Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

256424 actualités disponibles
Il y a 2 ans et 274 jours

Un nouveau délégué général pour l'Union nationale des aménageurs

CARNET-NOMINATION. Paul Meyer possède de solides connaissances en politique locale et collectivités. Il succède à Nicolas Thouvenin.
Il y a 2 ans et 274 jours

Ventes de fenêtres : le PVC reste nettement majoritaire en 2021

CONJONCTURE. Le matériau PVC reste largement majoritaire dans le domaine de la menuiserie extérieure, comme le rappelle la dernière étude annuelle portant sur ce marché.
Il y a 2 ans et 274 jours

Plafonds et habillages bois haut de gamme pour la rénovation de plusieurs Halls de l'aéroport Paris-Charles de Gaulle

Chaque solution, par son design et son aspect technique, a permis de répondre aux exigences qui étaient extrêmement élevées. Retour sur les enjeux de ces projets et sur les solutions livrées. Des transformations impressionnantes, pour une hospitalité aéroportuaire améliorée L'aéroport Paris-Charles vient d'être élu meilleur aéroport européen par l'organisme anglo-saxon Skytrax, en matière de qualité de l’offre de produits et de services axée sur le client. C’est donc sans surprise que le premier aéroport d’Europe fasse régulièrement l’objet de projets d’amélioration. Karine Droit-Mijoule, Architecte responsable d'agence au sein du Groupe ADP, explique : « Un aéroport est un organisme vivant : ses usages, les attentes de ses usagers et les normes auxquelles il est soumis évoluent sans cesse. Son architecture ne cesse donc d’être interrogée. » Aussi, deux des halls du Terminal 2E ont dernièrement été complètement revisités : les Hall L et K ont en effet fait l’objet de divers travaux d’aménagement, à quelques années d’intervalle. Lorsque les études pour la réhabilitation du Hall L ont été lancées en 2016, les objectifs étaient clairs : il s’agissait de gagner en satisfaction client, grâce à la qualité de l’offre globale pour les passagers. Karine Droit-Mijoule détaille : « Le but était en fait d’offrir à nos clients un espace plus en adéquation avec des standards nouveaux et avec une vision globale pour la prochaine décennie. » Les modifications qui ont été entreprises, ont donné lieu à une véritable transformation : amélioration de la lisibilité du parcours, revitalisation et désencombrement de la zone d’embarquement et amélioration de l’expérience des passagers étaient les priorités. En effet, le Terminal 2E Hall L porte les ambitions du Groupe ADP en matière d’hospitalité aéroportuaire : « Il a été réalisé avec un objectif très spécifique : celui de créer un lieu unique. Le Groupe ADP fait d’ailleurs régulièrement appel à des designers extérieurs renommés, pour mettre certains de ses espaces en valeur. » Les travaux ont été lancés en 2018. En 2016, la zone de commerce du Hall K a été l’objet d’une réhabilitation complète : « La volonté était de développer et de renouveler l’offre. De plus, l’image était obsolète : elle n’était pas en relation avec les concessionnaires luxe que l’on souhaitait attirer », explique Marc Angély, Architecte d’intérieur directeur d’agence chez le Groupe ADP. « Il y a eu un travail de recomposition de l’espace et de l’ambiance pour créer un écrin permettant aux marques de luxe, telles que Cartier, Hermès, Chanel, Dior, Tiffany ou Gucci, de s’exprimer dans le respect de leurs propres concepts. » Des solutions qui répondent aux exigences esthétiques Après trois années de travaux de réhabilitation, le Terminal 2E Hall L affiche un tout nouvel aspect : le mobilier, le sol, les murs, les éclairages et le plafond sont bien différents de ceux d’autrefois. Côté plafond, le changement est stupéfiant : d’un acier sombre, on passe à des lames blanches en bois. Conçu et fabriqué par Hunter Douglas, le nouveau plafond est en effet composé de 8.000 m2 de grilles en bois massif, avec un laquage blanc mat sélectionné parmi plusieurs échantillons de blanc proposés par le fabricant. Bien qu’étant ouvert à 50%, le défilement des lames donne l’illusion d’un plafond fermé lorsque le regard se porte au loin. Magnifiquement complété par un sol fait de béton coulé avec agrégat de marbre blanc, il permet à la zone d’embarquement d’être plus visible. Karine Droit-Mijoule commente : « Avant, cette zone était sombre : en plus du plafond acier, tout le sol était en moquette de couleur foncée. À présent, l’association du sol et du plafond crée une ligne directrice claire. » Côté mur, le bois s’exprime dans toute sa splendeur. 1.000 m 2 de lames en bois de noyer blanc, délimitées et nano-perforées, avec vernis incolore, ont été installées en remplacement de murs équipés de miroirs ; une réalisation « remarquable graphiquement parlant » pour Marc Angély. Pour compléter les nouveaux aménagements du Hall, des luminaires installés au plafond mettent en valeur les nouveaux éléments : en plus de créer un éclairage transversal, ils soulignent la ligne directrice. Une partie d’entre eux visent aussi à mettre en valeur les murs tout en harmonisant la visibilité des zones, en évitant une alternance de zones lumineuses (écrans led et enseignes) et de zones sombres (murs sans écrans). Pour Karine Droit-Mijoule, les travaux ont porté leurs fruits : « Toute l’ambiance a été refaite : entre l’agencement intérieur et les nouveaux matériaux, on a redonné de l’éclat. » Le Hall K, rénové quelques années plus tôt, bénéficie de solutions similaires : Hunter Douglas a livré 1.200 m2 de grille de plafond en bois massif à lames, dont les couleurs, blanc et marron, ont été sélectionnées parmi des échantillons réalisés pour le projet ; les lames sont superbement soulignées par un placage bois installé tel un système de nervation. Le fabricant a également fourni 650 m2 de parements muraux en bois de noyer d’Amérique ramageux avec nano-perforations. « Le système de nervation finit et accompagne le plafond ; il le rend solidaire avec l’habillage de bois qui vient draper le mail. » précise Marc Angély. Pour l’architecte d’intérieur, l’ambiance est incontestablement améliorée, le design réussi : « Auparavant, la zone était peu lumineuse ; le plafond métallique n’était plus aux standards. Pour ce qui est de l’habillage, il y a un vrai sujet de finition et une parfaite réussite à ce niveau-là : un jeu graphique est créé par les panneaux qui ne sont jamais les mêmes, et cette différence donne la vérité à l’ambiance et au matériau. » Des solutions pratiques, pour répondre aux contraintes techniques Si l’aspect esthétique était primordial pour le choix des nouveaux éléments, l’aspect pratique était également essentiel. En effet, pour les deux Halls, il était notamment nécessaire de mettre en place un faux plafond qui allait pouvoir permettre un accès aisé au plénum, pour des besoins de sécurité et de maintenance. Karine Droit-Mijoule commente : « Dans le Hall L par exemple, l’ancien plafond suspendu était composé de grilles en acier et permettait l’accès au plénum. Nous avons privilégié un nouveau plafond avec une ouverture à 50%, tout comme l’ancien ; c’est une nécessité, en particulier pour le désenfumage. » Pour ces projets, Hunter Douglas a su livrer des solutions adaptées aux contraintes techniques existantes. Compte tenu des délais stricts et de l’exploitation continue du site, le fabricant a notamment dû réutiliser la structure primaire existante avec un format de cadre spécifique, pour supporter le nouveau faux plafond du Hall L. Par ailleurs, la solution conçue permet également de remédier à une problématique posée par les trappes du projet initial. « Elles étaient trop lourdes et donc difficilement manipulables », explique Karine Droit-Mijoule, « le défi était donc de conserver des trappes ouvrantes et de les alléger. » Hunter Douglas a réalisé près de 2.500 m2 de trappes, alignées sur plusieurs rangées pour permettre à un intervenant de faire aisément l’entretien. Olivier Tordjman, Responsable Grands Comptes chez Hunter Douglas Architectural France, précise : « Pour réaliser cela, nos ingénieurs ont dû retravailler les cadres des trappes habituelles. De plus, nous avons habillé les grilles en bois sur les trappes avant livraison. » Dans le Hall K, la solution de plafond installée comprend également des trappes et répond donc aussi aux enjeux de démontabilité et d’accès. Côté revêtement mural, les solutions ont été sélectionnées pour leurs excellentes propriétés acoustiques. Olivier Tordjman précise : « Avec les nano-perforations, on atteint une valeur d’absorption acoustique de 0,90 à 0,95. » Pour Karine Droit-Mijoule les parements nano-perforés du fabricant permettent indiscutablement d’assurer un confort acoustique, elle souligne : « Dans le Hall L, bien que l’on soit passés de la moquette au sol dur, le confort acoustique s’est sensiblement amélioré. » Pour le Hall K, Marc Angély fait le même constat : « Il était nécessaire de garantir un confort acoustique d’un excellent niveau, digne d’un espace intérieur. La technologie et la capacité d’Hunter Douglas à répondre à cette problématique a été extrêmement déterminante dans le choix du produit. » Pour le Hall K, un défi supplémentaire, selon Olivier Tordjman, était posé par les hublots des façades de l’isthme : « Il fallait être extrêmement précis pour fabriquer des parements qui puissent habiller les hublots de façon parfaite. » Le bois, matériau mis à l’honneur Pour ces deux projets, Hunter Douglas a livré des solutions de plafond et de revêtement mural en bois. Pour les architectes du Groupe ADP, ce matériau représente en effet des avantages indéniables. En matière d’esthétique tout d’abord. Le bois est réputé pour la chaleur qu’il dégage. « Il s’agit d’un matériau très enveloppant qui fait sens dans un intérieur», affirme Marc Angély, « de plus, historiquement le Terminal 2E travaille énormément avec le bois ; nous avons un fil conducteur avec l’utilisation du noyer, une essence un peu signature du Groupe ADP, aussi employé dans le Hall M. » En matière de propriétés mécaniques ensuite. L’architecte Responsable d’agence souligne notamment la résistance du matériau : « Nous savions que le plafond allait être soumis à plusieurs opérations d’entretien, ce qui signifiait donc des démontages et remontages réguliers. Or, le bois est un matériau plus résistant que l’aluminium, il n’y a donc pas de risque de déformation. » L’enjeu environnemental a également joué un rôle dans le choix des solutions. Karine Droit-Mijoule explique : « C’est le gros défi lancé par la RE2020. Nous prenons tout cela très au sérieux depuis plusieurs années déjà, mais il est certain que l’enjeu environnemental est de plus en plus important. » Marc Angély confirme : « Le Groupe ADP a pour ambition un objectif 2050 à 0 émissions carbone. Les normes environnementales, dans le traitement du placage, des colles, etc., tout cela entre en compte. Il faut donc que nos fournisseurs proposent des solutions adaptées. » Hunter Douglas Architectural : des services et une offre de qualité Pour les deux architectes, l’accompagnement de l’entreprise sur ces projets était extrêmement important. Un prérequis pour permettre de développer rapidement des solutions optimales : « La collaboration étroite avec Hunter Douglas nous a permis de visualiser non seulement les aspects esthétiques, mais aussi les aspects techniques », explique Karine Droit-Mijoule, « et ce, via des prototypes et échantillons. Ceci nous a permis de très vite valider notre choix. » Marc Angély confirme : « La collaboration a été extrêmement fructueuse car Hunter Douglas nous a permis d’aller au bout des ambitions en termes de qualité. On a eu la possibilité de choisir ce qui nous convenait. Le fabricant a en effet organisé une visite aux Pays-Bas, pour permettre au designer de faire son choix parmi différents lots, puis d’en réserver le nombre nécessaire. Pour Karine Droit-Mijoule et Marc Angély, l’entreprise a pu démontrer son savoir-faire sur ces projets. L’architecte d’intérieur explique : « L’offre de produits nous a permis de trouver des solutions et de réaliser des aménagements et ambiances intérieurs de très grande qualité. » Pour la façade notamment, Hunter Douglas a su développer un produit permettant de balayer les craintes du designer : « Étant quasi invisible, la nano-perforation ne remet absolument pas en cause la vérité du bois, de la veine. Tout cela m’a beaucoup satisfait. » C’est justement la qualité des produits mis en place dans le Hall K qui a orienté le choix de Karine Droit-Mijoule : « Le retour positif du projet avec Hunter Douglas développé dans ce Hall a permis de s'orienter vers la même gamme de produit, même si les concepts étaient différents. » La capacité du fabricant à proposer des solutions capables de remédier à des problématiques techniques est également fortement appréciée. « Il y a une réelle expertise technique qui mérite d’être saluée », conclut Marc Angély. En fournissant des systèmes de plafonds et de revêtements muraux en bois pour l’aéroport Paris-Charles de Gaulles, Hunter Douglas Architectural démontre une fois de plus sa capacité à concevoir et fabriquer des solutions capables de répondre aux exigences les plus élevées. Pour Marc Angély comme pour Karine Droit-Mijoule, les projets menés avec le fabricant sont une réussite. Marc Angély précise : « Pour la Direction client, le Hall K du Terminal 2E est la référence en matière de qualité. Luis Vuitton vient d’y installer une boutique ; la première dans un aéroport du Groupe ADP. C’est une preuve de la réussite de ce projet et de la qualité qu’il véhicule. » Karine Droit-Mijoule conclut : « Le résultat pour les deux projets est tout à fait à la hauteur des enjeux qualitatifs que nous attendions. »
Il y a 2 ans et 274 jours

Une étanchéité liquide autoprotégée pour toitures et balcons sans solvant et sans odeur avec la résine LA RESINE SOUPLETHANE 5 ATE DE KEMICA COATINGS

La résine SOUPLETHANE 5 ATE est un revêtement classé A+*, destinée à répondre aux exigences règlementaires appliquées aux toitures et balcons. Applicable à froid, elle s’utilise en neuf et en réhabilitation sur tous types de support : béton, acier, bois, bitume, asphalte, résines en place. SOUPLETHANE 5 ATE assure une ETANCHEITE CONTINUE, SANS JOINTS, sur […]
Il y a 2 ans et 274 jours

Tout sur le Plan particulier de sécurité et protection de la santé, avec l'OPPBTP

L'OPPBTP, organisme de prévention des branches professionnelles du BTP, propose sur son site web un parcours interactif en six étapes ainsi qu'un guide téléchargeable afin d'aider les entreprises à rédiger leur PPSPS.
Il y a 2 ans et 274 jours

Lars Petersson succède à David Briggs à la tête du groupe Velux

Le groupe Velux nomme Lars Petersson comme nouveau CEO. Il succède à David Briggs, qui a décidé de prendre sa retraite. Lars Petersson, actuel président et directeur général chez Hempel, rejoindra Velux le 1er novembre.
Cimbat
Il y a 2 ans et 274 jours

Bas Smets, le paysagiste belge qui veut verdir les villes et Notre-Dame de Paris

A Hong Kong, Bahreïn, en Amérique, au Portugal, à Bordeaux ou à Arles en France; son cabinet fondé en 2007 à Bruxelles était déjà sollicité partout dans le monde avant d'être sélectionné fin juin par la Ville de Paris pour concevoir le futur parvis de Notre-Dame, à l'horizon 2027.Mais l'architecte paysagiste de 47 ans voit dans ce projet l'opportunité rêvée pour accroître encore la visibilité de son travail, qu'il envisage comme "un laboratoire d'expériences" pour "inventer une sorte d'écologie urbaine", et végétaliser l'espace public bien au-delà de quelques squares."Notre ambition est de transformer la ville pour la rendre résiliente, habitable, agréable", explique Bas Smets à l'AFP."Et si on arrive à le faire sur l'île de la Cité, autour de Notre-Dame, on peut le faire partout", poursuit-il lors d'une rencontre à son cabinet, dans un openspace avec vue panoramique sur Bruxelles où il emploie une vingtaine de jeunes collaborateurs.A Paris, sur un site fréquenté par des touristes du monde entier, Bas Smets veut développer les pelouses arborées de part et d'autre de la cathédrale, et "imaginer le parvis comme une clairière", au milieu de laquelle de l'eau de pluie récupérée dans une cuve ruissellerait au sol par forte chaleur, sur une pente très légèrement inclinée."Il y aura des réflexions éphémères à photographier, et cela produira l'effet d'une averse d'été qui rafraîchit l'air", poursuit ce Belge néerlandophone, diplômé de l'université de Louvain."On peut aussi imaginer que ce ruissellement devienne un rendez-vous quotidien de quelques minutes, comme le scintillement de la tour Eiffel", ajoute-t-il.Le chantier doit commencer en 2024 après les Jeux olympiques et l'achèvement de la rénovation de l'édifice lui-même, gravement endommagé par un spectaculaire incendie en 2019.Inspiré par Central ParkCôté sources d'inspiration, Bas Smets cite le New-Yorkais Frederick Law Olmsted, qui a conçu entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe quantité de parcs urbains aux Etats-Unis, dont le célèbre Central Park de sa ville natale."Il a réfléchi au stockage de l'eau pour amener la nature en ville, organisait les espaces verts en réseau en les reliant entre eux. Il pensait presque déjà au climat avant le global warming (réchauffement climatique)", sourit celui qui aime se décrire en "architecte de paysages".Pour ses projets à travers le monde, le bureau de Bas Smets s'appuie sur des collaborations locales, et le Bruxellois bénéficie pour la botanique des conseils de spécialistes dont ceux du neurobiologiste italien Stefano Mancuso (auteur de "L'intelligence des plantes"), rencontré il y a six ans à Florence.La réflexion avec eux porte notamment sur la nécessité de choisir une végétation adaptée à la nature du sol, au climat. Et qui sans doute devra se montrer plus résistante à la chaleur et aux épisodes de sécheresse susceptibles de se multiplier à l'avenir.Pour la "promenade plantée" créée sur une place du centre-ville de Waregem, en Belgique, Bas Smets a choisi des micocouliers, une espèce méridionale. "J'ai dû me battre parce qu'on sortait de la liste des plantes indigènes", raconte-t-il, "mais dans 50 ans un micocoulier a plus de chances d'avoir survécu qu'un arbre d'ici".Il classe cette réalisation parmi "les projets exemplaires qui montrent qu'on peut réfléchir autrement"... sa formule pour définir tout ce qu'il entreprend. Bas Smets doit aussi transformer et verdir dans les années à venir le quartier de la Gare centrale à Bruxelles, où il déplore le manque d'avenues arborées."Envisager une réponse au changement climatique est très difficile tellement il semble inévitable. Mon espoir est que les villes agissent toutes en même temps pour créer ces réservoirs écologiques, fait-il valoir."Mais il faut le faire maintenant, pas dans dix ans".
Il y a 2 ans et 274 jours

Hérault : fermeture de la partie nord de la rue Saint-Louis pour travaux

À Montpellier (Hérault), les travaux de renouvellement des réseaux d’eau potable dans la partie nord de la rue Saint-Louis suivent leurs cours.
Il y a 2 ans et 274 jours

Hérault : le pont de la Marguerite sera en chantier jusqu’en novembre 2022

Dans la commune du Bosc (Hérault), des travaux de sécurisation sont actuellement entrepris sur le pont de la Marguerite.
Il y a 2 ans et 274 jours

Haute-Garonne : les travaux d’aménagement du giratoire d’accès au futur collège de Castelnau-d‘Estrétefonds sont achevés.

À Castelnau-d'Estrétefonds (Haute-Garonne), le chantier d’aménagement du carrefour giratoire menant vers le futur collège de la commune a pris fin.
Il y a 2 ans et 274 jours

Essonne : Réaménagement du centre commercial de la Verville à Mennecy.

Des travaux de requalification du centre commercial de la Verville ont été menés par la municipalité de Mennecy (Essonne) depuis le début de l’été.
Il y a 2 ans et 274 jours

Alpes-Maritimes : Nouvelle résidence à Cannes

Dans le secteur du Petit-Juas à Cannes (Alpes-Maritimes), les travaux de construction de la nouvelle résidence autonomie pour les personnes âgées se poursuivent
Il y a 2 ans et 274 jours

Alpes-Maritimes : les travaux de raccordement de la voie Mathis à l’autoroute A8 continuent

La métropole Nice Côte d’Azur et Vinci Autoroutes annoncent que le raccordement de la voie Mathis à l’autoroute A8, à Nice (Alpes-Maritimes), ne sera pas retardé
Il y a 2 ans et 274 jours

Seine-et-Marne : le clocher de l’église de Vimpelles en travaux.

La municipalité de Vimpelles (Seine-et-Marne) continue les travaux de restauration du clocher de l’église de Saint-Cyr-Sainte-Juliette.
Il y a 2 ans et 274 jours

Yvelines : Un projet de construction de bassin de rétention à Rambouillet.

Un bassin de rétention d’eaux de pluie sera créé dans le Groussay à Rambouillet dans les Yvelines.
Il y a 2 ans et 274 jours

Val d’Oise : Le chantier de la ludo-médiathèque à Herblay-sur-Seine continue.

La construction de la ludo-médiathèque à Herblay-sur-Seine (Val d’Oise) se poursuit même pendant les vacances d’été.
Il y a 2 ans et 274 jours

Seine-et-Marne : un Santépôle 2 au sein de l’hôpital de Melun-Sénart courant 202

Les travaux de construction du Santépôle 2 en Seine-et-Marne sont en cours.
Il y a 2 ans et 274 jours

Loto du Patrimoine : le château de Maison-Blanche en Seine-Saint-Denis fait partie des 100 sites retenus

À Gagny (Seine-Saint-Denis), le projet de réhabilitation du château de Maison-Blanche franchit un nouveau pas avec sa sélection au loto du patrimoine.
GDA
Il y a 2 ans et 274 jours

Loto du Patrimoine : la Maison Berweiller en Moselle va bénéficier de travaux d’aménagement

À Sierck-les-Bains, la Maison Berweiller retrouvera d’ici à 2025 son lustre et son cachet d’antan grâce au loto du patrimoine.
Il y a 2 ans et 274 jours

Hérault : le domaine agricole de Mirabeau à Fabrègues retenu par la Mission Patrimoine de Stéphane Bern

À Fabrègues (Hérault), les fonds collectés au loto du patrimoine financeront une partie des travaux de requalification du domaine agricole de Mirabeau.
Il y a 2 ans et 274 jours

Vendée : l’ancienne maison de quartier du Pont-Morineau laissera place à des logements en 2024

L’État finance le projet de transformation de l’ex-maison de quartier du Pont-Morineau (Vendée) à la hauteur de 170 000 euros.
Il y a 2 ans et 274 jours

Var : Aménagement du littoral de Toulon, baptisé « De Mayol à Pipady »

La métropole Toulon Provence Méditerranée lance le projet d’aménagement du littoral de Toulon (Var), « De Mayol à Pipady ».
Il y a 2 ans et 274 jours

Seine-Saint-Denis : Coup de neuf pour la piscine Auguste-Delaune à Tremblay-en-France.

À Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis), la piscine Auguste-Delaune fera l’objet de travaux de réfection.
Il y a 2 ans et 274 jours

Nord : des programmes immobiliers sur l’avenue du Président-Kennedy, à Wambrechie

À Wambrechies (Nord), l’avenue du Président-Kennedy accueille des logements neufs.
Il y a 2 ans et 274 jours

NIRVANA NÉO – il a tout d’un grand classique

NIRVANA NÉO, UNE NOUVELLE GAMME DE RADIATEURS EN FONTE, MULTI-FORMATS ET CONNECTÉS La version optimisée d’un modèle iconique Le leader du confort thermique Atlantic, lance une nouvelle gamme de chauffages électriques avec Nirvana Néo, un nouveau modèle de radiateur en fonte, fabriqué en France. Mêlant connectivité, performance et confort. Après un indéniable succès auprès du […]
Il y a 2 ans et 274 jours

Marché Français du rafraîchissement adiabatique : à l’occasion de ses 50 ans, SEELEY INTERNATIONAL souhaite renforcer sa présence en France

 Au coeur de la stratégie : le développement d’un réseau d’installateurs et de bureaux d’études partenaires  Après plusieurs décennies d’innovation constante et une expérience acquise dans nombre de pays chauds, tels qu’au Moyen-Orient ou en Australie, SEELEY International souhaite renforcer sa présence en France grâce au renforcement de son réseau d’installateurs sur le territoire national. […]
Il y a 2 ans et 274 jours

RE2020 : formation certifiée offerte à COLMAR

La « RENCONTRE PRESCRIRE » propose de découvrir les dernières innovations de trois partenaires industriels du bâtiment : OLIMPIA SPLENDID, TRIFLEX et STO. Ils répondront à toutes vos interrogations concernant la réglementation, la mise en oeuvre et les évolutions de leurs produits ou services. Pour compléter cette information produit, une formation de 4 heures* sur le thème « RE2020 : LA NOUVELLE RÉGLEMENTATION ENVIRONNEMENTALE » sera dispensée par un organisme formateur datadocké et certifié OPQF. À l’issue de la réunion, deux attestations seront remises, une attestation pour 4h de formation structurée et une attestation pour 2h de formation complémentaire. HOTEL l’EUROPE – COLMAR – 15 Rte de Neuf-Brisach, 68180 Horbourg-Wihr, le jeudi 29 septembre à partir de 9h30. https://rencontreprescrire.com/events/colmar/  
Il y a 2 ans et 274 jours

Journées européennes du patrimoine : au cœur des premières opérations de restauration de Notre-Dame de Paris

À l’occasion de la 39ème édition des Journées européennes du patrimoine, les 17 et 18 septembre 2022, l’établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris propose une plongée au cœur des premières opérations de restauration de la cathédrale avec un village du chantier qui se tiendra sur le parvis. Dans le village du chantier, cinq espaces permettront au public de découvrir toutes les étapes des premiers mois de la restauration, en présence des acteurs mobilisés : – espace pilotage (présentation du rôle et du travail de la maîtrise d’ouvrage et de la maîtrise d’œuvre) – espace opérations préparatoires à la restauration (présentation des opérations de dépoussiérage global des intérieurs, de dessalement des voûtes et de curage des réseaux techniques, démonstrations) – espace restaurations intérieures (présentation des opérations de restaurations intérieures, explication des protocoles de restauration des sculptures en pierre, des vitraux, du grand orgue et des peintures murales, démonstrations) – espace restauration de la flèche et du transept (présentation des différentes étapes de la reconstruction de la flèche et du transept, explication de l’approvisionnement en bois et en pierre, de la restitution de la charpente et des maçonneries, démonstrations) – espace fouilles archéologiques (présentation des fouilles archéologiques préventives menées à la croisée du transept et du métier d’archéologue, atelier-découverte) Photo : Journées européennes du patrimoine 2021 – Vue générale du Village des métiers organisé sur le parvis de la cathédrale © Brieuc Clerc / Etablissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris  
Il y a 2 ans et 274 jours

Fenix® présente X-Kin™, un nouveau revêtement mural innovant

X-KIN est l'innovation FENIX spécialement créée pour recouvrir les murs et les éléments structurels (piliers, colonnes) dans les projets de décoration intérieure à la manière d'un papier peint. Une surface flexible conçue pour créer des perspectives profondes, relaxantes et originales. Grâce à sa technologie exclusive, X-KIN allie beauté esthétique et performances techniques exclusives. Extrêmement opaque, incroyablement doux au toucher, anti-traces de doigts et avec une excellente résistance des couleurs à la lumière, X-KIN est la solution de revêtement pour concevoir des espaces raffinés au charme et au style intemporels. Les surfaces flexibles X-KIN sont disponibles en quatre couleurs exclusives inspirées des nuances de la palette de matériaux FENIX : Rosso Jaipur, Verde Comodoro, Grigio Londra et Grigio Bromo qui s’associent harmonieusement avec les matériaux FENIX. X-KIN by FENIX est disponible en rouleaux de 1,3 mètre par 10,05 mètres, vendus exclusivement en ligne depuis juin 2022 via le site Fenixforinteriors.shop. Avec X-KIN, FENIX élargit encore le champs des possibles dans l’expérimentation de ses matériaux et amplifie le potentiel créatif du système FENIX grâce à une palette enrichie de ses surfaces aux multiples combinaisons.
Il y a 2 ans et 274 jours

Le PVC et l'aluminium dominent le marché de la fenêtre

L'étude de Prospection & Prospection, réalisée par Prospective & Prospective avec le soutien financier du Codifab pour les fédérations professionnelles (UMB, UFME, SNFA), fait le point sur les parts de marché des matériaux, et le poids des fabrications françaises.
Il y a 2 ans et 274 jours

Une maison bois bioclimatique et organique à Baden dans le Morbihan (FR-56)

Au bord du Golfe du Morbihan en périphérie d’AURAY, cette maison s’inspire de l’architecture organique afin d’offrir un condensé d’éléments passifs pour une performance énergétique sans sophistication technique. Achevée début 2012, elle se situe dans une région au climat océanique.   C’est le projet de propriétaires désireux de construire dans leur propriété à BADEN, une […]
Il y a 2 ans et 274 jours

Comme à la maison : réhabilitation et extension d'un groupe scolaire dans le Vorarlberg, par Pedevilla

Morose, la rentrée ? Heureusement, le monde de l'architecture ne manque pas d'événements pour engager une année stimulante face aux profonds changements socio-environnementaux qui s'imposent. À Orléans, Marseille et Rotterdam, on refait ses valises direction un horizon résolument positif. 1. Inventer le […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 275 jours

formez vous avec l academie tarkett

Aucune description
Il y a 2 ans et 275 jours

elzinc la facade perforee et deployee en zinc

Aucune description
Il y a 2 ans et 275 jours

crosinox r une solution inox sur mesure pour vos garde corps

Aucune description
Il y a 2 ans et 275 jours

comment separer les espaces sans cloisonner avec peu de travaux

Aucune description
Il y a 2 ans et 275 jours

En Guadeloupe, l'avenir du Centre des arts, occupé, en question

Cet imposant bâtiment de 6 étages et 4.000 mètres carrés qui se dresse en plein centre-ville "était le cœur, le fleuron de la culture en Guadeloupe pendant trois décennies, des années 1970 aux années 1990", se souvient Laurence Maquiaba, membre du Kolèktif Awtis Rézistans (collectif des artistes en résistance).Avec une trentaine d'autres, cette quadragénaire organisatrice de spectacles occupe les lieux depuis le 5 juillet 2021 pour "faire bouger les lignes". Le chantier de la rénovation et de l'agrandissement du CAC était alors à l'arrêt "après des faillites d'entreprises".Depuis, les murs de béton brut ont pris des couleurs, le silence de l'abandon a laissé place à la musique de la création."On y a dormi pendant huit mois", explique Laurence Maquiaba. Ateliers créatifs, spectacles de danse, théâtre, concerts, œuvres picturales, sculptures, au total "300 artistes environ, venus de différents pays, ont participé", raconte l'artiste.Certains caressent désormais l'espoir qu'il devienne "un tiers lieu" et que "le côté laboratoire puisse continuer", précise-t-elle."Belles réalisations"Antonwé Vila, un Guadeloupéen de 54 ans, barbe grisonnante tressée et yeux verts perçants, accueille les visiteurs. En blouse et baggy bleus tachetés de peinture, l'artiste formé aux Beaux-Arts montre la balustrade ornementale de l'entrée."Au tout début, il y avait un tas de fers à bétons et je me suis amusé à piocher dedans pour créer des choses".Présent "quasiment tous les jours pendant un an", Antonwé Vila se dit "un peu fatigué maintenant" par l'occupation.A côté de lui, Freah, un jeune papa, salue quelques "belles réalisations". "Il y a enfin une âme sur le lieu. C'est mieux qu'un gros bloc de béton au milieu de la ville mais j'aimerais qu'il soit sécurisé".Car à l'étage, les créations d'artistes, de type mur végétal, ne suffisent pas à combler certains espaces donnant sur le vide. Des gouttières en plastique permettent à peine de cacher le jour entre deux bâtiments et les fientes de chauves-souris commencent à recouvrir certaines œuvres.Le bâtiment n'est pas étanche et les flaques d'eau y apparaissent à chaque épisode pluvieux.Elu en 2020, le maire de Pointe-à-Pitre Harry Durimel trouve "de plus en plus joli" ce qu'il voit sous ses fenêtres. Mais refuse de visiter le site tant qu'il n'a pas d'existence légale."Ça commence à égayer ma vue, je vois Maryse Condé (écrivaine guadeloupéenne dont le visage peint en géant orne la façade du CAC, NDLR), des visages, de la couleur et grâce à eux, on parle du Centre des arts ", se réjouit le maire.FinancementsHarry Durimel a proposé aux artistes de "passer une convention" afin de "les responsabiliser".Non, a répondu la communauté d'agglomération, Cap Excellence, maître d'ouvrage du projet. Elle a opté pour un programme de travaux "en deux phases" à partir du premier semestre 2023, selon Francesca Faithful, sa vice-présidente en charge de la culture.La première concerne "la mise hors d'eau et hors d'air du bâtiment", l'aménagement du hall d'accueil ou d'une grande salle de spectacle de 1.200 places. La seconde la réalisation d'un restaurant, d'espaces commerciaux, d'un studio d'enregistrement ou de bureaux."Du bluff", répond le maire, pour qui ce projet "pharaonique (...) annoncé à 17 millions d'euros avant d'être finalement évalué à 39 millions" est loin d'être bouclé financièrement.En attendant, certains artistes comme Antonwé espèrent quitter le CAC "le plus rapidement possible et avoir la garantie que les travaux seront entamés et, enfin, finis".Pour Florence Naprix, la porte-parole du Kolèktif Awtis Rézistans, l'occupation ne visait pas à s'approprier le bâtiment mais, au-delà, à ouvrir des discussions pour "déterminer une politique culturelle propre à la Guadeloupe".Laurence Maquiaba, elle, "réfléchit à créer un comité culturel guadeloupéen pour que les collectivités ne puissent plus faire des choses comme ça".
Il y a 2 ans et 275 jours

Un milliardaire tchèque achète un château Louis XVI en Essonne

"Les anciens propriétaires me l'ont dit, ils sont passés chez le notaire en juin", a indiqué mardi à l'AFP le maire de cette petite commune de 1.500 âmes, Serge Deloges, confirmant une information du journal Le Monde.Situé près des forêts de Rambouillet et de Dourdan à une quarantaine de kilomètres au sud de Paris, le Val-Saint-Germain, où repose par ailleurs l'acteur Lino Ventura, abrite ce château construit entre 1772 et 1780 par l'architecte Jean-Benoît-Vincent Barré, considéré comme l'un des plus beaux d'époque Louis XVI en France.On pouvait, à l'époque de ses anciens propriétaires, visiter ce monument historique et y organiser des spectacles ou des chasses au trésor.Dorénavant, il appartient à Daniel Kretinsky, dont la fortune est estimée par le magazine spécialisé Forbes à près de 5 milliards de dollars.Cet homme de 47 ans, à la tête d'un petit empire médiatique et d'un puissant groupe énergétique dans son pays, est un des actionnaires de Fnac Darty, du journal Le Monde ou du club de football anglais de West Ham.Le château du Marais se destine maintenant à l'hôtellerie de luxe.Contacté par l'AFP, l'entourage français de Daniel Kretinsky n'a pas souhaité faire de commentaire sur cet investissement immobilier."Il va y avoir quatre ans de travaux pour transformer un bâtiment comme ça en hôtel de luxe. Ça va faire du travail pour les artisans locaux et, quand ça sera ouvert, on peut espérer que ça crée des emplois dans les environs, dans les secteurs de l'hôtellerie et de la restauration", indique le maire du village, Serge Deloges."La mairie avait un droit de préemption, mais on ne l'a pas utilisé", ajoute dans un sourire l'édile. Selon l'agence Bloomberg, le montant de la transaction serait de 43 millions d'euros.
Il y a 2 ans et 275 jours

Pour le CNOA, les « vrais » architectes ont vécu, vive les « nouveaux » architectes

Faut-il ouvrir le tableau de l’ordre des architectes au plus grand nombre ainsi qu’une auberge espagnole ? Tel est, affirmé haut et fort, le souhait de Christine Leconte, présidente du CNOA et de quelques prosélytes aquitains ou presque bretons. Les architectes qui savent lire un plan et le mettre en œuvre l’ont mauvaise et sont vent […] L’article Pour le CNOA, les « vrais » architectes ont vécu, vive les « nouveaux » architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 275 jours

Le gouvernement va dissiper le "flou" sur les "dark stores"

Avec ce futur arrêté, "il n'y a plus de +sauf+" et "les dark stores sont considérés en termes de sous-destination comme des entrepôts, qu'il y ait ou pas un point de retrait", a indiqué la ministre déléguée au commerce Olivia Grégoire à l'issue d'une réunion de consultation avec des élus locaux à Paris. Mi-août, la mairie de Paris, principale ville concernée, avait dénoncé un projet d'arrêté ministériel qui aurait permis à ces lieux où sont stockés des produits courants qui peuvent être commandés sur internet et livrés en 10 minutes, d'être considérés comme des lieux de commerce ou de restauration, pour peu qu'ils disposent d'un point de collecte pour le public.Mais avec le nouveau texte, "il n'y aura plus de flou", a promis Olivier Klein, ministre délégué à la Ville et au Logement, pour qui les entreprises qui n'auront pas effectué les changements légaux seront en infraction et devront "très probablement" fermer au terme de la procédure judiciaire.Ce texte sera un "outil pour que les collectivités locales et maires puissent réguler, les interdire ou pas en fonction de leurs souhaits", a résumé Olivia Grégoire pour qui "ce n'est pas la fin des dark stores" pour autant."On saura dans quel quartier c'est autorisé et dans quel quartier cela ne l'est pas", a précisé Olivier Klein, estimant que l'implantation de ces commerces était "terminée en coeur de ville". "Le gouvernement confirme l'illégalité observée, notamment à Paris, sur des dizaines de dark stores et donc la nécessité de leur fermeture immédiate", a réagi l'adjoint à l'urbanisme à la mairie de Paris, Emmanuel Grégoire, qui avait lancé en août la fronde contre le précédent projet d'arrêté.Les grands acteurs de ce secteur (Gorillas, Flink, Deliveroo, Getir ou Gopuff) "n'ont plus aucune échappatoire aujourd'hui", s'est réjoui l'élu socialiste, très critique vis-à-vis de leur modèle social.Incarnations du "quick commerce" qui permet de commander des produits en ligne et d'être livré en quelques minutes, les "dark stores" et "dark kitchens" se sont multipliés au coeur des métropoles depuis 2020, à la faveur des confinements et des couvre-feux successifs. Et ce malgré les critiques qu'ils suscitent chez les commerces traditionnels, qui dénoncent une concurrence déloyale, et les riverains, exaspérés par les nuisances.Les "dark stores" stockent des produits de consommation courante tandis que les "dark kitchen" sont des cuisines non adossées à un restaurant, uniquement destinées à la livraison de plats.