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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 2 ans et 313 jours

Etat et régions s'engagent dans un "nouveau partenariat"

"Réunis ce jour à l'hôtel Matignon, la Première ministre et les présidentes et présidents de région de l'Hexagone et des outre-mer ont décidé d'engager un travail visant à jeter les bases d'un nouveau partenariat avec l'ambition de donner à leurs travaux une dimension opérationnelle plus marquée", écrivent dans une déclaration commune Mme Borne et l'association des Régions de France. Etat et régions s'engagent sur quatre chantiers prioritaires : le plein emploi, pour notamment "améliorer ensemble le pilotage de l'offre de formation professionnelle et du service public de l'emploi", la transition écologique, afin que la "planification écologique" soit "territorialisée". Ils conviennent ainsi de travailler avec les maires, les intercommunalités, les départements sur "la sobriété foncière, la préservation de la biodiversité, l'accompagnement des nouveaux modes de vie, la décarbonation et l'adaptation aux conséquences du changement climatique". Les mobilités feront elles "l'objet d'un programme d'investissement conjoint" pluriannuel, notamment dans le "ferroviaire, colonne vertébrale d'une mobilité propre", tandis que pour la reconstruction économique et industrielle et la "réindustrialisation" du pays, il s'agira d'une mise en œuvre "territorialisée" du plan d'investissements "France 2030". Pour les Outre-mer, l'Etat "engagera prochainement le dialogue", tandis que des discussions doivent débuter jeudi sur la Corse.Il s'agit d'apporter "des réponses concrètes aux besoins des Français" en s'inspirant de "ce qui est fait de bien sur le terrain" et des "expérimentations" qui pourront conduire à des "formes de différenciation" selon les territoires, suivant "un principe de pragmatisme et de souplesse" visant "l'efficacité".Mais pour "co-construire (ces) solutions", "le dialogue doit être permanent", soulignent les deux parties, qui avaient connu des relations tendues quand Edouard Philippe était à Matignon, de 2017 à 2020.L'avancée des travaux "sera examinée lors d'une nouvelle réunion plénière d'ici la fin de l'année", selon la déclaration."Aujourd'hui, nous avons posé les fondements d'un travail en commun. C'est un premier acte pour donner une nouvelle place aux collectivités et aux élus", a souligné dans un communiqué séparé la Première ministre, qui participera au congrès des régions le 16 septembre à Vichy (Allier)."Nous voulons être les régions des solutions" et "nous avons senti une vraie écoute", a déclaré la présidente de Régions de France, Carole Delga (Occitanie, PS) à l'AFP à l'issue de la réunion, qui a duré plus de deux heures."Les présidentes et présidents de région (...) veulent la réussite du pays face" notamment "à un message démocratique qui nous a été envoyé de façon très forte" aux législatives, où le gouvernement a perdu sa majorité absolue, a-t-elle ajouté.Renaud Muselier (Provence-Alpes-Côte d'Azur, ex-LR) a lui salué une "très grosse écoute, très grosse attention, des propositions claires et précises".
Il y a 2 ans et 314 jours

La nécessité du renforcement des services publics forestiers pour des forêts en péril

Au vu des dramatiques feux de forêt en cours, les deux associations d’élus cosignataires rappellent l’importance du rôle des forêts qui figurent parmi les aménités rurales les plus importantes. Elles sont à la fois des espaces de biodiversité, de loisirs, qui participent à la souveraineté économique du pays et aux solutions pour lutter contre le changement climatique. Les arbres sont des pompes à carbone qui permettent de réduire les émissions de CO2 en stockant le carbone dans les sols, dans les racines et dans les produits finis en bois et de protéger la ressource en eau.Les forêts ne pourront jouer pleinement ce rôle que si on les protège. L’action publique doit prendre davantage en compte les enjeux liés à ces espaces. Pour les protéger, il est essentiel d’assurer une gestion durable et multifonctionnelle des forêts. La FNCOFOR et l’AMRF ont ainsi toujours demandé que la question du service public soit débattue avec l’Etat en déployant les moyens nécessaires, avec un nombre suffisant de professionnels sur le terrain.Les évènements aujourd’hui montrent la nécessité d’avoir des services publics forestiers forts. Or, ceux-ci sont de plus en plus en tension et il est inenvisageable dans ces circonstances de réduire encore les effectifs de l’Office National des Forêts (ONF) comme le prévoit le contrat d’objectifs et de performance Etat-ONF. Près de 500 postes à l’ONF devraient être supprimés dans les années à venir.Les maires sont directement impliqués. Ils ont un rôle primordial dans ces écosystèmes, à la fois garants de l’intérêt général, protecteurs de la biodiversité et à l’interface de toutes les politiques publiques. Ils doivent pouvoir être accompagnés par des agents de terrain compétents afin d’aménager leur territoire, pouvoir assurer leur mission de sécurité et de prévention des risques tout en étant acteurs du développement économique de la filière forêt-bois et de la transition énergétique.En France, la forêt est placée sous la protection de la Nation. La Fédération National des communes forestières et l'associations des maires ruraux de France demandent donc à l’État de prendre ses responsabilités et d’assumer son rôle de garant de la préservation de nos forêts avec un investissement sur le long terme et d’accorder les moyens humains nécessaires aux élus pour faire face à tous ces enjeux.
Il y a 2 ans et 314 jours

Relocalisation dans le Bâtiment : un retour gagnant ?

DÉCRYPTAGE. Depuis septembre 2020, le plan France Relance a valorisé de nombreux projets de relocalisation industrielle. Dans le Bâtiment, des acteurs ont entamé le rapatriement de certaines de leurs activités. Quelles sont leurs motivations ? Comment organisent-ils ce retour ? Le spécialiste de l'outillage, Edma, et l'expert des panneaux d'isolation, Kingspan Bacacier, nous en disent plus.
Il y a 2 ans et 314 jours

Sur l'autoroute, même les écrans acoustiques se mettent à l'ultra-bas carbone

INFRASTRUCTURE. Sur l'autoroute A10, près de Tours, de nouveaux écrans acoustiques ont été installés pour compléter ceux existants. Leur particularité : présenter un bilan carbone particulièrement limité. Explications.
Il y a 2 ans et 314 jours

Emmanuelle Wargon proposée à la tête de la Commission de régulation de l'énergie

CARNET-NOMINATION. L'ancienne ministre Emmanuelle Wargon a été proposée jeudi par l'Elysée pour présider la Commission de régulation de l'énergie, une instance chargée d'assurer le bon fonctionnement des marchés du gaz et de l'électricité.
Cimbat
Il y a 2 ans et 314 jours

Rénovation énergétique : un "haut niveau d'irrégularités", l'Etat maintient la "pression"

FRAUDES. La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a présenté le bilan de ses actions en 2021 pour garantir une concurrence loyale et protéger les consommateurs. Elle s'est notamment penchée sur les retards de paiement interentreprises, mais aussi sur le secteur de la rénovation énergétique, qui a fait l'objet de plusieurs centaines de contrôles.
Il y a 2 ans et 314 jours

Interview de Christophe Richard, dirigeant d'A.Doc

Batinfo : Pouvez-vous revenir sur l'histoire d'A.Doc ?Christophe Richard : Créée en 1991, A.Doc est une entreprise de 8 personnes qui assure la distribution exclusive de la gamme des logiciels Cadsoft, des outils de dessin et de CAO orientés vers les métiers du bâtiment et de l'architecture. Elle est présente dans toute la francophonie avec un cœur de marché majoritairement européen. À l'origine d'A.Doc, trois architectes qui utilisaient AutoCAD depuis plusieurs années ont remarqué un cruel manque en 3D sur le logiciel et cherchaient une solution qui s'adapterait sur le même noyau. Ils ont trouvé une application canadienne, éditée par Cadsoft, permettant d'avoir des murs, des fenêtres, des portes, etc... Au départ, A.Doc faisait plutôt de la prestation de services comme de la réalisation de plans et d'images mais à force d'utiliser cette solution canadienne, ils ont gagné en compétences dessus et l'éditeur leur a proposé de devenir le support technique de cette application. C'est à cette époque, en 1995, que je suis arrivé dans l'entreprise. Nous avons repris à cette époque, la commercialisation exclusive d'APDesign, sur tout le territoire français et francophone, accompagné de services et de formation autour du logiciel.Nous avons ensuite travaillé sur un outil pour faire de l'architecture dans AutoCad avec une forte connotation bois. Mais l'éditeur qui travaillait avec nous a voulu s'affranchir du noyau AutoCad et a crée son propre noyau graphique dans un objectif de simplification. A.Doc réalise, depuis la sortie de ce logiciel, nommé Envisioneer, il y a 15 ans, toutes les traductions, la mise aux normes françaises, les développements nécessaires pour coller au marché français de la construction traditionnelle et de la construction bois, de l'avant-projet au plan d'exécution. Depuis A.Doc vit de la commercialisation d'Envisioneer, de sa mise en langue française et de plusieurs développements autour de ce produit comme la création de devis, du calcul de structure, l'ajout de modèle 3D BIM, etc...Pendant le confinement, nous avons décidé de nous relancer dans le développement, afin d'élargir notre offre logicielle. On savait que nous étions connotés sur le bâtiment, l'architecture et le bois mais il nous manquait une corde à notre arc avec la menuiserie, l'agencement et l'agencement intérieur. On a donc développé pendant 2 ans des fonctions spécifiques sur le noyau SketchUp, pour créer ce nouveau logiciel, nommé, SketchArtisan, celui-ci ayant reçu un excellent accueil lors de sa présentation sur le salon Eurobois. Batinfo : Où en est A.Doc aujourd'hui ?Christophe Richard : La société a été réinventée plusieurs fois en suivant l'évolution de la technologie. Depuis une quinzaine d'années nous sommes tous en télétravail et nous vendons en faisant des démonstrations à distance. À l'époque nous étions des extraterrestres mais grâce à cette façon de faire, on peut faire une démonstration le matin à Lille et le midi à Marseille. Avec un simple changement de méthode, le chiffre d'affaire en a été décuplé.Au milieu des années 2000, nous avons été précurseurs sur la location de logiciels et depuis nous avons gardé une double offre : le client peut choisir la location avec une option de sortie ou l'achat du logiciel. Ce modèle offre une grande souplesse dont les clients se réjouissent car ils peuvent prendre en main le logiciel pendant la location avant de se décider à l'acheter une fois maîtrisé. De même, nos clients sont libres de décider s'ils souhaitent payer pour une nouvelle mise à jour, en fonction de s'il désirent les nouvelles fonctionnalités ou non.Batinfo : Quels sont les futurs projets d'A.Doc ?Christophe Richard : Nos projets pour les années à venir tournent évidemment autour de SketchArtisan, que l'on vient de présenter pour la première fois au salon Eurobois. Actuellement on travaille sur les vues éclatées et l'optimisation de découpes. Pour le moment on est sur des agencements et les avants projets, un côté commercial en sorte, mais l'orientation que l'on prend pour les années à venir va être vers la technique et la fabrication.
Il y a 2 ans et 314 jours

Pour l'Afil, le Pinel+ met en danger le logement intermédiaire

LOGEMENT. L'Association française de l'immobilier locatif prévoit "l'effondrement de la production de logements locatifs intermédiaires", à cause du durcissement des conditions du Pinel, "fléchage fiscal efficace", et de la "rentabilité négative" des placements auprès d'OPCI.
Il y a 2 ans et 314 jours

Fonds friches : l'Etat désigne les 264 lauréats de la troisième édition

CONSTRUCTION. Le ministère de la Transition écologique vient de dévoiler les 264 projets lauréats de la troisième édition du fonds friches.
Il y a 2 ans et 314 jours

Polémique après une décision de la Cour de Cassation qui va coûter au moins 10 milliards d’euros aux copropriétaires

Ce marché qui concerne les 10 millions de lots de copropriétés en France, tenues par la loi Elan du 23 novembre 2018 de procéder à la mise à jour de leurs actes peut s’évaluer à environ 10 milliards d’euros et était totalement ouvert à la concurrence. Ainsi tout professionnel de la mesure était libre de les réaliser, qu’il s’agisse des architectes, des topographes, des diagnostiqueurs, ou des bureaux d’étude.Désormais, seuls les 1.800 géomètres experts inscrits à l’Ordre, auraient le monopole de l’établissement de ces plans. Comme pour tout monopole les prix vont exploser. A ce jour, un topographe facture en moyenne 600 à 1.000 € HT pour ce type de prestation et les géomètres-experts près du double, voire plus.Ce prix doublé va ainsi devenir la norme, ce qui va entraîner une perte de pouvoir d’achat pour les copropriétaires de 10 milliards d’euros à minima.Attribuer ce nouveau monopole, que seule la loi doit être en mesure de définir, aux géomètres-experts n’est de surcroît en aucun cas justifié juridiquement. L’Autorité de la Concurrence, par un avis du 28 février 2018, invitait d’ailleurs le Gouvernement à légiférer sur cette question.Depuis 4 ans le gouvernement n’a toujours pas engagé la réforme de la profession des géomètres qui était pourtant censée mettre un terme à l’insécurité juridique et économique liée à la réglementation actuelle.Cette inertie va donc coûter 10 milliards d’euros aux copropriétaires.Dans une période où le coût de la vie s’accroît à un rythme inquiétant, cette décision vient aggraver encore les choses.Il apparaît donc indispensable que le gouvernement et le Parlement se saisissent enfin de cette question, et de manière générale du monopole des géomètres-experts, instauré il y a près de 80 ans qui ne se justifie plus, ni techniquement, ni juridiquement.Le contexte de l’affaireDans une affaire qui opposait deux copropriétaires au sujet d’une voie d’accès commune, la question du prétendu monopole des géomètres-experts sur l’établissement des plans annexés aux actes de copropriété particulièrement secondaire, voire anecdotique, s’est, de manière fortuite, retrouvée au cœur de la décision de la Cour de Cassation.C’est ainsi qu’un copropriétaire voulant interdire une partie de la voie d’accès commune à son voisin copropriétaire, a utilisé l’argument selon lequel le plan annexé aux actes de copropriété n’avait pas été établi par un Géomètre Expert, pour prétexter que ce plan ne lui était pas opposable. De ce fait, il serait fondé à contester le passage de son voisin.Les juges de la 1ère chambre et alors même que le Conseiller rapporteur avait conclu au rejet du pourvoi de manière non spécialement motivée, ont décidé de casser l’arrêt d’appel et de procéder à sa publication sur cette seule question, élargissant d’un trait de plume un monopole, qui depuis 80 ans, ne portait aucunement sur les actes de copropriété.Une décision de la Cour de Cassation ayant valeur de jurisprudence, il est à craindre qu’elle oblige à faire refaire tous les plans annexés aux actes de copropriété.Comment parvient-on à 10 milliards d’euros ?Un géomètre-topographe facture entre 600 et 1.000 € H.T ce type de plan annexé aux actes de copropriété. Il s’agit d’une moyenne, les opérations pouvant être plus ou moins complexes. Un géomètre-expert facture presque le double ce type de prestation.Ainsi avec 10.000.000 de lots de copropriétés, le CA potentiel compris entre 6 et 20 milliards d’euros, suivant que le coût de l’opération est de 600, 1.000 ou 2.000 € HT.Les géomètres-experts se voyant attribuer de facto le monopole de la réalisation des plans annexés aux actes de copropriétés par la Cour de Cassation, ne baisseront à l’évidence par leurs tarifs et, au mieux, continueront à tarifer ces actes à 2.000 € HT pièce.De surcroît, avec cette décision il est à craindre que l’ensemble des plans annexés aux actes de copropriété deviennent inopposables ou tout simplement nuls, ce qui nécessitera leur réfection à des tarifs monopolistiques.De même toute nouvelle copropriété sera contrainte de payer les plans annexés à ces actes à un tarif monopolistique, au demeurant non réglementé.DéfinitionDans une copropriété, il y a deux types d’actes.Le règlement de copropriété (RCP) régit le fonctionnement de la copropriété et définit notamment la part de chaque copropriétaire dans les charges ainsi que les règles de vote au sein de l’Assemblée Générale des copropriétaires. En général, le RCP comprend l'Etat Descriptif de Division (EDD), qui lui, définit les parties communes et privatives de la copropriété et décrit les lots et leurs quotes-parts.Les modificatifs à l’état descriptif de division (EDD) et au règlement de copropriété (RCP) viennent amender le RCP et l'EDD lorsque des modifications sont apportées à la copropriété (création d'un lot sur parties communes, division d'un lot, surélévation/extension d'un lot etc.). Soumis aux votes des copropriétaires en AG, les modificatifs doivent ensuite être publiés par un notaire pour que leurs objets deviennent effectifs.
Il y a 2 ans et 314 jours

Appel à candidatures de l'accélérateur du bâtiment circulaire et durable

L'association Les Canaux, l'entreprise Suez et l'éco-organisme Valdelia lancent un appel à candidatures "accélérateur du bâtiment circulaire et durable", et ce jusqu'au 9 septembre.
Il y a 2 ans et 314 jours

TwistFlush, plus de puissance, plus d’économie d’eau

TwistFlush est le nouveau système de chasse d'eau révolutionnaire qui assure un rinçage optimal et silencieux, tout en économisant beaucoup d’eau. Avec un rinçage de pratiquement 100% de la surface, aucune goutte d’eau ne se perd et ne s’échappe de la cuvette. Et avec seulement 6 litres d’eau pour un grand rinçage et 3 litres pour un petit, un foyer de 4 personnes économise jusqu’à 17 500 litres* tous les ans. C’est bon pour le porte-monnaie, pour notre environnement mais aussi, pour une hygiène irréprochable. Ce système innovant de rinçage est disponible sur toutes les cuvettes de la nouvelle collection Subway 3.0. La forme conique de la cuvette, les parois très lisses et la puissance de la chasse d’eau assurent une hygiène plus que parfaite. Vous direz adieu pour toujours à votre brosse de toilettes ! Et comme si cela ne suffisait pas, les cuvettes de WC Subway 3.0 avec le système TwistFlush sont désormais proposées en deux versions : un modèle suspendu ou un modèle sur pied, à vous de choisir !Bénéficiez également des finitions de surface en option CeramicPlus et AntiBac pour éviter la saleté et les bactéries sans faire d’effort. D’autant plus que le montage de la cuvette Subway 3.0 se fait en un tour de main et par une seule personne grâce au système de fixations cachées SupraFix 3.0. Retrouvez aussi le CombiPack TwistFlush, la solution Tout-en-Un contenant tous les éléments nécessaires à l'installation de la cuvette Subway 3.0 et de l’innovation TwistFlush, dans un seul carton. Cliquez ici pour en savoir plus sur la technologie TwistFlush et téléchargez la brochure. *Foyer de 4 personnes, par rapport à une chasse d'eau classique de 6 litres par rinçage. Utilisation moyenne : 5 fois par jour et par personne.
Il y a 2 ans et 314 jours

Un nouveau matériau au coeur de l'efficience énergétique des systèmes de climatisation

Ce nouveau matériau composite permet d'améliorer les systèmes de production de froid par le principe d'adsorption. Ce projet a obtenu le Grand Prix du concours d'innovation i-PhD 2022.
Il y a 2 ans et 314 jours

Zan : "il y a beaucoup plus à réécrire que les décrets" (François Rieussec, Unam)

INTERVIEW. Satisfaits de la décision gouvernementale de rediscuter les décrets d'application du principe de Zéro artificialisation nette (Zan), les aménageurs appellent à aller plus loin pour éviter les "effets pervers" de la loi Climat et résilience.
Il y a 2 ans et 314 jours

L’inquiétude grandit chez les entreprises du bâtiment d'Auvergne-Rhône-Alpes

Des résultats révélateurs d’une réelle inquiétude des adhérents de la CAPEB, d’autant que la pénurie de main d’œuvre qualifiée ne facilite pas la gestion de leurs chantiers déjà fortement impactés par les difficultés d’approvisionnement des matériaux et la flambée des prix. Dans ce contexte défavorable à l’activité de ses entreprises, la CAPEB attend avec impatience les Assises du BTP, annoncées pour le mois de septembre, pour porter ses propositions. Un Marché de plus en plus tendu 43% des chefs d’entreprise déclarent rencontrer des difficultés au niveau de l’activité de leur entreprise, soit 4 points de plus qu’au trimestre précédent et 21 points sur une année. C’est notamment le cas des entreprises tous corps d’état, des charpentiers et des entreprises d’isolation. Dans les territoires, c’est dans les départements du Cantal, de la Haute-Savoie et de l’Isère que les entreprises sont le plus touchées. Dans un contexte de difficultés d’approvisionnement qui retardent les chantiers, la visibilité sur les carnets de commande s’allonge. 51% des artisans déclarent une visibilité supérieure à 3 mois, soit une augmentation de 3 points par rapport au 1er trimestre 2021. Une rentabilité des entreprises qui reste incertaine Avec un résultat de 31%, le nombre d’entreprises qui déplorent un niveau de trésorerie faible ou insuffisant augmente encore ce trimestre de 2 points. Quant à leurs marges, si elles restent stables ce trimestre pour 54% des entreprises, elles sont toujours en baisse pour 43% d’entre elles. La hausse des prix des matériaux et de l’énergie n’est en effet pas systématiquement répercutée par les entreprises. Des intentions d’embauche toujours importantes La tension du Marché ne freine pas les intentions d’embauche des entreprises. 47% des chefs d’entreprise souhaitent en effet recruter ou sont en réflexion. Les contrats à durée indéterminée (CDI) sont privilégiés par 58% des chefs d’entreprise. Pour faire face à leurs difficultés de recrutement de main d’œuvre qualifiée, 47% des artisans envisagent ce trimestre de former un apprenti (soit 18 points de plus que le trimestre précédent). Pour Dominique Guiseppin, Chef d’entreprise artisanale de peinture (Savoie), Président de la CAPEB Auvergne-Rhône-Alpes : « Malgré le contexte défavorable, nos entreprises tentent de résister, mais l’inquiétude est réelle pour les mois à venir. C’est pour cette raison que nous attendons avec impatience les Assises du BTP annoncées par le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, afin que les problématiques terrain soient posées et que la CAPEB puisse porter ses propositions, des solutions pragmatiques adaptées aux contraintes de nos artisans et de nos entreprises artisanales. » Les propositions de la CAPEB sont disponibles en cliquant ici.
Il y a 2 ans et 314 jours

Le ministre des Transports Clément Beaune complète son équipe

MINISTÈRE. Le cabinet du ministre délégué chargé des Transports s'étoffe : plusieurs collaborateurs travaillaient déjà au côté de Clément Beaune auparavant.
Il y a 2 ans et 314 jours

Comment rénover sa toiture ?

Tout en ajoutant une touche d’esthétisme, la toiture est un élément important qui sert à protéger et à sécuriser une habitation. Elle garantit considérablement le bien-être des habitants. Cependant, elle est exposée au fil du temps aux changements climatiques. Ce qui peut rapidement devenir source de nombreux problèmes tels que les fuites d’eau, la pollution, etc. Voilà pourquoi, il s’avère capital de rénover sa toiture régulièrement afin de maintenir son bon état et donc aussi son bon fonctionnement. Bonne nouvelle, cet article présente quelques conseils pour rénover sa toiture. Procéder à un état des lieux avant même de penser à rénover sa toiture Bien évidemment, avant même de penser aux réels travaux de rénovation, il est vraiment indispensable d’examiner la toiture. En effet, cette étape permet d’identifier les véritables défauts de son toit et donc de savoir les décisions à prendre en conséquence. Pour ce faire, il faut commencer par vérifier : La couverture de la toiture : Ici, il faut penser à enlever les mousses, les lichens, les feuilles mortes et remplacer si possibles les éléments cassés ; Les canaux d’évacuation d’eau : Il faut veiller à débarrasser les gouttières et autres tuyaux d’évacuation d’eau et s’assurer qu’il n’y a aucune fuite ; Les ouvertures : Il est tout aussi essentiel de débarrasser les ouvertures des éventuels déchets et feuilles mortes ; Les combles : À ce niveau, il faut veiller à faire le point sur l’isolation et les probables fuites qu’il peut y avoir. Une fois l’état des lieux effectué, c’est le moment propice pour commencer la rénovation proprement dite. À cet effet, il est possible de faire appel à un couvreur 77 pour un meilleur accompagnement dans les divers projets de toitures, que ce soit pour la rénovation, l’isolation de comble ou même pour l’installation de fenêtre de toit. Respecter les normes en vigueur dans la région En réalité, il ne faut surtout pas oublier qu’une demande d’autorisation peut être exigée avant même de commencer à rénover sa toiture. C’est d’ailleurs le cas des grands travaux qui requièrent la transformation de l’aspect extérieur d’une habitation. En effet, chaque région a ses particularités et ses exigences. Et bien sûr, les travaux de rénovation de toit doivent également respecter les règles locales en vigueur. Entre ardoise, chaume ou tuile, il est préférable de s’en rassurer auprès d’une administration spécialisée. Par ailleurs, il faut garder à l’esprit que la toiture d’une maison doit être vérifiée par les spécialistes tous les 10 ans et également entretenue chaque année. Ce qui lui permet de durer longtemps et d’être beaucoup plus performante. Prendre en compte son budget pour rénover sa toiture Puisqu’il s’agit d’un investissement, le budget est un élément important qu’il faut assurément prendre en compte pour rénover sa toiture. Bien évidemment, on peut toutefois procéder à de petites rénovations de toiture sans contacter un expert. Le remplacement d’une ardoise, le nettoyage d’une toiture ou d’une gouttière devraient être faciles à faire pour tout bricoleur sérieux. Il suffira en ce sens de dépenser quelques centaines de dollars pour rénover sa toiture. D’un autre côté, le coût d’une rénovation de toiture peut rapidement changer. En effet, de la tuile au chaume, le coût d’une toiture varie en fonction de la surface à rénover, de la forme de la toiture, et surtout de la région de résidence. Toutefois, il est recommandé de demander plusieurs devis, de les comparer afin de choisir celui qui convient le mieux.
GDA
Il y a 2 ans et 314 jours

Rénovation énergétique d'un logement et accord tacite du bailleur : le décret est paru

RÉGLEMENTATION. Un décret vient faciliter la réalisation, par un locataire, et à sa charge, d'un certain nombre de travaux de rénovation énergétique dans le logement qu'il occupe.
Il y a 2 ans et 314 jours

Le Sénat plaide pour la construction effective d’au moins 14 EPR et souligne l’urgence d’agir

Lancée le 9 février, cette mission avait déjà publié un rapport d’étape, dès le 24 février, sur le risque de black-out, alertant très en amont sur les répercussions de la guerre russe en Ukraine et du phénomène de corrosion sous contrainte. À l’issue de six mois de travaux, qui leur ont permis d’entendre 60 personnalités, à l’occasion de 30 auditions, et de se rendre sur le site de l’EPR de Flamanville, le 11 juillet, les rapporteurs ont formulé 10 propositions pour relancer l’énergie nucléaire sérieusement et promouvoir l’hydrogène bas-carbone, parmi lesquelles la construction effective d’au moins 14 EPR. Pour Daniel Gremillet : « L’énergie nucléaire est cruciale pour atteindre les objectifs de décarbonation prévus par l’Accord de Paris de 2015. Elle l’est d’autant plus que le Paquet Ajustement 55 et le Plan RePowerEU nous obligent à accélérer, pour réduire de 55% nos émissions et sortir des hydrocarbures russes. Le discours de Belfort du Président de la République n’est ni suffisamment ambitieux, ni suffisamment suivi d’effet. Nous préconisons donc d’acter rapidement le scenario “N03” de RTE, qui permet de maintenir au moins 50% d’énergie nucléaire à l’horizon 2050. Pour nous, c’est un minimum ! Dans un monde changeant, ce scenario doit s’appuyer sur un parc nucléaire robuste, moderne, agile face aux évolutions climatiques, technologiques et géopolitiques. » Convaincue de l’intérêt de maintenir un mix majoritairement nucléaire à l’horizon 2050, tout en renforçant les énergies renouvelables et la sobriété énergétique, la commission, s’appuyant sur le scenario « N03 » de Réseau de transport d’électricité (RTE), estime impérative la construction de 14 EPR et de 4 GW de SMR, les petits réacteurs modulaires. Elle demande que cet objectif soit acté législativement dans la loi quinquennale sur l’énergie de 2023 et assortie d’un plan de financement et de compétences. De plus, elle alerte sur le fait que, même réalisé, ce scenario pourrait ne pas suffire, si les réacteurs existants ne pouvaient pas être prolongés au-delà de 60 ans et si les besoins en électricité atteignaient des niveaux plus élevés notamment en raison de la réindustrialisation. La commission souligne que, dans ces cas, pour RTE, il faudrait l’équivalent de 3 et 9 EPR supplémentaires. La construction éventuelle de ces autres réacteurs mérite d’être étudiée d’ici la loi quinquennale. Pour Jean-Pierre Moga : « C’est toute une filière qu’il faut relancer ! La relance de l’énergie nucléaire ne saurait être possible sans un financement robuste, notamment pour EDF, et une formation adaptée, sur lesquels le Gouvernement doit faire des propositions. Elle doit s’accompagner d’une attention à la sûreté et à la sécurité, pour répondre aux nouveaux défis : la résilience au changement climatique et la cyber-résilience. Elle doit aussi s’accompagner d’un effort de recherche et d’innovation, pour réussir la fermeture du cycle du combustible. Le recyclage des combustibles, les réacteurs et les combustibles du futur et le stockage des déchets doivent être promus. » Pour Jean-Jacques Michau : « Parce qu’elle n’émet que 6 grammes de CO2 par kilowattheure, l’énergie nucléaire constitue un levier de décarbonation indispensable, complémentaire des énergies renouvelables. Le GIEC la fait figurer parmi ses options d’atténuation, tandis que l’AIE envisage son doublement. C’est pourquoi nous devons prendre des décisions aujourd’hui pour faire face aux besoins de demain. En 2040, la quasi-totalité de nos centrales actuelles seront en fin de vie ! C’est aujourd’hui qu’il faut agir. » Pour Sophie Primas : « On a affaibli la filière, depuis 10 ans, à un moment essentiel, en inscrivant depuis la loi de “Transition énergétique” une baisse de la part du nucléaire. La majorité actuelle a perdu du temps. On doit la vérité aux Français Une politique énergétique fondée sur trois piliers, le nucléaire, le renouvelable et la sobriété suppose, dans tous les cas, une relance rapide et massive des constructions de centrales nucléaires. Elle permettra de faire face à un doublement des besoins en électricité, qui sera la conséquence mécanique de la décarbonation ! ».
Il y a 2 ans et 314 jours

La déclaration de solidarité de la filière BTP ne fait pas l'unanimité

La Capeb a indiqué via un communiqué de presse en fin de journée le 11 juillet qu'elle ne signera pas la déclaration commune élaborée par la médiation des entreprises.
Il y a 2 ans et 314 jours

Nouveau DATI VigieLink pour une détection de chute inégalée

Renforcez la sûreté de vos employés avec un DATI 2.0Gestion des alertes simplifiée depuis le portail VigieControl® inclusCouverture GSM optimale avec la carte SIM multi-opérateurs incluseBouton SOS et alertes automatiques très faciles d'utilisationAlarme de chute et alarme d'absence de mouvement ultra performantesUne qualité professionnelle réservée aux professionnels !Le terminal VigieLink est un équipement professionnel de dernière génération. Sa conception robuste et son autonomie de plus d'une journée de travail (batterie Lithium-ion) vous garantit un fonctionnement fiable même dans les conditions d'utilisation les plus rudes.Résistance aux chocs même après une chuteÉtanchéité IP67 à l'eau (jusqu’à 1 mètre durant 30 min) et à la poussièreEncombrement réduit avec une dimension de 6x9x2cm et 125g seulementFacilité de port avec clip ceinture, dragonne ou brassard inclusUn système d'alertes multi-incidentsPour assurer la mise en sécurité de vos salariés, VigieLink prend en compte de nombreux risques liés à leur activité grâce à ses 8 types d'alarmes PTI. Le DATI de Neovigie utilise des algorithmes performants et éprouvés en conditions réelles garantissant un haut niveau de fiabilité et évitant le déclenchement d'alertes intempestives.Sensibilité et pré-alarme paramétrables : chute, immobilité, perte de liaison...Décroché automatique en cas d'alarme (mode mains-libres)Alarme anti-arrachement en cas d'agression (dragonne fournie)Localisation automatique en extérieur (GPS) et en intérieur (Bluetooth) avec alerte de geofencingUne transmission des alarmes sur plusieurs canauxPour réduire le délai d'assistance, les serveurs Neovigie peuvent transmettre les alarmes du DATI sur plusieurs canaux de communication : appel vocal, SMS, e-mail, notifications push ou au système de surveillance. Cette redondance optimale permet d'impliquer vos collaborateurs dans la politique sécuritaire de l'entreprise.Portail de supervision SaaS VigieControl accessible d'un simple explorateur WebLevée de doute grâce à la fonction phonie automatique du DATITraitement en un seul outil des alertes du DATI ou de l'application PTIGestion des alarmes sur option par les centres de télésurveillance Apsad P3 de SecuritasAlerte PTI DATI 2.0 simple et sûre pour la sécurité de vos travailleursNeovigie vous accompagne avec une solution complète de dispositifs d'alerte du travailleur isolé en s'appuyant sur l'expertise du Groupe LPI, spécialiste des systèmes high-tech de communication depuis 1976.Vous apprécierez la facilité d'utilisation du DATI et de l'application PTI et les capacités du portail de supervision Web : visualisation en temps réel des alarmes, paramétrage simplifié de l'ensemble de vos dispositifs, rapports enrichis pour analyser et améliorer la sûreté de vos travailleurs...
Il y a 2 ans et 314 jours

Tri’n’Collect poursuit son développement avec l’ouverture de six nouvelles agences

Tri’n’Collect, la start’up spécialiste dans la gestion des déchets de chantierTri’n’Collect est né en 2019 de deux constats : 90 % des déchets sont recyclables à condition qu’ils soient triés à la source et les artisans ont peu de solutions de tri sur chantier.En 2 ans et demi, les agences de Tri’n’Collect ont sauvé de l’enfouissement plus de 4.300 tonnes de chutes de matériaux et autres déchets de chantier qui ont pu être valorisés localement dans le respect de la hiérarchie des modes de traitement des déchets.Une tonne de déchets recyclés générant 10 fois plus d’emploi qu’une tonne de déchets enfouis, Tri’n’Collect a accueilli 20 nouveaux collaborateurs en 2022 et franchi ainsi le cap de 50 collaborateurs !Des ouvertures d’agences portées par un alignement des facteurs écologiques, réglementaires et économiquesDe plus en plus d’acteurs du bâtiment s’engagent pour une construction durable tout en étant soumis aux nouvelles obligations règlementaires (tri 7 flux sur chantier, traçabilité de déchets, etc.) ainsi qu’à la pression inflationniste des coûts de traitement de déchets.Une stratégie de maillage du territoire avec une ambition nationale à horizon 2025La stratégie de développement territorial de Tri’n’Collect s’inscrit dans une logique de proximité afin de limiter le transport de déchets entre les chantiers, les lieux de massification et enfin celui de traitement et valorisation (conformément à l’article Article L541-1 du code de l’environnement relatif à la Prévention et gestion des déchets). L’optimisation des tournées de collectes permet un périmètre départemental d’interventions.Déjà présent dans 6 villes de l’ouest de la France, Nantes, Lorient, Angers, Rennes, La Roche sur Yon et Bordeaux, Tri’n’Collect a ouvert deux nouvelles agences à Brest et La Rochelle sur ce 1er semestre pour accompagner, au plus près, les acteurs du bâtiment du Finistère et de Charente Maritime dans la gestion maîtrisée de leurs déchets de chantier.L’agence de Brest, située sur la commune de Guipavas, opère déjà sur près de 80 chantiers, essentiellement des constructions de maisons individuelles.Celle de La Rochelle, basée à Lagord, débute son activité par le plus grand projet d’aménagement confié à Tri’n’Collect. Avec un peu plus de 100 terrains à bâtir, l’opération « ZAC de la Gare » du Crédit Mutuel Aménagement Foncier, représentera, à terme, plus de 80 tonnes de CO2 économisées grâce aux solutions de tri à la source. A noter que cette agence bénéficie d’un écosystème d’acteurs engagés dans la transition écologique, grâce à la démarche La Rochelle Territoire Zéro Carbone.Pour Romain Bouchet, notre Directeur Régional Sud-Ouest : « Ces ouvertures d’agences sont envisagées dès que plusieurs facteurs clés sont réunis : la validation de l’attractivité du territoire avec le potentiel du marché de la construction, la contractualisation avec des clients pour amorcer l’activité, et l’identification d’un écosystème de filières de valorisation. »D’ici septembre, 3 autres agences seront ouvertes : le Morbihan est renforcé avec une agence annexe à Vannes, les agences de Tours et Bayonne adresseront chacune les départements de l’Indre-et-Loire et les Landes. Il ne reste qu’à trouver le dépôt pour l’agence de Caen !A terme chaque agence collectera entre 600 tonnes et 2.000 tonnes de déchets par an.D’ici 2025, l’ambition de Tri’n’Collect est de déployer une quarantaine d’agences et ainsi couvrir le territoire national.
Il y a 2 ans et 314 jours

Fonds friches : le recyclage de 676 nouveaux hectares financé

La 3e édition du fonds friches, lancée le 15 février a suscité 1 210 candidatures pour 431 M€ de subventions demandées. Les Préfets de région et l’Ademe ont sélectionné 264 lauréats dont 4 dossiers communs pour 121 M€ de subventions attribuées après redéploiement des crédits des premières éditions.
Il y a 2 ans et 314 jours

Big Bag’n Go dévoile sa nouvelle gamme de big bags recyclés

Les big bags sont fabriqués en polyéthylène téréphtalate, un composant issu des déchets de bouteilles en plastique. [©Big Bag’n Go] Les big bags génèrent chaque année environ 800 000 t de plastique à travers le monde. Près de 65 % d’entre eux sont à usage unique. Tandis que 50 % sont recyclés, mais jamais réutilisés dans la fabrication de nouveaux sacs. Cela, en raison de leur composition complexe, associant parfois jusqu’à quatre types de matériaux différents. C’est pourquoi, le groupe Big Bag’n Go dévoile sa nouvelle génération de big bags fabriqués uniquement en polyéthylène téréphtalate, un composant issu des déchets de bouteilles en plastique. Et réputé pour sa photo-résistance, qui évite le recours aux produits chimiques pour protéger les sacs. Une offre de big bags adaptée à tous « Les technologies industrielles et les filières de collecte se mettent en place, déclareArnaud Rongier, président de Big Bag’n Go. Nous avons pour mission d’informer et de sensibiliser les utilisateurs à la nécessité de recourir à des contenants issus du recyclage et éco-conçus. » Ainsi, la production d’un big bag d’une contenance de 1,5 t permet la remise en circuit d’environ 30 bouteilles d’eau de 1,5 l. Lire aussi : Big Bag’n Go consolide ses services avec l’acquisition de SOS Bennes Les produits sont d’ailleurs certifiés Iso 9001, 14001 et 22000. Big Bag’n Go prévoit un déploiement progressif de son offre d’ici début 2023. Celle-ci se compose de trois formats différents. A savoir, le Small 250 (50 cm x 50 cm x 110 cm, 500 kg de charge), le Medium 1 m3 (90 cm x 90 cm x 110 cm, 1,5 t de charge) et le Large 2 m3 (230 cm x 125 cm x 70 cm, 1,5 t de charge). Chaque taille s’adapte à toute typologie de besoin.
Il y a 2 ans et 314 jours

Relance et transition : des contrats sans passion

S’ils couvrent la quasi-totalité de l’hexagone, les 819 contrats de relance et de transition écologique ne soulèvent pas de ferveur extraordinaire, parmi les intercommunalités qui les ont signés aux côtés de l’Etat. Ce constat ressort de l’enquête publiée le 20 juillet par l’Association des maires de France. Le titre reflète le scepticisme des élus contractants : « Le CRTE, un outil dont la valeur ajoutée reste à démontrer ».
Il y a 2 ans et 314 jours

Une base nautique cachée sous la dune

D’une surface totale de 700 m2, le bâtiment a été durablement conçu et construit pour se voir le moins possible et se fondre parfaitement dans le paysage. L’architecte Stéphane Coulaud a ainsi imaginé un bâtiment aussi bas que possible pour ne pas cacher la vue sur la ligne d'horizon, et pouvant également surmonter la montée des eaux. Il a également souhaité que la dune littorale colonisée par la végétation indigène intègre tout l’arrière du bâtiment pour une parfaite intégration environnementale.Pour réussir cette prouesse esthétique, il fallait garantir une parfaite étanchéité du bâtiment et notamment des deux toitures : l’une enterrée et non accessible ; l’autre accessible et apparente aux UV.L’entreprise ODL ETANCHEITE a sélectionné deux références de membrane synthétique FPO, proposées par Sika :L’étanchéité de la partie de la toiture immergée sous le sable a été réalisée par la membrane FPO Sarnafil TG 66-15 F. Conçue pour les toitures sous lestage, cette membrane se caractérise par sa haute résistance au développement de micro-organismes et de racines, assurant sa grande durabilité. À noter que la paroi enterrée a été étanchéifiée avec une membrane d’étanchéité FPO.En partie non protégée, la membrane Sarnafil TS 77-15 E a été choisie pour sa couleur proche de celle de l'eau et du béton. Fixée mécaniquement, cette membrane multicouche contient des stabilisants contre le rayonnement ultraviolet.Réputée pour former les futurs champions de voile, la base nautique de Carnon est aujourd’hui un ouvrage labellisé Bâtiment Durable Méditerranée. Une autre forme de distinction prestigieuse.
Il y a 2 ans et 314 jours

Viessmann jette les bases d’une accélération de la production de pompes à chaleur en Europe et investit 200 millions d’euros dans un nouveau site technologique à Legnica, en Pologne.

• Pose solennelle de la première pierre avec le premier ministre polonais : Mateusz Morawiecki salue le partenariat étroit et durable avec Viessmann en Pologne depuis 30 ans  • L’investissement de plus de 200 millions d’euros dans le nouveau site est un élément clé de l’offensive climatique verte d’un milliard d’euros de Viessmann  • L’entreprise […]
Il y a 2 ans et 314 jours

"Il faut garder un EDF unique", estime son PDG Jean-Bernard Lévy

EDF doit rester un groupe "unique", a estimé lundi son PDG Jean-Bernard Lévy, en réponse aux craintes des syndicats, qui redoutent que la renationalisation annoncée du groupe ne soit le prélude d'un démantèlement futur.
Il y a 2 ans et 314 jours

Le Palais des Congrès de Royan renoue avec Prouvé

Le projet s'inscrit dans un quartier pavillonnaire d'une ville moyenne située à mi-chemin de Santiago du Chili et de l'océan Pacifique. Les parcelles sont pourvues d'une riche végétation, que la plupart des constructions ont préservée. Les étés fortement ensoleillés expliquent la commande, une simple […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 314 jours

Vers un accord des députés pour un "bouclier loyer" renforcé en Outre-mer

La majorité présidentielle s'apprête, en effet, à soutenir un amendement du député Charles de Courson, du groupe Libertés, indépendants, Outre-mer et territoires (Liot), selon une source LREM. "Je confirme un accord pour un plafond de 2,5%" en Outre-mer, a réagi M. de Courson auprès de l'AFP. "Des négociations ont eu lieu avec qui de droit", a-t-il ajouté sans en dire plus.Dans son amendement, le député centriste revendique une différence de traitement entre les territoires: "Il ne s'agit en aucun cas d'un passe-droit mais d'une demande fondée sur des éléments objectifs, notamment un coût de la vie" et un "taux de pauvreté plus élevés" et des "loyers qui représentent un poids nettement plus conséquent dans les dépenses totales des ménages en Outre-mer". La période concernée court pendant un an à compter de juillet 2022. En France métropolitaine, le projet de loi sur le pouvoir d'achat prévoit que l'indice de référence des loyers augmente de 3,5% en juillet puis reste bloqué à ce niveau pendant un an, une mesure présentée par le gouvernement comme un compromis entre les intérêts des locataires et des propriétaires, face à l'inflation. L'indice de référence sert de base pour réviser les loyers des logements vides ou meublés. Il fixe les plafonds des augmentations annuelles des loyers que peuvent exiger les propriétaires. LFI et communistes dénoncent une mesure "très loin du compte" en réclamant un "gel immédiat" des loyers.
Il y a 2 ans et 314 jours

Les aéroports parisiens revoient leurs prévisions à la hausse pour 2022

Au premier semestre, Paris-Charles-de-Gaulle et Paris-Orly ont accueilli 37,5 millions de passagers pour Paris Aéroport, soit 71,6% du niveau de trafic pour la même période en 2019, a annoncé le groupe ADP.Le trafic des grands aéroports de la région parisienne a une nouvelle fois nettement progressé en juin, continuant son rapprochement du niveau de l'avant-crise sanitaire, avec 8,1 millions de passagers accueillis, soit 82,1 % du trafic de Paris Aéroport du mois de juin 2019.Le trafic international est à 77% du niveau de juin 2019, malgré un trafic toujours très faible vers l'Asie-Pacifique. Le trafic vers l'Europe est à 87,1%, vers la France à 80,3%, et vers les DROM-COM à 89%.Au niveau du groupe ADP, intégrant les aéroports de New Delhi, Antalya, ou Santiago du Chili, le trafic a atteint au mois de juin 81,8% des niveaux de juin 2019.Au premier semestre, le groupe a accueilli 118,2 millions de passagers, soit 71,9% du trafic du premier semestre 2019.ADP prévoit désormais un niveau de trafic sur l'année 2022 qui devrait atteindre entre 74 et 84% du niveau de 2019, contre 70 à 80% prévus précédemment.
Il y a 2 ans et 315 jours

L'Hôtel de Ville de Paris perquisitionné dans le dossier de la Tour Triangle

La perquisition, révélée par le Parisien, était terminée mercredi en début d'après-midi, a précisé l'entourage de la maire Anne Hidalgo.Le parquet national financier (PNF) a confirmé "qu'une perquisition (avait) eu lieu (mercredi) matin dans les locaux de l'Hôtel de Ville de Paris".Menée par deux magistrats instructeurs, selon l'entourage de la maire, la perquisition fait suite à l'information judiciaire ouverte en mars par le PNF pour des soupçons de favoritisme dans le contrat d'exploitation du Parc des expositions dans le sud de Paris, où la construction de la tour a débuté en février.Les juges étaient accompagnés des gendarmes de la section de recherches de Paris, selon une source proche."C'est la suite logique et cohérente de l'information judiciaire", a commenté l'entourage d'Anne Hidalgo qui se dit "à disposition de la justice" et pour qui la perquisition s'est déroulée "de manière très calme, sans panique". Des techniciens ont fouillé des ordinateurs pour y saisir des documents à la direction de l'urbanisme, celle des affaires judiciaires, des affaires financières, aux services généraux et au cabinet de la maire, a précisé l'entourage de Mme Hidalgo. Les enquêteurs sont entrés dans le bureau d'Anne Hidalgo, où ils "sont restés un quart d'heure", a-t-on précisé. La maire, en déplacement à Avignon pour le festival, était absente mais rentrera mercredi soir pour la passation de pouvoirs à la préfecture de police entre Didier Lallement et Laurent Nuñez. Personne à la mairie n'est "mis en cause, encore moins mis en examen", souligne le cabinet de la maire, dans ce dossier qui remonte au début des années 2010, quand Bertrand Delanoë était maire, Anne Hidalgo première adjointe à l'urbanisme et la Première ministre Elisabeth Borne directrice à l'urbanisme. Accusations contestées Le PNF avait ouvert une enquête préliminaire pour "favoritisme" et "recel de favoritisme" en juin 2021, puis une information judiciaire en mars. La Ville de Paris avait résilié le contrat de concession attribué à la société Viparis, puis lui avait à nouveau confié l'exploitation du complexe événementiel via un bail emphytéotique (d'une durée de 50 ans) à l'issue d'un appel d'offres jugé contestable. Les délais de dépôt d'offres ont été notamment considérés comme trop courts, compte tenu de la complexité du projet. De plus, la Ville avait accepté que Viparis ne s'acquitte pas du droit d'entrée de 263 millions d'euros demandé aux candidats. En échange, cette filiale d'Unibail-Rodamco-Westfield devait renoncer à l'indemnité de résiliation anticipée du contrat initial. "Nous sommes très satisfaits que l'instruction permette une avancée dans ce dossier", a réagi Elise Van Beneden, présidente de l'association Anticor qui avait déposé une plainte avec constitution de partie civile en février 2021. La maire LR du VIIe arrondissement de Paris, Rachida Dati, avait également signalé à la justice en juillet 2020 le projet de construction de la tour, qui doit s'étirer sur 42 étages et 180 m de haut, dans le périmètre du Parc des expositions. Mme Dati et Anticor s'appuyaient sur un rapport de la chambre régionale des comptes d'Ile-de-France de juillet 2020, qui estimait notamment que le projet de la Tour Triangle avait été "inséré de façon critiquable dans l'enceinte du Parc des expositions". La Ville de Paris, Unibail-Rodamco Westfield et Viparis rejettent les accusations, assurant avoir respecté les règles de l'appel d'offres.
Il y a 2 ans et 315 jours

Loxam étend sa présence en Espagne

ACQUISITION. Via sa filiale espagnole et portugaise, LoxamHune, le loueur de matériels de chantier, annonce avoir fait l'acquisition d'Arteixo Maquinaria, spécialiste de la location de matériels en Galice (Espagne).
Il y a 2 ans et 315 jours

A Nantes, du mobilier urbain innovant testé pour lutter contre les îlots de chaleur

EXPÉRIMENTATION. Dans la métropole de Nantes, 4 innovations lauréates d'un appel à projets pour imaginer la ville de demain vont être testées durant plusieurs mois. Parmi elles, un nouveau type de mobilier urbain, conçu par Spie Batignolles, pour aider à rafraîchir la ville.
Il y a 2 ans et 315 jours

Une nouvelle usine de semi-conducteurs de 5,7 mds euros doit naître près de Grenoble

Afin de répondre à la pénurie actuelle, les fabricants GlobalFoundries et STMicroelectronics vont construire une usine de semi-conducteurs en Isère, un investissement estimé à 5,7 milliards d'euros.
Il y a 2 ans et 315 jours

Viessmann va construire un nouveau site dédié au PAC en Europe

INVESTISSEMENT. Viessmann continue d'accélérer sur le marché des pompes à chaleur et annonce la construction d'un nouveau site dédié au secteur en Pologne. L'industriel a débloqué une enveloppe de 200 millions d'euros.
Il y a 2 ans et 315 jours

7 Français sur 10 souffrent de la chaleur dans leur logement

La souffrance thermique, un enjeu majeur en France69% des Français déclarent souffrir des températures trop élevées dans leur logement lors de périodes de forte chaleur. Ils sont notamment 30% à en souffrir de plus en plus souvent. Un problème qui, selon les prévisions de Météo France, va s’accentuer. Force est de constater que les épisodes caniculaires se sont multipliés dans le pays ces dernières années. Sur les 43 vagues de chaleur observées depuis 1947, seules 9 ont eu lieu avant 1989. En seulement onze ans, entre 2010 et 2021, 19 ont touché l’Hexagone (source : Météo France).9 français sur 10 (88%) considèrent qu’il est important de trouver une solution pour réduire la température dans les logements, dont près de la moitié (46%) à très court terme. Un constat partagé par Hervé Lamy, Délégué Général du Groupement Actibaie, syndicat membre de la FFB (Fédération Française du Bâtiment) : « Les problématiques de chaleur ne sont pas l’apanage des passoires thermiques, qui totalisent déjà 5 millions de logements. Même les logements très performants sur la thermique d’hiver peuvent être très inconfortables lors de période de fortes chaleurs. Il est temps que les pouvoirs publics prennent à bras le corps ce sujet pour les logements existants, comme ils l’ont fait dans le neuf avec la RE 2020. »Une solution durable : les stores et voletsFermer les stores et/ou volets est de loin la première action mise en place pour rafraîchir le logement pour 82% des Français, suivi par aérer les pièces la nuit (77%), fermer les fenêtres en période d’ensoleillement (62%) utiliser un ventilateur (41%) et enfin un climatiseur (21%).Pour Hervé Lamy, des solutions durables pour réduire la température existent. « Les stores et volets sont en effet très efficaces pour réduire la température intérieure. En maison individuelle, l’indicateur d’inconfort (DH) peut être réduit de 40% en installant des volets et des stores manuels. S’ils sont automatisés, cet indicateur peut encore être abaissé de 20% supplémentaires. Des mesures dans une école récemment rénovée ont montré que l’écart peut être de 10°C entre l’extérieur et l’intérieur uniquement grâce aux protections solaires. »Ces solutions sont d’autant plus prisées que près de la moitié des propriétaires se disent prêts à équiper ou rénover leur logement pour l’installation ou l’automatisation de stores et volets si une aide financière de l’Etat était proposée. « Aujourd’hui les dispositifs d’aides à la rénovation énergétique n’intègrent pas la problématique du confort d’été. Les stores et volets sont totalement exclus. Sur ce sujet, la France est à la traîne comparée à nos voisins allemands ou italiens qui ont sauté le pas. C’est un non-sens social et écologique, incompatible avec les objectifs environnementaux fixés par l’État. »Limiter le recours à la climatisationSi aujourd’hui 21% des Français ont recours à la climatisation, près d’un cinquième (19%) des non-utilisateurs déclare avoir l’intention d’acheter un climatiseur, ce qui porterait le taux d’équipement des foyers français à 40%.Selon un rapport de l'Ademe publié en juin 2021, la climatisation est aujourd'hui responsable de près de 5% des émissions d'équivalent CO2 du secteur du bâtiment en France. « Il est urgent de rénover les logements pour limiter le recours à la climatisation, trop énergivore. Il faut penser impact environnemental et sobriété énergétique... C’est devenu une nécessité dans le contexte géopolitique actuel, mais aussi et surtout, pour faire face à l’aggravation du réchauffement climatique. »
Il y a 2 ans et 315 jours

Une préfète pressentie pour diriger le cabinet d'Olivier Klein

MINISTÈRE. Muriel Nguyen, ancienne préfète de la Somme, serait en passe d'être officiellement désignée directrice de cabinet d'Olivier Klein, ministre délégué chargé du Logement et de la ville.
Il y a 2 ans et 315 jours

Trophées de la construction 2022 : les finalistes "Construction de logements individuels"

EN IMAGES. Quatre finalistes sont en compétition dans la catégorie "Construction de logements individuels" des Trophées de la construction 2022. Le concours, organisé par Batiactu groupe et SMABTP, a pour but de mettre en lumière des professionnels du secteur du BTP, de l'architecture et du cadre de vie.
Il y a 2 ans et 315 jours

Neuf PME sur dix qui cherchent à recruter ne trouvent pas le "bon profil"

La première cause évoquée par les dirigeants interrogés est l'absence de candidat pour 74% d'entre eux, devant le manque de compétences (47%).Les résultats de cette enquête corroborent d'autres études de la Banque de France sur l'ensemble des entreprises, qui montrent que les difficultés de recrutement ont atteint en juin un niveau inédit depuis un peu plus d'un an que l'institution mesure ce phénomène.Ces difficultés s'expliquent par des raisons conjoncturelles - la forte reprise économique après la récession de 2020 et le changement de secteur d'activité de nombre de salariés avec la crise du Covid-19 - mais aussi par des lacunes structurelles du marché du travail français, comme le manque de qualification particulièrement recherchée (informatique, etc.)."Cette problématique est d'autant plus aiguë qu'un dirigeant sur quatre est confronté à un turn-over important" de ses effectifs, souligne la CPME.Relation au travailSelon le sondage de l'organisation professionnelle, les raisons de ce "turn-over" sont le souhait des salariés de se consacrer à autre chose qu'à leur vie professionnelle (53%), de changer de secteur (51%).Près d'un tiers (33%) évoquent aussi le souhait des salariés d'aller travailler chez un concurrent plus offrant, note la CPME."Quand bien même vous pouvez proposer un CDI, que vous êtes prêt à discuter des conditions de travail, certains Français ont un autre projet qu'un projet professionnel, comme si la relation au travail était différente de ce qu'elle était auparavant", a commenté mardi sur France Inter le président de la CPME François Asselin, qui y voit un phénomène "complètement nouveau".Dans ce contexte, couplé à une inflation inédite depuis 40 ans, 65% des dirigeants ont décidé d'augmenter les salaires cette année et 40% l'ont fait pour tous leurs salariés.Celles qui ne l'ont pas fait invoquent dans 78% des cas le manque de capacité financière de l'entreprise.Par ailleurs, 68% des dirigeants de TPE et PME affirment avoir versé "récemment" des primes à leurs salariés (individuelles ou collectives comme la prime exceptionnelle de pouvoir d'achat).Face aux difficultés de recrutement, François Asselin juge le système français d'assurance-chômage "perfectible". Il "n'est pas assez efficace", a-t-il déploré mardi, cinq jours après l'annonce par le président Emmanuel Macron du lancement "dès cet été" d'une nouvelle réforme de l'assurance-chômage."Le meilleur système assurantiel en terme de chômage, c'est celui qui indemnise correctement celui qui a un accident de parcours professionnel mais qui en même temps le raccroche au marché de l'emploi", estime M. Asselin.Le sondage de la CPME a été réalisé sur la base de 2.362 réponses de dirigeants de TPE et PME à un questionnaire en ligne réalisé entre le 16 juin et le 12 juillet.