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Toute l'actualité du bâtiment

256315 actualités disponibles
Il y a 2 ans et 281 jours

Veka SAS annonce la disparition de son Président Jos Lenferink

Jos Lenferink avait rejoint VEKA en juin 2003. Président de VEKA SAS depuis 2004, il avait également pris la Direction de VEKA Iberica en 2012 et était responsable de la zone SWENA (South West Europe and North Africa) du Groupe.Polyglotte, brillant et passionné, Jos Lenferink était doté d’une personnalité entrepreneuriale exceptionnelle qui laissera un grand vide dans la profession. Il a en effet façonné ce qu’est aujourd’hui la zone SWENA en traversant avec succès plusieurs périodes difficiles (crise économique de 2008, montée de la concurrence européenne, pandémie Covid, pénurie et augmentation du coût des matières premières...). Au fil des années, il a su fidéliser les clients par la qualité du service global apporté mais aussi par une profonde et sincère relation humaine. Pleinement engagé dans la stratégie marketing et commerciale de l’entreprise, il a également su convaincre de nouveaux clients français et espagnols de choisir VEKA comme partenaire et a posé les jalons d’un développement prometteur au Maroc. L’activité des sites de production de Thonon-les-Bains et de Burgos s’est ainsi développée régulièrement, renforçant un savoir-faire solide et une production locale. Il a d’ailleurs initié plusieurs projets dans les deux pays pour augmenter les capacités de production et garantir le plus haut niveau de service. Son enthousiasme, son énergie communicative, sa vivacité et son engagement sans faille pour VEKA et la défense de la filière PVC étaient appréciés au quotidien, à travers son leadership et ses prises de positions fortes. Pour cet homme de contact, la proximité et le relationnel ont toujours été au cœur de ses échanges professionnels. Son exigence, tant vis-à-vis de lui-même qu’avec ses collaborateurs, et sa bienveillance ont également marqué profondément les équipes VEKA.Pour le Comité de Direction de VEKA SWENA : « Jos Lenferink incarnait pleinement les valeurs et la vision du Groupe, avec à la fois les collaborateurs, les clients et les partenaires. Sa passion et son engagement à défendre les causes sociétales qui lui étaient chères, au-delà des enjeux commerciaux, caractérisaient son souci de l’humain. C’est une perte immense pour nous, mais nous allons continuer à œuvrer pour cette entreprise et cette profession dont il était si er. La feuille de route a été dé nie sous sa présidence. Avec l’appui de la maison mère, les salariés français et espagnols poursuivront sa mise en œuvre pour assurer le développement de VEKA SWENA.»
Il y a 2 ans et 281 jours

1,5 milliard d’euros pour la transition écologique dans les collectivités

Avec un fonds vert doté d’1,5 milliard d’euros, l'Etat veut accélérer la marche des collectivités vers la transition écologique. Cette mesure figurera dans le plan global que la Première ministre présentera dans le courant de l’automne. Elisabeth Borne l’a dévoilée dans l’interview publiée par Le Parisien Aujourd’hui en France du 28 août.
Il y a 2 ans et 281 jours

La fibre de coco pourrait-elle être utilisée dans le béton ?

La fibre de coco peut-elle contribuer à réduire l’impact écologique du béton ? Des chercheurs ont compilés différentes études sur le sujet pour en faire une analyse scientométrique afin d’évaluer l’intérêt de cette solution.  L’industrie du béton doit réduire son impact environnemental de façon drastique dans les prochaines années, ce qui incite la filière à explorer […]
Il y a 2 ans et 282 jours

A Saint-Gall, un ‘Learning center’ signé Sou Fujimoto

A l’Université de Saint-Gall (Suisse) pour la HSG Foundation, l’architecte Sou Fujimoto a livré en 2021, Square, un ‘Learning center’ en structure béton de 9 650 m².  Une étape clé dans les ambitions éducatives du campus helvète. Communiqué. « Questionnant les futures manières d’étudier, le nouveau Learning center de l’université de Saint-Gall tente de repenser le […] L’article A Saint-Gall, un ‘Learning center’ signé Sou Fujimoto est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 282 jours

Le vieux Buenos Aires se fait un lifting, mais le cœur inquiète

Dans la rue Humberto 1er, à quelques encablures de l'emblématique Place de Mai, l'asphalte a sauté. Agenouillés, des ouvriers remettent un à un, près d'un siècle plus tard, des pavés dans les rues du "Casco historico", centre historique de la capitale.Voies cyclables, plantations d'arbres, bus détournés, restaurations XXL, telles celle de l'immeuble Art nouveau Otto Wulf (1914) jadis légation de l'Empire austro-hongrois : d'ici mi-2023, 67.000 m2 du centre porteño seront retouchés par le "Plan Casco" dans lequel la ville va investir 2,2 milliards de pesos (17 millions d'euros).L'objectif est double : "restaurer un des quartiers les plus historiques, au patrimoine important", et "réinventer la vie dans l'hypercentre", explique Felipe Miguel, chef de cabinet de la municipalité (centre-droit) de la capitale de 3 millions d'habitants.Ironiquement, il y a une dizaine d'années, une municipalité du même bord, alors gérée par le futur chef de l'Etat Mauricio Macri (2015-2019), recouvrait d'asphalte les pavés de plusieurs quartiers (environ 3.400 des 30.000 rues de Buenos Aires sont pavées), ulcérant des associations de riverains.On invoquait alors une nuisance sonore moindre, des pneus épargnés, l'écoulement des eaux de pluie... "Il y a des quartiers qui ont changé et où prime la mobilité, d'autres plus typiques qu'il faut préserver", justifie Felipe Miguel.Le Covid en plusCar le patrimoine est de nouveau l'avenir. Comme tout ce qui pourrait doper un centre-ville, à la fois quartier d'affaires et de tourisme, que le souffle de vie a quitté pendant la pandémie et un confinement parmi les plus longs du monde."La pandémie est venue aggraver un problème déjà en cours, inexorable : la perte d'habitants du centre, à la population +flottante+, sur-utilisé le jour, sous-utilisé la nuit", explique Silvia Farje, architecte et experte en patrimoine, ex-ministre de la Culture de la ville.Un centre, poursuit-elle, où une population vieillissante ne peut plus entretenir des immeubles centenaires, où cette dernière n'est pas remplacée par des jeunes, peu enclins à vivre dans un quartier régulièrement paralysé par des manifestations sociales, déserté la nuit, dans des bâtiments dépourvus du confort numérique qu'ils ont appris à goûter en télétravail en périphérie.L'idée de rédemption par les vieilles pierres a quelque chose d'ironique, pour une capitale qui dans son histoire n'a pas toujours eu les égards dûs à ses vieilles pierres. N'hésitant pas, par exemple, à raser une partie du Cabildo, bâtiment iconique de 1751, pour percer en 1894 l'Avenida de Mayo, avenue cossue copie conforme d'un grand boulevard parisien. La référence d'alors.Risque du "parc à thème"L'"âge d'or" de l'Argentine (de 1880 aux années 1930) et ses vagues d'immigrants européens, ont valu à la capitale un rare patchwork d'influences, du style colonial à l'Art déco, de l'italianisant néo-renaissance au rationalisme..."Une accumulation éclectique plus qu'un style. Un vrai palimpseste", résume Patricio Cabrera, dirigeant de l'association de sauvegarde du patrimoine Basta de Demoler (Stop aux démolitions).Mais sur l'Avenida de Mayo, les "A vendre" ou "A louer" fleurissent aux fenêtres. Selon M. Miguel, 60% des occupants du coeur de Buenos Aires travaillaient dans des bureaux avant la pandémie, un chiffre qui a dégringolé à 20%. Beaucoup ne reviendront pas. Des rideaux de commerces, privés de clients, sont baissés pour de bon.D'où l'espoir de faire revivre un "centre à usage mixte", entre professionnels, touristes, habitants, jeunes si possible. Depuis 2021, les aides au crédit et incitations fiscales se multiplient pour qui veut habiter l'hypercentre, ouvrir un commerce ou transformer des bureaux en habitations. Un chantier-défi "qui prendra des années", reconnaît M. Miguel.A court terme, les 2,1 millions de visiteurs étrangers annuels de Buenos Aires (chiffre pré-Covid) sont une cible de choix. Mais aussi un risque, entre "touristification" et "gentrification" du centre historique, "comme cela s'est passé dans beaucoup de capitales du monde", souligne l'ONG Observatorio de la Ciudad.Et si Basta de Demoler salue "la conscience nouvelle du patrimoine, qui voit revenir des pavés, chose impensable il y a 40 ans", l'association met en garde contre le risque de "sacrifier l'essence à l'esthétique" et "devenir un parc touristique à thème".
Il y a 2 ans et 283 jours

Un centre autochtone canadien par Moriyama & Teshima Architects et Smoke Architecture

Les architectes des agences Moriyama & Teshima Architects et Smoke Architecture ont remporté le concours pour le centre autochtone Mukwa Waakaa’igan (budget : 12,38 M€) à Sault-Sainte-Marie (Ontario, Canada) pour l’Université Algoma, un lieu pour mieux comprendre la culture autochtone. Livraison prévue en 2024. Communiqué. Le centre autochtone Mukwa Waakaa’igan devient le nouveau cœur de l’Université […] L’article Un centre autochtone canadien par Moriyama & Teshima Architects et Smoke Architecture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Cimbat
Il y a 2 ans et 283 jours

Démarrage du plus grand parc éolien offshore d'Écosse, selon les industriels

La première éolienne, sur un total de 114, a été mise en service tôt lundi matin, à quelque 27 kilomètres au large du comté d'Angus.La ferme, d'une capacité totale de 1.075 mégawatts (MW) et à même d'alimenter l'équivalent de 1,6 million de foyers, doit être pleinement opérationnelle au cours du premier semestre 2023, selon les deux partenaires.Le projet Seagreen, d'un coût de 4,3 milliards de dollars, sera le plus grand parc éolien offshore d'Écosse, où de nombreux projets sont en développement, et il sera le plus profond du monde sur fondation fixe, par 59 mètres de profondeur d'eau, selon leur communiqué."Une fois achevé, Seagreen contribuera de manière significative aux objectifs ambitieux de l'Écosse et du Royaume-Uni en matière d'énergie renouvelable", a commenté Paul Cooley, directeur de l'éolien en mer chez SSE Renewables."Voir cette turbine tourner en mer du Nord et démarrer la production d'électricité en toute sécurité est une réussite fantastique pour tous ceux liés au projet", qui a "déjà apporté des bénéfices à la communauté locale et à la chaîne d'approvisionnement britannique", a-t-il ajouté, cité dans le communiqué.Pour le français TotalEnergies, il s'agit du tout premier projet éolien marin à démarrer en Europe (son premier dans le monde à fonctionner est celui de Yulin à Taïwan).Le groupe était parvenu à un accord avec SSE Renewables en juin 2020 pour acquérir une participation de 51% dans le projet Seagreen."Nous sommes satisfaits de démarrer la production d'électricité sur le site de Seagreen, une première en mer du Nord britannique", a déclaré Vincent Stoquart, directeur Renewables de TotalEnergies. C'est "une nouvelle étape dans le développement des capacités d'éolien offshore de TotalEnergies", qui vise 35 gigawatts (GW) de capacité électrique renouvelable en 2025.
Il y a 2 ans et 284 jours

Au printemps, la production solaire a bondi et l'éolien maritime s'est fait une place

ANALYSE. Le deuxième trimestre de l'année 2022 s'est traduit par un important recul des raccordements de centrales solaires, toutefois compensé par une production photovoltaïque qui a progressé d'un tiers en un an. C'est l'inverse pour l'éolien, qui a vu sa production diminuer mais ses raccordements augmenter entre avril et juin, grâce notamment à la mise en service du premier parc français d'aérogénérateurs en mer.
Il y a 2 ans et 284 jours

A Toulouse, un bâtiment du XIXe siècle transformé en résidence étudiante

EN IMAGES. Environ 200 logements ont été créés dans l'ancien rectorat de Toulouse. Le bâtiment a connu de nombreux usages avant cette dernière rénovation.
Il y a 2 ans et 284 jours

Bruno Le Maire n'attend pas d'amélioration concernant l'inflation avant début 2023

Mais "nous n'avons pas aujourd'hui de scénario sur la table qui prévoit une inflation à deux chiffres en France", a ajouté le ministre alors que les prix à la consommation ont progressé de 6,1% sur un an en juillet, selon l'Insee.Au Royaume-uni, l'inflation atteint 10,1% et est attendue à plus de 18% en 2023, selon la banque Citi.En France, "dans les semaines et les mois qui viennent, jusqu'à la fin de l'année 2022, nous continuerons à avoir des prix très élevés. Ensuite début 2023, en tout cas c'est ce que nous prévoyons, dans le premier trimestre 2023, on devrait commencer à voir reculer les prix et l'inflation. Ca se fera progressivement", a précisé Bruno Le Maire.Dans un entretien au quotidien Sud-Ouest publié dimanche, le ministre avait déclaré que la France était "au pic de l'inflation".En conséquence, "c'est maintenant qu'il faut aider le plus les Français" avant de cibler les aides "sur ceux qui en ont le plus besoin" à compter de 2023, avait-il expliqué.Concernant le risque de récession en zone euro, Bruno Le Maire a estimé sur France 5 que "tout va dépendre des décisions de Vladimir Poutine sur le gaz. Si jamais il décide de couper le gaz pour l'UE et la zone euro, nous évaluons l'impact sur la croissance, pour la seule France, à un demi-point de PIB, et sans doute davantage pour d'autres économies plus dépendantes du gaz russe que nous"."C'est sur la question du gaz russe que se jouera une partie de la croissance en Europe dans les mois qui viennent", selon le ministre.La croissance dans la zone euro s'est élevée à 0,6% au deuxième trimestre par rapport au trimestre précédent, et à 0,5% en France.Mais l'activité du secteur privé s'est contractée en août dans la zone euro, et également en France bien que moins fortement, selon les indices PMI publiés mardi par S&P Global.
Il y a 2 ans et 284 jours

XYLEXPO 2022 : le point de départ d’un nouveau cycle technologique

Du 12 au 15 octobre 2022, à fieramilano Rho, aura lieu Xylexpo, la biennale mondiale des technologies pour le travail du bois et des composants pour l’industrie du meuble, promue par Acimall, l’association des constructeurs italiens de machines et d’outils pour le travail du bois, et organisée par CEPRA. Depuis 1968, exposition unique et immanquable pour les opérateurs du secteur, Xylexpo offre une vision large et exhaustive sur les technologies pour le travail du bois et ses dérivés, en interprétant au mieux l’évolution du secteur grâce à ses multiples facettes. Capable de renouveler continuellement les contenus et les services, à partir de cette édition Xylexpo change la période de déroulement, en passant du printemps à l’automne pour intercepter au mieux les exigences d’investissement des visiteurs qui, dans l’après-pandémie, se « retrouvent » avec un calendrier des salons profondément modifié. En faisant ce choix, Xylexpo sera de fait le point de départ du cycle d’innovation qui caractérisera les deux années suivantes, en s’affirmant comme la scène idéale pour présenter en avant-première les nouveautés technologiques développées par les entreprises, dans le meilleur moment pour récolter les intentions d’achat des utilisateurs, toujours très élevées dans la partie finale de l’année. Enregistrez-vous pour Xylexpo 2022 Reconnue comme le salon mondial pour la haute technologie pour le travail du bois, la manifestation se déroulera en parallèle avec BI-MU, la biennale internationale dédiée au monde des machines-outils pour le travail du métal, des robots, de l’automation, des technologies additives et auxiliaires. UN SALON DIFFÉRENT DE TOUS LES AUTRES L’évolution qui caractérise le secteur bois-ameublement, parmi les plus attentifs à la recherche de l’équilibre parfait entre beau et fonctionnel, doit énormément à l’industrie des machines et des technologies de production, tout comme à celle des composants, des équipements et des matériaux de dernière génération. Réelles forges d’expérimentation capables de donner forme, couleur et interprétation concrète aux idées de ses clients, les entreprises leaders du secteur trouvent depuis toujours en Xylexpo leur point de référence, faisant de cet événement un des moments capables de dicter les « règles » pour toutes les exigences de production au niveau international. STAR INTERNATIONALE Tout en étant solidement liée au marché italien, parmi les plus importants et évolués au monde pour les technologies et les matériaux, et devant satisfaire la demande d’un monde ample et exigent du meuble et du design, Xylexpo a une projection très importante vers l’étranger. Enregistrez-vous pour Xylexpo 2022 Avec un résultat consolidé dans le temps, qui voit les visiteurs étrangers dépasser 30 % du total, Xylexpo fait partie des toutes premières manifestations au monde pour son taux d’internationalité. Un fait qui consolide ultérieurement la capacité d’attraction de la manifestation vers le public international : la présence, comme d’habitude, de nombreuses délégations étrangères organisées par ICE – Agence pour la promotion à l’étranger et l’internationalisation des entreprises italiennes – notre partenaire institutionnel de référence. Pour l’occasion, ICE portera à Xylexpo 150 ouvriers étrangers qui travaillent principalement dans les secteurs de la production de produits semi-finis et finis en bois, spécialement sélectionnés et provenant principalement de la Méditerranée, des Balcans, de l’Est de l’Europe, de la Scandinavie et de la Baltique, pour un total d’environ 20 pays.
Il y a 2 ans et 284 jours

Veka SAS annonce le décès de son président, Jos Lenferink

DISPARITION. Le président de Veka SAS, Jos Lenferink, est décédé subitement, ce 14 août 2022, à l'âge de 59 ans, vient d'annoncer la société. Son comité de direction déplore une "perte immense".
Il y a 2 ans et 284 jours

De nouveaux bureaux à haute efficacité énergétique pour Hellio

Des bureaux en cohérence avec l'image et le positionnement de Hellio Hellio a changé son siège social dans un quartier dynamique et en pleine évolution, idéalement localisé sur la ligne 14 du métro. Les équipes de Hellio occupent désormais un plateau de près de 1.500 m2 au 6ème étage de l'immeuble Factory.Ce bâtiment neuf et moderne se veut être proche de l'image de l'entreprise et de son positionnement. L'acteur de référence de la maîtrise de l'énergie a fait le choix d'intégrer ce bâtiment de bureaux conçu dans une démarche environnementale exigeante : HQE Exceptionnel, BREEAM Very Good, WELL Ready ; et qui propose de nombreux services aux utilisateurs.Parmi les caractéristiques notables du bâtiment :Une isolation par l'extérieur des façadesDes protections solaires extérieures (brises soleil orientables)Un éclairage luminaires LEDUne production d'eau chaude faite par la CEVE (CPCU de la ville de Clichy)Une production d'eau glacée faite par 2 groupes froid en terrasseUne ventilation double fluxUne gestion centralisée de tous les équipements techniques« Plus proche de notre image et de notre positionnement, Hellio a changé son siège social dans un quartier dynamique et en pleine évolution, au sein d'un bâtiment à haute efficacité énergétique, en parfaite adéquation avec notre métier de la maîtrise de l'énergie », précise Pierre Maillard, Président Directeur Général de Hellio.
Il y a 2 ans et 284 jours

Grand Paris Express : Colas et Eiffage remportent un marché de la ligne 18

CONTRAT. Le montant du marché s'élève à 26 millions d'euros. Les travaux devraient se dérouler en trois phases, jusqu'en 2027.
Il y a 2 ans et 284 jours

En Australie, le premier centre LGBTQI+ par BAU et GAA

A Saint-Kilda, près de Melbourne (Australie), Brearley Architects and Urbanists (BAU) et Grant Amon Architects (GAA) ont livré le ‘Victorian Pride Centre’, un premier lieu de 6 400 m² dédié aux communautés LGBTQI+ (budget : 24,16 millions d’euros). Une façon de « construire l’inachevé » expliquent les architectes. Communiqué. En 2017, une enquête nationale en faveur de l’égalité […] L’article En Australie, le premier centre LGBTQI+ par BAU et GAA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 284 jours

Pompes en ligne nouvelle génération Wilo-Yonos GIGA2.0-I et Wilo-Yonos GIGA2.0-D

Une nouvelle série de pompes en ligne suit, basée sur la même plateforme pour l’entraînement des pompes à moteur ventilé à commande électronique : la Wilo-Yonos GIGA2.0-I/-D.Les interfaces analogiques et numériques offrent une possibilité d'intégration dans la gestion technique centraliséeLa Wilo-Yonos GIGA2.0 est une pompe en ligne nouvelle génération à commande électronique, adaptée au pompage de grandes quantités d’eau sur de grandes hauteurs manométriques pour les applications de chauffage, de climatisation et de refroidissement dans les grands bâtiments et pour l’industrie (réfrigération industrielle, récupération de chaleur, …).Grâce à la technologie de moteur à aimant permanent IE5 et à l'hydraulique de pompe éprouvée (MEI ≥ 0,4), elle offre un haut rendement énergétique ainsi qu'une grande fiabilité.Via la technologie du bouton vert associée au guidage par menu sur un écran couleur, elle est très facile à installer et à utiliser.Les interfaces analogiques et numériques permettent une intégration dans les systèmes d’automatisation des bâtiments.La Wilo-Yonos GIGA2.0 existe en configuration simple (Wilo-Yonos GIGA2.0-I) et en version double (Wilo-Yonos GIGA2.0-D). La première étape du lancement sur le marché comprend les deux versions d’une puissance nominale de 0,55 à 4,0 kW. Les avantages de la nouvelle Wilo-Yonos GIGA2.0-I/-D :Installation et utilisation simplifiées grâce au bouton unique de sélection et le guidage via un menu de navigation.Fiabilité élevée grâce à une technologie d’entraînement innovante couplée à une hydraulique de pompe éprouvée.Haut rendement énergétique lié à l’association du moteur à aimant permanent IE5 (selon l’IEC 60034-30-2) et à une hydraulique haut rendement pour une réduction des coûts énergétiques.Entretien minimal : protection moteur intégrée.Communication optimale basée sur une large offre de protocoles : Modbus RTU, BACnet MS/TP, LonWorks (TP), PLR, CANopen, Ethernet IP (BACnet IP, Modbus TCP).Performances accrues grâce aux multiples modes de régulation : Mode pression constante Δp-c,Mode pression variable Δp-v,Mode régulation de vitesse n-const,Mode de régulation PID.Visualisation de la vitesse, de la hauteur manométrique, de la consommation électrique.Module électronique nouvelle génération permettant l’adaptation efficiente des performances hydrauliques en fonction des réels besoins de l’installation.Prêt à l'intégration dans la gestion technique centralisée via des interfaces analogiques et numériques et des modules CIF.
Il y a 2 ans et 284 jours

Risque de coupure du gaz russe, que peut-on faire en immeubles collectifs à court terme?

Il n’est pas simple de très rapidement remplacer le gaz en immeuble collectif mais, en chauffage individuel, comme en chauffage collectif, quelques mesures palliatives sont possibles.
Il y a 2 ans et 284 jours

Le défi des installations de bornes de recharge dans les copropriétés

La copropriété de Gérard fait partie des 2% équipées en France, pour 10.000 places environ. Des chiffres encore faibles, en dépit du droit à la prise mis en place en 2011, qui permet à chaque copropriétaire d'installer, à ses frais, une prise pour son véhicule.Ce manque de bornes privées dans les habitats collectifs reste un obstacle de taille à l'électrification des voitures, brique indispensable dans la lutte contre le changement climatique."Des premières discussions dans la copropriété à la première installation, nous avons attendu 18 mois. Mais d'autres voisins ont suivi le mouvement et bientôt, nous aurons 17 bornes!", nuance le retraité, qui ne souhaite pas donner son nom, pendant que deux ouvriers d'un installateur privé s'attellent à équiper des places voisines.L'installation ne coûte rien à la copropriété: les propriétaires paient pour leur propre borne, et des subventions couvrent le reste.Car, outre la borne individuelle, il faut financer des infrastructures collectives, comme les câbles et parfois des compteurs communs. Le financement de ces équipements a longtemps été un point de discorde pour les copropriétés qui, jusqu'à peu, devaient les prendre à leur charge."Il y a toujours une crainte de certains copropriétaires de devoir payer pour les autres, ralentissant les demandes d'installation", explique Mathias Laffont, directeur des études à l'Union Française de l'Electricité (UFE). "A présent, des techniques existent pour faire uniquement payer les utilisateurs, moyennant quelques centaines d'euros pour l'achat de la prise, en plus de l'abonnement mensuel souscrit auprès de l'opérateur".Accélérer ce développementDes aides existent pour les propriétaires, les copropriétés et les opérateurs: Logivolt Territoires, lancé par la Banque des Territoires, le guichet de la Caisse des dépôts, finance toutes les dépenses collectives; le dispositif Advenir, financé par une enveloppe annuelle de fonds publics et piloté par l'Association nationale pour le développement de la mobilité électrique (Avere-France), en couvre la moitié.Les nombreuses start-up du secteur, Bornes Solutions, Zeplug ou Park'n Plug en tête, l'assurent: la demande d'équipements dans les habitats collectifs est en plein essor. Elles estiment qu'un million de places pourraient être équipées rapidement.Le reste à charge pour le particulier, après les aides, est entre 700 et 900 euros, selon elles.Mais les choses ne vont toujours pas assez vite.44% des Français vivent dans des habitats collectifs mais "70% des bornes privées sont en habitat individuel", d'après Clément Molizon, délégué général de l'Avere-France.Pour accélérer ce développement, un décret très attendu doit permettre à Enedis, le gestionnaire du réseau électrique, d'équiper les copropriétés en équipements de recharge, sans leur faire payer le moindre euro, en intégrant les coûts dans le tarif d'acheminement de l'électricité (Turpe). Une "concurrence déloyale", dénoncent au passage les installateurs privés, rassemblés derrière l'Association Française des Opérateurs de Recharge pour véhicules électriques (Afor).Pénurie de personnelEnedis anticipe "des milliers, puis des dizaines de milliers de nouvelles demandes, une fois le décret validé", comme l'assure Olivier Huet, directeur de projet infrastructure de recharge des véhicules électriques en résidentiel collectif d'Enedis. "Toutes les solutions sont nécessaires, le marché est trop important".Autre défi pour les opérateurs, le déploiement de prises de recharge dans les parkings privés en extérieur, qui nécessitent des travaux plus lourds. "C'est aujourd'hui trop onéreux pour que les opérateurs et les copropriétés puissent en assumer le coût", explique Lara Dupont, de Zeplug.A cela s'ajoute enfin le manque de personnel formé, estimé à "plusieurs milliers de personnes" par les opérateurs."Le secteur est en forte croissance, mais on manque cruellement de bras", déplore Jérôme Princet, directeur général de Bornes Solutions et vice-président de l'Afor.
GDA
Il y a 2 ans et 284 jours

Pourquoi et comment se former aux peintures naturelles et écologiques ?

Pourquoi chercher une formation aux peintures naturelles en bâtiment, me direz-vous ? Parce que si ces peintures sont beaucoup plus abordables, les utiliser n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît, surtout lorsqu’on souhaite utiliser des produits écologiques, sains pour la santé et l’environnement. Voici quelques explications et pistes pour vous former à la peinture écologique en bâtiment….  […]
Il y a 2 ans et 284 jours

La Réunion : ouverture partielle de la nouvelle route du littoral

Une portion de 8 kilomètres de la route du littoral qui en comptera 10,5 une fois les travaux achevés en 2028 ouvrira aux utilisateurs dimanche 28 août.
Il y a 2 ans et 284 jours

Les frères Le Ny à tu et à toits

Couvreurs - Basée dans le Rhône, l'entreprise familiale rénove des monuments historiques en perpétuant les savoir-faire ancestraux.
Il y a 2 ans et 284 jours

Chronique d'un bras de fer annoncé entre l'Etat et les collectivités

Finances locales - Fondés sur les indicateurs de 2021, les premiers éléments de cadrage du projet de loi de finances 2023 alimentent l'inquiétude de responsables budgétaires locaux confrontés à l'inflation.
Il y a 2 ans et 284 jours

Bioteos purifie l'air intérieur avec des microalgues

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Il y a 2 ans et 284 jours

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Il y a 2 ans et 284 jours

Arnaque aux fichiers ciblant des exposants de salons du bâtiment

Ce qu'on ne pourra pas contester aux arnaqueurs de tout poil, c'est leur imagination débordante pour trouver de nouvelles façons d'escroquer les personnes ou les entreprises. Dernier exemple en date, et qui concerne les industriels du bâtiment, l'arnaque aux fichiers de visiteurs AVANT le déroulement d'un salon professionnel (ou pas). L'un de nos clients en a été la cible (mais pas la victime). Alors voilà comment ça se passe : Les escrocs se renseignement en amont sur qui expose à tel ou tel salon. Ensuite, ils écrivent soi-disant au nom du salon (ou d'un de ses partenaires) et à chacun d'entre eux, ils proposent de leur vendre le fichier des "inscrits" au salon afin d'inciter l'exposant à bien préparer son exposition. Facile, simple, cohérent. Même si évidemment, ils n'ont rien à vendre en réalité, puisqu'ils n'ont pas le fichier des visiteurs. Le mail est suffisamment bien fait pour que la confusion soit possible. Donc attention ! Vérifiez toujours les provenances des mails. Pensez toujours à "répondre à" l'expéditeur avant d'acheter qupoi que ce soit, afin de vérifier que son mail d'expéditeur est bien un mail valide ! En cas de doute, écrivez directement à l'oganisateur. En la circonstance, l'escroc faisait référence à Architect@Work qui se déroule le 22 et 23 septembre à Paris et qui a été prévenu. Bon salons !
Il y a 2 ans et 284 jours

Grand Paris Express : Colas et Eiffage remportent un marché à 26 millions d'euros

Mandataire d’un groupement à 50/50 avec Eiffage Énergie Systèmes, Colas Rail s'est vue attribuer par la Société du Grand Paris (SGP) le marché portant sur le système de traction de la ligne 18.
Il y a 2 ans et 284 jours

Toujours plus performante, la gamme d’isolant Métisse obtient de nouvelles certifications de sécurité au feu

Précurseur et acteur majeur de la fabrication d’isolants thermiques et acoustiques biosourcés, Le Relais Métisse maîtrise l’intégralité de la chaîne de sa fabrication 100% française, depuis la collecte de la matière première jusqu’à la valorisation. En effet, Métisse est un isolant en coton issu du recyclage de jeans collectés et triés par Le Relais, leader français de la collecte et du tri des TLC (Textiles, Linge et Chaussures) depuis 1984.Une nouvelle certification qui permettra de répondre aux attentes du marchéCette année 2022 marque une nouvelle évolution pour l’isolant Métisse, qui a obtenu de nouvelles certifications et accède à un nouveau classement.Auparavant classé « Euroclasse E », l’ensemble de la gamme (RT, flocon et Eko) est désormais certifié « Euroclasse D » en produit nu*. Son traitement ignifuge innovant à cœur (sans sel de bore) en fait un isolant biosourcé sécurisé face au feu.Métisse a également obtenu près de 30 PV et extensions feu en s’associant avec Placo. L’association de ces deux pionniers et leaders sur leurs secteurs a permis d’obtenir ces nombreuses certifications et valide ainsi un très grand nombre de configurations de systèmes (de la cloison simple à la cloison élaborée) aux normes ignifuges et acoustiques. Il obtient également un nouveau classement BS1D0 (en complexe) par le Crepim (laboratoire classé COFRAC).L’obtention de ces nouvelles certifications pour l’isolant Métisse permet désormais de répondre aux demandes des ERP - Etablissements Recevant du Public (lieux de santé, d’enseignements ou logements collectifs). En effet, l’isolant atteint des performances de haut niveau et répond à des exigences feu EI30 à EI120 en cloisons et EI45 à EI120 en contre-cloisons.*Retrouvez le certificat du Crepim (laboratoire Cofrac) sous le rapport n°DO-22-3628\B-R1, sous ACERMIMétisse précurseur sur le marché, multiplie les distinctionsLa gamme Métisse accède à de nombreuses distinctions : premier isolant issu de l’Economie Sociale et Solidaire, premier isolant certifié issu d’une filière de collecte textile entièrement intégrée et maîtrisée, premier isolant ignifugé au cœur de la matière par un procédé de plein bain. L’isolant a été couronné par le Prix BePOSITIVE Awards (catégorie Bâtiment Performant) en février 2019. Puis un an plus tard la marque s’est à nouveau distinguée avec l’obtention du Label Produit Biosourcé Filière Française pour l’ensemble de sa gamme thermique : 70% minimum pour la gamme RT (panneaux et rouleaux) et 73% minimum pour les flocons.Un isolant au cœur de la transition énergétiquePar leurs caractéristiques physiques (transformation et stockage du CO2 atmosphérique), les fibres végétales, matières premières biosourcées, constituent un levier fort et une réponse fiable, durable et concrète aux enjeux du réchauffement climatique et de l’épuisement des ressources naturelles. Par sa composition en fibres de coton biosourcé, issu du recyclage, l’isolant Métisse s’inscrit pleinement dans la Transition Energétique pour la Croissance Verte.
Il y a 2 ans et 284 jours

Ukraine, changement climatique : le Gouvernement prépare un plan de sobriété énergétique

FOCUS. Face aux crises qui se multiplient depuis deux ans, du Covid aux épisodes météorologiques très violents de cet été en passant par la flambée des prix énergétiques depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie, l'exécutif planche sur un plan de sobriété. L'hôtel de Roquelaure a déjà lancé des groupes de travail sectoriels sur le sujet avant l'été, et prépare un projet de loi pour accélérer le déploiement des renouvelables.
Il y a 2 ans et 284 jours

Logement neuf : les mises en vente et réservations reculent au second trimestre

CHIFFRES DE LA CONSTRUCTION. L'offre et la demande de maisons et d'appartements diminuent au sein de l'Hexagone lors du deuxième trimestre 2022. Une seule région française se distingue avec des résultats positifs.
Il y a 2 ans et 285 jours

Emmanuelle Wargon officiellement nommée à la tête du régulateur de l'énergie

CARNET-NOMINATION. L'ancienne ministre chargée du Logement devient présidente de la Commission de régulation de l'énergie, autorité indépendante chargé de garantir le bon fonctionnement du marché de l'énergie.
Il y a 2 ans et 285 jours

Les prêts immobiliers grippés par la hausse des taux

Principal obstacle selon les courtiers: le taux d'usure. Révisé chaque trimestre par la Banque de France, il fixe le taux maximum auquel les banques ont le droit de prêter.Actuellement, il s'élève à 2,57% pour les crédits immobiliers à 20 ans tous frais compris, dont l'assurance et l'éventuelle commission des courtiers.Or, comme les banques empruntent elles-mêmes plus cher qu'en début d'année, elles peuvent être tentées d'évincer les courtiers pour préserver leurs marges."Les seules populations qui vont pouvoir emprunter, ça va être les moins de 45 ans qui sont en bonne santé et en même temps qui ont des revenus et des apports personnels assez élevés pour être intéressants pour les banques. Mais c'est un client sur deux, pas plus", craint Olivier Lendrevie, président du réseau de courtiers Cafpi."Quand, à cause d'un problème de paramétrage d'une réglementation, vous mettez hors-jeu un potentiel acquéreur sur deux, vous déséquilibrez le marché et vous créez les conditions d'une crise qui peut être très grave", prévient-il.Les acquéreurs en meilleure position pourraient en effet mieux négocier leurs achats, faute de concurrents, et faire chuter les prix de l'immobilier.Selon un sondage commandé par des associations de courtiers, 40% des professionnels interrogés estiment qu'au moins quatre dossiers sur dix ont été refusés depuis le début de l'année."Ça va arriver"Des professionnels de l'immobilier et de la finance se montrent eux plus prudents."On n'a pas encore un ressenti aussi fort que les courtiers mais ça va arriver, automatiquement", témoigne auprès de l'AFP Peggy Montesinos, spécialiste de l'immobilier au Conseil supérieur du notariat."Aujourd'hui, même si les taux remontent, ils restent attractifs et très en dessous de l'inflation. Il n'en demeure pas moins que la conjugaison du taux d'usure et de la remontée des taux désolvabilise une partie des primo-accédants, notamment les plus modestes et les plus jeunes", juge auprès de l'AFP Véronique Bédague, directrice générale de Nexity.Les banques "sont vigilantes aux indicateurs qui pourraient témoigner de tensions sur le crédit immobilier. Ces indicateurs se multiplient au fil des jours, comme le constatent les Français qui cherchent un crédit pour acheter leur logement", a fait savoir la Fédération bancaire française (FBF)."La profession bancaire est donc sensible à ce que le dispositif de l'usure, cette mesure de protection des emprunteurs, ne devienne pas une mécanique d'exclusion des ménages pour financer leurs projets solvables", ajoute l'organisation professionnelle."Normalisation"La Banque de France se démarque en revanche nettement du constat des courtiers.L'institution rappelle que le taux d'usure est fait "pour protéger les ménages qui empruntent, et pas les intérêts des courtiers ou des prêteurs."Un "éventuel effet d'éviction" des emprunteurs "n'existait pas significativement avant fin juin; nous regarderons précisément pour fin septembre", ajoute-t-elle.Dans une publication du 2 août, la banque centrale note que la "production de crédits à l'habitat commence à se normaliser progressivement" tout en restant "au-delà des moyennes mensuelles de ces dernières années".Elle enregistre un encours des crédits aux particuliers en croissance de 6,2% en juin sur un an, soutenu par la composante "habitat" (+6,6%). Les nouveaux prêts accordés représentaient 22,7 milliards d'euros en juin, en baisse par rapport à mai (26,8 milliards) mais "plus élevés que les moyennes mensuelles observées depuis 5 ans" qui varient de 16,9 à 22,8 milliards, souligne la banque centrale.Par ailleurs, la remontée des taux d'intérêt des nouveaux crédits se poursuit "très progressivement": 1,26% en moyenne en mai, 1,35% en moyenne en juin et 1,44% attendu en juillet, selon la banque centrale. Il s'agit cependant du taux nominal, auquel viennent s'ajouter l'ensemble des frais liés à l'obtention d'un crédit, pour obtenir le taux effectif global du prêt (TAEG), plafonné par la loi.Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a promis d'évoquer le sujet "dès les premiers jours de la rentrée" avec le gouverneur de la Banque de France.
Il y a 2 ans et 285 jours

Le groupe de travail "Logement" dans le cadre du plan "Sobriété énergétique" a commencé

Pas plus de 19°C pour le chauffage, pas moins de 26°C pour la climatisation, individualiser les frais de chauffage... Mais aussi l'annonce de 4,8 milliards d'euros supplémentaires pour renforcer les CEE.
Il y a 2 ans et 285 jours

Appel à Projet : Le sport dans la ville de demain sur le site Le Corbusier de Firminy

Le site Le Corbusier de Firminy-Vert (Loire) recherche la programmation de ses expositions 2023, dont la thématique sera ‘le sport dans la ville de demain’. Jusqu’au 23 septembre 2022. Dans le contexte de JO 2024, le site Le Corbusier de Firminy-Vert, sous la houlette de Saint-Etienne Métropole, a émis un appel à candidatures dans le […] L’article Appel à Projet : Le sport dans la ville de demain sur le site Le Corbusier de Firminy est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 285 jours

7ème édition des prix des diplômes et des mémoires de la Maison de l’architecture IdF

La Maison de l’architecture IdF a lancé la 7ème édition des prix des diplômes et des mémoires, parrainée par Susanne Eliasson architecte associée de l’agence GRAU Architecture. Jusqu’au 9 octobre 2022. L’ambition de la Maison de l’architecture Ile-de-France est de construire des liens solides avec les écoles d’architecture. Dans cette perspective, deux objectifs sont définis […] L’article 7ème édition des prix des diplômes et des mémoires de la Maison de l’architecture IdF est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 285 jours

Les nouveaux visages du Syndicat Français de l'Industrie Cimentière (SFIC)

Bruno Pillon a été élu président du SFIC depuis le 27 mai 2022. Parallèlement, trois nouveaux directeurs ont été nommés, en charge respectivement des questions de Bâtiment, Génie Civil, Routes et Terrassements.
Il y a 2 ans et 285 jours

Réhabilitation du Pavillon Bleu d'Amiens

Cette tuile de la marque Koramic trouve son origine dans les Flandres. Son aspect authentique et son profil ondulé sont des atouts pour les demeures du Nord. Grâce à son caractère régional assumé, cette réhabilitation est un témoignage vibrant de période luxuriante s’étendant de la fin du XIXème au début de la 1ère Guerre Mondiale.Un lieu emblématique d’Amiens à complètement reconstruireCette ancienne laiterie devenue, après extension, une ginguette en 1898 puis une discothèque jusque dans les années 2000 était désaffectée depuis lors, malgré sa situation remarquable. Longeant le canal de la Basse Selle, le bâtiment se situe dans le parc zoologique d'Amiens, un lieu de promenade connu de tous dans la région.Propriété de la Métropole, il a fait l'objet d'un appel d'offres pour sa réhabilitation et la création d’un espace de restauration. C'est l'agence Socréa, architectes du patrimoine, qui a été chargée du projet.Pour Florent Basset, l'un des associés, « il a fallu sortir des chantiers habituels des bâtiments anciens, toucher à tous les corps de métier, et retrouver les traces du projet d'origine d'Anatole Bienaimé pour s'en rapprocher le plus possible ». Cet architecte réputé dans la région à la fin du XIXème siècle est notamment connu pour ses villas de bord de mer au Touquet-Paris-Plage ou à Berck-sur-Mer dont certaines sont classées monuments historiques. Des maisons souvent riches de décorations inventives et d'audaces architecturales.Convoquer l’esprit d’une époquePour Florent Basset, il était important de retrouver la richesse de « l’architecture pittoresque extravagante, qui mêle progrès techniques de cette période et imaginaires littéraires ». À l'aide d’archives retrouvées et de cartes postales anciennes, il a tenté de se rapprocher au plus près de la villa d'époque. Le charme du site vient de l'harmonie conjuguant diversité et alignement de plusieurs formes d'architecture. En effet, se superposent une laiterie, une tour, un kiosque, une salle puis une véranda polygonale, introduits par portails et passerelle japonisants. Le tout aligné face au parc et au canal. Florent Basset note que « toutes les façades sont orientées sud pour un ensoleillement maximal. La disposition des soubassements et des fenêtres apporte de la rigueur à cette profusion de formes différentes ».Une tuile choisie sur carte postaleTraditionnellement, les constructions de la région utilisent la terre cuite pour la toiture. Florent Basset s'est servi d'une ancienne carte postale pour trouver la bonne référence de tuile. « Je souhaitais restituer une ondulation avec un effet d'écaille en diagonale. Le modèle de tuile à onde douce Vieille Panne 451 de Koramic correspondait parfaitement. Il n'y a pas eu d'hésitation ». Le toit est agrémenté de figurines en terre cuite et de galeries de faîtage, décorations typiques de la région à la Belle Époque. Les épis de faîtage en forme d'animaux (héron, écureuil, hibou) composent un bestiaire rappelant la présence du zoo tout autour. Florent Basset précise que la pose des tuiles a été facilitée par les accessoires disponibles, et souligne que « le dialogue entre couvreurs et charpentiers a été essentiel pour optimiser la pose, surtout pour les endroits les plus délicats ».Une décoration intérieure réinventéePour l'architecture intérieure, Florent Basset a mis ses pas dans ceux des architectes de l'époque en retrouvant leurs sources d'inspiration : le Japon, Jules Verne avec notamment Cinq semaines en Ballon ainsi que les grandes avancées techniques d'alors comme la Tour Eiffel ou le Pavillon Baltard. Entièrement reconstruit, le Pavillon Bleu se devait d'afficher « une rutilance spectaculaire ». C'est la raison pour laquelle, une seule teinte de tuile a été choisie pour affirmer une reconstruction à neuf pleine de vibrations. Le Pavillon Bleu a retrouvé ses couleurs d'origine et ses promeneurs curieux lèvent la tête pour reconnaître ici un escargot ou là un échassier perché sur le toit...Zoom chantier...Type de projet : Rénovation du Restaurant Pavillon Bleu du Zoo d’Amiens (80)Lieu : Restaurant Le Pavillon Bleu, Zoo d’Amiens (80)Produit utilisé : Vieille Panne – 451 RougeArchitecte : SOCREA, Architectes du patrimoine – Florent Basset à Compiègne (60)Maître d’ouvrage : Amiens MétropoleEntreprise de pose : Emmanuel Delaforge à Sommereux (60)
Il y a 2 ans et 285 jours

« Density of lives » à la galerie d’architecture à Paris

A la galerie d’architecture à Paris, l’exposition « Density of lives » présente la vision de l’agence ITAR sur la densification urbaine. Jusqu’au 15 octobre 2022. Densifiez ! Pour beaucoup c’est un mot d’ordre qui se traduit par des données quantitatives, à l’image des habitants par kilomètre-carré, de l’emprise au sol, ou encore de la surface […] L’article « Density of lives » à la galerie d’architecture à Paris est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 285 jours

Une trop forte concentration d'usines de panneaux photovoltaïques en Asie s'inquiète l'AIE

Le monde doit diversifier ses approvisionnements en panneaux photovoltaïques s'il veut garantir sa transition énergétique, a mis en garde l'Agence internationale de l'énergie (AIE) début juillet.
Il y a 2 ans et 285 jours

Retour : Un appartement à Athènes par Point Supreme architects

Le numéro 449 d'AA « Architectures Méditerranéennes » présente une multitude de projets méditerranéens, d'un spa ...More about Cet article Retour : Un appartement à Athènes par Point Supreme architects est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 2 ans et 285 jours

Un bâtiment public exemplaire à Mitry-Mory (77)

La loi de transition énergétique impose l’exemplarité énergétique et environnementale pour les nouvelles constructions sous maîtrise d’ouvrage de l’Etat. Exemple au bout de la ligne B du RER francilien.