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Toute l'actualité du bâtiment

257248 actualités disponibles
Il y a 5 ans et 70 jours

Reprise de chantiers et attribution de marchés sur le Grand Paris Express

INFRASTRUCTURES. Après un mois d'arrêt, la Société du Grand Paris a annoncé une relance progressive des chantiers à partir du 20 avril, en commençant par la ligne 15 sud. Dans le même temps, les deux premiers marchés d'aménagements sur les lignes 16 et 17 ont aussi été attribués.
Il y a 5 ans et 70 jours

Coronavirus : le BTP toujours parmi les plus gros consommateurs de chômage partiel

D’après les données publiées le 22 avril par la Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares), la construction (13, 65 %, contre 14,2 % au 7 avril dernier) fait partie des quatre secteurs qui concentrent, à eux seuls, 64 % des demandes d’activité partielle déposées dans le cadre de la crise sanitaire causée par l’épidémie de Covid-19.
Il y a 5 ans et 70 jours

Covid-19 : une appli contrôle le port des équipements de protection

Permettre le respect des procédures de prévention sur chaque siteCette extension permet de procéder à la vérification de la conformité du port des équipements de protection individuelle par chaque intervenant sur un chantier ou site de production. Les clients donneurs d'ordre des plateformes Bativigie/Activigie peuvent ainsi s'assurer du bon respect des procédures de prévention définies pour leurs sites en matière de port des EPI. Une procédure simple, qui vient prolonger de manière concrète les préconisations de l'OPPBTP (l'organisme professionnel de prévention du BTP), visant à lutter contre la propagation du virus Covid 19, notamment par l'utilisation d'un masque de protection.« Très concrètement, lors d'un contrôle, l'opérateur en charge de celui-ci va systématiquement procéder à une vérification visuelle de la présence des équipements de protection attendus. Si un défaut est constaté sur un intervenant, celui-ci ne pourra pas accéder au chantier ou site de production. Une déclaration d'incident est activée par notre plateforme, avec une notification simultanée au donneur d'ordre et à l'entreprise employeur. Cette dernière devra alors s'assurer que son salarié dispose des équipements nécessaires et en adopte le bon port », détaille Frédéric Pradal, créateur et dirigeant des plateformes Bativigie/Activigie.Nouvelle version de l'application : à télécharger sans surcoûtLa nouvelle application est d'ores et déjà disponible, en téléchargement via Apple Store ou Play Store. Cette nouvelle version est entièrement gratuite, sans surcoût de service, pour les clients et utilisateurs des plateformes Bativigie/Activigie. Depuis 2015, Bativigie et Activigie fournissent aux donneurs d'ordre de la construction et de l'industrie des services de vigilance sous-traitance uniques en France. La plateforme logicielle sécurise les chantiers et sites industriels des risques liés au travail illégal, en permettant un contrôle des personnels via une application dédiée. Celle-ci, embarquée sur un simple smartphone, assure la vérification de la conformité des opérateurs présents sur un site au regard d'une douzaine de points de contrôle (carte d'identité, attestation Urssaf, déclaration de détachement…). Le système gère en amont l'ensemble des données et documents relatifs aux intervenants et garantit une traçabilité intégrale de la vigilance mise en œuvre, avec un reporting en temps réel sur les incidents. En cinq années, plus de 6000 chantiers ont ainsi été réalisés sous contrôle Bativigie.
Il y a 5 ans et 70 jours

DÉNY SECURITY présente KBOX, l’armoire électronique qui simplifie la gestion des clés

Leader français de l’organigramme et du contrôle d’accès, DÉNY SECURITY connaît parfaitement tous les enjeux de sécurité auxquels sont confrontés les responsables de site. Parmi eux figurent l’attribution, le stockage et la traçabilité des trousseaux. Pour faciliter et sécuriser cette gestion des clés, en particulier dans les petites et moyennes structures, DÉNY SECURITY propose KBOX, une nouvelle gamme d’armoires électroniques de gestion des clés.   Une gamme évolutive à l’identification facile et rapide D’une capacité modulaire de 10 à 120 clés en fonction des besoins, la nouvelle gamme d’armoires électroniques KBOX de DÉNY SECURITY constitue une solution idéale pour la gestion et la traçabilité en toute tranquillité des trousseaux, dans les bâtiments tertiaires, les collectivités locales, les hôpitaux ou les sites industriels, de petite et moyenne taille.   Dotée d’une porte robuste en acier, cette armoire électronique permet de ranger les clés et de gérer leur accès. Evolutive par module de 10 clés, elle convient également à la gestion de smartphones, GPS ou encore de flotte automobile grâce à un boîtier de rangement métallique adaptable dans la KBOX.   Sécurisée, l’ouverture de l’armoire s’effectue simplement via un système d’identification multiple (par code, badge ou mixte code et badge) qui laisse ou non l’utilisateur accéder à la clé autorisée. Un voyant lumineux lui indique visuellement la ou les clés qu’il est habilité à sélectionner.   Pour protéger un passe et le ranger dans l’armoire KBOX, il suffit au gestionnaire de l’équiper d’un porte-clés inviolable. Son design conique et son emplacement dans l’armoire en forme d’entonnoir garantissent non seulement une fixation rapide mais évitent aussi les erreurs lors de la restitution. Entièrement conçu en métal, le porte-clés bénéficie d’une grande robustesse.   Toutes les informations de prêts sont enregistrées dans l’armoire électronique et accessibles par l’administrateur en temps réel grâce au logiciel interne qui centralise toutes les données.   Un système de gestion sécurisé Très simple d’utilisation, le logiciel de gestion intégré à l’armoire KBOX de DÉNY SECURITY garantit une traçabilité de mouvement des clés extrêmement pointue. Facile à prendre en main, il permet à l’administrateur du parc : • d’ajouter à tout moment une nouvelle clé ou un nouvel utilisateur, • de programmer des plages journalières et horaires pendant lesquelles sont autorisés les emprunts de certaines clés, • d’extraire toutes les informations utiles au suivi et à la gestion du parc sur un fichier Excel.   En cas de non restitution à l’heure définie, une alarme informe immédiatement le gestionnaire des clés sur l’écran de l’armoire et sur son ordinateur connecté au réseau.   Avec, selon les établissements, un nombre parfois considérable de clés à gérer et de prêts quotidiens, la gamme d’armoires électroniques KBOX de DÉNY SECURITY apporte une réponse fiable et simple aux procédures de gestion des trousseaux. http://www.deny-security.com
Il y a 5 ans et 70 jours

Grand Paris Express: deux nouveaux marchés attribués à Bouygues Construction et Besix

La Société du Grand Paris a notifié deux marchés de travaux de bâtiment tous corps d’état pour un montant total de 281 millions d’euros. Le premier concerne le centre d’exploitation des lignes 16 et 17, situé à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) ; le second, la gare emblématique Saint-Denis-Pleyel, conçue par Kengo Kuma.
Il y a 5 ans et 70 jours

Façade anglaise en bois brûlé Kebony

La délicate patine flambée apportée au bois Kebony prépatiné s’accorde harmonieusement avec l’esprit contemporain de cette maison individuelle située dans le nord de Londres, signée par le bureau d’architecture Claridge Architects. Les lames de « Hijo Ni Mirikiteki Na », réalisées par la société Shou Sugi Ban, sont posées en diagonale et apportent au bâtiment une palette de tons gris qui complètent le caractère suburbain des jardins environnants.Le nom de la société Shou Sugi Ban reprend un terme japonais se traduisant par « planche de cèdre brûlé ». Cette entreprise basée au Royaume-Uni fabrique du bois en utilisant la technique ancienne de bois brûlé, brossé ou pré-patiné, et travaille avec le bois Kebony pour offrir un produit d’apparence unique et intrigante. Développée en Norvège, la technologie brevetée Kebony est un procédé respectueux de l’environnement, qui modifie les résineux issus de sources durables en chauffant le bois avec de l’alcool furfurylique ; un sous-produit agricole. En polymérisant la paroi cellulaire du bois, les résineux adoptent de façon permanente les attributs du bois dur tropical, notamment une durabilité, une dureté et une stabilité dimensionnelle élevées. Le bois Kebony est ainsi le matériau idéal pour ce processus de bois brûlé, car il développe une surface intéressante ainsi qu’une teinte noire profonde, tout en conservant sa durabilité reconnue.M. Karl Harrison, fondateur de la société Shou Sugi Ban, commente son choix en ces termes : « Kebony est l’un des types de bois les plus durables sur lesquels nous travaillons – pour notre plus grand plaisir. L’effet “brûlé” met en évidence le grain du bois. La réaction de nos clients a été enthousiaste. Nous nous réjouissons d’avance de proposer dans l’avenir d’autres projets faisant appel à Kebony. »* Technologie KebonyLa technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d’améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l’environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide biologique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa durabilité et sa stabilité dimensionnelle, sans pour autant sacrifier son esthétique.
Cimbat
Il y a 5 ans et 70 jours

"Rester agiles pour nous adapter à la demande des clients", O.Colleau, Kiloutou

INTERVIEW. Après avoir fermé toutes ses agences au moment de l'annonce du confinement, le groupe de location de matériels Kiloutou a mis en place des process pour relancer progressivement son activité. Olivier Colleau, président exécutif, revient sur la situation du groupe et sur la façon dont il accompagne la reprise de ses clients.
Il y a 5 ans et 70 jours

Artisanat : de premiers chiffres donnent une idée de l'ampleur de la crise

ÉTUDE. De premiers chiffres viennent donner une idée de l'ampleur de la crise déclenchée par la mise en confinement à la mi-mars. Sans surprise, les artisans du bâtiment payent déjà un lourd tribut à la crise sanitaire et demandent à l'État de nouvelles mesures de soutien.
Il y a 5 ans et 70 jours

Régis Roudil: "Positivons, cela nous laisse du temps pour mûrir nos intentions fondamentales, réfléchir à l’avenir de nos villes, à nos modes de vie"

Télétravail, chômage partiel, poursuite des études, reprise ou arrêt des chantiers. L'organisation des architectes est mise à rude épreuve par le confinement imposé pour lutter contre l'épidémie de coronavirus. Pourtant, dans les agences -ou plutôt hors les agences-, les échanges entre associés, […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 70 jours

Le conseil scientifique chargé de la restauration de Notre-Dame de Paris est en place

La loi du 29 juillet 2019 pour la conservation et la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris a institué, au sein de l’établissement public dédié, un conseil scientifique, consulté sur les études et opérations de conservation et de restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris. De cette instance doit naître une dynamique de réflexion sur et pour le monument. Sur proposition du général Jean-Louis Georgelin, président de l’établissement public, les membres du conseil scientifique ont été nommés le 27 mars par Franck Riester, ministre de la Culture, en raison de leur expertise dans les domaines des monuments historiques, de l’archéologie, de l’histoire, de l’histoire de l’art, de l’ingénierie, des sciences et techniques et des matériaux. Placé sous la présidence du général Jean-Louis Georgelin, le conseil scientifique est nommé pour une durée de cinq ans renouvelable : M. d’Alessandro (Christophe), organiste et directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique ;M. Berné (Damien), conservateur en chef du patrimoine, en charge de la sculpture au musée de Cluny ;Mme Caponi (Gisella), directrice honoraire de l’institut supérieur pour la conservation et la restauration de Rome ;M. Dillmann (Philippe), directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique, coordinateur des travaux de recherche menés par le Centre national de la recherche scientifique au profit de la cathédrale Notre-Dame de Paris ;Mme Dion (Anne), conservatrice générale du patrimoine, adjointe au directeur du département des objets d’art au musée du Louvre ;M. Drouin (Gilles), ecclésiastique, directeur de l’institut de théologie à l’institut catholique de Paris, chargé par l’archevêque de Paris d’animer la réflexion relative au réaménagement liturgique de la cathédrale Notre-Dame de Paris ;Mme Gouzi (Christine), professeure d’histoire de l’art à Sorbonne Université, spécialiste de la peinture religieuse ;M. Léniaud (Jean-Michel), directeur d’études à l’école pratique des hautes études, directeur honoraire de l’école des chartes, président de la société des amis de Notre-Dame de Paris ;M. Loyer (François), directeur de recherche honoraire au Centre national de la recherche scientifique, directeur honoraire de la commission du Vieux Paris, spécialiste de l’architecture et de l’urbanisme du XIXe siècle ;M. Lucan (Jacques), architecte, historien, professeur d’architecture à l’école d’architecture de Marne-la-Vallée et à l’école polytechnique fédérale de Lausanne ;M. Mouton (Benjamin), ancien architecte en chef des monuments historiques, ancien vice-président du Conseil international des monuments et des sites (ICOMOS) ;Mme de Ponthaud (Marie-Suzanne), architecte en chef des monuments historiques, en charge des cathédrales de Chartres et de Reims ;M. Sandron (Dany), professeur d’histoire de l’art à Sorbonne Université, directeur au centre André Chastel ;Mme Sire (Marie-Anne), inspectrice générale des monuments historiques. Photo : Anna Ader
Il y a 5 ans et 70 jours

Covid-19 : focus sur l'exposition des riverains à la pollution automobile

Des mesures locales en complément des modélisations nationalesEn complément entre autres des publications de l'Ineris sur l'évolution de la qualité de l'air en France, d'images satellites d'agences spatiales, des communiqués d'Atmo France et localement des différentes AASQA sur l'impact du confinement sur la qualité de l'air, Atmo France a réalisé un focus synthétique sur l'évolution des oxydes d'azote (NOx) à proximité des axes routiers à fort trafic grâce aux données historiques des stations de mesure des associations agréées en charge de la surveillances et de l'information sur la qualité de l'air en France. Les NOx proviennent en grande partie du transport routier ; or la baisse drastique de ce dernier est l'un des éléments le plus marquant du confinement pour l'ensemble du territoire métropolitain et outre-mer. Pour les personnes dont le lieu de vie est proche de grands axes routiers, leur exposition aux NOx est particulièrement importante.Grace à la surveillance et aux données de terrain des AASQA, il est possible de voir, sur tout le territoire, l'historique de la pollution de l'air à différents polluants, notamment aux NOx, ainsi que l'évolution de cette pollution.Pourquoi choisir les oxydes d'azote (NOx) comme indicateur ?Les NOx regroupent le monoxyde d'azote (NO) et le dioxyde d'azote (NO2) exprimés en µg/m3 équivalent NO2. La source principale d'émission de NOx en ville est le trafic routier pour plus de 2/3. Indicateurs de pollution du trafic routier, ces polluants sont règlementés par la législation européenne. Leur surveillance sur le territoire est obligatoire et le NO2 est une espèce particulière suivie en raison de sa toxicité. La France est, d'ailleurs, en contentieux avec la Commission européenne pour non-respect des directives concernant les concentrations de ce polluant dans l'air ambiant de nombreuses agglomérations. L'équilibre en NO et NO2 étant très sensible à la température, l'indicateur NOx est plus stable que le simple NO2 en période de variation importante de température.Les NOx sont également précurseurs d'autres polluants : dans certaines conditions climatiques et d'ensoleillement, ils réagissent avec certains polluants selon des processus physico-chimiques complexes intervenant dans l'atmosphère. Ils réagissent en particulier avec les composés organiques volatils (COV) pour conduire à la formation d'ozone troposphérique ou avec l'ammoniac (NH3) pour former des particules secondaires (dont les niveaux sont d'ailleurs restés soutenus certains jours pour une bonne partie de la France, malgré les mesures de confinement).Diminution importante des expositions aux oxydes d'azote (NOx) en bordure des axes de traficAtmo France avec l'appui des AASQA a analysé l'évolution des concentrations moyennes journalières en NOx du 1er au 31 mars 2020 sur des stations représentatives de l'exposition à la pollution dû au trafic dans les principales agglomérations françaises. Les émissions de NOx étant globalement en lien avec le trafic routier, les données de la station de référence à l'exposition du trafic ont été utilisées et ce, pour toutes les préfectures de région ainsi que pour les agglomérations de plus de 500 000 habitants.La baisse du trafic routier lié au confinement a eu pour impact une baisse globale des concentrations de NOx sur tout le territoire français métropolitain et outre-mer. Sur le mois de mars 2020, la mise en place du confinement a mené à une baisse des concentrations moyennes journalières en NOx proches des axes routiers de 50% à Bordeaux ; 70% à Toulouse ; 67% à Fort-de-France ; 69% à Dijon ; 62% à Rennes et 69% à Marseille par exemple (voir infographie ci-dessus).L'évolution des niveaux de NOx a également été analysée pour plusieurs agglomérations de plus de 500 000 habitants. L'impact de la baisse du trafic routier y est également visible sur les concentrations de NOx. Par exemple l'agglomération de Paris a observé une baisse de 73%, l'agglomération de Grenoble de 72%, l'agglomération de Toulon de 49% et l'agglomération de Nice de 69%.MéthodologieAfin de montrer l'impact du confinement sur la pollution en NOx, Atmo France a réalisé sur quelques stations trafic représentatives dans chaque agglomération un ratio entre la moyenne des concentrations journalières en NOx du mois de mars avant la mise en place du confinement (1er au 17 mars 2020) et au début du confinement (18 au 31 mars 2020). Exprimé en pourcentage, ce ratio indique l'évolution des niveaux de NOx mesurés sur les grands axes routiers en mars 2020 avant et pendant le confinement.Les concentrations journalières en NOx du mois de mars 2019 sont également renseignées sur les graphiques en partie III afin d'illustrer l'état des concentrations en NOx en 2019 à la même période*. La comparaison entre les mois de mars 2019 et de mars 2020 illustre aussi cette baisse des concentrations, tout en gardant à l'esprit que les variations observées résultent d'une part de l'impact du confinement sur la circulation mais aussi de conditions météorologiques qui ont pu localement être très différentes entre 2019 et 2020.* A la suite d'incidents techniques, dans certaines régions, quelques données journalières sont indisponibles. A noter que la réglementation oblige les AASQA à disposer d'au moins 90% de données sur l'année.
Il y a 5 ans et 70 jours

Chute d’activité de 12 % pour l’artisanat du bâtiment au premier trimestre

La note de conjoncture de la Capeb fait apparaître une spectaculaire chute d’activité des entreprises de moins de 20 salariés.
Il y a 5 ans et 70 jours

Vinci va construire une partie de la nouvelle LGV britannique

Vinci, en partenariat avec Balfour Beatty, a décroché un contrat d'environ 5,75 milliards d'euros pour construire près de Birmingham une partie de la ligne de train à grande vitesse HS2.
Il y a 5 ans et 70 jours

Chez Eiffage Génie Civil : "l’heure est à la relance de l’activité, le chiffrage suivra"

Respectivement président et directeur général d’Eiffage Génie Civil, Guillaume Sauvé et Xavier Mony détaillent la manière dont leur entité fait face à la crise du Covid-19 et organise la reprise progressive de l’activité.
Il y a 5 ans et 70 jours

Reprise des chantiers: les acteurs du BTP bretons réunis autour d’une charte de bonnes pratiques

Les entreprises du BTP, les maîtres d’ouvrage publics et privés et les architectes ont planché sur une charte régionale qui vise à la répartition équitable des surcoûts liés à la crise sanitaire.
Il y a 5 ans et 70 jours

Nouveau directeur commercial France chez Veka

Le spécialiste de l’extrusion de profilés de PVC et de la conception de systèmes de menuiseries (fenêtres, volets et portes) VEKA annonce la nomination... Cet article Nouveau directeur commercial France chez Veka est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 5 ans et 70 jours

Nouvelle gouvernance chez Egis

Laurent Germain, directeur général, et Pierre-Marie Chavannes, président non exécutif du conseil d’administration d’Egis. [©Egis/PatriceMaurein] Nicolas Jachiet, Pdg d’Egis, a décidé de faire valoir ses droits à la retraite et quittera le groupe le 31 octobre prochain. Actionnaire majoritaire d’Egis, la Caisse des dépôts et consignations a proposé la nomination de Laurent Germain, au poste de directeur général. Celle-ci sera confirmée lors du prochain conseil d’administration, le 2 juillet prochain. « Au cœur des défis majeurs du XXIesiècle comme le changement climatique, les nouvelles mobilités, la révolution numérique. Fort de collaborateurs à l’expertise très reconnue et à l’engagement exemplaire, de son positionnement international équilibré, Egis est idéalement positionné pour atteindre une position de leader mondial dans les transports et la mobilité du futur et dans la construction de la ville durable », indique Laurent Germain. La Caisse des dépôts et consignations présentera aussi la nomination de Paul-Marie Chavanne, comme président non exécutif du conseil d’administration d’Egis. « Je suis très honoré d’avoir été proposé à la présidence du conseil d’administration d’Egis. Aujourd’hui, notre priorité reste centrée sur la gestion de la crise sanitaire. Et dans les prochaines semaines, tout sera mis en œuvre pour un passage de témoin réussi entre Nicolas Jachiet et le futur directeur général, Laurent Germain », explique Paul-Marie Chavanne. Le parcours de Laurent Germain et Paul-Marie Chavanne  Laurent Germain est aujourd’hui directeur général de Segula Technologies, groupe d’ingénierie français et de conseil en technologies. Il est diplômé de l’Essec (Ecole supérieure des sciences économiques et commerciales). Mais aussi de l’Institut d’études politiques (IEP) de Paris. Il est ancien élève de l’Ecole nationale d’administration (ENA). Après avoir exercé différentes fonctions au sein du ministère de l’Economie et des Finances, il devient, en 2004, conseiller de François d’Aubert, ministre délégué à la Recherche, en charge des affaires budgétaires. Un an après, il est nommé directeur financier du Centre national d’études spatiales (CNES). En 2014, il rejoint Segula Technologies. Ingénieur de l’Ecole centrale de Paris, ancien élève de l’Ecole nationale d’administration, Paul-Marie Chavannes est inspecteur des Finances. Il a débuté sa carrière au ministère de l’Economie et des Finances. Ensuite, il a occupé des fonctions de direction générale dans plusieurs groupes industriels. En 2001, il devient Pdg de Geopost, la filiale de colis express de La Poste.
GDA
Il y a 5 ans et 70 jours

Carrier devient une société indépendante

UTC (United Technologies) avance dans sa restructuration. Carrier est désormais côté à la bourse de New-York.
Il y a 5 ans et 70 jours

Le fonctionnement du chauffage au bois (partie 2)

Dans cette deuxième partie de notre dossier spécial « chauffage au bois », la technique est au rendez-vous. Nous allons aborder le fonctionnement de tous les types de chauffage au bois : de la cuisinière de nos aînés à la chaudière à hydroaccumulation avec production d’eau-chaude. L’exhaustivité en toute simplicité, tel est le défi que je souhaite relever […]
Il y a 5 ans et 70 jours

Retour en images sur la pratique muséale de Lina Bo Bardi

Penser la transition écologique et agir, l'intégrer dans ses pratiques et participer concrètement à la dynamique de changement, telle était la proposition faites aux architectes et acteurs du cadre de vie pour 2020 et au-delà, par le Conseil régional de l'Ordre des architectes de Nouvelle-Aquitaine et les acteurs du 308+. La contrainte de […] Lire l'article
Il y a 5 ans et 70 jours

Loyers des commerces : la CPME pour un fonds abondé par les assureurs et le e-commerce

Si une solution est "en passe d'émerger avec les bailleurs institutionnels, la question reste pleine et entière pour les autres types de location commerciale", relève l'organisation patronale dans un communiqué.Les principales organisations de bailleurs ont appelé leurs adhérents à annuler trois mois de loyers pour les très petites entreprises (TPE) qui ont dû fermer au début du confinement, mais 16 fédérations de commerçants ont jugé insuffisante leur proposition qui ne concerne que les TPE bénéficiaires du fonds de solidarité.Aussi, pour ne pas "léser les bailleurs non institutionnels", la CPME propose que soit "mis en place un fonds dédié abondé par les assurances et par les géants du e-commerce"."Les assureurs qui mettent en avant des arguments juridiques pour refuser l'indemnisation des pertes d'exploitation, auraient ainsi l'occasion de démontrer leur volonté de prendre part plus significativement aux efforts consentis par tous pour venir en aide aux plus petites entreprises", argumente l'organisation.Tandis que les banques ont beaucoup augmenté les prêts accordés aux entreprises rencontrant des difficultés de trésorerie grâce au dispositif de prêts garantis par l'État à hauteur de 90%, les assureurs sont souvent accusés de ne pas en faire assez.Dans le cadre de l'élargissement du fonds de solidarité aux TPE, ils ont porté leur contribution de 200 à 400 millions d'euros."De la même façon, les géants du e-commerce qui dans la période actuelle voient sensiblement s'accroitre leur activité pourraient ainsi manifester leur solidarité avec les commerçants de proximité qui, eux, voient baisser sensiblement leurs volumes de ventes", poursuit le communiqué de la CPME.
Il y a 5 ans et 70 jours

Covid-19 : La récession et le déficit seront peut-être plus "impressionnants" que prévu, selon Darmanin

"Il y aura peut-être un troisième budget rectificatif avec des chiffres sans doute encore plus impressionnants", a affirmé le ministre sur France Inter.Le gouvernement a présenté la semaine dernière un nouveau projet de budget rectifié pour 2020, le deuxième en moins d'un mois. Voté dans la nuit de vendredi à samedi à l'Assemblée nationale, il est examiné mardi au Sénat.Il intègre une prévision de contraction du produit intérieur brut (PIB) de -8% cette année, un déficit de 9% du PIB, une dette publique de 115%. Alors que le précédent plan d'action prévoyait de mobiliser 45 milliards d'euros (dont des reports de charges et d'impôts) pour soutenir l'économie, la nouvelle mouture doit relever ces aides à 110 milliards d'euros."La stratégie du gouvernement est de s'adapter aux demandes économiques" des Français et des entreprises, a assuré Gérald Darmanin, ajoutant que le gouvernement "a préféré l'endettement à la faillite"."Nous sommes dans le montant de déficit et de dette jamais atteint depuis la seconde guerre mondiale", a-t-il insisté."Il n'y a pas de plafond (...) Aujourd'hui la France continue de pouvoir emprunter dans des conditions satisfaisantes (...) avec des taux bas", a-t-il encore ajouté.M. Darmanin a d'ores et déjà annoncé que les reports de charges pour les entreprises seraient prolongés pour les échéances du mois de mai.
Il y a 5 ans et 70 jours

Confiné.e.s : Triptyque

Face au confinement imposé à tous pour contrer la propagation du virus Covid-19, nombre d’architectes ont ...En savoir plus Cet article Confiné.e.s : Triptyque est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 5 ans et 70 jours

Confiné.e.s : Atelier Aconcept

Face au confinement imposé à tous pour contrer la propagation du virus Covid-19, nombre d’architectes ont ...En savoir plus Cet article Confiné.e.s : Atelier Aconcept est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 5 ans et 70 jours

Déconfinement : la filière bois présente les conditions de sa reprise d'activité

RELANCE. Les organisations représentatives de la filière bois ont envoyé à Bercy et au Conseil national de l'industrie une quinzaine de propositions à court et moyen terme pour relancer l'activité dans leur secteur une fois le déconfinement amorcé. Les constats comme les propositions rejoignent ceux déjà formulés par des acteurs de la construction et du logement.
Il y a 5 ans et 70 jours

Pisé porteur, par Clément Vergély

Depuis quelque temps, l’architecture en pisé suscite un regain d’intérêt dans l’Hexagone. C’est à Lyon que ...En savoir plus Cet article Pisé porteur, par Clément Vergély est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 5 ans et 70 jours

A Corona City, des élus formés à l’architecture ?

Quelles leçons peuvent être tirées de la pandémie qui a rendu plus visibles les inégalités qui structurent la vie sociale, notamment celles qui régissent l’espace urbain et le logement ? Après le déconfinement, quelle Corona City ? Parmi les suggestions […] L’article A Corona City, des élus formés à l’architecture ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 70 jours

Et si demain le bureau disparaissait ?

A Corona City, pourquoi devrions-nous encore nous réunir en un même lieu pour travailler ensemble ? Corona City, 2022 Avant le « Grand Confinement » de 2020, les travailleurs et travailleuses des agences d’architecture, mais pas que, se rendaient chaque […] L’article Et si demain le bureau disparaissait ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 70 jours

Prix “IMBP” de l’Idrrim : A vos dossiers !

L’édition 2020 du prix “IMBP” organisé par l’Idrrim, est lancée [©Idrrim] Organisée par l’Institut des routes, des rues et des infrastructures pour la mobilité (Idrrim), l’édition 2020 du prix “Infrastructures pour la mobilité, biodiversité & paysage” (IMBP) est lancée. Elle récompensera les meilleurs projets réalisés par les acteurs impliqués dans la conception, la construction, la gestion. Ainsi que l’entretien, l’aménagement, la requalification. Et enfin, l’exploitation des infrastructures de mobilité.  Les dossiers sont à renvoyer avant le 31 juillet prochain. Le concours couvre sept thématiques :– Continuités écologiques ;– Génie écologique ;– Paysage urbain et rural ;– Sensibilisation et communication ;– Initiatives astucieuses en cours de réalisation ;– Initiatives à l’international ;– Projets prometteurs. L’appel à projets s’adresse à toute structure ou organisme public ou privé, quelle que soit sa taille : collectivités, services et établissements publics de l’Etat, bureaux d’études, entreprises, associations… De plus, les infrastructures concernées peuvent être aussi bien des routes que des voies vertes, des espaces publics urbains. Plus d’information ici.
Il y a 5 ans et 70 jours

"Avec le confinement, les normes du logement passent au crash-test" (F.Leclercq)

ARCHITECTURE. L'agence Leclercq Associés portera, pour six années encore, les orientations stratégiques de l'extension d'Euroméditerranée, à Marseille. François Leclercq et Marie Taveau, directrice de projets, exposent, pour Batiactu, grands principes et secteurs à enjeux, et ce que changera la crise dans la façon de faire la ville.
Il y a 5 ans et 71 jours

Humbert & Poyet : Appartement rue des Archives

Les architectes Emil Humbert et Christophe Poyet mêlent matériaux nobles, œuvres d’art contemporaines, meubles d’esprit Art Déco ou Memphis et références au classicisme dans un duplex historique de la rue des Archives. En plein Marais, le duo Humbert & Poyet imagine une habitation raffinée, où le classicisme côtoie la modernité, pour une famille. Les décorateurs Emil Humbert et Christophe Poyet ont en effet répondu par un appartement élégant et subtil aux commanditaires, qui désiraient un logement convivial et fonctionnel adapté au quotidien de leur famille. Inspirés par l’histoire du bâtiment de la rue des Archives, les architectes ont pris le parti de modifier l’organisation spatiale de ce duplex de 250 mètres carrés en revenant à une distribution classique des pièces. Le premier niveau est désormais réservé aux salles de séjour – le salon, la salle à manger, la cuisine et la bibliothèque –, quand le second accueille la chambre parentale et son dressing, la chambre d’enfant et la salle de bain. Des moulures discrètes et une imposante cheminée ont été ajoutées. Ces clins d’œil au classicisme, qui ponctuent l’appartement, sont aussi habilement mariés à des éléments modernes et contemporains : « Nous sommes particulièrement inspirés par les mouvements modernistes, art déco et Memphis, alliés au classicisme, on retrouve ces périodes à travers les choix des meubles, des couleurs et des finitions dans notre travail et la conception de cet appartement. Tout cela se combine pour former des espaces uniques qui sont des déclarations en soi, forts et raffinés. » L’entrée donne le ton. On y découvre du terrazzo en all-over – au sol, sur les murs et les marches de l’escalier –, ainsi que des œuvres d’art et des pièces de mobilier de créateurs célèbres, notamment une peinture de Keith Haring, des chaises de Le Corbusier, une console de Jean Prouvé, des céramiques des artistes Georges Jouve et Olivier Gagnère. À l’instar du hall, toutes les pièces de l’appartement sont audacieusement décorées, avec des beaux matériaux – bois, marbre, laiton, terrazzo –, des pièces de mobilier et des objets d’art iconiques, des meubles de Humbert & Poyet. Dans le salon, par exemple, le canapé de velours bleu Grand Théodore, le lampadaire en albâtre brillant Ava et la table-basse Gabrielle signés Humbert & Poyet côtoient les appliques et les lampes dessinées par le designer italien Gino Sarfatti, les tabourets Tulip crés par l’architecte finno-américain Eero Saarinen, une photographie prise par le sulfureux photographe américain Robert Mapplethorpe et une peinture imaginée par le plasticien français Bertrand Lavier. Après avoir fait ses preuves en rhabillant quantité d’adresses commerciales – les restaurants Beefbar à Paris, Mexico, Monaco, Hong-Kong et Malte, l’hôtel The Hoxton et la boutique Maison Weill à Paris – Humbert & Poyet confirme sa très bonne réputation avec de nombreux projets résidentiels. Affaire à suivre… Pour en savoir plus, visitez le site de Humbert & Poyet.Photographies : © Francis AmiandLéa Pagnier
Il y a 5 ans et 71 jours

Comment réagissent les dirigeants d'entreprise face à la crise du Covid-19 ?

ÉTUDE. Les dirigeants et leurs entreprises ont dû faire preuve d'agilité et souplesse pour affronter les changements inédits liés à la crise du Covid19. Découvrez les résultats de l'étude de La Maison des Entrepreneurs sur l'état d'esprits des patrons, leur craintes et leurs vision de l'après crise.
Il y a 5 ans et 71 jours

« J’ai fait passer le test sérologique à mes salariés »

Eric Thiebaut, président de la PME familiale de fermetures Soreba à Ribeauvillé (Haut-Rhin), a décidé de dépister l’immunisation des salariés au Covid-19. Objectifs : rassurer les clients particuliers et adapter au mieux les règles de protection sanitaire selon les cas, à l’heure où l’activité repart.
Il y a 5 ans et 71 jours

Entre la métropole et la campagne, la ville

Pour les citadins paniqués, la vie à la campagne est une illusion délétère. Pour un développement harmonieux, la ville dense est un bien commun qui doit retrouver sa fonction de protection et de creuset culturel. Le confinement conduit naturellement à […] L’article Entre la métropole et la campagne, la ville est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 71 jours

Une nouvelle Présidente pour l'Association Promotelec

CARNET-NOMINATION. L'association Promotelec, qui réunit notamment les acteurs de la filière électrique, du bâtiment, de l'immobilier et des associations de consommateurs, s'est dotée d'une nouvelle présidente, élue ce 9 avril.
Il y a 5 ans et 71 jours

Confinement : aspiration à l’EnVol

Confinement : maintien d’un être vivant (animal ou plante) dans un milieu de volume restreint et clos. Alors où trouver de l’espace ? La réponse est en partie dans la définition même : en exploitant mieux le « volume ». […] L’article Confinement : aspiration à l’EnVol est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 71 jours

A quoi servent les historien(ne)s de l’architecture ?

A quoi sert l’histoire de l’architecture ? Vaste question posée en 2017 par Richard Klein à 30 historien(ne)s de l’architecture, dans la continuité de l’ouvrage coordonnée par Emmanuel Laurentin il y a dix ans sur la profession d’historien. Qu’ils soient […] L’article A quoi servent les historien(ne)s de l’architecture ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 71 jours

«Les travaux d’été doivent sortir», Olivier Salleron, président de la FFB Nouvelle Aquitaine

Le "président élu", le 20 mars, de la Fédération française du bâtiment (il prendra son poste en juin) évoque les obstacles à la reprise des chantiers et les inquiétudes de la profession pour les mois à venir.
Il y a 5 ans et 71 jours

Top 10 des meilleures villes où investir dans l'immobilier neuf selon son profil d'acquéreur

Les meilleures opportunités d'investissement dans l'immobilier neuf se trouvent actuellement dans les périphéries de grandes villes particulièrement dynamiques : Grenoble, Annecy, Genève, Paris, Toulouse, Marseille et Aix-en-Provence, Bordeaux. Les prix du neuf sont souvent supérieurs aux prix de l'ancien. Ce surcoût, justifié par la qualité des constructions et, dans de nombreux cas, compensé par les avantages fiscaux attachés au neuf, est bien moindre lorsqu'on s'éloigne (mais pas trop) des grandes agglomérations. Il y a donc de nombreuses pépites à découvrir lorsqu'on analyse systématiquement toutes les villes françaises où des biens neufs sont proposés. « Les villes mises en lumière par ce double classement proposent un environnement plus apaisé, plus vert, bien moins cher, et bien plus rentable que les métropoles qu'elles bordent. La méthodologie suivie dans cette étude a permis de ne sélectionner que des opportunités équilibrées d'investissement en veillant, au-delà de la rentabilité ou de la plus-value attendue, à ce que les risques (non location, impayé de loyer, éloignement des transports ou des services de base) soient également bien maîtrisés. » Commente Mathieu Morio, fondateur de GridkyClassement profil rentabilitéA seulement 2 km de Grenoble, Saint-Martin-le-Vinoux (38) arrive en tête de classement. La rentabilité locative brute des investissements y est de 6,5% (en prenant en compte l'avantage fiscal Pinel, et 4,5% sans cet avantage). Cette ville bénéfice à plein du dynamisme économique et éducatif de Grenoble (5ème ville la plus innovante du monde), tout en présentant des prix plus attractifs. Elle se situe au cœur du Parc naturel régional de Chartreuse tout en étant à 3 arrêts de tram de la métropole. La part des nouveaux ménages arrivant chaque année à Saint-Martin-le-Vinoux représente 35% contre 3,7% en moyenne nationale. La population a ainsi augmenté de 19% sur 5 ans sur cette zone.Arrive en seconde position du classement Allonzier-la-Caille (74), petite ville de 2.000 habitants située à 10 minutes d'Annecy et 20 min de Genève, placée en pleine nature tout en bénéficiant de la proximité avec 2 centres économiques majeurs. La rentabilité locative atteint 5,7% (avec levier fiscal). Reflétant cette situation privilégiée, le taux de logements vacants y est particulièrement bas, à 4,9% contre 7,1% au national.On retrouve en troisième place la commune d'Asnières-sur-Seine (92), qui figure régulièrement dans les classements des villes de banlieue les plus courues par les parisiens. Commune de l'ouest parisien située à moins de 15 min de la Défense, Asnières-sur-Seine bénéficie d'un cadre paisible et du charme des bords de Seine. La rentabilité locative dans le neuf, notamment dans le nouvel écoquartier Seine Ouest, est de 5,6% (avec levier fiscal). Ville aisée, le taux de cadres y atteint 33% contre 25% au niveau national.La Bouilladisse (13) est la quatrième ville où l'investissement d'un bien neuf est le plus rentable avec 5,5% (avec levier fiscal). La commune de 6.000 habitants bénéficie d'une position stratégique entre Marseille, Aix en Provence et Aubagne (accessibles en moins de 30 min). Reflétant ces avantages, la part des nouveaux ménages arrivant chaque année représente 7,6% contre 3,7% en moyenne nationale. Par ailleurs, le taux de logements vacants y est particulièrement bas à 5,5%, et les cadres, 27% des habitants, y sont fortement représentés.Balma (31), aux portes de Toulouse (accessible en 20 min par le métro A et plusieurs lignes de bus), arrive en cinquième position du classement avec une rentabilité de 5,5% (avec levier fiscal). Balma propose un bassin d'emplois sur place avec par exemple AG2R La Mondiale et plusieurs sièges de banques implantées localement. Il s'agit de l'une des communes les plus intéressantes en première couronne de Toulouse. La part des nouveaux ménages arrivant chaque année représente 35% contre 3,8% en moyenne nationale, et la population a augmenté de 19% sur 5 ans sur cette zone.Pontault-Combault (77), idéalement placée entre les pôles d'emplois de Créteil et de Marne-la-Vallée, et à seulement 30 min du centre de Paris en transports, Pontault-Combault est la sixième ville dans le classement Gridky. La rentabilité locative brute de l'investissement dans un bien neuf y est de 6% (avec levier fiscal), notamment en raison d'une forte demande locative. Il n'y a que 4,1% de logements vacants (presque deux fois moins que la moyenne nationale), et la balance démographique est de +5,1% sur 5 ans. Pontault-Combault est légèrement moins bien classée que les villes qui la précèdent en dépit d'une meilleure rentabilité, car le risque locatif y est un peu plus fort (tout en restant néanmoins excellent), avec un poids des loyers dans les revenus des habitants à 17% (au même niveau que la moyenne nationale).A 15 km de Perpignan, Saint-Cyprien (66) se place à la 7ème position du classement. Ville à la fois moderne et ayant gardé son atmosphère de village, Saint-Cyprien est située à 5 min de la mer. La rentabilité locative d'un appartement neuf y est de 6% (avec levier fiscal). La tension locative y est maximale avec seulement 0,2% de logements vacants. Il n'y a donc quasiment aucun logement disponible à la location sur la commune. Saint-Cyprien n'est toutefois pas classée plus haut en dépit de son excellent taux de rentabilité, car la croissance démographique, à 1,9% sur 5 ans, y est légèrement moins élevée que sur les villes mieux classées.Tournefeuille (31), commune de 27.000 habitants située à l'ouest de Toulouse, arrive en 8ème place. La proximité avec la ville rose, et ses nombreuses lignes de bus la reliant en 20 min, lui permettent de bénéficier de l'afflux démographique que connaît la région depuis plusieurs années : Tournefeuille a vu sa population croître de 2,6% sur les 5 dernières années, et l'arrivée de 12% de nouveaux ménages chaque année. Vous pouvez y espérer une rentabilité locative de 5,3% (avec levier fiscal).En 9ème position du classement, on retrouve Clamart (92). La rentabilité locative atteint 5,3%. Déjà à moins de 30 min de Paris en voiture, la commune va bénéficier du Grand Paris avec l'arrivée en 2024 de la ligne 15. Cette position privilégiée dans le sud-ouest parisien motive de nombreux nouveaux ménages à y emménager (+9,4% chaque année). Enfin, Clamart est en pleine mutation, avec l'émergence de nouveaux quartiers (le Panorama par exemple) offrant une haute qualité de vie.Gradignan (33), à seulement 9 km de Bordeaux, est à la 10ème place du classement. La rentabilité locative atteint 5%. La ville bénéficie d'un boom démographique avec une augmentation de 9,5% de sa population sur les 5 dernières années. La commune a vu son besoin en logements bondir, ce que reflète le très faible pourcentage de logements vacants (3%).Classement profil « plus value »Allonzier-la-Caille (74) passe en première position. Il existe sur cette ville certains biens neufs ayant un prix au m² de 3 760 €, ce qui est inférieur aux prix de l'ancien (qui se situent actuellement entre 2 826 € et 5 291 €), avec un prix moyen de 3 919 €. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 54%.Balma (31) arrive en seconde place. Le prix au m² des biens neufs est de 3 276 € face à un prix au m² dans l'ancien qui se situe actuellement entre 2 177 € et 4 124 € (avec un prix moyen de 2 973 €). L'écart de prix au m² des biens neufs par rapport au prix moyen dans l'ancien sur cette zone n'est ainsi que de 10%. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 53%.Asnières-sur-Seine est toujours troisième du classement. Le prix au m² de certains biens neufs est de 5 549 €, très proche du prix au m² dans l'ancien (qui se situe actuellement entre 3 563 € et 7 093 € sur cette zone, avec un prix moyen de 5 054 €). Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 60%.Fait son apparition en quatrième position du classement, la ville de Bruges (33), située au nord de Bordeaux. Le prix au m² des biens neufs est de 3 917 € en regard d'un prix dans l'ancien allant de 2 574 € à 4 771 € sur cette zone, avec un prix moyen de 3 524 €. Le neuf y est donc à peine 11% plus cher que l'ancien, ce qui est tout à fait attractif. Par ailleurs, si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 45%. La population a augmenté de 16% sur 5 ans sur cette zone, et le taux de logements vacants n'y est que de 3,2% (contre 6,9% au national).Saint-Martin-le-Vinoux se place en cinquième position. Avec des biens neufs accessibles dès 2 555 € alors que le prix au m² dans l'ancien se situe actuellement entre 1 757 € et 3 554 € sur cette zone, (avec une moyenne de 2 491 €), le prix de ce bien neuf est inférieur au prix maximum observé actuellement sur le marché de l'ancien, ce qui est tout à fait attractif. De plus, l'écart de prix au m² de ce bien neuf par rapport au prix moyen dans l'ancien sur cette zone est de 2,6%, alors que l'écart moyen entre le neuf et l'ancien est de 44% sur l'ensemble du marché. Ce lot est donc sensiblement moins cher au m² par rapport aux prix dans l'ancien que les autres biens neufs actuellement en vente. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 52% sur cette ville.Frontalière avec la Suisse (à moins de 30 min du centre-ville de Genève), la ville d'Etrembières (74) arrive en sixième place des villes où investir dans le neuf pour maximiser sa plusvalue. Le prix au m² des biens neufs est de 4 221 €, soit quasiment au même niveau que les prix de l'ancien qui se situent entre 2 924 € et 5 789 € sur cette zone, avec un prix moyen de 4 010 €. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 44%. La population a augmenté de 29% sur 5 ans sur cette zone.Autre ville frontalière avec nos voisins helvétiques, Gex (01) se place en septième position. Le prix au m² des biens neufs est de 3 685 € quasiment au niveau de l'ancien qui se situe actuellement entre 2 844 € et 5 595 € sur cette zone, avec un prix moyen de 3 574 €. De plus, si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 42%. La population a par ailleurs augmenté de 21% sur 5 ans à Gex.Première métropole du classement, Bordeaux (33) est la 8ème ville où il est le plus intéressant d'acheter un bien neuf pour espérer obtenir une belle plus-value. Le prix au m² des biens neufs les plus intéressants est de 4 449 €, ce qui n'est pas très cher en comparaison d'un dans l'ancien qui se situe entre 3 131 € et 5 845 €, avec un prix moyen de 4 307 €. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 49%.On retrouve la ville de Bouilladisse en 9ème place du classement. Le prix au m² des biens neufs est de 3 169 €, très proche du prix de l'ancien qui se situe entre 2 162 € et 4 362 €, avec un prix moyen de 3 011 €. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 45%. La population a augmenté de 2,3% sur 5 ans sur cette zone. La part des cadres dans les actifs sur cette zone (27%) reflète un environnement plutôt aisé.Biscarrosse (40) est 10ème .Le prix au m² des biens neufs est de 3 280 €, ce qui est inférieur à la moyenne du prix dans l'ancien : 3 442 €, avec un min de 2 530 € et un max de 4 651 € sur cette zone. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 50%. La part des nouveaux ménages arrivant chaque année représente 14% contre 3,7% en moyenne nationale. La population a augmenté de 13% sur 5 ans sur cette zone.
Il y a 5 ans et 71 jours

« best architects 21 » : allongement de la période d’inscription !

Les participants au concours "best architects 21" ont désormais jusqu'au 3 juin 2020 pour déposer leur dossier de candidature... Cet article « best architects 21 » : allongement de la période d’inscription ! est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.