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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 2 ans et 127 jours

L'immobilier "life sciences" tricolore, futur eldorado pour les investisseurs ?

TERTIAIRE. Trop peu explorée il y a encore quelques années par les investisseurs, la classe d'actifs "life science" (ou sciences de la vie) connaît une véritable dynamique depuis la crise sanitaire. Dans l'Hexagone, Oxford Properties et Novaxia se sont récemment alliés pour investir jusqu'à 2 Mds€ sur ce segment de marché. Une première acquisition de plus de 100 M€ a été réalisée sur le pôle Biocitech de Romainville.
Il y a 2 ans et 127 jours

Retraites : Dussopt favorable à élargir l'index senior aux moyennes entreprises

La réforme de l'exécutif prévoit qu'un "index seniors" sera créé pour mieux connaître la place des salariés en fin de carrière, et ainsi valoriser les bonnes pratiques et dénoncer les mauvaises. Il sera obligatoire dès cette année pour les entreprises de plus de 1.000 salariés, un seuil abaissé à 300 salariés en 2024. Les employeurs récalcitrants seront passibles de sanctions financières.Interrogé sur France 2 sur les évolutions possibles lors du débat parlementaire, qui commence la semaine prochaine dans l'hémicycle, M. Dussopt a dit entendre que "beaucoup de députés dans la majorité" et "au delà" souhaitent que cette mesure s'applique "pas seulement (aux) entreprises de plus de 300" salariés, mais aussi à celles "de plus de 50 par exemple".Il "faut regarder comment on peut articuler cela", a déclaré M. Dussopt, qui s'y est dit favorable "si on peut avoir une mesure qui (ne) soit pas un océan d'administration et de tracasseries administratives pour les chefs d'entreprises".Il n'a pas précisé quel serait l'échéancier.En outre, dans le cas où une entreprise ne "met pas en œuvre" l'index et l'obligation de négociation d'un accord sur les seniors, "est-ce qu'on ne peut pas prévoir quelque chose qui l'oblige à le faire, dans un deuxième temps ? Peut-être une piste" à examiner, a-t-il affirmé.Le "débat parlementaire (...) a évidemment vocation à améliorer les choses", a-t-il assuré, au lendemain d'une journée de mobilisation qui a été "très importante", a-t-il reconnu.
Il y a 2 ans et 127 jours

Acova dévoile la nouvelle image de son site acova.fr et ses fonctionnalités inédites

Reflet de sa nouvelle identité graphique et de sa signature de marque « Créons du beau, créons durable », ACOVA a entièrement repensé son site internet pour le rendre plus moderne et plus inspirationnel. Afin d’améliorer l’expérience client, la marque, référente de son marché depuis près de 60 ans, a retravaillé la structure technique de son site dans une démarche écoresponsable, en phase avec ses valeurs. Acova, créons du beau… Vitrine du fabricant de radiateurs et radiateurs sèche-serviettes, cette nouvelle version du site offre un accompagnement au particulier tout au long de son projet de chauffage, en lui apportant conseils et inspirations pour son intérieur. Quant aux professionnels, de nombreuses fonctionnalités ont été ajoutées et/ou améliorées pour faciliter leur quotidien. Parmi celles-ci, citons : Une structure des pages et une navigation complètement réorganisées pour gagner en fluidité et intuitivité Un espace dédié à la marque mis en avant sur la page d’accueil, réaffirmant son savoir-faire, son histoire, ses valeurs et ses engagements ; La création d’un espace « Le Mag » composé de 3 rubriques : « News » (articles autour des nouveautés), « Nos conseils » et « Inspirations » ; Un espace PRO qui ne fait désormais plus qu’un avec le site principal pour faciliter l’accès aux informations pour les clients installateurs et distributeurs. Acova, créons durable Dans la continuité de sa démarche RSE, ACOVA a souhaité également étendre ses actions au digital notamment en optant pour un site internet éco-conçu. Aujourd’hui, Acova.fr est une preuve concrète de son engagement et de sa volonté de prendre en compte les questions sociétales et environnementales. Ainsi, la consommation d’énergie liée au site est limitée grâce à un hébergeur « climatiquement neutre » certifié ISO 14001 et ISO 50001, alimenté à 100% par des énergies renouvelables. De plus, ACOVA a amélioré les performances et l’accessibilité de son site pour tous les internautes grâce à une série de choix d’intégration technique. Par exemple, les contrastes des éléments distinguables visuellement ont été conçus pour rendre le contenu perceptible par les personnes malvoyantes. Acova a mesuré une baisse moyenne de son émission de CO2 par page vue de 12,5%* par rapport à la précédente version du site. Le site est d’ailleurs maintenant noté A du point de vue de son impact environnemental. Dans un souci d’amélioration continue de ses performances, Acova poursuit ses efforts d’optimisations. Tout en respectant ses nombreux engagements, la nouvelle version du site d’ACOVA offre une meilleure expérience à ses clients en termes d’accompagnement et conseils, d’informations mises à disposition et de confort d’utilisation. acova.fr
Il y a 2 ans et 127 jours

SMABTP fait peau neuve

SMABTP arbore un nouveau logo, avec une signature et une clef de voûte. [©SMABTP] SMABTP fait peau neuve. Le groupe d’assurance spécialiste des secteurs de la construction et de l’immobilier revoit toute son identité. Nouveau logo, nouvel univers visuel et nouvelle signature “Votre assureur partenaire” symbolisent la mission de SMABTP. Les valeurs d’écoute, de solidarité et d’engagement dans ses actions sont ainsi mises en lumière. De son côté, le logo arbore la signature, mais aussi une clef de voûte. « C’est grâce à elle que tiennent les édifices. C’est aussi un trait d’union. Elle évoque la solidité, la fiabilité, l’expertise et le partenariat », explique Jean-Philippe Chavatte, président de Carré Noir, filiale du groupe Publicis qui a conçu le logo. Lire aussi : Jacques Chanut, nouveau président de SMABTP Une marque unique pour plus de lisibilité SMABTP devient aussi une marque unique, commune à l’ensemble de ses sociétés. Elle regroupe désormais SMABTP, SMAvie BTP et SMA SA. « Cette marque unique accroît notre lisibilité et traduit la volonté du groupe d’unir ses forces au service de ses clients. Elle capitalise sur les codes historiques des marques du groupe. Tout en réaffirmant nos gènes issus du BTP », analyse Pierre Esparbes, directeur général du groupe. Pour accompagner cette mise à jour, SMABTP lance son nouveau site Internet. Plus ergonomique, il permet à l’utilisateur de trouver rapidement l’information, dont il a besoin. Afin d’apporter un maximum de visibilité, il est disponible sur tous les supports. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 127 jours

Augmentation de +15% des tarifs réglementés en vigueur gaz et électricité : les Français bien lotis en Europe

Malgré ces augmentations tarifaires, les prix du gaz et de l’électricité payés par les particuliers en France restent parmi les moins élevés en Europe, de 2 à 3 fois moins chers que dans les autres grands pays européens.Seuls l’Espagne et le Portugal possèdent des tarifs similaires, voire inférieurs, à ceux pratiqués en France : dans ces pays, les tarifs réglementés en vigueur (TRV) sont très corrélés aux prix de marché, actuellement bas en raison de la forte production éolienne et de la baisse de la demande, liée en partie à des températures plus cléments et à la sobriété énergétique.Retrouvez ici le baromètre Hello Watt actualisé des prix de l’énergie en Europe pour les particuliers :Baromètre des prix du gazBaromètre des prix de l’électricitéLes prix de gros étant similaires en France à ceux de ses voisins européens, ces factures d'électricité et de gaz plus faibles ne sont possibles que grâce au bouclier tarifaire mis en place par le gouvernement qui devrait s’élever à 45 Md€, engendrant un coût considérable pour les finances publiques sur la seule année 2023.En 2023, 43% des factures d’électricité et de gaz des particuliers seront payées par l’Etat, et ceci malgré la hausse de 15% du prix de l'électricité et du gaz.S’il est pertinent de protéger les plus modestes en cette période, on peut regretter que le bouclier tarifaire ne soit pas ciblé sur ceux-ci plutôt que sur tous les clients. En effet, subventionner le prix de l’énergie n’incite pas à réduire notre consommation. Le budget de Ma Prime Rénov étant de 2,5 Md€ pour 2023, pour financer des économies d'énergie pérenne et non une baisse temporaire des factures, on peut s'interroger sur la bonne allocation des ressources de l’Etat pour faire face à la hausse des prix de l’énergie, le prix de l’énergie pour les particuliers étant amené à poursuivre sa hausse dans les années à venir, une partie importante du bouclier tarifaire étant absorbé par des baisses de taxes, qui ont vocation à remonter.
Il y a 2 ans et 127 jours

Les arbres pourraient réduire d'un tiers la mortalité liée aux canicules urbaines, selon une étude

Une modélisation a révélé que si la couverture végétale d'une ville pouvait atteindre les 30% de sa surface, contre une moyenne de 14,9% actuellement, cela permettrait de réduire la température de 0,4 degré celsius en moyenne pendant les canicules estivales, rapporte une étude publiée dans The Lancet.Sur les 6.700 décès prématurés attribués au réchauffement des températures dans 93 villes européennes en 2015, les résultats montrent qu'un tiers pourrait ainsi être évité.Cette étude est la première à prévoir, dans le contexte du réchauffement climatique dans les villes, le nombre de décès prématurés qui pourraient être évités par une couverture arborée supplémentaire, a souligné l'auteur principal, Tamara Iungman, chercheur à l'Institut de santé mondiale de Barcelone.Les températures dans les villes sont plus élevées que dans les banlieues ou les campagnes environnantes, en raison d'îlots de chaleur.Cette différence de température est principalement due à la suppression de la végétation, à l'évacuation de la chaleur des systèmes de climatisation, ainsi qu'à l'asphalte et aux matériaux de construction de couleur sombre qui absorbent et retiennent la chaleur."Nous savons déjà que les températures élevées dans les environnements urbains sont associées à des résultats négatifs pour la santé, tels que l'insuffisance cardiorespiratoire, l'augmentation des admissions à l'hôpital et des décès prématurés", a déclaré Mme Iungman dans un communiqué. "Notre objectif est d'informer les politiques et les décideurs locaux sur les avantages de l'intégration stratégique de l'infrastructure verte dans la planification urbaine afin de promouvoir des environnements urbains plus durables, résilients et sains."En raison du réchauffement climatique d'origine humaine, l'augmentation des températures dans les villes sera plus intense d'où la nécessité de plus en plus urgente pour les villes, de s'adapter pour améliorer les résultats en matière de santé.Déjà l'année dernière, l'Europe a connu l'été le plus chaud jamais enregistré et la deuxième année la plus chaude. Dans le monde entier, les vagues de chaleur atteignent des pics record et leur durée s'est allongée ces dernières décennies.Aujourd'hui, le froid cause encore plus de décès en Europe que la chaleur. Mais les prévisions basées sur les émissions actuelles révèlent que les maladies et les décès liés à la chaleur représenteront une charge plus importante pour les services de santé d'ici une décennie.
Cimbat
Il y a 2 ans et 128 jours

Protégé : Avec KNX France, la GTB polyglotte

Il n’y a pas d’extrait, car cette publication est protégée. L’article Protégé : Avec KNX France, la GTB polyglotte est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 128 jours

Le FMI apporte son soutien à la réforme des retraites

"Une consolidation budgétaire soutenue axée sur les dépenses sera essentielle pour reconstituer des amortisseurs financiers et ramener la dette dans une trajectoire fermement descendante", a écrit l'institution de Washington dans un document publié lundi et évaluant la politique économique française.Selon l'organisation internationale, "la mise en place de la réforme de l'assurance chômage et la réforme des retraites peuvent offrir une partie de cet ajustement nécessaire".La baisse des dépenses ainsi que d'autres réformes doivent aussi le permettre, juge le FMI dans ce document intitulé Article IV.La très contestée réforme des retraites, qui a commencé a être examinée lundi en commission des Affaires sociales à l'Assemblée nationale, prévoit un recul de l'âge légal de 62 à 64 ans et une accélération de l'allongement de la durée de cotisation, au grand dam des syndicats qui organisent une nouvelle journée de mobilisation mardi.Les membres du Fonds monétaire "saluent l'adoption récente de la réforme de l'assurance chômage et la réforme à venir des retraites, qui contribueront à augmenter l'offre de travail", précise l'institution.En novembre déjà, l'institution économique internationale avait évoqué une réforme des retraites comme piste de réduction de la dépense publique, au même titre que la réduction des niches fiscales ou un meilleur ciblage des aides accordées aux ménages et aux entreprises pour faire face à la crise énergétique engendrée par la guerre en Ukraine.Sur les aides apportées en réponse aux crises à répétition, le FMI pense que le soutien français a "permis d'amortir l'impact mais a été coûteux, mal ciblé, et source de distorsions" et appelle toujours à des dispositifs plus ciblés vers les plus vulnérables.En novembre, il avait dit craindre "un léger creusement du déficit" en 2023, citant la prolongation des mesures énergétiques et la poursuite de la suppression d'impôts de production pour les entreprises.
Il y a 2 ans et 128 jours

Demathieu Bard remporte un nouveau lot sur le métro de Toulouse

CONTRAT. Le groupe Demathieu Bard mène un groupement afin de réaliser les travaux de génie civil sur une section de la future ligne C du métro toulousain, dont l'ouverture est prévue en 2028.
Il y a 2 ans et 128 jours

Contrôle des opérations CEE (2/3) : notre cartographie des liens d’intérêt

Dans cet épisode consacré aux liens d’intérêt des bureaux de contrôle, nous proposons une data visualisation des liens d’intérêt des bureaux de contrôle avec d’une part le monde des CEE, et d’autre part le monde des travaux.
Il y a 2 ans et 128 jours

Protéger les propriétaires des squatteurs et loyers impayés : coup d'envoi des débats au Sénat

La proposition de loi du macroniste Guillaume Kasbarian a été votée en première lecture par l'Assemblée nationale avec le soutien de la droite et du RN. A la suite de plusieurs affaires fortement médiatisées, l'une des mesures emblématiques triple les sanctions encourues par les squatteurs, jusqu'à trois ans d'emprisonnement et 45.000 euros d'amende. Face à l'inquiétude de la gauche et de plusieurs associations comme la Fondation Abbé-Pierre, Droit au logement (DAL) ou le Secours Catholique, Guillaume Kasbarian a martelé que l'objectif était de protéger avant tout des "petits propriétaires qui ne roulent pas sur l'or", parfois confrontés à des années de procédures judiciaires pour retrouver l'usage de leur bien. Le texte a été inscrit à l'ordre du jour du Sénat à la demande du groupe RDPI à majorité Renaissance. Il est d'autant bien accueilli par la majorité sénatoriale de droite qu'il reprend des mesures d'une proposition de loi de Dominique Estrosi Sassone (LR) pour garantir la propriété immobilière contre le squat, adoptée par le Sénat en janvier 2021. En commission, les sénateurs ont retravaillé le texte de l'Assemblée, "sans le dénaturer", de sorte essentiellement à "bien distinguer la situation du squatteur de celle du locataire" qui rencontre des difficultés à payer son loyer, selon le rapporteur LR André Reichardt. Ils ont néanmoins conservé la possibilité de pénaliser le locataire qui se maintient dans les lieux à la suite d'un jugement d'expulsion devenu définitif. Le ministre chargé du Logement Olivier Klein a salué "un texte équilibré et même amélioré". Pour le garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti, "il ne s'agit ainsi pas de faire primer le droit de propriété sur tout autre droit social, mais de répondre de manière proportionnée et adaptée à des situations individuelles profondément injustes". "Force doit rester à la loi, laquelle doit protéger les honnêtes gens", a-t-il affirmé."Equilibre"A gauche, les groupes CRCE à majorité communiste et écologiste sont vent debout contre un texte qui entrainera selon eux "une dégradation du droit des locataires et des droits humains"."Ce soir j'irai m'installer chez M. Guy Benarroche", a lancé Eric Dupond-Moretti, "sur un ton un peu badin", en réponse au sénateur écologiste qui a défendu une motion de rejet en bloc du texte.Elle a été repoussée, de même que celle du groupe CRCE, malgré l'appui des socialistes.Communistes et écologistes avaient apporté leur soutien au rassemblement organisé mercredi dernier devant le Sénat par les associations qui dénoncent une "loi socialement brutale", "promesse d'un accroissement considérable du nombre de personnes sans domicile".Dans son rapport annuel présenté ce mercredi, la Fondation Abbé-Pierre estime à 330.000 le nombre de personnes sans domicile en France. Soit 30.000 de plus que l'année précédente.Pour les loyers impayés, le texte accélère les procédures judiciaires dans les litiges locatifs, en incluant notamment de manière systématique dans les contrats de bail une "clause de résiliation de plein droit".Activer cette clause permettrait à un propriétaire d'obtenir la résiliation du bail sans avoir à engager une action en justice et de pouvoir ainsi obtenir plus rapidement une expulsion.Le texte voté par les députés prévoit que le juge pourra suspendre cette clause, mais à condition que le locataire le demande. Les sénateurs ont rétabli la possibilité pour le juge d'accorder d'office un délai de paiement au locataire "en situation de régler sa dette locative"."Nous sommes parvenus à un équilibre entre le respect de la propriété privée, auquel le Sénat est attaché, et l'esprit de justice et d'humanisme dont nous devons faire montre à l'endroit des personnes frappées par un accident de la vie", s'est félicitée Mme Estrosi Sassonne, rapporteure pour avis.
Il y a 2 ans et 128 jours

MaPrimeRénov' : ce qui change au 1er février 2023

RÉGLEMENTATION. Rénovation globale, chauffage au granulé bois, VMC... Plusieurs évolutions de MaPrimeRénov' entrent en vigueur ce 1er février 2023. Revue de détails.
Il y a 2 ans et 128 jours

Dans le Pas-de-Calais, Atlantic investit 25 millions d’euros dans un centre technique

Atlantic, le fabricant français de chaudières et de pompes à chaleur, poursuit son expansion dans les Hauts-de-France. Il s’apprête à...-Industrie
Il y a 2 ans et 128 jours

Longévité du béton romain : Le secret dévoilé

Le célèbre Panthéon de Rome, qui possède le plus grand dôme en béton romain non armé du monde et qui a été inauguré en 128 après J.-C., est toujours intact. [©Architas/Wikipédia] Si on a l’impression que le béton est une invention moderne depuis l’industrialisation du ciment au cours du XIXe siècle, il est en réalité un “vieux” matériau de l’architecture. Plus de 2 000 ans après leur édification, certaines structures antiques sont d’ailleurs là pour attester de l’efficacité de ce matériau. Les anciens Romains étaient des maîtres de l’ingénierie, construisant de vastes réseaux de routes, d’aqueducs, de ports et de bâtiments massifs. Dont les vestiges ont survécu pendant deux millénaires. Nombre de ces structures ont été construites en béton. Le célèbre Panthéon de Rome, qui possède le plus grand dôme en béton non armé du monde. Et qui a été inauguré en 128 après J.-C., est toujours intact. Et certains aqueducs romains antiques fournissent encore de l’eau à Rome aujourd’hui. Mais quel est le secret de ce béton ? L’importance des clastes de chaux C’est grâce aux recherches d’une équipe du Massachusetts Institute of Technology (MIT) et d’ingénieurs européens, que le secret de la longévité est enfin dévoilé. Les scientifiques ont analysé des fragments prélevés sur un mur d’enceinte antique de la ville de Privernum, en Italie, à l’aide de techniques d’imagerie perfectionnées (spectroscopie de rayons X à dispersion d’énergie). Les chercheurs ont ainsi pu établir une précision sur la composition du béton romain. Et se sont en particulier arrêtés sur des éclats de minéraux blancs appelés “clastes de chaux”. Jusqu’alors, les experts pensaient que leur présence était due à un mortier bâclé ou de mauvaise qualité. Les analyses spectroscopiques ont permis de comprendre que ces clastes de chaux étaient en carbonate de calcium. Des tests réalisés Un composé qui ne se forme qu’à des températures extrêmes. Cet élément leur a permis de déduire la différence majeure entre béton moderne et béton romain. Ce dernier, opus caementicium, était mélangé directement avec de la chaux vive, c’est-à-dire à de très hautes températures. Les chercheurs ont fait le test. Ils ont fabriqué un bloc de béton à base de pierre volcanique et de chaux vive, l’ont fissuré et ont fait couler de l’eau dessus. En deux semaines, les fissures étaient complètement cicatrisées et l’eau ne s’infiltrait plus, contrairement à ce qui se passerait avec du béton classique. Les résultats de l’étude ont été publiées dans le journal “Science Advances”, le 6 janvier 2023. Un article intitulé “Riddle solved: Why was Roman concrete so durable?” (Enigme résolue : pourquoi le béton romain était si solide ?), publié sur le site du MIT, résume les faits. Lire aussi : Panthéon de Rome : La plus somptueuse des coupoles en béton Dmat, la start-up italienne qui développe un béton “vert ” C’est en s’inspirant de la Rome antique que la start-up Dmat, fondée en 2021 à Udine (Nord-Est de l’Italie), s’apprête à commercialiser un “béton vert” à l’extraordinaire capacité auto-génératrice. Un produit qui devrait s’avérer révolutionnaire. Son marché représente actuellement environ 650 Md€ avec une production annuelle de 33 Mdt, soit 18 fois le poids de la production globale d’acier. Ce matériau ne peut aussi pas se soustraire aux défis du changement climatique, puisque la filière qui en est à l’origine cause 7 à 8 % des émissions mondiales de CO2. « La production de notre béton affiche une réduction nette des émissions de CO2 allant jusqu’à 20 % par rapport à un béton de référence, avec des performances identiques », conclut Nicolas Chanut, co-fondateur de Damt, avec Paolo Sabatini et Carlo Andrea Guatterini. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 128 jours

Recycler et valoriser l'amiante est désormais possible avec De Dietrich

De Dietrich Process Systems, leader mondial pour la fourniture d'équipements, de systèmes complets et de solutions de procédés pour les industries pharmaceutiques, de la chimie et de la chimie fine, ainsi que de la chimie du végétal, a développé en Consortium avec la société Neutraval également basée en Alsace, un procédé unique et innovant pour traiter les déchets amiantés : la solution De Dietrich Waste Recycling (DDWR).Après plusieurs mois de construction, l’unité pilote De Dietrich Waste Recycling basée sur une friche industrielle à Talange en Moselle, arrive à son terme et sera bientôt prête à traiter ses premiers déchets. Soutenu par l’ADEME et la Région Grand Est, les travaux de construction s’achèveront fin 2022. Dans un premier temps, le pilote traitera des déchets inertes pour une première phase de tests. S’ensuivra alors le traitement de différents types de déchets amiantés dans le but d’optimiser au maximum ce nouveau procédé et de caractériser plus en détails les échantillons de co-produits qui en ressortiront inertes.Ce nouveau procédé, qui a été validé en laboratoire au préalable, est breveté à l’international et consiste à attaquer les déchets d’amiante libre et liée par voie physico-chimique dans des conditions expérimentales maitrisées. Cette attaque acido-basique détruit la structure de l’amiante et permet, in fine, d’en extraire mais également de valoriser différents co-produits : le magnésium, le gypse et l’anhydrite. Ces co-produits pourront être revendus dans diverses applications telles que dans la construction, la cimenterie, l’aéronautique mais aussi l’automobile dans le but de créer une économie circulaire autour de ce projet et de s’engager dans la transition écologique. A terme, l’objectif est de développer des unités industrielles permettant de traiter 15 000 tonnes de déchets amiantés par an, sur le territoire national mais également Européen.Avant le développement de cette solution innovante, seuls l’enfouissement et la vitrification par torche à plasma étaient autorisés bien qu’aucune de ces deux alternatives ne soit satisfaisante, à bien des égards. L’évolution de la loi Anti-gaspillage pour une économie circulaire (AGEC) a permis à De Dietrich et à ses partenaires de saisir cette opportunité de développement afin de proposer une alternative grâce à un nouveau procédé efficace, respectueux de l’environnement et des populations environnantes, tout en garantissant la sécurité des opérateurs. De Dietrich Waste Recycling, a donc bien eu raison de croire en cette nouvelle filière qui permet de passer d’une logique d’enfouissement et de vitrification, à une logique de valorisation industrielle tout en répondant positivement à un problème mondial de santé publique.
Il y a 2 ans et 128 jours

Cem’In’Eu vise les 400 000 t en 2023

Le nouveau wagon utilisé par Cem’In’Eu. [©Cem’In’Eu] En ce début 2023, Cem’In’Eu entre dans sa cinquième année d’activité, avec les ouvertures intervenues successivement d’Aliénor Ciments (Tonneins – 47) en 2018 et de Rhône Ciments (Portes-lès-Valence – 26) en 2021. L’industriel compte plus de 300 clients livrés et 330 000 t de ciment ont été produites en 2022. Le développement du groupe est soutenu par la rapide croissance de Rhône Ciments, permettant de répondre aux besoins des clients du quart Sud-Est de la France. En 2023, Cem’In’Eu vise un objectif de 400 000 t de ciment commercialisées. Lire aussi : Rhône Ciments monte en puissance « L’année 2022 a été exigeante pour nos clients et nos équipes, déclare Fabien Charbonnel, directeur général Cem’In’Eu. En interne, malgré un contexte difficile, la mobilisation et la réactivité de chacun nous a permis de respecter notre plan de marche et d’atteindre nos objectifs de production. L’année 2023 sera riche de nouveaux challenges et, en particulier, la commercialisation prochaine de ciments bas carbone à base de pouzzolane locale. Nous avons à cœur de contribuer toujours plus à la décarbonation de l’industrie du bâtiment. » De 50 000 t à 150 000 t en 18 mois pour Rhône Ciments Depuis le début de cette aventure industrielle, Cem’In’Eu s’appuie sur une politique d’innovation en matière de process et de logistique. Mais aussi de portefeuille produits, alliée à une démarche de certification et de normalisation bien anticipée. Autant d’éléments qui ont permis de dépasser l’objectif des 300 000 t pour atteindre 330 000 t vendues. Cas particulier sur le marché du ciment, Cem’In’Eu réalise de très bonnes performances de ventes en sac, grâce à une offre inédite en France de ciment en sac étanche, en polyéthylène recyclé et recyclable. Lire aussi : Cem’In’Eu : Un nouveau sac en polyéthylène Le groupe Cem’In’Eu compte aujourd’hui un effectif total de 80 salariés et continue à recruter sur l’ensemble de ses sites pour accompagner sa croissance. En parallèle, le développement de Rhône Ciments s’est illustré par un triplement de la production, passant en 18 mois de 50 000 t à 150 000 t. Cet excellent démarrage s’explique par l’anticipation des calendriers de normalisation : tous les ciments produits par le site ayant été certifiés NF en mars et avril 2022. Le développement du site de Portes-lès-Valence engendre des besoins en recrutement non encore pourvus à 100 %… Une ambition à 400 000 t pour 2023 Les capacités de stockage de la base logistique Cem’in’Log sur le port de Sète (34) sont passées de 25 000 t à 60 000 t en 2022. Cette base de réception des livraisons maritimes de clinker expédie ensuite la matière première par rail vers les deux sites de production de Tonneins et de Portes-lès-Valence. Et s’inscrit ainsi dans la stratégie de logistique bas carbone de Cem’In’Eu. En parallèle, en fin d’année 2022, l’introduction des Innowagons a permis d’augmenter la charge utile des trains de + 21 % et donc de réduire les GES de 13 %. Le choix du transport ferroviaire permet d’éviter près de 12 000 trajets en camions chaque année. Donc d’émettre trois fois moins de GES qu’un dispositif routier, soit une économie d’environ 5 000 t eq.CO2/an. Lire aussi : Cem’In’Eu : Nouveaux wagons Enfin, Cem’In’Eu confirme ses ambitions de développement pour le prochain exercice avec un objectif de production de 400 000 t de ciment. Pour ce faire, le groupe poursuit la montée en puissance du site Rhône Ciments, en particulier grâce au renforcement des équipes de production. Son modèle de production agile lui permettra de se renforcer sur le marché des ciments bas carbone à base de pouzzolane, avec des lancements produits à venir au cours de l’année. Le chantier d’agrandissement et d’amélioration de l’unité industrielle de Rhône Ciments est en cours et la ligne sera opérationnelle en mars 2023. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 128 jours

LA BOX MULTIPACK, le superviseur le plus évolué du marché pour une gestion optimale des bâtiments.

La société SOUCHIER-BOULLET, qui regroupe trois marques commerciales – SOUCHIER, spécialiste des systèmes de désenfumage naturel architectural, BOULLET, experte des solutions de compartimentage coupe-feu et GENATIS, spécialisée dans la gestion des énergies naturelles – présente sa BOX MULTIPACK, outil de supervision à distance le plus complet du marché dédié à la gestion de la ventilation […]
GDA
Il y a 2 ans et 128 jours

EDILTECO® France publie une charte pour la bonne utilisation des gammes plancher et isolants de façade ainsi qu’une série de fiches applicatives pour les centrales à béton

EDILTECO® France entame l’année 2023 sous le signe du conseil et de l’accompagnement. L’entreprise qui met un point d’honneur à concevoir des produits et solutions de qualité et dont la bonne conception et les performances sont certifiées, entend conseiller, prévenir et accompagner ses clients dans les bonnes pratiques et utilisations à adopter.  Ainsi deux chartes […]
Il y a 2 ans et 128 jours

Contournement de Beynac : le département va déposer un nouveau dossier pour achever les travaux

Les travaux de démolition du chantier du contournement de Beynac (Dordogne) auraient dû démarrer le 9 janvier. Les élus du conseil...-Travaux publics
Il y a 2 ans et 128 jours

Inox Design pro

Inox Design pro InoxDesign, fabricant de garde-corps, mains courantes et balustrades 
 
 InoxDesign s’est spécialisé Batipole mer 01/02/2023 - 11:45 En savoir plus sur Inox Design pro Partager
Il y a 2 ans et 128 jours

LORENOVE souffle ses 40 bougies et se réinvente avec un positionnement plus large sur le marché de l’habitat

Comme dans toute évolution, les ambitions ne sont pas les mêmes que l’on ait 10, 20 ou 40 ans d’existence. A la manière d’un individu, une marque cherche aussi à travailler sur soi et reconsidérer son projet de vie et ses orientations. Ce travail, tout à la fois psychologique, marketing et « corporate » est […]
Il y a 2 ans et 128 jours

Acova dévoile la nouvelle image de son site acova.fr et ses fonctionnalités inédites.

 Reflet de sa nouvelle identité graphique et de sa signature de marque « Créons du beau, créons durable », ACOVA a entièrement repensé son site internet pour le rendre plus moderne et plus inspirationnel. Afin d’améliorer l’expérience client, la marque, référente de son marché depuis près de 60 ans, a retravaillé la structure technique de […]
Il y a 2 ans et 128 jours

Une pétition pour faire baisser la TVA sur les matériaux bio, géosourcés et de réemploi

Plus de 5200 signataires, dont l'Ordre des architectes, ont signé cette pétition lancée par le mouvement "Frugalité heureuse et créative" afin de donner une meilleure chance aux matériaux de construction alternatifs.
Il y a 2 ans et 128 jours

Fort d’un savoir-faire exclusif sur le marché tertiaire, le Groupe Lorillard recrute pour ses activités chantier en forte croissance

Le Groupe Lorillard vient de mettre en ligne un court-métrage d’un chantier neuf de grande envergure. Filmée par drone, la vidéo permet de visualiser plus en détails la mise en oeuvre des éléments et le travail précautionneux des hommes sur le chantier. Sous la maîtrise d’oeuvre de l’agence AMC Architectes, ce chantier situé à Chartres a été requis par le cabinet d’expert-comptable FITECO.Ce chantier est une illustration parfaite du savoir-faire en matière de chantier tertiaire neuf du Groupe Lorillard.https://youtu.be/9wEP586DqW4 ©Groupe Lorillard Ici, 20 portes techniques, 2 portes automatiques, 6 châssis de désenfumage, 5 châssis d’amenée d’air, 157 menuiseries aluminium en précadres et 560 m² de murs rideaux modulaires en aluminium ont été conçus, usinés et mis en oeuvre par les équipes.Particulièrement connu pour son expertise en matière de rénovation collective, le Groupe Lorillard possède également une activité en chantiers tertiaires neufs, prenant de plus en plus d’ampleur. De la pose de menuiseries à la conception de mur rideau, en passant par la protection solaire, le désenfumage et la ventilation, les chantiers neufs d’exception se succèdent. Au palmarès, se distinguent entre autres l’immeuble de bureaux d’Aubagne des architectes Franck Demaria et Benjamin Marc, le collège BBC de la Carrière imaginé par Rudy Ricciotti, la Maison des Services du siège social de Latécoère ou encore le collège Voltaire de Remoulins multiplement primé et pensé par l’architecte Christophe Ramonatxo. Il y a quelques années l’activité du Groupe relative aux chantiers neufs était minime. Aujourd’hui l’Entrepreneur s’érige en partenaire de choix à l’expertise éprouvée. LE MUR RIDEAU, LE BIEN AIMÉ DU TERTIAIRE De plus en plus plébiscité dans la construction de bâtiments aux activités tertiaires, le mur rideau est devenu un incontournable des chantiers du Groupe. Sa modularité architecturale et ses nombreux avantages : légèreté, apport de lumière solaire, facilité de mise en œuvre, en font un modèle de prédilection.La pose de mur rideau est une expertise du Groupe Lorillard qui conçoit et installe des murs rideaux en aluminium et en bois pour les bâtiments tertiaires en neuf comme en rénovation.Le cahier des charges détermine le choix du matériau et la technique de pose. Qu’il soit en grille, la conception la plus courante, ou en précadres, un projet de mur rideau est toujours analysé et adapté par le bureau d’étude du Groupe pour s’agencer parfaitement au bâtiment.Toute la réussite d’un tel projet repose sur le soin apporté à la pose : ici encore, rien n’est laissé au hasard pour garantir la sécurité sur le site, l’étanchéité de l’enveloppe et l’esthétique de la façade grâce à une ingénierie de chantier éprouvée. ©Groupe Lorillard LA SIGNATURE LORILLARD A mesure que les années passent le Groupe Lorillard se façonne la notoriété d’un entrepreneur, spécialiste de l’enveloppe globale du bâtiment. La maîtrise de l’ensemble des métiers inhérents au marché de la menuiserie permet au Groupe d’en saisir toutes les problématiques et d’offrir des solutions techniques sur-mesure pour chaque spécificité.La stratégie de croissance externe opérée par le Groupe lui a permis de devenir un acteur incontournable de son marché, à l’appui d’un savoir-faire considérable et déployé mais aussi un employeur attractif.Les investissements industriels dans l’usinage du bois, des volets roulants, le laquage des menuiseries, mais aussi la réorganisation géostratégique de la production au sein des 8 sites nationaux, ou encore la formation continue des salariés jusqu’à l’audit énergétique des sites de production font partie de la stratégie d’amélioration continue du Groupe.Cette stratégie vise à se pourvoir d’une efficience technique afin d’offrir le meilleur aux salariés comme aux clients, mais aussi de rester maître de tous les processus de production. ©Groupe Lorillard Afin d’envisager sereinement l’évolution croissante de son activité tertiaire le Groupe Lorillard recrute des opérateurs de production et conducteurs de machines, des dessinateurs, des chefs de chantier, des poseurs et des conducteurs de travaux ainsi qu’un conducteur de travaux façades.Des postes qui sont à pourvoir dès à présent et dont les offres descriptives sont disponibles en ligne sur le site du Groupe, parmi bien d’autres :https://www.lorillard.fr/recrutement/nos-offres-d-emploi Il y a de l’emploi au sein du Groupe Lorillard ! Si tant est que le candidat place ses ambitions à la hauteur d’un Groupe audacieux, il y trouvera les outils et les ressources pour faire face aux mutations à venir et être accompagné sereinement dans son développement professionnel.
Il y a 2 ans et 128 jours

Clareo dévoile en exclusivité sa nouvelle gamme d'éclairage Design intégrant la marque Zambelis

Pour Olivier MASCHINO, Président de CLAREO : « C’est une véritable étape pour nous. Aujourd’hui CLAREO est un des acteurs les plus importants en France en éclairage fonctionnel avec 35 millions d'euros de chiffre d’affaires et souhaite se positionner également fortement sur les produits décoratifs et design. Suite à de nombreuses demandes de nos clients sur ce type d’éclairage, la marque Zambelis nous est apparue en parfaite adéquation avec notre offre produit et avec nos valeurs. Les produits Zambelis respectent les standards de qualité et d’innovation CLAREO, ainsi que les enjeux environnementaux. Avec ces points communs, la marque Zambelis s’est imposée de manière évidente et naturelle. Nous sommes fiers de proposer cette gamme DESIGN aussi complète qu’originale. Après seulement quelques jours de lancement, nous avons déjà eu d’excellents retours de nos clients, aussi bien installateurs qu’architectes. »La nouvelle gamme DESIGN de CLAREO c’est :1.400 références indispensables de l’éclairage décoratif : des suspensions, des downlights, des plafonniers, des appliques intérieures ou encore une large gamme pour l’éclairage extérieur.Des produits dans l’air du temps, modernes et très originaux pour répondre à tous les projets décoratifs et design.Des produits aux matériaux aussi variés que surprenants (verre, acier, plâtre, argile, bois) et aux couleurs originales (cuivre, dorée, terracotta, émeraude, etc.).Une gamme customisable sur demande, au gré des envies et des projets.90% des produits en stock en France et en Europe et à un excellent rapport qualité prix.Plus de 40% des produits fabriqués en Europe.Une partie des références livrées en 12h chez nos clientsDes produits pour tous types d’applications : hôtels, restaurants, magasins, bureaux, extérieur, etc.Zambelis en quelques motsCrée en 1967, Zambelis propose des luminaires à l'esthétique contemporaine et originale. Le succès de la marque repose sur des matériaux finement travaillés, une fabrication méticuleuse et un style qui mêle originalité et modernité.Son catalogue de 1.400 références est extrêmement large et propose des suspensions, des downlights, des plafonniers, des appliques intérieures, des dalles, des tubulaires ou encore des éclairages extérieur pour créer des projets décoratifs, qu'il soit classique ou contemporain.
Il y a 2 ans et 128 jours

Le Groupe Lorillard recrute

Le Groupe Lorillard recrute   
 
 Filmée par drone, la vidéo permet de visualiser plus en détails la mise en oeuvre des éléments dmarp mer 01/02/2023 - 11:13 En savoir plus sur Le Groupe Lorillard recrute Partager
Il y a 2 ans et 128 jours

La Data pour massifier la rénovation énergétique

La nécessité de rénover le parc immobilier français n’a jamais été aussi forte. Ce dernier est en effet responsable de 40 % du total des émissions de CO2.  D’autre part, 4,8 millions de logements sont de véritables passoires thermiques et le bâti tertiaire représente à lui seul près d’⅓ de la consommation énergétique nationale. Les banques ont aujourd’hui la […]
Il y a 2 ans et 128 jours

alizea baie coulissante aluminium

La baie vitrée coulissante aluminium Alizéa propose des profils sobres et épurés. Isolation, sécurité et confort d'utilisation sont les points forts de ce coulissant.
Il y a 2 ans et 128 jours

Somfy lance RS100 Solario, la version solaire de sa gamme référente de moteurs pour volets roulants RS100, et accompagne les professionnels avec un écosystème complet de services

Somfy avait amorcé en 2015 une nouvelle ère technologique en réinventant la motorisation tubulaire et en digitalisant son cœur de métier avec le lancement de RS100 io, le 1er moteur silencieux, connecté et éco-conçu. Aujourd’hui, fort de plus de 50 ans d’innovation dont plus de 10 ans sur le marché du solaire, Somfy enrichit sa […]
Il y a 2 ans et 128 jours

Kaufman & Broad en croissance en 2022, prêt pour des mois plus moroses

Pour son exercice 2021-2022 (décalé d'un mois, de décembre à novembre), Kaufman & Broad a dégagé un chiffre d'affaires de 1,31 milliard d'euros, en hausse de 2,5%. Soit moitié moins que l'objectif qu'il s'était fixé début 2022 (5%), avant de le revoir à la baisse en octobre.Il a livré 6.000 logements, essentiellement des appartements, un peu moins qu'en 2021 (6.200), mais pour un chiffre d'affaires supérieur (1,15 milliard contre 1,11).Pour 2023, le promoteur, qui fait construire très majoritairement en zones tendues, où les besoins de logements sont les plus élevés, table sur une hausse de son chiffre d'affaires à 1,5 milliard.Le grand chantier de réaménagement du quartier de la gare d'Austerlitz à Paris, purgé de tout recours depuis octobre après une longue bataille judiciaire, lui donne de belles perspectives.Ce "chantier complexe", dont doivent sortir des bureaux et un hôtel, devrait prendre "à peu près cinq ans", selon le PDG Nordine Hachemi. L'année devrait commencer avec une baisse des volumes de ventes, prévoit le groupe, du fait de la hausse rapide des taux d'intérêt qui provoque un "attentisme" des acheteurs."On est à une période d'incertitude, qui sera résolue quand on aura stabilisé les paramètres", a assuré à l'AFP Nordine Hachemi. Le marché de l'immobilier neuf "a très bien vécu avec des taux à 3, 4, 5%, il n'y a pas de raison que le marché s'arrête parce que les taux montent", a-t-il ajouté. "Sur le deuxième semestre, voire en fin d'année, on va avoir un retour aux fondamentaux du marché, qui sont des besoins de logements non satisfaits, et donc l'investissement reprendra", a-t-il prédit.Le groupe va proposer à ses actionnaires un dividende de 2,40 euros par action.
Il y a 2 ans et 128 jours

« Une PAC efficace requiert une bonne isolation au préalable » rappellent negaWatt et le Cler

Le Cler- Réseau pour la transition énergétique - et l’association négaWatt dénoncent dans un rapport l’efficacité limitée des pompes...-Artisans
Il y a 2 ans et 128 jours

Prestonett L, l'enduit prêt à l’emploi

Prestonett L, l'enduit prêt à l’emploi Prestonett L : une nouvelle performance professionnelle au service des bricoleurs 
 
 
 
 Enduit schilling mer 01/02/2023 - 10:15 En savoir plus sur Prestonett L, l'enduit prêt à l’emploi Partager
Il y a 2 ans et 128 jours

Edilteco France publie deux chartes et 8 fiches applicatives

Edilteco France entame l’année 2023, sous le signe du conseil et de l’accompagnement. [©Edilteco] Edilteco France entame l’année 2023, sous le signe du conseil et de l’accompagnement. L’entreprise entend guider ses clients dans les bonnes pratiques à adopter. Ainsi, deux chartes viennent d’être éditées pour les gammes planchers et isolants pour façade. Elles visent à accompagner les clients dans la bonne utilisation des produits de ces gammes et définissent un support commun des méthodes commerciales et logistiques. A destination des centrales à béton Et pour les centrales à béton, c’est une série de 8 fiches applicatives qui vient d’être publiée à l’attention des commerciaux et des responsables des laboratoires qualité. Ces fiches sont déclinées pour les gammes Politherm Fein, Politherm R et Polys Béto selon le type d’application. A savoir, chape allégée, chape fluide allégée, ravoirage et remplissage allégés et forme de pente allégée en toiture. [Pour Béton] Lire aussi : Edilteco – CarbonCure : Maintenant en France Chaque fiche rassemble des informations sur les types de supports, les domaines d’application, les caractéristiques techniques, le conditionnement, les certifications. Mais aussi les différentes formulations, les performances, la préparation du chantier, les conseils de mise en œuvre – photos à l’appui – les précautions après coulage ou encore les délais de recouvrement. Une réponse aux clients C’est en réponse à une demande des clients que ces fiches ont été formalisées, afin que l’accès à l’information sur les produits soit instantané et donc efficace. Il est évident que la fabrication d’un mortier léger est une phase délicate. Elle demande une attention particulière sur le mélange des différents constituants, afin d’obtenir l’assurance d’un mélange homogène et d’une rhéologie conforme aux spécifications. Les fiches applicatives ont été réalisées dans cet objectif d’accompagnement. Elles sont très complètes et permettent aux centrales à béton de gagner en productivité et en autonomie. Ces fiches sont disponibles ici et là. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 128 jours

ASCA solarise la façade en verre d'un bâtiment administratif

Ainsi, la ville de Gronau (Rhénanie-du-Nord-Westphalie) en Allemagne dévoile en 2023 la façade solaire de son nouveau bâtiment administratif. Les modules photovoltaïques organiques (OPV) d'ASCA sont directement intégrés dans le verre de la façade, laminés en collaboration avec le verrier BGT Bischoff Glastechnik GmbH, donnant vie à l'un des plus grands vitrages photovoltaïques mis sur le marché.Une façade en verre photovoltaïque de grande dimensionImaginé en collaboration avec le cabinet d'architectes H III S (harder stumpfl schramm freie Architekten de Stuttgart), la ville de Gronau en Allemagne dévoile en 2023 son nouveau bâtiment administratif pourvue d'une façade en verre double peau capable de produire de l'électricité grâce aux modules OPV d'ASCA, une entreprise d'ARMOR GROUP. Ces derniers sont directement intégrés dans le verre de la façade, laminés en partenariat avec le verrier BGT Bischoff Glastechnik GmbH, donnant vie à un des plus grands vitrages photovoltaïques mis sur le marché. D'une hauteur de 3,66 m et d'une largeur de 2,25 m, chaque vitrage solarisé est installé sur la façade sud du bâtiment d'une surface totale de 222 m2, en alternance avec du vitrage traditionnel. L'énergie solaire produite par les modules ASCA est directement injectée dans le réseau électrique du bâtiment.« Nous sommes fiers d'avoir réalisé, en collaboration avec BGT, les plus grands modules de verre transparent capables de générer de l'énergie grâce à notre technologie solaire. D'autant plus que leur production est simple, approchante de celle des vitrages feuilletés standards, permettant ainsi de répondre aux attentes des architectes et des designers sans pour autant représenter un obstacle technique pour les intégrateurs. Ce projet est une étape importante pour l'intégration du photovoltaïque dans l'enveloppe des bâtiments (BIPV) » explique Hermann Issa, Senior Vice President Business Development et Project Management d'ASCA.Une façade solaire multifonction intégrée à son environnementEn accord avec l'esthétique du paysage urbain, ASCA a mis au point des modules solaires de couleur verte au design sur-mesure inspiré des façades en brique du bâtiment. En outre, si les vitres solaires sont transparentes de l'intérieur, elles sont translucides de l'extérieur, garantissant ainsi aux employés un environnement de travail à la fois lumineux et intime.« Nous sommes ravis d'avoir pu collaborer avec ASCA sur ce projet architectural et nous avons été impressionnés par les grandes possibilités de design qu'offre le film ASCA®. Avec cette solution solaire, nous avons pu donner vie à une façade désormais vitrine de la durabilité » commente le cabinet d'architectes H III S.Accélérer le déploiement des énergies renouvelablesAlors que l'objectif du plan REPowerEU publié en mai 2022 vise à atteindre 600 GW de capacité solaire en Europe d'ici 20301, la France peine à atteindre ses objectifs de développement des énergies renouvelables2. Pour autant, l'Assemblée nationale a voté le 10 janvier 2023 un projet de loi relatif à l'accélération de la production d'énergies renouvelables comprenant plusieurs amendements directement liés à l'intégration au bâti de solutions solaires innovantes, alternatives aux panneaux solaires traditionnels.3« Il est urgent de réduire la consommation énergétique du secteur du bâtiment qui représente 44% de l'énergie consommée en France et qui émet chaque année sur le territoire plus de 123 millions de tonnes de CO24. Avec l'objectif national de 10% de réduction de consommation d'énergie d'ici 2024, le bâtiment fait partie des domaines clé dans la lutte contre le réchauffement climatique et la transition énergétique. Or la réglementation française ne prend pas en compte le concept de BIPV (photovoltaïque intégré au bâtiment) permettant d'intégrer de manière fonctionnelle des solutions solaires en combinaison ou en remplacement de matériaux de construction conventionnels. Pourtant nos solutions solaires bas-carbone, compatibles avec une multitude de matériaux, permettent de solariser des surfaces jusqu'alors inexploitées par les solutions solaires existantes comme les façades, les toitures légères, les vitrages ou encore les garde-corps. À l'heure où les administrations sont appelées à l'exemplarité en matière de sobriété énergétique, ce projet avec la ville de Gronau en Allemagne illustre notamment le champ des possibles qu'offre le solaire pour basculer enfin vers des bâtiments publics bas-carbone » conclut Moïra Asses, Directrice stratégie et marketing d'ASCA.1 https://ec.europa.eu/info/strategy/priorities-2019-2024/european-green-deal/repowereu-affordable-secure-and-sustainable-energy-europe_fr2 Saisine rectificative au projet de loi relatif à l'accélération des énergies renouvelables (NOR : ENR2223572L/Rose-2)3 https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/amendements?dossier_legislatif=DLR5L16N46539&examen=EXANR5L16PO419610B0443P0D14 https://www.ecologie.gouv.fr/energie-dans-batiments
Il y a 2 ans et 128 jours

Une maison mexicaine en bois inspirée de l’architecture japonaise

Casa Nakamura est une résidence secondaire réalisée par les architectes Fausto Terán + Toro, et située à seulement deux heures de Mexico, au pied de la lagune d’Atlangatepec au sud-est du Mexique. [De l’architecte] Inspirée de la culture des samouraïs et des pratiques du sumo et du jiu-jitsu, Nakamura est un concept architectural simple et […]
Il y a 2 ans et 128 jours

faites le choix d un assureur solide financierement

Choisir un assureur construction solide financièrement est indispensable ! En effet, en choisissant un assureur construction solide financièrement, vous choisissez d’exercer votre métier en toute sérénité et de manière pérenne. Découvrez dans la vidéo pourquoi ce choix est important.
Il y a 2 ans et 128 jours

Assurance chômage : la réduction de la durée d'indemnisation en vigueur le 1er février

L'exécutif la justifie par les difficultés de recrutement des entreprises, et en fait une première pierre de sa stratégie pour atteindre le plein emploi en 2027, soit un taux de chômage d'environ 5% (contre 7,3% actuellement).Ce qui va changerLa réforme prévoit une baisse de 25% de la durée d'indemnisation pour tous les demandeurs d'emploi qui ouvrent des droits à partir du 1er février.Elle ne s'appliquera pas en Outre-mer et certaines populations sont exclues comme les intermittents du spectacle, les marins-pêcheurs ou les dockers.Un chômeur qui aurait eu droit par exemple à 12 mois d'indemnisation dans le système actuel n'aura plus droit qu'à neuf mois. Les seniors passent d'un maximum de 36 mois à 27.Un plancher minimal de six mois sera préservé. Les premiers impacts sont donc attendus à partir du 1er août.Pour les demandeurs d'emploi qui verront leur durée d'indemnisation réduite, un "complément de fin de droits" (un allongement de la durée) est prévu en cas de dégradation du marché du travail, si le chômage dépasse 9% ou s'il augmente de 0,8 point ou plus sur un trimestre.Le gouvernement espère 100 à 150.000 retours à l'emploi supplémentaires en 2023 grâce à la réforme. Ces arguments sont vivement rejetés par les syndicats.Ces derniers sont d'autant plus mécontents que l'Unédic, organisme paritaire qui gère le régime d'assurance chômage, a récemment dressé un premier bilan de la précédente réforme de l'assurance chômage, lancée en 2019 et pleinement entrée en vigueur fin 2021.Cette réforme a durci les conditions d'indemnisation des demandeurs d'emploi, notamment ceux qui alternent périodes de travail et d'inactivité. Selon l'Unédic, elle s'est traduite par une baisse de 16% en moyenne des allocations journalières pour les chômeurs impactés.D'autres évolutions à venirLe gouvernement doit adresser début février aux partenaires sociaux un document d'orientation pour qu'ils planchent sur une nouvelle gouvernance du régime.Les organisations syndicales et patronales sont favorables à cette négociation pour clarifier les responsabilités de l'Etat et des partenaires sociaux.L'assurance chômage est gérée par les partenaires sociaux qui pilotent l'Unédic. Mais depuis la loi de 2018, leurs marges de négociations sont restreintes par une "lettre de cadrage" du gouvernement qui fixe des objectifs (notamment d'économies) à atteindre.Certains macronistes plaident notamment pour que le Parlement soit associé. Pour l'élu Renaissance Marc Ferracci, "la gouvernance doit permettre un nouvel équilibre entre partenaires sociaux, État et Parlement, afin de respecter un principe de responsabilité politique. Aujourd'hui, les partenaires sociaux ne sont pas tenus responsables du chômage, alors qu'ils ont des leviers permettant d'agir car les règles de l'assurance chômage ont un impact sur le chômage et la précarité. Ceux qui sont tenus responsables, ce sont le gouvernement et la majorité parlementaire".Une fois cette nouvelle gouvernance adoptée, les partenaires sociaux auront - comme habituellement- à négocier un nouveau régime d'indemnisation qui sera en vigueur à partir de 2024. Ce qui coïnciderait avec la création de France Travail pour mieux coordonner les acteurs intervenant sur l'emploi.Le gouvernement a déjà fait savoir que la question de la modulation en fonction de la conjoncture "devra être intégrée" dans ces discussions. Dans le contexte explosif de la réforme des retraites, l'exécutif a annoncé le retrait temporaire d'une partie controversée de son projet qui prévoyait une réduction possible de la durée d'indemnisation de 40% si le chômage passe sous les 6%.Mais, a prévenu la Première ministre, "nous remettrons ce sujet dans la concertation sur les futures règles de l'assurance chômage", Elisabeth Borne estimant que c'est "la bonne règle d'indemnisation".
Il y a 2 ans et 128 jours

Contrôle des opérations CEE (1/3) : des bureaux hors de contrôle ?

Lorsque les fraudes se multiplient, une seule solution : contrôler. Encore faut-il que les contrôles soient à la hauteur ! L’examen attentif de la liste des bureaux de contrôle accrédités par le Cofrac pour les opérations CEE fait apparaître une très grande diversité, et pas mal de conflits d’intérêt potentiels.
Il y a 2 ans et 128 jours

Les nombreux secteurs à l'arrêt ou perturbés par les manifestations contre la réforme des retraites

EducationLes syndicats enseignants ont comptabilisé au moins 50% de grévistes parmi les professeurs, de la maternelle au lycée.Le ministère a pour sa part annoncé un taux d'enseignants grévistes de 25,92%, des chiffres bien en-deçà de la mobilisation du 19 janvier (38,5%). A Paris mais pas seulement, des écoles sont restées fermées. Du côté des étudiants, des rassemblements ont eu lieu mardi matin, comme sur le site Saint-Charles de l'université Aix-Marseille, où un piquet de grève a été installé avec une banderole "Réforme accablante, riposte étudiante". Sciences Po Paris a été occupé dans la nuit par une cinquantaine d'étudiants qui ont vidé les lieux dans la matinée.TransportsDans les aéroports, c'est principalement la grève de contrôleurs aériens qui provoque des perturbations et des retards.L'annulation d'un vol sur cinq a été demandée à Paris-Orly par la direction générale de l'aviation civile pour mettre en adéquation les effectifs disponibles et le trafic attendu. A Nice, 18 rotations ont été annulées sur 90. A Ajaccio, les pompiers se sont joints au mouvement et des vols ont aussi été annulés faute de sécurité suffisante.Dans le rail, plus d'un tiers des cheminots (36,5%) ont fait grève selon une source syndicale, moins que le 19 janvier (46,3%).Le mouvement perturbe néanmoins fortement le trafic voyageurs. La SNCF ne fait circuler qu'un TGV sur trois en moyenne, presque pas d'Intercités et deux TER sur dix. En Ile-de-France, la banlieue n'est pratiquement pas desservie avec en particulier un train sur dix, en moyenne, sur les lignes C, D, E, J, L, N, P et R qui, pour la plupart d'entre elles, ne fonctionnent qu'aux heures de pointe et/ou sur une partie de leur parcours.Dans le métro parisien, le trafic est très perturbé, et seules les lignes 1 et 14 automatiques fonctionnent normalement, tandis que la desserte des bus et tramways est assurée à 80%.Des perturbations touchent aussi le métro de Lyon, les tramways de Bordeaux, les bus de Rennes. A Marseille, l'une des deux lignes de métro et une des trois lignes de tramway sont à l'arrêt, les autres ralenties. A Nice, aucun tramway ne circule, de même que 25 lignes de bus. En Corse, plusieurs traversées maritimes entre l'île et Marseille ont été reportées à mercredi.Fonction publique et secteur privéIl y avait 19,4% de grévistes chez les fonctionnaires d'Etat, selon le ministère de la Fonction publique, contre 28% il y a douze jours.Des mairies, comme celle de Paris, ont gardé portes closes. Les mairies communistes de Vénissieux (Rhône), Echirolles (Isère) ou Montreuil (Seine-Saint-Denis) ont fermé une demi-journée.A La Poste, 8,79% des salariés étaient en grève, selon la direction, contre 14,64% la dernière fois.EnergieLa mobilisation reste forte dans les raffineries et dépôts de carburants de TotalEnergies qui comptent 75 à 100% de grévistes, selon la CGT. La direction du groupe estime pour sa part que le taux de grévistes s'élève à 55%, contre 65% le 19 janvier.Côté électricité, la mobilisation reste élevée quoique en léger repli par rapport au 19 janvier. La direction d'Engie a recensé 34,3% de grévistes et celle d'EDF 40,3% contre 44,5% le 19 janvier. Des équipes de quart ont privé l'entreprise d'une partie de sa production d'électricité, avec une perte de puissance allant jusqu'à 3.210 MW à 11h00 (l'équivalent de trois réacteurs nucléaires), la CGT assurant que la baisse de charge avait atteint 5.000 MW comme le 19 janvier.Dans la Vienne, des actions "Robin des bois" pour rebrancher l'électricité à des foyers coupés ont été revendiquées par la CGT. Dans le Sud-Ouest, la CGT du Lot-et-Garonne a revendiqué la mise hors tension de quatre radars routiers.
Il y a 2 ans et 128 jours

L'Indonésie lance la construction de sa nouvelle capitale

INTERNATIONAL. Le projet pharaonique de l'Indonésie de construire une nouvelle capitale politique au coeur d'une forêt tropicale millénaire fait débat. Le chantier, colossal, a débuté avec la construction d'infrastructures.
Il y a 2 ans et 128 jours

Levée de boucliers pour défendre des immeubles très sixties menacés de démolition à Toulouse

Le "Grand d'Indy", barre massive de onze étages, se détache au dessus des arbres, non loin du lac de la Reynerie. L'immeuble, érigé en Y, abrite 243 logements sociaux et doit être détruit en 2023.Six autres bâtiments du quartier sont condamnés à disparaître pour laisser place à de plus petits, allant du pavillon individuel à l'immeuble collectif, suivant un plan soutenu par l'agence nationale de renouvellement urbain."Alors même qu'on manque de logements à Toulouse, c'est une aberration !", s'emporte Michel Retbi, architecte du collectif opposé au projet.Toulouse, quatrième ville de l'hexagone avec plus de 493.000 habitants, figure en zone immobilière tendue en raison d'une offre insuffisante.La démolition des ensembles bâtis par les architectes Candilis, Josic et Woods, inspirés de Le Corbusier, n'est plus défendable dans le contexte actuel de flambée des prix des matières premières et de crise climatique, selon le collectif."Démolir et reconstruire coûte trois fois plus cher que réhabiliter" et "le bilan carbone d'une démolition est le triple de ce que représente une réhabilitation", assure M. Retbi.La rénovation du quartier, à quinze minutes en métro du centre-ville, pourrait se mener sans démolition, martèlent-ils, plaidant pour un moratoire sur les destructions et un concours d'architecture pour imaginer le Mirail du futur.Logements spacieuxBaptisés des noms de compositeurs et de peintres (Le Tintoret, Messager, etc.), ces grands ensembles "font partie des rares bâtiments qui n'ont pas bougé après AZF", précise Gilbert Pedra, autre membre du collectif.L'explosion de l'usine d'engrais AZF en 2001 a fait 30 morts et détruit ou endommagé près de 30.000 édifices.Ceux du Mirail ont conservé "une structure saine", assure l'architecte, poursuivant dans un éclat de rire: "les logements de luxe en plein centre-ville de Toulouse sont moins bons que ça, et en espace et en qualité, et c'est un architecte qui vous le dit !"Les appartements, presque tous logements sociaux, vont du T2 au T6 et sont "super", sourit Jacques Rovaris, 79 ans, qui occupe depuis plus de 40 ans un T2 au cinquième étage du Grand d'Indy.Avec 66 m2, un séjour lumineux et un large balcon d'où il voit les Pyrénées par beau temps, le retraité se dit "heureux". Un relogement dans "un appartement bien, mais plus petit" lui a été proposé, mais il "ne demande pas à partir, juste à faire quelques petites améliorations"."On peut imaginer toutes sortes de réhabilitations", assure Michel Retbi. Un argument appuyé par la présidente du conseil national de l'ordre des architectes, Christine Leconte, et les architectes Anne Lacaton et Jean-Philippe Vassal, lauréats du prix Pritzker 2021.Mauvaise imageCes bâtiments sont vus comme "des cages à lapin" et pâtissent d'une "mauvaise image", regrette Claire Martin, membre du collectif, regrettant l'"association faite entre la paupérisation du quartier et le bâti".Leur destruction s'inscrit dans la volonté politique de transformer le Mirail, miné par le trafic de drogue. Les autorités souhaitent créer de la mixité sociale en diminuant la part de logements sociaux au dessous de 50%.Si l'opération est onéreuse - le coût de la seule destruction est estimé à plus de 87 millions d'euros - Gaëtan Cognard, maire du quartier, assume ce choix: "les architectes pensent aux bâtiments, moi aux habitants"."Il s'agit de démolir maintenant pour nos générations futures", argue-t-il, estimant que les émissions de carbone d'une reconstruction aux normes actuelles seront compensées sur le long terme.Quant au manque de logements, "on ne va pas arrêter tous les chantiers de démolition, surtout quand" ils visent à "renouveler et améliorer le cadre de vie des habitants", estime-t-il.Un objectif auquel peine à croire Brigitte Touillet, 69 ans, habitante opposée au projet. Elle cite un autre secteur du Mirail où "ils ont construit des petits cubes partout"."On nous dit que cela a fait plus de mixité sociale, mais rien n'a changé. Quand on sort du métro, on peut toujours acheter toutes les herbes qu'on veut", raconte-t-elle, en allusion au trafic de drogue.