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Toute l'actualité du bâtiment

255873 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 18 jours

A Mantes-la-Jolie, STUDIOS Architecture œuvre à résidences

STUDIOS Architecture a livré en 2022 à Mantes-la-Jolie (Yvelines) le nouveau siège des Résidences Yvelines-Essonne (maître d’ouvrage : Les Résidences). Ce nouvel environnement de travail dynamique et harmonieux signé par le collectif d’architectes STUDIOS, accueille sur 5 600 m² l’ensemble des collaborateurs qui œuvrent pour le logement social. Communiqué. Le dernier projet de STUDIOS en […] L’article A Mantes-la-Jolie, STUDIOS Architecture œuvre à résidences est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 18 jours

Au Louvre-Lens, Rome, la cité et l’Empire

Pour fêter ses 10 ans, le Louvre-Lens (Pas-de-Calais) s’offre une des plus importantes expositions sur Rome la cité et l’Empire jamais organisée hors les murs du musée parisien. Ce printemps, tous les chemins mèneront à Lens ! Jusqu’au 25 juillet 2022 Comment Rome, simple cité du Latium, est-elle devenue la capitale d’un empire aux dimensions gigantesques, […] L’article Au Louvre-Lens, Rome, la cité et l’Empire est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 19 jours

SDE21 : Agathe et Sophie, le projet de la Team Aura

Après sa quatrième place en 2010 et sa brillante victoire en 2012 avec le projet Canopea, la Team Auvergne Rhône-Alpes (Team AURA) représentera la France avec son projet Agathe et Sophie lors de la prochaine édition de la compétition Solar Decathlon Europe (SDE) qui aura lieu à Wuppertal (Allemagne). Jusqu’au 3 Juillet 2022. Cette compétition […] L’article SDE21 : Agathe et Sophie, le projet de la Team Aura est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 19 jours

A Versailles, la BAP 2022 est Visible, Invisible

Dans le cadre de la BAP 2022, l’ENSA Versailles (Yvelines) présente l’exposition « Visible, Invisible » qui interroge sur l’émergence de nouvelles formes architecturales à partir des matériaux et énergies disponibles localement. Jusqu’au 13 juillet 2022. « Si un terroir peut être défini comme la rencontre d’un sol, d’un climat et de savoir-faire, l’architecture est de façon similaire […] L’article A Versailles, la BAP 2022 est Visible, Invisible est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 19 jours

"Le lac Tanganyika vomit" : au Burundi, l'eau monte et déplace les populations

Un jour d'avril 2020, en rentrant de son travail quotidien dans les champs, elle a pourtant découvert sa maison submergée par le lac, dont le niveau monte sur fond de dérèglement climatique."J'ai crié : mes enfants, mes enfants, mes enfants !", se souvient cette mère célibataire en mimant un geste de désespoir."Les enfants étaient emportés par les eaux, mais des gens qui savent nager les ont repêchés (...) et ils me les ont ramenés", poursuit-elle. Tous furent sauvés.Amissa raconte son histoire depuis le camp de Kinyinya II, situé à quelques kilomètres derrière Gatumba, qui accueille plus de 2.300 personnes déplacées par les inondations.En journée, un soleil de plomb écrase cette succession de tentes blanches siglées IOM, l'Organisation internationale pour les migrations de l'ONU, et laisse place le soir à un froid humide et mordant. Dans chaque allée, des dizaines d'enfants tournent en rond.Avant, "on cultivait, on faisait des travaux qui nous aidaient à survivre, mais depuis que nous sommes ici on ne fait rien", raconte quelques centaines de mètres plus loin Lea Nyabenda, arrivée elle aussi il y a deux ans."La vie (est) misérable, l'hébergement et le manque de nourriture m'angoissent. Dormir dans un endroit pareil alors que nous avions une belle et grande maison...", regrette cette femme de 40 ans, également mère de 10 enfants.FantomatiqueLea accepte de retourner voir son ancien logement à Gatumba, une ville qui ces dernières décennies se développait tous azimuts, dynamisée par le commerce avec la toute proche RD Congo. Même les zones jouxtant les flots, pourtant inconstructibles, ont vu pousser des quartiers.Mushasha, le quartier de Lea, est aujourd'hui un marécage où alternent des bras de lacs envahis de hautes herbes et des maisons – certaines miraculeusement intactes, d'autres abandonnées, voire totalement en ruine."C'est ici qu'était ma maison", lâche-t-elle en s'arrêtant devant un monticule de terre et de morceaux de bois. "Là c'était deux chambres, là une chambre, là-bas une autre et cette partie-là, c'était le salon"."J'évite de venir ici, par crainte de sentir la tension monter en moi." Fantomatique, le quartier ne compte plus qu'une poignée d'habitants. Les dégâts vont bien au-delà des seules habitations."Il y a des écoles qui ont été détruites, des commerces (...) Il y a aussi des champs, des cultures qui ont été inondés", détaille sur place Geoffrey Kirenga, directeur pays de l'ONG Save the Children, qui vient en aide aux familles déplacées et à celles qui ont choisi de rester.Quelque 65% des déplacés de Gatumba sont des enfants. Beaucoup n'ont plus accès à l'école et certains ont commencé à travailler pour nourrir leur famille."Certains enfants se mettent à pêcher, ce qui est dangereux, ce n'est pas protégé et ça les expose aux blessures physiques", ajoute-t-il, en jetant un oeil inquiet aux eaux peuplées, dans cette zone, d'hippopotames et de crocodiles.Save the Children anticipe une détérioration de la situation cette année, alors que débute actuellement la saison des pluies au Burundi.Bujumbura menacéeLe pays, densément peuplé et classé par la Banque mondiale comme le plus pauvre au monde en PIB par habitant, a connu plusieurs vagues d'exode en raison des conflits qui l'ont secoué. Aujourd'hui, la menace change. Près de 85% des 113.000 déplacés internes le sont en raison de désastres naturels, selon l'OIM, qui souligne que le Burundi est un des 20 pays les plus vulnérables au changement climatique.Les relevés météorologiques des dernières années montrent ainsi une intensification des chutes de pluies, torrentielles notamment, notent les experts.Outre des élévations "cycliques" du niveau de l'eau historiquement observées, la montée des eaux s'explique par la pollution des multiples rivières qui se jettent dans le Tanganyika, souligne Albert Mbonerane, ancien ministre de l'Environnement et ardent défenseur de l'écosystème du lac.Cette pollution menace de boucher l'unique voie d'écoulement, côté congolais, du deuxième plus grand lac d'Afrique.De fait, les flots n'ont plus reflué ou presque depuis 2020."Quand je vois tous les déchets solides, tout ce qu'on jette dans ces rivières (...) Le lac est en train de vomir pour dire +mais qu'est ce que vous voulez que je fasse ?+", pointe-t-il.A l'est de Gatumba, la capitale économique Bujumbura étire ses quartiers, restaurants, port et aéroport autour du lac.Des parcelles sont inondées et la moitié d'une quatre-voies qui longeait la rive est désormais fermée, rappelant la menace constante qui plane sur la plus grande agglomération du Burundi."Parfois, quand nous parlons d'environnement, on dirait que ce sont des histoires qu'on raconte alors (que) les réalités sont bien là", se désole Albert Mbonerane.
Il y a 3 ans et 19 jours

A Sophia-Antipolis, un Belvédère signé Kardham

A Sophia-Antipolis, le Groupe Kardham, avec Mazzarese Architectes, a livré en 2021 Le Belvédère, un programme immobilier de bureaux responsable et novateur. L’ouvrage de 3 600 m² et 900 m² de terrasse a été réalisé pour PF1/Valimmo, maître d’ouvrage, pour un montant de 5,7 M€. Communiqué. Les pôles Architecture et Ingénierie du Groupe Kardham ont […] L’article A Sophia-Antipolis, un Belvédère signé Kardham est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Cimbat
Il y a 3 ans et 19 jours

En forêt de Bercé (Sarthe), les chênes volent pour préserver la terre

Au bout d'une parcelle déboisée, non loin d'une route forestière, un opérateur fixe un câble sur le tronc d'un chêne fraîchement coupé. Puis un chariot tire l'énorme grume de plusieurs tonnes, le long d'un câble de 400 mètres de long, perpendiculaire à la route.Soulevée du sol, la grume est tractée dans un bruit assourdissant avant de venir chuter au bord de la route, au pied du câble-mât.D'habitude utilisée en montagne, la technique du débardage par câble a fait cet hiver son apparition en forêt de Bercé, réputée pour ses chênes d'exception."sols sensibles""On démocratise le débardage par câble en forêt de plaine sur des sols sensibles", souligne Brice Gaumont, technicien forestier territorial à l'office national des forêts (ONF)."Actuellement il pleut, les sols sont un peu gorgés d'eau, cette technique est adaptée pour ne pas abîmer les sols et les tasser", ajoute-t-il.En cette fin d'hiver, le débardage par tracteur forestier est impossible, sauf à entraîner de fortes dégradations du sol."Un sol qui est tassé n'est plus arable, on ne peut plus faire de forêt sur un sol tassé", explique encore le technicien forestier. Un tel sol "va mettre des dizaines, des centaines, des milliers d'années à se restructurer pour être à nouveau arable et faciliter la pénétrabilité des racines en terre".Or, "notre gagne-pain, c'est la forêt. La forêt si on veut qu'elle pousse, il ne faut pas qu'on abîme nos sols", confesse M. Gaumont. Et puis sur cette zone humide, "les engins s'embourberaient facilement", pointe Thierry Brun, câbliste venu du Puy-de-Dôme avec sa grande barbe grise."chantiers tests"A contrario, attendre l'été pour débarder peut avoir des conséquences sur la qualité du bois, et donc sur son prix, pour des grumes qui se vendent jusqu'à 15.000 euros et dont plusieurs ont été envoyées sur le chantier de reconstruction de Notre-Dame-de-Paris."Des insectes vont pondre leurs larves dans le bois, faire des galeries et l'abîmer. Les champignons se développent et ça altère la qualité du bois", décrit le technicien forestier.L'enjeu est d'autant plus fort à Bercé, forêt réputée pour ses futaies de chênes dont certaines ont plus de 200 ans.Déjà expérimenté à la Forêt du Gâvre (Loire-Atlantique) et Saint-Aubin-du-Cormier (Ille-et-Vilaine), le débardage par câble reste cependant réservé à des secteurs sensibles en plaine."Ce sont des chantiers tests", explique Bruno Cochet, responsable service bois Bretagne et Pays de la Loire à l'ONF. "C'est intéressant pour entretenir la profession de câbliste, un réseau d'entrepreneur spécialisé qui ne peut pas travailler en hiver car il y a de la neige".Il confirme que la technique "se développe sur la moitié ouest de la France alors qu'(elle) était extrêmement rare auparavant".
Il y a 3 ans et 19 jours

La hausse du loyer des commerçants limitée pour faire face à l'inflation

La modification de l'indice national trimestriel des loyers commerciaux (ILC) vise à soulager les commerçants confrontés à l'inflation et à une baisse de la consommation des ménages depuis le début de l'épidémie de Covid-19 en 2020.Cet indice était jusqu'ici calculé en fonction de trois paramètres : l'évolution des prix à la consommation, celle des prix de la construction neuve et celle du chiffre d'affaires du commerce de détail, qui comprend aussi bien les ventes en magasin que sur internet. Dans un contexte d'inflation, l'ILC augmente.Pour répondre à la conjoncture, le paramètre du chiffre d'affaires dans le commerce de détail (ICAVaCD) sera retiré de la formule de calcul, où ne demeurent donc que les indices représentatifs de l'évolution des prix à la consommation (IPLC) et celui du coût de la construction (ICC).Cette suppression "va permettre de diviser par deux la revalorisation des loyers indexés", a précisé le ministère de l'Économie dans un communiqué alors que "la progression continue des ventes par internet alimentait ainsi – sans aucune justification économique - la revalorisation des loyers des magasins physiques".L'Alliance du commerce (grands magasins, habillement, chaussure) et la fédération du commerce spécialisé Procos ont dans un communiqué conjoint réagi positivement à cette mesure, qui selon eux "va limiter l'augmentation automatique des loyers des commerçants dans les prochaines années".Au troisième trimestre 2021, l'indice avait subi sa plus forte augmentation depuis 2008 et risquait d'augmenter les loyers 2022 des commerçants entre 2,6% et 3,46%, d'après la fédération Procos, qui avait tiré la sonnette d'alarme. "Le gouvernement prend conscience que le commerce est un secteur stratégique qui doit être accompagné et soutenu", a salué Emmanuel Le Roch, délégué général de Procos, cité dans le communiqué.Les deux organismes "regrettent" en revanche l'absence d'accord avec les bailleurs pour une réduction de "l'indexation des loyers dès le début de l'année 2022", d'une mensualisation des loyers et de la diminution des dépôts de garantie.L'accord trouvé sur la modification de l'ILC "témoigne de l'écoute apportée par les bailleurs à leurs locataires", ont répondu dans un communiqué conjoint mardi le Conseil national des centres commerciaux (CNCC) et la Fédération des entreprises immobilières (FEI). Les représentants des acteurs immobiliers espèrent que la mesure "permettra d'établir une relation plus sereine entre bailleurs et locataires", ont-ils ajouté."La situation économique des commerçants continue d'être très dégradée", ont rappelé Procos et l'Alliance du commerce dont le directeur général Yohann Petiot a demandé "un véritable plan d'action en faveur du commerce".La modification de l'ILC est l'une des premières mesures prises par le gouvernement à la suite des "Assises du Commerce" organisées fin 2021 durant lesquelles les professionnels avaient présenté leurs doléances.
Il y a 3 ans et 19 jours

L'attraction de l'Ile-de-France a pesé sur la croissance par habitant des régions limitrophes

L'Institut national de la statistique a étudié l'évolution du PIB (produit intérieur brut) par habitant dans les différentes régions françaises entre 2000 et 2020.Sur la période 2000-2019, qui écarte les effets exceptionnels de la crise du Covid, le PIB par habitant a augmenté en moyenne de 0,7% par an en France (hors Mayotte).Mais les écarts sont grands entre les régions, avec une croissance de plus de 1% par an pour l'Ile-de-France, en tête des régions métropolitaines, quand elle atteint seulement entre 0,2% et 0,3% par an en Normandie, dans le Grand Est, en Bourgogne-Franche Comté et en Centre-Val de Loire.L'Insee explique cette différence par une moindre progression du PIB par emploi, qui représente la richesse créée par emploi et qui rapporte le PIB de la région considérée au nombre d'emplois sur ce même territoire.Selon l'institut, on observe depuis vingt ans dans ces régions "une intensification des déplacements domicile-travail vers l'Ile-de-France", notamment pour la Bourgogne-Franche Comté, ainsi qu'un "vieillissement de la population sur la période, relativement plus marqué en Normandie".Plus globalement le taux d'emploi (le rapport entre le nombre de personnes en emploi et le nombre total d'habitants) a aussi connu une "croissance modérée" dans ces régions.Autre enseignement de cette note: depuis 20 ans, les territoires d'outre-mer, à l'exception notable de la Guyane, ont aussi vu l'écart se resserrer avec la métropole.La croissance du PIB par habitant y a été bien plus forte, avec +1,8% par an en Guadeloupe, +1,7% en Martinique et +1,4% à La Réunion."Dans ces trois régions, l'augmentation de l'emploi par habitant sur la période, contribue relativement plus qu'en France métropolitaine à la croissance du PIB par habitant", en particulier à La Réunion, explique l'Insee.En 2020, le PIB par habitant était ainsi de 34.100 euros en moyenne en France. Il atteint 57.600 euros en Ile-de-France, et est le seul à être supérieur à la moyenne nationale, contre 20.200 euros dans les régions d'outre-mer.La crise sanitaire a pénalisé toutes les régions, mais le PIB par habitant est même retombé sous son niveau de 2000 en Bourgogne-Franche Comté, Grand Est, Normandie et Centre-Val de Loire.
Il y a 3 ans et 19 jours

Résultat net en hausse au premier trimestre 2022 pour Legrand

RÉSULTATS. Le spécialiste de l'éclairage, Legrand, annonce une hausse de son chiffre d'affaires et de son bénéfice net au premier trimestre 2022. Les objectifs pour l'année sont confirmés et inchangés.
Il y a 3 ans et 19 jours

Immobilier : trois acteurs s'associent pour pousser le photovoltaïque

ÉNERGIE. Le secteur de l'immobilier compte désormais une nouvelle offre visant à accélérer la solarisation des bâtiments.
Il y a 3 ans et 20 jours

Plombées par le contexte et les difficultés, production et consommation d'énergie reculent

ANALYSE. Le ralentissement de l'économie et les contraintes pesant sur l'approvisionnement énergétique de la France ont conduit la production et la consommation d'énergie du pays à diminuer respectivement de 7,9% et de 2,2% au 1er trimestre 2022. Les tensions géopolitiques n'y sont évidemment pas étrangères, mais la faible disponibilité des réacteurs nucléaires et des stocks hydrauliques ont également joué un rôle. L'électricité d'origine photovoltaïque bondit mais ne parvient pas à compenser.
Il y a 3 ans et 20 jours

Construction bas carbone : quand les pouvoirs publics appuient sur le frein et l’accélérateur en même temps

Pour poursuivre l’objectif louable de la construction durable, la réversibilité est devenue un enjeu majeur : tout le monde s’accorde sur le fait qu’il est inconcevable aujourd’hui de bâtir des immeubles monovalents, dont l’usage est figé pour toujours ; pour ne prendre que l’exemple des immeubles de bureaux, les (r)évolutions rapides dans les manières de travailler peuvent rendre obsolètes des constructions en parfait état, les condamnant à une démolition précoce. Le législateur s’est donc emparé du sujet : la loi Climat et Résilience de l’été 2021 prévoit une « étude de réversibilité » qui devra, on l’imagine, démontrer la possibilité de reconvertir un immeuble dans un autre usage. On attend avec une certaine fébrilité les modalités d’application de cette loi… Surgit toutefois une autre traduction de cet objectif de réversibilité : selon le bon vieux principe « qui peut le plus, peut le moins », la réglementation incendie (en cours de révision) aurait bien envie d’adopter, pour le cas général, la plus contraignante des exigences. On a identifié depuis longtemps que les risques sont différents dans des logements où une population d’âges variés est susceptible de dormir, et dans des locaux professionnels où les usagers ne connaissent pas forcément les lieux. Les différents pays européens ont d’ailleurs sur ce point des approches différentes : certains ayant une réglementation plus stricte en matière de logements, d’autres en matière de locaux professionnels.Nous espérons ardemment que la bonne idée de la réversibilité ne va pas accoucher d’un monstre réglementaire cumulant, sans analyse critique, les contraintes du logement et des bureaux. La raison prêcherait pour une refonte pragmatique et analytique des normes, prenant en compte les nouveaux enjeux. Un autre aspect de la lutte contre les émissions de carbone est le recours aux matériaux bio-sourcés, qui constituent, grâce à la photosynthèse, des stocks pérennes de carbone biogénique. Cet intérêt a été reconnu par la nouvelle réglementation environnementale, la RE 2020. Cela donne à l’industrie des matériaux bio-sourcés, encore peu développée mais prometteuse, un léger coup de pouce…. qui pourrait contrarier les positions installées.Alors à l’occasion d’une révision des règles de sécurité incendie, qui doivent évidemment prendre en compte la présence de bois, de façon significative, dans ce nouveau type de constructions, apparaissent des études du Centre Etudes et Recherches de l’Industrie du Béton qui préconisent l’encapsulage généralisé de toutes les structure en bois, par des plaques de plâtre ce qui menace d’augmenter considérablement, et de façon prohibitive, le coût de la construction bois. La France est vraiment le seul pays au monde où l’on choisit officiellement les ingénieurs du béton pour évaluer les risques liés à la construction en bois.La voie vers la construction durable et la sobriété carbone est semée d’embûches ; elle remet en cause des décennies de pratique, des positions confortablement installées. Espérons que les pouvoirs publics sauront trouver l’équilibre et ne pas tuer dans l’oeuf toutes les initiatives de diversification dans le choix des matériaux.
Il y a 3 ans et 20 jours

Les bureaux de demain, selon Denis Valode de l'agence Valode & Pistre

INTERVIEW VIDÉO. A quoi ressembleront les immeubles de bureaux de demain ? En quoi la crise du Covid a transformé les bureaux ? A l'occasion d'Enerj-meeting Paris, qui a eu lieu fin mars, l'architecte Denis Valode s'est prêté au jeu de l'interview vidéo pour Batiactu afin de partager sa vision sur le sujet.
Il y a 3 ans et 20 jours

La FFMI propose de mieux former les architectes à la sécurité incendie

CURSUS. La formation des architectes devraient davantage prendre en compte la sécurité incendie, estime la Fédération française des métiers de l'incendie (FFMI) dans son livre blanc, publié à l'occasion de l'ouverture d'un nouveau quinquennat présidentiel.
Il y a 3 ans et 20 jours

L’Autorité environnementale tire la sonnette d’alarme sur son manque de moyens

Alors que l'Autorité environnementale déplore un manque d'actions visant à réduire l'impact des projets sur l'environnement, elle alerte dans le même temps sur le manque de moyens mis à sa disposition pour rendre ses avis.
Il y a 3 ans et 20 jours

Amorce récompense les collectivités engagées

La rénovation énergétique des logements est un sujet primordial, le secteur du bâtiment étant le premier consommateur d’énergie en France. Pour autant, la rénovation des logements collectifs demeure relativement marginale par rapport aux maisons individuelles. Partant de ce constat, AMORCE s’emploie à massifier la rénovation énergétique des copropriétés et participe au programme Rénovons Collectif. Porté par Île-de-France Énergies, ce programme cible 86 500 copropriétés au sein des 51 collectivités lauréates, avec une sensibilisation plus large des 20 millions d’habitants de ces mêmes territoires, soit 1/3 de la population française.Les Trophées des Collectivités pour la Rénovation Énergétique des Copropriétés viennent récompenser les collectivités, de toute taille qu’elles soient adhérentes ou non d’AMORCE, ayant mis en place une politique ambitieuse dans ce domaine. Celles-ci seront évaluées par un jury composé d’acteurs nationaux reconnus pour leur action en faveur de la transition écologique et leur lien avec les collectivités : Raphaël CLAUSTRE – Directeur Général (Île-de-France Énergies), Michel MAYA – Vice-Président délégué à la rénovation énergétique (AMORCE), Pierre DEROUBAIX - Ingénieur Service Bâtiment (ADEME), Gwenola STEPHAN - Chargée de mission développement durable (AMF), Sébastien CATTÉ WAGNER - Directeur du programme « Plan national de traitement des copropriétés fragiles et en difficulté » (ANAH), Valérie FLIS-PLISSON - Chargée de mission pôle technique et professionnel bâtiment (CAPEB), Marianne VILLEY - Chargée d'études Énergie Climat (CEREMA), Frank SENTIER - Délégué Général (fédération FLAME), Claire DELPECH - Responsable Environnement (Intercommunalités de France - AdCF) et Julie LODEWYCKX - Chargée de mission Plan Bâtiment Durable (Ministère de la Transition Écologique).Ce jury évaluera les candidatures selon des critères liés à l’ambition de la stratégie mise en place, son articulation vis-à-vis de la planification territoriale, aux démarches (sensibilisation, communication, partenariats…) menées auprès des diverses parties prenantes (ménages, syndics, professionnels…), à la mise en place d’un service public de conseil et d’accompagnement à la rénovation énergétique, à la mise en place d’aides financières à l’ingénierie et aux travaux, ainsi qu’à l’exemplarité (énergétique, sociale, environnementale…) du projet présenté par la collectivité. Les candidatures seront réparties en cinq catégories déterminées par le nombre d’habitants des collectivités. Chaque catégorie se verra décerner un lauréat, le jury élisant par ailleurs un lauréat « Coup de cœur du jury ».Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 15 juillet 2022 et s’effectuent par l’intermédiaire d’une déclaration de pré-candidature, ouvrant par la suite l’accès au formulaire de candidature. Les trophées seront remis aux lauréats lors d’une cérémonie organisée au congrès annuel d’AMORCE, du 19 au 21 octobre 2022, tandis qu’une deuxième édition des Trophées est déjà en préparation pour 2023.
Il y a 3 ans et 20 jours

Husqvarna fait l’acquisition de Heger

L’acquisition de Heger par Husqvarna renforcera et complètera son activité principale de forage et de sciage de béton en Europe centrale. [©Husqvarna] La division “Construction” du groupe Husqvarna vient d’annoncer avoir convenu d’acquérir Heger, une entreprise allemande spécialisée dans les outils diamantés pour les professionnels du carottage/sciage. « Cette acquisition renforcera et complètera notre activité principale de forage et de sciage du béton en Europe centrale », affirme Henric Andersson, Pdg du groupe Husqvarna. 9 M€/an de chiffre d’affaires pour Heger Fondée en 1908, Heger possède une longue tradition d’assistance aux clients dans son secteur. Son siège social et son site de production sont situés à Heitersheim, au Sud-Est de l’Allemagne. La société possède aussi des bureaux de vente aux Pays-Bas. Elle compte environ 45 collaborateurs et totalise environ 9 M€/an de chiffres d’affaires. « Grâce à sa production flexible, ses délais de livraison courts et ses produits hautes performances et de qualité, Heger ajoutera une valeur significative à notre offre destinée à nos clients sur le marché des outils diamantés en Europe centrale. Et s’intègrera dans notre stratégie de croissance. En combinant nos forces, nous créons une plate-forme idéale pour poursuivre notre croissance sur le marché des outils diamantés pour les professionnels », déclare Karin Falk, présidente de la division “Construction” d’Husqvarna. La clôture de la transaction devrait avoir lieu au deuxième trimestre 2022 et reste soumise aux conditions de clôture habituelles.
GDA
Il y a 3 ans et 20 jours

En région Paca, la sobriété foncière a sa feuille de route

ARTIFICIALISATION. L'une des régions françaises où la consommation d'espace est la plus rapide s'est dotée d'une feuille de route de la sobriété, élaborée en partenariat entre l'Etat et ses opérateurs, les aménageurs et la Région.
Il y a 3 ans et 20 jours

Habitat indigne : Foncière Logement déploie son dispositif Dignéo à Marseille

CENTRES-VILLES. Foncière Logement a signé, en mars, un protocole foncier avec le bailleur Marseille Habitat et une promesse de vente avec la SPL Soleam pour déployer Digneo, son outil de lutte contre l'habitat indigne, dans le centre-ville de la cité phocéenne.
Il y a 3 ans et 20 jours

Equipez tous vos chantiers grâce aux essentiels construction Würth

De l’outillage aux produits chimiques, en passant par les équipements de la protection individuelle (EPI) ou encore les équipements d’atelier … découvrez nos produits et outils essentiels qui répondent aux besoins de tous les professionnels de la construction.La sécurité avant tout !Pour garantir la sécurité de vos ouvriers (ou de vous-même !) sur tous vos chantiers, nous proposons des équipements de protection individuelle (EPI) complets, pratiques, conformes aux dernières normes en vigueur et surtout ergonomiques et confortables. Nos équipements de protection individuelle protègent la totalité du corps des ouvriers contre les risques d’accidents du travail et protègent ainsi leur santé et leur sécurité. Travaux de préparation, travaux de peinture, pose de papier peint, prévention des risques liés au travail en hauteur … à chaque application sa solution. Voici un aperçu de nos nombreux produits pour assurer votre sécurité de la tête aux pieds :Des protections corporelles : gants de protection, gilet haute visibilité, combinaison de peinture, chaussures de sécurité, genouillères … nous proposons également des combinaisons intégrales pour protéger l’ensemble du corps. Des équipements et protections anti-chute : harnais de sécurité, ligne de vie, points d’ancrage, mousquetons, longe … Würth réuni pour les professionnels exigeants et rigoureux des systèmes anti-chute composés de divers éléments pour augmenter la sécurité des travailleurs sur leurs sites de travail.Des protections du haut du corps : lunettes et masques de protection, bouchons d’oreilles pour protection auditives, casques de chantier … de nombreux produits pour prévenir des risques résiduels aux postes de travail et protéger les professionnels lors de l’exercice de leur activité. Les machines sans fil pour faciliter votre quotidien Visser, couper, clouer, fixer, huiler … à chaque application son outil mono ou multifonctions adapté aux besoins de tous les professionnels de la construction.Nos machines à batterie sans fil sont puissantes, légères et ergonomiques. Ces machines ont été conçues pour apporter sécurité, confort et efficacité à tous les professionnels. Il est possible de classer les machines autonomes selon leur utilisation principale :Pour couper, meuler, percer : les meuleuses d’angle (disqueuses), les marteaux perforateurs, les scies (sabres, sauteuses, circulaires), les cloueurs, les visseuses classiques ou à percussion, etc.Pour fixer : les tournevis électroniques, les pistolets à mastic et colles, les clés à chocs, les cloueurs, les riveteuses, ou encore les visseuses classiques ou à percussion. Leur concentré de technologie vous permettra :De gagner en confort de travail : la conception compacte et ergonomique des machines vous permettra un travail agréable et sans fatigue. De plus, mes machines sans fil offrent une liberté de mouvement totale !De gagner un temps précieux grâce à leur système de batterie interchangeable.D’avoir des performances maximales grâce à leur puissance constance et leur robustesse pour garantir une résistance élevée aux chocs.Une durabilité de chaque outil avec un entretien réduit. Les consommables et produits chimiques pour gagner en productivitéAuge de maçon, bac pour matériaux de construction, paroi anti-poussière, piquets de sécurité, film d’étanchéité … nombreux sont les outils et équipements spécifiques qui sont nécessaires pour des finitions réussies. Équipez-vous du sol au plafond grâce à nos produits d’étanchéité pour sols et murs (comme le frein-vapeur DB 20 qui assure l'étanchéité à l'air et limite la transmission de la vapeur d'eau), qui sont faits pour être simples d’utilisation et faciles à appliquer. Découvrez également nos nombreux matériaux et éléments de fixation adaptés à la charpente, comme le WÜTOP ROLL-PLUS, un closoir ventilé pour tuiles en béton et en terre cuite.La gamme de produits chimiques Würth permet de réaliser aussi bien des travaux d’assemblages de divers matériaux que des travaux d’étanchéité de surfaces ou de joints. Vous retrouverez parmi nos nombreux produits chimiques : du mastic silicone, acrylique, polymère et PU, mais encore de la mousse polyuréthane, de la colle cyanoacrylate, de la colle de montage, du stop-filet, de l’étanche-tube …Découvrez encore plus de produits dans notre Univers 100% Construction !
Il y a 3 ans et 20 jours

La réhabilitation de la minoterie met en valeur le patrimoine de la ville d'Ivry

EN IMAGES. À la fois ouvert et urbain, ce lieu de vie traverse les époques et les styles architecturaux. Il est aujourd'hui composé de logements et de bureaux.
Il y a 3 ans et 20 jours

Les professionnels du diagnostic immobilier haussent le ton face à un calendrier politique prenant le pas sur le bon sens

En jeu : le succès de la rénovation énergétique du logement et du bâti existant, primordial pour une transition énergétique collective réussie. Et le respect envers les professionnels de la filière qui en auront la responsabilité sur le terrain, auprès des particuliers.Le 3 mars dernier, SIDIANE était la première organisation professionnelle à demander officiellement à Emmanuelle WARGON, ministre déléguée au logement, le report de l’audit énergétique obligatoire. Au lieu du 1er septembre 2022, SIDIANE recommandait que celui-ci entre en vigueur le 1er janvier 2023 afin que l’ensemble des entreprises du diagnostic immobilier soient prêtes à le réaliser. D’autres organisations ont soutenu cette démarche en suggérant un calendrier identique.Or, le décret fixant les modalités du nouvel audit énergétique est sorti ce jour. La date du 1er septembre prochain le rendant obligatoire pour les logements en monopropriété est maintenue. On aurait envie de dire « Quoi qu’il en coûte » ! Encore eût-il fallu que cette décision inique prête à sourire. Ce qui n’est pas le cas.A ce jour, la mise en œuvre de l’audit énergétique obligatoire est loin d’être opérationnelle. Le traitement qui lui est réservé par les pouvoirs publics est le même que celui du nouveau DPE l’an dernier, avec les effets que l’on sait sur les filières du diagnostic immobilier, de l’immobilier, du logement… Le DPE subit d’ailleurs tous les jours depuis des semaines les foudres de la presse. A tel point qu’en tant que Président de SIDIANE, Jean-Christophe PROTAIS a pris la parole pour dénoncer ce « DPE Gate » et défendre ce diagnostic immobilier qui est un outil performant et indispensable à la réussite de la rénovation énergétique, malgré son lancement déjà chaotique, faute d’écoute des professionnels par les pouvoirs publics. Il est prévisible que les mêmes causes produiront les mêmes effets avec l’audit énergétique. La décision du jour de maintien en appellera-t-elle une autre de suspension ou de report en juin prochain ou après l’été ? Il est difficile de suivre. Encore moins d’anticiper, ce qui est pourtant le propre des chefs d’entreprises de diagnostic immobilier.Avec le maintien du calendrier de l’audit énergétique, le Gouvernement veut donner le sentiment de tenir bon sa réforme. Mais il prend en réalité un double risque.Premier risque : pour la deuxième fois en 1 an, le Gouvernement lance unilatéralement une réglementation et un outil pas encore finalisés, pas fiabilisés et à propos duquel la filière n’a pas été en mesure de se préparer correctement. En effet, les méthodes et les logiciels de calcul et de chiffrage des travaux ne sont pas stabilisés, les trames des rapports sont encore à l’étude, le contenu des formations professionnelles sont laissés à la discrétion des organismes de formation sur la base de ce qui existe pour les audit énergétiques incitatifs… tandis que les certifications des professionnelles seront obtenues en pratiquant ; autrement dit, les premiers audits énergétiques délivrés aux clients finaux le seront par des professionnels encore en formation, non certifiés.Second risque : Le gouvernement va créer de son propre fait une situation transitoire de non-droit : un entre-deux juridiques. De juri, l’audit énergétique s’imposera. De facto, il sera inapplicable et inappliqué. Rappelons que la loi climat et résilience le 24 aout 2021 prévoit l’obligation, avant même toute visite du bien immobilier concerné, de délivrer à l’acquéreur potentiel d’une passoire énergétique (étiquette F et G du DPE) un audit énergétique.Croyons-nous sérieusement que les acteurs de l’immobilier comme les particuliers qui vendront leur bien en direct vont respecter cette loi alors que les audits énergétiques ne seront pas réalisés à temps ? Ou, autre effet pervers attendu, n’y a-t-il pas un risque que les audits soient réalisés sans l’exigence requise, avec des erreurs, des conseils peu avisés et ce déclenchant un financement hasardeux par des aides publiques de travaux inappropriés ?En outre, le Gouvernement a tablé sur un volume d’audits énergétiques à réaliser fondé sur des chiffres de 2018, obtenus à partir des proportions d’étiquettes F et G déterminées avec les anciens modes de calcul du diagnostic de performance énergétique. Cela devait représenter environ 4,8 millions de logements d’après les chiffres du Gouvernement de février 2021.La réalité est autre. Depuis novembre 2021, bon nombre de DPE ont été réalisés. SIDIANE a pu constater que le nombre de biens en étiquettes F et G est bien supérieur à celui estimé par le Gouvernement. Par conséquent, il faut mécaniquement s’attendre à une demande d’audits énergétiques plus forte que prévue. Et ce, sans même intégrer ce que nous disent les professionnels de l’immobilier : de plus en plus de propriétaires sont en train de mettre en vente les passoires énergétiques de leur patrimoine.Autant de facteurs qui vont accroître la demande en audits énergétiques sans que la filière soit en capacité d’y répondre quantitativement mais aussi qualitativement. Au risque d’entraîner une recrudescence des contentieux à leur propos, notamment entre vendeurs et acquéreurs de biens immobiliers, puis entre vendeurs et diagnostiqueurs immobiliers ayant réalisé les audits.Dans ce contexte, SIDIANE réitère fermement et solennellement le report de l’audit énergétique au 1e janvier 2023.
Il y a 3 ans et 20 jours

En Guyane, le gouvernement fait appel suite au rejet du projet de centrale électrique EDF

Le gouvernement a décidé de faire appel après l'annulation de l'autorisation préfectorale pour la construction d'une grande centrale électrique en bord de mer à Larivot, Guyane.
Il y a 3 ans et 20 jours

Les pompes à chaleur aérothermiques confirment leur domination en 2021

Selon une étude d'Oberv'ER publiée le 28 avril 2022, le marché des pompes à chaleur (PAC) aérothermiques a progressé de 12,4% en 2021 et dépasse désormais le seuil du million d'unités vendues en une année.
Il y a 3 ans et 20 jours

Eiffage fait un premier pas dans le marché des télécommmunications

ACQUISITION. L'une des majeures du bâtiment et des travaux publics a annoncé ce 6 mai être entrée en négociations exclusives avec le groupe Snef dans l'objectif d'acquérir 70% de Snef Telecom, filiale spécialisée dans les télécommunications mobiles. Des discussions qui confirment la volonté du groupe de réaliser des opérations de croissance externe.
Il y a 3 ans et 20 jours

Val-de-Marne : ouverture d’une nouvelle crèche à Limeil-Brévannes en 2024

À Limeil-Brévannes (Val-de-Marne), une nouvelle crèche de 60 places verra le jour dans le quartier de La Hêtraie.
Il y a 3 ans et 20 jours

Seine-et-Marne : inauguration de la passerelle du pont de Valvins

Déjà accessible au public depuis la rentrée 2021, la nouvelle passerelle du pont de Valvins, à Vulaines-sur-Seine, vient d’être inaugurée.
Il y a 3 ans et 20 jours

Rhône : travaux de réseau de chauffage urbain dans le quartier des Essarts, à Bron

À Bron (Rhône), la pose de nouvelles canalisations sous la chaussée est en cours. Les travaux devraient durer un an.
Il y a 3 ans et 20 jours

Sebico présente une nouvelle boîte EPERS

Cette unité permet de traiter les déchets, de les transformer et de les valoriser pour les réintroduire dans sa production.Depuis et lorsque c’est possible, Sebico utilise cette matière recyclée dans la fabrication ou l’équipement de ses produits.C’est pourquoi Sebico a décidé de remplacer l’opercule de ses boîtes EPERS par un opercule en matière 100 % recyclée.Points fortspour réseaux secs ou réseaux humides3 tailles3 opercules plastique5 diamètres de raccordementconformité avec les opérateurs téléphoniques
Il y a 3 ans et 20 jours

L’Afipeb annonce des délais d’approvisionnement allongés

L’association de transformateurs de polystyrène expansé et des producteurs de polystyrène expansible attire l’attention sur les tensions sur le marché qui touchent le deuxième isolant le plus utilisé en France.
Il y a 3 ans et 20 jours

Avis défavorable pour le prolongement de la ligne 1 du métro dans le Val-de-Marne

La commission, désignée par le tribunal administratif de Melun et qui a rendu son rapport début mai à la préfecture du Val-de-Marne, considère que si l'objectif "présente bien un caractère d'intérêt général, la balance avantages/inconvénients de l'ensemble des critères penche incontestablement du côté des inconvénients que génèrerait un tel projet".Le projet prévoit la création d'un tunnel long de 5 km environ, de trois nouvelles stations (Les Rigollots, Grands Pêchers et Val-de-Fontenay) et d'un centre de dépannage des trains en arrière-gare sur la commune de Neuilly-Plaisance. L'objectif est de désenclaver plusieurs quartiers de Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne et de réduire le bilan carbone de leurs habitants.La commission estime que le projet est à la fois trop onéreux (1,7 milliard d'euros), que les travaux ont déjà pris du retard, qu'il porte atteinte à l'environnement. Elle pointe du doigt aussi le risque d'inondation lié à la proximité d'une nappe phréatique."Nous allons regarder les conclusions du commissaire enquêteur et y répondre pour que ce projet puisse se faire", a indiqué à l'AFP un porte-parole d'Ile-de-France Mobilités (IDFM).Pour l'autorité régionale des transports, "ce projet est vital car il permet de désenclaver l'est de Vincennes, le sud de Montreuil et Fontenay-sous-Bois en manque de transports en commun"."Il s'agit d'un véritable choc pour les élus de ce secteur et pour les milliers de personnes qui soutiennent ce prolongement et attendent des solutions à leurs difficultés de déplacement dans un contexte d'urgence climatique", a réagi le groupe communiste au conseil régional, demandant qu'IDFM inscrive la question à l'ordre du jour de son prochain conseil d'administration, le 25 mai.Les villes qui seraient desservies par ce projet sont déjà connectées avec les RER A et E, et à terme avec la ligne 15 du métro du Grand Paris et le prolongement du tramway T1, remarque la commission d'enquête.La ligne 1 devrait néanmoins transporter quelque 95.000 voyageurs supplémentaire par jour avec le prolongement envisagé. Les travaux étaient prévus pour être réalisés entre 2028 et 2035.Ce projet agite l'Est parisien depuis plusieurs mois, en confrontant partisans des transports en commun aux défenseurs d'arbres centenaires.L'enquête publique a été organisée du 31 janvier au 2 mars dans le XIIe arrondissement de Paris, ainsi qu'à Vincennes, Fontenay-sous-Bois, Montreuil et Neuilly-Plaisance."Bras d'honneur"Pour l'autorité régionale des transports, "ce projet est vital car il permet de désenclaver l'est de Vincennes, le sud de Montreuil et Fontenay-sous-Bois en manque de transports en commun".Le dossier porté avec la RATP envisage la construction de trois nouvelles stations (Les Rigollots, Grands-Pêchers et Val-de-Fontenay) et d'un centre de dépannage des trains en arrière-gare sur la commune de Neuilly-Plaisance.L'idée est de desservir directement des quartiers densément peuplés, un peu à l'écart du RER A, et de connecter la ligne 1 au pôle de Val-de-Fontenay avec les RER A et E, la ligne 15 du métro du Grand Paris et le prolongement du tramway T1.IDFM et la RATP attendent 95.000 voyageurs par jour sur ce prolongement à son ouverture, espérée à l'horizon 2035.Le projet agite l'Est parisien depuis plusieurs mois, en confrontant partisans des transports en commun aux défenseurs d'arbres centenaires. Pétitions, manifestations et (contre-)mobilisation citoyenne ont animé l'enquête publique, organisée du 31 janvier au 2 mars."Il s'agit d'un véritable choc pour les élus de ce secteur et pour les milliers de personnes qui soutiennent ce prolongement et attendent des solutions à leurs difficultés de déplacement dans un contexte d'urgence climatique", a réagi mardi le groupe communiste au conseil régional."On prend acte de cet avis mais on le prend comme un bras d'honneur fait aux habitants de nos quartiers et plus généralement de l'Est parisien", a dit à l'AFP Gaylord Le Chequer, premier adjoint au maire de Montreuil, regrettant que la commission n'ait pas délivré au moins un avis favorable avec des réserves sur certains aspects permettant de continuer à travailler sur le projet."Il y a quelque chose de totalement anachronique", a-t-il ajouté, jugeant que la commission d'enquête appelle de fait "les habitants des quartiers populaires à continuer d'utiliser les voitures à l'heure où le prix de l'essence est en train de flamber", alors qu'aucune alternative n'est proposée "si ce n'est s'entasser dans des bus".La ville de Neuilly-Plaisance, opposée à la construction d'un atelier sur son sol au-delà du terminus envisagé, a de son côté salué "une première victoire".
Il y a 3 ans et 20 jours

Pyrénées-Atlantiques : à Saint-Jean-de-Luz, la construction du parking de l’îlot Foch est lancée

Les travaux de construction du nouveau parking souterrain de l’îlot Foch ont été lancés dans le courant du premier trimestre 2022.
Il y a 3 ans et 20 jours

Oise : inauguration des travaux de sécurisation sur la RD 616 à Fouquenies

La ville de Fouquenies a réaménagé une partie de la RD 616 pour sécuriser le passage des usagers.
Il y a 3 ans et 20 jours

Ille-et-Vilaine : une plate-forme technique et logistique pour le Service départemental d’incendie et de secours à Noyal-Châtillon-sur-Seiche

À Noyal-Châtillon-sur-Seiche (Ille-et-Vilaine), les travaux de construction d’une plate-forme technique et logistique continuent jusqu’en décembre 2022.
Il y a 3 ans et 20 jours

FISA et BIM&CO s’associent afin d’offrir une des plus grandes bibliothèques d’objets BIM dans un logiciel de tracé CVC

Les équipes BIM&CO et FISA étaient présentes au salon BIMWORLD Paris et Solutions Bas-Carbone 2022, les 5 & 6 avril derniers à Paris Expo – Porte de Versailles. À cette occasion, les deux entreprises ont présenté leur nouveau partenariat, lors de l’un des ateliers sur le stand BIM&CO. Partenariat FISA-BIM&CO – Bibliothèque d’objets BIM BIM&CO et FISA s’associent afin d’offrir une des plus grandes bibliothèques d’objets BIM dans un logiciel de tracé CVC. À destination des bureaux d’études et entreprises, le nouvel outil de recherche de familles, intégré à la dernière version de Fisa-BiM Management et Fisa-BiM CVC, permet en phase d’exécution d’associer aux bibliothèques d’objets BIM déjà présentes dans les logiciels un accès direct vers la plateforme BIM&CO. Il s’agit également d’une opportunité pour les fabricants, qui peuvent désormais : Gagner en visibilité auprès des BET et être prescrit; Se rapprocher de l’usage métier et notamment des calculs des bureaux d’études CVC; Devenir partenaire du leader français des éditeurs de logiciels pour le génie climatique. Découvrez-en davantage sur le partenariat BIM&CO- FISA dans notre communiqué de presse. La connexion entre FISA et BIM&CO vous intéresse ? Demandez une démo avec l’un de nos experts !
Il y a 3 ans et 20 jours

Hérault : construction d’un collège dans le quartier Port-Marianne à Montpellier

À Montpellier (Hérault), une nouvelle école primaire est en construction dans le quartier de Port-Marianne.
Il y a 3 ans et 20 jours

A Lyon, le siège de Framatome, par AFAA Architecture

L’agence lyonnaise AFAA (Marc Favaro, Anne-Sophie Rigal, Philippe Audart) a livré en 2021 à Lyon (Rhône) le Campus Workin’Park, nouveau siège de Framatome. L’ouvrage de 27 500m², réalisé pour un coût de 25M€ (CoGV maître d’ouvrage) est structuré autour d’un grand jardin intérieur de 5 000 m², soit la superficie d’un parc urbain, qui structure l’ensemble […] L’article A Lyon, le siège de Framatome, par AFAA Architecture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 20 jours

Vinci va réaliser le réservoir d’eau de Springbank, au Canada

L'ouvrage de régulation sur la rivière Elbow, un barrage en terre de 29 mètres de hauteur sur une longueur d’environ 3,8 km, fonctionnant avec une prise d’eau et un canal de dérivation de 4,3 km, nécessitera le terrassement d'environ 5 millions de mètres cubes de terre. Des travaux estimés à 263 millions d’euros.
Il y a 3 ans et 20 jours

Sergic annonce le développement de son activité d’administrations de biens au Maroc

Après un développement réussi au Canada, le groupe SERGIC franchit une étape supplémentaire dans son développement à l’international avec la création d’une joint-venture spécialisée dans l’administration de biens au Maroc.Accompagner le développement du secteur immobilier marocain, c’est dans cette perspective que Biben est né.Pour Emilie d’Avout, Partner et Co-Head de Yamed Promotion au sein de Yamed Group : « En tant qu'investisseur et promoteur immobilier, nous sommes très sensibles à l’importance des métiers de l’administration de biens et à leur impact sur la qualité de vie de nos clients et sur la valorisation de leur patrimoine. La création de Biben traduit ainsi la volonté de Yamed Group de contribuer au développement de ces métiers cruciaux dans la chaîne de valeur immobilière. Avec l’appui d’un partenaire international, Biben propose un service de syndic professionnel aux meilleurs standards. En complément, Biben assure également des services de gestion locative pour accompagner nos clients dans la gestion de leur investissement s’ils ne souhaitent pas occuper leur bien. »Une équipe d’experts dédiéeS’appuyant sur l’expertise métier de Sergic et sur le savoir-faire de Yamed Group sur l’ensemble de la chaîne de création de valeur immobilière, Biben entend redéfinir les codes de la gestion de copropriétés en y apportant proximité, transparence et innovation. L’entreprise bénéficiera ainsi de l’expérience de 60 ans de Sergic dans l’administration de biens, doublée de la compétence de près de 1.000 collaboratrices et collaborateurs et de solutions technologiques de pointe.Nicolas Milhe, Directeur Général Délégué du groupe Sergic, et notamment en charge du développement de Sergic à l’international, assurera la direction générale de Biben. Ce professionnel de plus de 25 ans d’expérience dans le digital et l’immobilier, ancien dirigeant d’IBM Services Center et diplômé de Télécom Paris Sud et de Sciences Po Paris ; déclare que « les synergies avec Yamed Group, de par sa maîtrise de l’ensemble de la chaine de valeur immobilière, permettront de pérenniser le développement à l’étranger de Sergic, tout en plaçant les usagers des services de Biben au cœur de son approche, à travers la création d’une offre de premier plan. » La direction générale déléguée de Biben a été confiée à Dalila Ennaciri, fondatrice de la société de syndic professionnel Gestis, acteur majeur du secteur au Maroc. En intégrant Biben, Dalila apportera, en plus de sa maîtrise du métier, une grande connaissance du marché marocain et de son contexte économique, social et juridique. Camal Adda Ali, directeur opérationnel de Biben complète l’équipe de direction et apportera son expertise de plus de 15 ans dans l’administration de biens en France, où il gérait près de 120 immeubles et plus de 8.000 logements.Une gestion sur mesure, moderne et innovanteEn complément de la gestion de copropriété, Biben propose également une offre de gestion locative et un accompagnement sur mesure, allant de la recherche de locataires à l’optimisation de la rentabilité locative, en passant par l’entretien des biens, le recouvrement des loyers et la gestion des impayés et des contentieux. L’entreprise mise sur l’innovation pour offrir une prestation aux meilleurs standards et met un accent particulier sur le digital pour garantir l’optimisation de l’expérience client, notamment à travers une application mobile offrant une gestion transparente et autonome et une communication efficace et en temps réel. Le lancement de Biben fait suite à l’annonce de Yamed Group en novembre 2021 de restructurer ses activités autour de quatre pôles métiers distincts et complémentaires, à savoir l’Investment Management, la Promotion Immobilière, une plateforme de services (articulée autour d’une branche « Design & Construction Services » et d’une branche « Sales & Property Management Services ») et de l’investissement et la gestion dans l’industrie hôtelière (« Hospitality »).
Il y a 3 ans et 20 jours

Essonne : un nouveau collège à Corbeil-Essonnes

Le département de l’Essonne prévoit de construire un nouveau collège à Corbeil-Essonnes.