Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

255858 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 7 jours

La 3e édition des Bétons de A à Z est disponible

Outil sans équivalence, “Les bétons de A à Z” constitue le premier et seul dictionnaire encyclopédique dédié à l’univers des bétons. Publié pour la première fois en 2011, il est disponible dans une 3e édition mise à jour et, une nouvelle fois, enrichie de presque 140 occurrences supplémentaires. Les définitions recensées sont le reflet de ce qui est le plus couramment utilisé. Le fil conducteur qui a guidé la rédaction des “Bétons de A à Z” a été la volonté de créer un outil, qui se veut avant tout pratique et simple d’accès. Hors-série Béton[s] le Magazine n°25 – Troisième édition Les bétons de A à Z en vente sur la Boutique ACPresse.fr au prix de 59 € Les 21 figures-clefs du béton Pour aider à la compréhension de certains sujets, des “Comment ça marche ?” expliquent le fonctionnement d’une centrale à béton, d’un carrousel de préfabrication ou la manière de poser un mur à coffrage intégré, pour ne citer que ces trois exemples. Suivant la même approche, les portraits complets de 21 personnalités-clefs ayant fait l’histoire du béton viennent ponctuer certaines pages, complétant l’historique consacré à l’invention du ciment artificiel et à l’évolution du béton, du XIXe siècle à nos jours. Enfin, aujourd’hui l’ouvrage « Les bétons de A à Z » est labellisé « Ecole française du béton ». Preuve s’il en est de la qualité de notre hors-série. Frédéric GluzickiDirecteur de la publication
Il y a 3 ans et 7 jours

L’épique voyage architectural de la femme la plus célèbre du monde

Du Malawi à Montréal, Canada, des dômes cosmiques aux passages de lumière enfouis, l’architecture proclame son nom. La femme n’est pas architecte mais elle exerce le même métier depuis 70 ans. Chronique d’Outre-Manche. Juin 2022 sera violet au Royaume-Uni. La couleur va éclabousser les médias et, dans les rues, il sera impossible d’y échapper. Même […] L’article L’épique voyage architectural de la femme la plus célèbre du monde est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 7 jours

Yvelines : 50 millions d’euros investis dans le nouveau Plan vélo 2022-2027

Le département des Yvelines a mis en place un nouveau programme pour développer le réseau cyclable sur le territoire.
Il y a 3 ans et 7 jours

Vendée : une nouvelle station d’épuration dans la commune des Epesses

La Communauté de communes du Pays des Herbiers a lancé la construction d’une nouvelle station d’épuration dans la commune des Epesses.
Il y a 3 ans et 7 jours

Nomination d'Elisabeth Borne : Les dossiers prioritaires pour baisser la consommation d'énergie sur la table de la Première ministre

S'appuyant sur ses 40 propositions à impact pour des économies d'énergie réelles, le groupe rappelle les fortes attentes du secteur de l'efficacité énergétique et de ses bénéficiaires - des particuliers aux entreprises en passant par les collectivités locales - envers le nouveau gouvernement qui devrait compter dans ses rangs un ministre de la “planification énergétique” et un ministre “chargé de la planification écologique territoriale”. Les dossiers pour baisser la consommation d'énergie priorisés par le contexte géopolitique Le nouveau gouvernement devra juguler les conséquences du choc énergétique provoqué par la guerre d'Ukraine : un enjeu socio-économique majeur, tant la hausse des tarifs de l'énergie impacte le pouvoir d'achat des ménages et les budgets des collectivités, industries et entreprises. Pierre Maillard, Président Directeur Général du groupe Hellio, juge de bon augure qu'Elisabeth Borne, connaisseuse des dossiers phares du secteur de l'énergie, en tant que Première ministre, se voit confier la responsabilité de la planification écologique. Cette orientation avait été annoncée par le candidat Emmanuel Macron dans l'entre-deux-tours de l'élection présidentielle. A l'aube des élections, le groupe Hellio a transmis aux anciens et futurs décideurs politiques ses 40 propositions à impact sur la maîtrise de l'énergie pour répondre à l'urgence sociale et climatique. “Si l'on veut atteindre 700 000 rénovations de logement par an, lutter contre la précarité énergétique et baisser de plus de 32,5 % notre consommation d'énergie - et notamment fossile - d'ici 2030 comme le supposent nos objectifs nationaux et européens, le compte aujourd'hui n'y est pas. L'instabilité des aides financières pour réaliser des travaux d'économies d'énergie en est une des illustrations : la crise du marché des Certificats d'Économies d'Énergie, estimés à 5 milliards d'euros de primes versées annuellement, est un des dossiers à résoudre de toute urgence par le nouveau gouvernement d'Elisabeth Borne. Autour de ces orientations, le groupe Hellio entend durant ce quinquennat être aux côtés des pouvoirs publics pour témoigner de la réalité du terrain, des solutions éprouvées et ainsi contribuer à l'accélération de la transition écologique et la rendre accessible à tous les Français ”, déclare Pierre Maillard, Président Directeur Général du groupe Hellio. Quels dossiers prioritaires pour baisser la consommation énergétique ? Au regard des réformes ambitieuses du dernier mandat, le groupe Hellio souligne toutefois l'insuffisance des financements, de l'accompagnement des ménages et de la formation des artisans pour atteindre les objectifs de rénovation énergétique des bâtiments. Quatre priorités pour instaurer un nouveau modèle français de l'efficacité énergétique semblent devoir être étudiées par le nouveau gouvernement.Les financements : Ré-arbitrer le niveau des aides financières dédiées aux travaux d'économies d'énergie au regard des objectifs de plus de 32,5 % de baisse de la consommation d ‘énergie de la France d'ici 2030. Cela suppose inévitablement une réhausse de l'obligation de la 5ème période de la plus importante des aides existantes, les Certificats d'Économies d'Énergie (CEE) afin d'enrayer la crise de la filière, mais également de réfléchir à une loi de programmation quinquennale des aides dès 2023 pour assurer une visibilité au secteur.Rénovation globale : Alors que moins de 70 000 rénovations globales des logements sont réalisées par an, le modèle économique est loin d'être suffisant : Expérimenter un modèle innovant d'accompagnement et de tiers financement de la rénovation globale et performante permettrait potentiellement de changer d'échelle.La réforme MonAccompagnateurRénov qui fait l'objet d'un projet de décret actuellement en cours de publication ne doit pas freiner la dynamique.Formation professionnelle : Accompagner l'offre de formation professionnelle pour préparer aux métiers d'avenir et conforter une véritable filière de l'efficacité énergétique est indispensable pour faire face à la pénurie de main d'œuvre.Économie circulaire : Orienter le choix des artisans en faveur de matériaux et équipements vertueux issus de l'économie circulaire et des circuits courts par un taux réduit de TVA permettrait d'accélérer la décarbonation et la résilience de notre économie.
Il y a 3 ans et 7 jours

À Versailles, la Biennale d'architecture et de paysage fait face à l'urgence climatique

CULTURE. La Région Ile-de-France et ses partenaires ont donné carte blanche à des architectes et paysagistes pour imaginer des expositions qui soient sources de solutions pour un monde plus durable. À travers plusieurs sites de la ville de Versailles, le public découvre des projets innovants.
Cimbat
Il y a 3 ans et 7 jours

Bilan carbone de la pierre vs bilan carbone du béton : la fabrication

Faire d’une pierre deux coups, une mauvaise idée ? C’est du moins ce que semble penser Gilles Perraudin,* promoteur s’il en est de la construction en pierre massive, à propos du béton, selon lui trop armé pour la planète. Ne sommes-nous pas tous assis sur un gros caillou ? Calcul raisonné en deux phases. Première partie : la […] L’article Bilan carbone de la pierre vs bilan carbone du béton : la fabrication est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 7 jours

Un café sur fond d’urbanisme avec Louis Giscard d’Estaing

Annoncé par VSD début mai 2022, le philosophe de Chroniques a conçu et animera une série d’émissions de philosophie pour TV5 Monde. Au détour d’une réunion dans les locaux de la chaîne de télévision, Tom Benoit a croisé Louis Giscard d’Estaing. De l’urbanisme autour d’un café. Chronique du philosophe. Si les grands travaux ont su […] L’article Un café sur fond d’urbanisme avec Louis Giscard d’Estaing est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 7 jours

Pour les 190 ans du Groupe Blanchon, rencontre avec Guillaume Clément, Président Directeur Général

Batinfo : Pourriez-vous nous présenter le Groupe Blanchon ?Guillaume Clément : Le Groupe Blanchon a été fondée il y a 190 ans afin de fournir des solutions fiables pour la protection, la décoration, l'entretien et la rénovation du bâtiment, de l'habitat et des lieux de vie, avec un focus particulier sur le bois utilisé en intérieur (parquet, boiseries, meubles) et en extérieur (terrasses, bardages). Le groupe développe, fabrique et commercialise une vaste gamme de vernis techniques, de produits de finition et de peintures, en restant toujours à la recherche de nouvelles innovations. Nous sommes partenaires des utilisateurs, des négoces bois et matériaux et des grossistes peinture, des industriels de revêtements sols et des grandes surfaces de bricolage.En raison de notre longue histoire en France nous restons attachés à une production locale de qualité. Nous comptons actuellement 420 collaborateurs dans le groupe dont 250 en France et nos 3 plus grandes usines se situent en région Rhône-Alpes. Nous vendons plus de 10000 références, à plus de 8500 clients dans 55 pays, avec une présence forte en Europe. Notre très puissante implantation en France nous permet de nous développer à l’international avec ambition et détermination. Le développement international reste un enjeu stratégique pour l'entreprise et nous projetons de réaliser à terme 50% de notre chiffre d'affaires à l'export. En 2020 nous avions un chiffre-d'affaires de 75 millions d'euros, en 2021 nous avons dépassé les 100 millions de CA et nous nous sommes donnés un objectif de 150 millions de CA en 2025.Batinfo : Nouveaux produits verts, développement en Europe, nouvelle identité graphique... ce 190e anniversaire est-il le début d'une nouvelle ère pour le groupe ?« Protéger c’est dans notre nature » depuis 190 ans...Le Groupe Blanchon a évidemment rencontré plusieurs défis depuis sa création et notamment avec les changements en lien avec la prise de conscience écologique de la fin du XXème siècle. L'arrêt des solvants dans les années 90 a par exemple été un challenge pour nous qui produisons des vernis et des peintures. Mais cela nous a amené à développer notre technologie biosourcée, à lancer une démarche RSE et aujourd'hui plus d'une centaine de nos produits bénéficient de l'Écolabel Européen.Depuis de nombreuses années maintenant, nous nous sommes engagés dans une démarche éco-responsable pour limiter autant que possible notre empreinte environnementale. Nous misons notamment sur l'éco-conception en privilégiant des formulations en phase aqueuse, des matières premières renouvelables et des produits à faible émissions de Composés Organiques Volatiles (COV). Nous produisons dans des usines efficientes, propres et respectueuses de l'environnement, sans rejets dans l'eau, l'air ou le sol, en veillant à un bilan carbone mesuré et en réduisant ou supprimant de façon drastique les solvants. Les consommateurs ont également un rôle à jouer dans cette démarche écologique et c'est pourquoi nous fournissons des conseils sur la bonne utilisation des produits, des recommandations données aux utilisateurs pour protéger l'environnement et nous incitons à privilégier la rénovation plutôt que le remplacement. Valoriser les emballages recyclables, le tri sélectif et le retraitement des déchets en filière spécialisée sont évidemment des points clés pour limiter notre impact sur l'environnement de la création de nos produits à leur fin de vie.Le développement à l'international relève aussi du défi pour une entreprise française privilégiant la production locale. Nous nous développons en Angleterre, en Pologne, en Belgique, aux Pays-Bas, en Italie et partout en Europe. Pour l'instant 60% de notre chiffre-d'affaires vient de la France et 40% de l'Europe mais nous créons de nouvelles équipes régulièrement pour augmenter notre présence à l'étranger.Mais le futur s'avère aussi jonché d'obstacles. Comme dans beaucoup de métiers liés à l'artisanat ou au BTP, attirer des jeunes talents est difficile. Nous devons trouver une solution pour rendre nos métiers à nouveau attractifs. Face à ce défi que représente le recrutement et la conservation du savoir-faire des artisans qui travaillent avec nos produits, créer une académie pour les professionnels puis pour les particuliers dans un second temps peut être une solution à envisager.Batinfo : Quelles sont vos ambitions pour l'avenir ?Pour assurer la pérennité du Groupe, et relever les enjeux environnementaux de notre planète, une évidence : proposer des produits toujours plus performants, éco-responsables et consolider la présence de nos marques sur le plan international. Notre modèle économique, bâti sur 3 activités complémentaires –le grand public, les professionnels du bâtiment et les fabricants industriels de revêtements de sols- doit continuer à s’exporter partout dans le monde. Nous avons accéléré nos implantations en Belgique et aux Pays-Bas avec les acquisitions de Ciranova et de Rigo Verffabriek au cours des 10 derniers mois. L’Europe est notre maison commune et le Groupe Blanchon a vocation à en devenir l’un des leaders incontournables dans l’offre de solutions durables de produits de protection pour les matériaux bois notamment.
Il y a 3 ans et 7 jours

Dernière œuvre posthume d’Oscar Niemeyer inaugurée en France

On retrouve le style emblématique de Niemeyer : organique et sensuel. [©Château La Coste] Le Château La Coste vient d’inaugurer un nouveau pavillon dessiné par le grand architecte brésilien Oscar Niemeyer (1907-2012). Petit plus : c’est son dernier projet architectural. Le Brésilien considérait ce pavillon comme son ultime cadeau à la France, un pays qui lui était cher. En effet, il s’était exilé à Paris pour échapper à la dictature militaire avant de rentrer à Rio de Janeiro. Le projet de pavillon pour Château La Coste remonte à 2010. Déjà âgé de 103 ans, Oscar Niemeyer est alors approché pour dessiner un bâtiment pour cet écrin provençal. L’idée de créer un projet au cœur d’un champ de vignes lui plaisait beaucoup. Il faut plus d’un an à l’architecte pour achever les dessins et trouver l’emplacement idéal. En 2011, son équipe entame les visites de terrain. Terroir viticole et gastronomie de haut vol Construit au cœur du vignoble, le pavillon Oscar Niemeyer est un édifice en béton blanc tout en courbes, qui épouse le relief du coteau provençal où il est implanté. [©Château La Coste] « J’ai pris énormément de plaisir à travailler sur ce projet. Le lieu est magnifique. C’est un environnement sain et paisible », confiait l’architecte avant son décès. « Pour lui le vin était un symbole fort de la présence de l’homme sur terre », indique-t-on au Château. Situé entre le Parc naturel régional du Luberon et Aix-en-Provence, ce domaine provençal de 200 ha a ouvert les portes de ses galeries d’art au public en 2011. « Je voulais y créer une construction légère, en harmonie avec le paysage et la végétation. Se promener autour de ce bâtiment, parfaitement adapté à l’endroit, sera une joie pour les visiteurs », promettait Oscar Niemeyer. Les projets architecturaux et la beauté du parc ont aussi inspiré de nombreux artistes, qui exposent leurs œuvres. Ce vignoble biologique associe à la fois terroir viticole et gastronomie de haut vol. Un édifice tout en courbes Dans le point d’eau, devant la structure, se reflète la façade, créant ainsi un jeu de lumière poétique et apaisant. [©Château La Coste] Construit au cœur du vignoble, le pavillon Oscar Niemeyer est un édifice en béton blanc tout en courbes, qui épouse le relief du coteau provençal où il est implanté. On retrouve le style emblématique de Niemeyer : organique et sensuel. Dans le point d’eau, devant la structure, se reflète la façade, créant ainsi un jeu de lumière poétique et apaisant. Cette bâtisse accueille un espace d’expositions de 380 m² et un auditorium de 80 places au sein d’une structure cylindrique de 140 m². On y accède par une passerelle donnant sur une grande façade incurvée en verre. Château La Coste2750 route de La Cride13610 Le Puy-Sainte-Réparade
Il y a 3 ans et 7 jours

"Objectif : couvrir 100% des entreprises dans les 5 ans", Brice Messier, DG de Covage

INTERVIEW. Après les rachats de Kosc Télécom en 2020 et d'une partie des activités de Covage en septembre 2021, spécialisées dans les deux cas sur le marché de fibre optique pour les entreprises, le groupe Altitude a choisi d'unir les deux entités sous une même bannière. Le nouvel ensemble s'est par ailleurs doté d'un plan pluriannuel de développement, que son directeur général, Brice Messier, détaille à Batiactu.
Il y a 3 ans et 7 jours

101 épopées de la construction française

Découvrez les “101 épopées de la construction française”. [©DR] A travers l’ouvrage “101 épopées de la construction française”, Xavier Bezançon, Daniel Devillebichot, Laurence Francqueville et Max Roche apportent leur contribution au grand récit de la construction dans l’Hexagone. Les auteurs ont souhaité communiquer leur passion à tous leurs lecteurs, y compris, et surtout, aux plus jeunes. Et, qui sait, leur donner envie de participer à leur tour aux prochaines épopées. De mémoire d’homme, on a toujours bâti. Là où les habitations étaient encore fragiles et que les chemins se sont effacés, d’innombrables vestiges témoignent encore de la longue histoire de la construction. De grands édifices collectifs : palais, temples, églises… nous viennent d’un passé parfois très lointain. Avec l’époque moderne, ce sont des ouvrages en général fonctionnels qui ont jalonné le paysage et continuent chaque jour de le transformer… Les inventions françaises Encore méconnue, cette histoire nous est racontée, ici, par des professionnels du secteur qui en ont été les acteurs et les témoins. Dans ces pages très illustrées, les auteurs nous montrent que les bâtisseurs ont toujours manifesté, en France, un génie particulier. On sait, par exemple, que c’est en France que le système ogival a vu le jour, permettant d’élever des cathédrales gothiques. Mais c’est encore là que Pierre-Paul Riquet a su recourir aux écluses pour concevoir un canal géant. Et qu’en 1670, il a réalisé le premier barrage d’Europe. C’est toujours dans l’Hexagone qu’en 1817, Louis Vicat a inventé la composition définitive du ciment. Et qu’en 1848, auteur de la première construction en béton armé, François Coignet a fait prendre un tournant décisif à la construction mondiale. Au début du XXe siècle, Eugène Freyssinet mettait au point le fameux béton précontraint et post-contraint. Permettant, partout dans le monde, de construire des ouvrages publics de très grandes dimensions. Des constructions collectives Pour dresser un panorama des épopées de la construction qui se sont succédé, les auteurs n’en ont volontairement retenu qu’une centaine parmi les plus marquantes. Sans omettre celles qui, plus près de nous, ont engendré le réseau autoroutier, ses ponts et ses tunnels ou encore de grands barrages et des aéroports internationaux. En sciences, le nom d’un inventeur demeure souvent attaché à sa création. Mais les œuvres que nous ont laissées ces bâtisseurs sont pour la plupart le résultat de prouesses collectives. D’où ces épopées. Elles nous révèleront aussi des trajectoires individuelles, montrant à quel point l’acte de construire est enthousiasmant. Editeur : Editions EyrollesAuteur : Xavier Bezançon, Daniel Devillebichot, Laurence Francqueville et Max RochePrix : 20 €TTC Retrouvez l’ouvrage ici
Il y a 3 ans et 7 jours

"Notre challenge est de répondre au marché des renouvelables", P. Bassetti (Viessmann)

STRATÉGIE. Avec 92% de ses ventes qui partent à l'export et une forte croissance enregistrée au cours des deux dernières années, l'usine Viessmann de Faulquemont (Moselle) célèbre ses 50 ans d'existence en regardant obstinément vers l'avenir, surtout en cette période où la transition énergétique constitue un débouché plus que prometteur. Le groupe familial d'origine allemande y consacrera un milliard d'euros d'investissements au cours des trois prochaines années.
Il y a 3 ans et 7 jours

Val-de-Marne : poursuite de l’investissement pour l’aménagement de la voirie

Le département de Val-de-Marne continue d’investir pour améliorer les conditions de circulation et le cadre de vie de ses communes.
Il y a 3 ans et 7 jours

Aide à la gestion locative sociale : les effets des annonces gouvernementales se font attendre

Cette enquête montre peu d’évolutions sur le large panel de résidences interrogées, avec un taux de versement moyen de 65% au niveau national (63% en 2020). Les disparités de dotations entre les départements et entre les résidences au sein de certains d’entre eux demeurent, malgré quelques points d’amélioration.L’Aide à la Gestion Locative Sociale (AGLS)L’AGLS est une aide destinée aux résidences sociales, pour financer la gestion locative sociale, qui se décline en 4 grandes catégories d’interventions : la régulation de la vie collective au sein de la résidence, la prévention et la gestion des impayés, la lutte contre l’isolement et la médiation vers les services extérieurs.Une enveloppe redéployée chaque annéeDepuis plusieurs années, la loi de finances vote une enveloppe de 26 millions d’euros. Cette enveloppe n’a pas été revalorisée depuis 2013 et ne tient pas compte de l’évolution régulière du nombre de résidences sociales : ainsi cette ligne, en application stricte du barème, devrait atteindre 31 millions d’euros (soit 19% de plus que son montant actuel).Chaque année, environ un tiers de cette enveloppe est redéployée vers d’autres politiques. Si les chiffres officiels ne sont pas encore connus pour l’année 2021, cette enquête montre que le redéploiement de crédits ne devrait pas avoir diminué. La légère amélioration constatée est trop lente pour être perçue comme significative par les acteurs d’autant que la dotation théorique elle-même ne correspond plus aux besoins.De fortes disparités territorialesMalgré quelques améliorations, les constats se répètent année après année :1. Des disparités de situation qui restent très marquées entre les territoiresCette année encore, les écarts restent très variés selon les départements. La moyenne des versements varie de 100% de l’AGLS prévue par la circulaire, à … 0%. Il n’y a pas de corrélation entre le nombre de résidences sur le territoire et l’écart relevé. La proportion de département versant en moyenne plus de 50% de la dotation théorique est stable, à 85%.2. Des approches très différentes au sein des départements n’attribuant qu’une fraction de l’enveloppe maximaleLà encore, le constat réalisé depuis 2019 est toujours d’actualité : à l’inégalité de situation entre les territoires, s’ajoute l’inégalité de traitement au sein de certains territoires. En effet, si certains départements répartissent l’enveloppe AGLS de façon homogène, d’autres attribuent l’intégralité de la subvention à certaines résidences et rien à d’autres (selon l’ancienneté de la résidence, par exemple).3. Les résidences totalement privées d’AGLS restent nombreuses19% des résidences sociales de cette enquête n’ont perçu aucune AGLS en 2021. Ce chiffre est en légère amélioration par rapport à 2020 où cette proportion était de 23% sur le même échantillon.Les propositions de l’Unafo1. Transformer l’AGLS en une aide de droit et mettre en adéquation les ressources avec les besoins des gestionnaires. Pour que l’AGLS réellement attribuée permette aux gestionnaires de mener leurs actions, l’Unafo souhaite que :l’enveloppe globale dédiée à l’AGLS fasse l’objet d’une réévaluation dès la loi de finances pour 2023 pour atteindre a minima 31M€,l’ensemble des crédits votés par le Parlement pour financer l’AGLS soient dépensés uniquement à cette fin, sans être redéployés pour financer d’autres politiques, aussi légitimes soient elle.une clause de revalorisation des montants plafonds soit instituée pour tenir compte de la hausse des coûts.la possibilité ouverte par la circulaire de 2013 de dépasser le plafond de subvention de 20% pour les résidences de plus de 200 logements soit rappelée aux financeurs.la création d’une aide renforcée de 2 euros par jour et par personne pour permettre de financer les associations qui exercent des actions plus fortes visant à renforcer l’accès aux droits sociaux et sanitaires.2. Donner de la visibilité aux gestionnaires par des conventions pluriannuelles3. Engager un dialogue avec les territoires les plus en décalage : l’Unafo souhaite qu’un dialogue soit établi, en visant en priorité les départements sur lesquels les écarts sont les plus marqués (la Gironde, le Rhône, la majorité des départements d’Ile de France, la Haute Garonne, …) afin de réfléchir à une harmonisation des pratiques.Sur ces points, la feuille de route du gouvernement pour le développement de la production des résidences sociales annoncée il y a un an, en mai 2021, n’a encore entrainé aucune amélioration.1 L’enquête s’est tenue en février et mars 2022 sur l’AGLS perçue en 2021. L’Unafo a pu recueillir les données de 23 adhérents, représentant 616 résidences sociales, soit 62588 logements, réparties sur 52 départements métropolitains.
Il y a 3 ans et 7 jours

Seine-et-Marne : de nouveaux traits pour la place Jean-Paul-II à Montereau-Fault-Yonne

La place Jean-Paul-II à Montereau-Fault-Yonne a fait l’objet d’un réaménagement. Les travaux étant achevés, les habitants peuvent désormais profiter du nouvel agencement.
Il y a 3 ans et 8 jours

La santé, nouvelle frontière des politiques d’habitat

L’habitat est un point sensible des politiques publiques, pour ne pas dire un échec. Le logement est un poids de plus en plus lourd du pouvoir d’achat et, semble-t-il, non contrôlé malgré un « pognon de dingue ». Un esprit sain dans un habitat sain ? Chronique de l’intensité. Secteur du bâtiment champion des émissions de gaz à […] L’article La santé, nouvelle frontière des politiques d’habitat est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 8 jours

Deux contrats éoliens en Allemagne pour Eiffage Métal

La filiale belge d’Eiffage Métal, Smulders a été choisie par Ørsted, numéro un mondial de l’éolien offshore la fabrication des structures secondaires en acier des fondations monopieux des parcs éoliens offshore Gode Wind 3 et Borkum Riffgrund 3 en Allemagne.
GDA
Il y a 3 ans et 8 jours

Rehau se réinvente avec Rautop, son nouveau plafond chauffant-rafraîchissant

Rautop est plus efficace et confortable en rafraichissement que les solutions au sol déjà bien connues de la marque. Le système se caractérise également par sa grande facilité d'installation.
Il y a 3 ans et 8 jours

Ecominéro nomme son DG et son directeur technique

Le futur éco-organisme, voulu par la filière minérale, nomme un cadre de chez Suez à sa direction générale.
Il y a 3 ans et 8 jours

Kloovis, une plateforme de bricolage qui s'inspire des codes de Vinted

SECONDE MAIN. Le marché de la distribution dans le secteur du bricolage est en pleine mutation. La vente en ligne et la seconde main prennent de plus en plus d'importance, dans le BtoC mais également dans le BtoB. Née au printemps, la plateforme Kloovis propose de vendre ses stocks de chantiers.
Il y a 3 ans et 8 jours

ENO dévoile ses nouveautés pour les cuisines d'extérieur

Pour les amateurs de cuisine d'extérieur, la gamme Modulo intègre désormais un four et une plaque de cuisson deux feux pour avoir tout le confort d'une cuisine intérieure dans son jardin ! Avec son design moderne et élégant, il s'intègre parfaitement avec les autres modules de la gamme.Grâce à ce nouveau module combiné, les possibilités de créations culinaires sont illimitées. Il est désormais possible de cuisiner l'ensemble du repas, de l'entrée au dessert, sans avoir à faire des allers-retours dans la maison.Contenance : 24 LDimensions du module : H 85 x L 80 x P 62 cmPrix : à partir de 1990,30€Le nouveau module pour plancha de la gamme Modulo a été conçu pour recevoir la plancha encastrable TRIBU.Idéale pour les amoureux du design minimaliste, cette nouvelle plancha sait se faire discrète. Elle s'encastre à fleur du plan de travail pour un rendu ultra moderne.Son capot en inox est extra plat. Une fois fermée, la plancha passe incognito et se fond au module. L'espace de préparation est ainsi dégagé et plus facile à nettoyer.Il est équipé d'un compartiment très pratique pour ranger la bouteille de gaz qui alimente la plancha.Module plancha à encastrer : Dimensions : H 85 x L 80 x P 62 cmExiste en 3 finitions : inox, inox et noir, gris cargoPrix : 701,30€Plancha Tribu : Dimensions : H 1,8 x L 40 x P 67 cmBrûleur : 2500 WSurface de cuisson : 44 x 30 cmPrix : 519,30€ + couvercle à 139,30€
Il y a 3 ans et 8 jours

Rhône : la Maison régionale des sports à Lyon est désormais opérationnelle

Les clubs, les ligues et les sportifs de la région Auvergne-Rhône-Alpes peuvent disposer de la Maison régionale des sports implantée à Lyon.
Il y a 3 ans et 8 jours

Un chiffre d'affaires record pour Consentino en 2021 et 685 nouveaux emplois créés

Le groupe espagnol Consentino a augmenté son chiffre d'affaires de 30% à 1 401 millions d'euro en 2021. Son bénéfice net a augmenté de 59%. La filiale française du groupe enregistre une croissance de 47%.
Il y a 3 ans et 8 jours

Atlantic investit 4,3 millions d'euros pour ses cartes électroniques "made in France"

Avec le lancement de son "plan électronique 2024, le groupe Atlantic prévoit l'extension de son usine de production de cartes électroniques dans le cadre de France Relance.
Il y a 3 ans et 8 jours

L’Institut Giacometti cherche résidents pour l’Ecole des Modernités

Dans le cadre de l’Ecole des Modernités, La Fondation Giacometti (Paris) soutient des contributions significatives dans le domaine de l’histoire de l’art moderne (1905-1960) grâce à l’ouverture de résidences de recherches. Candidatures jusqu’au 6 juin 2022. L’Institut Giacometti propose un programme de recherche sur l’histoire de l’art moderne : l’École des modernités. Ce programme a […] L’article L’Institut Giacometti cherche résidents pour l’Ecole des Modernités est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 8 jours

Des bâtiments en bois pour la décarbonation

Ingénieur en construction bois formé à Nantes, Mathieu Robert, responsable des solutions de construction du groupe suédo-finlandais Stora Enso Wood Products se félicite de la mise en place de la RE 2020, pionnière en Europe, qui doit permettre à terme le développement de l'industrie de la construction bois dans toute l'Union.
Il y a 3 ans et 8 jours

Pyrénées-Atlantiques : une piste cyclable sur l’avenue du Château-d’Este à Billère

À Billère (Pyrénées-Atlantiques), le projet d’une double piste cyclable sur l’avenue du Château-d’Este s’élève à plus de 500 000 euros.
Il y a 3 ans et 8 jours

AER Architectes accompagne la projection vers l'avenir du site de Rochexpo

Résultat d’un partenariat entre la mairie de La Roche-sur-Foron, le Conseil Départemental, la Région Auvergne-Rhône-Alpes et Rochexpo, la conception et la réalisation de la nouvelle halle du site Rochexpo à haute-performance énergétique ont été confiées à l’agence AER Architectes. Les études ont débuté en 2018 et le chantier a démarré en juillet 2020. L’inauguration a eu lieu le 18 février dernier en présence du Président de la région Auvergne-Rhône-Alpes Laurent Wauquiez, du Président du département de la Haute-Savoie Martial Saddier et Président de Rochexpo Philippe Carrier.Il résulte de l’alliance entre modernité, la multifonctionnalité, la qualité d’accueil et de réception ainsi qu’une identification forte au territoire.Restructuration spatiale ambitieuseLe programme audacieux s’articule autour de la création de 3 halls d’exposition, d’espaces de conférences et séminaires, d’espaces traiteur et l’embellissement d’un bâtiment « Forum » existant; les bâtiments existants exigus ne répondant plus aux objectifs fonctionnels et thermiques.La halle forme un continuum spatial dans lequel se sous-divisent trois espaces de réception. Le plus grand permet l’organisation de conférences et événements exceptionnels profitant de tribunes télescopiques d’une capacité de 1000 places et d’un traitement acoustique.Le hall d’exposition est en charpente bois-métal tridimensionnelle de grande dimensions : une portée de 54m qui a permis la création d’un espace de 6000m2 sans un seul poteau. La structure symétrique trellis avec des poteaux en force traction. La force ainsi descendante permet aux poteaux d’être fins et de jouer avec les lignes : une prouesse et signature architecturale du bâtiment.Un chantier éco-responsableLe projet a une dimension éco-responsable forte pour répondre aux nouvelles normes environnementales et sociétales.La réduction de l’empreinte carbone et de la consommation énergétique du bâtiment a été rendue possible par l’optimisation de l’ensemble de ses infrastructures notamment par : la végétalisation des accès et intégration dans le paysage et ses spécificités, l’utilisation des structures bois pour la charpente et les murs, le renforcement de l’isolation thermique, la réduction de -50% des consommations en eau, le travail sur l’éclairement naturel avec des bandeaux vitrés toutes façades et des éclairements en toiture (autonomie 50%) et le travail des matériaux recyclés, solution innovante dans les techniques d’architecture et d’urbanisme.Les bois sont issus de forêts labellisées FSC ou PEFC, de marque CE, dans une démarche préférentielle «Bois des Alpes» : bois massifs en résineux de pays (sapin, épicéa, pin...).Ré-emploi des matériaux existants : 2 000m3 sur les 5 200m3 issus des travaux de terrassement ont été criblés sur place pour être réutilisés et éviter ainsi le maximum de déchets éliminés en décharge. L’ancien enrobé a été raboté sur site pour être réutilisé par l’entreprise. et les anciennes fermes en lamellé collé ont été ponctuellement réutilisées en mobilier.Identité régionale ancréeFaire de l’architecture du bâtiment une ode au patrimoine naturel haut-savoyard et participer à son rayonnement national et international.Le travail de façade écrit la qualité architecturale et fonctionnelle symbolique pour une transformation durable de l’image du site : l’implantation aléatoire de poteaux fait référence à la forêt avoisinante et répond au relief de deux volumes blancs en écho aux montagnes et aux glaciers. L’accès au parvis haut de la halle a été sécurisé et embelli par un terrassement minéral agrémenté de «séracs» et la création de jardins «alpins». Son envergure et son architecture hors-norme en font sa signature et porte haut les couleurs régionales.
Il y a 3 ans et 8 jours

L'insertion sociale sous la loupe des Grands Projets Franciliens

La Société du Grand Paris, SNCF Réseau, la RATP et la Solideo se sont engagés lundi 9 mai à la mise en oeuvre d'un Observatoire des Grands Projets Franciliens pour favoriser l'emploi des plus défavorisés.
Il y a 3 ans et 8 jours

Eldo lève 6 millions et ambitonne la première place du SaaS marketing du BTP en Europe

Plateforme de conseils en amélioration de l'habitat pour les particuliers et solution SaaS marketing pour les professionnels et les marques, la start-up Eldo accélère son développement.
Il y a 3 ans et 8 jours

Pyrénées-Atlantiques : lancement des travaux de prolongement de la ligne T2 du Tram’bus

De nouveaux aménagements seront réalisés à Bayonne pour prolonger la ligne T2 du Tram’bus.
Il y a 3 ans et 8 jours

Casino a mis en vente sa filiale énergie GreenYellow sur fond de désendettement

Le groupe de distribution Casino, engagé depuis plusieurs années dans un vaste de plan de cessions pour désendetter ses sociétés de contrôle, a confirmé lundi avoir mis en vente sa filiale dédiée à la production d'énergie renouvelable GreenYellow.Dans un communiqué lundi, le groupe a confirmé "avoir lancé un processus de cession de GreenYellow en vue d'une potentielle opération d'ici la fin de l'année", mais dit n'avoir reçu à date "aucune offre engageante". En outre, "aucune décision définitive n'a été prise sur ce projet".Cette communication fait suite aux publications de plusieurs médias, dont Le Figaro et Les Echos, qui précisaient notamment que TotalEnergies ou Engie pourraient se montrer intéressés, et que Casino espérait 1,5 milliard d'euros de la vente.L'information a été bien accueillie par les marchés puisque l'action de Casino s'appréciait de plus de 5,5% lundi à la mi-journée, à plus de 19 euros. Depuis le début de l'année toutefois, Casino a perdu plus de 18% de sa valeur en Bourse.TotalEnergies et Engie, interrogés par l'AFP, n'ont pas souhaité commenter des "rumeurs de marché", pas plus que le fonds d'investissement Tikehau Capital, qui avait pris en octobre 2018 aux côtés de la banque publique Bpifrance 24% du capital de GreenYellow en échange de 150 millions d'euros.A destination des entreprises et collectivitésCréé en 2007 par Casino, GreenYellow vend à ses clients la possibilité de "réduire leur consommation énergétique et leur impact carbone", via l'installation de panneaux solaires, "des contrats de performance énergétique" et "différents services" comme le conseil ou l'achat d'énergie.Dans la communication financière du groupe Casino, GreenYellow est présenté comme une entreprise "B2B", s'adressant aux entreprises et aux collectivités dans les 16 pays où il est présent, avec une "puissance totale installée ou en cours de construction" de 740 MW à fin 2021.Son nom a fait l'actualité dernièrement dans le cadre de la fourniture de gaz à des particuliers, une activité qui est ciblée par une action de groupe pilotée par l'association de défense des consommateurs Consommation Logement Cadre de vie (CLCV).Cette dernière reproche à l'entreprise des "pratiques trompeuses" pour pousser ses clients à renoncer à une offre tarifaire fixe avantageuse dans un contexte de forte inflation du coût de l'énergie. Le groupe souhaite mettre un terme à cette activité mais a indiqué début avril qu'"à ce jour", "aucune date de cessation de notre activité de fourniture en gaz n'est arrêtée en accord avec les administrations compétentes".Plan de cession d'actifsLe groupe Casino cherche en tout cas à vendre pour encore au moins 1,3 milliard d'euros d'actifs, dans le cadre d'un vaste plan de cessions de 4,5 milliards engagé en juillet 2018 et dont l'échéance, initialement fixée en mars 2021, a été repoussée en raison de l'épidémie de Covid-19. Casino entend désormais la mener à bien "au plus tard fin 2023".Jusqu'à présent, le groupe s'était toujours abstenu d'indiquer lesquels de ses actifs pouvaient être cédés. Outre GreenYellow, il détient le site d'e-commerce CDiscount, ou encore les enseignes Monoprix, Franprix, Géant, Naturalia, ainsi que Asai ou Pao de Acucar en Amérique latine...Le plan de cessions s'inscrit dans le cadre du plan de sauvegarde de la maison-mère de Casino, Rallye, et de sa cascade de holdings (Foncière Euris, Finatis et Euris), lourdement endettées. Décidé en février 2020 par le tribunal de Commerce de Paris, il prévoit un remboursement des créanciers via la remontée de dividendes de Casino vers ses holdings, ainsi que la cession de ces actifs "non stratégiques".Un report de deux ans de l'échéancier des remboursements a été accordé en octobre 2021, en raison du Covid-19, et une importante échéance de remboursement de créances interviendra non plus en février 2023 mais 2025.En attendant, l'activité commerciale de Casino souffre avec des ventes en recul notamment en France, où elles se sont établies en 2021 à 14 milliards d'euros (-7,5%), sur un total de 30,5 milliards d'euros.Hasard du calendrier, la communication de Casino sur GreenYellow lundi intervient alors que le média spécialisé dans la distribution LSA détaille le dernier panel des parts de marchés françaises établi pour la période 21 mars-17 avril par Kantar.Ce dernier vient de modifier sa méthodologie de calcul, ce qui a eu pour conséquence de faire reculer d'un rang Casino (7,1% de parts de marché), en septième position, doublé par l'Allemand Lidl (7,6%) et derrière E.Leclerc (22,1%), Carrefour (20,1%), Les Mousquetaires (15,8%), Système U (11,9) et Auchan (9,2%).
Il y a 3 ans et 8 jours

Puy-de-Dôme : construction de quatre centrales photovoltaïques sur d’anciens sites de stockage de déchets

Valtom Énergie Solaire va construire quatre centrales photovoltaïques dans le Puy-de-Dôme afin de répondre aux enjeux de la transition énergétique.
Il y a 3 ans et 8 jours

Puy-de-Dôme : début des travaux d’aménagement de la rue Pasteur à Aubière au printemps 2022

L’aménagement de la rue Pasteur à Aubière portera sur la réfection de la chaussée, l’agrandissement des trottoirs et la création d’une piste cyclable.
Il y a 3 ans et 8 jours

Tout sur la révision du DTU 25.41 Ouvrages en plaques de parement en plâtre

L’entreprise Siniat ouvre des sessions de formations et met à jour son carnet de pose, pour accompagner les évolutions du Document Technique Unique 25.41.
Il y a 3 ans et 8 jours

Oise : un parc naturel en projet sur le site du Marais Monroy à Nogent-sur-Oise

À Nogent-sur-Oise, la réhabilitation du Marais Monroy s’inscrit dans le cadre des principaux investissements de la commune pour l’année 2022.
Il y a 3 ans et 8 jours

Un nouveau nuancier Acova pour de nouvelles inspirations

Inventeur du radiateur décoratif en 1964 et du sèche-serviettes en 1978 en France, ACOVA a été la première marque à proposer ses produits en couleur afin de les harmoniser, avec style, à la décoration intérieure de l’habitat. Aujourd’hui, Acova s’associe à Juliette Baumgartner, architecte coloriste renommée, pour renouveler son offre couleur et proposer de nouvelles inspirations intemporelles ou tendances. Fruit de cette collaboration, un nuancier riche de 46 teintes, déclinées au travers de 5 univers décoratifs, élaborés à partir d’une analyse de l’évolution des modes et des espaces de vie, du design et des matériaux utilisés dans le bâtiment. La crise sanitaire a accentué l’engouement des Français pour l’aménagement de leur habitat, le considérant comme un lieu de refuge. Leur leitmotiv à cela : se sentir bien chez soi. C’est ainsi, qu’en fonction des aspirations et des styles de vie de chacun, la couleur a pris de plus en plus d’importance dans la décoration que ce soit pour agrandir ou illuminer un espace ou créer une atmosphère agréable. Peinture, tissus, accessoires et équipements participent à cet équilibre tant recherché. Un concept basé sur des tendances décoratives durables Dans ce contexte, Acova a souhaité renouveler son nuancier et s’est entourée de l’expertise de Juliette Baugartner, consultante en architecture et spécialiste des tendances colorielles. « Acova étant déjà synonyme de couleur, la nouvelle palette a été travaillée dans un esprit de continuité. En me basant sur une analyse de l’évolution des modes et des espaces de vie, des matériaux, du design des objets et en tenant compte qu’un radiateur n’est pas un équipement que nous changeons souvent, j’ai recherché un équilibre entre couleurs tendances et intemporelles. Lors du choix d’un radiateur et de sa finition, je me suis aussi demandé avec quel type de robinet, de céramique, de carrelage ou d’accessoire il serait associé afin que le particulier profite longtemps de celui-ci », explique Juliette Baumgartner. Un équilibre entre couleurs chaudes et froides Divisé en tons chauds et froids, le nouveau nuancier se compose de 46 couleurs teintées d’élégance dont 25 inédites en finitions mates, brillantes ou métalliques (Cement Grey, Olive Green, Terracotta Faded, Champagne, Gentian Blue, Pigeon Blue, Blue Night…) pour offrir une sélection tout à fait en phase avec les aspirations des consommateurs d’aujourd’hui. 5 univers décoratifs inspirants pour choisir la couleur de son radiateur Pour inspirer et accompagner les particuliers et les professionnels, Acova propose de sélectionner la couleur de son radiateur au travers de 5 univers décoratifs, chacun reflétant une ambiance unique, définie par Juliette Baumgartner. A partir de ces 5 déclinaisons, Acova invite ainsi le particulier à se projeter dans des harmonies de teintes, de matériaux et de style qui lui ressemblent le mieux : La douceur du cocon Minimalisme, pureté et simplicité sont les maîtres mots de cet univers dans lequel la maison et la salle de bain sont des lieux de repos dans lesquels se ressourcer est essentiel. Les blancs (Pure White, Cream, …), les tons brun clair (Champagne) et gris (Telegrey) associés à des matières naturelles (le bois), des surfaces en métal brossé (le laiton) sont la clé d’un environnement sobre et confortable, dédié à la détente. La chaleur de la terre Tous les amoureux de la terre vont se retrouver dans cet espace dans lequel les nuances d’ocre, de terracotta, de rouge brique (Ruby Red) et de brun (bronze, brown quartz) réchauffent les pièces. Du séjour à la cuisine, en passant par la chambre et la salle de bains, elles créent une ambiance chaleureuse, intemporelle et au charme authentique. Côtés matériaux et textiles, le bois et le lin restent des valeurs sûres. Invitation à l’évasion Des atmosphères raffinées caractérisent cet univers. Les finitions brutes contrastant avec des intérieurs raffinés créent une expérience multi- sensorielle. Les teintes graphites (Titane, Telegrey 2) et taupe (Beige Grey) accentuées par les palettes de bleus (Blue Night, Gentian Blue) permettent de concevoir un espace tranquille et serein propice à la rêverie et l’évasion. L’esprit de la nature Renouer avec la nature, tel est le credo ! Les tonalités vertes (Olive Green, Reseda Green) qui investissent les murs, les sols, en passant par les radiateurs sèche-serviettes reflètent le désir d’un environnement naturel. Leur association avec des couleurs nude (Edelweiss), brun clair (Beige Quartz) et gris (White Aluminium) favorisent l’harmonie et la tranquillité. La matière à l’état brut Inspiré par l’architecture brutaliste, cet univers met en scène des formes géométriques anguleuses, des matériaux bruts comme le béton, des finitions noires mates, des accessoires en métal brossé. L’utilisation d’une seule matière crée une homogénéité visuelle et donne une continuité à l’espace. En total look (Black Quartz, Anthracite Grey) ou en contraste avec des tons bruns naturels (Brown Quartz, Concrete Grey), l’intérieur de l’habitat adopte une ambiance contemporaine, masculine. En complément des 46 couleurs du nouveau nuancier Acova, les 5 univers décoratifs sont présentés sur le site internet, dans les guides d’aide au choix et sur les PLV de la marque en salles d’exposition. De quoi laisser aux particuliers et professionnels (architectes, designers, artisans) exprimer leur créativité et harmoniser parfaitement les radiateurs et radiateurs sèche-serviettes à tous les intérieurs, des plus classiques au plus modernes ! http://www.acova.fr/
Il y a 3 ans et 8 jours

Loire-Atlantique : de nouveaux pontons le long du quai de la Fosse à Nantes

Nantes Métropole installe de nouveaux pontons d’amarrage le long du quai de la Fosse.
Il y a 3 ans et 8 jours

Le site de production historique d’Acova : des investissements au service de la qualité et de l’environnement

2022 est l’année du renouveau pour ACOVA, fabricant français et inventeur du radiateur décoratif et du sèche-serviettes. Cette dynamique se traduit par la collaboration avec Juliette Baumgartner, architecte coloriste renommée, pour renouveler son offre couleur et proposer de nouvelles inspirations. D’un point de vue industriel, la création de ce nouveau nuancier a eu un impact sur le process de fabrication, notamment pour la qualification des couleurs. Ceci a également engendré des investissements sur la ligne de peinture pour garantir une qualité constante des radiateurs tout en améliorant l’ergonomie des postes de travail et en limitant l’impact environnemental. 2022 a également été l’occasion pour la marque d’adopter une nouvelle signature de marque : « créons du beau, créons durable », reflet de ses valeurs. Comme l’explique Fernando Ribeiro, Directeur Marketing : « Chez Acova, nous proposons une très large gamme de radiateurs qui, au-delà du confort qu’ils procurent, permettent à chacun d’embellir son intérieur de manière personnelle. C’est ainsi qu’ensemble, nous créons du beau. Et comme nous pensons qu’il n’y a rien de plus beau que ce qui dure, nous travaillons au sein de nos ateliers, avec nos fournisseurs, nos partenaires et nos clients, dans une exigence de durabilité. Ensemble, nous créons durable. C’est-à- dire, des produits de qualité qui durent dans le temps et dont la fabrication est la plus respectueuse possible de l’environnement. » L’Atelier de Construction de Vaux Andigny, le site de production historique d’Acova Unité de production historique de la marque en France, l’Atelier de Construction de Vaux-Andigny, qui a donné son nom à ACOVA, marque du groupe Zehnder, existe depuis plus de 100 ans. Aujourd’hui sont fabriqués dans ce village de l’Aisne : • des radiateurs et radiateurs sèche-serviettes en acier à tubes plats électriques, eau chaude et mixtes, • des radiateurs électriques en aluminium, • des radiateurs sur-mesure. D’une capacité de production d’environ 1000 radiateurs par jour, elle emploie 185 salariés et comprend également un laboratoire certifié disposant d’une chambre bi-climatique. Dans une démarche d’amélioration continue, le site de Vaux Andigny est certifié ISO 9001 (management de la qualité) et ISO 14001 (management environnemental). Des investissements au service de la qualité et de l’environnement Riche de 46 teintes dont 25 inédites en finitions mates, brillantes ou métalliques, le nouveau nuancier Acova a mobilisé pendant 6 mois les équipes de l’unité de production de Vaux Andigny. Plaçant la qualité au cœur de leurs préoccupations, ces dernières ont dû s’assurer, avant leur validation, de la qualification des nouvelles couleurs dans le process industriel sur la base de deux critères essentiels : • Tests de résistance au brouillard salin pour mesurer la durabilité du radiateur à la corrosion, • Tests de colorimétrie pour vérifier le niveau de brillance, l’uniformité, la restitution des couleurs par rapport à un échantillon de départ et leur reproductibilité selon les différentes gammes. Cette première étape décisive s’est accompagnée de la modernisation de la ligne de peinture avec des équipements de dernière génération. D’un montant de 1,3 millions d’euros, cet investissement, qui s’inscrit également dans la démarche RSE (Responsabilité Sociétale des Enteprises) d’ACOVA, avait un triple objectif : • Augmenter la performance et la qualité grâce notamment à l’installation d’un tunnel de lumières en fin de process permettant une inspection visuelle et l’identification d’éventuelles irrégularités avec précision ; • Améliorer l’ergonomie des postes de travail et réduire la pénibilité pour les opérateurs : Mise en place d’un système de stockage dynamique de poudre plus proche de la machine pour éviter les manipulations et réduire les distances à parcourir pour les peintres. La cabine de peinture manuelle est, quant à elle, dotée d’une meilleure aspiration des poudres limitant ainsi la poussière et le bruit. • Réduire les déchets et l’impact environnemental en utilisant par exemple : — des sacs de poudre recyclables de 300 kgs au lieu de cartons de 20 kgs. — des camions roulant au biogaz qui effectuent les navettes, reliant deux à quatre fois par jour l’usine au centre logistique, — 40% des approvisionnements venant à moins de 500 km autour de l’usine. Des résultats déjà perceptibles Cet investissement, qui a bénéficié du Plan France Relance, s’ajoute à celui déjà effectué par ACOVA en 2021 pour la modernisation de l’ensemble du process de traitement de surface, représentant un montant de 3 millions d’euros, et qui portait sur : • Le remplacement de la ligne automatisée de traitement de surface, fonctionnant initialement sur le principe de protection anticorrosion par cataphorèse, par un nouveau traitement basé sur l’autophorèse. Cette technologie innovante de protection anticorrosion est beaucoup moins énergivore : consommation d’eau diminuée de 27% grâce à 3 cuves en cascade, 70% de rejet d’eau en moins, diminution de 90% des boues. • Le changement du four de cuisson par un modèle fonctionnant au gaz, doté d’un meilleur rendement et d’une récupération d’air chaud pour chauffer les bains de traitement de surface. Cet équipement et l’étuve de séchage ont permis une diminution de 53% de la consommation d’énergie (gaz et électricité). http://www.acova.fr/
Il y a 3 ans et 8 jours

LE COCON ROUGE DE CHIHARU SHIOTA au musée Guimet - Exposition

Né en 1954, Kengo Kuma est diplômé d'architecture de l'université de Tokyo en 1979. Il crée son agence au Japon en 1990, puis en France en 2008.  Sur notre territoire, on doit à Kengo Kuma le Frac Provence-Alpes-Côte d'Azur à Marseille, la cité des arts et de la culture de Besançon, le conservatoire de musique et […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 8 jours

Poujoulat continue ses investissements dans le bois de chauffage

Après l’usine BF 36 à Buzançais dans l’Indre, mise en service en 2011, et BF 42 à Noirétable dans la Loire, opérationnelle depuis 2014 , le Groupe Poujoulat inaugure en Haute-Saône, à Demangevelle, un nouveau site de production de combustibles bois bûche de haute qualité : BF 70. Ces trois usines « nouvelle génération » au process exclusif ont été conçues par le groupe pour garantir la production de biocombustibles de qualité constante toute l’année et ainsi répondre à la demande croissante du marché. L’objectif du groupe : obtenir la qualité, le volume et la disponibilité qui font défaut sur ce marché encore peu structuré. Poujoulat s’est ainsi doté d’une gamme complète de combustibles bois de qualité, certifiés NF biocombustibles, vendue sous les deux marques Woodstock® et Crépito®. BF 70 vise une production de 150 000 stères de bois bûche, 20 000 m³ de bois d’allumage et 10 000 tonnes de bûches densifiées par an, ce qui en fait le 1er site du groupe en termes de capacité.