Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

261675 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 5 jours

La qualité à l'épreuve des crises

Les logements sociaux neufs doivent prendre en compte le confort thermique, l'usage et la performance environnementale. Et composer avec un contexte inédit de baisse de financements et de flambée des coûts.
Il y a 3 ans et 5 jours

comment les solutions de personnalisation cheminees poujoulat embellissent l experience chauffage des utilisateurs

L’envie d’embellir son intérieur et de le personnaliser est une tendance profonde chez les consommateurs. Que ce soit en neuf ou en rénovation, ils sont à l’écoute et en recherche de solutions pour améliorer leur habitat. L’installation de chauffage n’échappe pas à cette tendance, et la gamme de solutions et accessoires de personnalisation développée par Cheminées Poujoulat ne devrait pas être pour leur déplaire.
Il y a 3 ans et 5 jours

comment faire son bilan carbone avec les produits kp1

KP1 a toujours été engagé dans une démarche environnementale en proposant des systèmes préfabriqués en béton précontraint, synonymes de frugalité : moins de béton, moins d’aciers, moins de carbone. Notre stratégie environnementale est de réduire de 50 % notre impact carbone à horizon 2031. Cet objectif répond aux évolutions sociétales actuelles en matière d’empreinte carbone et va au-delà des exigences fixées par le calendrier de la Réglementation Environnementale (RE 2020).
Il y a 3 ans et 5 jours

drv photovoltaique actif une nouvelle solution pour les batiments tertiaires

Hitachi lance la solution DRV Photovoltaïque Actif en partenariat avec FHE, expert en régulation photovoltaïque, pour répondre aux enjeux de la transition énergétique des bâtiments. La solution DRV Photovoltaïque Actif est une innovation performante qui allie ENR, haute efficacité et régulation intelligente.
Il y a 3 ans et 5 jours

Feu vert pour la nomination de Castex à la RATP, retour aux fondamentaux

Entendu mardi soir par la commission de l'aménagement du territoire du Sénat puis mercredi matin par celle du développement durable de l'Assemblée, M. Castex a recueilli 52 voix des parlementaires contre 27. Sa nomination au poste de PDG de la Régie doit maintenant être confirmée en Conseil des ministres."Ma priorité des priorités, c'est le coeur de métier, et le cœur de métier, c'est répondre aux attentes des usagers" en Ile-de-France où la RATP a actuellement du mal à faire circuler correctement ses bus et ses métros, a-t-il déclaré.La première difficulté, "l'ugence absolue", "c'est celle de la continuité et de la qualité du service", a-t-il reconnu. La faute à une pénurie de conducteurs due à des difficultés de recrutement et à un fort absentéisme. Il se donne trois semaines pour établir un "diagnostic partagé" et "trouver des outils supplémentaires" pour rétablir la situation, avec un "enjeu de qualité de vie au travail".M. Castex entend en particulier accroître la présence humaine au contact des voyageurs, et "humaniser au maximum (le) service".Concernant les salaires, il entend anticiper l'ouverture des négociations annuelles obligatoires (NAO) avec les syndicats dès sa prise de fonction. Les agents ont déjà bénéficié d'une hausse moyenne de 5,2% des rémunérations cette année, a-t-il remarqué à la veille d'une grève qui s'annonce très suivie.Plus généralement, les priorités du prochain patron de la RATP seront la ponctualité, la régularité, la propreté, la sécurité, la lutte contre la fraude, la qualité de l'information donnée aux voyageurs et la modernisation de la billettique.Le credo de l'ancien Premier ministre sera "écoute, concertation, proximité", a-t-il ajouté.Parler à Christophe BéchuJean Castex compte en particulier faire "un état des lieux très précis de ce qui marche, de ce qui ne marche pas" avec Ile-de-France Mobilités (IDFM), l'autorité régionale des transports présidée par Valérie Pécresse.Parmi les "difficultés" qui attendent le futur PDG de la RATP, proposé par Emmanuel Macron, M. Castex a aussi cité l'envolée de la facture d'électricité, qui devrait passer de 210 millions d'euros l'an dernier à environ 265 millions cette année et atteindre entre 480 et 550 millions l'an prochain."Il va falloir voir (...) quelles solutions peuvent être trouvées avec IDFM et avec l'Etat", a-t-il noté.A ce propos, M. Castex a précisé qu'il parlerait de concurrence au gouvernement avec le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu, puisque la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique lui a interdit d'aborder cette question particulière avec des ministres qui étaient dans son gouvernement -- ce qui n'était pas le cas de M. Béchu.Quant à l'important développement des filiales de la RATP, hors d'Ile-de-France et dans de nouveaux secteurs, ces dernières années, M. Castex est moins enthousiaste."La diversification des activités est importante, elle fait sens, mais en aucune manière elle ne doit nous détourner de notre mission première et fondamentale", a-t-il remarqué.En clair: la priorité est désormais de faire fonctionner la RATP en Ile-de-France, et la Régie devrait "recentrer" son action hors de son domaine historique, par exemple en se concentrant sur les métros automatiques, selon lui.Jean Castex, qui est depuis le 18 août président de l'Agence de financement des infrastructures de transport de France (Afit), souhaite "se rendre utile pour la Nation"."Je ne cherche pas à être recasé. (...) Quand on veut recaser des amis c'est plutôt dans des sinécures. Je ne suis pas certain que ce soit le cas", a-t-il lancé, rappelant qu'il est passionné de transports et qu'il avait été en 2019 candidat pour diriger la SNCF. "Les défis ne manquent pas et ça me motive beaucoup."Et s'il ne veut plus faire de politique, M. Castex a insisté sur la nécessité d'investir dans les transports publics.
Il y a 3 ans et 5 jours

Députés et sénateurs trouvent un compromis sur le projet de loi assurance-chômage

Le compromis trouvé mercredi en commission mixte paritaire devra être encore voté dans les deux chambres, le 15 novembre à l'Assemblée et le 17 au Sénat, pour être définitivement adopté.Ce texte permet au gouvernement de décider jusqu'à la fin 2023 des règles d'indemnisation de l'assurance chômage par décret en lieu et place des partenaires sociaux.Dans un premier temps, il prolonge les règles actuelles de l'assurance chômage, issues d'une réforme contestée du premier quinquennat Macron et qui sont arrivées à échéance le 1er novembre. Un décret a été pris en ce sens par anticipation fin octobre.Le projet de loi enclenche aussi la possibilité, par décret, de moduler certaines règles d'assurance chômage (comme la durée d'indemnisation ou les conditions d'ouverture de droit) en fonction de la situation du marché du travail, promesse de campagne d'Emmanuel Macron.Bien que les syndicats y soient unanimement opposés, une concertation est en cours avec les partenaires sociaux jusque fin novembre, le gouvernement souhaitant faire appliquer cette modulation début 2023."L'accord trouvé par les députés et les sénateurs est une bonne nouvelle pour notre objectif de plein emploi. Nous poursuivons les concertations avec les partenaires sociaux pour de nouvelles règles d'assurance chômage plus adaptées à la conjoncture", s'est félicité sur Twitter le ministre du Travail Olivier Dussopt.Pour arriver à cet accord, la majorité a dû accepter un durcissement du texte des sénateurs LR auquel le ministre était initialement opposé.Désormais, deux refus en un an d'un CDI après un CDD ou un contrat d'intérim sur le même poste, le même lieu avec la même rémunération entraîneront la perte de l'indemnisation chômage. Ce sera à l'employeur d'en informer Pôle emploi."Risque d'usine à gaz""Le gouvernement n'en voulait pas, mais nous n'avons pas plié", a déclaré à l'AFP la rapporteure du texte au Sénat Frédérique Puissat (LR).Dans une récente interview à Ouest France, Olivier Dussopt y voyait pourtant des "risques"."Le premier est d'inciter des demandeurs d'emploi à ne pas accepter des contrats courts ou des missions d'intérim de peur finalement d'être enfermés dans un emploi qu'ils auraient pris pour des raisons alimentaires (...) La deuxième raison est qu'un salarié qui est allé au bout de l'engagement contractuel qu'il a signé, n'a pas à être sanctionné", avait-il jugé.Le rapporteur à l'Assemblée Marc Ferracci (Renaissance) a souligné avoir "accepté la mesure dans un souci de compromis", mais pense qu'il y a un risque "d'usine à gaz"."Est-ce que les employeurs vont s'engager dans la démarche (pour pointer les refus de CDI, ndlr)?", s'est interrogé le député, qui a "un gros doute sur la faisabilité".En outre, les agents du contrôle à Pôle emploi devront vérifier si le CDI refusé rentre dans les "offres raisonnables d'emploi" définies par le demandeur d'emploi avec son conseiller (zone géographique de recherche, salaire et temps de travail attendu, etc...). En cas de deux refus d'offres raisonnables, l'allocation peut déjà être supprimée."Mais cette règle n'est pas appliquée", souligne Eric Chevée de la CPME (petites et moyennes entreprises), sceptique "sur l'appropriation de ce nouveau dispositif par Pôle emploi".Côté syndical, la CGT est "totalement opposée à cette sanction". "Même Dussopt avait dit que cela remet en cause la liberté d'accepter un contrat ou non", a réagi auprès de l'AFP le négociateur du syndicat Denis Gravouil. "On n'arrive pas à juguler le fait que des entreprises enchaînent les CDD, il ne peut pas y avoir deux poids deux mesures", a renchéri son homologue de la CFE-CGC Jean-François Foucard pour qui cette mesure "est de la communication".
Cimbat
Il y a 3 ans et 5 jours

A Toulouse, le MEETT signé OMA avec PPA et TAA

Situé au nord de Toulouse (Haute-Garonne), le MEETT, le nouveau parc des expositions et centre de conventions de Toulouse, réalisé pour EUROPOLIA maître d’ouvrage et conçu par l’architecte Rem Koolhaas (cabinet OMA), avec PPA Architectures & Taillandier Architectes, a été livré en juillet 2020. Un projet lauréat des Trophées Eiffel 2022 dans la Catégorie « […] L’article A Toulouse, le MEETT signé OMA avec PPA et TAA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 5 jours

Retraites : une ouverture se dessine sur la pénibilité

Après quatre semaines de discussions sur "l'usure professionnelle" et l'emploi des seniors, les partenaires sociaux "convergent sur certaines évolutions proposées par le gouvernement", indique ainsi le ministère du Travail dans un "relevé de discussions" envoyés mardi soir aux 11 organisations reçues dans le cadre de cette concertation.C'est notamment le cas du "déplafonnement" du C2P. Actuellement, les salariés exposés à certains risques (travail de nuit, bruit, températures extrêmes...) accumulent des points - 100 au maximum - qui sont le plus souvent utilisés pour partir en retraite plus tôt - deux ans maximum.Un consensus se dégage donc pour relever ce quota de points, mais aussi pour une "meilleure valorisation de la poly-exposition" (plusieurs risques simultanés), ou encore pour financer via le C2P "une reconversion après une certaine période d'exposition".La porte s'est même entrouverte à un retour de trois facteurs de risques supprimés il y a cinq ans (port de charges lourdes, postures pénibles, vibrations mécaniques).Mais ce revirement revendiqué par les organisations de salariés, CFDT en tête, ne se ferait pas sur la base de critères communs à tous les travailleurs, en raison de "la difficulté de réaliser un suivi individuel", explique le ministère.L'idée serait plutôt "d'identifier des métiers, tâches ou situations de travail susceptibles d'être exposées" et de renvoyer ce travail aux différentes branches professionnelles, qui "semblent avoir un rôle déterminant et pourraient constituer le bon niveau pour la réflexion".D'autres points d'accord ont émergé de ce premier round de concertation, en particulier sur le maintien du dispositif "carrières longues", qui permet un départ à 60, voire 58 ans pour ceux qui ont commencé à travailler avant 20 ans. "Le principe d'accorder un avantage" à ceux qui ont débuté jeunes et cotisé assez longtemps "est partagé", assure le ministère.Même assentiment général en faveur du cumul emploi-retraite, de la retraite progressive ou encore de "l'accès des seniors à la formation professionnelle". La piste d'un "index seniors" pour lutter contre les discriminations liées à l'âge, avancée par le gouvernement, a en revanche "suscité des questions et des réserves".Ce bilan d'étape a également été présenté aux représentants des groupes parlementaires, reçus mercredi par le ministre Olivier Dussopt - à l'exception des députés et sénateurs LR, qui n'ont pas répondu à l'invitation.Les discussions avec les partenaires sociaux se poursuivront sur le thème "équité et justice sociale" à partir de la semaine prochaine. Un intitulé qui recouvre notamment les sujets des petites pensions, de l'égalité femmes-hommes et des régimes spéciaux. La CGT, qui avait boycotté le premier cycle – en raison des réquisitions dans les raffineries - y fera son retour à la table des négociations.
Il y a 3 ans et 5 jours

Les artisans du bâtiment sous la pression de l’inflation et des délais d’approvisionnement

La Capeb dresse un état des lieux trimestriel mitigé pour les artisans du bâtiment. Le prix des matériaux a grimpé de 26 % depuis janvier....-Artisans
Il y a 3 ans et 5 jours

Chantiers au Qatar : Vinci Construction Grands Projets mis en examen

Convoquée par un juge d'instruction de Nanterre ce mercredi 9 novembre, la filiale de Vinci est notamment inculpée pour "conditions de...-Entreprises
Il y a 3 ans et 5 jours

Un accompagnement à la transition écologique pour les industriels du béton

ENTREPRISES. Le Centre d'études et de recherches de l'industrie du béton (Cerib) propose un accompagnement aux entreprises de la filière pour leurs démarches en matière de santé-sécurité, d'environnement et de RSE (responsabilité sociétale des entreprises). Une convention a été signée avec l'Afnor pour préparer une labellisation spécifique.
Il y a 3 ans et 5 jours

La laine à souffler Jet Rock 2 de chez Rockwool - L'avis d'un artisan Point.P

La laine de roche à souffler Jetrock 2 de Rockwool est destinée à l'isolation thermo-acoustique de combles perdus par soufflage mécanisé. Sa conductivité thermique est de 0,044 W/m.K. Elle présente l'un des meilleurs lambda du marché !
Il y a 3 ans et 5 jours

MasterSure 1400, nouvel adjuvant à long maintien de maniabilité

Master Builders Solutions présente MasterSure 1400, un nouvel adjuvant à long maintien de maniabilité. [©Master Buildres Solutions] Afin d’anticiper sur les évolutions des ciments et des bétons, Master Builders Solutions lance MasterSure 1400. Ce nouvel adjuvant à long maintien de maniabilité et à effet fluidifiant progressif sans ajout d’eau est destiné au BPE et aux bétons de génie civil. « « Face à l’accélération de l’utilisation de nouveaux ciments, complexes, bas carbone et suite aussi à l’entrée de l’application de la RE 2020, Master Builders Solutions a souhaité répondre avec réactivité à ces évolutions qui impactent parfois de manière brutale nos clients », explique Thibault Guédon, chef de marché BPE chez Master Builders Solutions. Des polymères excusifs La formulation du MasterSure 1400 lui permet de réagir de manière progressive. Ainsi, l’entreprise qui l’utilise peut ajuster de manière précise la maniabilité de son béton en fonction de ses besoins. Ce nouveau produit est conforme à la norme NF EN 934-2+A11. Les polymères exclusifs Master Builders Solutions sélectionnés et combinés dans le MasterSure 1400 n’agissent pas tous tout de suite, leur action fluidifiante s’échelonnant. Ils s’adsorbent au fur et à mesure sur les particules du liant. Cet adjuvant s’incorpore simplement dans l’eau de gâchage et évite les ajouts d’eau (interdits par ailleurs). Son étendue de dosage est de 0,3/0,4 % en synergie avec un autre plastifiant ou superplastifiant, à 1,5 % en mono-produit. Grâce à ces propriétés, il évite le recours à des retardateurs de prise et confère donc de bonnes résistances mécaniques à jeune âge. Il contribue aussi à l’amélioration de l’aspect esthétique du béton. 1La présente norme européenne fixe les définitions et les exigences pour les adjuvants utilisés dans les bétons. Elle s’applique aux adjuvants pour bétons non armés, armés et précontraints utilisés dans les bétons fabriqués sur chantier, prêts à l’emploi et préfabriqués.
Il y a 3 ans et 5 jours

Les acteurs de l’eau prêts pour la planification

Les acteurs de l’eau s’engagent avec espoir dans la préparation de la planification écologique. Ce constat ressort de la réunion des...-Collectivités locales
Il y a 3 ans et 5 jours

Hexaom maintient son chiffre d'affaires, mais les commandes sont en baisse

RÉSULTATS. Le premier constructeur français de maisons individuelles affiche un CA en hausse au troisième trimestre et sur les neuf premiers mois de l'année. Les prises de commande pâtissent, en revanche, du contexte économique.
Il y a 3 ans et 5 jours

Les énergies renouvelables, une cagnotte pour les caisses de l'État en 2022 et 2023

DÉCRYPTAGE. L'ensemble des filières ENR devrait rapporter un beau montant de recettes cumulées au budget de l'État au titre des exercices 2022 et 2023, indique la Commission de régulation de l'énergie (CRE). L'éolien terrestre et le solaire photovoltaïque en seront les plus gros contributeurs.
Il y a 3 ans et 5 jours

Équerre d’argent 2022: Les membres du jury

C’est Jacques Lucan, historien et théoricien de l'architecture, ancien rédacteur en chef d’AMC, qui présidera le jury de l'Équerre d'argent 2022. Il siègera aux côtés d'anciens lauréats, rassemblés à l'occasion de cette quarantième édition, et accompagnés de l'architecte […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 5 jours

HomeServe s'attaque au marché de la rénovation énergétique

ACQUISITION. Le spécialiste des réparations, des travaux et de l'entretien de la maison, Homeserve, annonce l'acquisition d'EnergyGo, un expert dédié aux solutions de la rénovation énergétique globale. Avec cette opération, Homeserve fait son entrée sur un nouveau marché.
GDA
Il y a 3 ans et 5 jours

GESTION DES EAUX PLUVIALES

L'été 2022 a mis chacun face à la question du stress hydrique mais aussi face aux enjeux des fortes quantités à gérer en très peu de...-Vie du BTP
Il y a 3 ans et 5 jours

Les énergies renouvelables vont apporter 31 milliards d'euros à l'Etat en 2022 et 2023

Le gendarme de l'énergie, qui en juillet estimait ce montant à 8,6 milliards d'euros, a revu ses prévisions à la hausse, à la faveur de la montée des prix de marchés de l'électricité. "La CRE prévoit, dans les conditions actuelles de prix de gros, que toutes les filières d'énergies renouvelables en métropole continentale représenteront des recettes pour le budget de l'Etat", note-t-elle.Dans cet ensemble, l'éolien apporte l'essentiel des recettes, à hauteur de 21,7 milliards d'euros, la filière photovoltaïque pour 3,5 milliards,la filière hydraulique pour 1,7 milliard, et le biométhane injecté dans les réseaux de gaz pour 0,9 milliard.La France doit cette situation favorable à l'existence depuis 2003 d'un mécanisme de soutien aux renouvelables particulier: l'Etat garantit un certain niveau de prix d'achat de l'électricité aux opérateurs d'énergies renouvelables, qui en revanche reversent la différence quand les prix du marché dépassent ce prix garanti - ce qui est le cas aujourd'hui.A ce rythme, le secteur des énergies renouvelables devrait ainsi avoir remboursé prochainement tout ce qu'il a reçu depuis vingt ans. Ces recettes pour le budget de l'Etat contribueront à financer les boucliers tarifaires et amortisseurs destinés à protéger consommateurs et entreprises de la flambée des prix de l'énergie, rappelle la CRE.Mais alors que le contexte des prix de marchés est plus favorable aux producteurs, la CRE alerte aussi mardi sur les résiliations anticipées de ces contrats de soutien par certains producteurs d'EnR: en juillet, ces demandes de résiliation concernaient une puissance installée cumulée de 1,3 gigawatt (GW) ; à fin septembre, ce volume dépassait 3,7 GW.Ces annulations entraîneront une perte cumulée de 6 à 7 milliards d'euros pour l'Etat sur 2022 et 2023, estime à ce stade la CRE."Ces installations n'ont pu être développées que grâce au soutien financier de l'Etat dont elles ont bénéficié sur des durées généralement supérieures à 10 ans. Il est tout à fait anormal que les producteurs concernés sortent des contrats garantis par l'Etat à quelques années de leur échéance pour profiter des prix de gros élevés", ajoute la commission, qui recommande de renforcer la taxation des rentes infra-marginales prévues par l'UE pour ces installations.
Il y a 3 ans et 5 jours

Tout savoir sur la RE2020 dans le mini-magazine dédié, réalisé par REHAU

En tant qu'industriel, Rehau a voulu donner aux architectes et bureaux d'études des réponses concrètes pour relever les défis de la RE2020. Objectifs, vision d'architecte, menuiseries... Téléchargez cet outil pratique dès maintenant !Découvrez en plus sur l'article de blog de RehauTélécharger le mini-magRetrouvez dans ce mini-mag un condensé d’informations clés : Le rappel des défis et enjeux de la RE2020 ; Les solutions et l’engagement de REHAU pour des menuiseries toujours plus éco-efficientes ; L’avis de T. Boutin, architecte, sur les premiers mois d’application de la règlementation.
Il y a 3 ans et 5 jours

Les artisans du bâtiment portés par la rénovation dans un contexte de plus en plus tendu

Au troisième trimestre, l'activité a progressé de 2% par rapport à la même période de 2021, selon les estimations de la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb).Un ralentissement par rapport aux 3% du deuxième trimestre et aux 3,5% du premier, qui alimente des incertitudes de la Capeb pour la seconde moitié de l'année 2023."Il y a un effet de cycle de toutes façons, qui après la Covid se traduit par un ralentissement, puisque post-Covid, en 2021, on a eu un rattrapage très important, donc cet effet-là s'est un peu aplani et on est revenu à une situation normale", a développé en conférence de presse Alain Chouguiat, directeur des affaires économiques de la Capeb.Comme depuis la mi-2021, c'est l'entretien-rénovation qui croît plus rapidement que l'activité dans la construction neuve (2% contre 1,5%), à l'inverse de la tendance qui prévalait avant la pandémie.Les travaux de rénovation énergétique, encouragés par l'Etat à travers des aides comme MaPrimeRénov' et un calendrier contraignant pour les propriétaires-bailleurs, ont particulièrement progressé, de 4% sur un an.En vertu de la loi Climat et résilience, les logements les plus énergivores vont être progressivement interdits à la location à partir de 2023. L'objectif est d'accélérer la rénovation énergétique des bâtiments, qui avec leur usage représentent plus d'un quart des émissions de gaz à effet de serre de la France.L'inflation, portée par les prix de l'énergie, continue de peser sur le secteur qui y est sensible. Ainsi, 89% des artisans ont déclaré l'avoir répercutée, au moins en partie, sur leurs tarifs depuis le début de l'année, en particulier les menuisiers-serruriers, les maçons et les électriciens.Les défaillances d'entreprises ont bondi de plus de 50%, du fait de l'arrêt des prêts garantis par l'Etat (PGE) octroyés pour faire face à la pandémie. Mais il continue d'y avoir plus de créations que de défaillances."Il y a des entreprises qui sont plus fragilisées, indépendamment du PGE, et qui ne sont pas armées pour faire face à des problèmes de trésorerie, d'organisation nouvelle...", a ajouté Alain Chouguiat.Pour la CAPEB, la croissance ralentit dans un contexte de plus en plus tenduLa croissance de l’activité de l’artisanat du bâtiment se poursuit, toujours tirée par les travaux en entretien-rénovation dont l’activité croît plus vite que celle de la construction neuve pour le sixième trimestre consécutif.L’activité d’entretien-rénovation progresse ainsi de 2%, grâce essentiellement aux travaux d’amélioration de performance énergétique des logements, dont le dynamisme ne faiblit pas et présente toujours une croissance en volume de 4% par rapport au troisième trimestre 2021.Quant à la construction neuve, son activité évolue plus lentement avec une croissance de 1,5% en volume. Si les logements autorisés à la construction continuent leur progression (+14% sur les 12 derniers mois à fin août 2022), les mises en chantier ne suivent pas avec une progression de 0,5% sur la même période.L’artisanat du bâtiment confirme ce trimestre un bon niveau des carnets de commandes qui devrait ainsi se traduire par une poursuite de la croissance en volume sur la fin de l’année (99 jours de travail à venir à début octobre 2022). Ce trimestre, les disparités régionales sont moins marquantes. Les différentes régions enregistrent une variation du niveau d’activité de l’artisanat du bâtiment en volume comprise entre +1,5% et +2,5% par rapport au troisième trimestre de l’année dernière. De plus, à l’exception de l’Île-de-France qui conserve le même rythme de croissance, toutes les régions voient ce rythme ralentir par rapport au deuxième trimestre 2022. Le ralentissement le plus marquant concerne la région Nouvelle Aquitaine avec une croissance de +1,5% ce trimestre soit une perte de vitesse de 2,5 points par rapport au deuxième trimestre 2022.Parmi les différents corps demétiers également, le ralentissement de la croissance est quasi général, à l’exception des travaux de maçonnerie pour lesquels la croissance reste stable. Certains ralentissements sont cependant plus importants que d’autres, notamment pour les travaux d’électricité qui voient leur croissance s’établir à +2% ce trimestre par rapport au troisième trimestre 2021, contre +4% au deuxième trimestre 2022.La tension sur les prix demeure présente et affecte toute la filière, se traduisant par une augmentation des coûts de la construction qui enregistrent au deuxième trimestre 2022 une augmentation de 8,0% sur un an (INSEE). Les indices de prix ont fortement grimpé pour plusieurs matériaux de construction, tout comme le cours de certains métaux. Le cours du zinc, notamment, a augmenté de 21,2% entre août 2021 et août 2022. L’indice de prix des « Autres produits minéraux non métalliques », qui inclut les tuiles et briques, souffre de l’accroissement du coût de l’énergie (+15,8% entre août 2021 et août 2022), tout comme les produits de la sidérurgie (+28,5%).Ces hausses se répercutent sur le prix des travaux en entretien amélioration (INSEE), particulièrement en plomberie (+12,4% entre le deuxième trimestre 2022 et le deuxième trimestre 2021), et en menuiserie (+13,2%). Par ailleurs, une proportion toujours importante d’entreprises fait état de besoins en trésorerie (15% à fin octobre 2022) pour un montant moyen de 22.000 € (en hausse de 2.000 € par rapport au précédent trimestre). Dans le même temps, les marges continuent à se dégrader avec un solde d’opinion largement négatif (-39 points) malgré la répercussion plus fréquente de la hausse des prix sur les prestations.L’artisanat du bâtiment a su se montrer résilient face à un contexte défavorable ce trimestre encore, et enregistre donc une croissance de son activité en volume malgré un ralentissement régulier qui se poursuivra sur les prochains mois. En effet, les ventes de logements anciens, indicatrices de l’activité future en entretien amélioration, ont stagné sur un an à juin 2022 bien qu’à un niveau élevé (1.157.000 logements). De plus, les crédits destinés à l’achat de logements anciens reculent au deuxième trimestre 2022 par rapport au deuxième trimestre 2021 (-3,3%). Enfin, les tensions persistantes sur le prix de l’énergie, et les hausses annoncées du prix de certains matériaux en début d’année prochaine constituent un risque réel pour 2023.
Il y a 3 ans et 5 jours

Pouvoir d'achat des salariés : un outil d'attractivité et de fidélisation

ÉDITION SPÉCIALE BATIACTU RH DAY. Dans un souci d'attractivité et de fidélisation des salariés, plusieurs outils liés au pouvoir d'achat des salariés peuvent être utilisés. Détails avec Aurore Vitou, sous-directrice des relations du travail au ministère du Travail, qui s'exprimait durant le Batiactu RH day, le 25 octobre 2022, à Paris.
Il y a 3 ans et 5 jours

Logistique : la forte demande nécessite des millions de mètres carrés supplémentaires

IMMOBILIER. Le développement du commerce en ligne exige une plus grande surface de stockage en France comme en Europe. Les surfaces devraient être multipliées ces cinq prochaines années.
Il y a 3 ans et 5 jours

Dans le Nord, Nidaplast se dote d’une nouvelle usine

A Fresnes-sur-Escaut, près de Valenciennes, le fabricant de structures en nid d’abeilles thermoplastiques pour la régulation des eaux pluviales...-Industrie
Il y a 3 ans et 5 jours

Macron propose un pacte de décarbonation aux industriels les plus émetteurs de CO2 en France

"Si des projets et des sites sont identifiés d'ici à 18 mois, si vous doublez vos efforts, si on arrive à passer des 10 millions de tonnes de CO2 évités à 20 millions instruits, nous doublerons les moyens consacrés à cet enjeu et passerons l'enveloppe de 5 à 10 milliards d'euros d'accompagnement", a lancé le chef de l'Etat aux industriels réunis à l'Elysée.Pour arriver à cet effort, le chef de l'Etat, tout juste de retour de la conférence mondiale sur le climat (COP27) à Charm el-Cheikh en Egypte, a aussi annoncé que le gouvernement allait dérouler une planification précise à six mois et dans les années à venir, "filière par filière".Ciment, aluminium, acier, engrais, sucre ou carburants: les dirigeants des cinquante sites industriels français les plus émetteurs de CO2, dont le Pdg de TotalEnergies Patrick Pouyanné, ont été reçus dans la salle des fêtes de l'Elysée.A eux seuls, ces 50 sites représentent 30.000 emplois et la moitié des émissions de l'industrie, soit 10% des émissions du pays. "Le but c'est de diminuer par deux les émissions de gaz à effet de serre de ces sites en dix ans, donc d'enlever 5% des émissions françaises", explique-t-on à l'Elysée. Ce sont les sites sidérurgiques d'Arcelor Mittal à Dunkerque ou Fos-sur-Mer, les cimenteries de Vicat, Lafarge ou Calcia, des usines chimiques du Grand Est, de l'étang de Berre ou de Normandie, les fabricants d'engrais Yara ou Borealis, la verrerie d'Arcques, les raffineries d'ExxonMobil et TotalEnergies en Normandie, Air Liquide en région PACA, ou les sites de production de sucre de Tereos et Cristal Union dans le nord de la France.Emmanuel Macron a insisté sur sa volonté d'accélérer la lutte contre le changement climatique, après un premier quinquennat jugé trop timoré en la matière par les spécialistes de l'environnement. Mais aussi de réindustrialiser."La décarbonation c'est un des éléments qui doivent nous permettre à continuer de créer de l'emploi industriel", a-t-il souligné."Pas amical"Le chef de l'Etat a surtout pointé la concurrence exacerbée de puissances économiques comme les Etats-Unis qui promettent des subventions publiques massives pour la décarbonation, avec un risque de désindustrialisation si les Européens ne suivent pas."Les Etats-Unis sont producteurs d'un gaz peu cher qu'ils vendent cher, et en plus ont pris des dispositifs d'aides massives sur certains secteurs", a-t-il dit."Ce n'est pas conforme aux règles de l'OMC et ce n'est pas amical", a-t-il insisté en promettant de mettre le sujet sur la table lors de sa visite d'Etat début décembre à Washington.S'adressant aux industriels, il a demandé que des "contrats de transition écologique" soient signés pour graver dans le marbre les efforts promis, site par site, et filière par filière aussi, sous l'égide du ministre de l'Industrie."Nous mettrons en ligne la carte de France des 50 sites" les plus émetteurs de CO2 pour suivre les progrès, a-t-il promis devant une carte de France géante montrant les émissions, où se distinguent le nord de la France avec 12 millions de tonnes de CO2 émises, suivie par le bassin de Marseille-Fos avec un peu plus de 10 millions de tonnes de CO2, et l'embouchure de la Seine en Normandie.Les cinq milliards d'euros supplémentaires annoncés mardi s'ajoutent aux 5 milliards déjà prévus dans le plan France Relance pour la décarbonation de l'industrie. Par ailleurs, la France a aussi prévu neuf milliards d'euros d'investissement pour le développement de l'hydrogène, qui est un des vecteurs puissants de la décarbonation de l'industrie.Il faut "sous six mois que le gouvernement puisse présenter un plan pour intégrer" ces montants "dans les travaux de programmation pluriannuelle de l'énergie", a précisé le président.La planification devra se faire "par technologie", a-t-il dit en évoquant aussi bien l'hydrogène - qui sera utilisé notamment par la sidérurgie en remplacement du charbon -, le développement de la biomasse pour remplacer le gaz, l'électrification des ports maritimes et fluviaux pour l'acheminement des marchandises, ou la capture et la réutilisation du co2.Lors de différentes présentations, les industriels présents ont de leur côté beaucoup insisté pour avoir accès à une source d'électricité "stable" et "massive", alors que les déboires techniques d'EDF dans ses centrales nucléaires sont encore loin d'être résolus.
Il y a 3 ans et 5 jours

Les voyants toujours au vert pour les artisans du bâtiment... mais 2023 inquiète

TENSIONS. Le marché de l'artisanat du bâtiment est toujours porteur, mais de premiers signaux font craindre une année 2023 nettement plus difficile que 2022.
Il y a 3 ans et 5 jours

Seine-et-Marne : le Département travaille en partenariat avec les exploitants agricoles pour déneiger les routes

Le département de la Seine-et-Marne fournit aux agriculteurs volontaires des lames de déneigement dans le cadre du plan de viabilité...-Vie du BTP
Il y a 3 ans et 5 jours

Restauration du monastère fortifié de l’Ile Saint Honorat

Le monastère fortifié Saint-Honorat dans les Alpes Maritimes est un des rares exemples de tour-monastère fortifiée encore quasiment intacte avec un cloître à niveaux superposés. Le plan de relance a permis d’etamer une seconde tranche de travaux de restauration et de mise en sécurité du monastère, elle comprend aussi un suivi archéologique et des fouilles localisées. L’opération en cours actuellement consiste d’une part à stabiliser le monument en lui redonnant le clos-couvert et d’autre part à pérenniser l’ouverture au public et l’usage culturel et cultuel dans un paysage exceptionnel. Du point de vue technique, une prouesse particulière et remarquable de ce projet est de restituer une toiture à la double nef du « noyau A », parfaitement intégrée, ce qui rendra praticable et utilisable cet espace aujourd’hui visité dans son état de ruine. Les travaux en cours concernent la pose de l’écran solaire, des gardes-corps, caillebotis et ligne de vie dans le noyau A (complète la mise en place de la toiture en verre au-dessus de la double nef) ; la restauration du clos et couvert de la partie du cloître (restitution de la toiture du cloître), aménagement intérieur du noyau B et aménagement extérieur (maçonnerie, structure métallique, serrurerie/métallerie, charpente, couverture, électricité). En fin d’année, la tranche optionnelle 2 démarrera avec la restauration du clos et couvert de la partie sud – noyau C, et des intérieurs hors noyau principal (maçonnerie, serrurerie/métallerie, charpente, couverture, électricité). Source : Drac PACA Photo de la toiture en verre : CRMH – Drac PACA, photos du monument : Jean-Pierre Juigner  
Il y a 3 ans et 5 jours

Concilier travaux en secteur protégé et transition énergétique

A Caen, une maison destinée à être basse consommation (BBC) au cœur du Secteur Patrimonial Remarquable (SPR) est en cours de rénovation. Ce projet validé et accompagné par l’UDAP du Calvados présente une double contrainte : respecter l’environnement et le patrimoine. A l’appui de cette opération, la Maison de l’habitat mais aussi une architecte. Accompagnées et aidées (MaprimeRénov), ces opérations de rénovation rentrent en adéquation avec le plan d’urbanisme et permettent une conduite sereine du chantier. Depuis 2021, la ville de Caen est classé site patrimonial remarquable. Son périmètre s’étend sur 712 ha qui englobent le centre ancien, la ville classique, la ville de le reconstruction et les faubourgs du XIXe et début XXe. Le SPR dispose d’un outil de gestion, le règlement de l’aire de valorisation de l’architecture et du patrimoine. Comme tous les règlements, celui du SPR de Caen est un recueil de prescriptions. Les élus ont souhaité également qu’il ait une portée pédagogique. Cette volonté se traduit de deux façons, dans la présentation du document d’une part, dans l’instauration de permanences hebdomadaires d’autres part, où les demandeurs rencontrent les élus, les services techniques et l’architecte des bâtiments de France. Cette démarche collégiale vers le public permet de conseiller et d’accompagner les maîtres d’ouvrage dans leurs projets situés en SPR. En jeu, concilier valorisation du patrimoine et transition écologique. Source et photo : Drac Normandie  
Il y a 3 ans et 5 jours

Trois textes augmentent les volumes de CEE et introduisent de nouvelles dispositions

L’obligation des CEE classiques et précarité augmente pour la Vème période. Les aides sous forme de CEE augmentent aussi en chauffage et pour l’installation d’une GTB.
Il y a 3 ans et 5 jours

Seine-Maritime : sécurisation du carrefour de la RD 915 et des rues de Bel-Air et du Haras

À Saint-Aubin-sur-Scie (Seine-Maritime), le Département mène des travaux de sécurisation du carrefour de la RD...-Vie du BTP
Il y a 3 ans et 5 jours

TRAVAUX MARITIMES ET FLUVIAUX

Les entreprises des travaux maritimes et fluviaux s'engagent pour promouvoir l'économie circulaire, à la fois dans les énergies (pour...-Vie du BTP
Il y a 3 ans et 5 jours

Batimat 2022 : Interview de Nicolas Mellin Directeur Commercial chez Sage et Bertrand Micas, Soserbat

Nicolas Mellin nous invite à découvrir Batigest et Batigest Connect, logiciels phares de Sage, ainsi que plusieurs nouveautés et la collaboration de Sage avec Soserbat, sur son stand à BATIMAT 2022.
Il y a 3 ans et 5 jours

Alpes-Maritimes : la commune de Nice aménage un parking souterrain sous la place Wilson

À Nice (Alpes-Maritimes), la Ville prévoit de créer un parc souterrain de six étages sous le jardin...-Vie du BTP
Il y a 3 ans et 5 jours

Var : rénovation énergétique de l'école Lucie-Aubrac sur la commune du Thoronet

Au Thoronet (Var), les travaux visant l’amélioration des performances énergétiques de l’école Lucie-Aubrac sont...-Vie du BTP
Il y a 3 ans et 5 jours

Vendée : la fin des travaux du contournement nord à La Roche-sur-Yon est avancée à l’été 2023.

Le chantier du contournement nord de la Roche-sur-Yon (Vendée) prend de l’avance sur le calendrier prévisionnel et se terminera d’ici à...-Vie du BTP
Il y a 3 ans et 5 jours

Hauts-de-Seine : ma municipalité de Meudon prévoit d’utiliser la géothermie pour le chauffage d’un tiers de sa population

À Meudon (Hauts-de-Seine), la municipalité prévoit de déployer le système de géothermie pour assurer le chauffage des habitants de la...-Vie du BTP
Il y a 3 ans et 5 jours

Oknoplast France fête ses 10 ans avec une croissance de plus de 30% entre 2020 et 2021

Le chiffre d’affaires France a lui aussi connu une progression remarquable avec plus de 30% de croissance, passant de 38 millions en 2020 à 50 millions d’euros en 2021 (estimation de 60 millions pour 2022).Aujourd’hui présidé par Mikołaj Placek, fils du fondateur du Groupe, OKNOPLAST a réussi à devenir une marque solide et reconnue, comptant parmi les leaders dans le domaine de la menuiserie en Europe. « Nous répondons aux besoins du marché et investissons beaucoup dans des outils de production à la pointe de l’inno-vation. Nous sommes actuellement dans le top 3 des fabricants de fenêtres PVC et nous souhaitons aller plus loin. Nous disposons du deuxième plus grand réseau de vente et nos clients français apprécient la qualité des produits OKNOPLAST et notamment le design moderne et la technologie supérieure de notre marque. » explique Mikołaj Placek.Acteur mondial, OKNOPLAST est présent dans 19 pays en Europe (Autriche, République Tchèque, France, Allemagne, Pologne, Slovaquie, Slovénie, Suisse, Italie, Scandinavie…) et poursuit sa politique d’internationalisation avec de nouvelles implantations en Suède, Belgique, États-Unis, Portugual, Espagne et au Maroc. Depuis ses 4 usines qui produisent plus de 1,5 million de fenêtres chaque année, le fabricant a équipé, sur les six dernières années, l’équivalent de la population d’une ville comme Barcelone.
Il y a 3 ans et 5 jours

Créer des finitions inédites grâce à l’offre complète de tuiles impression numérique d’EDILIANS

Avec sa gamme Design, EDILIANS invitait déjà les prescripteurs à laisser libre cours à leur créativité pour composer des bâtiments uniques. Ils pouvaient alors jouer avec les couleurs, la lumière et les finitions autour de 6 modèles de tuiles déjà reconnus pour leur esthétique avant-gardiste. Aujourd’hui, le leader français de la tuile terre cuite va encore plus loin et lance une offre complète de tuiles impression numérique, adaptées aussi bien à la toiture qu’au bardage. Issue du savoir-faire de Tejas Borja qui a intégré EDILIANS fin 2021, la technologie d’impression par jet d’encre représente une opportunité supplémentaire pour les architectes, dans la personnalisation et la reproduction de l’esthétique des toitures régionales. A l’occasion du salon BATIMAT, EDILIANS a présenté exceptionnellement en avant-première une sélection de produits bénéficiant des finitions exclusives obtenues grâce au système innovant d’impression numérique Borja Jet. Ainsi, pour composer leur propre partition et créer des bâtiments uniques, les architectes peuvent choisir parmi l’un des 4 décors de la gamme minérale: Ardoise qui rappelle les textures et les couleurs des ardoises extraites des plus belles carrières au monde (Irish Green, Népal Orage, Paris Ocre), Pierre, une sélection unique de pierres de caractère de l’Amérique du Nord en passant par l’Australie (Austin Grey, Denver Gold, Denver Iris), Ciment (Sidney Graphite) pour un rendu sans égal, soulignant la subtilité et l’élégance d’un décor au charme brut, Marbre (Roma Dark), l’essence et la noblesse d’un matériau indissociable de l’art et de l’architecture de toutes les époques, ou encore : la chaleur et la richesse des teintes naturelles et vivantes de la gamme Bois (Toroton Oak, Weathered Cedar), la signature unique et caractéristique de la gamme Terre Cuite et de son décor Cotto décliné en 3 coloris (Irati, Ibiza Pink, Entrepins), la finition de la gamme Métal et de son décor Cuivre (Tokyo Copper) qui fait la part belle au travail du temps sublimant la matière. Réuni sous la signature « L’inspiration sans limite », l’ensemble des familles et décors impression numérique ouvrent aux architectes un véritable champ des possibles avec pour seule limite l’imagination ! A propos d’EDILIANS Group : Le Groupe EDILIANS est un des leaders européens de solutions globales de toiture. • 1.450 collaborateurs• 16 sites industriels• 400 M€ de CA en 2021• 12 appellations de terroirs• 96 modèles de tuiles / 380 coloris de tuiles
Il y a 3 ans et 5 jours

Quel revêtement choisir pour une terrasse ?

Lieu privilégié pour profiter de l’extérieur d’une maison au printemps, la terrasse crée un lieu convivial ouvert sur un jardin, une piscine ou simplement sur un balcon. De nombreux matériaux sont disponibles pour sa construction, comme le carrelage, la pierre, les pavés, le béton, le gazon synthétique et le bois. Découvrez quels sont les revêtements adaptés pour tous vos espaces extérieurs.  Le bois : intemporel et traditionnel Choisir le bois pour construire une terrasse, c’est avant tout choisir un matériau chaleureux, écologique, durable et facile à travailler. Cependant, tous les bois ne peuvent pas être utilisés. Pour une terrasse, il est d’usage d’opter pour du bois résineux ou des bois exotiques.  Le bois résineux fait partie des essences de bois les moins chères du marché. Pin, mélèze ou cèdre rouge, les bois résineux sont très résistants, mais nécessitent toutefois un traitement insecticide et fongicide et un entretien régulier. Nettoyez votre terrasse en bois régulièrement.  Les bois exotiques forment le haut de gamme des essences de bois pour la réalisation d’une terrasse. Extrêmement denses et naturellement imputrescibles et résistants aux intempéries, ces bois ont une durabilité intrinsèque incomparable, c’est pourquoi ils sont si appréciés pour une utilisation en terrasse.  Le bois composite : l’alternative durable Très différent du bois naturel, on peut dire que le bois composite est un hybride entre le bois et le plastique, parfois de fibres végétales comme le chanvre ou le bambou. Contrairement aux planches en bois naturel qui peuvent être vissées, les bois composites ont des fixations avec clips. Ils peuvent être considérés comme une alternative au bois exotique, victime d’une déforestation massive.  Le bois composite semble réaliste, mais demande beaucoup moins d’entretien que le bois naturel. Il se nettoie facilement avec de l’eau et du savon noir. En prime, le bois composite est résistant au feu, de sorte que votre famille reste en sécurité. La pierre naturelle : unique et authentique Choisir la pierre naturelle, c’est choisir un matériau durable, écologique, et facile à entretenir. Fondamentalement, la pierre naturelle pour l’extérieur doit aussi être robuste, résistante aux intempéries et antidérapante.  Pierre de Bourgogne, ardoise, granit ou pierre bleue, privilégiez la pierre brossée, sablée ou striée qui sera moins glissante. Les pierres naturelles à surface rugueuse sont très appréciées pour les espaces extérieurs, notamment car il est agréable de marcher pieds nus dessus.  Pour profiter longtemps de votre sol en pierre, imperméabilisez votre terrasse pour protéger la pierre. Nettoyer régulièrement à l’eau tiède savonneuse à l’aide d’un balai-brosse, sans oublier de rincer à l’eau claire.  Le carrelage : chic et élégant La pose de carrelage sur votre terrasse améliorera non seulement l’apparence de votre espace extérieur, mais donnera également l’avantage d’un revêtement de sol durable. Pour garantir cela, il convient de respecter certaines normes.  Le classement UPEC qui correspond à la résistance à l’usure à la marche (U), au poinçonnement et chocs (P), à l’eau (E) et aux agents chimiques (C).  La norme PEI comprise entre 3 et 5 qui indique la résistance à l’abrasion, mais surtout la solidité face au gel et aux intempéries.  Norme de glissance pieds chaussés. Elle définit le degré d’adhérence des carreaux. Moins ça glisse, moins il y a de risques de chutes. Petits ou grands, en imitation pierre, en céramique (grès cérame, faïence ou tomettes) ou en ciment, il existe des carreaux de toutes les tailles et de toutes les couleurs. Attention, certains carrelages comme la faïence, restent fragiles.  Le béton : moderne et résistant Le béton est un matériau polyvalent et peu coûteux. Désactivé, drainant, fibré, imprimé ou précontraint, le béton est privilégié dans la construction des terrasses, car il résiste très bien aux conditions météorologiques extrêmes. Le béton est fait pour supporter un trafic intense, et conserve sa fière allure au fil du temps qui passe.   Son principal avantage réside dans sa pose qui ne nécessite pas de joints, ce qui empêche les mauvaises herbes de s’y installer. Et vu qu’une terrasse en béton peut se couler, les possibilités d’aménagement peuvent se faire sur mesure. Vous pouvez même changer l’apparence de la surface de votre béton, pour donner l’illusion que votre terrasse est composée de grandes dalles bétonnées. 
Il y a 3 ans et 5 jours

LVMH va pouvoir installer son centre de recherche à côté de Polytechnique à Saclay

Le conseil d'administration de Polytechnique a validé par 19 voix pour, 4 contre et une abstention la vente d'un terrain voisin de son école à LVMH."Le partenariat stratégique doit être finalisé avant la fin de l'année", a précisé Eric Labaye, président de l'École Polytechnique et de l'Institut Polytechnique de Paris lors d'une visioconférence à l'issue du conseil d'administration.Le projet, baptisé LVMH Gaia, regroupera à terme 300 chercheurs sur une surface de 22.500 m³, selon LVMH qui entend investir plus de 100 millions d'euros dans le futur bâtiment.Le centre de recherche dédié au "luxe durable et digital" du groupe de Bernard Arnault, lui-même polytechnicien, prévoit d'investir 2 millions d'euros par an pendant 5 ans sur des partenariats de recherche avec Polytechnique, surnommée l'X.Le terrain, situé au sein du parc d'innovation de l'Institut Polytechnique de Paris (qui regroupe cinq écoles dont l'Ecole Polytechnique) appartient à l'établissement public d'aménagement de Paris-Saclay (EPAPS). La parcelle choisie par LVMH étant voisine de l'école d'ingénieurs, cette dernière avait un veto jusque 2025.Depuis son annonce officielle cet été, plusieurs élèves et anciens élèves de Polytechnique ont exprimé leur opposition au projet, notamment au travers d'un collectif appelé "Polytechnique n'est pas à vendre!". Ce dernier demande que le bâtiment de LVMH soit construit à l'extérieur du campus et que les terrains de la zone nord-est du campus, dont la parcelle convoitée par LVMH, soit réaffectés à l'usage de l'Institut Polytechnique de Paris. Une tribune publiée dans Le Monde début septembre signée par 73 anciens élèves évoquait un "projet délétère", qui "travaille sur des problèmes techniques éloignés des thématiques de recherche de l'école: remplacement des plastiques par des alternatives plus écologiques dans des emballages de parfum, développement d'algorithmes de recommandation plus performants pour accroître la quantité de produits vendus, etc"."On sait que les élèves sont partagés"Les signataires accusaient le groupe de Bernard Arnault de vouloir "cimenter une respectabilité factice sur la question environnementale et sécuriser un accès privilégié aux élèves du campus, tandis que les retombées du côté de l'école seraient extrêmement maigres, tant sur le plan financier que scientifique".Matthieu Lequesne, porte-parole de "Polytechnique n'est pas à vendre!", estime auprès de l'AFP que quatre votes contre et une abstention dans un conseil d'administration "qui vote toujours de manière unanime" est un signe fort d'opposition. "La dernière fois qu'il y a eu autant d'opposition, c'était en 2016", selon lui. Et "ce n'est pas la fin de la mobilisation", assure-t-il, "les usagers du campus sont en majorité contre ce projet"."On sait que les élèves sont partagés sur cette question", a reconnu Eric Labaye. Lors du vote, un des représentants des élèves "a voté pour et un contre"."Ces coopérations public/privé existent dans le monde entier dans les grandes universités", ajoute le président de Polytechnique qui souligne que "les enseignants-chercheurs soutiennent" le projet.Rien ne certifie cependant que LVMH acquerra le terrain, selon Matthieu Lequesne. Le directeur de la stratégie du groupe de luxe, Jean-Baptiste Voisin, a laissé planer le doute lundi dans Les Echos.Si le conseil d'administration de Polytechnique ne s'oppose pas à l'achat du terrain par LVMH, "nous aurons l'opportunité de l'acheter, mais ce n'est pas dit qu'on le fasse. Ce n'est qu'une option d'implantation parmi beaucoup d'autres en région parisienne, et nous les étudions toutes", a ainsi déclaré M. Voisin, également secrétaire général de l'association des anciens de Polytechnique.Le projet est "complètement transposable", selon lui, "vous le prenez par hélicoptère, vous le déposez où vous voulez".En janvier, le groupe TotalEnergies avait renoncé à implanter son nouveau pôle de Recherche et Développement sur un terrain situé également à proximité de l'école Polytechnique après la mobilisation de professeurs et d'élèves opposés au projet.