Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 2 ans et 314 jours

« Le Square » : nouveau lieu de référence pour les solutions « menuiserie métal » signé Reynaers Aluminium et Forster

Un showroom unique en plein centre de ParisSitué en plein centre de Paris, au 46 rue Chanzy dans le 11ème, ce lieu de découvertes et d’échanges est une vitrine ouverte sur les gammes de Reynaers Aluminium, de Forster et de celles de marques partenaires qui ont fait le choix de s’associer à la démarche.Plus de 300m2 ouverts aux Architectes et aux Professionnels Situé à proximité des plus grands cabinets d’architecture, « LE SQUARE » est un lieu d’exposition, de conception et d’échange de plus de 300m2 dédié aux architectes, bureaux d’études, et autres professionnels de la construction. Dès son arrivée, le visiteur est plongé dans un espace lumineux, structuré, chaleureux et rassurant qui invite à la découverte. L’espace organisé autour de circuits de visite clairs où la mise en scène des produits garantit une excellente compréhension de l’offre. Spacieux et convivial ce showroom permet d’orienter les visiteurs vers deux zones dédiées, l’une pour les menuiseries en aluminium et l’autre vers les menuiseries acier. Maîtres d’ouvrage, architectes, bureaux d’études, économistes et professionnels découvriront tout un univers de solutions constructives et d’aide à la décision pour le bâtiment tertiaire, le commerce, l’habitat individuel et collectif, en neuf comme en rénovation. « LE SQUARE » met en valeur le savoir-faire des deux sociétés à travers de menuiseries exposées en configuration réelle valorisant les tendances actuelles en termes de clair de vitrage, de finesse des structures, de fonctionnalité et de sécurité. Au croisement des tendances architecturales et des solutions techniques Conscient que l’exigence est multiple, le SQUARE a été conçu dans l’objectif de proposer un large panel de solutions qui répondent en tous points aux exigences architecturales actuelles et à venir. Les visiteurs pourront profiter des conseils et des solutions présentées pour obtenir les réponses adéquates en termes de clair de vitrage, de grande dimension, de performances thermique et acoustique, de réglementation énergétique 2020, de protection des biens et des personnes, de retardement au feu et de protection contre les incendies.Lieu d’échanges et de travail Pensé pour faciliter la découverte des produits et en réponse aux besoins des architectes, « LE SQUARE » comprend différentes zones telles que des espaces de présentation, un atelier de conception et des salles de réunion permettant d’échanger et de travailler sur les projets architecturaux les plus variés. Le bâtiment combine expression du savoir-faire et exposition des produits, en toute subtilité et élégance. Ces différents espaces permettent d’offrir une totale polyvalence de configuration pour l’organisation de différents événements.Lieu dédié à un univers de solutions techniques et de services multi dimensionnel Afin d’apporter une réponse complète aux différents intervenants dans l’acte de construire, Reynaers Aluminium et Forster ont pensé et ouvert les portes de cet espace à des industriels complémentaires. Sur simple demande de rendez-vous, les prescripteurs et les professionnels pourront venir à la rencontre des spécialistes de Reynaers Aluminium, de Forster et des partenaires associés, tous spécialistes de leur domaine d’activité. Que ce soit pour le vitrage, les finitions, la protection solaire et la sécurité, les architectes, les bureaux d’études, les économistes de la construction et les maitres d’ouvrage peuvent bénéficier d’un espace de démonstration et d’échanges permettant d’étudier les projets les plus audacieux.Liste des partenaires avec leurs spécialités :AGC – vitrages résistants au feu Assa Abloy – solutions d’ouvertures de portesAxalta – technologie de peintures hautes performancesBandalux – solutions de contrôle solairedormakaba – solutions pour sécuriser l’accès aux bâtimentseffeff Assa Abloy – solutions de verrouillage et de gestion de portesRiou Glass – vitrages design et de sécuritéSonolaque – solutions de traitement de surface des métauxVitrumGlass – vitrages chauffants et intelligentsVetrotech – vitrages de sécuritéLieu de vie et de partage Outre sa fonction primaire, « le Square » ambitionne également de créer une certaine dynamique au travers de manifestations et d’événements sur des thématiques telles que l’art, le sport, la gastronomie, l’environnement ou encore la musique.L’idée sous-jacente à cette approche est d’associer le monde de la construction à différents univers culturels afin de positionner Reynaers Aluminium et Forster en tant qu’acteurs engagés et éclectiques.
Il y a 2 ans et 314 jours

Holcim, partenaire de Norman Foster et d’Habitat for Humanity

La Norman Foster Foundation et Holcim s’allie pour des abris d’urgences plus pérennes. [©Holcim] Le groupe cimentier Holcim s’est associé avec la Norman Foster Foundation. Ce partenariat vise à repenser les habitats d’urgence. L’idée est d’être capable de déployer 1000 abris et un centre médical en une seule journée. Le tout de façon plus pérenne, puisque conçu en béton. « Actuellement, 80 M de personnes ont été obligés de quitter leurs foyers dans le monde, explique Jan Jenisch, Pdg d’Holcim. Les habitats d’urgence peuvent être plus qu’un simple toit au-dessus d’une tête. Ils doivent redonner aux personnes la sécurité d’un foyer et la dignité qui va avec. Nous sommes très heureux de collaborer avec la Norman Foster Foundation. Pour mettre nos solutions et notre expertise au service pour atteindre ce but. » Des propos confirmés par Lord Norman Foster, président de la fondation éponyme. « Nous sommes excités de travailler avec Holcim à explorer la voie vers des abris d’urgence pérenne et réutilisables ». Un accès durable au logement Le partenariat a vu une première concrétisation début juin dernier, dans la capitale espagnole Madrid. Avec un campus de travail justement conscré à cette question. Le compte-rendu de ces échanges n’a pas encore été publié, mais les discussions ont tourné autour des questions de réutilisation, de recyclage, de béton bas carbone. Mais aussi de préfabrication foraine et de ciments “verts”. Dans le même temps, le cimentier a lancé un accord avec Habitat for Humanity. Une ONG qui lutte pour l’accès des populations à un habitat durable et abordable. Pour cela, les partenaires proposent l’accès à la plate-forme digitale iBuild. Une start-up qui a récemment rejoint les 800 entreprises du même type, membres de la galaxie Holcim. Un circuit court Cet outil permet aux familles d’avoir accès en un même endroit et ce, de manière intuitive, à des institutions de micro-finance. Des entreprises de construction, des fournisseurs de matériels et des distributeurs. Le tout en circuit court. Une première expérience a été lancée dans les régions de Bajio et Veracruz au Mexique. « L’un des piliers de l’impact social positif d’Holcim est d’accélérer l’accès à des logements abordables, a précisé Jan Jenisch. Avec l’urbanisation rapide actuelle, nous avons un rôle central à jouer pour construire plus, avec moins. Ceci, afin d’améliorer le minimum standard de vie. Avec plus de trois milliards de personnes en recherche de logements durables à l’horizon 2030, je suis très heureux du partenariat lié avec Habitat for Humanity. Dans le but de déployer des solutions digitales et innovantes en réponse à ce besoin sociétal. »
Il y a 2 ans et 314 jours

Vinci Airports déploie ses ailes au Cap-Vert

Le Premier Ministre du Cap-Vert, Ulisses Correia e Silva, a signé le 18 juillet avec Nicolas Notebaert, directeur général de Vinci Concessions et président de Vinci Airports, le contrat de concession des sept aéroports de l’archipel.
Il y a 2 ans et 314 jours

Bluetek équipe les Caves Richemer

Une cave mondialement connueHistoriquement basées à Marseillan (34) entre la Méditerranée, le Canal du Midi et la Lagune de Thau, les Caves Richemer sont une coopérative agricole depuis les années 1930. La coopérative réunit 200 vignerons dont les cépages représentent une surface totale de 1 000 hectares. Réputée sur le territoire et au-delà de nos frontières, la cave coopérative est connue pour la qualité de ses vins blancs (65 % de sa production) rosés et rouges régulièrement primés.L’œil avisé d’un architecte spécialiséFort de cette réussite commune qui ne cesse de croître depuis plus de 90 ans, la coopérative a décidé d’optimiser son flux de production par la construction d’un nouveau bâtiment au sein de la même commune. La coopérative s’est appuyée sur les compétences de David Sabourdy, fondateur du cabinet SBY Architecture situé à Jacou (34), spécialisé dans les projets d’immobiliers d’entreprise, de santé et d’éducation, mais également dans l’activité vinicole depuis plus de 15 ans. Le regard avisé de l’architecte, l’a conduit à imaginer une construction respectant l’ordre de la production des vins Richemer par la forme circulaire de l’édifice.Un bardage partiel en parements compositeTout en rondeur, la forme extérieure du bâtiment a été pensée à l’image de vins de la cave coopérative. Le bâtiment a bénéficié d’une ITE sur ses 4 000 m2 de façades. Ces dernières ont été revêtues de bardage dont la moitié de la surface totale (soit 2 000 m2) avec les Parements Composite Aluminium de BLUETEK fixés sur ossature métallique.Les parements de bardage BLUETEK se composent de deux plaques en aluminium unis (ou avec effets de matières) solidarisées par une âme en résine thermoplastique (disponibles en différentes dimensions avec une épaisseur unique de 4 mm). Le chantier a nécessité des parements d’une largeur unique de 1 500 mm et de trois longueurs de 4 000, 4 100 et 4 300 mm. Parti pris de l’architecte, le choix du gris (référence coloris BLUETEK : DECOR9006) qui enveloppe plus de 90% du bâtiment et du rouge (référence coloris BLUETEK : DECOR3004).Des lanterneaux avec une isolation renforcée en toitureLe toit terrasse de la nouvelle construction est également équipé de 29 lanterneaux de désenfumage Bluesteel Therm Pneu et Bluesteel Therm DV Pneu de BLUETEK. Répartis sur les 7 000 m2 du toit, les lanterneaux apportent la luminosité naturelle intérieure nécessaire à l’exploitation du site tout en complétant efficacement son isolation, indispensable au maintien de la température de la cave tout au long de l’année. Les lanterneaux offrent un URC moyen de 1,5 W/m2K selon les modèles. Actionnés par un système de vérins, ils disposent également d’une commande manuelle déportée et de capteurs qui déclenchent automatiquement leur ouverture dès que la température intérieure atteint 93°C en cas d’incendie.Une cave à bonne température+ L’isolation de la nouvelle cave Richemer combinée aux groupes froids qui équipent chacune des cuves permet de maintenir la température idéale dans l’édifice, toute l’année, sans faire appel à un système de climatisation rapportée.Une sécurité incendie complétée par des écrans de cantonnementQuant à l’équipement intérieur relatif à la sécurité incendie, la nouvelle cave a été dotée de deux écrans de cantonnement Smoke Fix de Bluetek, L30 et L40, (dimensions en ml : 30 X 2 et 20 X 2) en toile souple et résistante (densité : 0,4450 KG/m2), à base de fibre de verre, affichant une réaction au feu classée A2 s1 d0. C’est au total 80 m2 de surface qui ont été installés pour contenir les fumées.
Il y a 2 ans et 315 jours

Le béton, grand oublié de la transition écologique

Ingénieur Arts et Métiers Paris Tech, Florent Dubois est aujourd’hui responsable Construction Durable chez Lafarge France. [©Lafarge France] Deux ans après le forfait “Ma Prime Rénov”, les législateurs se penchent sur les standards des nouveaux bâtiments. Entrée en vigueur début 2022, la RE 2020 est pensée pour donner la primauté à la sobriété énergétique et à la décarbonation de la construction. En particulier, via l’utilisation de matériaux biosourcés… Pour beaucoup, ce contexte invite à faire plus vert que vert et donc à renier le béton qui reste associé à des représentations peu flatteuses. Bien qu’en théorie le béton ait toute sa place dans les nouveaux mix de matériaux, certains décideurs auront tendance à lui préférer le bois, même s’il ne s’agit pas toujours du matériau le plus adapté. Or, la question de la qualité de vie est trop importante – et trop complexe ! – pour se contenter d’une solution simple, voire simpliste. Sur le volet écologique et économique, le béton a de beaux arguments à faire valoir. D’autant qu’il a entamé sa mue bas carbone. Alors pourquoi le reléguer d’office au “monde d’hier”, sans lui donner une chance d’aller au bout de sa propre transition ? Le fantasme d’un urbanisme sans béton Enterrer le béton, c’est renoncer à une ressource utile et pleine de potentiel, qui a déjà beaucoup évolué depuis trente ans. [©Lafarge France] La question du mieux-vivre n’a jamais été aussi prégnante que depuis que nous avons été contraints de rester confinés à domicile. Pour beaucoup, la crise du Covid a mis en exergue des besoins jusque-là sous-estimés : plus d’espace, meilleur aménagement et ouverture sur l’extérieur. Conséquence directe : le “monde d’après” fait la part belle aux régions et aux villes dites “cathédrale” (situées à 2 h de Paris et dotées d’un patrimoine culturel riche). Ces aspirations individuelles sont loin d’être incompatibles avec une quête de mieux-être collectif. En un sens, les citoyens d’aujourd’hui renouent avec l’idéal aristotélicien de la tempérance et avec le dogme stoïcien qui consiste à vivre en accord avec la nature. L’heure semble être aux mobilités douces et à la sobriété, dont s’imprègne la nouvelle génération d’architectes et de promoteurs. De fait, les “éco-quartiers” et les bâtiments “éco-conçus” n’ont jamais autant été en vogue ! Alors que le rééquilibrage territorial qui se dessine met au jour de nouveaux besoins, en termes de logement, on attend de l’urbanisme contemporain qu’il s’intègre harmonieusement à la nature. Et dans cette vision idéalisée, le béton tel qu’on se le représente habituellement n’a pas sa place. Qui voudrait encore d’un matériau réputé polluant et non recyclable ? Le citoyen et la planète, grands perdants d’un débat qui n’en est pas un Il faut néanmoins rappeler que, comme toutes les images d’Epinal, celle-ci ne correspond à aucun art de vivre réel. D’une part, parce que peu de gens sont prêts à assumer un modèle de développement qui ne repose pas sur la métropolisation et l’augmentation des infrastructures de mobilité. D’autre part, parce que l’objectif impérieux de décarbonation impose des solutions complexes : jusqu’à preuve du contraire, le matériau miracle n’existe pas ! Pourtant, l’Etat a fait le choix d’investir des milliards d’euros dans la filière du bois et pousse à son utilisation massive… au détriment d’autres matériaux. Lire aussi : Shift Project, réduire son empreinte carbone Or, en fonction des territoires et de leur spécificité, ce parti-pris n’est pas toujours pertinent. Il peut même s’avérer contre-productif dans la mesure où le bois de construction répond mal à l’injonction du “vite et massif”, voire provoque, en cas de sylviculture intensive, des conséquences nocives sur l’environnement. Bien sûr, on ne peut qu’applaudir la volonté d’accélérer la transition vers une économie décarbonée. Mais il est dommage que le débat public se retrouve caricaturé et surtout perde de vue le principal intéressé : le citoyen lui-même. Celui-ci est tributaire de politiques qui le dépassent, mais qui le concernent au premier chef. Et pour cause : le logement représente en moyenne 20 % de ses revenus. Il est donc une bombe sociale latente. Nous avons trop tendance à oublier que les Français sont fortement contraints en termes de pouvoir d’achat. Et qu’avec la pénurie de logements, aggravée par la baisse de constructions neuves, la situation n’est pas près de s’arranger. Le béton est beaucoup moins cher que la plupart des matériaux existants. Et contrairement à ce qu’on pourrait penser, pas nécessairement plus polluant. L’évacuer du débat public au détriment de l’habitant et, in fine, de la planète, n’a tout simplement pas de sens. Oser le béton pour construire demain ! Le béton est beaucoup moins cher que la plupart des matériaux de construction existants. [©Lafarge France] L’enjeu dépasse la question du matériau A ou B, puisque c’est toute l’industrie qu’il faut transformer. Gardons-nous simplement d’être trop expéditifs dans les choix qui vont être faits. Enterrer le béton, c’est renoncer à une ressource utile et pleine de potentiel, qui a déjà beaucoup évolué depuis trente ans. Pour l’avenir, nous pouvons encore miser sur deux axes de technologies de rupture. Celles qui permettent de formuler des bétons bas carbone, recyclés ou encore biosourcés, et celles qui permettent de capter et de réutiliser les émissions résiduelles de CO2. Sans compter toutes les émissions que nous pouvons éviter, en utilisant tout simplement des bétons plus performants, en moindre quantité. Alors pourquoi nous en priver ? En s’appuyant sur ces leviers, la filière du béton pourra devenir neutre en carbone et largement moins consommatrice de ressources minérales non renouvelables. Mais ce chantier collectif est aussi une affaire de volonté politique. Nous ne manquons pas de données, ni sur les besoins de construction ni sur les ressources disponibles dans les différents territoires. Il est grand temps de quitter les postures idéologiques et de mettre toutes ces expertises au service d’une meilleure qualité de vie. Pour la nouvelle génération d’architectes, de techniciens et d’ingénieurs, le défi est passionnant. Il s’agit, ni plus ni moins, de construire un vivre-ensemble enfin durable. Florent DuboisIngénieur Arts et Métiers Paris Tech et responsable Construction Durable chez Lafarge France.
Cimbat
Il y a 2 ans et 315 jours

L’usine Bosch Thermotechnologie de Saint-Thégonnec opère une complète mutation

Exit, les chaudières fioul ou gaz, l’usine finistérienne de Bosch Thermotechnologie se consacre désormais aux ballons Inox, dont la production monte en flèche, grâce à un investissement de 4,4 M€ sur trois ans.
Il y a 2 ans et 315 jours

Rendez-vous de la Matière + Fair(e)

Les Rendez-vous de la Matière + fair( e) est un évènement consacré aux matériaux innovants pour l'architecture, le design, la décoration et l'aménagement intérieur. Les exposants sont réunis sur plus de 700 m2, autour de l'architecture d'aujourd'hui. L’espace accueillera des architectes, designers, artisans d’art et industriels qui se rencontreront autour de conférences, discussions et workshops sur des thématiques d’actualités.
Il y a 2 ans et 315 jours

Les menuiseries ACIER de retour à la porte de Versailles !

Après une dernière participation qui remonte à 2019 sur Batimat à Paris Nord Villepinte, Forster a le plaisir de retrouver le cœur de Paris en exposant ses solutions phares sur un espace de 99m² : L’efficacité énergétique avec les systèmes à isolation thermique unico et unico xs ; La sécurité avec des solutions résistantes au feu […]
Il y a 2 ans et 315 jours

Le leitmotiv TECHNAL, des signes toujours plus épurées: carnet d’inspiration pour projet neuf ou de rénovation

Qui n’a jamais rêvé d’une vue panoramique pour profiter d’un coucher de soleil depuis son canapé ? Envie de ne faire qu’un entre la maison et le jardin ou la piscine grâce à des menuiseries de grandes dimensions. Installer des baies coulissantes, fenêtres ou portes au look 100 % épuré dont même les quincailleries sont […]
Il y a 2 ans et 315 jours

Big Bag ‘n Go dévoile sa nouvelle génération de big bag : le 1er modèle éco-conçu, fait de plastique recyclé et 100 % recyclable !

La production de big bags génère chaque année environ 800 000 tonnes de plastique à travers le monde. Près de 65 % des big bags produits sont à usage unique et 50 % d’entre eux sont recyclés, mais jamais réutilisés dans la fabrication de nouveaux big bags.  Spécialisé dans la reprise de déchets du bâtiment, […]
Il y a 2 ans et 315 jours

Classement des Promoteurs 2022 : ID&AL groupe, lauréat « Rénovation / Résidentiel »

ID&AL groupe intègre par ailleurs le TOP 10 des meilleures progressions de volume d'affaires global réservé.Grâce à son projet de réhabilitation d'une résidence hôtelière située en première ligne face à l'océan à Lacanau, ID&AL groupe se distingue parmi 19 autres acteurs de la promotion immobilière récompensés par Innovapresse pour des opérations jugées les plus remarquables de l'année écoulée et/ou des initiatives exemplaires.Promu dans la catégorie « Rénovation / Résidentiel » du Classement des Promoteurs d'Innovapresse, le programme L'OYAT d'ID&AL groupe propose la préservation et l'embellissement d'un bâti bénéficiant d'un emplacement extraordinaire. Située en front de mer de Lacanau et repensée dans son intégralité par ID&AL groupe, la résidence hôtelière à l'abandon – de 33 chambres et un restaurant –s'inscrit dans un programme de 22 appartements, allant du studio au 4 pièces, avec terrasse et parking.Son principe de construction vise la création d'une nouvelle volumétrie par la conservation des espaces existants et la suppression des artifices extérieurs. Résultat : des surfaces habitables allant de 26 à 116 m² répondant à tous les besoins (résidence secondaire, semi principal ou investissement locatif saisonnier), des appartements bénéficiant en grande majorité d'aperçus forêt, ville ou vues océan, et un bâtiment R+2, moderne et élégant.Un challenger à la performance remarquableLe Classement des Promoteurs propose chaque année une analyse comparée de l'activité et de la structure des principaux groupes de promotion. Dominé par Nexity, Altarea, Vinci Immobilier et Bouygues Immobilier, le Top 20 des plus importants volumes d'affaires globaux réservés - catégorie "star" du Classement - évolue peu cette année. Toutefois, l'organisation note une réduction des écarts entre les différents acteurs du marché.À l'occasion de ce millésime 2022 de son palmarès, Innovapresse a tenu également à souligner les meilleures progressions en volume d'affaires global réservé. Passant de 91 millions d'euros en 2020 à 143,5 millions d'euros en 2021 (+57,7%), ID&AL groupe se distingue une fois encore en se classant 7e du Top 10 des acteurs ayant enregistré une progression de plus de 50%.En savoir plus sur le Classement des Promoteurs.
Il y a 2 ans et 315 jours

Patrimoine : le vieux Buenos Aires démoli à vue d’œil

Le riche patrimoine architectural de la capitale argentine est exposé aux pressions d’un marché de facto non régulé. La colère gronde parmi les résidents des quartiers ainsi amputés.
Il y a 2 ans et 315 jours

Luc Dehais nommé à la Direction Générale de PVG France

Luc Dehais, 59 ans, vient d’être nommé Directeur Général de PVG France (marques Qlima – leader du groupe – Tectro, Eurostove…). Diplômé de l’école supérieure de commerce de Rouen, Luc Dehais est entré chez PVG en 1998, en qualité de Chef national des ventes. En 2004, il devient Directeur commercial et contribue au succès des […]
Il y a 2 ans et 315 jours

Le fabricant de fermetures Provélis célèbre ses 20 ans !

Marque du groupe Estémi, Provélis concepteur et fabricant depuis 2002 de volets roulants mais également de portes de garage et de B.S.O. sur-mesure, fête aujourd’hui ses 20 ans ! Aux côtés de ses salariés, partenaires, fournisseurs et clients, Provélis a organisé une journée de festivités sur son site de Saint-Jean-Bonnefonds. L’occasion de revenir sur les […]
Il y a 2 ans et 315 jours

Vrac Tech 2022

Vrac Tech est l'unique rendez-vous en France consacré à la manipulation, la gestion, le transfert, le stockage ou encore l’emballage des produits en vrac sous différentes formes (solides, liquides et granulés). Un salon à taille humaine qui permet de faire des rencontres, de présenter ses nouveautés et de nouer des partenariats.
Il y a 2 ans et 315 jours

Top départ pour la construction de la marina olympique à Marseille

Le chantier de la marina olympique a déjà débuté mais le lancement officiel a eu lieu jeudi en présence du président de Paris 2024, Tony Estanguet, afin de construire le site des épreuves de voile des prochains JO.
Il y a 2 ans et 315 jours

L’usine Bosch Thermotechnologie de Saint-Thégonnec se spécialise dans les ballons inox

L'arrêt de la fabrication des chaudières fioul et gaz se fait au profit d’une importante augmentation de la capacité de production de ballons en acier inoxydable, surtout pour les pompes à chaleur.
GDA
Il y a 2 ans et 315 jours

Benoît COQUART réélu Président d’IGNES, l’Alliance des solutions électriques et numériques du bâtiment

A l’occasion de son Assemblée Générale, les administrateurs d’IGNES ont renouvelé toute leur confiance à l’actuelle gouvernance. Benoît COQUART, Directeur Général du groupe Legrand et les membres du Bureau ont été réélus pour une durée de trois ans.  Benoît COQUART, 48 ans, diplômé de Sciences Po Paris et de l’Essec, a fait toute sa carrière […]
Il y a 2 ans et 315 jours

Mondial des métiers Auvergnes Rhones Alpes

Le Mondial des métiers regroupe des professionnels de différents secteurs, notamment de la construction et du génie civil. Il permet aux jeunes de découvrir des métiers "inconnus" ou "rares", mais aussi de les orienter sur leur avenir. Des présentations par domaines professionnels sont aussi réalisées, permettant de répondre aux questions des visiteurs.
Il y a 2 ans et 315 jours

La Sim Marseille 2022

SIM est le salon référent du secteur des industries extractives en France. Il met en avant les équipements et savoir-faire des fournisseurs de produits et services du secteur.
Il y a 2 ans et 315 jours

Tri’n’Collect à la conquête de l’Ouest

Tri’n’Collect possède désormais 12 agences réparties sur la côte Ouest de la France. [© Tri’n’Collect] Expert dans les solutions de tri à la source sur chantier, Tri’n’Collect poursuit son développement partant à la conquête de l’Ouest. La start-up vient d’ouvrir six nouvelles agences, à Bayonne (64), Brest (29), Caen (14), La Rochelle (17), Tours (37) et Vannes (56). Désormais, elle compte un total de 12 sites. La stratégie de développement territorial s’inscrit dans une logique de proximité. Cela, afin de limiter le transport de déchets entre les chantiers, les lieux de massification, de traitement et de valorisation des matériaux. Chaque agence a été implantée pour une raison précise. A l’image de l’agence de La Rochelle où l’opération “Zac de la Gare” du Crédit Mutuel Aménagement Foncier a été confiée à Tri’n’Collect. Celle-ci représente le plus grand projet d’aménagement de la start-up. Elle permettra l’économie de plus de 80 t de CO2. Vers un développement national A ce jour, Tri’n’Collect a évité l’enfouissement de plus de 4 300 t de matériaux qui ont pu être valorisés localement dans le respect de hiérarchie des modes de traitement des déchets. De plus en plus d’acteurs du bâtiment s’engagent pour une construction durable avec les nouvelles obligations réglementaires et la pression inflationniste des coûts de gestion des déchets. Lire aussi : Soclova et Tri’n’Collect renouvellent leur partenariat C’est pourquoi Tri’n’Collect a accueilli 20 nouveaux collaborateurs en 2022, permettant de franchir le cap des 50 partenaires. D’ici septembre, trois autres agences seront ouvertes. Le Morbihan sera renforcé avec un site annexe à Vannes. Tandis que celles de Tours et de Bayonne couvriront respectivement les départements de l’Indre-et-Loire et des Landes. Pour 2025, Tri’n’Collect vise à déployer une quarantaine d’agences. Et ainsi, occuper le territoire national.
Il y a 2 ans et 315 jours

Nouvelle Pompe à chaleur aérothermique (air/eau) Split Inverter Réversible Compress 3400 AWS

Une fois n’est pas coutume, Bosch Thermotechnologie fait évoluer son offre de Pompes à chaleur aérothermiques avec la nouvelle gamme Split Inverter Réversible Compress 3400 AWS. Ses atouts : optimiser le confort du foyer comme celui de l’installateur et de l’entreprise de maintenance. Dédiée à la maison individuelle, la Compress 3400 AWS est développée pour […]
Il y a 2 ans et 315 jours

Mondial du bâtiment 2022 : KAWNEER dévoilera ses dernières innovations sur son stand au salon BATIMAT

Spécialiste des solutions architecturales en aluminium, KAWNEER propose une offre de menuiseries et de services complète et pertinente, au plus près des attentes des professionnels. Au salon Batimat, du 3 au 6 octobre 2022 à Paris Expo, l’entreprise présentera en exclusivité ses derniers développements. Que ce soit pour le neuf ou la rénovation, pour le […]
Il y a 2 ans et 315 jours

Feu vert de la justice pour la piscine d'entraînement d'Aubervilliers pour les JO2024

La cour administrative d'appel de Paris a donné son feu vert au projet de piscine d'entraînement d'Aubervilliers (93) en vue des JO de Paris 2024, dont la nouvelle mouture préserve les jardins ouvriers attenants.
Il y a 2 ans et 315 jours

Knauf Ceiling Solutions lève le voile sur Adagio, sa nouvelle gamme minérale de plafonds

Certifiée Cradle to Cradle Silver et Gold pour la qualité de l’air, la gamme se décline sous quatre solutions, à poser seules ou à combiner selon les effets escomptés, afin d’offrir un large éventail de performances acoustiques selon les besoins de l’espace :ADAGIO ACOUSTIC+ADAGIO ALPHA+ADAGIO dB+ADAGIO HD+ (disponibles en 19, 30 et 35 mm).Dans une salle de classe, une cafétéria, une bibliothèque, un open-space ou encore une salle de réunion, les besoins convergent vers un même objectif : le confort des occupants pour leur rendre le quotidien agréable. Dotés des plafonds ADAGIO, ils permettent de vivre une nouvelle expérience.Avec une finition plus lumineuse et plus blanche, ADAGIO maximise la réflexion de la lumière et inonde les espaces de lumière naturelle et de chaleur. Un gage de bien-être et une source d’économie d'énergie. La flexibilité créative au service de l’émotion reste l’une des priorités de KNAUF CEILING SOLUTIONS pour permettre aux architectes, designers d’intérieur et agenceurs de signer des espaces uniques et emblématiques. Hautement résistant, ADAGIO est conçu pour des intérieurs durables.Des solutions blanches et lumineuses : sérénité et économiesSynonyme d’espaces épurés, la gamme ADAGIO permet de créer de beaux espaces grâce à sa surface blanche lisse. Sa finition blanche et brillante réfléchit 90 % de la lumière, illuminant ainsi les espaces d’une lumière naturelle et chaleureuse, porteuse de bonne humeur. Le faible taux de brillance renforce la sensation d’uniformité et procure une atmosphère élégante. L’optimisation de la réflexion de la lumière participe également à la réduction de l’usage de lumière artificielle, offrant jusqu’à 16 % d’économies d’énergie.De hautes performances acoustiques pour une atmosphère paisibleA l’instar de la lumière, le son participe pleinement à la réalisation d’un environnement sain et agréable. La gamme ADAGIO se distingue par une absorption acoustique de classe A (0,90 αw) avec des niveaux d‘atténuation latérale à 42 dB afin d’améliorer la confidentialité entre les espaces adjacents. ADAGIO offre une acoustique optimale pour chaque zone d’application, garantissant la confidentialité d’un échange dans un bureau privé ou améliorant l’intelligibilité et la concentration dans les open-spaces ou les salles de classe.Des choix esthétiques pour nourrir l’imaginationVisuellement saisissante, ADAGIO s’adapte, se configure, se combine, pour aider à imaginer de nouvelles possibilités et donner vie à la vision des architectes. Large choix de formes et de dimensions…, la gamme se caractérise également par une riche palette de détails de bords apparents, semi-cachés ou entièrement cachés, afin de créer des plafonds toujours plus contemporains.Des surfaces qui résistent à l’épreuve du tempsQualité, fiabilité et durabilité, tels sont les maîtres-mots des plafonds ADAGIO qui font face aux exigences du quotidien. Leur surface, plus résistante aux rayures, se nettoie aisément et offre une utilisation prolongée. Les bords renforcés, entièrement peints, facilitent le montage et réduisent le risque d’endommagement. Les poseurs de dalles n’appréhenderont plus la casse de matériel !
Il y a 2 ans et 315 jours

Paris veut rénover 40 000 logements privés par an d'ici 2030

Le Conseil de Paris a validé le 7 juillet un nouveau plan d'aide aux travaux de rénovation énergétique des logements privés de la capitale, avec un budget de près de 60 millions d'euros.
Il y a 2 ans et 315 jours

Pop Air, temple ludique de la légèreté à La Villette - exposition

Plongée dans les archives d'AMC, à la redécouverte d'un long article signé Élizabeth Allain Dupré, paru en 1989 à l'occasion de la livraison du nouveau ministère des Finances, à Paris (XIIe arr.). La cité administrative, titanesque "ville tertiaire" est l'œuvre des architectes Borja Huidobro […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 315 jours

Pour refroidir ses monuments, Paris mise sur la Seine

Avec des vagues de chaleur toujours plus fréquentes, Paris souhaite agrandir son réseau méconnu de "froid urbain" pour maintenir à bonne température ses monuments grâce à l'eau de la Seine.La ville Paris, qui ambitionne de devenir "le plus gros réseau mondial de froid" d'ici 2040, a signé un contrat d'une durée de 20 ans avec le groupe énergétique Engie, qui détient 85% des parts de la société Fraîcheur de Paris, et la RATP, qui possède les parts restantes."Tous les arrondissements seront desservis en 2042", annonce Dan Lert, adjoint à la maire de Paris en charge de l'eau.Développer le réseau de froid permet d'éviter le recours à "l'usage intense" de la climatisation individuelle, gourmande en électricité et émettrice de gaz à effets de serre.Christophe Ladaurade, directeur commercial chez Engie, propose avec la mairie de s'en tenir à "un écart de 5 à 8 degrés entre l'extérieur et l'intérieur", comme le permet de réseau de froid.A l'avenir, ce réseau de froid circulera dans tous les hôpitaux parisiens, certaines écoles et dans des stations de métro.Sur la rive droite du pont des Invalides, un discret escalier en colimaçon mène au "Canada" --comme la place éponyme où il se situe-- une station de refroidissement de l'eau à quarante mètres de profondeur, où se situe un dédale de pompes et tuyaux verts, bleus et gris.Sur l'un des quatre niveaux de cette station, entrée en service en 2008, l'eau de la Seine est filtrée, puis descend dans d'autres tubes où une paroi la sépare du circuit fermé de refroidissement.Cycle vertueuxA l'étage du dessous, une pompe met sous pression un groupe frigorigène afin de refroidir l'eau et l'injecte dans le circuit souterrain. Le système fonctionne en quasi autonomie, piloté par deux techniciens à distance, depuis une centrale située près de la gare de Lyon.Contrairement au chauffage urbain de Paris, le refroidissement par eau s'adresse en majorité à des sites d'activités tertiaires, et non à des logements ou à des particuliers."Nos clients sont des immeubles de bureaux, des centres commerciaux, des musées, des institutions ou encore des hôtels", résume Benoit Reydellet, directeur du projet Fraîcheur de Paris.Le musée du Louvre, l'Assemblée nationale ou encore les studios de Radio France sont ainsi maintenus au frais, en partie, grâce à l'eau de la Seine. Le système fonctionne toute l'année, puisque les grands magasins ou les musées ont besoin de garder des pièces au frais et de veiller au taux d'humidité ambiante.L'hiver, la centrale du Canada peut recourir au système du "free cooling", qui lui permet de produire du froid sans consommer d'électricité en mettant "directement l'eau de la Seine en contact de l'eau du réseau", explique M. Reydellet.Le concessionnaire s'est engagé à développer de 2% à 11% cette production vertueuse, ce qui représente un gain énergétique d'un an sur les vingt prochaines années, la durée du nouveau contrat de concession, souligne-t-il.Le mégawattheure de froid est facturé 137 euros aux clients. Du propre aveu de M. Reydellet, "c'est assez cher, mais bien plus vertueux que le froid produit par les installations autonomes" comme les climatiseurs.Et la tuyauterie de froid permet aux clients de retirer de leurs toits les grilles et autres aérations des climatiseurs, afin de disposer de toute la toiture.Quant à l'eau utilisée, chauffée par la centrale qui en a extrait le froid, elle finit par retrouver le fleuve à travers quatre discrètes voies d'évacuation. Les quelques degrés d'écart avec la température ambiante n'ont pas "d'impact sur la faune et la flore" de la Seine, rassure Benoit Reydellet.
Il y a 2 ans et 315 jours

Trophées de la construction 2022 : les finalistes "Rénovation de logements collectifs"

EN IMAGES. Organisés par Batiactu groupe et SMABTP, les Trophées de la construction 2022 fêteront leur vingt-et-unième édition en septembre 2022. Cinq projets ont été élus finalistes dans la catégorie "Rénovation de logements collectifs".
Il y a 2 ans et 315 jours

Holcim continue son expansion sur la rénovation et l'efficacité énergétique

ACQUISITION. Le cimentier suisse, Holcim, qui vise les 30% de chiffre d'affaires pour sa division Solutions & Products d'ici à 2025, annonce avoir fait l'acquisition de Cantillana, un expert belge spécialisé dans les produits pour façades et systèmes d'isolation thermique.
Il y a 2 ans et 315 jours

Aldes se renforce dans la ventilation des Bâtiments

ACQUISITION. Le groupe Aldes, spécialisé dans la qualité de l'air intérieur, a racheté l'expert de la ventilation, Aereco.
Il y a 2 ans et 315 jours

A Nice, un "marqueur urbain contemporain" signé Lina Ghotmeh Architecture

PROJET. Sur l'Opération d'intérêt national Nice Ecovallée, un projet de près de 20.000 mètres carrés doit voir le jour sur un emplacement "stratégique et emblématique". C'est l'immeuble porté par Apsys, Aire Nouvelle et Gambetta qui a été désigné par l'EPA.
Il y a 2 ans et 315 jours

La hausse du taux du Livret A pourrait mettre en difficulté les HLM

Comment le Livret A finance le logement social ?Une partie importante du Livret A est confiée, avec d'autres produits d'épargne (Livret de développement durable et solidaire, Livret d'épargne populaire), à la Caisse des dépôts et consignations (CDC).Celle-ci est tenue par la loi de dédier ces ressources en priorité à des prêts finançant le logement social et la politique de la ville, via sa filiale la Banque des territoires.Ces prêts sont octroyés pour des durées très longues, qui peuvent aller jusqu'à 80 ans.Au total, près de 80% de la dette des bailleurs sociaux est détenue par la CDC.Fin 2021, 170,7 milliards d'euros étaient affectés par la CDC au financement du logement social et de la politique de la ville, dont 11,8 milliards débloqués dans l'année.Cette somme a permis de construire 85.300 logements sociaux en 2021, et d'en réhabiliter 81.600.Que se passe-t-il si le taux augmente ?"L'impact de la hausse du Livret A est non négligeable", glisse-t-on dans l'entourage du ministre délégué au Logement, Olivier Klein.Le gros des prêts contractés par les bailleurs sociaux est en effet à taux variable, c'est-à-dire que les intérêts qu'ils doivent rembourser augmentent ou baissent en fonction du taux du Livret A."Cependant, nous avons des garde-fous", assure-t-on au ministère. "Le modèle français de financement du logement social par le Livret A va protéger (les bailleurs sociaux, NDLR) d'un impact direct de la hausse des taux, puisque les prêts de la Banque des Territoires vont rester attractifs.""A très court terme, l'impact va être limité; à plus long terme, cela dépend du temps que durera cette augmentation", assure Clément Lecuivre, directeur général de CDC Habitat, bailleur social filiale de la CDC.Manuel Domergue, directeur des études de la Fondation Abbé Pierre, y voit un risque d'autant plus grand que les bailleurs sociaux ont beaucoup emprunté ces dernières années."Quand le taux était bas, ça a permis aux bailleurs sociaux de s'endetter à bas coût, donc c'était quelque chose d'assez intéressant pendant des années, et là, la remontée des taux a des effets assez coûteux pour les bailleurs sociaux, et ce n'est sûrement que le début", ajoute M. Domergue.Comment les bailleurs sociaux s'adaptent ?Ils vont fatalement devoir faire des arbitrages."Si le taux continue d'augmenter, ça va limiter les capacités d'investissements nouveaux des bailleurs", prévient Marianne Louis, directrice générale de l'Union sociale pour l'habitat (USH) qui représente les bailleurs sociaux."Moins de capacité d'investissement, c'est moins de constructions, moins de rénovations... c'est un peu ça, le sujet", dit-elle.Avec les obligations de rénover les passoires thermiques sous peine de ne plus pouvoir les louer, c'est plutôt sur la construction que vont se faire les économies, prévient-elle.Autant d'embûches supplémentaires pour les quelque 2,3 millions de personnes en attente d'un logement social.Avec un passage de 1% à 2%, "on a 1,5 milliard (de charges par an, NDLR) de plus. Et là, c'est, en gros, 70.000 réhabilitations perdues", calcule de son côté Didier Poussou, directeur général de la Fédération des entreprises sociales pour l'habitat, les bailleurs sociaux privés.Que peuvent faire les pouvoirs publics ? Ils sont face à un dilemme. En période d'inflation, augmenter trop peu le taux du livret A, prisé des petits épargnants, risquerait de les en détourner, et donc d'assécher la manne qui finance le logement social.Mais l'augmenter alourdit les coûts de fonctionnement des bailleurs sociaux.Pour éviter de choisir, il faudrait que l'Etat mette la main à la poche."La solution, c'est d'assumer qu'avoir un parc HLM qui répond à tout ce qu'on lui demande, (...) ça coûte de l'argent public", cingle Manuel Domergue, rappelant les économies imposées aux bailleurs sociaux lors du premier mandat d'Emmanuel Macron."C'est comme quand vous achetez un appartement: si les taux d'intérêt sont élevés, il faut augmenter votre apport", détaille Marianne Louis. "Donc la part +argent gratuit+. Est-ce qu'on est capables, demain, d'augmenter les aides à la pierre? C'est ça, la question."
Il y a 2 ans et 315 jours

Des revêtements en coquillages, la solution insolite d'une entreprise bretonne

INNOVATION. Les fondateurs d'une start-up ont imaginé un matériau à base de coquillages, qui sera commercialisé en septembre 2022. Ils utilisent une ressource locale et abondante.
Il y a 2 ans et 315 jours

Le recul d’activité dans les matériaux se modère en mai

La flambée des coûts de l’énergie, rajoutée aux tensions sur l’offre déjà attisées par le rebond d’activité post COVID, a eu pour conséquence de faire bondir les coûts de production dans le bâtiment et les travaux publics. Même si les carnets demeurent bien remplis, plus dans le gros œuvre que dans les TP d’ailleurs, les chantiers peinent à se réaliser, faute de facteurs de production disponibles côté entrepreneurs et/ou faute de financements suffisants côté clients, qu’ils soient publics ou privés. Cette complexité à boucler l’équation coûts-prix-devis pèse sur la demande de matériaux qui pourrait au final afficher un repli en 2022, prolongeant ainsi la tendance observée au cours des trois derniers mois sur le marché du granulat et du BPE. Mai, meilleur qu'avril, mais moins bon qu'en 2021 Selon les résultats encore provisoires pour le mois de mai, la production de matériaux se serait redressée par rapport à avril, un mois marqué par un repli sensible de l’activité. Ainsi, la production de granulats aurait augmenté de +1,6% mais demeure en retrait de -4% par rapport à celle de mai 2021 (données CVS-CJO). Sur les trois derniers mois connus, l’activité des granulats observe un repli de -4,9% comparé aux trois mois précédents et de -4,6% au regard de la même période d’il y a un an. En cumul sur les cinq mois de l’année, la tendance s’inscrit sur une pente négative de -1,5%, soit un rythme un peu moins élevé que celui de la tendance calculée sur les douze derniers mois (-1,8%). Du côté du BPE, les livraisons de mai ont également grimpé par rapport à avril (+3,1%) mais s’affichent en deçà de celles de mai 2021 (-2%). Au cours du trimestre mars-avril-mai, les volumes de BPE livrés ont cédé -3,8% par rapport aux trois mois précédents et -5,4% par rapport au même trimestre de l’année 2021. En cumul sur les douze derniers mois, l’activité du béton se replie désormais de -3,2% sur un an, tandis que sur les cinq premiers mois de l’année, le recul atteint -1,8%. L'indicateur matériaux de l'UNICEM connaît lui aussi un fléchissement en mai plus modéré qu’en avril, avec, respectivement, un recul de -2,7% contre -8,7% sur un an (données CJO). Après un premier trimestre en hausse de +1,4% en glissement annuel, l’activité du panier de matériaux de l'UNICEM se contracte désormais de -1,6% sur un an pour les cinq premiers mois de l’année, seul le segment des tuiles et briques demeurant haussier sur la période, sans doute porté par la dynamique constructive de la maison individuelle. Chiffres clés Perspectives 2020/2021 (production) Granulats : - 4% BPE : - 3% Bâtiment et TP : Tensions sur l'offre et les coûts Interrogés en juin par l’INSEE, les professionnels du bâtiment se sont montrés un peu moins optimistes sur leur activité future mais leur opinion sur l’activité passée s’est à nouveau améliorée, maintenant ainsi l’indicateur du climat des affaires à haut niveau. Les carnets de commandes se situent toujours à un point historiquement élevé dans le gros œuvre (9,8 mois) et le ressenti des professionnels quant à ces carnets demeure très favorable et largement au-dessus de la moyenne de long terme, ce qui écarte l’hypothèse de carnets artificiellement gonflés par des retards et difficultés de réalisation des chantiers. Pour autant, ces dernières restent prégnantes et près de la moitié des entreprises de gros œuvre (48,6%) sont encore dans l’incapacité d’accroître leur production (une part en léger repli par rapport au mois de mai à 57,4%) tandis que 72% d’entre elles sont confrontées à des obstacles qui limitent leur activité (personnel, approvisionnement...). On notera toutefois que la part des entreprises du bâtiment faisant face à des difficultés d’offre se stabilise en juin, voire se modère, à l’inverse de celles faisant face à des difficultés de demande dont la part, après avoir atteint un point bas, tend à se redresser. Il faut peut-être y voir les premiers signes des effets du renchérissement du coût des chantiers et des difficultés à conclure le démarrage de travaux. L’inflexion récente des mises en chantier de logements pourrait confirmer cette assertion. En effet, sur les trois derniers mois allant de mars à mai, les logements commencés ont stagné par rapport aux trois mois précédents, déjà en recul (CVS-CJO), laissant la tendance à -5% sur un an. C’est le segment du collectif qui marque le plus le pas (-16% sur le trimestre) tandis que, du côté de l’individuel, la dynamique reste enclenchée (+12%). Au total, à fin mai et en cumul sur un an, un peu plus de 388.000 logements ont été commencés, soit +0,5% en glissement annuel. En revanche, la vigueur des permis ne se dément pas même si depuis avril le flux se modère nettement : en effet, l’anticipation de la RE2020 a généré une abondance de dépôts fin 2021 qui, compte tenu des délais d’instruction (d’environ trois mois pour l’individuel) a boosté les autorisations au premier trimestre. A fin mai, 502.800 logements étaient autorisés sur un an (dont 46% en collectifs), soit +16,4% par rapport à l’année précédente. Mais sur les trois derniers mois (mars à mai), le rythme fléchit sensiblement sur l’individuel par effet de contrecoup (-11,9% par rapport au trimestre précédent) à la différence du collectif encore soutenu (+16,6%). Ce stock de permis, qui préfigure les futurs chantiers, devrait alimenter la demande de matériaux au moins sur 2022-début 2023 sauf si les pesanteurs actuelles continuent de limiter l’ouverture des travaux et d’en freiner les délais de réalisation. Côté non résidentiel, le rebond des permis et mises en chantier reste quant à lui bien engagé et constitue un facteur de soutien plutôt encourageant. Avec 27 millions de m2 de locaux commencés à fin mai sur un an (+8,3%), le rythme de progression s’est accéléré sur les trois derniers mois (+20,2%), permettant de renouer avec les niveaux d’avant la pandémie. Quant aux surfaces autorisées, elles s’inscrivent sur une tendance de +10% sur les trois derniers mois, les ouvrages commerciaux (+66,7%), industriels (+32,1%) ou encore les bureaux (+22,4%) affichant les plus fortes accélérations. Le tableau apparaît un peu plus sombre côté travaux publics où l’activité a également connu un freinage depuis mars. En dépit d’un mois de mai mieux orienté, les travaux réalisés en cumul depuis janvier se stabilisent sur un an en valeur mais ressortent en repli de -8,6% en volume. De même, les prises de commandes, bien qu’en hausse de +4,6% en valeur sur la même période, basculent en baisse de -4,8% en volume, une fois corrigées de l’inflation des coûts (par l’indice TP01). Alors que les conditions étaient réunies pour un réveil des carnets (cycle électoral, Plan de relance...), l’atonie de la commande publique éloigne encore la perspective de redémarrage des travaux. Perspectives matériaux 2022 Dans le bâtiment comme dans les TP, les contraintes d’offre, l’inflation des coûts, des prix et des devis pèsent donc sur le volume des chantiers en cours ou à réaliser ce d’autant que le stock de commandes peine à s’étoffer, comme pour les travaux publics. Ce faisant, l’ajustement de la demande de matériaux devrait être plus marqué côté granulats que BPE : initialement attendue autour de +1% en 2022, l’activité des granulats pourrait se replier de - 4% tandis que les volumes de BPE, qui devaient se stabiliser à leur haut niveau de 2021, enregistreraient un recul de -3%.
Il y a 2 ans et 315 jours

La société de financement de la ligne nouvelle Provence-Côte d'Azur en ordre de marche

FERROVIAIRE. Le projet de ligne à grande vitesse reliant Marseille, Toulon et Nice vient de connaître un tournant important pour sa concrétisation, avec l'installation de l'établissement public local en charge de le piloter, au début de l'été 2022, deux jours après la création de la société de projet pour le Grand Projet du sud-ouest.
Il y a 2 ans et 315 jours

Sobriété énergétique, ENR, pompe à chaleur : les priorités du chef de l'Etat

PERSPECTIVES. Le président de la République en a appelé à une "mobilisation générale" en matière de sobriété énergétique, de façon à permettre à la France de se passer totalement de gaz russe.
Il y a 2 ans et 315 jours

Le Gouvernement se dit ouvert à une réécriture des décrets Zan

POLITIQUE. Répondant à une question de sénateurs, le ministre de la Transition écologique et de la cohésion des territoires, Christophe Béchu, a ouvert la voie à une réécriture des décrets de mise en oeuvre de l'objectif du Zéro artificialisation nette.
Il y a 2 ans et 315 jours

Alerte canicule : les bons réflexes pour se protéger lors des fortes chaleurs sur les chantiers

Sur son site internet preventionbtp.fr, l’Organisme met à disposition des professionnels une boîte à outils regroupant l’ensemble des ressources utiles pour assurer leur sécurité dans ces conditions de travail extrêmes (vidéos, affiches, questions/réponses, solutions...).Ils y retrouveront notamment toutes les mesures préventives à prendre sur les chantiers :Vérifier quotidiennement la météo afin d’évaluer le risque au jour le jour,Adapter les horaires de travail et son habillement,S’hydrater régulièrement et en quantité suffisante (au moins 3 litres d’eau par jour)Adopter une vigilance accrue et partagée au sein des équipes, et apprendre à reconnaître le coup de chaleur.
Il y a 2 ans et 315 jours

La filière bois s'organise pour la REP produits et matériaux de construction du bâtiment

A la veille de la nouvelle règlementation REP PMCB, l'éco-organisme Valobat, la Fédération Nationale du bois (FNB) et l'Union des Industriels et Constructeurs de bois (UICB) expriment leurs engagements communs.
Il y a 2 ans et 315 jours

Les énergies renouvelables demeurent rentables dans le contexte de la crise des combustibles fossiles

Les coûts des énergies renouvelables ont poursuivi leur baisse en 2021, les défis de la chaîne d'approvisionnement et la hausse des prix des matières premières n'ayant pas encore produit tous leurs effets sur les coûts des projets. Le coût de l'électricité produite par l'éolien terrestre a baissé de 15%, l'éolien offshore de 13% et le solaire photovoltaïque de 13% par rapport à 2020.Renewable Power Generation Costs in 2021, publié aujourd'hui par l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA), montre que près des deux tiers, soit 163 gigawatts (GW), de l'énergie renouvelable nouvellement installée en 2021 ont un coût inférieur à celui de la solution au charbon la moins chère du monde au sein du G20. Selon l'IRENA, compte tenu des prix élevés des combustibles fossiles, l'énergie renouvelable installée en 2021 permettra d'économiser environ 55 milliards de dollars sur les coûts mondiaux de production d'énergie en 2022.Le nouveau rapport de l'IRENA confirme le rôle essentiel que jouent les énergies renouvelables à des coûts compétitifs pour répondre aux urgences énergétiques et climatiques actuelles en accélérant la transition vers le respect de la limite de réchauffement de 1,5 °C et des objectifs de l'Accord de Paris. L'énergie solaire et l'énergie éolienne, avec leurs délais de réalisation relativement courts, constituent des composantes essentielles dans les efforts des pays pour réduire rapidement, et à terme éliminer progressivement, les combustibles fossiles et limiter les dommages macroéconomiques qu'ils causent dans la poursuite de l'objectif zéro émission nette. « Aujourd'hui, les énergies renouvelables sont sans conteste la forme d'énergie la moins chère », a déclaré Francesco La Camera, directeur général de l'IRENA. « 2022 illustre parfaitement à quel point la production des énergies renouvelables est devenue économiquement viable. Les énergies renouvelables affranchissent les économies de la volatilité des prix et des importations de combustibles fossiles, réduisent les coûts énergétiques et renforcent la résilience du marché, et ce d'autant plus si la crise énergétique actuelle se poursuit. » Il ajoute : « "Si une réponse temporaire à la crise peut s'avérer nécessaire dans la situation actuelle, les excuses pour modérer les objectifs climatiques ne tiendront pas à moyen et long terme. La situation actuelle nous rappelle de manière brutale que les énergies renouvelables et les économies d'énergie représentent l'avenir. À l'approche de la COP27 en Égypte et de la COP28 aux Émirats Arabes Unis, les énergies renouvelables fournissent aux gouvernements un moyen abordable de se rapprocher de l'objectif zéro émission nette et de convertir leurs promesses climatiques en actions concrètes, avec des avantages réels pour les personnes sur le terrain. »Les investissements dans les énergies renouvelables sont toujours aussi rentables en 2022, comme le soulignent les données d'IRENA concernant les coûts. Dans les pays non membres de l'OCDE, les 109 GW supplémentaires d'énergies renouvelables en 2021, avec un coût inférieur à celui de la nouvelle solution à combustible fossile la moins chère, réduiront les coûts d'au moins 5,7 milliards USD par an au cours des 25 à 30 prochaines années.Les prix élevés du charbon et du gaz fossile en 2021 et 2022 vont également détériorer profondément la compétitivité des combustibles fossiles et rendre le solaire et l'éolien encore plus attractifs. Avec une flambée sans précédent des prix du gaz fossile en Europe par exemple, la nouvelle production de gaz fossile deviendra de moins en moins rentable au cours de sa durée de vie, ce qui augmentera le risque d'actifs échoués.L'exemple européen montre que les coûts du combustible et du CO2 pour les centrales à gaz existantes pourraient être en moyenne quatre à six fois plus élevés en 2022 que le coût du cycle de vie des nouvelles installations solaires photovoltaïques et éoliennes terrestres mises en service en 2021. Entre janvier et mai 2022, la production d'énergie solaire et éolienne pourrait avoir épargné à l'Europe des importations de combustibles fossiles de l'ordre de 50 milliards de dollars, principalement du gaz fossile.En ce qui concerne les chaînes d'approvisionnement, les données de l'IRENA suggèrent que la totalité des augmentations du coût des matières premières n'a pas encore été répercutée sur les prix des équipements et les coûts des projets. Si les coûts de ces dernières restent élevés, les pressions sur les prix en 2022 seront plus prononcées. Les augmentations pourraient toutefois être éclipsées par les gains globaux obtenus grâce à la rentabilité offerte par les énergies renouvelables comparée à la hausse des prix des combustibles fossiles.