Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

257248 actualités disponibles
Il y a 5 ans et 69 jours

Zoom sur : Charlotte Kidger

Exposée début mars à la dernière édition de la foire de design belge COLLECTIBLE, la designeuse britannique Charlotte Kidger s’est encore une nouvelle fois fait remarquer avec ses objets aussi beaux que responsables. Zoom sur une jeune créatrice qui promeut un design durable et responsable. Diplômée du Leeds College of Art (2014) et de Central Saint Martins (MA Material Futures, 2018), Charlotte Kidger pratique un design responsable et prône l’écoconception. La designeuse crée en effet des pièces de mobilier sculpturales à partir de déchets industriels, traités et transformés. Consciente de l’impact néfaste de la surproduction sur l’environnement, Charlotte Kidger a choisi d’intégrer le recyclage des déchets dans son processus de création, espérant aider les designers à privilégier l'écoconception. Charlotte Kidger mélange des déchets de poussière de mousse de polyuréthane – un matériau problématique, car difficilement recyclable – avec de la résine, et coule ensuite la préparation obtenue dans des moules. Une fois moulé et durci, le matériau est travaillé comme le bois : il est coupé, poncé ou gravé. Avec ce processus sans déchets, la designeuse fabrique des meubles colorés, séduisants, et durables, principalement des tables, des tables basses, des assises.  Ses créations novatrices et son approche écologiste de la conception ont déjà séduit des foires prestigieuses – London Design Festival, London Design Fair, COLLECTIBLE – et des marques établies – Converse, Adidas. Charlotte Kidger propose une solution innovante de recyclage des déchets industriels, et encourage ainsi les professionnels du secteur à produire autrement.Une créatrice talentueuse et engagée qui force l’admiration. Pour en savoir plus, visitez le site de Charlotte Kidger. Photographies : © Louise Oates, Courtesy of Charlotte KidgerLéa Pagnier
Il y a 5 ans et 69 jours

Covid-19 : Pierre et Vacances va demander un prêt garanti par l'État

Le numéro un européen des résidences de loisirs a fait état d'un chiffre d'affaires semestriel en baisse de 5,7% sur un an, à 696 millions d'euros. Son seul pôle touristique - cœur de l'activité du groupe - affiche une légère croissance de 0,7% sur la période, close fin mars."La croissance significative des performances opérationnelles du groupe pré Covid-19 a permis de compenser les effets court-terme de la crise", commente Pierre et Vacances dans son communiqué.Il fait état d'un manque à gagner de 31 millions d'euros pour ses activités touristiques "lié à la fermeture de la quasi-totalité" des sites lors de la deuxième quinzaine de mars.Ainsi, outre les domaines Center Parcs fermés depuis mi-mars, les résidences Pierre & Vacances ont vu leur saison d'hiver réduite des 4 dernières semaines, leur ouverture en balnéaire reportée en France et en Espagne. Quant à Adagio, une dizaine d'aparthotels est maintenue en exploitation pour des longs séjours et des personnels soignants."Dans ce contexte, le groupe met en œuvre des mesures exceptionnelles de réduction de ses coûts et de préservation de sa trésorerie", telles que le recours à l'activité partielle ou la suspension du paiement des loyers pendant les périodes de fermeture.Pierre et Vacances indique avoir "mobilisé l'ensemble de ses sources de financement afin de surmonter la période d'absence de revenus touristiques", mais annonce qu'en complément, "par précaution liée à l'incertitude des dates de réouverture de ses sites, il instruit un dossier de Prêt garanti par l'État", dont le montant n'est pas précisé.Il indique également travailler sur "la finalisation d'un offensif plan de relance qui sera engagé dès que seront délivrées les autorisations de réouverture".Dans la suite du déconfinement, le groupe estime que "la demande de séjours touristiques familiaux devrait être intense et concentrée sur les marchés domestiques".Le groupe indique poursuivre parallèlement la mise en œuvre de son plan stratégique lancé en janvier, se disant "confiant dans sa stratégie de rentabilité pérenne".Avec ce plan baptisé "Change Up", Pierre et Vacances, déficitaire depuis 2011, vise un retour à la rentabilité dès 2021, via un plan d'économies de 50 millions d'euros.
Il y a 5 ans et 69 jours

La filière bois fait 17 propositions à l’Etat pour la relance de l’activité

Dans une note à l’attention des décideurs, la filière bois sous l’égide de son comité stratégique (CSF Bois) analyse les conditions de reprise d’activité des entreprises. Elle dresse un ensemble de 17 propositions transmises le 17 avril 2020 au ministère de l’Economie et des Finances et au Conseil National de l’Industrie.
Il y a 5 ans et 69 jours

Fabio Rinaldi : « BigMat prépare la reprise globale des activités »

Quelque 80 % des points de vente de l’enseigne ont repris leur activité, en mode « dégradé » selon le président du directoire de BigMat qui revient sur la crise sanitaire et économique qui frappe le secteur.
Il y a 5 ans et 69 jours

Sto : associer les technologies X-black et Sunblock à Lotus-Effect® et Dryonic® pour des façades plus performantes

Les technologies X-black et Sunblock du spécialiste allemand de la façade Sto peuvent désormais être combinées aux technologies Lotus-Effect® et ... Cet article Sto : associer les technologies X-black et Sunblock à Lotus-Effect® et Dryonic® pour des façades plus performantes est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 5 ans et 69 jours

Croissance en berne pour les artisans du bâtiment

Lire l'article]]>
Cimbat
Il y a 5 ans et 69 jours

Brevet : un dormant structurel pour réveiller la construction bois

L’épidémie invite aussi à réfléchir, comme le fait Bernard Bruno de Green Window, qui vient de déposer un brevet confortant le matériau bois comme standard constructif de demain.
Il y a 5 ans et 69 jours

Laurent Lévêque, TSO : « Vers une reprise progressive à plus grande échelle »

Le directeur matériel détaille les mesures qui permettent aux chantiers de la filiale de NGE spécialisée dans les travaux ferroviaires de se poursuivre.
Il y a 5 ans et 69 jours

Covid-19 : Moscou inaugure un hôpital inspiré de l'expérience chinoise

Situé à Golokhvastovo, un village à 70 km au sud-ouest de la capitale russe, le projet s'est inspiré de la construction en Chine d'hôpitaux en des délais record pour endiguer l'épidémie."A la différence d'établissements similaires qui ouvrent dans beaucoup de pays en période de lutte contre la maladie Covid-19, ce centre va fonctionner à titre permanent", a souligné la mairie de Moscou dans un communiqué."Après la fin de la pandémie, toutes sortes d'infection seront traitées ici", a-t-elle précisé.Plus de 500 personnes ont déjà commencé à travailler dans cet hôpital d'une capacité de 800 lits ayant accueilli ses 20 premiers patients lors des dernières 24 heures, selon la même source.Au total, l'établissement, dont la capacité pourrait être élargie à 900 lits, prévoit d'employer plus d'un millier de spécialistes médicaux.Des travaux sont toujours en cours d'achèvement sur le site, qui dispose d'un laboratoire et d'un foyer pour le personnel, selon un journaliste de l'AFP qui a visité l'hôpital lundi.Plus de 3.000 ouvriers ont participé à la construction de cet hôpital, entamée à la mi-mars.La propagation du nouveau coronavirus a mis à l'épreuve les hôpitaux de la capitale russe, épicentre de l'épidémie en Russie avec 29.433 cas recensés mardi.Au total, 52.763 cas et 456 décès du coronavirus ont été officiellement enregistrés dans le pays, qui n'a pas encore atteint son pic épidémique.
Il y a 5 ans et 69 jours

Les loueurs rappellent que le Covid-19 n’est pas un cas de force majeure

Selon la fédération DLR, les demandes de suspension, voire de résiliation, des contrats de location ne peuvent être actées sous le motif du cas de force majeure. Elle préconise de trouver des accords équilibrés.
Il y a 5 ans et 69 jours

Station spatiale pour sport d'intérieur

Télétravail, chômage partiel, poursuite des études, reprise ou arrêt des chantiers. L'organisation des architectes est mise à rude épreuve par le confinement imposé pour lutter contre l'épidémie de coronavirus. Pourtant, dans les agences -ou plutôt hors les agences-, les échanges entre associés, […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 69 jours

Investir pour résister

Lire l'article]]>
Il y a 5 ans et 69 jours

Exosquelette d'acier suspendu

Lire l'article]]>
Il y a 5 ans et 69 jours

Les territoires habités de Chine, la nouvelle exposition de Sabine Delcour

De la ville fantôme d’Ordos, à la ville portuaire de Qingdao en passant par Shanghaï et Wuhan en Chine, Sabine Delcour pose la question de l’urbanité dans un monde interconnecté, interdépendant et numérisé. Ses séries photographiques se situent au carrefour des problématiques sociales, environnementales et sociétales contemporaines. Après une première rencontre dans d’a il y a une quinzaine d’années, zoom sur sa nouvelle exposition. Lauréate du Prix Moins Trente du...
Il y a 5 ans et 69 jours

Dans les communautés Emmaüs, le destin de 5.000 compagnons suspendu aux dons

"On pourra passer avril en grattant sur les économies, mais la réalité, c'est qu'Emmaüs pourrait très bien ne pas survivre à cette crise", alerte Antoine Sueur, président de la communauté Emmaüs Liberté à Ivry-sur-Seine, en banlieue parisienne.Pour la première fois de son histoire, après le vibrant appel à une "insurrection du don" de l'Abbé Pierre au cours de l'hiver 1954, Emmaüs France a lancé un appel à la générosité.En 70 ans d'existence, Emmaüs était pourtant devenu un phalanstère prospère, venant en aide à 20.000 précaires, les logeant, les hébergeant, les réinsérant.Parmi eux, près de 5.000 compagnons. Hérauts de la décroissance, ils vivent de la collecte des objets que les autres jettent, dans 119 communautés à travers la France. Retaper, revendre: "offrir une seconde chance aux hommes et une seconde vie aux objets", c'est un des credo de l'association.Mais aujourd'hui, faute d'activité due au confinement, les communautés créées par l'Abbé Pierre en 1949 se retrouvent sans le sou et les compagnons, menacés de retourner à la rue.A Ivry, 45 hommes et femmes sont logés, nourris, blanchis, contre un peu de travail. "Ici, on fait vivre une quarantaine de personnes sans que ça coûte un euro à la société", lance M. Sueur. Mais depuis le 17 mars, tout s'est arrêté.Celui qui réceptionnait les trésors collectés dans le fond des greniers a posé son couteau sur un canapé encore emballé, celles qui triaient les dons de vêtements destinés à la revente ont laissé des piles à moitié faites sur une table.Dans les plus de 2.000 m2 de dépôt encombrés d'armoires et de vaisselle, ici, une poupée nue sur une pile de jouets abîmés attend un coup de lustre. Là, des piles de livres abandonnés avant d'avoir pu être triés, rangés, répertoriés.La plupart des communautés Emmaüs sont touchées par le manque d'argent. Au début du confinement, elles ont fait jouer l'entraide, les plus riches ont donné aux plus pauvres. Mais après cinq semaines, la solidarité est à l'os et les fonds de tiroir ont été raclés.Pour relancer la mécanique enrayée par le confinement, l'association a besoin de 5 millions d'euros. "Nous sommes condamnés à mort si nous ne recevons pas d'aide", dit simplement M. Sueur. "Tu manges, tu dors"Depuis 11 ans, Georges, 62 ans, est compagnon à Ivry. D'origine portugaise, sans famille en France, il n'a, à un moment de sa vie, plus trouvé de travail parce "trop vieux", lui disait-on.Il s'occupe d'habitude de la vaisselle dans le bric-à-brac. Avec la suspension des activités, il s'est recyclé dans les cuisines et prépare désormais les repas. Une manière de s'occuper, "si je reste dans la chambre, c'est la cata", dit-il.Il ne trouve pas toujours les mots pour se raconter mais ça, il le dit tout net: "Si ça ferme ici, je suis dans la merde"."Ici tu manges, tu dors, et c'est déjà beaucoup", reconnaît Sembala, un sans-papier de 22 ans, là depuis un an.Dans ce monde de déshérités, les sans-papiers ont remplacé ces dernières années les ex-taulards et les hommes brisés par la Seconde guerre mondiale, la guerre d'Indochine, puis celle d'Algérie, qui avaient fait les premiers compagnons.Pas moins de 27 nationalités sont représentées parmi les 45 compagnons de la communauté d'Ivry.Originaire du Mali, Sembala a déjà connu la rue, en France, et avant, en Grèce. L'idée d'y retourner le rend nerveux: la misère, les repas tirés des poubelles, il se souvient. "J'ai peur", dit-il.
Il y a 5 ans et 69 jours

Covid-19 : le cap des dix millions de salariés au chômage partiel dépassé

"Ce matin, en France, il y a 10,2 millions de salariés dont le salaire est payé par l'État, par le ministère du Travail, car ils sont en chômage partiel", a déclaré Mme Pénicaud sur BFM Business.Ce dispositif, qui permet au salarié d'être indemnisé à hauteur de 70% du salaire brut et 84% du salaire net, concerne désormais 820.000 entreprises, soit plus de 6 sur 10."C'est considérable, on n'a jamais fait ça dans notre pays", a-t-elle poursuivi, ajoutant que ces chiffres continuaient à augmenter "jour après jour".La crise du coronavirus a mis un coup d'arrêt à de nombreux secteurs professionnels, notamment l'hôtellerie-restauration, où 9 salariés sur 10 sont au chômage partiel, et le BTP, où 93% des salariés sont également au chômage partiel, a-t-elle détaillé."On voit l'ampleur de la tâche pour le retour au travail dans le déconfinement (...) Plus la crise dure, plus les lendemains seront difficiles", a ajouté Mme Pénicaud, disant vouloir "travailler avec toutes les professions, les syndicats, pour que le travail puisse reprendre progressivement, en respectant pleinement les conditions de sécurité".Pour Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT interviewé dans Le Figaro, "le dispositif de chômage partiel ne devra pas être arrêté du jour au lendemain et la politique de soutien à l'emploi devra être maintenue bien après le début du déconfinement"."Le risque est en effet grand que les entreprises les plus en difficulté, notamment dans le secteur des bars, hôtels et restaurants aujourd'hui totalement à l'arrêt, suppriment des emplois", dit-il.Plus généralement, le plan d'urgence mis en place par le gouvernement "est globalement efficace". "Cette crise marque, en tout cas, le retour en force et la nécessité de l'État protecteur qui sait être présent quand il faut amortir les chocs".Mais le leader syndical note toutefois des problèmes: "Certaines entreprises, dans les transports ou l'alimentaire, ne respectent toujours pas les règles sanitaires et mettent en danger leurs salariés. La situation des soignants, qui luttent au quotidien contre le virus, est toujours préoccupante. Certaines entreprises, comme le cabinet de conseil Sopra Steria, l'opérateur SFR ou certains établissements privés d'enseignement sous contrat, abusent également du chômage partiel alors que la situation ne le justifie pas, en faisant télétravailler leurs salariés".
Il y a 5 ans et 69 jours

Permis de construire: le gouvernement rectifie le tir sur la suspension des délais

Le gouvernement a rectifié une ordonnance précédente qui inquiétait le monde du logement concernant la suspension des délais en matière d'urbanisme et notamment pour les permis de construire.
GDA
Il y a 5 ans et 69 jours

Parc éolien de Saint-Brieuc : les pêcheurs opposés aux études techniques

"Les professionnels de la pêche informent (le porteur du projet) Ailes Marines et RTE (Réseau de Transport d'électricité, ndlr) qu'ils ne laisseront aucun navire venir faire ces campagnes en baie de Saint-Brieuc tant que des éléments scientifiques sur les effets de ces études techniques ne sont pas portés à notre connaissance", souligne le comité des pêches des Côtés d'Armor dans un communiqué de presse.Les pêcheurs s'opposent aux études techniques sur les zones de pêche en l'absence "d'éléments scientifiques (...) sur les effets du bruit liés à des opérations de forages et d'ensouillages sur les espèces d'intérêt halieutique".Lors des échanges avec les pêcheurs, "Ailes Marines et RTE n'ont pas apporté ces réponses, ni même abordé ce volet", souligne le comité des pêches, qui affirme même que les deux sociétés "ont l'intention de débuter ces études au cours du mois de mai prochain, sans même avoir pris en compte les demandes des professionnels de la pêche"."Ailes Marines et RTE pensent pouvoir passer en force !!", dénoncent les marins pêcheurs, qui évoquent un contexte déjà "très compliqué" en raison des "nombreux épisodes de tempêtes de l'hiver" et de "la crise liée à l'épidémie de coronavirus".Le projet de parc prévoit 62 éoliennes de 216 m à environ 16 km des côtes les plus proches de la baie de Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor). D'une puissance de 496 MW, le parc permettrait d'alimenter 835.000 foyers en électricité.Le consortium Ailes Marines est détenu à 70% par l'espagnol Iberdrola.
Il y a 5 ans et 69 jours

Première ébauche de l'impact du Covid-19 sur l'emploi dans le BTP

ETUDE. L'épidémie du coronavirus a mis un coup d'arrêt à l'activité de nombreux secteurs. Le BTP, qui reprend progressivement depuis plusieurs jours, a été fortement impacté. Comment l'emploi a subi les conséquences de la crise ? Hellowork ébauche dans une étude des premiers éléments de réponse.
Il y a 5 ans et 69 jours

Le "Flibustier", un bâtiment "biophilique"

Inspirée du plan d'un navire, ce petit immeuble, situé sur l'île de Zeeburgeriland à Amsterdam, avait un objectif : recréer le lien entre la nature, l'homme et son lieu d'habitation et répondre ainsi au concept de "biophilie".
Il y a 5 ans et 69 jours

Capeb : Chute historique de l’activité

Patrick Liébus est le président de la Capeb. [©Capeb] Dans un contexte sanitaire et économique sévère, la Capeb a dévoilé les tendances de l’activité des entreprises artisanales du bâtiment pour le 1er trimestre 2020. Sans surprise, les entreprises se retrouvent dans une situation extraordinaire. La croissance de l’activité s’est effondrée. Un recul de – 12 % par rapport au même trimestre de l’année précédente. Pour faire face à cette situation exceptionnelle, 66 % des entreprises artisanales du bâtiment ont fait des demandes de chômage partiel. Et 15 % l’envisagent toujours. Mais 5 % d’entre elles ont vu leurs demandes refusées par l’administration. Notamment du fait que leur activité n’était pas considérée comme “officiellement interdite”. « L’artisanat du bâtiment fait face à une crise économique sans précédent consécutive à la crise sanitaire du Covid-19, explique Patrick Liébus, président du syndicat. Alors que 80 % des entreprises du secteur sont à l’arrêt, la filière de la construction est touchée de plein fouet. Une chute brutale de la croissance est enregistrée pour l’ensemble des corps de métiers. Ceci, avec un recul de l’activité compris entre – 9 % et – 16 % au 1er trimestre 2020. Les mesures engagées par l’Etat pour soutenir la trésorerie des TPE sont vitales. Et devront se poursuivre dans les prochains mois. » 80 % des entreprises ont stoppé leur activité selon la Capeb Depuis le 17 mars, 80 % des entreprises sont à l’arrêt. Quelque 17 % ont maintenu une activité réduite, n’exposant pas les salariés aux risques sanitaires. Et 3 % poursuivent une activité quasi-normale pour les interventions d’urgence. Pour les entreprises du bâtiment, la principale raison de cet arrêt des chantiers s’explique par le refus des clients particuliers (71 %). Et des clients professionnels, publics ou privés (45 %) de continuer les travaux. Pour 46 % des chefs d’entreprise, la baisse d’activité s’explique aussi par la volonté de protéger leurs salariés. Enfin, les difficultés d’approvisionnement en produits et matériaux de construction sont aussi mis en avant par 39 % des chefs d’entreprise. Un chiffre corroboré par ceux ayant poursuivi leur activité. Et qui déclarent, pour 84 % d’entre eux, éprouver des difficultés à obtenir les matériaux de construction nécessaires. « Aujourd’hui, la priorité des chefs d’entreprise est de garantir la santé de leurs collaborateurs. Tout en permettant un redémarrage de l’activité de manière sécurisée. A cet égard, nous demandons au gouvernement de prendre des mesures pour accompagner et inciter les entreprises à reprendre leur activité. La Capeb juge essentiel que les entreprises puissent bénéficier d’aides spécifiques pour couvrir,  des surcoûts découlant de la mise en œuvre de règles sanitaire. Alors qu’il est bien souvent impossible de répercuter ces surcoûts aux clients, notamment lorsqu’il s’agit de particuliers. » Ces aides spécifiques pourraient inclure le transport des salariés, la réorganisation des chantiers, la gestion de la co-activité, le réaménagement des bases de vie, des vestiaires… Et bien sûr, la fourniture des équipements de protection nécessaires. Recul de – 14 % d’activité dans le neuf Dans le détail, l’activité est en net recul de – 12 %. Et concerne l’ensemble des entreprises artisanales, quelle que soit leur taille. Les entreprises employant 10 à 20 salariés ont subi une perte de croissance de – 13 %. Et celles de moins de 10 salariés sont concernées par une baisse de – 12 %. Avec – 14 % de baisse par rapport au 1er trimestre 2019, la construction neuve est la plus touchée. Une situation provoquée en partie par l’arrêt soudain des chantiers. Après un essoufflement régulier de l’activité chaque trimestre depuis 2016. Ainsi, les permis de construire affichent un recul de 1,6 % au cours des 12 derniers mois . Soit 451 500 autorisations au total. De son côté, le nombre de logements commencés, cumulés sur douze mois, a reculé de 1,2 % . Soit 409 200 logements commencés. Le solde d’opinions concernant la trésorerie s’établit à – 29 points (contre – 11,5 points pour la moyenne de long terme). La trésorerie est en nette détérioration pour 34 % des entreprises, contre 14 % au 1er trimestre 2019 (soit 20 points d’écart). Seulement 5 % des entreprises parlent d’une amélioration. Enfin, le montant moyen des besoins de trésorerie de ces sociétés atteint 24 000 €, contre 20 000 €, un an auparavant.
Il y a 5 ans et 69 jours

Déconfinement : décarboner est la priorité pour le Haut conseil pour le climat

ENVIRONNEMENT. Trois semaines avant l'amorce du déconfinement, le Haut conseil pour le climat exhorte plus que jamais les décideurs à opérer une transition écologique la plus verte possible au moment de la sortie de crise et de la relance de l'activité. La Stratégie nationale bas-carbone et la Programmation pluriannuelle de l'énergie doivent servir de "cadre de référence" pour l'ensemble des mesures politiques et économiques de l'après-coronavirus.
Il y a 5 ans et 70 jours

Rénovations thermiques : les fédérations veulent un fonds d'urgence

L'Union française de l'électricité, plusieurs fédérations du bâtiment et de l'énergie, ont appelé le gouvernement à créer un fonds d'urgence pour les travaux d'économies d'énergie. L'objectif : soutenir "dès maintenant" les TPE et PME du secteur.
Il y a 5 ans et 70 jours

La région Auvergne-Rhône-Alpes déploie un plan de relance pour le BTP

Distribution de masques, participation aux surcoûts générés par la crise sanitaire dans le redémarrage des chantiers et subventions de 150 millions d’euros pour refinancer la commande publique sont les trois piliers du plan de la région Auvergne-Rhône-Alpes en direction des entreprises de BTP.
Il y a 5 ans et 70 jours

Deltastudio : Elena

Dario Pompei, Valerio Galeone et Saverio Massaro, les architectes de deltastudio, ont réhabilité un ancien entrepôt agricole de la commune de Caprarola en Italie, le transformant en une villa minimaliste, où élégance et simplicité riment avec douceur de vivre. À la demande d’un jeune couple, les équipes de l’agence italienne d'architecture deltastudio ont entièrement repensé une structure agricole abandonnée pour en faire une maison familiale fonctionnelle et chaleureuse. Après quatre années de chantier, la villa voit enfin le jour début 2020, et prend alors le nom de la propriétaire, Elena. L’entrepôt est spacieux, un volume en béton brut de 290 mètres carrés répartis sur deux niveaux. Perché sur les hauteurs de la commune, il surplombe Caprarola. Tirant profit des caractéristiques et de la situation géographique exceptionnelle du bâtiment, les architectes ont décidé d’abaisser les frontières entre intérieur et extérieur pour offrir aux futurs habitants de la villa un espace lumineux et ouvert sur le paysage. Avec ses grandes fenêtres, ses balcons et sa terrasse, la villa a été conçue pour s’insérer dans la nature environnante. À l’intérieur, les architectes créent des vastes pièces, dont la disposition est calquée sur le mouvement apparent du soleil. Les espaces de vie – le salon, la salle à manger, la cuisine – donnent sur le village, tandis que les chambres sont tournées vers la campagne. Les murs, les plafonds, les sols sont en bois ou en béton, dont chaque teinte est choisie pour définir les espaces, du beige au noir, en passant par une vaste palette de gris. La villa est une habitation fonctionnelle autant que confortable. Pour en savoir plus, visitez le site de deltastudio. Photographies : © deltastudioLéa Pagnier
Il y a 5 ans et 70 jours

Nouvelle arrivée chez Idex

CARNET-NOMINATION. Le groupe Idex, spécialisé dans la transition énergétique, vient de nommer un directeur général adjoint en charge du Développement Industrie et Grands Comptes. Qui est-il ? Quel est son parcours ? Eléments de réponse.
Il y a 5 ans et 70 jours

Covid-19 : les artisans du bâtiment très fortement impactés par la crise sanitaire

"L'artisanat du bâtiment fait face à une crise économique sans précédent consécutive à la crise sanitaire du Covid-19", a résumé dans un communiqué Patrick Liébus, président de la la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb).Au premier trimestre, selon les chiffres extrapolés par la fédération après sondage auprès de ses adhérents, l'activité du secteur, qui va de la construction de maison à la rénovation énergétique, a chuté de 12% par rapport à un an plus tôt, un effondrement jamais vu.Cette chute ne donne même pas la pleine mesure des effets de la crise du coronavirus car ce n'est qu'à la mi-mars qu'un strict confinement a été mis en place pour lutter contre la propagation de la maladie, contraignant de nombreux secteurs économiques à un ralentissement voire un arrêt total.A ce titre, quatre cinquièmes des entreprises de l'artisanat du bâtiment sont à l'arrêt, selon la Capeb. Les autres sont, pour l'essentiel, en activité réduite.Les adhérents ont dû s'arrêter pour de multiples raisons, dont l'impossibilité à s'approvisionner, mais la principale - dans plus de deux tiers des cas - reste le refus d'un client particulier de reprendre un chantier.Après une période de tensions avec le gouvernement, le secteur du bâtiment a pourtant mis en place des règles sanitaires, destinées à permettre la reprise des chantiers, mais celle-ci peine à se faire.Pour mettre en place ces mesures, les artisans du bâtiment ont besoin d'une aide financière du gouvernement, selon la Capeb, qui estime impossible de répercuter sur leurs clients particuliers les coûts supplémentaires.Qui plus est, en matière de régulation, "il faut des fois faire tomber certaines barrières", a jugé mercredi Christian Vabret, président par intérim de la Chambre de métiers et de l'artisanat (CMA), sur la chaîne BFM Business. Des "organismes de contrôle sont en train de bloquer les chantiers", a-t-il regretté.
Il y a 5 ans et 70 jours

Le guide de l'OPPBTP adapté aux travaux routiers

TRAVAUX PUBLICS. Après les Canalisateurs, c'est au tour du syndicat de spécialité Routes de France de mettre à disposition de ses adhérents 21 fiches métiers et 6 autres transverses, pour adapter le guide de préconisations sanitaires de l'OPPBTP.
Il y a 5 ans et 70 jours

Appel à la création d'un fonds d'urgence pour les travaux d'économies d'énergies

"L'ampleur de la crise actuelle appelle à mettre en place en urgence un dispositif de soutien massif auprès des TPE et PME de cette filière, qui sont un maillon essentiel du dispositif des certificats d'économies d'énergie (CEE) et plus largement de la rénovation énergétique du pays", soulignent les signataires dans une lettre au Premier ministre Edouard Philippe.Ce fonds, géré par les pouvoirs publics, serait alimenté financièrement en échange de CEE par les fournisseurs d'énergie qui souhaiteraient s'engager dans cette démarche solidaire, expliquent-ils.Pour eux, il s'agit d'"assurer la survie d'entreprises en difficulté et de relancer au plus vite la dynamique de travaux de rénovation énergétique"."En ciblant l'utilisation de ce fonds vers les TPE/PME présentant des garanties suffisantes quant au respect des règles, il appuierait la réforme en cours du dispositif des CEE notamment pour lutter contre la fraude", notent-ils.En outre, "grâce à la délivrance de CEE, la tension potentielle sur leur prix, inéluctable avec l'arrêt de la production pendant la crise, s'atténuerait", "évitant une flambée de la facture des clients", arguent-ils.Outre l'UFE, les principales fédérations de l'énergie (Afieg, Ufip, FFPI, Fedene...) et du bâtiment (FFB, CAPEB) portent cette initiative.Introduit en 2006, ce dispositif de certificats dits "CEE" oblige les fournisseurs d'énergie à financer des actions d'économies d'énergie (rénovation thermique des bâtiments, changement de chaudières, isolation, etc.), sous peine de pénalités.
Il y a 5 ans et 70 jours

Wizzcad offre une application pour la reprise des chantiers

Wizzcad lance “Reprise Chantier” [©DR] La reprise de l’activité du BTP s’inscrit dans un contexte de crise liée à la pandémie de Covid-19. Pour l’accompagner, la start-up Wizzcad met une application à disposition de tous les professionnels du secteur. Et ce, gratuitement. « Déjà jusqu’au 30 septembre prochain. Et nous réfléchissons pour une durée encore plus large », explique Marc Germain, associé et co-fondateur de Wizzcad. Plate-forme collaborative Open BIM native pour la transformation numérique des projets de construction, de la conception à la maintenance, Wizzcad lance “Reprise Chantier”. Une application disponible sur tous les smartphones. Et qui permet de digitaliser les formulaires de reprise de chantier validés par le gouvernement (référentiel édité par l’OPBTP). Cette application garantit en temps réel la sécurité de tous les intervenants sur site. Tout en gagnant un temps précieux pour lancer la reprise des chantiers.  « Nous sommes touchés par les problématiques de sécurité liées au Covid-19, comme tout un chacun. Nous voulions par cette application mettre à disposition de tous la documentation et les questionnaires. En fait, faire utiliser un outil facile d’usage par toutes les entreprises du BTP.  Que chacun se sente en sécurité de revenir sur les chantiers. » De manière concrète, les intervenants peuvent remplir les formulaires de sécurité directement depuis leur smartphone. Ces formulaires sont ensuite disponibles pour les coordinateurs sécurité et santé, qui peuvent autoriser l’ouverture du chantier à distance. Ceci, si toutes les prescriptions de sécurité liées à la crise sanitaire sont respectées. L’application est disponible gratuitement sur iOS et Android et via le site web de Wizzcad
Il y a 5 ans et 70 jours

Sika ne se risque pas à donner des prévisions pour 2020

RÉSULTATS. Le groupe suisse de chimie, Sika, affiche un bon début d'année, néanmoins la pandémie bouscule ses prévisions pour l'année 2020. Face aux incertitudes liées à la situation, l'entreprise ne se prononce pas sur ses perspectives.
Il y a 5 ans et 70 jours

Covid-19: Ramery Energies réalise en express un centre d’imagerie médicale mobile

Prouesse de rapidité. Concevoir, créer et livrer en moins d’un mois une première unité d’imagerie médicale de grande qualité, c’est ce qu’a réussi Ramery Energies (ex-Coexia) pour et avec son partenaire de longue date General Electric Health Care. Au total, 19 cellules de 40 m2, destinées aux examens des malades du Covid-19, seront réalisées à côté de Lille par la filiale du groupe Ramery, dont 18 à destination de l’Angleterre.
Il y a 5 ans et 70 jours

"Je refuse de sacrifier ma trésorerie pour le virus !" : l'artisanat au temps du Covid-19

Nous retrouvons dans cet épisode de notre feuilleton Jérôme Thévard, couvreur charpentier, 13 salariés à Epernon (Eure-et-Loir).
Il y a 5 ans et 70 jours

Allomat joue sa carte face à la crise sanitaire

Lire l'article]]>
Il y a 5 ans et 70 jours

Habitat : Le fonds de dotation Qualitel lance son appel à projets 2020

Depuis plusieurs années, le fonds de dotation Qualitel est engagé dans la lutte contre le logement indigne, en accompagnant financièrement des initiatives en faveur de l'amélioration des conditions de vie des plus précaires. Ce 6 avril, l'appel à projets 2020 est lancé.
Il y a 5 ans et 70 jours

Covid-19 : Elisabeth Borne a réuni les acteurs du secteur pétrolier

L'approvisionnement en produits pétroliers répond à des besoins du quotidien pour de nombreux Français et est essentiel à la vie économique du pays et à son fonctionnement. La ministre et les acteurs ont pu constater que l'approvisionnement était aujourd'hui totalement assuré dans un contexte de ralentissement très fort de la consommation des carburants routiers et aériens (de 60 à 95% de baisse selon les produits). Les stocks commerciaux des opérateurs pétroliers dans les dépôts sont à un niveau particulièrement élevé. Certaines installations ont dû réduire leur fonctionnement, pour ne pas s'arrêter et être opérationnelles lors de la reprise économique.Dans ce contexte économique difficile, la ministre a remercié les entreprises et leurs salariés pour leur mobilisation qui a permis le maintien des services essentiels, dont les stations-services sur les autoroutes - nécessaires en particulier pour les transporteurs routiers de marchandises – de même que les livraisons de combustibles aux particuliers ou de gazole non routier aux entreprises du BTP et du secteur agricole.Le ministère de la Transition écologique et solidaire reste attentif au bon fonctionnement de l'ensemble de la logistique des produits pétrolier, en lien avec les acteurs du secteur, pour continuer à assurer l'approvisionnement en carburant sur l'ensemble du territoire.Par ailleurs, Elisabeth Borne a annoncé le lancement d'échanges avec les représentants des opérateurs pétroliers afin de définir les principes et bonnes pratiques permettant de renforcer la continuité de l'activité du secteur, tout en assurant le respect des consignes sanitaires. Ces travaux permettront également de préparer la reprise de certaines activités et le retour progressif à la normale dans un contexte de déconfinement.
Il y a 5 ans et 70 jours

Une chute brutale et sans précédent de l’activité artisanale du bâtiment

Depuis le 17 mars, 80 % des entreprises artisanales du bâtiment sont à l’arrêt, 17 % ont maintenu une activité réduite n’exposant pas les salariés aux risques sanitaires et 3 % poursuivent une activité quasi-normale pour les interventions d’urgence selon la dernière note de conjoncture de la Capeb . Pour les entreprises du bâtiment, la principale raison de cet arrêt des chantiers s’explique par le refus des clients particuliers (71 %) et des clients professionnels, publics ou privés (45 %) de continuer les travaux. Pour 46 % des chefs d’entreprises, la baisse d’activité s’explique également par la volonté de protéger leurs salariés. Enfin, les difficultés d’approvisionnement en produits et matériaux par les fournisseurs font également parties des critères mis en avant par 39 % des chefs d’entreprise. Un chiffre corroboré par les chefs d’entreprises ayant poursuivi leur activité et qui déclarent pour 84 % d’entre eux éprouver des difficultés à obtenir les matériaux nécessaires. L’activité est en net recul de 12 % et concerne l’ensemble des entreprises artisanales, quelle que soit leur taille. Les entreprises employant 10 à 20 salariés ont subi une perte de croissance de 13 % et celles de moins de 10 salariés sont concernées par une baisse de de 12 %. La construction neuve, avec 14 % de baisse par rapport au 1T2019, est la plus touchée. Une situation provoquée en partie par l’arrêt soudain des chantiers après un essoufflement régulier de l’activité chaque trimestre depuis 2016. Les permis de construire affichent un recul de 1,6 % au cours des 12 derniers mois (de février 2019 à janvier 2020 par rapport à la même période de l’année précédente), soit 451 500 autorisations au total. De son côté, le nombre de logements commencés, cumulés sur douze mois (de février 2019 à janvier 2020), a reculé de 1,2 % (par rapport à la même période l’année précédente), soit 409 200 logements commencés. L’activité en entretien-rénovation est également affectée par la baisse d’activité de – 10,5 % par rapport au T12019. Le volume des travaux d’Amélioration de Performance Energétique du Logement (APEL) est également concerné par ce net recul et fait face à une baisse de – 8,5 %, contre 1,5 % de croissance au trimestre précédent. Le solde d’opinions concernant la trésorerie s’établit à – 29 points (contre – 11,5 points pour la moyenne de long terme). Pour Patrick Liébus, président de la CAPEB, « Il est essentiel que les entreprises puissent bénéficier d’aides spécifiques pour couvrir, au moins une partie des surcoûts découlant de la mise en œuvre de règles sanitaires (le transport des salariés, la réorganisation des chantiers, la gestion de la co/activité, le réaménagement des bases de vie, des vestiaires, des sanitaires sur site, la désinfection des surfaces, la gestion des déchets, et bien évidemment la fourniture des équipements de protection nécessaires), alors qu’il est bien souvent impossible de répercuter ces surcoûts aux clients notamment lorsqu’il s’agit de particuliers. » Graphique : au cours du premier trimestre 2020, l’activité de l’artisanat du bâtiment recule de 12 % par rapport au même trimestre de l’année précédente. (Capeb)
Il y a 5 ans et 70 jours

Coronavirus : l’OPPBTP lance une plate-forme d’entraide pour les entreprises

En pleine crise du Coronavirus, l’OPPBTP propose aux professionnels du secteur un outil d’échanges et de partage d’expériences sur les sujets utiles pour assurer la sécurité des personnes en activité.