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Résultats de recherche pour verriere

(414 résultats)
Il y a 2 ans et 276 jours

Saint-Gobain cède Glassolutions Grand Ouest

L'activité de transformation et d'installation verrière qui a généré un chiffre d’affaires d’environ 60 M€ en 2021 a été cédée à un groupe d’investisseurs privés mené par d’anciens managers de Saint-Gobain.
Il y a 2 ans et 334 jours

Première réhabilitation d'envergure pour l'intérieur du Grand Palais

PATRIMOINE. Célèbre pour ses évènements culturels et sportifs, son architecture majestueuse et son immense verrière construite pour l'Exposition universelle de 1900, le Grand Palais fait l'objet d'un important chantier de réhabilitation de son intérieur. Objectif : achever cette cure de jouvence d'ici les Jeux olympiques de 2024.
Il y a 2 ans et 340 jours

Un Grand Palais plus lumineux et ouvert à tous pour accueillir les JO

"Nous sommes dans les temps pour une livraison de la grande nef (13.500 m2 sur 200 mètres de long et 17.500 m2 de verrière) au printemps 2024", a assuré lundi à l'AFP Daniel Sancho, directeur du projet de restauration au sein de l'établissement public de la Réunion des musées nationaux (RMN) – Grand Palais, qui gère l'édifice.Un travail de mise aux normes et d'accessibilité est prévu avec des améliorations techniques majeures. La restauration de la nef et de ses balcons permettra d'augmenter la jauge de 5.600 à 9.000 personnes, selon M. Sancho. Le chantier, qui a débuté en mars 2021, vise à "éclairer l'ouvrage et sa construction" en retrouvant l'effet de transparence qui avait habité le lieu à son origine, avant d'être "cloisonné" et "assombri" par la peinture de certaines parois de verre en noir, a expliqué François Châtillon, architecte en chef des monuments historiques, en présentant l'avancement des travaux à la presse.La rénovation prévoit l'ouverture d'un axe central reliant le Palais de la découverte et son planétarium à la nef qui accueillait avant sa fermeture toutes sortes d'événements artistiques et culturels, comme des foires d'art, des défilés de mode et même des épreuves équestres.Les visiteurs des deux endroits entreront à l'avenir aux expositions par une seule entrée et pourront accéder à une vaste promenade centrale intérieure en accès libre.L'ancien manège aux chevaux, situé dans les soubassements du bâtiment, accueillera une "Galerie des enfants" qui présentera chaque année une exposition, avec une approche "Art et Sciences" ainsi que des ateliers.Les nombreuses mosaïques et la statuaire de l'édifice, très dégradées, seront complètement restaurées.Le Grand Palais rénové doit accueillir les épreuves d'escrime et de taekwondo des Jeux olympiques et paralympiques dans la nef en 2024. L'ensemble des espaces muséaux seront ensuite rouverts progressivement jusqu'en octobre 2025.Un Grand Palais éphémère, sur le Champ-de-Mars, accueille depuis 2021 les événements qui se tenaient habituellement sous la nef.Ce chantier présente un budget de 466 millions d'euros pour un bâtiment de 77.000 mètres carrés et 42.000 mètres carrés de toitures, qui n'a jamais été rénové dans son ensemble depuis 1900.Dans les années 2000, l'édifice s'était affaissé de 13 cm en raison de l'usure des pieux en chêne portant les fondations, par l'eau de la nappe phréatique. Ils ont été remplacés par des parois moulées en béton et la charpente a également fait l'objet d'une consolidation importante.
Il y a 3 ans et 2 jours

A Viroflay, le centre aquatique Les Bertisettes s’habille en WICONA

Contexte : reconstruire et valoriser Avec près de 40 % de sa surface couverte de forêts, Viroflay est l’une des communes les plus boisées de la proche couronne parisienne, partie intégrante de la communauté d’agglomération Versailles Grand Parc. C’est précisément à l’entrée de ville et en lisière de la forêt domaniale de Meudon que se situe le nouveau Centre Aquatique des Bertisettes (CAB). Un emplacement historique, occupé dès 1966 par l’ancienne piscine. Comment, sur cette parcelle contrainte, pentue et en forme de triangle aigu, reconstruire un équipement adapté aux attentes d’aujourd’hui et tirant parti de cet environnement ? Porté par Opalia, concessionnaire, et par le promoteur- constructeur GCC, le projet de l’Atelier Po & Po répond par un bâtiment compact en forme de proue. Sur 4 600 m2 en R+1, il accueille de plain-pied le hall, les vestiaires et trois bassins pour la compétition, l’apprentissage et le loisir ; au premier niveau : l’espace balnéo-détente, ainsi que des zones réservées au personnel. Le solarium et son jardin en toitures terrasses, les sheds vitrés de la halle bassins et, d’une manière générale, les volumes dialoguent avec l’urbain et les bois.  Enjeux : confort et lumière Le bâtiment s’ouvre aux paysages et à la lumière naturelle tout en maximisant son économie (isolation thermique renforcée, capteurs solaires en toiture, systèmes de récupération d’énergie, etc.) et en préservant le confort comme l’intimité des usagers. Par- delà les spécificités techniques, « le vrai luxe des équipements que l’on conçoit, c’est la lumière », souligne Jean-Luc Calligaro, architecte associé de l’Atelier Po & Po. Les fonctions et les vues dictent le choix des ouvertures : façades vitrées sur le hall d’accueil, grands ensembles composés à l’étage de l’espace détente, percées prolongées d’un garde-corps en toiture, sans oublier les verrières d’une toiture complexe… « Un traitement spécial est accordé à la façade vitrée de la halle bassins (sur rue), avec des ventelles métalliques posées à la verticale. L’enveloppe du rez-de-chaussée devient pleine sur la place de la fête, intégrant les ouvertures des bureaux du personnel, et se retourne sur la route du pavé de Meudon, où elle devient presque totalement opaque, intégrant là encore des ventelles métalliques au droit du vitrage de la halle bassins. » Conséquences pour le lot menuiseries extérieures : une variété inhabituelle de formes, de dimensions et de poses, assurée par les solutions aluminium Wicona et l’expertise de l’entreprise E2MK. Solutions WICONA : performances et adaptabilité Aux Bertisettes, la solution de façade MECANO mérite bien son nom. Elle se décline sur de nombreux murs-rideaux. L’un d’eux se déploie sur toute la façade nord, éclairant d’abord le hall d’accueil sur 40 m de long par 3,40 m de haut, puis les bassins, sur 30 m par 2,20 m, posé sur une allège maçonnée devant des ventelles métalliques. Un autre, en surplomb de la halle bassins, se compose de trapèzes de dimensions différentes, posés sur 35 m de long, inclinés en applique extérieure sur les poutres de Vierendeel de la charpente mixte bois-métal. La même solution MECANO sert aux larges ouvertures en étage mais celles des espaces détentes (8 m de long par 2,70 m), encadrées d’un bardage métallique, sont réalisées en châssis WICLINE 65 HI (haute isolation), dotées chacune d’un ouvrant à la Française. La même solution WICLINE 65 HI compose les ensembles donnant sur les terrasses et intégrant des portes WICSTYLE 65, ainsi que les ouvrants hauts et étroits (2 m par 80 cm) des bureaux de la façade ouest. Enfin, le système WICSTYLE 77 FP coupe-feu 30 minutes (EI30) a permis de réaliser les deux cloisons, dont une avec porte, séparant le hall d’accueil et la halle bassins. Un résultat fidèle aux promesses du concours « Les contraintes logistiques et techniques étaient nombreuses sur ce projet, mais la plus inattendue a été la Covid-19 », se souvient Victor Gros-Colas, directeur de projet de l’opération pour GCC Travaux. En dépit de cela, « la relation de confiance nouée dès la conception s’est poursuivie tout au long du chantier. Grâce à ce vrai partenariat, malgré les deux mois d’arrêt du printemps 2020, le résultat est fidèle au concours et le centre a ouvert dans les délais, en juin 2021 ». Copyright photo : Franck Deletang
Il y a 3 ans et 9 jours

Saint-Gobain cède des activités de transformation verrière en Europe

Le groupe annonce avoir signé des accords pour se désengager de certaines de ces activités en Allemagne et en Autriche.
Il y a 3 ans et 20 jours

Les sept lauréats de Canopée Challenge

Forinvest Business Angels, l’école d’ingénieurs ESB, Fibois France et le Pôle de compétititvité Xylofutur ont dévoilé les sept lauréats de la seconde édition du Canopée Challenge, concours dédié à l’innovation dans la filière forêt-bois. Organisé sous le Haut Patronage du Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, il a permis de recenser 160 projets innovants. Sept lauréats ont finalement été mis en lumière, à travers trois catégories : Création, Développement et International. En complément de la dotation, les organisateurs prévoient un accompagnement en compétences qui permettra de faciliter leur éclosion. Les lauréats de la catégorie « Création » Ouverte à tout porteur de projet individuel (étudiants, chercheurs …) et aux entreprises de moins de trois ans dont le CA est inférieur à 100 000 €. Premier prix doté de 8 000 € : Woodtech (basée à Grenoble – 38) – procédé de modification de la structure moléculaire du bois compatible avec les essences françaises qui deviennent alors plus résistantes à l’humidité que les meilleurs bois tropicaux, pour un bilan environnemental et économique bien meilleur (multiplication de la durée de vie par 20). Parmi les marchés visés par Woodtech : les bois « de revêtements », menuiseries extérieures, bardages et terrasses, et plus précisément la frange « haute » de ces marchés, actuellement occupée par les bois tropicaux, les bois composites et d’autres matériaux à fort contenu carbone. Second prix doté de 5 000 € : Farm3 (basée à Verrières-de-Joux – 25) – projet de chambre de culture permettant un fort rendement, un contrôle précis des conditions de croissance, une économie en eau et la pulvérisation de nutriments biologiques. En complément, le projet a reçu un prix coup de coeur de l’Institut Technique FCBA Les lauréats de la catégorie « Développement » Ouverte aux entreprises de plus de trois ans ou dont le CA excède 100 000 €. Premier prix doté de 15 000 € : Horizons Bois (basée à Rennes – 35) – HOBOA®, un système constructif bas-carbone et une solution de plancher mixte bois-béton adapté à l’habitat collectif de grande hauteur. En 2022, ce système constructif sera intégré à la construction d’un bâtiment R+11. En complément, le projet a reçu un prix coup de coeur de l’Institut Technique FCBA Second prix doté de 10 000 € : Bio Stratège (basée en Guyane) – programme d’innovation Ecophyto-Guyane qui vise à développer des solutions naturelles et écologiques pour remplacer les engrais, pesticides et insecticides de synthèse. Les molécules actives sont obtenues à partir de la valorisation de déchets de l’industrie du bois guyanaise dans un modèle d’économie circulaire qui s’intègre en amont de la biomasse énergie. En complément, le projet a reçu un prix coup de coeur de l’Institut Technique FCBA Troisième prix doté de 5 000 € : Wall’up Préfa (basée à Aulnoy – 77) – usine de production de panneaux préfabriqués ultra performants sur base ossature bois et isolés de béton de chanvre, au service des projets de construction biosourcés. Les lauréats de la catégorie « Internationale » : Ouverte aux porteurs de projets implantés hors des frontières de l’Hexagone. Benjamin Droguet, chercheur à l’université de Cambridge, a été récompensé d’un prix de 5 000 € pour son projet de pigments et paillettes à base de cellulose de bois.
Il y a 3 ans et 27 jours

WICONA met à jour INERTIE V4, son logiciel de dimensionnement et de vérification des ouvrages aluminium

Le logiciel INERTIE V4 permet la réalisation d’études de dimensionnement et vérification complète des éléments composant un ouvrage aluminium selon l’ensemble des normes Eurocodes et ce, quel que soit le niveau de complexité de la structure concernée. Avec INERTIE V4, WICONA propose à ses clients une nouvelle version de l’outil simple et profondément axé sur l’expérience utilisateur, pour une prise en main intuitive. Dimensionner et vérifier ses ouvrages aluminium INERTIE V4 convient aussi bien à la vérification de structures simples comme celle de constructions aluminium complexes. Le logiciel embarque différents types d’ouvrages prédéfinis qui permettent de dimensionner et vérifier les menuiseries aluminium en toute simplicité. Cela inclut notamment les ouvrants, ossatures composées, façades, verrières, toitures ainsi que des éléments divers comme les poutres. Le logiciel permet ensuite d’éditer et communiquer des notes de calculs à tous les professionnels concernés, des bureaux d’études aux architectes, en passant par les organismes de contrôle. Conformité Avec le logiciel INERTIE V4, le dimensionnement s’effectue en fonction des normes en vigueur applicables aux différents types de structures traitées : Charges climatiques calculées selon les règlements Eurocode 1 – NF EN 1991-1-4 : 2005 (actions sur les structures : action du vent) Combinaisons des charges conformes aux règles AL76 (règles de conception et de calcul des charpentes en alliages d’aluminium) Inerties nécessaires déterminées à partir des règles AL76 et normes XP P 28-004 (performances de l’ouvrage fini) Définition du calage du vitrage selon DTU39 (travaux de vitrerie-miroiterie)  Simplicité Comme tout projet engagé par WICONA, INERTIE V4 s’appuie sur une vision globale. Il est intuitif et permet une prise en main rapide grâce à : Prédétermination de 7 types d’ouvrages (façades et menuiseries) Aide à la conception Visualisation de la déformation des profilés en trois dimensions. Ouverture En plus de la base des profilés WICONA intégrés, INERTIE V4 autorise l’enrichissement de la base de données via les propres séries de profilés en aluminium ou en acier du client. Sécurité INERTIE V4 détermine l’inertie réglementaire minimum de chaque type d’éléments (montant, traverse, etc..) composant un ouvrage aluminium. La géométrie et les charges appliquées interviennent dans le dimensionnement. Pour cela, il suffit de choisir le profilé adapté par type d’élément, le logiciel se charge ensuite de le vérifier pour une expérience utilisateur facilitée.
Il y a 3 ans et 45 jours

Architecture innovation et performance énergétique : Le siège londonien de la BAFTA fait peau neuve grâce au verre eyrise  

• La rénovation du   »195 Piccadilly », siège social de la prestigieuse British Academy of Film and Television Arts (BAFTA) à Londres vient de s’achever. • Entre autres aménagements, des verrières de toit victoriennes ont été retrouvées pendant le chantier et recouvertes de verre à cristaux liquides. Tout un nouvel étage a été équipé du verre […]
Il y a 3 ans et 67 jours

GSE engage la construction d'une usine de 2.875m² pour Biotech Dental

Avec 300 salariés, elle produira des gouttières orthodontiques SMILERS pour le leader français dans le domaine des implants dentaires, des prothèses dentaires et des dispositifs médicaux dédiés à l'orthodontie.Un bâtiment mixte au design soignéD’une surface totale de 2.875 m², sur un terrain de 10.000 m², ce nouvel ensemble immobilier de trois étages intégrera un atelier de 1.000 m², dédié à la production, ainsi que 1.875 m² d’espaces de bureaux.Bénéficiant d’un design soigné signé par le cabinet EMH ARCHITECTES, le bâtiment verra son atelier et une partie des bureaux équipés de bardages translucides pour permettre un apport lumineux optimal. Une verrière de 60 m² assurera également un apport de lumière naturelle au centre de l’atelier, créant un espace ouvert et lumineux, propice au bien-être. Pour compléter l’ensemble, cette usine sera dotée d’une vaste terrasse en bois de 300 m², d’un aménagement paysager au niveau de l’accueil, deux cafétérias dédiées aux salariés et une salle de formation. L’atelier devra maintenir une température constante afin de conserver le calibrage des imprimantes 3D, avec une distribution uniforme par gaines textiles.« C’est une grande fierté pour GSE d’accompagner dans son développement une pépite provençale qui rayonne à l’international » déclare Patrice Tachouaft, directeur de région PACA chez GSE.La plus grande usine d’aligneurs d’Europe Le nouveau site de BIOTECH DENTAL accueillera 4 lignes de production composées d’imprimantes 3D et d’outils de thermoformage et de finitions : il s’agira de la plus grande usine de production d’aligneurs en Europe, par une entreprise européenne. Cet investissement, de l’ordre de 15 millions d’euros, permettra de produire sur ce site jusqu’à 10.000 aligneurs de dents transparents par jour et de multiplier par 7 la production d’aligneurs de la marque SMILERS, pour répondre au développement national et international du groupe, désormais présent aux Etats-Unis. Cette implantation permettra de créer 300 emplois à terme et fera preuve de la plus grande exigence en matière de respect des enjeux environnementaux. Ainsi, la consommation d’encre, de packaging et de plastique sera scrutée et le système d’impression utilisé permettra de récupérer une grande partie de la résine qui aurait été jetée, permettant un gain de consommation de l’ordre de 10 à 20%. Un système d’auto-régulation thermique et un usage d’imprimantes 3D dix fois plus économiques en énergie complètent le volet écologique.Pour Philippe Véran, Président Fondateur de BIOTECH DENTAL : « Nous sommes très heureux de compter une troisième usine de production pour Biotech Dental. La construction de ce nouvel outil de production s’inscrit dans la stratégie de notre groupe de continuer à servir l’excellence française ; ce nouveau site vient par ailleurs renforcer le développement de notre filiale Smilers qui existe depuis 2014 et réaffirme notre position de leader chez les dentistes omnipraticiens en France ». Il ajoute « Biotech Dental est le seul fabricant proposant une offre globale dans le dentaire à bénéficier d’une certification officielle pour l’ensemble de ses produits : le label Origine France Garantie. »
Il y a 3 ans et 67 jours

Bang Hai Ja crée quatre nouveaux vitraux pour la cathédrale de Chartres

La Conservation régionale des monuments historiques Centre-Val de Loire a engagé en 2017 la restauration extérieure de la chapelle Saint-Piat de la cathédrale Notre-Dame de Chartres, dans le but de livrer un monument apte à recevoir le futur Trésor. Elle a également mené un projet de réaménagement du lieu, en cours de finalisation, en utilisant les deux niveaux de la chapelle, reliés par une circulation aménagée dans la tourelle sud. Ce projet est placé sous la maîtrise d’oeuvre de Mme Marie-Suzanne de Ponthaud, architecte en chef des monuments historiques. La salle capitulaire, sans aucune modification de l’accès au caveau des évêques, sera dévolue à la présentation du lapidaire avec, en particulier, les éléments sculptés du jubé du XIIIe siècle démonté à partir de 1763 et les statues colonnes déposées du Portail Royal. La chapelle Saint-Piat, accessible directement par un escalier droit depuis le déambulatoire du chœur de la cathédrale pour les visiteurs valides, recevra une série de vitrines principalement dédiées à l’orfèvrerie et aux textiles. Ses 7 verrières révisées dans les années 1950, ont été complètement restaurées avec suppression de la plupart des plombs de casse. Elles ont reçu des verrières de doublage extérieures pour assurer leur protection selon le principe de ce qui a été retenu depuis plusieurs années à la cathédrale. Pour les baies de la salle capitulaire qui disposaient de simples vitraux losangés modernes, le principe d’une création de verrières contemporaines a été retenu. En mars 2018, un jury dédié a retenu le projet artistique de Bang Ai Ja, calligraphe et peintre d’origine coréenne. Les vitraux ont été réalisés à l’atelier de maîtres-verriers Peters (Paderborn, Allemagne). Les quatre créations sont sous les thèmes de la lumière, de la vie, de l’amour et de la paix.
Il y a 3 ans et 80 jours

Harmonie entre un bâtiment contemporain et un bâtiment ancien

Situé au cœur de la ZAC de l’industrie dans le 9ème arrondissement de Lyon, le bâtiment « HIGH FIVE » est une création architecturale sans nulle autre pareille, qui associe la rénovation du bâtiment datant de 1882 et l’intégration d’une nouvelle construction à l’architecture moderne et discrète. Signé par l’agence d’architecture SOHO ATLAS IN FINE, cet ensemble immobilier de 3000m2 s’inscrit parfaitement dans les tendances architecturales et sociétales actuelles avec le besoin de créer des espaces de travail, de commerce et de vie au quotidien. Son emplacement privilégié ouvre les futurs occupants sur un parc situé au premier plan, sur les bords de Saône dans son prolongement et sur des immeubles de logements et de commerces à proximité. Selon Patrick Miton, président de l’agence SOHO, « Avant on concentrait les bureaux, c’est à dire les mêmes besoins, dans des zones de ségrégations spatiales, à l’image des gratte-ciel aux Etats-Unis, traduisant un véritable pragmatisme exacerbé. On était dans une conception architecturale mono pragmatique, alors qu’aujourd’hui la tendance s’oriente de plus en plus vers la mixité ». HIGH FIVE, une véritable passerelle entre le passé et le futur « Comment coller un bâtiment contemporain contre un bâtiment ancien en respectant celui-ci et en les faisant dialoguer entre eux », tel était le pari architectural auquel l’agence SOHO a dû répondre. Le projet consistait à faire coexister les valeurs patrimoniales avec celles d’une architecture moderne et affirmée pour donner vie à un seul et unique ensemble immobilier cohérent et parfaitement intégré dans son environnement. Pour y répondre, l’agence a créé un espace tampon entre le passé et le futur qui se matérialise par une rue intérieure distributive recouverte d’une verrière CW50 de la gamme Reynaers Aluminium, profitant ainsi des apports énergétiques et lumineux naturels. En fonction du moment de la journée et du rayonnement du soleil, l’espace intérieur de la rue est magnifié par les reflets dorés, plus ou moins marqués, des pierres de la construction traditionnelle. HIGH FIVE, moderniser sans trahir l’histoire Successivement utilisé comme brasserie, puis comme atelier de filature et enfin comme atelier d’artiste, l’exigence était totale quant à la conservation de l’esthétique du bâtiment existant. Sans être classé au patrimoine architectural, le projet a été réalisé en tenant compte des exigences des architectes des bâtiments de France. La partie ancienne a été entièrement rénovée dans les moindres détails tout en conservant l’architecture traditionnelle. L’agence SOHO a fait le choix des fenêtres en aluminium TS68 à ouvrants visibles permettant de s’adapter aux encadrements cintrés ou droits des ouvertures existantes. Pour faciliter et sécuriser les espaces de travail entre le bâtiment historique et la nouvelle construction attenante, les portes CD68 de Reynaers Aluminium font la jonction de part et d’autre de la rue intérieure. « Le nouveau bâtiment à l’architecture prismatique s’est voulue simple dans son volume. Cette nouvelle peau, vient exprimer une sorte d’amabilité avec le bâtiment ancien » explique Patrick Miton. Ce parti pris se voit renforcé par l’intégration de systèmes de type « shadow box » dans la façade mur rideau laissant apparaître une finition intérieure tôlée rappelant la couleur dorée des pierres du mur d’origine. « Cette technique permet de travailler les façades extérieures tout en offrant une esthétique vibratoire et aléatoire subtile entre les surfaces pleines et vitrées » conclût Patrick Miton. Une façade mur rideau « cadre » spécifique pour habiller la partie neuve La réussite de ce projet tient en partie au travail réalisé très amont entre les différents intervenants, maitre d’ouvrage, maitre d’œuvre, façadier et gammiste aluminium. « Un projet comme celui-ci demande une mobilisation rapide des équipes afin de respecter toutes les exigences techniques et esthétiques. Dès la phase de conception, on a pu apprécier le travail collaboratif dans la prise en compte de tous les détails et dans la réalisation des plans d’exécution ; éléments indispensables pour coller au plus près à l’image du projet architectural souhaitée » souligne Patrick Miton. Une attention particulière a été portée à la conception et à la mise en œuvre de la façade qui habille la partie neuve du bâtiment. La grille mur rideau aux trames soulignées et étroites a permis de répondre aux exigences esthétiques souhaitées et à un maximum de souplesse dans les aménagements intérieurs. « Dans un bâtiment prévu en blanc, comme « High Five », on ne connait pas à l’avance l’utilisation définitive des espaces ; cette contrainte a permis de concevoir un bâtiment au caractère affirmé, tout en offrant au futur occupant une vraie liberté dans la réalisation de bureaux fermés, de salles de réunions et/ou de larges espaces de travail ouverts » se félicite Patrick Miton. La façade grille, de type « cadre », a été réalisée sur la base du système à ouvrant caché TS68 HV. Pour répondre aux exigences économiques et esthétiques du projet, la création de profilés spécifiques s’est avérée indispensable. « Le principe technique a permis d’optimiser au maximum les étapes de la fabrication de menuiseries vitrées prêtes à poser et de réduire considérablement les temps de transport et d’intervention sur le chantier » poursuit Benjamin Marin, chargé d’affaires Reynaers Aluminium dans la région sud-est. D’un point vue esthétique, la solution a permis de répondre à l’exigence d’une façade sans rupture visuelle, au vitrage affleurant les parties fixes et ouvrants en aluminium. Le choix s’est porté sur des menuiseries thermolaquées au coloris gris anthracite rappelant la tonalité du vitrage utilisé. Quand un vitrage n’est pas éclairé de l’intérieur, il prend une couleur grise sombre, légèrement anthracite. Solutions techniques : Fenêtre à ouvrant visible Thermo System 68 Fenêtre à ouvrant caché Thermo System 68 HV Verrière Curtain Wall 50 Développement spécifique pour façade mur rideau cadre sur base Thermo System 68 HV Stores californiens (lames d’occultation verticales) Agence d’architecture : Agence SOHO ATLAS IN FINE (Lyon) Façadier entreprise de menuiseries : société GAUTHIER (43370 Cussac-sur-Loire)
Il y a 3 ans et 80 jours

Un lycée en bois paré de céramique

Implanté au pied de la colline de Gignac dans la vallée de l’Hérault, le lycée Simone Veil reprend les dominantes de ce paysage rural, camaïeux de bleus et de verts des vignes, et des premiers reliefs du massif du Haut-Languedoc en toile de fond. Pour réaliser un bâtiment biosourcé et respecter un délai de chantier très court, l’agence Hellin-Sebbag a choisi le bois pour la structure des bâtiments : poteaux en bois massif, poutres et planchers en CLT d’épicéa, murs à ossatures bois. Les façades ont été revêtues de terre cuite vernissée pour sa pérennité, son inertie et sa facilité d’entretien. Le bois est aussi présent à l’intérieur : parois des circulations habillées de panneaux de bouleau et, pour le Centre de Documentation et le restaurant, plafonds acoustiques aux lames ondulantes. 
Des panneaux photovoltaïques recouvrent les toits des deux bâtiments d’enseignement et de l’internat tandis qu’une verrière photovoltaïque, placée en surélévation du bâtiment d’entrée, rappelle aux usagers et aux visiteurs que cet ouvrage est à énergie positive en partie grâce aux énergies renouvelables. L’agence Hellin-Sebbag a conçu une organisation lisible autour d’une grande cour, avec les deux bâtiments d’enseignement en R+2 orientés nord-sud et le centre de documentation et restaurant – orientés est-ouest. Les toitures des bâtiments les plus bas sont des jardins soulevés en courbe douce telles des collines, comme si le sol naturel remontait sur les toits pour les modeler en formes libres et offrir au lycée un « cœur vert ». Maître d’ouvrage : REGION OCCITANIE Pyrénées-Méditerranée Mandataire : ARAC Occitanie Architectes : HELLIN-SEBBAG Architectes Associés (Montpellier-Paris) Bureaux d’Etudes Techniques : BET Structure TERRELL (Toulouse), BET Fluides ADRET (La Seyne-sur-Mer), Economiste EGIS Bâtiments Sud-Ouest (Montpellier), BET VRD UNDERGROUND Ingenierie (Montpellier), Cuisiniste INGECOR (Montpellier), Paysagiste GUILLEMET (Salon-de-Provence), OPC ARTEBA (Montpellier) Surface de planchers : 14 514 m2 sur une assiette foncière de 5,35 ha Effectifs : 1100 lycéens Photo : Jean-Pierre PORCHER
Il y a 3 ans et 97 jours

Foncière Atland et PGGM annoncent le lancement des travaux de restructuration du 51 avenue Hoche à Paris

Cet ancien hôtel particulier situé en plein cœur du Quartier Central des Affaires de Paris fait l’objet d’un important programme de restructuration lui permettant de viser des labels environnementaux très exigeants. La livraison est prévue au 1er trimestre 2023, l’immeuble proposera 1 650 m² de bureaux et 350 m² d’espaces extérieurs.Luminosité, performance et élégance pour un actif primeEmblématique de l’architecture haussmannienne, cet immeuble a été réinventé, dans le respect de son élégance originelle avec l’ajout subtile d’éléments contemporains avec notamment :Un porche d’entrée repensé pour magnifier l’escalier d’honneur donnant accès au hall d’accueilLa construction de loggias, de paliers vitrés et d’une verrière au 5ème étage pour offrir une luminosité maximale des plateauxUne cour pavée prolongée d’un écrin de verdure pour profiter du cœur d’ilotLa création d’un espace événementiel flexible de 200 m² permettant de recevoir du public (classé ERP) ouvert sur le jardinÉléments environnementaux et traitement végétal Le 51 Hoche a entrepris une démarche environnementale exigeante en visant 3 certifications majeures :HQE rénovation : niveau très performantBREEAM : niveau Very GoodWIREDSCORE : niveau CertifiedUn intérêt particulier a été apporté au bilan carbone de l’opération avec un réemploi à 80% de la structure originelle de l’actif, un engagement de tri et de valorisation des déchets lors de la déconstruction et une performance cible conforme aux exigences fixées pour 2030 par le dispositif éco-énergie tertiaire.Le jardin paysagé accueille trois strates végétales - arbres, arbustes et plantes herbacées refuges à faune - qui participent au renforcement du patrimoine écologique et à la qualité de vie du lieu.Un actif idéalement situé à ParisSitué au cœur du QCA, prestigieux quartier d’affaire parisien, le 51 Hoche bénéficie d’une excellente desserte grâce au hub métro-RER de l’Étoile (Charles de Gaulle Étoile à 150 m, lignes de métro 1, 2 & 6 et RER A), facilitant l’accès à l’immeuble.Cette opération s’inscrit dans le cadre du partenariat établi entre Foncière ATLAND et PGGM en 2016. L’OPPCI géré par ATLAND Voisin (société de gestion réglementée, filiale d’ATLAND) a pour objectif d'investir dans des actifs de bureaux en Ile-de-France.Une opération imaginée avec le cabinet d’architecte BSTLL, réunissant l’agence Samuel Nageotte Architectures, l’Atelier Nicolas Salmeron pour l'architecture intérieure et JIGEN Interactive Studio pour les illustrations.
Il y a 3 ans et 101 jours

2022 : Année Internationale du verre, une double cérémonie d'ouverture à l'ONU à Genève et au Palais du Luxembourg à Paris

Les interventions de 30 experts ont permis de mettre en lumière les dernières réflexions sur la manière dont le verre peut contribuer au développement de sociétés plus justes et durables, ainsi que les dernières avancées scientifiques et techniques.En France, le 11 février 2022, la Fédération des Industries du Verre et la Fédération du Cristal et du Verre ont organisé la conférence d'ouverture « Le verre pour un quotidien durable », au Palais du Luxembourg sous le parrainage de Catherine Dumas, Sénatrice de Paris et Présidente du Groupe Métiers d'Art.En introduction, la présentation de l'atelier Barrois a permis de mettre en avant le potentiel créatif et d'innovation du verre.« Le verre pour un quotidien durable » Deux tables rondes ont été ensuite organisées. La première dédiée au changement climatique a mis en avant les engagements et les actions concrètes de l'industrie verrière avec le témoignage de trois entreprises. Cette table ronde a démontré que la décarbonation est la priorité dans l'agenda de l'industrie verrière.La seconde a été consacrée à la diversité des usages du verre au travers de plusieurs témoignages d'utilisateurs (design, architecture, univers du luxe). Elle a ainsi présenté le formidable potentiel du verre dans le domaine de la création de formes et de produits, dans celui de l'habitat durable avec l'accès à la lumière renforcé et des performances thermiques améliorées. Et enfin dans le domaine du luxe, l'accent a été mis sur la contribution du verre aux succès des grandes marques françaises au niveau mondial. Pour Jacques Bordat, président de la Fédération des Industries du Verre : « le verre, omniprésent dans notre vie au quotidien, s'inscrit parfaitement dans une logique d'un monde durable. La transition de l'industrie verrière vers un monde décarboné est en marche. » Pour Jérôme de Lavergnolle, président de la Fédération du Cristal et du Verre : « la fierté de toute une profession de participer à cette formidable aventure grâce un matériau durable aux multiples usages et à la mise en œuvre de savoir-faire d'exception ». De très nombreux événements seront organisés tout au long de l'année 2022 afin de mieux faire connaître le verre, mettre en avant l'excellence et la diversité de ses métiers et savoir-faire et informer les jeunes générations des perspectives que l'industrie du verre peut leur offrir.Le site anneduverre2022 montrera les actions menées par la communauté verrière sur l'ensemble du territoire notamment à travers les routes du verre, initiative visant à faire connaître les sites verriers en France au plus grand nombre.
Il y a 3 ans et 102 jours

Restauration de la cathédrale de Valence

Bâtie au XIIe siècle et en partie reconstruite au XVIIe siècle, la cathédrale de Valence a conservé ses formes romanes. Cet aspect préservé a subi plusieurs campagnes de restaurations, assez lourdes, au cours des XIXe et XXe siècles pour compenser une faiblesse de l’édifice étroitement liée à son matériau de construction : la pierre de Châteauneuf‐sur‐Isère (la molasse), employée à l’origine sur l’ensemble de la construction. Cette pierre étant particulièrement sujette à l’altération, les interventions des deux siècles précédents ont préféré remplacer les blocs « malades » par du calcaire, plus claire que la molasse. Les façades sont alors passées d’un aspect monochrome à un aspect composite, sans régler le problème de la conservation de la pierre d’origine. L’édifice ne souffre pas de problèmes de stabilité. La dégradation des parements et moulurations est parfois tellement forte que les pertes de matière sont très importantes. Les contreforts en molasse et la galerie d’arcatures aveugles couronnant le haut de la nef sont les parties les plus lourdement érodées. La coexistence des pierres en molasse et des greffes en calcaire ou en grès n’est pas un facteur aggravant des pathologies. C’est principalement la différence de nu qui, créant des zones de rétention d’eau, accentue le processus. En 1997, Allain Tillier avait proposé la création de solins de mortier pour assurer l’interface entre la molasse abimée et les greffes. Cette solution conservatoire s’est montrée efficace et durable. La première phase du chantier débutera par la restauration des façades sud et nord. Le parti de restauration sera double, d’abord conserver un maximum de matière d’origine par la consolidation des parements de molasse en place par application d’un produit durcissseur reminéralisant. Des solins seront réalisés pour gérer l’écoulement des eaux entre les blocs sains et les blocs fortement desquamés. Certains parements en molasse, trop altérés seront remplacé par du grès des Vosges, cette pierre est parfaitement compatible puisque ses propriétés sont proches de celles de la molasse. Ensuite, redonner de la cohérence historique aux élévations en harmonisant les greffes de calcaire aux parements anciens en molasse. « Ce traitement permettra à la fois d’intégrer les surfaces trop lisses du calcaire aux surfaces irrégulières de la molasse mais aussi de garantir une meilleure accroche de l’eau‐forte d’harmonisation ». En complément, les verrières, les menuiseries et les systèmes de gestion des eaux pluviales seront restaurés. Les vitraux feront l’objet d’une restauration légère ils seront déposés et nettoyés en atelier. Leur repose sera associée avec la pose de raquettes de protection en laiton. Les couvertures en tuiles canal seront ressuivies, notamment côté nord. La couverture en plomb de la tourelle côté place des Clercs sera restaurée en totalité. Montant de l’opération Le montant total des travaux s’élève à 2 281 489 € HT est financé à 100% par l’Etat dans le cadre du plan cathédrales Durée du chantier de restauration des façades : 16 mois Maîtrise d’ouvrage : Direction régionale des affaires culturelles Auvergne-Rhône-Alpes – Conservation régionale des monuments historiques Maîtrise d’œuvre : Michel Trubert, architecte en chef des monuments historiques Les entreprises Maçonnerie- Pierre de Taille : Vivian et Cie Menuiserie-Bois : sarl Sud France Vitraux : Thomas Vitraux Source : Drac Auvergne-Rhône-Alpes Photo : Drac Auvergne-Rhône-Alpes – Claude Niski
Il y a 3 ans et 102 jours

La verrière de l’Hôtel de la Marine, signée Bottineau et Dutton, brille de mille feux

La verrière de l’Hôtel de la Marine, Paris (VIIIe), crée par les architectes Christophe Bottineau et Hugh Dutton pour le Centre des monuments nationaux maître d’ouvrage, est le projet lauréat des Trophées Eiffel 2021 dans la Catégorie « Innover ». Brillante innovation ! La verrière est située à l’Hôtel de la Marine, Place de la Concorde […] L’article La verrière de l’Hôtel de la Marine, signée Bottineau et Dutton, brille de mille feux est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 124 jours

Un bâtiment industriel revivifié par une greffe

Cette opération complexe de greffe d'un nouvel édifice compact sur un bâtiment atypique restructuré à l'identique, via une verrière de liaison, a été réalisable grâce à la mise en œuvre de structures et charpentes métalliques, d'usage flexible.
Il y a 3 ans et 145 jours

Gare Montparnasse : une passerelle vers la lumière…

Après deux ans de conception et quatre ans de travaux, la Gare Montparnasse est transformée. Grâce à sa verrière en méthacrylate trônant au-dessus du hall Vasarely, le bâtiment emblématique devient un véritable puits de lumière… 
Il y a 3 ans et 153 jours

Nouveaux verres pour grandes surfaces vitrées

Les nouveaux verres COOL-LITE® XTREME 61/29 et 61/29 devraient naturellement s’intégrer dans les projets tertiaires avec des façades modérément à fortement vitrées. Ils s’inscrivent dans la continuité des verres à couche, avec une sélectivité et une esthétique exceptionnelle, développés depuis plusieurs années par Saint-Gobain. La réflexion lumineuse extérieure a été abaissée à 11%, ce qui limite les reflets sur leur surface et augmente la perception de transparence. Leur utilisation permet un apport important de lumière naturelle combiné à une protection solaire efficace. Outre les façades ils peuvent être utilisés en toiture partiellement vitrée (véranda ou atrium), en verrière complètement vitrée avec l’ajout éventuel de protection solaire intérieure additionnelle.
Il y a 3 ans et 186 jours

TERREAL récompense sept professionnels de la couverture

La 11ème cérémonie du « concours terroirs » organisé par Terreal s’est tenue le 18 novembre dernier, il a mis à l’honneur sept professionnels de la couverture et leurs réalisation. Prix de la Maison Paysanne : l’entreprise SAS Xavier Salles à La Chapelle-prés-Sées (61) Prix décerné en partenariat avec Maisons Paysannes de France. L’entreprise Xavier Salles s’est vue récompensée du Prix Maison Paysanne pour la restauration de la toiture de 250 m2 d’une traditionnelle maison normande. Le choix de la tuile c’est porté sur la tuile plate de référence Normande, la tuile Rustique Sablé Normand. Le jury a noté un remarquable travail de finition quant aux traitements des points singuliers de la couverture. Un ensemble harmonieux qui laisse transparaître le cachet d’antan Normand retrouvé.   Prix Demeure de caractère – Toit du Sud : l’entreprise Bocareno à Pouzauges (85) L’entreprise Bocareno a été récompensée du Prix Demeure de Caractère – Toit du Sud pour la rénovation de la toiture de 456 m2 d’une bâtisse bourgeoise du XIXème siècle. La tuile Canalavérou Terre de Charente a été choisie pour son respect des contraintes architecturales et patrimoniales de la région. L’ensemble de la toiture a été restaurée, alors qu’elle se trouvait détériorée et couverte de végétation. La pose dans les règles de l’art a été remarquablement respectée par le scellement à la chaux des tuiles en rive et au faîtage, la réfection complète des cheminées et le remplacement de la zinguerie en cuivre. Cet ensemble permet à la maison de retrouver l’esthétique traditionnelle des toits d’antan de la Vendée.   Prix Demeure de caractère – Toit du Nord : l’entreprise JMC à Courtry (77) L’entreprise JMC a été récompensée du Prix Demeure de Caractère – Toit du Nord pour la rénovation de la toiture de 400 m2 d’un hôtel particulier des années 30. La tuile plate Ségala Vieux Pays, Vieille Terre a été choisie pour remplacer l’ensemble de la toiture, pour redonner le cachet traditionnel à cette belle demeure.   Prix Patrimoine Historique et Coup de cœur du public : l’entreprise Dallon Couverture à Saint Martin Lacaussade (33) L’entreprise Dallon Couverture a vu son savoir-faire récompensé pour la rénovation du toit de 400 m2 de l’Eglise Saint Pierre d’Eyrans datant du XIXe siècle. Réalisée par un artisan Raphaël Dallon passionné par son métier, cette restauration met à l’honneur son savoir-faire. Pour la réfection de cette toiture, les tuiles Girondine Castelviel en courant et Nuance d’Antan en couvert ainsi que de la tuile de récupération ont été soigneusement sélectionnées pour un nuancier de couleurs harmonieux.   Prix du Patrimoine Collectif : l’entreprise Toitures des Gones à Vourles (69) Prix Patrimoine Collectif décerné à l’entreprise Toitures des Gones pour la rénovation du laboratoire d’un artisan maître torréfacteur. Pour cet ouvrage, la réfection a été complète de la charpente aux verrières, avec un travail de finition remarquables de rives à noquet et ce sont les tuiles Montchanin Losangée Rouge qui ont été choisies pour couvrir les 260 m2 de toiture.   Prix Technique : l’entreprise Jeanne Patrice Couverture à Madre (53) L’entreprise de Patrice Jeanne a été récompensée pour le travail de rénovation de la couverture de 350m2 d’un manoir. L’artisan a mis en œuvre la tuile Monument Historique Pompadour en réalisant un harmonieux panachage de Rouge Saumon, Rouge Naturel et Rouge Violet. L’ensemble des points singuliers ont été traités par la matière même de la tuile, afin de conserver l’authenticité de ce manoir. Les lucarnes en zinc ont également été totalement refaites à l’identique. Une réalisation technique juste et remarquée.   Coup de Cœur du Jury : l’entreprise EURL Courot Dominique à Cluny (71) L’artisan Dominique Courot a été récompensé pour la réfection de la couverture d’un préau de 114 m2 fortement dégradée par des infiltrations d’eau, datant des années 1880. Le jury a notamment relevé la passion avec laquelle le lauréat a travaillé sur cette rénovation. Un travail minutieux et remarquable de détails : rives scellées avec bardelis en ardoises naturelles pour habiller le chevron, utilisation de chaux blanche et sable de rivière pour une harmonie naturelle, faîtage scellé en crête de coq pour faire écho à celle de l’habitation principale. La mise en œuvre d’une vieille tuile de tradition, la tuile plate Prieuré Rouge Ancien, redonne au préau son cachet authentique.
Il y a 3 ans et 199 jours

Milliken fournit le revêtement de sol des différentes salles de réunion d'Otterbox

Hibernian House est un bâtiment emblématique de South Mall, construit dans les années 1970 et qui conserve encore aujourd’hui sa façade victorienne italianisante datant d’environ 1825. Lorsqu’il a fallu réaménager les deux derniers étages de ce grand entrepôt, les responsables en ont confié la réalisation à Abbeyside & Co, spécialiste primé de l’aménagement de bureaux.Approche conceptuelleEn guise de clin d’œil et d’hommage à l’héritage industriel brut du bâtiment, l’équipe de design d’Abbeyside a proposé d’habiller l’intérieur d’une ambiance rétro épurée. En travaillant avec une palette de couleurs monochromes simples et des touches de jaune vif, ils ont créé un espace merveilleusement accueillant qui reflète véritablement la culture d’Otterbox et son engagement à créer des lieux de travail agréables.Pour le revêtement de sol des spacieux couloirs et du grand espace de travail ouvert, l’équipe design a choisi le Laid Bare de la collection de moquettes modulaires Comfortable Concrete 2.0 de Milliken. L’aspect saisissant des grandes dalles offrait l’esthétique urbaine recherchée par les concepteurs. Son aspect à la fois brut et raffiné répond aux verrières de style industriel des salles de réunion adjacentes, créant ainsi un concept de design cohérent et solide.La moquette Laid Bare, dans les tons gris pâles Whisper, s’harmonie avec les murs blanc neige et le plafond à plenum apparent, inspirant un sentiment d’ouverture et de modernité et contribuant à illuminer l’espace.Pour le revêtement de sol des différentes salles de réunion d’Otterbox, l’équipe de conception a choisi la moquette modulaire Comfortable Concrete 2.0 en version Urban Drama, jaune moutarde. Les éclaboussures de couleur aléatoires ajoutent un aspect organique à cet espace et se coordonnent avec les touches de couleur jaune des dessins muraux et de certains meubles.Les dalles Laid Bare se poursuivent à l’étage supérieur, pourvu de fenêtres en angle sur un côté, lesquelles lui donnent un aspect de loft décontracté. Cette zone a été astucieusement divisée par des portes grillagées en verre de roseau, tandis qu’un mélange éclectique de chaises mobiles crée une série de zones de réunion flexibles et informelles.Des performances en termes de confortSi Comfortable Concrete 2.0 offre clairement les qualités esthétiques recherchées par l’équipe de conception, ses performances n’en restaient pas moins cruciales dans le cahier des charges. Avec ses grands espaces ouverts et ses plafonds exposés, la gestion de l’acoustique était une considération importante pour cet environnement de travail studieux. Le Comfort Plus® de Comfortable Concrete, le dossier de dalles haut de gamme de Milliken, offre à l’espace des performances acoustiques supérieures, absorbant jusqu’à 37 dB de bruit d’impact. Pour Otterbox, ceci est synonyme d’un lieu de travail dans lequel les employés peuvent travailler plus efficacement et se concentrer plus facilement.Pour une entreprise qui s’enorgueillit d’attirer les meilleurs talents et de prendre soin de ses employés, il était également essentiel de créer des bureaux aussi bien confortables et attrayants qu’esthétiques. Comfortable Concrete répond à ces attentes grâce à sa texture de surface de haute qualité et au confort luxueux du dossier Comfort Plus®. Otterbox peut également être rassuré : ses revêtements de sol sont respectueux de l’environnement. Tandis que le support est fabriqué à partir de 90% de matières recyclées, le revêtement bénéficie également d’accréditations environnementales, notamment les certifications EPD et BRE, ainsi que GuT et CRI Green Label Plus pour la qualité de l’air intérieur.
Il y a 3 ans et 207 jours

Restauration de la chapelle Saint-Hubert du château royal d’Amboise

Le programme de restauration de la chapelle Saint-Hubert du château d’amboise porte sur les charpentes et couvertures suivant le dernier état connu et voulu par Ruprich-Robert (architecte en chef des monuments historiques en charge des travaux de restauration à la fin du XIXe), ainsi que sur une reprise de maçonnerie des façades. Une harmonisation des pierres, une restauration des sculptures et des verrières est également prévue. En parallèle, sera menée la reprise de l’étanchéité du parvis. Le chantier a débuté en octobre 2021 pour se terminer en octobre 2023. L’État a pris pleinement mesure du caractère majeur de ce chantier (représentant au total 2,7 millions d’euros), puisqu’il contribuera au budget des différents travaux engagés sur le site (intégrant, donc, ceux sur la chapelle) à hauteur de 2,16 millions d’euros, au titre du Plan de relance économique. Il s’agit là de la dotation la plus importante accordée à un édifice privé, propriété de la Fondation Saint-Louis. Celle-ci intervient opportunément pour cet édifice et dont les charpentes présentaient des fragilités dont il fallait se préoccuper sans délai au moment où le monument subissait de plein fouet les effets de ses fermetures successives et de la raréfaction des visiteurs. Placé sous l’autorité de l’architecte en chef des Monuments historiques, Etienne Barthélémy, ce chantier de restauration de la Chapelle Saint-Hubert revêt un caractère tout à fait exceptionnel puisque les derniers travaux d’une telle ampleur opérés sur la chapelle datent du milieu du XIXème siècle et de l’après-guerre. Il sera fait appel aux savoir-faire régionaux contribuant, ainsi, à mobiliser les entreprises du patrimoine vivant. La DRAC Centre-Val de Loire a initié l’opération : « Une école, un chantier… des métiers » afin de porter de nouvelles ambitions en faveur de la jeunesse autour des métiers et des savoir-faire. L’accueil de 4 classes des collèges du secteur est prévu, pour un suivi tout au long des phases du chantier, avec des visites incluant l’intervention de professionnels des entreprises artisanales (techniciens dédiés), et du patrimoine. Source et photo : Drac Centre-Val-de-Loire
Il y a 3 ans et 211 jours

Ecolodo : un habitat participatif convivial et écolo près d’Angers (FR-49) #BGT 18

Il est parfois des rencontres qui font chaud au cœur et vous donnent l’envie d’espérer un monde meilleur, dans un cadre idéal. Ce fut le cas lors de la visite d’Ecolodo dans notre Build Green Tour, un habitat participatif installé dans un écoquartier de Verrières en Anjou, dans la périphérie d’Angers (FR-49), qui comprend 7 […]
Il y a 3 ans et 223 jours

La Bourse de Commerce, un écrin en béton pour l’art contemporain

Ce bâtiment historique situé dans le Ier arrondissement de Paris accueille désormais la collection personnelle d’art contemporain de François Pinault [©Vladimir Partalo] Retrouvez bientôt en exclusivité la video sur la Bourse de Commerce Après 34 mois de travaux menés tambour battant, les équipes de Bouygues Bâtiment Ile-de-France Rénovation Privée ont livré la Bourse de Commerce à Pinault Collection. Ce bâtiment historique situé dans le Ier arrondissement de Paris accueille désormais la collection personnelle d’art contemporain de François Pinault. Son ouverture a eu lieu au printemps dernier. La Bourse de Commerce est le 3esite permanent de la collection d’art contemporain de l’entrepreneur français. Comme les deux précédents, le Palazzo Grassi et la Punta della Dogana à Venise, il a été rénové et aménagé par l’architecte japonais Tadao Ando. Accompagné, cette fois, de Niney et de Marca Architectes et Pierre-Antoine Gatier, architecte en chef des Monuments historiques. Pour le bâtiment parisien, Tadao Ando « a très vite eu l’intuition d’un cylindre dans la rotonde de la Bourse du Commerce », se souvient Thibault Marca, de Niney et Marca Architectes. Comme à son habitude, l’architecte japonais travaille avec des formes simples, voire primaires : le triangle, le carré, le cercle…, toujours inspirées de la nature. Le tout, ici, transposé dans un bâtiment historique. « Je pense que le béton est un matériau qui représente le XXIe siècle. Nous l’avons utilisé dans une forme géométrique simple au cœur d’un bâtiment pluri-centenaire. Non seulement la structure de ce bâtiment est conservée, mais elle reste vivante grâce à la création d’une nouvelle architecture », indique Tadao Ando. Un cylindre en écho à la circularité du bâtiment Il faut laisser glisser sa main sur ce béton lisse pour deviner combien ce travail a été minutieux et rigoureux. Lors de sa dernière visite du chantier, Tadao Ando a déclaré que ce béton figurait parmi les plus beaux qu’il ait jamais vus. Le cahier des charges pour le béton était de proposer une formulation innovante, qui puisse surprendre le public, tout en gardant le geste de l’architecte Tadao Ando. C’est-à-dire la reconstitution d’un béton à partir d’un calepinage de tatamis. « Le challenge consistait à proposer une solution démontable, car François Pinault n’est pas propriétaire du lieu. Il n’était donc pas question d’un voile massif en béton. Il a fallu imaginer une structure métallique habillée de part et d’autre, d’une peau de 12 cm d’épaisseur sur une hauteur de 9,33 m. Nous avons utilisé des bétons auto-plaçants, provenant de la centrale Unibéton d’Aubervilliers », explique Roland Merling, responsable national de la prescription chez Ciments Calcia. La Bourse de Commerce a ainsi été restaurée dans son état de 1889 sans l’altérer. [©Vladimir Partalo/Tadao Ando, NeM Architectes, Pierre-Antoine Gatier Courtesy Bourse de Commerce- Pinault Collection]La majestueuse verrière plafonne à 35 m de hauteur, datant de 1889. [©Marc Domage/Tadao Ando, NeM Architectes, Pierre-Antoine Gatier Courtesy Bourse de Commerce- Pinault Collection]Comme à son habitude, l’architecte japonais travaille avec des formes simples, voire primaires : le triangle, le carré, le cercle…, toujours inspirées de la nature. Le tout, ici, transposé dans un bâtiment historique. [©Patrick Tourneboeuf/Tadao Ando, NeM Architectes, Pierre-Antoine Gatier Courtesy Bourse de Commerce- Pinault Collection]Pour accueillir le cylindre en béton et les œuvres d’art, la structure a été renforcée, les planchers, qui pouvaient jadis porter 250 kg/m2, supportent désormais 700 kg/m2. Et jusqu’à 1 t/m2 par endroits. [©Patrick Tourneboeuf/Tadao Ando, NeM Architectes, Pierre-Antoine Gatier Courtesy Bourse de Commerce- Pinault Collection] La Bourse de Commerce a ainsi été restaurée dans son état de 1889 sans l’altérer. Les ajouts techniques ont été réalisés, tout en préservant la structure « Celui-ci prend naissance en sous-sol, puis émerge au rez-de-chaussée, en s’immisçant à travers les trémies de la structure existante par la mise en œuvre d’une douzaine de poteaux. Ceci, pour éviter une réalisation massive et permettre de conserver la structure. Pour le plancher métallique, une dalle en béton a été coulée sur le dessus. Le cylindre est ici hybride, espace scénographique et symbolique, mais aussi technique. Il gère ainsi le climat, la lumière, l’acoustique… », insiste Thibault Marca. Pour accueillir le cylindre en béton et les œuvres d’art, la structure a été renforcée, les planchers, qui pouvaient jadis porter 250 kg/m2, supportent désormais 700 kg/m2. Et jusqu’à 1 t/m2 par endroits. Une formule de béton sur mesure Pour ce chantier d’exception, Unibéton et Ciments Calcia ont conçu une formule de béton sur mesure, qui a répondu à la complexité du coulage liée aux banches et aux armatures. Cette formule a aussi permis d’obtenir une teinte gris clair spécifique et homogène pendant toute la période de coulage, sur plusieurs mois. « Une caractérisation du béton avait lieu au départ de la centrale. Et ensuite, une deuxième lors de la mise en place à la pompe. » Quelque 650 m3 de béton esthétique ont été mis en œuvre, pour un total de 4 500 m3 pour la globalité du chantier. Composé de 863 panneaux perforés, le cylindre présente quatre ouvertures identiques. Autour de lui, un escalier en béton dessert quatre niveaux d’exposition, dont un en sous-sol. Il offre aux visiteurs des points de vue variés sur le bâtiment historique. Une fois avancé au centre de ce vaste espace, le visiteur lève naturellement le regard vers la majestueuse verrière, qui plafonne à 35 m de hauteur. Il y a encore quelques mois, un échafaudage de 600 t empêchait la diffusion de la lumière. [©Patrick Tourneboeuf/Tadao Ando, NeM Architectes, Pierre-Antoine Gatier Courtesy Bourse de Commerce- Pinault Collection]Après 34 mois de travaux menés tambour battant, les équipes de Bouygues Bâtiment Ile-de-France Rénovation Privée ont livré la Bourse de Commerce à Pinault Collection. [©Patrick Tourneboeuf/Tadao Ando, NeM Architectes, Pierre-Antoine Gatier Courtesy Bourse de Commerce- Pinault Collection]Le geste de l’architecte Tadao Ando reconstitue un béton à partir d’un calepinage de tatamis. [©Patrick Tourneboeuf/Tadao Ando, NeM Architectes, Pierre-Antoine Gatier Courtesy Bourse de Commerce- Pinault Collection] Il y a encore quelques mois, un échafaudage de 600 t empêchait la diffusion de la lumière. Restaurée, la verrière laisse aujourd’hui la lumière du jour inonder l’intérieur du bâtiment. Elle remet en valeur le panorama marouflé de 1889, qui dépeint le commerce mondial sur les 1 400 m² de la voûte. Cette œuvre qui renvoie près d’un siècle et demi dans le passé peut désormais être observée de plus près. En montant sur une coursive qui entoure la cime du cylindre de béton, conférant à ce dernier une fonction tant pratique qu’esthétique. Une attente forte de l’acoustique Etant donné la position de la Bourse de Commerce, au centre de Paris, dans un lieu exigu, il n’y pas eu de grues. Aussi les banches ont, elles, été transportées à la main. Il ne devait y avoir aucun défaut lors du décoffrage. Pas question non plus de détruire certaines banches comme souvent sur d’autres chantiers. Une grande rigueur était de mise. Les critères du cahier des charges mettaient en avant la maîtrise maximale de l’acoustique. « Comme il y a un vide entre les deux voiles, nous avons imaginé des pièges à sons. Certains écarteurs de banche ont été munis d’amortisseurs acoustiques. En plus de la réalisation d’un gommage de la peau du béton, outre le lissage de l’entièreté de la teinte du béton, a permis de casser le renvoi unidirectionnel des ondes sonores et de le provoquer de façon multidirectionnelle. Et de participer à l’amélioration de l’acoustique du lieu », conclut Roland Merling.  Muriel Carbonnet
Il y a 3 ans et 240 jours

Ouverture du Pavillon des Pays-Bas à l'Expo de Dubaï, alimenté en énergie grâce aux puits de lumière Asca

Un biotope autonome en énergie surmonté d’une couverture solaire design et sur-mesureVéritable biotope doté de son propre système climatique, le Pavillon des Pays-Bas produit de l’eau, de l’énergie et de la nourriture à l’aide d’innovations durables comprenant notamment une ferme verticale. Ce monde miniature est alimenté en énergie propre grâce à une couverture solaire conçue par le studio de design Marjan van Aubel. Au coeur de cette verrière aux motifs et aux couleurs uniques : le film OPV (photovoltaïque organique) ASCA®, qui grâce à sa semi-transparence laisse la lumière se refléter pleinement à l’intérieur du Pavillon afin d’offrir aux visiteurs une expérience immersive.« La liberté de design et de couleurs qu’offrent les solutions OPV ASCA® nous a permis de donner réellement vie à la structure en créant des puits de lumière au puissant effet moiré. Au-delà de fournir de l’énergie, cette installation prouve que ces modules solaires sont de formidables mediums artistiques » commente Marjan van Aubel.Un concept récompenséÀ l’occasion des Big 5 Construction Impact Awards qui se sont déroulés en septembre, le Pavillon des Pays-Bas (en collaboration avec Expomobilia, V8 Architects, Dutch Dubaï et bien d’autres) remporte le trophée du « Projet de Construction Durable » de l’année 2021. The Big 5 Impact Awards est une plateforme émiratie qui récompense chaque année les réalisations les plus innovantes en matière de développement durable et de technologie du secteur de la construction. Ce trophée vient récompenser l’approche durable placée au coeur du projet de construction du Pavillon, conçu à partir de matériaux loués localement, réutilisables, recyclables ou biodégradables afin de réduire au maximum l’empreinte environnementale du bâtiment. Ainsi, et compte tenu de la grande légèreté des solutions solaires ASCA®, celles-ci pourront être facilement démontées, transportées et réutilisées après l’Expo.
Il y a 3 ans et 270 jours

Prolongement du RER E à Paris, un chantier souterrain géant dans un "mouchoir de poche"

À 35 mètres sous ce quartier connu pour son Palais des congrès, un large tunnel avance à perte de vue: "le tunnelier est actuellement au niveau de l'Étoile, il arrive sous les trottoirs de l'avenue Wagram", à 900 mètres de là, explique Xavier Gruz, directeur du projet Eole chez SNCF Réseaux.Ce projet consiste à prolonger vers l'ouest le RER E, qui relie actuellement la banlieue est à la gare Saint-Lazare à Paris. La ligne doit ainsi rejoindre Nanterre via La Défense à la mi-2023, puis aller jusqu'à Mantes-la-Jolie (Yvelines) dans un second temps.Ces lourds travaux comprennent le percement d'un tunnel de 8 kilomètres, suffisamment large pour y faire circuler des trains à deux étages. Le tunnelier "Virginie", avec ses 11 mètres de diamètre, est ainsi actuellement le plus gros engin de ce genre à oeuvrer sur un tunnel ferroviaire en France."Il devrait arriver à Haussmann-St Lazare le 15 janvier de l'année prochaine", prévoit Xavier Gruz."Complètement coincés"En attendant, la Porte Maillot est l'épicentre des travaux, qui mobilisent 670 personnes. En surface et sous terre, des dizaines d'employés en chasuble orange s'affairent dans un labyrinthe de bétonnières, armoires électriques, canalisations d'évacuation de la boue et engins de chantiers en tout genre.Outre qu'il abrite la base du tunnelier, ce quartier reliant l'ouest de Paris à la banlieue cossue de Neuilly-sur-Seine est en plein chantier afin d'y construire une nouvelle gare à ciel ouvert, qui sera éclairée naturellement par une verrière.Accessoirement, il faut établir une correspondance vers le RER C et reconstruire trois étages d'un parking qui avait dû être partiellement détruit."C'est un site qui est contraint en surface et en sous-sol", souligne Bopha Eng, directrice d'opérations chez SNCF Réseau."La difficulté que l'on a sur cette gare, c'est qu'elle s'insère dans des volumes sous-terrains totalement occupés", abonde Xavier Gruz: le sous-sol est déjà encombré par les deux parkings du Palais des congrès, la ligne 1 du métro et le RER A. "On est complètement coincés", résume-t-il."On a mis un chantier tout à fait colossal dans un mouchoir de poche", salue Michel Deffayet, le président de l'Association française des tunnels et de l'espace sous-terrain (AFTES), qui tient justement son congrès dans le Palais adjacent et y voit une illustration des prouesses techniques du secteur.Course contre la montreCet encombrement se traduit par des difficultés techniques concrètes: la ligne 1 du métro toute proche a dû être "encoffrée", protégée et renforcée, pour ne pas subir les déplacements de terrain avec le creusement de la future gare Eole.Autre complication rencontrée par le chantier: la présence d'une nappe d'eau qu'il a fallu pomper, non sans difficulté, pour la redescendre en dessous du niveau des travaux.C'est aussi une course contre la montre pour libérer le site dans les temps, à l'heure où la capitale multiplie les grands travaux. Il faut ainsi bientôt libérer l'emprise en surface pour y laisser la place à un futur arrêt du tramway T3, tandis que la place doit être ensuite complètement réaménagée en vue des Jeux olympiques de 2024.Le chantier Eole a cependant pris du retard avec la crise du Covid-19 notamment. Il a aussi rencontré d'autres difficultés, comme des retards de livraison de matériaux de construction et désormais des craintes sur l'approvisionnement en composants électroniques, qui font l'objet d'une pénurie mondiale. "Aujourd'hui je ne suis pas sûr qu'on en soit totalement sortis", craint Xavier Gruz. "On n'est pas forcément totalement sereins sur le suite".
Il y a 3 ans et 274 jours

Centre thérapeutique et logistique MGEN, par AIA dans les Yvelines

AIA Architectes a livré en 2020 la dernière phase du centre thérapeutique et logistique MGEN (36 326 m² ; montant travaux : 70 M€ HT) sur le site de La Verrière, au Mesnil-Saint-Denis (Yvelines) pour la Mutuelle Générale de l’Education Nationale, maîtrise d’ouvrage. Communiqué. « L’architecture est un instrument thérapeutique décisif », Paul Sivadon, psychiatre, concepteur et […] L’article Centre thérapeutique et logistique MGEN, par AIA dans les Yvelines est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 278 jours

Un alphabet de verre - Exposition

Lieu de référence de la création verrière internationale, le Musverre présente l'exposition « Lettre de verre, une éclipse de l'objet », du designer Jean-Baptiste Sibertin-Blanc, convié en résidence durant l'année 2020. Si l'exposition « Lettre de verre, une éclipse de l'objet » […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 279 jours

Velux et SageGlass, unis pour fournir une solution pour le siège d'Actis France

ASSOCIATION. Velux et SageGlass collaborent ensemble au niveau européen pour fournir des solutions de verrières modulaires équipées de vitrages intelligents. Un premier projet vient d'être signé à Limoux sur le siège social français du spécialiste de l'isolation Actis.
Il y a 3 ans et 279 jours

Acier, rideau et mâchefer : la réhabilitation d'une maison à Toulouse par Bast

Lieu de référence de la création verrière internationale, le Musverre présente l'exposition « Lettre de verre, une éclipse de l'objet », du designer Jean-Baptiste Sibertin-Blanc, convié en résidence durant l'année 2020. Si l'exposition « Lettre de verre, une éclipse de l'objet » […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 314 jours

Accident de chantier à Massy : ce que l’on sait

Dimanche 25 juillet, un glissement de terrain à hauteur de la gare Massy-Verrières a enseveli un agent SNCF. Cet accident s’est produit dans le cadre d’une visite de contrôle du chantier de remplacement des ponts ferroviaires de Chartres et de Gallardon, sous co-maitrise d’ouvrage SNCF et RATP.
Il y a 3 ans et 318 jours

Art contemporain et boîtes vitrées pour le LUMA Arles

Le LUMA Arles a été inauguré début juin 2021. Installé sur le site d’un ancien centre d’entretien de la SNCF, le centre artistique se présente comme une architecture spectaculaire. À l’origine de sa conception : l’architecte Frank Gehry, qui compte parmi ses réalisations la Fondation Louis Vuitton à Paris, le Musée Guggenheim de Bilbao ou encore la Maison dansante à Prague. Dans le cadre de l’élaboration du design de la tour de LUMA Arles, il a puisé son inspiration dans les paysages locaux, à l’image du massif des Alpilles, ainsi que dans l’histoire de la région avec des assemblages de pierre des constructions romaines et romanes arlésiennes. Surplombant la ville, l’ensemble du bâtiment constitué de 10 niveaux, se compose d’un noyau de béton autour duquel viennent se positionner 4 tours parées de blocs d’acier inoxydable. Associés à des disciplines artistiques différentes, les édifices sont placés sous l’égide de la tour située à l’extrémité nord du Parc des Ateliers. L’enveloppe de cette dernière se compose de la façade bloc (5 000m², 11 000 blocs) qui constitue l’élément principal ; des panneaux isolants qui font office de supports des blocs en acier inoxydable de parement. La Rotonde (4 000m²), grande verrière circulaire de 54m de diamètre et 16m de haut, aussi appelée « drum » par les équipes californiennes de Frank Gehry, crée un espace de transition entre le parvis et le bâtiment. Enfin, les façades en panneaux préfabriqués de grandes dimensions en béton armé (8 500m²) recouvrent le noyau de la tour et les volumes bas. Remarquables, les boîtes vitrées (46 ouvrages intérieurs et extérieurs) percent la façade bloc et apportent la lumière naturelle dans les locaux. Parmi ces 46 boîtes posées en saillie sur la façade, 21 d’entre elles nécessitaient des ouvrants de confort. Pour ces boîtes équipées d’ouvrants à la française sur la face principale, le Bureau d’Études Façades T/E/S/S a sélectionné la gamme SFC 85 VEC de Schüco. L’effet de saillie, plus ou moins prononcé selon les boîtes, multiplie les points de raccord entre les deux faces latérales, le plancher et la petite verrière en toiture, qui doivent être intégrés au millimètre dans leur cadre. Photo : © T/E/S/S atelier d’ingenierie
Il y a 3 ans et 320 jours

La Verrière : l’Institut MGEN a été inauguré le 2 juillet 2021

L’Institut MGEN de La Verrière affiche désormais son nouveau visage.
Il y a 3 ans et 352 jours

Hôtel de la Marine : un patrimoine d’exception restauré et ouvert au public

Créé en 1758, l’Hôtel de la Marine a fait l’objet d’une campagne de restauration en trois phases qui met en valeur son patrimoine ainsi qu’une création contemporaine : une verrière cristalline de 300 m2.
Il y a 3 ans et 354 jours

Le sauvetage complexe du château de Villers-Cotterêts, un joyau royal oublié

Dans ce château situé dans l'Aisne, à 85 km au nord-est de Paris, François Ier avait émis en 1539 l'ordonnance imposant le français comme langue de l'administration: un acte fondateur dans l'histoire de France.Depuis un an, 250 ouvriers et artisans s'affairent derrière des bâches de plastique qui couvrent murs et toitures. Avec un financement public de 185 millions d'euros, c'est le deuxième chantier du patrimoine, après Notre-Dame de Paris. Surmonté de la deuxième grue la plus haute de France.Cet été, à plein régime, ils seront 600 artisans de divers corps de métier à y travailler. La première tranche du chantier, avec la finalisation d'un parcours de visite racontant l'histoire de la langue française, doit être achevée au printemps 2022, l'ensemble un an plus tard.Cette ancienne résidence royale gérée par le Centre des monuments nationaux (CMN) doit devenir un lieu à la fois de visites, de recherche, de formation, d'innovation...En pleine forêt de Retz, dans ce Valois d'où est partie l'expansion du royaume de France, Villers-Cotterêts est à sa naissance au XVIe siècle une résidence appréciée des rois qui viennent y chasser et jouer au jeu de paume.Molière, Corneille et Racine y joueront plusieurs de leurs pièces.La famille d'Orléans qui a hérité du château va imposer ensuite ses rénovations architecturales au détriment de l'empreinte Renaissance d'origine. Dépôt de mendicitéAprès la Révolution, le château souffre profondément pendant deux siècles de plusieurs occupations: il sert de caserne, puis de dépôt de mendicité pendant 85 ans, puis d'hôpital militaire, de maison de retraite..."Il nous faut retrouver l'enveloppe architecturale d'origine, en retirant tous les ajouts incongrus, restaurer un monument dans un état de dégradation avancé en un temps très contraint", souligne à l'AFP Xavier Bailly, administrateur du CMN.Il désigne les plafonds ravagés par l'humidité, les bas reliefs avec des salamandres (emblème de François 1er) presque effacées. "Comme les dents cariées, chaque pierre, chaque poutre, est examinée pour décider si elles seront retirées ou sauvées", explique-t-il.Ici, une poutre est renforcée par un piton métallique et comblée avec de la résine. Là un chapiteau sculpté en calcaire provenant d'une carrière de la région attend d'être monté. Les façades Renaissance et trois joyaux -escalier du roi, celui de la reine et chapelle- doivent retrouver toute leur splendeur.Dans la chapelle, le plancher XVIIIe ajouté par le duc d'Orléans sera retiré pour dégager la voûte d'origine sur charpente lambrissée. Pour le reste, les murs intérieurs ajoutés au fil des siècles sont abattus et l'espace est libéré pour des gestes architecturaux novateurs. "Comme il reste peu du passé, cela permettra aux visiteurs d'évoluer dans des espaces contemporains", souligne Valérie Senghor, directrice générale adjointe du CMN.Ce giga-projet, piloté par l'architecte en chef des monuments historiques Olivier Weets, doit réhabiliter 3.600 m2 de toitures, 280 fenêtres, 3.300 m2 de planchers.Quand elle sera achevée en 2023, la "cité internationale de la langue française" offrira, outre le parcours de visite permanent ouvert dès 2022, des salles d'expositions, un auditorium, douze résidences d'artistes. Et un "ciel lexical": sur 600 m2 de verrière, où des mots seront inscrits, dont certains s'éclaireront la nuit.Dans ce département en difficulté économique, Emmanuel Macron voudrait que Villers-Cotterêts devienne "un pôle d'innovation avec des start-ups travaillant sur la langue", indique-t-on à l'Elysée.Pour sa réussite, des partenariats sont noués avec l'Organisation internationale de la francophonie (OIF), des chaînes comme TV5 Monde et de nombreux autres acteurs francophones.En choisissant Villers-Cotterêts, municipalité passée au Rassemblement national, Emmanuel Macron entend "poser un projet de reconquête républicaine" et "un acte de décentralisation", souligne-t-on à l'Elysée.
Il y a 3 ans et 356 jours

La transformation du centre commercial de La Part Dieu à Lyon arrive à son terme

"C'est devenu trop réducteur de parler de centre commercial pour La Part Dieu. Avec ses nouveaux espaces, c'est un endroit à vivre ensemble", a fait valoir Anne-Sophie Sancerre, directrice général pour l'Europe du Sud d'URW.Les nouvelles surfaces inaugurées, en partie gagnées sur l'ancien parking occupant le toit du centre, sont largement consacrées à la restauration et aux loisirs.La réflexion sur le devenir du premier centre commercial de centre-ville en Europe, avec ses 33 millions de visiteurs par an, avait été engagée il y a près de dix ans."C'est un monolithe qu'il fallait ouvrir" en y créant de nouveaux accès et en y faisant arriver la lumière du jour, a expliqué l'architecte du projet Winy Maas.Le massif bâtiment qui interdisait ainsi l'accès du centre historique depuis la gare a été percé de nouveaux cheminements. Trois escaliers monumentaux permettent d'accéder à ses toits végétalisés où s'installent des terrasses de restaurants offrant une vue imprenable sur les tours de ce quartier d'affaires.Le centre a été doté de 32.000 mètres carrés supplémentaires pour porter sa surface totale à 160.000 m2. Mais l'existant a également été complètement rénové, notamment au niveau des sols et des plafonds.Le nombre de places de parking, largement excédentaire avec l'amélioration de la desserte du quartier par les transports en commun, a été ramené de 4.300 à 3.150. "Il n'y a plus que 14% des clients qui viennent en voiture contre 25% il y a quelques années", s'est félicité Mme Sancerre.La nouvelle offre de restauration installée sous une immense verrière - 25 établissements - se veut plus qualitative par rapport aux enseignes de restauration rapide déjà présentes dans le centre.A l'étage inférieur, un "food court" à l'esthétique grunge rassemble une dizaine de kiosques opérés par des restaurateurs lyonnais, dont une "épicerie comptoir" du chef étoilé Mathieu Vianney (La Mère Brazier).Avec les 350 emplois créés avec le "rooftop", le centre commercial emploie désormais 4.700 personnes - presque la moitié des effectifs totaux du géant américain Amazon en France, a relevé Mme Sancerre.Si les gros travaux se terminent, le centre n'a pas encore complètement terminé sa mue.Le cinéma, opéré par UGC, va profiter de son déménagement pour passer de 14 à 18 salles. La plus petite salle du nouveau complexe sera équivalente à la plus grande de l'ancien. L'inauguration est prévue cet été.A l'emplacement laissé vacant ouvrira l'an prochain un "pôle loisirs", aux contours encore non précisés. Le centre dispose déjà d'un espace d'escalade ludique tourné vers les enfants.
Il y a 3 ans et 359 jours

Un grand promoteur immobilier propose désormais des coins télétravail dans ses appartements neufs

"Plus que jamais, le logement doit être un espace refuge. On se doit, au-delà d'y habiter et de s'y reposer, d'y travailler", souligne à l'AFP M. Ego, précisant que les futures constructions de Cogedim proposeront désormais "un coin aménagé qui permette de télétravailler"."C'est une possibilité qu'on offre à nos acquéreurs", déclare Marie Catherine Chazeaux, directrice du pôle produit et architecture, qui ne souhaite pas "imposer mais proposer" cet espace de télétravail, dans une époque "qui pousse en avant ce nouvel usage".Trois options ont été retenues pour installer ce nouvel espace: en fond de séjour avec une verrière; dans une chambre en complément d'un rangement; ou en allège de fenêtre, sur le même principe qu'un bow-window."Chaque appartement à partir du 2 pièces est conçu pour accueillir un ou deux espaces de télétravail selon sa superficie", affirme Cogedim dans un communiqué, rappelant que 34% des Français "estiment que leur logement n'est pas adapté" à cette pratique.Confirmant que la promotion résidentielle avait "moins souffert" de la crise sanitaire que d'autres secteurs, le directeur général de Cogedim observe également un développement "extrêmement significatif" du marché immobilier dans les villes de taille moyenne, renforcé par le télétravail."C'est un axe de développement géographique (...) on a pris position sur dix villes nouvelles avec l'implantation d'un bureau et d'un responsable de développement", ajoute M. Ego, dont l'entreprise se déploie depuis six mois à Tours, Angers, Rennes, Rouen ou Dijon.Outre le télétravail, la marque du groupe Altarea a présenté 10 engagements en matière d'environnement, de bien-être ou de santé qui seront déployés dès le 1er juillet 2021 sur l'ensemble de ses nouvelles constructions.Cogedim s'engage notamment à augmenter de 20% la surface de vitrage, renforcer la ventilation, équiper d'un balcon l'ensemble de ses logements "à partir du 2 pièces" et installer dans ses douches et baignoires des mitigeurs thermostatiques "assurant jusqu'à 25% d'économies d'eau"."On sort d'une période où le temps passé dans notre logement était encore plus important (...) Les attentes des habitants vis-à-vis de leurs logements se sont renforcées", constate Vincent Ego, pour qui la crise du Covid a été un "accélérateur de prise en compte et de compréhension" des attentes des clients.
Il y a 3 ans et 362 jours

Paroi Concerto Walk Verrière : un esprit atelier dans la salle de bain

Disponible en trois dimensions, la paroi se compose d’un bras de fixation modulable, d’un verre sécurité 6 mm transparent, avec profilés verrière en aluminium noir mat sur le côté extérieur. Ces profilés sont posés sur une sérigraphie noire – elle-même appliquée sur l’extérieur de la paroi. Le côté intérieur est donc esthétique mais complètement lisse pour un entretien facilité, complété par un traitement anticalcaire.La paroi Concerto Walk permet de créer une séparation originale et tendance tout en laissant circuler la lumière naturelle.La paroi se pose facilement avec un raidisseur sans vis apparente.Dimensions :L. 100 cm - prix : 305 €L. 120 cm - prix : 338 €L. 140 cm - prix : 381 €
Il y a 3 ans et 363 jours

L’Assemblée Générale de l'ONU proclame 2022 "Année Internationale du Verre"

Cette résolution des Nations Unies est un évènement unique et historique pour le verre. C’est le résultat d’un long cheminement initié en 2018 rendu possible grâce au soutien de 1500 universités et centres de recherche, de sociétés savantes et d’associations, de musées, d’artistes, de fabricants et d’entreprises dans 79 pays et sur les 5 continents. La résolution formelle a été adoptée à l'Assemblée générale des Nations unies le 18 mai 2021.L’Année internationale du Verre sera pour l’ensemble des acteurs français une chance unique de mieux faire connaitre le verre, de mettre en avant nos métiers dans toute leur diversité, de valoriser nos savoir-faire et d’informer en particulier les jeunes générations sur notre matériau et toutes les perspectives qu’il peut offrir.Aujourd'hui, commence donc la préparation de cette année 2022 avec la mise en place de très nombreux évènements et animations à venir à travers la planète.L’industrie verrière française regroupe des acteurs industriels de tout premier plan dans les différents domaines : les arts de la table, les emballages alimentaires, le flaconnage pour la parfumerie cosmétique et la pharmacie, le verre plat, la laine de verre, la fibre de verre, les articles culinaires, les verres pour l’optique et la photonique, les bioverres et les verres spéciaux. S’appuyant sur un savoir-faire historique indéniable, cette filière est également innovante en termes d’économies d’énergie, de lutte contre le changement climatique et d’économie circulaire.Par ailleurs, la recherche académique française est à la pointe de la recherche mondiale tant au niveau fondamental (nombre d’articles dans des journaux internationaux) qu’en nombre de brevets déposés. C’est ce qui confère au verre un potentiel d’innovation très important.Depuis 2019, les gestes des savoir-faire verriers sont inscrits à l’inventaire du patrimoine culturel immatériel de la France. De plus, plusieurs manufactures françaises sont reconnues comme étant des Entreprises du Patrimoine Vivant de la France. Et la France bénéficie également d’un grand nombre d’artistes verriers reconnus et présents sur l’ensemble du territoire.L’ensemble des acteurs de la filière verre française sera au rendez-vous pour faire découvrir ce matériau unique, ses différents métiers et son incroyable potentiel d’innovation et de créativité. Cette année internationale du verre sera animée par les 4 organisations professionnelles et scientifiques qui représentent le verre en France, à savoir la Fédération des Chambres Syndicales des Industries du Verre, la Fédération du Cristal et du Verre, la Fédération Française des Professionnels du verre et l’Union pour la Science et la Technologie Verrières.
Il y a 4 ans et 2 jours

Menuiseries aluminium grandes dimensions pour hôtel trois étoiles

L’Eden Spa, un nouvel hôtel trois étoiles de 56 chambres a ouvert ses portes à Honfleur. SV Miroiterie, entreprise de pose et adhérent du Réseau de fabricants Solutions Pro Sapa, a travaillé en étroite collaboration avec Sapa pour dimensionner et fabriquer les menuiseries aluminium qui habillent les parties techniques du projet : la véranda XXL de l’espace bien-être, la façade monumentale du hall d’accueil et les balcons filants des neuf chambres haut de gamme. La fabrication et la pose se sont achevées en deux mois, de décembre 2020 à janvier 2021. Le chantier global a nécessité deux ans de travaux. Les équipes support Sapa se sont appuyées sur le logiciel Sapa Logic Plus afin de calculer au plus juste les performances des éléments de menuiseries complexes. Pour la véranda EDEN+, l’enjeu résidait dans la rigidité des profilés de la verrière. Ils ont été renforcés par des aciers pour supporter les grandes portées de 6 m ainsi que le poids des remplissages et des éventuelles chutes de neige. Côté mur-rideau NRGY 62, c’est sa robustesse qui devait être optimisée par rapport à la grande hauteur de 5,50 m entre les appuis et aux efforts générés par les vents côtiers. Le tout en conservant des masses aluminium réduites (62 mm) comme souhaité par l’agence DHD Architectes. Une fois validées, les solutions Sapa ont été développées en objet BIM. Le Bim Manager de DHD Architectes a collecté l’ensemble des éléments du projet pour les intégrer à la maquette numérique globale.  L’établissement bénéficie d’une piscine couverte abritée sous une véranda EDEN+ à chevrons tubulaires de près de 100 m2. Ces dimensions XXL, L. 15 x l. 6,40 x h. 3 m, ont requis un soin particulier, de la phase de conception à la mise en œuvre sur chantier à l’aide d’un camion bras de grue. La véranda EDEN+ affiche des performances optimales pour permettre aux clients de se relaxer : un Uw de 1,35 pour la thermique (TLw = 59 % et Sw = 28 %) et une absorption acoustique de 34 dB. Ces performances contribuent également à la maîtrise du budget énergétique. Les profilés possèdent le label de qualité Qualimarine®, convenant particulièrement à cet environnement chloré.  Au rez-de-chaussée, le hall d’entrée jouit d’une lumière naturelle généreuse. Son mur-rideau NRGY 62 s’élève à 5,50 m sur un angle de façade. Ses lignes verticales et asymétriques dynamisent l’enveloppe, et retranscrivent à l’identique le dessin originel de l’agence d’architecture DHD Architectes.  Les neuf chambres, trois par étage, offrent une vue panoramique sur le Pont de Normandie. Elles s’équipent de châssis fixes et ouvrants PERFORMANCE 70 FP installés en bandes filantes, L. 5,15 x H. 2,53 m, soit une longueur totale de 16 m par niveau. Leur trame d’1,15 m est semblable à celle du mur-rideau pour une harmonie d’ensemble. Cette gamme de menuiseries a été développée suivant un concept évolutif, qui permet d’adapter aisément l’isolation thermique aux besoins spécifiques du projet. Pour garantir un maximum de confort aux clients, été comme hiver, Sapa et SV Miroiterie ont prescrit des solutions qui atteignent un Uw de 1.16 /m2K. La performance acoustique était également un enjeu important pour la maîtrise d’ouvrage SA Loisirs Soleil. Les 42 dB obtenus sont gages de quiétude et permettent de dormir et travailler en toute sérénité.  Maître d’ouvrage  : SAS Loisirs Soleil Maître d’œuvre  : GCI Construction Architecte  : DHD Architectes  
Il y a 4 ans et 3 jours

Nouvelle résidence étudiante pour l’ESTP Paris

D’une surface totale de 2 071 m², 87 logements aménagés accueillent désormais les étudiants dans des locaux modernes et fonctionnels. [©Spie Batignolles] Après 22 mois de travaux, l’ESTP Paris vient d’inaugurer sur le campus de Cachan (94) sa nouvelle résidence étudiante baptisée Eyrolles, en référence au fondateur de l’école. Ce lieu de vie, de rencontres et d’échange, a été conçu par les architectes Patrick Nahon et Francis Phocas. Il a été construit par l’Entreprise Boyer (groupe Spie Batignolles). D’une surface totale de 2 071 m2, le bâtiment s’organise autour de 87 logements aménagés, qui accueillent désormais les étudiants dans des locaux modernes et fonctionnels. Sur le thème de la convivialité Dans cette résidence, tout a été pensé pour favoriser la convivialité. Les logements individuels côtoient, en extérieur comme en intérieur, des lieux de vie communs ouverts. Le tout étant desservi à chaque étage par une rue intérieure totalisant près de 700 m². Sur 3 niveaux, le bâtiment offre différentes surfaces de terrasses partagées. Ces dernières sont équipées de mobilier d’extérieur, qui viennent agrémenter la façade, pour une surface totale de plus de 700 m². Un espace de travail en commun de 85 m² est aussi disponible pour les étudiants. Tout comme une quarantaine de places de stationnement souterraines, en complément des 28 places de parking extérieures. Ouvert sur un environnement verdoyant, le bâtiment Eyrolles donne directement sur un parc arboré : le parc Raspail.  Lire aussi :ESTP – Bâtiment Louis Vicat : Sous un ruban continu en Bfup Une résidence, vitrine pour l’ESTP Paris De plus, il répond à un enjeu architectural et technique fort pour l’ESTP Paris, école de référence dans le domaine de la construction. On y retrouve une stratification des façades, un rythme entrecroisé de verticales et d’horizontales. Mais aussi une grande verrière lumineuse, un jeu de perspectives et le recours à des matériaux nobles et pérennes. On notera aussi les rappels des couleurs du logo ESTP (bleu et orange) dans les matériaux et les choix décoratifs en façade. Il y a aussi une alternance de carreaux de céramique, de modénatures en béton blanc, de bardages en brique de terre cuite et en zinc. Egalement unemarquise en verre, unauvent en béton blanc coulé en place avec un procédé de minéralisation colorée en sous-face… Le tout avec un traitement en béton apparent.  Toutes ces techniques illustrent ainsi le savoir-faire et l’expertise auxquels l’ESTP Paris entend former ses élèves. Pour répondre aux exigences du cahier des charges, l’Entreprise Boyer a foré des pieux de 16 m sous les planchers du sous-sol, a coulé des longrines et construit une dalle portée. Les voiles intérieurs ont été coulés en place, certaines poutres et certains poteaux sont inclinés au droit de l’auvent.
Il y a 4 ans et 4 jours

Saint-Gobain : petite cession verrière en Allemagne

Le groupe annonce la cession de deux sites de production outre-Rhin.