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Toute l'actualité du bâtiment

255858 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 8 jours

Rockwool mécène de l’exposition « Ré-Génération » célèbre la photographie africaine à Arles

Fidèle à ses engagements pour la transition sociale, économique et environnementale, le Groupe ROCKWOOL, leader de la fabrication de produits, systèmes et solutions en laine de roche, est fier de participer à l’exposition « Ré-Génération » et de contribuer ainsi à la mise en valeur du talent des artistes africains exposés par la galerie La Grande Vitrine à Arles dédiée à la scène photographique africaine.La Grande Vitrine poursuit sa volonté d’être un révélateur de talents. Repérés sur les réseaux sociaux ou via des expositions, les trois photographes réunis à cette occasion Françoise Benomar, Malik Kébé et O’Kiins Howara, ont tous en commun une énergie vitale générée par la couleur. Ils bousculent les codes, apportent une touche supplémentaire à leur œuvre en associant portraits et peinture. Ils partagent cette soif de rassembler tradition et modernité. Leurs modèles, tous Africains, sont magnifiés par la couleur et l’exposition qui relaie toute l’énergie et la fierté de l’Afrique parle au coeur et à l’âme.Des valeurs partagées par ROCKWOOL qui à travers le développement de son activité en Afrique, a à cœur de mieux connaitre la culture et l’architecture de ses pays, de ses typologies de maisons et de bâtiments par le biais d’une démarche toujours plus responsable.Un vernissage aura lieu le 5 mai en présence des artistes, de personnalités locales, des représentants du Maroc et de Côte d’Ivoire, du monde politique, économique et artistique ainsi qu’un représentant de ROCKWOOL.
Il y a 3 ans et 8 jours

CDC Habitat continue sa croissance et se veut "opérateur global de l'habitat"

RÉSULTATS. La filiale de la Caisse des dépôts en charge du logement, notamment social, a vu en 2021 les premières concrétisations opérationnelles de son plan de relance, et a décidé de remonter la chaîne de valeur de la production.
Il y a 3 ans et 8 jours

À Paris, NZI transforme des bureaux en résidence étudiante biosourcée

Né en 1954, Kengo Kuma est diplômé d'architecture de l'université de Tokyo en 1979. Il crée son agence au Japon en 1990, puis en France en 2008.  Sur notre territoire, on doit à Kengo Kuma le Frac Provence-Alpes-Côte d'Azur à Marseille, la cité des arts et de la culture de Besançon, le conservatoire de musique et […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 8 jours

A Rennes, siège régional du Groupe Vinci signé Parc architectes

A Rennes (Ille-et-Vilaine), l’agence Parc Architectes (Brice Chapon et Émeric Lambert) est lauréate en 2021 du prochain siège régional du Groupe Vinci. Cet immeuble de bureaux de 7 000 m² SDP propose « de l’air à tous les étages ». Coût et date de livraison non indiqués. Communiqué. Avec la crise sanitaire, le confinement et le télétravail, […] L’article A Rennes, siège régional du Groupe Vinci signé Parc architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 8 jours

UBBINK complète sa gamme air excellent avec une solution dédiée à l’équipement des VMC SIMPLE-FLUX

Dans des bâtiments de plus en plus étanches (RT2012), un air sain est un air renouvelé dont la qualité dépend aussi des performances du réseau de distribution installé. Largement plébiscitée par les professionnels, la gamme de ventilation AIR EXCELLENT d’Ubbink se complète de nouveaux kits permettant d’équiper la quasi-totalité des centrales Simple-flux hygroréglables ou autoréglables. […]
Il y a 3 ans et 8 jours

Kebony annonce sa présence au salon Carrefour International du Bois 2022

Le Carrefour International du Bois se tiendra du 1er au 3 juin 2022 à Nantes. Pour la toute première fois, la marque de bois écologique Kebony y sera présente. Ce sera l’occasion pour l’entreprise norvégienne d’accroître sa notoriété en France et de présenter ses deux gammes pour le bardage et la terrasse : Kebony Character […]
Cimbat
Il y a 3 ans et 8 jours

Thermotechnologie , Nouvelle gamme de climatisation réversible mono-split Climate 5000 L dédiée au résidentiel et au petit tertiaire

Bosch Thermotechnologie poursuit le renforcement de son offre de pompe à chaleur air/air (climatisation réversible) avec la nouvelle gamme Climate 5000 L. Couvrant un spectre de puissances élargi de 3,5 kW à 16 kW, elle se destine aux habitations individuelles et au tertiaire tels que les restaurants, les salons de coiffure, les cabinets médicaux, les […]
Il y a 3 ans et 8 jours

Stora Enso renforce sa présence en France et investit dans la préfabrication

Stora Enso investit dans ACDF Industrie SAS, devenant actionnaire à 35 % de ce spécialiste français de la construction bois. Cet investissement, qui s’inscrit dans la stratégie de croissance de Stora Enso dans le secteur de la construction en bois massif, lui permet de proposer à ses partenaires français de longue date des éléments à […]
Il y a 3 ans et 8 jours

La Fondation Giacometti cherche les résidents de l’École des Modernités

Dans le cadre de l’Ecole des modernités, La Fondation Giacometti (Paris) soutient des contributions significatives dans le domaine de l’histoire de l’art moderne (1905-1960) grâce à l’ouverture de résidences de recherches. Jusqu’au 6 juin 2022. L’Institut Giacometti propose un programme de recherche sur l’histoire de l’art moderne : l’École des modernités. Ce programme a pour […] L’article La Fondation Giacometti cherche les résidents de l’École des Modernités est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 8 jours

Elisabeth Borne, une Première ministre familière des dossiers BTP et énergie

NOMINATION. La Première ministre désignée par Emmanuel Macron, ce 16 mai 2022, a déjà pu travailler sur plusieurs dossiers qui concernent directement les domaines de la construction, de l'énergie et de l'environnement.
Il y a 3 ans et 8 jours

Lafarge en Syrie : décision en appel mercredi sur la "complicité de crimes contre l'humanité"

Dans le cadre de cette information judiciaire ouverte en juin 2017, Lafarge SA est soupçonné d'avoir versé en 2013 et 2014, via sa filiale Lafarge Cement Syria (LCS), près de 13 millions d'euros à des groupes terroristes, dont l'organisation Etat islamique (EI), ainsi qu'à des intermédiaires, afin de maintenir l'activité d'une cimenterie en Syrie alors que le pays s'enfonçait dans la guerre.Le groupe avait investi 680 millions d'euros dans la construction de ce site, achevé en 2010.Il a toujours contesté toute responsabilité dans la destination de ces versements à des organisations terroristes.Le groupe avait obtenu de la cour d'appel de Paris en novembre 2019 l'annulation de sa mise en examen en 2018 pour "complicité de crimes contre l'humanité".Mais en septembre 2021, la Cour de cassation, plus haute juridiction judiciaire française, avait cassé cette décision de la cour d'appel, ainsi que le maintien de la mise en examen du groupe pour "mise en danger de la vie d'autrui".Elle avait renvoyé ces deux questions devant la chambre de l'instruction, dans une composition différente.La Cour de cassation avait par ailleurs confirmé la mise en examen du cimentier pour "financement du terrorisme".L'audience s'est tenue le 24 mars, en présence de très nombreux avocats dans ce dossier qui compte plus d'une centaine de parties civiles, parmi lesquelles de nombreux anciens salariés locaux.A l'issue de cette audience, les avocats de Lafarge n'avaient pas souhaité s'exprimer."En connaissance de cause" ?Dans ses réquisitions écrites dont l'AFP a eu connaissance, le parquet général a demandé le maintien de la mise en examen pour "complicité de crimes contre l'humanité" de Lafarge : il estime que l'entreprise "a financé, via des filiales, les activités de l'EI à hauteur de plusieurs millions de dollars, en connaissance précise des agissements".Le parquet a également requis l'annulation de la mise en examen de Lafarge pour "mise en danger de la vie d'autrui".Si la cour suit les réquisitions du parquet général et la volonté des parties civiles, "plus rien ne s'opposera à ce que soit démontré de manière incontestable que le groupe Lafarge a en connaissance de cause financé l'Etat islamique et le Front Al Nosra alors qu'(ils) commettaient les pires exactions", avait estimé Emmanuel Daoud, avocat de la Fédération internationale des droits de l'homme (FIDH).Me Christophe Ingrain, avocat du cimentier avec Rémi Lorrain et Paul Mallet, n'a pas souhaité faire de commentaire avant le délibéré de mercredi.En septembre, Lafarge avait estimé que la décision en cassation "ne présumait en aucun cas de (son) éventuelle culpabilité", soulignant qu'il n'exerçait "plus aucune activité en Syrie depuis plus de six ans".En 2015, Lafarge avait fusionné avec le groupe suisse Holcim.Pour Me Joseph Breham, avocat d'une centaine de ces ex-salariés syriens, "il est maintenant certain qu'Holcim, malgré ses grandes déclarations d'attention, ne voudra pas indemniser ses ex-salariés et respecter sa propre politique interne". "Est-ce que la justice française forcera le groupe à respecter ses propres engagements et à les indemniser ?", interroge l'avocat.
Il y a 3 ans et 8 jours

« Elisabeth Borne connait nos métiers », souligne Bruno Cavagné (FNTP)

Nommée Première ministre, celle qui fut successivement ministre des Transports, de la Transition écologique et du Travail, dialogue depuis longtemps avec les représentants du BTP.
Il y a 3 ans et 8 jours

« Elisabeth Borne connaît les métiers du BTP »

Nommée Première ministre, celle qui fut successivement ministre des Transports, de la Transition écologique et du Travail a laissé une bonne image auprès des représentants du bâtiment et des travaux publics.
Il y a 3 ans et 8 jours

L'Ile-de-France lance sa biennale d'architecture avec la terre en vedette

Du 14 mai au 13 juillet, en plusieurs lieux de l'ancienne capitale royale, neuf expositions - gratuites - veulent sensibiliser le public à l'impact environnemental de l'activité humaine, et présenter des pistes de solutions architecturales."C'est une biennale de l'urgence climatique, c'est une biennale +il n'y a pas de planète B+", a déclaré jeudi lors d'une visite la présidente (LR) de la région, Valérie Pécresse."L'enjeu de cette biennale, ça va aussi être d'attirer tous les visiteurs, français, franciliens, mais aussi internationaux", a souhaité l'élue. La première édition, en 2019, avait attiré 200.000 personnes.A la Petite Écurie de Versailles, d'impressionnantes expérimentations sont exposées, comme une œuvre de l'architecte thaïlandais Boonserm Premthada, construite en briques elles-mêmes assemblées avec des... déjections d'éléphant.Les visiteurs peuvent également entrer dans un filet suspendu, conçu par la Mexicaine Rozana Montiel pour dénoncer la pollution plastique des océans, notamment par les résidus de filets de pêche. Le sol au-dessous du filet est lui fait de déchets océaniques récupérés sur les plages et recyclés."C'est transformer l'élément en une nouvelle ressource, lui redonner vie. Si, au lieu de laisser les filets où ils sont et coincer les poissons, on les transforme en un matériel utile pour la construction pour faire un parterre, on fait de l'économie circulaire", a expliqué l'architecte à l'AFP.Tout près, différents déchets bien intacts sont exposés: bouteilles en plastique, filets de pêche, tongs usagées...Sur l'une des artères menant au château de Versailles a été installée une construction "biodiversitaire", où des interstices au milieu des murs sont remplis de terre et colonisés par des plantes.Dans un autre pavillon, aménagé dans une ancienne Poste, trône une grande maquette des sols de la région francilienne, réalisée à partir de matériaux naturels."On aimerait d'abord transmettre l'idée que l'Ile-de-France a un socle géographique et paysager plus fort qu'on ne pourrait le croire, c'est-à-dire ses vallées, les plateaux, les buttes...", commente Cécile Diguet, directrice Urbanisme à l'Institut Paris Région et commissaire de cette exposition.Des ateliers, plutôt destinés aux jeunes architectes et étudiants en architecture et consacrés aux matériaux écologiques, seront également organisés au cours des deux mois.L'événement a coûté 2,5 millions d'euros à la région.
Il y a 3 ans et 8 jours

Dans l'ouest de l'Ukraine, les musées sur la défensive

A Lviv, même si la vie est quasi revenue à la normale depuis que les forces russes ont quitté la région de Kiev et concentrent leur offensive sur le sud et l'est du pays, les musées entrebaillent à peine leurs portes, persuadés que l'ennemi est prêt à piller le patrimoine culturel ukrainien."On aimerait bien rouvrir un peu, mais c'est compliqué en termes de sécurité", explique Vassyl Mytsko, directeur adjoint de la Galerie nationale de Lviv, plus grand musée des Beaux-Arts d'Ukraine avec sa collection de 65.000 oeuvres et ses 21 sites."Comment être sûr que les Russes ne sont pas juste en train de reprendre leurs forces avant de balancer toutes leurs roquettes?"Le 24 février, la guerre a pris par surprise le personnel de la Galerie qui "ne s'attendait pas à ce que les frappes portent aussi loin" et menacent leur ville, raconte M. Mytsko.D'abord "choqués", les conservateurs se sont vite mis au travail et ont emballé avec soin tableaux et sculptures. Ces oeuvres, dont certaines valent des millions, ont été mises à l'abri dans des lieux tenus secrets, où elles se trouvent encore aujourd'hui.Au palais Potocki, ouvert exceptionnellement à l'AFP, des ouvriers profitent de l'absence des oeuvres pour repeindre les murs. Là où est d'ordinaire accroché "Paiement (chez le prêteur)" du maître Georges de la Tour, un rouge vif capte l'oeil.Depuis début mai, deux autres sites de la Galerie, situés à plus d'une heure de Lviv, accueillent parfois du public. Pas question, toutefois, de rouvrir en ville "tant qu'il n'y aura pas un changement majeur politique ou sur le terrain", explique M. Mytsko.Pour lui, la Russie, qui a déjà bombardé deux musées, près de Kiev (consacré à l'artiste Maria Primachenko) et de Kharkiv (sur le philosophe Grigori Skovoroda), reste une menace pour ceux de Lviv, car elle cherche à "détruire l'identité ukrainienne et ses racines européennes". "Rusé"Directeur du Musée historique de Lviv, Roman Chmelik est tout aussi méfiant. Sur les dix immeubles centenaires qui abritent ses collections, seuls deux ont très partiellement rouvert le 1er mai: l'un pour donner accès à son café, l'autre à une exposition pour enfants. Et tous restent vidés de leurs trésors.Echaudé par l'Histoire, M. Chmelik rappelle que, lorsque les soviétiques ont pris le contrôle de Lviv, à la fin de la Seconde guerre mondiale, et par la même occasion du musée, ils l'avaient transformé en "instrument de propagande"."Ils avaient remplacé l'exposition permanente par une autre à la gloire de l'Armée rouge", s'étrangle-t-il encore.Dans tout le pays, les Soviétiques "se sont conduits comme des bulldozers", assure aussi Mykola Bevz, professeur en architecture à l'Université de Lviv, qui fut l'un des acteurs de l'inscription de la ville au patrimoine mondial de l'Unesco.Lviv et ses 3.000 monuments, "berceau du patriotisme ukrainien", a toutefois mieux résisté que d'autres à "la planification urbaine" de l'URSS, juge-t-il.D'abord parce qu'elle est entrée plus tard dans le giron soviétique (l'est du pays avait été rattaché dès 1918), ensuite parce qu'il "y avait un mouvement intellectuel qui a su résister avec finesse", dit-il.Les Lviviens ont ainsi réussi à sauver un quartier historique, qui devait être rasé pour construire une large place destinée à des parades militaires, selon le professeur.L'ancien directeur de la Galerie nationale de Lviv, Boris Voznitsky s'était aussi montré "rusé" pour enrichir ses collections notamment d'oeuvres à caractère religieux malgré l'athéisme officiel soviétique, confie Vasyl Mytsko.S'inscrivant dans le sillage de ces défenseurs du patrimoine ukrainien, Roman Chmelik souligne l'importance de protéger les musées de la ville "pour participer à la formation de l'identité nationale."Et au président russe Vladimir Poutine, qui nie l'identité de l'Ukraine en assurant que le peuple russe et ukrainien ne font qu'un, il répond laconique: "nous sommes Ukrainiens et n'avons rien à prouver."
Il y a 3 ans et 8 jours

Entre la maison et l'Ehpad, des habitats partagés pour seniors

Dans ce type de logement, les seniors "qui ne veulent plus ou ne peuvent plus rester chez eux", sans pour autant souhaiter rejoindre une maison de retraite, signent un bail de location classique.Ils disposent d'une chambre individuelle, mais également de pièces de vie partagées avec leurs colocataires, où une professionnelle s'occupe notamment des courses ou de la préparation des repas."Je ne me sentais pas mûre pour aller en maison de retraite", témoigne Marie-Thérèse Castillon, 89 ans, qui vit avec six colocataires dans un logement de ce type en banlieue bordelaise, à Pessac. Ici, "on connaît tout le monde", observe sa voisine Jeanne Choy, 94 ans, qui a quitté un Ehpad pour s'installer dans cette petite structure gérée par la société privée Domani.Les locataires, qui ont chacun leur chambre et leur salle de bains, se retrouvent pour le repas ou les loisirs dans une grande cuisine/salle à manger commune. "Qu'est-ce qui vous ferait plaisir pour le menu la semaine prochaine? Des melons, ça vous dit?" demande Laura Pouchat, une étudiante qui gère le quotidien aux côté de la coordinatrice de la maisonnée.Le soir et le week-end, un prestataire d'aide à domicile prend le relais. Et des étudiants, logés à l'étage du dessus, perçoivent 250 euros par mois pour être disponibles la nuit au cas où les résidents activeraient leur bouton d'appel à l'aide.Réduire le "sentiment d'arrachement"L'objectif est que les seniors "qui ne peuvent plus vivre chez eux" aient un "sentiment d'arrachement le plus faible possible", le tout pour un loyer environ inférieur de 20% au coût d'un Ehpad, soit "1.500 à 1.600 euros, aides déduites", détaille Jean de Miramon, l'un des cofondateurs de Domani.Et la demande est là: avant même l'ouverture de cette résidence de sept places, plus de 200 familles avaient manifesté leur intérêt.Dans toute la France, 100.000 seniors au total devraient pouvoir bénéficier d'un tel logement d'ici à 2030, préconisaient les auteurs d'un rapport remis en 2020 au gouvernement.Pour l'heure cependant, moins de 5.000 personnes résident dans des habitats de ce type, affirme un collectif récemment créé par une quinzaine d'opérateurs privés.Selon ces entreprises, l'"inertie" de l'administration complique l'avancement des projets. Parfois, le promoteur se voit ainsi refuser l'agrément qui lui permettrait de salarier lui-même les aides à domicile intervenant à titre individuel chez les seniors - par exemple pour l'aide à la toilette."dans une zone grise""Le problème, c'est qu'on est un peu dans une zone grise: on ne sait pas où nous mettre!", soupire Laurence Boluda, directrice générale de la "Maison de Blandine", qui crée des habitats partagés de 5 à 25 appartements."Il y a une volonté politique affichée mais il faut que ça suive du point de vue réglementaire", renchérit Maxence Petit dont la société Cosima a ouvert un "domicile partagé" à Lourdes (Hautes-Pyrénées) et en projette trois autres près de Marseille et en banlieue parisienne.La législation, pourtant, a justement évolué: depuis l'an dernier, les résidents peuvent théoriquement percevoir, sans condition de ressource, une "aide à la vie partagée" (AVP) destinée à financer les prestations communes aux habitants de la colocation, comme le salaire de la "maîtresse de maison"."Sur le principe, c'est formidable, mais dans la réalité rien n'est clair: d'un département à l'autre, nous n'obtenons pas la même réponse", souligne Simon Vouillot, co-fondateur de "Age et vie" à Besançon.Pour l'heure, en effet, seule une trentaine de conseils départementaux ont signé un accord avec l'Etat pour mettre en place cette aide - financée par les départements à hauteur de 20% -, explique à l'AFP Stéphane Corbin, directeur adjoint de la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA). Mais, selon lui, une soixantaine d'autres départements devraient les rejoindre cette année.
Il y a 3 ans et 8 jours

Nouvelle levée de fonds pour Finalcad

LEVÉE DE FONDS. Spécialiste de la digitalisation de chantier, Finalcad annonce avoir effectué une nouvelle levée de fonds de 10 millions d'euros.
Il y a 3 ans et 8 jours

Innovation : Saint-Gobain revendique une "prémière mondiale" dans le verre plat

BAS CARBONE. Le fabricant français de produits de construction assure avoir réalisé, début mai, une "première mondiale", en usinant de manière totalement décarbonée 2.000 tonnes de verre plat.
GDA
Il y a 3 ans et 8 jours

Partie I : Céder un fonds de commerce

Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine L’inventaire des éléments du fonds permet de les déterminer et de procéder à une évaluation financière appropriée. [©ACPresse] La cession d’un fonds de commerce consiste à vendre l’ensemble des éléments une activité. Il s’agit d’une alternative à la cession de la société toute entière, permettant une fiscalité à optimiser et l’absence de transmission des dettes antérieures à l’acquéreur. Céder son fonds de commerce est une opération délicate, souvent longue et parsemée d’embûches. Il existe des recueils entiers sur le sujet. Le présent article scindé en deux parties n’a pas vocation à être exhaustif, mais simplement à en surligner les grandes lignes et écueils principaux. Chaque étape de la cession sera ainsi exposée avec les règles nécessaires, afin d’éviter les pièges les plus fréquents. Etape 1 : Lister les éléments à céder Afin de prévenir tout différend potentiel, il est tout d’abord essentiel de définir et lister avec précision les éléments transmis. L’inventaire des éléments du fondspermet de les déterminer et de procéder à une évaluation financière appropriée. Combiné à un audit technique, juridique et comptable, il va par ailleurs permettre à l’acquéreur de savoir à quoi il s’engage. Et aux parties, de négocier de façon appropriée leur clause de garantie d’actif-passif (GAP). Les éléments inclus sont les éléments incorporels : enseigne, nom commercial, nom de domaine, brevets, logiciels, marques, autorisations administratives, droit au bail, clientèle. Ainsi que corporels : matériel, outillage, marchandises. La clientèle est l’élément essentiel du fonds de commerce. Sans son existence, le fonds n’existe pas. En application de l’article L.1224-1 du Code du travail, l’acquéreur doit reprendre les salariés du vendeur (sauf à ce que ce dernier rompe leurs contrats de travail). En cas de manque de précision, les juges ont un large pouvoir d’appréciation des éléments inclus et celui de modifier l’inventaire en cas de désaccord ou d’imprécision. Etape 2 : Les obligations d’information préalables Avant toute cession, le cédant doit obligatoirement informer du projet de vente : – ses salariés, au moins 2 mois avant la vente, pour qu’ils puissent formuler une offre de reprise ; – la commune du lieu de situation du fonds, en précisant le prix et les conditions de ladite cession, afin de savoir si elle entend appliquer son droit de préemption. Les sanctions respectives des manquements à ces obligations sont une amende civile de 2 % du montant de la vente et la potentielle nullité de la cession. Etape 3 : Promesse de cession de fonds et prix provisoire La promesse de cession de fonds permet aux parties d’accomplir les démarches nécessaires en amont de la cession (comme la sollicitation d’un financement). En fonction des circonstances, il conviendra d’opter pour une promesse unilatérale ou synallagmatique de cession. Pour une promesse unilatérale, il faut prévoir une indemnité d’immobilisation, un délai d’option et l’enregistrer auprès de l’administration fiscale (sous peine de nullité). La promesse synallagmatique, elle, vaut vente et devra ainsi prévoir toutes les informations à déposer dans l’acte de cession lui-même. Il est néanmoins utile d’y faire figurer aussi une indemnité d’immobilisation. Dans les deux cas, il faudra informer le bailleur de la signature de cet avant-contrat (sous peine de nullité). Enfin, il est en général prévu à ce stade un prix provisoire, à partir de l’audit réalisé. Ce prix est révisé lors de la cession, notamment en fonction de l’évolution de l’activité entre ces deux évènements. Retrouvez la partie II de cet article dans notre prochain numéro. Pierre Lacoin Avocat à la Cour Cabinet 1792 Avocats Article paru dans le n° 100 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 8 jours

Consultation des entreprises artisanales : des freins à la poursuite d’activité s’installent et l’inquiétude prédomine

C’est ce que révèle la deuxième enquête de CMA France menée auprès de dirigeants d’entreprise artisanale pour mesurer les conséquences de la guerre en Ukraine et de l’inflation sur leur activité. Cette situation doit nous mettre en garde sur la santé de notre secteur, raisons pour laquelle nous invitions tous les chefs d’entreprises qui s’interrogent à pousser la porte de leur CMA. 60% des répondants indiquent être inquiets voire très inquiets face à l’évolution de l’inflation et de son impact sur la situation économique de leur entreprise. Si 40% déclarent rester optimistes, pour 33% d’entre eux cette confiance dans l’avenir est cependant teintée d’incertitudes liées au moment présent. 96% des répondants sont des TPE, employant moins de 11 salariés, issues majoritairement du secteur des services et du bâtiment. Les trois grandes difficultés rencontrées par les artisans au mois de mars se confirment : le prix du carburant, la hausse du coût de l’énergie, les difficultés d’approvisionnement. « Les entreprises artisanales, tous secteurs confondus, sont confrontées à un manque de visibilité couplé à des augmentations de prix ininterrompues. Si certaines mesures du Plan de résilience vont dans le bon sens, elles ne sont pas de nature à rassurer la majeure partie de nos chefs d’entreprise. » précise Joël Fourny, président de CMA France. L’ampleur des répercussions de la hausse des prix sur les petites entreprises artisanales, quant à elle, est également préoccupante : 14% des répondants indiquent connaître une baisse de CA de plus de 25% par rapport à l’an dernier à la même époque (période qui n’était pas dynamique en raison du deuxième confinement). Même si pour 60% d’entre eux la baisse de chiffre d’affaires est inférieure à 15%. 56% précisent qu’au regard du contexte actuel la question de la survie de leur activité n’est pas engagée. Ce qui vient confirmer ce sentiment mêlant à la fois inquiétude et souhait de rester optimiste. Pour autant, et à l’inverse, 44% admettent que le contexte actuel pourrait compromettre leur activité. « Cet état d’esprit conforte notre analyse. Ces signaux à bas bruits sont des indicateurs importants. J’y vois le signe d’une réduction des marges des entreprises qui intervient dans un contexte de tension sur les trésoreries et de fragilité, conséquence directe de la crise sanitaire. Ce contexte nous alerte car il peut laisser présager une rentrée de septembre compliquée avec un risque de défaillance accru pour les entreprises artisanales. », ajoute Joël Fourny. Le réseau des CMA, grâce à des diagnostics financés par l’Etat, accompagne les entreprises sur la voie de la transition énergétique, ce qui permet de générer des économies. Mais il est évident qu’agir sur ce seul sujet n’est pas suffisant. « Compte tenu de ce contexte comme du ressenti partagé par une majorité de chefs d’entreprise, je les engage, dans un souci de bonne gestion comme de prévention des risques, à pousser la porte de leur chambre de métiers et de l’artisanat. Les CMA sont là, à leurs côtés, pour faire le point sur leur situation financière et les accompagner avec des solutions et un plan d’action ciblé. », conclut Joël Fourny.* Enquête en ligne réalisée par la CMA France auprès de 13 110 chefs d’entreprise artisanale du 26 avril au 9 mai 2022.
Il y a 3 ans et 8 jours

Holcim se sépare de ses activités cimentières en Inde

CESSION. Dans le cadre de sa stratégie 2025 axée notamment sur sa nouvelle branche Solutions & Produits, le cimentier Holcim annonce vendre ses activités en Inde à un conglomérat du pays.
Il y a 3 ans et 8 jours

Quasiment un artisan sur deux craint pour son activité dans le contexte actuel d'inflation

CONJONCTURE. Dans la dernière étude d'opinion menée par le réseau des Chambres de métiers et de l'artisanat, 44% des entreprises artisanales affirment que la hausse des prix et les difficultés d'approvisionnement qu'elles subissent actuellement pourraient à terme compromettre leur activité. Le réseau consulaire s'alarme de ces indicateurs dépeignant, selon lui, une santé très fragile de l'artisanat.
Il y a 3 ans et 8 jours

Investissement résidentiel : le premier trimestre 2022 poursuit la lancée d’une année 2021 record

Des volumes d’investissements recordsAu 1er trimestre 2022, le marché de l’investissement résidentiel a atteint 3,1 Mds d’€, et s’inscrit pleinement dans la dynamique observée ces deux dernières années. Le trimestre a ainsi été boosté par l’acquisition d’un portefeuille français de la CDC par CNP Assurances pour 2,4 Mds d’€. Hormis ce portefeuille qui occupe une grande partie du volume, le reste des montants investis montrent que le neuf prend une place prédominante.« Compte tenu du manque d’offre dans l’existant et des exigences de plus en plus pressantes en matière de normes environnementales, le neuf devient la cible des investisseurs qui cherchent à accroitre leur exposition au résidentiel », commente Sébastien Lorrain, Directeur Résidentiel de CBRE France. « Si les investisseurs institutionnels classiques cherchent à pénétrer plus massivement le marché, pour autant, les opérateurs de logements intermédiaires et sociaux continuent d’être très présents sur le marché résidentiel français. » ajoute-t-il. Avec 20% du volume investis sur le résidentiel géré, la tendance pour ces produits alternatifs se consolide et démontre à nouveau tout l’intérêt pour cette typologie de logement serviciel, en particulier le coliving.
Il y a 3 ans et 8 jours

Les fluides frigorigènes sont pris entre le marteau F-Gaz et l’enclume Reach

Les fluides utilisés en climatisation et dans les pompes à chaleur sont simultanément concernés par la révision du règlement F-Gaz qui diminue les GWP et le règlement Reach qui va interdire les PFAS
Il y a 3 ans et 8 jours

Une chambre en plus dans ce 52 m2 astucieusement réorganisé

EN IMAGES. Cet appartement, situé en rez-de-jardin, a gagné une pièce supplémentaire grâce à un plan très astucieux qui a permis d'optimiser le moindre centimètre. Plus confortable, plus fonctionnel, il a aussi gagné en caractère grâce à une déco tout en subtilité.
Il y a 3 ans et 8 jours

Invisible, fine, et solide : découvrez siMple la fenêtre

Imaginée et conçue sur le principe « moins, c’est plus », le résultat après 3 ans de recherche et développement s’est imposé tout naturellement avec siMple, la fenêtre.Cette menuiserie brevetée est la première fenêtre à frappe du marché en aluminium extérieur et en acier intérieur qui repose sur la technologie du MULTIMATÉRIAUX*.Les performances*Uw jusqu’à 1,2 W/(m².K)Tlw jusqu’à 69 %Sw jusqu'à 0,60A*4 E*9A V*A3* Perfomances maximales atteignables sur la gammesiMple, la fenêtre bénéficie de plusieurs innovations technologiques de rupture à savoir :siMple, la fenêtre INVISIBLE : un dormant caché, des paumelles invisibles et des poignées laquées à la couleur dela menuiserie pour plus de pureté.siMple, la fenêtre FINE : des profilés de 45mm et un meneau central de 60 mm, 30 % à 40 % plus fin qu’une fenêtre standard (90 à 100 mm le plus couramment) pour un gain de lumière allant jusqu’à 35 %.siMple, la fenêtre SOLIDE : un ouvrant en acier soudé pour atteindre des dimensions hors-normes jusqu’à 2.650 mm de hauteur sans imposte ou allège.Niveau performance, siMple la fenêtre défie tous les autres matériaux du marché avec un cœfficient thermique Uw de 1.2 W/(m².K) avantagé par un rupteur par chambre thermique qui permet d’isoler l’air chaud et froid pour un plus grand confort.Côté décoration, siMple la fenêtre profite du savoir-faire du Groupe MILLET en s’appuyant sur sa technologie unique de la MULTICOLORATION* sur plus de 27 coloris pour satisfaire toutes les envies de couleurs et épouser tous les styles d’architectures régionales.FRÉDÉRIC GUERET - manager produit aluminium, Groupe MILLETEn quoi siMple la fenêtre est une innovation concernant l’invisibilité ?" Pour rendre cette fenêtre jolie, il fallait qu’elle soit pure ! Nous avons donc, rendu invisible les traits de coupe grâce à un ouvrant soudé, laqué la poignée de la couleur de l’ouvrant. Enfin, les charnières et le dormant sont cachés et contribuent à avoir une fenêtre plus minimaliste. "...et la finesse ?" Aujourd’hui, le constat fait sur le marché est simple : la majorité des fenêtres 2 vantaux disposent d’un profil central de 94 mm. Notre souhait est d’apporter beaucoup plus de lumière et nous avons réussi à offrir 35 % de lumière en plus grâce au profil central de 60 mm et à l’ouvrant de 45 mm. "...et la solidité ?" Étant l’inventeur du concept multimatériaux, nous le maîtrisons parfaitement et pour répondre aux nouvelles demandes de nos clients - plus de robustesse, plus de sécurité, de plus grandes dimensions - nous avons donc tout naturellement fait le choix d’allier l’alu à l’acier. En couplant ces 2 matériaux à un ouvrant en acier soudé, nous pouvons désormais proposer des fenêtres de grandes dimensions allant jusqu’à 2,65 m de haut sans imposte ! "*LE MULTIMATÉRIAUX : Technologie brevetée inventée par le Groupe MILLET qui permet de combiner une façade extérieure en aluminium avec 3 matériaux intérieurs alu, bois et pvc.*LA MULTICOLORATION : Technologie qui permet de combiner les couleurs intérieures et extérieures sur 27 coloris au choix et plus de 500 combinaisons possibles.
Il y a 3 ans et 8 jours

Audit énergétique pour la vente des "passoires énergétiques", le décret est publié

Il a été publié au Journal officiel le 4 mai 2022 : le décret encadrant la vente de logements considérés comme des passoires énergétiques entrera en vigueur le 1er septembre 2022.
Il y a 3 ans et 8 jours

Décès de l'architecte canadien Claude Provencher, figure de Montréal

HOMMAGE. L'architecte Claude Provencher laisse derrière lui de nombreux bâtiments emblématiques de Montréal. Avec son agence, il avait décroché plusieurs prix.
Il y a 3 ans et 8 jours

Bâtiment bas carbone : qui sont les rapporteurs des quatre groupes de travail ?

FEUILLE DE ROUTE. Les travaux pour rédiger la feuille de route de décarbonation du secteur du bâtiment ont été officiellement lancés, lors d'une réunion qui s'est tenue ce 13 mai 2022. Les rapporteurs des quatre groupes de travail sont désormais connus.
Il y a 3 ans et 8 jours

Testo fait évoluer la thermographie avec ses nouvelles caméras thermiques intelligentes et connectées

Bénéficiant de plus de 60 ans d’expertise dans le domaine de la mesure, Testo est engagé depuis toujours dans l’innovation pour offrir aux professionnels de tous les secteurs d’activités (bâtiment, industrie, &#8230;) des appareils de qualité, faciles à utiliser. Après avoir lancé en 2007 la première caméra thermique entièrement développée en Allemagne, Testo n’a eu de cesse de faire évoluer ses solutions de thermographie infrarouge. Visant l’excellence, Testo lance une nouvelle gamme de caméras thermiques intelligentes et connectées disposant de la meilleure qualité d’image de leur catégorie, en plus de leurs fonctions avancées. Utilisée dans de nombreux corps de métiers, la thermographie infrarouge est indispensable pour détecter et visualiser les déperditions de chaleur ou les vices de construction cachés d’un bâtiment, les fuites sur des installations de chauffage, ou encore, en maintenance préventive des installations électriques. Permettant de mesurer les températures avec précision et sans contact, la nouvelle gamme de caméras thermiques infrarouge testo (testo 865s, testo 868s, testo 871s et testo 872s) se distingue par ses nombreux atouts. Des images thermiques de très grande qualité • Les caméras thermiques testo offrent une sensibilité thermique (NETD) très élevée puisqu’elles visualisent les différences de température à partir de 0,1 °C jusqu’à 0,05 °C. • testo SuperResolution pour une haute résolution d’image. Cette fonction multiplie le nombre de pixels par quatre et permet de visualiser directement sur l’écran de la caméra des images avec des résolutions pouvant atteindre jusqu’à 640 x 480 pixels selon les modèles. • testo ScaleAssist pour un réglage toujours optimal du contraste et l’obtention d’images thermiques comparables de manière objective, quelles que soient les différences de température intérieure/extérieure. Cette fonction rend l’évaluation des anomalies et des ponts thermiques d’un bâtiment plus facile que jamais. En effet, la répartition des couleurs de l’image thermique est automatiquement adaptée pendant la mesure en fonction de la température intérieure et extérieure. Les erreurs d’interprétation dues à un mauvais cadrage thermique sont ainsi réduites. • l’avertisseur IFOV testo permet de voir, grâce à un curseur carré qui s’affiche sur l’écran de la caméra, si l’objet mesuré se trouve bien à l’intérieur de ce cadre. L’utilisateur peut ainsi éviter les erreurs de mesure. Ces deux dernières fonctions facilitent l’utilisation et l’interprétation. Des fonctions pratiques Outre la testo 865s, caméra idéale pour s’initier à la thermographie, les 3 autres modèles de la gamme (testo 868s, testo 871s et testo 872s) sont équipés d’un appareil photo numérique. Elles peuvent être connectés à l’Application testo Thermography, disponible sur IOS et Android, pour une analyse rapide sur site : génération de rapports succincts, enregistrement en ligne et envoi de ceux-ci par e-mail, ajout de points de mesure supplémentaires. Elle permet également de transmettre les images thermiques en direct à un Smartphone ou une tablette et de l’utiliser comme deuxième écran. Pratiques, les caméras testo 871s et 872s disposent, en plus, d’une connectivité sans fil avec le thermo-hygromètre testo 605 i et la pince ampèremétrique testo 770-3 pour rechercher les zones humides et à risque de moisissures dans un bâtiment ou pour détecter la charge d’une armoire électrique. Les valeurs de mesure des deux appareils de mesure sont transmises aux caméras via Bluethooth. Une manipulation aisée Grâce à une interface optimisée, la commande des caméras est intuitive. Elles sont faciles à tenir en main et assez robustes pour résister aux conditions de travail parfois extrêmes. Une gamme pour toutes les exigences Avec différents niveaux d’équipements et fonctions, la nouvelle gamme de caméras thermiques infrarouge de testo répond à tous les besoins : testo 865s Avec ses 160 x 120 pixels, cette caméra est idéale pour les novices en thermographie. Elle permet de visualiser les différences de température à partir de 0,10 °C et de détecter automatiquement les points chauds et froids. Elle intègre les fonctions testo SuperResolution (320 x 240 pixels) et ScaleAssist. testo 868s Appareil photo numérique et images thermiques de 160 x 120 pixels permettant de visualiser les différences de température de 0,08 °C. Fonctions SuperResolution (320 x 240 pixels) et testo ScaleAssist intégrées. Connexion avec l’Application testo Thermography via WiFi. testo 871s Résolution de 240 x 180 pixels, sensibilité thermique < 80mK et détection de différences de température à partir de 0,08 °C. Appareil photo numérique, fonctions SuperResolution (480 x 360 pixels) et testo ScaleAssist intégrées. Application testo Thermography et connectivité via Bluethooth avec testo 605i et testo 770-3. testo 872s Cette caméra thermique professionnelle convainc par une qualité d’image maximale (320 x 240 pixels) et une très bonne sensibilité thermique (
Il y a 3 ans et 8 jours

Les eurodéputés veulent accélérer la réforme du marché carbone sans peser sur les ménages

La commission Environnement du Parlement européen se prépare à adopter lundi et mardi ses positions sur sept des quatorze textes de la feuille de route proposée en juillet 2021 par la Commission européenne ("Fit for 55") pour réduire de 55% d'ici 2030 par rapport à 1990 les émissions de gaz à effet de serre de l'UE.Axes majeurs: l'élargissement controversé du marché du carbone européen (ETS) au transport routier et au chauffage résidentiel, et la disparition des quotas gratuits accordés aux industriels européens, à mesure que seront taxées les importations de secteurs polluants (acier, aluminium, ciment, engrais, électricité) sur base du prix du CO2.Les eurodéputés devraient endosser cette semaine le compromis déjà conclu entre groupes politiques. Après approbation en séance plénière début juin, cela constituera la position du Parlement lors des négociations avec les États pour finaliser les textes."Cette réforme du marché carbone est le navire amiral de la réglementation climatique", observe Pascal Canfin (Renew, libéraux), président de la commission Environnement.Actuellement, le marché carbone européen, où s'échangent depuis 2005 les "permis à polluer" que doivent acheter certains secteurs (industrie, énergie) représente seulement 40% des émissions des Vingt-Sept.Les eurodéputés approuvent l'élargissement aux transports et au bâtiment mais veulent le cantonner d'abord aux professionnels (chauffeurs routiers, immeubles de bureaux), à partir de 2025, avant d'évaluer en 2026 s'il est nécessaire de l'imposer aussi aux particuliers (voitures, logements). Le cas échéant, ce ne serait qu'à partir de 2029."C'est un sujet politiquement sensible dans un contexte de prix d'énergie élevés" sur fond de guerre en Ukraine, et alors que "l'immense majorité de la consommation de carburant est contrainte" pour les ménages, fait valoir Pascal Canfin."Message très clair"Le projet de Bruxelles obligerait les fournisseurs de carburants et fioul domestique à acheter des quotas d'émissions sur un second marché du carbone, au risque de répercuter ce surcoût sur les ménages: une partie des États s'y oppose déjà, redoutant des contestations populaires en dépit du fonds social proposé par la Commission.Peter Liese (PPE, droite), négociateur du Parlement et favorable à l'inclusion rapide des particuliers au marché carbone, regrette un "compromis douloureux" mais se félicite que son idée d'un "bonus-malus" ait été retenue."Les entreprises qui émettent beaucoup moins recevront des quotas (gratuits) supplémentaires, mais les mauvais élèves ne faisant aucun effort pour se décarboner paieront une facture plus élevée", explique-t-il, saluant aussi l'accord pour gonfler le "fonds pour l'innovation climatique" soutenant les investissements."Les entreprises qui prennent les devants seront récompensées, le message est très clair", abonde Michael Bloss (Verts), évoquant "un succès pour le climat, l'industrie et les citoyens".Les eurodéputés s'entendent aussi pour accélérer l'inclusion du transport maritime dès 2024 (la Commission proposait 2027), faire payer aux compagnies aériennes dès 2025 la totalité du carbone émis sur les vols intérieurs comme les vols internationaux au départ de l'UE, et imposer des quotas d'émissions pour l'incinération des déchets.DécarbonationPar ailleurs, ils devraient voter pour mettre en place dès 2025 l"ajustement carbone aux frontières" sur les importations, avec une application complète en 2030, plus rapidement que la montée graduelle proposée par la Commission (2026-2035).Pour rester dans les clous de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), les eurodéputés proposent d'éliminer complètement dès 2030 (contre 2036 dans le plan initial) les quotas gratuits offerts dans l'UE aux secteurs concernés par la taxe aux frontières... tandis que les quotas aux autres secteurs seraient conditionnés à des plans de décarbonation.Ce calendrier accéléré devrait être âprement négocié avec les États, soucieux de ne pas déstabiliser la compétitivité de l'industrie européenne.Ces votes parlementaires, scrutés par les ONG environnementales, interviennent alors que Bruxelles dévoilera mercredi le deuxième volet de son plan pour éliminer d'ici 2030 la dépendance de l'UE aux hydrocarbures russes, notamment en relevant l'objectif pour la part des renouvelables dans le mix énergétique européen.Avec cette conjonction "on a la possibilité d'accélérer le Pacte vert (de l'UE) de manière significative", commente M. Canfin.
Il y a 3 ans et 8 jours

DOM UNICO : la nouvelle gamme d’anti-panique 100% compatible

Obligatoires dans tous les types d’E.R.P. (Etablissements Recevant du Public tels que les centres commerciaux, les bureaux, les hôtels, les sites industriels&#8230;), les issues de secours sont soumises à une réglementation spécifique. Celle-ci exige, entre autres, que les portes dédiées à la sortie d’urgence soient équipées de dispositifs permettant d’assurer une évacuation fluide et sécurisée des personnes. Pour aider les gestionnaires de ces bâtiments à répondre à cette obligation notamment dans le cadre d’une rénovation, DOM présente sa nouvelle gamme d’anti-panique interchangeable DOM UNICO. 100% compatible Universelle, la nouvelle gamme d’anti-panique DOM UNICO présente l’avantage de pouvoir remplacer très facilement n’importe quel modèle standard du marché tout en conservant la manœuvre extérieure (béquille, bouton). En effet, ses platines d’adaptation pré-percées en fonction des différents entraxes existants sont dotées, en plus, de repères visuels qui indiquent l’initiale de la marque à changer. A l’instar des nombreuses solutions anti-panique proposées par DOM-Metalux, son mécanisme symétrique et réversible sans démontage, associé à la possibilité de recouper sa barre et ses tringles verticales à la dimension requise, rendent d’autant plus rapide son installation. De même, le faible encombrement de ses coffres autorise sa mise en œuvre sur profils étroits et augmente le passage libre. Un atout non négligeable pour une évacuation plus rapide ! Afin de répondre à tous les besoins, la nouvelle gamme d’anti-panique DOM UNICO se compose de serrures 1 et 2/3 points pour un stockage optimisé. Elle est proposée en version cross-bar, avec des pênes haut et bas ou latéraux. Au design élégant, elle se décline dans les trois coloris les plus courants (blanc, gris, noir) pour s’intégrer harmonieusement à tous les espaces. Une fiabilité hors-pair à tous les niveaux D’une grande qualité de conception de par le choix des matériaux utilisés, l’anti-panique DOM UNICO est certifiée EN1125 : 2008 en grade 7, soit le niveau le plus élevé exigé. Equipée de pênes en acier, elle est coupe-feu en standard. Pour concilier haute sécurité et protection sanitaire renforcée, elle est traitée de série avec une finition antibactérienne Protect Touch reposant sur la technologie des ions d’argent. Résistant au nettoyage, cet agent actif antimicrobien recouvre l’ensemble de l’anti-panique, même les parties qui ne sont pas exposées à un contact direct. Ajoutés au revêtement pendant la production pour garantir l’efficacité du traitement dans le temps (testé selon la norme ISO 22196:2011), les ions d’argent agissent 24 heures sur 24 pour éliminer plus de 99,99% des bactéries et des germes en surface grâce à une libération continue. Interchangeable rapidement avec tous les standards du marché, la gamme DOM UNICO constitue un véritable atout pour tous les professionnels (installateur, distributeur, gestionnaire d’un bâtiment), qui ont ainsi l’assurance en cas de besoin de remplacement de toujours disposer d’un modèle d’anti-panique adapté et de haute sécurité ! http://www.dom-europe.com/
Il y a 3 ans et 8 jours

Du verre avec 100% de calcin, une première mondiale pour Saint-Gobain

Le groupe de matériau a testé - et réussi - sur son usine d'Aniche (Nord), la production d'un verre plat zéro carbone avec 100% de calcin (verre recyclé) en substitution du sable, avec 100% de biogaz et 100% d'électricité verte.
Il y a 3 ans et 9 jours

Le premier chantier 100% bétons bas carbone sort de terre en Auvergne-Rhône-Alpes

Les entreprises Lafarge et Mazaud ont annoncé le 6 mai la réalisation d'un ensemble immobilier à Lyon construit pour le compte de Nexity utilisant 100% de bétons bas carbone.
Il y a 3 ans et 9 jours

Quels sont les nouveaux critères d'implantation des bureaux, après la crise sanitaire ?

STRATÉGIE. Le deuxième Baromètre des implantations tertiaires montre une évolution des priorités des décideurs quant au choix d'implantation de leurs bureaux, et fait apparaitre un grand besoin de flexibilité, peu compatible avec le bail ferme.
Il y a 3 ans et 9 jours

Bouygues fait un pas de plus vers l'acquisition d'Equans

RACHAT. Le groupe Bouygues a signé le 12 mai 2022 le contrat d'acquisition d'Equans. L'opération est bien partie pour être finalisée durant l'été.
Il y a 3 ans et 9 jours

Saint-Gobain cède son activité de distribution spécialisée et deux usines au Royaume-Uni

"Saint-Gobain a signé des accords définitifs en vue de la cession de International Decorative Surfaces (IDS), son activité de distribution spécialisée en revêtements de sol, plans de travail et stratifiés au Royaume-Uni, à Chiltern Capital", une société britannique de capital investissement, a indiqué le groupe dans un communiqué.La société de matériaux de construction n'a pas précisé le montant de la cession d'IDS, qui affichait en 2021 environ 130 millions de chiffre d'affaires, ni si les emplois de ses 500 employés étaient menacés."Saint-Gobain a également signé des accords définitifs en vue de la cession de deux sites de transformation de verre spécialisés dans la production de double vitrage au Royaume-Uni", a ajouté l'entreprise, précisant à l'AFP les céder à Clayton Glass, un fabricant britannique de verre.Ces deux centres situés à Motherwell (Écosse, proche de Glasgow) et à Canterbury (sud-est de l'Angleterre) ont généré en 2021 un chiffre d'affaires combiné d'environ 20 millions d'euros et emploient environ 80 personnes. Les deux transactions devraient être finalisées "d'ici la fin du deuxième trimestre 2022", précise le communiqué, et marquent "la sortie de Saint-Gobain de toutes ses enseignes de distribution spécialisée au Royaume-Uni".Une opération qui s'inscrit "dans la poursuite de la stratégie d'optimisation du profil du Groupe", a précisé celui-ci.Fin février, Saint-Gobain a annoncé pour 2021 des "records de croissance, de résultat et de marge" - avec un chiffre d'affaires de 44,16 milliards d'euros et un résultat net qui a quintuplé à 2,5 milliards d'euros-, porté par la reprise économique observée après la crise sanitaire et la vague de rénovation de logements lancée dans le monde entier pour répondre à l'urgence climatique.
Il y a 3 ans et 9 jours

Les Remparts de la Cité de Carcassonne se refont une beauté avec EdiliziAcrobatica

Les travaux ont été réalisés conformément aux règles de l'art et suivant les prescriptions particulières applicables aux travaux sur les édifices classés au titre des monuments historiques.Le premier défi fut de réaliser les travaux en un laps de temps très court : moins de UN MOIS.Coté technicité, une fois le désherbage réalisé, l’équipe EdiliziAcrobatica a dû reboucher les trous créés par les racines et les plus grosses cavités avec du mortier de chaux teinté dans la masse, mortier réalisé in situ pour adapter le dosage à chaque changement de teintes (rouge, jaune et terre de sienne).Enfin l’autre défi fut de réaliser des points d'ancrage pour les cordes sans dégrader les remparts, majoritairement fixées autour des crénelages, l’équipe EdiliziAcrobatica a cependant dû installer des tyroliennes.Implantée depuis 2019 en France, EdiliziAcrobatica a donné le coup d’envoi à une stratégie d’expansion avec l’ouverture de son activité commerciale dans 6 villes qui couvrent actuellement une grande partie du Sud de la France : Nice, Marseille, Toulouse, Montpellier, Narbonne et Lyon.Parmi les 3000 chantiers honorés par les maçons cordistes EdiliziAcrobatica, d’autres projets ont marqué les esprits : nettoyage de la Forteresse de Salses, intervention sur la façade du Cube Orange (Lyon) (œuvre du cabinet d’architecture Jakob+ Macfarlane) et de la Gare de Perpignan, intervention au somment du monument historique de l’Alhambra à Nice, rénovation complète de la façade quartier historique Port Viguerie (Toulouse) pour les Bâtiment de France, ou encore le nettoyage du Pavillon 52 (Lyon) et du Monolithe (Lyon).Parmi les travaux demandés, on retrouve souvent la dévégétalisation, l’élagage, la réalisation de raccords d'enduits, la pose de pics et filets anti-pigeons, le nettoyage de chéneaux et descentes d'eaux pluviales ainsi que la réparation de toitures à l'accès difficile.Avec plus de 90 postes à pourvoir et une augmentation de son volume d'affaires de plus de 38%, EdiliziAcrobatica France connait un début d'année 2022 très positif à l'instar du Groupe et s'impose comme les spécialistes de la rénovation sur corde.
Il y a 3 ans et 9 jours

Le label d'Engie pour un meilleur dialogue avec les territoires sur le solaire et l'éolien

Le géant français de l'énergie Engie (ex-GDF-Suez) a annoncé le 5 mai le lancement d'un label pour ses projets d'énergies renouvelables qui promet un meilleur dialogue avec les acteurs locaux.
Il y a 3 ans et 9 jours

Le numéro de mai d'AMC est paru

Au sommaire du num&eacute;ro d&#39;AMC qui vient de para&icirc;tre (n&deg;305-mai 2022) et&nbsp;disponible en format num&eacute;rique: un &eacute;v&eacute;nement sur la r&eacute;novation de la station polaire Dumont d&#39;Urville, un dossier sur les &eacute;quipements de traitement des d&eacute;chets, des d&eacute;tails "parements tuiles" et une mat&eacute;riauth&egrave;que&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article
Il y a 3 ans et 9 jours

Villas modernes du Bassin d’Arcachon

35 villas des années 50 à aujourd’hui : de la radicalité brutaliste du béton maritime à la villa verte économe&#8230; Cet article Villas modernes du Bassin d&rsquo;Arcachon est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.