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Il y a 3 ans et 346 jours

L'effondrement d'un immeuble en Floride fait au moins 4 morts et 159 disparus

Au moins quatre personnes ont trouvé la mort dans cette catastrophe pour l'heure inexpliquée, survenue aux premières heures de jeudi.En tout "120 personnes ont été localisées (...) mais le nombre de personnes dont nous sommes sans nouvelles est monté à 159", a déclaré dans une conférence de presse Daniella Levine Cava, la maire du comté de Miami-Dade."Nous confirmons une hausse du bilan des morts qui est désormais de quatre", a-t-elle ajouté tout en assurant que les recherches des décombres se poursuivaient car les autorités ont "encore un espoir de retrouver des personnes vivantes".Pompiers et unités cynophiles s'activent ainsi toujours dans les ruines de cet immeuble situé au sein du complexe Champlain Towers South dans la ville de Surfside au sud-est des Etats-Unis. Des bruits ont été entendus émanant des gravats, sans que les sauveteurs soient sûrs qu'ils étaient d'origine humaine.Le président Joe Biden a déclaré l'état d'urgence vendredi afin de fournir une assistance fédérale pour les opérations de secours et de relogement d'urgence des rescapés.Selon le sénateur républicain de Floride Marco Rubio, "presque un tiers des disparus (...) sont étrangers". "Nous travaillons avec les consulats de divers pays en Amérique latine pour aider les membres des familles des victimes qui ont besoin de venir aux Etats-Unis à obtenir des visas", a-t-il tweeté jeudi.Parmi les disparus figurent neuf Argentins, trois Uruguayens et six Paraguayens. La soeur de la Première dame du Paraguay, Silvana Lopez Moreira, et sa famille sont concernés, a confirmé le ministre paraguayen des Affaires étrangères, Euclides Acevedo.Les douze étages se sont écroulés vers 01H30 du matin (05H30 GMT), dégageant selon des témoins un grand nuage de poussière sur plusieurs pâtés de maisons."J'étais dans un sommeil profond, et j'ai entendu un grand fracas, que j'ai pris pour un crash et de la foudre. Mais ça a continué, pendant 15-20 minutes je dirais", a témoigné Barry Cohen, 63 ans, un habitant de l'immeuble effondré.Nicolas Fernandez, un Argentin vivant à Miami, a rapporté à l'AFP que des amis de sa famille logeaient dans le complexe. "Je n'ai pas de nouvelles d'eux. Je ne sais pas s'ils sont vivants ou si...", a balbutié le jeune homme de 29 ans.Une opération de secours dangereuseLes opérations de secours ont continué sans relâche durant la nuit de jeudi à vendredi, et ce malgré une tempête qui s'est déclenchée vers 22H00 locales charriant de fortes pluies.Les secouristes "sont extrêmement motivés par la perspective de retrouver des gens. Il nous faut les obliger à effectuer leurs rotations, cela montre combien leur motivation est forte", a insisté la maire Daniella Levine Cava."Les opérations sont effectuées avec un très fort risque pour ces individus. Des débris leur tombent dessus alors qu'ils font leur travail", a-t-elle précisé.L'effondrement de toute une aile de ce complexe donnant sur l'océan a touché environ 55 appartements. Surfside accueille une importante communauté juive et des rabbins ont été mobilisés pour apporter du soutien aux résidents juifs évacués et à leurs proches.La ville nichée au nord de Miami Beach compte près de 2.500 habitants juifs pour une population de 6.000, rapportait en 2018 l'agence de presse juive Jewish Telegraphic Agency.En plus de "chambres d'hôtel", les résidents évacués reçoivent par ailleurs "des médicaments, couvertures et vêtements" après avoir été évacués au milieu de la nuit, a précisé Mme Levine Cava.Les causes de l'écroulement de ce complexe résidentiel étaient toujours inconnues.Des travaux visant à le mettre aux normes étaient en cours, notamment sur le toit de l'immeuble, ont précisé plusieurs responsables, estimant néanmoins peu probable qu'ils soient la cause de l'effondrement.Les recherches pourraient durer "au moins une semaine", a estimé jeudi Andrew Hyatt, un autre responsable de Surfside.Des médias locaux ont rapporté que l'immeuble avait été construit en 1981 et comprenait plus de 130 appartements.
Il y a 4 ans et 41 jours

En Libye, la médina de Tripoli veut retrouver son lustre d'avant-Kadhafi

Poussant leurs brouettes, une poignée d'ouvriers charrie sable, ciment et gravats pendant que d'autres creusent et martèlent, dos courbé ou à genoux. Le bruit des marteaux-piqueurs cesse quand retentit l'appel à la prière de la myriade de mosquées de la médina.Ces travaux interviennent au moment où la Libye connaît une embellie politique avec la désignation d'un gouvernement chargé d'unifier les institutions et d'organiser des élections nationales en décembre, après une décennie de conflit.Les travaux, initiés fin 2020, visent à "préserver le patrimoine et l'histoire de la vieille ville", un "joyau architectural", souligne Mahmoud al-Naas, directeur du comité de gestion de la médina, qui s'étend sur une cinquantaine d'hectares.L'"énorme" chantier, dont on ne sait encore quand il finira, s'accompagne d'une "lourde responsabilité", assure le directeur du comité, financé par le gouvernement."Il n'y a plus un parpaing qui entre sans la supervision du comité" car, contrairement aux travaux passés, ceux en cours bannissent des matériaux comme le ciment ou le béton et privilégient les matériaux traditionnels comme le basalte pour paver les rues."Âme"Fondée par les Phéniciens au VIIe siècle avant J.-C., la médina de Tripoli a connu l'influence de plusieurs civilisations (romaine, grecque, ottomane), chacune laissant son empreinte architecturale.Mais, à partir des années 1970, sous Kadhafi, la médina perd de son âme lorsqu'elle est vidée de ses illustres familles par le dictateur, déterminé à détruire leur statut social. Ces habitants s'installent extramuros.Et quand Kadhafi décide de s'en prendre au secteur privé --confisquant habitations et boutiques, et imposant une gestion étatique de certaines institutions--, nombre de magasins et ateliers d'artisans baissent le rideau. La médina tombe alors en ruines."Il y a tant de métiers perdus", déplore le hajj Mokhtar, un vieux commerçant à la barbe blanche. Spécialisé dans les tenues traditionnelles masculines, il regrette que certaines pièces soient aujourd'hui importées de l'étranger.Pour Mohamad al-Ghariani, un artiste peintre de 76 ans propriétaire d'une galerie d'art dans la médina, les travaux "ressuscitent l'âme de la ville telle que nous l'avons connue enfants"."La restauration progresse de quartier en quartier, un monument à la fois comme pour Dar Crista", bâtiment du nom d'un artiste de la vieille ville, dont la restauration doit durer cinq mois.Témoin de la diversité culturelle de Tripoli, Dar Crista, dont une partie héberge toujours l'église gréco-orthodoxe Saint-Georges, a été construit en 1664 par Osmane Pacha, descendant de la dynastie ottomane des Qaramanli, pour servir de prison pour les captifs chrétiens.Au fil des années, seules les parties de l'est de la ville, où se situent la citadelle, convertie en musée, et les marchés de l'or et de la soie ont résisté aux outrages du temps. Là, sous les allées couvertes ou les arcades bordant les boutiques, des clients font leurs emplettes.Et puis il y a le plus célèbre des arrières-plan des photos-souvenir: l'Arc romain de Marc Aurèle, près de l'entrée nord-est de la médina, ses dattiers et le minaret de la mosquée Gurgi."Communauté"Des coins délaissés de la ville, décharges à ciel ouvert, sont devenus d'immenses chantiers supervisés par des architectes, historiens, artisans et artistes. "L'avis et l'expertise de tous comptent", estime al-Mahdi Abdallah, un habitant.Laissés à l'abandon, de nombreux bâtiments étaient squattés et se sont transformés en constructions anarchiques, voire en ruines.Par endroits, les murs de vieux bâtiments qui attendent d'être rafraichis sont supportés par des poutres en bois traversant les ruelles exiguës.Le front de mer, au nord de la médina, a lui désormais des trottoirs et une route goudronnée. Plus de stationnement anarchique ou de nids-de-poule qui transforment la rue en une allée boueuse les jours de pluie.Dans sa boutique de matériel de pêche et de plongée, Mohamad Nasser se réjouit: "La médina nous revient. Il était temps!"
Il y a 4 ans et 99 jours

Barrage Hoover : Une superstructure dans le désert

Le barrage Hoover en février 1934. On remarque les différentes sections qui s’élèvent indépendamment les unes des autres. [©DR] D’interminables négociations entre Etats commencèrent dans les années 1920 pour aboutir finalement au début des travaux du barrage Hoover en mars 1931. Avec 6 mois d’avance, grâce au président Herbert Clark Hoover. Qui donnera plus tard son nom au barrage. La construction du barrage employa plus de 5 251 hommes (112 morts). Dans la situation géographique difficile du désert de Mojave, à 50 km au Sud-Est de Las Vegas, à la frontière du Nevada et de l’Arizona. Boulder city, la nouvelle ville ouvrière du chantier, y fut construite.  3,4 Mm3 de béton Défi technologique, le barrage Hoover repoussa les limites de l’ingénierie. Il régula les crues dévastatrices du Colorado. Et maîtrisa la puissance du fleuve, en produisant de l’électricité pour des milliers de foyers. Il créa un “bouchon” entre les parois de 244 m du Black Canyon, retenant les eaux du fleuve. D’une hauteur de 221 m sur 220 m d’épaisseur à sa base, il nécessita 3,4 Mm3 de béton. Le béton n’avait jamais été utilisé dans de telles quantités. Qu’aux dires de certains, elles auraient permis de réaliser une autoroute à deux voies reliant San Francisco à New York ! Frank Crowe, ingénieur en chef du projet (à droite) releva le défi en pleine crise économique et soutint un rythme de forçats. [©Bureau of Reclamation] Frank Crowe, ingénieur en chef du projet, releva le défi en pleine crise économique. Il soutint un rythme de forçats. Car les délais ne devaient pas excéder 7 ans, avec 3 000 $ de pénalités par jour de retard. En avril 1931, afin d’établir une zone sèche pour le barrage, les travaux commencèrent par la création de 4 tunnels de 17 m de diamètre et 1 219 m de longueur. Pour une déviation provisoire du Colorado. Les tunnels devaient supporter un débit de 850 m3/s. Un mois plus tard, le chantier tournait 24 h/24, 7 j/7. A ces conditions infernales, s’ajouta un été 1931 caniculaire. Proche de 50 °C, avec 60 °C dans les tunnels, il y eut 15 décès. Dans le même temps, les cordistes (high scalers) travaillaient avec de la dynamite et des marteaux-piqueurs au nettoyage des blocs de rochers instables sur les parois du canyon. En tout, 1,15 Mm³ de gravats furent retirés. Deux batardeaux de furent montés sur 29 m de haut et 230 m. De base pour un volume de 500 000 m3 bloquant le cours du Colorado, l’obligeant à s’écouler dans les dérivations provisoires. Cette première phase fut terminée en 18 mois, soit 10 mois d’avance sur le planning. Un ouvrage colossal La construction du barrage proprement dite commença en novembre 1932. Ce dernier de type poids/voûte s’appuie sur 2 principes architecturaux. Le poids du béton enfonce la structure dans le sol. Et son dessin en arc dévie la pression de l’eau vers les parois du canyon. Deux centrales à béton furent construites pour acheminer le béton. Frank Crowe opta pour une structure en colonnes trapézoïdales. Imbriquées et rainurées verticalement pour la précision des assemblages, de 1,50 m de hauteur. Avec des largeurs et profondeurs adaptées et traversées par des canalisations réfrigérées pour une cure plus rapide. Le barrage Hoover est la structure artificielle la plus colossale de son époque. Sa mise en eau créa le lac Mead. [©Bureau of Reclamation] On injecta ensuite du mortier dans les interstices. Un réseau de câbles aériens transportait les bennes à béton. Descendant auprès des équipes qui coulaient jusqu’à 8 000 m3/j de béton. En 1934, tout était coulé, le barrage allait-il tenir face aux tumultes du Colorado ? Il fallut encore 12 ans de travaux plus ou moins “secrets” pour réellement terminer l’ouvrage. A la structure du barrage s’ajouta sa décoration. L’architecte Gordon Kaufmann redessina les extérieurs dans un style Art déco. L’artiste de Denver Allen Tupper True fut chargé de concevoir le design. Et la décoration des murs et des sols, assisté du National Laboratory of Anthropology. Il incorpora des motifs amérindiens de la région. Puis, le sculpteur Oskar J.W. Hansen réalisa plusieurs œuvres. Tous ces éléments concoururent à faire du barrage Hoover un important site touristique des Etats-Unis. Pour preuve, le lieu accueille près de 1 M de touristes par an. Extraordinaire promontoire  Située au pied du barrage, côté aval, la centrale électrique assure une production moyenne annuelle de 4 200 GWh. [@ACPresse]Cette vue en amont du barrage montre le faible niveau du réservoir d’eau, qui a perdu plusieurs dizaines de mètres au fil des ans… [@ACPresse] Vue sur le barrage depuis l’Arizona, montrant les tours d’entrée d’eau destinées à alimenter les turbines de production d’électricité. [@ACPresse] Par rapport au lit du Colorado, le barrage Hoover présente une hauteur de 221,40 m, pour une épaisseur à sa base de 200 m. [@ACPresse]De type voûte, le barrage Hoover se développe sur une longueur de 379 m en son sommet. A ce niveau, il n’a plus qu’une épaisseur de 14 m. [@ACPresse]La construction du barrage Hoover a nécessité quatre ans de travaux, entre 1931 et 1935. [@ACPresse]Le fleuve Colorado marque la frontière entre le Nevada et l’Arizona. Mais aussi la limite entre deux fuseaux horaires. En été, c’est la même heure des deux côtés. Mais en hiver, il y a une heure de différence. [@ACPresse]Le Côté Est du barrage Hoover est en Arizona, comme le rapporte l’horloge qui indique aussi le fuseau horaire. [@ACPresse]Le viaduc Mike O’Callaghan – Pat Tillman Memorial Bridge se développe sur une longueur de 579 m et surplombe le fleuve Colorado de près de 275 m. [@ACPresse] Avec la mise en service du viaduc Mike O’Callaghan – Pat Tillman Memorial Bridge, sur l’Interstate 11, reliant Las Vegas (Nevada) à Phoenix (Arizona), la petite route franchissant le barrage Hoover a perdu son statut d’axe stratégique… Et, en toute logique, s’est transformée en un simple chemin touristique. De quoi continuer à s’approcher au plus près du barrage.  L’autre possibilité d’admirer l’ouvrage d’art est de profiter du cheminement piétonnier aménagé sur le viaduc surplombant le fleuve Colorado de plus de 275 m ! La vue est ainsi imprenable et vertigineuse depuis cet extraordinaire promontoire.  Durant l’escapade, il est bon de prévoir une bonne gourde d’eau. Car, sur l’ouvrage, en été, les températures avoisinent tranquillement les 40 °C… Mais le jeu en vaut la chandelle.  Muriel Carbonnet
Il y a 4 ans et 117 jours

Quel aspirateur choisir pour la poussière de chantier de rénovation ?

Accessoire quasi omniprésent dans les foyers occidentaux, l’aspirateur est toujours utile et s’avère être un compagnon très efficace pour nettoyer les surfaces extérieures et intérieures, ou même les textiles de la voiture. Si les modèles ordinaires, avec centrale ou en balai, avec ou sans sac, conviennent pour le ménage au quotidien, ils se montreront moins persuasifs pour aspirer les restes d’un chantier de rénovation. Si la plupart des gros débris se ramassent assez facilement, la poussière, elle, s’immisce partout et se montre tenace quand il s’agit de s’en débarrasser. La poussière, un danger invisible Qu’ils soient petits ou grands, les travaux dans la maison, que l’on perce, casse, ponce, scie, génèrent énormément de poussière. Et le nettoyage d’un chantier peut vite devenir un calvaire si vous n’êtes pas bien équipés. Heureusement, le monde est bien fait, peuplé de ses très nombreux ingénieurs, et il existe aujourd’hui de très nombreux aspirateurs dédiés à tous les types de déchets que peuvent générer des travaux : cendres, eau, gravats, plâtre, sciure… Mais c’est bel et bien la poussière qui nous intéresse aujourd’hui, car c’est souvent le résidu le plus difficile à faire disparaitre tant il est petit. Présente dans l’air et surtout sur les surfaces, la poussière peut irriter les poumons, voire pire, causer de graves lésions pulmonaires lorsqu’elle est présente en trop grande quantité. Identifier ses besoins Quoi qu’il arrive, il vaut mieux ôter un maximum de poussière avec une balayette et une pelle à main avant d’utiliser un aspirateur pour le faire durer le plus longtemps. Les particules de plâtre peuvent être si fines qu’elles abrègent la vie de tout engin aussi performant soit-il. Une heure de ponçage peut générer jusqu’à 3 kg de poussière ! Alors, pour s’en débarrasser efficacement au fur et à mesure d’un chantier de rénovation, mieux vaut s’équiper d’un aspirateur à poussière. Plus robuste et plus puissant que les modèles classiques, tel que le Rowenta Power XXL,  il devient vite indispensable pour nettoyer efficacement tous les résidus de travaux. Il en existe de nombreux modèles avec des caractéristiques assez différentes. Il convient donc dirae se pencher sur vos besoins ainsi que les critères les plus importants qui entreront en compte lors du choix de votre aspirateur. Quelle puissance me convient ? L’une des premières caractéristiques évidentes est sans nul doute la puissance de votre matériel. Celle-ci est déterminée par la consommation d’énergie, exprimée en Watts, et par la dépression, c’est-à-dire sa force d’absorption, exprimée en kPa (kilopascal). Plus votre aspirateur sera puissant, plus vite il nettoiera les surfaces sales. La consommation d’énergie peut aller de 1000 à 1800 Watts. La force d’absorption, elle, s’échelonne de 12 à 27 kPa. On peut distinguer trois situations différentes qui détermineront la puissance dont vous avez besoin : les petits travaux occasionnels, les travaux de bricolage réguliers (chaque week-end, par exemple), et les gros chantiers qui nécessitent un nettoyage à effectuer en permanence. Dans le premier cas, une puissance de 1 000 à 1 200 Watts et une capacité d’aspiration peut être limitée à environ 15 kPa suffiront. Pour des travaux hebdomadaires, mieux vaut tabler sur une puissance de 1400 Watts, couplée à une dépression d’au moins 19 kPa. Enfin, pour les gros chantiers, il faut pas hésiter à s’orienter vers des appareils puissants avec une consommation énergétique comprise entre 1600 et 1800 Watts, et dont la capacité d’absorption sera maximale (entre 23 et 27 kPa). Pas besoin d’une grosse capacité de cuve Selon le type de chantiers que vous avez, encore une fois, il vous faudra tenir compte de la capacité de la cuve, c’est-à-dire, la quantité maximale de débris que l’aspirateur peut ingurgiter. Elle peut être en plastique, plus léger mais moins résistant, ou en inox, plus lourd mais plus robuste. Néanmoins, dans le cas d’un seul aspirateur à poussières, il convient de ne pas s’encombrer avec une grosse cuve. En effet, la poussière ne prenant pas beaucoup de place, il suffit simplement d’une cuve d’une contenance d’environ 4 à 10 litres, comme le modèle SE 4001 de chez Kärcher. Petit, compact et surtout puissant, il peut représenter un compagnon efficace pour vos tâches de nettoyage. Pour aspirer la poussière, il est aussi indispensable d’utiliser un sac. Il en existe en carton, moins cher, mais moins efficaces que ceux en tissus, qui sont plus résistants aux déchirements et qui vont mieux filtrer les particules. Pensez justement à la taille et à la qualité du filtre lors de votre achat, car la surface filtrante a pour fonction de retenir saletés et particules de poussière et donc de protéger votre matériel. Pensez à la maniabilité Sur le marché, les capacités peuvent grimper jusque’à plus de 20 litres. Mais la maniabilité d’un aspirateur plus lourd et plus gros devient alors moins pratique pour le transport. Le confort d’utilisation est d’ailleurs l’une des caractéristiques à prendre en compte dans l’achat d’un aspirateur à poussière pour vos chantiers de rénovation. La taille et le nombre des roulettes peuvent par exemple entrer en compte dans la maniabilité. En effet, la centrale doit pouvoir rouler sans trop s’encombrer dans les éventuels obstacles, ni en collectant de la poussière dans les roulements. Aujourd’hui, il existe même des aspirateurs sans fil ressemblants à des balais. Comme le H.Koenig UPX18, par exemple, ils sont plus maniables mais moins puissants. Et ils n’ont, en général, pas la possibilité d’accueillir un sac dans leur cuve. Toutefois, ces aspirateurs-balais sont assez silencieux. Et le bruit émis par votre machine peut affecter le confort de travail. Alors pensez à regarder la puissance sonore, indiquée en décibel, au moment de votre choix d’aspirateur. Un bruit trop intense peut nuire à votre audition sur le long terme. Des petits accessoires pour se faciliter la tâche Aujourd’hui, la plupart des aspirateurs à poussière de chantier sont accompagnés, à l’achat, de multiples accessoires pouvant être utilisés dans de nombreuses situations. On peut notamment évoquer les suceurs, qui peuvent être à brosse, ou à fente, spécialement dédiés à la poussière. L’aspirateur peut être aussi équipé d’une soufflerie, qui, à l’instar d’un sèche-cheveux, dégage les poussières pour mieux les aspirer. Une prise synchro est également un accessoire intéressant si vous travailler beaucoup d’outillages. En effet, elle vous permet de connecter votre aspirateur à votre outil (une scie, une ponceuse…) pour récolter un maximum de poussières à la source. Enfin, une brosse rotative pourra aussi évacuer les poussières avant de les traiter.
Il y a 4 ans et 124 jours

Un sarcophage en plomb à Arras

Un sarcophage antique en plomb, mis au jour à l’occasion d’un diagnostic archéologique réalisé en juillet 2020 à Arras, a été ouvert mardi 19 janvier 2021 sous la surveillance d’un conservateur-restaurateur du métal du Centre de conservation et d’Étude (CCE) de Ribemont-sur-Ancre dans la Somme en présence de Luc Vallin et Laetitia Maggio, conservateurs du patrimoine au Service régional de l’archéologie (SRA) de la Drac Hauts-de-France. Le squelette est actuellement en cours de fouille et fera l’objet d’une étude anthropologique à la Direction de l’archéologie du Pas-de-Calais. Suite à la demande d’extension d’un supermarché rue Auphelle à Arras, le Service régional de l’archéologie de la Drac Hauts-de-France a prescrit un diagnostic archéologique afin de préciser le potentiel du terrain. A ce titre, seule une petite partie du terrain prévue pour l’aménagement a été ouverte, soit ici 6%. Une nécropole antique est partiellement connue dans ce secteur sud de la ville d’Arras par des attestations anciennes. Plusieurs sépultures ont déjà été mises au jour épisodiquement, depuis un siècle, au rythme de l’urbanisation du secteur. Par ailleurs, les nécropoles antiques sont traditionnellement installées en dehors des villes, or nous sommes en périphérie de Nemetacum, la ville d’Arras antique Le diagnostic a été réalisé par le service archéologique d’Arras, sous la responsabilité de Mathieu Béghin et sous le contrôle des services de l’État. Parmi les 43 sépultures à inhumation antiques repérées, seules quelques-unes ont été intégralement fouillées dont une contenait un sarcophage en plomb d’un poids de 400 kg. Une découverte rare dans le Pas-de-Calais, en effet 3 sarcophages en plomb ont été découverts antérieurement à Arras sans être conservés après leur découverte. A Amiens, une trentaine de sarcophages en plomb ont déjà été mis au jour et plusieurs autres dizaines dans le reste de la Gaule, en particulier dans les grandes villes antiques. Daté du IVe siècle après J.-C. (Bas-Empire romain), ce sarcophage en plomb témoigne du statut privilégié du défunt, car si le matériau est peu onéreux, la mise en forme et le décor sont plus coûteux. Les clous retrouvés autour du sarcophage prouvent que ce dernier était contenu dans un coffre en bois qui s’est décomposé avec le temps. Le poids des gravats en calcaire reposant sur le coffre après l’inhumation a donc porté à un moment uniquement sur le sarcophage en plomb, provoquant son affaissement et sa déformation. Ce type d’inhumation dans la région se rencontre uniquement entre la fin du IIe siècle et le IVe siècle ap. J.C. Le décor géométrique composé de 8 motifs de baguettes croisées par deux ou trois est assez courant sur les sarcophages en plomb de cette époque. Aucun matériel funéraire accompagnant le défunt n’a par ailleurs été retrouvé.   Photo : Laetitia Maggio – Drac Hauts-de-France  
Il y a 4 ans et 173 jours

Spie batignolles en 3ème position des entreprises du BTP les plus performantes en matière de RSE

Ce classement - qui concernait 2.000 entreprises de plus de 500 salariés - a été établi en interrogeant 5.000 personnes sur leur appréciation de la RSE dans ces entreprises et en analysant une vingtaine d’indicateurs clefs factuels.Spie batignolles y figure en 145ème position tout secteur confondu et en 3ème position des acteurs du BTP, avec la meilleure note sur le critère « Environnement ». Le résultat d’une politique RSE volontariste et ambitieuse, inscrite au cœur de son plan stratégique, dans laquelle Spie batignolles est engagé depuis plusieurs années.En matière d’environnement, l’économie circulaire est un des piliers de cette politique.Dans ce domaine, plusieurs actions sont menées de front : prise en compte dès l’amont de l’éco-conception en privilégiant les éco-matériaux, utilisation de matériaux recyclables et recyclés, mise en place du réemploi, amélioration du processus de valorisation des déchets ou de l’impact de la production sur le bilan carbone.83 % de taux de valorisation en 2019S’inscrire dans démarche d’économie circulaire est particulièrement essentiel pour les entreprises du BTP au regard de ce que représente chaque année le poids des déchets issus des chantiers. Le potentiel de transformation des déchets en ressources pour s’inscrire dans un cercle vertueux est immense. Il suppose l’engagement de toutes les parti-prenantes et la création de véritables filières de recyclage et de transformation.Devant cet enjeu de transition énergétique, l’Union Européenne a instauré une obligation de valorisation des déchets inertes et non dangereux issus du BTP. Un seuil minimum de valorisation de 70 % en 2020 est imposé aux producteurs et possesseurs de ces déchets.Spie batignolles dépasse ce seuil, avec un taux de valorisation à 83 % en 2019, et a naturellement la volonté d’aller encore plus loin.Sur le point particulier du réemploi, le très faible taux évalué à 1 % sur plus de 40 millions de déchets dénombrés sur les chantiers en France témoigne d’une problématique majeure : une grande majorité des déchets du BTP ne peut être réemployée ou réutilisée, d’où la difficulté pour les entreprises de s’inscrire efficacement dans une démarche d’économie circulaire.Il s’avère donc indispensable d’innover en matière d’éco-matériaux (matériaux biosourcés, géo-sourcés...), de plateformes de valorisation et de transformation des déchets.Des actions structurantes pour accélérerEn matière d’Economie Circulaire, qu’il s’agisse de réemploi, de réutilisation, de recyclage de matériaux ou encore de développement d’éco-matériaux, Spie batignolles s’engage dans des actions ambitieuses.« Club du Réemploi » – un partenariat multi-acteurs pour le réemploi des matériaux de chantierLe groupe Spie batignolles, par l’intermédiaire de son entité de promotion Spie batignolles immobilier, s’est associé à d’autres maîtres d’ouvrage dans un programme d’actions ambitieux et sans précédent concernant le réemploi des matériaux de chantier. Baptisé « Club du Réemploi », et comptant plusieurs dizaines d’entreprises, ce groupement a vocation à accélérer la transition vers une politique de réemploi bien plus prégnante. Dans cette perspective, ce Club s’est fixé comme objectif d’atteindre un taux de 15 à 20 % d’ici 2024.Une expérimentation de ce nouveau programme est actuellement menée sur 150 chantiers. Pour ce faire, les responsables de chantier s’appuient sur une plateforme digitale dédiée qui recense les produits adaptés au réemploi dans une logique de standardisation, ainsi que la mise à disposition de nombreuses plateformes de réutilisation de ces matériaux.Plateforme Valosphère – une plateforme d’optimisation des déblaisSpie batignolles malet, experte en infrastructures routières, s’est associée à Arc Environnement pour créer Valosphère en août 2019, une plateforme pour l’optimisation des déblais inertes des chantiers et le développement des écoproduits issus de ce retraitement. Sa conception est née dans le cadre du plan « La Rochelle territoire 0 carbone », lauréat en 2019 de l’appel à projet national Territoires d’innovation. La plateforme traite annuellement 25.000 tonnes de déchets (gravats, végétaux, ...), de leur recueil jusqu’à leur traitement et leur valorisation. Une fois recyclés, ils sont ensuite réintroduits dans des travaux routiers ou autres types de constructions. Valosphère mène également des travaux de recherche sur la partie éco-matériaux.Agreco +®: un béton bitumineux à l’émulsion écologiqueLe pôle Recherche & Développement de Spie batignolles malet a développé de nombreuses solutions d’infrastructures routières particulièrement innovantes, tels que le dispositif Lumiroute® ou encore Agreco +®, un béton bitumineux à l’émulsion composé de 100 % d’agrégats d’enrobés.Agreco+® permet d’utiliser les agrégats d’enrobés du chantier qui sont traités sur place ou à proximité du chantier à l’aide d’une centrale à froid hypermobile. Ce procédé permet de proposer une solution alternative au retraitement en place à l’émulsion. L’organisation d’un unique double fret suffit à approvisionner le chantier, limitant de fait les transports de matériaux.Des initiatives chantier qui se multiplientA l’échelle des chantiers, de nombreuses initiatives concourent elles aussi à valoriser efficacement les déchets.40.000 tonnes de matériaux ré-utilisés pour la construction d’un centre logistiqueLe centre de distribution BARJANE pour Biocoop construit par Spie batignolles immobilier et l’entité Bâtir France, qui répond aux exigences des certifications ISO 14001, HQE® niveau Excellent et BiodiverCity®, a été réalisé avec 43.000 tonnes de matériaux issus de la déconstruction d’une ancienne briqueterie, qui ont été concassés en vue d’être réutilisés dans la nouvelle construction. Ce choix a permis de réduire significativement l’empreinte écologique de ce chantier en évitant, d’une part, la consommation de matériaux d’apport, et d’autre part l’évacuation des gravats, économisant ainsi 150 tonnes équivalent CO².Réduction d’émissions carbone et de déchets grâce à un partenariat avec Cycle-UpL’entité Bâtir France, rattachée à Spie batignolles grand-ouest, a mené une collaboration avec Cycle-Up, 1ère plateforme professionnelle de réemploi des matériaux du bâtiment et de l’immobilier, sur un chantier de réhabilitation à Châteaubriant. Un premier bilan a démontré le succès de cette opération qui a permis de limiter 23.40 tonnes de déchets produits et de réduire les émissions de carbone à hauteur de 62.20 teq CO².Collaboration avec Backacia sur un chantier de réhabilitationL’entité Spie batignolles Outarex a œuvré avec Backacia, la place de marché du réemploi des matériaux et équipements du BTP, sur un chantier de réhabilitation à Coignières.Une façade bâtie à l’aide d’anciennes portes en chêneSur un chantier mêlant réhabilitation et construction neuve mené par Spie batignolles boyer pour la création d’une crèche dans le 20e arrondissement de Paris, et sous l’impulsion de la Direction des Constructions Publiques et de l’Architecture de la Ville de Paris et le concours de l’architecte Jean Bocabeille - BFV Architectes, la transformation de 600 portes palières en chêne massif provenant d’une résidence en rénovation à proximité a permis la conception de la façade en bois de la crèche.Des déchets qui deviennent de véritables ressourcesAutre initiative originale sur certains chantiers de travaux publics du groupe : les équipes coopèrent avec Terra Innova, start-up spécialisée dans la réutilisation des déblais pour la re-fertilisation des terres agricoles situées à proximité d’un chantier.
Il y a 4 ans et 209 jours

Les propriétaires du "Signal", immeuble symbole de l'érosion côtière, bientôt indemnisés

Le protocole a été signé entre l'État, la mairie de Soulac-sur-Mer et la communauté de communes Médoc Atlantique qui, officiellement, va devenir propriétaire de l'immeuble pour le détruire.Les 75 propriétaires recevront de l'Etat une indemnisation à hauteur de 70% de la valeur originelle estimée du bien, à la condition de transférer ce bien pour un euro symbolique à la communauté de communes et de renoncer à toute demande indemnitaire supplémentaire. Ils ont jusque décembre 2021 pour accepter.Les premiers versements d'indemnisation devraient pouvoir intervenir à partir du mois de mars 2021, selon la préfecture."Ce dossier est exceptionnel et devrait le rester", a prévenu la préfète de Nouvelle-Aquitaine Fabienne Buccio. Pas question que cela devienne une jurisprudence.Construit à 200 m du rivage en 1967, l'immeuble de quatre étages se trouve aujourd'hui au bord d'une dune sableuse qui menace de s'effondrer, à seulement 20 m des flots. En 2014, la préfecture avait pris un arrêté de péril et les résidents avaient dû vider définitivement les lieux.Les coproriétaires avaient alors entamé une bataille juridique pour être indemnisés qui s'est terminée par un refus du Conseil d'Etat en août 2018. Les parlementaires locaux se sont ensuite emparés du dossier jusqu'à ce qu'une enveloppe de 7 millions d'euros soit adoptée par le Parlement."Le dénouement favorable d'aujourd'hui n'était pas évident (...) seul un dispositif législatif pouvait le permettre", admet le maire de Soulac-sur-Mer et président de la communauté de communes, Xavier Pintat."Il y avait une âme""C'est la ténacité qui a payé, la persévérance au milieu d'un océan de doute", s'est également réjoui l'ancienne sénatrice LREM Françoise Cartron qui a défendu le dossier à Paris. "C'est un moment émouvant", a-t-elle confié, "c'est là qu'on voit le lien entre les élus nationaux et les citoyens. Sans l'outil législatif, on ne pouvait y arriver".Pour Jean-José Guichet, qui représente les copropriétaires, la majorité de ceux-ci devraient accepter l'accord. Sinon ils seront expulsés : le "choix est limité", dit-il, "les gens sont tellement las, cela fait des années qu'on se bagarre"."Ce n'était pas une résidence de gens hyper riches. C'était très mélangé, on était tous soudés. Il y avait une âme dans ce Signal", ajoute-t-il en se souvenant de ses filles et petites-filles venant en vacances. "Il faut être conscient qu'on ne pouvait plus rester. Je suivais l'avancée de la mer depuis 25 ans", ajoute M. Guichet, propriétaire depuis 1978.Le bâtiment avait été désamianté en 2018 pour éviter que "12.000 tonnes de gravats contaminés à l'amiante" ne tombent à la mer et sur la plage de Soulac, station balnéaire courue du Médoc. Le coût de ce désamiantage, un million d'euros, avait exceptionnellement été pris en charge par l'Etat."Des choses comme celle-ci ne devraient plus arriver. C'est un exemple, "Signal". Il va falloir être extrêmement vigilant sur les implantations nouvelles", a demandé Jean-José Guichet aux représentants de l'Etat qui signaient le protocole."Notre cas n'est pas unique, j'ai des coups de fil de la Martinique, de la Réunion, où il y a des cas similaires au Signal", a-t-il ensuite dit à la presse."Ce dénouement favorable n'arrête pas l'érosion côtière, on en aura dans les années à venir (...) ça deviendra un enjeu", a reconnu Xavier Pintat.
Il y a 4 ans et 237 jours

8 morts et 10 blessés graves dans l'effondrement d'un immeuble à Lagos au Nigeria

"Un immeuble de trois étages s'est effondré hier (dimanche)", a expliqué à l'AFP Yemisi Shodipo, le responsable de la communauté Ikoyi-Obalende, un quartier populaire sur les îles de Lagos."Huit personnes ont perdu la vie, et de nombreuses autres ont été blessées", a-t-il ajouté."Huit corps sans vie, six hommes adultes et deux femmes, ont été sortis des décombres", ont annoncé de leur côté les secours de Lagos sur Twitter, ajoutant qu'il y avait 10 blessés graves qui avaient été transportés à l'hôpital. Des dizaines de personnes étaient venues assister aux opérations de déblayage, qui devraient durer toute la journée de lundi.Une pelleteuse sortait des gravats des tas de ferrailles et de grands échafaudages en bois, brisés dans l'effondrement, dont les causes ne sont pas encore établies."L'immeuble a commencé à s'affaisser et personne n'a pu s'enfuir, personne", raconte Femi Abalenawa, témoin de la scène. "Les secours ne sont pas arrivés tout de suite, ce sont les habitants d'Obalende qui sont allés les aider à sortir de là".L'effondrement de bâtiments est une tragédie fréquente au Nigeria, le pays le plus peuplé d'Afrique, où des millions de personnes vivent dans des immeubles délabrés et où la législation concernant la construction est régulièrement bafouée.En juillet dernier, treize personnes sont mortes à Jos dans le centre du Nigeria lorsqu'un immeuble résidentiel de trois étages s'est effondré après des pluies torrentielles.En mars, 20 personnes sont mortes dans l'effondrement à Lagos d'un immeuble qui abritait une école maternelle et primaire.
Il y a 4 ans et 263 jours

Comment bien appréhender les travaux de rénovation de maison ?

Nombreuses sont les raisons qui nous poussent à rénover notre maison. Il peut en effet s’agir d’une rénovation en vue d’une revente ou d’une location, ou tout simplement pour garantir la solidité de la structure et le confort des résidents. Toutefois, la rénovation d’un logement est une tâche souvent pénible qui demande à la fois du temps, de l’énergie, mais encore un matériel adapté au chantier. Ainsi, il est primordial de se préparer à l’avance afin d’optimiser les travaux et obtenir un résultat à la hauteur de nos attentes. Retrouvez dans cet article nos conseils pratiques pour bien les appréhender. Organiser les travaux Une bonne organisation des travaux permet de bien les entamer, peu importe leur ampleur. Procéder ainsi vous évitera également d’être submergé par le stress et les émotions au point de rater la rénovation de la maison ou de faire marche arrière. En effet, il est conseillé de visualiser la maison avant et après les travaux. Établissez un plan pour avoir un aperçu sur les différentes modifications à apporter. Cela vous permettra également de déterminer le budget que vous souhaitez injecter dans les travaux. Pensez également à définir la durée éventuelle du chantier et à la gestion des déchets et des gravats. Faire un bilan Avant d’entamer la moindre chose, le logement sujet à la rénovation devra faire l’objet d’un diagnostic approfondi. Cette opération doit être réalisée scrupuleusement puisqu’elle permettra de déterminer l’ordre dans lequel les travaux seront exécutés. En d’autres termes, elle permet de déterminer avec exactitude les opérations à prioriser et celles qui peuvent attendre. En outre, l’évaluation de l’état d’une habitation est vivement recommandée avant de procéder à son achat. Lors de cette inspection, il faudra vérifier si le système d’isolation est efficace, si les installations électriques et la plomberie sont aux normes et si les revêtements muraux et sols sont toujours en bon état. Pour faire le bilan, nous vous conseillons de faire appel à une entreprise de renovation comme sur ce site. Établir un budget Comme susmentionné, le diagnostic permet de déterminer l’ampleur que vont prendre les travaux. Grâce à celui-ci, on pourra ainsi obtenir une liste des différentes réparations nécessaires, des matériaux indispensables à leur réalisation, des outils et des matériels essentiels à la bonne exécution du chantier. Il permet ainsi de mieux se préparer financièrement aux travaux. Toutefois, il convient de remarquer qu’il n’est pas toujours aisé de déterminer exactement le coût total des différentes interventions. Pour éviter les mauvaises surprises, il est donc conseillé de prévoir un budget assez large. En outre, attaquez les travaux dans l’ordre de priorité que vous vous êtes fixée. Choisir une entreprise de rénovation de maison Pour garantir la pérennité et la solidité du bâtiment, il est préférable de laisser sa rénovation entre les mains d’un professionnel. En revanche, il n’est pas toujours aisé de trouver un prestataire en qui on peut totalement se fier. Vous avez par exemple cette entreprise qui dispose de plusieurs années d’expérience dans le domaine des travaux de rénovation de maison. Pour mettre la main sur la bonne entreprise, nous vous conseillons donc de privilégier le bouche-à-oreille. Référez-vous aux avis que les anciens clients d’une société donnée se sont faits d’elle. Par ailleurs, pensez à comparer les prix qui vous seront proposés. Ainsi, vous pourriez vous diriger vers le professionnel qui vous fera bénéficier d’un bon rapport qualité/prix, tout en tenant compte de son niveau de compétence.
Il y a 4 ans et 293 jours

Choisir son casque de travail en hauteur pour une sécurité maximale

Bien choisir son casque de travail en hauteur Faisant partie des équipements obligatoires pour garantir la sécurité des travailleurs, le casque de travail en hauteur répond à des normes bien spécifiques. Disponibles dans plusieurs versions afin d’assurer une protection individuelle optimale dans tous les secteurs d’activité concernés, un casque de cordiste et de travailleur en hauteur ne se choisit pas au hasard. Voici nos conseils pour ne pas vous tromper. Choisir en fonction des exigences spécifiques du métier Le casque de travail en hauteur fait partie des EPI (équipements de protection individuelle) obligatoires pour protéger la tête des travailleurs et autres personnes présentes sur un chantier ou sur tout autre site similaire. Pour faire le bon choix, il faut s’assurer que l’équipement est adapté au métier en question. Parlons en premier lieu du casque de sécurité qui protège le travailleur contre les éventuelles chutes d’objets. Ce type de casque est obligatoire sur un chantier. Il y a ensuite la casquette anti heurt. Comme l’indique son nom, son utilité est de protéger la tête contre d’éventuels heurts sur des objets durs et immobiles. Convenant pour un travail en intérieur, la casquette anti-heurt ne remplace en aucun cas le casque de sécurité. Enfin on peut parler de casque d’élagage pour les travaux de paysagiste, qui doivent protéger l’ouvrier des projections végétales faciales mais aussi des éventuelles chutes d’objet et de branche d’arbre. En bref, les situations où le port du casque est essentiel ne manquent pas. Avant de choisir votre casque de travail en hauteur, notez que les différents types de casques existants s’adaptent à toutes les conditions de travail : Travail en hauteur Travail en extérieur avec intempéries Travail dans des conditions de chaleur ou de froid Etc. S’assurer de l’efficacité des différents composants du casque En cas d’accident (chute, incendie ou autre), le casque de cordiste doit rester en place pour un maximum de sécurité. Ainsi, le choix ne s’arrête pas au type de casque, mais il faut aussi et surtout s’assurer de la qualité de tous ses composants. Ainsi, les normes à vérifier dépend du métier en question. Concernant particulièrement le casque de travail en hauteur, la chute est le principal incident à anticiper. Il faudra en conséquence être particulièrement pointilleux par rapport à la solidité de la jugulaire pour être certain de ne pas perdre le casque en cas de problème. En plus d’une protection suffisante par rapport aux risques « classiques » du métier, la jugulaire doit assurer le maintien du casque en cas de chute ou de choc. Ne se contentant pas de la norme EN397 (norme industrielle du casque), certains fabricants proposent des jugulaires d’une qualité proche des matériels d’alpinisme. Deuxième risque à prendre en compte : la chute d’objet. Particulièrement vrai dans le bâtiment, la chute d’objet sur la tête peut entraîner des blessures graves. Les outils lâchés par inadvertance par un collègue placé plus haut, la chute de gravats ou tuiles…autant de danger qui rendent le bon port du casque obligatoire. Bien entendu, le choix des casques est indissociable de l’assurance de chantier et des équipements industriels aux normes pour garantir l’entière sécurité du site. Confort est synonyme de sécurité en hauteur En plus des questions de sécurité à proprement parler, le confort du travailleur garantit aussi des conditions optimales de travail. La visibilité doit par exemple être accrue et une protection contre le soleil est indispensable dans cette optique. La forme de la visière est donc un critère crucial à vérifier au moment de choisir un casque de travail en hauteur. Les fabricants proposent différentes formes de visières, ce qui élargi considérablement le choix. Notez cependant que les visières longues ne conviennent pas pour un casque de cordiste et de travail en hauteur. D’autre part, un casque bien ventilé garantit un meilleur confort et donc une sécurité encore plus optimale. En réduisant la sensation de chaleur et de fatigue, une parfaite ventilation au niveau de la tête booste la concentration et l’attention. Le cerveau sera alors dans les meilleures dispositions, ce qui est particulièrement important pour les interventions en hauteur. La ventilation est également essentiel dans le cas où l’opérateur porte de lunettes, afin d’éviter la buée qui gênerait la visibilité de ce dernier. Un casque de travail en hauteur qui respecte les normes et règlementations de sécurité limite efficacement les dommages en cas de chute, de chute d’objets, de chocs et d’autres accidents qui heurtent la tête. Vous en saurez plus à propos des accidents de travail relatifs au traumatisme à la tête (qui tue jusqu’à 10% des personnes concernées) en cliquant ici.
Il y a 4 ans et 320 jours

Tout sur le nettoyage de fin de chantier

Etape indispensable en fin de travaux, le nettoyage de fin de chantier est le plus souvent réalisé par une entreprise spécialisée. Il permet de livrer un logement propre et exploitable immédiatement au client. A moins que celui-ci ne décide de faire le ménage lui-même. Qu’est-ce que le nettoyage de fin de chantier ? Le nettoyage de chantier est l’étape ultime, qui marque l’achèvement dudit chantier. C’est en effet la dernière opération avant livraison des travaux au client. De manière générale, cette opération a lieu durant la phase préalable de réception des travaux par le maître d’ouvrage. On distingue deux principales étapes au nettoyage de fin de chantier : le nettoyage grossier et en profondeur. Le nettoyage grossier Le nettoyage grossier constitue la première partie d’un nettoyage de fin de chantier. Il vise à débarrasser le théâtre des travaux des gravats et déchets afin de laisser les pièces vides et balayées. Lors de cette étape, on balaie le gros de la poussière avec un chiffon sec pour la déplacer au sol avant d’utiliser un puissant aspirateur. On veillera à conserver les films protecteurs posés aux les murs et les sols jusqu’à la fin du nettoyage grossier. Le nettoyage en profondeur De son côté, le nettoyage en profondeur vise à rendre parfaitement saines et habitables les pièces concernées par le chantier. En effet, lors de travaux, de grandes quantités de poussière sont générées, qui vont s’insinuer dans les moindres recoins. Ainsi, le nettoyage en profondeur va s’intéresser de près à de nombreux éléments : portes et fenêtres, stores et volets, sols et plinthes, interrupteurs, prises et robinets, cuisine et salle de bains, murs et crépis, Radiateurs. Dans le cadre du nettoyage en profondeur, l’intégralité du logement est nettoyée de fond en comble. Au-delà du dépoussiérage, il est nécessaire de désinfecter les lavabos, baignoires et équipements sanitaires, de décaper les sols, dégraisser les vitres, aérer le logement, etc. Faire appel à une société spécialisée Du fait de l’importante quantité de poussière, gravats ou résidus divers présents dus aux travaux, le nettoyage est généralement confié à une société spécialisée. Celle-ci peut être mandatée par l’entreprise qui a réalisé les travaux, qui se chargera de répercuter le coût sur la facture globale du chantier. Elle peut également être mandatée par le client lui-même, qui pourra distinguer les coûts des travaux et du nettoyage. Dans ces deux cas de figure, les actions à réaliser par l’entreprise de nettoyage de fin de chantier sont définies par le client et consignées dans le cahier des charges de l’intervention. Réaliser le ménage soi-même Si le cas le plus courant est de faire intervenir une entreprise spécialisée, rien ne vous empêche de réaliser vous-même le nettoyage de fin de chantier. L’occasion de peut-être tester votre système d’aspiration centralisée flambant neuf ? Cette opération vous demandera beaucoup d’huile de coude, d’aide et de produits appropriés, mais pourra vous faire économiser une somme conséquente : en effet, un nettoyage de fin de chantier coûte en moyenne entre 300 et 400 € pour 100 m² de surface.
Il y a 4 ans et 338 jours

A Dakar, le front de mer cède du terrain sous les assauts des promoteurs

Fin mai, un homme s'est présenté avec un permis et a entrepris de terrasser au pied de la colline pour construire un hôtel, causant la stupéfaction des habitants et des élus locaux, raconte Mamadou Mignane Diouf, de l'ONG Forum social.Pourtant, "ici, personne ne doit construire", dit-il, car la colline, surmontée d'un phare emblématique depuis 1864, est une zone verte protégée.La capitale sénégalaise, métropole de trois millions d'habitants en rapide expansion sous la pression de l'exode rural, se sent de plus en plus à l'étroit sur sa péninsule qui s'enfonce dans l'Atlantique.Depuis des années, les promoteurs ont pris pour cible son rivage de carte postale, érigeant hôtels et résidences de luxe et défigurant petit à petit le paysage en se jouant d'une législation complexe et peu appliquée.Les Dakarois ordinaires se plaignent de cette privatisation du littoral, qui réduit l'accès à la mer et aux plages dans une ville manquant cruellement d'espaces de loisirs collectifs.ElectrochocLa destruction d'une partie de la colline des Mamelles, bien que loin d'être un fait sans précédent, a constitué un électrochoc et soulevé de nombreuses protestations.Avec la colline voisine, surmontée de l'imposant monument de la Renaissance africaine, bâti par la Corée du Nord, les deux monticules volcaniques d'une centaine de mètres de haut portent le nom évocateur de "Mamelles". Elles sont un élément reconnaissables entre tous du paysage, auxquels les Dakarois sont attachés. Leurs abords sont déjà largement urbanisés.Après des protestations dans la presse et sur les réseaux sociaux, la police a interrompu le terrassement, qui laisse un trou béant au ton ocre."Ils ont déjà causé beaucoup de dégâts", regrette M. Diouf en parcourant un amas de gravats et en se demandant "pourquoi quelques privilégiés pensent qu'eux seuls ont droit d'accéder au littoral, de le privatiser, de le fermer et de permettre uniquement à eux et à leur famille d'y accéder au détriment des autres Sénégalais". Le ministre de l'Urbanisme, Abdou Karim Fofana, assure à l'AFP que le gouvernement du président Macky Sall, au pouvoir depuis 2012, travaille à une nouvelle loi de protection du littoral.Mais l'attribution sous les précédents régimes de titres de propriété et de permis de bâtir signifie que de nombreux projets immobiliers vont probablement se poursuivre, explique-t-il avec une dose de fatalisme."Il faut sauvegarder les parties non occupées, faire en sorte que les Sénégalais et la population dakaroise y aient accès", dit-il."La loi des plus forts"Pays pauvre de 16 millions d'habitants, le Sénégal s'est engagé dans un programme de développement et de modernisation. La construction d'autoroutes, le développement de carrières de calcaire et la construction à tout-va de logements pèsent sur l'environnement, déjà mis à mal par le changement climatique et la déforestation sauvage.Pour Marianne Alice Gomis, une élue dakaroise spécialiste d'urbanisme, "le problème principal vient des titres liés à la propriété foncière", le cadastre étant très lacunaire.La majorité des constructions à Dakar sont illégales, dit-elle, en soulignant que de nombreux responsables méconnaissent les codes urbanistiques.Mme Gomis cite en exemple un conflit qui oppose sa commune (subdivision de Dakar), Mermoz-Sacré-Coeur, au promoteur d'un projet d'appartements qui verrait le jours aux abords d'une des plus grandes plages. La commune de Mermoz affirme que le terrain litigieux se situe sur son territoire. Le promoteur détient un permis de bâtir, mais il a été délivré par une commune voisine.Le maire de Mermoz, Barthélémy Diaz, a qualifié l'opération "d'agression flagrante sur le domaine public maritime" et estimé qu'il "s'agit d'une contribution significative de ce promoteur à l'érosion côtière". "Et c'est cela qui est inadmissible", a-t-il ajouté. Balla Magassa, 43 ans, est propriétaire d'un petit bar sur ce qui reste de la plage des Mamelles, au pied de la colline. Déjà entouré de bâtiments, il craint d'être définitivement chassé par de nouveaux projets. "C'est simplement la loi des plus forts", dit-il.Texte
Il y a 4 ans et 361 jours

Coup de filet contre la "mafia des déblais" sur la Côte d'Azur : 11 interpellations, 6 sociétés visées

"Depuis quelques mois, des plaintes et des signalements au sujet de +déballes+ sauvages de remblais de chantiers (...) étaient en cours auprès des parquets de Draguignan et Nice", a rappelé dans un communiqué le parquet de Draguignan.L'enquête a mis au jour "un système organisé depuis plusieurs années", a-t-il précisé: "Des centaines de milliers de mètres-cubes de terre, de béton, de ferraille, de goudron avaient ainsi été déversés sur une vingtaine de sites irrémédiablement défigurés, entre Fréjus, Le Luc et Trans-en-Provence, dans le Var, et jusqu'à Sospel dans les Alpes-Maritimes".Les entreprises obtenaient des marchés d'évacuation de gravats, facturaient au tarif réglementaire mais écoulaient et entreposaient les déblais "sur des terrains privés ou publics, en trompant ou menaçant les propriétaires", le tout coûtant "environ cinq fois moins cher", a encore décrit le parquet.Le coup de filet de mardi a mobilisé près de 200 gendarmes, appuyés par un hélicoptère et assistés par des agents de l'administration fiscale et de la direction régionale de l'environnement.Plusieurs camions et engins de chantier ont été saisis en lien avec les multiples infractions soupçonnées: gestion irrégulière de déchets en bande organisée, abandon de déchets en bande organisée, escroquerie en bande organisée, blanchiment d'escroquerie en bande organisée, menace de mort, de crime ou délit sur un officier public, extorsion par violence, blanchiment de délit, travail dissimulé par dissimulation d'activité et par dissimulation de salariés.Les peines encourues peuvent aller jusqu'à 10 ans de prison et un million d'euros d'amende, outre les dommages et intérêts et frais de remise en état des terrains souillés.Le traitement des déchets, notamment de chantiers, est problématique dans le Sud-Est. En août 2019, le maire du village varois de Signes Jean-Mathieu Michel, 76 ans, est mort écrasé accidentellement par une camionnette dont il souhaitait verbaliser les occupants qui avaient déchargé des gravats dans la nature, une affaire qui n'a rien à voir avec le dossier évoqué mardi par le procureur de Draguignan.
Il y a 5 ans et 9 jours

Blocs isolants bas carbone Fabemi

Une réponse au label E+C- et à la RE 2020 Lancé en novembre 2016, le label Bâtiments à Énergie Positive et Réduction Carbone E+C- a pour objectif de produire des bâtiments à énergie positive et à faible empreinte carbone. Il s’agit d’anticiper, avec tous les acteurs de la construction (maîtrise d’ouvrage, maîtrise d’œuvre, entreprises), la Réglementation Environnementale (RE) 2020 dans la construction neuve. Sachant que le grand changement, par rapport à la Réglementation Thermique (RT) 2012, porte sur la prise en compte des émissions carbone du bâtiment durant tout son cycle de vie. Pour la filière béton, comme pour les autres matériaux, l’enjeu est donc d’intégrer une nouvelle exigence réglementaire liée à l’empreinte carbone des bâtiments, tout en veillant à l’application des autres réglementations auxquelles un projet doit répondre. Les blocs isolants FABTHERM® du Groupe Fabemi, acteur majeur du marché des produits béton, sont 100 % naturels et recyclables. Ils contribuent à réduire l’empreinte carbone des bâtiments (de 4 à 8 % par rapport aux autres solutions constructives), permettant ainsi de réaliser des ouvrages E+C-, et anticipent les exigences de la prochaine RE 2020. L’objectif étant également de combiner  béton bas carbone et économie circulaire, les 450 mises en chantiers effectuées depuis le lancement des blocs isolants FABTHERM® (résidentiel, ERP et bâtiments industriels), soit environ 250 000 m2 de blocs, ont été réalisées dans le Grand Sud-Est, à proximité des usines de production du Groupe Fabemi.   Construire E+C- avec du béton bas carbone Les trois principaux axes de recherche Fabemi – réduire l’impact environnemental de ses blocs, apporter une réponse à une réglementation thermique de plus en plus exigeante et assurer une meilleure isolation des parois – ont débouché sur le développement des blocs béton FABTHERM®. Traditionnellement fabriqués sans cuisson et produits localement, ce qui permet de réduire leur impact environnemental, les blocs FABTHERM® AIR 0.6, 1.1 et 1.8 et FABTHERM® ÉCO sont 100 % naturels et recyclables. Ils revendiquent de hautes performances thermiques, tout en affichant un impact environnemental des plus faibles dans leur catégorie. En lançant ces produits, Fabemi démontre sa capacité d’innovation et son engagement dans une démarche d’éco-conception et d’écologie industrielle. De la fabrication à la fin de vie, l’empreinte carbone des blocs Fabemi est réduite grâce à une production locale (impact du transport très faible) et à un procédé de fabrication sans cuisson. Les blocs sont produits avec des agrégats provenant de carrières situées à proximité des usines Fabemi, séchés naturellement, et utilisés sur des chantiers proches des unités de production. De plus, les blocs isolants FABTHERM® Fabemi, 100 % recyclables, n’ont pas besoin d’être triés à l’issue de la déconstruction, les déchets gravats n’appelant aucune manipulation particulière. Après la démolition des bâtiments, ils deviennent ainsi des déchets « inertes ». Enfin, les blocs isolants FABTHERM® disposent de Fiches de Déclarations Environnementales et Sanitaires (FDES). Des données vérifiées et disponibles sur INIES, qui permettent de calculer la contribution des produits à l’impact environnemental du bâtiment à construire.   Blocs isolants bas carbone FABTHERM® AIR Fabemi Deux à huit fois plus isolants que des blocs traditionnels, les blocs de 20 cm de large FABTHERM® AIR 0.6, 1.1 et 1.8, à base d’agrégats légers ou courants, intègrent une âme en mousse 100 % minérale AIRiumTM qui renforce leurs capacités isolantes. Ils affichent ainsi des résistances thermiques exceptionnelles pour cette largeur de bloc qui permettent de répondre à tous les besoins (logements collectifs, maisons individuelles et bâtiments tertiaires) et au cahier des charges des murs isolants hautement performants. Cette mousse minérale isolante permet de construire et d’isoler en même temps sans impacter le poids carbone de la façade, ce qui procure un gain de temps sur le chantier et un gain de surface habitable. Les blocs FABTHERM® AIR Fabemi profitent de nombreuses qualités (performances acoustiques, essais feu et sismique), de fiches FDES vérifiées (base INIES) et d’un Avis technique (FABTHERM® AIR 1.1 et 1.8) pour répondre à toutes les exigeances techniques des opérations de construction.   • Sous Avis Technique (N° 16/19-773_V1), le bloc isolant à coller FABTHERM® AIR 1.1 Fabemi affiche une résistance thermique de R = 1,12 m2.K/W. Cinq fois plus isolant qu’un bloc traditionnel, le FABTHERM® AIR 1.1 conjugue résistance mécanique, au feu, et performances acoustiques et environnementales. Il est idéal pour les logements collectifs jusqu’à R+4. Les + • FDES vérifiée (base INIES) : 15,6 kg eq. CO2/m2 • 100 % naturel et recyclable • Conforme Eurocode 8 – toutes zones sismiques • Résistance au feu REI : 120 min avec un doublage collé traditionnel • Jusqu’à R+4 • Fabrication française   • Sous Avis technique (N° 16/19-772_V1), le bloc isolant à coller FABTHERM® AIR 1.8 Fabemi présente une résistance thermique de R = 1,77 m2.K/W. Huit fois plus isolant qu’un bloc traditionnel, le FABTHERM® AIR 1.8 permet de réduire l’épaisseur des doublages intérieurs et de maîtriser l’impact environnemental de la façade. Il est idéal pour le petit collectif jusqu’à R+3. Les + • FDES vérifiée (base INIES) : 23,6 kg eq. CO2/m2 • 100 % naturel et recyclable • Conforme Eurocode 8 – toutes zones sismiques • Résistance au feu REI : 90 min avec un doublage collé traditionnel • Jusqu’à R+3 • Fabrication française   • Innovation brevetée Fabemi, le bloc isolant à maçonner FABTHERM® AIR 0.6 présente une résistance thermique de R = 0,58 m2.K/W. Deux fois plus isolant qu’un bloc traditionnel, le FABTHERM® AIR 0.6 est le seul bloc isolant 100 % minéral à poser maçonné. Il est idéal pour le petit collectif jusqu’à R+2. Les + • Mode de pose mortier / maçonner • FDES vérifiée (base INIES) : 15,6 kg eq. CO2/m2 • 100 % naturel et recyclable • Conforme Eurocode 8 – toutes zones sismiques • Résistance au feu REI : 120 min • Jusqu’à R+2 • Fabrication française   Bloc isolant bas carbone FABTHERM® ÉCO Fabemi Le bloc creux isolant à coller FABTHERM® ÉCO Fabemi présente une résistance thermique de R = 0,51 m2.K/W. Deux fois plus isolant qu’un bloc traditionnel grâce à sa géométrie, le FABTHERM® ÉCO répond aux besoins architecturaux, thermiques et économiques du marché de la construction. Idéal pour les maisons individuelles groupées ou le petit collectif jusqu’à R+2, ses performances thermiques permettent de conserver un mode constructif traditionnel béton. Les + • FDES vérifiée (base INIES) : 11,7 kg eq. CO2/m2 • 100 % naturel et recyclable • Conforme Eurocode 8 – toutes zones sismiques • Résistance au feu REI : 120 min • Jusqu’à R+2 • Fabrication française
Il y a 5 ans et 33 jours

Blocs isolants bas carbone : une réponse au label E+C- et à la RE 2020

Sachant que le grand changement, par rapport à la Réglementation Thermique (RT) 2012, porte sur la prise en compte des émissions carbone du bâtiment durant tout son cycle de vie.Pour la filière béton, comme pour les autres matériaux, l’enjeu est donc d’intégrer une nouvelle exigence réglementaire liée à l’empreinte carbone des bâtiments, tout en veillant à l’application des autres réglementations auxquelles un projet doit répondre. Les blocs isolants FABTHERM® du Groupe Fabemi, acteur majeur du marché des produits béton, sont 100% naturels et recyclables. Ils contribuent à réduire l’empreinte carbone des bâtiments (de 4 à 8 % par rapport aux autres solutions constructives), permettant ainsi de réaliser des ouvrages E+C-, et anticipent les exigences de la prochaine RE 2020.L'objectif étant également de combiner béton bas carbone et économie circulaire, les 450 mises en chantiers effectuées depuis le lancement des blocs isolants FABTHERM® (résidentiel, ERP et bâtiments industriels), soit environ 250 000 m² de blocs, ont été réalisées dans le Grand Sud-Est, à proximité des usines de production du Groupe Fabemi.Construire E+C- avec du béton bas carboneLes trois principaux axes de recherche Fabemi – réduire l’impact environnemental de ses blocs, apporter une réponse à une réglementation thermique de plus en plus exigeante et assurer une meilleure isolation des parois – ont débouché sur le développement des blocs béton FABTHERM®. Traditionnellement fabriqués sans cuisson et produits localement, ce qui permet de réduire leur impact environnemental, les blocs FABTHERM® AIR 0.6, 1.1 et 1.8 et FABTHERM® ÉCO sont 100 % naturels et recyclables. Ils revendiquent de hautes performances thermiques, tout en affichant un impact environnemental des plus faibles dans leur catégorie. En lançant ces produits, Fabemi démontre sa capacité d’innovation et son engagement dans une démarche d’éco-conception et d’écologie industrielle.De la fabrication à la fin de vie, l’empreinte carbone des blocs Fabemi est réduite grâce à une production locale (impact du transport très faible) et à un procédé de fabricationsans cuisson. Les blocs sont produits avec des agrégats provenant de carrières situées à proximité des usines Fabemi, séchés naturellement, et utilisés sur des chantiers proches des unités de production.De plus, les blocs isolants FABTHERM® Fabemi, 100% recyclables, n’ont pas besoin d’être triés à l’issue de la déconstruction, les déchets gravats n’appelant aucune manipulation particulière. Après la démolition des bâtiments, ils deviennent ainsi des déchets « inertes ».Enfin, les blocs isolants FABTHERM® disposent de Fiches de Déclarations Environnementales et Sanitaires (FDES). Des données vérifiées et disponibles sur INIES, qui permettent de calculer la contribution des produits à l’impact environnemental du bâtiment à construire.Blocs isolants bas carbone FABTHERM® AIR FabemiDeux à huit fois plus isolants que des blocs traditionnels, les blocs de 20 cm de large FABTHERM® AIR 0.6, 1.1 et 1.8, à base d’agrégats légers ou courants, intègrent une âme en mousse 100% minérale AIRiumTM qui renforce leurs capacités isolantes. Ils affichent ainsi des résistances thermiques exceptionnelles pour cette largeur de bloc qui permettent de répondre à tous les besoins (logements collectifs, maisons individuelles et bâtiments tertiaires) et au cahier des charges des murs isolants hautement performants. Cette mousse minérale isolante permet de construire et d’isoler en même temps sans impacter le poids carbone de la façade, ce qui procure un gain de temps sur le chantier et un gain de surface habitable. Les blocs FABTHERM® AIR Fabemi profitent de nombreuses qualités (performances acoustiques, essais feu et sismique), de fiches FDES vérifiées (base INIES) et d’un Avis technique (FABTHERM® AIR 1.1 et 1.8) pour répondre à toutes les exigeances techniques des opérations de construction.• Sous Avis Technique (N° 16/19-773_V1), le bloc isolant à coller FABTHERM® AIR 1.1 Fabemi affiche une résistance thermique de R = 1,12 m².K/W. Cinq fois plus isolant qu’un bloc traditionnel, le FABTHERM® AIR 1.1 conjugue résistance mécanique, au feu, et performances acoustiques et environnementales. Il est idéal pour les logements collectifs jusqu’à R+4.Les +FDES vérifiée (base INIES) : 15,6 kg eq. CO2/m²100 % naturel et recyclableConforme Eurocode 8 – toutes zones sismiquesRésistance au feu REI : 120 min avec un doublage collé traditionnelJusqu’à R+4Fabrication française• Sous Avis technique (N° 16/19-772_V1), le bloc isolant à coller FABTHERM® AIR 1.8 Fabemi présente une résistance thermique de R = 1,77 m².K/W. Huit fois plus isolant qu’un bloc traditionnel, le FABTHERM® AIR 1.8 permet de réduire l’épaisseur des doublages intérieurs et de maîtriser l’impact environnemental de la façade. Il est idéal pour le petit collectif jusqu’à R+3.Les + FDES vérifiée (base INIES) : 23,6 kg eq. CO2/m²100 % naturel et recyclableConforme Eurocode 8 – toutes zones sismiquesRésistance au feu REI : 90 min avec un doublage collé traditionnelJusqu’à R+3Fabrication française• Innovation brevetée Fabemi, le bloc isolant à maçonner FABTHERM® AIR 0.6 présente une résistance thermique de R = 0,58 m².K/W. Deux fois plus isolant qu’un bloc traditionnel, le FABTHERM® AIR 0.6 est le seul bloc isolant 100 % minéral à poser maçonné. Il est idéal pour le petit collectif jusqu’à R+2.Les + Mode de pose mortier / maçonnerFDES vérifiée (base INIES) : 15,6 kg eq. CO2/m²100 % naturel et recyclableConforme Eurocode 8 – toutes zones sismiquesRésistance au feu REI : 120 minJusqu’à R+2 Fabrication françaiseBloc isolant bas carbone FABTHERM® ÉCO FabemiLe bloc creux isolant à coller FABTHERM® ÉCO Fabemi présente une résistance thermique de R = 0,51 m².K/W. Deux fois plus isolant qu’un bloc traditionnel grâce à sa géométrie, le FABTHERM® ÉCO répond aux besoins architecturaux, thermiques et économiques du marché de la construction. Idéal pour les maisons individuelles groupées ou le petit collectif jusqu’à R+2, ses performances thermiques permettent de conserver un mode constructif traditionnel béton.Les + FDES vérifiée (base INIES) : 11,7 kg eq. CO2/m²100 % naturel et recyclableConforme Eurocode 8 – toutes zones sismiquesRésistance au feu REI : 120 minJusqu’à R+2Fabrication françaisePour en savoir plus :https://www.fabemi-structures.com/
Il y a 5 ans et 41 jours

« J’en suis réduit à stocker les gravats dans mon jardin ! » : l’artisanat au temps du Covid-19

Pour ce 15e épisode de notre feuilleton, nous retrouvons Yves Roubi, plombier lyonnais, qui nous raconte comment s’organise la reprise des chantiers avec ses deux compagnons.
Il y a 5 ans et 45 jours

Les différents types de filets utiles dans l’industrie

Pour tout entrepreneur, la sécurité de ses employés qui évoluent dans les entrepôts est cruciale. Les filets en tous genres sont ainsi déployés pour prévenir les risques de chutes ou d’accidents entrainés par une erreur de manutention. Ces accessoires s’avèrent d’ailleurs indispensables dans de nombreux domaines (industrie, sport, transport) et sont très utilisés sur les plateformes pétrolières ou aéroportuaires. Si vous n’êtes pas encore à la une concernant les filets de protection, restez attentifs. Les filets de sécurité losange ou filets anti-chutes Les filets anti-chutes en forme de losange sont conformes à la norme NF EN-1263-1. Ce dispositif a ainsi été élaboré dans le but de préserver la vie des travailleurs qui sont souvent amenés à travailler en hauteur. À proprement parler, le filet anti-chutes est pourvu d’une ralingue transfilée maille à maille. La matière est en polypropylène ultra résistant puisqu’elle est caractérisée par une charge maximale en utilisation de 628 kg/m² et d’une charge maximale de rupture de 6 280kg/m². Pour être certain de la qualité du produit, il est conseillé de commander des filets fabriqués en France. Vous trouverez de très larges gammes de filets pour des utilisations diverses. Les filets anti-feuilles Les filets anti-feuilles s’avèrent très économiques et pratiques pour la piscine. En effet, ils sont faciles à installer et se fixent très rapidement. De plus, la taille des mailles ne permet pas aux feuilles de passer à travers. Autrement dit, le filet anti-feuille est une excellente solution pour garder l’eau de la piscine propre. Il est peu encombrant, qui plus est, sa durée de vie avoisine les 5 voire 8 ans. Les avantages de ce dispositif sont également assez nombreux puisqu’il est possible de le plier et le choix du filet dépendra de la taille de la piscine. Les filets pour racks de stockage en entrepôt Les filets pour racks de stockage ont été élaborés pour limiter les risques de chute des produits entreposés en hauteur. Ce dispositif de sécurité assure une bonne luminosité pour une meilleure visibilité. Les zones alentours sont sécurisées, de plus, les filets pour racks constituent une protection supplémentaire contre le vol. Techniquement, ce dispositif est conforme aux recommandations de l’INRS qui conseille sur le recours de butée de palettes ou de panneaux grillagés sur la face arrière des rayonnages. Les filets d’héliportage Les filets d’héliportage sont l’une des solutions de gestion et de transport de matériaux via les airs. Ce système de transport s’avère indispensable pour aller là où les véhicules traditionnels n’ont pas accès. Et pour répondre efficacement à la demande, les filets de chargement pour les activités d’héliportage permettent de transporter et de manipuler des tonnes de matériel. Ce genre de dispositif garantit une totale sécurité d’utilisation en milieux périlleux. Dans ce sens, les filets d’héliportage sont composés de mailles doubles dont la charge maximale en utilisation est de 1400 kg/m² et la charge maximale de rupture est de 14 000kg/m². Les filets pare-outils Les filets pare-outils sont indispensables sur les chantiers de BTP. Ce dispositif de sécurité protège ainsi des chutes de matériels. Le filet utilisé à cet effet est ultra- léger et particulièrement résistant. Cette solution s’avère tout aussi économique que n’importe quel autre système de protection. En sus, le filet pare-outil peut faire office de brise-vent tout en préservant des regards indiscrets. Privilégiez surtout les filets pare-outils conformes NF P93.355 pour garantir une sécurité optimale sur vos chantiers. Les filets brise-vent Ce genre de filet est surtout sollicité par les agriculteurs et les éleveurs. Ces derniers ont d’ailleurs recours aux filets brise-vent pour assainir l’air au niveau des bâtiments réservés aux animaux. En pratique, les courants d’air peuvent altérer la santé du bétail. Il est aussi prouvé que les coups de vent et les intempéries sont des sources de stress. Dans ce sens, le filet brise vent est composé de polyéthylène qui est une matière résistante à l’eau et aux UV. En plus d’arrêter le vent, cet accessoire filtre parfaitement les rayons du soleil. À titre de référence, un filet de 2 mètres de hauteur permet de protéger une zone équivalente à 20 mètres de long. Quant à la longueur du filet, elle doit représenter 10 fois sa hauteur. Les filets pare-gravats ou filets monuments Les filets pare-gravats sont requis pour protéger les alentours des bâtiments en construction. Ils sont généralement accrochés devant les façades pour préserver les passants en cas de jets de pierres accidentels. La protection est optimale, et ce, même si les fils des filets pare-gravats sont extrêmement fins (près de 1,2 mm d’épaisseur). Le matériel est même stabilisé UV et imputrescible à l’eau. En outre, les dimensions du filet pare-gravats dépendront des travaux à réaliser et des besoins en sécurité : sablage, nettoyage, échafaudage et protection de bord de route, protection de route de montagne, travaux de finition. Les filets brise-vue Malgré les idées reçues, les filets brise-vue sont très sollicités dans le domaine industriel. Cet élément occultant permet ainsi de délimiter les espaces au sein d’un entrepôt. Comptez également sur une efficacité accrue contre les vents ou les UV. Techniquement, le taux d’occultation d’un filet brise-vue est en moyenne de 45 %. Néanmoins, il est tout à fait possible de trouver des filets brise-vues qui présentent un taux d’occultation de 100 %. Autrement dit, le filet est totalement opaque. Les filets de benne Comme son nom l’indique, le filet de benne est un accessoire incontournable chez les transporteurs. Il est surtout utilisé pour sécuriser le chargement d’une benne à camions ou camionnettes. Ce type de couverture préserve des risques de perte et d’intempéries. Quoi qu’il en soit, il existe différents types de filets pour répondre à une multitude de besoins. Prenez entre autres les filets anti-insectes ou anti-oiseaux qui sont une excellente alternative aux traitements chimiques et aux pesticides. La solution est écologique et peu coûteuse. En prime, les cultures sont préservées des insectes, des oiseaux et des intempéries. Et pour une meilleure efficacité, ce genre de filets est imputrescible et traité contre les UV.
Il y a 5 ans et 93 jours

Estelle Lagarde – Les petites comédies

Entre surréalisme et théâtralité, l’exposition Les petites comédies de la photographe Estelle Lagarde interroge l’espace, l’occupant et la relation qui les unit. A Cachan (Val-de-Marne). Jusqu’au 16 avril 2020. Décors visibles sur les images d’Estelle Lagarde, les gravats et la […] L’article Estelle Lagarde – Les petites comédies est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 269 jours

Au Bénin, les habitants pleurent l'un des plus vieux quartiers de Cotonou

Plus d'une semaine après le passage des bulldozers sur Xwlacodji, un des plus anciens quartiers de la capitale économique de Cotonou, il ne reste sur place que des chiens errant sur des tas de gravats, des habits, ustensiles de cuisine et quelques paperasses sous les décombres.
Il y a 5 ans et 272 jours

Nouvelles mesures pour améliorer la gestion des déchets du bâtiment

Brune Poirson, secrétaire d’État auprès de la ministre de la Transition écologique et solidaire, a réuni les organisations professionnelles de la filière du bâtiment et les associations d’élus afin d’acter une série de mesures destinées à améliorer la gestion des déchets de la construction et lutter contre les décharges sauvages, avant l’examen du projet de loi anti-gaspillage pour une économie circulaire au Sénat. Le secteur du bâtiment génère 42 millions de tonnes de déchets qui sont autant de matériaux pouvant alimenter des décharges sauvages, véritables fléaux écologique et économique pour les collectivités. Chaque année l’enlèvement et le nettoyage de ces décharges représente un coût pour les villes, donc pour les contribuables, estimé entre 340 et 420 millions d’euros. Les acteurs de la filière et les représentants des élus vont travailler aux côtés du ministère pour permettre la reprise gratuite des déchets des professionnels en déchetterie, à condition qu’ils soient triés par grands flux de matière (ferraille, bois, gravats, etc.) et définir la localisation de nouveaux points de collecte des déchets pour les professionnels afin d’augmenter le maillage territorial existant. Ces mesures seront financées par la création le 1er janvier 2022 d’une filière de pollueur-payeur (avec éco organisme ou système équivalent) pour le secteur du bâtiment – comme cela existe déjà pour 14 grandes familles de produits – dont l’étude de préfiguration menée par l’ADEME débutera ce mois-ci. En parallèle, d’autres mesures vont être lancées avec : – la création d’un observatoire national de la gestion des déchets pour consolider l’ensemble des chiffres disponibles sur le territoire ; – la construction d’un système de traçabilité permettant de mieux connaitre où sont produits les déchets, leur parcours et leur destination finale ; – le renforcement des pouvoirs de contrôle et de sanction des autorités locales afin de donner plus de moyens aux élus sur les territoires.
Il y a 5 ans et 278 jours

Recycler les gravats pour épargner montagnes, plages et rivières

Recycler les gravats, notamment dans des pays détruits par la guerre, est une des solutions pour limiter les dégâts causés à la nature par l'extraction de sable et de roche, plaide Pascal Peduzzi de l'ONU Environnement.
Il y a 5 ans et 304 jours

Dépôts sauvages : la colère des maires

Alors que le maire de Signes (Var) est décédé après s’être opposé à un dépôt sauvage de gravats, les associations d’élus montent au créneau pour disposer d’outils renforcés pour lutter contre les dépôts sauvages de déchets. Et la commission des lois du Sénat a lancé une grande consultation à destination des élus.
Il y a 5 ans et 328 jours

Point sur les déchets du bâtiment

A l’occasion de l’examen en Conseil des ministres de la loi anti-gaspillage et économie circulaire, la FFB a souhaité rappeler la réalité des chiffres et son engagement pour développer le recyclage dans le secteur. Les déchets du bâtiment et des travaux publics représentent 70 % des déchets en France, soit 228 millions de tonnes, mais 93 % d’entre eux sont des déchets inertes (gravats, terre non polluée, béton, enrobé, brique, tuile, etc.). Ils sont déjà valorisés aux 2/3, principalement en sous-couches routières et en remblais de carrière. L’enjeu porte sur les déchets du second œuvre (bois, plâtre, verre, isolants…) qui ne représentent que 10 millions de tonnes, soit 3 % des déchets produits en France, bien loin des 70 % évoqués. Le métal est recyclé à 90 %, le bois est valorisé à 75% (recyclage et valorisation énergétique) et augmenter son recyclage est à ce jour difficile faute de débouchés. Pour le plâtre, le PVC rigide et le verre plat des fenêtres, les procédés techniques de recyclage sont opérationnels ou en passe de l’être, mais la collecte des déchets triés reste à massifier. Pour d’autres filières comme les isolants, les moquettes ou certains plastiques les filières de recyclage en sont aux prémices. 2 millions de tonnes sont des déchets dangereux, dont l’amiante issue des rénovations qui fait déjà l’objet d’une réglementation pléthorique. Derrière ces chiffres, deux enjeux majeurs se dessinent. Il faut tout d’abord améliorer le recyclage de ces 10 millions de tonnes de déchets du second œuvre, mais également réduire les dépôts sauvages, symptômes d’une concurrence déloyale dont souffrent en premier lieu les artisans du bâtiment. La FFB souhaite un renforcement effectif des contrôles sur ce point. La FFB estime que la mise en place d’une contribution prélevée sur une assiette large de produits et matériaux (y compris ceux qui sont importés ou vendus en GSB aux particuliers) constituerait une solution équitable. Cette contribution servirait, sous le pilotage d’une interprofession à construire avec l’ensemble des acteurs, à financer d’une part des actions ciblées pour développer le recyclage, d’autre part à renforcer le maillage territorial en points de collecte, publics ou privés. Ce second point reste la priorité pour lutter contre les dépôts sauvages. Pour cela, les déchèteries publiques se doivent d’accueillir les déchets des artisans. Mais, les horaires sont souvent inadaptés, 20 % n’accueillent pas les déchets du secteur et de plus en plus leur ferment la porte. Une tarification et des horaires adaptés aux professionnels doivent être mis en place, au risque voir se développer les dépôts sauvages.
Il y a 6 ans et 17 jours

Enquête et diagnostics toujours en cours pour Notre-Dame de Paris

Franck Riester, le ministre de la Culture, a dressé, mercredi 15 mai 2019, en présence de Justin Trudeau, Premier ministre canadien, un premier bilan de la catastrophe. « Notre-Dame de Paris dans sa structure architecturale est sauvée, mais il reste encore du travail pour diagnostiquer l’étendue des dégâts et pour sécuriser ce qui reste le point le plus problématique du site : la voûte », a t-il assuré, en précisant que « les opérations de conservation et de sécurisation sont toujours en cours ». A l’issue de cette phase de diagnostic qui pourrait durer « plusieurs semaines », la période de « restauration » à proprement parler de la cathédrale Notre-Dame de Paris pourra débuter. L’enquête sur le déclenchement de l’incendie n’est pas terminée : « Actuellement, ce sont des robots qui retirent les gravats qui sont à l’intérieur de Notre-Dame de Paris pour, d’une part, être analysés par les experts du ministère de la Culture, tant en matière d’archéologie qu’en matière de monuments historiques, notamment avec le laboratoire de Recherche des Monuments historiques, mais aussi par la police pour voir s’il n’y a pas des indices qui permettraient d’expliquer l’origine de l’incendie ». Pour le ministre, il est prématuré de tirer des conclusions. Source : Ministère de la Culture Photo : Anna Ader
Il y a 6 ans et 207 jours

Exposition : L'Art du Chantier

Assommant l'univers du chantier ? Rien n'est moins certain, à en croire la Cité de l'Architecture et du Patrimoine qui organise jusqu'au 11 mars 2019 une exposition non pas sur le chantier lui-même, mais sur ses représentations, qu'elles soient réalisées par des artistes, des organisations politiques, des architectes ou des ouvriers. De quoi changer d'opinion sur ce monde de bruits, d'outils et de gravats... Si le mot " chantier " ne vous évoque que vacarme de marteau-piqueur, camion en plein milieu de la rue, poussière et autres désagréments, rendez-vous vite à la Cité de l'Architecture et du Patrimoine (16e) pour découvrir l'exposition L'Art du Chantier, construire et démolir du 16e au 21e siècle. Imaginé par les commissaires Valérie Nègre et Marie-Hélène Contal, cet événement qui n'a pas pour ambition de raconter ce qu'est " ou était " un chantier, mais d'explorer les façons dont il a pu être représenté par les artistes comme par les entreprises ou même les artisans, modifiera à coup sûr votre perception de cet univers si singulier... SI le corpus ultra-riche composé de 433 "uvres présenté entre les murs de la Cité Chaillot vaut le détour, c'est pour plusieurs raisons. La première, et non des moindres, consiste à rappeler que ce moment si particulier dans la vie d'un projet constitue une source d'inspiration pour les artistes. Perçu comme un " spectacle de rue ", il fascine autant qu'il exaspère, faisant l'objet de portraits tantôt laudatifs, tantôt critiques. Mais plus intéressant encore, l'exposition révèle surtout en quoi la représentation du chantier " et par extension la communication qui l'entoure " est affaire de pouvoir. Valorisation du savoir-faire des artisans ; démonstration de force pour une entreprise visant à démontrer sa capacité à construire une tour de plusieurs dizaines d'étages en un temps record ; outil de revendications sociales pour les ouvriers ; objet de propagande instrumentalisé par certains partis ; média destiné à valoriser " si ce n'est faire accepter " une politique d'aménagement du territoire... Nombreux sont les exemples présentés démontrant à quel point le chantier représente, pour celui qui en dresse le tableau, un moyen efficace de défendre son propos. Au-delà de cette dimension méta-politique, l'événement est aussi l'occasion pour le visiteur de découvrir certains aspects méconnus du chantier si souvent " interdit au public " : de comprendre qu'il est pour les ingénieurs et les entreprises un lieu d'expérimentation, pour les architectes en herbe un moment d'apprentissage, et, pour certains visiteurs inopinés " enfants, errants, prostitués, etc. " un point de rendez-vous ! Quoi qu'appréciable, ce petit plus est aussi le petit moins de l'exposition, donnant l'impression que celle-ci perd de vue son propre sujet, glissant de la représentation du chantier à sa réalité. Mais ce désagrément reste minime... Alors n'hésitez plus, enfilez vos bottes, votre casque et filez à la Cité de l'Architecture et du Patrimoine découvrir L'Art du Chantier ! Pour en savoir plus, visitez le site de la Cité de l'Architecture et du Patrimoine  Photographie et illustrations : 1) Eugène de Salignac, Peintres suspendus aux câbles du pont de Brooklyn, 7-10-1914© New York City Municipal Archives2) Knickerbocker Photo Service, L'Empire State Building en construction, 1930© Avery Architectural&Fine Arts Library, Columbia University3) Alphonse Terpereau, Le viaduc de Gabarit, état des travaux le 6 avril 1884 7© Musée d'Orsay, Dist. RMN-GP Alexis Brandt4) Bureau de John Soane, Vue de la salle de l'infirmerie de l'Hôpital Royal de Chelsea en construction, 1809© Sir John Soane's MuseumPh. Geremy Butler5) Fernand Léger, Les Constructeurs à l'aloès, 1951. Tapisserie tissée par les ateliers Pinton Frères© RMN-GP (musée F. Léger)-G.Blot - Adagp, Paris, 20186) Henri Rivière, Ouvrier plombier sur la tour. Les Trente-six vues de la Tour Eiffel, entre 1888 et 1902© RMN-GP (musée d'Orsay)-R-G Ojéda - Adagp, Paris, 20187) Lewis Wickes Hine, Icare, tout en haut de l'Empire State, 1931© The New York Public Library8) B. Descamps, Badauds regardant par le trou d'une palissade du chantier du forum des Halles, devant la fontaine des Innocents, 1979© BHVP-Parisienne de Photo9) Michel Delaporte, Le replatrage dans La caricature morale, politique et littéraire10) Achille Beltrame, Mussolini lance le chantier de la via dei Fori11) Tu es syndiqué. Pourquoi n'est-tu pas coopérateur, vers 193512) Mise en charge d'une dalle-champignon en ciment© Felix Candela architectural records and papers, 1950-1984, Avery Architectural & Fine Arts Library, Columbia University13) Alain Bublex, Plug-in City, Expérience monumentale, 2003 © C. Pompidou MNAM-CCI Dist. RMN-GP© Adagp, Paris, 201814) " En remerciement à Notre-Dame-de-Laghet. 17.12.26 Menardo Geoffroy ", 192715) " Ex voto. Ma. Sig. Staudo dentro nel cortile successo il 18 aprile venerdi santo 1851. Paolo Tibaud. Malero Modesto. Fortune Viegi ", 1851
Il y a 7 ans et 219 jours

L'hôpital Khovrinski de Moscou : Bienvenue en enfer

D'ici la fin de l'année, un bâtiment hors norme, intrigant, voire effrayant, devrait être (enfin) rasé de la carte de la capitale russe. Effrayant ? Oui ! Lugubre même, l'hôpital Khovrinski, situé au nord-ouest de la ville. Un bâtiment glauque. Petit tour du propriétaire avant qu'il n'en reste qu'un tas de gravats. En janvier 2017, […] L'article L'hôpital Khovrinski de Moscou : Bienvenue en enfer est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 8 ans et 148 jours

Big Bag'N Go redéfinit la collecte de déchets de chantier

Chaque année en France, plus de 35 millions de tonnes de déchets sont produites des opérations de réhabilitation ou de démolition. Afin de proposer aux professionnels du BTP de travailler sur un chantier propre, Arnaud Rongier a eu l'idée de créer, en 2011, l'entreprise Big Bag'N Go, qui associe la vente de sacs à gravats géants et un service de collecte de déchets à la demande des clients. Tous les détails sur cette start-up originale.
Il y a 8 ans et 189 jours

Big Bag 'N Go : la collecte de déchets de chantier à la demande

Big Bag 'N Go innove dans la gestion des déchets de rénovation avec une formule simple : la vente de sacs à gravats géants associée à un service de collecte à la demande pour les professionnels du bâtiment comme pour les passionnés de bricolage.
Il y a 8 ans et 205 jours

Big Bag 'N Go mêle sacs à gravats géants et collecte à la demande

La société Big Bag 'N Go propose un service exclusif de collecte de déchets de chantier en "big bag" pour professionnels et particuliers.
Il y a 8 ans et 246 jours

Les gravats de la Samaritaine prennent la Seine

Vinci Construction France a choisi de confier le transport des déchets de son chantier parisien à Paprec Recyclage et CRH-Raboni, qui ont recours à une péniche naviguant sur la Seine. Le navire qui récupère les gravats les emporte vers un centre de retraitement situé en aval du fleuve. De quoi réduire le nombre de camions sur la route.
Il y a 8 ans et 351 jours

Trois ans de retard pour la centrale hydroélectrique Romanche-Gavet

Le projet de centrale hydroélectrique " Romanche-Gavet ", mené par EDF dans le département de l'Isère ne devrait fournir ses premiers kilowattheures qu'en 2020. L'annonce a été réalisée ce mardi par EDF qui fait état d'un retard de chantier de près de trois ans. En 2013, les travaux avaient notamment été arrêtés suite à des pluies torrentielles ayant provoqué des chutes de gravats. Deux ans avaient été nécessaires pour sécuriser le site.
Il y a 9 ans et 44 jours

Séisme en Equateur : Hyundai à la rescousse

Le constructeur coréen Hyundai Heavy Industries (HHI) annonce la fourniture, avec l'aide de son concessionnaire local, de 4 pelles de 21 t pour reconstruire les routes et déblayer les gravats suite au séisme de magnitude 7.8 survenu en Equateur le 23 avril dernier.
Il y a 9 ans et 85 jours

Sur l'hippodrome de Longchamp, après les gravats, la première pierre

Dans le bois de Boulogne, à Paris, la déconstruction des tribunes du champ de courses est achevée et le chantier du nouveau bâtiment, signé par l'architecte Dominique Perrault, a été lancé officiellement ce lundi 14 mars.
Il y a 9 ans et 244 jours

Ivry-sur-Seine : le béton du renouveau

Une dalle en béton de 250 m2 est actuellement coulée sur la place du Général de Gaulle au coeur de la ZAC du Plateau d?Ivry-sur-Seine (94). Cette sculpture intitulée Marbre d'ici utilise plus de dix tonnes de gravats issus des démolitions du quartier intégrés à la composition d'un nouveau béton.
Il y a 9 ans et 252 jours

Ivry-sur-Seine : le béton du renouveau

Une dalle en béton de 250 m2 est actuellement coulée sur la place du Général de Gaulle au coeur de la ZAC du Plateau d?Ivry-sur-Seine (94). Cette sculpture intitulée Marbre d'ici utilise plus de dix tonnes de gravats issus des démolitions du quartier intégrés à la composition d'un nouveau béton.
Il y a 9 ans et 253 jours

Des déchets du BTP recyclés en espace urbain

VIDEO. Pour le dallage d'un espace urbain de 260 m2 à Ivry-sur-Seine (94), l'artiste plasticien Stefan Shankland et l'entreprise de terrassement Minéral Service ont recyclé 10 tonnes de gravats issus de la démolition d'immeubles du quartier.
Il y a 9 ans et 345 jours

Remorque double fonction

Moiroud propose un modèle double fonction qui permet le transport de gravats et tout type de matériaux grâce à ses ridelles et son système de basculement électrique facilitant un déchargement rapide.
Il y a 10 ans et 57 jours

Une centrale solaire (presque) 100 % Made in France inaugurée dans le Gard

La Générale du Solaire et Sovafim ont inauguré, à Pujaut (Gard), une centrale photovoltaïque dont les composants sont quasiment tous d'origine française. Les panneaux solaires sont implantés sur un site où la SNCF déposait des gravats. Un exemple de reconversion menée à bien.
Il y a 10 ans et 244 jours

Gravats et Pritzker Prize

L'avenir de la construction serait-il dans les bennes à ordures et les sacs de gravats? C'est l'avis des architectes Julien Choppin et Nicola Delon (agence "Encore Heureux"), commissaires de l'inspirante exposition "Matière grise" présentée jusqu'au 4 janvier 2015 au Pavillon de l'Arsenal (Paris IVe). Considérant les déchets de l'architecture comme potentiels de projet, le propos engagé est soutenu par une recherche iconographique remarquable...
Il y a 10 ans et 321 jours

Le " Marbre d'ici " valorise les gravats des banlieues

Briques, bétons, pierres, tuiles, carrelages? Que faire des déchets de déconstruction ? Sur le Plateau d'été, installé sur les chantiers de la ZAC du Plateau d'Ivry-sur-Seine, ils ont été transformés en "Marbre d'ici". Un matériau local et coloré.
Il y a 11 ans et 359 jours

Deux mises en examen pour des dépôts sauvages de gravats

Deux gérants d'une société de terrassement ont été mis en examen pour avoir déposé illégalement plusieurs milliers de mètres cubes de gravats sur une friche industrielle de Seine-Saint-Denis.
Il y a 11 ans et 359 jours

Deux gérants d'une société de terrassement mis en examen pour des dépôts sauvages de gravats dans le 93

Deux gérants d'une société de terrassement ont été déférés jeudi 13 juin au parquet de Bobigny pour avoir déposé illégalement plusieurs milliers de mètres cube
Il y a 11 ans et 359 jours

Deux gérants d'une société de terrassement déférés pour des dépôts sauvages de gravats dans le 93

Deux gérants d'une société de terrassement ont été déférés jeudi 13 juin au parquet de Bobigny pour avoir déposé illégalement plusieurs milliers de mètres cube
Il y a 11 ans et 360 jours

Sept ans de prison encourus pour dépôt illégal de déchets

Le dépôt ou l'abandon illégal de déchets en bande organisée est un délit passible de sept ans de prison. Deux gérants d'une société de terrassement ont ainsi été déférés jeudi matin au parquet de Bobigny pour avoir déposé illégalement plusieurs milliers de mètres cubes de gravats sur une friche industrielle de Seine-Saint-Denis, a-t-on appris de source judiciaire.