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Toute l'actualité du bâtiment

256201 actualités disponibles
Il y a 2 ans et 296 jours

Valame innove contre l'amiante

Industrie -
Il y a 2 ans et 296 jours

NGE joue la carte du paysage

Entreprises -
Il y a 2 ans et 296 jours

Le BTP à l'heure du réchauffement climatique

Prévention - Face à des canicules de plus en plus fréquentes, les employeurs cherchent les meilleurs moyens de renforcer la protection des salariés sur les chantiers. Un nouveau défi pour la profession.
Il y a 2 ans et 296 jours

Ecran total

Il y a 2 ans et 297 jours

Revitaliser les centres-villes : un défi toujours en chantier

Les sénateurs à la tête de la mission Revitalisation des centres-villes et des centres-bourgs en ont fait un premier bilan le 7 juillet et doivent rendre un rapport complet fin septembre.D'après une consultation menée par Opinion Way pour cette mission, une majorité des 856 élus répondants juge positivement les mesures de la loi Evolution du logement, de l'aménagement et du numérique (Elan), votée en 2018.Les sénateurs constatent aussi un retour positif des maires engagés dans Action cœur de ville (ACV), lancé en 2017, doté de 5 milliards d'euros de financements et auquel ont souscrit 234 communes de taille moyenne.51% des répondants concernés par ce programme jugent que la situation de leur centre-ville s'est améliorée, contre seulement 25% pour l'ensemble des élus.C'est le cas à Tarare, une ancienne cité textile du Rhône, autrefois célèbre pour sa mousseline, ses rideaux puis son voile Tergal, à une quarantaine de kilomètres de Lyon.Le projet Cœur de ville y a été signé en septembre 2018 et vient d'être prolongé jusqu'en 2026.A première vue, Tarare ressemble à de nombreuses villes moyennes victimes de l'effondrement de leur industrie unique. Mais les bâtiments et usines, longtemps désaffectés, y laissent peu à peu place aux grues et édifices neufs.Mise en œuvreInstallation d'un établissement du brasseur lyonnais Ninkasi en 2023, ouverture du tiers-lieu La Bobine, avec espace de coworking et campus connecté : la ville connaît un nouvel élan.Le taux de chômage a reculé de 7,3 à 4,8% de 2016 à 2022, se réjouit le maire DVD Bruno Peylachon, élu en 2014. "On tire un bilan extrêmement positif du projet +Cœur de ville+ (...) la plupart des objectifs ayant été atteints", poursuit l'élu.En recul, la population est aujourd'hui stabilisée autour de 10.500 habitants, note M. Peylachon."Forcément, dans les années à venir la population va croître", anticipe-t-il, "sur le logement, d'ici 2026 nous aurons entre 400 et 500 nouveaux logements neufs et 322 rénovés".Selon une étude de l'Agence nationale de la cohésion des territoires, publiée en juin, les ventes immobilières ont augmenté de 17% dans 200 villes moyennes en France, bénéficiant du programme Action cœur de ville.Les sénateurs pointent toutefois des limites aux dispositifs de revitalisation, dont "des difficultés de mise en oeuvre" et "des objectifs locaux pas toujours bien précis".Ainsi à Villers-sur-Mer (Calvados), où le programme Petites villes de demain a été signé en mai, la mairie peine à détailler les "problèmes structurels" qu'elle entend régler.Pour le maire Thierry Granturco, le principal défi de cette cité balnéaire - 2.700 habitants l'hiver, dix fois plus l'été - est l'évolution du quartier Villers 2000."Des gens à petits moyens ont acheté leurs 30m2 à la mer il y a quarante ans pour venir de Paris passer le weekend sur la côte. Aujourd'hui ils sont retraités et vivent ici à l'année", dit-il.Eloigné du centre-ville, Villers 2000 doit bénéficier d'un programme de désenclavement, avec construction d'un centre sportif traversant et d'une voie verte végétalisée, pour permettre à ses habitants du quartier d'accéder plus facilement au centre-ville et à ses commerces.Mais sans garantie que les résidents de Villers 2000, souvent âgés, s'y rendront effectivement. Le flou règne aussi sur l'occupation réelle du quartier en hiver."Déficit de notoriété"Les sénateurs relèvent en outre une autre inquiétude: les financements sont jugés "difficiles" voire "illisibles". Des élus s'interrogent aussi sur leur pérennisation, surtout pour les petites villes.Rollon Mouchel-Blaisot, le préfet directeur du programme national ACV, a tenu à rassurer les maires réunis au Congrès des villes de France le 11 juillet.Il veut aller "plus fort, plus vite et plus loin" pour la phase 2 d'ACV, étendue jusqu'en 2026. Il préconise ainsi de remettre en question la différence entre zones tendues (fort déséquilibre entre l'offre et la demande de logements) ou détendues: "il n'y a pas assez de logements adaptés".Il veut également élargir la revitalisation "aux quartiers de gare et aux entrées de ville" et poursuivre les programmes de défiscalisation des travaux de rénovation dans l'immobilier locatif."La politique publique de revitalisation souffre d'un déficit de notoriété manifeste qui nuit à son efficacité", constate la mission sénatoriale. Les élus ont de nombreux outils à leur disposition, insiste-t-elle, mais ils ne se sentent pas assez accompagnés par l'Etat.
Il y a 2 ans et 297 jours

Les prix de l'immobilier sur le littoral dopés par la crise sanitaire, selon la Fnaim

Le coût dans les stations balnéaires a augmenté sur un an de 13% contre 7,7% pour la France entière, même si l'écart est moindre avec la province (+8,8%).En moyenne pour l'ensemble des logements, le prix sur le littoral s'élève à 4.467 euros le mètre carré au 1er juin 2022, contre 3.020 euros/m2 sur l'ensemble du territoire."On constate clairement un +effet post Covid+ sur les stations balnéaires", explique le président de la Fnaim, Jean-Marc Torroillon. "Les Français sont à la recherche d'évasion, d'espace et de nature à l'issue de cette crise sanitaire. Plus que jamais, s'extraire des grandes zones urbaines est une priorité. Les fortes chaleurs qui deviennent plus violentes et plus récurrentes sont également certainement un argument de poids", ajoute t-il.Entre avril 2018 et mars 2020, dans les 24 mois précédant la crise sanitaire, les prix dans les stations balnéaires avaient augmenté de 6,9% (contre 7,5% sur tout l'Hexagone). Dans les 24 mois suivants la crise (de mai 2020 à avril 2022), les prix dans les stations balnéaires ont crû de 24,2% (contre 14,6% sur l'ensemble du pays).Au niveau régional, les deux régions où les prix dans les stations balnéaires ont le plus augmenté sont la région Provence-Alpes-Côte d'Azur et la Nouvelle-Aquitaine : les communes littorales de région Paca ont un prix moyen de 5.429 euros du m2 au 1er juin 2022, celles de Nouvelle-Aquitaine, 5.307 euros.A l'inverse, les régions Normandie (2.939 euros) et Hauts-de-France (3.183) sont celles où les prix sur le littoral sont les moins élevés.
Cimbat
Il y a 2 ans et 297 jours

Var : de nouvelles places de stationnement sur la place de la Paix - Simone-Veil à Draguignan

La municipalité de Draguignan (Var) réaménage la place de la Paix – Simone-Veil pour créer des emplacements de stationnement supplémentaires.
Il y a 2 ans et 297 jours

Vendée: lancement des travaux du futur parking à étages de la gare de Montaigu-Vendée en septembre 2022

Le chantier du futur parking à étages de la gare de Montaigu-Vendée sera majoritairement financé par la Communauté d’agglomération Terres de Montaigu.
Il y a 2 ans et 297 jours

Vendée : le Musée d’art moderne et contemporain des Sables-d’Olonne sera rénové et agrandi d’ici à 2028

L’État participe à hauteur de 3,5 millions d’euros au projet d’extension et de réhabilitation du Musée d’art moderne et contemporain des Sables-d’Olonne.
Il y a 2 ans et 297 jours

Haute-Garonne : le pont de Mauzac qui enjambe la Garonne sera en chantier d’ici à 2023

Le département de la Haute-Garonne assure la maîtrise d’ouvrage des travaux de restauration du pont de Mauzac.
Il y a 2 ans et 297 jours

Seine-et-Marne : travaux jusqu’au 25 août 2022 sur l’A5a

Des travaux de rénovation sont actuellement menés sur plusieurs échangeurs de l’A5a, dans le secteur du centre commercial Westfield Carré Sénart à Lieusaint, en Seine-et-Marne.
Il y a 2 ans et 297 jours

Pyrénées-Atlantiques : le parking de l’Usine des tramways à Pau sera en chantier en septembre 2022

Le parking de l’Usine des tramways, fermé au public à partir de la rentrée prochaine, rouvrira en 2023.
Il y a 2 ans et 297 jours

Hauts-de-Seine : Bagneux décroche 12,8 millions d’euros du dispositif « Quartier d’avenir » mis en place par le Département

Les deux premières enveloppes du dispositif « Quartier d’avenir » sont attribuées aux projets de requalification des quartiers Pierre-Plate et de l’Abbé Grégoire-Mirabeau à Bagneux (Hauts-de-Seine).
Il y a 2 ans et 297 jours

JO-2024 : une passerelle pour relier la piscine olympique au Stade de France

"C'est le symbole des Jeux olympiques et paralympiques qui approchent", se réjouit Mathieu Hanotin, maire PS de Saint-Denis, sur le parvis du Stade de France, à une cinquantaine de mètres du tronçon de la passerelle, en passe d'être déplacé."Au delà du symbole, cette passerelle va être un lien qui va permettre de recoudre un peu plus deux morceaux de Saint-Denis qui ne pouvaient pas cohabiter", ajoute le président de Plaine commune, évoquant le noeud routier séparant le quartier La Plaine et le futur quartier de la ZAC Plaine Saulnier dont le développement est prévu après les JO-2024. Assemblée à côté du futur centre aquatique, la passerelle a été déplacée et pivotée dans la matinée pour être placée dans l'axe de son emplacement final, perpendiculaire à l'A1, qu'elle surplombera.A midi, l'imposante structure reposait sur des remorques modulaires autopropulsées, engins adaptés au transport de structures massives, ont constaté des journalistes de l'AFP.Les ouvriers s'activaient pour s'assurer de la répartition de la charge de l'ouvrage avant le début de la translation."La structure fait 70 mètres de long, 20 mètres de large et 900 tonnes. Il faut que tout soit parfait", commente Bruno Menez, chargé de la communication chantiers chez Bouygues Bâtiment Ile-de-France, responsable de l'ouvrage. Le déplacement du tronçon sur 70 mètres s'effectuera sur plusieurs heures mardi après-midi."Ce n'est pas une course de vitesse mais de précision", note un des ingénieurs sur place.Après le déplacement, "il faut assurer les finitions de l'ouvrage", explique Jean-Michel Genestier, maire DVD du Raincy et conseiller métropolitain délégué à la logistique urbaine.La passerelle sera ouverte au public à l'été 2023, un an avant les JO-2024."On estime que 15% des spectateurs qui viennent sur le Stade de France ou le centre aquatique pendant les JO viendront par le Grand Paris Express (en construction, NDLR) et passeront par cette passerelle", détaille Mathieu Hanotin, évaluant le flux à 20.000 personnes par jour.Après les JO, la passerelle sera végétalisée et réduite à 12 mètres de large.L'ouvrage a engendré la fermeture exceptionnelle pendant 54 heures d'un tronçon de l'autoroute A1, qui rouvrira jeudi à 4H00 du matin.
Il y a 2 ans et 297 jours

BDD AEB repris totalement par ses actionnaires historiques

Le spécialiste isérois de la transformation et de la valorisation du bois de construction a opéré une nouvelle évolution capitalistique au profit de la famille de son dirigeant, Michel Cochet.
Il y a 2 ans et 297 jours

Yvelines : réaménagement du square Blaise-Pascal à Versailles

À Versailles (Yvelines), le square Blaise-Pascal va être réaménagé d’ici à 2023.
Il y a 2 ans et 297 jours

Mecalac présente une toute nouvelle gamme de chargeuses compactes

Une gamme de 6 machines pour répondre à tous les besoinsLa nouvelle gamme Mecalac MCL comprend 6 modèles, de 1,74 t à 2,85 t :4 modèles à flèche longue (standard), adaptés aux besoins du segment agricole. 2 modèles à flèche courte, particulièrement adaptés aux besoins du segment de la construction.MCL2 : Son petit gabarit et sa transmission à moteurs roues lui permet d’évoluer avec agilité sur tous les terrains. Plus petite machine de la gamme MCL mais dotée de performances maximales, elle possède toutes les caractéristiques des grandes. Son poste de conduite moderne et ergonomique, protégé par un canopy, est également disponible en version cabine.MCL4 : Elle offre un excellent compromis entre compacité et performances de levage. Avec son moteur de 18,4 kW, c’est aussi la machine idéale pour les parcs de location qui souhaitent une machine performante et durable. Son poids de transport réduit permet de transporter la machine sur une remorque routière.MCL6 : Le meilleur de la MCL4 mais avec encore plus de puissance, son moteur de 36 kW lui permet notamment d’atteindre des vitesses élevées sur route. Son haut débit hydraulique et sa rapidité d’exécution permettent d’augmenter considérablement la productivité sur les chantiers.MCL8 : Puissance, grande hauteur de déversement et capacité de levage sont les maitres mots qui ont guidées la conception de cette machine. Elle est à l’aise dans toutes les circonstances que ce soit pour charger, manutentionner ou entrainer des accessoires hydrauliques.MCL4+ / MCL6+ : Des versions bras courts pour répondre aux besoins particuliers des différentes applications notamment pour le secteur de la construction en offrant une charge de basculement accrue.Toutes les machines seront disponibles en 3 versions : canopy, canopy avec toit escamotable ou cabine.Équipements et options exclusifsLes nouvelles chargeuses MCL pourront être équipées des dernières technologies Mecalac en matière de confort et d’assistance à la conduite parmi lesquelles :M-Drive : transforme votre machine en un porte-outil, vous pouvez contrôler la vitesse de la machine à la pédale à un régime moteur donné (accélérateur manuel)Speed-control : redéfinissez à la demande la plage de vitesse utilisable via la pédale d’avancement. Un choix d’une vitesse réduite permettra par exemple de réaliser des travaux de grande précisionMyMecalac Connected Services : maximisez l’utilisation de vos machines grâce à des données optimisées et accessibles, des temps d’arrêt réduits et une meilleure gestion de la flotteDigicode de démarrage : un clavier permettant de mieux contrôler l’utilisation de la machineCette nouvelle ligne de produits renforce encore la position de Mecalac sur le marché des chargeuses et permet d’accélérer le développement des segments de clientèles tels que les secteurs agricoles, du paysagisme ou de la location.
GDA
Il y a 2 ans et 298 jours

Qualité des eaux : le Conseil d’Etat impose la prise en compte des impacts temporaires d’un projet

La Haute juridiction administrative tire les conséquences des précisions apportées par le juge européen le 5 mai dernier sur la non-conformité du droit français à la directive-cadre sur l’eau. Les procédures d'autorisation des projets ayant en phase chantier de forts impacts sur les masses d'eau sont concernées.
Il y a 2 ans et 298 jours

Vers une croissance "légèrement positive" au troisième trimestre, selon la Banque de France

"Avec les résultats que nous avons aujourd'hui et les anticipations fondées sur l'acquis de juillet, on peut tabler sur un taux de croissance légèrement positif" au troisième trimestre, a indiqué la Banque de France lors d'un point presse.La note de conjoncture, fruit d'une enquête menée auprès de 8.500 entreprises et établissements entre fin juillet et début août, montre, selon l'institution, que "l'activité continue de résister" dans un environnement difficile.Les données dont dispose l'institution sont pour l'heure très parcellaires mais elles suggèrent une stabilité du produit intérieur brut (PIB) en juillet par rapport au mois précédent. Celle-ci s'explique par une légère baisse de l'activité dans l'industrie et la construction, contrebalancée par une progression dans les services marchands, détaille la Banque de France dans son compte-rendu mensuel."Les premiers signaux suggèrent que cette stabilisation se poursuivrait en août", poursuit-elle, tout en soulignant que cette prévision est incertaine puisque que le mois ne fait que débuter, et en mettant en avant les contrastes selon les secteurs.L'ensemble des signaux économiques font dire à la Banque de France que la croissance pourrait être "légèrement positive" en variation trimestrielle au troisième trimestre.La croissance française avait retrouvé des couleurs sur l'ensemble du deuxième trimestre, progressant de 0,5% selon une première estimation publiée par l'Insee fin juillet, et qui reste à confirmer fin août. Celle-ci s'explique par une contribution nettement positive du commerce extérieur à la croissance.Le gouvernement anticipe sur l'année 2022 une croissance de 2,5%, un peu plus que l'Insee et le FMI qui tablent sur 2,3%.
Il y a 2 ans et 298 jours

Les obstacles d’EDF pour développer le nucléaire

Deux projets, français et britannique, illustrent les difficultés de l’entreprise publique sur ce sujet.
Il y a 2 ans et 298 jours

Présentation de TH, entreprise qui conçoit et construit des habitats modulaires bas carbone en structure bois

Le saviez-vous ?Le bâtiment est le 2ème secteur le plus polluant, juste derrière les transports. Les émissions du bâtiment représentent, selon l’ONU, près de 40 % du total des émissions humaines mondiales.Avec la nouvelle réglementation environnementale pour les bâtiments neufs qui impose de privilégier les matériaux bas carbone, la construction en bois a le vent en poupe. Le bois constitue une alternative très intéressante au béton de ciment de par plusieurs facteurs : il est stockeur de carbone, produit peu de déchets, a des performances d’isolation thermiques et acoustiques remarquables et une régulation naturelle de l’humidité.*Spécialisée dans la construction à impact environnemental et sociétal positif, TH conçoit et construit des habitats modulaires bas carbone en bois, sans eau et sans déchet depuis 2014 dans sa première fabrique de 5.000 m2 implantée à Dole en Bourgogne-Franche-Comté. En choisissant le bois, issu de forêts gérées durablement, comme matière première, TH apporte une solution au gâchis environnemental de la construction en béton beaucoup plus émettrice de gaz à effet de serre. Les habitats TH émettent en effet 35% de GES en moins par rapport à une construction en maçonnerie traditionnelle.*https://www.lafabriqueecologique.fr/le-beton-mis-au-defi-des-enjeux-environnementaux/Les constructions en bois présentent plusieurs avantages :Légèreté : La structure cellulaire du bois le rend léger tout en étant très solide. Son faible poids permet également d'optimiser l'énergie consommée pour sa transformation et son transport. De plus, sa légèreté permet de construire sur tous types de terrains contrairement au béton ;Isolation : Les complexes des murs en bois assurent une bonne isolation thermique. Les modules TH nécessitent une très faible consommation énergétique grâce à une isolation quasiment passive jusqu’à 800m d’altitude ;Rapidité : Le temps de production des modules TH est divisé par 4 et la durée de chantier divisée par 10. Les modules TH étant préfabriqués dans leur fabrique, le temps de montage sur le lieu du chantier est réduit ;Recyclabilité : Contrairement aux matériaux de construction traditionnels, le bois est un matériau dont la revalorisation et le recyclage sont possibles ;Techniques sèches : les constructions en bois ne nécessitent pas d’utilisation d’eau.Répondant à une forte demande, TH continue son expansion en prouvant que la reconfiguration du secteur de la construction est possible. L’entreprise compte aujourd’hui 60 employés et réalise un chiffre d’affaires de 7 Mn€ (2022). En 2023 une nouvelle fabrique de 10.000 m2 ouvrira ses portes dans les Hauts-de-France. Pour 2026, TH ambitionne de livrer 1.000 logements par an avec un déploiement national sur plusieurs sites.
Il y a 2 ans et 298 jours

Un marchepied allemand pour Colas Rail

Colas Rail annonce l’acquisition d’une PME familiale allemande spécialisée dans les travaux ferroviaires et surtout active au centre de l’Allemagne, de la Hesse à la Saxe. Fort de 70 millions d’euros de chiffre d’affaire et de 300 salariés, le groupe Hasselmann se positionne sur le marché en plein boom des lignes classiques.
Il y a 2 ans et 298 jours

Le Jones Beach Energy & Nature Center s’équipe d’une terrasse en bois Kebony

Le hameau de Wantagh, dans l’état de New York, abrite le Jones Beach Energy & Nature Center. Il s’agit d’une organisation éducative unique centrée sur l’interconnexion entre la vie humaine, l’utilisation des énergies et la préservation de l’environnement. Le Jones Beach Energy & Nature Center propose une variété de programmes et d’événements qui apprennent aux visiteurs comment devenir des gardiens dévoués de l’environnement.L’une des raisons ayant motivé le choix du bois Kebony Clear pour toute la terrasse du site est son alignement sur le modèle de construction Net Zéro du centre. La technologie Kebony, née en Norvège, consiste en effet à modifier les bois résineux issus de sources durables afin de leur conférer les propriétés de durabilité, de dureté et de stabilité dimensionnelle des bois durs tropicaux. Ce procédé unique est respectueux de l’environnement et permet aux structures de ne nécessiter aucun entretien, tout en leur offrant une grande résistance aux aléas climatiques et aux passages répétés : autant de caractéristiques faisant de Kebony le bois idéal pour ce projet.Le centre est un lieu inspirant qui constitue, d’après les visiteurs, l’une des meilleures activités familiales de la région. De nombreuses expositions interactives y sont organisées, destinées aux enfants comme aux adultes. Situé à l’extrémité ouest de la plage de Jones Beach, le centre surplombe l’océan et les dunes. Ainsi, les lames de bois Kebony Clear lui permettent de s’intégrer harmonieusement dans cet environnement naturel fragile, sans le dénaturer.Kebony est un bois véritable, haut de gamme, écologique et durable, utilisé dans de nombreuses applications extérieures : terrasse, bardage, toiture et mobilier.La technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d’améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l’environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide organique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa densité et stabilité dimensionnelle, et lui donne un coloris brun foncé similaire d´un bois tropical. Le siège mondial de la société est basé à Oslo, en Norvège, et ses sites de production se situent à Skien, sud d'Oslo et à Anvers en Belgique.
Il y a 2 ans et 298 jours

D’une détresse respiratoire naquit Conscient, une peinture naturelle écologique

Dans notre recherche de partenaires pour nos abonnés, nous avons eu un véritable coup de cœur pour cette jeune entreprise de peinture naturelle, née d’une prise de conscience sanitaire et écologique : Conscient ! Découvrez notre interview complète réalisée en visio avec Anas et Sirine de Conscient : Une prise de conscience fortuite ! Après […]
Il y a 2 ans et 299 jours

A Paris, des feuilles mortes se ramassent déjà à la pelle

Depuis mi-juillet la capitale vit, comme d'autres territoires de France, un automne anticipé causé par les vagues de chaleur à répétition et la sécheresse.Avec un mois d'avance sur le calendrier, les platanes et les marronniers, sont les premiers feuillus a avoir perdu leurs feuilles.Au pied d'un marronnier du parc aux feuilles raréfiées et flétries, Tim Peiger, 28 ans, bûcheron de la Direction des espaces verts et de l'environnement (Deve) de Paris, grimace : "il a pris cher"."Le feuillage devrait être bien vert. Les branches retombent avec le poids des feuilles. Et quand les feuilles tombent, il n'y a plus de photosynthèse, le bois n'est plus nourri, il sèche et fait du bois mort", diagnostique M. Peiger.Pourtant, ce phénomène spectaculaire lié à la sécheresse reste sans gravité à ce stade, estiment les experts de la ville."Ces arbres sont loin d'être stupides, même s'ils affolent tout le monde, ils se mettent simplement en mode survie", se débarrassant de leurs verdure pour économiser leurs réserves, assure Béatrice Rizzo, chargée de la cellule expertise Arbres et bois à la Deve.Si les conditions météorologiques sont favorables, ces arbres séchés dès l'été "peuvent réenclencher une pousse" avant l'automne, assure Mme Rizzo, qui n'y voit rien d'anormal et célèbre leur "résilience".Mais d'autres pathologies liées aux chaleurs extrêmes, inquiète la patronne des arbres parisiens.Comme les "brûlures solaires", ces coups de soleil sur l'écorce, qui creusent une plaie au bois et va faciliter son parasitage, menaçant l'arbre à long terme."C'est nouveau et c'est lié au climat", souligne l'experte.Platanes de Napoléon IIILorsque le "grand jardinier" du Paris de Napoléon III, Adolphe Alphand s'attaque dans les années 1860 au chantier des parcs et jardins de Paris, créant quasi ex nihilo les Bois de Boulogne, Vincennes, les Buttes-Chaumont et les principaux "alignements" verts des avenues, les essences indigènes s'imposent, notamment le platane réputé à la fois robuste et ombrageant."C'est une essence très résistante, qui résiste bien à la sécheresse et puis c'est emblématique de la ville de Paris", affirme le jeune bûcheron des Buttes-Chaumont à propos de l'arbre fétiche de Napoléon, qui compose 38% des plantations de rue et borde par exemple les Champs-Elysées.Entre les périodes 1873-1902 et 2000-2019, la température moyenne de la capitale mesurée à la station du Parc Montsouris a augmenté de 2,3° contre 1° au niveau mondial, selon l'Agence parisienne du climat.Le climat de Paris change, mais les arbres d'Alphand, patrimoine iconique de la ville, resteront tant qu'ils tiennent.La municipalité s'est néanmoins dotée d'outils pour introduire de nouvelles essences plus adaptées à ce réchauffement parmi les 170.000 plantations planifiées dans les prochaines années.Les essences dites méditerranéennes, comme le micocoulier de Provence et même le pin commencent à être privilégiées à Paris.BrûluresDans ces nouvelles conditions climatiques, les jardiniers de Paris ont aussi adapté leur routine d'entretien.Malgré les restrictions d'eau "il n'y a plus un endroit qu'on n'arrose pas", explique Irène Henriques, la responsable des jardiniers municipaux aux Buttes-Chaumont. Son équipe finalise ainsi sur une application la programmation d'un arrosage automatique de nuit, recommandé par la Mairie.La pratique de la "taille" a aussi été modifiée. "On taille moins mais plus régulièrement pour garder plus de branches", renseigne la jardinière.Le "paillage", technique qui consiste à déposer aux pieds des arbres un tapis composé de branches broyées pour limiter l'évaporation est privilégiée.La surveillance, au pied comme en cime, pour repérer brûlures et branches prêtes à céder est renforcée.Et les habitués du parc s'y mettent aussi. En témoigne les mots plus ou moins doux reçus par les jardiniers de la part des vigies citoyennes du quartier."Aujourd'hui, on remarque pas encore de choses dramatique", reconnaît Daniel Ollivier, 78 ans, à la tête d'un groupe de randonneurs de marche nordique, peu affolé par l'automne anticipé."Mais ça ne veut pas dire que ça ne peut pas venir très prochainement", conclue-t-il en pointant son bâton de marche vers le ciel.
Il y a 2 ans et 299 jours

Bercy annonce des vaches maigres aux collectivités

Les concours de l’Etat aux collectivités locales devraient alimenter de nouvelles tensions à la rentrée. Dans son rapport sur les plafonds de dépenses du projet de loi de finances 2023 publié le 8 août, le ministère de l’Economie et des Finances annonce, certes, une hausse de 0,6 milliard en euros courants. Mais la progression nominale de moins de 1 % cache une diminution substantielle.
Il y a 2 ans et 299 jours

Val-d’Oise : deuxième phase de la requalification de la chaussée Jules-César à Beauchamp

À Beauchamp (Val-d’Oise), la Communauté d’agglomération Val Parisis poursuit les travaux de réaménagement de la chaussée Jules-César.
Il y a 2 ans et 299 jours

Val-de-Marne : des panneaux solaires sur le toit du futur immeuble administratif Eiffel à Créteil

À Créteil, le futur bâtiment administratif Eiffel a été équipé de panneaux photovoltaïques dans le cadre de la politique énergétique menée par le département du Val-de-Marne.
Il y a 2 ans et 299 jours

Seine-Saint-Denis : des travaux préparatoires à Aubervilliers en vue de la construction de la nouvelle gare de la ligne 15

En raison du chantier de la nouvelle gare de la ligne 15 à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), des travaux de voirie ont été lancés aux abords de l’avenue de la République.
Il y a 2 ans et 299 jours

Rhône : 7 millions d’euros investis dans les travaux d’été 2022 à Lyon

Dans le cadre de la réalisation des travaux d’été pour cette année, la ville de Lyon va mobiliser un budget de 7 millions d’euros.
Il y a 2 ans et 299 jours

Puy-de-Dôme : Riom Limagne et Volcans, développement de l’offre de logements sociaux

Dans le Puy-de-Dôme, la Communauté d’agglomération Riom Limagne et Volcans développe son offre de logements sociaux à travers son programme local de l’habitat.
Il y a 2 ans et 299 jours

Puy-de-Dôme : création de deux jardins partagés à Clermont-Ferrand

À Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), des jardins partagés seront aménagés au sein de la résidence Le Panoramic et de la pension de famille Côté Cour.
Il y a 2 ans et 299 jours

Loire-Atlantique : Habitat 44 a créé 33 nouveaux logements à La Chapelle-sur-Erdre

À La Chapelle-sur-Erdre, la résidence Gaïa et les Villas Gaïa viennent d’être livrées. Il s’agit de projets immobiliers portés par Habitat 44.
Il y a 2 ans et 299 jours

Ille-et-Vilaine : renouvellement urbain du centre-bourg de Saint-Sulpice-la-Forêt

À Saint-Sulpice-la-Forêt (Ille-et-Vilaine), les premières études sur le projet de revitalisation du cœur de bourg vont commencer en septembre 2022.
Il y a 2 ans et 299 jours

Peinture réflective Solarcoat pour bâtiments industriels, commerciaux et publics

Avec l’accélération de la demande des entreprises pour rafraîchir leurs bâtiments énergivores tout en réduisant leur facture énergétique et en luttant contre le réchauffement climatique, SOLAR-PAINT s’inscrit dans une dynamique de croissance organique. Avec plus de 100.000 m2 de toits d’ores et déjà repeints, l’entreprise a l’objectif de recouvrir en peinture réflective près de 150.000 m2 de surfaces de toiture en 2022. Grâce à ce procédé de cool-roofing, technique qui consiste à revêtir les toits de peinture blanche et réflective, les bâtiments repeints peuvent ainsi voir leur température intérieure baisser en moyenne de 5°C.Une solution Made in France économique et très positive pour l’environnementLa solution SOLARCOAT est une peinture à l’eau qui intègre dans sa composition, des ingrédients naturels et des ajouts de matière recyclée comme la brisure de verre. SOLAR-PAINT s’est appuyée sur l’expertise de son fournisseur, premier fabricant français de peinture basé dans l’Ariège, pour mettre au point la formulation qui a nécessité de nombreux mois de R&D et un investissement de près de 400.000 euros.Simple, peu coûteuse (16 à 22 euros le m2 incluant la peinture et son application), durable et dotée de propriétés supérieures aux critères de référence, la solution SOLARCOAT est extrêmement performante. Son taux de réflexion solaire supérieur à 92% permet de baisser la température de 5°C en moyenne à l’intérieur des bâtiments et de limiter le recours aux climatisations en période estivale. A la clé, des économies d’énergie considérables, une amélioration du confort et du bien-être des salariés et des clients et une contribution à la lutte contre le réchauffement climatique.A titre d’exemple, quand la facture moyenne d’une grande surface en termes de consommation d’énergie est de l’ordre de 500.000 euros par an, les économies d’énergie peuvent atteindre jusqu’à 30% sur le poste climatisation des bâtiments en été. Couverte par une garantie décennale, SOLARCOAT a des capacités exceptionnelles de résistance aux eaux stagnantes, à la grêle et au feu (certification Broof (T3).SOLARCOAT a un pouvoir réfléchissant supérieur à la norme de référence SRI (Solar Reflectance Indicator) : 116,5/100. Un résultat qui place SOLARCOAT parmi les plus efficaces dans ce domaine.Pour Michel Rouault, Président de SOLAR-PAINT et de ICGroup : « La peinture athermique que nous avons mis au point constitue une réelle réponse aux économies d’énergie et donc aux émissions de gaz à effet de serre. De par sa conception écologique, sa facilité d’emploi, son faible coût et ses performances supérieures aux critères de référence, SOLARCOAT est une solution tout à fait pertinente pour réduire les coûts énergétiques et les coûts environnementaux des bâtiments avec une efficacité immédiate et pérenne dans le temps. Il y a en effet un réel besoin auquel nous entendons répondre au mieux. »Une capacité industrielle pour adresser les marchés français et européens du cool roofingIl y a aujourd’hui en France 500 millions de mètres carrés de toitures de bâtiments commerciaux, industriels publics et plateformes logistiques qui pourraient être recouverts de peintures réflectives. Peu connu en France et en Europe jusqu’alors, le cool-roofing (toit frais) qui nous vient des Etats-Unis, a un potentiel de marché considérable.Datas centers, sites industriels de secteurs d’activités très variés (industrie pharmaceutique, environnement, agro-alimentaire), plateformes logistiques, surfaces de la grande distribution, foncières immobilières, collectivités locales...les acteurs qui font appel au cool roofing pour réduire leur facture énergétique sont de plus en plus nombreux. La demande en France est boostée par la loi Elan de 2018 qui impose aux entreprises du secteur tertiaire, 40% de consommation énergétique en moins en 2030 par rapport à 2010 et 50% de réduction d’ici à 2040.Pour Michel Rouault, Président et fondateur de SOLAR-PAINT : « De par notre capacité industrielle et notre équipe intégrée d’applicateurs formés au cool roofing, nous sommes aujourd’hui très bien positionnés pour répondre à l’accélération de la demande en France et en Europe. Nous avons l’ambition d’être un acteur européen incontournable sur le marché porteur du cool roofing. On se projette d’ici à deux ans dans trois pays d’Europe du Sud avec l’Espagne en ligne de mire dès à présent du fait de notre proximité géographique avec la péninsule ibérique. »SOLAR-PAINT a signé des contrats commerciaux avec des acteurs de l’industrie et de la grande distribution en Occitanie, sa région d’origine, avant d’essaimer sur l’ensemble du territoire national avec de grandes entreprises comme E. Leclerc, Carrefour Market ou encore Aldi. L’entreprise est aujourd’hui dans une phase d’accélération de son déploiement commercial en France et en Europe. Son adossement à un groupe spécialisé dans les « services à l’industrie » et ce, depuis près de 45 années, lui procure la capacité industrielle pour répondre à un marché en forte croissance.
Il y a 2 ans et 299 jours

La légitimité des géomètres-experts consacrée en matière de copropriété par la Cour de Cassation

En quoi cet arrêt de la Cour de cassation est-il important ?Pour Maître Bertrand Périer : « Plusieurs éléments traduisent l’importance de cet arrêt. D’abord le fait que la Cour de cassation ait décidé de le publier à son Bulletin. La Cour de cassation ne publie au bulletin que les arrêts dont elle estime qu’ils ont une valeur de principe au-delà du cas d’espèce qu’ils tranchent. Il s’agit d’une toute petite minorité de ses arrêts. La publication montre qu’il s’agit d’une décision qui n’est pas de pure espèce. Autre élément : la Cour de cassation a rédigé un « sommaire » pour accompagner la publication de cet arrêt. C’est en quelque sorte le résumé par la Cour de cassation de son propre arrêt. Il est assez clair puisqu’après avoir cité les articles 1 1° et 2 de la loi du 7 mai 1946, elle écrit : « viole ces textes la cour d'appel qui, pour dire qu'un plan annexé aux actes d'une copropriété est régulier et s'impose aux copropriétaires successifs, retient qu'il importe peu qu'il n'ait pas été réalisé par un géomètre-expert, alors que le plan annexé aux actes de copropriété délimite les droits fonciers des copropriétaires ».Avec ce sommaire, la Cour de cassation n’entend-elle pas donner une portée très générale à son arrêt ?Pour Maître Bertrand Périer : « Effectivement. Cet arrêt s’étend donc à tous les plans annexés aux actes de copropriété. Ainsi, lorsque le plan annexé aux actes de copropriété délimite les droits fonciers, il ne peut être que l’œuvre d’un géomètre-expert. A défaut, il est inopposable. La généralité des termes employés montre que la Cour de cassation n’entend pas cantonner cette solution à une copropriété horizontale ou à la situation très particulière de l’espèce, à savoir une copropriété à deux. La solution est applicable à toutes copropriétés quels que soient leur nature ou le nombre de copropriétaires… »Cet arrêt limite-t-il de fait le monopole des géomètres aux seuls plans délimitant les droits fonciers ?Pour Maître Bertrand Périer : « Tout à fait. A l’inverse, les plans qui ne délimitent pas les droits fonciers, par exemple parce qu’ils ne sont pas annexés aux actes de copropriété ou pas publiés, ne relèvent pas du monopole. Relèvent du monopole les plans annexés et qui délimitent les droits fonciers. Cette décision ne crée pas un « nouveau monopole » comme j’ai pu le lire. Il s’agit de la simple application à la copropriété d’un principe très ancien selon lequel tout plan ayant vocation à délimiter des droits fonciers ne peut être réalisé que par un géomètre-expert. Il n’y a là rien de nouveau ! La Cour de cassation ne fait que tirer les conséquences des articles 1.1° et 2 de la loi de 1946 : la loi réservant aux géomètres-experts l’établissement des documents délimitant les droits fonciers, relèvent nécessairement de ce monopole les plans annexés aux actes de copropriété ayant une telle finalité de délimitation ».Dès lors, quelles sont les finalités de ce monopole ?Pour Maître Bertrand Périer : « Les raisons et justifications de ce monopole sont connues et consacrées de longue date par la jurisprudence : il s’agit de réserver à une profession réglementée, contrôlée, dont l’exercice suppose l’acquisition et le maintien d’une compétence et le respect d’une déontologie, les actes délimitant les biens fonciers, afin de sécuriser et de protéger le droit de propriété et les droits des propriétaires ». Plus que jamais les géomètres-experts s’affirment comme des acteurs reconnus et légitimes pour exercer toutes les missions inhérentes au droit foncier. Pour les particuliers, c’est aussi la garantie de pouvoir s’appuyer sur un expert fiable qui sécurise leurs droits en tant que propriétaires.
Il y a 2 ans et 299 jours

Var : deux mois de travaux prévus sur la place de la Paix-Simone-Veil à Draguignan

Le chantier mené sur la place de la Paix-Simone-Veil à Draguignan (Var) s’élève à 170 000 euros.
Il y a 2 ans et 299 jours

Yvelines : la rue Clairefontaine à Rambouillet sera en chantier à partir de la mi-août 2022

Des travaux de réaménagement et de rénovation seront entrepris sur la rue Clairefontaine à Rambouillet (Yvelines), dès la mi-août et jusqu’au 26 août.
Il y a 2 ans et 299 jours

Vendée : une nouvelle résidence seniors, Villa Beausoleil, en construction à Saint-Gilles-Croix-de-Vie

À Saint-Gilles-Croix-de-Vie (Vendée), la nouvelle résidence services seniors du groupe Steva comprendra 148 appartements dédiés à la location.
Il y a 2 ans et 299 jours

Vendée : La Roche-sur-Yon, des travaux de voirie prévus jusqu’en septembre 2022

Cet été, des travaux sont réalisés dans les rues de la ville de La Roche-sur-Yon (Vendée).