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Résultats de recherche pour creteil

(162 résultats)
Il y a 3 ans et 168 jours

Grand Paris Express: le creusement de la ligne 15 sud est terminé

L’arrivée du tunnelier Marina à Créteil-L’Echat, le 20 décembre, marque la fin des travaux souterrains sur le chantier de la ligne qui reliera Pont-de-Sèvres à Noisy-Champs. Le percement des 37 km de tunnel, engagé au printemps 2018, a mobilisé dix trains-usine.
Il y a 3 ans et 181 jours

Décès de l'architecte Gérard Grandval, créateur des "Choux" de Créteil

Une cérémonie sera organisée le 9 décembre au crématorium du cimetière du Père Lachaise à Paris, a précisé la famille dans un message publié lundi sur le compte Instagram de l'architecte.Né en 1930, Gérard Grandval se voit chargé en 1968 de concevoir un nouveau quartier dans le cadre de la rénovation de la ville de Créteil, préfecture du tout jeune département du Val-de-Marne, qui venait d'être créé dans le sud-est de Paris.De ce vent de modernité naissent alors les "Choux", dix tours imposantes et arrondies construites au début des années 1970 en face du palais de justice.Bien connu des habitants val-de-marnais, ce grand ensemble se distingue des autres barres d'immeubles construites à l'époque par sa forme bombée et ses balcons imposants en forme de pétale, conçus pour protéger les habitants des regards extérieurs et du vent, et qui valent au quartier du Palais son surnom, en raison de leur ressemblance avec un chou-fleur.Outre ce grand ensemble de Créteil, Gérard Grandval, diplômé de l'Ecole nationale supérieure des beaux-arts puis promu Chevalier des arts et des lettres, a notamment travaillé sur le centre d'exposition de la mode au Louvre à Paris, le siège de la société Bob Ore international à Montréal et sur celui de la Société de transports aéronautiques (STA) à Alger.
Il y a 3 ans et 181 jours

Gérard Grandval (1930-2021)

L'architecte Gérard Grandval, auteur des Choux de Créteil, s’est éteint le 2 décembre 2021 à l’âge de 91 ans. Né à Paris en 1930, diplômé des Beaux-Arts en 1959, Gérard Grandval a démarré sa carrière aux Etats-Unis. Après avoir reçu plusieurs distinctions durant ses […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 182 jours

Hommage à Gérard Grandval, architecte des Choux

Gérard Grandval, architecte des mythiques « choux » de Créteil et autres réalisations iconiques des années ...More about Cet article Hommage à Gérard Grandval, architecte des Choux est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 183 jours

Décès de Gérard Grandval (1930-2021)

L’architecte des Choux de Créteil, Gérard Grandval, s’est éteint ce jeudi 2 décembre 2021 à l’âge de 91 ans. Il œuvrait principalement pour le logement social et ses créations prônaient l’utopie urbaine des villes nouvelles. Diplômé de l’École nationale supérieure des beaux-arts, l’architecte est lauréat de nombreux prix, dont l’illustre Grand Prix de Rome en 1961. @font-face {font-family:"Cambria Math"; panose-1:2 4 5 3 5 4 6 3 2 4; mso-font-charset:0; mso-generic-font-family:roman;...
Il y a 3 ans et 258 jours

Créteil : l’avenue Paul-Casalis requalifiée d’ici à la fin de l’année 2021

Les travaux de requalification de l’avenue Paul-Casalis à Créteil s’étaleront jusqu’à la fin de cette année.
Il y a 3 ans et 260 jours

Créteil : des travaux de requalification des espaces publics

La place Jean-Giraudoux et l’avenue Paul-Casalis bénéficient de travaux de rénovation.
Il y a 3 ans et 329 jours

Le Grand Paris lance son plan vélo avec huit grands axes

Environ 30 km entre Rueil-Malmaison et Noisy-le-Grand pour la "ligne 1", autant entre Créteil et Aulnay-sous-Bois pour la "ligne 6", 10 km entre Rosny-sous-Bois et Paris... Au total, 200 km de pistes cyclables qui doivent permettre de "desservir" potentiellement près de 75% des 7 millions d'habitants de la métropole.Ce plan vélo, élaboré sur 65 communes avec l'aide du Collectif Vélo Île-de-France qui regroupe 41 associations et fédérations cyclistes, "réalise la jonction de tous les plans vélo existants sur le périmètre" de la métropole.Environ 40% des tronçons ont déjà été réalisés car ces huit axes "s'appuient sur des portions de pistes cyclables déjà réalisées", explique à l'AFP le directeur général des services de la MGP, Paul Mourier."Cela ne veut pas dire qu'il faudra pas revoir les aménagements qui ont déjà été faits pour les rendre plus sûrs", ajoute M. Mourier dont l'ambition est de "réaliser la majeure partie de ces 8 axes structurants dans les 6 ans qui viennent"."Le grand sujet est de créer des axes continus", a souligné en séance Jacques Baudrier, conseiller métropolitain délégué au déploiement des pistes cyclables pour qui "ce ne sont que les huit premières lignes".Pour M. Mourier, ce "squelette" de lignes, qui se base notamment sur les pistes réalisées dans Paris par la mairie, doit en effet permettre "d'éviter les coupures entre deux communes ou liées au franchissement d'une autoroute, d'une voie d'eau". Les maîtres d'ouvrage sont principalement les communes et les départements."On a pris du retard en Ile-de-France, en France de manière générale, mais on peut rattraper ce retard", veut croire M. Mourier pour qui la convention approuvée en mai avec la région Ile-de-France, qui prévoit une concertation entre les deux échelons pour des actions "complémentaires", est une "avancée considérable".Réélue fin juin, Valérie Pécresse (Libres!, ex-LR) a fait de son plan RER Vélo un pilier de son second mandat: 680 km de pistes financées à 60% par la région. Des axes donc bien distincts mais "complémentaires" de ceux de la métropole, insiste M. Mourier.
Il y a 4 ans et 26 jours

Le chiffre d'affaires de Klépierre recule encore au 1er trimestre alors que 95% des centres commerciaux seront bientôt rouverts

55% de ses centres ont déjà rouvert, et "près de 95% de notre portefeuille sera bientôt rouvert", a assuré Jean-Marc Jestin, président du directoire.En France, le feu vert à la réouverture est prévu pour le 19 mai et Klépierre assure être en mesure de rouvrir ses centres à cette date.Au premier trimestre 2021, le groupe, qui détient notamment les centres Créteil Soleil et du Val d'Europe en région parisienne, a dégagé un chiffre d'affaires de 281,2 millions d'euros, en baisse de 11,3% sur un an, selon un communiqué.Affecté par les décisions administratives des pays européens dans lesquels il est implanté, Klépierre a dû fermer progressivement ses centres commerciaux en raison de la crise sanitaire, "en moyenne 1,5 mois" sur la période.Avec la réouverture progressive en Europe à la fin de l'année 2020, Klépierre avait noté "des signes de reprise encourageants".Et malgré une baisse de 10% des revenus locatifs bruts sur le premier trimestre 2021, M. Jestin reste "enthousiaste et confiant" quant au "redémarrage rapide" de l'activité du groupe.
Il y a 4 ans et 33 jours

Le redressement fiscal ne doit pas venir de n'importe où

La Cour de cassation a posé ce principe au sujet de l'impôt sur la fortune, en déclarant seuls compétents les agents de la domiciliation fiscale du contribuable.Ce contribuable détenant plusieurs biens immobiliers dans divers départements, avait reçu d'une direction départementale des finances publiques une proposition de rectification portant sur la valeur déclarée d'un immeuble situé dans son ressort.Ce service soutenait que, selon la loi, les fonctionnaires de catégories A et B sont compétents pour les immeubles situés dans leur zone territoriale. Il en déduisait qu'il était compétent au même titre que le service du lieu de déclaration et d'imposition.Mais les juges ont écarté ce raisonnement. En l'occurrence, l'impôt sur la fortune étant un impôt sur le patrimoine global, son contrôle et sa rectification ne peuvent être exercés que par le service auprès duquel la déclaration a été déposée ou aurait dû l'être. Le contribuable ne peut pas recevoir des avis de rectification de divers services fiscaux pour des biens situés dans leur ressort.En l'espèce, ce contribuable demeurant dans le Val-de-Marne, il ne pouvait, selon les juges, recevoir de proposition de rectification que du service de contrôle de la fiscalité immobilière de Créteil.(Cass. Com, 27.3.2019, Y 17-18.696).
Il y a 4 ans et 161 jours

Calendrier des projets de transports publics en Ile-de-France

Voici les dates de mise en service actuellement envisagées pour les projets de RER, métro, tramways et bus en site propre TZen en Ile-de-France."Plus on s'éloigne de 2023, plus la date est indicative", indique-t-on chez Ile-de-France Mobilités, où l'on rappelle que les travaux ont subi plusieurs mois de retards lors du premier confinement.Le calendrier est parallèlement en cours de révision pour le métro du Grand Paris (lignes 15 à 18).14 décembre 2020M14: Saint-Lazare - Mairie de Saint-OuenAvril 2021T9: Porte de Choisy - OrlyFin 2021M4: Mairie de Montrouge - BagneuxAvril 2022M12: Front Populaire - Mairie d'AubervilliersMi-2022 (sans doute plus tard)T13: Saint-Cyr - Saint-Germain-en-LayeFin 2022RER E: Haussmann Saint-Lazare - Nanterre-La Folie2023T3b: Porte d'Asnières - Porte MaillotT10: Croix de Berny - Clamart Jardin-ParisienT12: Massy - EvryM11: Mairie des Lilas - Rosny Bois-PerrierTZen 4: Viry-Châtillon - Corbeil-Essonnes2024M14: Mairie de Saint-Ouen - Saint-Denis PleyelM14: Olympiades - Aéroport d'OrlyRER E: Nanterre-La Folie - Mantes-la-JolieTZen 3: Porte de Pantin - GarganCâble A (téléphérique): Créteil - Villeneuve-Saint-Georges2025T1: Noisy-le-Sec - MontreuilTZen 5: Bibliothèque François-Mitterrand - Choisy-le-Roi2026T1: Montreuil - Val-de-FontenayT1: Quatre-Routes - ColombesEnsuiteT1: Colombes - RueilT7: Athis-Mons - JuvisyT8: Saint-Denis - Rosa ParksT10: Achèvement au nord (le tracé n'est pas défini)T11: Sartrouville - Epinay-sur-Seine et Le Bourget - Noisy-le-SecT12: Massy - VersaillesT13: Saint-Germain-en-Laye - AchèresM1: Château de Vincennes - Val-de-FontenayTZen 2: Sénart - MelunLa Société du Grand Paris estime parallèlement que la crise sanitaire a entraîné "entre trois et huit mois de retard suivant les lignes" pour le Grand Paris Express en construction autour de la capitale.Elle dit s'attacher à "limiter les retards" et annoncera des dates "réalistes" de mise en service "quand la crise sanitaire sera derrière nous", a priori au printemps.Les premiers tronçons des lignes 16 et 17 de Saint-Denis Pleyel au Bourget, annoncés à temps pour les Jeux olympiques de 2024, auraient ainsi pour l'instant entre trois et huit mois de retard, de même que le tronçon suivant de la 16 entre Le Bourget et Clichy-Montfermeil.Idem pour la ligne 15 au sud de Paris, de Pont de Sèvres à Noisy-Champs, prévue avant la pandémie pour l'été 2025.La 18 entre Orly, Massy-Palaiseau et Saclay aurait de trois à cinq mois de retard par rapport à une ouverture prévue de 2026/27.Le dernier tronçon de la 16 entre Clichy-Montfermeil et Noisy-Champs, prévu pour 2028, aurait également entre trois et cinq mois de retard, tandis que celui de la 17 entre Le Bourget et le triangle de Gonesse, suspendu par une décision judiciaire, est pour l'instant annoncé pour 2028.Le reste des 200 kilomètres du métro du Grand Paris est envisagé à l'horizon 2030.
Il y a 4 ans et 300 jours

Après la crise, les géants des centres commerciaux restent dans le flou

"Il y a encore pas mal d'incertitudes", a résumé à l'AFP Christophe Cuvillier, patron du géant français des centres commerciaux URW qui, comme son grand concurrent Klépierre, présentait mercredi ses comptes semestriels.Tous deux ont dû fermer plusieurs semaines leurs centres dans de nombreux pays suite aux mesures de confinement face au coronavirus.Klépierre, notamment détenteur de Créteil Soleil, et URW, propriétaire du Forum des Halles à Paris ou de la Part-Dieu à Lyon, sont basés en France, mais leurs centres sont disséminés à travers l'Europe et, pour le second, les Etats-Unis.Les revenus semestriels d'URW ont chuté de 14,2% à 1,07 milliard d'euros et son bénéfice récurrent, indicateur de référence de l'immobilier, de 27,2% à 667 millions.Plus résistants, les revenus et le bénéfice de Klépierre ont respectivement baissé de 7,8% à 616 millions et de 4,3% à 392,1 millions.Et maintenant? Le secteur reste en pleine incertitude même si les deux géants français ne sont pas dans la situation de leur homologue britannique Intu, qui vient de déposer le bilan.Les deux groupes français avaient renoncé à leurs prévisions au début de la crise. Ils n'en donnent pas de nouvelles, quand bien même leurs centres ont tous (chez Klépierre) ou largement (chez URW) rouvert, avec un redémarrage qu'ils s'accordent à juger meilleur qu'attendu."Il est préférable d'attendre d'avoir un peu plus de visibilité", a admis M. Cuvillier. "On vient de sortir du confinement dans certains pays; pour l'Angleterre c'était le 15 juin. Et aux USA, on a un centre qui n'a toujours pas pu rouvrir (à New York)."L'ironie, c'est que les Etats-Unis et le Royaume-Uni sont justement les pays où l'ancien Unibail-Rodamco s'est implanté récemment avec l'acquisition massive du groupe Westfield, une opération d'une vingtaine de milliards d'euros qui peinait à séduire les investisseurs avant même la crise.Le spectre du moratoireKlépierre, essentiellement présent en Europe, n'a pas ce souci et signe donc de meilleurs résultats. Mais les deux groupes partagent un avenir d'autant plus flou qu'ils sont en pleine négociation avec leurs locataires, les enseignes elles-mêmes, dont beaucoup désirent annuler des semaines ou des mois de loyers.Les tensions étaient telles, en plein confinement, que le gouvernement français a forcé les deux secteurs à la discussion. Conclue début juin, celle-ci a plutôt tourné à l'avantage des propriétaires, aucune annulation générale n'étant décrétée.Désormais, "la plupart des négociations se passent de manière très cordiale et très efficace", a assuré M. Cuvillier, même si son groupe estime n'en avoir mené à bien qu'un quart.Un nouvel écueil menace le secteur avec les succès électoraux des écologistes aux municipales de juin. Plusieurs grandes villes, comme Lyon et Bordeaux, ont élu des maires verts sur un programme généralement défavorable au gigantisme commercial incarné par les grands centres.Plus largement, le discours écologiste, également mis en avant par l'écho donné début juillet aux conclusions de la Convention citoyenne pour le Climat, infuse dans le reste de la classe politique jusqu'au chef de l'Etat lui-même, Emmanuel Macron."Nos concitoyens ne veulent plus de nouvelles grandes surfaces en périphérie", proclamait-il début juillet. "Ils veulent retrouver des commerces de centre-ville."Au nom de la lutte contre l'"artificialisation des sols", le gouvernement promet en particulier un moratoire sur les nouvelles zones commerciales à la périphérie des villes, même si l'application de cette mesure reste floue dans l'attente d'une loi annoncée pour 2021."Il est important que la préservation du souci écologique ne se fasse pas au détriment de la modernisation du commerce et la création d'emplois", a prévenu M. Cuvillier, assurant pour autant d'une différence "entre ce que l'on peut entendre dans les discours et la réalité du terrain"."Quand vous parlez aux maires des villes dans lesquelles on est, ils ont tout à fait conscience de l'importance du commerce et de l'investissement dans ces centres", a-t-il rapporté.
Il y a 4 ans et 347 jours

Une enveloppe rénovée pour l'immeuble de bureaux Metroscop à Créteil (94)

Pour cette réhabilitation, l'agence QUADRI FIORE ARCHITECTURE a reçu le « PRIX 4114 » au PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL 2019. Elle a soumis une proposition au maître d'ouvrage sans modifier la structure en béton préfabriqué afin de mener les travaux rapidement et dans le budget alloué. Elle s'est appuyée sur le savoir-faire de l'ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL STIM TECHNIBAT, qui a réalisé des relevés précis en amont pour faciliter la mise en œuvre des menuiseries aluminium TECHNAL. Au total, près de 2 000 châssis ouvrant à la française SOLEAL 65 ont été installés sur des précadres, en lieu et place des anciennes fenêtres bois et PVC. Leur performance, conjuguée à une pose au nu extérieur, optimise l'isolation thermique de cet immeuble R+10, d'une superficie de 14 000 m².Pour susciter une nouvelle attractivité au bâtiment, QUADRI FIORE ARCHITECTURE a créé une rupture avec la partition unique et sobre des façades d'origine. Une teinte « ocre », chaude et intemporelle, se décline ainsi sur les menuiseries TECHNAL et le bardage métallique. Elle contraste avec le revêtement minéral blanc de l'enveloppe. Elle joue également avec les variations de la lumière, passant d'un jaune intense lorsqu'elle prend le soleil à une nuance plus sombre dès que la nuit tombe. Cette couleur, signature du bâtiment, se marie à d'autres subtilités graphiques : jeux de rythmes et de ruptures d'échelles, réunification d'étages… Autant d'éléments qui animent les façades, sollicitent l'intérêt du regard et révèlent les espaces paysagers à proximité immédiate.Tout pour le confortCes ensembles menuisés SOLEAL 65 se distinguent par leur ouvrant caché MINIMAL, qui permet de conserver un maximum de clair de vue (luminosité naturelle Sw = 0,50 et TLw = 0,61). Leur performance thermique offre un Uw de 0,9 W/m².K. Des atouts qui permettent aux occupants de travailler sur des plateaux de bureaux confortables et sereins. Depuis la cafétéria au rez-de-chaussée ou les deux halls d'entrée traversants, les salariés bénéficient également d'espaces accueillants.Les menuiseries possèdent des dimensions similaires, L. 1 x h. 1,50 m, sur 90% de la façade. Seules celles du rez-de-chaussée et du 3ème étage sont agrémentées en supplément d'allèges vitrées. Les profilés ont été créés sur-mesure pour intégrer directement les stores à l'ensemble.Le projet METROSCOP a reçu le « PRIX 4114 » au dernier PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL. Cette distinction fait référence au Club TECHNAL qui porte le même nom. Elle a récompensé l'ouvrage ayant recueilli le plus de votes auprès de sa communauté. Une reconnaissance pour l'agence QUADRI FIORE ARCHITECTURE primée par ses pairs.Lancé fin 2018, le Club « 4114 » vient de souffler sa première bougie ! Rétrospective de l'année écoulée :regroupe près de 500 membresune multitude d'articles sur les actualités et dernières tendances autour de l'architecture sur le blog 4114deux évènements d'envergure organisés (présentation en avant-première du nouveau système hybride TIGAL et conférence de STEFANO BOERI autour du « Seuil et de la végétalisation en architecture »)premier numéro du « Mag 4114 », dédié au développement durable, à l'occasion du Mondial du Bâtiment
Il y a 4 ans et 348 jours

"Heureusement, les grands projets sont là", G. Sauvé (Eiffage Génie civil)

INTERVIEW A l'occasion d'une visite sur le chantier de la gare de Saint-Maur/Créteil, le président d'Eiffage Génie civil Guillaume Sauvé est revenu pour Batiactu sur l'organisation de la reprise de ces opérations d'envergure, et sur l'importance des grands projets pour donner de la visibilité dans une période incertaine.
Il y a 4 ans et 349 jours

Sur le chantier de Saint-Maur/Créteil, les travaux avancent et s'adaptent

INFRASTRUCTURE. Le 18 juin 2020, la Société du Grand Paris organisait une visite de la gare de Saint-Maur/Créteil, la plus profonde du futur réseau du Grand Paris Express. L'occasion de voir l'avancée des travaux et de constater les mesures sanitaires mises en place depuis la reprise du chantier. A découvrir en images.
Il y a 5 ans et 4 jours

Les géants des centres commerciaux Klépierre et URW rouvrent à travers le monde

URW "annonce aujourd'hui que 65 de ses 90 centres dans le monde sont désormais rouverts après la levée d'une série de restrictions liées au Covid-19", a détaillé dans un communiqué le groupe, qui possède entre autres le Forum des Halles et le centre de la Part-Dieu.De multiples pays ont pris depuis le début de l'année de strictes mesures de confinement pour éviter la propagation du coronavirus, contraignant le plus souvent les centres commerciaux à une fermeture pure et simple.En France, par exemple, le confinement a duré de mi-mars à début mai et, même avec sa levée, les préfets ont gardé la possibilité d'interdire la réouverture des plus grands centres.Mais, désormais, l'essentiel des centres français ont rouvert pour URW et son grand concurrent, Klépierre, qui détient par exemple Créteil-Soleil en banlieue parisienne."Klépierre a rouvert l'intégralité de ses centres commerciaux en France", a annoncé le groupe lors du week-end.Pour les deux groupes, la situation ne se résume néanmoins pas à la France, car ils sont présents à travers l'Europe, ainsi qu'aux États-Unis pour URW.Cette situation est plus favorable à Klépierre que pour URW qui attend encore des mesures de déconfinement dans certains États américains.Alors que le premier promet la réouverture de tous ses centres européens d'ici à la fin de semaine, le second ne compte que sur la réouverture de 87% de l'ensemble de ses sites au 15 juin."Ce chiffre devrait augmenter après la confirmation aux États-Unis de la fin des restrictions dans d'autres États et comtés", assure URW, évoquant par ailleurs un retour plus important que prévu des clients dans ses centres qui ont rouvert à travers le monde.Après ces annonces, les titres de Klépierre et URW, qui s'étaient effondrés pendant la crise, bondissaient en Bourse mardi, prenant chacun plus de 10%.
Il y a 5 ans et 34 jours

Les géants des centres commerciaux en plein dans la crise

Les deux géants français du secteur, Unibail-Rodamco-Westfield (URW), propriétaire du Forum des Halles à Paris ou de la Part-Dieu à Lyon, et Klépierre, détenteur de Créteil Soleil, ont chacun publié mercredi leurs chiffres trimestriels.Ils détiennent chacun une centaine de grands centres commerciaux à travers plusieurs pays, avec une présence marquée en France. Klépierre est essentiellement actif en Europe alors qu'URW, seule foncière du CAC 40, a aussi un pied aux États-Unis.Pour l'heure, leurs comptes sont peu affectés par la crise du Covid-19, face à laquelle de nombreux pays, comme la France, ont imposé la fermeture de l'essentiel des magasins.Au premier trimestre, les revenus d'URW et Klépierre ont respectivement enregistré une hausse de 1,7% à 790,3 millions d'euros et une baisse de 4,7% à 252,8 millions d'euros.Mais ces évolutions sont trompeuses car le confinement a commencé mi-mars, alors que le trimestre était presque fini."Le Covid-19 n'a eu qu'un effet limité sur les revenus du groupe au premier trimestre car les loyers sont facturés et payés en avance d'un trimestre dans la plupart de l'Europe, et d'un mois aux États-Unis", a souligné URW."L'effet de la pandémie se traduira au deuxième trimestre", a prévenu le groupe, qui devait déjà gérer depuis 2018 la lourde acquisition, pour une vingtaine de milliard d'euros, du groupe Westfield.Dans ce contexte, les deux géants, dont les dirigeants renoncent par ailleurs à une partie de leurs salaires, s'abstiennent de toute prévision chiffrée sur leurs comptes.Ils veillent cependant à prendre un ton rassurant, détaillant par exemple déjà les mesures sanitaires prévues pour rouvrir leurs centres."Bien qu'il soit trop tôt pour estimer l'impact réel de la situation sur nos résultats annuels, nous restons confiants", a assuré dans un communiqué Jean-Marc Jestin, président du directoire de Klépierre, mettant en avant le faible endettement de son groupe ainsi que la "grande qualité" de ses centres.Cas par cas sur les loyers Pourtant, les perspectives des deux géants se sont encore assombries cette semaine en France, avec le discours prononcé mardi par le Premier ministre, Édouard Philippe, pour détailler la sortie du confinement à partir du 11 mai.M. Philippe a confirmé que l'ensemble des commerces devraient rouvrir, à part les bars et les restaurants, mais il a prononcé une exception de taille. Les grands centres commerciaux, soit plus de 40.000 mètres carrés, pourront rester fermés par les préfets, car ils peuvent encourager des clients à venir de loin.Or, c'est justement la stratégie des géants du secteur: se concentrer sur quelques grands centres, avec de riches animations à la clé, pour en faire des lieux de "destination" sur un large rayon.Dans l'immédiat, les grands propriétaires de centres commerciaux préfèrent retenir que la fermeture des gros sites ne sera pas systématique.La fédération du secteur, le CNCC, a ainsi promis jeudi de "comprendre les raisonnements et modes de calcul retenus puis d'apporter les réponses attendues par les préfets".Mais un autre écueil continue à menacer les comptes du secteur. Les fédérations de commerçants insistent pour annuler en masse leurs loyers, y voyant une question de survie.Le gouvernement a obtenu des grands propriétaires qu'ils annulent trois mois de loyers pour les plus petites enseignes, celles de moins de dix salariés, mais c'est loin de satisfaire le secteur du commerce.De leur côté, les propriétaires de centres commerciaux soulignent qu'une annulation massive mettrait en danger leur propre modèle.Le secteur se trouve ainsi face à un paradoxe. S'il rassure sur sa solidité économique, il affaiblit aussi son principal argument pour refuser d'annuler plus de loyers, au moment où l'exécutif a nommé une médiatrice pour calmer la polémique."Klépierre a toujours attaché une importance particulière aux relations d'affaires durables, équilibrées et de long terme qu'il entretient avec les enseignes", promet le groupe français.Il explique étudier au cas par cas les situations de ses locataires, de même qu'URW qui fait plus explicitement état "d'allègement de loyers" pour certaines enseignes, en particulier dans la restauration.
Il y a 5 ans et 47 jours

Top 10 des meilleures villes où investir dans l'immobilier neuf selon son profil d'acquéreur

Les meilleures opportunités d'investissement dans l'immobilier neuf se trouvent actuellement dans les périphéries de grandes villes particulièrement dynamiques : Grenoble, Annecy, Genève, Paris, Toulouse, Marseille et Aix-en-Provence, Bordeaux. Les prix du neuf sont souvent supérieurs aux prix de l'ancien. Ce surcoût, justifié par la qualité des constructions et, dans de nombreux cas, compensé par les avantages fiscaux attachés au neuf, est bien moindre lorsqu'on s'éloigne (mais pas trop) des grandes agglomérations. Il y a donc de nombreuses pépites à découvrir lorsqu'on analyse systématiquement toutes les villes françaises où des biens neufs sont proposés. « Les villes mises en lumière par ce double classement proposent un environnement plus apaisé, plus vert, bien moins cher, et bien plus rentable que les métropoles qu'elles bordent. La méthodologie suivie dans cette étude a permis de ne sélectionner que des opportunités équilibrées d'investissement en veillant, au-delà de la rentabilité ou de la plus-value attendue, à ce que les risques (non location, impayé de loyer, éloignement des transports ou des services de base) soient également bien maîtrisés. » Commente Mathieu Morio, fondateur de GridkyClassement profil rentabilitéA seulement 2 km de Grenoble, Saint-Martin-le-Vinoux (38) arrive en tête de classement. La rentabilité locative brute des investissements y est de 6,5% (en prenant en compte l'avantage fiscal Pinel, et 4,5% sans cet avantage). Cette ville bénéfice à plein du dynamisme économique et éducatif de Grenoble (5ème ville la plus innovante du monde), tout en présentant des prix plus attractifs. Elle se situe au cœur du Parc naturel régional de Chartreuse tout en étant à 3 arrêts de tram de la métropole. La part des nouveaux ménages arrivant chaque année à Saint-Martin-le-Vinoux représente 35% contre 3,7% en moyenne nationale. La population a ainsi augmenté de 19% sur 5 ans sur cette zone.Arrive en seconde position du classement Allonzier-la-Caille (74), petite ville de 2.000 habitants située à 10 minutes d'Annecy et 20 min de Genève, placée en pleine nature tout en bénéficiant de la proximité avec 2 centres économiques majeurs. La rentabilité locative atteint 5,7% (avec levier fiscal). Reflétant cette situation privilégiée, le taux de logements vacants y est particulièrement bas, à 4,9% contre 7,1% au national.On retrouve en troisième place la commune d'Asnières-sur-Seine (92), qui figure régulièrement dans les classements des villes de banlieue les plus courues par les parisiens. Commune de l'ouest parisien située à moins de 15 min de la Défense, Asnières-sur-Seine bénéficie d'un cadre paisible et du charme des bords de Seine. La rentabilité locative dans le neuf, notamment dans le nouvel écoquartier Seine Ouest, est de 5,6% (avec levier fiscal). Ville aisée, le taux de cadres y atteint 33% contre 25% au niveau national.La Bouilladisse (13) est la quatrième ville où l'investissement d'un bien neuf est le plus rentable avec 5,5% (avec levier fiscal). La commune de 6.000 habitants bénéficie d'une position stratégique entre Marseille, Aix en Provence et Aubagne (accessibles en moins de 30 min). Reflétant ces avantages, la part des nouveaux ménages arrivant chaque année représente 7,6% contre 3,7% en moyenne nationale. Par ailleurs, le taux de logements vacants y est particulièrement bas à 5,5%, et les cadres, 27% des habitants, y sont fortement représentés.Balma (31), aux portes de Toulouse (accessible en 20 min par le métro A et plusieurs lignes de bus), arrive en cinquième position du classement avec une rentabilité de 5,5% (avec levier fiscal). Balma propose un bassin d'emplois sur place avec par exemple AG2R La Mondiale et plusieurs sièges de banques implantées localement. Il s'agit de l'une des communes les plus intéressantes en première couronne de Toulouse. La part des nouveaux ménages arrivant chaque année représente 35% contre 3,8% en moyenne nationale, et la population a augmenté de 19% sur 5 ans sur cette zone.Pontault-Combault (77), idéalement placée entre les pôles d'emplois de Créteil et de Marne-la-Vallée, et à seulement 30 min du centre de Paris en transports, Pontault-Combault est la sixième ville dans le classement Gridky. La rentabilité locative brute de l'investissement dans un bien neuf y est de 6% (avec levier fiscal), notamment en raison d'une forte demande locative. Il n'y a que 4,1% de logements vacants (presque deux fois moins que la moyenne nationale), et la balance démographique est de +5,1% sur 5 ans. Pontault-Combault est légèrement moins bien classée que les villes qui la précèdent en dépit d'une meilleure rentabilité, car le risque locatif y est un peu plus fort (tout en restant néanmoins excellent), avec un poids des loyers dans les revenus des habitants à 17% (au même niveau que la moyenne nationale).A 15 km de Perpignan, Saint-Cyprien (66) se place à la 7ème position du classement. Ville à la fois moderne et ayant gardé son atmosphère de village, Saint-Cyprien est située à 5 min de la mer. La rentabilité locative d'un appartement neuf y est de 6% (avec levier fiscal). La tension locative y est maximale avec seulement 0,2% de logements vacants. Il n'y a donc quasiment aucun logement disponible à la location sur la commune. Saint-Cyprien n'est toutefois pas classée plus haut en dépit de son excellent taux de rentabilité, car la croissance démographique, à 1,9% sur 5 ans, y est légèrement moins élevée que sur les villes mieux classées.Tournefeuille (31), commune de 27.000 habitants située à l'ouest de Toulouse, arrive en 8ème place. La proximité avec la ville rose, et ses nombreuses lignes de bus la reliant en 20 min, lui permettent de bénéficier de l'afflux démographique que connaît la région depuis plusieurs années : Tournefeuille a vu sa population croître de 2,6% sur les 5 dernières années, et l'arrivée de 12% de nouveaux ménages chaque année. Vous pouvez y espérer une rentabilité locative de 5,3% (avec levier fiscal).En 9ème position du classement, on retrouve Clamart (92). La rentabilité locative atteint 5,3%. Déjà à moins de 30 min de Paris en voiture, la commune va bénéficier du Grand Paris avec l'arrivée en 2024 de la ligne 15. Cette position privilégiée dans le sud-ouest parisien motive de nombreux nouveaux ménages à y emménager (+9,4% chaque année). Enfin, Clamart est en pleine mutation, avec l'émergence de nouveaux quartiers (le Panorama par exemple) offrant une haute qualité de vie.Gradignan (33), à seulement 9 km de Bordeaux, est à la 10ème place du classement. La rentabilité locative atteint 5%. La ville bénéficie d'un boom démographique avec une augmentation de 9,5% de sa population sur les 5 dernières années. La commune a vu son besoin en logements bondir, ce que reflète le très faible pourcentage de logements vacants (3%).Classement profil « plus value »Allonzier-la-Caille (74) passe en première position. Il existe sur cette ville certains biens neufs ayant un prix au m² de 3 760 €, ce qui est inférieur aux prix de l'ancien (qui se situent actuellement entre 2 826 € et 5 291 €), avec un prix moyen de 3 919 €. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 54%.Balma (31) arrive en seconde place. Le prix au m² des biens neufs est de 3 276 € face à un prix au m² dans l'ancien qui se situe actuellement entre 2 177 € et 4 124 € (avec un prix moyen de 2 973 €). L'écart de prix au m² des biens neufs par rapport au prix moyen dans l'ancien sur cette zone n'est ainsi que de 10%. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 53%.Asnières-sur-Seine est toujours troisième du classement. Le prix au m² de certains biens neufs est de 5 549 €, très proche du prix au m² dans l'ancien (qui se situe actuellement entre 3 563 € et 7 093 € sur cette zone, avec un prix moyen de 5 054 €). Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 60%.Fait son apparition en quatrième position du classement, la ville de Bruges (33), située au nord de Bordeaux. Le prix au m² des biens neufs est de 3 917 € en regard d'un prix dans l'ancien allant de 2 574 € à 4 771 € sur cette zone, avec un prix moyen de 3 524 €. Le neuf y est donc à peine 11% plus cher que l'ancien, ce qui est tout à fait attractif. Par ailleurs, si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 45%. La population a augmenté de 16% sur 5 ans sur cette zone, et le taux de logements vacants n'y est que de 3,2% (contre 6,9% au national).Saint-Martin-le-Vinoux se place en cinquième position. Avec des biens neufs accessibles dès 2 555 € alors que le prix au m² dans l'ancien se situe actuellement entre 1 757 € et 3 554 € sur cette zone, (avec une moyenne de 2 491 €), le prix de ce bien neuf est inférieur au prix maximum observé actuellement sur le marché de l'ancien, ce qui est tout à fait attractif. De plus, l'écart de prix au m² de ce bien neuf par rapport au prix moyen dans l'ancien sur cette zone est de 2,6%, alors que l'écart moyen entre le neuf et l'ancien est de 44% sur l'ensemble du marché. Ce lot est donc sensiblement moins cher au m² par rapport aux prix dans l'ancien que les autres biens neufs actuellement en vente. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 52% sur cette ville.Frontalière avec la Suisse (à moins de 30 min du centre-ville de Genève), la ville d'Etrembières (74) arrive en sixième place des villes où investir dans le neuf pour maximiser sa plusvalue. Le prix au m² des biens neufs est de 4 221 €, soit quasiment au même niveau que les prix de l'ancien qui se situent entre 2 924 € et 5 789 € sur cette zone, avec un prix moyen de 4 010 €. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 44%. La population a augmenté de 29% sur 5 ans sur cette zone.Autre ville frontalière avec nos voisins helvétiques, Gex (01) se place en septième position. Le prix au m² des biens neufs est de 3 685 € quasiment au niveau de l'ancien qui se situe actuellement entre 2 844 € et 5 595 € sur cette zone, avec un prix moyen de 3 574 €. De plus, si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 42%. La population a par ailleurs augmenté de 21% sur 5 ans à Gex.Première métropole du classement, Bordeaux (33) est la 8ème ville où il est le plus intéressant d'acheter un bien neuf pour espérer obtenir une belle plus-value. Le prix au m² des biens neufs les plus intéressants est de 4 449 €, ce qui n'est pas très cher en comparaison d'un dans l'ancien qui se situe entre 3 131 € et 5 845 €, avec un prix moyen de 4 307 €. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 49%.On retrouve la ville de Bouilladisse en 9ème place du classement. Le prix au m² des biens neufs est de 3 169 €, très proche du prix de l'ancien qui se situe entre 2 162 € et 4 362 €, avec un prix moyen de 3 011 €. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 45%. La population a augmenté de 2,3% sur 5 ans sur cette zone. La part des cadres dans les actifs sur cette zone (27%) reflète un environnement plutôt aisé.Biscarrosse (40) est 10ème .Le prix au m² des biens neufs est de 3 280 €, ce qui est inférieur à la moyenne du prix dans l'ancien : 3 442 €, avec un min de 2 530 € et un max de 4 651 € sur cette zone. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 50%. La part des nouveaux ménages arrivant chaque année représente 14% contre 3,7% en moyenne nationale. La population a augmenté de 13% sur 5 ans sur cette zone.
Il y a 5 ans et 135 jours

Réhabilitation de la résidence des Bleuets, à Créteil, par RVA

Avec la volonté d’en retrouver l’esprit originel, l’agence RVA (Dominique Renaud, Philippe Vignaud) a livré en 2019 dans le quartier des Bleuets à Créteil (Val-de-Marne) la réhabilitation, restructuration et résidentialisation de 602 logements collectifs. Un ouvrage lauréat de la seconde […] L’article Réhabilitation de la résidence des Bleuets, à Créteil, par RVA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 171 jours

Schnepp Renou : La Photographie d’architecture

Les deux jeunes photographes, Morgane Renou et Simon Schnepp, forment depuis 2012 le tandem Schnepp Renou. Spécialisé dans la photographie d’architecture, le duo franco-allemand capture les paysages urbains du monde entier et les magnifie par une maîtrise artistique de la photographie. Zoom sur une oeuvre collective hors pair. Alors que Simon Schnepp éduque son œil à la photographie en Allemagne, Morgane Renou s’initie aux arts visuels en France et au Canada. Il a toutefois fallu attendre la rencontre de ces deux talents à l’école de photographie Best-Sabel à Berlin (Allemagne) pour que leurs approches esthétiques soient fusionné, avant de devenir le concept Schnepp Renou à la fin de leurs études. En résulte alors une première série de photographies « Les Grands Ensembles » qui sublime les logements sociaux des années 1970 et 1980 érigés dans les banlieues parisiennes. La force du tandem Schnepp Renou réside surtout dans un travail photographique collectif. Simon Schnepp et Morgane Renou partagent en effet une même envie de poser un regard esthétisant sur le monde. Dans leurs différents projets, l’opérateur s’efface toujours au profit de l’image. Peu importe qui appuie sur le déclencheur, les deux artistes privilégient toujours la beauté des architectures photographiées, de la volumétrie organique des Choux de Créteil (93) aux logements montréalais atypiques Habitat 67 (Canada), en passant par l’architecture très contemporaine du Futurium de Berlin. Attiré par le charme des lignes architecturales, le tandem réalise des images esthétiques qui retranscrivent avec justesse l’âme de chaque lieu. Leurs photographies attestent d’un langage qui leur est propre : un style travaillé, un cadrage précis et un regard d’esthète. Des images à l’esthétique léchée qui nous invitent à redécouvrir des bâtiments historiques. Pour en savoir plus, visitez le site de Schnepp Renou Photographies : Schnepp Renou Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 193 jours

Près de Paris, une résidence étudiante d'un genre nouveau

REALISATION. L'agence d'architectes Villemard Associés a livré ce bâtiment de 207 places à l'été 2019 pour le CROUS de Créteil. Une résidence qui présente nombre de particularités.
Il y a 5 ans et 206 jours

Des logements collectifs patrimoniaux réhabilités à Créteil

DISTINCTION. La réhabilitation d'une résidence de 602 logements, à Créteil, a été l'un des dix lauréats des trophées béton pro 2019. Ce projet, qui concerne la résidence des Bleuets à Créteil (Val-de-Marne), a été imaginé par l'agence d'architecture RVA.
Il y a 5 ans et 233 jours

Dossier : Cinq édifices brutalistes à découvrir en Île-de-France

La Tour Eiffel, le Château de Versailles ou encore la Basilique de Saint-Denis, la liste des ouvrages architecturaux iconiques d'Île-de-France est longue comme le bras. Mais la région parisienne ne compte heureusement pas que des ouvrages issus des siècles précédents et l'architecture brutaliste figure en bonne place dans notre patrimoine. Alors pour une visite d'un autre genre, la rédaction de Muuuz vous propose un petit tour des édifices iconiques du mouvement ! Le Centre national de la danse – Jacques Kalisz / Antoinette Robain et Claire GuieysseLongeant le canal de l'Ourcq, le CND de Pantin (93) est peut être l'un des ouvrages brutalistes les plus connus de la banlieue parisienne. Conçu en 1965 par l'architecte Jacques Kalisz, le bâtiment abritait en premier lieu la cité administrative de la ville. Tombé en désuétude 20 ans plus tard, c'est le duo Antoinette Robain et Claire Guieysse qui offre au bâtiment sa seconde vie au début des années 2000. Sous la houlette du duo, l'ensemble accueille un centre de danse et remet au goût du jour l'esthétique brutaliste. Un pari gagnant puisque la construction remportera la précieuse Equerre d'Argent de 2004.. Siège du Parti communiste français – Oscar NiemeyerImaginé par l'architecte brésilien Oscar Niemeyer, le nouveau Siège du Parti communiste français (19ème arrondissement) est installé depuis 1971 sur la symbolique Place du Colonel-Fabien qui rend hommage au militant communiste éponyme. S'apparentant au ventre arrondi d'une femme enceinte de l'extérieur, la coupole blanche abrite la célèbre salle du Conseil national dont le plafond se dote d'une multitude de lames métalliques aux grandes propriétés acoustiques. Le bâtiment en béton brut se pare également d'un décor de créateurs, des fauteuils dessinés par l'architecte aux poignées de porte signées Jean Prouvé, en passant par une tapisserie de Fernand Léger. Un intérieur fascinant qui séduit depuis plusieurs années les grandes maisons de la mode – de Prada à Jean-Paul Gaultier – pour présenter leur collection.. Les Choux – Gérard GrandvalSouvent moqués les Cristoliens, les Choux de Créteil (94) conçus en 1974 par l'architecte français Gérard Grandval sont aussi surnommés « Dahlias », « Maisons-Fleurs» ou encore « Epis de Maïs ». Et pour cause, l'étonnante volumétrie organique des balcons extérieurs. Dépourvues de la végétation initialement prévue, ces dix tours rondes de quinze étages s'apparentent en effet à un champ de choux-fleurs. Un clin d'œil à l'histoire du site sur lequel était installée une usine de production de choucroute. Ce grand ensemble de logements sociaux et étudiants témoigne aujourd'hui de l'urbanisme créatif du Nouveau Créteil et représente l'icône architecturale de la ville.. Les étoiles de Renaudie – Jean RenaudieMissionné par la ville d'Ivry dans les années 1970 pour la création de logements sociaux, l'architecte Jean Renaudie s'éloigne, à travers cet ensemble habitable, du traditionnel pavé définissant les grands ensembles. Plus poétique, c'est la forme de l'étoile qui est ici déclinée et qui confère à ce quartier son identité si particulière. Comme tout droit sortie d'un futur post-apocalyptique, la construction allie silhouette unique, béton brut et végétation aléatoire, reprenant ses droits sur le monde architecturé. Et puisque l'on n'est jamais mieux servi que par soit même, le maître d'œuvre passa lui-même la fin de sa vie dans son œuvre, la tête dans les étoiles.. Maison du Brésil – Le CorbusierImpossible de parler d'architecture brutaliste sans citer Le Corbusier ! Pionnier du mouvement, l'architecte est à l'origine d'un bon nombre d'ouvrages brutalistes de la région parisienne. Moins célébrée que la Villa Savoye, la Maison du Brésil, réalisée en 1957 en collaboration Lucio Costa, est l'une des 23 maisons nationales de la Cité internationale universitaire de Paris (14ème arrondissement). Entièrement restaurée en 2000, l'ensemble célèbre la culture brésilienne au sein de ses espaces d'exposition, son théâtre, sa bibliothèque frano-lusophone et sa vidéothèque. Qui a dit que l'architecture brutaliste n'était pas chaleureuse ?. Photographies : 1) Espace Niemeyer – Siège du Parti communiste français / Jérémie Léon2) CND / PATRICK HERTZOG/AFP3) Espace Niemeyer – Siège du Parti communiste français / Guilhem Vellut / CC-BY4) Les Choux de Créteil, DR5) Les étoiles de Rénaudie / Alexandre Faraci6) Maison du Brésil / Samuel Ludwig
Il y a 5 ans et 278 jours

Hexa débarras étend son activité au Val de Marne

Après près de deux années d’évolution et de développement, et un ancrage local devenu très solide, la société Hexa débarras se lance dans la conquête de la France, et plus particulièrement de l’Ile-de-France. La première étape de ce nouvel objectif est l’implantation de nos services à Evry-Courcouronnes, Créteil et Versailles, ainsi qu’à Paris. Un service de débarras qui s’appuie sur des partenaires locaux du recyclage Notre nouvelle implantation dans les départements de la couronne parisienne ne se fait pas sans avoir, au préalable, défini convenablement notre périmètre d’action. Ainsi, nous avons pu conclure des partenariats intéressants avec plusieurs entreprises spécialisées dans le recyclage des différents types de déchets. Aussi, déchetteries professionnelles ou ferrailleurs sont déjà informés de nos futurs apports de déchets, et se tiennent prêts à valoriser les tonnes d’encombrants provenant de nos débarras. Cela nous permettra de conserver la même méthode de travail, à savoir la réalisation des interventions les plus propres possibles écologiquement. Des partenaires de valorisation prêts à s’investir Une autre facette de notre métier relève de la valorisation des meubles, objets et appareils électriques issus des débarras. cet engagement, que nous prenons vis-à-vis de nos clients, nous contraint à trouver des débouchés efficaces pour pouvoir vendre les biens valorisables, ou donner ceux qui n’ont pas de valeur marchande. De fait, plusieurs associations ont déjà accepté de devenir des partenaires privilégiés de notre entreprise, et absorberont une part non négligeable de tous les objets pouvant être réutilisés et qui seraient destinés à la déchetterie si le don n’était pas possible. De même, deux antiquaires, un dépôt vente et un troc ont conclu un accord commercial avec Hexa débarras. Cela permettra de valider des débouchés financiers intéressants pour nos clients, qui trouveront une possibilité de reprise pour chaque typologie de bien. Ainsi, les meubles ou bibelots de grande valeur seront pris en charge par les antiquaires. Les appareils électroménagers fonctionnels et assez récents, seront destinés au Troc. Enfin, les objets et bibelots atypiques seront confiés à des brocanteurs. En conclusion, il est possible d’affirmer que l’implantation de la société Hexa débarras à Evry, Versailles et Créteil, pour agir dans la couronne parisienne se fera en maintenant une qualité de service, et en accroissant, grâce à un effet volume, la capacité de l’entreprise à valoriser les biens qui lui sont confiés lors des débarras.
Il y a 5 ans et 284 jours

Grand Paris Express: un nouveau tunnelier arrive sur la ligne 15 Sud

Sur le chantier du lot T2B (Bry-Villiers-Champigny - Créteil l’Échat) de la ligne 15 Sud, les opérations d’assemblage du tunnelier 9 continuent.
Il y a 5 ans et 325 jours

Aby, le 1er tunnelier à densité variable du lot T2A sur la ligne 15 sud du Grand Paris Express

Sur la future ligne 15 sud du Grand Paris Express, cette machine s'est élancée pour un drive de 4.300m entre la Friche Arrighi, son puits de départ à Vitry sur Seine, et la gare de Villejuif Louis Aragon, où elle sortira de terre. Sa sœur jumelle, Marina, arrivera bientôt sur site pour son montage avant de s'élancer à son tour pour un drive de 2650m entre la Friche Arrighi et son puits de sortie, la gare de Créteil l'Echât.
Il y a 6 ans et 19 jours

50 % des projets NPNRU validés

Entre mai 2018 et avril 2019, l’ANRU et ses partenaires ont validé la moitié des projets du Nouveau Programme National de Renouvellement Urbain (NPNRU), concernant 238 quartiers. 47 600 logements sociaux vont être démolis, 36 000 reconstruits et 64 200 réhabilités. L’ANRU a mis 5,7 milliards d’euros à disposition des collectivités et des bailleurs pour engager les chantiers. Ces concours financiers vont permettre la réalisation de projets estimés à plus de 19 milliards d’euros tous financeurs confondus. En avril 2019, l’ANRU et ses partenaires ont validé les projets des quartiers d’intérêt national des collectivités suivantes : – Le Mans Métropole (Allonnes), – Communauté d’Agglomération Villefranche Beaujolais Saône (Villefranche), – Grand Paris Sud Est Avenir (Créteil), – Grand Paris Seine Bièvre (Choisy), – Métropole du Grand Nancy (Nancy, Laxou), – Rouen Normandie Métropole (Cléon-Saint-Aubin-lès-Elbeuf, Rouen) – la Communauté d’Agglomération de la Porte-du-Hainaut (Denain).
Il y a 6 ans et 233 jours

Restauration à Vincennes de l'une des premières églises en béton armé de France

Une des premières églises de France en béton armé, Saint-Louis de Vincennes, dont les plans de construction datent de 1912 et qui est décorée de peintures murales du Nabi Maurice Denis, va être restaurée, selon une annonce du diocèse de Créteil.
Il y a 6 ans et 233 jours

Snøhetta réhabilitera le théâtre Nanterre-Amandier

Le projet pour le théâtre Nanterre-Amandier de l'équipe Snøhetta a été choisi par le conseil municipal de la Ville de Nanterre ce mardi 16 octobre. En juillet 2017, l'ensemble des partenaires ont lancé un dialogue compétitif pour la réhabilitation de ce Centre dramatique national dirigé par Philippe Quesne. Inauguré pendant l'essor des grands théâtres de banlieue (Créteil, Bobigny..), Nanterre-Amandier a successivement été dirigé par de grands metteurs en scène comme Patrick...
Il y a 6 ans et 239 jours

Restauration d'une des premières églises en béton armé de France à Vincennes

PATRIMOINE. Le diocèse de Créteil a annoncé le mercredi 10 octobre 2018 la restauration future d'une des premières églises en béton armé de France, Saint-Louis de Vincennes, dont les plans de construction datent de 1912.
Il y a 6 ans et 262 jours

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur... La construction des gares à grande profondeur

La Société du Grand Paris vous emmène sur le chantier de la future gare Saint-Maur " Créteil, gare la plus profonde du Grand Paris Express, et au sein du cabinet d'architecture Dominique Perrault pour la gare Villejuif Institut Gustave-Roussy. Pourquoi la Société du Grand Paris prévoit de construire des gares si profondes ? C'est ce que nous vous proposons de découvrir dans ce reportage !
Il y a 6 ans et 341 jours

C'est quoi ce chantier ? Créteil l'Échat

Un quartier de gare en mutation, une gare en construction : direction Créteil l'Échat , sur la ligne 15 Sud du Grand Paris Express.
Il y a 7 ans et 231 jours

Saint-Maur Créteil sera la gare la plus profonde du réseau du Grand Paris

GARE EN PROFONDEUR. Suite de la série sur les gares du Grand Paris Express avec Saint-Maur Créteil (Val-de-Marne) qui s'implantera sur la ligne 15 Sud. Pour la gare la plus profonde du réseau, une batterie de 11 ascenseurs sera installée autour d'un puits de descente de 51 mètres de haut, lui-même habillé d'un escalier architectural.
Il y a 7 ans et 238 jours

Événement : Journées Nationales de l'Architecture

Inaugurée aujourd'hui à Orléans (45) par Françoise Nyssen, ministre de la Culture " ouvrant par la même occasion la première Biennale d'architecture de la ville ", la seconde édition des Journées Nationales de l'Architecture propose durant trois jours de nombreuses manifestations aussi bien destinées à un public aguerri qu'aux simples curieux. " L'architecture est une part essentielle de notre culture, à la fois comme élément de mémoire, déterminant du présent, et clé de notre devenir. " Telle est la définition de la discipline offerte par le ministère de la Culture. Un positionnement confirmant à la fois son rôle patrimonial mais surtout sa fonction de faiseur d'Histoire et d'avenir. Loin d'être uniquement destiné à un cercle d'initiés, le domaine touche chacun d'entre nous en tant qu'habitant, travailleur, utilisateur de l'espace public, etc. Une ouverture que souhaite ancrer le gouvernement en lançant, pour la deuxième année consécutive, les Journées Nationales de l'Architecture, calquées sur le même procédé que les Journées du Patrimoine : à la fois pédagogiques et festives. Au programme ? Plus de 1 400 événements répartis sur l'ensemble du territoire. Ce week-end, pas le temps de s'ennuyer. Conférences, débats ou échanges entre architectes au Palais de Chaillot, à Paris (16e) animeront le corps de la profession alors que des formats plus ludiques attendent les néophytes. Les CAUE " Conseil d'Architecture, d'Urbanisme et de l'Environnement " d'Île-de-France organisent par exemple les " 20 Voyages d'Architecture " qui proposent des parcours atypiques tels qu'une croisière allant de Choisy-le-Roi (94) aux Quais d'Austerlitz (13e), tout en appréhendant d'un nouvel "il le paysage urbain de la région ; ou encore une excursion à vélo ayant pour fil conducteur les édifices sportifs. S'il y en a pour tous les goûts, les plus jeunes n'ont pas été oubliés non plus ! Au sein du Couvent des Récollets (10e) " où se trouve la Maison de l'Architecture d'Île-de-France ", un atelier de Kapla® les initie par exemple au plaisir de de construire, tandis qu'à la Maison La Roche, chez Le Corbusier (16e), les enfants âgés de 8 à 12 ans pourront s'essayer à l'écriture par la rédaction d'un texte traitant de l'habitation du célèbre architecte. Un événement essentiel dans la compréhension des liens qu'entretient l'architecture avec une nation, une population et une Histoire. Journées Nationales de l'Architecture, jusqu'au 15 septembre, dans toute la France. Pour en savoir plus, visitez le site des Journées de l'Architecture Photographies : 1) Cathédrale de Créteil (94) © Luc Boegly2) Lab City © Philippe Ruault3) DR Palais Chaillot " Cité de l'Architecture et du Patrimoine4) Piscine de la Butte aux Cailles © TNA Architectes5) La Défense6) DR Fondation Le Corbusier7) Les Turbulences FRAC Centre Jakob MacFarlande © N Bordel Photo8) Université des Chênes, Cergy (95) © J.M Monthier9) Station F (13e) © Patrick Tourneboeuf10 ) DR Fondation Le Corbusier
Il y a 7 ans et 260 jours

Le Comité d'entreprise de Bricorama veut suspendre la cession de l'enseigne au groupe Les Mousquetaires

C'est en juillet dernier que le projet de cession de Bricorama au groupe Les Mousquetaires (Intermarché) a été annoncé. Un projet que le Comité d'entreprise de Bricorama veut suspendre pour cause de refus de communication d'informations précises. Il a déposé un recours en référé  au Tribunal de grande instance de Créteil.
Il y a 8 ans et 2 jours

Le bois gagne toute la construction

Dans l'immense entrepôt, un océan de bois blond. Soulevées par des treuils, ces poutres qui dansent soutiendront bientôt des immeubles de plus en plus hauts et d'ambitieuses constructions telles que la Cité du Vin de Bordeaux ou la cathédrale de Créteil.
Il y a 8 ans et 13 jours

Hôpital universitaire Henri-Mondor : un nouveau plateau médico-chirurgical signé Rabot Dutilleul Construction

Spécialiste de l'aménagement et de la construction, le groupe français Rabot Dutilleul a été choisi par l'Assistance publique " hôpitaux de Paris (AP-HP) pour réaliser un nouveau bâtiment relié à l'hôpital universitaire Henri Mondor, à Créteil. Censé accueillir un bloc opératoire, un service de réanimation et des espaces de soins critiques, ce projet s'inscrit dans le cadre du Campus Mondor 2020, qui " vise à améliorer l'offre de soins ".
Il y a 8 ans et 30 jours

Travail dissimilé : prison ferme pour le patron d'une entreprise du BTP

Le Tribunal de Créteil a condamné un entrepreneur du BTP à 30 mois de prison ferme, 50.000 euros d'amende et une interdiction à vie de gérer une entreprise, pour travail dissimilé. Sur les 181 personnes travaillant pour son entreprise, seules 10 étaient déclarées. Précisions.
Il y a 8 ans et 49 jours

Grand Paris Express : Saint-Maur ne voit pas d'un bon oeil l'attribution du tronçon Bry-Champigny-Saint-Maur-Créteil à Eiffage

En contentieux depuis 2011 avec Eiffage Travaux Publics concernant l'ouverture d'une usine d'enrobé sur le port de Bonneuil, la ville de Saint-Maur a exprimé dans un communiqué ses doutes sur les conditions d'exécution par le groupe du marché de travaux du futur tronçon de la ligne 15 sud du Grand Paris Express. La Ville pointe notamment l'insuffisance des garanties apportées quant aux conséquences du chantier sur l'environnement et la santé des habitants.
Il y a 8 ans et 111 jours

Travail détaché illégal : prison avec sursis pour deux dirigeants franciliens

Le tribunal correctionnel de Créteil vient de condamner deux dirigeants d'entreprise à plusieurs mois de prison et plusieurs milliers d'euros d'amende dans une affaire de travail dissimulé sur un chantier à Viroflay (Yvelines). Précisions.
Il y a 8 ans et 111 jours

Fraude au salarié détaché : amende et prison avec sursis pour deux dirigeants d'entreprise

L'inspection du travail des Yvelines avait révélé l'emploi irrégulier de deux ouvriers sur un chantier. Le tribunal de Créteil a également interdit aux deux prévenus de diriger une entreprise pendant 5 ans.
Il y a 8 ans et 111 jours

Travail détaché: prison avec sursis pour deux dirigeants d'entreprise

Lors de la visite d'un chantier de construction à Viroflay, deux inspecteurs du travail des Yvelines ont relevé l'emploi irrégulier de deux ouvriers. Ce vendredi, la préfecture de la région Ile-de-France a annoncé que, dans cette affaire de fraude au travailleur détaché, deux entreprises avaient été sanctionnées par le tribunal correctionnel de Créteil. Verdict : plusieurs mois de prison avec sursis, des milliers d'euros d'amende et une interdiction d'exercer.
Il y a 8 ans et 120 jours

Qualité de l'air intérieur : résultats de recherche de PRIMEQUAL

Mannequins thermiques mis en place dans le laboratoire Asteria à échelle 1 sur le site de Marne-la-Vallée du CSTB. Ils reproduisent la chaleur émise par des corps humains, qui impacte l'aéraulique de la pièce. Ces mannequins sont un élément du dispositif expérimental mis en place pour étudier la diffusion de virus respiratoires, émis par une personne infectée dans un environnement intérieur. Assurer le renouvellement d'air de manière contrôlée et efficace dans les nouveaux bâtiments : un enjeu clé. La qualité de l'air intérieur est en effet impactée par la performance énergétique renforcée des bâtiments et aussi par l'usage de nouveaux matériaux dits intelligents ou actifs. Par ailleurs, la maîtrise des agents microbiologiques véhiculés dans l'air intérieur, reste une priorité de santé publique. La compréhension et la gestion de ces enjeux sont aujourd'hui éclairées par la recherche. Découvrez les résultats du programme partenarial PRIMEQUAL, dédié à une meilleure qualité de l'air dans les environnements intérieurs. Fruit de 4 années de travaux, il a été mis en "uvre par le ministère de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer et l'ADEME. Le CSTB préside le conseil scientifique du programme PRIMEQUAL. Le programme de recherche PRIMEQUAL vise à fournir les bases scientifiques et les outils nécessaires aux décideurs et aux gestionnaires de l'environnement pour surveiller et améliorer la qualité de l'air intérieur et extérieur. Il s'agit par-là de réduire les risques pour la santé et l'environnement. PRIMEQUAL vient de publier les résultats de 8 projets R&D dédiés aux " Nouveaux bâtiments et matériaux, expositions multiples, agents biologiques ", dont 4, présentés ci-après, sont portés par le CSTB. IMP-AIR : " Impact des matériaux photocatalytiques sur la qualité de l'air des environnements intérieurs " (CSTB, CEA) Le marché voit se développer des matériaux nano-additivés dont une grande partie revendique une action dépolluante de l'air. Le projet IMP-AIR a étudié l'efficacité, l'innocuité et la pérennité de plusieurs matériaux photocatalytiques soumis à différentes conditions de vieillissement : des céramiques, des peintures, des enduits et des lasures. Le projet a apporté des connaissances nouvelles sur l'impact de ces matériaux sur la qualité de l'air intérieur. Cela concerne notamment les sous-produits réactionnels formés en présence d'une pollution chimique représentative des environnements intérieurs, et le relargage de (nano)particules lors de sollicitations mécaniques. TRIBU : " Suivi dynamique en temps réel de la qualité de l'air intérieur dans un environnement de bureaux " (CSTB, Université Paris-Est Créteil Val de Marne " CERTES) Avec l'essor du bâtiment numérique et l'arrivée de capteurs et d'objets connectés, de nombreuses données permettront de mieux comprendre et gérer la qualité de l'air intérieur. L'instrumentation d'un espace de bureau de 2012 à 2015 a permis d'analyser la dynamique d'évolution des polluants, et de mettre en évidence le rôle majeur de la présence des occupants et de leur activité sur la qualité de l'air. Le projet TRIBU s'est appuyé sur une méthodologie d'exploitation innovante des données grâce à un panel d'outils statistiques et à la modélisation numérique. Il a ainsi analysé les fluctuations de polluants pour mieux les comprendre et prévoir leurs effets sur la qualité de l'air. VIROSES : " Étude des déterminants environnementaux de l'exposition virale : application à la surveillance et à la gestion des viroses respiratoires dans une salle de classe " (CSTB, Université Paris-Est Créteil Val de Marne " CERTES, Institut universitaire de Cardiologie et de Pneumologie de Québec, Canada) Les infections causées par des virus respiratoires représentent près de 80 % des infections contractées dans les espaces clos, pouvant provoquer des décès chez les personnes contaminées. Le projet VIROSES s'est penché sur l'étude de l'exposition des occupants aux virus respiratoires et la recherche de solutions pour réduire les risques de contamination. Pour cela, une approche comprenant des expérimentations en laboratoire, à échelle 1 et dans une salle de classe occupée en période d'épidémie de grippe, a été développée pour mieux comprendre le comportement de virus issus d'émissions oropharyngées dans un espace clos. Les chercheurs ont notamment montré la possibilité de réduire la contamination virale en agissant sur l'hygrométrie, ou bien encore, sur la nature des matériaux des surfaces en présence. MYCOTOX : " Moisissures dans les environnements intérieurs : problématique des mycotoxicoses respiratoires " (CSTB, UMR INRA/INPTI331 " Toxalim) Les mycotoxines sont des métabolites secondaires produits par des moisissures au cours de leur développement. La présence fréquente d'espèces toxinogènes (i.e. qui produisent des mycotoxines) dans les habitations présentant un développement fongique visible, pose la question de l'éventuelle exposition des occupants à ces composés toxiques par contact ou par inhalation après aérosolisation. Ce projet avait pour objectif de caractériser la toxinogénèse de trois espèces fongiques contaminant fréquemment les habitats lors de leur développement sur différents matériaux d'aménagement intérieur. Et ce, pour proposer deux outils de surveillance et de mesure de l'exposition. Parmi les supports considérés, le papier peint s'est révélé être le plus favorable à la croissance fongique et à la synthèse de mycotoxines des trois espèces étudiées. La caractérisation des mycotoxines en aérosols a mis en évidence que ces substances toxiques pouvaient se retrouver dans l'air et être inhalées par les occupants des environnements infestés. Ces données ont été mises à profit pour proposer une méthodologie de mesure de l'exposition des individus à ces bioaérosols potentiellement délétères. En savoir plus : Plaquette PRIMEQUAL 2016 Synthèse des résultats du programme PRIMEQUAL 2016 Expertise Qualité de l'air intérieur du CSTB Contact : a.jolibois@cstb.fr À propos : PRIMEQUAL www.primequal.frProgramme de recherche inter-organismes sur la qualité de l'air mis en "uvre par le ministère de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer (MEEM) et par l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME). Il vise à fournir les bases scientifiques et les outils nécessaires aux décideurs et aux gestionnaires de l'environnement pour surveiller et améliorer la qualité de l'air intérieur et extérieur afin de réduire les risques pour la santé et l'environnement. Il présente la particularité de réunir plusieurs disciplines scientifiques concernées par la pollution de l'air et ses impacts : sciences physiques (métrologie, chimie, aéraulique, météorologie), sciences de la vie (biologie, toxicologie, épidémiologie, écologie), mathématiques (modélisation, statistique) et sciences sociales (économie, sociologie, psychologie de l'environnement, etc.).Conseil scientifique présidé par Séverine Kirchner, directrice Santé-Confort, CSTBAnimation scientifique assurée par l'INERIS. Bioaérosol : agent biologique véhiculé par l'air, provenant d'un organisme vivant, animal ou végétal
Il y a 8 ans et 122 jours

Grand Paris : la SADE réalisera 5 ouvrages sur la ligne 15 Sud

Pour le compte de la Société du Grand Paris et dans le cadre du groupement Horizon Grand Paris conduit par Bouygues Construction, la SADE interviendra sur le lot T2A relatifs aux travaux de génie civil entre les gares de Villejuif Louis Aragon et de Créteil L'Echat.