Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

256426 actualités disponibles
Il y a 2 ans et 126 jours

La recherche révèle la raison de la longévité du béton romain

L’origine de la durabilité des édifices romains antiques vient d’être révélée dans une étude qui a fait l’objet d’une publication. Les capacités auto-cicatrisantes du  béton romain semblent en être la raison. Explications.    Si cette étude a été largement relayée par les média français, il nous semblait important de la graver dans le marbre béton, pour qu’elle […]
Il y a 2 ans et 126 jours

Travaux publics : la voie ferrée devient verte

Pour aménager une ligne de train en un parcours dédié aux modes doux, il a fallu s'adapter à un relief...-Travaux publics
Il y a 2 ans et 126 jours

Haute-Garonne : la construction neuve s'effondre

...-Immobilier
Il y a 2 ans et 126 jours

Béziers : clap de fin pour les industries médiatiques ?

...-Collectivités locales
Il y a 2 ans et 126 jours

Bègles : l'EPA veut construire une ville résiliente

...-Collectivités locales
Cimbat
Il y a 2 ans et 126 jours

plafonds demontables decouvrez le mag inspiration danoline

Knauf Danoline c’est une gamme de plafonds acoustiques et esthétiques bénéficiant de la technologie « air sain » Cleaneo.
Il y a 2 ans et 126 jours

Dans les corons de l'ex-bassin minier, la rénovation thermique "change la vie"

Une brume glacée baigne Bully-les-Mines, commune du Pas-de-Calais entourée de terrils. Attablée dans sa cuisine, Sylviane Niebojewski, 60 ans, caresse du regard sa vieille maison de mineurs, depuis peu "remise à neuf".Habitante de la cité "depuis toujours", elle y a connu les corons "sans salle de bains, ni chauffage central", longtemps chauffés au charbon. Puis ce pavillon autrefois "difficile à chauffer"."On avait un tout petit radiateur dans la cuisine, rien dans la salle de bains, un immense couloir glacé. L'hiver on était gelés, même en poussant le chauffage à 22-23°C. J'allumais aussi un poêle à pétrole", se remémore-t-elle. Depuis 2021, et la réhabilitation menée par le bailleur Maisons et Cités, "avec le thermostat à 19°C, on a chaud, notre consommation de gaz a baissé de 40%", se réjouit-elle.Cela représente "une économie de 50 euros mensuels, vraiment bienvenue", pour un couple aux ressources d'environ 1.100 euros, permettant de "partir un peu plus en vacances" ou s'offrir quelques loisirs.Le chantier l'a contrainte à déménager six mois dans une maison voisine, comme la majorité des locataires de cette cité centenaire, rénovée dans le cadre de l'engagement pour le renouveau du bassin minier (ERBM).Passoires thermiquesInitiée en 2017, cette politique prévoit la rénovation de 23.000 passoires thermiques sur dix ans, accompagnée d'une "requalification" de l'espace public, et d'actions pour l'emploi. Elle vise à réparer ce territoire d'1,2 million d'habitants, aux taux de pauvreté record et corons vétustes, même si partiellement classés au patrimoine mondial de l'Unesco.Estimée à 2 milliards d'euros, la réhabilitation thermique est financée par deux bailleurs sociaux, largement subventionnés, notamment par l'Etat (100 millions), la Région (30 millions) ou les intercommunalités (70-80 millions)."Nous emmenons des maisons classées E, F, G, vers une étiquette C ou BBC (bâtiment basse consommation)", résume Jean-François Campion, directeur général de Maisons et cités, gestionnaire de 90% des logements.Chaque logement est "refait du sol au plafond": les murs, curés, sont garnis d'un isolant de 12 cm, les revêtements, portes et fenêtres remplacés, des cloisons abattues. Le loyer "peut légèrement évoluer", d'une vingtaine d'euros pour un loyer de 400.L'ERBM a permis de doubler le rythme des rénovations, "prioriser les cités les plus fragiles", et "aller plus loin sur le bouquet de travaux", salue Marie Cornillon, directrice générale adjointe du second bailleur, SIA Habitat.Un projet précurseur: la loi "Climat et Résilience", votée en 2021, interdira de louer des logements classés G dès 2025, et F en 2028. En France, 5,2 millions de résidences principales étaient en 2022 des "passoires énergétiques", selon l'Observatoire national de la rénovation énergétique. Le parc social reste le mieux loti: 9,5 % d'étiquettes F/G, contre 18,8% pour le privé."Urgence à agir"Dans l'ex-bassin minier, à mi-parcours, fin 2022, environ 7.000 logements miniers étaient réhabilités, et plus de la moitié des chantiers lancés, selon plusieurs sources.Bailleurs et élus reconnaissent un "léger retard", lié à la crise sanitaire ou aux "tensions" sur les métiers de la construction.Mais "les engagements seront tenus", promet le préfet des Hauts-de-France, Georges-François Leclerc, qui pointe "l'urgence à agir", pour "soutenir" les ménages, "maintenir" ce patrimoine unique, et "répondre aux enjeux écologiques".De Béthune à Valenciennes, les habitants interrogés par l'AFP saluent majoritairement le travail mené. Comme Claudie Trifi, 58 ans, heureuse d'être débarrassée de ses vieux châssis abîmés, ou de sa toiture nue, "sans rien entre le plafond et les tuiles".C'est "beaucoup plus confortable, économe, moderne", se réjouit aussi Christelle Cauvez, 49 ans, fille de mineurs.Partout, des façades vermillon éclatantes et jardinets clôturés tranchent avec les briques fanées des maisons voisines.Ceux qui attendent leur tour sont souvent impatients. "Rénover? Il serait temps! L'été, on vit dans un four. L'hiver, je dors en pull", lâche à Lens Emilia Lequien, 41 ans. Elle craint "l'explosion des prix" du gaz, elle qui "y laisse déjà 2.500 euros" annuels."Amortisseur"Avec l'isolement par l'intérieur, imposé par le classement Unesco, "c'est plus petit, les meubles ne rentrent plus", regrette toutefois, dans une rue voisine, Micheline Fruchart, 75 ans.Quelques rares habitants déplorent eux des "malfaçons", essentiellement dans les premières cités rénovées. Président d'un collectif d'habitants à Hornaing, Jacky Saraïs a du "se battre" avec habitants et élus, pour faire réparer les défauts d'une cinquantaine de logements."On a essuyé les plâtres", mais les problèmes sont "quasiment résolus", tranche le maire Frédéric Delannoy, président de la communauté de communes du coeur d'Ostrevent.En s'attaquant "vite et fort" aux cités les "plus dégradées, reléguées", cette politique lutte contre "le sentiment d'abandon" éprouvé localement, salue son homologue de la porte du Hainaut, Aymeric Robin.Même si, avec la crise énergétique, "le gain de pouvoir d'achat attendu se transforme en amortisseur".Béton de chanvre, laine de bois: les bailleurs ont aussi "expérimenté" des matériaux biosourcés. Mais seulement sur une "fraction" des volumes. Un regret pour M. Robin: "on aurait pu aller plus loin" trouver des "process innovants, écologiques" et "duplicables rapidement".
Il y a 2 ans et 126 jours

chauffage d appoint dans une salle de bain comment choisir le meilleur equipement

Le sèche-serviettes électrique reste le chauffage d'appoint le plus adapté dans une salle de bains. Son prix varie entre 50 € et 150 €.
Il y a 2 ans et 126 jours

deces de deux ouvriers sur un chantier a epinay des peines de prison requises

Des peines de prison ont été requises ce mercredi à l’encontre de neuf prévenus, jugés pour homicide involontaire et travail dissimulé. Deux ouvriers sans papiers avaient chuté d'une dizaine de mètres en 2019 sur un chantier, à Épinay-sur-Seine (93).
Il y a 2 ans et 126 jours

A Saint-Ouen, une rénovation urbaine à plusieurs millions d'euros suscite des questions

Sous un ciel gris, les barres d'immeubles HLM rose défraîchi du Vieux Saint-Ouen voient défiler à leurs pieds un aréopage en costume."Là, c'était mon école !", indique fièrement le maire (PS) Karim Bouamrane à Catherine Vautrin, la présidente de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU), avant de la mener vers la Seine, à deux pas.La promenade préfigurait la signature mardi après-midi d'une convention pour métamorphoser deux quartiers dégradés, le Vieux Saint-Ouen et la cité Cordon-La Motte-Taupin.En décrochant une enveloppe de l'ANRU à 100 millions d'euros, la Ville a bouclé ce projet de plus de 350 millions d'euros. Une première pour cette commune populaire d'environ 50.000 habitants aux portes nord de Paris.Quelque 500 logements seront détruits et environ 1.200 autres réhabilités, de nouveaux bâtiments sortiront de terre, les espaces publics seront repensés et végétalisés, avance la municipalité."Nous on met le paquet sur le beau, c'est la réhabilitation par le beau", s'extasie M. Bouamrane.L'opération vise aussi à instiller davantage de mixité là où le taux de logement social grimpe jusqu'à 80%."L'objectif c'est de redescendre un petit peu le nombre de logements sociaux mais d'avoir aussi une mixité. Ce qui va être reconstruit à la place, c'est souvent des logements dédiés aux salariés, les catégories socio-professionnelles intermédiaires, infirmiers, enseignants", détaille Adel Ziane, adjoint délégué à l'aménagement.Ces mutations s'inscrivent dans une montée en gamme de la ville, sous la pression de l'immobilier parisien."Sacrifiés"La majorité des habitants concernés vivent ici depuis plus de dix ans, selon les chiffres de la ville. Pour certains d'entre eux, rencontrés par l'AFP, un futur déménagement suscite l'inquiétude, voire le rejet."J'aime le quartier et je ne veux pas déménager ça c'est sûr", confie Maryam Niane, 68 ans.Son immeuble, au numéro 5 des tours Taupin, doit être rasé. Ses 16 logements lumineux, ses parties communes propres et sa vue dégagée sur la tour Eiffel lui confèrent pourtant un meilleur statut que son voisin, le numéro 4 à l'allure fatiguée, avec ses guetteurs dans le hall. Lui sera simplement rénové. Par sa localisation, le numéro 5 "crée une espèce d'enclave où le trafic de drogue peut se déployer", explique M. Ziane. L'idée est d'ouvrir cette cité aux allures de "souricière" pour faciliter les interventions policières, affirme-t-il."On a tout à y perdre", estime au contraire Djaouiba Mazef, enseignante, qui vit dans un 76 m2 avec ses filles. "Je n'accepte pas que pour des raisons de désenclavement et de trafic on fasse tomber un immeuble."Les habitants ont découvert par hasard le sort réservé à leur bâtiment alors que d'autres options existent, soutient Mme Mazef, qui dénonce une absence de concertation et une opération foncière visant à "gentrifier de plus en plus" à l'approche des Jeux olympiques de Paris 2024.A ses yeux, les habitants de son immeuble sont "sacrifiés sur l'autel des intérêts financiers", avec "le consentement de l'Etat".La Ville a promis le "relogement sans exception de toutes les personnes concernées à Saint-Ouen et ce sans augmentation de loyer", notamment aux docks et dans les futurs logements du Village des athlètes des JO.A ce stade des négociations prévues sur plusieurs années, "une trentaine de relogements ont été effectués", comptabilise M. Ziane, plébiscitant "un travail d'accompagnement".Mais les opposants craignent d'être relégués dans des logements plus petits, aux charges plus importantes et excentrés."Ils veulent faire un truc beau et joli, mais pas pour nous. Nous on dégage", lance de son côté Leïla, assistante maternelle. Un voisin âgé, qui refuse de donner son nom, conclut la conversation: "s'ils détruisent le bâtiment, ce sera avec moi dedans !"
Il y a 2 ans et 126 jours

transformation de bureaux en logements la banque de france sceptique

La transformation de bureaux vacants en logements pourrait être une solution qui répond à la pénurie de logements. Toutefois, selon une étude de la Banque de France parue ce jeudi, cette conversion devrait rester rare.
Il y a 2 ans et 126 jours

deces de deux ouvriers sur un chantier a epinay des peines de prisons requises

Des peines de prison ont été requises ce mercredi à l’encontre de neuf prévenus, jugés pour homicide involontaire et travail dissimulé. Deux ouvriers sans papiers avaient chuté d'une dizaine de mètres en 2019 sur un chantier, à Épinay-sur-Seine (93).
Il y a 2 ans et 126 jours

maison individuelle et zan quels compromis possibles

La Fabrique de la Cité vient de publier une nouvelle note, s’intéressant cette fois-ci sur la compatibilité entre le Zéro Artificialisation Nette (ZAN) des Sols et la construction de maisons individuelles. L’objectif : trouver des pistes pour concilier ces deux idéaux à l’avenir.
Il y a 2 ans et 126 jours

Un premier site industriel en Inde pour le groupe Atlantic

IMPLANTATION INDUSTRIELLE. Le groupe Atlantic, spécialiste du génie climatique, va disposer d'une usine en Inde grâce à un joint-venture créée avec son partenaire Hindware Home Innovation Limited.
Il y a 2 ans et 126 jours

Rentrée reportée pour une école d'architecture de Normandie, qui manque de moyens

ÉDUCATION. Cri de désespoir de la part d'une école nationale d'architecture, qui souffre d'un manque de personnel et se trouve en déficit budgétaire. Elle déplore le manque d'écoute et d'aides de la part de l'État.
Il y a 2 ans et 126 jours

Renouvelables : un plan d'actions pour doubler les installations de Pac géothermiques

ÉNERGIE. Le Gouvernement vient d'annoncer une quinzaine de mesures visant à faciliter le déploiement de la géothermie, notamment en aidant les ménages à s'équiper de pompes à chaleur. Les professionnels de la chaleur et du froid renouvelables s'en félicitent.
GDA
Il y a 2 ans et 126 jours

Hausse du prix de l'énergie, baisse des aides pour isoler : Effy dénonce une "incohérence"

ISOLATION. La société Effy regrette la baisse de certaines aides à l'isolation, et invite l'État à davantage favoriser les travaux de rénovation énergétique efficaces.
Il y a 2 ans et 126 jours

pompe a chaleur geothermique l aide maprimerenov augmentee a 5 000 eur pour tous

La ministre de la Transition énergétique dévoilait ce jeudi les contours du nouveau plan d’action pour la géothermie. À cette occasion, elle a annoncé que l’aide MaPrimeRénov’ pour l’installation d’une pompe à chaleur (PAC) géothermique serait augmentée à 5 000 € pour tous à compter du mois de mars.
Il y a 2 ans et 126 jours

Le ciment décarboné d'Hoffmann Green Cement distribué en négoces

DISTRIBUTION. Hoffmann Green Cement Technologies a tissé un partenariat avec un acteur du négoce afin de pouvoir distribuer ses sacs de ciment décarboné H-Iona et les rendre ainsi accessibles aux artisans et au grand public.
Il y a 2 ans et 126 jours

France Hydrogene lance le premier baromètre annuel du déploiement de l'hydrogène en France

Ces chiffres clés seront enrichis de nouvelles données chaque année.EmploiLa filière hydrogène française représente en 2022 5.800 emplois directs, soit 1.300 de plus qu’en 2021.Le développement de la filière est tel que des tensions dans le recrutement se font déjà sentir. France Hydrogène a engagé dans ce sens un travail structurant depuis 2021 sur les sujets compétences-métiers-formations, avec la publication d’un référentiel des métiers des compétences, et a noué plusieurs partenariats, notamment avec Adecco et l’Afpa.Usines19 usines sont actuellement en activité. Ces usines fabriquent des équipements clés tels qu’identifiés par la Stratégie nationale hydrogène : des électrolyseurs, des piles, des stations de recharge, des réservoirs ou des véhicules. De nombreuses autres usines font partie intégrante de la chaine de valeur, par exemple les fournisseurs de composants.Capacité d'électrolyseLa capacité d’électrolyse en 2022 est de 13 MW. Les capacités d’électrolyse correspondent aux capacités des stations de recharge avec production d’hydrogène sur site (comme à Pau, Houdain, Auxerre ou encore St Cloud) mais également au site dédié de production de Lhyfe en Vendée.Station de recharge58 stations sont ouvertes à date, 225 sont en projet à 2025 et 1.000 à l’horizon 2030. Optimiser le déploiement de l’infrastructure pour accélérer sur la mobilité hydrogène est une des grandes priorités d’action.Véhicules33 bus sont en circulation (à noter que plus de 700 sont en commande par des collectivités), 550 véhicules légers, 3 camions (des camions arrivent sur le marché en retrofit)… mais aussi des chariots élévateurs présents de longue date dans les entrepôts, et des vélos sur les routes.Concernant les usages dits « stationnaires », ils sont aujourd’hui principalement constitués par des groupes électrogènes à hydrogène.
Il y a 2 ans et 126 jours

L'agence nationale de la cohésion des territoires, trop loin du terrain, déplore un rapport

Plus de la moitié des élus interrogés ignorent toujours l'existence de cet établissement public de 344 agents, d'un budget annuel de 60...-Collectivités locales
Il y a 2 ans et 126 jours

Urgence climatique : comment réduire efficacement son empreinte carbone ?

La transition environnementale concerne l’ensemble de l’humanité où il devient impératif de modifier ses modes de consommation pour réduire sa facture carbone. Si le Ministère de la Transition écologique estimait à 9t/CO2e/Français/an, il s’avère que ces calculs officiels n’incluaient pas les émissions liées à la déforestation, à certains GES comme les HFC, PFC et SF6, ainsi que la vapeur d’eau des traînées de condensation des avions.S’appuyant sur les données de l’ADEME confirmées par Carbone 4, Greenly a analysé les 3 scopes (concernant les émissions directes et indirectes) des Français, portant celles-ci plutôt à 9,9t/CO2e/Français/an, soit près d'une tonne de plus : il faudrait 2,9 Terres si toute l’humanité consommait comme la France, et le 5 mai 2022, la France a consommé ce que la Terre met un an à produire. A titre de comparaison, c’est 9 Terres pour le Qatar, 8,2 pour le Luxembourg et 5,1 pour les Etats-Unis. A l’échelle individuelle, les postes les plus émetteurs concernent le transport, l’alimentation, les achats de biens et services.Réduire les cinq cavaliers du changement climatiqueChaque Français peut contribuer à réduire son empreinte carbone de 28% en appliquant des gestes du quotidien dans les postes les plus émetteurs. Pour ce faire, il suffit de repenser sa consommation pour viser le bas carbone.Le transport : c’est 2,6 tCO2e par habitant, la voiture individuelle représente près des trois quarts des émissions liées au transport, suivi de l’avion. L’alternative la plus efficace est de privilégier les transports à mobilité douce comme le vélo pour les courtes distances (-0,32 tCO2e) ou encore les transports en commun qui émettent 98% de moins que la voiture pour un trajet équivalent. Le covoiturage, grâce au taux d’occupation, permet de réduire 0,27 tCO2e/personne.an, que le trajet soit court ou long. Pour les voyages, privilégier le train à l’avion réduit de 0,27 tCO2e l’empreinte carbone. Le train permet d’épargner 99% des émissions de CO2 par rapport à un trajet équivalent en avion et en voiture.L’alimentation : Avec ses 2,3 tCO2e par habitant, l’alimentation est le deuxième poste le plus émetteur. En tête de liste, la consommation de viande représente près de la moitié, soit 0,92 tCO2e, suivi des produits laitiers et de la volaille (0,39 tCO2e), des fruits et légumes (0,24 tCO2e) et de la pêche (0,12 tCO2e). L’adoption à un régime entièrement végétarien permettrait de réduire d’une tonne l’émission carbone. La consommation de produits locaux a également un impact positif puisqu'elle réduit l'empreinte carbone de 0,17 tCO2e.Le logement : La consommation d’énergie fossile (gaz et fioul), que ce soit pour s’éclairer ou chauffer son logement, représente 1,9 tCO2e/habitant.an. Les émissions liées à la construction et à la gestion des déchets n'y contribuent que dans une faible mesure. En maintenant la température de son domicile à 19°, c’est 0,16 tCO2e d’épargner. Il en va de même en s’équipant d’un éclairage LED pour économiser 0,02 tCO2e.Les biens et services : émettant 1,6 tCO2e, il est possible de réduire cette empreinte en achetant 3 fois moins de vêtements neufs (-0,22 tCO2e) et tout son électroménager et high-tech d’occasion (-0,16 tCO2e), ainsi qu’en adoptant un comportement de zéro déchet grâce au vrac proposé dans plusieurs enseignes et en ayant une gourde pour limiter les bouteilles en plastique (-0,09 tCO2e). D’autres leviers sont activables pour réduire des postes comme la banque en privilégiant les investissements responsables, ou encore de préférer des loisirs plus vertueux.Les services publics : L’empreinte carbone de ce poste est estimée à 1,4 tCO2e par habitant. En raison de l'incapacité relative des individus à agir directement sur ces émissions, elles sont considérées comme des émissions "incompressibles".Pour Tommy Catherine, expert de la méthodologie carbone chez Greenly : « S'il est vrai que les actions individuelles jouent un rôle dans la réduction de notre empreinte carbone, cette étude met en lumière les facteurs systémiques qui contribuent à notre empreinte carbone et qui sont restés longtemps inaperçus. L’action collective à grande échelle est donc nécessaire et cela inclut la décarbonation des entreprises industrielles et agricoles, ainsi que de l'État. Et c’est possible comme l’a démontré une récente observation du trou de la couche d’ozone qui poursuit sa reconstitution depuis l’interdiction de certains gaz. »
Il y a 2 ans et 126 jours

Le premier train à hydrogène en France testé en Touraine

FERROVIAIRE. Entre le 1er et le 3 février 2023, sur la "petite ligne" entre Tours et Loches, Alstom expérimente pour la première fois en France la circulation, à vide, d'un train léger à hydrogène, en vue d'une future certification.
Il y a 2 ans et 126 jours

Un nouveau dispositif d'analyse des coûts de production des matériaux annoncé

Cet outil d'analyse des coûts de production des matériaux de construction sera piloté par l'Insee et devrait être opérationnel en avril. Son objectif, "accompagner la filière BTP face à l'augmentation des prix".
Il y a 2 ans et 126 jours

Reckli, un outil et savoir-faire pour exprimer sa créativité

Présentation de l’entreprise : Créée en 1978, Reckli France, filiale de RECKLI GmbH, propose depuis plus de 50 ans un outil… Cet article Reckli, un outil et savoir-faire pour exprimer sa créativité est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 2 ans et 126 jours

L'aide pour une pompe à chaleur géothermique va passer à 5.000 euros

Ce dispositif "doit permettre de produire en 15 à 20 ans suffisamment de chaleur géothermale pour économiser 100 TWh/an de gaz, soit plus que les importations de gaz russe avant 2022", vise la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher.Il s'agit à la fois de soutenir l'essor d'une filière industrielle (forage, production), et les projets portés notamment par les particuliers.Ainsi l'aide pour l'installation d'une pompe à chaleur géothermique en remplacement d'une vieille chaudière thermique sera portée dès mars à 5.000 euros quel que soit le niveau de revenu (contre 4.000 euros jusqu'ici pour les ménages les plus modestes et 2.500 euros pour les autres).Le coût varie beaucoup selon l'installation, mais peut largement dépasser 20.000 euros, selon les travaux nécessaires et les forages nécessaires.Ce "coup de pouce" pourra être cumulé avec d'autres dispositifs de soutien. Jusqu'à 90% du coût total de l'installation pourra ainsi être pris en charge par l'Etat pour les ménages les plus modestes, selon le ministère.Le chauffage absorbe 50% de l'énergie consommée en France, et il reste majoritairement issu d'énergies fossiles (fioul et gaz). La géothermie, qui consiste à aller puiser dans le sous-sol de la chaleur renouvelable liée au fonctionnement géologique de la Terre, ne représente au contraire qu'une petite fraction du chauffage.In fine, le gouvernement voudrait augmenter de 40% le nombre de projets de géothermie profonde lancés d'ici 2030, et doubler le nombre d'installations de pompes à chaleur géothermique chez les particuliers d'ici 2025.Au prix actuel des énergies, un ménage moyen économiserait chaque année au moins 800 euros en substitution d'un chauffage fioul et près de 500 euros en substitution d'un chauffage gaz, selon les calculs du ministère.
Il y a 2 ans et 126 jours

Chauffage : quels appareils ont tiré leur épingle du jeu en 2022 ?

CHIFFRES. Pompes à chaleur, poêles à granulés bois, chaudières gaz, systèmes solaires combinés... Quels sont les appareils de chauffage ayant été plébiscités l'an dernier ? Tour d'horizon, grâce aux chiffres communiqués par l'organisation Uniclima.
Il y a 2 ans et 126 jours

VIPros, un programme relationnel qui s’étoffe toujours plus

Depuis son lancement, le programme VIPros Bati ne cesse d’élargir sa palette d’outils afin d’offrir encore plus de services à ses adhérents et à ses membres, des professionnels du bâtiment. (Image © VIPros)
Il y a 2 ans et 126 jours

Rencontre avec Norman Willemsen, PDG de Kebony

Batinfo : Pouvez-vous revenir sur l'histoire de KEBONY ?Norman Willemsen : Kebony est la première entreprise mondiale en matière de technologie de modification du bois respectueuse de l’environnement, reconnue comme leader mondial de la durabilité et l’une des entreprises technologiques les plus passionnantes, mettant en avant sur la scène internationale la mégatendance des matériaux de construction durables sur le marché mondial de la construction.Kebony a été fondée en 1997 en Norvège et a connu une croissance phénoménale au cours des deux dernières décennies pour devenir un producteur internationalement reconnu du meilleur bois durable entièrement modifié. Afin de répondre à la demande accrue, une deuxième usine a été ouverte en 2018 à Anvers, ce qui a permis à Kebony de doubler sa capacité de production annuelle de bois Kebony Clear et de se développer sur de nouveaux marchés mondiaux.Batinfo : Où en est KEBONY maintenant ?Norman Willemsen : Chez Kebony, nous utilisons notre technologie unique et brevetée de modification du bois pour produire un bois amélioré de qualité supérieure, qui est à la fois respectueux de l’environnement et rentable : un bois naturel fait pour durer. En transformant de manière permanente des essences de bois tendres comme le pin en bois Kebony dont les caractéristiques sont comparables, et dans certains cas supérieures, à celles des bois durs précieux, notre entreprise parvient à éviter la déforestation des bois durs tropicaux et à protéger des puits de carbone vitaux comme l’Amazonie.La communauté internationale reconnaît aujourd’hui la nécessité absolue de construire avec des matériaux durables et issus de sources durables. Dans de nombreuses régions du monde, il est indéniable que le secteur de la construction est très polluant et demeure peu durable, sachant que la chaîne de valeur, des matériaux aux opérations, est responsable de plus d’un tiers des émissions annuelles de gaz à effet de serre.Bientôt, il sera impératif pour tous les professionnels de l’environnement bâti d’atteindre les objectifs de durabilité. La réduction de la dépendance mondiale à l’égard des bois durs courants est au cœur de la mission de Kebony, et notre technologie innovante et brevetée de modification du bois nous permet de produire du bois à la fois écologique et rentable.Nous sommes fiers de pouvoir dire que le bois Kebony a été utilisé dans certains projets les plus ambitieux, les plus durables et les plus appréciés au monde, notamment le pavillon KREOD pour les Jeux olympiques de Londres, le restaurant de plage du Club des Palmiers à Saint-Tropez, le showroom de Tesla à Denver et, plus récemment, le réaménagement de l’emblématique centrale électrique de Battersea à Londres.En contribuant positivement à l’évolution naturelle et à la viabilité de l’utilisation du bois dans la construction, Kebony entend aborder le double problème de la déforestation et des émissions de carbone provenant des matériaux de construction standardisés. Kebony se distingue de ses concurrents par le fait que sa production de bois est respectueuse de l’environnement grâce à une technologie et à un processus d’imprégnation complexes et sophistiqués, ce qui lui a valu une réputation d’excellence de longue date.Batinfo : Quels sont les prochains projets pour Kebony ?Norman Willemsen : Cette année, le Global Cleantech 100 a accueilli Kebony dans son prestigieux « Hall of Fame » en reconnaissance de son engagement envers l’excellence technologique et la création d’un avenir durable. Le produit a également été reconnu par le Financial Times comme « Tech Champion » pour sa production durable et la préservation des forêts comme puits de carbone. Kebony est une entreprise mondiale, et les produits Kebony sont utilisés sur des projets dans plus de 100 pays. En tant que leader mondial de la production de bois durable, Kebony ouvre la voie à une construction respectueuse de l’environnement et ce, à une époque où elle est plus nécessaire que jamais. En Octobre 2021, Kebony a récolté 30 millions d’euros à l’occasion d’une levée de fonds menée par Jolt Capital et Lightrock, qui soutient nos ambitions futures et nous permettra de tirer parti de l’importante évolutivité opérationnelle pour poursuivre une croissance rentable. Nous visons maintenant des opportunités de croissance prometteuses, avec la nomination d'équipes de vente supplémentaires en Europe occidentale et centrale, au Moyen-Orient et aux États-Unis. Aujourd’hui, Kebony est vendu dans un grand nombre de pays et prévoit, d’ici 2030, d’être utilisé dans des projets de développement dans de nombreux pays à travers le monde, en raison du besoin croissant d’alternatives durables dans la construction et du fait que le bois durable devient la nouvelle norme.
Il y a 2 ans et 126 jours

La nouvelle image du site Web Acova révélée !

La nouvelle image du site Web Acova révélée ! Acova, créons du beau... 
 Vitrine du fabricant de radiateurs et radiateurs sèche-serviettes, cette andresudrie jeu 02/02/2023 - 15:02 En savoir plus sur La nouvelle image du site Web Acova révélée ! Partager
Il y a 2 ans et 126 jours

La nouvelle image du site Web Acova révélée !

La nouvelle image du site Web Acova révélée ! Acova, créons du beau... 
 Vitrine du fabricant de radiateurs et radiateurs sèche-serviettes, cette andresudrie jeu 02/02/2023 - 15:02 En savoir plus sur La nouvelle image du site Web Acova révélée ! Partager
Il y a 2 ans et 126 jours

Zigbee Direct, une solution d’intégration entre réseaux Zigbee et Bluetooth Low Energy

Le 24 janvier, la Connectivity Standards Alliance a publié Zigbee Direct, une nouvelle spécification de Zigbee qui facilite l’intégration entre réseaux Zigbee et tout appareil Bluetooth Low Energy
Il y a 2 ans et 126 jours

Sur l'A1, un écopont pour réunir à nouveau deux massifs forestiers

EN IMAGES. Dans l'Oise, sur l'A1, autoroute la plus fréquentée d'Europe, le concessionnaire Sanef réalise un nouvel ouvrage. Sa particularité : rétablir la continuité écologique que l'infrastructure rompt jusque-là, et relier deux forêts, au patrimoine inscrit dans le réseau Natura 2000.
Il y a 2 ans et 126 jours

Le biogaz, une énergie locale et flexible, au service de la résilience de notre système énergétique

Aux côtés de Barbara Nicoloso, directrice de l’association Virage Énergie et auteur du Petit traité de sobriété énergétique et de Baptiste Perrissin Fabert, directeur exécutif de l’expertise et des programmes de l’ADEME, Jean-Charles Colas-Roy, Vice-Président de Coénove a pu revenir sur l’importance d’installer durablement les efforts de réduction des consommations énergétiques et de pérenniser les bons résultats obtenus ces derniers mois en passant d’une sobriété conjoncturelle à une sobriété structurelle.Cette conférence a également été l’occasion de revenir sur la nécessité de faire converger deux enjeux majeurs dans le secteur du bâtiment : assurer la sécurité d’approvisionnement tout en accélérant la décarbonation du parc. Pour Jean-Charles Colas-Roy, Vice-Président de Coénove : « La rénovation des bâtiments, la complémentarité des énergies et le verdissement du gaz sont des atouts majeurs pour la décarbonation du secteur du bâtiment. La SFEC (Stratégie Française Energie Climat) est une feuille de route de décarbonation mais c’est aussi un impératif de sécurité d’approvisionnement pour les français. Le biogaz, en tant qu’énergie stockable, renouvelable et produite en France, apporte résilience et flexibilité au système énergétique français et européen. Le verdissement du gaz comporte de nombreuses externalités positives : valorisation des déchets, économie circulaire, revenus complémentaires, emplois locaux, indépendance énergétique du pays, capacités de stockage. A ce titre, il est essentiel d’amplifier et de soutenir la trajectoire de developpement du biogaz en France, dans la prochaine PPE (Programmation Pluriannuelle de l’Energie), avec un objectif de 20% de gaz renouvelables en 2030. »
Il y a 2 ans et 126 jours

Le caillebotis JK Technic, un formidable allié décoratif

Utilisé dans le secteur tertiaire, public et industriel, le caillebotis peut avoir un usage décoratif. En prenant différentes formes –… Cet article Le caillebotis JK Technic, un formidable allié décoratif est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 2 ans et 126 jours

Le caillebotis, un revêtement incontournable dans le domaine public

Bancs, grilles d’arbres, poubelles ou habillage de local poubelles, JK Technic vous propose une gamme de caillebotis spéciaux, dédiés au… Cet article Le caillebotis, un revêtement incontournable dans le domaine public est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 2 ans et 126 jours

Plus de 200 postes ouverts sur les six usines du groupe Intuis

Le groupe Intuis recrute sur des postes variés dans trois régions de France : le Grand-Est, les Hauts de France et les Pays de la Loire.
Il y a 2 ans et 126 jours

Castorama renforce son engagement en faveur de la biodiversité en créant une forêt urbaine

Ce projet, initié le mercredi 18 janvier avec une plantation participative et réalisé en collaboration avec Reforest’Action, vise à renforcer la biodiversité locale en formant un écosystème forestier. Il s’inscrit dans une démarche plus globale de l’enseigne et du Groupe Kingfisher qui a pour ambition de devenir « Forest Positive » d’ici 2025 et vient concrétiser l’engagement de Castorama d’être l’enseigne du changement responsable.Une plantation participative qui renforce la biodiversité localeCastorama a choisi de s’associer à Reforest’Action, acteur de référence pour la restauration des écosystèmes forestiers en France, pour créer une forêt urbaine au Castorama de Marseille Saint-Loup.Cette initiative permet à l’enseigne de valoriser un terrain adjacent au magasin pour le transformer en boisement urbain. Une initiative bénéfique pour l’environnement qui permettra à terme de protéger les sols de l’érosion et des glissements de terrain, mais aussi de contribuer à la lutte contre le changement climatique et de renforcer la biodiversité du site. Une étude du sol et des conditions climatiques réalisée par Reforest’Action a permis d’intégrer un mélange d’arbres et d’arbustes locaux afin de former un écosystème forestier favorable au milieu. À terme, ce sont près de 500 arbres qui pourraient être plantés sur le site.A l’occasion d’une plantation participative, les collaborateurs du magasin ont accueilli le 18 janvier une trentaine d’enfants du centre aéré de l’Association Le P’tit Camaïeu, âgés de 6 à 10 ans. L’occasion d’une journée au contact de la nature pour les sensibiliser de façon concrète aux enjeux des forêts.« Je suis très fière que notre magasin participe à cette initiative qui a un impact concret sur l’environnement et contribue aux engagements de Castorama. Pouvoir agir localement en faveur des forêts est une véritable source de satisfaction pour nos collègues en magasin. Des collègues qui trouveront également dans cette forêt urbaine un espace pour se ressourcer à proximité du magasin », se réjouit Marie-Christine Vergnes, directrice du Castorama de Marseille Saint-Loup.La lutte contre la déforestation au coeur des préoccupations de CastoramaLa création de cette forêt urbaine est un nouvel exemple des engagements pris par Castorama en matière de préservation des forêts, pilier clé de sa stratégie RSE. Castorama a pour ambition d’être l’enseigne du changement responsable à la fois pour ses clients et pour elle-même.« La création de cette forêt urbaine est une nouvelle illustration de nos engagements d’enseigne en matière de préservation de l’environnement. Depuis plus de 15 ans, nous menons des actions pour lutter contre la déforestation. Dans cette perspective, Castorama s’est engagé à utiliser 100% de bois et papier issus de forêts gérées durablement d’ici 2025 – l’enseigne est aujourd’hui à plus de 90% - et à contribuer à des projets de reforestation », affirme Franck Moreno, directeur d’enseigne de Castorama en France.Plus largement, cette action s’inscrit en cohérence avec l’ambition du groupe Kingfisher de devenir « Forest Positive », qui a rejoint en 2021 l’association Rainforest Alliance en tant que membre fondateur de l’initiative Forest Allies. Ce partenariat permet au groupe Kingfisher et ses enseignes de contribuer à travers diverses actions à la protection, la restauration et la gestion responsable de forêts naturelles.
Il y a 2 ans et 126 jours

Une PME lève 14 millions d'euros pour développer des systèmes de chauffage à l'hydrogène

Bulane, une société montpelliéraine produisant des chalumeaux à souder fonctionnant à l'hydrogène, a annoncé mardi avoir levé 14 millions d'euros pour transposer ses procédés à de gros consommateurs d'énergies fossiles.