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Résultats de recherche pour modelisation

(305 résultats)
Il y a 2 ans et 165 jours

« GoBuild! » : une application web pour simplifier la phase d'esquisse d'un projet de construction

Quantifier un projet de construction et prendre en compte son bilan économique et environnemental dès sa phase de conception est devenu possible en quelques clics avec l’application GoBuild!Les fondateurs de la start-up lyonnaise Go Décision ont mis au point un outil dédié aux professionnels de la construction de bâtiments pour modéliser leurs projets en un temps record.Une application web puissante et intuitive pour accompagner les professionnels de la constructionGoBuild! s’adresse aux professionnels de la construction de logements collectifs (bureaux d’études, architectes, promoteurs...). L’application promet d’apporter une précision et une méthodologie dans la modélisation des projets par leurs volumétries et de les modifier à l’infini. GoBuild! recalcule instantanément chaque changement de paramètre. L’utilisation de béta données et de l’intelligence artificielle permet autant de simulations souhaitées.Type de logement, nombre de sous-sols, nombre de niveaux, surface type par logement, adaptation au sol, livrable Poids Carbone… et une multitude d’autres critères disponibles.Elle contribue ainsi à la prise de décision en fonction des besoins et objectifs : coût, bilan promoteur, impact environnemental… Rapide, intuitive, ludique, précise, exhaustive, personnalisable, l’application GoBuild! a été pensée et réalisée par des techniciens experts utilisateurs.Un outil d’aide à la décision multicritère : économique, technique et environnementalDans une logique prospective, GoBuild! assiste les utilisateurs à la genèse du projet, en amont de toute décision d’engagement de fonds (investissement foncier, métrage, maquette numérique…). L’outil permet de tester des hypothèses et de les quantifier afin de faciliter la prise de décision. Il devient ainsi possible de simuler un projet dès sa phase esquisse et de maîtriser le cahier des charges initial en fonction de nombreux critères économiques, techniques et environnementaux : un atout majeur dans un contexte mouvant d’une part de la mise en place de la nouvelle règlementation environnementale RE2020, et d’autre part de la pénurie et de coûts très volatiles de certaines matières premières.GoBuild ! fonctionne sous forme de licence. Elle vient challenger les compétences sur une même plateforme et les démocratise. Elle s’ajoute aux domaines de compétences des professionnels. Son principal objectif est d’accompagner et de faciliter les réflexions et prises de décisions des professionnels.L’application web est disponible dès maintenant sur www.gobuild.fr/presentation
Il y a 2 ans et 168 jours

un premier outil de modelisation acoustique pour la fenetre bois

Piloté par l’UFME et conçu par le société I.NOV, le projet de logiciel sortira d’abord pour la fenêtre bois avant de s’ouvrir à d’autres matières.
Il y a 2 ans et 172 jours

Le 1er outil numérique de modélisation acoustique de la fenêtre bientôt disponible

L’UFME ambitionnait de mettre à la disposition de la profession les informations scientifiques et techniques permettant d’évaluer, avant sa fabrication, les performances acoustiques des fenêtres fabriquées en France. Trois ans plus tard, la thèse aboutit au développement, en cours, du premier logiciel de simulation et modélisation acoustique de la fenêtre.Mesurer les performances acoustiques sur la table de dessin : une économie environnementale et financièrePlus qu’une avancée scientifique pour la filière, il s’agit de la concrétisation d’une recherche qui fera prochainement de la fenêtre le premier élément de l’enveloppe du bâtiment à disposer d’une modélisation acoustique intrinsèque. S’inspirant des domaines automobiles et aéronautiques, le logiciel permettra aux industriels de bénéficier d’une estimation de l’affaiblissement acoustique atteinte par une fenêtre dès sa phase de conception, quelle que soit sa composition (dimensions et vitrage). Cette simulation minimisera au maximum l’éventuel écart d’affaiblissement acoustique estimé par rapport à l’essai en laboratoire.Cet outil numérique constituera un gage de gain de temps et d’économies pour les fabricants de fenêtres en bois qui :éviteront la fabrication d’un prototype qui, après des essais coûteux, ne correspondrait pas aux exigences d’affaiblissement acoustique recherchées,réduiront leur impact environnemental en termes de matières pour la fabrication du prototype et de transports en réduisant les allers-retours vers les centres d’essais.Il permettra aussi aux prescripteurs, bureaux d’études d’intégrer le confort acoustique dans leurs projets de construction ou de rénovation des bâtiments grâce à l’estimation de l’affaiblissement acoustique des fenêtres.Une première version disponible fin 2023L’outil, financé par le CODIFAB, à la demande de l’UFME, l’UMB-FFB et la CAPEB, est réalisé par Arnaud Combes, gérant de la société I.NOV, mandaté en 2021 pour travailler sur ce projet de digitalisation du calcul d’affaiblissement acoustique des fenêtres bois. Ce logiciel devrait voir le jour au dernier trimestre 2023 avec la mise en ligne d’une application dédiée à la fenêtre bois, la plus complexe à calculer de par ses variations structurelles, ainsi que sur des modèles XXL. Elle sera ensuite déployée sur les fenêtres PVC, aluminium et mixtes bois-PVC/Aluminium, ainsi que sur les ensembles complexes. Si le développement de cet outil numérique reste ardu, il est indispensable que l’interface soit simple et claire pour l’industriel utilisateur.« L’outil est en phase de réglages et de tests afin d’offrir aux industriels l’outil le plus ergonomique. Nous effectuons des expériences acoustiques pour modéliser la fenêtre en 3D et nous permettre de paramétrer le plus précisément possible. Il suffira ensuite à l’utilisateur de renseigner le type de modèle, les dimensions, l’épaisseur du dormant, la largeur, le type de vitrage… pour découvrir quel niveau d’affaiblissement acoustique sera atteint. Cette simulation pourra venir compléter celle sur la partie thermique afin d’ouvrir la voie au développement d’un nouveau produit en toute sérénité. » - Arnaud Combes, gérant de la société I.NOV.Arnaud Combes, I.NOVUn expert choisi par l’UFME pour ses connaissances solides dans l’univers de la menuiserie et en matière de développement de logiciels de calculs. Diplômé de l’école d’ingénieurs ESME Sudria et de l’université Panthéon-Assas (Master Management et Nouvelles Technologies), il a par exemple :géré une équipe de développeurs sur différentes applications dans le domaine de la fenêtre et du vitrage (Groupe Saint-Gobain en 2013),créé son entreprise I.NOV SARL, au sein de laquelle il a développé l’application « Fenêtre sur Mesure ». Commercialisée depuis 2018, elle est destinée aux installateurs de fenêtres pour les aider à la prise de côtes sur chantier. Depuis plus d’un an, il continue à l’améliorer et la personnaliser,travaillé au sein de l’entreprise familiale Menuiseries Combes pour les accompagner dans l’évolution du système d’information et la transformation digitale.* L’UFME (Union des Fabricants de MEnuiseries) représente la filière des portes et des fenêtres. Comptant 154 adhérents répartis sur l’ensemble du territoire national, elle a pour vocation d’accompagner et de défendre les intérêts des concepteurs, fabricants et installateurs de menuiseries, ainsi que les professions complémentaires à ces métiers. Composée de trois commissions (technique, sociale & formation et communication), l’UFME s’attache à représenter les intérêts des professionnels de la menuiserie en encourageant la promotion de menuiseries françaises de qualité, en proposant une offre de formations étoffée et en s’impliquant dans le suivi actif des grandes thématiques techniques. Par son dynamisme et l’expertise de ses membres, l’UFME participe aux débats d’actualité autour du secteur de la construction et de la rénovation des logements. www.ufme.fr – www.choisirmafenetre.fr** Thèse effectuée au sein du LMSSC (Laboratoire de Mécanique des Structures et des Systèmes Couplés) du CNAM, par la doctorante Chaïma SOUSSI, avec le soutien financier du CODIFAB.Résultats de la thèse accessibles sur le site du CODIFAB : https://www.codifab.fr/actions-collectives/developpement-de-modeles-numeriques-pour-levaluation-des-performances-vibro-acoustiques-de-fenetres-2837.*** Le CODIFAB, Comité Professionnel de Développement des Industries Françaises de l’Ameublement et du Bois, a pour mission de conduire et financer, par le produit de la Taxe Affectée, des actions d’intérêt général en faveur des fabricants français de l’ameublement (meubles et aménagements) et du bois (menuiseries, charpentes, panneaux, bois lamellé, CLT, ossature bois, …). Le CODIFAB fédère et rassemble 4 200 PME/ETI et plus de 15 000 artisans, représentés par leurs organisations professionnelles : Ameublement Français, UFME, UICB, UIPC, UIPP, UMB-FFB, UNACMA-CAPEB, UNAMA. Les actions collectives ont pour objectif d’accompagner les entreprises de création, de production et de commercialisation par : une meilleure diffusion de l’innovation et des nouvelles technologies, l’adaptation aux besoins du marché et aux normes environnementales, la promotion, le développement international, la formation, et par toute étude ou initiative présentant un intérêt pour l’ensemble de la profession. www.codifab.fr
Il y a 2 ans et 192 jours

La numérisation est-elle efficace pour rendre les bâtiments moins énergivores ?

Si le financement reste le nerf de la guerre, un autre enjeu est au cœur de la transition : la disponibilité des données pour évaluer et améliorer la performance énergétique des bâtiments.Représentant près de 45% de la consommation d’énergie et près de 25% des émissions carbone, le secteur français du bâtiment est un enjeu central dans la lutte contre le changement climatique et la réduction des émissions carbone. La dernière réglementation en date, la RE2020 (dont la mise en œuvre a commencé le 1er janvier 2021), a défini des objectifs ambitieux en termes de de conception, de confort et performance énergétique, avec pour cap la neutralité carbone des bâtiments d’ici 2050.Pour atteindre ses objectifs, la RE2020 comporte plusieurs échéances – la prochaine arrive en 2025 – qui imposent aux bâtiments de respecter des niveaux progressifs d’efficacité énergétique, calculés en fonction des « indices Bbio » (besoin bioclimatique du bâtiment).Constructions neuves et rénovation de l’ancien : une transition coûteuseSi la RE2020 concerne en premier lieu les bâtiments neufs, elle vise aussi à inciter à la rénovation thermique de l’immobilier l’ancien. Il y a un travail immense de mise en conformité de l’ancien, mais ces travaux de rénovation ont un coût qui peut être prohibitif pour les bailleurs.De plus, certaines complexités de l’ancien obligent à recourir à des matériaux ou des technologies certes très efficaces, mais aussi très coûteuses. A Paris, par exemple, il n’est pas possible d’isoler par l’extérieur les nombreux bâtiments haussmanniens dont les façades sont protégées. Des solutions alternatives existent, comme les verres intelligents, mais elles coûtent très cher.Qu’il s’agisse des travaux d’isolation, des équipements de chauffage et de climatisation, ou encore des matériaux biosourcés, la capacité à investir reste et restera l’enjeu central de l’objectif de neutralité carbone des bâtiments.Il ne s’agit toutefois pas du seul enjeu. Car on aura beau définir les objectifs d’empreinte carbone, de performance énergétique et d’économie circulaire les plus ambitieux, ils resteront des vœux pieux si l’on ne dispose pas des données nécessaires pour les mesurer et les atteindre.Le processus BIM est-il une réponse efficace ?La transition numérique de la filière du bâtiment est-elle également synonyme de transition environnementale ? Dans la mesure où le concept de « bâtiment intelligent » est intimement lié à l’amélioration des performances énergétiques, la réponse est oui. Mais pour rendre les bâtiments et les ouvrages intelligents, il faut de l’information disponible et partagée tout au long de leur cycle de vie.Le BIM, qui fait l’objet d’un plan gouvernemental (Plan BIM 2022), est justement censé couvrir toutes ces phases : conception, réalisation et maintenance. Dans les faits, il est surtout utilisé pour la conception. La réalisation reste traditionnelle et le restera sans doute encore longtemps, en raison du très grand nombre d’acteurs de toutes tailles (98% étant des sociétés de moins de 50 salariés). La maintenance – qui englobe la rénovation et la réutilisation et/ou le recyclage des matériaux des bâtiments en fin de vie – est une partie déterminante (qui plus est pour les bâtiments anciens) qui exige encore beaucoup de progrès en termes de numérisation.Ce qui compte dans le processus BIM, c’est le « I » (l’information) et non le « M » (la modélisation). Cette information est d’autant plus importante qu’elle concerne non seulement les données génériques des matériaux et produits de construction (caractéristiques, critères de qualité auxquels ils répondent), mais également les données réelles (empreinte carbone, performances réelles, etc.). Car ce sont ces dernières qui vont permettre, à terme, de mesurer – et non simuler – la performance globale des ouvrages.Pour permettre aux acteurs de la filière de mieux travailler ensemble et de relever les défis environnementaux, il est donc essentiel de pouvoir collecter l’ensemble de ces données, et de le faire de manière structurée et normalisée avec un modèle commun, comme par exemple le dictionnaire de données Define. Le BIM fournit les données génériques, tandis que les données réelles seront plutôt fournies par le jumeau numérique. Ce dernier s’appuie notamment sur l’IoT pour remonter les données réelles et compléter les informations de base du processus BIM.Le processus BIM est-il une réponse efficace pour atteindre les objectifs ambitieux définis par la RE2020 et au-delà ? Oui, à condition de disposer du plus important : la data.Tribune de Roland Dominici, Directeur général CoBuilder France (Linkedin)
Il y a 2 ans et 207 jours

Comment garantir une construction connectée pour les acteurs du bâtiment ?

La construction connectée permet de connecter digitalement les équipes, les processus et les informations tout au long du cycle de vie d’un projet de construction de bâtiment.  En connectant et en intégrant les flux de travail et les données liées au projet, les informations circulent de manière transparente d’un système à l’autre. La collaboration fluide entre les parties prenantes d’un projet commun est alors garantie, ainsi que l’accès à des données fiables et à jour. Découvrez comment garantir une construction connectée pour les acteurs du bâtiment dans cet article !  Le BIM, solution pour une construction connectée Si la modélisation est clé en BIM, l’aspect “Information” de cet acronyme est très important. Bien que souvent mis en second plan. Pourtant, il permet de créer une communication entre les acteurs d’un même projet de construction digitale. Et ça, c’est important. L’information doit être démocratisée, compréhensible pour tous les acteurs, y compris pour ceux qui ne sont pas experts BIM. Et pour aller plus loin encore, une fois le BIM implémenté, la solution est de connecter les différentes interfaces de logiciels BIM de chacun (Revit, Archicad, Rhino…) pour garantir une interopérabilité.  L’interopérabilité en BIM, quésako ? L’interopérabilité en BIM est la capacité pour un logiciel Revit par exemple, de fonctionner avec un logiciel Rhino sans restriction d’accès ou de mise en œuvre. Comme un portail de voyage vers une autre dimension, mais pour le BIM ! De cette manière, chacun peut travailler avec l’outil BIM qu’il ou elle préfère. Et ainsi, garantir que les informations et modèles soient correctement échangés sans pertes d’informations.  C’est notamment possible avec les visionneuses IFC comme BIMData.  Cet outil permet un échange de données pour collaborer facilement avec tous les acteurs d’un projet commun.   BIMData et BIM&CO, via sa solution Onfly, se sont d’ailleurs associés pour garantir un accès au BIM à tous. Ce partenariat permet d’accéder à ses données en un clic, de les sélectionner et visualiser plus simplement en 2D et 3D. Aussi, il devient possible de les structurer et partager afin de mieux collaborer avec toutes les parties prenantes de vos projets. Découvrez-en plus sur l’accès au BIM pour tous, avec BIMData et Onfly de BIM&CO, en visionnant notre événement réalisé à ce sujet ! Construction connectée et transformation digitale : homonymes ou voisins ? On l’aura compris, le BIM est le secret pour arriver à une construction connectée. Mais quant au concept de « transformation digitale”, s’agit-il de la même chose ?  Bien qu’il s’agisse de termes qui se ressemblent, nous sommes navrés de vous annoncer que non, ce n’est pas la même chose. Explications. La transformation digitale ouvre la porte à la connexion. Les acteurs de l’AEC (architectes, ingénieurs et constructeurs) peuvent être plus ou moins digitalisés, mais cela ne signifie pas qu’ils soient connectés les uns aux autres. Certains vont travailler chacun de leur côté avec leur logiciel BIM, avec leurs informations, mais… sans les partager. Si certains n’en ont pas les moyens techniques, d’autres ne sont tout simplement pas prêts mentalement à partager leurs informations sur un projet. Cela crée alors des données BIM en silo. Alors, disons que la transformation digitale correspond plutôt au voyage mené pour atteindre une construction connectée pour les acteurs du bâtiment.  Il s’agit pour les acteurs d’un même projet de construction, de connecter leurs systèmes, dans un emplacement partagé, centralisé et cela grâce au digital. Le bonus : si une entreprise de construction ne s’y connaît pas énormément en digital, elle peut quand même mener à bien un projet avec un bureau d’études qui a un niveau plus élevé dans ce domaine. Via un emplacement commun, tout le monde a accès au même niveau d’information. Cela va encourager les acteurs moins digitalisés à se jeter dans le bain. Plutôt sympa, non ? Oui mais… Comment s’y prendre concrètement ? La transformation digitale pour atteindre une construction connectée Avec des solutions comme Onfly de BIM&CO, il est possible de réaliser cette centralisation et ce travail commun sim-ple-ment. Onfly est une bibliothèque commune de contenus BIM pour partager et centraliser ses informations, données et objets BIM. Découvrez dans notre livre blanc les 10 étapes simples pour créer votre propre bibliothèque d’objets BIM ! Découvrez la suite dans notre article de blog !
Il y a 2 ans et 210 jours

decouvrir approcher visiter le bim s invite dans le projet de reamenagement des 54 hectares autour de la tour eiffel

Le concours « Grand site tour Eiffel » organisé par la Ville de Paris, en partenariat avec Autodesk, a nécessité, en amont des propositions paysagères, une modélisation 3D des 54 hectares destinés à être réaménagés en vue des Jeux Olympiques de Paris 2024. Architectes, géomètres, ingénieurs et chefs de projet : une poignée d’experts s’est mobilisée pour relooker les jardins légendaires de la Dame de Fer depuis le Trocadéro jusqu’à l’École Militaire. Découvrez comment s’articule le projet au cœur de chaque spécialité.
Il y a 2 ans et 226 jours

En France, il ne peut pas être établi de lien entre l'extraction en mer et l'évolution du trait de côte

Leur extraction comme toutes autres activités anthropiques peut avoir des impacts. Connus de longue date, ils sont pris en considération dans la réglementation française au travers d’une législation spécifique relevant à la fois du code minier et du code de l’environnement. Cette activité est strictement contrôlée par les services de l’État. La publication d’une étude récente (2021) indique que, grâce au respect de critères* établis scientifiquement depuis les années 80, il n’est pas constaté d’impact avéré des sites d’extractions existants sur l’évolution du littoral français.L’amélioration et le partage des connaissances : une ambition forte pour la professionDepuis plus de 40 ans, les professionnels de l’extraction de granulats en mer se sont engagés dans des partenariats scientifiques afin de mieux connaître et maîtriser les impacts de leur activité sur l’environnement. Plus spécifiquement, dès les années 1980, ils ont co-financé des études confiées au Laboratoire Central d’Hydraulique de France (LCHF), portant sur l’effet d’une cavité d’extraction sur le trait de côte. Celles-ci ont conclu à la nécessité d’interdire toute concession à l’intérieur de la zone littorale comprenant les espaces dunaires, les plages et les avant-plages sous-marines.Plusieurs projets de recherche européens et internationaux ont permis à l’Institut Français de Recherche pour l'Exploitation de la Mer (Ifremer) de généraliser les conclusions précédentes et d’initier la rédaction d’un premier guide paru en 2007 émettant des recommandations nationales pour limiter les effets des extractions sur le trait de côte. Ces éléments ont été appliqués par la profession au fur et à mesure de l’évolution des connaissances scientifiques et ils sont aujourd’hui repris dans des modélisations numériques qui permettent de quantifier l’effet des extractions par comparaison entre l’état de référence des sites et l’état après exploitation. En outre, des suivis périodiques des fonds de la concession et de ses abords sont prescrits dans les arrêtés préfectoraux d’ouverture de travaux miniers.Un focus nécessaire sur l’activité d’exploitation de granulats en mer et érosion côtièreLa profession s’est aussi engagée depuis 2012 dans les discussions portant sur la «Stratégie nationale de gestion durable des granulats marins et terrestres et des matériaux et substances de carrières» et a participé au groupe de travail sur les granulats marins qui a rédigé un guide méthodologique pour l’élaboration des Documents d’Orientation pour une Gestion Durable des Granulats Marins (DOGGM) publié en novembre 2016 par le ministère en charge de l’Environnement.À la lecture de ce guide, il apparaissait que le sujet de l’impact de l’activité d’exploitation de granulats en mer sur l’érosion du trait de côte méritait un focusL’Union Nationale des Producteurs de Granulats (UNPG), au travers de la commission granulats marins, a souhaité mettre à la disposition de tous un document scientifique, technique et pédagogique qui fait le point sur le lien entre extractions de granulats marins et évolution du trait de côte.L’UNPG s’est rapprochée de l’établissement public Cerema et de la société de conseil et d’ingénierie Artelia pour réaliser un état des connaissances disponibles.Le rapport en résultant est organisé en quatre chapitres : Évolution du trait de côte : présentation générale du sujet, Synthèse des connaissances sur certaines provinces sédimentaires des façades de la mer du Nord, de la Manche et de l’Atlantique, Synthèse des connaissances scientifiques sur les différents processus hydrosédimentaires pouvant amener un impact des extractions de granulats marins sur le trait de côte, Retours d’expérience en France.Cette étude réalisée en 2021 par Artelia et le Cerema indique que, grâce au respect de critères établis scientifiquement dans les années 80 pour éviter les impacts potentiels sur le trait de côte, les concessions exploitées en France ces quarante dernières années ont été positionnées correctement. De ce fait, on ne constate pas aujourd’hui d’impact avéré des sites existants sur l’évolution du littoral français.L’UNPG a souhaité aller plus loin après la publication de cette étude et, s’est rapprochée du ministère de la Transition Ecologique et de la Cohésion Territoriale (MTECT) pour la compléter par la rédaction et la publication d’un guide méthodologique soumis à la validation d’un comité de lecture composé d’experts sur le sujet. Il s’agit de mettre à disposition une méthodologie unifiée d’évaluation des impacts potentiels sur l’évolution du trait de côte, transposable à tous types de concessions, en fonction de leur contexte (côtier, estuarien, secteurs de falaises…). Cette méthodologie permettra aux porteurs de projet de mieux cibler leurs études, aux services instructeurs de vérifier la conformité des études d’impact à ce référentiel et aux parties prenantes de disposer en toute transparence d’un outil d’évaluation reconnu collégialement par des experts du sujet.L’étude complète est à retrouver ici.Pour Amélie Roche, directrice de projet en gestion des territoires littoraux : « Le Cerema est le seul établissement public à embrasser l’ensemble des enjeux littoraux, maritimes et fluviaux, pourvoyeur d’expertise et de solutions au niveau national et territorial. Nous avons apporté dans le travail avec l’UNPG notre expertise sur le trait de côte et l’impact des activités sur le milieu marin. Nous participons au comité d’experts sollicités par le MTECT pour suivre la rédaction du guide méthodologique d’évaluation des impacts de l’extraction de granulats sur le trait de côte. Cela rejoint nos missions en faveur de la planification spatiale maritime, qui doivent permettre de concilier les usages et de limiter les pressions sur l’environnement. »Pour Luc HAMM, consultant en hydraulique maritime, ancien directeur technique d’Artelia Branche Maritime : « Ce travail de synthèse a permis de rassembler et diffuser l’ensemble des connaissances actuellement disponibles au niveau national et européen. Il met en évidence la mise en place précoce en France de recommandations pratiques permettant d’éviter tout impact sur le trait de côte qui ont servi de base depuis 40 ans aux projets de concessions en France. Ces recommandations ont ensuite régulièrement évolué pour suivre les progrès scientifiques et notamment le développement des simulations numériques toujours en cours. »Pour Laëtitia Paporé, présidente de la commission granulats marins de l’UNPG : « Cette étude vient clarifier l’implication de la profession dans l’acquisition de connaissances sur l’impact potentiel de l’extraction en mer sur le trait de côte. Elle montre l’évolution du traitement du sujet dans les études d’impacts des dossiers de demande d’exploitation de granulats marins en fonction de l’évolution des connaissances scientifiques. Il s’agit d’une première étape importante en matière de partage de données et de connaissances suivi par l’élaboration en cours du guide méthodologique. »
Il y a 2 ans et 248 jours

Trimble : Tekla passe en version 2022

Trimble présente la version 2022 de son logiciel Tekla Structures. [©Trimble] A chaque mise à jour, ses nouveautés. La version 2022 de Trimble Tekla Structures ne déroge pas à cette règle. Ainsi, elle améliore la création des plans de fabrication et inclut les assemblages d’armatures. Surtout, elle profite du Calculateur carbone intégré permettant de visualiser l’impact en CO2 des choix de conception Tekla Structures. Parmi les améliorations et les nouvelles fonctionnalités, il y a la création facilitée des plans de fabrication. L’aide intégrée guide pour créer avec plus efficacité des croquis de débit, d’assemblages et des dessins d’éléments béton. Vient ensuite la modélisation des armatures. Les cages sont maintenant gérées comme des assemblages, afin que vous puissiez modéliser, numéroter, créer des listes, documenter et exporter les cages, les coupleurs et les inserts. Le processus de contrôle de la répartition des armatures a aussi été simplifié. Et grâce à la nouvelle fonctionnalité “Surface”, il devient possible de créer automatiquement des jeux d’armatures sur la surface du béton, quelle que soit la complexité de la forme générée. Batimat – Hall 1 – Stand E46 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 250 jours

Entrepose Echafaudages : Elle s’appelle… Noémi 3D

Noémi 3D accompagne les projets d’échafaudages et d’étaiements. [©Entrepose Echafaudages] Entrepose Echafaudages maîtrise le métier de l’échafaudage et de l’étaiement dans son ensemble, de la conception à la mise en œuvre, en passant par les études, la vente, la location et la formation des utilisateurs. C’est ainsi qu’à Batimat, l’industriel dévoile le logiciel Noémi 3D. Cet outil accompagne et facilite les projets d’échafaudages et d’étaiements de tous les acteurs de la construction. Pour cela, une équipe informatique a été recrutée et formée au métier de l’échafaudage et de l’étaiement. Elle assure le support et la formation des clients à cet outil. Mais Noémi 3D c’est quoi ? « C’est le logiciel le plus intuitif du marché qui permet de simplifier la conception d’échafaudages à tous les niveaux pour tous les acteurs du bâtiment et de l’industrie avec nos gammes de matériels ! Grâce à une interface intuitive, la modélisation des structures en 3D devient un jeu d’enfant. En seulement quelques clics, le tour est joué », souligne la marque. Batimat – Hall 4 – Stand D42 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 255 jours

Réouverture du bâtiment B de l’université de Caen

L’université de Caen occupe une place à part dans l’histoire des universités françaises. Fondée au 15e siècle, elle est l’une des universités les plus anciennes. Détruite entièrement pendant la seconde guerre mondiale en 1944, sa reconstruction qui s’est étalée sur presque 10 ans a été l’occasion de repenser son organisation. Ainsi, Henry Bernard, son architecte urbaniste, avait décidé de rebâtir une université monumentale sur le modèle des « campus » à l’anglo-saxonne. Ce pari audacieux symbolisait la renaissance de la cité normande. 64 ans plus tard, la rénovation du bâtiment B, classé au titre des monuments historiques depuis 1962, est une nouvelle étape de l’évolution de l’université de Caen. La restauration du bâtiment B qui vient de se terminer, après 6 ans de travaux et 29 millions d’euros de budget, permet d’offrir aux étudiants des conditions d’apprentissage optimales grâce à de nombreuses innovations pédagogiques et à un cadre de vie de qualité, tout en mettant en place des innovations technologiques. Cette rénovation intégrale du bâtiment B, première grande étape des rénovations du Campus 1, témoigne de la stratégie de l’université de Caen en matière de gestion immobilière tournée vers l’avenir : des bâtiments connectés, performants énergétiquement, vecteurs de vie étudiante et d’animation et ouverts aux nouvelles manières d’enseigner en relation avec l’utilisation du numérique.Pour Lamri Adoui, président de l’université de Caen Normandie : « La rénovation intégrale du bâtiment B est un condensé de l’ambition écologique et technique de l’université en matière de gestion de son patrimoine immobilier et témoigne de la permanence de cette vision novatrice du célèbre architecte, Henri Bernard. Projet très ambitieux, cette rénovation vise à la fois l’excellence thermique et la modularité des espaces dans un patrimoine classé. »Histoire : Tel le Phénix, l’université de Caen renaît de ses cendresLe Bâtiment B du campus 1, classé monument historique, a été conçu après la deuxième guerre mondiale par le grand architecte Henri Bernard dans le cadre de la reconstruction du centre-ville de Caen après sa destruction pendant la bataille de Normandie. Achevé en 1967 et ayant subi de multiples modifications, le bâtiment était en mauvais état et nécessitait une rénovation complète pour retrouver son dessin initial et être en phase avec les usages contemporains.Les travaux entre traditions et innovationsFermé entre 2016 et 2022, le bâtiment B a été intégralement vidé pour n’en conserver que la structure primaire. En accord avec les architectes des Bâtiments de France et selon le projet initial d’Henri Bernard, des modifications des façades ont été opérées afin d’ouvrir le bâtiment sur le campus et sur la ville, de faire entrer plus largement la lumière naturelle et d’en faciliter la circulation.L’opération a duré 6 ans durant lesquels jusqu’à 25 corps d’état se sont succédés sur le chantier. Le budget total, hors équipements, est de l’ordre de 29 M€ apportés par l’université de Caen, la Région Normandie, le département du Calvados et le Plan de relance (France Relance). Malgré les « surprises » comme la présence d’amiante qui a nécessité un désamiantage complet (15.000 m2) et les retards générés par la crise sanitaire, le planning initial a été respecté. Le bâtiment B est prêt pour la rentrée de septembre 2022 grâce, notamment, à la maîtrise de la technologie BIM (modélisation des données du bâtiment) par les équipes de l’Université.Des innovations technologiques...Afin de répondre à l’ambition de l’université en termes de développement durable, le bâtiment intègre les impératifs écoresponsables actuels. Ainsi, en choisissant la pose de fenêtres ultraperformantes alliées à une chaudière biomasse bois-gaz, l’université́ anticipe le durcissement de la règlementation en matière de consommation énergétique. De plus, le recours à des matériaux biosourcés a été privilégié par l’architecte ; ainsi, les menuiseries (tablettes, chaises) sont en hêtre, un bois local. Par ailleurs, un système de récupération de l’eau de pluie assure une part significative de la consommation du bâtiment....Aux innovations pédagogiquesL’innovation pédagogique est au cœur de la restauration du bâtiment. C’est pourquoi, l’équipe du CEMU, le service d’appui à la pédagogie de l’université qui accompagne les enseignants dans leur démarche pédagogique et l’intégration du numérique dans leurs enseignements, va prendre ses quartiers au 3ème étage du bâtiment B. Dès à présent, les enseignants peuvent utiliser tous les outils digitaux à leur disposition et compter sur les ingénieurs pédagogiques du CEMU pour les épauler dans leur démarche pédagogique, notamment dans l’intégration du numérique dans leurs enseignements.Afin de mettre les étudiants dans les meilleures conditions d’apprentissage, un ensemble de 18 salles de travail connectées d’une capacité de 8 et 12 personnes facilitant le travail collaboratif autour d’un écran sont réparties dans le bâtiment. Cela permet aux étudiants de se retrouver, d’échanger et de se poser. L’idée est de favoriser le travail collaboratif en mode projet. Les salles de cours intègrent tous les outils numériques (prises réseaux, WiFi) et les équipements audiovisuels (vidéoprojecteurs, écrans, casques, etc.). Certaines salles de cours sont modulables et peuvent, si nécessaire, devenir des grandes salles d’examen grâce à un jeu de cloisons mobiles, spécialement étudiées pour offrir une isolation phonique adéquate lorsqu’elles séparent les salles.Le bâtiment possède même son propre plateau d’enregistrement vidéo et son studio audio de qualité professionnelle.
Il y a 2 ans et 261 jours

Un bardage métallisé en Alucobond A2 pour la réhabilitation de 190 logements collectifs à Bobigny

Sous la maîtrise d’ouvrage de Seqens - France Habitation, le groupe Arcane architectes a réhabilité une résidence de 190 logements collectifs sur une surface de 12.350 m2. Afin de répondre aux diverses contraintes des lieux, la proposition portait sur trois points essentiels :1. Uniformiser le traitement architectural au sein de la résidence pour assurer la cohérence au sein de l’ensemble immobilier par l’utilisation d’un nombre réduit de matériaux et de coloris. Afin de rompre la monotonie existante et l’effet de masse de la barre haute, deux types de parements sont apposés par alternance, surlignant le rythme existant. Le principe est maintenu sur les plots, où l’alternance crée un jeu de volumes.2. Moderniser l’écriture et valoriser les bâtiments. Un soin particulier a été apporté dans le choix du bardage et de son calepinage afin de proposer un dessin contemporain, toutefois suffisamment sobre pour lui permettre de traverser les « effets de mode ». La valorisation passe par l’utilisation de matériaux nobles, pérennes, et aux teintes sobres pour éviter un aspect « logement social » trop marqué : le bardage métallisé en ALUCOBOND et l’enduit métallisé. Le calepinage des façades a été réalisée très facilement et rapidement grâce à la solution HICAD-ALUCOBOND de modélisation 3D. 4 550 m 2 de panneaux ALUCOBOND A2 de la gamme sparkling ont été posés en cassettes avec la solution SANAGA du fabricant ACODI et rivetés avec la solution POLARIS d’ACODI.3. Traiter les désordres et pérenniser la réhabilitation. L’ensemble des actions visait à traiter les désordres sur le bâti et les dysfonctionnements d’usage, tels que la réparation des bétons et mise en œuvre de parements sur l’ensemble des façades isolées, la mise en œuvre de couvertines ou de bavettes en tête de tous les voiles ainsi que la pose de garde-corps cachant les nez de dalle, inclinés pour empêcher la halte et la nidification des pigeons et la pose de parements perforés (ventilés) au droit des «balcons-celliers ». Fiche techniqueMaître d’ouvrage : Seqens – France HabitationSurface : 12.350 m 2 SHABCoût HT : 4,9 M€Maîtrise d’œuvre : Groupe Arcane – architectes mandataires, P.A.B BET TCEFabricant : ACODI / Poseur : PRISIMO
Il y a 2 ans et 269 jours

Auvent en rez-de-chaussée revêtu d’une peau blanche en Alucobond Plus pour la Tour Eria à La Défense

Le projet porté par ALTAREA et conçu par l’architecte Christian de Portzamparc, est né d’une volonté d’adaptation optimale du bâtiment à la forme du terrain pour créer des plateaux de bureaux de haute qualité et incarner une vision du bureau de demain et des nouveaux modes de travail. Sa façade en rez-de-chaussée prolonge le front urbain et installe des commerces et un espace de coworking. Elle est revêtue par 900 m2 de panneaux ALUCOBOND Plus de teinte Pure White 100, posés en casquette. L’immeuble de grande hauteur se positionne sur la commune de Puteaux au pied du quartier de La Défense et à l’angle des rues Bellini et Arago. Dans ce quartier où les ouvrages se caractérisent par leur verticalité, la tour ERIA se différencie par une originalité architecturale d’une audace unique en son genre, s’adaptant de manière optimale à son terrain d’accueil. Le bâtiment compte des bureaux, des services internes tels qu’un restaurant inter-entreprises, un espace de coworking et des parkings et ajoute 160 m² de commerces. Le choix du plan en éventail, « un cœur et trois pétales », permet d’offrir trois ailes parfaitement éclairées et des vues lointaines. Cette structure en pétale démultiplie la surface de façade et garantit une économie des espaces de circulation. Entre chaque pétale, un jeu de terrasses plantées en cascade marque une progression verticale et laisse voir la beauté naturelle du ciel. Les trois petites tours sont habillées de dièdres de verre qui réfléchissent la lumière. Certaines zones, quant à elles, sont composées de deux peaux de verre différentes. La silhouette singulière composée de trois fines ailes est un repère urbain bien visible depuis le boulevard circulaire et la dalle de la Défense. 900 m2 de panneaux ALUCOBOND Plus ont été posés en casquette sur l’auvent de façade en rez-de-chaussée de la tour. L’auvent a nécessité le cintrage et la reconstitution des panneaux. La façade a été calepinée très facilement et rapidement grâce à la solution du logiciel HICAD-ALUCOBOND de modélisation 3D. Fiche techniqueAdresse : 5 rue Belline, 92800 Puteaux - La DéfenseSurface : 25.000 m² de bureaux et 500m² de commercesHauteur : 55m - 13 étagesLabels visés : HQE Excellent, BREEAM Excellent, Well Silver, Effinergie +Maître d’ouvrage : ALTAREAArchitecte : Christian de PortzamparcEntreprise : EIFFAGE| Façadier : RINALDIFabricant des panneaux ALUCOBOND : ACODI | Poseur : SORECOB
Il y a 2 ans et 269 jours

Envisioneer Architecture 16, logiciel de CAO 3D BIM rapide, simple et intuitif de A.Doc dévoilé à Batimat

Un logiciel de conception BIM puissant, facile à maîtriser pour créer tous les projets de constructionDéveloppé par Cadsoft et commercialisé en exclusivité par A.DOC le logiciel de CAO 3D Envisioneer Architecture a été conçu pour répondre aux attentes des architectes, des constructeurs, des maîtres d’œuvre et plus largement de tous les acteurs du bâtiment en s’adaptant à tous les scénarios de projets : le neuf, la rénovation, la réhabilitation.Envisioneer Architecture est un logiciel de modélisation en 3D axé sur la conception facilitée de tout type de projet. Centrée sur le montage d’un modèle unique (en mode BIM), l’information de la maquette 3D est ensuite exploitée par des fonctions avancées rendues disponibles dans un seul et même outil.Ainsi, la présentation virtuelle (visite panoramique, rendu photo ultra réaliste, animations, présentation sur mobile), le dessin précis (plans, coupes et façades), le chiffrage (quantitatif précis et ventilé par lots de chantier, intelligence des ouvrages, communication avec les applications de pièces écrites) deviennent accessibles et forment une solution tout en un très séduisante et performante.Au-delà de sa convivialité, Envisioneer est un logiciel caméléon capable de gérer tous les scénarios de projets : bâtiment neuf, agrandissement, extension, surélévation, rénovation d’un bâti ancien, projet d’aménagement intérieur et de décoration, ... Le logiciel est donc réellement taillé pour réaliser des projets de diverses dimensions et les traiter aux niveaux de détails souhaités par l’utilisateur.En outre; le modèle unique issu du logiciel Envisioneer est automatiquement interprété à l'extérieur en raison de sa compatibilité avec les logiciels d’étude thermique, et ce, afin d’analyser ses performances bioclimatiques et de vérifier sa conformité réglementaire. La gestion d’une maquette 3D unique par Envisioneer permet ainsi de piloter facilement l’étude thermique qui conduit à l’obtention du certificat Bbio, nécessaire pour le dépôt d’un dossier de permis de construire.Dans sa nouvelle version, qu’il s’agisse d’un utilisateur débutant ou expérimenté, Envisioneer Architecture 16 va encore plus loin et révolutionne la manière de dessiner, et ce, sans formation !Une nouvelle version optimisée pour concevoir, dessiner et chiffrer toujours plus facilement et précisémentAvec les nouvelles capacités de la version 16, le logiciel professionnel qui se positionne comme la solution ayant le meilleur rapport qualité/prix du marché progresse encore. En effet, en passant à la version 16, la somme d’améliorations est conséquente. En plus d’une facilité d’utilisation toujours plus poussée, l’interopérabilité du logiciel connaît une avancée spectaculaire et la montée en charge qualitative de la version 16 renforce les nombreux atouts du logiciel Envisioneer.Focalisées sur les moyens de gagner du temps durant le montage des projets, des avancées décisives répondent plus particulièrement à la demande des utilisateurs, tandis qu’une série d’améliorations s’intègrent judicieusement au sein de l’interface et ses fonctions clés. Pour cela, le logiciel intègre des nouveautés majeures pour une conception facilité :Gestion de la charpente plus détaillée et en net progrès.Insertion des pannes et voliges.Nouvelle bibliothèque de végétaux et plantes vertes réalistes en 3D (bibliothèques Xfrog),Nouvelle communication BIM avec une interopérabilité largement accrue.Support et import optimisés des objets 3D de grande taille.Les portes et baies vitrées s’ouvrent dorénavant en grand sur les angles des murs.Les tableaux de nomenclatures des menuiseries sont refondus et reportent un maximum d’informations.Présentation percutante des plans d’avant-projet avec un rendu graphique immédiat et personnalisable (plans avec murs pochés en un clic).Commandes d’édition pour une disposition optimale des objets (aligner/répartir facilement des objets)....
Il y a 2 ans et 304 jours

ADEME [Finance Climact] - Présentation des Plans de transition sectoriels

Chacune de ces feuilles de route s’articule en quatre volets – Technologique, Financement, Marché/emploi et Plan d’actions publiques et privées – et s’appuie sur une collaboration étroite avec les principaux acteurs du secteur concerné (fédérations et majors des secteurs).Un Plan de Transition Sectoriel se déroule sur une durée de 12 à 18 mois selon la complexité du secteur, et est rythmé par des échanges avec les industriels (collectifs et bilatéraux) ainsi que des réunions élargies avec les parties prenantes de la filière.Concertation et modélisation au cœur de la méthodologieTravail bibliographique et échanges pour dessiner l’état des lieux technico-économique du secteurDéfinition et validation d’usines de référence sur le parc industriel françaisModélisation de chemins technologiques évaluant la capacité de réduction d’émissions et les besoins d’investissement à l’échelle du parcAnalyse de la demande en matériaux et évolutions liées à la transitionAnalyse du marché de l’emplois et des compétencesConcertation et élaboration d’un plan d’actions, publiques et privées, permettant une décarbonation viable du secteurPlusieurs livrables seront mis à disposition des pouvoirs publics, des industriels et des institutions financières tout au long du projet et serviront de support dans les processus de décisions.Les 9 secteurs concernés sont : acier, aluminium, ciment, ammoniac, chlore, éthylène, papier-carton, sucre, verre.
Il y a 2 ans et 324 jours

L'eau s'infiltre dans les logiciels

La gestion des réseaux d'eau potable et d'assainissement passe par la modélisation d'un système d'information géographique régulièrement actualisé, qui analyse et optimise le renouvellement des canalisations.
Il y a 2 ans et 335 jours

Félicitations à Wenjuan Wei, direction Santé-Confort du CSTB, lauréate du prix du meilleur jeune chercheur sur la Qualité de l'Air Intérieur

Ce prix, le Yaglou Award, lui a été décerné à l'occasion de la cérémonie d'ouverture de la conférence INDOOR AIR 2022 qui s'est tenue en Finlande du 12 au 16 juin, et récompense l'ensemble de ses travaux dédiés à la qualité des environnement intérieurs. Un prix international très sélectif décerné tous les 2 ans par l'Academy of Fellows de l'ISIAQ, International Society for Indoor Air Quality and Climate. Docteure en génie civil de la prestigieuse université chinoise Tsinghua à Pékin (2014), Wenjuan a mené une thèse sur le développement de méthodes pour évaluer les émissions de composés organiques volatils (COV) par les matériaux de construction et de décoration. Elle a réalisé une partie de ses travaux au NIST (National Institute of Standards and Technology) aux Etats-Unis en 2011 et 2012. En 2014, elle a rejoint le CSTB en tant que chercheure invitée pendant deux ans. Elle a alors engagé des travaux sur la prise en compte de la qualité de l'air intérieur dans les certifications « bâtiments durables » dans le monde et a publié un article qui fait référence aujourd'hui1. Lauréate d'une bourse de recherche du programme européen Marie Curie, elle conduit un post-doctorat au CSTB de 2016 à 2018. Elle a alors développé un modèle prédictif des concentrations dans l'air intérieur et les poussières déposées sur les surfaces dans les bâtiments pour les composés organiques semi-volatils. Cette famille de polluants intérieurs fait l'objet d'un intérêt tout particulier du fait des expositions importantes dans les bâtiments et de leur toxicité. Depuis 2018, elle est ingénieure « Recherche et Expertise » au sein de la Division Qualité des Environnements Intérieurs du CSTB. Elle poursuit ses travaux de modélisation des concentrations intérieures et des expositions humaines associées, par inhalation, ingestion et contact cutané. Elle travaille également au développement d'indices de qualité de l'environnement intérieur et aux effets du changement climatique sur la qualité des ambiances intérieures. En savoir plus : Prix du meilleur jeune chercheur Indoor air quality requirements in green building certifications.
Il y a 2 ans et 337 jours

Fin de l'aventure pour le constructeur des maisons Phénix

« Phénix, pour que chacun ait sa maison » : tel était le slogan des maisons Phénix, une société du groupe Geoxia. Trois usines de l'entreprise ont obtenu un sursis car l'État a décidé de financer leur poursuite d'activité afin de finir en bonne et due forme des chantiers en jachère. Concernant les chantiers ouverts, Bercy a ajouté que les assureurs s'en occuperaient pour la suite, en prenant en charge le recrutement de la main-d'œuvre et les pénalités de retards ainsi que les surcoûts.Maisons Phénix a été créée en 1946 et s'est vite faite une place en France grâce à un modèle de maison individuelle standardisée, rapide et peu chère à bâtir. La société employait 1.150 personnes et, en 2021, réalisait un chiffre d'affaires de 252 millions d'euros. Après des premières difficultés financières à la fin des années 2000, Maisons Phénix avait vu son accès aux financements des banques coupé et la crise sanitaire suivie de la hausse des prix des matériaux et de l'énergie provoquée par la guerre en Ukraine ont eu raison de la société.Le plan « Grands Licenciements » a été activé par le ministère de l'Économie "pour aider les salariés à retrouver un emploi dans un secteur que l'on sait en forte demande de main d'œuvre".
Il y a 2 ans et 339 jours

Anne-Sophie Douard - La parole aux professionnels

Anne-Sophie DouardLa parole aux professionnels Anne-Sophie Douard, responsable pôle gestion des opérateurs et contrôle, direction du Cycle de l'Eau, Nantes Métropole. Quel est votre rôle et celui de la direction du Cycle de l'Eau de Nantes Métropole ? Je suis responsable du pôle gestion des opérateurs et contrôle, pôle en charge à la fois du suivi et du pilotage des exploitants publics et privés d'eau potable, d'eau usée et d'eau pluviale, et du contrôle des raccordements au réseau assainissement des usagers particuliers aux industriels. Ce pôle fait partie de la direction du Cycle de l'Eau de Nantes Métropole, autorité organisatrice de la politique publique de l'eau. Celle-ci intervient dans quatre grands secteurs d'activité : l'eau potable, l'eau usée, l'eau pluviale et les milieux aquatiques. Sa mission est notamment de déterminer les grands schémas directeurs qui concernent les futurs besoins en termes d'infrastructures à rénover, mais aussi à construire pour les nouveaux usagers. Dans le même temps, elle est chargée de la maîtrise d'ouvrage de ces gros travaux. Elle est aussi garante de la gestion patrimoniale et de l'exploitation de ces réseaux et ouvrages qu'elle confie à des exploitants : Veolia (eau potable) et Suez (assainissement) pour le côté privé et la Régie de Nantes Métropole (direction des opérateurs publics de l'eau et de l'assainissement - DOPEA) côté public. La direction du Cycle de l'eau s'appuie sur sept pôles de proximité qui assurent également une activité d'autorité organisatrice assainissement dans les territoires, une organisation spécifique à Nantes Métropole. En 2019, le sud-ouest de la métropole a connu, pendant quelques mois, des apparitions de phénomène d'eau colorée. Ce problème est-il nouveau sur le réseau d'adduction d'eau potable ? Tous les propriétaires de réseaux et exploitants d'eau potable connaissent, à un moment donné, ce phénomène qui touche principalement les réseaux métalliques non revêtus. Peu fréquent, celui-ci provient d'une modification brutale du régime hydraulique, comme l'activation d'un poteau incendie, une casse sur le réseau ou une remise en eau après travaux. La répétition de ce phénomène d'eau colorée sur une période courte est le premier élément qui nous a alertés. Puis différents secteurs ont été confrontés à la même problématique. Cela a d'abord touché la partie Sud-Loire du territoire, puis, rapidement, la partie Nord-Loire, alors que ces deux zones sont alimentées par des eaux brutes différentes – eaux souterraines pour le sud, eaux de Loire pour le nord – traitées par deux usines différentes, puis distribuées par des réseaux différents. De plus, l'apparition de ces eaux colorées s'est produite sur des réseaux métalliques, mais aussi sur des réseaux plastiques sans que l'on puisse y associer une origine hydraulique. Connaître l'origine de ce phénomène est bien sûr devenu une priorité, aussi bien pour la direction du Cycle de l'eau que pour les exploitants. Ces derniers ont mené de nombreuses investigations. Ils ont effectué des manœuvres sur le réseau, des modélisations, des analyses de l'eau et des études métallographiques. Ils ont aussi contacté les usagers pour effectuer des prélèvements d'eau à leur domicile lorsque le phénomène était en cours, ce qui a permis de leur fournir les résultats sur la potabilité et l'ensemble des informations dont nous disposions à l'époque sur l'origine de cette coloration. En parallèle, la direction du Cycle de l'Eau s'est rapprochée d'autres collectivités qui avaient pu connaître ces recrudescences d'eau colorée pour essayer de trouver des similitudes entre les deux situations. Comment le CSTB vous a-t-il permis de faire disparaître ce phénomène ? À partir des nombreuses données que nous avions rassemblées, nous avons émis quelques hypothèses qu'il était nécessaire de confirmer. C'est pourquoi nous avons contacté le CSTB. Il nous paraissait intéressant d'avoir un regard extérieur critique afin de ne pas passer à côté d'une piste potentielle. Les experts du CSTB ont pu faire une synthèse de toutes les publications scientifiques qui existaient sur le sujet et réaliser une méthode statistique pour valider nos hypothèses. Il s'est avéré que les origines du problème étaient différentes entre le nord et le sud, malgré leur période d'apparition identique. Les deux usines étaient en travaux en même temps. Même si elles continuaient à produire de l'eau potable, les paramètres de celle-ci étaient légèrement modifiés à cause des travaux. Cela a entraîné une perturbation du biofilm à l'intérieur de nos réseaux et ainsi entraîné une mobilisation des dépôts à l'origine de la coloration. Nous avons alors mené des travaux en urgence sur les conduites métalliques non revêtues. Et quand les travaux n'étaient pas possibles dans l'immédiat, nous avons installé des systèmes de purge qui ont permis aux usagers de retrouver une eau sans coloration. Veolia, la Régie de Nantes Métropole (services usine et réseaux) et la direction du Cycle de l'Eau (pôles gestion patrimoniale, travaux et gestion des opérateurs) ont bouleversé leurs programmations et leurs plannings pour s'investir entièrement dans la résolution de ce problème. Au-delà du désagrément rencontré par les usagers, ce projet de recherche a été un beau travail collectif. Les conclusions de ce projet de recherche ont-elles été exploitées par Nantes Métropole pour anticiper l'apparition de ces phénomènes ? Nous avons en effet instauré une veille de certains paramètres des deux usines, bien au-delà de l'analyse de la potabilité de l'eau, qui n'est pas, dans ce cas, un indicateur pertinent. Grâce à l'expertise du CSTB, nous avons pu bien confirmer ce qu'il s'est passé et donc mettre en place cette vigilance sur certains paramètres de l'eau en sortie d'usine. Nous avons également ajusté notre programmation : le renouvellement des réseaux métalliques non revêtus, et surtout de leurs extrémités, est devenu prioritaire. Aujourd'hui, nous sommes revenus à une fréquence classique d'apparition d'eau colorée, habituelle avec les conduites métalliques non revêtues. Nous ne pouvons pas nous en contenter, notre objectif étant d'offrir un service toujours plus satisfaisant à nos usagers. Le travail d'amélioration est continu et nous menons en permanence des actions correctrices. En termes de communication, l'arbre des causes présenté par le CSTB nous permet de mieux expliquer aux usagers ce phénomène d'apparition d'eau colorée. Celui-ci a été traduit pour les exploitants afin qu'ils soient, eux aussi, en capacité de leur fournir des informations claires et précises. Solutions & Performances - Numéro 8 : « Eau » Le numéro 8 de Solutions & Performances est consacré aux réseaux d'eau, systèmes et canalisations qui véhiculent la précieuse ressource. PDF 2.81 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 2 ans et 346 jours

Trois nouveaux directeurs au sein du Sfic

Pôle “Application” du Syndicat français de l’industrie cimentière (Sfic), Cimbéton vient de nommer trois nouveaux directeurs. En charge respectivement des questions de bâtiment, de génie civil, et des routes et terrassements. « Ce renforcement des équipes s’inscrit pleinement dans les ambitions et les objectifs de l’industrie cimentière en faveur de la décarbonation et du développement d’une construction durable », indique le Sfic. Le parcours de Stéphane Herbin Stéphane Herbin est nommé directeur bâtiment. Il succède à Laurent Truchon. « Incontournable dans la construction, le béton est destiné à toutes formes d’ouvrages et doit, à ce titre, répondre aux enjeux majeurs du développement durable. Et accompagner les nécessaires mutations du secteur du bâtiment dans les prochaines années. RE 2020, économie circulaire, flexibilité et mixité, gestion de ressources et des déchets, sont les principales thématiques. Sur lesquelles l’industrie cimentière œuvre, met au point et diffuse des solutions », rappelle Stéphane Herbin, définissant ainsi les orientations qu’il entend porter en tant que directeur bâtiment. Architecte DPLG, Stéphane Herbin débute sa carrière, en exerçant pendant une dizaine d’années au sein de diverses agences d’architecture. En 2000, il rejoint le Centre technique industriel de la construction métallique (CTICM), qui lui confie une mission de développement et de promotion des systèmes constructifs à base d’acier pour le logement collectif. Par la suite, il dirige des projets de recherche et d’innovation sur les différents aspects du développement durable. Mais aussi sur la problématique de la corrosion des bâtiments et ouvrages, ainsi que de l’application du BIM dans la modélisation des données. Ces travaux se sont traduits par l’élaboration de Fdes collectives, la création du configurateur save-construction.com, et la participation active aux normes NF EN 15804 et NF EN 15978 aux niveaux français et européen. Après une vingtaine d’années au service du CTICM, il apporte ses compétences auprès d’UPFactor, spécialisé dans la surélévation de bâtiments existants. Puis, rejoint en mai 2022 Cimbéton, le pôle application du Sfic. Le parcours de Benjamin Daubilly Benjamin Daubilly rejoint le Sfic en mars 2022 en tant que directeur génie civil. Il succède à Patrick Guiraud, qui a fait valoir ses droits à la retraite. « Les solutions en béton offrent une large palette d’utilisations en génie civil, dont la pérennité n’est plus à démontrer. Les constituants du béton, le dimensionnement des ouvrages… font l’objet de nombreuses avancées techniques qui sont compatibles avec les enjeux de la société. A savoir, le respect de la biodiversité, l’économie circulaire, la réduction des émissions de gaz à effet de serre… Il convient de promouvoir ces avancées, en particulier auprès des maîtres d’ouvrage, comme des solutions efficaces et durables », rappelle Benjamin Daubilly. Et de conclure : « Si les attentes sont grandes, les possibilités du béton sont, elles, infinies ». Ingénieur, diplômé des Mines d’Alès en 1999, option génie civil, ressources et aménagement, Benjamin Daubilly débute sa carrière en Nouvelle Calédonie en tant que responsable d’exploitation sur une mine de nickel. Avant de revenir en métropole, intervenant sur des sites d’exploitation de granulats, de roches massives et de sablières. En 2006, il rejoint la Fédération nationale des travaux publics (FNTP), prenant en charge les sujets de normalisation et de réglementation technique. Dans ce cadre, il participe à la révision de la norme béton EN 206 et de son complément national. Ainsi qu’à l’élaboration des fascicules du CCTG portant sur le référentiel “Génie civil 2010”. En 2015, il est nommé délégué général de l’Union des métiers de la terre et de la mer (UMTM), organisme affilié à la FNTP, qui regroupe quatre syndicats professionnels dans le domaine des fondations spéciales, des terrassements, des travaux maritimes et fluviaux et des travaux souterrains. Le parcours de Cédric Le Gouil Cédric Le Gouil rejoint le Sfic, en mai 2022, en tant que directeur routes et terrassements. Il succède à Joseph Abdo. « Les performances structurelles et de durabilité des infrastructures mises en œuvre à base de matériaux aux liants hydrauliques ne sont plus à démontrer. Aujourd’hui et demain, les produits cimentiers vont continuer d’apporter des solutions pérennes et innovantes, tant pour la construction que pour l’entretien des infrastructures routières », explique Cédric Le Gouil. HerbinEt de poursuivre : « Historiquement engagée dans les évolutions de l’aménagement territorial, la profession va poursuivre ses efforts et accélérer sa transformation des process industriels pour les rendre encore plus vertueux. Le développement de nouvelles formulations de liants et de matériaux, l’optimisation des méthodes de construction, ainsi que l’apport de nouvelles fonctionnalités au travers de produits innovants contribueront pleinement à cette démarche de développement responsable. En phase avec les enjeux économiques, environnementaux et sociétaux. Je m’attacherai, dans mes nouvelles fonctions, à promouvoir toutes ces nouvelles solutions développées par l’industrie cimentière ». De formation universitaire scientifique et diplômé du Conservatoire national des arts et métiers de Paris, option matériaux avancés et management en 2002, Cédric Le Gouil travaille pendant 20 ans au sein de la Direction technique, R&D du groupe Colas, à Magny-Les Hameaux (78). Il y fait ses premières armes au service “Enrobés bitumeux”, avant de rejoindre celui des matériaux et liants hydrauliques. Poursuivant sa carrière chez Colas, Cédric Le Gouil intègre, en 2021, la direction développement en tant que responsable technique et développement.
Il y a 2 ans et 352 jours

Open BIM Schöck : mieux appréhender les rupteurs de ponts thermiques en amont des projets

Développé en partenariat avec l’éditeur et distributeur CYPE, Open BIM Schöck permet aux bureaux d’études, structure et thermique, de dimensionner, implanter et optimiser le traitement de ponts thermiques avec les rupteurs de plancher de la gamme Rutherma© dès la phase de conception des projets (non plus au moment de leur exécution). A la clé pour les maîtres d’ouvrages : une réponse fiable aux exigences de la RE2020 et une parfaite maîtrise de l’enveloppe budgétaire en amont des réalisations puisque l’on détermine d’emblée le linéaire de rupteurs à mettre en oeuvre en fonction des performances recherchées.Disponible gratuitement en téléchargement sur la plateforme BIMserver.center Faciliter l'optimisation technique et économique des projets de construction "Il s'avère nécessaire de construire avec toujours plus d'efficacité, d'acquérir de nouveaux réflexes de travail" postule Rémi Wirth, Chef de produits Schöck France. Dans ce sens, Open BIM Schöck permet le dimensionnement, l’implantation et l’optimisation du traitement des ponts thermiques en amont de tout projet requérant l’intégration de rupteurs de plancher Rutherma©. La saisie se fait très simplement, à partir de fonds de plans 2D ou de la maquette numérique du projet au format IFC, en implantant, sur chaque niveau, les rupteurs thermiques aux appuis de plancher ou balcon à traiter. Le logiciel réalise ensuite la sélection structurelle de la référence idéale de rupteurs avec la performance thermique associée, pour ainsi optimiser le linéaire de rupteurs thermiques en fonction des objectifs fixés par l’utilisateur (RT2012, RE2020, ou supérieurs). A l’issue de l’étude, le logiciel produit une note de calcul, des plans et offre la possibilité d'intégrer les rupteurs retenus dans la maquette numérique 3D du projet. Grâce à cette modélisation affinée obtenue par les bureaux d'études structure et thermique, le maître d'ouvrage dispose de toutes les cartes dès l'origine du projet, en conjuguant objectifs fixés en termes de sobriété énergétique et maîtrise de l'enveloppe budgétaire du traitement des ponts thermiques. Précisons qu'Open BIM Schöck intègre notamment le dernier né des rupteurs Schöck en ITI, Rutherma© type DFi, revendiquant plus de 10 fois moins de kg de CO2/Ml que la valeur indiquée sur la base INIES pour un pont thermique non traité. Avec en points d'orgue : des efforts tranchants augmentés de 22 % ainsi que la reprise des moments jusqu’à 83 % et une performance thermique encore accrue (grâce à la réduction du nombre d’aciers inox sur sa longueur d’1 mètre, sachant que moins d’aciers se traduit par moins de conductivité thermique et un prix de rupteur plus compétitif). Soulignons aussi l'interopérabilité possible entre Open BIM Schöck et les logiciels d'études réglementaires RE2020 (dont CYPERTHERM RE2020) ou autres logiciels CAO/BIM.
Il y a 2 ans et 352 jours

L’incroyable reconstitution de la grotte Cosquer

« Cosquer Méditerranée », tel est le nom du nouveau site culturel marseillais qui vient d’ouvrir dans la Villa Cosquer Méditerranée, à côté du MUCEM. Il abrite la restitution de la Grotte Cosquer, découverte en 1985 dans les calanques de Marseille, par le plongeur Henri Cosquer. L’étude de cet ensemble exceptionnel, riche de plus de 500 entités d’art pariétal, est particulièrement difficile : le site est quasi inaccessible car l’accès est situé à 37 mètres sous la mer et réservé à des plongeurs expérimentés. En raison de la montée des eaux, l’engloutissement de la Grotte est inéluctable. Seul un sauvetage virtuel de ce lieu inestimable est possible. Il est en cours. À partir de la réalisation d’un modèle 3D, la restitution de la Grotte permet de donner accès à ce patrimoine. A l’issue d’un appel d’offre lancé en mai 2018, le groupe Kléber Rossillon a été sélectionné en septembre 2019 pour la qualité de son projet culturel et scientifique et s’est vu attribuer la réalisation du Centre d’interprétation dans le cadre d’une DSP, Délégation de Service Public. La Région, propriétaire du bâtiment et initiatrice du projet, contribue à hauteur de 9 M d’euros au financement de la transformation du site et se porte garante de la production culturelle et scientifique de l’ensemble du projet. Les équipes en charge du projet ont dû résoudre des défis majeurs : comment restituer la Grotte Cosquer 30 ans après sa découverte, sans y avoir un accès direct ? Comment faire tenir les 2300 m2 de la Grotte qui a la forme d’un huit, au niveau -2 de la Villa Cosquer Méditerranée, dans un carré de 1750 m2 ? Comment imaginer un parcours de visite tout en restituant la topographie complexe du site, ses passages étroits, ses altimétries différentes, la présence de l’eau et l’abondance d’œuvres dessinées et gravées, disséminées sur l’ensemble des voûtes et parois ? Autrement dit comment concevoir un site qualitatif sur le plan scientifique, séduisant sur le plan culturel et répondant aux exigences d’un établissement recevant du public qui tienne compte de toutes les contraintes du bâtiment (circulation, issues de secours, structures porteuses, réseaux, préservation de l’amphithéâtre existant, etc.) Modélisation 3D, découpage de la Grotte en six écailles, reconstitution des parois en béton, réalisation des panneaux ornés en résine, restitution de l’aspect de la roche et reproduction des dessins et gravures : chaque étape requiert des savoir-faire spécifiques. Pour l’essentiel, la plupart des entreprises en charge du projet ont déjà travaillé sur des projets similaires, notamment la réplique de la Grotte Chauvet, expérience propice à l’invention de méthodes innovantes, aujourd’hui réutilisées à Cosquer. Le travail de restitution repose intégralement sur les données recueillies lors des campagnes d’étude. En effet, la difficulté d’accès au site rend impossible la vérification de l’exactitude des réalisations en temps réel. Par ailleurs, l’étude de la Grotte Cosquer est toujours en cours et de nouvelles données scientifiques contribueront à préciser les réalisations en cours. Un modèle 3D servant de référence La société PERSPECTIVE(S), située à Aix-en-Provence, a développé des logiciels permettant de traiter les données numériques collectées par la société Fugro commanditée par la DRAC- Provence-Alpes-Côte d’Azur. Les photogrammétries de 344 lasers scans et les images 360 HD ont permis de reconstituer un modèle de l’ensemble de la Grotte en juxtaposant les différentes limites de scan. En 8 mois de travail, plus de 50 versions ont été réalisées par PERSPECTIVES, pour présenter une réplique de la Grotte adaptée au support contraint de la Villa Cosquer Méditerranée, dans laquelle doit s’intégrer un parcours de visite. Au final, le modèle unifié de la Grotte, soumis à une validation à la fois scientifique et scénographique, permet une visite de celle-ci en 3D et en réalité virtuelle. La réplique 3D réalisée, les données ont été transmises à tous les protagonistes du projet et notamment aux artistes en charge de la réalisation de la réplique physique de la Grotte à Toulouse, Paris et Montignac et où se trouvent les ateliers de Gilles Tosello, Stéphane Gérard et Alain Dalis. Une contraction nécessaire Pour réduire l’emprise au sol de la restitution, et la faire « rentrer » dans la superficie disponible du niveau -2 de la Villa Cosquer Méditerranée, une contraction de la Grotte a été nécessaire. Le modèle 3D de Cosquer a été découpé en 6 grandes écailles : L’arrivée et la salle de la plage / La salle des chevaux / La salle nord / Le grand puits / La faille des bisons / La galerie des mains rouges et du félin. Une segmentation délicate car l’ensemble de la Grotte est couvert d’œuvres pariétales. Un travail de « couture » Dans la Grotte, les écailles ne se trouvent pas au même niveau, il a donc fallu trouver un calage altimétrique moyen entre le sol et le plafond puis procéder au raccordement géologique entre les différents segments. Des géologues spécialisés en karstologie garantissent la qualité de cette opération de « couture », s’appuyant sur un catalogue de références pour être fidèle à la géomorphologie de la Grotte et restituer la texture des parois ainsi que les concrétions. La reproduction des parois et des spéléothèmes : forme et couleur L’Atelier Artistique du Béton, sis à Mormant, en Seine-et-Marne, réalise la matrice principale : sur des cages d’acier, sur lesquelles est agrafé un grillage, plusieurs couches de béton sont projetées, puis sculptées et patinées pour recréer la topographie de la Grotte dans sa complexité. Parallèlement à ce modelage, l’atelier de Stéphane Gérard, plasticien spécialiste de la reproduction des spéléothèmes, restitue les formations géologiques, les concrétions karstiques : stalagmites, stalactites, fistuleuses (fines stalactites où circule l’eau). Dans l’atelier parisien, les équipes concoctent des recettes pour restituer le mat ou la transparence, la brillance, les drapés de calcique. La reproduction des panneaux ornés Depuis 25 ans, l’atelier Arc&Os à Montignac, non loin de Lascaux, est spécialisé dans les fac- similés de Grottes ornées. D’après la modélisation en 3D de la Grotte, une fraiseuse numérique sculpte des blocs en polystyrène, des moules en négatif à partir desquels sont fabriqués les panneaux en résine, sur lesquels seront projetées les photographies prises dans de la Grotte. Les panneaux sont confiés aux mains expertes des artistes plasticiens pour restituer la texture, la granulométrie et les teintes de la roche et au final graver ou dessiner à la manière des homo sapiens. Dans le Lot et Garonne, chez Déco Diffusion, Gilles Toselllo préhistorien, artiste plasticien et Bernard Toffoletti, directeur technique, font de nouveau équipe après avoir travaillé pour Chauvet. Ils sont en charge de 8 panneaux ornés (sur les coques provenant de chez Arc&Os). Comme le précise Gilles Tosello : « Si le travail de restitution repose sur la technique 3D, au final, tout ce que le spectateur voit est recréé par la main de l’homme. Et tout ce que l’on voit doit être reproduit. » Image : Perspective(s) – Région Provence-Alpes-Côte d’Azur – Sources 3D MC  
Il y a 2 ans et 353 jours

Inauguration d'un nouveau parc solaire géant à Gien dans le Loiret, mais la France encore loin du compte

L'an dernier a vu un niveau record de construction de sites solaires dans l'Hexagone.A Gien, le parc de 75 ha d'une capacité de 55 mégawatts (MW) peut alimenter environ 40.000 personnes en électricité. Avec lui, le groupe pétro-gazier TotalEnergies, qui veut se diversifier, atteint désormais un total de 1 gigawatt (GW) de capacité solaire ou éolienne en France. Il vise 4 GW en 2025."Ca n'est qu'un début et TotalEnergies a bien l'intention d'être un acteur majeur de cette transformation" énergétique, a déclaré Stéphane Michel, directeur Gaz, renouvelables et électricité pour le groupe, en inaugurant les lieux vendredi sous un soleil de circonstance.Mais la France n'est à ce jour pas le pays le plus accueillant pour les renouvelables. A 13 GW de capacité, elle devrait rater son objectif pour 2023 (20 GW), et ce alors que le président Emmanuel Macron veut désormais pousser à 100 GW en 2050.Pour Stéphane Michel, en France, "le grand sujet c'est l'accès au foncier". Pour trouver des zones d'implantation, le groupe a signé une convention avec la fédération agricole FNSEA, et mène des projets pilotes dans l'agrivoltaïsme permettant de mêler productions agricole et d'énergie."Être informés"A Gien, c'est le propriétaire du terrain qui est venu voir l'énergéticien.Michel Beaumont ne savait que faire de cet espace agricole, selon lui peu fertile, dans lequel il avait investi pour tenter d'implanter un parc animalier.Le photovoltaïque, "c'est le plus beau projet qu'on pouvait faire, car on en a besoin," dit cet entrepreneur de travaux publics, qui a signé un bail de location de 20 ans, pour un montant non précisé.Le projet n'a pas fait l'objet de recours. Mais le processus a duré huit ans, entre instruction, études environnementales, fouilles archéologiques qui ont in fine réduit la surface, aménagement de mares et de haies...Pour impliquer les riverains, une part du projet (38 millions d'euros d'investissement au total), a aussi fait l'objet d'un financement participatif de 2,2 millions d'euros, souscrit par 200 habitants.Le maire (DVD) de Gien, Francis Cammal, se félicite d'un projet alliant "nature et technologie": "la triste actualité (en Ukraine) rend plus cruciale une nécessité évidente. Il faut accroître la part des énergies renouvelables et réussir ensemble la transition énergétique du pays".Il salue aussi les retombées fiscales -- plusieurs dizaines de milliers d'euros, dit-il à l'AFP -- et le "souci de concertation". "Il faut être informés, car nous nous interrogeons, par exemple, sur la durabilité des panneaux."En France, TotalEnergies affiche une certaine modestie dans ses ambitions solaires ou éoliennes."A Gien, on a trouvé un équilibre entre coût et acceptabilité. On n'est pas forcement convaincu que de plus grandes centrales puissent faire sens, si un projet doit prendre 15 ans et n'est pas garanti d'aboutir. Il n'y a pas de course à la taille pour la taille".La situation est différente aux Etats-Unis, en Inde, au Chili, en Espagne, ou au Qatar où "on met en production 800 MW au milieu du désert, et ce n'est pas un problème".Selon lui, la multinationale consacre aujourd'hui 25% de ses investissements annuels aux renouvelables et à l'électricité, en croissance organique ou en acquérant des entreprises.Le groupe commence aussi à internaliser certaines fonctions, de recherche-développement, calcul et modélisation, etc., dit encore le responsable du groupe.TotalEnergies réalise à ce jour environ 5% de ses ventes dans les renouvelables et l'électricité (y compris d'origine gazière), le reste provenant de ses activités traditionnelles.
Il y a 2 ans et 357 jours

A.Doc présentera son nouveau logiciel métier de modélisation 3D à Eurobois

Une solution métier dédiée artisans pour créer rapidement des projets d’agencements de façon intuitiveDéveloppé par A.DOC et venant compléter avantageusement le logiciel de modélisation 3D SketchUp Pro, SketchArtisan est un nouveau logiciel d’applicatif et de conception métier destiné aux artisans professionnels du bâtiment tels que cuisinistes, bainistes, plombiers, menuisiers, décorateurs et agenceurs de tout type dans le cadre de leurs projets clients d’agencements intérieur & extérieur.En effet, conçu spécifiquement afin d’apporter au logiciel SketchUp Pro les outils nécessaires pour modéliser, présenter, quantifier et fabriquer les projets des utilisateurs, SketchArtisan permet en un temps record de réaliser notamment l’agencement d’une cuisine, d’une salle de bain, d’un dressing ou même d’un Van !De la conception jusqu’à la réalisation, SketchArtisan aidera les artisans à toutes les étapes de leur projet et permettra d’augmenter facilement et considérablement la performance de gestion du projet, le quantitatif et le plan de fabrication.Grâce aux nombreuses fonctionnalités et outils intégrés SketchArtisan se veut en effet un nouvel atout important pour les artisans en leur apportant une aide précieuse pour :La Création des projets d’agencements en 3D de façon intuitive à l’aide des générateurs de meubles et de panneaux ainsi que la mise en valeur des projets grâce au générateur de textures et à celles présentes telles que Egger®.La Présentation des projets aux clients à partir de la conception 3D (planches de présentations clients, images photo-réalistes, animations, présentations à 360°, ...).La Fabrication avec la génération à tout moment du projet, des fiches de débits, des éclatés et des vues d’élévations. SketchArtisan permet à l’artisan de réaliser ses plans de fabrication détaillés et de générer des fichiers DXF.Au final, le nouveau logiciel SketchArtisan devrait rapidement trouver sa place auprès de nombreux artisans grâce aux avantages conséquents qu’il pourra apporter à ses utilisateurs avec notamment la réalisation de présentations parfaites pour les clients finaux, le calcul rapide des fiches de débits, la génération automatique des éclatés et de nomenclatures, la séduction des clients grâce à des vues 360°, ..., le tout sans omettre un temps de travail rentabilisé au maximum !Une solution performante pour dessiner et quantifier facilement les projets à l’aide de générateurs dédiésAfin de pouvoir aider au mieux les artisans dans la mise en place de leur projet, SketchArtisan a été développé de manière à être un logiciel intuitif, complet et facilement utilisable par le plus grand nombre.Aussi, et pour optimiser son utilisation, SketchArtisan se compose de 2 modules distincts et complémentaires :Un module Dessin 3D avec bibliothèques de textures qui permet de :Concevoir des agencements en 3D très rapidement, grâce à de puissants générateurs de meubles et de panneaux, à des bibliothèques d’objets paramétriques, au dictionnaire de mots clés, et d’en obtenir le débit à tout moment. D’un simple clic, l’utilisateur obtient l’éclaté des meubles, les mises en pages rapides et à l’échelle, les détails de fabrications et les élévations de son projet. Les outils de rendu réaliste permettent en quelques minutes de produire les images, les animations et les visites en 360°.Gérer les textures avec des bibliothèques de textures telles qu’Egger® accompagnées de leurs codes articles, qui rempliront les fiches de débits. Le générateur de textures permet d’incorporer dans la bibliothèque de nombreuses matières en quelques clics.Un module quantitatif qui permet de :Analyser la conception en temps réel et générer des fiches de débits à jour.Paramétrer de puissants filtres en fonctions des besoins pour obtenir des fiches de débits, des panneaux, des poignées, des portes et autres. A l’aide des filtres l’utilisateur peut obtenir toutes les quantités dans toutes les unités (m2, m3, ML).Identifier les pièces grâce à un générateur d’étiquettes.Remplir les en-têtes des fiches de débits et des devis avec un gestionnaire de client.
Il y a 2 ans et 364 jours

Réchauffement climatique : quel impact électrique du déploiement de la climatisation au sein des foyers français d’ici 2050 ?

Réalisée à partir de données réelles de la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur et celles extrapolées à 2050, elle révèle que la climatisation peut faire doubler la consommation journalière d’électricité dans le pire scénario et par conséquent la facture énergétique des ménages.Les gradients de températures ont déjà un effet sur les consommations : 15°C de plus au-dessus de la normale, en été, entraîne une consommation supplémentaire de 2,5 EPR alors que l’équipement en climatisation est aujourd’hui marginal. Cette situation pourrait se produire régulièrement dès 2050.Demande électrique et santé publique : les nouveaux enjeuxDans les zones développées, les vagues de chaleur engendrent des conditions de vie difficiles et donc une hausse des besoins en électricité pour la climatisation.« Les derniers rapports du GIEC alertent à nouveau sur le réchauffement climatique et la vulnérabilité des populations face à des vagues de chaleur amenées à se multiplier et s’intensifier. Dans ces conditions de moins en moins supportables, l’usage de la climatisation se renforce et les équipements se multiplient dans les foyers car les populations cherchent à se rafraichir. La climatisation passe alors d’un rôle de confort à celui d’outil de prévention et de santé publique, notamment pour les plus fragiles et précaires. En conséquence, la consommation électrique des ménages augmente et l’alimentation de ces appareils devient un besoin critique pour ceux dont la santé en dépend », explique Cyril Gillot, Consultant Energie pour Colombus Consulting.Lorsque les températures sont élevées, les réseaux électriques sont vulnérables et leur capacité d’acheminement réduite. Or, en même temps, les besoins en électricité tendent à augmenter avec la climatisation. En France, un effet ciseau est déjà perceptible sur les infrastructures du réseau électrique lors des vagues de chaleur et tend à s’accroître.Avec un taux d’équipement des foyers en climatisation de seulement 5%, RTE a estimé à +250 à 300 MW consommés pour chaque degré supplémentaire au-dessus de 25°C : soit les besoins d’une ville comme Nantes. Un chiffre qui pourrait fortement augmenter lorsque le taux d’équipement en climatisation augmentera...Quels besoins en refroidissement des bâtiments pour 2050 ?Par un travail de modélisation basé sur des facteurs techniques, climatiques et humains, l’étude menée par Colombus Consulting et Callendar a permis de représenter plusieurs avenirs possibles et d’estimer l’évolution des besoins en refroidissement des bâtiments d’habitation. Après restitution et analyse, les résultats suivants en sont sortis :Une meilleure efficacité du climatiseur a plus d’impact à court terme sur la diminution de la consommation électrique liée à la climatisation qu’une plus grande isolation du logement (sauf cas des passoires thermiques). C’est donc sur ce point que les pouvoirs publics doivent agir au plus vite pour des questions d’efficience de l’adaptation au changement climatique et de pouvoir d’achat des citoyens dans un contexte de prix de l’énergie élevés.Les passoires thermiques, classées en performance F et G, doivent être éliminées pour éviter des surconsommations pour des ménages généralement précaires.Au-delà du renforcement des moyens, des approches et fléchages alternatifs doivent être trouvées par les pouvoirs publics concernant la rénovation des logements, afin d’optimiser les efforts et de maximiser les effets.Les gradients de températures ont déjà un effet sur les consommations : 15°C de plus au-dessus de la normale en été entraînent une consommation supplémentaire de 2,5 EPR alors que l’équipement en climatisation est aujourd’hui marginal. Cette situation pourrait se produire régulièrement dès 2050.L’augmentation de la consommation électrique due à la climatisation en été ne devrait pas mettre en difficulté le réseau électrique de distribution car elle reste inférieure à celle induite par le chauffage électrique durant l’hiver. Toutefois, les risques d’amorçage et de rupture de réseau enterré sont à étudier au cas par cas, en particulier pour les zones où sont raccordées de plus grandes surfaces que le résidentiel.Les capacités des installations électriques se réduisent avec la hausse des températures moyennes : + 5°C par rapport aux normales réduisent de 7 à 8% la capacité de transport des lignes électriques. Des défaillances matérielles, liées à la chaleur, adressées par les exploitants du réseau, se multiplient avec un risque d’amorçage, car la dilatation des câbles réduit la distance de sécurité sous les lignes, provoquent des ruptures sur les réseaux enterrés ainsi que des anomalies de mesures des transformateurs.L’étude conclut à la nécessité de renforcer les normes d’efficacité des équipements de climatisation, ainsi que de faire évoluer certaines stratégies et politiques publiques afin d’optimiser les efforts et de maximiser les effets.Pour Cyril Gillot, Consultant Energie pour Colombus Consulting : "La climatisation provoque un appel de puissance électrique qui peut être maîtrisé. La hausse de puissance appelée, induite par la climatisation, est notable mais n’est pas critique et reste inférieure à celle liée au chauffage en hiver. La diffusion de la climatisation doit être accompagnée afin de limiter l’augmentation de la consommation et les besoins de mise à niveau du réseau électrique."Quels leviers d’action pour une utilisation intelligente de la climatisation ?L’essor de la climatisation est représentatif des nouveaux défis d’adaptation liés au changement climatique, notamment dans les villes du sud de la France, posant ainsi des questions environnementales, de justice sociale ou de sécurité pour l’approvisionnement électrique.L’étude met ainsi en évidence des solutions pour limiter l’augmentation de la consommation électrique et donc le coût pour les ménages et le réseau :L’éducation et la sensibilisation à la sobriété, aux éco-gestes, à l’utilisation efficace de la climatisation, ainsi qu’aux effets de la chaleur et aux moyens de s’en protéger, afin d’optimiser le confort tout en maitrisant la consommation électrique.L’instauration rapide de normes plus strictes en France, en Europe... afin d’améliorer la performance des climatiseurs fabriqués et utilisés dans le cadre d’une première installation ou d’un renouvellement de l’équipement.La mise en place d'actions, de schémas directeurs et de financements publics afin de supprimer les passoires thermiques.L’évolution des schémas d’urbanisme afin de réduire le phénomène d’îlot de chaleur urbain.Pour Cyril Gillot, Consultant Energie pour Colombus Consulting : "C’est un sujet qui doit être pris à bras le corps de manière collégiale, par les collectivités, les États, les acteurs du monde de l’énergie, les citoyens, etc. Une vraie stratégie doit être pensée de manière urgente pour essayer de limiter les catastrophes ou impacts négatifs inhérents."
Il y a 3 ans et 23 jours

FCBA & Würth France associent leurs expertises

FCBA et Würth France: des objectifs et ambition partagés, autour de la R&D FCBA organise ses activités autour d’une double mission : promouvoir l’innovation technologique et participer à l’amélioration du rendement et à la garantie de la qualité dans les filières industrielles forêt-bois et ameublement. L’acquisition et la diffusion d’une information scientifique et technique fiable et éprouvée, associées à l’enjeu prioritaire du déploiement efficace de l’innovation, constituent l’une de ses trois grandes orientations stratégiques. FCBA se positionne comme un partenaire privilégié des entreprises, à l’écoute de leur environnement technique et économique, pour les aider à intégrer les innovations technologiques et s’adapter à l’évolution rapide des marchés. C’est dans ce contexte qu’il se rapproche aujourd’hui de Würth France, spécialiste des systèmes d’assemblages, de liaisons et de renforcement dans le domaine de la construction bois, béton et métallique. Würth France souhaite en effet accélérer ses développements technologiques autour de différents enjeux : compréhension et modélisations des systèmes d’assemblages structurels complexes, en particulier ceux combinant plusieurs matériaux ; accompagnement de l’innovation en lien, notamment, avec l’intégration de procédés industriels dans un contexte de modélisation numérique de la construction ; développement d’outils d’aide à la conception… Les deux acteurs renforcent ainsi leur collaboration, dans le cadre de leurs activités liées à la construction et l’agencement, autour du matériau bois.Partenariat FCBA –Würth France : orientations & programmationLe partenariat engagé s’articulera autour de 2 axes principaux :Identification de sujets prioritaires pour le marché, permettant de définir et engager des programmes de R&D collaboratifs directement utiles au développement et à la commercialisation, à moyen terme, de solutions et réponses techniques concrètes ;Partage et déploiement de connaissances techniques et scientifiques ainsi acquises, au service du développement de la filière bois.Plusieurs typologies de travaux seront pour cela mises en œuvre, tout au long du partenariat programmé sur 3 ans. Ainsi par exemple :En termes d’accompagnement technique à la définition d’axes de R&D collaboratifs : au-delà d’une interaction constante avec FCBA en termes de veille technologique, Würth France pourra plus largement contribuer à des projets de R&D portés par FCBA, via la fourniture de matériel et échantillons… ;En termes de partage d’informations et d’expertises, au service de la filière : FCBA proposera à Würth France de participer aux groupes de travail spécifiques intégrant des thématiques en lien avec les projets de R&D portés en collaboration. À l’inverse, Würth France pourra remonter à FCBA son expertise terrain, enrichissant ainsi les projets d’un retour d’expérience particulièrement utile pour fiabiliser les connaissances techniques nouvellement acquises.
Il y a 3 ans et 35 jours

Matterport lance le fichier BIM et un plug-in Autodesk Revit pour l'industrie du bâtiment

Matterport, Inc. (Nasdaq : MTTR), l’entreprise de données spatiales à la tête de la transformation digitale du monde bâti, a présenté aujourd'hui le fichier BIM de Matterport, un nouveau service qui réduit considérablement le temps et les coûts de la modélisation des informations du bâtiment (Building Information Modeling, BIM) pour le secteur de l'architecture, de l'ingénierie et de la construction (AEC). Désormais inclus dans l’abonnement Matterport, les clients peuvent en un clic transformer un jumeau numérique Matterport capturé par une caméra 3D compatible en un fichier BIM prêt à l’emploi. Le résultat est fourni en quelques jours, prêt à être introduit dans l'application BIM de leur choix. Ce nouveau service accélère considérablement les projets et réduit jusqu’à 70% des coûts associés, en éliminant le processus manuel traditionnel qui demande beaucoup de temps et d'efforts. En complément, Matterport a également annoncé un nouveau système de plug-in pour les clients d'Autodesk® (Nasdaq : ADSK) Revit®, le principal logiciel BIM utilisé dans l'industrie pour créer des modèles d'espaces pour la conception, la visualisation, l'analyse et la construction. Désormais, les architectes, les concepteurs et les ingénieurs du bâtiment peuvent immédiatement télécharger le fichier BIM de Matterport dans Revit et commencer à créer et à gérer les informations d’un projet de construction ou de conception étape par étape. « Les lancements du fichier BIM et du plug-in Revit de Matterport témoignent de l'engagement de Matterport envers les secteurs de l’architecture, de l’ingénierie et de la construction. Il montre aussi comment l'utilisation des pratiques BIM et des plateformes technologiques peut accroître le niveau d’efficacité et automatiser la gestion de certaines activités pour les clients d'Autodesk », déclare Jim Quanci, directeur principal d'Autodesk Developer Network. « Nous sommes ravis de travailler aux côtés de Matterport pour rendre le BIM "as built" plus facile. »Stimuler la productivité tout en réduisant les coûts de modélisation de 70%L’offre BIM rassemble en un seul endroit toutes les informations relatives à chaque composant d'un bâtiment. Les parties prenantes du projet peuvent inclure dans le modèle BIM des informations sur les performances, les types de matériaux, les coûts, etc. Jusqu'à présent, ce processus nécessitait une quantité considérable de travail de mesure et de traduction CAO (conception assistée par ordinateur) pour introduire des quantités phénoménales de données dans le système, ce qui pouvait prendre plusieurs semaines, voire plus, selon la taille et la complexité du projet. Avec le fichier BIM de Matterport, les équipes peuvent générer le même résultat pour un coût qui s’élève à une fraction du coût habituel de développement de la documentation adéquate, tout en réduisant les coûts de modélisation pour leurs clients.« Les coûts de modélisation qui se répercutent sur le client peuvent être très élevés. L'économie de 70 % réalisée avec le fichier BIM de Matterport est significative, et nous pensons que nos clients seront très satisfaits de l’adoption de ce nouveau système de numérisation vers le BIM », a déclaré Akira Jones, directeur des services numériques chez HH Angus and Associates Ltd. « Comme nous utilisons déjà Matterport pour capturer des jumeaux 3D précis de tous nos espaces, il nous suffit de commander le fichier BIM en quelques clics et de le mettre dans Revit. Nous avons supprimé plus de 40 heures/personnes sur un travail récent, ce qui a permis à notre équipe de consacrer plus de temps pour offrir un excellent travail de conception pour nos clients. »Simplifier le flux de travail BIMLe fichier BIM de Matterport permet aux clients d'adopter facilement ce nouveau système de numérisation vers le BIM. Tout d'abord, un jumeau numérique est créé en scannant l'espace avec une caméra 3D comme la Matterport Pro2 ou en programmant un technicien hautement qualifié par le biais de Matterport Capture Services. Ensuite, le fichier BIM peut être commandé à partir de son compte Matterport. A la réception, les clients peuvent l'importer dans l'application BIM de leur choix. Pour ceux qui utilisent le plug-in Revit, le fichier BIM peut être immédiatement téléchargé dans leur espace Autodesk.« Nous avons travaillé avec Autodesk sur notre plug-in Revit et collaboré avec certaines des entreprises les plus importantes et les plus reconnues de l’industrie pour développer l'offre de fichiers BIM de Matterport. Avec le lancement de ces deux solutions pour le secteur de la construction, nous sommes ravis d'offrir le moyen le plus rapide et la plus pratique pour passer d'une numérisation 3D Matterport à un fichier BIM en quelques jours seulement et enun simple clic », a déclaré Preethy Vaidyanathan, vice-président des produits chez Matterport. « Le fichier BIM de Matterport n'offre pas seulement un retour sur investissement révolutionnaire pour nos clients du bâtiment, il sert aussi de source unique et fiable pour la conception, la construction et la gestion des propriétés.»
Il y a 3 ans et 49 jours

L'ascenseur intelligent : la colonne vertébrale du bâtiment de demain

Qu'est-ce qu'un ascenseur intelligent ?Un ascenseur intelligent est un ascenseur « amélioré » : en plus de fonctions que l'on attend d'un ascenseur classique, il est équipé de capteurs permettant de compter le nombre de trajets effectués, le nombre d'occupants, mais aussi d'une IA capable de détecter les signes avant-coureurs d'usure ou de défaillance permettant de prévoir plus vite et plus facilement une maintenance. Un ascenseur intelligent permet donc un gain de sécurité, un gain d'énergie et un gain en termes d'efficacité.Il peut aussi être équipé de fonctionnalités utiles au quotidien des utilisateurs comme l'appel de l'ascenseur sans contact via un smartphone, l'affichage d'informations relatives à la vie du bâtiment, à la conciergerie ou même de divertissements comme de la musique personnalisée pour une expérience de trajet inégalable.Une valeur ajoutée pour tous les acteurs du bâtimentL'ascenseur est un indispensable pour les bâtiments et est même obligatoire à partir du 3ème étage au-dessus du rez-de-chaussée en France. Il représente le bâtiment entier de par son rôle de transport entre les différents étages et il ne faut donc pas le négliger. Pour 96% des Français, il est important de remplacer les ascenseurs vétustes selon un sondage Ipsos réalisé pour la Fédération des Ascenseurs, montrant bien la nécessité d'innover dans ce domaine pour sortir des ascenseurs sombres et oppressants.Les ascenseurs intelligents permettent également un design plus moderne et en adéquation avec le reste du bâtiment via leurs salles des machines très discrètes voire intégrées à la cabine, facilitant le travail de l'architecte en amont de la construction et celui de la maintenance en aval grâce à des systèmes de maintenance et de surveillance du fonctionnement à distance par exemple.Avoir un ascenseur intelligent est donc un excellent moyen de se différencier et d'accroître pour l'investisseur la valeur de l'immeuble dans lequel l'ascenseur est installé.Une capacité d'adaptation sans limites aux besoins des utilisateursSelon l'étude Ipsos menée pour la Fédération des Ascenseurs, un tiers des français souhaitent profiter des dernières technologies numériques dans leur ascenseur, avec par exemple une commande vocale pour sélectionner son étage et ouvrir les portes et 37% désirent profiter d'une musique d’ambiance pendant le trajet, démontrant l'intérêt des utilisateurs pour les possibilités multiples de personnaliser la cabine de l'ascenseur et l'expérience des passagers.Du design sobre et épuré au design ultra moderne, en passant par le choix des couleurs et des matériaux ou de l'éclairage, qu'il soit diffus, direct ou indirect, les acteurs de la mobilité comme KONE ont prévu tout le nécessaire afin que chaque ascenseur intelligent s'ajuste parfaitement aux besoins et aux contraintes de chaque projet, avec par exemple la modélisation 3D de la cabine via des modèles CAD et BIM pour faciliter la visualisation de la future réalisation.
Il y a 3 ans et 50 jours

L’AfterBIM#5 : Bonnes pratiques en modélisations d’après nuages de points

Au programme de ce cinquième AfterBIM, Julien Beaupré et Rémy Maurcot vous proposent un échange sur les bonnes pratiques en modélisations d’après nuages de points. Au programme de cet AfterBIM, vous découvrirez une présentation des différents types de modélisations d’après nuages de points, les bonnes pratiques de Julien et Rémy, les étapes pour réaliser une maquette, et surtout des trucs et astuces rien que pour vous ! On vous attend nombreuses et nombreux
Il y a 3 ans et 62 jours

Signature du nouveau contrat de service public entre l'Etat et RTE

Ce nouveau contrat de service public s’inscrit dans un contexte de profonde transformation du système énergétique, dans lequel RTE fait face à la nécessité d’accélérer le renouvellement du réseau de transport d’électricité et de l’adapter aux évolutions du mix énergétique, dans la perspective de l’atteinte de l’objectif de neutralité carbone que la France s’est fixé.Ce contrat de service public fixe des objectifs stratégiques importants, comme le raccordement le plus rapide possible des installations éoliennes en mer et celui des sites industriels, le développement des flexibilités de consommation, la limitation de l’impact environnemental des activités de RTE et la sécurité d’approvisionnement électrique à court et long termes.Les 40 objectifs stratégiques définis dans le contrat sont répartis selon trois grands axes, correspondant aux défis principaux que RTE doit relever.D’une part, rendre possible la transition énergétique par la transformation du réseau de transport d’électricité, en favorisant l’acceptabilité sociétale et le développement des territoires, avec, par exemple : La mise en place d’une planification à long terme des futurs projets d’énergies renouvelables en mer,La création d’un fonds d’accompagnement, le FAREMER, financé par RTE, qui accompagnera la réalisation de chaque projet de création d’infrastructures de réseau en mer,L’accompagnement de la décarbonation des processus industriels,La poursuite de la limitation de l’empreinte carbone et environnementale du réseau.D’autre part, exploiter le réseau et garantir sa résilience, en s’adaptant aux mutations du système électrique, avec, notamment :L’élargissement de l’éventail des flexibilités de consommation en cas de déséquilibre du système,La mise à jour des instruments de gestion de crise,La participation au développement des interconnexions électriques avec nos voisins européens.Enfin, le contrat de service public rappelle également le rôle central de RTE dans la modélisation du mix électrique et de l’équilibre offre-demande de moyen et long termes, permettant d’éclairer les choix de politique énergétique des pouvoirs publics, à travers deux objectifs :Assurer un rôle d’expert et d'aide à la décision auprès de l’Etat,Mettre à disposition des territoires et des citoyens les informations et les outils facilitant la compréhension de leur contexte énergétique.
Il y a 3 ans et 64 jours

Capter, stocker ou utiliser le carbone

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Démonstrateur FastCarb installé sur le site de Vicat de Créchy (03). [©Vicat] Mini Sommaire : Dossier : Bétons et éco-construction #1 Remettre le béton dans le béton La préfabrication à la mode du bas carbone Les bétons se mettent au vert Des liants nouvelles générations La transition écologique rapportée à tous les domaines demande une vision globale. Le monde du béton ne déroge pas à la règle et s’active sur tous les fronts. Le recyclage ne date pas d’hier dans le domaine du béton. Mais aujourd’hui, de nouveaux acteurs et de nouvelles pratiques font évoluer les choses. Qu’il s’agisse d’incorporer des granulats recyclés dans la formulation des matériaux ou de valoriser des bétons de démolition. De manière générale, l’industrialisation du bâtiment via la construction et la production hors site est vue comme une réponse crédible face à la transition environnementale du secteur. Les bétons “organiques” ont le vent en poupe. Que ce soit chez les majors du béton ou à travers de nouveaux acteurs. Chanvre, bois, manioc ou riz, les bétons se mettent au vert… Industriels et start-up se mettent en ordre de marche pour proposer des solutions disruptives dans le domaine des liants. L’objectif ? Réduire l’impact carbone des ciments. Plusieurs entreprises et projets se sont emparés de la problématique du captage, du stockage et du réemploi du carbone pour l’appliquer au monde du ciment et du béton. « Le stockage de CO2 est un volet sur lequel le monde de la construction se penche », explique Jonathan Mai-Nhu, responsable du département durabilité des ouvrages au Cérib. D’autant plus, qu’économiquement parlant, il n’est pas bon d’être soumis aux quotas d’émissions de nos jours, le prix du carbone ne faisant qu’augmenter. En comparaison, le 4 février 2022 dernier, il a frôlé les 100 €/t (96,43 €/t), alors qu’il était à 23,75 €/t le 5 février 2020. Dans le cadre du Projet national FastCarb, le CO2 est piégé dans les granulats issus des bétons de démolition par des procédés de carbonatation accélérée. Le Cérib a co-piloté la modélisation de la carbonatation et contribué aux travaux visant à évaluer les performances des bétons formulés avec ces granulats, dont la porosité est réduite (réalisations d’éléments à échelle 1). Plusieurs démonstrateurs ont été mis en place. Au sein des cimenteries Lafarge France de Val d’Azergues (69) et Vicat de Créchy (03), des systèmes semi-industriels captent les fumées dégagées par les cheminées. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 64 jours

Incroyable système de toiture enterrée à l’abbaye de Sorde

C’est dans le cadre d’un projet de restauration du cryptoportique de l’abbaye de Sorde dans les Landes, porté par la Communauté de communes du Pays d’Orthe et Arrigans et réalisé sous le contrôle de la Conservation régionale des Monuments historiques que le Service régional de l’archéologie a prescrit une fouille archéologique préventive réalisée par la société Eveha. L’objectif, en amont des travaux, était d’acquérir de nouvelles connaissances sur l’architecture du cryptoportique construit au XVIIIe siècle, en surplomb du Gave d’Oloron, ainsi que sur les bâtiments antérieurs. L’équipe d’archéologues a mis au jour un insoupçonnable système de toitures complexe en tuiles. A priori enterré dès l’origine, le dispositif est installé directement sur l’ensemble des voûtes de la galerie du cryptoportique afin d’assurer l’étanchéité de ce dernier via un système de drains chargé d’évacuer les eaux pluviales vers le Gave. La rareté même de ces vestiges, dont on ne connaît pas d’autre exemple sur le territoire national, leur confère un caractère exceptionnel. La fouille, encore partielle, doit être poursuivie dans les prochains mois. Les observations futures permettront d’apporter des informations complémentaires et éventuellement d’affiner les premières conclusions des archéologues. Au terme des travaux, la terrasse sera à nouveau recouverte de terre afin d’assurer la conservation des vestiges. Une exposition prolongée de ces derniers aux aléas climatiques risquerait en effet de menacer leur pérennité ainsi que la structure du cryptoportique. Si des modélisations 3D permettront de conserver et de présenter l’aspect et le fonctionnement des toitures, des visites proposées le 1er avril 2022 conjointement par la Communauté de communes du Pays d’Orthe et Arrigans et la société Eveha constituent l’unique occasion de découvrir ces vestiges. Photo : Drac Nouvelle Aquitaine
Il y a 3 ans et 71 jours

Manitou se « modélise »

Manitou Group, référence mondiale de la manutention, de l’élévation de  personnes et du terrassement, choisit la plateforme BIM&CO pour la modélisation de ses produits Manitou. Cette solution permet, via un logiciel d’architecture, de digitaliser son catalogue de produits  et de les rendre disponibles gratuitement depuis une bibliothèque accessible sur le site manitou.com. Retrouvez l’interview complète de Manitou sous ce lien. Afin de poursuivre le développement de son offre de services et notamment celui des solutions  digitales, le groupe lance la modélisation de ses produits Manitou dédiés au marché de la construction.  Disponibles dans le monde entier (français et anglais) dans la bibliothèque BIM via le site manitou.com et sur la plateforme BIM&CO, les utilisateurs architectes BIM modeleurs, ou encore projeteurs,  peuvent facilement introduire les machines Manitou dans leurs environnements de travail lors d’un  projet de chantier. Le BIM (Building Information Modeling) désigne les outils de modélisation des  informations de la construction, englobant toutes les phases d’un chantier, de sa conception à sa  déconstruction. Cette modélisation assure à l’utilisateur une expérience totalement immersive, tout  en lui apportant une aide à la prise de décision et à la rationalisation des coûts. Cette base de données  est gratuite et facilement accessible : une simple création de compte est suffisante pour accéder à  l’ensemble des modèles 3D. Arnaud Boyer, VP Marketing & Product Development pour Manitou Group, explique la mise en place  de ce nouveau service : “Notre transformation digitale s’accélère et doit permettre à nos clients d’être  encore plus performants sur leurs chantiers. C’est pourquoi Manitou propose des fichiers dynamiques au format BIM, qui s’inscrivent dans une approche collaborative du développement de projets. »  Découvrez l’intégralité du communiqué de presse sous ce lien.
Il y a 3 ans et 103 jours

Antea Group et batiRIM®, Groupe SUEZ, mettent le digital au service de la valorisation des déchets du BTP

Celui-ci proposera aux acteurs du BTP une solution de déconstruction sélective afin de maximiser le réemploi et le recyclage des déchets. Cette démarche s’appuie sur un outil de modélisation unique, RIM® (Ressource Information Modeling) qui permettra à Antea Group d’élargir son offre de services pour les projets de déconstruction et de réhabilitation au service de l’économie circulaire.Les outils numériques sont incontournables pour optimiser la déconstruction sélective d’un bâtit et assurer cette mutation. C’est pourquoi Antea Group a choisi de s’associer à batiRIM® et de proposer le diagnostic digitalisé des Produits-Equipements-Matériaux-Déchets avec l’outil RIM® dans son offre de service. Ce diagnostic permettra de quantifier, qualifier et cartographier les flux de produits et de matières issus de bâtiments en rénovation, réaménagement ou déconstruction et d’évaluer, avant même le début des travaux, leur potentiel de réemploi, de réutilisation et de recyclage. Ce diagnostic est la pièce maîtresse pour définir la stratégie Economie Circulaire grâce à l’utilisation des données collectées sur le terrain, et ainsi répondre aux nouveaux enjeux réglementaires.Grâce à cet outil, Antea Group sera en mesure d’utiliser les données, les référentiels et les plans constitués lors du diagnostic PEMD digitalisé pour organiser le chantier de curage ou de déconstruction sélective avec les différents intervenants. L’outil permet également d’intégrer les plans des bâtiments dans une interface numérique, en 2D ou 3D, et de restituer les données acquises dans une base de données interactive et sécurisée, au sein de la plateforme batiRIM®, partagée avec l’ensemble des parties prenantes du chantier. Ce diagnostic permettra de réaliser un suivi des flux de produits et matériaux (fenêtres, sols, portes, etc.) jusqu’à leur possible incorporation dans de nouvelles constructions. Il pourra également assurer la traçabilité et la gestion facilitée de la déconstruction sélective, établir le bilan carbone tout en fournissant des données fiabilisées à ses clients.Pascal Voyeau, Directeur Général d’Antea Group en France, déclare : « Diminuer l’impact environnemental des chantiers de nos clients et développer avec eux l’économie circulaire sont les ambitions que nous nous fixons. Pour y parvenir, nous nous appuyons sur des technologies avancées : le partenariat avec batiRIM® est un facteur clé de succès de notre démarche ».Yann Vincent, Président Directeur Général de batiRIM® et Directeur Général des Services aux Entreprises SUEZ Recyclage et Valorisation France, ajoute : « Acteur de la préservation de l’environnement, SUEZ mobilise les parties prenantes pour réussir la transition environnementale, en développant des modèles d’économie circulaire. La solution proposée par batiRIM® à Antea Group en est un exemple concret qui s’appuie à la fois sur des référentiels métiers, des outils numériques pour réaliser la modélisation des bâtiments à déconstruire et sur l’expertise d’une équipe ».
Il y a 3 ans et 110 jours

Meilleure qualité de l'air : des milliers de morts évités en IdF

Ainsi pour les particules fines PM2,5 (diamètre inférieur à 2,5 micromètres), "entre 2010 et 2019, le nombre annuel de décès attribuables à l'exposition prolongée est passé de 10.350 à 6.220 soit une baisse de 40%", selon cette "Évaluation quantitative des impacts sur la santé" réalisée par l'Observatoire régional de la santé (ORS) d'Ile-de-France, en collaboration avec Airparif, observatoire régional de la qualité de l'air.Pour l'exposition prolongée au dioxyde d'azote (NO2), produit principalement par les véhicules et les centrales thermiques ou le chauffage, le nombre de décès annuel "est passé de 4.520 à 3.680 soit une baisse de près de 19%".Pour réaliser ces évaluations -qui ne prennent pas en compte l'année 2020 et les fortes baisses de pollution liées aux confinements- l'ORS s'est basée sur un calcul du "risque attribuable", estimation statistique rapportant à l'ensemble des décès enregistrés ceux attribuables à la pollution atmosphérique.Les données de population de l'Insee ont ainsi été croisées avec des modélisations à partir des données d'Airparif, avec une résolution par carré de 50 mètres de côté.Ce qui met en évidence que les gains de mortalité concernent "tous les territoires y compris les territoires ruraux mais sont plus marquées dans la zone dense, à la fois plus polluée et plus peuplée". Le "bénéfice (est) particulièrement marqué à Paris", avec "un gain brut d'espérance de vie (de) près de 10 mois".La France est sous le coup de poursuites de l'Union européenne et a été également condamnée par le Conseil d'Etat à la demande d'ONG pour dépassement des seuils de pollution de l'air, notamment au NO2 en région parisienne, même si la qualité globale s'est améliorée au niveau régional.Selon l'étude, la "valeur médiane" de l'exposition (50% des mesures en dessous et 50% au dessus) de la population d'Ile-de-France aux PM2,5 en moyenne annuelle est passée de 17,3 microgramme/m3 à 11,7 μg/m3 depuis 2010 (l'UE fixe comme objectif 25 μg/m3) et de 32,2 à 26,1 μg/m3 pour le NO2 (40 μg/m3 maximum autorisé par l'UE).Les gains en termes de mortalité pourraient être encore plus importants si les nouvelles valeurs de référence adoptées en septembre 2021 par l'Organisation mondiale de la Santé (5 μg/m3 pour les PM2,5 et 10 μg/m3 pour le NO2) étaient atteintes, ajoutent les auteurs.Ils estiment que 6.200 décès annuels liés aux PM2,5 pourraient alors être évités dans la région et "de l'ordre de 2.350 décès" pour le NO2 (certaines causes de décès se cumulant, les deux chiffres ne s'additionneraient pas forcément).Au niveau national, la pollution de l'air est considérée comme responsable de 40.000 décès prématurés chaque année.
Il y a 3 ans et 121 jours

SECTEUR DE LA CONSTRUCTION -Le groupe Fondasol lance Solscore, l’outil d’aide à la décision pour les projets de construction

Le groupe Fondasol lance SOLSCORE, un outil d’aide à la décision destiné aux acteurs de la construction, dans le cadre de l’acquisition d’un terrain ou de la construction d’un projet. S’appuyant sur la profondeur de la base de données de Fondasol, son expertise géotechnique et sa capacité de modélisation, Solscore délivre une tendance immédiate, une […]
Il y a 3 ans et 131 jours

BTP : finales nationales des WorldSkills

Le CCCA-BTP, partenaire de WorldSkills France, était présent à Lyon, du 13 au 15 janvier 2022, aux finales nationales de la 46e édition de la Compétition WorldSkills, sous la bannière de la campagne de communication « La Construction. Demain s’invente avec nous », organisée par le CCCA-BTP, mobilisé avec les professionnels de la construction, pour promouvoir l’innovation, la diversité et la richesse des métiers du secteur du BTP, valoriser l’apprentissage comme voie de formation professionnelle initiale d’excellence et de réussite et donner envie aux jeunes visiteurs l’envie de rejoindre une filière d’avenir. Sur le pôle BTP, le plus important en compétition avec 17 métiers représentés, 160 candidats, âgés de moins de 23 ans, se sont affrontés pendant trois jours intenses de compétition, donnant à voir le meilleur d’eux-mêmes par la maîtrise de leur savoir-faire, leur talent, leur détermination et la passion qu’ils portent à leur métier respectif. La construction digitale a fait son apparition dans la compétition avec un sujet inspiré d’un projet en cours de construction en région Auvergne-Rhône-Alpes. Durant cette épreuve de 17 heures 30, les cinq candidats ont du faire appel à toutes les compétences nécessaires pour mener un projet BIM : modélisation et création des maquettes numériques de la structure gros œuvre et des aménagements intérieurs (plafonds, cloisons, portes, sol). Le palmarès a été proclamé le 15 janvier lors de la cérémonie de clôture à Eurexpo Lyon. Ce sont 58 jeunes, dont deux binômes métiers (aménagement urbain et réseaux de canalisations / Construction béton armé) qui ont été récompensés dans les 16 métiers du BTP en compétition et pour l’épreuve Construction digitale. Ces vainqueurs auront l’honneur de concourir au niveau mondial à Shanghai en 2022 et au niveau européen à Saint-Pétersbourg en 2023. AMÉNAGEMENT URBAIN ET RÉSEAUX DE CANALISATIONS Médaille d’or : Ugo HUMBERT et Nicolas RENARD, région Grand Est Médaille d’argent : Léo BESANCON et Baptiste CAILLOT, région Bourgogne Franche-Comté Médaille de bronze : Baptiste CAPEL et Gaëtan CHARBONNEL, région Nouvelle-Aquitaine CARRELAGE Médaille d’or : Goulven LECOQ, région Pays de la Loire Médaille d’argent : Karim DOLEDEC, région Bretagne Médaille de bronze : Marius CONNAN, région Centre Val-de-Loire CHARPENTE Médaille d’or : Charles NAVELOT, région Hauts-de-France Médaille d’argent : Romain SIMON, région Normandie Médaille de bronze : Colin LAINÉ, région Pays de La Loire ONSTRUCTION BÉTON ARMÉ Médaille d’or : Manuel GAUDIN et Anthony BOSCH, région Bourgogne Franche-Comté Médaille d’argent : William ROMANO et Gabriel PIMENTA MEIRELES, région Nouvelle-Aquitaine Médaille de bronze : Florian SCHMIT / Nathan DEL-SAVIO, région Grand Est CONSTRUCTION DIGITALE Médaille d’or : Pierre LOIR, région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur Médaille d’Argent : Rémy EGEA, région Île-de-France Médaille de bronze : Sofiane IKRAM, région Île-de-France Médaille de bronze : Théo PRINCE, région Île-de-France COUVERTURE MÉTALLIQUE Médaille d’or : Pierre TAISNE, région Pays de La Loire Médaille d’argent : Jordan PETIT, région Auvergne Rhône-Alpes
Médaille de bronze : Quentin BESANÇON, région Bourgogne-Franche-Comté ÉBÉNISTERIE Médaille d’or : Florentin LANCELEUR, région Île de la Réunion Médaille d’argent : Dorian GROITIER, région Pays de La Loire Médaille de bronze : Alexandre SARRAZIN, région Bourgogne Franche-Comté INSTALLATION ÉLECTRIQUE Médaille d’Or : Quentin GALAIS, région Pays de la Loire Médaille d’argent : Yann QUOEURNAT, région Centre Val-de-Loire
Médaille de bronze : Erwan NOEPPEL, région Bretagne MAÇONNERIE Médaille d’or : Thomas DEGRENDELE, région Normandie Médaille d’argent : Valentin COUTANT, région Centre Val-de-Loire Médaille de bronze : Guillaume DUBOURG, région Nouvelle-Aquitaine MENUISERIE (en photo) Médaille d’or : Maxime BLOQUE, région Grand Est Médaille d’argent : Tim TARBAGAYRE, région Sud Provence-Alpes-Côte d’azur
Médaille de bronze : Pierre TYMEN, région Normandie MÉTALLERIE Médaille d’or : Guillaume OSWALD, région Pays de La Loire Médaille d’argent : William LASSALZEDE, région Sud Provence-Alpes-Côte d’azur Médaille de bronze : Vincent GAUTHIER, région Île-de-France MIROITERIE Médaille d’or : Lilian VALLET, région Auvergne Rhône-Alpes Médaille d’argent : Remy BELLUCCI, région Sud Provence-Alpes-Côte d’azur
Médaille de bronze : Téo BROHAN, région Pays de la Loire PEINTURE ET DÉCORATION Médaille d’or : Nancy MAURILLE (médaille d’excellence aux EuroSkills), région Pays de La Loire Médaille d’argent : Etienne BLANCHARD, région Pays de La Loire Médaille de bronze : Mathieu LECÂBLE, région Normandie PLÂTERIE ET CONSTRUCTION SÈCHE Médaille d’or : Baptiste LAMY, région Pays de La Loire Médaille d’argent : Alexis BOURGET, région Bretagne Médaille de bronze : Steven GILLET, région Hauts-de-France PLOMBERIE ET CHAUFFAGE Médaille d’or : Tom PEAN, région Bourgogne Franche-Comté Médaille d’argent : Aymeric JAEGY, région Grand Est Médaille de bronze : Blaise TAUZIN, région Pays de La Loire SOLIER Médaille d’or : Florian CURUTCHET, région Nouvelle-Aquitaine Médaille d’argent : Kelyan N’KOLOBISE, région Auvergne Rhône-Alpes Médaille de bronze : Benjamin HENNEBELLE, région Auvergne Rhône-Alpes TAILLE DE PIERRE Médaille d’or : Nino DELGADO, région Île-de-France Médaille d’argent : Adrien NICOLAS BUON, région Normandie Médaille de bronze : Mikael REBELO PEREIRA, région Hauts-de-France
Il y a 3 ans et 132 jours

Les vainqueurs du BTP des 46e WorldSkills France dévoilés

Pour le pôle BTP, 58 jeunes, dont deux binômes ont été récompensés. [©CCCA-BTP] La 46e édition des WorldSkills France s’est achevée le 15 janvier dernier. Pour l’occasion, le CCCA-BTP, partenaire de l’évènement, était présent à Lyon, tout au long de la compétition, sous la bannière “La construction – Demain s’invente avec nous”. Cela, afin de promouvoir l’innovation, la diversité du secteur, ou encore de valoriser l’apprentissage… Par ailleurs, le Premier ministre, Jean Castex est venu le 14 janvier à la rencontre des jeunes compétiteurs. Il a échangé avec Eric Routier, président du CCCA-BTP, sur la formation des jeunes aux métiers de la construction. Sur le pôle BTP, les finales du Worldskills regroupaient près de 160 jeunes de moins de 23 ans en lice dans 17 métiers de la filière. Pour cette édition, la construction digitale a fait son apparition dans la compétition. Durant cette épreuve de 17 h 30, les candidats ont mené un projet BIM. C’est-à-dire, la modélisation et la création des maquettes numériques de la structure gros œuvre et des aménagements intérieurs. Les vainqueurs du pôle BTP A l’issue de toutes les épreuves, le palmarès des finales nationales de la 46e édition des WorldSkills a été dévoilé lors d’une cérémonie à Eurexpo Lyon. Ce sont donc 58 jeunes, dont deux binômes qui ont été récompensés. Ces vainqueurs pourront concourir au niveau mondial à Lire aussi : L’Equipe de France du BTP débarque pour les WorldSkills 2024 Shanghai en 2022 et au niveau européen à Saint-Pétersbourg en 2023. « Les jeunes champions médaillés lors de ces finales nationales ont une nouvelle fois démontré leur talent et leur professionnalisme, déclare Eric Routier. Ainsi que leur parfaite maîtrise dans la pratique de leur métier respectif. » Parmi les vainqueurs William Romano et Gabriel Pimenta Meireles ont remporté l’argent dans la catégorie construction béton armé. [©CCCA-BTP] – Médaille d’or : Manuel Gaudin et Anthony Bosch (Bourgogne Franche-Comté). Argent : William Romano et Gabriel Pimenta Meireles (Nouvelle-Aquitaine). Et bronze : Florian Schmit et Nathan Del-Savio (Grand Est) dans la section construction béton armé. – Or : Thomas Degrendele (Normandie), Argent : Valentin Coutant (Centre Val de Loire) et Bronze : Guillaume Dubourg (Nouvelle-Aquitaine) dans la section maçonnerie. – Médaille d’or : Charles Navelot (Hauts-de-France). Argent : Romain Simon (Normandie) et Bronze : Colin Lainé (Pays de la Loire) dans la section charpente – Or : Baptiste Lamy (Pays de la Loire). Argent : Alexis Bourget (Bretagne), Bronze : Steven Gillet (Hauts-de-France) dans la section plâtrerie et construction sèche.
Il y a 3 ans et 133 jours

Palmarès WorldSkills : une belle moisson pour l’équipe des métiers du bâtiment et des travaux publics

Une campagne organisée par le CCCA-BTP, mobilisé avec les professionnels de la construction, pour promouvoir l’innovation, la diversité et la richesse des métiers du secteur du BTP, valoriser l’apprentissage comme voie de formation professionnelle initiale d’excellence et de réussite et donner envie aux jeunes visiteurs l’envie de rejoindre une filière d’avenir.160 jeunes en lice dans 17 métiers du BTP et dans la nouvelle épreuve Construction digitaleSur le pôle BTP, le plus important en compétition avec 17 métiers représentés, 160 candidats, âgés de moins de 23 ans, se sont affrontés pendant trois jours intenses de compétition, donnant à voir le meilleur d’eux-mêmes par la maîtrise de leur savoir-faire, leur talent, leur détermination et la passion qu’ils portent à leur métier respectif.La construction digitale a fait son apparition dans la compétition à l’occasion de ces finales nationales, avec un sujet inspiré d’un projet en cours de construction en région Auvergne-Rhône-Alpes. Durant cette épreuve de 17 heures 30, les cinq candidats ont du faire appel à toutes les compétences nécessaires pour mener un projet BIM : modélisation et création des maquettes numériques de la structure gros œuvre et des aménagements intérieurs (plafonds, cloisons, portes, sol).Formidables ambassadeurs des valeurs d’excellence et de réussite transmises lors de leur parcours de formation, les jeunes compétiteurs ont tous pleinement incarné l’entraide, la complémentarité et l’esprit d’équipe inhérents aux métiers du BTP, tout en symbolisant l’excellence du modèle de l’apprentissage.Visite ministérielle sur l’espace « La Construction. Demain s’invente avec nous »Le Premier ministre Jean Castex est venu le 14 janvier sur le site de la compétition à la rencontre des jeunes compétiteurs, accompagné de Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, et d’Élisabeth Borne, ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion. Jean Castex s’est attardé sur l’espace du CCCA-BTP pour encourager les jeunes en compétition dans les 17 métiers du BTP. Il a échangé avec Éric Routier, président du CCCA-BTP, et Jean-Christophe Repon, vice-président du CCCA-BTP, sur la formation des jeunes aux métiers de la construction par la voie de l’apprentissage et insisté sur la nécessité de les rendre encore plus attractifs.58 jeunes vainqueurs pour le pôle BTPLe palmarès des finales nationales des 46e WorldSkills Competition a été proclamé le 15 janvier lors de la cérémonie de clôture à Eurexpo Lyon. Ce sont 58 jeunes, dont deux binômes métiers (aménagement urbain et réseaux de canalisations / Construction béton armé) qui ont été récompensés dans les 16 métiers du BTP en compétition et pour l’épreuve Construction digitale. Ces vainqueurs auront l’honneur de concourir au niveau mondial à Shanghai en 2022 et au niveau européen à Saint-Pétersbourg en 2023.Retrouver la liste complète du palmarès BTP sur laconstruction.fr et ccca-btp.frPour Éric Routier, président du CCCA-BTP : « Avec nos métiers du BTP, les jeunes en recherche de leur orientation professionnelle ont un avenir solide assuré dans notre secteur, qui offre de belles perspectives de carrière. La plupart des compétiteurs ont été formés par la voie de l’apprentissage, grâce à l’implication quotidienne de leur maître d’apprentissage en entreprise et de leurs formateurs en centre de formation. Les jeunes champions médaillés lors de ces finales nationales ont une nouvelle fois démontré leur talent et leur professionnalisme, ainsi que leur parfaite maîtrise dans la pratique de leur métier respectif. Il était aussi important de profiter de cet événement national pour mettre les jeunes et nos métiers du BTP à l’honneur, affirmer haut et fort que l’apprentissage est plus que jamais une voie qui conduit vers l’excellence et la réussite. Le CCCA-BTP, partenaire de longue date de WorldSkills France et partenaire de ces finales nationales, était présent au cœur du pôle BTP, sous les couleurs de la campagne de promotion des métiers et de l’apprentissage BTP « La Construction », que nous menons auprès des jeunes. Cet événement, où l’on voit combien les jeunes qui ont fait le choix de notre secteur du BTP sont heureux, a été une exceptionnelle vitrine pour valoriser nos métiers, montrer aux jeunes visiteurs qu’ils sont innovants et attractifs et leur donner envie de rejoindre de notre secteur du BTP ! »
Il y a 3 ans et 135 jours

Du nouveau dans la mesure de la surchauffe urbaine

A la fois outil de sensibilisation et aide à la décision pour l’aménagement du territoire, une solution de modélisation des îlots de chaleur joue la carte de la simplicité pour convaincre les maîtres d’ouvrage.
Il y a 3 ans et 135 jours

L’alliance HQE-GBC France livre les résultats du programme de recherche NZC Rénovation

Si rien ne s’impose aujourd’hui aux bâtiments existants, 500.000 d’entre eux * devraient néanmoins être amenés à évoluer chaque année, dans l’hypothèse d’une massification de la rénovation conforme à la stratégie nationale. Par ailleurs, le cadre de la trajectoire nationale bas-carbone fixe à 3% la part de parc tertiaire à rénover par an ** et le décret tertiaire fixe l’objectif de -40 % de réduction des consommations énergétiques à atteindre dès 2030 pour les bâtiments soumis à son obligation***.Or contribuer efficacement à des bâtiments toujours plus performants implique de nouvelles manières de penser l’Analyse du Cycle de Vie du bâtiment dans sa globalité, l’enjeu environnemental de la rénovation ne pouvant se réduire au volet énergétique.C’est pourquoi l’Alliance HQE-GBC France, dans la logique d’innovation collaborative qui lui est chère, pilote depuis 2 ans le programme de recherche NZC Rénovation (Net Zéro Carbone Rénovation ), financé par la Fondation REDEVCO, et organisé en collaboration étroite avec AIA ENVIRONNEMENT. Ce programme vise à identifier une méthode cohérente pour augmenter la performance des bâtiments existants sur l’ensemble du cycle de vie.A l’issue d’une phase de tests menés sur 7 familles de projets représentatives, le programme de recherche NZC Rénovation livre aujourd’hui des clés de lecture et des enseignements : il apporte une définition du concept de neutralité carbone dans un projet de rénovation, montre précisément que le concept peut être illustré par un indicateur de temps de retour carbone et met en évidence les leviers bas-carbone, efficaces et concrets, pour la réduction des émissions de carbone sur le marché français de la rénovation.Pour Marjolaine Meynier-Millefert, Présidente de l’Alliance HQE-GBC France : « La route vers la massification de la rénovation est enfin pavée ! Le projet de recherche NZC Rénovation s’inscrit logiquement dans l’évolution du secteur du bâtiment. Dans un monde où l’on vise les 2 degrés, recourir à ces informations est vital pour la prise de décisions et pour se faire, l’acculturation massive des acteurs de la construction à ce type de modélisation est indispensable. »*et **Scénario SNBC révisé (neutralité carbone), mars 2020*** Décret tertiaire, Arrêté du 10 avril 2020La notion de temps de retour carbone : un indicateur pertinent pour mesurer les ACV.Dans la durée de vie du bâtiment, la notion de temps de retour carbone est le point d’équilibre carbone à surveiller : le palier à partir du duquel les émissions de GES évitées apparaissent, soit le moment où les bénéfices de la rénovation compensent l’investissement initial en matière de carbone.A l’échelle du temps, plus ce point apparaît tôt, mieux c’est ! C’est ce qu’on appelle le temps de retour carbone et il doit être le plus faible possible. Selon les cas étudiés, si aucune attention n’est portée à cet indicateur, le temps de retour carbone peut excéder les 50 ans pour un bâtiment rénové selon la réglementation actuelle !Les leviers bas-carbone identifiés pour la rénovation :Pour que l’indicateur carbone en rénovation soit le plus faible possible, le projet NZC a permis d’identifier 5 leviers à la lumière des enseignements mesurés lors des expérimentations :La tacticité, ou comment rechercher un juste équilibre entre préservation de l’existant et gain de performance sur le long terme? Et maximiser durablement la valeur d’usage tout en minimisant le recours à des matériaux inutiles.La circularité, ou comment s’appuyer sur l’économie circulaire : une façon d’inscrire le projet dans une stratégie ambitieuse d’économie circulaire en maximisant la partie réemployée des matériaux et en privilégiant le réemploi in situ ou à proximité.La matérialité, ou l’étude du poids carbone des matériaux et équipements : la mixité constructive : intégrer le bon matériau au bon endroit en s’appuyant sur les singularités du bâti existant et de son contexte.La technicité, ou la nécessité de s’attarder sur les interactions que le bâtiment peut avoir avec son environnement : afin de choisir la bonne technologie avec discernement, en évitant les dispositifs complexes ou surajoutés.L’externalité, c’est-à-dire s’interroger sur les externalités positives que peut avoir la rénovation. Par exemple, comment contribuer à réduire les déplacements quotidiens et plus largement inciter à de nouveaux modes de vie bas-carbone à l’échelle du quartier ?Le projet de recherche NZC Rénovation livre donc des enseignements précieux sur le poids carbone de la rénovation. Il ouvre également des perspectives pour donner suite aux optimisations NZC réalisées sur les 7 familles de projets.En s’appuyant demain sur le réseau du World GBC qui permettra une communication plus large du projet, et soutenu financièrement par la Fondation REDEVCO, l’Alliance HQE-GBC France est désormais sur le point de diffuser ses travaux à l’International en mettant à disposition en anglais la méthodologie et les études de cas réalisés : une valorisation du savoir-français au-delà de nos frontières !
Il y a 3 ans et 147 jours

Dans les coulisses d'un laboratoire de l'Ifsttar

REPORTAGE. A l'occasion des Future Days, au début du mois de décembre 2021, Batiactu a pu visiter l'un des 7 laboratoires du département Matériaux et structures de l'Ifsttar, axé sur l'expérimentation et la modélisation pour le génie civil et urbain (EMGCU). Avec pour guides les deux directeurs adjoints.
Il y a 3 ans et 149 jours

Matterport accélère le flux de travail pour l'industrie du bâtiment avec le lancement du fichier BIM et du plug-in Autodesk Revit

Désormais inclus dans l’abonnement Matterport, les clients peuvent en un clic transformer un jumeau numérique Matterport capturé par une caméra 3D compatible en un fichier BIM prêt à l’emploi. Le résultat est fourni en quelques jours, prêt à être introduit dans l'application BIM de leur choix. Ce nouveau service accélère considérablement les projets et réduit jusqu’à 70% des coûts associés, en éliminant le processus manuel traditionnel qui demande beaucoup de temps et d'efforts.En complément, Matterport a également annoncé un nouveau système de plug-in pour les clients d'Autodesk® (Nasdaq : ADSK) Revit®, le principal logiciel BIM utilisé dans l'industrie pour créer des modèles d'espaces pour la conception, la visualisation, l'analyse et la construction. Désormais, les architectes, les concepteurs et les ingénieurs du bâtiment peuvent immédiatement télécharger le fichier BIM de Matterport dans Revit et commencer à créer et à gérer les informations d’un projet de construction ou de conception étape par étape.Selon Jim Quanci, directeur principal d'Autodesk Developer Network : « Les lancements du fichier BIM et du plug-in Revit de Matterport témoignent de l'engagement de Matterport envers les secteurs de l’architecture, de l’ingénierie et de la construction. Il montre aussi comment l'utilisation des pratiques BIM et des plateformes technologiques peut accroître le niveau d’efficacité et automatiser la gestion de certaines activités pour les clients d'Autodesk. Nous sommes ravis de travailler aux côtés de Matterport pour rendre le BIM "as built" plus facile. »Stimuler la productivité tout en réduisant les coûts de modélisation de 70%L’offre BIM rassemble en un seul endroit toutes les informations relatives à chaque composant d'un bâtiment. Les parties prenantes du projet peuvent inclure dans le modèle BIM des informations sur les performances, les types de matériaux, les coûts, etc. Jusqu'à présent, ce processus nécessitait une quantité considérable de travail de mesure et de traduction CAO (conception assistée par ordinateur) pour introduire des quantités phénoménales de données dans le système, ce qui pouvait prendre plusieurs semaines, voire plus, selon la taille et la complexité du projet.Avec le fichier BIM de Matterport, les équipes peuvent générer le même résultat pour un coût qui s’élève à une fraction du coût habituel de développement de la documentation adéquate, tout en réduisant les coûts de modélisation pour leurs clients.Pour Akira Jones, directeur des services numériques chez HH Angus and Associates Ltd : « Les coûts de modélisation qui se répercutent sur le client peuvent être très élevés. L'économie de 70 % réalisée avec le fichier BIM de Matterport est significative, et nous pensons que nos clients seront très satisfaits de l’adoption de ce nouveau système de numérisation vers le BIM. Comme nous utilisons déjà Matterport pour capturer des jumeaux 3D précis de tous nos espaces, il nous suffit de commander le fichier BIM en quelques clics et de le mettre dans Revit. Nous avons supprimé plus de 40 heures/personnes sur un travail récent, ce qui a permis à notre équipe de consacrer plus de temps pour offrir un excellent travail de conception pour nos clients. »Simplifier le flux de travail BIMLe fichier BIM de Matterport permet aux clients d'adopter facilement ce nouveau système de numérisation vers le BIM. Tout d'abord, un jumeau numérique est créé en scannant l'espace avec une caméra 3D comme la Matterport Pro2 ou en programmant un technicien hautement qualifié par le biais de Matterport Capture Services. Ensuite, le fichier BIM peut être commandé à partir de son compte Matterport. A la réception, les clients peuvent l'importer dans l'application BIM de leur choix. Pour ceux qui utilisent le plug-in Revit, le fichier BIM peut être immédiatement téléchargé dans leur espace Autodesk.Pour Preethy Vaidyanathan, vice-président des produits chez Matterport : « Nous avons travaillé avec Autodesk sur notre plug-in Revit et collaboré avec certaines des entreprises les plus importantes et les plus reconnues de l’industrie pour développer l'offre de fichiers BIM de Matterport. Avec le lancement de ces deux solutions pour le secteur de la construction, nous sommes ravis d'offrir le moyen le plus rapide et la plus pratique pour passer d'une numérisation 3D Matterport à un fichier BIM en quelques jours seulement et en un simple clic. Le fichier BIM de Matterport n'offre pas seulement un retour sur investissement révolutionnaire pour nos clients du bâtiment, il sert aussi de source unique et fiable pour la conception, la construction et la gestion des propriétés. »
Il y a 3 ans et 168 jours

Le numérique au service de la transition énergétique : mise en place des outils

La mise en place d’outils numériques est répartie sur   deux nouveaux services : d’abord, avant les travaux avec des diagnostics qui vont apporter plus de fiabilité, donc plus de possibilités d’investissements en diminuant les risques… ensuite, pendant la phase d’exploitation, les outils vont permettre le suivi de performances, la  réduction de la consommation énergétique grâce à une meilleure modélisation… Avec : Jérôme Morville, Responsable du cadre économique au Syndicat des Energies Renouvelables (SER) / Raphaël Meyer, Président co-fondateur de LANCEY Energy Storage Toutes les vidéos de BePositive 2021
Il y a 3 ans et 180 jours

Covid19 : bientôt de nouvelles restrictions ?

"Le président de la République a décidé de convoquer un nouveau Conseil de défense et de sécurité nationale sur la crise sanitaire pour voir s'il y a lieu de prendre des mesures complémentaires dès lundi en fin de matinée", a déclaré le Premier ministre, lors d'une visite à l'hôpital d'Angoulême."La cinquième vague de la pandémie est particulièrement forte" et "la situation est préoccupante", a relevé M. Castex, en citant des chiffres orientés à la hausse, dont une "progression de 60% des cas constatés en une semaine"."Nous restons extrêmement vigilants", a abondé le ministre de la Santé Olivier Véran, en s'appuyant sur les modélisations de l'Institut Pasteur qui promettent 3.000 malades du Covid en réanimation mi-décembre, contre près de 2.000 actuellement."Nous ne laisserons pas la pression monter trop haut" dans les hôpitaux, a souligné M. Véran, répondant à une question sur un possible retour des jauges dans les établissements recevant du public, à commencer par les cafés et restaurants.En attendant, M. Castex a renouvelé ses appels à la vaccination, en assurant que "personne ne sera laissé sans possibilité de faire son rappel avant l'échéance du 15 janvier", date à laquelle le pass sanitaire commencera à ne plus être valable pour les personnes n'ayant pas reçu d'injection complémentaire dans les temps impartis."Il y a toutes les doses qu'il faut", a insisté le chef du gouvernement, en ajoutant que "de nombreux créneaux de rendez-vous vont ouvrir dans les prochains jours".Depuis l'ouverture à tous les Français de plus de 12 ans de la dose de rappel jeudi dernier, "un total de 4,5 millions de rendez-vous ont été pris" s'est félicité M. Castex.Il a également relevé que le nombre de premières injections repartait à la hausse, alors que six millions de Français éligibles, dont 1,2 million de plus de 65 ans, n'ont toujours reçu aucune dose.Le Premier ministre effectuait d'ailleurs sa première sortie après dix jours d'isolement, ayant lui-même contracté le Covid la semaine dernière. "J'ai eu deux doses vaccinales, et ceci explique probablement le fait que je n'ai eu que des symptômes extrêmement légers", a-t-il fait valoir.Lors de sa visite, M. Castex a également détaillé l'enveloppe de près de 1,3 milliard d'euros allouée à la Nouvelle-Aquitaine, dans le plan national de 19 milliards d'euros d'investissements sur 10 ans du Ségur de la Santé. Au total, 158 établissements -hôpitaux comme EHPAD- bénéficieront d'une aide, qu'il s'agisse de rénovation, de nouveaux bâtiments ou de reprise de dette.Le plus gros bénéficiaire sera le centre hospitalier universitaire de Bordeaux, qui a entamé de vastes chantiers de modernisation et recevra 326 millions d'euros de l'Etat.Le service des urgences et la pharmacie de l'hôpital d'Angoulême toucheront six millions d'euros pour réhabiliter leurs locaux, dont la vétusté a été constatée jeudi par MM. Castex et Véran.Ces investissements, ce sont "une question de dignité d'accueil pour les malades, de conditions de travail pour le personnels, et d'efficience du dispositif hospitalier", a martelé M. Castex.