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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 2 ans et 364 jours

Un nouveau standard de puissance émerge en photovoltaïque au salon Intersolar 2022

A Intersolar, les puissances unitaires des panneaux photovoltaïques atteignent 390 à 450Wc en toitures domestiques, autour de 500 Wc pour les grandes toitures, de 600 à 700Wc pour les fermes au sol.
Il y a 2 ans et 364 jours

Lancement de la dixième édition du prix Femmes architecte

CONCOURS. Les architectes désireuses de postuler à ce concours ont un peu plus de deux mois pour déposer leur candidature. Plusieurs prix seront remis.
Il y a 2 ans et 364 jours

Les entreprises de restauration du patrimoine dénoncent un projet de loi qui pourrait avoir de graves conséquences sur le secteur

En portant une demande de restriction d’accès aux appels d’offres publics, la proposition de loi n°4955 favorise statutairement les Conservateurs-Restaurateurs à être légalement les seuls en mesure de répondre aux appels d’offre publics. Par la même, elle écarte TOUTES les entreprises de la restauration du patrimoine - à commencer par les entreprises des métiers de l’ameublement- de ces appels d’offres en les positionnant en exécutants de 2ème rang.Des milliers d’entreprises artisanales impactés. Sont directement concernés : les ébénistes, les tapissiers, les marqueteurs, les encadreurs, les doreurs, les restaurateurs de tableaux, les facteurs d’instruments de musique, les professionnels du bâtiment spécialisés dans le patrimoine, les vitraillistes, les peintres sur bois, ou bien encore les relieurs, les selliers, les entreprises du bâtiments spécialisées dans la restauration du patrimoine, cela concerne les entreprises de tous les domaines d’activités… et représente des milliers d’entreprises et de salariés, contributeurs au maintien et à la valorisation du Patrimoine en France.Pour pallier le manque de concertation, l’UNAMA interpellera l’Etat pour l’organisation d’Etats Généraux en 2023. Cette proposition n’a fait l’objet d’aucune information préalable, ni de concertation avec les entreprises - dont une écrasante majorité sont des entreprises de l’artisanat - ni avec leurs relais ou représentants. Il apparait même que toutes les parties concernées de l’Etat, ministères ou directions de services, institutions périphériques de l’Etat n’aient été informées qu’une fois la proposition de Loi déposée ! Pour pallier ce manque de concertation, 20 ans après l’édiction de la Loi Patrimoine, un bilan des enseignements, des perspectives et une ligne directrice impliquant TOUS les acteurs du Patrimoine Public sont une nécessité et une urgence. Dès lors que la nouvelle ou le nouveau Ministre de la Culture sera nommé, l’UNAMA l’interpellera pour organiser en 2023 des Etats Généraux de l’Economie du Patrimoine rassemblant l’Etat, ses Directions, les Collectivités Territoriales, les Institutions et TOUS les acteurs de la chaine de valeur du Patrimoine considéré comme une des principales ressources économiques de notre Pays. Face à la crainte des conséquences économiques, l’UNAMA se mobilise. L’UNAMA regrette que les entreprises de l’artisanat qui méritent également reconnaissance, protection et appuis économiques aient été oubliées et craint que ce texte, soutenu par une démarche fermée et un certain entre-soi, ne vise in-fine qu’à restreindre, voire fermer l’accès aux travaux du Patrimoine et de la restauration aux opérateurs qui ne seraient pas adoubés. En conséquence, L’UNAMA mobilisera et informera les entreprises et toutes les institutions concernées des visées précises d’un texte trompeur afin qu’elles aient un droit AU DIALOGUE et à la NÉGOCIATION avant toute légifération
Il y a 2 ans et 364 jours

Le GROUPE ATLANTIC lance son « Plan électronique 2024 » et investit 4,3 millions d’euros dans l’extension de son usine de production de cartes électroniques « Made in France » dans le cadre de France Relance

Dans le cadre de son « Plan électronique 2024 », le GROUPE ATLANTIC investit 4,3 millions d’euros dans l’extension de son site historique de La Roche-sur-Yon afin de porter sa production de cartes électroniques de 4 millions à 6 millions d’unités chaque année d’ici deux ans. Compte tenu de son caractère stratégique, ce projet est soutenu par […]
Il y a 2 ans et 364 jours

L'OPPBTP et la FFB renouvellent leur partenariat

La Fédération française du bâtiment (FFB) et l'Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics (OPPBTP) ont conclu un nouvel accord de partenariat pour la période 2022-2025.
Cimbat
Il y a 2 ans et 364 jours

A Brétigny-sur-Orge, Modul’Air, cargotecture signée LFA

A Brétigny-sur-Orge (Essonne), l’agence LFA (Looking For Architecture) a livré en décembre 2021 Modul’Air, le premier bâtiment en France et en Europe à être réalisé pour partie avec des containers maritimes. D’une surface de 1 900 m², ce bâtiment tertiaire a été construit pour 5,5 M€ pour Cœur d’Essonne Agglomération maître d’ouvrage. Communiqué. Le projet […] L’article A Brétigny-sur-Orge, Modul’Air, cargotecture signée LFA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 364 jours

Arkema finalise le rachat des adhésifs de l'américain Ashland

Cette opération réalisée par Bostik, filiale d'Arkema -numéro trois mondial des adhésifs industriels-, s'inscrit dans la stratégie de recentrage sur les matériaux de spécialités du groupe chimique français, a-t-il rappelé dans un communiqué.Elle doit aussi permettre de renforcer la présence d'Arkema aux Etats-Unis, tout en faisant bénéficier les produits d'Ashland du réseau international de l'ex-filiale de Total.Ashland Performance Adhesives est présenté comme "un acteur majeur des adhésifs sensibles à la pression, en particulier dans les films décoratifs, de protection et de signalisation pour l'automobile et le bâtiment".L'activité, qui emploie 330 personnes avec six unités de production, a réalisé en 2021 un chiffre d'affaires d'environ 360 millions de dollars, avec une marge brute supérieure à 25%, a précisé Arkema.Elle détient également "des positions de leader" dans les adhésifs structuraux, et est présente dans les adhésifs pour emballages flexibles, selon le communiqué.
Il y a 2 ans et 364 jours

Comment Nexity compte aller "plus vite" que la RE2020

STRATÉGIE. Le promoteur immobilier vient de s'engager sur de nouveaux objectifs, plus ambitieux, en matière de décarbonation de la construction neuve. Tout en souhaitant offrir des biens "abordables" pour ses clients, comme l'a expliqué Véronique Bédague, sa directrice générale.
Il y a 2 ans et 364 jours

Salon de la maison passive : jouer la carte de l'efficacité en isolation

En maison passive, le choix de l’isolation est-il identique à celui des constructions classiques ? Les blocs structurels et isolants montrent leur intérêt en termes de performance et mise en œuvre.
Il y a 2 ans et 364 jours

Capremib devient centre agréé de R&D pour les bétons préfabriqués

Capable de formuler plus de 50 types de béton et d’innover lorsque l’offre n’existe pas, le groupe Capremib reçoit le label « Centre agréé de Recherche et Développement » pour les bétons préfabriqués.
Il y a 2 ans et 364 jours

Nouveaux coloris pour les menuiseries Oknoplast

Design épuré et tendanceLaissant passer toujours plus de lumière naturelle à l’intérieur de l’habitat, ces menuiseries créent une ouverture unique et actuelle sur l’extérieur.Une personnalisation sur-mesureChoisir une nouvelle fenêtre, c’est mieux s’isoler du froid et du bruit, faire des économies d’énergie et gagner en luminosité grâce à des profilés plus fins. Mais c’est aussi un parti pris sur l’esthétique. Les particuliers sont aujourd’hui à la recherche de solutions totalement personnalisables capables de s’adapter à toutes les envies : le choix du type d’ouverture (battante, oscillo-battante, coulissante, fixe…), le format, le design de la poignée (droite, plate ou galbée), l’intégration ou non de petit-bois. Et qui dit personnalisation, dit choix des couleurs. Toujours dans cet esprit de retour aux sources, les nouveaux coloris OKNOPLAST rappellent la nature avec 4 nouvelles teintes : Chêne Kitami, Gris Basalte, Gris Ombré et Bronze.Ces dernières viennent compléter l’éventail de couleurs qui s’était déjà élargi en 2021 avec le Blanc Mat (RAL 9016), le Gris Mat (RAL 7040) et le Gris Quartz Mat (RAL 7039). De quoi séduire et satisfaire toujours plus de clients. L’éco-responsabilité a également un impact sur le choix des couleurs des fenêtres. Les tons noirs, gris ou bruns permettront de souligner la finesse des menuiseries. Les classiques, gris argenté et blanc, toujours présents dans les coloris standards, s’accordent parfaitement aux intérieurs contemporains et aux lofts. Enfin, les effets chêne naturel ou cérusé demeurent très appréciés pour leur rendu très réaliste. Une chose est sûre, les teintes rappelant la terre et les éléments naturels ont encore de beaux jours devant elles.Avec ces nouveautés, OKNOPLAST souhaite maintenir sa position de leader européen en restant au plus près des attentes et besoins du marché.À retrouver chez tous les partenaires Premium OKNOPLAST.
Il y a 2 ans et 364 jours

La BEI signe avec EDF un contrat de prêt de 800 millions d'euros

Signé le 12 mai, ce contrat est destiné à cofinancer un programme de raccordement des énergies renouvelables et des bornes de recharge dans les territoires français.
Il y a 2 ans et 364 jours

À Lille, Saison Menu offre une nouvelle vie à l'ilot des Galeries Lafayette

Jean-Mathieu de Lipowski, Alicia Orsini, Michel de Rocca Serra et François Tramoni sont diplômés de l'école d'architecture de Marseille en 2012 et 2014. Ils fondent Orma architettura à Corte (Haute-Corse), en 2014. Alicia Orsini est également architecte du patrimoine. Installés aux pieds du Monte Rotondo, le deuxième plus haut massif […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 364 jours

HABITAT SOCIAL

En France, les HLM accueillent aujourd'hui 11 millions de personnes tandis que 15000 familles accèdent chaque année à la propriété grâce à l'accession sociale. Le modèle hexagonal fait envie même si, depuis quelques années, les besoins augmentent alors même que la production baisse... https://www.hautsdeseinehabitat.fr/ https://www.nantaise-habitations.fr - http://www.lnh-sa.fr/ https://www.sohp.fr/ https://www.cibox.com https://www.vosgelis.fr/ https://www.afpols.fr/ https://www.aareon.fr/ https://www.cda-habitat.fr/ https://groupebpce.com/ https://tiko.energy/fr https://fonciere-ville-paris.fr/
Il y a 2 ans et 364 jours

Nexity offre 3 ans d'énergie aux nouveaux propriétaires

Nexity offre aux acquéreurs d'un appartement neuf une réduction de prix équivalente à trois ans d'énergie, soit une remise commerciale pouvant aller jusqu'à 6000€.
Il y a 2 ans et 364 jours

Les sept lauréats de la filière forêt-bois du Challenge Canopée révélés

Le 11 mai, les sept lauréats de la seconde édition de Canopée Challenge, un concours à destination de tous les projets innovants au sein de la filière forêt-bois, ont été révélés.
Il y a 2 ans et 364 jours

L’OPPBTP et la FFB renouvellent leur partenariat pour la prévention des risques professionnels

Dans le contexte du Plan Santé Travail 4 et de la loi Santé Travail, la prévention des risques professionnels doit rester une préoccupation première des entreprises du bâtiment. Si les progrès sont notables, la crise sanitaire du Covid 19, l’urgence climatique, les évolutions technologiques et sociétales que vit la filière construction montrent qu’il faut encore accompagner davantage les chefs d’entreprises dans toutes ces mutations, convaincus qu’un chantier bien mené en prévention est un chantier bien mené en production.Progresser en prévention pour gagner en performance Les actions menées grâce à ce partenariat entre la FFB et l’OPPBTP visent à faire progresser en prévention tous les professionnels du bâtiment pour permettre à leurs entreprises et à leurs chantiers de gagner en performance. L’objectif est de garantir de bonnes conditions de travail aux salariés, de maintenir la performance globale de leurs entreprises et d’innover, en faisant de la prévention des risques professionnels un atout au service des enjeux qu’ils ont à relever. Cette ambition est appelée à être déclinée au plus tôt dans toutes les régions. Prolonger un bilan positif depuis 2012 Inspiré des nombreuses actions menées dans les territoires au travers de conventions régionales depuis 2012, le premier accord national de partenariat conclu par la FFB et l’OPPBTP en 2017, a tout autant permis de renforcer la dynamique entre les deux partenaires, que d’identifier les besoins restant à satisfaire. Ce nouveau partenariat permettra notamment de prolonger et finaliser de nombreuses actions initiées depuis 2017 en relevant les ambitions. Le bilan quantitatif et qualitatif des actions menées depuis 2017 a mis en lumière plusieurs réussites :un meilleur pilotage des actions menées au bénéfice des entreprises grâce au renforcement des relations entre les partenaires, avec plus de 450 ateliers DUER (Document unique d’évaluation des risques) et près de 3000 entreprises accompagnées ;une communication plus visible de la FFB sur les thèmes de prévention des risques professionnels, avec plus de 1.000 réunions d’information prévention organisées sur les sujets d’actualité regroupant plus 19.700 participants ;un engagement marqué de nombreuses unions de la FFB avec l’OPPBTP, ces travaux ayant permis de mener plus de 10 études métiers avec 12 unions professionnelles ;une production de solutions, favorisée par l’implication des professionnels ; autour notamment des quelques 150 réunions d’information sur l’approche « Prévention et Performance » mais également sur le succès de la Semaine de la Prévention.Quatre axes de travail pour la période 2022-2025 Fort de ce bilan, les partenaires retiennent de développer des solutions adaptées aux besoins des entreprises et salariés au travers des quatre axes suivants :L’évaluation des risques professionnels : c’est un axe fort du nouvel engagement pris par les partenaires de ce nouvel accord, qui constitue le point de départ de toute démarche de prévention des risques professionnels construite et durable. Le DUER et son plan d’action doivent être vus comme des outils de cadrage et de pilotage de la démarche en prévention de l’entreprise y compris dans les TPE. Dans ce cadre, la FFB participe activement à la promotion des outils et solutions conçus pour les artisans et entrepreneurs par l’OPPBTP avec une part croissante du digital (ateliers/webinaires DU, PPSPS…).L’accompagnement des professionnels dans une meilleure prise en compte des risques propres à leur métier : ce partenariat doit permettre de proposer à chaque professionnel les solutions les mieux adaptées à ses besoins grâce à une expertise qui propose une réponse pour chaque situation de travail. Pour ce faire, l’accord prévoit la poursuite d’études métiers et études techniques et si besoin l’identification et la réalisation de nouvelles études afin de répondre à un manque de connaissance ou un besoin de solutions, exprimé par les professionnels. Pour mutualiser et atteindre le plus grand nombre de professionnels, les partenaires font la promotion des résultats des études et travaux techniques auprès de toutes les entreprises adhérentes de la FFB.La promotion de la prévention comme vecteur de modernité, d’innovation et d’attractivité : la prévention des risques professionnels est un vecteur de performance globale pour l’entreprise et un atout en matière d’image et d’attractivité. La FFB et l’OPPBTP contribuent à faire de la prévention l’un des outils au service du changement dans le BTP notamment auprès des TPE. En lien avec le Conseil de l’artisanat de la FFB, les partenaires assurent conjointement la promotion de l’approche positive de la prévention. Pour déployer le principe de « prévention et performance », qui porte une approche résolument positive et incitative en prévention des risques professionnels, les partenaires s’associent mutuellement à leurs études liées à l’innovation, au Lean construction, à la transition écologique et aux nouvelles technologies digitales.Le développement de la culture prévention de tous les acteurs : pour une efficacité maximale, les chefs d’entreprise comme leurs salariés doivent s’approprier les enjeux liés à la santé et à la sécurité au travail et connaître les outils disponibles, pour mieux prévenir et gérer les risques propres à leur activité. Pour y parvenir, la FFB, avec le soutien de l’OPPBTP organise annuellement la Semaine de la prévention en partenariat avec les SIST-BTP et le réseau de l’Assurance maladie-risques professionnels. Par ailleurs, l’OPPBTP met à disposition de la FFB tous les contenus éditoriaux permettant d’assurer une communication systématique sur les sujets santé et sécurité au travail dans ses revues, site et différents supports de communication, ainsi que lors des rencontres et moments d’échange avec les professionnels. Enfin, l’accord prévoit de conduire des actions à destination de publics ciblés : intérimaires, jeunes dirigeants et repreneurs, jeunes en formation initiale.
GDA
Il y a 2 ans et 364 jours

Tour Triangle à Paris : les investigations sur des soupçons de favoritisme confiées à un juge d'instruction

Les soupçons portent sur le contrat d'exploitation du Parc des expositions de la Porte de Versailles, dans le sud de la capitale. La Ville de Paris avait résilié le contrat de concession attribué à la société Viparis, puis lui avait à nouveau confié l'exploitation du complexe événementiel via un bail emphytéotique à l'issue d'un appel d'offres jugé contestable.Les délais de dépôt d'offres ont été notamment considérés comme trop courts, compte tenu de la complexité du projet. De plus, la Ville avait accepté que Viparis ne s'acquitte pas du droit d'entrée de 263 millions d'euros demandé aux candidats.En échange, cette filiale d'Unibail-Rodamco-Westfield devait renoncer à l'indemnité de résiliation anticipée du contrat initial. La maire LR du VIIe arrondissement de Paris, Rachida Dati, avait fait en juillet 2020 un signalement à la justice sur le projet de construction de la tour, qui doit s'étirer sur 42 étages et 180 m de haut, dans le périmètre du Parc des expositions. Puis l'association Anticor avait déposé une plainte avec constitution de partie civile en février 2021.Mme Dati et Anticor s'appuyaient sur un rapport de la chambre régionale des comptes d'Ile-de-France de juillet 2020, qui estimait que le projet de la Tour Triangle avait été "inséré de façon critiquable dans l'enceinte du Parc des expositions".En outre, le rapport considérait que le concessionnaire avait été dispensé de payer les 263 millions d'euros du droit d'entrée alors que le préjudice lié à la résiliation restait "non démontré".Le parquet national financier (PNF) avait ouvert une enquête préliminaire pour "favoritisme" et "recel de favoritisme" en juin 2021, puis une information judiciaire en mars, a-t-il précisé, confirmant une information du Parisien.La Ville de Paris, comme Unibail-Rodamco Westfield et sa filiale Viparis, rejette les accusations et assure avoir respecté les règles de l'appel d'offres.Pour le collectif d'associations, dont France Nature Environnement et SOS Paris, opposé à l'édification de la tour, "il y a eu violation directe du droit des marchés" et la Première ministre Elisabeth Borne, directrice de l'urbanisme à la mairie de Paris lors du second mandat du maire PS Bertrand Delanoë, "doit se saisir du dossier".Sur la construction en elle-même de la Tour Triangle, confiée elle aussi à Unibail, ce même collectif a déposé une plainte le 13 décembre 2021 auprès du PNF. Cette plainte est toujours à l'analyse, a précisé vendredi le parquet financier.Cette tour, dont la construction a débuté en février, ne sortira de terre qu'à l'été 2023 pour être livrée en 2026, selon le promoteur.Alliés de la maire PS Anne Hidalgo, qui soutient le projet voté en 2015, mais opposés à cette édification, les élus écologistes parisiens demandent "la suspension des travaux de la Tour Triangle dans l'attente des conclusions de l'information judiciaire".
Il y a 2 ans et 364 jours

Nouveau Gouvernement : Logement et Transports ne devraient pas être oubliés

POLITIQUE. La porte-parole du Gouvernement a tenu à rassurer les acteurs des secteurs du transport et de la construction, et précisant à l'issue du conseil des ministres que l'équipe dirigeante devrait être complétée après les élections législatives.
Il y a 2 ans et 364 jours

Un bâtiment industriel devient le marché des 4 chemins à Pantin

Quelques jours après son inauguration le 16 avril 2022, le marché provisoire des 4 chemins à Pantin a déjà trouvé son public. Marchands forains et habitants ont désormais accès à un marché plus grand, plus lumineux et plus confortable au porte de l’entrée de la ville et de l’écoquartier des Quatre chemins. Pour la réhabilitation de ce bâtiment, Daniel PARDO de l’Atelier Architectes & Ingénieurs a transformé des anciens entrepôts de la SNCF en un marché «sans gâchis ni superflu qui réemploie le plus possible les matériaux existants et utilise la force du climat ». Pour cette réhabilitation bioclimatique qui avait pour objectif de créer un lieu attractif et qualitatif, l’architecte et la ville de Pantin a fait le choix de la transparence des façades afin d’apporter un maximum de lumière naturelle à l’intérieur du marché. Pour la partie supérieure de la façade, le choix s’est porté sur la toile tendue. Spécialiste de l’architecture textile, ACS Production a installé 875 m² de toile micro-perforée FT381 Ferrari. Cette toile couleur or a été marquée par impression numérique dans les ateliers de BHD Industries. La toile a été posée sur des cadres aluminium avec une forme courbe qui se soulève comme des ailes. Grâce à l’usage de la toile microperforée, le bâtiment apporte à la fois une protection face aux intempéries tout en laissant la lumière pénétrer au cœur du bâtiment et en offrant pour l’extérieur une esthétique attractive et accueillante. Crédit photos : Atelier Architectes & Ingénieurs  
Il y a 2 ans et 364 jours

Restauration du Fort du Pradeau

Le Parc National de Port-Cros a missionné le cabinet d’architecture Paul Geitner, basé à Fréjus (83) et société Néotravaux (84) pour la rénovation du Fort du Pradeau dans le Var. Les travaux ont débuté en décembre 2020 pour une livraison de l’édifice totalement consolidé en février 2022. Le cabinet d’architecture Paul Geitner a veillé au respect du mode constructif du bâti d’origine. La société Néotravaux a mené la rénovation du Fort à l’aide de la CHAUX PURE TRADI 100® – NHL5 de SAINT-ASTIER® connue et reconnue depuis toujours pour sa qualité et sa haute performance en milieu marin. Le plus gros enjeu du chantier a consisté à la reprise des chaines d’angles et à la déconstruction puis à la reconstruction de certaines parties de l’édifice qui présentaient des fissures trop importantes afin de remplacer des pierres trop érodées. Si l’ensemble du site a nécessité de lourds travaux de rénovation, la poudrière, bâtiment particulièrement dégradé, a fait l’objet d’une attention particulière. Une partie de ses murs en moellons ont été restaurés ou remontés et son plafond vouté composé de briques, a également été rénové de la même façon. La chaux hydraulique CHAUX PURE TRADI 100® – NHL5 de SAINT-ASTIER® a dégalement été utilisée pour la réalisation de l’enduit de finition pour offrir une parfaite protection du bâti rénové. Elle a été mélangée à un sable de granulométrie fine (0/4 Chibron et Saint-Anne). Maître d’ouvrage : Parc National de Port-Cros (83) Maître d’œuvre : cabinet d’architecture Paul Geitner (83) Réalisation des travaux : entreprise Néotravaux (84)
Il y a 2 ans et 364 jours

Appel à projet urbain innovant pour redessiner l’entrée Est de Romans-sur-Isère

Le 1er juin 2022, la Ville de Romans-sur-Isère, dans la Drôme, lance un Appel à projet urbain innovant pour redessiner son entrée Est. La ville fait l’objet de profondes transformations urbaines, impulsées par des politiques publiques audacieuses. Portées par la municipalité depuis 2014, ces politiques sont appuyées par un plan d’investissement historique. D’ores et déjà engagés, de grands projets urbains, architecturaux et paysagers vont ainsi se concrétiser d’ici 2026, soutenus par une ambition environnementale forte et une volonté d’innover : découverture de la rivière Savasse, valorisation de la promenade du chemin de Bœufs ou encore réaménagement des grands boulevards. Le site Jourdan-Voltaire tient une place majeure dans la transformation de Romans vers la ville de demain. Ce secteur emblématique, de par son positionnement à l’entrée Est de la ville, son passé industriel et son potentiel urbain, porte haut la vision de modernité ainsi que les ambitions de la municipalité. La Ville souhaite redessiner une entrée de ville innovante, attractive et intégrant l’exemplarité environnementale comme valeur cardinale, via le lancement de cet Appel à Projet Urbain Innovant (APUI).
Il y a 2 ans et 364 jours

En stockant les calories, Wienerberger réduit l’impact carbone de son site de production de Pontigny

Poursuivant ses engagements environnementaux, Wienerberger France s’associe avec l’entreprise Eco-Tech Ceram pour l’installation d’un Eco-Stock® sur son site historique de Pontigny (89), spécialisé dans la fabrication des tuiles de la marque Aléonard. Véritable innovation dédiée à la transition énergétique dans le secteur industriel, l’Eco-Stock® permet de récupérer et de stocker la chaleur fatale rejetée par les six fours intermittents de l’usine. Cette chaleur accumulée dans l’Eco-Stock® sera ensuite réorientée vers les séchoirs eux aussi intermittents. Ils n’auront plus besoin de gaz pour fonctionner. Le site réduira considérablement son impact carbone en supprimant l’émission de l’équivalent en Co2 de 6 000 000 de kms de voiture . L’Eco-Stock® est un système de stockage thermique pouvant aller jusqu’à 1 000 °C et permettant de gérer l’intermittence et la variabilité des gisements et des consommations énergétiques. Il est capable de capter, stocker et restituer une énergie décarbonée moins coûteuse que celle issue de la combustion de matières fossiles (gaz naturel, pétrole…) en contrôlant la durée, la puissance, la température et le débit des flux d’énergie. Cet article En stockant les calories, Wienerberger réduit l’impact carbone de son site de production de Pontigny est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 364 jours

Transformation du Parc du Robec à Darnétal

Situé au cœur de Darnétal, dans la Métropole de Rouen, le Parc du Robec fait l’objet d’un ambitieux projet de réhabilitation dans le cadre du nouveau programme national de renouvellement urbain (NPNRU). Pilotés par Bouygues Bâtiment Grand Ouest, les travaux de ce programme d’envergure, visent pour le bailleur social Logeo Seine à améliorer le confort des habitants, réaliser des économies d’énergie et valoriser le quartier à travers un concept architectural audacieux. Diminuer en moyenne la consommation énergétique du quartier par deux, tel est l’un des défis lancés par Logeo Seine (maître d’ouvrage). Alors que la consommation actuelle des bâtiments est classée E, le bailleur souhaite d’ici la fin des travaux prévu en 2024, passer à une étiquette énergétique C. Pour répondre à cet objectif ambitieux, Bouygues Bâtiment Grand Ouest, mandataire du groupement de conception-réalisation pour la réhabilitation du projet, a fait appel à ROCKWOOL pour mettre en place un dispositif d’isolation par l’extérieursur des façades sous bardage métallique, et renforcer la protection contre les incendies, tout en réduisant les déchets de chantier. Une réduction des déchets possible grâce au service Rockcycle développé il y a 10 ans par l’industriel et qui permet de collecter et recycler les panneaux usagés. Des innovations qui lui ont permis de relever le défi du recyclage et la sécurité incendie. Sur les 30 000 m2 de surface de façade à rénover, ce ne sont pas moins de 17 000 m2 d’isolant sous bardage métallique sans bavette et 13 000 m2 d’isolant sous enduit qui ont été déployé. Une innovation rendue possible par les essais CERIB avec Ecorock Mono qui permet la reconstruction de C+D défavorable sur certains bâtiments. Cet article Transformation du Parc du Robec à Darnétal est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 364 jours

CERTIVEA se transforme et apporte de nouvelles solutions

Leader en France pour la certification et la labellisation des bâtiments tertiaires, CERTIVEA se transforme parce que l’immobilier tertiaire fait face à une nouvelle donne et est en pleine transformation : urgence climatique, succession de crises (Covid-19, guerre en Ukraine…), grandes transitions de l’énergie, du numérique, du travail, de la finance, nouvelles politiques publiques européennes (Green Deal, Taxinomie) et françaises (RE2020, décret Eco-Energie Tertiaire), pénuries, hausse du coût de l’énergie et des taux d’intérêt… Qu’ils soient publics ou privés, quelle que soit leur taille, quel que soit l’usage de leurs bâtiments (bureaux, commerce, entrepôt, éducation, santé, culture…), tous les acteurs doivent aujourd’hui intégrer la sobriété énergétique, le bas carbone, la qualité de vie au travail et la digitalisation. Ils doivent aller vers des bâtiments plus verts, plus flexibles, plus conviviaux, plus intelligents, plus durables (notamment au regard des exigences de la Taxinomie européenne), plus résilients face au changement climatique et mieux protégés contre le risque d’obsolescence. Ces mutations, accompagnées de nouvelles réglementations et incertitudes, se traduisent par une diminution des projets de construction et une augmentation des projets de rénovation et d’aménagement intérieur, dans un contexte post-Covid où les salariés aspirent au travail hybride et où il s’agit de réinventer la vie au bureau. CERTIVEA lance deux nouvelles familles de solutions : HQE Bâtiment (HQE-B) et HQE Bâtiment Durable(4ème version de cette certification HQE-BD). Ces deux nouvelles familles aident les acteurs à améliorer et à valoriser les performances environnementales, sociétales et économiques de leurs bâtiments, ainsi que la gouvernance et la gestion de leurs opérations. Chaque famille se décline en trois certifications : Construction, Rénovation et Exploitation. Les deux nouvelles familles HQE s’intègrent à un ensemble de certifications et de labels qui est unique par son étendue. Cet atout permet à CERTIVEA d’apporter une réponse adaptée à chaque client. CERTIVEA change son statut juridique, son organisation, sa communication et ses outils digitaux, pour mieux aider ses clients, leurs bureaux d’études et tous les acteurs voulant s’engager pour des cadres de vie durables. Filiale du CSTB, elle renforce son positionnement de certificateur engagé et sera prochainement une société à mission. Sa vision est résolument humaniste, fait une grande place à la santé et au bien-être, privilégie des relations directes et de proximité. Elle va au-delà du déclaratif et de l’auto-évaluation par le recours systématique à une tierce-partie indépendante pour l’audit ou la vérification des données transmises par les clients. Cet article CERTIVEA se transforme et apporte de nouvelles solutions est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 364 jours

TECHNAL lance la 2ème édition de son concours d’architecture international WATA

Organisé tous les deux ans, le concours TECHNAL WORLD ARCHITECTURE AWARD (WATA) témoigne du rayonnement international de la marque française. Pour cette deuxième édition, les architectes et clients TECHNAL des quatre coins de la planète peuvent candidater en ligne jusqu’au 31 mai prochain. En France, en Espagne et au Portugal, les projets représentant ces pays seront issus du PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL des dernières éditions. Le concours WATA confirme une nouvelle fois la collaboration étroite qu’entretiennent TECHNAL et les prescripteurs. Il distinguera les ouvrages portant haut les couleurs de l’architecture et de la marque à travers neuf catégories : – Prix HABITER – Logements Individuels – Prix HABITER – Logements Collectifs – Prix RÉHABILITER – Rénovations – Prix RÉHABILITER – Extensions – Prix ÉTUDIER – Culture et enseignement – Prix TRAVAILLER – Tertiaires, bureaux, commerces, industries, établissements de santé… – Prix GRATTE-CIEL – Prix DÉCOUVRIR – Loisirs, tourisme et divertissement – Prix DURABILITÉ Deux Prix Spéciaux seront également décernés : le Prix « NEXT TALENT » pour lequel les étudiants en architecture pourront voter en juillet et le Prix «IMAGINE WATA» attribué par les partenaires de l’évènement. Le jury, qui se réunira le 22 juin prochain, se compose de sept architectes internationaux. La remise des prix se déroulera en France, en octobre, à l’occasion de BATIMAT. Tous les lauréats seront invités à Paris. Ils visiteront le salon ainsi que les ouvrages parisiens les plus emblématiques. Pour promouvoir leur créativité architecturale sur la scène internationale, un livre d’architecture, présentant chaque projet primé, sera édité. http://www.registration.imaginewata.com  
Il y a 2 ans et 364 jours

Le classicisme et l'immobilier financier, Chipperfield et Emerige réinventent Morland à Paris

Avec AMC n°305-mai 2022, les abonnés ont pu découvrir le supplément « Désir et avenir d’un matériau, 10 ans de Trophée Béton », réalisé en partenariat avec les associations Bétocib, CIMbéton et fondation EFB. À l'occasion des 10 ans du Trophée Béton, prix […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 364 jours

L'archipel de NRAU - Exposition à la Galerie d’Architecture

À Paris, l’agence NRAU (Nicolas Reymond Architecture & Urbanisme) s’est emparé de la Galerie d’architecture et y présente l'exposition "Archipel", dix ans de production mêlant logements collectifs et études urbaines sur les enjeux de la ville dense. L'exposition "Archipel" présentée à la […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 364 jours

Découvrez le programme des Journées du Patrimoine de Pays et des Moulins

Le thème des Journées du Patrimoine de Pays et des Moulins des 25 et 26 juin met l’accent sur le bâti ancien réhabilité, restauré et réemployé, mais aussi le recyclage, la revalorisation des matériaux et le renouveau des savoir-faire. Au XXIe siècle, le patrimoine prend une double valeur : en plus d’une valeur historique, il prend une valeur écologique en luttant contre le gaspillage des matériaux, en évitant le suremploi du béton et des métaux, et contre le gaspillage de l’espace rural par l’étalement urbain. La programmation des 24èmes JPPM est en ligne : visites et circuits découvertes, animations jeune public, ateliers et démonstrations de savoir-faire, marchés et dégustations de produits locaux, expositions, conférences, concerts… Carte
Il y a 3 ans et 0 jours

Le Taj Mahal, joyau architectural de l'Inde, dans le viseur des fanatiques hindous

Actuellement dans le collimateur des partisans de l'Hindutva (suprématie hindoue), la mosquée Gyanvapi, érigée au XVIIe siècle dans l'antique cité de Varanasi (ancienne Bénarès ou Kashi), dans l'Etat de l'Uttar Pradesh (nord), est la plus menacée.La semaine dernière, selon des informations de presse, des fouilles ordonnées par un tribunal ont été conduites sur le site de la mosquée, et auraient mis au jour un "shiva linga", objet de forme phallique, "signe" du dieu Shiva pour ses adorateurs."Cela signifie que c'est le site d'un temple", a aussitôt conclu devant la presse Kaushal Kishore, un ministre de l'Etat issu du BJP, le parti nationaliste hindou du Premier ministre Narendra Modi. Les hindous devraient pouvoir y prier, a-t-il ajouté.Emeutes sanglantesLes musulmans ont déjà interdiction de pratiquer leurs ablutions rituelles habituelles là où la prétendue relique a été trouvée.Ils craignent que ce lieu de culte islamique ne subisse le même sort que la mosquée Babri Masjid d'Ayodhya (Uttar Pradesh), bâtie au XVIe siècle.Après la destruction de la mosquée en 1992, des émeutes interconfessionnelles, parmi les pires de l'histoire de l'Inde indépendante, avaient éclaté, et plus de 2.000 personnes, musulmanes pour la plupart, avaient péri.Ces événements ont ébranlé les fondements laïques du pays et imposé le nationalisme hindou en force politique dominante, ouvrant la voie à l'élection de M. Modi en 2014 à la tête du pays, où vivent 200 millions de musulmans.Depuis les années 1980, le BJP a soutenu avec grand zèle la construction d'un temple dédié au dieu Râma, avatar de Vishnou, sur le site même de la mosquée. M. Modi en a posé la première pierre en 2020.Des extrémistes hindous se sont depuis tournés vers le Taj Mahal, bâti par les Moghols, qui ont régné sur une grande partie du sous-continent indien du XVIe au XIe siècle, et classé au patrimoine mondial de l'Unesco. Ils s'agitent pour obtenir le droit d'y prier, arguant que le monument a été édifié sur le site d'un ancien sanctuaire dédié à Shiva.Selon Sanjay Jat, porte-parole de l'Hindu Mahasabha, organisation radicale hindoue, le Taj Mahal a été construit à Agra (Uttar Pradesh) sur un temple dédié à Shiva "détruit par les envahisseurs moghols".Le mausolée -- érigé entre 1631 et 1648 à l'initiative de l'empereur moghol Shah Jahan pour perpétuer le souvenir de sa défunte épouse Mumtaz Mahal – est devenu le symbole universel de l'amour éternel, et la principale attraction touristique du pays, et des millions de visiteurs s'y pressent chaque année."Nous détruirons le Taj"Que le Taj Mahal symbolise l'Inde aux yeux du monde entier a toujours enragé les suprémacistes hindous. Mais aujourd'hui ce ressentiment s'exprime au point d'en menacer ouvertement l'intégrité."Je continuerai à me battre pour cela jusqu'à ma mort. Nous respectons les tribunaux, mais si nécessaire, nous détruirons le Taj et prouverons l'existence d'un temple à cet endroit", affirme à l'AFP M. Jat, admettant de fait que la revendication n'est pas fondée.Ce mois-ci, une requête d'un membre BJP a été déposée dans l'Uttar Pradesh afin de contraindre l'Agence archéologique indienne (ASI) à ouvrir vingt pièces du Taj qui, soi-disant, recèleraient des idoles hindoues. L'ASI a démenti l'existence de telles objets et le tribunal a sommairement rejeté la demande.Audrey Truschke, professeure agrégée d'histoire de l'Asie du Sud à l'Université Rutgers (Etats-Unis), juge ces revendications "à peu près aussi raisonnables que de dire que la Terre est plate".Aucune "théorie cohérente" sur le Taj Mahal n'est avancée, déclare à l'AFP l'experte, qui y voit plutôt l'expression d'"une fierté nationaliste furieuse et fragile qui ne permet à rien de non hindou d'être Indien et exige d'effacer l'apport musulman dans l'héritage indien".Jeudi, un tribunal a accepté d'examiner l'une des nombreuses requêtes visant à détruire la mosquée Shahi Idgah à Mathura (Uttar Pradesh), où la police est depuis en état d'alerte.Elle a été érigée par l'empereur moghol Aurangzeb après avoir conquis la ville et détruit ses temples en 1670, à côté un temple bâti ultérieurement sur le lieu de naissance du dieu Krishna, selon les hindous.Ces revendications résultent d'une connaissance "très sommaire" de l'histoire indienne, explique l'historienne Rana Safvi, doublée d'un "sentiment de victimisation" alimenté par le flot de désinformation qui circule sur les réseaux sociaux.
Il y a 3 ans et 1 jours

La Chine remet l'accent sur les infrastructures

Le pays le plus peuplé de la planète a considérablement développé ses infrastructures au cours des dernières décennies, particulièrement à la fin des années 2000 lorsqu'il s'est agi de relancer une économie affaiblie par la crise financière mondiale.Pékin avait alors investi sans compter 4.000 milliards de yuans (573 milliards d'euros actuels) dans l'économie, gonflant sa dette dans des projets parfois inutiles, mais soutenant au passage la reprise économique mondiale.Cette fois, le pouvoir chinois n'a pas annoncé de plan chiffré de développement des grands travaux, selon le compte-rendu d'une réunion de l'Etat-Parti diffusé mardi soir par l'agence Chine nouvelle."Xi Jinping a appelé à des efforts tous azimuts pour renforcer la construction des infrastructures", a rapporté l'agence de presse officielle. L'état actuel des installations de la deuxième économie mondiale "reste incompatible avec les exigences du développement et de la sécurité nationale", ont reconnu les dirigeants chinois.Afin notamment de "soutenir la demande intérieure", il convient d'investir dans les transports, l'énergie et les ressources hydrauliques.La réunion a mentionné tour à tour une multiplication des investissements dans les voies navigables, les ports, les aéroports, les énergies vertes, la recherche, l'informatique et les télécommunications.Faire mieux que l'AmériqueLa Chine est confrontée depuis le début de l'année à un ralentissement de son économie provoqué par la généralisation des mesures de quarantaine, dans l'espoir d'enrayer un fort regain épidémique.Shanghai, moteur économique majeur du pays, est en confinement depuis début avril, sans date de fin en vue. Auparavant, la métropole technologique de Shenzhen (sud) avait elle aussi été placée en quarantaine l'espace d'une semaine.Ces coups d'arrêt à l'activité rendent de plus en plus hypothétique l'objectif de croissance du PIB que le pays s'est fixé à 5,5% pour 2022.Selon le Wall Street Journal, Xi Jinping a ordonné à son administration de faire en sorte que la croissance du pays soit supérieure à celle des Etats-Unis cette année.Une telle performance permettrait de confirmer la supériorité supposée du système politique chinois sur la démocratie à l'occidentale, aurait plaidé le numéro un chinois, selon le quotidien américain.En attendant, la menace d'un confinement plane désormais sur Pékin. Mercredi, la commune limitrophe de Sanhe a annoncé la mise en quarantaine de ses 752.000 habitants, après la découverte d'un cas positif.Ailleurs dans le pays, d'importantes restrictions ont également été prises à Yiwu (est), ce qui risque de davantage peser sur le commerce international.La ville, située à environ 300km de Shanghai, est connue pour être un gigantesque marché de biens de consommation pour l'exportation.Mais des signes positifs se dessinent également avec l'annonce de la levée jeudi du confinement à Changchun et Jilin, deux grandes villes du nord-est du pays, berceau du secteur automobile.Pas de relance immédiateLe retour de la crise sanitaire est venu s'ajouter à la reprise en main des secteurs immobiliers et technologique, qui a gravement pénalisé ces dernières années ces deux piliers de la croissance nationale.Dans ce contexte, "les projets d'accélération des dépenses d'infrastructures sont des outils politiques destinés à accroître directement la dépense publique", observe l'économiste Rajiv Biswas, du cabinet S&P Global Market Intelligence.Mais ils ne permettront pas de relancer rapidement l'économie, avertit son confrère Ting Lu, de la banque Nomura."Avec les confinements, il est encore plus difficile d'accroître l'investissement dans les infrastructures, parce que les déplacements sont interdits et qu'il y une pénurie de main d'oeuvre" dans les zones concernées, remarque-t-il.Au final, la relance par les infrastructures ne pourra au mieux que "compenser une partie de la baisse d'activité induite par le ralentissement des exportations, la chute de l'immobilier et le coût de la stratégie du zéro Covid", estime Nomura dans une note d'analyste.Les annonces de Xi Jinping ont cependant rasséréné les marchés: après une ouverture en baisse, la Bourse de Shanghai a clôturé mercredi en hausse de près de 2,5%, tandis que celle de Shenzhen a gagné près de 4%.
Il y a 3 ans et 1 jours

10ème Prix Femmes Architecte

L’ARVHA, Association pour la Recherche sur la Ville et l’Habitat, a lancé en 2022 la dixième édition du Prix des femmes architectes. Candidatures jusqu’au 31 juillet 2022. Ce prix a pour but de mettre en valeur les œuvres et les carrières de femmes architectes, afin que les jeunes femmes architectes puissent s’inspirer des modèles féminins […] L’article 10ème Prix Femmes Architecte est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 1 jours

A Moréac, le pôle culturel breton de Tracks

L’agence Tracks a inauguré en avril 2022 à Moréac (Morbihan), pour la commune maître d’ouvrage, le pôle culturel ‘an ty roz’, un équipement de 1 950 m² (coût travaux de 4,2 M€) inséré dans un cadre exceptionnel. Ce site aux mensurations généreuses, marqué par une topographie forte, offre un contexte idéal pour ce volume sculpté et […] L’article A Moréac, le pôle culturel breton de Tracks est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 1 jours

A Moréac, Tracks signe le pôle culturel ‘An-ty-roz’

A Moréac (Morbihan), l’agence Tracks a inauguré en avril 2022, le pôle culturel ‘an ty roz’ pour la commune bretonne. L’équipement culturel construit avec un budget de 4,235 M€ se développe sur 1 950 m² dans un cadre exceptionnel. Communiqué. Contexte Le nouveau pôle culturel de Moréac est implanté à proximité du centre bourg au sein […] L’article A Moréac, Tracks signe le pôle culturel ‘An-ty-roz’ est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 1 jours

Hérault-Arnod signe le parking Ravet à Chambéry

A Chambéry (Savoie), l’agence parisienne Hérault-Arnod (Isabel Hérault et Yves Arnod) a livré en 2022 pour QPark France un parking de 474 places assorti d’un belvédère public. Avec une surface de 14 500 m² SDP (coût des travaux : 10 M€ HT), le projet est inséré délicatement dans l’axe de l’artère historique de la ville. Communiqué sous forme […] L’article Hérault-Arnod signe le parking Ravet à Chambéry est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 2 jours

La Nouvelle-Calédonie en quête d'un label "nickel vert"

"On ne sera jamais moins cher que nos concurrents indonésiens ou philippins, c'est pourquoi on veut se poser en champion du nickel +vert+, qui sera pour nous un avantage sur le marché mondial", explique Christopher Gygés, membre du gouvernement calédonien chargé de la transition énergétique.Cette semaine, il doit présenter une révision du Schéma de transition énergétique de Nouvelle-Calédonie (Stenc), qui prévoit à horizon 2030 le recours à 50% d'énergies renouvelables dans la métallurgie.Un objectif ambitieux, alors que les trois usines du territoire fonctionnent actuellement avec des centrales au fuel ou au charbon, émettrices de gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique, pour un seul barrage hydraulique, source d'énergie climatiquement compatible.A cause de son industrie minière, poumon de l'économie, l'archipel français de l'océan Pacifique affiche l'un des taux d'émission de CO2 par an et par habitant les plus élevés au monde (29,6 tonnes), selon la direction des mines et de l'énergie néo-calédonienne.L'opérateur métallurgique le plus avancé dans le domaine du "nickel vert" est Prony Resources, qui a repris en 2020 le complexe industriel du géant brésilien Vale, alimenté par le richissime gisement de Goro (sud).L'unité produit un nickel peu raffiné destiné au marché des batteries de véhicules électriques. Elle a pour principal client le N.1 mondial du secteur, le groupe Tesla, avec un mégacontrat de 42.000 tonnes sur cinq à sept ans."Neutralité carbone""Prony Resources s'est engagé dans une démarche ambitieuse de décarbonation de sa production et vise la neutralité carbone en 2040", a indiqué Gabriel Bensimon, responsable marketing et vente de l'entreprise, aujourd'hui adossée à une centrale thermique au charbon.En décembre, l'industriel a conclu un partenariat avec TotalEnergies pour la construction d'une méga-centrale photovoltaïque d'une puissance de 160 MGW et d'une capacité de stockage de 340 mégawattheures.La centrale (168 millions d'euros) entrera en service en 2025 et couvrira près de deux tiers des besoins en électricité du site."Nos émissions de CO2 liées à l'énergie seront ainsi réduites de moitié, à 230.000 tonnes par an", a indiqué M. Bensimon, précisant qu'une première tranche de la centrale photovoltaïque venait d'être autorisée par le gouvernement (40 MGW) et fonctionnerait en 2023.Prony Resources - qui a bénéficié d'un solide soutien financier de l'Etat lors de son rachat par des intérêts calédoniens publics et privés – investit par ailleurs 300 millions d'euros pour stocker ses résidus miniers à sec et non sous forme humide, dangereuse pour l'environnement.A la traîneOpérateur historique du nickel calédonien, la Société Le Nickel (SLN), filiale du français Eramet, est plus à la traîne.Son usine métallurgique de Doniambo, à Nouméa, est essentiellement alimentée par une centrale au fuel en fin de vie et très polluante, qui va être remplacée à compter de juillet et jusqu'en 2025 par une centrale "temporaire" au fuel de 200 MGW, ancrée dans la rade.Une solution provisoire née des années de tergiversations des autorités pour remplacer la centrale thermique SLN.L'option récemment retenue reposera sur des grands projets photovoltaïques, des unités de stockage, trois petites centrales à gaz et une station de transfert d'énergie par pompage.La SLN n'obtiendra le feu vert environnemental de la province sud de Nouvelle-Calédonie, compétente en matière d'environnement, pour sa centrale flottante que "si elle s'engage clairement dans une démarche visant 70% d'énergies renouvelables à l'horizon 2030", prévient toutefois Christopher Gyges.Le troisième site métallurgique de l'île, Koniambo Nickel (KNS), est le moins avancé en matière de transition énergétique."Dans le nickel vert, il y a une locomotive Prony Resources, un wagon, la SLN, et une vache qui regarde passer le train, Koniambo Nickel (KNS)", tacle Hubert Géraux, directeur du WWF (Fonds mondial pour la nature) en Nouvelle-Calédonie.Opérée par Glencore et un mineur local, cette usine située dans le nord, fonctionne avec sa propre centrale au charbon.L'unité a été confrontée à des problèmes de montée en production et de flambée des coûts qui sont en passe d'être résolus, selon les récentes déclarations de ses dirigeants."On a commencé à discuter pour dimensionner les énergies renouvelables en intégrant KNS, qui se raccorderait dans le futur au réseau public", espère M. Gygès sans mention d'objectif précis ni de date.
Il y a 3 ans et 2 jours

Vinci Construction France et deux de ses filiales mis en examen pour corruption privée

JUSTICE. La branche française de Vinci Construction a été mise en examen pour corruption privée, a révélé l'AFP, dans un dossier lié au Qatar.
Il y a 3 ans et 2 jours

Les comptes de la Ville de Paris certifiés par une commissaire aux comptes

"Nous sommes d'avis que les comptes présentent sincèrement (...) le patrimoine et la situation financière de la Ville de Paris au 31 décembre 2021", écrit la commissaire aux comptes du cabinet d'expertise comptable Grant Thornton.Cette certification s'inscrit dans une expérimentation de la loi de décentralisation, dite Notre, de 2015, à laquelle participent 25 collectivités françaises. "Paris devient ainsi la 2e collectivité dont les comptes sont certifiés dès la première année", souligne la mairie.Parmi les sept réserves exprimées, la commissaire aux comptes pointe les "314 unités immobilières présentes dans la comptabilité qui ne sont pas retracées dans l'inventaire physique" des terrains et constructions, "l'absence de finalisation" d'inventaire des matériels de transports et des œuvres d'art ou encore "l'insuffisance des procédures de contrôle interne relatives à l'inventaire physique" des terrains, réseaux et installations de voirie.Objet de critiques répétées de l'opposition de droite et du centre, les loyers capitalisés font aussi l'objet d'une réserve, mais seulement pour ceux perçus avant 2016, lorsque le dernier gouvernement de gauche avait autorisé par dérogation la maire PS Anne Hidalgo à exiger des bailleurs sociaux l'intégralité des loyers sur plusieurs dizaines d'années à venir.Pour l'adjoint aux finances (PS) Paul Simondon, qui a réagi auprès de l'AFP, cette réserve sur l'absence de "cadre comptable clair" des années 1970 jusqu'en 2016 démontre bien qu'il n'y a "aucun problème sur les loyers capitalisés depuis 2016".En novembre 2021, le gouvernement avait prévenu la mairie que cette dérogation ne pourrait plus être accordée au-delà de 2022, estimant qu'elle était "constitutive d'un risque budgétaire de fuite en avant"."Entre cette certification faite sous l'autorité de la Cour des comptes" et le rapport de la Chambre régionale des comptes (CRC) "qui confirmait le coût de la crise" sanitaire pour la Ville, qu'elle chiffre à 1,2 milliard d'euros, "on a tout ce qu'il faut pour ne plus maintenir le débat sur des sujets tout à fait annexes, des accusations d'insincérité", estime M. Simondon.En novembre, la cheffe de file de l'opposition LR, Rachida Dati, avait dénoncé l'"insincérité" du projet de budget 2022 et écrit à l'Etat pour suggérer "une mise sous tutelle budgétaire" de la Ville.
Il y a 3 ans et 2 jours

Erosion côtière : L'Association des maires de France (AMF) saisit le Conseil d'Etat

Le gouvernement a adopté le 6 avril l'ordonnance relative à l'"aménagement durable des territoires littoraux exposés au recul du trait de côte", prévue dans la loi Climat et Résilience de 2021.Cette loi prévoit de nouvelles dispositions pour les communes en première ligne face à la montée du niveau de la mer et la multiplication des tempêtes et des submersions marines.L'AMF souligne jeudi dans un communiqué que "les communes littorales attendent depuis longtemps les outils et ressources nécessaires à leur adaptation à l'érosion côtière afin d'éviter les situations juridiques et humaines inextricables révélées par le cas emblématique de l'immeuble Le Signal à Soulac-sur-Mer". Construit à 200 mètres du rivage dans les années 1960, ce dernier menace aujourd'hui de s'effondrer, à seulement 20 mètres des flots.Or, les nouveaux outils proposés dans l'ordonnance "ne répondent pas à cette attente ni du point de vue de la sécurité juridique ni sur celui de la garantie des ressources", juge l'AMF.L'AMF regrette notamment que "l'ordonnance opère un transfert de charges masqué de l'Etat vers les communes, sans les ressources financières dédiées".L'association indique par conséquent avoir saisi le Conseil d'Etat "pour l'interroger sur le bien-fondé de ce texte et afin de garantir la sécurité juridique de l'ensemble de ce dispositif et d'accompagner l'action des maires".Le gouvernement a publié le 4 mai la liste des communes qui devront réaliser des cartes du risque de recul du littoral à 30 ans et 100 ans. Ces cartes serviront de base à de nouvelles règles d'aménagement du territoire, allant jusqu'à des interdictions de construire.
Il y a 3 ans et 2 jours

Gouvernement Borne : un panel de nouveaux ministres pour le BTP

NOMINATIONS. Qui sont les nouveaux ministres du gouvernement d'Élisabeth Borne qui traiteront les sujets liés aux secteurs de l'énergie et de la construction ? Batiactu vous propose un tour d'horizon après l'annonce officielle, ce 20 mai 2022.
Il y a 3 ans et 2 jours

Le président du Medef veut des mesures plus ciblées sur le pouvoir d'achat

"Il faut prendre en compte ces problèmes d'inflation, mais le faire de manière beaucoup plus ciblée que ce que j'ai compris qui allait être annoncé", a déclaré sur France Inter le président de la première organisation patronale française."C'est un peu le +quoi qu'il en coûte+ de croisière", a estimé Geoffroy Roux de Bézieux, qui a soutenu les aides à l'économie adoptées durant la crise sanitaire.Car "on ne peut pas se payer collectivement un +quoi qu'il en coûte+ permanent", a-t-il ajouté.Le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal avait annoncé la semaine dernière que le projet de loi de finances rectificative destiné à adopter un paquet de mesures de soutien au pouvoir d'achat sera présenté en Conseil des ministres à l'issue des élections législatives des 12 et 19 juin.Ce paquet de mesures comprendra une prolongation du bouclier tarifaire sur les prix du gaz et de l'électricité jusqu'à la fin 2022 ainsi qu'un "dispositif pérenne et mieux ciblé" que la remise de 18 centimes sur les prix du carburant, a-t-il détaillé.Parmi les promesses présidentielles qui pourraient aussi faire partie de ce "paquet inflation", les charges pour les indépendants doivent être baissées, la redevance audiovisuelle supprimée dès cette année, le point d'indice de la fonction publique dégelé et le minimum vieillesse augmenté à 1.100 euros nets.