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Toute l'actualité du bâtiment

255065 actualités disponibles
Il y a 2 ans et 71 jours

immobilier neuf quelles ont ete les regions et villes les plus recherchees en 2022

Valorissimo, qui met en relation promoteurs et prescripteurs, a mené une étude pour savoir dans quelles régions et villes les recherches de logements neufs s’étaient concentrées en 2022. C’est notamment le cas en Normandie et dans le Centre Val de Loire, et dans des villes comme Thonon-les-Bains, Cergy, et Bussy Saint-Georges, Uzès, Honfleur, et Narbonne.
Il y a 2 ans et 71 jours

Ensa Normandie : pas d'enseignements durant deux semaines suite à un blocage

CRISE. Le manque de personnel et de moyens financiers a poussé étudiants, enseignants et personnel administratif à retarder la rentrée du second semestre de l'École nationale supérieure d'architecture de Normandie (Ensan). Face à cette situation de crise, une professeure et une étudiante nous livrent leur témoignage.
Il y a 2 ans et 71 jours

A Lyon, un ancien garage laisse place à un bâtiment à énergie positive

PROJET. Implanté au Sud du quartier de la Confluence à Lyon, le projet Zadiga-Cité fait renaître l'ancien garage du marché Gare. Ce bâtiment industriel, qui a été entièrement détruit suite à un incendie, a été rebâti presqu'à l'identique. D'ici à quelques semaines, il accueillera ses nouveaux occupants.
Il y a 2 ans et 71 jours

La Capeb publie un livre blanc pour jeunes et artisans

La Capeb a publié un livre blanc “Entreprises artisanales du bâtiment et génération Z, un duo gagnant”. [©Capeb] Pour la Capeb, c’est clair : il faut allier entreprises et génération Z. D’ici la fin de la décennie, cette génération, née entre 1997 et 2010, représentera un tiers de la population active. En ce sens, elle représente une véritable opportunité pour les entreprises du secteur de la construction. D’ici 2030, il y aura plus de 200 000 départs à la retraite et près de 190 000 postes à pourvoir dans la rénovation énergétique. Face à ces constats, la Capeb a publié un livre blanc intitulé “Entreprises artisanales du bâtiment et génération Z, un duo gagnant”. Elle y présente une nouvelle dynamique nécessaire à la rencontre entre ces deux partis. Pour la Capeb, génération Z et artisans du bâtiment doivent allier leurs compétences respectives. Intéresser les jeunes pour relever des défis avec toutes les générations Lire aussi : Capeb : Bilan 2022 et propositions 2023 Aujourd’hui, les jeunes ont plutôt une mauvaise image des petites entreprises artisanales du bâtiment. Ces dernières restent pourtant l’un des premiers employeurs d’apprentis. Le livre blanc de la Capeb espère rassembler ces jeunes et ces entreprises, qui ont mutuellement beaucoup de choses à s’apporter. La transition environnementale, numérique et sociétale est un enjeu majeur des années à venir. Les jeunes travailleurs ont grandi avec ces idées et technologies-là et leur approche peut compléter la vision de leurs ainés. Les artisans du bâtiment travaillent passionnément, en apportant une vraie qualité de vie au quotidien. La génération Z et les artisans du bâtiment, ce sont finalement deux âmes sœurs qui ne se sont pas encore rencontrées. Mais rien n’est encore perdu. Ensemble, ils pourront atteindre de nouveaux sommets. Pour télécharger le livre blanc, cliquez ici ! Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 71 jours

Fabemi adapte son offre de blocs béton

Le groupe Fabemi a intensifié la décarbonation de sa production. [©Fabemi Fabemi a adapté son offre de blocs béton aux exigences de la RE 2020. Ce qui en fait des systèmes constructifs parfaits pour bâtir ou rénover des bâtiments durables et respectueux de l’environnement. Au sein de la gamme de blocs isolants Fabtherm, trois sont dotés d’une âme en mousse isolante 100 % minérale. Ils sont ainsi deux à huit fois plus isolants que des blocs béton traditionnels. Ils contribuent à réduire l’empreinte carbone des bâtiments de l’ordre de 4 à 8 % par rapport à d’autres solutions constructives. De plus, ils permettent la réalisation d’ouvrages conformes au critère C de la RE 2020, et de ses futurs seuils de 2025 et 2028. Lire aussi : Fabemi : Un système complet Une gestion éco-responsable En accord avec les directives de la RE 2020 sur la réduction des émissions de CO2 dans le bâtiment, le groupe Fabemi a intensifié la décarbonation de sa production. La démarche consiste à créer une synergie entre fabrication de blocs béton bas carbone, économie circulaire et savoir-faire industriel. « Les blocs béton Fabemi sont l’exemple même de l’engagement de l’entreprise dans l’écologie industrielle Made in France. Et du développement d’innovations produits orientées clients, capables de répondre aux enjeux d’aujourd’hui et surtout de demain », indique la marque. De la fabrication à la fin de vie, leur empreinte carbone est minimisée grâce à une production locale (impact du transport très faible) et à un procédé de fabrication sans cuisson. Les blocs sont produits avec des granulats provenant de carrières situées à proximité des usines Fabemi, séchés naturellement. Et utilisés sur des chantiers proches des unités de production. Ce qui limite le transport et donc l’impact environnemental.  Fabemi met l’accent sur le recyclage En utilisant des granulats recyclés Sølar, Fabemi préserve les ressources naturelles. Ces granulats sont composés d’un assemblage de produits de carrières (ressources primaires) et granulats issus de la valorisation. Une partie de la production des usines de La Trinité (06) et de Vitrolles (13) intègre ces granulats en partie recyclés. Fabemi travaille pour étendre l’intégration de ce matériau éco-responsable à l’ensemble de ses sites de production. De plus, les blocs béton Fabemi sont entièrement recyclables. Après la démolition des bâtiments, ils deviennent revalorisables dans de nouveaux produits, en se substituant à une partie des granulats. Pour finir, ces blocs béton disposent de Fdes. Des données vérifiées et disponibles sur la base Inies qui permettent de calculer la contribution des produits à l’impact environnemental de l’ouvrage à construire. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 71 jours

La décentralisation des politiques de l’habitat et la rénovation énergétique au cœur des propositions de la FOPH

Deux mois et demi après le lancement du CNR Logement, ouvert le 28 novembre 2022, l'heure est aux propositions concrètes. La FOPH, qui a pris part aux trois groupes de travail (« Redonner aux Français du pouvoir d’habiter », « Réconcilier les Français avec l’acte de construire », et « Le logement à l’avant-garde de la transition énergétique ») a mis à profit cette grande consultation pour attirer l’attention sur deux sujets cruciaux : la décentralisation des politiques de l’habitat, et la rénovation énergétique.Pour animer cette visioconférence de presse, Marcel Rogemont, président de la Fédération, membre du groupe 2, était accompagné d’Isabelle Rueff, directrice générale d’Alpes Isère Habitat, et d’Anne Voituriez, présidente de Lille Métropole Habitat, vice présidente de la Métropole Européenne de Lille, toutes deux également impliquées dans ces ateliers.Propositions sur la décentralisation des politiques du logementFinancer l’Autorité organisatrice de l’habitat (AOH)Dans le cadre de la loi 3DS, en 2022, la FOPH a promu l’idée de l’Autorité organisatrice de l’habitat comme outil de décentralisation des politiques du logement. La Fédération plaide pour que soit dédié à l’AOH un financement propre, à l’instar de l’autorité organisatrice de la mobilité et son versement transport.Pour Marcel Rogemont : « La FOPH a lancé une étude avec le cabinet 1630 Conseil sur la question d’une participation de la PEEC (1,6 Md€ de collecte par an) pour financer ces AOH. Cette proposition financière ne coûte pas un euro de plus, elle vise seulement à flécher différemment et plus efficacement les flux financiers. »Consulter l’étudeFusionner le PLH et le PLU pour plus d’efficacité des politiques de l’habitatLa FOPH propose de fusionner le programme local de l’habitat (PLH), document de programmation, et le plan local d’urbanisme (PLU), qui accorde les droits à construire, afin d’assurer une vraie cohérence entre ces documents.Pour Anne Voituriez : « Cette fusion donnerait davantage de liberté aux élus, qui sont les acteurs de l’urbanisme, et favoriserait une meilleure efficacité des politiques de l’habitat. Elle est déjà autorisée par les textes mais n’est pas obligatoire, et de ce fait, encore rarement mise en pratique. »Propositions sur le rôle des organismes HLM dans la transition énergétiqueMaPrimeRénov’ HLM pour accélérer les réhabilitations performantes du parc socialPour pouvoir accélérer les réhabilitations, de la même manière que le secteur privé est aidé dans ses rénovations, la FOPH propose MaPrimeRénov’HLM.Pour Marcel Rogemont : « En 2022, 3,4 Mds€ ont été dépensés pour MaPrimeRénov’ ; sachant que les HLM représentent 17% des résidences principales, nous demandons que 17% de ces 3,4 Mds nous soient versés. »Les bailleurs sociaux au service des collectivités et des élus pour répondre aux besoins des territoiresLa FOPH propose de reconnaître que les bailleurs sociaux, qui sont au service des collectivités et des élus, peuvent répondre aux besoins des territoires au-delà de la simple question du logement, et jouer un rôle majeur en matière de conseil, d’aménagement, d’expertise, de développement de services et de diversification (maisons de santé, accession à la propriété, opérations mixtes, aménagement, habitats seniors, etc.).Mettre le savoir-faire des bailleurs sociaux à disposition du parc privé pour massifier la rénovation thermique et atteindre les objectifs 2050La Fédération propose d’impulser des orientations législatives pour permettre aux bailleurs sociaux d’intervenir pour le compte de tout syndicat de copropriétaires dans la réalisation des travaux de rénovations énergétiques, et en tant que tiers financeur. Pour Isabelle Rueff : « Les organismes de logement social ont un savoir-faire et un niveau de performance énergétique très supérieur à celui du parc privé. »Ajouter les établissements publics locaux à la liste des opérateurs pouvant être Accompagnateur RénovMon Accompagnateur Rénov' est un tiers de confiance, pour un particulier, qui permet de réaliser, en confiance, son projet de rénovation énergétique performante ou globale.Développer davantage les Contrats de Performance ÉnergétiquePour Isabelle Rueff : « Cet outil s’avère efficace et permet de fiabiliser les économies d’énergie et de carbone. »Dans le courant du mois de mars, chaque groupe de travail devra sélectionner et présenter 10 propositions, qui seront adressées au cabinet du ministre délégué au Logement, Olivier Klein.
Cimbat
Il y a 2 ans et 71 jours

Bureaux : Covivio se concentre sur les zones attractives et va vendre des actifs

RÉSULTATS. Après une année 2022 de croissance, Covivio prévoit une baisse en 2023. La foncière de développement va se séparer de nombreux actifs de bureaux devenus moins attractifs avec le développement du télétravail, sans investir à des niveaux équivalents.
Il y a 2 ans et 71 jours

Baromètre risques pays et sectoriels au 4e trimestre 2022 : d'un excès de pessimisme à un excès d'optimisme ?

Enfin, la perspective d’un rebond de l’activité en Chine au 2eme semestre, même très incertain, nourrit également des espoirs pour l’économie mondiale. Il n’en fallait pas plus pour que les marchés financiers s’emballent, rassurés par l’éloignement, pour un temps, du scénario du pire.Il ne s’agit toutefois pas de céder à un excès de complaisance. Les défis auxquels était confrontée l’économie mondiale l’an dernier restent d’actualité et la crise actuelle, multidimensionnelle, n’est pas près de se refermer : fragmentation géopolitique, crise énergétique, changement climatique, risques épidémiques… La transformation du monde s’accélère et sécrète des risques susceptibles de faire dérailler les scénarios « centraux ».Dans ce contexte, les évaluations de risque de Coface n’ont que peu évolué avec 5 modifications pour les risques pays et 16 changements pour les risques sectoriels. En termes nets, la tendance reste aux déclassements.La récession s’éloigne, la stagflation se précise2022 s’est achevée sur une bonne note sur le plan économique. La douceur des températures et les réserves de gaz conséquentes ont permis d’éloigner le spectre d’un rationnement pour l’Europe cet hiver et les économies européennes devraient ainsi éviter une contraction forte de l’activité. Cela a conduit Coface à garder inchangée sa prévision de croissance mondiale pour 2023, à 1,9%. Notre scénario de stagflation dans les économies avancées et de résilience globale des pays émergents se voit également confirmé.Cette continuité se traduit dans nos évaluations de risques : seuls 3 pays et 10 secteurs sont déclassés ce trimestre, après 95 en juin 2022 et plus de 50 en octobre 2022. Dans le même temps, Coface a également procédé au reclassement des évaluations de l’Inde et du Burundi, et de six évaluations sectorielles, principalement dans l’industrie automobile grâce à la résorption progressive des tensions sur les chaînes d’approvisionnement.Vers un recul (mécanique) de l’inflation au premier semestre 2023Alors que l’envolée des cours de l’énergie avait été à l’origine de l’emballement des prix à la consommation dans les économies avancées, leur modération a entraîné un recul mécanique de l’inflation fin 2022. L’inflation semble ainsi avoir passé son pic en zone euro. C’est aussi le cas aux Etats-Unis, où elle s’établit à 6,5% en décembre après un pic à 9,1%. Au-delà de la modération des cours des matières premières, la baisse de l’inflation, s’explique aussi par la chute de la contribution des biens. Le ralentissement de l’inflation, devrait se poursuivre au 1er semestre 2023 par le simple jeu des effets de base, dans la mesure où les cours des matières premières resteront inférieurs aux niveaux enregistrés un an auparavant.Dans ce contexte de résistance relative de l’activité, les marchés du travail continuent de faire preuve de résilience, avec des niveaux de chômage toujours historiquement bas. Le taux de chômage a même continué de reculer fin 2022 en zone euro, tandis qu’il reste à son plus faible niveau depuis plus de 50 ans aux Etats-Unis (3,5%), et n’a remonté que légèrement (de 3,5% à 3,7%) au Royaume-Uni. Cette résilience pourrait se poursuivre au 1er semestre : ayant fait face à des difficultés de recrutement élevées en 2022, les entreprises pourraient être tentées de retenir leurs salariés malgré une demande atone.Des risques toujours bien présents pour l’économie mondialeLes perspectives pour l’économie mondiale restent sombres pour 2023, dans un environnement qui demeure aussi risqué qu’incertain. La principale source d’inquiétude concerne la trajectoire d’inflation. Si un mouvement de désinflation semble enclenché, la question cruciale de son atterrissage demeure. Le scénario d’un retour à l’objectif de 2% fixé par les banques centrales des pays avancés n’est pas complètement enterré mais la possibilité de voir l’inflation se stabiliser à un niveau plus élevé se dessine à l’horizon. La désinflation attendue en 1ere partie d’année pourrait s’interrompre avant d’avoir atteint les niveaux visés par les autorités monétaires, mais un regain d’inflation au 2eme semestre n’est pas à exclure.La reprise en Chine est également source d’incertitude. L’assouplissement des restrictions contre la COVID-19 dans le pays devrait se traduire par une reprise de la consommation chinoise. Mais la réouverture soudaine s’étant accompagnée d’une flambée des contaminations, la reprise devrait être graduelle. La normalisation de l’activité pourrait ainsi débuter à la fin du 1er trimestre 2023 et un rétablissement plus ferme devrait intervenir au 2eme semestre, créant les conditions parfaites pour une nouvelle tempête sur le front énergétique et, partant, sur l’inflation.Les reclassements sectoriels de retourNos évaluations sectorielles évoluent peu comparées aux derniers baromètres. Les déclassements sont ainsi moins nombreux mais nous avons également décidé d’opérer quelques reclassements qui reflètent l’amélioration relative du scénario économique. Ces reclassements sont à chercher du côté du secteur automobile au Moyen Orient, zone où la demande reste solide. En Inde, l’amélioration de la situation économique du pays a conduit au reclassement de l’évaluation risque-pays.Certaines entreprises de secteurs jusqu’ici considérés comme résilients – les TIC et le secteur pharmaceutique – rencontrent par ailleurs des difficultés. Les entreprises pharmaceutiques en Europe voient certains problèmes structurels s’accentuer du fait, pour partie, des tensions croissantes sur les finances publiques des Etats. Les entreprises des TIC sont « rattrapées » par la conjoncture économique mondiale et restent au cœur des tensions commerciales entre Chine et Etats-Unis.Enfin, l’Europe de l’Ouest est une fois encore la région qui enregistre le plus grand nombre de déclassements sectoriels (5 sur les 11 au total). Si les perspectives de court terme ont cessé de s’assombrir, l’heure n’est pas encore venue d’y effectuer des reclassements.Retrouvez ici l’intégralité du baromètre Coface.
Il y a 2 ans et 71 jours

CEE : bientôt de nouvelles règles pour accroître l'indépendance des bureaux de contrôle

RÉGLEMENTATION. Les pouvoirs publics ont présenté aux représentants de la filière des certificats d'économie d'énergie (CEE) un projet d'évolution de la réglementation pour mieux garantir l'objectivité des bureaux de contrôle.
Il y a 2 ans et 71 jours

Tony Garnier : Jusqu’au bout de ses utopies

Tony Garnier (1869-1948) est une figure emblématique de l’architecture et de l’urbanisme lyonnais. [©Archives municipales de Lyon/www.archives-lyon.fr] Considéré par Le Corbusier comme un pionnier de l’architecture et de l’urbanisme modernes, Tony Garnier (1869-1948) demeure encore assez méconnu. Confronté dès son plus jeune âge aux conditions de vie des ouvriers de la soie dont ses parents sont proches, il va vouloir très tôt, au travers de sa passion, l’architecture, trouver un moyen de répondre au problème social du logement. Inventer une nouvelle façon de penser le logement sera l’une de ses préoccupations majeures. Après des études classiques couronnées par le grand prix de Rome, il élabore les plans d’une “Cité Industrielle” (1899-1904) de 35 000 habitants entièrement en béton armé et verre. “Tusculum” ainsi nommée est le prototype d’une ville imaginaire, impliquant la séparation et la dissociation des fonctions de l’habitat et du travail, ce qui le démarque des autres élèves de la Villa Médicis. Exposé en 164 plans précis, ce projet influencera par la suite les modèles théoriques d’urbanisation des premières années de l’Union soviétique. Lyon, son principal chantier L’organisation de l’hôpital Grange-Blanche Edouard Herriot (actuel Edouard Herriot) est le reflet des principes hygiénistes appliqués à l’architecture. [©Archives municipales de Lyon/www.archives-lyon.fr]Exposition internationale de 1914 aux abattoirs de la Mouche et marché aux bestiaux (actuelle Halle Tony Garnier). [©Archives municipales de Lyon/www.archives-lyon.fr]Le quartier des Etats-Unis est organisé comme une cité en miniature. [©Archives municipales de Lyon/www.archives-lyon.fr] Attaché à ses racines, Tony Garnier revient à Lyon, sa ville natale, et y réalise de grands ensembles qui, semblables à des fragments de son dessein initial, optent pour des solutions industrielles, par l’emploi de structures de béton armé, voire métalliques, dans un langage épuré alliant la Méditerranée à la modernité. Lors de l’arrivée d’Edouard Herriot à la mairie de Lyon en 1905, de grands travaux sont confiés à Tony Garnier, en particulier dans l’Est lyonnais, théâtre de la principale extension urbaine de la ville à cette époque : les Abattoirs de la Mouche et marché aux bestiaux (1909-1928), le stade de Gerland (1914-1926), l’Hôpital de Grange-Blanche (1911-1933). Pour réaliser cet ensemble hospitalier, Tony Garnier s’inspire de la disposition de l’hôpital de Copenhague et des établissements sanitaires de la “Cité Industrielle”. Il adopte le système pavillonnaire, intègre la nature et crée un réseau de souterrains destiné au transport des malades. Le terrain s’organise sur trois niveaux où sont hiérarchisés les services généraux, les pavillons, de forme simple, en béton, et le service des contagieux. Pour le quartier des Etats-Unis (1919-1933), premier ensemble “Habitations à Bon Marché (HBM)” de France, sa mission est d’ériger une cité expérimentale. L’ensemble du projet prévoit des immeubles de 5 étages en béton, entourés d’espaces verts et accueillant des commerces à leur rez-de-chaussée. L’aménagement est alors révolutionnaire pour des logements destinés aux revenus modestes : gaz, électricité, vide-ordures… La réflexion architecturale de Tony Garnier se caractérisera toujours par l’adoption de principes formels et typologiques forts, tels la recherche d’un rapport intérieur-extérieur et d’îlots dits “ouverts”, qui inspireront plus tard l’architecture et l’urbanisme. Ses maîtres mots sont le fonctionnalisme, l’espace, la lumière et la verdure. Entre 1930 et 1933, il conduit son dernier grand chantier, celui de la construction de l’Hôtel de Ville de Boulogne-Billancourt (92). Les façades révèlent les fonctions respectives des deux bâtiments avec l’utilisation de pierre de Comblanchien pour la partie réception et l’utilisation du béton bouchardé pour la partie bureaux. L’édifice n’est pas sans rappeler la tour d’horloges de la “Cité Industrielle”. Muriel Carbonnet Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 71 jours

Le casse-tête des locations de passoires thermiques en montagne

"Il n'y aura plus personne (...) 90% des lits de la station sont dans ce cas de figure", alerte Jean Mounicq, maire d'Aragnouet, bourgade des Hautes-Pyrénées dont dépend la plus haute station de ski du massif.Nichés au pied de falaises à près de 2.000 mètres d'altitude, la plupart des logements du site relèvent des catégories F ou G au diagnostic de performance énergétique (DPE), selon une estimation de la société de conseil en rénovation Heero.Si ces appartements énergivores, presque tous des meublés touristiques, échappent encore à l'interdiction locative progressive instaurée par la loi Climat, ils y seront bientôt soumis, a annoncé en octobre Olivier Klein, ministre délégué à la ville et au logement, sur BFM Business. "Il faut qu'on travaille pour que ce soit les mêmes règles", a-t-il estimé.L'échéance exacte est encore incertaine, mais fait grincer des dents collectivités et professionnels du tourisme, déjà impactés par la raréfaction de la neige et la flambée des coûts de l'énergie.Boom des années 1970-80Construits dans les années 1970-1980 les logements de Piau Engaly, ensembles semi-circulaires de quatre ou cinq étages, se fondent dans le paysage escarpé de la station, bordée par le parc naturel des Pyrénées et la réserve du Néouvielle."Quand vous êtes sur les pistes, vous ne voyez pas les bâtiments", sourit le maire d'Aragnouet, en regardant les skieurs dévaler les pistes, sous le soleil.Ici comme dans la plupart des stations de ski françaises, la problématique énergétique est omniprésente, selon une étude de la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim) publiée en janvier.Elle montre que "la part des logements énergivores (étiquettes F ou G) est beaucoup plus importante dans les communes stations de ski (38%) que dans l'ensemble des communes métropolitaines (21%)".Cette prévalence s'explique par l'impact des faibles températures extérieures, et par la mauvaise qualité de construction de ces logements à vocation touristique, massivement bâtis dans les années 1970-80, en plein essor du ski."A l'époque, en trois ou six mois, on sortait un immeuble. Maintenant, il nous faut trois ans, relève le maire. Alors bien sûr, il n'y avait pas les mêmes normes.""Ces résidences ont été construites comme toutes celles de l'époque, elles ne sont pas forcément mal faites", explique Thibaut Vergé, gestionnaire de copropriétés. Mais "ici, il tombe en moyenne quatre mètres de neige par an", pointe-t-il, ce qui plombe leur performance énergétique.Délais intenablesSelon la Fnaim, "plus des 3/4 des logements dans les communes stations de ski" pourraient être interdits à la location d'ici 2034, en fonction de leur catégorie DPE. A Piau, le problème pourrait se poser dès 2025 pour les moins bien classés.Leur interdiction à la location menacerait la survie de la station car, mis à part deux résidences, ils datent tous d'avant les années 1980, selon le maire.Le site étant "assez reculé, en fond de chaîne", l'accès n'y est pas facile et la clientèle vient "de loin", principalement de la côte Atlantique et loge donc sur place et dans les environs, précise le gestionnaire de la station, Colin Dorignac.Or "Piau est une station qui a de l'avenir en terme de potentiel neige. Donc c'est primordial pour nous d'engager des travaux de rénovation", ajoute-t-il.Si certains propriétaires les ont déjà initiés, d'autres "n'ont pas changé, on a encore des radiateurs grille-pain", admet Jean Mounicq, qui a écrit en février à l'ensemble des co-propriétaires pour leur faire part des interdictions à venir."Je suis de ceux qui pensent qu'il faut qu'on le fasse (...) mais on ne peut pas tout d'un coup décider qu'à telle date, dans trois ans tout doit être fait, sinon vous ne pourrez plus louer", tonne-t-il.Selon Loïc Cantin, président de la Fnaim, une telle mesure doit être accompagnée. "Il faut un traitement égalitaire", estime-t-il, regrettant la non éligibilité aux aides des propriétaires de meublés touristiques. "S'il n'y a pas d'aides majeures, déplore le maire, ce sera financièrement impossible !"
Il y a 2 ans et 71 jours

SylSmart Énergie

SylSmart Énergie Le tout dans un contexte réglementaire contraignant. Avec ses solutions d'éclairage intelligentes et andresudrie mer 22/02/2023 - 15:41 En savoir plus sur SylSmart Énergie Partager
Il y a 2 ans et 71 jours

L’industrie cimentière recrute à Viva Fabrica !

Le Sfic et l’EFB font découvrir aux jeunes générations la filière ciment et béton sur Viva Fabrica ! [©Alamy] Recruter et accompagner les jeunes talents. Tel est l’enjeu essentiel pour une industrie cimentière en pleine mutation. Ainsi, le Syndicat français de l’industrie cimentière (Sfic) et l’Ecole française du béton (EFB) se mobilisent à l’occasion de la nouvelle édition de Viva Fabrica ! Ce rendez-vous se tient, du 23 au 26 février 2023, aux Usines Fagor-Brandt, à Lyon (stand D1 pour la filière). Et vise à faire découvrir aux jeunes le monde industriel. Aujourd’hui, l’industrie cimentière est en première ligne pour répondre aux enjeux de décarbonation. Pour mener à bien cette transformation, elle doit s’appuyer sur une nouvelle génération de talents qui façonneront l’industrie de demain. Ecrire une nouvelle page du récit industriel « Contrôle des émissions, économie circulaire, biodiversité, captage du carbone, notre filière fait face à de nouveaux défis. Et se réinvente pour écrire une nouvelle page du récit industriel, explique Laure Hélard, déléguée générale du Sfic. Faire émerger de nouvelles compétences et former les jeunes générations aux nouveaux métiers liés à l’environnement et la qualité n’est pas un besoin, c’est une nécessité. Dynamique, innovante et engagée pour un monde responsable, l’industrie cimentière figure au premier rang pour repenser notre société. Et ce, grâce aux jeunes, car ce sont eux qui feront le monde de demain ! » Sur le front de l’emploi, la filière doit relever un double défi. D’une part, améliorer l’attrait du secteur industriel pour répondre à ses besoins actuels. D’autre part, accompagner la montée en compétence des collaborateurs. Lire aussi : Le Sfic récompense deux cimenteries vertueuses en matière de sécurité-santé La filière ciment et béton s’inscrit dans une dynamique d’évolution pour répondre aux nouveaux grands défis sociétaux. Comme renforcer l’attractivité des métiers de l’industrie auprès des femmes. Ou proposer une grande variété de métiers avec de nombreuses perspectives de carrière. Ou encore, intégrer les nouvelles technologies pour la transition écologique et énergétique. Sans compter les défis liés à la diminution de l’empreinte carbone de ses matériaux. Avec un objectif de réduction de 80 % d’ici à 2050. La filière ciment et béton doit renouveler ses équipes Confrontée à une pyramide d’âges vieillissante, la filière ciment et béton doit aussi renouveler ses équipes pour des métiers en tension, tels que conducteurs d’engins, techniciens de maintenance, rondiers, opérateurs de salle… Pour porter cette nouvelle révolution industrielle, de nouveaux métiers sont en train de voir le jour ou connaissent de fortes évolutions dans les compétences attendues. Technicien de valorisation des combustibles alternatifs, technicien logistique combustibles et matériaux de substitution, technicien environnement sont autant de professions indispensables. Enfin, l’industrie cimentière emploie de multiples profils, à différents niveaux de qualification. Cela va du CAP au niveau ingénieur. De quoi en faire un secteur dynamique, riche en opportunités et en évolution de carrière, apte à répondre à chaque attente. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 71 jours

Historiquement élevés, les coûts de la construction commencent leur décrue, selon l'Insee

DÉCRYPTAGE. Les index de prix pour le bâtiment et les travaux publics du mois de décembre 2022 confirment globalement une stagnation, voire un repli des coûts. Le contexte économique toujours très incertain incite toutefois à la plus grande prudence sur l'évolution des prochains mois.
Il y a 2 ans et 71 jours

Tension locative : les locataires prêts à dépenser encore plus pour vivre à Paris

Crise sanitaire, sobriété énergétique et prix de l’essence qui s’envole, le quotidien des Français a été drastiquement chamboulé ces dernières années, et tout particulièrement en 2022. Les locataires parisiens prêts à allouer une part encore plus grande dans leur budget pour se logerLa part du loyer dans le budget des Parisiens est déjà très haute : 6 points de plus à Paris VS hors de l’Ile-de-France. Néanmoins les locataires seraient prêts à allouer une part encore plus importante pour vivre à Paris. En moyenne la part du budget que seraient prêt à allouer les locataires est de 39,26%. La part du loyer dans le budget des Parisiens ne semble donc pas être prête de diminuer.Pour Mathieu Giard, porte-parole de Flatlooker : « Ces chiffres montrent la forte tension locative qui persiste à Paris et traduisent une réelle difficulté à se loger dans la capitale. »Le loyer pèse (légèrement) plus en 2022 qu’en 2021 dans le budget des ménages parisiensEntre 2021 et 2022, le loyer est passé de 34,52% à 34,63% dans le budget des ménages parisiens, soit une hausse de 0,11 points. Une mauvaise nouvelle pour les locataires dont la plupart des charges ont augmenté.Pour Mathieu Giard, porte-parole de Flatlooker : « Dans un contexte de forte inflation et d’une raréfaction des logements en location, cette hausse modérée laisse penser que l’encadrement des loyers ou le plafonnement de l’IRL ont eu un impact positif sur le budget des ménages. »[1] Évolution du loyer dans le budget des ménages parisiens : étude menée sur plus de 1.500 locataires à Paris.Différence entre la part de loyer pour les locataires et les candidats : étude menée sur plus de 14.000 candidats locataires à Paris.
Il y a 2 ans et 71 jours

Séverine FOUILLEUL

Séverine FOUILLEUL Diplômée de l’ISCOM Strasbourg, Séverine FOUILLEUL, 46 ans, bénéficie d’une expérience de 25 andresudrie mer 22/02/2023 - 14:18 En savoir plus sur Séverine FOUILLEUL Partager
Il y a 2 ans et 71 jours

Développement durable Rehau

Il y a 2 ans et 71 jours

DPE : un "séminaire national" programmé pour faire monter en qualité les diagnostiqueurs

FIABILITÉ. Les pouvoirs publics veulent accompagner les professionnels du diagnostic immobilier dans une montée en compétences, afin de fiabiliser les diagnostics de performance énergétique (DPE).
GDA
Il y a 2 ans et 71 jours

L'agence mobile architectural office livre un immeuble en structure bois à Paris 10ᵉ, pour le compte de la RIVP

En grande partie occupée par un important ensemble de type HBM, aux façades de brique soignées et l’opération autour de la place Raoul Follereau, un imposant complexe d’habitations, construit au début des années 1980 et marqué par une réinterprétation du langage classique, pouvant être qualifié de postmoderne.Un projet contextuelLe bâtiment s’implante à l’angle des rues Robert Blache et du Terrage.L'agence a souhaité réinterpréter les codes de l’architecture faubourienne en présence dans la rue Robert Blache : une volumétrie compacte entre cour et rue, une façade ordonnée par des ouvertures verticales régulières, une modénature discrète, simple expression des choix constructifs du bâtiment.À rez-de-chaussée sur la rue Robert Blache, l'agence a créer une forte animation en offrant un maximum de linéaire de commerce. L’accès aux logements se fait, quant à lui, au travers d’un hall lumineux et traversant donnant sur la rue du Terrage. Dans les étages, l’ensemble des logements sont doubles ou triple orientés et possède de larges fenêtres offrant un maximum de lumière aux habitants.Sur rue, le bâtiment se pare d’une peau métallique nervurée blanc mate. Les menuiseries sont en bois, teintes naturelles et les garde-corps en verre, offrant luminosité et intimité aux logements. Sur cour, la façade se pare d’un bardage bois, teinte naturelle.Un projet écologique en boisLe bâtiment développe un principe structurel basé sur la préfabrication bois, avec des façades et des planchers massifs (provenance Pays basque). Ce principe a permis de développer un chantier très bas carbone et le montage de la structure sur 5 niveaux en 10 jours. Des panneaux de bois lamellé-croisé placés en façades et refends soutiennent des planchers en panneaux de bois lamellé-croisé. La structure se vit jusque dans l’intérieur des logements avec certains éléments structurels apparents. L’isolation de l’ensemble du bâtiment est assurée par une fibre de bois. Le sol est quant à lui en fibres végétales (linoléum) ou en carrelage (circulations communes et pièces humides). Afin de faciliter les grandes portées au niveau du local commercial et le rapport au sol, la structure du rez-de-chaussée est en béton.Un projet à faible chargeLe programme développe 6 logements dont deux triplex au R+3-4-5. Cette configuration a permis de desservir le bâtiment de 5 étages uniquement au travers d’un escalier et de paliers extérieurs, limitant ainsi les charges d’un éventuel ascenseur. L’ensemble de la technique est géré par logement (VMC et chaudière individuelle) dans une enveloppe à très forte résistance thermique. Les eaux de pluies sont récupérées en toiture (R+5 en zinc) et alimentent la jardinière plantée au-dessus du local vélo et l’espace végétalisé du RDC. Un système de récupération dans la cuve alimente les robinets des parties communes (entretien, arrosage) et l’ensemble des sanitaires.
Il y a 2 ans et 71 jours

Nouveau SMP-300 de Griffon, un revêtement élastique étanche à l'eau et à l'air

Étanche à l’eau et à l’air, ce nouveau revêtement peut être appliqué sur des surfaces humides, ce qui permet aux professionnels de poursuivre les travaux quelles que soient les conditions météorologiques et augmenter ainsi leur productivité sur les chantiers.Doté d’une excellente adhérence sur la plupart des matériaux, le nouveau revêtement SMP-300 Griffon s’applique sans primaire pour réaliser de multiples travaux d’étanchéité, de protection et de réparation des toitures, des cloisons, des murs, des sols, des cadres de portes ou de fenêtres, des fissures... Il convient également pour l’étanchéité sous carrelage dans les pièces humides et les piscines. Résistant aux intempéries, aux UV, au chlore et à l’eau salée, il se nivelle automatiquement, ne se contracte pas et peut être enduit et peint.SMP-300 GriffonDes constructions étanches à l’air et à l’eauBénéficiant des dernières avancées techniques Griffon, le SMP-300 se caractérise par de hautes qualités d’usage qui faciliteront la réalisation de l’étanchéité de tous types de matériaux : le béton, le métal, la pierre, le bois, le bitume, le zinc, le PVC et l’EPDM.100 % résistant à l’eau, à l’air, aux intempéries et aux UV, ce revêtement polyvalent auto-lissant, qui ne se contracte pas, assure l’étanchéité et la protection totale des surfaces verticales et horizontales, en extérieur comme en intérieur.Simple d’applicationExempt de bitume, d’isocyanates et de solvants, le revêtement SMP-300 Griffon est sûr et prêt à l’emploi. Il s’applique directement sur la surface au pinceau, au rouleau ou au pistolet*. Seau, pot, cartouche ou éco-poche, plusieurs conditionnements sont proposés pour s’adapter aux besoins spécifiques de chaque chantier. Sa mise en oeuvre facile et rapide (temps de prise 60 minutes, résistant à une pluie légère après 30 minutes, totalement résistant à l’eau après 12 heures) en fait une solution de chantier extrêmement compétitive.Testé et certifiéLa qualité du SMP-300 Griffon a été testée conformément aux normes européennes EN 1026 (perméabilité à l’air des fenêtres et des portes), EN 1027 (étanchéité à l’eau des fenêtres et des bloc-portes) et EN 12114 (perméabilité à l’air des composants ou des parois de bâtiments). Le SMP-300 Griffon s’est vu attribuer la classe premium EMICODE® EC-1 Plus certifiant ses très faibles émissions de COV.
Il y a 2 ans et 71 jours

ameliorer le confort d ete avec nos protections solaires exterieures

En période de forte chaleur, la question du confort d’été est fondamentale afin d’éviter la surchauffe et conserver une température intérieure agréable dans un bâtiment en période estivale. Dans ce contexte lié au changement climatique, la fréquence et l’intensité des vagues de chaleur augmentent chaque année et il devient urgent de se préoccuper du bien-être dans les bâtiments et de garder une attention particulière aux aspects environnementaux.
Il y a 2 ans et 71 jours

Main courante Inox, aluminium et bois

Main courante Inox, aluminium et bois Il s’agit en effet d’un système destiné à renforcer la sécurité au niveau des escaliers d’un Batipole mer 22/02/2023 - 11:20 En savoir plus sur Main courante Inox, aluminium et bois Partager
Il y a 2 ans et 71 jours

Altarea acquiert à 100% Woodeum, spécialiste du bois

"Déjà actionnaire de Woodeum à hauteur de 50% du capital depuis juillet 2019, Altarea annonce avoir acquis ce jour le solde du capital de Woodeum auprès de WO2 Holding, et devient ainsi actionnaire unique de la marque leader en France de l'immobilier résidentiel bas carbone en bois massif", indique le groupe dans un communiqué.Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé. En 2019, quand Altarea avait acquis 50% des parts de Woodeum, elle avait déboursé environ 100 millions d'euros.Créé en 2014, Woodeum, promoteur spécialisé dans la construction en bois, emploie 80 personnes et revendique 3.000 logements en développement en France. Très présent en Ile-de-France, il a également livré, en tandem avec Eiffage, la tour Hyperion à Bordeaux.Woodeum bénéficiera de moyens financiers accrus, promet Altarea, qui entend anticiper les prochains seuils de la réglementation environnementale "RE2020" sur la construction neuve.Entrée en vigueur début 2022, cette réglementation favorise les matériaux biosourcés (d'origine animale ou végétale) comme le bois, moins émetteurs de gaz à effet de serre que le béton.Altarea souhaite que Woodeum étende sa présence à l'ensemble du territoire français, et lui fixe un objectif "à terme" de 2.000 logements produits par an, soit "à horizon 2026", a précisé une porte-parole du groupe."Comme pour toutes ses marques, Altarea sera pour Woodeum un véritable incubateur qui lui permettra d'accélérer son développement. Cette opération témoigne de notre ambition de développer un immobilier bas carbone et de répondre ainsi aux attentes des territoires comme des habitants", affirme le directeur général d'Altarea, Jacques Ehrmann, cité dans le communiqué.
Il y a 2 ans et 71 jours

boma met la nature et la culture en diapason

La commune de Saint-Denis-de-Pile s’est dotée d’un nouvel équipement culturel signé Marjan Hessamfar et Joe Vérons architectes associés. Un projet aux traits épurés qui vient se poser délicatement au cœur du Domaine de Bômale.
Il y a 2 ans et 71 jours

une realisation perenne signee atelier du pont

À la fois discrets et avenants, les 70 logements sociaux et commerces de l’Atelier du Pont apportent une indéniable touche d’élégance au quartier où ils se trouvent.
Il y a 2 ans et 71 jours

A Nantes, un viaduc s'élance au-dessus de l'autoroute

EN IMAGES. Fin janvier 2023, Vinci Autoroutes a procédé à la deuxième phase du lançage d'un nouveau viaduc qui permettra de relier l'A11 au périphérique nantais, au niveau de la porte de Gesvre. Une opération spectaculaire et délicate dans un projet d'aménagement qui promet d'aider à fluidifier le trafic.
Il y a 2 ans et 71 jours

Saint-Gobain se renforce un peu plus en Inde

Le géant français de la construction vient de conclure un accord pour l’acquisition d'UP Twiga Fiberglass Ltd, un fabricant de laine de...-Négoce
Il y a 2 ans et 71 jours

Hirsch Isolation et Kompozite s'allient pour diffuser la donnée carbone individuelle de près de 1.000 isolants

Après avoir été le premier acteur à lancer son configurateur de FDES* pour les isolants en polystyrène expansé (PSE), HIRSCH Isolation va plus loin en s'associant à la start-up Kompozite pour intégrer ses gammes de produits à la plateforme d'aide à la décision pour la conception de bâtiments bas-carbone.À partir des données des FDES, la plateforme Kompozite propose en effet une matériauthèque, agrémentée des données dynamiques imposées par la RE2020, pour comparer et calculer les indicateurs de performances des matériaux, et permettre ainsi d'avoir un impact environnemental global de construction du bâtiment.“Nous avons voulu aller plus loin encore que notre configurateur FDES en rendant entièrement accessible l'ensemble de nos données carbone dans la plateforme en ligne Kompozite” commente Amaury Omnès, dirigeant de HIRSCH Isolation. ‘'Les impacts carbone de nos produits ne sont plus seulement consultables, mais directement configurables dans le cadre d'un projet pour obtenir immédiatement l'impact RE2020. C'est un vrai exercice de transparence pour nous et un coup de pouce pour nos clients et prescripteurs afin qu'ils utilisent plus facilement nos données. Kompozite affiche et garantit le calcul réglementaire des produits”.Pour Damien Cuny, fondateur de Kompozite, “c'est une grande première pour un industriel d'afficher aussi ouvertement des données environnementales individuelles pour l'ensemble de sa gamme, proposant ainsi jusqu'à 1 000 configurations différentes. Nous sommes très heureux qu'HIRSCH Isolation ait choisi notre matériauthèque en ligne pour accompagner ses clients”. Start-up française Incubée par le CSTB Lab et Station F, Kompozite a été créée en 2020 : “notre ambition est d'accélérer la transition environnementale dans le secteur de la construction, et nous travaillons au quotidien à diffuser une donnée la plus complète possible, traçable et vérifiée pour des dizaines de milliers de produits. De plus en plus d'industriels collaborent avec nous, en toute transparence et sans frais. Nous leur demandons simplement de garantir la traçabilité et l'opposabilité des données pour que nos utilisateurs puissent s'en servir en toute confiance."* Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire
Il y a 2 ans et 71 jours

Avec l’Italien Pmflex, Hager lance sa campagne de croissance externe

Le groupe de solutions électriques concrétise le rachat du spécialiste transalpin des gaines, en l’inscrivant dans une stratégie...-Entreprises
Il y a 2 ans et 72 jours

Ecorce de peuplier, liège brûlé et bois de cyprès pour cette maison surplombant le Potomac (Usa)

Réalisée par le cabinet d’architectes BLDUS, perchée sur une colline visible surplombant la rivière Potomac et revêtue de matériaux naturels, Poplar Cloud est une ode publique aux maisons saines s’intégrant harmonieusement dans leur environnement. [De l’architecte] Poplar Cloud se trouve sous d’énormes peupliers tulipes, avec une vue sur l’historique Abner Cloud House, le long du Potomac […]
Il y a 2 ans et 72 jours

faites le choix d un assureur innovant

Choisir un assureur construction qui sache innover est indispensable ! En effet, opter pour un assureur innovant c’est la garantie, pour vous, d’exercer votre métier en toute sérénité et de manière pérenne. Découvrez dans la vidéo pourquoi ce choix est important.
Il y a 2 ans et 72 jours

la nouvelle fest du plancher silence kp1

En Octobre dernier une nouvelle Fiche d’Exemple de Solutions Techniques (FEST) est parue sur le site CERQUAL. Celle-ci nous permet de prouver la performance acoustique des solutions KP1 lors des projets labellisés NF habitat qui ont des exigences acoustiques renforcées.
Il y a 2 ans et 72 jours

tapis d accueil aravis la barriere de proprete

La salissure, dans un bâtiment, est apportée par le trafic piétonnier. Le passage journalier de personnes détériore la finition d’un sol : problèmes d’esthétique, d’hygiène et de durée de vie des revêtements de sol dus à l’encrassement et à l’intensité du trafic. Vous trouverez dans notre gamme de tapis à structure métallique ARAVIS le tapis d'accueil, pour usage intensif, répondant à vos besoins.
Il y a 2 ans et 72 jours

demarche environnementale de myral un impact carbone divise par 3 d ici a 2024

De ses prémices à la façade du futur, découvrez comment Myral s’est mis en ordre de bataille pour une décarbonation massive !
Il y a 2 ans et 72 jours

Séisme en Turquie : Erdogan promet de reconstruire 200.000 logements

"Aucun des immeubles ne fera plus de trois ou quatre étages", a déclaré M. Erdogan depuis la province d'Hatay (sud), la plus affectée par le tremblement de terre d'une magnitude 7.8 qui a fait plus de 41.000 morts en Turquie et détruit ou gravement endommagé plus de 118.000 bâtiments."Tous les bâtiments seront reconstruits de zéro (...) sur des sols solides et selon les bonnes pratiques", a insisté le chef de l'Etat, précisant que la construction de ces logements débutera en mars.Ces logements seront bâtis à distance des lignes de faille, "plus proches des montagnes, pour se protéger des problèmes émanant des sols mous", a-t-il dit encore."Nous construirons des nouveaux Antakya, Iskenderun et Arsuz. Nous les reconstruirons de zéro", a lancé M. Erdogan, citant trois villes de la province d'Hatay."Nous commencerons à transférer nos citoyens vivant dans des villes de tentes et de conteneurs vers leurs [nouveaux] logements d'ici un an", a promis le président turc, qui s'exprimait pour la première fois en public depuis six jours.Cent-trente mille des logements annoncés seront construits dans les provinces d'Hatay, de Kahramanmaras et de Malatya, les plus affectées des onze provinces touchées par le séisme.Les mosquées et autres lieux de culte seront également reconstruits, a assuré M. Erdogan.Le président, qui a indiqué que plus de 114.800 personnes ont été sauvées des décombres, a précisé que les banques publiques allaient effacer les dettes des personnes mortes dane le séisme.Au total, "les besoins en abri de 1,69 million de personnes ont été satisfaits", a indiqué le président turc, qui a ajouté que quelque 375.000 sinistrés ont été évacuées des provinces affectées vers d'autres villes du pays, dont les trois quarts par avion.
Il y a 2 ans et 72 jours

Inddigo reprend l’agence de paysage et urbanisme Trait d’Union

Avec l’intégration du Lyonnais Trait d’Union à Lyon, le groupe national d’ingénierie environnementale Inddigo, basé à Chambéry,...-Paysage
Il y a 2 ans et 72 jours

La Chine et les Etats-Unis en première ligne face aux risques climatiques

La société XDI, basée en Australie et spécialisée dans l'évaluation des risques climatiques pour le compte d'investisseurs ou analystes financiers, a passé en revue plus de 2.600 territoires à travers le monde (Etats américains ou indiens, provinces chinoises, régions françaises...) pour classer leur vulnérabilité à l'horizon 2050."On obtient un signal très fort sur des pays comme la Chine, les Etats-Unis et l'Inde. Il s'agit en gros des moteurs de l'économie mondiale, où se concentrent de nombreuses infrastructures", a résumé Karl Mallon, directeur de la science et de l'innovation de XDI, lors d'une présentation à des journalistes.Ces trois pays concentrent ainsi à eux seuls 80% des 50 territoires les plus à risque, selon le classement dévoilé par XDI. Sur les 10 premiers, neuf sont chinois, à commencer par les provinces de Jiangsu, Shandong et Hebei à l'est du pays.La carte du monde publiée par XDI se colore ainsi nettement de nuances de rouge - signe du risque - en Chine.Des Etats américains à l'importance économique importante figurent également en bonne place dans le classement: Floride (10e), Californie (19e), Texas (20e)... Des régions d'Inde, d'Indonésie ou encore du Brésil sont aussi particulièrement menacées.Pour l'Europe, le land allemand de Basse-Saxe est le territoire le plus exposé (56e rang mondial). A l'échelle française, c'est la région des Hauts-de-France (121e rang)."Fuite des capitaux"La méthodologie de XDI se concentre sur le risque pour les bâtiments posé par huit conséquences du réchauffement climatique: les inondations fluviales et de surface, les inondations côtières, la chaleur extrême, les incendies de forêt, les mouvements de terrain (liés à la sécheresse), les vents extrêmes et le gel-dégel.Les calculs se fondent sur un scénario pessimiste des experts climat de l'ONU - le GIEC - d'un réchauffement de la planète supérieur à 3°C d'ici la fin du siècle, avec des émissions élevées. Il est généralement retenu comme base d'évaluation du risque par les banques, selon XDI."Nous diffusons cette analyse en réponse à des demandes provenant d'investisseurs qui réclamaient des données sur les risques à l'échelle régionale", a expliqué Rohan Hamden, le directeur général de XDI."Dans la mesure où les infrastructures bâties se superposent généralement à des niveaux élevés d'activité économique et de valeur en capital, il est impératif que le risque physique lié au changement climatique soit mieux compris et évalué", avance-t-il.Les auteurs soulignent que cet état des lieux doit encourager les pays à moins émettre de CO2 pour limiter le réchauffement et les catastrophes qui l'accompagnent.Mais ils soulignent qu'il aura aussi des conséquences financières – par exemple sur le prix de certaines obligations - et sur le comportement des acteurs économiques."Les gens qui voudront implanter une usine ou une chaîne logistique dans ces Etats et provinces vont y réfléchir à deux fois", prédit Karl Mallon. "On pourrait avoir dans le meilleur des cas une prime de risque dans ces territoires et au pire une fuite des capitaux de la part des investisseurs qui cherchent des refuges sûrs".
Il y a 2 ans et 72 jours

Industrie : un appel à projets pour pousser la décarbonation grâce aux gaz "verts"

ÉNERGIE. À l'origine de presque 20% des émissions de gaz à effet de serre de la France, le secteur industriel est à pied-d'oeuvre pour opérer la décarbonation de ses activités. GRDF vient de lancer un appel à projets pour soutenir des initiatives locales recourant à des biogaz ou à de l'hydrogène renouvelable et bas-carbone.
Il y a 2 ans et 72 jours

action coeur de ville 2 top depart pour le dispositif de requalification des entrees de villes

Dominique Faure s’est rendue à Nevers, où elle a donné le top départ du dispositif de requalification des entrées de villes du programme Action Cœur de Ville 2.
Il y a 2 ans et 72 jours

isolation phonique quels isolants et quelles solutions

L’isolation phonique apporte un confort de vie indéniable. En fonction de votre besoin et de votre budget, ce dossier fait le tour des différents isolants acoustiques.
Il y a 2 ans et 72 jours

seisme en turquie erdogan prevoit la reconstruction de 200 000 logements

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a annoncé la construction de 200 000 nouveaux logements dans les onze provinces turques affectées par les tremblements de terre du début du mois de février. Le séisme a en effet détruit ou gravement endommagé plus de 118 000 bâtiments.
Il y a 2 ans et 72 jours

la penibilite et l usure sujets epineux de la reforme des retraites

Paul Duphil, directeur général de l’OPPBTP, nous apporte son éclairage sur la pénibilité et l’usure professionnelle, sujets importants tant pour la réforme des retraites que pour le BTP.