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Toute l'actualité du bâtiment

255858 actualités disponibles
Il y a 2 ans et 342 jours

Découvrez le palmarès du concours photos 2022 de l'Agence qualité construction

LAURÉATS. Les résultats du concours photos annuel "Éviter les désordres, apprendre par l'image !" de l'Agence qualité construction (AQC) viennent de tomber. Sept photographes ont été distingués cette année, et 30 non-qualités mises en avant dans un but pédagogique.
Il y a 2 ans et 342 jours

Un nouveau report de la suppression du GNR dans le prochain budget rectificatif

FISCALITÉ. Le Gouvernement a confirmé aux professionnels des travaux publics qu'il proposera un nouveau de la suppression du taux réduit dont ils bénéficient sur le gazole non-routier.
Il y a 2 ans et 342 jours

L'activité du bâtiment "en nette hausse" au mois de mai... avant un recul en juin ?

CONJONCTURE. Les entreprises du bâtiment ont enregistré une belle progression de leur activité au mois de mai, selon la Banque de France. Les carnets de commandes restent bien garnis, mais la hausse des prix des devis couplée aux difficultés économiques persistantes font craindre aux professionnels un été plus délicat.
Il y a 2 ans et 342 jours

La finance verte s’infiltre dans les budgets locaux

Greenwashing, usine à gaz ou authentique outil de la transition écologique ? Toutes ces lectures de la finance verte se sont librement exprimées, le 16 juin à la journée annuelle de l’Agence France locale. Forte de ses 5 milliards d’euros de crédits qui la hissent au quatrième rang du prêt aux collectivités huit ans après sa naissance, la banque créée par et pour ces dernières conforte son statut de plaque tournante des débats sur la finance locale.
Il y a 2 ans et 342 jours

Quels sont les salaires des professionnels du BTP par fonction et par région ?

En Ile-de-France : la reprise des recrutements se fait sentir depuis le début de l’année et le marché de l’emploi reste actif en particulier à Paris, dans les Hauts-de-Seine et en Seine-Saint-Denis. Tous les métiers en MOE/ Travaux sont en tension, en bureau d’études comme en entreprise de travaux. Les profils de techniciens maintenance CVC, dessinateurs-projeteurs et ingénieurs travaux TCE sont particulièrement recherchés.En Ile-de-France, un conducteur de travaux en travaux publics est rémunéré entre 35 et 40 K€ par an.En Auvergne-Rhône-Alpes : région extrêmement dynamique, avec des grandes villes très attractives comme Lyon, Grenoble, Chambéry, Annecy et Saint-Etienne, des projets de moyenne à grande envergure et beaucoup de projets neufs. La plupart des entreprises sont représentées et recherchent de nouveaux profils, en particulier des conducteurs de travaux, chargés d’affaires, dessinateurs-projeteurs, pilotes OPC. Le bâtiment recrute tous secteurs confondus (gros œuvre, second œuvre, aménagement …), en entreprise comme en maitrise d’œuvre, énergies renouvelables ou encore lots techniques (électricité, CVC, plomberie).En Auvergne-Rhône-Alpes, un conducteur de travaux en travaux publics est rémunéré entre 31 et 36 K€ par an.Hauts-de-France : région très dynamique également, principalement à Lille, Roubaix et Tourcoing. Les secteurs du gros et second œuvres, travaux publics et béton recrutent de façon assez importante. Les entreprises recherchent des conducteurs de travaux, des ingénieurs et des techniciens d’étude.Dans les Hauts-de-France, un conducteur de travaux en travaux publics est rémunéré entre 30 et 36 K€ par an.Provence-Alpes-Côte d’Azur : région dynamique et attractive, les villes de Marseille et d’Aix-en-Provence sont en tête des bassins d’emploi. Le BTP recrute majoritairement dans les secteurs de la voirie et des réseaux divers (VRD), les travaux publics, les entreprises générales de bâtiment, le secteur des lots techniques (notamment chauffage, ventilation et climatisation, maîtrise d’œuvre sur les profils ingénieurs/projeteurs spécialisés). Les dessinateurs-projeteurs, ingénieurs d’études, conducteurs de travaux, de BIM modeleur, d’ingénieurs méthodes, ou encore de techniciens BE sont des profils très recherchés.En PACA, un conducteur de travaux en travaux publics est rémunéré entre 30 et 36 K€ par an.« La crise du COVID avait provoqué un ralentissement du marché avec des retards sur les chantiers qui doivent maintenant être rattrapés. Le marché est donc extrêmement tendu actuellement, les entreprises ont du mal à trouver des candidats disponibles » explique Jérémy Randoing consultant senior chez Fed Construction. « Cependant, du fait de la crise en Ukraine et de ses conséquences sur les prix des matériaux et de l’énergie, on commence à voir apparaitre une certaine prudence chez les recruteurs. Elle pourrait se renforcer dans les prochains mois, en fonction du contexte économique et géopolitique, notamment avec des entreprises plus exigeantes dans le choix des candidats. » conclut-il.Pour télécharger l'étude complète, cliquez ici.[1] Les données ont été recueillies entre mars et mai 2022 par les consultants de Fed Construction dans les régions Île-de-France, Auvergne-Rhône-Alpes, Hauts-de-France et PACA.
Il y a 2 ans et 342 jours

Sécurité des ponts : des avancées insuffisantes pour enrayer la dégradation des ouvrages

OUVRAGES D'ART. Trois ans après son rapport sur la sécurité des ponts, le Sénat constate que le compte n'y est toujours pas ! Si certaines de ses recommandations ont bien été suivies, la situation reste préoccupante et l'état général des ouvrages poursuit sa dégradation. Les parlementaires réaffirment ainsi ses préconisations, et en proposent de nouvelles pour faire face à l'enjeu.
Cimbat
Il y a 2 ans et 342 jours

Comment la Ville de Paris entend réformer la logistique des chantiers

LOGISTIQUE. Les nouvelles consommations et l'augmentation des livraisons effectuées dans la capitale ont amené la Ville à réfléchir à une nouvelle gestion du territoire. Le secteur du BTP est concerné par les nouvelles mesures qui seront mises en place entre 2022 et 2026.
Il y a 2 ans et 342 jours

La Banque des territoires et Action Logement entrent au capital de Plateau Urbain

URBANISME TRANSITOIRE. La coopérative Plateau Urbain, qui met en oeuvre l'occupation temporaire "solidaire" des friches en attente de lancement, a intégré à son sociétariat plusieurs acteurs de la société civile, opérateurs de logement, opérateurs d'Etat ainsi que des fonds d'investissement.
Il y a 2 ans et 342 jours

Paris : cinq groupements retenus sur la Zac Chapelle Charbon

PROJETS URBAINS. La grande consultation lancée en mars dernier pour près de 5.000 mètres carrés sur une friche ferroviaire au nord de Paris a franchi sa première étape. Cinq groupements promoteur+architecte ont été retenus.
Il y a 2 ans et 342 jours

Sécurité, métiers : la filière électrique anticipe la transition dans le bâtiment

PROFESSION. Enedis, le gestionnaire du réseau de distribution d'électricité, vient de signer une convention de partenariat avec la Fédération française des intégrateurs électriciens (FFIE) pour préparer au mieux le secteur aux enjeux de la transition énergétique, à commencer par l'électrification des usages dans le bâtiment. Prévention des risques, sécurité et qualité des ouvrages mais aussi attractivité des métiers en constituent les principaux axes.
Il y a 2 ans et 342 jours

Une "checklist" pour rendre l’aménagement sobre

« S’engager dans de nouveaux modèles d’aménagement » : sous ce titre, la fédération nationale des schémas de cohérence territoriale (FN Scot) publie une étude à l’occasion de ses 16èmes rencontres nationales, réunies le 17 juin à Besançon. L’intitulé illustre le volontarisme des chevilles ouvrières de la planification territoriale, prêtes à relever le défi du zéro artificialisation nette.
Il y a 2 ans et 342 jours

En France, les acteurs de l'éolien en mer attendent "l'accélération" promise

Au salon professionnel Seanergy du Havre, tous les grands développeurs du continent sont là: le marché français attire, 2e gisement européen par sa façade maritime et ses régimes de vents.Les chiffres auraient pourtant pu faire réfléchir les potentiels investisseurs: il faut aujourd'hui 10 ans en France pour mettre un site en service, cinq en Allemagne, six au Royaume-Uni... Sept parcs (3,6 gigawatts au total) ont à ce jour été attribués à des opérateurs, mais l'Hexagone vient juste de produire ses premiers électrons, avec son parc de Saint-Nazaire en cours d'achèvement.Or selon toutes les projections, pour atteindre en 2050 la neutralité carbone nécessaire et éviter les pires effets du réchauffement, la France devra massivement déployer l'éolien offshore, qu'elle relance le nucléaire ou pas. Pour RTE, le gestionnaire du réseau haute tension, il en faudra 22 à 62 GW, selon le bouquet choisi.Mais le pays pourra-t-il y arriver?"Le rythme des projets devra être plus soutenu et ce dès cette décennie", souligne Vincent Balès, DG France de l'énergéticien allemand wpd, appelant comme le reste du secteur à une planification, plutôt qu'au lancement de projets "au coup par coup".L'horizon de 40 GW (environ 50 parcs) évoqué pour 2050 par Emmanuel Macron "a donné une perspective à la filière, mais quelle sera la mise en oeuvre?", dit-il. "En Europe, les planifications qui ont marché identifient des zones propices. En France, nous sommes échaudés par les planifications par façade, qui définissent surtout des zones d'exclusion. Il y a une inquiétude de la filière sur la méthode".Dans les travées du salon, on cite l'Allemagne et sa cartographie "assez fine", aux zonages pour le court et le long terme."Trou d'air""La planification au niveau national, ce n'est pas le choix qu'on a fait en France, car il faut un dialogue avec les acteurs et les territoires", a répondu au Havre Eric Banel, directeur général des Affaires maritimes au secrétariat d'Etat chargé de la Mer, annonçant devant le Syndicat des énergies renouvelables (SER) la "relance d'un cycle de planification" par façade.Pour le SER, cela risque d'être beaucoup trop tard. L'association demande à l'Etat de prépositionner de grandes zones potentielles, avant de lancer les débats sur zones pour affiner. Au risque sinon d'un "trou d'air" après 2023, date des derniers appels d'offres prévus à ce jour, délétère pour le secteur, ses usines et ses sous-traitants.Elodie Martinie-Cousty, qui a participé pour France Nature Environnement (FNE) à tous les débats publics de l'éolien offshore, ne cache pas non plus sa frustration: l'Etat devra changer de méthode, sauf à générer de nouveaux recours et contestations, dit-elle.Cette vice-présidente du Conseil économique social et environnemental (Cese) lui reproche de ne pas considérer l'état global - "désastreux" - de la mer, notamment de ne pas mettre à plat aussi les impacts des activités traditionnelles, pêche et transports."L'éolien est nécessaire, il faut donner aux opérateurs une visibilité pour qu'ils puissent investir. Mais on ne peut planifier l'entrée d'une nouvelle activité industrielle massive sans avoir mesuré les impacts des activités +historiques+. On demande à l'Etat de faire son travail d'Etat stratège. En un an on peut faire cette planification si tout le monde se met autour de la table".Le SER, comme FNE, demandent aussi plus de moyens humains pour mettre les services de l'Etat "à la hauteur de l'enjeu": les agents chargés d'instruire les dossiers sont cinq fois moins nombreux qu'aux Pays-Bas, déplore le SER.Le secteur a malgré tout déjà bénéficié de simplifications, notamment avec la loi "Essoc" de 2018 et la prise en charge par l'Etat des concertations publiques, désormais organisées avant désignation des développeurs.Dans le contexte de la guerre en Ukraine, le gouvernement doit encore présenter d'ici fin juillet au conseil des ministres un "projet de loi d'accélération" des renouvelables. Mais ce texte ne concernera qu'à la marge l'éolien en mer.
Il y a 2 ans et 342 jours

Canicule dans le Sud-Ouest : des dispositifs de protection mis en place pour la première fois aussi tôt dans l’année

Avec un thermomètre qui s’apprête à dépasser les 38°C ce jour, la semaine s’achève très chaudement dans le Sud-Ouest où douze départements ont été placés en « alerte rouge canicule ». Une situation qui implique des adaptations sur les chantiers.
Il y a 2 ans et 342 jours

Première vente aux enchères de noms de domaine pour le secteur du bâtiment

Après le vote au pas de course d’une loi avant la présidentielle, il est désormais autorisé de procéder à la vente aux enchères volontaires de biens immatériels tels que des noms de domaines, des marques, des logiciels ou des sites Internet, mais également de l’art numérique, récemment popularisé par la technologie NFT.Boischaut, maison de vente la plus dynamique dans ces nouvelles spécialités, organise la première vente aux enchères volontaire de noms de domaines pour le secteur du bâtiment, une sélection de 48 noms premium dont : fenetre.com (estimation 30 000/60 000 € HT), isolant.com (5000/10 000 €), sallesdebain.com (3500/7000 €), porte-blindee.com (3500/7000 €), demolition.fr (1200/2400 €), maisonpassive.com (3500/7000 €) ou panneauxphotovoltaiques (600/1200 €).Le secteur bâtiment et isolation : un secteur en pleine mutation digitaleLa crise sanitaire qui s’achève a montré dès le premier jour l’importance pour toute entreprise d’avoir une présence en ligne, d’où l’accélération des politiques publiques pour accompagner les TPE/PME dans leur transformation numérique, pilotées par France Num.Un des secteurs qui peut bénéficier de cette transformation numérique est celui du bâtiment. En effet, la pandémie a fortement impacté le mode de vie de nombreux Français : développement du télétravail avec nécessité d’adapter son logement ou projet d’installation plus au vert, avec souvent des maisons à rénover entièrement. Plus récemment, la crise énergétique avec la hausse du coût de l’énergie qui se profile pousse de nombreux particuliers à accélérer leur projet d’isolation thermique et envisager d’investir dans les énergies renouvelables (solaire, bois).Avec cette nouvelle vente, la maison de vente Boischaut s’affirme comme maison de vente leader en France sur la vente aux enchères d’actifs incorporels.
Il y a 2 ans et 342 jours

A Pont-de-Claix, CR&ON donne l’« Impulsion »

En mai 2022, Cogedim a inauguré à Pont-de-Claix (Isère) « Impulsion », un programme de 118 logements conçu par l’agence grenobloise CR&ON. Ce projet phare à l’architecture affirmée est la première opération au sein de la ZAC des Minotiers. Communiqué du promoteur. Situé aux portes de Grenoble dans la commune de Pont-de-Claix, « Impulsion » […] L’article A Pont-de-Claix, CR&ON donne l’« Impulsion » est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 342 jours

Le point sur l’arrivée du Biofioul pour les chaudières en France au 1er juillet 2022

En prévision de l'arrivée du nouveau Biofioul F30 cet été, Batirama a interviewé Alexandre Witkowski, PDG France de Cuenod, entreprise spécialisée dans la conception de brûleurs de chauffage fioul et gaz. (Photo ©FF3C)
Il y a 2 ans et 342 jours

Créer son habitat en zone agricole ou naturelle est-il légal ?

De plus en plus nombreuses sont les personnes aspirant à une reconnexion avec le vivant, à une vie au milieu de la nature, à un habitat incarnant l’aspiration à la cohérence écologique et à une forme d’autonomie. Or l’un des principaux obstacles sur leur route est la difficulté voir l’impossibilité juridique de créer légalement un […]
GDA
Il y a 2 ans et 342 jours

Holcim lance son premier clinker 100% recyclé

Fabriqué entièrement à partir de minéraux recyclés à la cimenterie d'Altkirch (Haut-Rhin) ce nouveau clinker ouvre selon Holcim, "la voie à un béton 100 % recyclé d'ici le troisième trimestre 2022".
Il y a 2 ans et 342 jours

Zéro artificialisation nette : Le Sénat consulte les élus locaux

Le “Zéro artificialisation nette” (Zan) consiste à réduire au maximum l’extension des villes pour lutter contre le déréglement climatique. Promulguée en 2021, la loi Climat-Résilience a intégré l’objectif “Zéro artificialisation nette” (Zan) dans sa lutte contre le dérèglement climatique. Ce projet consiste à réduire au maximum l’extension des villes. Il a pour but de limiter les constructions sur les espaces naturels ou agricoles. Et d’accorder plus de place à la nature dans le milieu urbain. Le Zan est un objectif prévu pour 2050. D’ici 2030, il devrait permettre une diminution de 50 % du rythme d’artificialisation. Neuf mois après l’adoption de la loi Climat-Résilience, de nombreuses ambitions de réduction de l’artificialisation des sols ont été fixées. Cela, afin d’accroître la résilience économique et environnementale des territoires. Ainsi, les collectivités s’engagent dans la protection des milieux naturels. Résoudre les problématiques du Zan Cependant, le gouvernement est soumis à plusieurs interrogations de la part des élus locaux sur la mise en œuvre concrète du “Zéro artificialisation nette”. En effet, certains points de ce projet de loi sont contradictoires et empêchent sa bonne application. C’est pourquoi le Sénat a organisé, à partir du 19 mai dernier, une consultation en ligne des élus locaux pour identifier et résoudre les difficultés de mise Lire aussi : SNBPE : Vingt mille lieux sous la terre  en place du projet de loi. Ouverte jusqu’au lundi 27 juin, cette démarche vise à recueillir des témoignages. Ainsi, le Sénat propose un questionnaire qui permet à l’ensemble des collectivités de l’informer sur les problèmes rencontrés et de lui transmettre des suggestions. A l’issue de la consultation, une proposition de loi visant à mieux articuler une politique de sobriété foncière sur l’ensemble du territoire français pourrait être rédigée. Lien de la consultation en ligne ici.
Il y a 2 ans et 342 jours

L'art de la tectonique, deux musées en un signés Aires Mateus à Lausanne

« Si rien ne change rapidement, la production mondiale des déchets ménagers augmentera de 70 % d'ici 2050, sous l'effet de l'urbanisation et de la croissance démographique », prévient la Banque mondiale dans le rapport « What a Waste 2.0 : A Global Snapshot of Solid Waste Management to 2050 ». Les pays riches génèrent […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 342 jours

Vaucluse : chantier sur l’avenue Foch à Valréas

Deux quais de bus vont être aménagés sur l’avenue Foch à Valréas (Vaucluse).
Il y a 2 ans et 342 jours

Vendée : un pôle santé en projet à Aubigny-les-Clouzeaux

La commune d’Aubigny-les-Clouzeaux (Vendée) souhaite renforcer la présence de professionnels de santé sur son territoire.
Il y a 2 ans et 342 jours

Veka, une dynamique industrielle, commerciale, environnementale et sociétale exemplaire

Une année 2021 en croissance« Mais c’est surtout une augmentation de 20 % du volume en France qui est à noter, soit environ 20 millions de mètres linéaires produits au total à Thonon-les-Bains. » Jos Lenferink précise par ailleurs : « Notre métier d’extrudeur gammiste est particulièrement automatisé donc directement dépendant du coût des matières premières. Dans notre process, leur proportion peut représenter 60 %, voire plus, de notre chiffre d’affaires. Cette hausse, très difficile à gérer, a également fortement impacté nos clients et particulièrement ceux du segment du neuf collectif, qui doivent gérer des contrats aux prix fixes conclus bien souvent avant la période Covid. Toutefois, le plus grand défi fut d’avoir suffisamment de matière première pour produire et livrer nos clients. Chose faite, et l’ensemble de nos clients a su apprécier toute la fiabilité de VEKA et de ses équipes, à qui je rends hommage pour leur implication. Avec aucun allongement de délai tant pour les références standards que spécifiques, VEKA a fait preuve d’une grande fiabilité, essentielle pour la réussite de nos clients, fabricants d’excellentes menuiseries. »Rappelons que le groupe familial VEKA est non côté en bourse et dispose d’une assise économique solide, lui garantissant une large indépendance et une capacité de stockage au-dessus de la moyenne du métier. Cette spécificité, combinée à l’accès à la matière première issue de menuiseries PVC en fin de vie en provenance de VEKA Recyclage, lui a notamment permis de gérer parfaitement ses approvisionnements comme ses stocks. « Nous n’avons pas répercuté l’intégralité des hausses, ce qui a impacté nos marges », précise Emmanuel Demesmay, Country Manager France. Un impact quelque peu compensé par l’acquisition de nouveaux clients tricolores importants. « 2021 a également marqué le démarrage réussi en VEKA de nouveaux fabricants. C’est par exemple le cas de BIPA et WiBaie avec le lancement de leur nouvelle gamme Lum’Up ». Côté chiffres toujours, VEKA a enregistré une très belle performance sur le marché espagnol qui dépend de la même zone, avec une hausse de plus de 70 % de son chiffre d’affaires l’année passée. Une importante augmentation induite là-encore par l’acquisition de nouveaux clients, tel Ampuero, le n°1 de la fenêtre en Espagne et fournisseur de Leroy Merlin Espagne.Des investissements soutenus en 2022 et les prochaines annéesLe développement de ses ventes s’accompagne par ailleurs d’investissements industriels importants, tant en France qu’en Espagne (environ 7 millions d’euros, dont 4,7 pour la France).Ainsi, pour l’Hexagone, VEKA prévoit l’installation cette année de deux nouvelles lignes d’extrusion (une ligne duo) conférant au site de Thonon-les-Bains une capacité de production significativement augmentée. Deux nouvelles nacelles / chariots pour le picking viendront également étoffer l’outil industriel français.Mieux encore, VEKA annonce être à la recherche de foncier (entre 20 000 et 40 000 m²) pour la création d’un nouveau centre logistique, entre Thonon-les-Bains et Lyon. « Cet investissement est évalué aux environs de 10 millions d’euros » précise Jos Lenferink. « Il vise à augmenter notre capacité de stockage et à optimiser notre niveau de service. »Et de conclure : « À terme, nous prévoyons une croissance complémentaire importante grâce aux opportunités post Covid, poussée par les projets européens et nationaux pour l’efficacité énergétique et par l’attractivité de la marque VEKA, du fait de sa stabilité et de sa fiabilité. Dans les années à venir, nous prévoyons ainsi des investissements complémentaires importants, concernant nos lignes d’extrusion et nos capacités de plaxage (traditionnel et VEKA SPECTRAL) ».Côté espagnol, on retrouve cette même logique de développement industriel pour toujours plus de réactivité et de services. Ainsi, la capacité de production a été doublée en 2021 et des investissements sont planifiés en 2022 avec l’installation d’une nouvelle ligne d’extrusion (la 6ème) et d‘une nouvelle ligne de plaxage (la 3ème) et par l’acquisition d’une nouvelle machine de découpe de film.À nouvelle signature, nouvelle visionAvec pour nouvelle signature de marque, « Ensemble, créons de meilleurs espaces de vie », VEKA décline sa mission d’engagement sociétal à plusieurs niveaux. Le premier est celui d’offrir le meilleur espace de vie aux utilisateurs des menuiseries VEKA, pour à la fois plus de confort et plus d’esthétique. Ainsi, gagner toujours davantage en performance pour isoler du froid, de la chaleur et du bruit, pour résister aux intempéries et variations climatiques, tout en apportant plus de lumière naturelle et de confort d’utilisation… motivent au premier plan les équipes techniques VEKA.La performance n’exclut pas l’esthétique. « La finesse des profilés, leur design, les technologies de colorisation, les larges dimensions des menuiseries… sont parmi les forces de nos nouveaux produits et des développements à venir » précise Virginie Heckel, Directrice Marketing. Emmanuel Demesmay de conclure : « Nous différencier, répondre toujours mieux aux attentes du marché et monter en gamme la menuiserie PVC font partie intégrante de nos objectifs ».Autre échelon de ce credo « Ensemble, créons de meilleurs espaces de vie » : les collaborateurs VEKA. L’industriel s’est en effet engagé dans une démarche pour créer une communauté VEKA exemplaire avec un meilleur cadre de vie pour ses collaborateurs. En filigrane, aucune discrimination de race ou de genre, une équité parfaite et une attention toute particulière au bien-être en anticipant notamment les risques professionnels.Ainsi, le programme VEKA Vital est basé sur le « vivre ensemble », l’activité physique, l’alimentation et l’information santé. L’intervention d’un expert en ergonomie, des événements sportifs extérieurs, des aménagements pour faciliter le télétravail, la mise en place de sessions d’aides pour lutter contre les addictions, des cours de yoga et de sophrologie… sont quelques exemples d’initiatives mises en place dernièrement.Le troisième et dernier volet de ce triptyque « Ensemble, créons de meilleurs espaces de vie » est l’environnement ; « celui que l’on voit au travers de la fenêtre », comme aime à le rappeler Jos Lenferink. En effet, pour un monde un peu meilleur, les menuiseries VEKA isolent, donc luttent contre le réchauffement climatique, mais se veulent aussi citoyennes et responsables car recyclables.Depuis 30 ans, VEKA fait figure de pionnier engagé dans une démarche environnementale durable et forte, comprenant autant le choix des matières, le process de fabrication, le recyclage des chutes de production et des produits en fin de vie, que la réintégration de matière régénérée dans de nouveaux profilés. VEKA s’impose ainsi comme un acteur véritablement engagé dans l’économie circulaire.Une croissance qui passe par l’innovation, tant produit qu’environnementaleSeptembre 2022 marquera le début de commercialisation du nouveau coulissant VEKASLIDE Hi-5, dont la présentation en avant-première sur les derniers salons Equipbaie et Artibat a rencontré un vif succès. En mai prochain, c’est également le nouveau coffre de volet roulant VEKAVARANT MASTERBOX qui sera disponible auprès des industriels de la fermeture, ainsi que le nouveau seuil VEKA 3.0 en fin d’année.Mais l’innovation passe également par l’environnement, et sur ce plan, VEKA devance et anticipe régulièrement les réglementations. L’industriel affiche aujourd’hui une moyenne Groupe de 26 % de matière recyclée utilisée dans ses profilés (vs moyenne nationale située à 8 % et objectifs de la profession fixés à 20 % à l’horizon 2025). En 2022, VEKA va encore plus loin avec la solution VEKA REcycle. Virginie Heckel la présente comme « une solution totalement éco-responsable, développée pour les clients fabricants VEKA qui sont engagés dans une démarche environnementale partenariale en boucle fermée et évitant la mise en décharge ou l’enfouissement des menuiseries en fin de vie et des chutes de production. Cette nouvelle ligne fait ainsi appel à 100 % de matière recyclée « R-PVC » au cœur de ses profilés et, au global, jusqu’à 70 % de matière recyclée dans le cadre de la menuiserie ». Une ligne bien entendu 100 % recyclable, sous DTA, conforme à la RE 2020, la REP 2022 et aux certifications QB34, NF 126 et NF 220.VEKASLIDE Hi-5 : 5 atouts majeurs pour un nouveau concept de coulissant qui réunit les bénéfices d’un système coulissant (2 vantaux/2 rails) et d’une menuiserie à frappe.1. ConfortAvec un mouvement de coulissement sans frottement et un effort de manœuvre extrêmement faible, le déplacement des vantaux VEKASLIDE Hi-5 est particulièrement aisé (jusqu’à 150 kg de charge par ouvrant).2. PerformanceLe VEKASLIDE Hi-5 se dénote par des vantaux coulissant sur deux rails sans frottement et par une étanchéité assurée via la compression des joints de frappe. Deux innovations majeures lui conférant des performances AEV (A*4 E*8A V*A3) similaires à celles des meilleures menuiseries PVC. Revendiquant une performance thermique UW de 1,3 W/(m².K) en double vitrage standard, le coulissant VEKASLIDE Hi-5 peut aussi accepter des vitrages jusqu’à 36 mm d’épaisseur, pour des performances acoustiques atteignant les 38 dB.3. DesignLes grandes dimensions et la finesse des profilés VEKASLIDE Hi-5 (54 mm en partie centrale) apportent lumière naturelle et économies d’énergie accrues. Le coulissant se singularise également par sa large palette de couleurs (près de 50) qui se complète de la finition VEKA SPECTRAL, en mono ou bi-coloration, véritable garantie de personnalisation et d’élégance.4. IndustrialisationAvec une industrialisation identique à celle d’une fenêtre PVC traditionnelle, VEKASLIDE Hi-5 se fabrique par soudage des ouvrants et des dormants. L’option de l’assemblage mécanique du dormant est également possible pour faciliter l’installation des grandes dimensions sur chantier.5. Éco-conceptionPlusieurs profilés VEKASLIDE Hi-5 seront fabriqués en coextrusion, intégrant ainsi dans leur cœur de la matière recyclée. Fidèle à la stratégie environnementale de VEKA, le nouveau coulissant est par ailleurs conçu pour être 100 % recyclable.L’industrialisation du VEKASLIDE Hi-5 débutera en septembre 2022 et les prochains développements complémentaires porteront sur les systèmes à 4 vantaux et les solutions à galandage.
Il y a 2 ans et 342 jours

La main et le numérique avec Les Compagnons – Eurobois 2022

  AvecLaurent Mazies, Directeur Général – Biesse France Mathieu Hugon, Responsable de l’Institut Européen de la Menuiserie, de l’Agencement et de l’Ébénisterie – Les Compagnons du Devoir
Il y a 2 ans et 342 jours

La formation SMARTISAN – Eurobois 2022

  AvecDiana Gonzalez, Présidente – Constructech Club Ara Shahnazaryan, Fondateur – S.H. Conseil
Il y a 2 ans et 342 jours

Entrepôts : GSE maintient la cadence

Immobilier -
Il y a 2 ans et 342 jours

Comment Sika accompagne la décarbonation des bétons

Industrie -
Il y a 2 ans et 342 jours

L'Allemagne va imposer des éoliennes aux régions

"Nous faisons avancer le déploiement de l'énergie éolienne (...) L'objectif de l'Allemagne est de couvrir 2% de son territoire", a déclaré mercredi, lors d'une conférence de presse, le ministre de l'Economie et du Climat Robert Habeck.Face à l'urgence climatique et à la dépendance au gaz russe, ce populaire ministre écologiste souhaite réduire au minimum les procédures administratives et simplifier une législation trop coercitive afin d'encourager les investissementsPour atteindre cet objectif, le gouvernement va "obliger les Länders à consacrer une part de 1,8% à 2,2%" de leur territoire à cette énergie, en fonction des situations locales et de la taille du territoire, a détaillé Robert Habeck.Les éoliennes couvrent actuellement 0,8% du territoire allemand. Cette part doit passer à 1,4% en 2026, puis 2% à la "fin 2032".Les Etats régionaux, qui disposent pour le moment d'une grande latitude sur le sujet, devraient donc être beaucoup plus contraints.Le ministre a dit s'attendre à ce que ces décisions "suscitent des inquiétudes, des résistances ou des craintes dans de nombreuses régions". Il faut les prendre au sérieux, mais elles ne doivent pas bloquer l'objectif de développement des énergies renouvelables, indispensable pour la transition énergétique, a-t-il observé.Si les régions n'atteignent pas leur objectif, l'Etat fédéral pourra en effet supprimer certaines règles locales, comme les distances minimales entre éoliennes et habitations.Seules les "zones de protections spéciales" et les "réserves naturelles" - les territoires bénéficiant du plus haut niveau de protection - ne pourront pas, in fine, être aménagées.Les Etats qui voudront faire moins que leur objectif pourront néanmoins transférer une partie de leurs obligations à d'autres régions, via un marché, et contre une compensation financière.Enfin, Berlin simplifiera et unifiera au niveau fédéral les règles concernant la protection de la biodiversité.Le gouvernement indique qu'il renforcera par ailleurs la "participation des citoyens" dans la mise en place des projets éoliennes.La coalition allemande, dirigée par le social-démocrate Olaf Scholz, avec les Verts et les Libéraux, a fixé l'ambitieux objectif de 80% d'énergies renouvelables dès 2030 dans la consommation d'électricité.Or, si elle a considérablement progressé ces dernières années, doublant en une décennie, la part d'électricité d'origine renouvelable a diminué l'an dernier en Allemagne, une première depuis 1997. Elle a représenté 42% du mix énergétique, après 45,3% en 2020.
Il y a 2 ans et 342 jours

110.000 bénéficiaires du contrat d'engagement jeune en trois mois

D'une durée de six mois à un an (prolongeable exceptionnellement jusqu'à 18 mois), le CEJ a pris le relais de la Garantie jeunes, créée pendant le quinquennat Hollande.Mais là où la Garantie jeunes proposait un accompagnement intensif surtout les quatre à six premières semaines du parcours, le CEJ doit tenir cette intensité de bout en bout, avec 15 à 20 heures d'activité par semaine.Immersions en entreprise, ateliers de recherche d'emploi, formations, participation à des jobs dating... les activités visent au retour à l'emploi. Pour éviter les ruptures de parcours, le CEJ se poursuit si le jeune entre en Ecole de la deuxième chance, dans les établissements pour l'insertion dans l'emploi (Epide) locaux, en service civique...Il s'adresse aux jeunes de 16 à 25 ans (29 en cas de handicap) "qui ne sont pas étudiants, ne suivent pas une formation et qui rencontrent des difficultés d'accès à l'emploi durable, appréciées au regard de la situation du jeune, notamment de la nature du contrat de travail et de sa quotité de travail".S'ils ne gagnent pas déjà plus par une allocation chômage, les majeurs peuvent bénéficier d'une allocation de 300 à 500 euros en fonction de leur situation fiscale. Les mineurs touchent 200 euros.Alors que la Garantie jeunes était uniquement opérée par les missions locales, le CEJ peut être aussi proposé pour les majeurs par Pôle emploi, qui y a dédié 1.660 conseillers pouvant accompagner chacun 30 jeunes maximum.Parmi ces 110.000 jeunes, 60.000 sont ainsi accompagnés par Pôle emploi. Selon l'opérateur, 84% sont de niveau bac ou infra-bac et 51,5% ont entre 22 et 25 ans. 15,5% sont issus des Quartiers de politique de la ville (QPV) contre 13% des demandeurs d'emploi.Au sein des Missions locales, les bénéficiaires sont plus jeunes (73% ont moins de 21 ans) et plus de la moitié sont sans diplôme, ce qui correspondent à la cible visée des jeunes peu ou pas qualifiés.A Pôle emploi, 30% touchent plus de 500 euros d'allocation chômage par mois, ce qui indique que leur entrée en CEJ n'était pas motivée par des raisons financières mais par la perspective d'un accompagnement plus fort.Le jeune doit s'engager à participer à l'ensemble des actions prévues. Sinon il s'expose à des sanctions pouvant conduire à une exclusion du dispositif.Le CEJ se veut "un droit ouvert" sans limites, mais le gouvernement estimait lors de son lancement qu'il pourrait concerner 4 à 500.000 jeunes par an.Selon l'Insee, le taux des 15-29 ans "ni en emploi, ni en études, ni en formation" (Neet) était de 11,8% au premier trimestre, soit 0,5 point au-dessous de son niveau d'avant-crise fin 2019.
Il y a 2 ans et 342 jours

Lancement d'un "tinder du carbone" pour entreprises

Baptisée "je décarbone", la plateforme a pour but de permettre aux entreprises de trouver des solutions pour réduire leurs émissions de CO2 ou leur consommation d'énergie, et à celles qui apportent des solutions techniques, de trouver des clientes.Un premier bilan d'activité sera tiré le 7 septembre lors d'un événement à Bercy rassemblant l'ensemble des parties prenantes, ont indiqué à l'AFP Sylvie Jehanno, PDG de Dalkia, filiale d'EDF, et Stéphane Michel, directeur de l'activité gaz renouvelable et électricité chez TotalEnergies, parrains du projet.Le projet est porté par la filière réunissant les industriels des "nouveaux systèmes énergétiques", présidé par Mme Jehanno et M. Michel. Il est financé par l'Ademe dans le cadre du plan France Relance."L'idée est de ne pas reproduire ce qui s'est passé dans le photovoltaïque où la plupart des panneaux solaires viennent d'Asie, il va y avoir beaucoup de projets de décarbonation, c'est une opportunité pour l'industrie française" qui joue un jeu "très collectif" sur le sujet en lançant cette plateforme, a indiqué Mme Jehanno.La fabrication de panneaux solaires en Europe est morte en raison de prix trop élevés, des prix cassés de la Chine et de politiques publiques erratiques."C'est une course de vitesse au déploiement de solutions qui va permettre de faire baisser les prix et de rester dans la course de la compétitivité" en soutenant les industriels français ou européens, a résumé Aurélie Picart, déléguée générale du Comité stratégique de filière.Le site propose trois grandes thématiques selon qu'une entreprise cherche à faire des "économies d'énergie", à réduire ses émissions de CO2 par "l'énergie ou la chaleur bas-carbone", ou encore, lorsque c'est impossible, à "capturer le CO2 émis" pour le valoriser.Pour l'instant, très peu d'entreprises émettrices de besoins ou qui ont des solutions à proposer y ont déposé leurs fiches.L'entreprise Aztep, basée au Pecq dans les Yvelines, propose des solutions de "chaleur solaire concentrée haute température" "pour "profiter de chaque heure de soleil afin de réduire sa consommation de gaz". Bultane, spécialisée initialement dans les fers à souder et basée à Montpellier, propose d'introduire des petits électrolyseurs directement dans une chaudière à gaz, pour fabriquer de l'hydrogène dans le bruleur."Les projets doivent être décrits des deux côtés de manière suffisamment précise, on ne veut pas que ce soit de la publicité, il faut qu'il y ait une finalité de service" a insisté M. Michel. "Il y aura une modération du site organisée par la filière", a-t-il prévenu. En particulier, les apporteurs de solutions doivent préciser si leur technologie est "origine France" ou pas.Le site est accessible gratuitement, après inscription. Il y aura aussi des "ateliers régionaux" en lien avec les collectivités territoriales."Nous travaillons sur ce projet depuis plus de 18 mois avec la "task force" interministérielle mise en place par l'Etat (Bercy, ministère de la transition énergétique, les services de Matignon, l'Ademe et la banque publique d'investissement), a précisé Aurélie Picart qui espère qu'il agisse comme un "accélérateur" pour la transition énergétique et pour l'industrie."Si le véhicule électrique était pourvoyeur net de plus d'emplois, on irait beaucoup plus vite vers l'électrique", souligne-t-elle.
Il y a 2 ans et 343 jours

Contre le dérèglement climatique, "il faut se focaliser sur la réhabilitation", C. Leconte

CLIMAT. La présidente du conseil national de l'Ordre des architectes a appelé à débitumer et à se tourner vers les matériaux géo et biosourcés dans les rénovations et constructions neuves. Dans une interview pour Radio Classique, elle a listé un certain nombre de solutions pour s'adapter au réchauffement climatique.
Il y a 2 ans et 343 jours

Contre les îlots de chaleur, l'exécutif prévoit 500 M€ afin de "renaturer" les villes

URBANISME. Au moment où toute la France est touchée par une vague de chaleur "précoce et inédite" pour un mois de juin, le Gouvernement annonce "un programme de renaturation des villes" doté de 500 millions d'euros pour lutter contre les îlots de chaleur urbains. Il devrait essentiellement porter sur la création de canopées et la végétalisation de façades.
Il y a 2 ans et 343 jours

Négoce : Tout Faire mise sur la data pour améliorer sa gestion produits

DIGITALISATION. En se dotant d'un nouvel outil digital, Salsify, le groupement indépendant d'entrepreneurs de négoce, Tout Faire, va automatiser la collecte des données produits et améliorer les relations avec les fournisseurs.
Il y a 2 ans et 343 jours

Val-de-Marne : travaux sur le pont d’Ivry-sur-Seine et sur le quai Blanqui à Alfortville

Le chantier de réaménagement du pont d’Ivry-sur-Seine et du quai Blanqui à Alfortville (Val-de-Marne) s’élève à 2,3 millions d’euros.
Il y a 2 ans et 343 jours

Seine-et-Marne : Montereau-Fault-Yonne se dotera de 56 nouveaux logements en 2024

Green City Immobilier lancera la construction des 56 nouveaux logements de Montereau-Fault-Yonne (Seine-et-Marne) avant fin 2022.
Il y a 2 ans et 343 jours

Edilteco® Lauréat de la 15ème édition des Trophées du Négoce, avec la technologie de béton bas carbone : CarbonCure Technologies

Organisés par INFOPRO, les Trophées du Négoce récompensent les meilleures initiatives et innovations de la distribution du bâtiment. Voici 3 années consécutives qu’EDILTECO® participe aux Trophées du Négoce. Les éditions 2020 et 2021 ont respectivement décerné des Trophées au mortier léger « La Chape XXs® » et à l’entrevous « EDIL-Voutain + CI ». Cette 15ème édition a dévoilé le palmarès 2022 des meilleures innovations des distributeurs et industriels en bâtiment, ce mercredi 15 juin. EDILTECO® avec la technologie CarbonCure, pour un béton bas carbone, est lauréate des Trophées du Négoce 2022 dans la catégorie Environnement & Ressources Naturelles. Consacré à la conception et la construction bas carbone et aux usages et exploitations bas carbone, la technologie CarbonCure offre la possibilité aux fabricants de béton de concevoir un béton écologique et plus solide. LA TECHNOLOGIE CARBONCURE La technologie CarbonCure contribue fortement au développement durable. Cette technologie permet aux producteurs de béton (centrales à béton et préfabricateurs) de proposer le même béton de haute qualité mais avec une empreinte carbone réduite. Le principe du procédé est d’injecter du dioxyde de carbone (CO2) capturé dans le béton frais lorsqu’il est malaxé. Une fois injecté, le CO2 se transforme instantanément au contact du ciment en CaCO3 (carbonate de calcium) ; ces nanomatériaux sont incrustés en permanence et ne seront jamais rejetés dans l’atmosphère. Cette minéralisation du CO2 améliore également significativement la résistance à la compression du béton et permet de réduire en toute sécurité la teneur en ciment de chaque mélange. CarbonCure est détentrice d’un agrément technique délivré par le DIBT (Institut Allemand des Techniques du Bâtiment). La technologie CarbonCure est en totale conformité avec la norme NF EN 206. Ainsi, tout en respectant les dosages, avec l’ajout de CO2, il est possible de réduire de 4 à 6 % la quantité de ciment et en outre de conserver les mêmes performances techniques et mécaniques. En considérant que 6 % de ciment peuvent être économisés, cela équivaut à environ 15 kg/m3. Si l’on prend l’exemple d’une centrale à béton moyenne en France, consommant 40 000 m3 de béton par an, l’économie annuelle de ciment pour cette centrale est de 60 tonnes. EN PRATIQUE Chaque installation CarbonCure comprend 2 boitiers. Le premier (unité de contrôle) calcule précisément la quantité de CO2 à injecter selon la formulation de béton. Il est en relation avec le logiciel de la centrale (s’adapte à tous les logiciels des centrales) et en lien direct avec CarbonCure à qui il communique, en temps réel, toutes les données collectées pour le calcul de la consommation de CO2 injecté dans le béton. CarbonCure collecte les consommations exactes de CO2 de chaque centrale à béton. La méthodologie de CarbonCure a été vérifiée par l’organisme VERRA (Verra.org) pour l’obtention de certificats blancs mutualisés entre chaque acteur. L’autre boitier (le bloc vanne) est installé sur la cuve de CO2 et gère l’ajout de la dose. La cuve sous pression (20 bar) envoie le CO2 à l’état liquide dans le béton en cours de malaxage. C’est cette pression qui injecte et transforme le CO2 sous forme de neige dans le malaxeur, où le CO2 se transforme immédiatement en CaCO3 au contact du mélange. La centrale à béton est libre de choisir son fournisseur de CO2. EDILTECO® France s’occupe de l’installation des boitiers et leur programmation se fait automatiquement à distance. Une équipe de techniciens EDILTECO® a été spécialement formée pour assurer l’installation, la maintenance et le SAV des boitiers. La technologie CarbonCure offre une solution innovante et éprouvée pour la réduction de l’empreinte carbone dans la construction. CarbonCure donne la possibilité aux fabricants de béton de concevoir un béton écologique, avec la qualité habituelle, mais avec une empreinte carbone réduite. De leur côté, les architectes, ingénieurs et entrepreneurs obtiennent le même produit de construction fiable et de haute qualité, mais avec une empreinte carbone plus faible.
Il y a 2 ans et 343 jours

Pyrénées-Atlantiques : un nouveau hall d’accueil pour le centre hospitalier d’Oloron-Sainte-Marie

Le nouveau hall d’accueil du centre hospitalier d’Oloron-Sainte-Marie, dans les Pyrénées-Atlantiques, s’étend sur 400 m².
Il y a 2 ans et 343 jours

« La traçabilité du bois répond à une demande croissante des acteurs de la construction », Paul-Emmanuel Huet, directeur exécutif de PEFC France

Né en France pour certifier la gestion durable des forêts, le label PEFC ne se contente pas de couvrir 330 millions d’hectares dans cinq continents : sa déclinaison dans la traçabilité de la filière lui donne une responsabilité majeure dans la mise en œuvre de la réglementation environnementale 2020 qui implique l’évaluation de l’impact carbone de la construction, comme le souligne Paul-Emmanuel Huet, directeur exécutif de PEFC France.
Il y a 2 ans et 343 jours

Zan : comment répartir l'effort à l'intérieur de chaque région ?

RENCONTRES NATIONALES DES SCOT. Les professionnels de la planification territoriale planchent, les 16 et 17 juin, sur l'intégration des nouvelles obligations en matière d'artificialisation des sols dans les schémas de cohérence territoriale.
Il y a 2 ans et 343 jours

Isolant biosourcé : une importante subvention de l'Ademe pour Isonat

SOUTIEN FINANCIER. Isonat, filiale d'Isover depuis 2016, vient de se voir attribuer une subvention importante de la part de l'Ademe. Une enveloppe qui participerra à la réduction des émissions de CO₂ induite par la refonte de l'outil de production à l'occasion de l'agrandissement de son usine de Mably.