Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

255860 actualités disponibles
Il y a 2 ans et 338 jours

6 conseils pour bien choisir sa climatisation

Nice, le 7 juin 2022 – Cette année, le mois de mai a été particulièrement chaud, offrant un avant-goût d’été à notre quotidien. Bien que cette météo estivale soit appréciable sur divers aspects, elle peut rapidement devenir étouffante et transformer les intérieurs en de véritables fournaises. Pour ne plus souffrir de ces fortes chaleurs et […]
Il y a 2 ans et 338 jours

Le Rapport AGC Glass sur le développement durable 2022 est désormais en ligne

Ces réalisations sont le fruit de l’engagement continu de tous les sites d’AGC Glass Europe pour atteindre les objectifs environnementaux de l’entreprise à l’horizon 2030. Activités de production : Coup d'œil sur les réalisations de 2021 Récupération d’énergie et production d’électricité : AGC a commencé à installer des panneaux PV et des installations de récupération de chaleur en 2009. Depuis, la production d’électricité n’a cessé de croître pour atteindre 32.221 MWh d’énergie récupérée et autoproduite en 2021.Air : Sur une base comparable, par tonne de verre vendu, la partie Upstream Operations a réduit ses émissions directes de CO2 de 10% depuis 2002. L’utilisation de fiouls lourds a diminué de manière constante au cours de cette période, pour disparaître complètement en 2020. Depuis 1999, les émissions spécifiques de poussières ont été réduites de quelque 63%Eau : Entre 1998 et 2021, AGC Glass Europe est parvenu à réduire sa consommation d’eau de 69% sur une base comparable.Déchets solides : Aujourd'hui, la quantité de déchets solides produits par le Groupe avoisine les 220.000 tonnes/an, dont 97% environ sont encore recyclés ou récupérés sur site par les fournisseurs ou entrepreneurs du Groupe.Transport : 57% des matières premières sont transportées par bateau, péniche et train, soit l’équivalent de quelque 57.985 camions en moins par an sur les routes. En 2021, près de 42.000 tonnes de produits verriers finis ont été transportés par train et par camion, soit quelque 2.100 camions en moins par an sur les routes.Emballages : Aujourd'hui, la plupart des emballages de verre sont réutilisables. AGC Glass Europe présente un taux très élevé de réutilisation de ses emballages. En Belgique, 98 % des emballages sont réutilisés.Recyclage : AGC Glass Europe recycle environ 1.000.000 de tonnes de verre chaque année, économisant près d’1.150.000 tonnes de matières premières et 700.000 tonnes d’émissions de CO2. Production d'énergie verte dans les usines AGC AGC a commencé à installer des panneaux photovoltaïques et des installations de récupération de chaleur en 2009. De nombreux projets sont à l'étude pour augmenter encore la production d'énergie verte et de réduire la consommation d'électricité du réseau et les émissions de CO2 associées. Le dernier projet confirmé concerne l'usine de verre float d'AGC à Seingbouse (France), où une installation ORC pour la récupération de la chaleur résiduelle et une centrale photovoltaïque seront installées en partenariat avec l’énergéticien E.ON . Empreinte Carbone 1:9AGC Glass Europe contrôle l'empreinte carbone totale de ses opérations en suivant les directives du GHG Protocol. Le premier calcul de l'empreinte carbone d'AGC a été effectué en 2009 et il s’est fait tous les trois ans jusqu'en 2020. Il est désormais calculé chaque année afin de mieux suivre la progression de la feuille de route carbone d'AGC Glass Europe. Le dernier calcul montre que les activités d'AGC Glass Europe sont responsables, directement et indirectement, de 3.535.000 tonnes de CO2 émises par an (année de référence 2020). AGC Glass Europe contrôle également le carbone évité par l'utilisation de ses produits, ce qui donne 33.530.000 tonnes de CO2 évitées. Cela signifie que pour chaque tonne de CO2 émise par AGC, près de 9 tonnes sont évitées grâce à l'utilisation des produits AGC.Découvrez dès maintenant le Rapport* AGC Glass sur le développement durable en surfant sur www.agc-glass.eu.(*) Le Rapport sur le Développement Durable n’est disponible qu’en ligne et en anglais.
Il y a 2 ans et 338 jours

Les Assises du Bâtiment attendues avec espoir par la FFB

Lors d'une conférence de presse le 14 juin, le président de la FFB Oliver Salleron a évoqué les nombreux problèmes auxquels le secteur de la construction est confronté et a évoqué une possible sortie de crise début 2024.
Il y a 2 ans et 338 jours

Procès du balcon effondré d'Angers : l'Ordre des architectes réagit

JUSTICE. Le conseil national de l'Ordre des architectes (Cnoa) a réagi au verdict du procès du balcon effondré, à Angers. L'organisme demande notamment le lancement des travaux de rédaction de règles professionnelles de conception et de réalisation de balcons.
Il y a 2 ans et 338 jours

Le secteur du BTP mis à rude épreuve

L’inquiétude se renforce sur le logement neuf à moyen terme. [©ACPresse] Le BTP s’accroche. Malgré les difficultés d’approvisionnement et de recrutement, l’activité du secteur garde une bonne dynamique sur le début 2022, selon la FFB. En témoigne le niveau élevé des carnets de commandes de plus de sept mois à la fin mars. Les entreprises résistent, notamment grâce au lancement des remboursements des prêts garantis par l’Etat (PGE). Ainsi, le nombre de défaillances sur les quatre premiers mois de 2022 s’avère 40 % inférieur à celui de 2019. Lire aussi :L’Ecima fait part de son inquiétude au nouveau gouvernement En parallèle, l’emploi continue de progresser avec plus de 8 000 postes créés sur le premier trimestre. Depuis le printemps 2020, le BTP affiche 86 600 postes supplémentaires, soit une hausse de 7 %. Cependant, le secteur peine à trouver de nouvelles recrues. A cela s’ajoute une crise des matériaux qui reste toujours d’actualité. La hausse des prix des matériaux Selon l’Insee, entre novembre 2021 et avril 2022, les prix de l’acier et de l’aluminium ont augmenté de 27 %. Les tuiles enregistrent aussi une hausse de 20 %, tout comme les produits en PVC (16 %), en céramique (12 %), en cuivre ou encore en plastique (10 %). De manière générale, l’index BT01 calculé par l’Insee résume l’ensemble des coûts d’une entreprise moyenne du bâtiment. Il affiche une hausse de + 3 % sur les trois premiers mois de 2022. En comparaison, sur l’ensemble de l’année 2021, les chiffres montraient une hausse de + 5 %. Lire aussi :Bourgogne – Franche-Comté : Bonne tenue de la construction dans l’Est Par ailleurs, des craintes sur l’activité en 2023 se font ressentir. En effet, l’inquiétude se renforce sur le logement neuf à moyen terme. La FFB et d’autres acteurs de la construction ont déjà signalé sa probable chute à l’horizon de la fin 2022. En témoigne la baisse de 8 % des permis de construire pour les maisons individuelles en avril 2022 par rapport à avril 2021. Quant au logement collectif, les ventes continuent de plonger et la situation des permis progresse lentement sous l’effet de l’anticipation de la RE 2020. Les Assises du BTP très attendues Pour redresser la barre, la FFB compte sur les Assises du BTP. Annoncées par le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, ces dernières permettront d’aborder tous les sujets de préoccupations que le secteur subit. « Il faudra revenir sur la solidarité de la filière et réfléchir sur l’indexation des prix des marchés et des aides comme les CEE et MaPrimeRénov’ », déclare Olivier Salleron, président de la FFB. Les Assises du BTP seront aussi l’occasion d’aborder la transition écologique et numérique. Un point crucial pour la transformation du secteur, en termes de marchés, d’emplois ou de formations. Ce regroupement devrait ainsi permettre de réguler tout un secteur qui maintient le cap, mais qui fait face à de nombreuses menaces qui le fragilisent…
Il y a 2 ans et 338 jours

Les câbliers inquiets pour 2022 face à la flambée des coûts

Les industriels français du câble ont connu une belle année 2021 mais se montrent inquiets pour l'année 2022, en raison de la flambée des coûts et des difficultés d'approvisionnements engendrées par la guerre en Ukraine.
Cimbat
Il y a 2 ans et 338 jours

Lancement du site LOCATION MONTAGE  échafaudages par l’Echelle Européenne

L’Echelle Européenne complète ses activités en mettant en place la location et le montage d’échafaudages : échafaudage de façade, échafaudage multidirectionnel, échafaudage suspendu, service de confinement, etc.  Des prestations aux services des clients  La pose d’un échafaudage s’avère essentielle pour le bon déroulement des chantiers. Nos spécialistes sont là pour aider à faire le bon […]
Il y a 2 ans et 338 jours

Nouvelle collection OUVELLE COLLECTION FLOTEX HÔTELLERIE et LOISIRS : faire de tous les espaces un endroit unique

Si  » l’instagrammabilité  » des lieux de villégiature s’impose comme LA grande tendance, gageons que Forbo Flooring va en moduler les codes avec sa nouvelle collection Flotex Hôtellerie & Loisirs. Il ne s’agira plus seulement, pour les accros aux photos, de poster sur les réseaux les plus beaux paysages, mais de capturer l’esthétique et l’inventivité des […]
Il y a 2 ans et 338 jours

Cemex décarbone le transport de ses matériaux de construction

Cemex s’est ainsi engagé à réduire ses émissions de carbone liées aux transports routier, ferroviaire et fluvial de 12 % d’ici à 2024. [©Photothèque Cemex] Conscient de l’enjeu majeur que représente la décarbonation de ses activités, y compris dans le transport des matériaux. Cemex incite ses transporteurs réguliers à investir dans des véhicules utilisant des carburants alternatifs. Ainsi, plusieurs des camions transportant les matériaux du groupe roulent au gaz naturel, au biogaz ou encore au biocarburant. Déjà engagé depuis de nombreuses années dans la décarbonation de ses activités, le bétonnier s’oriente davantage dans celle de ses transports. En effet, depuis le printemps 2022, les véhicules du groupe utilisant des carburants alternatifs ou de l’énergie électrique sont signalés d’un marquage spécifique. « L’un de nos transporteurs en Ile-de-France utilise un semi-remorque roulant au gaz naturel et équipée d’une toupie indépendante de 12 m3 100 % électrique. Ce camion figure parmi les premiers semi-remorques avec cuve électrique en France. Le tracteur a été construit par Volvo et la remorque par le Belge Debuf. Il présente l’avantage d’être moins polluant que les véhicules conventionnels, pour lesquels jusqu’à 40 % de l’énergie est dédiée à faire tourner la cuve », indique Emanuel Mendes, directeur logistique BPE. Un marquage pour valoriser l’action climatique de Cemex Le groupe a ainsi imaginé le logo “Future In Action” pour ses véhicules roulant aux énergies moins polluantes et spécifiant l’énergie alternative utilisée. Entre mars et juin, les premiers marquages ont été réalisés sur un camion-benne, un deux toupies, dont une sur un semi-remorque électrique. Dans les mois à venir et partout en France, tous les nouveaux véhicules utilisant des carburants alternatifs seront logotés. « Cemex est engagé de longue date en faveur de la réduction de son empreinte carbone. A travers “Future In Action”, notre stratégie d’action climatique, nous nous sommes fixés pour objectif de réduire de 55 % d’ici à 2030 les émissions de carbone de nos activités en Europe. Ceci, afin d’atteindre les objectifs des accords de Paris », conclut Louis Natter, directeur développement durable. Cemex s’est engagé à réduire ses émissions de carbone liées aux transports routier, ferroviaire et fluvial de 12 % d’ici à 2024.
Il y a 2 ans et 338 jours

Kinedo SETMA La Ciotat : une expertise bouillante de dynamisme depuis 38 ans

Revendiquant une présence industrielle à la Ciotat depuis 1967, SETMA a été acquise par le groupe SFA en 1987 pour devenir SETMA Europe. La société impose aujourd’hui son expertise sectorielle sous la marque Kinedo, et plus précisément dans la conception de baignoires équipées de systèmes balnéo et de spas, ainsi que de rotomoulage.  Rappelons que […]
Il y a 2 ans et 338 jours

« Pour compenser la hausse de l'inflation, les entreprises doivent augmenter les salaires au maximum de leurs possibilités », Eric Heyer, directeur de l’OFCE

En France, l’inflation a atteint en mai 5,2 % sur un an. Pour Eric Heyer, directeur du département Analyse et Prévision à l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) et membre du Haut Conseil des Finances publiques, les employeurs doivent participer à l’effort en augmentant les salaires au maximum de leurs possibilités, ni plus, ni moins.
Il y a 2 ans et 338 jours

Le CSTB créé une nouvelle Direction dédiée à l’Eau, confiée à Maxime Roger

Cette nouvelle Direction regroupe des activités transverses : Recherche & Développement, essais, évaluation et certification. Elle réunit pour cela des équipes spécialistes de la question, issues des anciennes directions Climatologie Aérodynamique Pollution Épuration (CAPE) et Hydraulique et Équipements Sanitaires (HES), dans un objectif de synergies et de transversalité, pour adresser les nouveaux enjeux de la gestion durable de l’eau. Maxime Roger en est nommé Directeur opérationnel, par Etienne Crépon, Président du CSTB.Adresser l’ensemble des enjeux liés à la gestion durable de l’eau, dans le bâtimentEnviron 32 milliards de m3 d’eau douce sont prélevés chaque année pour le refroidissement des centrales électriques, l’alimentation des canaux, la production d’eau potable, les usages agricoles et industriels...* À l’échelle du bâtiment, des quartiers et des villes, cette consommation pose de nombreux défis, notamment :Environnementaux, avec la problématique centrale de la ressource en eau, en lien avec le dérèglement climatique et le stress hydrique associé ; Techniques, en particulier en lien avec l’état des équipements et des réseaux de canalisations, à renouveler et moderniser, dans une dynamique d’adaptation aux nouveaux usages (récupération, réemploi et recyclage...) ; Sanitaires, en lien avec une exigence de qualité centrale et continue.Travailler sur la question de la gestion durable de l’eau dans le bâtiment impose une prise en compte de l’ensemble de ces enjeux, mais aussi de tous les acteurs concernés, des fabricants et prescripteurs, aux usagers, en passant par les collectivités et les opérateurs immobiliers.C’est dans cet objectif qu’a été créée la Direction de l’Eau du CSTB.Organisation de la Direction de l’Eau du CSTBJusqu’à présent, deux directions du CSTB travaillaient sur l’eau : Climatologie Aérodynamique Pollution Épuration et Hydraulique et Équipements Sanitaires, essentiellement dans le cadre d’activités de Recherche & Développement pour la première, et de certification pour la seconde.Ces équipes ont été réunies au sein de la nouvelle Direction de l’Eau, pour créer davantage de synergies et de transversalité dans les travaux et l’organisation des ressources et compétences, autour de l’eau, introduire plus de ressourcement scientifique et technique dans les prestations de certification et d’accompagnement de l’innovation, etc.La nouvelle Direction de l’Eau du CSTB est ainsi structurée pour : Adresser l’ensemble des problématiques actuelles et futures liées à la gestion durable de l’eau dans les bâtiments, connectés à leur environnement ;Dans le cadre d’une approche par besoins des acteurs, aux échelles produits, bâtiment et quartier, au service de l’intérêt général ;En fédérant l’ensemble des publics concernés, professionnels de la construction et institutionnels, déjà sensibilisés, mais aussi, plus largement acteurs de l’immobilier (propriétaires de bâtiments, exploitants, bailleurs sociaux...).La Direction de l’Eau est pour cela organisée autour de 4 divisions :Réseaux et ouvrages extérieurs, avec pour cible principale, les collectivités ;Réseaux et canalisations intérieurs, avec pour cibles principales, les constructeurs et installateurs ;Équipements Sanitaires du bâtiment, avec pour cible principale, les industriels ;Usages et nouveaux enjeux, avec pour cibles principales, les usagers, les propriétaires et les exploitants.Elle regroupe des activités de Recherche & Développement, d’essais, d’évaluation et de certification. Elle est pilotée par Maxime Roger.Maxime Roger, nommé Directeur opérationnel Eau au CSTBMaxime Roger, ingénieur diplômé de Polytechnique et de l’École des Ponts et Chaussées en 2008, rejoint le CSTB en 2009, en tant qu’ingénieur Études et Évaluation, d’abord responsable de l'équipe hygrothermique des ouvrages, puis du département Isolation et Revêtements.En 2015, il est nommé Directeur de l’établissement de Nantes du CSTB, et Directeur opérationnel Climatologie Aérodynamique Pollution Épuration (CAPE).Il se voit aujourd’hui confier la nouvelle Direction de l’Eau, au CSTB, dans la création et l’organisation de laquelle il voit « une opportunité unique de répondre de manière transverse, efficiente et pérenne aux problématiques de gestion durable de l’eau dans le bâtiment, en fédérant l’ensemble des acteurs autour de cet enjeu crucial, d’intérêt public ».La Direction de l’Eau du CSTB sera présente sur le Carrefour des gestions locales de l’Eau, les 29 et 30 juin 2022, au Parc des Expositions de Rennes, stand 694, Hall 8.
Il y a 2 ans et 338 jours

NOUVEAU SYSTÈME DE RAILS INSERT

Nouvelle génération de système de rails insert pour plus de flexibilité et de facilité de mise en oeuvre !  En tant que leader mondial des systèmes de fixation, fischer s’attache à développer des solutions d’ancrage innovantes, aux performances élevées et assurant une grande sécurité aux ouvrages. Pour les applications très exigeantes dans le domaine de la […]
Il y a 2 ans et 338 jours

TotalEnergies s'associe avec l'indien Adani pour créer un géant de l'hydrogène vert

TotalEnergies a annoncé le 14 juin un accord avec Adani Entreprises Limited (AEL) afin de "créer un acteur géant de la production d'hydrogène vert".
Il y a 2 ans et 338 jours

Un centre de tri des temps modernes, par Monique Labbé à Clichy-Batignolles

Les troisièmes rencontres de la Frugalité heureuse et créative se tiendront du 24 au 26 juin 2022 à Bordeaux. Après Loos-en-Gohelle (Hauts-de-France), puis Langouët, Guipel et Hédé-Bazouges (Bretagne), et dans la continuité de la dizaines de visio-conférences « Métamorphoser l’acte de […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 338 jours

SCS Sentinel se lance à la conquête des professionnels

SCS Sentinel, marque du groupe professionnel français URMET, spécialisée dans le confort, l’accès et la sécurisation de l’habitat pour les particuliers se déploie sur les réseaux de distribution et négoce professionnels, avec une gamme de motorisation de portail uniquement dédiée aux professionnels du bâtiment. Toucher et séduire un nouveau public Deuxième acteur en France en […]
Il y a 2 ans et 338 jours

Supervan lance Breek, sa marketplace dédiée à l’achat express de matériaux de construction

Supervan continue d’innover dans l’univers du BTP et lance une offre complémentaire à son service de livraison avec Breek : l’une des premières plateformes en Europe d’achat express de matériaux de construction.  En se reposant sur les acteurs traditionnels du négoce et leurs réseaux existants, Breek permet enfin aux artisans d’acheter en quelques clics les […]
Il y a 2 ans et 338 jours

Nouvelle Collection Création 2022 Gammes Création 40 et Création 55

Une collection All in 1, pensée de manière transversale, offrant un choix à la carte en matière de design et de solutions de pose selon l’usage (rénovation ou neuf) et le trafic (léger ou modéré) Gerflor, pionnier des dalles et lames vinyles depuis 1985, confirme avec ces innovations esthétiques et technologiques son leadership sur le […]
GDA
Il y a 2 ans et 338 jours

A Malakoff, STUDIOS Architecture de dernière génération ?

GA Smart Building, Batipart et la Française REM ont livré pour Safran à Malakoff (Hauts-de-Seine) un bâtiment de bureaux de dernière génération. L’ouvrage de 22 000 m² de bureaux en superstructure a été dessiné par STUDIOS Architecture. Communiqué du promoteur. L’opération de « Sale and Lease Back », menée par Safran, au travers d’une consultation […] L’article A Malakoff, STUDIOS Architecture de dernière génération ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 339 jours

1 immeuble, 1 œuvre : plus de 500 œuvres d'art partout en France

Dans des villes de toutes les échelles, comme à Pantin, Villeurbanne, Lille, Marseille, Mulhouse mais aussi à Annemasse ou encore Amiens, au sein des immeubles résidentiels comme dans les lieux de travail, les 500 propositions artistiques acquises émanant du dispositif du ministère de la Culture s’inscrivent toutes dans un projet de ville et de vie, participent à la conversation nationale et donnent du sens à l’espace dans lequel nous vivons.La charte 1 immeuble, 1 œuvre s’inscrit dans la politique de l’État de soutien à la création artistique et de diffusion des arts visuels auprès du public le plus large. Elle témoigne de l’engagement commun de la société civile et de la puissance publique en faveur de la création artistique au bénéfice de tous. La charte du ministère de la Culture engage chaque entreprise signataire à faire appel à un artiste vivant, en procédant à la commande ou à l’achat d’une œuvre existante, dans le champ des arts visuels, et à prendre à leur charge la rémunération de l’artiste, ainsi que les coûts de réalisation et d’installation de l’œuvre.Aujourd’hui, le programme 1 immeuble, 1 œuvre continue de fédérer et de mobiliser promoteurs immobiliers, sociétés foncières et bailleurs sociaux, de plus en plus nombreux à rejoindre le programme, désireux d’engager un échange et un partage autour d’œuvres d’art dans des lieux de vie ou de travail. Plus de 500 œuvres ont déjà été installées partout en France. A l’intérieur ou à l’extérieur des bâtiments, dans les parties communes ou sur la place publique, un véritable parcours d’œuvres se dessine sur l’ensemble du territoire. Sculptures, peintures, installations lumineuses ou créations originales de mobilier : les réalisations renouent avec une pratique historique d’un dialogue concerté entre art et architecture et confirment la diversité et la richesse de la scène française. Depuis le lancement de l’opération, près de 400 artistes, émergents et confirmés, ont convié habitants et visiteurs à la réflexion, à la rêverie, à la discussion mais aussi au débat, parmi lesquels Daniel Buren, Johan Creten, Gloria Friedman, Fabrice Hyber, Eva Jospin, Arik Levy, Théo Mercier ou encore Prune Nourry. Le programme s’est aussi ouvert aux propositions artistiques temporaires conduites sur le temps de chantiers.
Il y a 2 ans et 339 jours

A Paris, l'aménagement urbain en question face aux vagues de chaleur

Fontaines brumisantes, ombrières, plantation d'arbres: la maire PS de la capitale, Anne Hidalgo, a fait de l'adaptation au changement climatique la priorité de son second mandat. En témoigne le plan "Paris frais" lancé en 2021.En supplément des 1.200 "fontaines à boire" en service, trente nouvelles, équipées de brumisateurs ont récemment été déployées, dont trois dites "mât-source" - accessibles aux enfants et aux personnes à mobilité réduite -, dit à l'AFP Dan Lert, adjoint (EELV) d'Anne Hidalgo chargé de la transition écologique.L'objectif, d'ici à 2024, est d'implanter 100 fontaines nouvelle génération, dont 50 "mât-source" dans la capitale, et d'équiper de brumisateurs 50 autres fontaines traditionnelles "Wallace".Des ombrières temporaires en bois, sorte de panneaux sous lesquels il est possible de s'abriter, seront aussi expérimentées dans "des jardins, des placettes et la cour d'une école", début juillet dans le XIIe arrondissement, ajoute M. Lert.Ces mesures "immédiates" ont un impact à court terme, quand le réchauffement climatique menace Paris, avec déjà des pics de chaleur avoisinant les 40°C au cours des dernières années.Pour la conseillère Modem de Paris Maud Gatel, il y a urgence à "arrêter de bétonner les îlots de fraîcheur existants"."Les arbres en pot ne rafraîchissent pas", soutient l'élue, dénonçant une "sorte de schizophrénie" de la mairie."Rustine"L'opposition LR partage ce ressenti: pour Valérie Montandon, l'équipe municipale "fait beaucoup de communication et de rustine". "Chaque emprise terrestre fait l'objet de projets" de construction, regrette-t-elle.La Ville se dit toutefois consciente que "les canicules vont se multiplier. C'est le premier défi climatique à Paris, avec l'accélération du changement climatique", relève Dan Lert, d'où l'urgence "d'accélérer la transition écologique".A moyen voire long terme, Christophe Nadjovski (PS), adjoint d'Anne Hidalgo chargé de la végétalisation de l'espace public, souhaite l'implantation de 170.000 arbres dans la capitale.Une mesure critiquée par Mme Montandon, qui estime que la méthode "Miyawaki" - petit écosystème forestier à la végétation dense -, est une "mesure en trompe-l'oeil. Soixante-et-un à 84% des arbres vont mourir au bout de 12 ans", selon elle.A plus long terme encore, les élus souhaitent voir "renaître la Bièvre" - une rivière enfouie depuis quelques décennies -, au niveau du parc Kellermann (XIIe arrondissement) "d'ici 2026". Cela créerait un "corridor de fraîcheur", selon M. Lert.L'ouverture à tous de la petite ceinture désaffectée en périphérie de Paris "sans y réaliser de constructions" permettrait aussi la création d'îlots de fraîcheur, relève Fatoumata Koné (EELV), présidente du groupe écologiste de Paris.Pour les futurs projets urbains, Mme Koné plaide "pour un quota minimal de pleine-terre garanti, et pour la préservation de la végétation déjà existante".Les choix d'aménagement urbain de la maire socialiste sont aussi contestés par ses opposants issus du mouvement SaccageParis.Lieux de rafraîchissementEn parallèle, la mairie assure une veille auprès des Parisiens "de plus de 65 ans ou handicapés" qui le souhaitent en "leur téléphonant" notamment durant les périodes de fortes chaleur.Lorsque Paris est placée en alerte canicule, des "salles rafraîchies sont ouvertes dans les mairies d'arrondissement", les parcs sont ouverts la nuit "car il y fait deux à trois degrés de moins qu'en ville", déclare Dan Lert.Mais Maud Gatel (Modem) regrette un manque "de communication et d'information" des Parisiens sur ces dispositifs, et réclame le recensement des "lieux de rafraîchissement comme les commerces".Quelque 600 commerçants parisiens offrent, depuis mars, la possibilité aux badauds de remplir leur gourde d'eau de Paris. Maria Mella, fondatrice de "The Naked Shop", boutique de vrac du IIe arrondissement, "a tout de suite voulu participer", pour lutter contre la pollution liée aux bouteilles en plastique.Selon les scientifiques, les canicules à répétition sont un marqueur sans équivoque du réchauffement de la planète et ces vagues de chaleur sont appelées à se multiplier, s'allonger et s'intensifier.
Il y a 2 ans et 339 jours

L'industrie pousse la gazéification hydrothermale, peu connue parmi les gaz "verts"

FOCUS. Le Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) et GRDF viennent de s'associer pour développer un démonstrateur de gazéification hydrothermale, une technologie renouvelable produisant du biométhane à partir de matières organiques liquides. Si la méthanisation demeurerait majoritaire en termes de volumes de gaz verts, cette solution disposerait malgré tout d'un potentiel de 50 térawatts-heure.
Il y a 2 ans et 339 jours

Esthétisme et innovation avec l’éclairage de sécurité connecté BrioSpot

Kaufel® a lancé BrioSpot, un nouveau bloc d’éclairage de sécurité qui propose une signature graphique unique à haute valeur ajoutée pour des solutions harmonieuses et innovantes. Cette gamme offre encore plus de fonctionnalités pour des bâtiments plus sécurisés.   BrioSpot est la nouvelle collection de Kaufel®, marque historique d’ABB, qui allie esthétisme et innovation pour une […] L’article Esthétisme et innovation avec l’éclairage de sécurité connecté BrioSpot est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 339 jours

Soprema et Berkem créent un panneau isolant en fibre de bois

COLLABORATION. Le spécialiste de l'isolation et l'étanchéité, Soprema, et Berkem, spécialiste de l'intégration de la chimie du végétal, se sont associés pour mettre au point un panneau isolant en fibres de bois plus résistant face aux mirco-organismes.
Il y a 2 ans et 339 jours

Des enseignants et formateurs de CFA testent les deux premiers modules de formation initiale du programme FEEBAT

Une session pilote a ainsi été organisée fin mai, à Dijon. Trois journées en immersion pour une dizaine d’enseignants et formateurs de CFA, confirmant l’adéquation des ressources avec leurs besoins, attentes et contraintes, dans l’intérêt de leurs élèves, apprentis et étudiants.Pour que la rénovation énergétique, fondamentale dans la dynamique de transition écologique, soit mieux et plus efficacement traitée dans les enseignements délivrés aux futurs professionnels, la formation initiale est depuis 2018 un volet clé de FEEBAT, programme national* de Formation aux Économies d’Énergie dans le Bâtiment.En lien avec le ministère de l’Éducation nationale et le CCCA-BTP, FEEBAT a ainsi développé des ressources pédagogiques spécifiquement dédiées à ce sujet, à destination des enseignants en lycée et formateurs en OFA**, pour qu’ils forment à leur tour, les futurs professionnels du bâtiment.Fin mai, une dizaine d’enseignants et formateurs de 4 établissements*** de Dijon, exerçant au sein de plusieurs filières professionnelles, du CAP au BTS, a pu découvrir l’environnement de formation et tester ces ressources pédagogiques innovantes. Ils ont, pour ce faire, participé à une session pilote de formation, spécifiquement conçue pour les enseignants et formateurs, animée par les concepteurs des ressources et dispensée en format multimodal, avec une classe virtuelle puis 3 jours en présentiel.Ces « bêta-testeurs » ont ainsi pu mettre à jour ou rafraîchir leurs compétences et connaissances, avant de découvrir les deux premiers modules, « Enjeux de la rénovation énergétique » et « Principes de la performance énergétique », ainsi que des ressources de cours ou travaux dirigés adaptés aux différents niveaux de formation, qu’ils pourront utiliser dans leurs enseignements.* Métropole et Outre-mer éligible aux CEE** Organisme de Formation par l’Apprentissage*** Lycée Hippolyte de Fontaine, Lycée St Joseph, Bâtiment CFA Bourgogne-Franche-Comté, Lycée Les Marc d'OrQuels retours ?L’un des principaux enjeux, pour les représentants du programme FEEBAT présents, était de s’assurer que le parcours de formation destiné aux enseignants et formateurs était pertinent et que les contenus et outils développés pour la formation initiale étaient à la fois :Adaptés aux besoins et contraintes des enseignants et formateurs ;Pédagogiques, précis, cohérents et accessibles en termes de contenus ;Attrayants pour les élèves et les apprentis.Objectif atteint et confirmé par les enseignants et formateurs « bêta-testeurs », comme l’ont notamment souligné trois d’entre eux :Pour Matthieu, formateur Bâtiment CFA Bourgogne-Franche-Comté - DIJON : « Une très belle ambiance lors de cette session qui aura permis de beaux échanges entre professeurs, formateurs et porteurs du programme FEEBAT. Le travail accompli est remarquable. Nous voilà avec du contenu adapté, adaptable et évolutif. Vivement le déploiement du dispositif ! Hâte de l’exploiter avec mes apprentis ! »Pour Nicolas, formateur Bâtiment CFA Bourgogne-Franche-Comté – DIJON : « Merci à vous pour cette formation de 3 jours, très riche en échanges sur les méthodes pédagogiques, et bravo à toute l'équipe pour cette production de cours de qualité ! »Pour Olivier, enseignant lycée Les Marcs d'Or : « Enfin un outil bien conçu qui propose des ressources mises à destination aussi bien des enseignants que des apprenants et qui permet d'aborder concrètement la fameuse rénovation énergétique dont on nous parlait jusqu'ici sans réelle cohérence. Merci FEEBAT ! »Fort de ces premiers retours et de ceux des sessions pilotes de novembre et février dernier, FEEBAT confirme la cohérence et le positionnement ad hoc de son dispositif de formation initiale à destination des élèves, apprentis et étudiants du secteur du bâtiment.Un enseignement initial, au service du bâtiment durable, que FEEBAT réinvente en termes de :Contenus, avec des ressources pédagogiques dédiées à l’enjeu majeur qu’est la rénovation énergétique, ressources clé en main, accessibles, cohérentes, modulables ;Formats, avec des solutions innovantes, multimodales (vidéo, 3D, quiz...), favorisant l’interactivité, l’attrait et donc l’attention des jeunes, et qui permet l’adaptabilité aux différentes configurations de cours et aux besoins des enseignants et formateurs.Déploiement volet Formation initiale FEEBAT – Prochaines étapes :Le déploiement des modules de formation « Enjeux de la rénovation énergétique » et « Principes de la performance énergétique » débutera progressivement à partir d’octobre 2022, auprès des enseignants en lycée et formateurs en CFA.Ces derniers pourront alors utiliser ces ressources dans leurs enseignements, auprès de leurs élèves, apprentis et étudiants, futurs professionnels du bâtiment.
Il y a 2 ans et 339 jours

Trois nouveaux directeurs au sein du Sfic

Pôle “Application” du Syndicat français de l’industrie cimentière (Sfic), Cimbéton vient de nommer trois nouveaux directeurs. En charge respectivement des questions de bâtiment, de génie civil, et des routes et terrassements. « Ce renforcement des équipes s’inscrit pleinement dans les ambitions et les objectifs de l’industrie cimentière en faveur de la décarbonation et du développement d’une construction durable », indique le Sfic. Le parcours de Stéphane Herbin Stéphane Herbin est nommé directeur bâtiment. Il succède à Laurent Truchon. « Incontournable dans la construction, le béton est destiné à toutes formes d’ouvrages et doit, à ce titre, répondre aux enjeux majeurs du développement durable. Et accompagner les nécessaires mutations du secteur du bâtiment dans les prochaines années. RE 2020, économie circulaire, flexibilité et mixité, gestion de ressources et des déchets, sont les principales thématiques. Sur lesquelles l’industrie cimentière œuvre, met au point et diffuse des solutions », rappelle Stéphane Herbin, définissant ainsi les orientations qu’il entend porter en tant que directeur bâtiment. Architecte DPLG, Stéphane Herbin débute sa carrière, en exerçant pendant une dizaine d’années au sein de diverses agences d’architecture. En 2000, il rejoint le Centre technique industriel de la construction métallique (CTICM), qui lui confie une mission de développement et de promotion des systèmes constructifs à base d’acier pour le logement collectif. Par la suite, il dirige des projets de recherche et d’innovation sur les différents aspects du développement durable. Mais aussi sur la problématique de la corrosion des bâtiments et ouvrages, ainsi que de l’application du BIM dans la modélisation des données. Ces travaux se sont traduits par l’élaboration de Fdes collectives, la création du configurateur save-construction.com, et la participation active aux normes NF EN 15804 et NF EN 15978 aux niveaux français et européen. Après une vingtaine d’années au service du CTICM, il apporte ses compétences auprès d’UPFactor, spécialisé dans la surélévation de bâtiments existants. Puis, rejoint en mai 2022 Cimbéton, le pôle application du Sfic. Le parcours de Benjamin Daubilly Benjamin Daubilly rejoint le Sfic en mars 2022 en tant que directeur génie civil. Il succède à Patrick Guiraud, qui a fait valoir ses droits à la retraite. « Les solutions en béton offrent une large palette d’utilisations en génie civil, dont la pérennité n’est plus à démontrer. Les constituants du béton, le dimensionnement des ouvrages… font l’objet de nombreuses avancées techniques qui sont compatibles avec les enjeux de la société. A savoir, le respect de la biodiversité, l’économie circulaire, la réduction des émissions de gaz à effet de serre… Il convient de promouvoir ces avancées, en particulier auprès des maîtres d’ouvrage, comme des solutions efficaces et durables », rappelle Benjamin Daubilly. Et de conclure : « Si les attentes sont grandes, les possibilités du béton sont, elles, infinies ». Ingénieur, diplômé des Mines d’Alès en 1999, option génie civil, ressources et aménagement, Benjamin Daubilly débute sa carrière en Nouvelle Calédonie en tant que responsable d’exploitation sur une mine de nickel. Avant de revenir en métropole, intervenant sur des sites d’exploitation de granulats, de roches massives et de sablières. En 2006, il rejoint la Fédération nationale des travaux publics (FNTP), prenant en charge les sujets de normalisation et de réglementation technique. Dans ce cadre, il participe à la révision de la norme béton EN 206 et de son complément national. Ainsi qu’à l’élaboration des fascicules du CCTG portant sur le référentiel “Génie civil 2010”. En 2015, il est nommé délégué général de l’Union des métiers de la terre et de la mer (UMTM), organisme affilié à la FNTP, qui regroupe quatre syndicats professionnels dans le domaine des fondations spéciales, des terrassements, des travaux maritimes et fluviaux et des travaux souterrains. Le parcours de Cédric Le Gouil Cédric Le Gouil rejoint le Sfic, en mai 2022, en tant que directeur routes et terrassements. Il succède à Joseph Abdo. « Les performances structurelles et de durabilité des infrastructures mises en œuvre à base de matériaux aux liants hydrauliques ne sont plus à démontrer. Aujourd’hui et demain, les produits cimentiers vont continuer d’apporter des solutions pérennes et innovantes, tant pour la construction que pour l’entretien des infrastructures routières », explique Cédric Le Gouil. HerbinEt de poursuivre : « Historiquement engagée dans les évolutions de l’aménagement territorial, la profession va poursuivre ses efforts et accélérer sa transformation des process industriels pour les rendre encore plus vertueux. Le développement de nouvelles formulations de liants et de matériaux, l’optimisation des méthodes de construction, ainsi que l’apport de nouvelles fonctionnalités au travers de produits innovants contribueront pleinement à cette démarche de développement responsable. En phase avec les enjeux économiques, environnementaux et sociétaux. Je m’attacherai, dans mes nouvelles fonctions, à promouvoir toutes ces nouvelles solutions développées par l’industrie cimentière ». De formation universitaire scientifique et diplômé du Conservatoire national des arts et métiers de Paris, option matériaux avancés et management en 2002, Cédric Le Gouil travaille pendant 20 ans au sein de la Direction technique, R&D du groupe Colas, à Magny-Les Hameaux (78). Il y fait ses premières armes au service “Enrobés bitumeux”, avant de rejoindre celui des matériaux et liants hydrauliques. Poursuivant sa carrière chez Colas, Cédric Le Gouil intègre, en 2021, la direction développement en tant que responsable technique et développement.
Il y a 2 ans et 339 jours

Déchets de chantier : une base de données pour les identifier au sein du Grand Paris

PRATIQUE. Cet outil permet d'identifier et de quantifier des bâtiments à démolir. Il va notamment promouvoir une meilleure gestion de filières en circuit court.
Il y a 2 ans et 339 jours

Concours Acier 2022 : le palmarès

En juin, le jury du Concours Acier, destiné aux étudiants des écoles d’architecture française, a annoncé son palmarès de l’édition 2022 sur le thème « Habiter plus – Réinventer l’habitat ».  Les lauréats. Sur de thème brûlant d’actualité,  les étudiants ont présenté des projets pertinents, justes et s’imposant pour certains comme d’authentiques manifestes de la […] L’article Concours Acier 2022 : le palmarès est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 339 jours

Trois ans après le rapport du Sénat sur la sécurité des ponts, le compte n'y est toujours pas

En rendant leurs conclusions le 27 juin 2019, sous la présidence d’Hervé Maurey, les rapporteurs Patrick Chaize et Michel Dagbert avaient alors tiré la sonnette d’alarme sur l’état préoccupant de nos ponts routiers en formulant 10 propositions répondant à 3 principaux constats : le nombre exact de ponts routiers n’est pas connu en France. La commission avait estimé leur nombre entre 200.000 et 250.000 sur la base de ses travaux ;l’état de ce patrimoine est très inquiétant, avec au moins 25.000 ponts en mauvais état structurel. Le problème est particulièrement aigu pour les petites communes ;nos ponts souffrent d’un sous investissement chronique depuis plus de 10 ans.Trois ans plus tard, la commission, présidée par Jean François Longeot, a chargé Bruno Belin de tirer un bilan de la mise en œuvre de ces propositions et de prolonger ce travail par des recommandations complémentaires, ayant vocation à nourrir une proposition de loi.Si 80 % des propositions formulées par la commission en 2019 ont trouvé une suite dans des mesures annoncées par le Gouvernement (lois de finances, programme national ponts du Cerema), leur mise en œuvre est notoirement insuffisante, en particulier s’agissant des moyens financiers mis pour la surveillance, l’entretien et la maintenance des ponts. Pour preuve, l’Observatoire national des routes estime l’état du patrimoine de ponts globalement moins bon en 2020 que les années précédentes, pour l’État ou pour les départements. Pour le bloc communal, la mise en place du Programme national ponts, piloté par le Cerema, constitue une évolution positive, mais les moyens déployés sont loin d’être à la hauteur des besoins. Les premiers résultats de ce programme semblent d’ailleurs dresser un état encore plus préoccupant que celui esquissé en 2019 par la commission : sur les 14.000 premiers ponts visités, 23% présentent des défauts significatifs ou majeurs.Dans ce contexte, et à la veille à la fois de la fin des concessions autoroutières et de potentiels transferts de voirie aux collectivités territoriales, la commission identifie 7 propositions complémentaires pour enrayer la spirale de dégradation de nos ouvrages d’art et faire face à ce « chantier du siècle ».L’essentiel du rapport est consultable en ligne sur le site du Sénat.Le rapport du Sénat de 2019 sur la sécurité des ponts est consultable en ligne sur le site du Sénat ainsi que la synthèse.
Il y a 2 ans et 339 jours

Ramery frappe fort pour ses 50 ans

Pour fêter ses 50 ans d’existence, le groupe de BTP nordiste Ramery a organisé, vendredi 17 juin 2022, une grande fête sur son site historique d’Erquinghem-Lys (Nord), dans la métropole Lilloise. Les 2700 salariés du groupe ont pu profiter de nombreuses animations et d’un aperçu de la belle histoire des cinq dernières décennies.
Il y a 2 ans et 339 jours

Pourquoi les jeunes en formation TP sont les meilleurs ambassadeurs pour le secteur

ATTRACTIVITÉ. Lors de son assemblée générale délocalisée à Reims, Routes de France a choisi de donner la parole à plusieurs élèves et étudiants actuellement en formation pour travailler dans les travaux publics. Ils ont décrit avec un enthousiasme communicatif comment ils avaient découvert le secteur, ce qui leur plaît et les motive, ce qu'ils attendent des entreprises... Alors que la filière est confrontée, comme l'ensemble du BTP, à un problème d'attractivité, et si les meilleurs ambassadeurs pour la promouvoir étaient les futurs talents eux-mêmes ?
Il y a 2 ans et 339 jours

Le quartier de Lyon-la Part-Dieu sur la voie du verdissement

AMÉNAGEMENT. Le quartier de Lyon-la Part-Dieu poursuit sa mutation et devrait progressivement accueillir davantage de végétalisation. Cette "révolution paysagère" sera portée par l'atelier Jacqueline Osty, grand prix de l'urbanisme 2020.
Il y a 2 ans et 339 jours

LOFT 77 par Doyen Choi et Sarah Fournier, à Gênes (Italie)

En cinq principes fondateurs, Doyen Choi et Sarah Fournier illustrent avec Loft77 – Eco-densifier : Habiter autrement comment la mixité programmatique peut requalifier une zone urbaine délaissée.  Mention spéciale du concours Construire Acier 2022. Le thème du concours Construire Acier 2022 interrogeait les étudiants sur une thématique brûlante d’actualité pour laquelle les étudiants ont présenté des […] L’article LOFT 77 par Doyen Choi et Sarah Fournier, à Gênes (Italie) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 339 jours

Communauté réinventée dans la Tour de Bretagne à Nantes

A Nantes (Loire-Atlantique), des masses aux multitudes : une communauté de travailleurs dans la Tour Bretagne de Louis Fiolleau est un projet total qui ajoute à l’acte de réhabiliter une portée, utopique, sociale et politique. Premier prix ex-aequo du concours Construire Acier 2022 pour cette utopie coopérative. Le thème du concours Construire Acier 2022 interrogeait les […] L’article Communauté réinventée dans la Tour de Bretagne à Nantes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 339 jours

Pour liaisonner la ville, Camille Ouvrard réhabilite la halle des Messageries

Habiter l’infrastructure, vers une ville plus résiliente : réhabilitation de la Halle des Messageries, le projet de Camille Ouvrard allie écologie, patrimoine et logistique urbaine au sein d’un contexte urbain à requalifier. Premier prix ex-aequo du concours Construire Acier 2022, expérimentation pour une ville productive. Le thème du concours Construire Acier 2022 interrogeait les étudiants sur […] L’article Pour liaisonner la ville, Camille Ouvrard réhabilite la halle des Messageries est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 339 jours

Le monde de l'aménagement au défi de l'équation économique du Zéro artificialisation nette

RENCONTRES NATIONALES DES SCOT. Le Zan, plus qu'un tournant, constitue une "révolution" pour les professionnels de la planification territoriale et les élus. Mais comment réinventer un modèle économique qui fonctionne tout en intégrant les limites planétaires ?
Il y a 2 ans et 339 jours

Construction : "Depuis 3 mois, tout est en train d'être complètement gelé", E. Cosse (USH)

INTERVIEW VIDÉO. Crise des prix de l'énergie, inflation des matériaux, rénovation énergétique, réglementation environnementale 2020... Comment le secteur du logement social fait-il face à ces nombreux défis, entre deux quinquennats ? Emmanuelle Cosse, présidente de l'Union sociale pour l'habitat (USH) a répondu aux questions de Batiacu, lors de l'édition spéciale des Assises du logement, qui se sont tenues le 2 juin 2022, à Paris.
Il y a 2 ans et 339 jours

Raviver la modernité avec la réhabilitation de la Tour 3M à Cergy-Pontoise

Avec Raviver la modernité : réhabilitation de la Tour 3M à Cergy-Pontoise (Val-d’Oise), l’architecte Antoine Leriche propose un contre-projet à la destruction actée du symbole cergy-pontain et de sa structure en acier. Premier prix ex-aequo du concours Construire Acier 2022 pour ce manifeste de la transformation. Le thème du concours Construire Acier 2022 interrogeait les étudiants sur […] L’article Raviver la modernité avec la réhabilitation de la Tour 3M à Cergy-Pontoise est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 339 jours

Le nombre de créations d’entreprises artisanales atteint un record en 2021

Le nombre de créations d’entreprises artisanales s’envole en 2021En 2021, 250 000 entreprises artisanales ont été créées en France. Un chiffre en hausse de 13% (+29 000 entreprises créées) par rapport à 2019 et la situation d’avant-crise sanitaire. Un entrepreneur sur quatre créé aujourd’hui son entreprise dans l’artisanat.Marielle Vo-Van Liger, Directrice Marketing et Communication MAAF : « La création d’entreprises artisanales s’est envolée en France en 2021 pour atteindre un niveau bien supérieur à celui de 2019. La crise sanitaire, qui a pourtant lourdement et durablement affecté l’économie française, n’a en rien entamé la motivation des Français désireux de se lancer dans l’entrepreneuriat artisanal. Cette dynamique favorable témoigne de l’attrait toujours intact du secteur de l’artisanat et de la force des vocations qu’il suscite. C’est en particulier le cas dans les communes rurales où la création d’entreprises a connu une belle envolée et participe pleinement à la quête de redynamisation de ces territoires. » Un fort dynamisme entrepreneurial dans les communes ruralesEn 2021, ce sont les communes rurales qui ont enregistré la plus forte augmentation des créations d’entreprises artisanales (+23%), suivies par les petites villes de moins de 10 000 habitants (+21%). En comparaison, la dynamique est beaucoup plus faible dans les métropoles de plus de 200 000 habitants (+13%).Deux facteurs peuvent expliquer ce dynamisme de l’entrepreneuriat artisanal dans les milieux ruraux. D’abord, le départ de citadins vers les campagnes et le développement du télétravail, conséquences de la crise sanitaire. De nombreux Français ayant souffert des confinements en ville on fait le choix de s’installer à la campagne et certains d’entre eux y ont sans doute développé une activité artisanale, telle que la vente à distance de produits artisanaux ou des métiers d’art par exemple.Deuxième facteur : le dynamisme des activités du bâtiment dans les communes rurales. Fortement impacté par la crise, le secteur du bâtiment a connu un fort effet rattrapage en 2021, générant un surcroit de marché. Un contexte porteur pour la création d’entreprise : la plupart des entreprises artisanales créées dans les communes de moins de 5 000 habitants sont en effet des entreprises du bâtiment.Hausse des immatriculations dans la plupart des activités, l’artisanat de l’alimentation de plus en plus attractif Sur les plus de 300 activités qui composent le secteur de l’artisanat, les 10 grandes activités de l’artisanat du bâtiment et des services concentrent à elles seules la moitié des créations d’entreprises.Elles enregistrent quasiment toutes une augmentation des immatriculations – pour atteindre des niveaux supérieurs à ceux de 2019 – à l’exception des activités de taxis-VTC et de coiffure, lourdement touchées par la crise sanitaire.Les résultats du baromètre ISM-MAAF témoignent de l’attractivité grandissante de l’artisanat de l’alimentation : les activités de fabrication de biscuits ont par exemple enregistré un bond de 46% des créations d’entreprises par rapport à 2019, de même que les chocolateries (+34%) et les pâtisseries (+27%). Les métiers d’art, ces métiers du « geste » emprunts d’authenticité, attirent également les entrepreneurs : +30% d’immatriculations en 2021.Catherine Élie, directrice des études de l’Institut Supérieur des Métiers : « L’augmentation des créations d’entreprises dans l’artisanat de l’alimentation témoigne du bouleversement des habitudes de consommation des Français ces dernières années, entre avènement des circuits courts, volonté de « manger local » et développement de la consommation nomade. Par ailleurs, la crise sanitaire et les confinements successifs ont conduit de nombreux Français à se questionner sur leur carrière professionnelle et à faire le choix de se réorienter vers des métiers de passion comme le sont les métiers d’art. En milieu rural, les créations d’entreprises progressent fortement dans ces activités ainsi que dans les activités du bâtiment qui tirent elles aussi profit de l’exode des citadins. La majorité des créations sont néanmoins des micro-entreprises dont la viabilité économique et les marchés seront à confirmer. » Toutes les régions concernées par l’envolée des créations d’entreprises à l’exception de l’Île-de-FranceLa plupart des régions enregistrent une augmentation des immatriculations. On observe les plus fortes hausses dans le Grand Est (+27% par rapport à 2019), les Pays de la Loire (+27% également) et en Bretagne (+26%). Viennent ensuite les régions Bourgogne-Franche-Comté, Centre-Val de Loire, Nouvelle-Aquitaine et Occitanie qui affichent une hausse des immatriculations supérieure à 20%. Les Hauts-de-France, la Normandie, l’Auvergne-Rhône-Alpes et la Provence-Alpes Côte d’Azur ferment la marche avec des augmentations comprises entre 11 et 15%.Seule l’Île-de-France affiche un recul des créations d’entreprises artisanales (-4%) qui s’explique par la baisse des immatriculations des taxis-VTC et plus globalement par la chute des créations dans les activités de service et de fabrication. La propension à créer une entreprise artisanale varie selon les départements : si, en moyenne, la création d’entreprise artisanale concerne 8 adultes âgés de 25 à 60 ans sur 1000, ce taux est deux à trois fois plus élevé dans les départements méditerranéens qu’il ne l’est sur le littoral de la Manche. Les départements des Alpes-Maritimes et du Var sont ainsi les plus entreprenants de France s’agissant d’activités artisanales.
Il y a 2 ans et 339 jours

Les artisans de la restauration du patrimoine s'insurgent contre un projet de loi

Une proposition de loi portant sur la création d’un titre protégé de conservateur-restaurateur choque la profession et inquiète l’ensemble des acteurs de la filière conservation et restauration.
Il y a 2 ans et 339 jours

Des actions chocs pour sensibiliser à l'urgence de la rénovation énergétique des bâtiments

Des militants environnementaux ont bloqué samedi 11 juin la circulation sur le pont de Neuilly à Paris pour réclamer une loi sur la rénovation énergétique immédiate de tous les bâtiments de France.
Il y a 2 ans et 339 jours

Le gouvernement va proposer un report d'un an de la hausse du GNR, selon des professionnels

Une hausse du gazole non routier - via la suppression d'un avantage fiscal - devait intervenir au 1er janvier 2023. Mais en mars dernier, le ministère de l'Économie et des Finances avait souligné que les conditions n'étaient "plus réunies" pour mettre en œuvre cette hausse "compte tenu de l'augmentation des prix", et qu'il appartiendrait "au parlement d'établir un calendrier lors de la prochaine loi de finances".Vendredi, une réunion téléphonique s'est tenue entre le cabinet du ministère de la Transition énergétique et les organisations patronales des secteurs utilisant le GNR, notamment le BTP, ont indiqué des représentants de ces professions."Le ministère de la Transition énergétique proposera dans la prochaine loi de finances rectificative (à l'issue des élections législatives, NDLR) la prolongation des taux réduits pour le GNR au 1er janvier 2024", a indiqué dans un communiqué l'organisation CNATP (artisans des travaux publics et du paysage).La Fédération française du bâtiment (FFB) a également fait part à l'AFP de l'annonce par le ministère "du report de l'entrée en vigueur" des mesures "au 1er janvier 2024"."Avec la conjoncture un peu compliquée, la hausse des prix, l'idée était de dire : +c'est pas le moment, on repousse d'un an+. Le GNR restera à un taux réduit au moins jusqu'au 1er janvier 2024, il est presque convenu d'en rediscuter l'année prochaine en fonction de la conjoncture. Après, il faut que la proposition soit validée par les nouveaux députés", a précisé à l'AFP David Lemaire, secrétaire général de la CNATP.Des mesures de soutien au pouvoir d'achat des ménages face à l'inflation doivent être entérinées après les élections législatives dans deux textes de loi, dont une loi de finances rectificative.Le ministère, contacté par l'AFP, n'a pas souhaité faire de commentaires.