Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour polytechnique

(191 résultats)
Il y a 3 ans et 353 jours

Venise 2021, le top 10 de la rédac #10 : Au Pays-Bas, un plaidoyer contre la monoculture architecturale

Diplômée de l'Ecole polytechnique de Barcelone, Meritxell Inaraja I Genis fonde son agence en 1995. Remarquée pour ses compositions de façades où contrastent les châssis en bandeau et les grands pans opaques, Meritxell Inaraja livrera les archives régionales de Ribera d'Ebre, del Montsia et de Garraf. Outre des projets de villas […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 359 jours

Paris-Saclay : AAPC d’assistance urbaine et paysagère à la maîtrise d’ouvrage

L’EPA Paris-Saclay lance un AAPC d’assistance urbaine et paysagère à la maîtrise d’ouvrage sur des secteurs de la ZAC du quartier de l’Ecole polytechnique au sein du Campus urbain. Jusqu’au 16 juillet 2021. Afin de l’accompagner dans le développement et la conception de certains secteurs de la ZAC du quartier de l’Ecole polytechnique, l’EPA Paris […] L’article Paris-Saclay : AAPC d’assistance urbaine et paysagère à la maîtrise d’ouvrage est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 19 jours

A Saclay, le Pôle Mécanique de l’Institut Polytechnique, par PGA

Le département de mécanique et d’énergétique de l’Institut Polytechnique et de l’ENSTA de Paris, un bâtiment de plus de 10 000 m², rassemblera des laboratoires de recherche en mécanique des solides, en hydrodynamique et mécanique du vivant. Conçu par Pascale Guédot Architecte, il est prévu pour livraison fin septembre 2022. Communiqué. Situé à Palaiseau au […] L’article A Saclay, le Pôle Mécanique de l’Institut Polytechnique, par PGA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 57 jours

Centre de recherche Horiba, à Paris-Saclay, par Sérau Architectes

Sur le quartier ouest de Polytechnique à Palaiseau (Essonne), dans le cadre du Campus Paris-Saclay, le Centre de recherche en optique et siège européen du groupe Horiba, un ouvrage conçu par l’agence parisienne Sérau Architectes, est enveloppé de Métal Déployé pour de multiples raisons. La Société Horiba Jobin Yvon, fondée en 1819, est un acteur […] L’article Centre de recherche Horiba, à Paris-Saclay, par Sérau Architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 68 jours

Clément Vergély - Portrait

Clément Vergély a créé son agence en 2000 à Lyon (15 collaborateurs) et en 2012 à Lausanne avec Christophe Joud (6 collaborateurs). Clément Vergély a suivi ses études à l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne dans l'atelier de Luigi Snozzi. Il est lauréat des Nouveaux Albums des jeunes architectes […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 71 jours

Jean Tschumi, l’architecte suisse de l’ombre

L’architecte et enseignant suisse, Jean Tschumi, a principalement œuvré après la Seconde Guerre mondiale, dans les années 1950. [©Wiki Commons] A la suite d’une donation exceptionnelle, la Cité de l’architecture et du patrimoine consacre sa première rétrospective à l’architecte suisse Jean Tschumi. Cette dernière aura lieu, du 12 mai au 19 septembre 2021, dans le XVIe arrondissement de Paris. Près de 150 dessins, maquettes, photographies, pièces de mobiliers, films historiques, œuvres d’art seront disponibles le temps d’une évasion culturelle. De ses débuts de décorateur, au concours pour le siège de l’Organisation mondiale de la santé, l’exposition permet de (re)découvrir toute l’ampleur d’une œuvre. Bien que peu connu du public français, l’art de Jean Tschumi se partage entre la France et la Suisse. Spécialiste des sièges sociaux d’entreprises, son nom est rattaché à une architecture de prestige, fonctionnelle et moderne. Dans cette première rétrospective française, une douzaine de projets de l’architecte seront présentés. Elle s’articule autour d’une série de thèmes architecturaux, dont l’urbanisme souterrain, l’architecture d’entreprise, l’artisanat du dessin ou encore l’importance du mobilier. Des débuts prometteurs, de Lausanne à Paris Né en 1904, dans le canton de Genève, en Suisse, Jean Tschumi est initié, dès son plus jeune âge, au dessin et au travail du bois. Dans les années 1920, il s’installe en France, afin de suivre une formation à l’Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Paris. Il y étudie notamment au côté de l’architecte français Emmanuel Pontremoli. Simultanément, il s’inscrit à l’Institut d’urbanisme de l’université de Paris. Par la suite, l’architecte commence à travailler avec le designer de meubles et d’intérieur Emile-Jacques Ruhlmann. Puis, il conçoit l’aménagement intérieur de l’usine d’armement et de ferronnerie d’art Edgar Brandt, à Châtillon-sous-Bagneux (92). Il y occupe le poste de directeur artistique. Jean Tschumi collabore aussi à l’aménagement intérieur des cabines de luxe du paquebot Normandie. Les années 1930 et 1940 marquent un tournant significatif dans la carrière de l’architecte. Il fonde, à Paris son agence “Tschumi et Vermeil décorateurs” avec l’architecte suisse Henri Vermeil. Par la suite, Jean Tschumi rencontre Edouard-Marcel Sandoz, sculpteur, entrepreneur et mécène, avec lequel il se lie d’amitié et collabore sur plusieurs projets. L’entreprise de produits pharmaceutiques Sandoz devient le principal commanditaire de Jean Tschumi, multipliant ainsi les chantiers. Jean Tschumi et Edouard-Marcel Sandoz, une histoire d’amitié De 1951 à 1956, Jean Tschumi a réalisé le siège de la Mutuelle vaudoise à Lausanne. Le bâtiment est une mise en application du thème de la “corporate identity” voulu par son créateur. [©Christian-Richters]L’immeuble se compose de deux ailes et présente des façades de verre, reposant sur une série de piliers de béton. [©Christian-Richters] Après différents projets de décoration intérieure pour les sièges bâlois et parisiens, l’architecte réalise plusieurs laboratoires industriels et bureaux aux sorties de la Seconde Guerre mondiale. Dont ceux d’Orléans, entre 1945 et 1953, où il associe pilotis, claustras et brise-soleil. Cette réalisation structurelle en béton lui vaut une première reconnaissance dans la presse architecturale. Au cours de l’année 1943, sur recommandation de Sandoz, il est appelé à Lausanne pour former et prendre la direction de la nouvelle Ecole d’architecture et d’urbanisme de l’Université de Lausanne. Il occupe ce poste durant près de 18 ans, jusqu’en 1961. Grâce aux efforts qu’il a fournis sans relâche et à ses compétences inéluctables, l’école a acquis un rayonnement international. Parallèlement à sa charge d’enseignant et de directeur à Lausanne, l’architecte n’oublie pas son agence à Paris. Il continue d’y travailler sur plusieurs programmes. A partir de 1950, de grandes sociétés, telles que l’Assurance Mutuelle vaudoise, Nestlé et André Graines lui font confiance pour réaliser leurs sièges sociaux. Modernité, fonctionnalité et confort sont les maîtres-mots de ces projets. L’architecture de Jean Tschumi puise dans les leçons du classicisme structurel du spécialiste du béton armé, l’architecte Auguste Perret. Une carrière ayant marqué le Mouvement moderne Le siège de Nestlé, à Vevey, a été élaboré entre 1956 et 1960 par l’architecte suisse. Pour ce faire, Jean Tschumi s’est inspiré des œuvres de Le Corbusier. [©Christian-Richters] Au cours d’un voyage aux Etats-Unis, en 1952, Jean Tschumi s’inspire des nouveaux modèles américains et de leurs façades-rideaux diaphanes en métal et en verre. L’architecte les introduit notamment pour les sièges de la Mutuelle vaudoise accidents (1951-1956), à Lausanne, et de Nestlé, à Vevey (1956-1960). Tous deux ouverts sur le panorama du lac Léman. Jean Tschumi réalise d’autres projets tout aussi importants, à l’image de la construction de L’Aula-des-Cèdres, fine coque en béton précontraint. Cette dernière tient alors lieu d’amphithéâtre pour l’Ecole polytechnique et universitaire de Lausanne, où Jean Tschumi est responsable de l’enseignement de l’architecture. Il élabore cet édifice avec l’ingénieur François Panchaud, lui-même y enseignant le béton armé. De 1961 à 1962, Jean Tschumi construit, en partenariat avec l’ingénieur François Panchaud, l’Aula-des-Cèdres à Lausanne. Cette collaboration entre les deux hommes est à l’origine d’immenses voiles de béton reflétant le bâtiment. [©Christian-Richters] Mais aussi, des bâtiments pour la société Sandoz à Orléans (45), Noisy-le-Sec (93) et Saint-Pierre-la-Garenne (27) et des Laboratoires Choay. Ou encore de l’exposition nationale suisse de Lausanne, pour laquelle il imagine une spectaculaire tour en béton et aluminium de 325 m de haut. Malheureusement, cette dernière ne vit jamais le jour. En effet, la carrière de l’architecte suisse, loin d’être à son terme, s’achève brusquement à l’aube du 25 janvier 1962. Jean Tschumi, alors âgé de 57 ans, s’éteint au cours d’un énième voyage à bord du train Paris-Lausanne, terrassé par une crise cardiaque. Tout au long de sa vie, Jean Tschumi, tant par son exemple que par son influence de pédagogue, s’est efforcé de remettre Lausanne sur le droit chemin. Il a œuvré pour la renommée de sa profession et nul doute que ses œuvres resteront pendant encore de nombreuses années comme une démonstration du Mouvement moderne. « Il a su, dans une œuvre prématurément interrompue, allier ce qui est de notre temps – les matériaux, les techniques. Et ce qui est de tous les temps : le respect du cadre, du site, des besoins et des aspirations des hommes », a déclaré, peu de temps après sa disparition, son ami de longue date l’architecte français, Pierre Vago.
Il y a 4 ans et 71 jours

Franklin Azzi aux petits soins pour les touristes affamés de la Dame de fer

Clément Vergély a créé son agence en 2000 à Lyon (15 collaborateurs) et en 2012 à Lausanne avec Christophe Joud (6 collaborateurs). Clément Vergély a suivi ses études à l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne dans l'atelier de Luigi Snozzi. Il est lauréat des Nouveaux Albums des jeunes architectes […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 155 jours

Covid-19 : décès de l'architecte suisse Luigi Snozzi à 88 ans

Selon la télévision public RSI, M. Snozzi est mort la veille dans une maison de retraite de Minusio, dans la région italophone du Tessin.L'architecte a principalement travaillé dans sa région natale, avec des constructions caractéristiques basées sur le béton apparent."Toute intervention implique destruction. Il faut détruire consciencieusement, avec de la joie", déclarait-il souvent.Il faisait partie des figures éminentes de de l'école d'architecture au Tessin, aux côtés de ses confrères Mario Botta et Livio Vacchini, et défendait l'idée d'une architecture rationnelle.Ses principales créations de maisons, parmi lesquels les demeures Snider et Cavalli, à Verscio, sont les plus connues, ainsi que des projets de développement urbain, à l'image de celui réalisé dans le couvent de Monte Carasso.Luigi Snozzi a représenté l'Italie lors de la Biennale d'architecture de Venise en 1996 et remporté le prestigieux prix Meret Oppenheim en 2018, qui récompense les meilleurs artistes suisses.Il était également professeur à l'École Polytechnique Fédérale de Lausanne.
Il y a 4 ans et 163 jours

Les premiers logements étudiants en bois lancés à Paris-Saclay

CONSTRUCTION BOIS. L'EPA Paris-Saclay a signé un acte de vente avec le groupement mené par Demathieu Bard Immobilier, promoteur immobilier en charge de la maîtrise d'ouvrage du projet de résidence étudiante privée située sur le lot S1.2, au sein de la Zac du quartier de l'Ecole polytechnique. Il s'agit de la première résidence étudiante en bois du campus.
Il y a 4 ans et 183 jours

Lancement des travaux du premier bâtiment de logements étudiants en bois du Campus urbain de Paris-Saclay

Première résidence étudiante en bois du Campus urbain de Paris-Saclay, elle sera conçue sur le modèle des « hacker houses » conçues par Seed Up. Après une consultation lancée en août 2018, l'EPA Paris-Saclay a retenu le groupement* mené par Demathieu Bard Immobilier (DBI) pour la réalisation d'un programme de 122 logements privés, soit 233 lits, pour étudiant de 5 509 m² Surface Plancher Construit (lot S1.2). Située au sud de la ZAC du quartier de l'Ecole polytechnique, à Palaiseau, à proximité notamment des écoles de Telecom Paris et Telecom Sud Paris, cette résidence sera livrée en septembre 2022. Après la sélection d'un groupement de maîtrise d'œuvre mené par l'agence d'architecture Atelier WOA, l'EPA Paris-Saclay et Demathieu Bard Immobilier ont signé en fin d'année 2019 une promesse synallagmatique de vente. E, L'EPA Paris-Saclay et Demathieu Bard Immobilier ont signé, en novembre 2020, un acte authentique de vente permettant le lancement du chantier.Une résidence étudiante conçue sur le modèle des « hacker houses »Cette résidence étudiante proposera un programme de gestion innovant mêlant logements étudiants « classiques » et un programme pour « hackers ». La résidence sera gérée par Global Exploitation et intègrera environ 40 lits à destination de Seed Up, gestionnaire pour la partie « Hacker house ».Les étudiants, logeant dans cette résidence, pourront ainsi formuler le souhait d'être intégré au sein d'un logement en colocation géré par Seed Up. Ces derniers réaliseront des missions commanditées par des entreprises et des grands comptes du territoire (codage informatique, recherche,…). En contrepartie, les étudiants membres de ce programme bénéficieront d'une réduction, voire d'une gratuité totale de leur loyer et pourront même percevoir une rémunération.Au sein des locaux, la résidence offrira des espaces dits « hackers » au sein desquels les étudiants de Seed Up auront accès à des équipements de pointe comme un studio de musique, un fablab, un espace reprographie ou encore un atelier mécanique.La résidence proposera à l'ensemble des étudiants y vivant une grande diversité de typologies de logements de sorte à répondre à la diversité des profils étudiants. Ainsi, 12 typologies seront proposées, allant du T1 au T7. Des espaces communs ouverts à tous les résidents seront proposés en rez-de-chaussée du bâtiment : espace de détente, cuisine commune, espace de travail, salle de sport.Un bâtiment bas-carbone et exemplaire en matière environnementaleLe projet conçu par l'Atelier WOA, conformément au cahier des charges fixé par l'EPA Paris-Saclay, respectera des ambitions environnementales élevées.Le bâtiment sera conçu en structure majoritairement en bois (seuls les noyaux et l'infrastructure du bâtiment seront en béton) avec des façades en ossature bois. Ainsi, près de 80% de la structure du bâtiment sera en bois et matériaux biosourcés.Cela va dans le sens de l'implication de l'EPA Paris-Saclay dans le Pacte Bois Biosourcés signé le 5 novembre dernier, par lequel l'EPA s'engage à réaliser 40% de Surface de Plancher de ses constructions en bois et biosourcés avec un objectif d'utilisation de 30% de bois d'origine France et 100% du bois utilisé gérées durablement (certifié FSC ou PEFC ou équivalent).Le projet, à terme, sera certifié NF Habitat HQE niveau « Excellent », obtiendra le label BBCA et Biosourcé de niveau 2 et sera labellisé E+C- au niveau E3C2. Il sera à ce titre, le premier projet du Campus urbain à être certifié E3C2 et BBCA.*Le groupement se compose de Demathieu Bard Immobilier (opérateur-mandataire), Seed Up (gestionnaire de hacker houses) et Global Exploitation (via sa filiale SuitEtudes). Le groupement est accompagné de l'Atelier WOA (Architecte et MOE d'exécution), Pouget Consultants (BET fluides et thermique) META Atelier Acoustique (BET acoustique) mais également de Sylva Conseil pour la construction bois et GERA'nium pour la dimension environnementale.
Il y a 4 ans et 183 jours

Premier bâtiment de logements étudiants en bois du Campus de Paris-Saclay

L’EPA Paris-Saclay a signé un acte de vente avec le groupement mené par Demathieu Bard Immobilier, promoteur immobilier en charge de la maîtrise d’ouvrage de la première résidence étudiante en bois du Campus urbain de Paris-Saclay. Elle sera conçue sur le modèle des « hacker houses » conçues par Seed Up. Le programme comprend 122 logements privés, soit 233 lits, pour étudiant sur 5 509 m² Surface Plancher Construit (lot S1.2). Située au sud de la ZAC du quartier de l’Ecole polytechnique, à Palaiseau, à proximité notamment des écoles de Telecom Paris et Telecom Sud Paris, cette résidence sera livrée en septembre 2022. L’agence d’architecture Atelier WOA avait préalablement été sélectionnée pour la maîtrise d’œuvre. Cette résidence étudiante proposera un programme de gestion innovant mêlant logements étudiants « classiques » et des espaces dits « hackers » au sein desquels les étudiants auront accès à des équipements de pointe comme un studio de musique, un fablab, un espace reprographie ou encore un atelier mécanique. La résidence proposera à l’ensemble des étudiants y vivant une grande diversité de typologies de logements de sorte à répondre à la diversité des profils étudiants. Ainsi, 12 typologies seront proposées, allant du T1 au T7. Des espaces communs ouverts à tous les résidents seront proposés en rez-de-chaussée du bâtiment : espace de détente, cuisine commune, espace de travail, salle de sport. Un bâtiment bas-carbone et exemplaire en matière environnementale Le projet conçu par l’Atelier WOA, conformément au cahier des charges fixé par l’EPA Paris-Saclay, respectera des ambitions environnementales élevées. Le bâtiment sera conçu en structure majoritairement en bois (seuls les noyaux et l’infrastructure du bâtiment seront en béton) avec des façades en ossature bois. Ainsi, près de 80% de la structure du bâtiment sera en bois et matériaux biosourcés. Cela va dans le sens de l’implication de l’EPA Paris-Saclay dans le Pacte Bois Biosourcés signé le 5 novembre 2020, par lequel l’EPA s’engage à réaliser 40% de Surface de Plancher de ses constructions en bois et biosourcés avec un objectif d’utilisation de 30% de bois d’origine France et 100% du bois utilisé gérées durablement (certifié FSC ou PEFC ou équivalent). Le projet, à terme, sera certifié NF Habitat HQE niveau « Excellent », obtiendra le label BBCA et Biosourcé de niveau 2 et sera labellisé E+C- au niveau E3C2. Il sera à ce titre, le premier projet du Campus urbain à être certifié E3C2 et BBCA. Aménageur : EPA Paris-Saclay Maîtrise d’ouvrage : Demathieu Bard Immobilier Maîtrise d’œuvre : Atelier WOA Surface de plancher : 5 509m² Début des travaux : novembre 2020 Livraison : septembre 2022 Visuel : Atelier WOA
Il y a 4 ans et 192 jours

Réélection du président de Syntec-Ingénierie

Pierre Verzat est réélu à la présidence de Syntec-Ingénierie. [©Syntec-Ingénierie] A la tête de Syntec-Ingénierie depuis 2018, Pierre Verzat est réélu par le conseil d’administration pour un mandat de 2 ans supplémentaires. Lors de ses premières années en tant que président, Pierre Verzat s’est mis au service des professionnels du secteur. Ceci, afin de valoriser et de défendre leur travail. L’ingénierie représente en France 73 000 entreprises et 312 000 salariés au total. Dans ces temps troubles, la réélection de Pierre Verzat montre la confiance que peuvent y avoir les professionnels. « Plus que jamais, il reviendra à notre syndicat de porter et défendre les intérêts de nos entreprises, afin de ne laisser personne au bord du chemin », précise Pierre Verzat.  Ses objectifs Au vu de la situation actuelle si particulière, Syntec-Ingénierie doit être davantage présent pour accompagner les entreprises de son secteur. Pour cela, le président aura pour missions de valoriser le rôle de l’ingénierie au sein des projets publics et privés. En effet, l’ingénierie est à la base de chaque projet industriel. Pour ce faire, si le secteur tourne au ralenti, cela impacte et en freine de nombreux autres, comme celui de la construction. Par ailleurs, Pierre Verzat a comme ambition de renforcer l’attractivité de la profession, les entreprises d’ingénierie restant pour la plupart inconnues. Ce secteur est en constante recherche de nouveaux talents. « Nos entreprises entendent faire preuve de responsabilité pour que les jeunes ne soient pas une génération sacrifiée », témoigne Pierre Verzat.  Enfin, Syntec-Ingénierie se place dans une démarche environnementale depuis plusieurs années. Les membres du syndicat n’ont pas hésité à s’engager et à renforcer leur initiative à travers la Charte de l’ingénierie pour le climat. Pierre Verzat explique « A l’échelle de la profession, nous entendons renforcer nos engagements, notamment via la quantification systématique de l’empreinte carbone de nos entreprises. » Son parcours Après avoir obtenu son diplôme à l’Ecole polytechnique de Paris et d’Ensta Paris, Pierre Verzat débute sa carrière en 1986 en tant qu’ingénieur naval à la direction des constructions navales. Après 6 ans, il prend la tête de BEA (groupe Dalkia) jusqu’en 1996. Il rejoint ensuite Areva, tout d’abord en tant que directeur achat et logistique, puis comme Pdg en 1997. En 2005, il devient directeur industriel d’Astrium Space Transportation, filiale du groupe Airbus. Depuis 2011, il est président du directoire de Systra. En parallèle de son activité professionnelle, il intègre Syntec-Ingénierie en 2013, en tant que membre du conseil d’administration. En 2017, il devient le trésorier de la fédération. Il est ensuite élu président en novembre 2018. 
Il y a 4 ans et 193 jours

Pierre Verzat est réélu président de Syntec-Ingénierie

Un vote de confiance de la part des ingénieristes, dans un contexte de crise qui impacte plus particulièrement les entreprises des secteurs automobile et aéronautique.Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie : « Je suis très honoré d’avoir été réélu à la tête de Syntec-Ingénierie. J’entame ce nouveau mandat avec détermination. Le contexte est radicalement différent d’il y a deux ans. Plus que jamais, il reviendra à notre syndicat de porter et défendre les intérêts de nos entreprises afin de ne laisser personne au bord du chemin. Cela passe d’abord par la valorisation de la contribution essentielle des ingénieristes à l’heure de la relance. Un axe fort qui n’entamera pas l’engagement des ingénieristes en faveur de l’attractivité auprès des jeunes et du climat. »Une feuille de route ambitieuse au service des ingénieristes, cerveaux de la relanceValoriser le rôle de l’ingénierie dans les projets publics et privésLa dernière édition du baromètre économique de Syntec-Ingénierie révèle que l’activité des ingénieristes est à la baisse depuis la crise : c’est le cas pour 55% d’entre eux ce dernier trimestre et ils sont 62% à anticiper une nouvelle dégradation début 2021[1]. L’ingénierie intervient à la racine de tout projet industriel et de construction. Pour concevoir un pont, un véhicule à énergie verte, un bâtiment autosuffisant, il faut d’abord mener des études, réaliser des analyses… « Tant que notre profession ne sera pas occupée à 100%, c’est bien l’ensemble des activités industrielles et de construction qui seront freinées, reportées. A l’heure de la relance, cela doit être entendu comme un signal fort pour l’ensemble de l’économie. Dans ce contexte, ma priorité pour cette nouvelle présidence sera de valoriser le rôle clé de nos entreprises. Leurs contributions sont essentielles à la réussite, la performance et la durabilité des projets. Elles doivent être reconnues à leur juste valeur et cela passe aussi par des actions de défense de nos marges, qui sont les plus faibles d’Europe, et de rééquilibrage des relations contractuelles avec les donneurs d’ordres publics et privés. » explique Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie.Renforcer l’attractivité de la professionAlors qu’elles interviennent sur des projets d’avenir dans tous les secteurs d’activité, les entreprises d’ingénierie restent mal connues. Avant crise, elles rencontraient des difficultés à attirer les 80.000[2] talents – en particulier féminins – dont elles avaient besoin chaque année en raison d’un sous-effectif structurel de 2 à 4%.Pierre Verzat : « Il est clair que la crise est venue changer la donne et que les tensions sur les recrutements sont moins fortes. Néanmoins, de nombreuses opportunités existent encore et il faut se préparer au rebond. Nous maintenons donc avec détermination nos actions pour mieux faire connaître nos métiers et susciter des vocations. Nos entreprises entendent faire preuve de responsabilité pour que les jeunes ne soient pas une génération sacrifiée. »Amplifier l’engagement de la profession en faveur du climatEn octobre 2019, les entreprises d’ingénierie ont initié une démarche inédite à l’échelle de la profession en faveur du climat. À travers la charte de l’ingénierie pour le climat, elles se sont engagées à renforcer leurs initiatives à tous les niveaux d’actions pour apporter des réponses concrètes au dérèglement climatique.Pierre Verzat : « L’engagement des ingénieristes pour le climat reste intact. Et s’il y a bien une opportunité offerte par cette crise, c’est celle d’aller plus vite et plus loin dans la transition énergétique et écologique. A l’échelle de la profession, nous entendons renforcer nos engagements notamment via la quantification systématique de l’empreinte carbone de nos entreprises et de nos projets, et la formation à l’enjeu climatique de nos collaborateurs. Ils sont de plus en plus exigeants et souhaitent mettre en accord le poids carbone de leur activité avec leurs valeurs.»Pierre Verzat, un passionné au parcours d’excellence, à la présidence de Syntec-IngénieriePierre Verzat débute sa carrière en 1986 comme ingénieur naval à la Direction des Constructions Navales, en tant que spécialiste de la propulsion nucléaire. En 1992, il prend la tête de BEA (du groupe Dalkia), avant de rejoindre AREVA en tant que CEO d’ELTA. Après avoir dirigé la branche Transport-Environnement-Industrie à Technicatome, il rejoint EADS Group en 2005 comme Directeur industriel d’Astrium Space Transportation. Depuis 2011, il est président du Directoire de SYSTRA.Il occupe le poste de trésorier de la fédération SYNTEC en 2017. Après avoir siégé 5 ans au conseil d’administration de Syntec-Ingénierie, il en est élu président le 30 novembre 2018. Il est réélu par le conseil d’administration pour un nouveau mandat de 2 ans le 12 novembre 2020.Diplômé de l’École Polytechnique de Paris et d’ENSTA Paris, il est membre de la Légion d’honneur et a été primé en 2016 du European CEO Award de l’Association britannique du Conseil et de l’Ingénierie (ACE).[1] Baromètre réalisé par Syntec-Ingénierie auprès de ses adhérents du 2 au 8 novembre 2020. Les répondants sont des entreprises de toutes tailles, qui interviennent dans l’industrie et la construction et dans tous les secteurs d’activité d’ingénierie.[2] Étude réalisée par le cabinet EY pour le compte de l’OPIIEC (Observatoire Paritaire des Métiers du Numérique, de l'Ingénierie, des Études et du Conseil et des métiers de l'événement) de juin à décembre 2018.
Il y a 4 ans et 196 jours

Vers la valorisation du dioxyde de carbone (CO2) en carburant vert

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 91 I – Que faire du CO2 ? Transformation du CO2 par les catalyseurs solides de l’Ircelyon sous l’action de la lumière. [©CNRS] Le Green Deal européen fixe un objectif de réduction ambitieux de 50 à 55 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030. Alors que les villes n’occupent que 2 % de la surface terrestre, elles consomment plus de 65 % de l’énergie mondiale. Et représentent plus de 70 % des émissions de CO2 d’origine humaine. Plusieurs voies différentes, mais pas incompatibles, s’offrent alors : produire moins de CO2, le capturer. Ou en faire une source de carbone pour l’industrie chimique et l’énergie. Notre société industrialisée s’évertue, d’ores et déjà, à produire moins de CO2 dans son industrie et ses déplacements. Par ailleurs, la séquestration du CO2 est une solution attrayante, avec des technologies de capture déjà éprouvées. Mais qui pose la question du devenir à long terme du gaz après sa capture… Le défi majeur reste donc de convertir durablement les émissions de CO2 des processus industriels en carburants synthétiques et produits chimique. En utilisant des procédés axés sur les énergies renouvelables. Cela aurait le potentiel de réduire de plus de 50 % les 370 Mt actuelles d’émissions de CO2 par an liées à l’industrie chimique ! II – Pourquoi et comment transformer le CO2 ? La conversion du dioxyde de carbone en produits à valeur ajoutée comme des produits chimiques ou des carburants est une réaction cruciale pour lutter contre le réchauffement climatique. Cela en plus de la production durable d’énergie. Du fait de l’inertie de ce gaz, d’importantes barrières énergétiques doivent être franchies pour activer ses molécules, afin de les rendre réactives. Photo-catalyseur produit à l’Ircelyon à l’échelle du gramme : poudre de polymère poreux. [©CNRS] C’est là que la catalyse joue un rôle pivot, en permettant d’effectuer l’activation de la molécule de CO2 grâce à des espèces actives – les catalyseurs – afin de la faire réagir avec une autre molécule partenaire. Les catalyseurs ne sont eux-mêmes pas transformés par la réaction. Et un seul d’entre eux peut convertir des milliers de molécules cibles. Les principales approches utilisées pour convertir le CO2 comprennent la catalyse chimique/thermique, l’électro-catalyse et la photocatalyse. De nombreux produits peuvent ainsi être formés par réduction du CO2. Ces derniers comprennent principalement du monoxyde de carbone, du formaldéhyde, de l’acide formique (HCOOH), du méthanol et du méthane. Mais peuvent aussi se former de l’éthanol et d’autres, en fonction des paramètres de la réaction chimique et, en particulier, du nombre d’électrons mis en jeu. La principale limite de la catalyse thermique est son coût énergétique global. Concernant l’électro-catalyse, l’accès à l’électricité verte (hydraulique, éolien, photovoltaïque) rend ce procédé très attractif. Mais encore ici le bilan énergétique global doit être favorable à l’utilisation de l’électricité pour effectuer des transformations chimiques (synthèse électrochimique de carburants) plutôt qu’à son utilisation directe (moteurs électriques). Reste que le principal avantage de la réduction du CO2 est la production de carburants liquides transportables plus efficaces que les batteries, qui sont de surcroît gourmandes en métaux rares. En termes d’énergie verte, l’acide formique (HCOOH) produit par réduction du CO2 peut servir de carburant à des piles à combustible comme celles récemment mises au point par des chercheurs suisses de l’EPFL2. Certes, ces piles rejettent du CO2 dans l’atmosphère, mais celui-ci peut être reconverti en carburant, faisant que cette technologie est neutre en carbone. III – La photocatalyse comme solution verte ? Evaluation du catalyseur sous lumière artificielle. [©CNRS] En termes de durabilité et d’efficacité énergétique, des transformations chimiques uniquement activées par la lumière semblent être la panacée. Dans ce contexte, la photocatalyse met en jeu des procédés photo-physiques – activés par la lumière, qui rendent une espèce active – et lui permet de transformer des molécules cibles. Typiquement, dans des systèmes à plusieurs composants, c’est le rôle du photo-sensibilisateur de transformer l’énergie lumineuse en énergie chimique, permettant au catalyseur de fonctionner. Ces deux espèces peuvent être distinctes ou faire partie du même composé. Dans le cas de la réduction CO2, des études ont montré une limitation de la durée de vie des photo-sensibilisateurs les plus utilisés – à base de métaux de transition comme le ruthénium – et donc du système photocatalytique complet à quelques heures. Menée par Jérôme Canivet, une équipe de l’Ircelyon a mis au point des solides de type polymères organiques poreux, dont les unités de construction sont capables à la fois de capter la lumière visible (photo-sensibilisateur) et de transformer le CO2 (catalyseur). La structuration de ces deux unités dans un même solide photocatalytique a permis d’atteindre des productivités inédites pour la réduction du CO2 en formiate (forme basique de l’acide formique (HCOOH). C’est le squelette du polymère poreux qui est directement activé par la lumière. Afin de générer des électrons qui sont ensuite transmis à un catalyseur au rhodium, ancré dans le solide, qui réalise la réduction du CO2. La production de formiate a lieu sous un flux de CO2 d’une atmosphère dans un solvant, utilisant la lumière du soleil comme seule source d’énergie et sans perte d’activité pendant au moins 4 j. Ainsi 3 g de CO2 ont pu être convertis en un peu plus de 3 g de formiate par gramme de polymère photocatalytique sans apport extérieur d’énergie autre que la lumière visible. Pour comparaison, la capacité théorique de fixation du CO2 par l’ammoniaque est de 2,6 g de CO2 par gramme d’ammoniaque à température ambiante et sous une atmosphère de CO2. De même, des solides poreux comme des zéolithes ou des métal- organique frameworks (solide poreux mi-organiques mi-inorganiques) peuvent capturer entre 0,2 et 0,4 g de CO2 par gramme de solide. Ces travaux de photo-réduction du CO2, réalisés au laboratoire par Florian Wisser, ont été encouragés par le CNRS via le programme d’excellence Momentum, dont il a été récipiendaire en 2018. Le procédé a été validé à l’échelle du laboratoire sur quelques grammes et étudié en détail. En collaboration avec le Lasir, à Lille, et le Collège de France, à Paris, afin de comprendre les mécanismes physiques et chimiques mis en jeu. Test photo-catalytique sous le soleil lyonnais. [©CNRS] Le passage à l’échelle pilote de cette technologie reste possible grâce à des partenariats. Comme celui passé avec la plate-forme d’innovation collaborative lyonnaise Axel’One3 pour la synthèse à grande échelle de ces matériaux photo-catalytiques. Cependant, il faut garder à l’esprit que d’autres composés polluants sont présents dans les fumées. Et dont on ignore encore l’action sur le système catalytique. Par ailleurs, l’utilisation d’une molécule organique donneuse d’électrons indispensable à la réaction photocatalytique reste le verrou principal à une utilisation à grande échelle. C’est pourquoi l’équipe de chercheurs travaille aujourd’hui à coupler au sein de ces solides inédits deux réactions pour éviter l’usage de la molécule sacrificielle. La mise en forme des polymères photo-catalytiques en films minces permettra d’optimiser la capture de la lumière et du CO2. 1Institut de recherches sur la catalyse et l’environnement de Lyon (www.ircelyon.univ-lyon1.fr/) 2Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (https://actu.epfl.ch/news/une-pile-a-combustible-a-base-d-acide-formique/) 3https://axel-one.com/ Jérôme Canivet Chargé de recherche CNRS Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 91
Il y a 4 ans et 229 jours

La Fédération des Ascenseurs dévoile les lauréats du concours d'architecture "La Cité des Ascensions Durables"

Ce concours était doté de 9 000 € de prix. Il s'agissait de réfléchir à la manière dont les techniques les plus pointues de l'ascensorisme et du levage, peuvent améliorer la qualité de l'environnement et des cadres de vie de demain.Grâce à ces nouvelles méthodes, les candidats ont pu proposer des pistes poétiques, réalistes et/ou futuristes, pour redynamiser les centres-villes anciens, pour mieux vivre en ville dense, pour préserver les terres agricoles, pour diminuer l'impact des voitures, pour rendre plus durables les immeubles de grande hauteur, pour favoriser l'agriculture urbaine, pour améliorer les recyclages courts et les stockages de proximité, pour simplifier les déplacements, pour économiser l'énergie et améliorer le confort ou pour installer de nouveaux artisanats en ville.Les projets montrent que la jeune génération est prête à relever les défis de l'innovation pour réfléchir autrement aux cadres de vie. Pour elle, il s'agit d'allier préservation de la planète et emploi des hautes technologies propres.Madame Emmanuelle COSSE, ancienne ministre du Logement a présidé le jury composé de Claire Bailly, architecte, enseignante, chercheure, co-fondatrice de l'Atelier Bio-numérique, Vincent Ducrey, co-fondateur et dirigeant du Digital Think Tank HUB Institute, Guillaume Fournier Favre, Président de la Fédération des Ascenseurs, Thomas Guéret, Chef de la mission prospective au Ministère de la transition écologique et solidaire, et Jean-Michel Jacquet, architecte conseil de la DGALN.La réunion du jury a été animée par Alain Meslier, Délégué Général de la Fédération des Ascenseurs et Jean Magerand, architecte, docteur, chercheur, co-fondateur de l'Atelier Bio-numérique.Les lauréats du concours1er prix : Le sens de la GravitéLouis HAREL, ENSA Lyon – 4 000 €Une utopie réaliste low tech pour logements existants, autour des cages d'ascenseur high tech, où convivialité et cycles courts sont les maître-mots. L'ascenseur devient le centre d'un tiers-lieu vertical, utilitaire et poétique. Ce lieu de rencontre et d'échange rend la vie des habitants plus écologiquement vertueuse et plus confortable.2ème prix : Flux LabGeorges SOUAID et Marina CAMACHO GALAN, ENSA PLV – 2 000 €Un projet radical pour une ville verticale généreuse, où high tech numériques et sources biologiques d'énergie se combinent pour contribuer à proposer des villes plus sereines et plus respectueuses des milieux naturels.3ème prix : Flying GardenNoémie GRATIEN, ENSA Lyon – 1 500 €La verticalité au service d'exploitations agricoles urbaines, rendues opérationnelles par des systèmes sophistiqués de dessertes automatiques horizontales et verticales.4ème prix : RélévationMona MENADI, Carrick REDDIN, Alexandra VAN MILINK, SciencesPo Paris Sciences Po Paris ; Alice DUVIVIER, Ingénieure INSA Rouen – 1 000 €Exploiter les sous-sols des villes comme un gisement d'espaces à occuper, pour densifier sans surélever. L'ascension durable est mi-aérienne, mi-souterraine, parcourant une ville compacte, laissant à la lumière naturelle les espaces de vie, et utilisant les espaces sombres pour les dispositifs de stockage, production, circulation.5ème prix : Retour à la terre en s'élevant vers le cielBaptiste MINGOIA, David LUCOT, diplômés Master d'Architecture, ENSA PVS – 500 €Une utopie pour l'équilibre entre ville et nature, avec de grandes tours multi-programmatiques, écologiques, organisées chacune autour d'un bassin vertical, qui stocke la pluie et l'eau atmosphérique, irrigue les cultures, fournit de l'énergie.Projets Mentionnés :ADN2 - Ascenseur Développeur de Nature dans la Néo-technologie, Clément BEAUQUIER, doctorant Polytechnique Paris ; Manon BELEC, Yann DODUIK, diplômés Master d'ArchitectureMention Amélioration de la biodiversité en villeTerminus Betterave - Gare agricole sur le circuit maraîcher de la Somme, Antonin DELAIRE, École d'architecture Marne La ValléeMention Transport et stockage automatiques des produits agricoles en circuits courtsLes sommets du réemploi - Mobilités et programmations innovantes en montagne, Marion SERRE, Gabriele SALVIA, docteures en architecture ; Mirella CACCIA KOSTOVIC, ENSA MarseilleMention Mobilités vertueusesHUB2O, Aude CALATAYUD, Estelle JACOB, ENSA StrasbourgMention Innovation en matière de transport urbainPerversions, Livio SPADA, Master Spatial Planning Londres, Federico PERUGINI, École d'architecture de Pavia, Nicola DRAGHI, Master Sustainable Energy Technology TU DelftMention Innovation territoriale et politique
Il y a 4 ans et 253 jours

Les barrages. Du projet à la mise en service

Le barrage constitue l’une des réalisations les plus imposantes et les plus complexes du génie civil. [©DR] Le barrage constitue l’une des réalisations les plus imposantes et les plus complexes du génie civil. Et depuis toujours, un facteur important de développement et de prospérité économique. L’objectif de l’ouvrage “Les barrages. Du projet à la mise en service” est de présenter de manière claire les bases de conception et de dimensionnement, qui régissent l’ingénierie des barrages. Il expose en détail un concept de sécurité, les différents types de barrages en béton et en remblai. Ainsi que leur impact sur l’environnement, l’étude des fondations et les modalités de surveillance et d’entretien. Le domaine des barrages étant en constante évolution, les auteurs ont profité de cette nouvelle édition pour étoffer les divers chapitres, en introduisant par exemple les expériences et les développements les plus récents. Editeur : Presses polytechniques et universitaires romandesAuteurs : Anton J. Schleiss, et Henri PougatschPrix : 109 €TTCRetrouvez l’ouvrage chez l’éditeur.
Il y a 4 ans et 255 jours

Rieder : Des façades en béton fibré pour les centrales géothermiques de Paris-Saclay

Avec ses éléments d’angles monolithiques sur les deux centrales énergétiques de ZAC Moulon et de ZAC Polytechnique, la façade en voile de béton concrete skin est non seulement remarquable par son architecture, mais aussi par sa durabilité et ses caractéristiques écologiques qui ont su séduire les concepteurs et les maîtres d’ouvrage. La ZAC Moulon et la ZAC Polytechnique font partie d’un réseau intelligent de chaleur et de froid à basse température utilisant de la géothermie profonde, et contribuent à faire de Paris-Saclay un éco-territoire à énergie positive. Bien évidemment, la maîtrise d’ouvrage a veillé à ce que les matériaux choisis pour ces bâtiments répondent à des exigences de durabilité et longévité. La façade en voile de béton concrete skin n’est pas interrompue par des fenêtres, et souligne ainsi la verticalité du projet et lui confère une apparence futuriste. Les éléments d’angle de la nouvelle gamme formparts fab en béton armé de fibres de verre et aux arêtes nettes impressionnent par leur modernité et leur élégance. Le jeu homogène de joints sur la façade est particulièrement exceptionnel. Les architectes de l’agence Fricout-Cassignol ont d’ailleurs attaché une grande importance à sa réalisation minutieuse. Un détail architectural très intéressant de l’ouvrage de la ZAC Moulon est la transition de la façade vers une partie semi-transparente, où elle se transforme en garde-corps pour le toit végétalisé, qui représente également la signature écologique du bâtiment.Pour Rieder, l’innovation et le développement durable sont deux des moteurs essentiels au perfectionnement constant de ses produits. Les panneaux plats en voile de béton ont une faible épaisseur de treize millimètres et réduisent ainsi le besoin en matières premières. Ils se déclinent en une multitude de coloris, surfaces et textures, et s’adaptent ainsi parfaitement à des projets architecturaux des plus variés. En renonçant à des composants superflus, le caractère et l’aspect authentique du béton est préservé. L’absence de produits polluants et dangereux comme le dioxyde de silicium cristallin en font un bardage dont l’usinage et la manipulation ne présente aucun danger – même en intérieur –, et rendent possible le recyclage complet des panneaux. Allant dans le sens d’une philosophie du zéro déchet, des technologies innovantes aident à optimiser les découpes et les déchets persistants sont en grande partie reconvertis en produits de plus petits formats. Afin de réduire son empreinte carbone, Rieder a mis en place une stratégie qui vise à systématiser l’utilisation d’énergies renouvelables pour la production, le remplacement d’une partie du ciment par d’autres liants plus écologiques et la compensation de l’empreinte carbone inévitable par des mesures supplémentaires sur lesquelles le groupe va communiquer prochainement.Pour en savoir plus, vous pouvez contacter Rieder et visitier le site de Rieder, ainsi que son compte Instagram et sa page Facebook. Visuels : © Rieder La Rédaction
Il y a 4 ans et 272 jours

A Paris-Saclay, une nouvelle résidence étudiante signée A+ Samuel Delmas

A Paris-Saclay, la Maison des ingénieurs agronomes, maître d’ouvrage (promoteur : ADIM Ile-de-France), a confié à l’agence parisienne A+ Samuel Delmas architectes (concours 2019), la construction d’une résidence de logements étudiants privés de 136 lits (lot C1.2) au sein du quartier de l’Ecole polytechnique du Campus. Livraison prévue en mai 2022. Communiqué. Située à l’entrée […] L’article A Paris-Saclay, une nouvelle résidence étudiante signée A+ Samuel Delmas est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 325 jours

Benoît-Henri Koch nommé au comité stratégique de Cem’In’Eu

Benoît-Henri Koch va être nommé membre indépendant du comité stratégique de Cem’In’Eu. [©Cem’In’Eu] Lors de l’assemblée générale du 15 juillet prochain, Benoît-Henri Koch va être nommé membre indépendant du comité stratégique de Cem’In’Eu. Il succèdera à Richard Antony Hadley. La société « est ravie d’accueillir Benoît-Henri Koch au sein de son comité stratégique. Et de pouvoir bénéficier de son expérience de plus de 35 ans au cœur de l’industrie cimentière », peut-on lire dans un communiqué de presse. « Connaissant Vincent Lefebvre , le PDg et co-fondateur de Cem’In’Eu, depuis de nombreuses années, il m’offre la possibilité de participer au développement d’un nouveau “Business Model” cimentier, tant du point de vue de la production que du point de vue de l’approche proximité client. Passionnant ! », indique Benoît-Henri Koch. Ingénieur diplômé de l’Ecole polytechnique fédérale de Zürich, Benoît-Henri Koch a été membre du comité exécutif du groupe Holcim de 1991 à 2012. Il y a occupé de nombreuses fonctions stratégiques internationales. De 2013 à 2014, il a assisté Advent International dans leur offre de rachats d’actifs cimentiers. Puis, le groupe cimentier irlandais CRH jusqu’en 2017 pour l’intégration de nouveaux actifs ciments. « Nous sommes heureux de pouvoir compter sur l’homme d’expérience qu’est Benoît-Henri Koch pour les enjeux stratégiques présents et à venir de Cem’In’Eu », indique Vincent Lefebvre, son président.
Il y a 4 ans et 354 jours

Xavier Striebig, nouveau secrétaire général du SNPU

Assurant la promotion en France du panneau d'isolation en mousse rigide de polyuréthane, Xavier Striebig accompagne les membres du Syndicat dans la promotion de la solution, dans l'évolution des normes techniques et des exigences environnementales, et participe à l'animation du réseau. Il aura également pour mission de renforcer la présence du SNPU auprès des acteurs de son écosystème, tel que l'AIMCC. Diplômé de l'École Spéciale des Travaux Publics et de l'École Royale Polytechnique de Stockholm, cet ingénieur ETP 90 puise ses connaissances du secteur et son expertise dans deux expériences enrichissantes qui auront marqué sa carrière, au CSTB puis chez UNILIN INSULATION.« Cette prise de nouvelle fonction s'inscrit comme le prolongement naturel de mon parcours professionnel. Déjà historiquement attaché au SNPU, il me tient à cœur de faire perdurer cette institution et de renforcer son rayonnement dans les débats d'actualité. De l'évolution des réglementations techniques à l'application de la Loi Économie Circulaire, notre Syndicat entend être présent pour soutenir ses membres et être pro-actif face aux enjeux de demain. Fédérer et valoriser les démarches et les travaux de nos Commissions seront des clés de notre réussite. », explique Xavier Striebig, Secrétaire Général SNPU.Des normes au terrainEn 1994, Xavier Striebig occupe les fonctions d'Ingénieur Chargé d'Affaires au CSTB. Il devient alors Responsable du domaine de 2 la couverture à partir de 1997, puis Rapporteur du Groupe Spécialisé n° 5.1 « Couvertures ». Une période durant laquelle il instruit les Avis Techniques, rédige les DTU en partenariat avec la FFB et les divers organismes ou syndicats professionnels, ou encore accompagne les industriels dans le cadre de leur développement technique. En septembre 2008, il prend la Direction Technique et Développement d'UNILIN INSULATION, poste qu'il occupera jusqu'à sa nomination au SNPU et où il aura largement contribué à la mise en place du panneau PU (ACERMI, Avis Technique, essais, FDES, formation de la force de vente, etc.). En 2010, il intègre les Commissions Technique et Environnement du SNPU.
Il y a 4 ans et 360 jours

Frumecar et l’UPTC créent une nouvelle chaire

La mission de la nouvelle chaire UPCT-Frumecar sera d’étudier le développement technologique des machines de production et de transport du béton. [©Frumecar] L’Espagnol Frumecar et l’Université polytechnique de Carthagène (UPCT), en Espagne ont signé un accord visant à créer une nouvelle chaire UPCT-Frumecar. La mission de cette chaire sera d’étudier le développement technologique des machines de production et de transport du béton. Elle se chargera de diffuser les recherches dans le domaine de l’industrie du béton. Formera les étudiants de l’UPCT et proposera des cours de formation, des conférences. Ainsi que sa coopération en matière d’éducation. Les lignes prioritaires de recherche seront la robotique collaborative, l’IoT et l’intelligence artificielle (machine learning). Ceci, afin de développer, dans un futur proche, des centrales à béton autonomes dotées de dispositifs d’intelligence et de communication. Qui activeront à la demande les commandes des automates de production, sans intervention humaine. Cette chaire permettra de participer à des projets nationaux et internationaux. Et de promouvoir des rencontres avec des spécialistes lors de journées et de congrès, aussi bien en Espagne qu’à l’étranger.
Il y a 4 ans et 362 jours

Une subvention à un projet photovoltaique porté par Total fait débat

Une subvention accordée par l'Ile-de-France à un projet photovoltaïque de Total pour l'Ecole Polytechnique a suscité un vif débat en région, l'opposition y voyant une "opération de greenwashing".
Il y a 5 ans et 7 jours

Une subvention de la région IDF à un projet photovoltaique porté par Total fait débat

Le projet prévoit "d'installer sur une résidence étudiante de 487 places sur le campus de l'École Polytechnique une installation expérimentale de production photovoltaïque en autoconsommation collective. La centrale photovoltaïque de 200 KWc est associée à un système de stockage de l'énergie", précise l'exposé des motifs de la délibération, présentée en commission permanente du conseil régional, réunie en visioconférence mardi.La subvention était initialement accordée directement à Total, mais l'exécutif régional a finalement produit un amendement afin que la subvention soit accordée à l'École Polytechnique."C'est le fond du projet qui compte", a argumenté le vice-président du conseil régional, Jean-Philippe Dugoin Clément. "Ce projet est vertueux sur le plan écologique car il permet une expérimentation de stockage d'énergie et d'autoconsommation collective de l'énergie solaire. C'est un projet pour l'École Polytechnique, pas pour Total qui est concepteur de l'outil. Je demande qu'on ne fasse pas de faux procès à ce projet", a-t-il dit.Mais pour Céline Malaisé, du Front de gauche, cette subvention s'apparente à "une opération de greenwashing". "Tout semble ici fait pour préserver discrètement les intérêts de Total, d'autant que cette multinationale a signé ces derniers mois un partenariat avec la direction de Polytechnique pour l'installation d'un centre de recherche de ce géant pétrolier en plein cœur du campus de l'École", dénoncé par des associations d'élèves."Non seulement la région envisage de verser plus de 130.000 euros à Total, mais elle cherche à le dissimuler honteusement par un amendement de dernière minute", a dénoncé Ghislaine Senée, présidente du groupe Alternative Écologiste et Sociale, pour qui "l'action publique a vocation à faire œuvre de transformation écologique et sociale, pas à soutenir le greenwashing des sociétés les plus polluantes du CAC 40"."Comment les Franciliens pourraient-ils comprendre que Valérie Pécresse propose de verser 132.000 euros à Total et dans le même temps, 50.000 euros seulement à la banque alimentaire ?", a déploré François Kalfon, au nom du groupe socialiste, écologiste progressiste, soulignant que la Région Occitanie a "débloqué 1,2 million d'euros d'aide d'urgence pour la précarité alimentaire".La Région IDF a accordé dans cette délibération plus de 12.317.000 euros pour des projets environnementaux et énergétiques, allant de projets géothermiques à des projets photovoltaïques sur le toit d'écoles. Elle a adopté en juillet 2018 une stratégie énergie-climat visant à "doubler la production d'énergies renouvelables sur le territoire d'ici 2030".
Il y a 5 ans et 30 jours

Covid-19 : l'Italien Boeri prédit "une nouvelle ère" pour l'urbanisme

Dans un entretien sur Facebook avec des journalistes étrangers, le président de la Triennale de Milan, grande institution d'architecture, de design et d'art, affirme que la capitale de la Lombardie, région italienne la plus touchée avec près de la moitié des morts enregistrées dans la péninsule, devra changer."Revenir à la normalité serait très grave", met-il en garde. "La normalité est une des causes de ce désastre", insiste l'urbaniste, connu pour ses projets innovants de gratte-ciel recouverts de végétation où se combinent écologie et développement durable."C'est le moment de prendre des décisions courageuses et pragmatiques", estime l'architecte, dont l'architecture plus sociale et plus verte a inspiré nombre de ses confrères dans le monde, de la Chine au Mexique.Avec un groupe de sociologues, d'anthropologues, d'urbanistes et d'artistes, il réfléchit aux modalités d'instauration du "mur biologique" que le coronavirus impose désormais entre les personnes, ainsi qu'à l'introduction d'un nouveau mode de vie."Dans le cas contraire, les villes se transformeront en bombes de contamination", estime Stefano Boeri, professeur à l'école polytechnique de Milan.Alors que les autorités italiennes s'apprêtent à assouplir les mesures de confinement et à relancer la machine économique le 4 mai, Stefano Boeri lance une série de propositions qui pourraient changer l'avenir de la péninsule et servir de modèle à de nombreux pays."Retour aux villages""Il s'agit d'un projet national. L'Italie compte 5.800 villages de moins de 5.000 habitants, dont 2.300 quasiment à l'abandon. Si les 14 métropoles du pays +adoptent+ ces petits centres historiques inhabités, en leur donnant des avantages fiscaux, des moyens de transport, etc... ce serait une porte de sortie. C'est ça l'avenir", s'est enthousiasmé l'urbaniste dans les colonnes du quotidien La Repubblica.Cette proposition semble répondre aux problèmes posés par la situation actuelle, où la pandémie oblige la population à respecter une distanciation d'au moins un mètre entre les individus, ce qui est difficile dans des villes surpeuplées, notamment dans les transports publics bondés et les bureaux aux surfaces réduites."Nous avons compris qu'on peut faire du télétravail et que nous passerons plus de temps à la maison. Il faut maîtriser cette évolution. La campagne facilite cela, parce qu'il faut libérer de l'espace dans les zones urbaines", explique-t-il.Selon les sociologues, à cause du virus, beaucoup de gens souhaitent abandonner les grandes villes pour passer davantage de temps à la campagne.Et l'homme qui a converti des immeubles en forêts, qui a conçu une ville-forêt en Chine avec des maisons, écoles et bureaux recouverts d'un million de végétaux sur 140 hectares, est convaincu que Rome est la ville idéale pour accueillir ce projet."Rome est la ville du futur, elle a tout: des monuments uniques et beaucoup d'espaces verts grâce à ses parcs, et en plus une série de villages dans ses alentours".L'idée de Boeri coïncide avec le thème de la prochaine Biennale d'architecture de Venise, qui a reporté à fin août son ouverture, prévue initialement en mai : "Comment vivrons-nous ensemble?"La question posée par le commissaire de la Biennale, Hashim Sarkis, architecte libanais qui enseigne au Massachusetts Institute of Technology (MIT), oblige paradoxalement le monde de l'architecture à désinvestir l'espace public et à en retirer les activités collectives."Il faudra modifier les horaires des administrations publiques pour qu'ils ne coïncident pas avec ceux des écoles, que les grands flux dans les transports (...) Nous devrons reprendre de l'espace aux voitures et nous concentrer sur le vert"."C'est ce qui est arrivé à New York au milieu du XIXème siècle: la population avait quadruplé, et il n'y avait plus d'espace, la densité était énorme. L'architecte paysagiste Olmsted a ainsi créé Central Park, un parc gigantesque qui est né d'une préoccupation d'hygiène", rappelle-t-il.
Il y a 5 ans et 44 jours

Le conseil scientifique chargé de la restauration de Notre-Dame de Paris est en place

La loi du 29 juillet 2019 pour la conservation et la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris a institué, au sein de l’établissement public dédié, un conseil scientifique, consulté sur les études et opérations de conservation et de restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris. De cette instance doit naître une dynamique de réflexion sur et pour le monument. Sur proposition du général Jean-Louis Georgelin, président de l’établissement public, les membres du conseil scientifique ont été nommés le 27 mars par Franck Riester, ministre de la Culture, en raison de leur expertise dans les domaines des monuments historiques, de l’archéologie, de l’histoire, de l’histoire de l’art, de l’ingénierie, des sciences et techniques et des matériaux. Placé sous la présidence du général Jean-Louis Georgelin, le conseil scientifique est nommé pour une durée de cinq ans renouvelable : M. d’Alessandro (Christophe), organiste et directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique ;M. Berné (Damien), conservateur en chef du patrimoine, en charge de la sculpture au musée de Cluny ;Mme Caponi (Gisella), directrice honoraire de l’institut supérieur pour la conservation et la restauration de Rome ;M. Dillmann (Philippe), directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique, coordinateur des travaux de recherche menés par le Centre national de la recherche scientifique au profit de la cathédrale Notre-Dame de Paris ;Mme Dion (Anne), conservatrice générale du patrimoine, adjointe au directeur du département des objets d’art au musée du Louvre ;M. Drouin (Gilles), ecclésiastique, directeur de l’institut de théologie à l’institut catholique de Paris, chargé par l’archevêque de Paris d’animer la réflexion relative au réaménagement liturgique de la cathédrale Notre-Dame de Paris ;Mme Gouzi (Christine), professeure d’histoire de l’art à Sorbonne Université, spécialiste de la peinture religieuse ;M. Léniaud (Jean-Michel), directeur d’études à l’école pratique des hautes études, directeur honoraire de l’école des chartes, président de la société des amis de Notre-Dame de Paris ;M. Loyer (François), directeur de recherche honoraire au Centre national de la recherche scientifique, directeur honoraire de la commission du Vieux Paris, spécialiste de l’architecture et de l’urbanisme du XIXe siècle ;M. Lucan (Jacques), architecte, historien, professeur d’architecture à l’école d’architecture de Marne-la-Vallée et à l’école polytechnique fédérale de Lausanne ;M. Mouton (Benjamin), ancien architecte en chef des monuments historiques, ancien vice-président du Conseil international des monuments et des sites (ICOMOS) ;Mme de Ponthaud (Marie-Suzanne), architecte en chef des monuments historiques, en charge des cathédrales de Chartres et de Reims ;M. Sandron (Dany), professeur d’histoire de l’art à Sorbonne Université, directeur au centre André Chastel ;Mme Sire (Marie-Anne), inspectrice générale des monuments historiques. Photo : Anna Ader
Il y a 5 ans et 72 jours

5 groupements sélectionnés pour un pôle sportif et un programme de logements étudiants sociaux

L'EPA Paris-Saclay et Toit et Joie – Poste Habitat, désigné lauréat de la consultation de bailleurs et de gestionnaires pour le lot C3.4, ont désigné 5 groupements en vue de la réalisation d’un programme mixte de logements étudiants sociaux de 260 lits et d’un pôle sportif au sein du quartier de l’Ecole polytechnique du Campus de Paris-Saclay.
Il y a 5 ans et 73 jours

Campus urbain de Paris-Saclay : 5 groupes d’architectes sélectionnés

L’EPA Paris-Saclay et Poste Habitat poursuivent la construction du campus urbain de Paris-Saclay, avec l’annonce d’une sélection de cinq groupes d’architectes associés à des entreprises. Ils remettront leur offre, si la situation d’urgence le permet, pour la réalisation d’un pôle sportif et d’une résidence étudiante de 260 lits au sein du quartier de l’Ecole polytechnique (Essonne). Le lauréat sera connu en juillet 2020. L’architecte Suzel Brout associé avec l’entreprise...
Il y a 5 ans et 73 jours

Campus Paris-Saclay : 5 groupements sélectionnés pour le lot C3.4

SÉLECTION. L'EPA Paris-Saclay a annoncé avec Toit et Joie-Poste Habitat, les 5 groupements sélectionnés en vue de la réalisation du lot C3.4, correspondant à la réalisation d'un programme mixte de logements étudiants sociaux et d'un pôle sportif dans le quartier de l'École polytechnique, pour le campus urbain de Paris-Saclay.
Il y a 5 ans et 76 jours

Terres rares pour Emmanuelle Colboc à Paris-Saclay ?

Terres Inovia et Terres Univia s’installent sur le Campus de Paris-Saclay. Le projet porte sur la construction de 2 500 m² de bureaux au sein du quartier de l’Ecole polytechnique, à Palaiseau (Essonne). Livraison prévue : décembre 2021. Communiqué. L’EPA […] L’article Terres rares pour Emmanuelle Colboc à Paris-Saclay ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 85 jours

Pascal Casanova est nommé Président d’Edilians

Dardilly le 9 mars 2020 : Le conseil d’administration d’Edilians a nommé Pascal Casanova Président d’Edilians. Ingénieur de formation, Pascal Casanova, 52 ans, bénéficie de plus de 25 années d’expérience dans l’industrie de la construction aussi bien dans des fonctions de Recherche et Développement que de Direction Générale. Diplômé de l’Ecole Polytechnique (X87) et titulaire d’un doctorat de l’Ecole nationale des Ponts et Chaussées, Pascal Casanova a débuté par une expérience terrain en 1995. Il a poursuivi une carrière internationale au Royaume-Uni et en Allemagne comme Directeur de la R&D et de la Performance industrielle de l’activité Lafarge Roofing (devenue Monier puis BMI), puis Directeur Général de l’activité Composants de Toitures (2005 – 2008). Par la suite, Directeur de la R&D du groupe Lafarge, il a mis l’accent sur les solutions à bas carbone, l’efficacité énergétique et l’économie de la construction. En 2012, à la tête des activités de Lafarge en France, il a mis en œuvre les synergies métiers à travers un ambitieux programme de transformation. En 2015, il rejoint le Comité de Direction du groupe Lafarge Holcim, alors au cœur d’une fusion internationale, où il a été en charge de l’Amérique Latine puis de l’Amérique du Nord. Plus récemment, il s’est recentré sur la France en prenant la Direction du groupe Alkern en 2019. Dans cette ETI de 1100 personnes spécialisée dans l’industrie de la préfabrication en béton, l’activité a été dynamisée grâce à une stratégie de performance, d’innovation et de croissance externe. Pascal Casanova, Président d’Edilians déclare : « C’est avec une grande fierté que je prends aujourd’hui la Direction d’Edilians. C’est une belle entreprise industrielle, aux collaborateurs engagés et de qualité, leader sur son marché et ancrée au cœur des territoires avec son siège en Rhône-Alpes. Je crois fondamentalement au respect de chacune et de chacun, à la performance, à l’innovation ainsi qu’au rôle sociétal et à la responsabilité environnementale de l’entreprise. Je souhaite qu’ensemble nous mettions la toiture en terre cuite au cœur de l’éco-habitat.» Le Groupe tient à remercier Pierre Jonnard pour ses 15 années au service de l’entreprise, en particulier pour son soutien dans les 18 derniers mois. Pierre Jonnard a souhaité prendre du recul pour mener à bien des projets personnels et a fait valoir ses droits à la retraite.
Il y a 5 ans et 97 jours

Concours Groudscape : les projets lauréats

L’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne et Dominique Perrault ont inauguré à l’automne 2018 un MOOC (Massive open online course) sur l’architecture du Groundscape, intitulé “Groundscape Architecture Design Lab, Re-thinking cities underground”. Cet atelier de projet et de recherche en architecture, […] L’article Concours Groudscape : les projets lauréats est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 155 jours

Le campus de Saclay part en vrille

Guillerm Entreprise a fourni 43 volutes, qui encadrent la nouvelle halle multisports du campus de Paris-Saclay. [©Guillerm Entreprise] Dans un lieu où le savoir est d’or et l’excellence d’argent, la création d’une halle multi-sports au cœur du campus de Paris-Saclay se devait d’être à la hauteur de son environnement. Impulsé par l’Ecole polytechnique, sur la commune de Palaiseau (91), ce nouveau bâtiment renferme plusieurs espaces dédiés aux sports de combat. Alliant esthétisme et technicité, la halle multi-sports a été imaginée, après un concours, par l’agence d’architectes Stoffel Lefebvre. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr Cette iframe contient la logique nécessaire pour manipuler Gravity Forms avec Ajax. jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } );
Il y a 5 ans et 214 jours

Dossier : Cinq jeunes designers français

Deux filles, trois garçons. Thomas Ballouhey, Fabien Cappello, Elise Fouin, Léonard Kadid et Hélène Labadie incarnent la crème de la crème des jeunes designers français. Une génération qui voyage, s'expose, crée librement. Zoom sur les cinq créateurs français du moment à suivre de très prés. Thomas BallouheyDiplômé de la Design Academy d'Eindhoven (Pays-Bas), Thomas Ballouhey a récemment installé son atelier dans la ville néerlandaise. Tel un archéologue du présent, le designer s'intéresse aux matériaux et aux modes de production. Dans sa série « Ways of Altering » [Manières d'altérer], par exemple, il associe des objets industriels – bancs, tabourets, tréteaux, entre autres – à des matériaux divers – carton, élastiques, polystyrène – et enduit le tout d'époxy et de sable pour produire des meubles hétéroclites dont l'aspect rudimentaire les fait s'apparenter à des trésors passés. Un résultat saisissant qui questionne les moyens de production de masse actuels. En octobre dernier, il participait à la cinquième édition de la Biennale Émergences à Pantin (93), puis à l'exposition collective « La Totale » au Studio Orta – Les Moulins (77). . Fabien CappelloAprès des études de design à l'ECAL (Suisse) et au Royal College of Art (Royaume-Uni), le jeune Français fonde son studio éponyme en 2010 à Londres. Il se fait rapidement connaître pour son utilisation créative de la fabrication et des ressources locales, ce qui lui vaut de partir en résidences en Corée, au Portugal et en Italie. De son apprentissage auprès des artisans locaux il construit sa propre approche du design et se tourne vers des modes de production sériels. Depuis 2015, il a installé son studio dans le centre historique de Mexico (Mexique), une métropole dynamique qui l'inspire quotidiennement. . Elise FouinElise Fouin étudie l'orfèvrerie à l'Ecole Boulle (Paris), avant de se former au design de mobilier. Une double formation qui la conduit à développer un style singulier bien à elle. Pour le Salone del Mobile (Milan) de 2016, la designer française réalise ainsi une scénographie immersive faite de textiles multicolores baptisée Sunbrellacanapy. Egalement textile, son luminaire Saika réalisé en collaboration avec le maître artisan nippon Yoshishige Tanaka est une création contemplative unique qui met en valeur les savoir-faire ancestraux, le hyogu – art de traiter le papier washi –, et le kakejiku – peinture sur papier ou sur soie enroulée sur un bâton. Une pièce qui a fait une forte impression en 2018 au salon parisien Maison & Objet. . Léonard KadidAujourd'hui concepteur de produits, Léonard Kadid s'est d'abord formé à l'architecture. Sur les bancs de l'université d'une part, à Ecole Polytechnique de Lausanne (Suisse) et à l'Ecole d'Architecture de la Ville et des Territoires Paris-Est. Auprès des grands noms de l'architecture d'autre part, Muoto, Dominique Perrault et Cigüe, Herzog & de Meuron. Son studio basé à Paris se concentre donc sur des projets divers, de l'architecture à la conception d'objet. En résulte des pièces travaillées telles que le système de table TAL conçu pour la scénographie de l'exposition « Réinventer la Seine » au Pavillon de l'Arsenal (4ème arrondissement) en 2017. . Hélène LabadieDéjà quatre ans que la jeune Française a obtenu son master design d'objet à L'ESAD de Reims avec les félicitations du jury. Comme projet de fin d'études, elle a imaginé des fontaines d'apparat en verre. Un coup de maître pour un premier projet. Depuis, Hélène Labadie se donne une liberté d'artiste et signe des pièces créatives inspirées du septième art. Exposée au Bon Marché Rive Gauche en 2018, sa série de contenants « Les Noirs » dévoile la dimension anthropomorphique de son travail. Sa sensibilité artistique la pousse désormais vers la création de pièces sculpturales. . Photographies : 1) Thomas Ballouhey, Ways of Altering © Ronald Smits, Design Academy Eindhoven2) Fabien Cappello, Chambre With a view, Hôtel Dos Casas, 20173) Elise Fouin et Yoshishige Tanaka, Saika, 20184) Léonard Kadid, Tal table, 20175) Hélène Labadie, Les Noirs, 2018 Léa Pagnier
Il y a 5 ans et 220 jours

Accélérateur transition énergétique

28 entreprises à fort potentiel ont été sélectionnées pour faire partie de la première promotion de l’Accélérateur Transition Énergétique. Bpifrance et l’ADEME ont souhaité s’associer pour lancer ce nouvel accélérateur filière dédié aux entreprises du secteur de l’énergie allant de l’ingénierie (bureau d’études techniques, développeurs de technologie) jusqu’aux exploitants (producteur et exploitant de l’énergie) en passant par les industriels de l’offre (équipementiers et fabricants de composants). Il a pour ambition de les accompagner dans leur croissance au service des enjeux de la transition énergétique. Durant vingt-quatre mois, elles vont bénéficier d’un programme d’accompagnement collectif axé sur les enjeux de la filière. Celui-ci comprend 30 jours de conseil avec la réalisation d’un diagnostic 360 et accès à deux modules complémentaires au choix pour établir une feuille de route, de huit séminaires (de 2 jours au sein de l’école Polytechnique) permettant de renforcer leurs compétences, nourrir leurs réflexions stratégiques et travailler entre pairs au sein d’atelier thématique.
Il y a 5 ans et 275 jours

Événement : Sou Fujimoto « Nature, people, architecture »

Trois ans après l'ouverture de son bureau parisien, le japonais Sou Fujimoto fait l'objet d'une rétrospective dans le showroom de l'éditeur RBC dans le 15e arrondissement de la capitale, où s'exposent maquettes et photographies de ses ovnis architecturaux . Un dialogue poétique entre nature et édifice qui vaut le coup d'oeil. De la bâtisse branchée de l'Arbre Blanc, perchée sur les hauteurs de Montpellier, au projet de l'Ecole Polytechnique Paris-Saclay, les édifices signés de l'architecte japonais et de ses associés n'en finissent pas d'émerveiller néophytes et amateurs. Et pour cause, RBC leur offre une seconde exposition au sein de sa galerie parisienne jusqu'au 4 octobre prochain. Sous la verrière du showroom du spécialiste de mobilier design se déploient une vingtaine de maquettes conçues spécialement pour l'exposition, ainsi qu'une série de photos des projets sortis de terre, des projets en cours mais aussi de projets jamais dévoilés. Prenant place autour d'une création centrale faite de plexiglass entièrement décloisonnée rappelant l'importance de la nature dans les travaux de Sou Fujimoto – héritier de la culture japonaise auquel il apporte un regard neuf en concevant des formes inédites – chaque bâtisse est mise en dialogue avec une seconde maquette à une échelle agrandie, plus domestique. « A la manière de l'eau façonnant la roche, ce sont ces derniers, les usages et la nature qui donnent vie à l'architecture », Sou Fujimoto Architects Parmi les travaux présentés - aussi bien signées des agences tokyoïtes que de l'agence parisienne - s'illustre la minutie d'une réflexion portée sur des formes architecturales inédites. Les projets hybrides à l'instar de Milles arbres, lauréat du concours « réinventer Paris » en 2016 dernier, un ensemble entièrement végétalisé et vertueux qui devrait émerger près de la Porte Maillot en 2022. Mais aussi le Many Small Cubes présenté lors du FIAC Art Fair dans la capitale en 2014, une folie paysagère futuriste de petites maisons nomades, intriguent autant qu'ils impressionnent. Renversant ! Pour en savoir plus, visitez le site de Sou Fujimoto Photographies : DR
Il y a 6 ans et 10 jours

Bertrand Collomb, l’ex-Pdg de Lafarge, est mort

Bertrand Collomb, l’ex-emblématique président de Lafarge, est décédé le 24 mai 2019. [©ACPresse] Bertrand Collomb est décédé le vendredi 24 mai 2019, dans sa 76eannée. De 1989 à 2003, il a été l’emblématique Pdg du groupe Lafarge, qu’il avait rejoint dès 1975. Puis il en a été le président, jusqu’en 2007, puis administrateur jusqu’en 2012. Bertrand Collomb avait conduit le développement international du groupe. Celui-ci était devenu ainsi n° 1 mondial du ciment, avec une présence dans plus de 80 pays. Dans le groupe Lafarge, Bertrand Collomb avait milité pour le respect des valeurs de développement durable et de l’environnement. Ancien élève de l’Ecole polytechnique (promotion 1960) et de l’Ecole des mines de Paris (licencié en droit), Bertrand Collomb a obtenu un PhD (docteur en philosophie) de management à l’Université du Texas. De 1966 à 1975, il occupe des postes dans l’administration au ministère de l’Industrie. Là, il est ingénieur du corps des mines à Metz (1966-1970), puis adjoint de Maurice Allègre, délégué à l’informatique. Ce dernier lui confie le développement de l’enseignement de l’informatique en France (1971-1973). Lafarge, un leader des matériaux de construction En parallèle, Bertrand Collomb fonde le centre de recherche en gestion de l’Ecole polytechnique. Il en céda la responsabilité à Michel Berry en 1974. Entre 1973 à 1975, il est conseiller technique dans des cabinets ministériels d’Alain Peyrefitte, puis de René Haby (éducation). En 2015, afin de respecter la limite d’âge usuelle de 75 ans, Bertrand Collomb avait pris la décision de ne pas se représenter à la réélection au conseil d’administration de LafargeHolcim. A cette occasion, Beat Hess, président du conseil d’administration du groupe suisse, avait déclaré : « A diverses positions, Bertrand Collomb a contribué au succès de Lafarge puis, de LafargeHolcim. Sous sa direction, Lafarge est devenu un leader du marché des matériaux de construction. Je souhaite le remercier au nom du conseil d’administration et de tous les collaborateurs ». L’article Bertrand Collomb, l’ex-Pdg de Lafarge, est mort est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 22 jours

La gouvernance de Colas évolue

Hervé Le Bouc reste président du conseil d’administration, tandis que Frédéric Gardès devient directeur général du groupe Colas. [©Colas – Franck Juery] Le conseil d’administration du groupe Colas a décidé de séparer les fonctions de président et de directeur général. Ainsi, Hervé Le Bouc reste président du conseil d’administration. A 48 ans, Frédéric Gardès devient directeur général de Colas. Diplômé de l’Ecole centrale de Paris et de Polytechnique Stockholm, le nouveau Dg a débuté sa carrière en 1994 en tant qu’ingénieur travaux chez Bouygues Offshore. Entre 2002 et 2011, il poursuit son parcours chez Saipem à des postes de direction de grands projets internationaux. C’est en 2011, que Frédéric Gardès intègre Colas en tant que directeur de GTOI, filiale du groupe à La Réunion. Il prend ensuite les rênes de la direction régionale Océan indien, en 2013. Puis, dès 2015, il devient directeur général adjoint Europe du Nord et Moyen-Orient. En mars 2018, il a été nommé directeur général international de Colas. L’article La gouvernance de Colas évolue est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 34 jours

La Ville de Paris et l'École polytechnique s'associent dans la lutte contre le dérèglement climatique

Le mercredi 17 avril, Célia Blauel et Marie-Christine Lemardeley, adjointes à la Maire de Paris, et Frank Pacard, directeur de l'enseignement et de la recherche de l'École polytechnique, ont signé un partenariat en faveur du Plan Climat de la Ville de Paris. Cette collaboration a pour objet de proposer une évaluation économique des politiques et des mesures déployées pour atteindre les objectifs du Plan Climat.
Il y a 6 ans et 122 jours

Début du chantier du nouveau Campus d'AgroParisTech-Inra à Paris-Saclay

Ce nouveau campus d'environ 65.000 m² rassemblera à la rentrée 2021, près de 3.500 étudiants, enseignants-chercheurs et salariés d'AgroParisTech et de l'Inra (Institut national de la recherche agronomique) à Paris-Saclay. Le chantier vient de débuter sur le quartier de l'École polytechnique, à Palaiseau.
Il y a 6 ans et 123 jours

Consultation à Paris-Saclay pour logements étudiants et pôle sportif

L'EPA Paris-Saclay lance une nouvelle consultation pour un programme de logements étudiants sociaux et un pôle sportif au sein de la ZAC du quartier de l'Ecole polytechnique. Jusqu'au 15 février 2019 (12h). Afin de poursuivre la mise en "uvre opérationnelle […] L'article Consultation à Paris-Saclay pour logements étudiants et pôle sportif est apparu en premier sur Chroniques d'architecture.
Il y a 6 ans et 140 jours

Campus Paris-Saclay: une résidence étudiante supplémentaire à créer

L'EPA Paris-Saclay a lancé une nouvelle consultation pour le lot C3.4 situé dans la ZAC du quartier de l'Ecole polytechnique.
Il y a 6 ans et 175 jours

Impact antivibratoire des semelles sous traverses

Une étude diligentée par l'entreprise Getzner auprès de l'école polytechnique de Wroc?aw (Pologne) a pu démontrer l'efficacité des semelles sous traverse sur la liaison ferroviaire entre Cracovie et son aéroport.
Il y a 6 ans et 176 jours

L'AUC : Résidence Jean d'Ormesson

Avec pour volonté de dépoussiérer l'image des résidences universitaires en s'adaptant aux envies mais également aux nouveaux besoins des résidents, l'AUC livre 296 logements polytechniques pour le campus de Paris-Saclay incluant pour la première fois des typologies d'appartement dédié à la collocation. Si la plupart des résidences étudiantes propose, en plus des studios classiques pour une personne, des logements pour les couples, plus rares sont celles qui intègrent plusieurs chambres pour ceux qui souhaiteraient partager leurs pénates. Le projet de 296 logements polytechnique de l'AUC est en réalité le premier à intégrer des espaces de collocation pour un logement relevant du CROUS ! Cette nouveauté est née d'une réflexion des concepteurs du campus et de sociologues sur les modes de vie des étudiants aujourd'hui qui ont poussé les maîtres d'oeuvres à renouveler les propositions trop peu variées des résidences universitaires. Ainsi, les cinq étages du bâtiment accueillent 215 studios et 23 collocations déclinés en plusieurs typologies d'appartements partagés et de chambres simples ou doubles. Et puisque la convivialité ne doit pas être réservée à ceux qui souhaitent vivre sous le même toit, l'AUC met également en avant des espaces communs, lieux de rencontre et de partage qui se déploient sur 500 mètres carrés. Parmi eux, un coworking de 150 mètres carrés et un jardin partagé qui sont également ouverts aux habitants des résidences alentours. D'autres salles sont quant à elle uniquement réservées aux locataires du projet, notamment au rez-de-chaussée où se trouve une grande salle polyvalente. De quoi redonner foi aux futurs étudiants qui hésiteraient encore entre coût abordable d'une résidence universitaire et appartement à partager avec les amis ! Le projet est sélectionné pour les ADC Awards 2019 dans la catégorie Logement Pour en savoir plus, visitez le site des ADC Awards et de L'AUC. Photographies : Maxime Delvaux
Il y a 6 ans et 262 jours

Design Cream : Leonard Kadid

Design Cream ? Quèsaco ? Un événement présentant le travail de la crème de la crème des designers et des architectes, pardi ! Et qui dit casting prestigieux, dit format de choix. Le jeudi 26 mars 2018, dix créateurs, réunis à l'occasion du salon Materials & Light, ont ainsi fait découvrir de manière atypique leurs créations, inspirations et projets en 20 images, projetées à 20 secondes d'intervalle. Zoom sur l'univers de Leonard Kadid. Les soirées Design Cream, créées par le touche-à-tout Benjamin Girard de l'agence Design Project, visent à offrir une scène à la crème de la crème des créateurs afin qu'ils présentent leurs projets à un large public, dans un format spécifique, rythmé et concis, et dans une ambiance décontractée. De quoi assurer un succès planétaire à ces rassemblements ! Tout tient dans le format, nommé Pecha Kucha : les invités disposent de 20 diapositives, montrées durant 20 secondes chacune, et qui défilent automatiquement ; soit 6 minutes et 40 secondes pour chacun d'eux. Pas de bla-bla : les différents intervenants exposent ici l'essence même de leurs réalisations.Margaux KellerAprès cinq ans d'études en design à l'école ENSAAMA Olivier de Serres puis à l'école Boulle, elle obtient en 2010 un diplôme de design et d'architecture intérieure avec les félicitations du jury pour le projet "Design (sans) vergogne". Elle se forme par la suite sur les bancs de l'agence Philippe Starck, aux côtés d' Eugeni Quitllet. En 2011, elle est sélectionnée pour faire partie de l'équipe de design de la Fabrica, centre de recherche en communication du groupe Benetton. En 2012, Margaux Keller retourne dans sa ville d'origine et de coeur, Marseille, pour fonder sa propre agence de design global. Elle y développe des partenariats très variés : Yves Saint Laurent Beauté, Roche Bobois, Cartier, Made.com, La Redoute Intérieurs, Habitat, SIA Home Fashion, CFOC concept store, Vista Alegre, KparK, La Monnaie de Paris, etc.Pour en savoir plus, visitez le site de Materials & Light et des Design Cream Design Cream ? Quèsaco ? Un événement présentant le travail de la crème de la crème des designers et des architectes, pardi ! Et qui dit casting prestigieux, dit format de choix. Le jeudi 26 mars 2018, dix créateurs, réunis à l'occasion du salon Materials & Light, ont ainsi fait découvrir de manière atypique leurs créations, inspirations et projets en 20 images, projetées à 20 secondes d'intervalle. Zoom sur l'univers de Leonard Kadid. Les soirées Design Cream, créées par le touche-à-tout Benjamin Girard de l'agence Design Project, visent à offrir une scène à la crème de la crème des créateurs afin qu'ils présentent leurs projets à un large public, dans un format spécifique, rythmé et concis, et dans une ambiance décontractée. De quoi assurer un succès planétaire à ces rassemblements ! Tout tient dans le format, nommé Pecha Kucha : les invités disposent de 20 diapositives, montrées durant 20 secondes chacune, et qui défilent automatiquement ; soit 6 minutes et 40 secondes pour chacun d'eux. Pas de bla-bla : les différents intervenants exposent ici l'essence même de leurs réalisations. Leonard KadidAujourd'hui designer à temps plein, Léonard Kadid se destinait pourtant à une carrière d'architecte. En effet, ses différentes expériences professionnelles et sa sensibilité particulière aux détails le poussent rapidement vers la création de mobilier. Zoom sur une jeune pousse du design prometteuse.À à peine trente ans, et après avoir fait ses armes dans des agences de renom, telles que Dominique Perrault Architecture ou Herzog & de Meuron, Léonard Kadid, diplômé l'École Polytechnique de Lausanne (Suisse) et de l'École d'Architecture de la Ville et des Territoires de Marne-la-Vallée, compte déjà de beaux projets à son actif. C'est dans ces studios qu'il s'initie à la pratique du design, à laquelle il a décidé de se consacrer intégralement en début d'année. En résultent des ouvrages raffinés, aux formes proches de l'abstraction, dont la grande sobriété s'adapte à tous les intérieurs. Pour en savoir plus, visitez le site de Materials & Light et des Design Cream