Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

255873 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 20 jours

Alpes-Maritimes : l’avenue Monte-Carlo à Cannes a été réaménagée

La ville de Cannes a entrepris des travaux sur l’avenue Monte-Carlo pour sécuriser et améliorer la rue et ses alentours.
Il y a 3 ans et 20 jours

LES TERRES DÉPLACÉES de la métropole parisienne, par ANNE-MARIE FILAIRE

Depuis plus de vingt ans, Anne-Marie Filaire s'intéresse au paysage et aux frontières, souvent bouleversées par les conflits. En 2018, la photographe a entamé un travail consacré aux terres excavées de la métropole parisienne, notamment pour la création des quatre lignes de métro du Grand Paris Express dont les gares doivent surgir […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 20 jours

Jeudi webinaire : Ruralité et Hameaux Légers : une expérience d’habitat écologique, réversible et collaborative – Maud Delacroix

Le contexte réglementaire et financier nécessite de développer une offre d’habitat qui soit à la fois accessible réversible, écologique, solidaire, et qui contribue à la vitalité des territoires, notamment ruraux. Développer un hameau léger est une solution qu’il peut être intéressant d’étudier.  L’association Hameaux Légers s’engage depuis 2017 à proposer une offre alternative sur le […]
Il y a 3 ans et 20 jours

Uvex présente i-range, sa nouvelle gamme de lunettes de protection

Nouvelle gamme de lunettes de protection avec 3 modèles d’Uvex. [©Uvex] Uvex est un spécialiste européen des EPI. Aujourd’hui, il dévoile i-range, sa nouvelle gamme de lunettes de protection. Celle-ci a été conçue pour répondre à tous les risques encourus dans n’importe quel environnement de travail. Composé de 3 modèles, ces lunettes sont modulables et durables. Dotées de la technologie “supravision excellence”, elles sont conçues pour être portées dans des milieux divers. De plus, elles sont dotées d’une protection UV qui permet d’avoir une vision optimale dans toutes les situations. Ces lunettes se déclinent en version solaire et en version “planet ”. Cette dernière prend ainsi en compte les attentes écologiques du moment. En effet, les modèles sont fabriqués à partir de matériaux recyclés et/ou  biosourcés. Les caractéristiques techniques ne sont pas non plus mises de côté. Ces lunettes offrent une bonne résistance mécanique, un design moderne et un excellent confort.
Il y a 3 ans et 20 jours

Eiffage va faire son entrée sur le marché des infrastructures télécoms

Eiffage Énergie Systèmes a conclu un accord en vue d’acquérir 70 % de Snef Telecom, spécialiste de l'ingénierie, du déploiement, de la maintenance et de l'exploitation des réseaux fixe et mobile.
Il y a 3 ans et 20 jours

Legrand annonce une hausse à deux chiffres pour ses ventes et son bénéfice au 1er trimestre

Cette croissance "traduit à la fois des succès commerciaux et une bonne gestion des tensions sur les approvisionnements", a estimé Benoît Coquard, directeur général de Legrand, lors d'une conférence téléphonique."L'ensemble de nos trois zones, Europe, Amérique du Nord et centrale, et reste du monde, sont en forte croissance sur la période", s'est-il félicité.Ces résultats sont au-dessus des attentes des analystes interrogés par l'agence Factset, dont le consensus était de 1,849 milliard d'euros de chiffre d'affaires et de 229 millions d'euros de bénéfice net. Le consensus, du côté des analystes interrogés par Bloomberg, s'élevait à 1,837 milliard d'euros pour le chiffre d'affaires et 248,7 millions d'euros pour le bénéfice net."Malgré un environnement très incertain", des marchés, comme les centres de données, les offres connectées, l'efficacité énergétique, "continuent à être porteurs pour le groupe", a commenté M. Coquard.Le directeur général a également souligné un "effet prix significatif, de 7,8% sur le premier trimestre", pour compenser au moins partiellement l'inflation. Pour les matières premières et composants, elle s'est élevée à "environ +18% sur ce trimestre par rapport au 1er trimestre 2021", a-t-il indiqué.Malgré ces très bons résultats, le groupe n'a fait que maintenir ses objectifs de croissance des ventes, hors effet de change, comprise entre 5 et 11% en 2022, en raison d'un "certain nombre d'incertitudes", s'agissant de la croissance mondiale, de la politique zéro-Covid en Chine qui pourrait perturber la chaîne logistique, ou de l'impact sur le moral des ménages de la guerre menée par la Russie en Ukraine. Ce conflit n'a pas eu d'impact significatif sur les ventes au premier trimestre de Legrand, qui n'avait réalisé qu'environ 2% de son chiffre d'affaires dans ces deux pays en 2021.Lors de son assemblée générale annuelle, prévue le 25 mai prochain, le groupe proposera aux actionnaires la candidature en qualité d'administrateur indépendant du PDG de Michelin Florent Menegaux.
Cimbat
Il y a 3 ans et 20 jours

LA RECONSTITUTION D'UNE ICÔNE MODERNE - Livre

Devenue musée, la villa E-1027, à Roquebrune-Cap-Martin (Alpes-Maritimes), offre désormais au visiteur la totalité de la conception avant-gardiste de ses auteurs, la designer Eileen Gray (1878-1976) et l'architecte Jean Badovici (1893-1956). Edifice, mobilier et jardin ont été restitués dans leur état d'origine de 1929. Remarquable […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 20 jours

« La France doit être autonome dans ses capacités de recyclage », Dominique Mignon, présidente d'Eco-mobilier

Industrie - Alors que l'arrêté relatif au cahier des charges des éco-organismes agréés dans le cadre de la REP pour le bâtiment est en consultation, Eco-mobilier dévoile ses ambitions.
Il y a 3 ans et 20 jours

La nouvelle trajectoire bas carbone de Nexity

Immobilier - Le groupe revoit ses ambitions à la hausse, en ligne avec l'objectif de limitation du réchauffement planétaire à 1,5°C.
Il y a 3 ans et 20 jours

BLUETEK équipe le nouveau bâtiment des Caves Richemer

BLUETEK, leader français du désenfumage naturel, de l’éclairement zénithal et de solutions de bardage, équipe le nouveau bâtiment des Caves Richemer basées à Marseillan dans l’Hérault. Celles-ci sont dotées de parement de bardage en composite, de lanterneaux de désenfumage et d’écran de cantonnement. La coopérative s’est appuyée sur les compétences de David Sabourdy, fondateur du cabinet SBY Architecture situé à Jacou, spécialisé dans les projets d’immobiliers d’entreprise, de santé et d’éducation, mais également dans l’activité vinicole depuis plus de 15 ans. Tout en rondeur, la forme extérieure du bâtiment a été pensée à l’image de vins de la cave coopérative. Le bâtiment a bénéficié d’une ITE sur ses 4 000 m2 de façades. Ces dernières ont été revêtues de bardage dont la moitié de la surface totale (soit 2 000 m2) avec les Parements Composite Aluminium de BLUETEK fixés sur ossature métallique. Les parements de bardage se composent de deux plaques en aluminium unis (ou avec effets de matières) solidarisées par une âme en résine thermoplastique. Le chantier a nécessité des parements d’une largeur unique de 1 500 mm et de trois longueurs de 4 000, 4 100 et 4 300 mm. Parti pris de l’architecte, le choix du gris qui enveloppe plus de 90% du bâtiment et du rouge. Le toit terrasse est équipé de 29 lanterneaux de désenfumage Bluesteel Therm Pneu et Bluesteel Therm DV Pneu de BLUETEK. Répartis sur les 7 000 m2 du toit, les lanterneaux apportent la luminosité naturelle intérieure nécessaire à l’exploitation du site tout en complétant efficacement son isolation, indispensable au maintien de la température de la cave tout au long de l’année. Actionnés par un système de vérins, ils disposent également d’une commande manuelle déportée et de capteurs qui déclenchent automatiquement leur ouverture dès que la température intérieure atteint 93°C en cas d’incendie. Maitre d’ouvrage : CAVES RICHEMER Maitre d’œuvre : INGÉVIN LANGUEDOC Architecte : DAVID SABOURDY
Il y a 3 ans et 20 jours

La Courneuve veut faire peau neuve

Commune populaire de deuxième ligne de la banlieue nord parisienne, l'ancien village maraîcher s'est développé au fil des décennies par une accumulation de constructions disparates, qui se sont agglomérées pour former une ville sans cohérence globale, ni véritable centralité.Aux gigantesques usines nées depuis la fin du XIXe siècle attirées par la disponibilité de terres et la proximité d'une gare du chemin de fer Paris-Soissons, les pouvoirs publics du milieu du XXe ont juxtaposé les immenses barres d'immeubles de la cité des 4.000, projet emblématique de l'échec de la politique des grands ensembles.À cela s'ajoutent les balafres de deux autoroutes - l'A1 et A86 - et de voies ferrées qui traversent la ville de part en part, une grande zone d'activité et un parc départemental qui mangent près des deux tiers du territoire de la commune de 45.000 habitants.Mais avec la désindustrialisation et les fermetures d'usines, des emprises se libèrent désormais en plein coeur de ville et offrent à La Courneuve l'opportunité d'un relooking."Pendant trente ans, nous avons été dans la réparation de la ville", déclare à l'AFP son maire (PCF) Gilles Poux, aux commandes de La Courneuve depuis 1996, "là nous avons la possibilité de la penser, de la projeter, avec la volonté de s'appuyer sur ses racines".Projet le plus notable: la création d'un centre-ville, entre la mairie et la gare du RER B. Celui-ci était rendu jusqu'ici impossible par une usine métallurgique de cinq hectares, accolée à l'hôtel de ville, et dont la présence entravait le développement urbain depuis plus d'un siècle.Or cette dernière a fermé ses portes en 2018. Elle a laissé derrière elle d'impressionnantes halles-cathédrales désaffectées, aux ponts roulants encore en place, dont la destruction doit débuter sous peu.Nouveau visageD'ici le début de la prochaine décennie devraient notamment s'élever à cet emplacement un millier de logements, des ateliers d'artistes, un lieu de culte, un mail piéton et une école. L'investissement est estimé à 30-35 millions d'euros, indique le maire.Il y a "une volonté de faire de la ville avec tout ce que cela comporte: de l'habitat, des espaces de respiration, mais aussi de la petite activité, du commerce et de la connexion entre les quartiers pour sortir de ces ruptures urbaines", décrit Gilles Poux.Autre friche monumentale, autre chantier. Usine incontournable de La Courneuve, dont sont issus plusieurs de ses maires, Babcok fabriquait des chaudières sur un grand site du sud de la ville, jusqu'à son arrêt d'activité il y a quelques années.Le départ de l'entreprise a laissé à l'abandon d'immenses halles industrielles en briques, qui servent aujourd'hui principalement aux amateurs d'exploration urbaine et aux graffeurs. Celles-ci vont désormais être réhabilitées pour convertir l'ancienne usine en lieu de vie et de culture.Y sont prévus un cinéma, une halle événementielle, des galeries d'art, une école des métiers de la culture, un espace d'activités sportives, du coworking, etc. L'ensemble devrait voir le jour autour de 2025."La culture et la valorisation du patrimoine doivent être au centre du projet. Il faut ancrer ce site dans son environnement proche (...) et en même temps il a le potentiel pour avoir un rayonnement métropolitain", estime Emmanuelle Pouchard, directrice du développement urbain et du logement de la municipalité.En parallèle, La Courneuve doit achever au cours des prochaines années la rénovation urbaine de la cité des 4.000, débutée... au mitan des années 1980.Les destructions d'immeubles permettent un réaménagement des espaces, avec la création d'allées, de terrains de sport ou l'installation d'échoppes, afin de créer des quartiers davantage à taille humaine. Le dernier des "monstres", ces interminables barres de logements qui symbolisaient les "4.000", doit tomber autour de 2025-2026."D'ici dix ans ou quinze ans, la ville aura en partie changé de visage et a priori la situation sera vraiment améliorée"", prédit Emmanuelle Pouchard. Mais "il faut se battre pour que ces améliorations bénéficient bien aux habitants du territoire", et non ne les excluent, prévient-elle.
Il y a 3 ans et 20 jours

10ème Championnats de France des Cordistes à Lyon, les 19 et 20 mai

Ivan Muscat est cordiste et grimpeur depuis plus de 20 ans. Et formateur !Né en 1979, père d’un petit garçon de 5 ans, Ivan Habite à Millau. Indépendant, il est cordiste (formation, en jury et sur chantier) ainsi que moniteur escalade, Canyoning et via-ferrata en saison. Sa petite entreprise se nomme Accro Nature.Il a fait ses premières armes sur plusieurs types de chantiers : travaux publics, urbains et industries. Ayant la Certification de Qualification Professionnelle niveau 2 et l’OTC (Technicien en Organisation de Travaux sur Cordes) ainsi que le Brevet d'État d'escalade, Ivan s’est dirigé vers les formations de cordistes depuis 7 ans.« Pourtant je ne me destinais pas aux métiers de la verticalité. Cela a été plus fort que moi. Ma région natale est la Bretagne, il a fallu que je me déplace vers des contrées un peu plus dotées en cailloux, rochers et falaises de toutes sortes - même si la Bretagne en possède aussi ! Je participe aux championnats de France des Cordistes depuis 2014. Ils allient techniques et puissance physique et j’adore l’ambiance ! C’est l’unique rendez-vous ou toute la profession se retrouve !Ayant de bons résultats, toujours sur les podiums en individuel et en équipe, j'ai été convié à participer au Petzl RopeTrip de Salt Lake City en 2016 (Championnats du monde). Avec Antoine Quidoz et Yohan Garcia, nous avons remporté le trophée - des magnifiques cornes de bovin Texan ! - face aux tenants du titre, l'équipe des Russes.Je serai évidemment présent sur cette dixième édition. 2ème en classement individuel lors des deux dernières éditions, j’ai à cœur d’être Champion de France cette année ! »Travaux sur monument historique avec la société Adrenaline et le cordiste Jean-Baptiste Bunlet, basés à BordeauxLa Flèche Saint-Michel (Bordeaux) avec ses 114 mètres de hauteur, est le deuxième clocher le plus élevé de France.Classé au patrimoine mondial de l'Unesco, il détient la particularité d'être séparé de l'édifice principal de la Basilique du même nom.Édifiée au XVème siècle, la Flèche Saint-Michel a été restaurée au XIXème siècle par l'architecte Paul Abadie à qui Bordeaux doit la rénovation de plusieurs églises.La Flèche est régulièrement inspectée (depuis plus de 14 ans) par les équipes d’Adrenaline, car elle montre des dégradations importantes, constatées au fil du temps. De gros travaux vont être réalisés dans quelques mois. Pour cela Adrénaline a déjà dû sécuriser le monument et vérifier que la mise en sécurité est bien en place. Jean-Baptiste Bunlet et 4 autres cordistes ont donc réalisé, courant mars à plus de 100 mètres du sol une véritable ceinture de consolidation. Leur travail consiste aussi à vérifier les accéléromètres qui mesurent les mouvements de la flèche ainsi que des fissuromètres qui mesurent au 100ème de mm de la taille des fissures.Adrenaline présente une équipe de 3 cordistes pour participer au championnat de France par équipe avec deux techniciens de l’agence de Bretagne. Le troisième est Jean-Baptiste (29 ans) qui va participer pour la première fois au championnat de France, fier de représenter son entreprise et heureux de découvrir l’ambiance et le stress de la compétition. A 29 ans, il est cordiste depuis 6 ans après un CAP et bac professionnel en électrotechnique. « Ce métier est passionnant, il est très varié, en hauteur, et j’aime beaucoup cela. J’effectue principalement des travaux sur des monuments historiques ou bâtiments urbains, et dans l’industrie comme dans des silos.»Travaux Public, chantier des Écouges avec Hydrokarst, et François Bonnaire champion de France par équipes lors des deux dernières éditions ;Créee 1977, par trois amis grenoblois passionnés de spéléologie, la société Hydrokarst est spécialiste des travaux sur cordes et des travaux subaquatiques. Basé, près de Grenoble, la société est spécialisée dans les travaux en milieux confinés, inspection, la maintenance de barrages et structures hydroélectriques et portuaires et dans les travaux contre les risques naturels.Les falaises des Écouges dans le Vercors sont actuellement le théâtre d’impressionnants travaux depuis 2016. Chaque automne et chaque printemps la route touristique est fermée pour permettre à environ une quinzaine de cordistes de travailler à sa sécurité et assurer les accès pour les saisons d’hiver et d’été : Remise en état, poses de grillages au-dessus de la route touristique.La RD 35 ou route des Écouges est un héritage du XIXème siècle qui déssert le petit village de Rencurel, le domaine skiable de Coulmes et le site naturel des Écouges. Elle est aussi la porte d’entrée vers les gorges de la Bourne et ses points touristiques majeurs comme Pont-en-Royans ou les grottes de Choranche.Chef de chantier jusqu’en 2020, François Bonnaire est aujourd’hui conducteur de travaux (Visite de chantiers, organisation des moyens et coordination).Né en 1976, François, Champion de France par équipe lors des deux dernières éditions, espère bien afficher un troisième titre en équipe avec Hydrokarst !ProgrammeTable ronde « Les fondamentaux des travaux sur cordes & Préserver sa santé », en partenariat avec l’OPPBTPVendredi 20 mai : 10h00 à 12h30 Compétitions Jeudi 19 mai 8h-9h : Accueil des équipes 9h-10h : Présentation des épreuves 10h - 20h : Qualifications Vendredi 20 mai 8h30 - 10h30 : Huitièmes de finale 11h - 12h : Quarts de finale 13h -15h30 : Demi-finales15H30 – 16h15 : Finales16h : Remise des prix Entrée Libre - ouvert au publicPlus d’infos : https://www.championnat-cordistes.com/
Il y a 3 ans et 20 jours

Pose de fenêtres : une formation qualifiante destinée aux demandeurs d'emploi

Le CSTB a mis en place une formation opérationnelle de technicien poseur de fenêtres à destination des demandeurs d'emploi. Pour la deuxième année consécutive, l'équipe « Formation par le geste » du CSTB propose une formation certifiante de technicien poseur de fenêtres au sein de son établissement à Grenoble. Organisée en partenariat avec les Compagnons du Tour de France d'Echirolles, avec le concours de la Maison de l'Emploi du Pays Voironnais, et financée par Pôle Emploi et la Région Auvergne-Rhône-Alpes, cette formation permet d'obtenir le CCP n°1 « Installer et équiper des menuiseries et fermetures extérieures » du Titre Professionnel « Menuisier poseur-installateur » et diverses habilitations (électrique, SST, échafaudage, geste et posture). Depuis le 7 mars, onze demandeurs d'emploi de 20 à 45 ans suivent cette formation axée sur le métier d'une durée de deux mois et demi. Au programme : apports théoriques, formation pratique (lecture de plans, moyens de fixation, mise en œuvre de fenêtres, volets roulants et portes de garage), sensibilisation commerciale et savoir-être, ainsi qu'un stage de trois semaines en entreprise préalable à leur embauche. Au total, neuf entreprises de la région grenobloise participent à cette initiative, dont l'objectif est de faciliter le recrutement de personnel formé dans un secteur en tension et permettre un retour à l'emploi durable. Lors d'un job dating organisé avant le démarrage de la formation, chacune d'entre elles a pu rencontrer et sélectionner ses futurs collaborateurs. Ces derniers disposeront ainsi d'un contrat de travail pour une durée minimale de douze mois à l'issue de leur apprentissage.
Il y a 3 ans et 20 jours

A Paris, les écologistes appellent Hidalgo à "préserver tous les arbres"

La "politique de végétalisation ambitieuse" réclamée par les les élus EELV et apparentés implique "non seulement de planter massivement des arbres en pleine terre mais également de préserver tous les arbres existants", écrivent-ils dans une lettre rédigée mercredi.Le groupe écologiste demande rendez-vous à Emmanuel Grégoire et Christophe Najdovski, les adjoints (PS) à l'urbanisme et à la végétalisation de l'espace public, pour rediscuter des projets de réaménagement des abords de la Tour Eiffel et de la Porte de Montreuil, ainsi que de tous "les programmes d'abattages prévus dans le cadre des projets urbains de la Ville de Paris".Prévu dans le grand projet de réaménagement "OnE" de la perspective entre le Trocadéro et le Champ-de-Mars, l'abattage programmé d'une vingtaine d'arbres, dont certains centenaires, a suscité en quelques jours une levée de bouclier sur les réseaux sociaux.La pétition lancée par l'association France Nature Environnement (FNE) Paris et relayée par plusieurs personnalités, dont le journaliste Hugo Clément, a réuni plus de 120.000 signatures, amenant la mairie à renoncer samedi à l'abattage d'arbres centenaires, puis lundi à tout abattage sur le site.Ces abattages devaient permettre la construction de bagageries pour les visiteurs et de locaux pour les employés de la Tour Eiffel. Un projet que le Conseil de Paris avait validé en février avec les voix des écologistes, en échange de plusieurs concessions dont un moratoire sur la réfection contestée du Champ-de-Mars."On va revoir le projet en conséquence", a indiqué mercredi l'entourage d'Anne Hidalgo à l'AFP, alors que FNE Paris, qui organise dans la soirée une conférence de presse sur place, souligne que les "permis sont délivrés" et réclame son "abandon".Quelques jours plus tôt, l'association avait dénoncé l'abattage de 76 arbres dans l'est parisien, Porte de Montreuil, objet d'une autre grand projet de réaménagement de la mairie où, selon FNE Paris, 174 arbres supplémentaires sont menacés.Ces derniers mois, les écologistes, présents dans l'exécutif d'Anne Hidalgo mais qui n'hésitent pas à s'allier avec la droite contre elle sur des sujets d'urbanisme, ont obtenu la remise à plat d'un projet de grandes tours en front de Seine (XIIIe), ainsi qu'une réécriture plus verte, moins dense et sans grandes tours du futur quartier de Bercy-Charenton (XIIe).De son côté, le groupe Changer Paris, composés d'élus républicains, centristes et indépendants, regrette, dans un communiqué, que la mairie de Paris "continue d'avancer sur son projet d'aménagement Trocadéro Tour Eiffel comme si de rien n'était" et estiment que "le projet OnE doit être abandonné".
Il y a 3 ans et 20 jours

Françoise Despret réélue à la tête de la CNATP

CARNET-NOMINATION. L'organisation professionnelle de défense des artisans du paysage et des travaux publics (CNATP) garde sa cheffe de fil pour encore deux ans. Elle a profité de cette nomination pour émettre des propositions aux pouvoirs publics à l'approche des élections législatives.
Il y a 3 ans et 20 jours

A la Cité des sciences, Disnovation de Grégory Chatonsky

La Cité des sciences et de l’industrie à Paris (XIXe) présente sa première résidence art et science avec l’artiste – chercheur Grégory Chatonsky avec l’exposition Disnovation. Une dystopie ? Jusqu’au 9 octobre 2022. Disnovation est une installation évolutive composée de trois volets distincts où l’artiste raconte une dystopie, celle d’un futur proche pris entre les progrès […] L’article A la Cité des sciences, Disnovation de Grégory Chatonsky est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 20 jours

Les 21 points de vente Bernard Philibert deviennent Point.P

CHANGEMENT DE NOM. Intégrée à Saint-Gobain Distribution Bâtiment France depuis 1998, les points de vente de l'enseigne Bernard Philibert prennent le nom de Point.P.
GDA
Il y a 3 ans et 20 jours

Archipel : Nicolas Reymond – Architecture & Urbanisme (NRAU)

A la Galerie d’Architecture à Paris, l’exposition Archipel présente dix ans de production de l’agence NRAU. Jusqu’au 18 juin 2022. Une production mêlant logements collectifs et études urbaines, focalisée autour des enjeux de la ville dense. Dans une approche transversale, les projets sont croisés et mis en résonance afin d’en extraire les thèmes structurants. Lieux, […] L’article Archipel : Nicolas Reymond – Architecture & Urbanisme (NRAU) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 21 jours

La filière des isolants en polystyrène expansé face à la tempête économique

CONJONCTURE. Les pénuries de matières premières et l'explosion des prix s'ajoutent à plusieurs crises consécutives pour le secteur du polystyrène. En dépit des hausses des prix du gaz et du pétrole, la filière tente de répondre à la forte demande des constructeurs. Éclairage avec Amaury Omnès, président de l'Association française de l'isolation en polystyrène expansé dans le Bâtiment (Afipeb).
Il y a 3 ans et 21 jours

Vicat prévoit une hausse des prix de +15% dans l'activité ciments en 2022

RÉSULTATS. Le cimentier, Vicat, annonce un chiffre d'affaires en hausse de 12,4% sur le premier trimestre 2022. Face à la hausse des coûts de l'énergie, il anticipe une hausse globale des prix sur son activité ciment de +15%.
Il y a 3 ans et 21 jours

Marché des CEE : l'Etat temporise une nouvelle fois, les acteurs toujours inquiets

RÉACTIONS. Alors que la situation sur le marché des certificats d'économie d'énergie (CEE) ne semble guère s'améliorer, les pouvoirs publics temporisent et considèrent que l'inquiétude des acteurs n'est "pas tellement justifiée".
Il y a 3 ans et 21 jours

L'inquiétude monte pour les artisans du bâtiment fortement impactés par le contexte géopolitique et économique

Un Marché tendu39% des chefs d’entreprise déclarent rencontrer des difficultés au niveau de l’activité de leur entreprise, soit 13 points de plus qu’au trimestre précédent et 19 points sur une année. C’est notamment le cas des couvreurs-zingueurs, des carreleurs et des agenceurs-cuisinistes. Dans les territoires, c’est dans les départements de la Loire, du Rhône et de la Savoie que les entreprises sont le plus touchées.Dans un contexte de difficultés d’approvisionnement qui retardent les chantiers, la visibilité sur les carnets de commande s’allonge. Près d’un artisan sur deux déclare une visibilité supérieure à 3 mois, soit une augmentation de 4 points par rapport au 4e trimestre 2021. Une rentabilité des entreprises qui continue à s’effondrerAvec un résultat de 29%, le nombre d’entreprises qui déplorent un niveau de trésorerie faible ou insuffisant augmente encore ce trimestre de 3 points. Quant à leurs marges, elles sont en baisse pour 49% des entreprises, soit une augmentation de 19 points par rapport au trimestre précédent. Une perte qui s’élève jusqu’à 20% pour 29% des entreprises. La flambée des prix des matériaux et de l’énergie frappe ainsi de plein fouet toutes les entreprises et notamment les plus fragiles.Des intentions d’embauche toujours importantesLa tension du Marché ne freine pas les intentions d’embauche des entreprises. 43% des chefs d’entreprise souhaitent en effet recruter ou sont en réflexion. Les contrats à durée indéterminée (CDI) sont massivement privilégiés par 71% des chefs d’entreprise. Pour faire face à leurs difficultés de recrutement de main d’œuvre qualifiée, 29% des artisans envisagent ce trimestre de former un apprenti (+ 22 points par rapport au trimestre précédent).Téléchargez la synthèse étude de conjoncture au 1er trimestre 2022
Il y a 3 ans et 21 jours

L'autorité environnementale dénonce des "évolutions préoccupantes"

EVALUATION ENVIRONNEMENTALE. Des demandes d'avis en hausse, avec des moyens en baisse, et un rôle écorné, de décrets en rapports : l'Autorité environnementale tire un bilan de l'année 2021 en demi-teinte.
Il y a 3 ans et 21 jours

Le gouvernement dévoile une liste de 126 communes prioritaires face à la menace de l'érosion côtière

Avec le recul du trait de côte sur environ un cinquième du littoral français (hors Guyane) selon l'indicateur national de l'érosion côtière, la loi Climat et Résilience de 2021 prévoit de nouvelles dispositions pour les communes en première ligne face à la montée du niveau de la mer et la multiplication des tempêtes et des submersions marines.Les maires devront réaliser des cartes du risque de recul du littoral à 30 ans et 100 ans, carte qui servira de base à de nouvelles règles d'aménagement du territoire, allant jusqu'à des interdictions de construire.Dans un premier temps, 126 communes sont concernées, en métropole et dans les Outre-mer, selon la liste publiée samedi au Journal officiel, qui sera révisée au moins tous les neuf ans. La majorité sont situées sur les côtes atlantique et de la Manche (notamment 41 en Bretagne, 16 en Normandie, 31 en Nouvelle-Aquitaine)."Ces 126 soi-disant prioritaires sont ridicules par rapport aux 864 communes menacées", regrette auprès de l'AFP Elodie Martinie-Cousty, de l'ONG France Nature Environnement.Selon les chiffres officiels, 864 communes sont "plus particulièrement vulnérables" aux submersions marines, phénomènes d'inondation temporaire des zones côtières par la mer, notamment lors des tempêtes, qui vont augmenter avec la hausse du niveau de la mer provoquée par le réchauffement climatique. Et 1,5 million d'habitants vivent dans ces zones inondables littorales.Mais "on a laissé beaucoup trop construire sur le littoral" et les nouvelles dispositions "ne sont pas adaptées aux enjeux", estime Elodie Martinie-Cousty.Celles des 126 communes n'ayant pas encore de "plan de prévention des risques littoraux" devront réaliser la cartographie de l'évolution du trait de côte à 30 et 100 ans."Ca m'intéressait de connaître les points de vulnérabilité de la commune et de pouvoir dire à la population +attention on est sur des zones très sensibles+", commente le maire de Trégastel (Côtes d'Armor) Xavier Martin, saluant le financement par l'Etat de 80% du coût de ces cartographies qu'il voit comme un outil pour "anticiper le risque"."Si on dit qu'on rénove (le centre-ville) et que dans 20 ans il est sous les eaux, est-ce que c'est utile de le rénover aujourd'hui, est-ce qu'il ne faut pas réfléchir à le voir autrement ?", dit-il à l'AFP. Relocalisations ?Dans les zones exposées à l'horizon de 30 ans, les nouvelles constructions seront interdites, mais avec des exceptions pour l'extension de bâtiments existants ou l'installation de services publics et de nouvelles activités économiques nécessitant la "proximité immédiate" de la mer.Les zones à l'horizon 100 ans restent constructibles, avec à terme une obligation de démolition quand la menace se rapprochera.Pour permettre aux autorités locales de lancer ce nouvel aménagement du territoire, une ordonnance publiée début avril précise les moyens d'acquisition par les pouvoirs publics de biens menacés et crée un nouveau type de bail octroyé par l'Etat ou les communes pour des terrains, locaux commerciaux ou encore parcs de loisirs dans la bande concernée (bail de 12 à 99 ans avec résiliation anticipée en fonction de l'érosion).Mais l'Association nationale des élus du littoral regrettent certains "flous juridiques" qui "laissent présager de nombreux contentieux, susceptibles de nuire à l'atteinte des objectifs affichés".Certains responsables locaux s'interrogent aussi sur les nouvelles contraintes imposées aux plans locaux d'urbanisme et pointent du doigt des questions de financement."Les avancées qui découlent (de l'inscription sur la liste) en restent principalement au niveau du porté à connaissance du risque", estime Vincent Bawedin, chargé de la gestion du trait de côte à la Communauté de communes des Grands Lacs, qui inclut la commune côtière de Biscarosse (Landes). Il s'inquiète du financement de la relocalisation des biens menacés."Des questions se posent sur qui prend en charge le déplacement de la population des habitations touchées", ajoute Pascal Laporte, adjoint à l'urbanisme à Plérin (Côtes d'Armor), notant également le problème de "dépréciation des biens" dans la bande menacée.
Il y a 3 ans et 21 jours

L'OPPBTP alerte sur le risque routier, "deuxième cause d'accident mortel" dans le secteur

SÉCURITÉ. En complément des actions de sensibilisation des pouvoirs publics sur la sécurité routière, l'Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics lance une campagne nationale de communication auprès des professionnels afin de les alerter sur les accidents de la route. Car de par la nature-même des métiers de la construction, il s'agit évidemment d'un risque "inhérent" à la filière.
Il y a 3 ans et 21 jours

Smartisan, une formation pour démystifier les outils numériques et gagner du temps

Le but de cette formation gratuite est d'aider les artisans et les petites entreprises artisanales à s'approprier les outils numériques et gagner une demi-journée par semaine de temps de travail.
Il y a 3 ans et 21 jours

Audit énergétique : les textes sont parus, pour une entrée en vigueur au 1er septembre

RÉGLEMENTATION. Les textes encadrant l'obligation d'un audit énergétique pour les logements énergivores à vendre sont parus au Journal officiel, ce 5 mai 2022. Les logements en monopropriété classés F et G sont concernés dès le 1er septembre prochain.
Il y a 3 ans et 21 jours

La Fédération des Ascenseurs dévoile les chiffres 2021 de la profession

Alors que l’actualité est marquée par les premières fortes conséquences de l’inflation et des pénuries, la Fédération a présenté, à l’occasion de son Assemblée générale annuelle il y a quelques jours, le bilan de l’activité des professionnels de l’ascenseur.Un secteur qui maintient son dynamisme mais qui doit faire face aux difficultés de recrutement que connaissent bon nombre d’entreprises ;La nécessité d’investir dans la rénovation et la modernisation du parc, afin de garantir la sécurité et l’accès de tous les Français à leur logement, en habitat collectif ou individuel ;L’engagement de la profession dans le dialogue avec les pouvoirs publics pour (re)placer le logement au centre des décisions en cours et à venir, avec un focus sur l’accompagnement de nos concitoyens dans leur choix privilégié de bien vivre et vieillir chez eux.« A l’occasion des élections régionales et départementales en 2021 et des élections régionales et départementales en 2021 et des élections présidentielles en 2022, la Fédération a mené une vaste opération d’interpellations des décideurs, élus et équipes de campagne, afin de partager une série de constats, réflexions et propositions convergeant autour de la thématique de la verticalité en faveur d’une ville et d’une vie plus accessible pour tous. Si le Gouvernement planche actuellement sur la mise en place MaPrimeAdapt’ et un éventuel élargissement du dispositif MaPrimeRénov’, le secteur de l’ascenseur veut aller encore plus loin, avec notre proposition de MaPrimeRenov’Ascenseurs pour rénover le parc vieillissant. Nous constatons depuis 2-3 ans un effet de tassement dans le marché de la modernisation, et cela a de vraies conséquences pour la sécurité et le quotidien des Français. C’est un enjeu incontournable, constaté sur le terrain par nos professionnels, et qui mérité une action publique forte. MaPrimeRenov’Ascenseurs va dans le sens de ce soutien attendu par les Français » - Philippe Boué, Président de la Fédération des AscenseursLes chiffres clés 2021 de la Fédération des Ascenseurs 177 adhérents (90% du secteur)17 000 salariés+ 600 000 ascenseurs dans le parc français2,57 milliards d’euros de Chiffre d’affaires (+ 6% par rapport à 2020)218 millions d’euros de ventes pour moderniser le parc existant (- 3% par rapport à 2020)12 600 ventes d’appareils neufs (+ 0,8 % par rapport à 2020)
Il y a 3 ans et 21 jours

A Dijon, mise en scène du métal déployé par Ferrand-Sigal

L’agence Ferrand-Sigal architectes et associés a livré en 2015 un ensemble immobilier pour la ville de Dijon (Côte-d’Or). Une vitrine du savoir-faire de Métal Déployé allant du brise-soleil à l’habillage d’escalier. Créée à Lyon en 1986 par Michel Ferrand et Philippe Sigal, anciens collaborateurs d’Alain Sarfati à l’A.R.E.A., l’agence a livré en 2015 la restructuration […] L’article A Dijon, mise en scène du métal déployé par Ferrand-Sigal est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 21 jours

Vicat profite de la demande et de bons prix du ciment en 2021

Le groupe a profité à plein de la reprise économique mondiale et vu ses ventes croître de 11,3% à 3,12 milliards d'euros (données publiées), tandis que le bénéfice net part du groupe a crû de plus de 30%, à 204 millions d'euros, a-t-il annoncé mardi 15 février au soir dans un communiqué."Les dynamiques de nos marchés restent inchangées, soutenues par des prix favorablement orientés dans un contexte de demande soutenue. Elles permettent de compenser la forte augmentation des coûts de l'énergie et la progression des salaires", a déclaré le PDG du groupe Guy Sidos, cité dans le communiqué.Toutes les régions dans lesquelles exerce le groupe ont vu leurs ventes progresser. L'Europe a toutefois vu son chiffre d'affaires reculer de 7,1%, pénalisé au second semestre par la cession en Suisse de Créabéton matériaux. Il progresse cependant de 3,8% à périmètre et taux de change constants.La France, premier marché du groupe avec plus d'un tiers des ventes, a progressé de 11,5% par rapport à une année 2020 lors de laquelle la pandémie avait porté un coup d'arrêt au premier semestre.Dans ce marché, malgré un contexte sanitaire "qui est resté contraignant", l'exercice 2021 "a été marqué par une forte croissance au premier semestre, et un repli modéré au second semestre du fait d'une base de comparaison défavorable, et de l'impact croissant de la forte hausse des coûts de l'énergie", a indiqué le groupe.S'agissant de ses investissements, le groupe entend poursuivre la décarbonation de ses procédés de fabrication et de ses produits. Dans cette optique, il poursuit notamment la construction du four de Ragland, aux Etats-Unis, qui fonctionne sans charbon et doit être mis en service au cours du premier semestre 2022.En dépit de la poursuite de la hausse des coûts de l'énergie, le groupe escompte, grâce à une "hausse attendue des prix", une nouvelle progression de ses résultats lors de l'exercice 2022, lequel devrait se caractériser par une "forte saisonnalité", avec "une base de comparaison défavorable" au premier semestre, en raison de la "hausse sensible des coûts de l'énergie" et "une nette amélioration au second semestre".
Il y a 3 ans et 21 jours

Un nouveau dispositif de soutien par appel d'offres pour le développement du biométhane

Le gouvernement a annoncé le 28 avril le lancement d'un nouveau dispositif de soutien par appel d'offres pour le développement de la production de biométhane.
Il y a 3 ans et 21 jours

Manchons orientables pour murs-rideaux inclinés

Spécialiste des systèmes d’ancrage pour la pose de murs-rideaux, le fabricant français LOUINEAU collabore étroitement avec les gammistes afin de développer des sabots et manchons dédiés à chacun de leurs profils. Sa gamme de Manchons Orientables pour façades légères inclinées ou en forme originale, adaptable à toutes les séries et références de profils, confirme cette expertise. Brevetée, elle est la seule du marché à garantir une flexibilité maximale sur le chantier grâce à son système d’orientation dans tous les axes (avant/arrière et gauche/droite) intégré. Pas besoin de calculer les cotes en amont, de redécouper les épines sur place, le manchon orientable s’ajuste totalement à l’environnement du bâtiment lors de sa mise en œuvre. Deux modèles sont possibles selon la configuration du mur-rideau : « MDPVOT » avec une inclinaison angulaire avant/arrière et « MDPVOR » avec une orientation dans les quatre directions, avant/arrière et droite/gauche, afin de créer des formes en trapèze, triangulaire avec pointe… L’axe de rotation et la platine sont des éléments identiques quel que soit le gammiste. Seul le corps est adapté à chaque profil. Le Manchon Orientable permet la fixation d’épines en partie haute ou basse. Sa conception, avec un dégagement latéral et à l’avant, facilite l’intégration des pions anti-dévers et des vis en face avant, sans risque d’interférence avec le corps du manchon. Il dispose également d’une découpe en partie basse qui laisse l’espace nécessaire pour réaliser l’étanchéité du mur-rideau.
Il y a 3 ans et 21 jours

Inverseurs de polarité contre les remontées capillaires

Pour traiter les remontées d’humidité par capillarité, il existe deux principales techniques d’assèchement, l’injection de résine et les systèmes d’inversion de polarité qui permettent de traiter l’ensemble des parois sans travaux ni produits chimiques. Spécialiste du traitement de l’humidité depuis 2017, la société angevine BFL® France fabrique et distribue deux solutions de traitement des remontées capillaires en alternative aux travaux de rénovation : l’Inverseur de Polarité Electromagnétique (I.P.E®) et l’Inverseur de Polarité Géomagnétique (I.P.G®). ils reposent sur un principe électro-physique : les remontées capillaires sont dues à l’ascension des molécules d’eau du sol vers les murs. Ces molécules d’eau présentent une polarité positive et une polarité négative. Cette dernière s’oriente, tel un aimant, vers le haut. Le principe  est d’inverser les polarités, afin de diriger les molécules d’eau vers le sol par gravité. Le système I.P.E® se présente sous la forme d’un boîtier connecté à une alimentation électrique, à fixer sur un mur porteur du bâtiment à traiter. Il agit sur les remontées capillaires des bâtiments de 100 m² à plusieurs milliers de m², avec un champ d’action pouvant aller jusqu’à 31 m de rayon. Le système I.P.G® se présente sous la forme d’un boîtier auto-alimenté grâce à un champ géomagnétique, à poser dans la cave, le sous-sol ou le rez-dechaussée d’un bâtiment. Il agit sur les remontées capillaires des bâtiments de 80 m² à plusieurs centaines de m², avec un champ d’action pouvant varier entre 5 et 15 m de rayon.
Il y a 3 ans et 21 jours

Maison Empreinte : bilan et retour d’expérience d’un chantier pas comme les autres

Pour réinventer la construction, la force de l’innovation collectiveEmpreinte a été lancé par ERB, Entreprise Générale du Bâtiment située à Chalones (49), en septembre 2020. Dès les premiers mois, le collectif a bousculé les codes du secteur.« Pour repenser l’habitat, Empreinte a misé dès la conception sur le collectif : les partenaires se sont réunis pour questionner les processus traditionnels du secteur et faire gagner en performance le déploiement des expertises de chacun. Une étape décisive qui reste aujourd’hui une innovation méthodologique inédite » relève Michel Ballarini - DG d’Alter, aménageur de l’écoquartier des Echats III de Beaucouzé, dans lequel a été construite la maison.Le chantier a été lancé au printemps 2021 et a été ouvert aux professionnels du secteur comme au grand public, pour permettre une appropriation la plus large possible et de la démarche. Plus de 1000 visiteurs s’y sont rendus.« Empreinte a voulu réunir les acteurs qui partagent l’envie de repenser les impacts de la construction et de l’habitat. Ce premier chantier a été un démonstrateur, un test grandeur réelle de méthodologies, de technologies et de déploiement de matériaux. Il nous a montré que changer nos manières de construire était possible, et qu’ensemble ces changements nous font gagner en performances » explique Thomas Grenouilleau, président d’ERB et porteur du projet Empreinte.Le chantier s’est terminé en mars 2022, permettant de partager un premier retour d’expérience.Penser l’empreinte globale de l’habitatLe projet Empreinte s’est concentré sur quatre grands axes de travail : l’innovation collective, l’intégration du numérique, l’économie circulaire et la place de l’habitant. C’est ainsi l’empreinte globale de la construction, des chantiers et de l’habitat sur l’environnement qui a été repensée« L’innovation pour l’innovation n’a pas d’intérêt en soi. Nous avons fait en sorte que les différentes opportunités ouvertes par le numérique, comme la réalité 3D ou l’impression additive, ou par les matériaux sélectionnés permettent d’arriver à une amélioration globale de l’empreinte de la maison sur l’environnement, tant sur le plan de la gestion des déchets, que de la consommation énergétique ou que de son insertion dans l’écosystème du quartier » poursuit Thomas Grenouilleau.Par exemple, le chantier a permis de tester l’industrialisation sur site : au lieu de fabriquer en usine et d’assembler ailleurs, les robots sont venus sur le chantier pour monter les murs en impression additive (impression 3D). Une technique qui permet aussi de limiter le gaspillage de matière, calculée au plus près des besoins.L’étape de sélection des matériaux a cherché à privilégier les propositions qui répondaient à la fois à la démarche d’innovation durable et aux besoins établis par les études d’ingénierie. Une sélection pragmatique qui a permi de rassembler des matériaux biosourcés (argile, liège, bois…) mais aussi issus de l’économie circulaire (granulats, peinture…). La structure est faite en mousse PET issus de bouteilles recyclées, dans laquelle a été coulé du béton bas carbone.Une nouvelle étape pour la révolution de la constructionCe chantier hors norme a d’abord été un laboratoire, un terrain dédié à la révolution que doit opérer le secteur de la construction pour rester en phase avec les enjeux qui s’imposent à elle. 20% des émissions de carbone proviennent en effet du secteur, qui doit faire face à une demande sans cesse croissante.« ERB a proposé de mettre à notre disposition la maison Empreinte. Nous réfléchissons à en faire un espace dédié à la transition écologique et à toutes les questions que celle-ci soulève. Cela nous semble être dans la continuité de la dynamique lancée par le collectif » avance Yves Colliot, Maire de Beaucouzé.Les solutions validées par ce premier chantier peuvent dès aujourd’hui être isolées, pour fournir des briques technologiques répondant aux problématiques de chantiers plus conventionnels.Pour Empreinte, le défi est maintenant de poursuivre l’expérimentation collective.« Commercialiser la maison ou la refaire ne nous intéresse pas. Ce que nous cherchons c’est continuer à faire encore mieux, à trouver de nouvelles pistes de solutions pour proposer des modes de construction toujours plus positifs pour l’environnement, tout en étant raisonnable économiquement. Le prochain objectif que nous avons est de déployer une solution d’impression additive des murs à base de terre crue, excavée sur le chantier ; potentiellement, cela permettrait de réunir en une étape technologie numérique, industrialisation sur site, matériaux biosourcés et économie circulaire tout en validant les standards d’isolation thermique » s’enthousiasme Thomas Grenouilleau.Une innovation qui demanderait environ deux ans de R&D, pour laquelle les ouvertures potentielles sont déjà prometteuses.
Il y a 3 ans et 21 jours

Les grands salons européens reviennent après deux ans de suspension

Intersolar, Mostra Convegno, Dach+Holz, Fensterbau, IFA, Light+Building, Batimat-Interclima-Idéobain, Chillventa, … autant de salons européens prévus d’ici octobre 2022
Il y a 3 ans et 21 jours

À Pont-de-l'Arche, une nouvelle peau low-tech pour le gymnase, par ACAU

Depuis plus de vingt ans, Anne-Marie Filaire s'intéresse au paysage et aux frontières, souvent bouleversées par les conflits. En 2018, la photographe a entamé un travail consacré aux terres excavées de la métropole parisienne, notamment pour la création des quatre lignes de métro du Grand Paris Express dont les gares doivent surgir […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 21 jours

Korian France certifié Top Employeur en 2022

Korian France obtient la note globale de 70,12%, dépassant les 60 % requis pour obtenir la norme. Les résultats présentent des scores particulièrement élevés en matière de pilotage et d’organisation de sa politique RH de Korian France mais aussi concernant ses pratiques en tant que marque employeur et d’inclusion.L’audit très complet qui a précédé à cette certification a couvert 400 pratiques RH réparties en six grands domaines (Piloter, Organiser, Attirer, Développer, Engager et Rassembler) recouvrant au total 20 thématiques parmi lesquelles la stratégie de gestion des talents, l’environnement de travail, l’acquisition des talents, la formation et le développement des compétences, le bien-être au travail, ou encore la diversité et l’inclusion.Pour Sophie Boissard, directrice générale du groupe Korian : « Après la certification obtenue par Korian Allemagne en 2021, cette certification nous encourage à poursuivre le travail de fond engagé depuis six ans pour faire de Korian l’employeur de référence du secteur du Grand Age et des fragilités à l’échelle européenne. La santé et la sécurité de nos collaborateurs, le développement de leurs compétences, l’engagement en faveur de l’alternance sont au cœur de notre mission et de notre projet d’entreprise Le Soin à Cœur. »Le « Top Employers Institute » est l'autorité internationale qui certifie l'excellence des pratiques RH. Créé il y a plus de 30 ans, il a certifié plus de 1 857 organisations dans 123 pays.
Il y a 3 ans et 21 jours

Les 85 propositions de la FFB à l'occasion des élections législatives

Ces propositions sont issues d'une consultation menée auprès des entrepreneurs et artisans adhérents à la FFB et couvrent tous les champs législatifs qui impactent le quotidien des entreprises.
Il y a 3 ans et 21 jours

Vicat estime à +15% la hausse du prix de ses ciments en 2022 pour faire face au coût de l'énergie

Le cimentier qui a réalisé un chiffre d'affaires de 789 millions d’euros au premier trimestre, en hausse de 12,4% par rapport à la même période de 2021, annonce des "hausses de prix additionnelles" en France, en Suisse, au Sénégal et au Brésil.