités. [©PCA-STREAM]C’est pourquoi le commissaire de l’exposition, avec l’aide des citoyens, « réenchanter les Champs-Élysées » pour en faire le modèle d’une ville durable, désirable, inclusive. [©PCA-STREAM]C’est dans ce cadre que le Comité Champs-Élysées, qui rassemble tous les acteurs culturels et économiques de l’avenue, a demandé à Philippe Chiambaretta et son agence PCA-STREAM de réfléchir à un réaménagement urbain de grande ampleur. [©PCA-STREAM]L’exposition propose toujours de nombreuses pistes pour permettre aux habitants de se réapproprier “leur” Champs-Elysées. A la fin de leur parcours, les internautes sont en effet invités à voter et à soumettre leurs propositions pour transformer l’avenue, via la plate-forme citoyenne Make.org. [©PCA-STREAM]Parents et enfants peuvent désormais, depuis leur salon, se promener sur les Champs-Elysées du futur et en devenir les co-constructeurs. [©PCA-STREAM] Cette exposition est la concrétisation d’un projet initié à l’été 2018 par le Comité Champs-Elysées, association qui réunit les acteurs culturels et économiques de l’Avenue. Et ce, afin de “réenchanter” les Champs-Elysées. Le comité a confié une mission de réflexion à l’architecte Philippe Chiambaretta. Sa “Vision 2030” inclut un réaménagement complet de l’avenue et de ses places (Etoile, Concorde) à l’horizon 2030. Egalement, la création d’un grand “parc central” de 28 ha, réunissant les jardins des Champs-Elysées et le Cours de la Reine. Ainsi que le renouvellement de la programmation artistique, culturelle… « Rafraîchir et végétaliser l’avenue, rendre les sols plus perméables, faciliter les mobilités douces, valoriser le patrimoine ou encore permettre aux habitants de se réappropier leurs Champs-Elysées. Tels sont les enjeux que réinterrogent l’exposition », conclut Philippe Chiambaretta. M. C.
Il y a 5 ans et 43 jours

Eiffage décroche un nouveau marché dans le milieu hospitalier

CONTRAT. Le groupe Eiffage a signé un contrat pour la conception, la réalisation, l'entretien et la maintenance (CREM) pour un nouvel équipement d'une surface de 45.000 m2, en région parisienne.
Il y a 5 ans et 43 jours

Espace de vie urbain en bois Kebony dans le centre ville de Cagnes sur Mer

C'est dans un environnement résidentiel agrémenté de petits commerces que se tient la toute nouvelle place de Gaulle, une place réaménagée pour la population à l'aide de bancs et d'une scène en bois Kebony. Des arbres apportent un ombrage naturel pendant l'été. C'est l'agence d'architectes paysagistes Guillermin qui a conçu et mené ce projet de requalification dans son ensemble, réalisé par le groupement Spada – Tama, qui a sous-traité la partie aménagement bois à la société Xyleo.« Nous devions créer une scène en platelage bois et des bancs solides, durables et démontables. La scène devant être utilisée pour des spectacles, il fallait aménager une trappe pour qu'une personne puisse entrer sous la scène et gérer les branchements électriques nécessaires », explique Yannick Daeffler, gérant de la société Xyleo. « Le projet devait initialement être réalisé en Ipé, pour une question de durabilité. Nous avons proposé de remplacer cette essence par du Kebony, qui présente les mêmes caractéristiques de durabilité et d'aspect – grâce à sa couleur marron chocolat et à l'absence de nœuds – mais dont l'impact écologique est bien moindre », poursuit-il.Le bois ainsi que le système Grad de fixation de lames utilisé ont été fournis par Woodstone Project. Développée en Norvège, la technologie brevetée Kebony est un procédé respectueux de l'environnement, qui modifie les résineux issus de sources durables en chauffant le bois avec de l'alcool furfurylique ; un sous-produit agricole. En polymérisant la paroi cellulaire du bois, les résineux adoptent en permanence les attributs du bois dur tropical, notamment une durabilité, une dureté et une stabilité dimensionnelle élevées, sans recourir à la déforestation tropicale, ce qui donne un beau produit en bois très performant, idéal pour ce projet à la fois esthétique et soumis à un passage intense. Avec le temps, le bois Kebony développe une patine gris argenté, qui permettra à cet espace de se fondre harmonieusement avec ses environs urbains.Technologie KebonyLa technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d'améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l'environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide biologique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa durabilité et sa stabilité dimensionnelle, sans pour autant sacrifier son esthétique.
Il y a 5 ans et 43 jours

Confiné.e.s : Maud Caubet

Face au confinement imposé à tous pour contrer la propagation du virus Covid-19, nombre d’architectes ont ...En savoir plus Cet article Confiné.e.s : Maud Caubet est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 5 ans et 43 jours

Hoffman Green Cement Technologies poursuit son développement

Unité de production Hoffmann Green Cement Technologie à Bournezeau, en Vendée. [©ACPresse] Spécialiste du ciment décarboné pour la construction, Hoffman Green Cement Technologies (HGCT) a présenté, le 24 avril dernier, les résultats de l’année 2019. « Nous avons clôturé 2019 sur une dynamique positive. Qui a été marquée par le franchissement d’étapes clefs de notre plan de développement, ont expliqué Julien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs de la société. Tout d’abord, nos différents succès commerciaux ont confirmé la pertinence et l’attractivité de notre positionnement. Et de sa valeur ajoutée dans un marché qui doit s’engager et accélérer sa transition énergétique. Nous avons ainsi commercialisé nos premières 1 000 t de ciments décarbonés, soit un niveau en ligne avec nos objectifs. » Réussite de l’introduction en bourse Fort du succès du démarrage de la commercialisation de ses ciments décarbonés, Hoffmann Green Cement Technologies a généré un chiffre d’affaires de 600 000 €. L’Ebitda 2019 s’élève à – 1,8 M€, contre – 800 000 € en 2018. Ceci, compte tenu de la montée en charge industrielle et commerciale de la société. Ainsi que du renforcement des équipes permettant de soutenir le développement prévu. De leur côté, les charges opérationnelles liées aux achats de matières pour la réalisation d’essais progressent de 700 000 €. Et les charges de personnel de 400 000 €. Fin décembre 2019, HGCT comptait 16 collaborateurs, contre 7 à fin 2018. A la même époque, les capitaux propres de la société s’élevaient à 70,5 M€. A la suite de l’introduction en bourse réalisée en octobre 2019, qui a permis à l’industriel de lever près de 75 M€ pour financer son plan de développement. HGCT compte sur l’extension de son site de production H1, situé à Bournezeau, en Vendée, initié fin 2019. L’unité de production va permettre à l’industriel de disposer d’une superficie supplémentaire de 1 000 m2 destinés au stockage et à l’expédition de ses ciments. Sur le plan logistique, la ligne d’ensachage automatisée a été mise en service avec une capacité de 250 sacs/h. Le robot pour la mise en palette de ces sacs a, lui aussi, été installé. Et peut gérer jusqu’à 500 sacs/h. Un plan à 2024 inchangé Concernant les futurs sites de production H2 et H3, les démarches administratives ont été effectuées, en respectant le plan de développement. Ces sites seront situés en Vendée et en Ile-de-France. Mais leur déploiement est pour l’heure freiné en raison de la pandémie de Covid-19. Cette dernière  impacte en particulier l’étude des demandes de permis de construire pour H2. Malgré la crise sanitaire actuelle, le cimentier ne dispose pas d’informations assez précises à ce stade pour remettre en question les objectifs prévus pour 2024. A savoir, atteindre une capacité de production totale de 550 000 t/an de ciments décarbonés. Et générer un chiffre d’affaires d’environ 120 M€. Soit près de 3 % des parts de marché du ciment en France à cette date, avec une marge d’Ebitda d’environ 40 %…
Il y a 5 ans et 43 jours

Un nouveau site Internet pour Arcade

Le nouveau site Internet d’Arcade est en ligne… [©Arcade] Editeur français de logiciels destinés aux professionnels des matériaux de construction, Arcade a créé une nouvelle ligne de produits baptisée Massia. « Chez Arcade, nous souhaitons proposer des logiciels à l’interface fluide et agréable. Ceci, en tirant profit des dernières avancées technologiques », annonce l’éditeur.  Afin d’accompagner le déploiement de sa solution, basée sur cinq modules complémentaires, Arcade vient de remettre à plat son site Internet. « Cette vitrine est souvent le premier contact qu’ont nos clients avec notre entreprise. Il nous semblait donc important qu’elle reflète cette volonté et l’esprit de nos produits. »La refonte du site a ainsi été entamée il y a quelques mois. Aujourd’hui, la nouvelle interface vient d’être dévoilée…  La suite Massia y tient une place centrale. Les différents modules y sont détaillés : Massia Gestion, Massia Laboratoire, Massia Maintenance, Massia Performance et Massia QSE & Foncier. Sans oublier l’appli Massia Labo Mobilité…  Le nouveau site Arcade en profite pour rappeler les grandes dates de l’histoire de l’entreprise, débutée en 1993. Ni les services qu’il propose, tels les formations, l’assistance technique. Enfin, l’accès aux actualités et aux newsletters d’information complète la visite, qu’on peut entamer ici. 
Il y a 5 ans et 43 jours

Progression record du chiffre d’affaire pour NGE

Antoine Metzger, président du groupe NGE. [©NGE] Groupe français de BTP, NGE a réalisé en 2019 un chiffre d’affaires record, 100 % organique. Et ce, pour la quatrième année consécutive. Ainsi, le groupe de construction a atteint 2,5 Md€, soit une progression de + 23,2 % par rapport à 2018. Le résultat opérationnel sur l’activité s’établit à 68,4 M€, alors que le carnet de commande, au 1er janvier 2020, affichait 4,1 Md€ de prévision. Cette performance est le résultat d’un modèle historiquement basé sur trois piliers : le multi-métiers, l’expertise et la proximité́. Pour soutenir son développement, NGE a recruté́ plus de 4 000 nouveaux collaborateurs en 2019. Une année tirée par le Grand Paris Express « Ce fut une année intense et exceptionnelle en termes de volume d’activité, explique Antoine Metzger, président de NGE. Les régions ont enregistré une bonne année à la faveur de la période préélectorale, avec une progression de + 17 %. Les grands projets que nous menons en France ont presque doublé, atteignant une progression de 96 %.  Ils concernent aussi bien le Grand Paris Express, que le déploiement de la fibre optique ou la construction d’ouvrages majeurs. A l’international, l’année 2019 a été marquée par le démarrage de deux grands chantiers. D’une part au Cameroun. Et, d’autre part, en Uruguay avec un projet ferroviaire pour lequel intervient aussi notre activité Concessions. »
Il y a 5 ans et 43 jours

Avec la gamme Granum, Rheinzink met à l'honneur les zinc mats

Le résultat d’une technologie sophistiquéeLes propriétés des zincs Skygrey et Basalte ont évolué et ont été optimisés pour une plus grande stabilité de l’aspect et de meilleures aptitudes au profilage. La surface mate, obtenue par un traitement de haute technicité, laisse transparaitre, de façon pérenne, la veinure typique du zinc. Un atout esthétique et technique adapté aussi bien en rénovation qu’en constructions neuves. La gamme ne nécessite aucun entretien et constitue une solution durable pour tous les domaines d’application. RHEINZINK, premier fabricant mondial de zinc-titane pour le bâtiment, complète son offre d’aspects de surface de zinc, avec GRANUM, une gamme dédiée aux zincs mats.Des domaines d’application largesLes applications des zincs de GRANUM sont multiples : en couverture, en bardage, en détails architecturaux ou en évacuation des eaux pluviales. Les petites surfaces sont renforcées par ces nouvelles teintes et se démarquent clairement. Combinées avec d’autres matériaux comme la pierre naturelle, le bois ou le verre, elles produisent ainsi un net contraste artistique et architectural harmonisant design et tradition.Deux nuances subtilesNouvelle gamme d’aspect de surface proposée par RHEINZINK, GRANUM réunit les deux teintes subtiles répondant aux tendances architecturales actuelles :La teinte Skygrey présente un aspect gris mat traditionnel semblable à la patine formée par le temps dans la nature par le zinc naturel.La teinte Basalte, gris-foncé à la limite du noir, quant à elle, suit la tendance actuelle de l’architecture de surfaces.GRANUM complète l’offre d’aspects de surface proposée par RHEINZINK :CLASSIC : la forme la plus originelle des variantes du matériau. Sous l'influence des conditions climatiques, une patine typique gris-bleu se forme au fil du temps sur sa surface métallique brillante.prePATINA : les seules surfaces réellement prépatinées au monde. Seul RHEINZINK dispose du procédé de « prépatinage » qui permet d'obtenir, dès la sortie d'usine, la teinte gris-bleu ou gris-ardoise d'une patine naturelle sans recourir à une phosphatation, à un revêtement ou à un laquage.
Il y a 5 ans et 43 jours

En reprise d’activité commerciale, EDILTECO® France reste inflexible sur l’accompagnement de ses clients

EDILTECO® France n’a pas suspendu son activité industrielle le 16 mars dernier. « Nous avons décidé de maintenir une activité partielle en mode « dégradé » c’est-à-dire que l’on tourne à 38 % des volumes habituels » témoigne Laurent Mainy, Directeur EDILTECO® France. Deux raisons majeures ont incité EDILTECO® France à maintenir son activité. La première, aboutie suite à une réflexion menée sur l’anticipation de la reprise, a poussé EDILTECO® France à maintenir une activité partielle mais suffisante pour se préparer à la levée du confinement. La deuxième, étant les commandes des clients : « Depuis quelques semaines, les commandes commencent à se débloquer et les clients réouvrent doucement. Pour le moment, ce sont encore beaucoup de commandes de réapprovisionnement. La quasi-totalité de nos clients sont réouverts en mode drive. » explique Laurent Mainy. L’entreprise maintient donc un niveau d’activité lui permettant d’être en adéquation avec la cadence des commandes clients afin de répondre aux besoins des 3 marchés : Chape, Façade et BPE. « Nous fabriquons prioritairement les commandes des clients et dans le même temps nous nous constituons un stock conséquent pour la reprise, qui inévitablement va engendrer un flux de commandes important. Nos stocks sont pleins. » précise Laurent Mainy. EDILTECO® France ne déroge pas à son éthique : « la gestion se fait en bon père de famille », pour ainsi dire l’entreprise se veut active mais prudente, attentive et soucieuse de ses salariés et de ses clients. L’activité de l’entreprise se maintient et les projets en cours n’ont pas été stoppés. Un nouvel expanseur automatique discontinu, de dernière génération, va notamment être implanté en complément des 2 autres. Il sera opérationnel dès la mi-mai pour une expansion optimisée des billes de PSE.   L’ ACCOMPAGNEMENT DU CLIENT De leur côté, les commerciaux ont repris il y a 3 semaines en télétravail. EDILTECO® France qui entretient ses étroites relations avec les acteurs de la distribution du BTP, a maintenu une permanence commerciale depuis le début du confinement. Depuis 3 semaines, les commerciaux sont désormais disponibles de 10h 30 à 12h 00 mais aucun d’entre eux ne retournera sur le terrain avant le mois de juin. « A défaut d’être à proximité, nos commerciaux accompagnent les professionnels par la disponibilité, le conseil, l’information, l’assistance et le service ». Toutes les commandes seront donc gérées par téléphone. « Nous sommes dans une démarche d’accompagnement et nous sommes prêts à faire les efforts nécessaires pour aider au mieux nos clients. Pour ce faire, l’équipe commerciale a la latitude d’ajuster tarifs et franco, sans quantité d’approvisionnement minimale, afin de répondre aux besoins des clients et leur éviter du stock. C’est la force de notre PME : maintenir un niveau de service élevé » conclu Laurent Mainy. L’accompagnement et la satisfaction ont toujours été les piliers de l’engagement d’EDILTECO® France auprès de ses clients. Le souci de bien faire, de concevoir et produire sur le territoire français, de placer la qualité et la confiance au coeur des partenariats qui se nouent ; aujourd’hui plus que jamais, EDILTECO® en témoigne en continuant d’offrir un haut niveau de service et d’accompagnement.