Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

255643 actualités disponibles
Il y a 2 ans et 360 jours

Ragréage fin a prise et séchage rapides pour corriger les irrégularités de surface

Ce nouveau ragréage corrige les irrégularités de surfaces, les flaches éventuels. Le PRB PLANILIS permet les remises à niveau et rebouchages localisés, avant pose d’un revêtement de sol. Il rebouche et planifie également les supports muraux à base de ciment ou de plâtre. Son séchage rapide lui permet une ouverture rapide à la marche dès 1 h.Lissage facileSéchage rapide : ouverture à la marche dès 1 heureS’applique sans primaire sur différents supportsGranulométrie fine : se tire à zéroRebouche et élimine les flachesConditionnement en sacs de 5 et 25 kg.
Il y a 2 ans et 360 jours

Saint-Gobain cède des activités de transformation de verre en Allemagne et en Autriche

Eckelt Glas, Glas Ziegler (Autriche) et Glaskontor Erfurt (co-entreprise en Allemagne) seront cédées aux groupes Aequita et Caleoglas Group.
Il y a 2 ans et 360 jours

Nouvelle implantation en Haute-Savoie pour l’architecte d’intérieur Caroline Tissier

Architecte d’intérieur plébiscitée par les hôteliers et les restaurateurs, Caroline Tissier s’associe à Charlotte Blanc-Paque pour développer ses activités sur ce territoire. Basée à Chamonix, la nouvelle implantation de Caroline Tissier Intérieurs va proposer aux propriétaires d'hôtels, de chalets de luxe et de restaurants une griffe design renommée et un accompagnement personnalisé. Depuis la création de sa société en 2013, Caroline Tissier multiplie les collaborations avec des hôtels prestigieux et des chefs réputés, de Jacky Ribault à Christophe Hay. L'univers Caroline Tissier Intérieurs poursuit son développement avec talent et générosité.Design au sommet Présent en Ile-de-France et en Nouvelle-Aquitaine, le bureau Caroline Tissier Intérieurs s'installe donc désormais dans la vallée de Chamonix. Pour ouvrir cette nouvelle représentation, Caroline Tissier a choisi de s'associer avec Charlotte Blanc-Paque, architecte d'intérieur originaire de la région. Diplômée de l'Université de Montréal, Charlotte Blanc-Paque a choisi de revenir dans sa vallée savoyarde. Après une première expérience dans un cabinet d'architecture et un cabinet de maître d'œuvre sur Chamonix, elle décide de se consacrer à un projet familial. En collaboration avec son père, elle imagine, dessine et créé les chalets Grands Montets, trois bijoux 5 étoiles situés au pied des pistes. Main dans la main avec les artisans locaux, elle se spécialise dans la rénovation et la construction d'appartements et de chalets de montagne grand luxe, dans le plus pur respect des traditions architecturales locales. Fille d'hôtelier, Charlotte Blanc-Paque a toujours eu à cœur de développer son activité dans ce secteur. Admiratrice de longue date des créations de Caroline Tissier, elle n'a pas hésité lorsque cette dernière lui a proposé de s'associer pour ouvrir le nouveau bureau savoyard. Ensemble, les deux architectes d'intérieur vont pouvoir faire rayonner leur créativité sur les sommets.Un style unique et des réalisations remarquéesDepuis sa première collaboration avec le très médiatique chef Akrame Benallal en 2011, Caroline Tissier n'a cessé d'enchaîner des projets passionnants et créations remarquées.A la tête de sa propre agence d'architecture d'intérieur, elle décide de mettre ses inspirations design, sa qualité d’écoute et sa sensibilité au service des professionnels de l'hôtellerie et de la restauration. Rapidement, elle multiplie les collaborations avec des chefs en pleine ascension. David Toutain, Christophe Hay, Jacky Ribault, Yohann Chapuis, Guillaume Sanchez, Thibault Sombardier… autant d’étoiles montantes de la cuisine qui ont compté parmi ses premiers clients et qu'elle continue d'accompagner, pour certains, sur de nouveaux projets.Métissage de styles, effets de matière, textures que l'on a envie de toucher, mises en scènes lumineuses ou plus tamisées, univers façonnés à l'image de ses clients et de leur personnalité… la "patte" Caroline Tissier est reconnaissable à ses ambiances uniques et à sa créativité. A ce jour, Caroline Tissier a imprimé sa griffe sur plus d’une trentaine de lieux réputés : hôtels stylés et restaurants de chefs renommés. Et son actualité 2022 s'annonce pour le moins chargée !2022 : nouvelles créations inspiréesEn février dernier, le restaurant doublement étoilé Anne de Bretagne a rouvert à la Plaine sur Mer, avec un relooking complet signé Caroline Tissier. Pour l'architecte d'intérieur, il s'agissait de sa toute première collaboration avec le jeune chef breton Mathieu Guibert. Un design minéral et subtilement épuré, parfait pour sublimer une cuisine aux saveurs iodées et une vue imprenable sur l’océan, à l’extrême-Ouest du pays de Retz. Les prochains mois devraient voir éclore plusieurs autres projets. A Paris, le jeune chef Clément Vergeat a choisi Caroline Tissier pour imaginer l'ambiance de son tout nouveau bébé : le restaurant Nellu. Dans le Jura, Aurélien Moutarlier, chef du restaurant Grain de Sel, a fait appel à elle pour la décoration intérieure de sa nouvelle implantation dans une superbe bâtisse rénovée qui va aussi accueillir un complexe hôtelier. Autre actualité et non des moindres : une collaboration renouvelée avec le chef doublement étoilé Christophe Hay pour la décoration intérieure de Fleur de Loire ; un projet hors normes qui va abriter deux restaurants dont un gastronomique, un hôtel 5 étoiles, un kiosque à pâtisserie et un spa en plein cœur de Blois dès le mois de juin.
Il y a 2 ans et 360 jours

En Chine, TIC Art Center, par Domani concept : bâtiment intelligent ?

Près de Foshan (Chine), le TIC Art Center, c’est-à-dire un bâtiment dédié aux Techniques de l’information et de la communication (TIC), conçu par l’agence chinoise Domani architectural concept (Ann Wu), est sorti de terre en 2021. D’une surface de plus de deux millions de m² (coût : 25,15 M€), l’ouvrage participe au développement urbain de la […] L’article En Chine, TIC Art Center, par Domani concept : bâtiment intelligent ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 360 jours

Saint-Gobain cède des activités de transformation verrière en Europe

Le groupe annonce avoir signé des accords pour se désengager de certaines de ces activités en Allemagne et en Autriche.
Il y a 2 ans et 360 jours

Chantier à l’international – Djibouti : L’immaculé et soigné centre de formation

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine Le bâtiment Transform constitue le cœur du projet du Centre de ressources et de compétences dédié aux métiers portuaires de Djibouti. [©Richard + Schoeller Architectures] C’est à l’entrée de la mer Rouge, face au golfe d’Aden, qu’est implantée la ville de Djibouti, capitale de la république du même nom. Durant plus de 70 ans, cette zone a fait partie de la Somalie française, avant de devenir le Territoire français des Afars et des Issacs, en 1967. C’est seulement en 1977 que cette colonie accède à l’indépendance. Port maritime, Djibouti est la plus grande ville du pays et concentre un peu plus de 500 000 habitants. Soit environ 58 % de la population. Aujourd’hui, avec l’arabe, le français constitue une des langues officielles du pays. Bien qu’indépendante, la République de Djibouti reçoit une aide économique de la France, qui a participé à la construction de nombreuses infrastructures, dont le lycée français Joseph-Kessel, en 1991. Cet établissement fait actuellement l’objet d’une extension-reconstruction, sous la maîtrise d’œuvre de l’agence parisienne Richard + Schoeller Architectures. « Les travaux démarrent tout juste, explique l’architecte Frédéric Schoeller. Et de poursuivre : « Mais c’est une autre opération qui nous occupe aujourd’hui. Celle du Centre de ressources et de compétences dédié aux métiers portuaires de Djibouti. Le bâtiment Transform en est la composante principale. » Le projet est financé par l’Union européenne, dont la gestion des fonds a été déléguée à l’Agence française de développement. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Cimbat
Il y a 2 ans et 360 jours

Une plainte d'associations pour détournement de fonds publics sur une partie du projet de la Gare d'Austerlitz

Dans le document envoyé au parquet de Paris le 19 mai et que l'AFP a pu consulter, l'avocat des associations InCOPruptibles, SOS Paris et France Nature Environnement (FNE) Paris estime que "l'acquisition de l'ensemble immobilier A7A8 du projet Austerlitz par l'AFD constitue un détournement de fonds publics".L'AFD, établissement public qui met en oeuvre la politique de développement de la France à l'étranger, doit racheter ce vaste ensemble de 50.000 m2 de bureaux pour "un total de 924 millions d'euros", souligne Jérôme Karsenti en se basant sur l'avis très critique du Conseil immobilier de l'Etat rendu en juin 2021.Le coût estimé de l'opération, entre 17.000 et 18.000 euros le m2, "est particulièrement élevé" dans une zone où le prix moyen est évalué à 12.000 euros le m2, estiment les plaignants pour qui l'achat "ne présente aucun intérêt financier pour l'AFD" et la contraint "à poursuivre une activité de bailleur de fonds" qui se trouve "hors de son objet social".Selon le Conseil immobilier de l'Etat, l'AFD prévoit en effet la location ou la vente à un tiers de 8.000 m2 mais concède "que la superficie inutile" à ses besoins "pourrait être sensiblement supérieure" aux évaluations initiales, notamment en raison du développement du télétravail.Objectifs environnementauxPour les plaignants, la superficie excédentaire culmine ainsi à plus de 40% de la surface totale, ce qui démontre que "l'acquisition des 50.000 m2 n'est pas directement utile à l'AFD".Enfin, pour les trois associations, la construction de ce bâtiment est "contraire aux objectifs environnementaux et sociaux de l'AFD", le Conseil immobilier de l'Etat ayant souligné le "hiatus entre la posture environnementale de l'Agence et la solution immobilière retenue dont la frugalité n'est pas la principale qualité"."Si l'on considère que la construction d'un bâtiment représente 60% des dégagements de gaz à effet de serre, le choix d'un site à construire" aux dépens de biens existants "interroge", avait encore écrit le Conseil immobilier de l'Etat."Figure majeure de l'Accord de Paris", l'AFD "porte ainsi directement atteinte à la crédibilité de ses engagements" en finançant le projet immobilier porté par la Semapa, l'aménageur de la Ville de Paris pour ce secteur, et la filiale de la SNCF Gares et Connexions, estiment les plaignants.Les élus écologistes du Conseil de Paris, alliés de la maire PS Anne Hidalgo favorable au projet, se sont en 2021 alliés à l'opposition de droite pour réclamer une remise à plat du projet afin de le "dédensifier"."Aucun argent de l'aide au développement ne va servir à financer le siège de l'AFD", a réagi auprès de Mediapart Bertrand Walckenaer, directeur général adjoint de l'AFD. Selon lui, cette dernière "ne fait pas construire un bâtiment mais acquiert des bureaux au sein d'un projet beaucoup plus vaste"."Nous ne sommes que les utilisateurs d'un bâtiment", a ajouté M. Walckenaer.
Il y a 2 ans et 360 jours

Nord : Peri équipe les lycées

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine A travers son partenariat, Peri fournit du matériel de coffrage au lycée Louis Blériot de Cambrai. [©Peri] En début d’année 2022, Peri a signé un partenariat avec le Lycée professionnel Louis Blériot de Cambrai. « Nous avions déjà mis en place ce type de partenariats avec Ludovic Poirrier, lorsqu’il était responsable matériel du lycée professionnel de Marly, explique Cédric Delcourt, commercial pour les régions Hauts-de-France et Ardennes pour Peri. Lorsqu’il a obtenu un nouveau poste à Cambrai, nous avons décidé de renouveler l’expérience dans son nouveau lycée. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Hauts-de-France Ainsi, dès la rentrée prochaine, Peri va livrer environ 30 m2 de coffrage vertical manuportable Duo et de coffrage horizontal en aluminium Gridflex. « Ces deux produits permettent une bonne polyvalence dans les projets à mener : poutres, poteaux, longrines… Pour le lycée, l’intérêt est de mettre les élèves en situation sur des matériels qu’ils utiliseront dans leur carrière professionnelle. Pour nous, les élèves qui ont appris leur métier sur nos produits sont susceptibles de devenir des clients… » L’équipement peut aussi servir lors d’organisation d’étapes des Olympiades des métiers. De plus, Peri profite des ateliers pour présenter les solutions à des clients dans des conditions d’utilisation. « Nous avons une dizaine de partenariats de ce type dans mon secteur. Ce sont des relations gagnant-gagnant. J’aimerais d’ailleurs, à terme, mettre en place un package, déjà dimensionné, spécifique à l’éducation nationale », conclut Cédric Delcourt. Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 360 jours

Zenpark passe du parking mutualisé à la recharge partagée

La mobilité électrique fournit un relais de croissance à Zenpark, spécialiste de la gestion digitale et mutualisée du stationnement automobile. Avec le bailleur parisien RIVP et l’exploitant de parkings Indigo, deux contrats récemment décrochés par la jeune entreprise révèlent cette diversification.
Il y a 2 ans et 360 jours

Dossier détails : parements tuiles

    La prescription de la tuile dans l'architecture moderne s'est faite de plus en plus rare, à mesure que les toits devenaient des terrasses, parfois accessibles, et s'imposaient sous cette forme comme archétype sommital des bâtiments. Aujourd'hui, les concepteurs redessinent volontiers des toitures en pente et la tuile retrouve droit de cité, […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 360 jours

Sdis 24 (Périgueux, 24)

Le maître d'ouvrage de la semaine -
Il y a 2 ans et 360 jours

En Libye, les troglodytes de Ghariane veulent sortir de l'ombre

Creusées dans la roche avec des outils rudimentaires, ces demeures centenaires se fondent dans les flancs rocailleux du Jabal Nefoussa, et au-delà des frontières - autrefois inexistantes - avec la Tunisie."Nous partageons ce patrimoine (...). De Nalout (en Libye) jusqu'à Gabes (en Tunisie), c'est le prolongement des mêmes tribus", explique à l'AFP Youssef Al-Khattali, chercheur en histoire.De tailles et formes différentes selon l'usage, ces cavités appelées "damous" en dialecte libyen s'enfoncent dans les entrailles de la montagne. Tempérées l'hiver et préservant la fraîcheur l'été, elles ont été "conçues pour avoir des usages polyvalents et ont perduré dans le temps, d'où leur importance dans l'histoire de l'architecture libyenne", souligne M. Khattali. Des siècles durant, les habitants de Ghariane, qui culmine à environ 700 mètres d'altitude, y ont vécu, prié et enterré leurs morts. "Il y a d'abord eu les maisons troglodytes destinées aux humains et à leurs bêtes, puis les constructions conçues comme lieux de culte" - des temples juifs et églises chrétiennes dont la plupart ont été transformées par la suite en mosquées - "mais aussi des lieux de sépulture", comme le montrent des stèles tombales "qui remontent à l'époque phénicienne", poursuit l'historien.Méthodes primitivesCette technique de construction a également servi aux habitants pour défendre et protéger leur ville des invasions. Certaines constructions avaient un usage "purement militaire. On peut encore distinguer les vestiges des fortifications à certains endroits de la montagne et ce qui reste des tours de guet", dit M. Khattali.Toutefois, quelle que soit la méthode de conception, la taille ou l'usage, le choix de l'emplacement ne peut pas être dû au hasard. Il faut connaître la nature de la roche pour éviter que le toit ne s'effondre pendant l'excavation, faite à la force des bras."Mon cinquième arrière-grand-père a construit cette cour souterraine il y a 355 ans" avec des outils simples comme la "gouffa", un panier tissé en feuille de dattier pour transporter les gravats, et un "tajouk", une sorte de hache, raconte al-Arbi Belhaj, descendant d'une longue lignée de Ghariani."Autour de la cour carrée à ciel ouvert au centre du damous, huit familles de neuf membres au moins se partageaient les lieux", dit-il.Aujourd'hui, ce propriétaire de la plus ancienne maison troglodyte de Ghariane, se vante d'être le "dernier petit-fils à y être né", en 1967.Attraction touristiquePeu fréquentées en raison de l'insécurité qui règne dans le pays depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011, les villes berbères du Jabal Nefoussa avec leurs maisons troglodytes ont longtemps été une attraction touristique.Dès 1936, l'Italie, ex-puissance coloniale en Libye, lui accordait déjà de l'importance en publiant "le premier guide touristique mettant à l'honneur" ces constructions primitives aujourd'hui abandonnées par leurs propriétaires au profit de logements standards.Certaines habitations sont vieilles de plus de 2.300 ans mais peu d'entre elles ont laissé de traces. Une dizaine tiennent encore debout mais une seule habitation troglodyte a résisté et sert aujourd'hui de "maison témoin".Occupée jusqu'en 1990, le damous de la famille Belhaj est devenu, après restauration, une attraction touristique.Les visiteurs peuvent déambuler de pièce en pièce en contrepartie d'une petite somme symbolique."L'entrée coûte l'équivalent d'un dollar lorsqu'on est Libyen, deux dollars s'il s'agit d'un étranger", explique M. Belhaj.Les familles s'y rendent le weekend pour découvrir ces espaces insolites, prendre une tasse de thé ou et "se réunir autour d'un repas".
Il y a 2 ans et 360 jours

Loire : Rapid’Béton inaugure sa première centrale en libre-service

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine La première unité de distribution automatisée signée Rapid’Béton est en service à Saint-Etienne. [©Rapid’Béton] C’est à la sortie Nord de Saint-Etienne, dans le quartier Michon, que Rapid’Béton a installé la première concrétisation de son concept de site de distribution de béton automatisé. « Notre station de distribution permet de produire de 1 500 à 3 000 m3 de béton a l’année, en étant ouvert 24 h/7 j, explique Stéphane Thomas, fondateur de l’entreprise. Nous pouvons servir des clients ayant besoin de 87 l à 7 m3. » Les matériaux proposés sont de six types. Un béton C25/30 XF1 NF, un mortier, un béton à bordures et un mélange sec pour béton. Ainsi que des granulats et des sables. « Nous vendons des bétons avec une assurance décennale et nous proposons le Rapid’Bag, un big bag avec serrage, pour le transport. Au total, l’installation idéale s’étend sur au minimum 700 m2. Même si notre propre concept occupe 100 m2 au sol avec les stockages». Pour le stockage et l’approvisionnement, justement, deux solutions : soit une chargeuse pour les entreprises productrices de matériaux. Soit des bennes de type Ampliroll, qui viennent se plugger directement sur le système. « Pour la fourniture de ciment, nous avons mis en place un partenariat avec Vicat. En moyenne, il faut recharger en ciment une fois par mois, et trois à quatre fois par semaine pour les granulats. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Auvergne-Rhône-Alpes Rapid’Béton, qui vend l’installation complète à ses clients, accompagne les futurs distributeurs dans l’élaboration de leur projet. « Nous sommes à leurs côtés à toutes les étapes. Que ce soit dans la recherche du terrain, dans la prise de contact et les explications auprès des mairies, ou dans les démarches avec les banques. » Une vingtaine de centrales automatiques devraient être installées d’ici la fin d’année. Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 360 jours

Doubs : Un béton désactivé pour illuminer la Saline royale

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine Quelque 2 500 m2 de béton désactivé permettent de matérialiser les nouvelles allées de la Saline royale d’Arc-et-Senans. [©FCE] En son cœur, le Doubs porte un lieu légendaire, qui se transforme aujourd’hui, comme aucun autre site classé Patrimoine mondial de l’Unesco ne l’a fait avant. La Saline royale d’Arc-et-Senans a été imaginée par l’architecte Claude-Nicolas Ledoux et validée par Louis XV. Ceci, pour transformer la saumure, extraite aux salines de Salins-les-Bains. Et ce, jusqu’en 1895. Basé sur un demi-cercle parfait, associant alignement et symétrie, le site reflète en partie la cité idéale rêvée par son auteur. Cette utopie est en train de prendre forme, puisque depuis 2019, le demi-cercle est complété pour former le cercle immense. Et par un aménagement paysager conçu par l’agence Mayot & Toussaint et par Gilles Clément. Le site se transforme en un îlot de biodiversité et en un laboratoire du paysagisme, du potager et de l’économie circulaire. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Bourgogne – Franche-Comté Part essentielle de chantier, les allées définissent l’espace et tracent le second demi-cercle. Elles ont été construites en béton désactivé, à l’aide du Pieri VBA 2012 dans sa teinte bleue, de GCP Applied Technologies. Pas moins de 2 500 m2 de béton désactivé ont été fournis par la centrale BBCI du groupe Bonnefoy et appliqués par le paysagiste FCE. Ces allées délimitent les nouveaux espaces et dessinent le chemin des découvertes. Elles mettent en lumière les jardins pédagogiques chargés de transmettre les savoirs en matière de culture écologique. Tout en expérimentant les techniques. Onze jardins éphémères seront aussi installés, cadre du Festival des jardins et lieu d’apprentissage des jeunes paysagistes de la région. Labyrinthe, prairie sauvage et promenade comestible viendront compléter l’ensemble, qui ouvrira ses portes début juin prochain. Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 360 jours

Wefound et Enogrid permettent à tous les citoyens de contribuer à la transition énergétique

Le marché de l’autoconsommation collective est prometteur. Ce modèle se différencie de l’autoconsommation individuelle par son inclusivité permettant à tous les citoyens, aussi bien particuliers que professionnels, entités publiques ou privées, propriétaires comme locataires, de participer à la transition énergétique, sur tout le territoire français, à travers des projets de production d'électricité verte et décentralisée.Forte de son expérience, Enogrid facilite la mise en place et l’exploitation des projets d’autoconsommation collective. La startup accompagne des porteurs de projet de l’idéation à la mise en œuvre de leur autoconsommation collective et propose une plateforme digitale pour gérer simplement l’exploitation.Wefound offre à Enogrid un accompagnement humain sur du long terme. Quotidiennement les équipes transverses du studio apportent leur expertise en stratégie d’entreprise, communication, marketing, business development, product management, etc. En outre, un investissement financier du studio offre à Enogrid la possibilité de croître et de renforcer sa position de leader sur le marché prometteur de l’autoconsommation collective. Enfin, Enogrid bénéficie de l’écosystème de startups et d’investisseurs du studio.Wefound complète, par ce partenariat, son portefeuille d’investissement et prend part au développement d’un métier qu’il considère comme essentiel dans la transition écologique de nos modes de consommation. Habitué à faire naître des startups, le studio se lance un challenge avec cette prise de position dans une startup plus mature. Il complète son offre et éprouve son modèle sous une nouvelle forme.Benjamin Berthou, co-fondateur d’Enogrid, se félicite de ce partenariat : “L’accompagnement de Wefound va nous aider à créer des synergies avec leur écosystème, avec la garantie d’une relation équilibrée qui préserve notre indépendance.”Gilles Debuchy, fondateur et CEO de Wefound, revient sur cette intégration : “En accueillant Enogrid, nous confirmons notre ambition d’élargir notre portefeuille aux startups dédiées à la production et à la consommation d'énergie en communauté.”
Il y a 2 ans et 361 jours

Le centre spatial en Guyane se rêve plus vert et plus compétitif

Le port spatial de l'Europe, datant d'une cinquantaine d'années, est entièrement dépendant d'EDF pour sa consommation électrique. Ce sont les climatisations qui demandent le plus d'énergie car toute l'année, il faut maintenir les bâtiments industriels à des niveaux hygrométriques précis. Ils renferment du matériel de pyrotechnie ou des satellites à plusieurs millions d'euros que l'humidité guyanaise risquerait d'endommager.Lorsqu'un lancement approche, le CSG demande à EDF de cesser toute maintenance sur ses réseaux 24 heures avant et jusqu'à la fin des opérations afin d'éviter la moindre coupure. "Les lancements demandent deux sources d'énergie", précise Didier Cauquil, expert en maîtrise de l'énergie et des infrastructures au CSG. Quand un tir de lanceur a lieu, "ce sont les groupes électrogènes qui fournissent l'énergie, EDF vient en secours", explique-t-il. Au cas où l'une des sources serait défaillante, des batteries prendraient le relais.Photovoltaïque et biomasseLe CSG, responsable de 70% des émissions de carbone du Centre national d'études spatiales, a donc décidé de se lancer dans une transition écologique qui nécessite de diversifier ses sources : deux centrales photovoltaïques seront opérationnelles en 2023 et deux unités de biomasse sont en projet, afin de réduire la dépendance du centre spatial vis-à-vis d'EDF."On ne cherche pas à être autonome, tempère Didier Cauquil. Même si on le voulait, on ne le pourrait pas, mais on veut réduire notre empreinte sur le réseau". Marie-Anne Clair, la directrice du CSG, tenait le même discours devant la ministre de la Transition écologique le 1er février 2022, assurant que cette énergie non consommée par le CSG profitera au reste de la Guyane.Pour faire des économies de climatisation, le futur lanceur Ariane 6 sera assemblé en position horizontale, dans une infrastructure ne mesurant que 20 mètres de haut. Ainsi, plus besoin de refroidir de hauts bâtiments comme celui d'Ariane 5, qui culmine à 110 mètres.La seconde phase de transition concerne la production d'hydrogène et de méthane pour les moteurs de fusées. L'hydrogène sera réservé aux lanceurs lourds type Ariane, quand le méthane sera utilisé pour les lanceurs réutilisables type Callisto.Si l'aspect écologique est mis en avant, la compétitivité est également pour beaucoup dans ces choix énergétiques vertueux. D'autant plus qu'ils sont en partie subventionnés. Le plan France Relance finance le photovoltaïque et la commission de régulation de l'énergie paie une centrale biomasse.Des aides bienvenues alors que le premier volet de la transition coûtera "entre 140 et 180 millions d'euros", calcule Didier Cauquil.Ces investissements devront engendrer une réduction des coûts et un gain en compétitivité. L'arrivée des lanceurs réutilisables entre aussi dans cet aspect compétitif.Des abeilles pour mesurer la pollutionMais le CSG se soucie aussi de la pollution qu'il engendre. Afin de mesurer les particules en suspension aux abords de certains sites, depuis 2017, des ruches ont été installées car les abeilles font office de bio indicateurs."Lorsqu'elles butinent, les abeilles collectent des particules de l'air dans les poils qu'elles portent sur le corps", détaille Nicolas Brehm, fondateur de la société NBC qui a mis ce partenariat en place avec le centre.Les abeilles prélevées "sont passées au microscope électronique". Cela permet de savoir exactement quelles particules sont en suspension, dans quelles zones."C'est plus précis et moins cher que des capteurs traditionnels", justifie M. Brehm. Les insectes permettent de mesurer l'impact des lancements en termes de rejets, mais aussi de suivre les activités liées à la maintenance, comme l'utilisation de certains produits.Si le centre spatial part de zéro, sa directrice, Marie-Anne Clair souhaite atteindre 90% d'énergies renouvelables en 2025.
Il y a 2 ans et 361 jours

A Amiens, Institut Faire Faces signé Architecturestudio,

Architecturestudio a livré en 2022 à Amiens (Somme), pour le CHU maître d’ouvrage, le nouvel Institut Faire Faces, premier centre de recherche dévolu à la défiguration. L’ouvrage de 3 400 m² (Coût : 8,5 M€) s’intègre minutieusement dans la pente et s’ouvre sur le grand paysage. Communiqué. L’Institut Faire Faces occupe une place stratégique à […] L’article A Amiens, Institut Faire Faces signé Architecturestudio, est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 361 jours

Plusieurs immeubles à Bordeaux menaçant de s'effondrer évacués en urgence

Un expert du tribunal administratif mandaté mardi par la municipalité "a considéré que la situation était inquiétante", a résumé à l'AFP Stéphane Pfeiffer, adjoint au maire chargé du service public du logement et de l'habitat, de l'emploi.Lors de sa visite sur les lieux, place Gambetta, l'expert a en effet constaté des "fissures" sur un mur partagé entre deux immeubles et des "fragilités dans la cave", faisant craindre "un risque d'effondrement".D'après le rapport de l'expert cité par l'élu, "il a été constaté un défaut d'entretien sur ces immeubles", au cœur d'une zone commerçante très passante.La ville, prévenue par un signalement, a pris un arrêté de péril imminent, ce qui implique l'évacuation des habitants et le lancement de travaux de sécurisation en urgence d'ici 3 semaines. "Si les propriétaires ne les font pas, c'est la mairie qui se substitue à eux et qui se retourne ensuite contre eux", précise l'élu.Par crainte d'un effet domino, des "arrêtés d'interdiction d'habitation" ont été pris sur au moins quatre autres immeubles voisins.D'ici, mercredi 18H00, les sept 7 habitants concernés et les huit entreprises dont six magasins situés en rez-de-chaussée ou en étage, devront avoir quitté les lieux.Depuis l'année dernière, la ville a eu à gérer deux effondrements d'immeubles et des évacuations préventives de bâtiments fragilisés dans le vieux Bordeaux en pierre. En juin 2021, l'effondrement de deux immeubles anciens du centre-ville avait fait trois blessés.
GDA
Il y a 2 ans et 361 jours

En Normandie, à la découverte d’un projet précurseur – ROCKWOOL accompagne Bouygues Construction dans la transformation du Parc du Robec à Darnétal, avec ses solutions d’isolation thermique et son service de collecte et de recyclage de laine de roche Rock

Situé au coeur de Darnétal, dans la Métropole de Rouen, le Parc du Robec fait l’objet d’un ambitieux projet de réhabilitation dans le cadre du nouveau programme national de renouvellement urbain (NPNRU). Pilotés par Bouygues Bâtiment Grand Ouest, les travaux de ce programme d’envergure, visent pour le bailleur social Logeo Seine à améliorer le confort […]
Il y a 2 ans et 361 jours

Une chaudière à granulés aux émissions de particules fines proches de zéro

Nouvelle Pellematic Condens ZeroFlame Avec la nouvelle chaudière Pellematic Condens ZeroFlame®, ÖkoFEN inaugure une technologie révolutionnaire de réduction des émissions de particules fines, les ramenant à un niveau proche de… zéro. Leader en France sur le marché en plein essor de la chaudière à granulés, ÖkoFEN ne cesse d’innover pour rendre ce mode de chauffage plus […]
Il y a 2 ans et 361 jours

Travaux d’aménagement de la centrale de recyclage de Massy 2

« La végétalisation en zone industrielle, c’est possible ! » Ces trente dernières années, l’entreprise YPREMA a prouvé que croissance économique et développement durable ne sont pas antinomiques et que performances industrielles et intégration urbaine restent des enjeux compatibles. Depuis sa création, elle n’a eu cesse d’ouvrir les portes de ses centrales de recyclage au […]
Il y a 2 ans et 361 jours

L’innovation Aliaxis au service des réseaux d’assainissement

Leader mondial des solutions pour la gestion des fluides dans la construction, les travaux publics et les applications industrielles, Aliaxis se distingue grâce à son expertise des produits en matériaux de synthèse. Le Groupe enrichit aujourd’hui son offre assainissement en ajoutant aux tubes et raccords en polyéthylène haute densité (PEHD) un nouveau regard de visite […]
Il y a 2 ans et 361 jours

Delta Dore présente Easy : une nouvelle gamme de prises et ampoules connectées

Delta Dore, spécialiste de la maison connectée, renforce son offre smart home et lance Easy : une nouvelle gamme de prises et ampoules connectées compatible avec les nouvelles box domotiques Tydom Home et Pro. D’installation ultra-facile, ces solutions intelligentes et ouvertes au protocole Zigbee permettent de piloter tous les appareils électriques ; et de contrôler […]
Il y a 2 ans et 361 jours

Success story EFICIA – Bilan et perspectives de la French Tech qui monte

La transition énergétique, enjeu majeur des entreprises Paris, 18 mai 2022 – Le dernier rapport du GIEC interpelle les entreprises sur la nécessité de réduire leurs consommations énergétiques. En parallèle, ces dernières voient leurs finances fortement impactées par l’inflation du prix de l’énergie et de la taxe carbone. Dans ce contexte environnemental et économique sous […]
Il y a 2 ans et 361 jours

Bouches-du-Rhône : L’enseigne Bernard Philibert désormais aux couleurs de Point.P

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine Passage de Bernard Philibert aux couleurs de Point.P. [©Point.P] Fortement implantée dans le Sud-Est de la France, l’enseigne Bernard Philibert est intégrée à Saint-Gobain Distribution Bâtiment France depuis 1998. Rattachés désormais à Point.P, les 21 points de vente présents dans les départements de la Drôme, du Vaucluse, du Gard et des Bouches du Rhône comptent 170 collaborateurs. Négoce généraliste, Bernard Philibert apporte une réelle complémentarité à l’offre de multi-spécialiste de Point.P sur la région. Une offre plus large « Depuis quelque temps, nous avons engagé un travail de fond pour faire converger l’offre des enseignes et établir un management commun. Par ailleurs, les équipes de Bernard Philibert ont intégré peu à peul’ensemble des outils et services déployés par Point.P : Génération Artisans, Solu+, Tolteck, le site Internet… Ce qui leur permet aujourd’hui de les utiliser au quotidien et de les proposer aux clients, professionnels et particuliers », indique Christophe Rey, directeur général Point.P région Paca. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Provence-Alpes-Côte d’Azur Le passage de Bernard Philibert aux couleurs de Point.P est ainsi l’occasion d’étoffer l’offre de produits, d’uniformiser la gamme des services dans tous les points de vente. Mais aussi de développer des agences expertes grâce à un réseau étendu. Cela permet de plus de disposer d’une offre large à destination non seulement des professionnels, mais aussi des particuliers. Pour les clients, ce passage est donc la garantie de trouver les meilleurs solutions et services pour tous les projets en neuf comme en rénovation. Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 361 jours

Un ouvrier grièvement blessé sur un chantier du Grand Paris Express

"Il a été rapidement pris en charge par les services de secours et hospitalisé", a indiqué la Société du Grand Paris (SGP), maître d'ouvrage de ce vaste projet d'aménagement.Les faits se sont déroulés un peu avant 10H00 et les secours ont pu l'extraire environ une heure plus tard, selon le récit des pompiers.La victime, un homme âgé d'une quarantaine d'années, a été "secourue dans une emprise à 30 mètres sous terre", ont-ils détaillé."Des investigations permettront de déterminer les circonstances de l'accident", a précisé la SGP.Le chantier de la gare est "à l'arrêt" le temps de l'enquête, selon cette source.Située à l'est de la métropole, la future gare de Clichy-Montfermeil se trouve sur la future ligne 16 du métro, qui desservira dix gares principalement en Seine-Saint-Denis.Le chantier de cette ligne a déjà été endeuillé en décembre 2020 à La Courneuve. Un ouvrier de 41 ans avait péri en chutant dans une cuve à broyer située à 30 mètres de profondeur.En janvier, un deuxième ouvrier avait par ailleurs été tué par une chute accidentelle de matériel sur le chantier de la future gare majeure de Saint-Denis-Pleyel.Les 200 kilomètres du Grand Paris Express comprennent quatre lignes nouvelles de métro automatique, numérotées de 15 à 18, ainsi que des prolongements de la ligne 14. S'articulant autour d'une ligne circulaire, plusieurs branches doivent relier les aéroports d'Orly et Roissy-Charles-de-Gaulle, le pôle scientifique de Saclay et des quartiers populaires de Seine-Saint-Denis aujourd'hui mal desservis.Après des retards, les nouvelles lignes sont désormais prévues pour entrer en service de façon progressive entre 2025 et 2030.
Il y a 2 ans et 361 jours

Eurobois Awards : le concours qui valorise les innovations et l’ensemble des acteurs de la filière bois

28 innovations en lice pour devenir lauréate de l’édition 2022Cette année, le concours évolue ! Afin d’offrir une meilleure visibilité aux innovations et aux acteurs de la filière, les entreprises pourront présenter leur candidature à travers un pitch sur le plateau TV Eurobois. Autre nouveauté 2022 : la création d’un jury étudiant, qui décernera le prix « Coup de cœur des étudiants ». Autant d’éléments qui font de cet événement un rendez-vous incontournable du salon pour les professionnels de la filière.Qu’est-ce que les Eurobois Awards ?Plateforme de lancement de produits, les Eurobois Awards récompensent le caractère innovant d’un produit ou d’un service, mais aussi son design, sa performance, la démarche RSE de l’entreprise, la qualité environnementale du produit/service, sa certification, son usage pour les professionnels, et enfin sa maîtrise des coûts.Cette année, le processus d’inscription, ouvert à tous les exposants, a été simplifié pour faciliter la participation des entreprises. Participer au concours offrira aux candidats une visibilité accrue auprès des professionnels de la filière en amont et pendant le salon, avec la présentation de l’ensemble des innovations sur le site web, les réseaux sociaux du salon ainsi que sur l’application Eurobois Connect.Sur le salon, les visiteurs pourront facilement identifier les innovations grâce à une signalétique dédiée.Rendez-vous le 15 juin en fin de journée sur le plateau TV pour la remise des prix.Des pitch et visites des stands pour promouvoir les innovations et défendre les projetsPour valoriser leur candidature, les entreprises auront l’opportunité de présenter leur innovation à travers un pitch de 5 minutes, sur le plateau TV du salon, le mardi 14 juin matin, à partir de 10h. Cette présentation permettra à la fois aux entreprises de rencontrer leur public, mais également de séduire le jury en démontrant leur capacité à défendre leur innovation.Le lendemain, au 2ème jour du salon, le jury se rendra sur les stands des innovations présélectionnées. Ses membres pourront ainsi échanger avec les candidats et découvrir en détail les nouveautés.Les lauréats élus par un jury de professionnels et d’étudiantsComme chaque année, le jury est composé de professionnels de la filière bois (ébénistes, agenceurs, menuisiers, charpentiers…). Dans le but de représenter au mieux tous les publics, la grande nouveauté cette année réside dans la création d’un jury étudiant composé de jeunes en école d’architecture, menuiserie, agencement ou ingénieur.La création de ce jury étudiant permet une appréciation différente et nouvelle des innovations en compétition. C’est également l’occasion pour Eurobois d’intégrer les générations futures dans la filière, qui seront les professionnels de demain. Cette immersion dans le monde professionnel est tout aussi bénéfique aux étudiants, dont la présence sur le salon constitue une première mise en réseau avec les acteurs de la filière. Ce jury remettra un prix spécifique à une entreprise qui sera élue « Coup de cœur des étudiants ».Membres du jury professionnel : Président du jury professionnel : ARNAUD GODEVIN, Directeur de l’ESB – Ecole Supérieure du Bois Membres du jury professionnel : Jérôme CARRAZ Responsable de l'Institut de la Charpente et Construction bois - COMPAGNONS DU DEVOIR ET DU TOUR DE FranceVincent CHARROIN Président - SAS CHARROIN TOITURES, Président de la Chambre Professionnelle « Charpente Toiture » de BTP RHONE – FFBJean-Denis FORTERRE Responsable du service Technique à la CAPEB Auvergne-Rhône-AlpesRaphael HOUSSET Gérant - ATELIER RAPHAELMathieu HUGON Responsable de l'institut européen de la menuiserie, l'agencement et l'ébénisterie - COMPAGNONS DU DEVOIR ET DU TOUR DE FranceLaurent JACQUET Créateur de contenu vidéo, web/Domaine bâtiment, bricolage, maison - BICHON PRODUCTIONJean-François JAILLET Gérant, Jaillet Menuiserie – Membre de la Chambre Française de l‘AgencementXavier LUGINBUHL Directeur Général - Groupe HASAP • Herve MARECHAL Dirigeant agenceur - APPORT ANSELes membres du jury étudiant :Diana ALMERI, en formation « Décorateur » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurAnge CHARPENTIER, en 2ème année de cycle ingénieur de l’ENSTIB - École nationale supérieure des technologies et industries du boisMathilde DE COURCY, en formation « Architecte d’intérieur designer global » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurAmandine FONTAINE, en formation « Décorateur » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurFantine KOCH, en 2ème année à l’ENSTIB - École nationale supérieure des technologies et industries du boisCécile SOULIER, en formation « Architecte d’intérieur designer global » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurGéraldine VINCENT, en formation « Architecte d’intérieur designer global de niveau 7 » - CREAD - École d'Architecte d'IntérieurEUROBOIS, sensible à l’avenir de la filière bois Le salon est particulièrement engagé auprès des jeunes générations car elles représentent les professionnels de demain. Conscient que la problématique de l’emploi et la formation est centrale pour la filière bois, le salon accueille le Campus Eurobois. Il s’agit d’un espace ouvert à tous les professionnels, sur lequel les visiteurs pourront rencontrer de potentiels recruteurs et professionnels du secteur. Plus largement, le salon abordera la thématique de l’emploi et de la formation à travers des conférences sur le plateau TV.Zoom sur les innovations présentées cette année Les entreprises candidates ainsi que leurs innovations pour les EUROBOIS AWARDS 2022 sont :PAPERSTONEPremier matériau composite à être fabriqué à partir de papier et de carton 100% recyclés certifiés FSC et imprégnés d’une résine appelée PetroFree. Celle-ci est obtenue en pressant des coquilles de noix de cajou et ne contient donc aucun composé chimique dérivé du pétrole.HI-MACS ASKA BUGATOOL PAPERSTO – Stand : 6L62THERMOFORMING STATION DUO CROSSLOW La station de thermoformage Duo cross-flow de Global est une solution novatrice « Tout-en- un » pour le préchauffage, le thermoformage et les applications de travail du bois. La machine combine une presse sous vide à membrane et un four de préchauffage dans un seul appareil. GLOBAL VACUUM PRESSES – Stand : 6K88MAXIPRESS M Système de piston avec filetage protégé. Le seul serre-joint de marqueterie au monde utilisant ce système Manche ergonomique interchangeable et multiposition Surface de pression avec rainure en V pour tubes et profils Recommandé pour travaux de soudure, plâtre, etc.INDUSTRIAS PIQUERAS SA - Stand : 6G29CLOUEUR AUTONOME PKT Cloueur autonome sans fil pour des pointes jusqu'à 100mm. ALSAFIX - Stand : 6E41STATION D'ENERGIE MOBILE SYS-POWERSTATION La station d'énergie mobile SYS-PowerStation fournit du courant en permanence et en tout lieu. Elle permet d'alimenter tous les outils filaires, toutes marques confondues.FESTOOL France - Stand : 6E51LAMEO Le profilé hybride BRISEO combine l'aspect du bois composite LAMEO renforcé par un insert aluminium. Mixant toutes les caractéristiques de la formulation LAMEO, ses applications sont exponentielles : habillage décoratif de façade, claire-voie, brise-soleil, mobilier urbain, cache bloc technique... BRISEO - Stand : 6J54ELEVATEUR POUR ETAU D'ETABLI ELV ET ELVP Remplace la base tournante grâce à sa rotation possible sur 360 ° - Permet un ajustement de la hauteur de l’étau pour adapter la hauteur de celui-ci à la taille de l’utilisateur - Lutte contre les Troubles Musculo-Squelettiques et évite tout problème de dos dans le cadre d’une utilisation prolongée. VP DOLEX – Stand : 6E60EXEDRA 2 Très innovant et performant, Exedra2 est une évolution du système pour portes escamotables Exedra qui, grâce à une solution de mouvement novatrice, permet l’ouverture simultanée de deux portes jointes. Le système permet ainsi de fermer des espaces de largeur jusqu'à 3m sans rail bas. SALICE France - Stand : 6H44SAFEDETECT Système de capteurs sans contact pour la sécurité de l'opérateur - présenté pour la première fois au public lors de l'EUROBOIS 2022 WEINIG - Stand : 5A14 PLAN DE TRAVAIL VISE LED Solution LED unique pour le positionnement des ventouses - présentée au public pour la première fois à EUROBOIS 2022 WEINIG - Stand : 5A14 PROFIMAT 50 Le moment est venu pour la génération suivante. La nouvelle Profimat : Rabotage et profilage avec la qualité WEINIG. WEINIG – Stand : 5A14 MAXIPRESS E INDUSTRIAS PIQUERAS SA – Stand : 6G29 TEVA 3D Plateforme web de visualisation et validation 3D pour les agenceurs, les cuisinistes et les menuisiers. CABINET VISION France - Stand : 6G12 ASSISTANT PRODUCTION DE WEBCAB L'ASSISTANT PRODUCTION de WEB CAB est un MES consistant à garantir l'exécution effective des opérations de fabrication et à améliorer le rendement de la production.CABINET VISION France - Stand : 6G12 LE TIROIR AVANTECH YOU AVEC SIGNATURE LUMINEUSE Le tiroir AvanTech YOU donne au meuble sa propre signature lumineuse à LED. La mégatendance de personnalisation qui ne cesse de progresser renforce le souhait d’une liberté d’agencement individuelle des meubles de cuisine et des meubles de salon en général. HETTICH France - Stand : 6G60 SECHAGE SOUS ATMOSPHERE CO2 Cette technologie disruptive de séchage permet de sécher avec du CO2 tout type d’essence de bois en quelques jours, en respectant la structure du matériau tout en augmentant significativement sa durabilité. Le bois sera de meilleure qualité, stable et séquestrera naturellement des quantités de CO2. WAYS INDUSTRIE - Stand : 5F44 CRENO CLT-ONE : MACHINE D'USINAGE DE PANNEAUX CLT La CRENO CLT-ONE est dédiée à l'usinage des panneaux CLT, avec une productivité inégalée : en moyenne 30min pour un plancher et 45min pour un mur. Elle permet d'usiner les 6 faces grâce à une architecture innovante combinant tête 5axes, agrégats additionnels et posages flexibles automatisés. LE CRENEAU INDUSTRIEL - Stand : 6B96 BROYEUR DE FEUILLARDS Présentation du programme 3R inventé par La Croix Noble ! LA CROIX NOBLE - Stand : 6F83 DUAL MIXTE OC Le système DUAL MIXTE OC permet la réalisation de menuiseries mixtes bois - aluminium à ouvrant caché au design épuré et avec un vitrage déporté sur l’extérieur. La gamme de tapées compatibles facilite la pose et permet d’augmenter l’apport solaire.JOINT DUAL – Stand : 6E88 OPTICORE AI Un scanner prend une image de la planche à l'aide de caméras, analyse la planche informatiquement et une fois la planche analysée, la solution de découpe la plus profitable pour le client est décidée. C'est pendant la phase d'analyse de la planche que l'IA va rentrer en jeu. WEINIG - Stand : 5A14 ARTEMIS - FRAISES MONOLÈVRES Fraises de haute technicité à destination des enseignistes, menuiseries et des professionnels de la PLV. PRACARTIS GROUPE - Stand : 5F46 COLLECTION CRYSTAL Allier l’élégance du Crystal et le rangement d’intérieur avec notre collection Crystal. Elle mêle nos panneaux de surface RAUVISIO crystal, nos bandes de chants RAUKANTEX et nos systèmes de rideaux d'armoire RAUVOLET crystalline pour créer un design unique.REHAU - Stand : 6H72 LAMES DE SCIES ACCUCUT AccuCut désigne des lames de scie spéciales à largeur de coupe réduite et disposant des développements les plus récents en termes de matériaux de coupe. Ces innovations offrent une durée de vie accrue des batteries des machines électroportatives sans fil. LEITZ France – Stand : 5C20 VIKING ARM Le viking Arm est une troisième main idéale pour le levage, l'abaissement et le serrage d'objets lourds. SCAB - Stand : 6B113 MERIVOBOX Avec MERIVOBOX, il n’a jamais été aussi facile d’offrir de la diversité. Fabriquer des meubles plus facilement et offrir tout de même de la diversité, tel est l’objectif de la plateforme de tiroir métallique MERIVOBOX ! BLUM France – Stand : 6K72 HNC 47.82 Une créativité sans fin et une précision CNC professionnelle pour les amateurs, les bricoleurs, les petites entreprises, les modélistes et les écoles. FELDER GROUP – Stand : 6C114 SUPERFICI MINI P Superfici mini p est un système de pulvérisation à brancher et prêt à l'utilisation (machine plug&play) qui peut être positionné au sein d'une ligne ou utilisé en tant que machine seule. SCM GROUP France – Stand : 5F22 STEFANI X Industrial edgebander designed to offer the highest edgebanding quality on any type of panel and material and to fully meet the needs of a digital, connected and integrated factory. SCM GROUP France - Stand : 5F22
Il y a 2 ans et 361 jours

Au-delà de la RE2020 : L’État missionne l'Alliance HQE-GBC pour faire émerger un cadre commun de référence

Pour mener à l’élaboration du futur label accompagnant à la RE2020, le Plan Bâtiment Durable a conduit une ample concertation au printemps 2021. Ces travaux et l’émergence du Groupement d’Intérêt Ecologique (GIE) composé aujourd’hui de trois associations - l’Alliance HQE-GBC France, le Collectif des Démarches Quartiers et Bâtiments Durables et le Collectif Effinergie ont ainsi montré l’intérêt de prendre appui sur les expertises et les savoir-faire existants et de mettre les porteurs de labels et démarches existants au cœur du dispositif.Par lettre de mission datée du 19 avril 2022, Stéphanie Dupuy-Lyon, Directrice Générale de l’Aménagement, du Logement et de la Nature, soutient la poursuite de cette démarche portée par le Groupement d’Intérêt Ecologique avec l’appui du Plan Bâtiment Durable, afin de faire émerger un cadre commun de référence, appuyé par l’Etat.Un cadre commun de référence pour tracer la voie vers les bâtiments d’après-demainA travers une dynamique collective, l’Etat souhaite inciter les professionnels volontaires à se fixer un cap cohérent par rapport aux objectifs nationaux à moyen et long terme et définir un niveau d’ambition permettant d’élargir l’actuel champ réglementaire de la RE2020.Le cadre commun de référence qui sera proposé par le GIE et le Plan Bâtiment Durable éclairera une voie de progrès que tous, Etat, collectivités, et acteurs de la filière, souhaitent poursuivre pour les bâtiments de demain et d’après-demain. Ce cadre pourra évoluer au fur et à mesure de l’expérimentation et répondra au besoin de soutien à l’innovation et à l’exemplarité des acteurs les plus ambitieux.Les travaux exploreront notamment les différentes voies environnementales identifiées lors de la première phase de concertation afin d’aller au-delà des sujets énergie et carbone de la RE2020 : neutralité carbone, mesure des performances énergétiques effectives, bâtiment qui coopère avec les réseaux, confort et santé, gestion durable de l’eau, économie circulaire et biodiversité.L’ambition est également de positionner ce cadre de référence français sur la scène internationale, en cohérence avec les évolutions règlementaires et initiatives portées au niveau européen, comme Level(s) ou les critères de la taxinomie portés par la Commission européenne.Le GIE et le Plan Bâtiment Durable engagent un travail collectif avec la filièreLa première phase des travaux, qui s’étendra jusqu’à la rentrée 2022, permettra de proposer une gouvernance partagée, associant largement la filière et l’ensemble des acteurs volontaires, notamment ceux présents à l’échelle locale, afin de construire collectivement ce cadre commun.La seconde phase des travaux consistera à poursuivre les travaux techniques en explorant les différentes voies environnementales. Elle s’appuiera notamment sur les travaux déjà menés par les groupes thématiques, mais aussi sur l’expertise et les membres des associations, à l’appui de leur fort ancrage territorial.« L’objectif des travaux du GIE sera de proposer pour le bâtiment une grammaire commune, c’est-à-dire une grille de lecture environnementale du bâtiment, basée sur les travaux déjà menés par nos associations, enrichie de la RE2020, des initiatives territoriales et des réponses issues de la concertation autour du Label RE2020. » Marjolaine Meynier-Millefert Présidente de l’Alliance HQE-GBC France« Afin de répondre aux enjeux climatiques, la RE2020 est une étape structurante pour l'ensemble des acteurs du bâtiment. Pour être à la hauteur des enjeux, nous ne devons cependant pas nous arrêter en chemin : l'émergence du Groupement d'Intérêt Écologique traduit la volonté que nous avons de généraliser les bâtiments à faibles impacts environnementaux et ainsi tracer une voie de progrès collective pour les constructions de demain. C'est une vision ambitieuse mais nécessaire et à laquelle le Collectif Effinergie prendra pleinement part, comme il le fait depuis plus de 15 ans. » Hubert Dejean de la Bâtie, Président du Collectif Effinergie« Le GIE est pour notre Collectif des démarches l'occasion de faire valoir notre ancrage territorial, notre capacité à animer un réseau de professionnels locaux et notre méthodologie spécifique et, qui fait ses preuves : le système participatif de garantie autrement appelé "Certification participative". » Sylvie Détot, Présidente du Collectif des démarches Quartiers et Bâtiments Durables« La réglementation environnementale marque depuis le début de l’année la fin du cycle des réglementations thermiques et transforme nos modes constructifs. Pour accompagner les acteurs les plus ambitieux, nous traçons maintenant un chemin qui va plus loin, en élargissant la dimension environnementale du bâtiment : la large mobilisation des acteurs, lancée par la concertation opérée à l’été 2021 à l’initiative du Plan Bâtiment Durable, traduit une volonté partagée de construire ensemble un référentiel commun de progrès : nous sommes à l’oeuvre ! » Philippe Pelletier, Président du Plan Bâtiment Durable
Il y a 2 ans et 361 jours

Deux acquisitions au Portugal dans la ligne de mire de Saint-Gobain

ACQUISITIONS. Le géant des matériaux de construction, Saint-Gobain, annonce se renforcer au Portugal via l'acquisition de deux sociétés.
Il y a 2 ans et 361 jours

Grand Paris Express : un ouvrier "grièvement blessé" sur un chantier

ACCIDENT. Une enquête doit avoir lieu pour définir les circonstances de ce drame. C'est la troisième fois depuis décembre 2020 qu'un grave accident du travail se produit dans le cadre de ce projet.
Il y a 2 ans et 361 jours

Placé en redressement judiciaire, Geoxia cherche un repreneur

DIFFICULTES FINANCIÈRES. Geoxia a été placé en redressement judiciaire à la suite d'une audience qui s'est tenue le 24 mai. Le spécialiste de la maison individuelle est désormais à la recherche d'un repreneur.
Il y a 2 ans et 361 jours

Sondage : L'incertitude du climat actuel rend les Français plus sédentaires

DÉMÉNAGEMENT. Comment a évolué l'envie de déménagement des Français, au regard des incertitudes qui pèsent sur la situation économique ? L'Officiel du déménagement a commandé un sondage pour en savoir plus.
Il y a 2 ans et 361 jours

Logement neuf : les promoteurs n'ont "pas vu de chiffres aussi mauvais depuis 2012"

CONJONCTURE. La Fédération des promoteurs immobiliers fait état d'une situation "alarmante" au premier trimestre 2022, en termes de commercialisation de logement neufs, dans le collectif notamment. Une situation que le contexte politique, économique et bancaire ne risque pas d'améliorer.
Il y a 2 ans et 361 jours

Les promoteurs immobiliers très inquiets face à l'effondrement des ventes de logements neufs

"La situation est vraiment grave", a déclaré lors d'une conférence de presse le président de la FPI, Pascal Boulanger, "ça continue à aller mal et ça va de plus en plus mal dans les chiffres".Au 1er trimestre 2022, les ventes de logements neufs s’effondrent. La baisse observée en 2021 par rapport à 2019 (2020 n’étant pas représentative) s’accélère. Les ventes totales de logements neufs du 1er trimestre, comparées à celles de la même période en 2021, chutent de plus de 20%.Le nombre de logements mis en vente a lui reculé de quelque 30%, tandis que les prix des appartements ont augmenté de 5,4% en un an.Résultat : l’offre commerciale poursuit sa baisse dramatique entamée fin 2018. Le stock de logements neufs à la vente a diminué d’un tiers depuis 2018 et ne représente plus que 7,7 mois de commercialisation, loin de l’idéal de 12 mois. C’est le niveau le plus bas depuis la création de l’Observatoire (2012)."De mémoire, depuis 2012 nous n'avons jamais eu des chiffres aussi mauvais", a assuré Pascal Boulanger, expliquant cette morosité par trois phénomènes.D'abord "une énorme absence de signatures de permis de construire", la FPI jugeant les maires de plus en plus réticents à délivrer des autorisations. Ensuite "des coûts de construction incontrôlables", le bouleversement des chaînes d'approvisionnement puis la flambée des prix de l'énergie consécutive à la guerre en Ukraine ayant fortement impacté le secteur du bâtiment.Et enfin le "taux d'usure" à partir duquel il est interdit d'octroyer un prêt bancaire. Avec la remontée rapide des taux d'intérêt, de plus en plus de prêts immobiliers sont retoqués car dépassant ce taux, qui n'est réactualisé que tous les trois mois.Pascal Boulanger a dit avoir demandé à la Banque de France et au ministre de l'Economie Bruno Le Maire de passer à une actualisation tous les mois.Pour Pascal Boulanger, Président de la FPI France : « Deux ans après les élections municipales, les logements collectifs n’obtiennent toujours pas de permis de construire en nombre suffisant pour répondre aux besoins des ménages. De ce fait, la faiblesse, toujours plus criante de l’offre commerciale conduit toute une filière vers une crise majeure. C’est d’autant plus regrettable qu’aucun responsable politique ne peut mettre en doute l’aggiornamento écologique effectué par la profession, qui se traduit dans nos réalisations ».
Il y a 2 ans et 361 jours

Immobilier : de la prison requise pour 21 personnes dans une affaire d'escroquerie

JUSTICE. Des anciens légionnaires, des notaires et des cadres bancaires font partie du banc des accusés. Ils risquent jusqu'à six ans d'emprisonnement.
Il y a 2 ans et 361 jours

DPE critiqué : la profession reconnaît que la situation est "inacceptable"

RÉACTION. La Chambre des diagnostiqueurs immobiliers de la Fnaim réagit à l'article de l'association "60 millions de consommateurs" critiquant le diagnostic de performance énergétique (DPE). Et appelle à l'homogénéisation des pratiques par un meilleur encadrement des acteurs.
Il y a 2 ans et 361 jours

Projet de loi pouvoir d’achat : les indépendants et dirigeants de TPE pourtant en grande précarité seront-ils une fois de plus oubliés ?

Aucune des aides versées n’avait pour objet ou pour effet de s’attacher à la personne du chef d’entreprise et de sa rémunération. Et donc aussi, garantir la sauvegarde de l’outil de production…Marc Sanchez, Secrétaire général du Syndicat des Indépendants (SDI) déclare : « Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire, à l’issue d’une réunion avec les organisations patronales relative au pouvoir d’achat, estimait hier que toutes les entreprises ne pouvaient être tenues aux mêmes obligations.De fait, à l’issue de deux années de crise sanitaire désormais prolongée en crise économique, notre enquête met à jour un phénomène grandissant quels que soient les secteurs d’activité, la précarité financière personnelle grandissante qui frappe près de la moitié des travailleurs indépendants et des dirigeants de petites entreprises françaises.C’est à juste titre que le gouvernement considère la question du pouvoir d’achat des Français comme prioritaire. Cette question est bien celle des Français et plus seulement des salariés. Ce qui signifie que ceux qui créent des entreprises, qui recrutent, qui participent largement à la richesse de ce pays sont impactés, entravés, parfois laminés.Les premières propositions visant à d’alléger de 48 euros/mois les charges du dirigeant, déjà évoquées à la fin du premier quinquennat, doivent être reconsidérées. Inviter chacun à devenir un entrepreneur se heurte à la véritable question que pose la période : hors salariat, peut-on encore vivre de son travail ? C’est pourquoi le SDI formule des propositions complémentaires, en responsabilité, dont la majeure partie ne grève pas le budget de l’État.»Pour lire l'enquête du SDI : cliquez iciPrincipaux enseignements de l’enquête du SDIPrès de la moitié des indépendants et dirigeants de TPE travaillent près de 50H/semaine pour moins d’un SMIC mensuelSelon l’enquête menée par le SDI auprès de 1657 artisans, commerçants, professionnels libéraux et dirigeants de très petites entreprises, 44% des entrepreneurs individuels (hors microentrepreneurs) se rémunèrent moins d’un SMIC mensuel pour un temps de travail hebdomadaire proche de 50 heures.Une baisse de pouvoir d’achat prononcée depuis le début de l’année 2022L’année 2022 a vu de nombreux dirigeants et indépendants baisser leur rémunération (déjà faible) pour s’acquitter des dépenses essentielles au fonctionnement de leur entreprise et payer les salaires de leurs salariés.Au cours du premier trimestre 2022, 53% d’entre eux constatent une baisse de pouvoir d’achat de 10% à 30%.De fait, ils amortissent en partie les hausses tarifaires imposées par les fournisseurs sur leurs marges, et donc, in fine, sur leurs rémunérations.Le déclenchement du remboursement des 61Mds€ de dettes CovidCette conjoncture très défavorable intervient au pire moment, lorsqu’ils doivent commencer à rembourser les 61Mds€ de dettes accumulées sur les deux dernières années sous forme de PGE (Prêt Garanti par l’État) et de report de charges URSSAF.Afin d’amortir la descente vers la grande précarité et son installation, le SDI propose des actions simples pour libérer de la trésorerie sans impacter les finances publiques :Le gel de l'indice des loyers commerciaux.La suppression de la répercussion sur le locataire commercial du paiement de la taxe foncière due par le bailleur.L'allongement de droit de la durée de remboursement du PGE d'au moins deux années.L'étalement du paiement des charges personnelles URSSAF 2021 des dirigeants sur 12 à 36 mois.En dernier lieu, et bien que cette proposition présente un coût budgétaire, en l'occurrence temporaire, le SDI propose l'extension aux TPE du bouclier tarifaire énergétique. Une nouvelle feuille de route pour les indépendantsDans le prolongement de la nomination du nouveau gouvernement, Marc Sanchez, Secrétaire général du SDI, déclare : « La nouvelle équipe gouvernementale dirigée par Elisabeth Borne vient enfin d’être constituée après plusieurs semaines de ce qui est apparu comme une vacance, sinon une carence du pouvoir. Les sujets à traiter à moyen-long terme du point de vue des professionnels indépendants et dirigeants de TPE figurent dans la Feuille de route du SDI. L’urgence quant à elle commande de prendre à bras le corps la problématique du pouvoir d’achat, certes des consommateurs, mais aussi celle des 6 millions de responsables de TPE dont 44% survivent avec des ressources inférieures au SMIC. Le SDI veillera en conséquence à la prise en compte de celles et ceux qui travaillent 50H/semaine et versent les rémunérations perçues par 4 millions de salariés, trop souvent au détriment de leur propre rémunération ».Pour lire la nouvelle Feuille de route du SDI : cliquez ici
Il y a 2 ans et 361 jours

Restauration du œuvre monumentale contemporaine : le Cyclop

La restauration du Cyclop, œuvre monumentale, véritable utopie artistique, donnée par Jean Tinguely à l’État en 1987, a été un véritable challenge. L’œuvre est née de la participation de 15 artistes, elle est faite de 350 tonnes de métal recyclé, 62 000 tesselles de miroir, mesure 22,5 mètres de hauteur, érigée de 1969 à 1994. Y ont particippé Niki de Saint Phalle, Eva Aeppli, Arman, César, Spoerri, Jean-Pierre Raynaud ou Jesús-Rafael Soto… Béatrice Salmon, directrice du Cnap, donne les éléments de cette restauration hors normes, extraits de l’article du site du Ministère de la Culture : La Face aux miroirs de Niki de Saint Phalle apparaît comme l’enjeu majeur de cette restauration… Cette pièce emblématique a été conçue tardivement : il a fallu que toute la structure du Cyclop soit dessinée pour trouver cette formule magique autour du traitement du visage, en l’occurrence, cette idée magnifique de Niki de Saint Phalle : concevoir une mosaïque de miroirs qui a pour effet de faire disparaître le monstre dans la forêt. Grâce à cet effet de miroitement, il absorbe son environnement et, par voie de conséquence, disparaît lui-même. De fait, la question du traitement de la Face aux miroirs était sur le métier depuis plusieurs années. Des études ont été faites pour comprendre les raisons de l’altération des miroirs – ils avaient en effet perdu leur tain, tombaient… – et trouver des solutions pour que cela ne se reproduise plus à l’avenir. Cela a pris du temps et mobilisé les compétences les plus pointues, à commencer par celles de l’Institut national du patrimoine et du Laboratoire de Recherche des Monuments Historiques. Nous avons également bénéficié de l’expertise de Saint-Gobain. Une fois au pied du mur, il a fallu inventer une nouvelle manière de travailler pour être au plus près du calepinage original. Nous y sommes parvenus grâce au talent de l’équipe de restaurateurs conduite par Philippe de Viviés, qui a transféré des méthodes utilisées dans le domaine des antiquités avec des empreintes au latex des miroirs existants pour pouvoir au millimètre près reproduire les mêmes coupes et avoir ce même travail d’échelle. Un relevé 3D de la tête a même été réalisé… Cette surface est particulièrement mouvementée. Si on hésite entre sculpture et architecture pour qualifier l’œuvre dans son ensemble, la dimension sculpturale de la tête, en revanche, ne fait aucun doute. Il y a notamment tout à coup des animaux qui viennent se glisser dans cette morphologie de la face. Tout cela est très facétieux de la part de Niki de Saint Phalle, le relief est d’une grande complexité, d’où le travail extrêmement utile réalisé par l’entreprise 3DO Reality Capture qui a procédé à ce relevé 3D. Au total, c’est 325 m2 de miroirs posés, auxquels il faut ajouter les pertes. Quand bien même une équipe formidable de personnes spécialistes du travail du verre était à l’œuvre et préparaient dizaines de centimètres carrés par dizaines de centimètres carrés les nouveaux miroirs découpés, ce travail supposait naturellement un peu de perte. Retrouvez tout le descriptif de ce chantier dans le site du Ministère de la culture… Photo : Jean Tinguely « Le Cyclop », 1969-1994 FNAC 95419 Donation Jean Tinguely, Niki de Saint Phalle à l’Etat en 1987 / Centre national des arts plastiques © Adagp, Paris, 2022 / Cnap / Crédits photo : Camille Verrier  
Il y a 2 ans et 361 jours

Intérêt patrimonial majeur pour le modèle réduit de la statue équestre de Louis XIV

Initialement destinée à Nantes, la statue équestre de Louis XIV créée par Antoine Coysevox (1640-1720) a été finalement accueillie le 6 juillet 1726 par Rennes sur la nouvelle place du Palais (aujourd’hui place du Parlement). D’une hauteur d’environ 4 mètres, elle reposait sur un piédestal de 3 mètres de hauteur, orné de chaque côté de reliefs en bronze du même sculpteur. Cette statue a été démontée en 1793 et fondue pour réaliser des canons, à l’exception des deux reliefs latéraux en bronze qui sont conservés au Musée des beaux-arts depuis sa fondation en 1801. Conservée depuis plus d’un siècle dans une collection aristocratique britannique, la réduction en bronze est aujourd’hui l’unique témoignage en volume de l’œuvre monumentale de Coysevox. D’une hauteur de 94 cm, elle repose sur un piédestal de 120 cm qui date du XIXe siècle. En octobre 2019, la Commission consultative des trésors nationaux du ministère de la Culture a rendu un avis favorable à la reconnaissance de la sculpture comme « œuvre d’intérêt patrimonial majeur ». Cette qualification témoigne de la valeur artistique exceptionnelle de la statue et permet notamment à des musées de France territoriaux d’acquérir des biens culturels, en mobilisant le dispositif fiscal de l’article 238 bis 0A du code général des impôts. Cet article prévoit que le financement par une entreprise de l’acquisition d’un bien culturel reconnu « d’intérêt patrimonial majeur » au profit d’une collection publique ouvre droit à celle-ci à une réduction de son impôt sur les sociétés égale à 90% du montant du versement effectué, dans la limite de 50% de l’impôt dû. Le Groupe Norac, a participé a l’achat du modèle réduit comme mécène. Le Musée des beaux-arts de Rennes devient ainsi, après ceux de Lyon, de Montpellier et le musée de Grenoble, l’un des musées de France en région à bénéficier du dispositif. Il intègre dans ses collections l’œuvre d’un artiste majeur pour l’histoire de l’art et exceptionnelle par sa rareté, sa qualité artistique et ses dimensions. Photo : Ministère de la Culture – Alexis Komenda  
Il y a 2 ans et 361 jours

Comment réussir ses projets BIM, à l’aide d’espaces de gestion de contenu dédiés?

Il arrive encore souvent que les projeteurs BIM réalisent leurs maquettes et gèrent leurs contenus de leur côté, sans échanger avec les autres intervenants dans un même projet. On constate alors un réel problème de diffusion des bonnes pratiques dans les projets BIM de l’entreprise. Chaque projet est également unique dans le monde du bâtiment, ce qui complique alors la capitalisation d’un projet à un autre, et engendre de la même manière une baisse de productivité des équipes. Et si les chargés de projets BIM avaient accès à un espace par projet dans leurs bibliothèques d’objets, pour répondre à ces enjeux ? Retrouvez Rémy Maurcot le jeudi 21 juin à 11h, pour tout savoir sur les espaces projets ! Inscrivez-vous sous ce lien.
Il y a 2 ans et 361 jours

Lancement du prix Femmes Architectes, édition 2022

Les candidatures sont ouvertes jusqu'au 15 juillet pour la dixième édition du prix des Femmes architectes, organisé par l'association Arvah avec le soutien du Pavillon de l'Arsenal. (Photo de l'édition 2019 © Arvah)