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Il y a 2 ans et 215 jours

Hardel Le Bihan fait son cinéma aux Bassins-à-Flot

Le nouveau cinéma des Bassins-à-Flot à Bordeaux (Gironde) a été livré en 2021 par l’agence parisienne Hardel Le Bihan Architectes (Mathurin Hardel et Cyrille Le Bihan) pour le groupement de maîtrise d’ouvrage Pitch Promotion et Fayat Immobilier (22 M€). Le multiplexe de 13 salles (7 570 m²) surplombe un niveau de commerces (4 724 m²) généreusement ouvert […] L’article Hardel Le Bihan fait son cinéma aux Bassins-à-Flot est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 215 jours

La concertation sur la nouvelle réforme de l'assurance chômage est enclenchée

La concertation doit se dérouler "pendant plusieurs semaines" avec des réunions bilatérales et s'achèvera par "une réunion finale le 21 novembre" avec le ministre du Travail Olivier Dussopt, a indiqué le ministère à l'issue de la réunion.Cette concertation découle du projet de loi portant "mesures d'urgence" en vue du "plein emploi", adopté la semaine dernière en première lecture à l'Assemblée nationale.Il enclenche la possibilité, à l'issue de la concertation, de moduler par décret l'assurance chômage afin qu'elle soit "plus stricte quand trop d'emplois sont non pourvus, plus généreuse quand le chômage est élevé", selon les mots d'Emmanuel Macron pendant la campagne présidentielle.Sur fond de colère sur le pouvoir d'achat, le gouvernement a exclu de toucher au niveau de l'indemnisation.Restent deux paramètres sur lesquels agir: les conditions d'accès à l'assurance chômage et la durée d'indemnisation.Les syndicats ont redit leur opposition à cette modulation, une "usine à gaz" pour Eric Courpotin (CFTC) comme Marylise Léon (CFDT) selon qui elle "ne résoudra en rien les difficultés de recrutement dont les chômeurs ne sont pas responsables".Absente, la CGT a suspendu "toutes les participations aux réunions avec le gouvernement et le patronat" après les réquisitions de grévistes dans les raffineries.Le gouvernement veut agir vite, y voyant une des manières de s'attaquer aux difficultés de recrutement dont se plaignent les entreprises en dépit d'un taux de chômage de 7,4%.Hubert Mongon (Medef) a d'ailleurs invoqué "un marché du travail extrêmement tendu" pour justifier "cette réflexion qui va dans le bon sens". Mais Michel Picon (U2P, artisans, commerçants, libéraux) a émis des "doutes", estimant à l'instar des syndicats "plus important de travailler sur la formation et les freins à l'emploi (logement, garde d'enfants, mobilité...)".L'objectif est que cette modulation entre en vigueur début 2023.Quelle que soit l'issue de la concertation, le dernier mot reviendra au gouvernement, qui pourra changer les règles par simple décret.
Il y a 2 ans et 215 jours

Avec 8.950 défaillances enregistrées au troisième trimestre 2022, la barre des 38.000 défaillances sur 12 mois est franchie

Avec 8.950 procédures collectives ouvertes entre le 1er juillet et le 30 septembre, le niveau des défaillances augmente de 69% comparé à l’été 2021, un taux jamais observé depuis 25 ans. Sur 12 mois glissés, la barre des 38.000 défauts a été franchie. Avec 10.000 procédures de plus sur un an (+34%), la France renoue avec les niveaux de défaillances de l’été 2020, mais reste encore loin des 53.500 procédures observées fin septembre 2019.Dans le détail des secteurs, les activités B2C (commerce de détail, restauration, services à la personne) sont toujours durement fragilisées. Des signaux préoccupants émergent dans le bâtiment (second œuvre, fabrication et négoce de matériaux). Du côté des régions, si tous les territoires sont dans le rouge, la région PACA semble le mieux résister. A l’inverse, les Hauts-de-France - où les défauts ont doublé durant l’été - retrouvent une situation équivalente à 2019. Enfin, la hausse de la sinistralité chez les PME de moins de 50 salariés fait flamber le nombre d’emplois menacés, qui approche désormais 33.000.Pour Thierry Millon, directeur des études Altares : « Le nombre des défaillances d’entreprises augmente très vite. Les difficultés, qui se concentraient ces derniers mois sur les activités B2C se propagent et n’épargnent plus les PME. Le contexte économique très tendu mine la confiance des acheteurs et la montée des risques fait trembler les directions financières. Les mauvais chiffres du mois d’août (+ 98% vs. Août 2021), période pourtant traditionnellement plus calme, témoignent de l’urgence de certaines situations. Nous sommes encore loin des 50.000 procédures annuelles mais l’accélération très forte de ces derniers mois pourrait impacter les fournisseurs qui peineraient à gérer la démultiplication soudaine des défauts de clients, a fortiori de PME. 10.000 défaillances de plus sur un an, ce sont aussi de nombreuses factures qui resteront impayées. »Le nombre de défaillances en hausse de 69%, un taux jamais observé en plus de 25 ansLes records se suivent d’une année à l’autre, mais pour des raisons diamétralement opposées. Avec moins de 5500 défaillances, le niveau de sinistralité du 3ème trimestre 2021 était le plus bas jamais observé en 25 ans. Cet été 2022, 8950 entreprises ont défailli entre le 1er juillet et le 30 septembre 2022, c’est 68,5% de plus qu’un an plus tôt. Une hausse record, jamais observée jusqu’à aujourd’hui. Si l’on ne franchit pas encore le seuil des 10.000 procédures de l’été 2019, le retour aux standards d’avant Covid s’accélère.A titre de référence, au cours des 25 dernières années, des hausses de plus de 20% n’ont été observées qu’à trois autres reprises : lors de la crise financière de 2008 (+ 22% au 4ème trimestre 2008 et au 1er trimestre 2009) et au 1er trimestre 2002 (+25%) en comparaison d’un 1er trimestre 2001 perturbé par la grève des juges des tribunaux de commerce.Sur 12 mois glissés, la barre des 38.000 ouvertures de procédure collective est dépassée pour la première fois depuis l’été 2020. Une augmentation de 10.000 défaillances sur un an, qui ne ramène pas pour autant la France à ses niveaux de défauts de septembre 2019 (53.500).Les procédures de sauvegarde restent toujours peu nombreuses (229) au regard de l’ensemble des ouvertures mais en ce 3e trimestre 2022, leur nombre dépasse les seuils d’avant crise. C’est même la valeur estivale la plus haute depuis 2016.Les procédures de redressement judiciaire (RJ) sont en hausse rapide de 63,2% avec 2109 jugements prononcés. Elles représentent toujours moins d’un jugement sur quatre (24%), un taux inférieur aux 30% relevés avant Covid.Les liquidations judiciaires directes (LJ), concentrent encore près des trois quarts (74%) des jugements d’ouverture. Ce taux est nettement supérieur à celui constaté avant la crise sanitaire (68%). Elles ont concerné 6612 entreprises, soit une augmentation de 71,3%.Les entreprises les plus jeunes de plus en plus vulnérablesLes entreprises âgées de zéro à cinq ans concentrent 45% de l’ensemble des ouvertures de procédure. Parmi elles, celles de moins de trois ans, nées avec la crise sanitaire sont durement impactées (+70,6%), un phénomène encore plus marqué chez les entreprises de trois à cinq ans (+81,6%). L’essentiel (86%) des jeunes entreprises défaillantes sont des sociétés commerciales créées sous le statut de SARL ou, de plus en plus, de SAS (dont SASU) peu capitalisées (capital social médian de 2000 euros). Les défaillances de PME accélèrent et retrouvent les seuils de 2019 Les trois quarts des procédures concernent des TPE de moins de trois salariés (6720 sur un total de 8950). Les TPE de trois à neuf salariés comptent 1500 défaillances. Ce sont donc elles qui donnent la tendance trimestrielle. La situation se complique pour les PME de moins de cinquante salariés. 439 PME de dix à dix-neuf salariés ont défailli cet été, c’est 77% de plus qu’il y a un an et désormais plus qu’à l’été 2019 (381). Les PME de vingt à quarante-neuf salariés font face à une accélération encore plus marquée. Ce trimestre, le nombre de défauts a plus que doublé (+111%) pour atteindre 186 ouvertures, soit un niveau approchant celui de l’été 2019 (193). Ces PME défaillantes se situent dans de nombreux secteurs, en particulier le BTP, le transport, la restauration, l’industrie ou le commerce automobile. La plus forte vulnérabilité de ces PME fait flamber le nombre d’emplois menacés, qui approche désormais 33.000. A l’opposé, les sociétés défaillantes de plus de cinquante salariés sont relativement peu nombreuses (55) et tentent de résister (+22%). Les défaillances en hausse dans tous les secteursToutes les régions « dans le rouge » : la PACA résiste mieux, les Hauts de France à la peineLes Hauts de France, seule région à retrouver la sinistralité de 2019 La région enregistre son douzième mois consécutif de hausse du nombre de défaillances d’entreprises et les mois de cet été n’ont pas donné de signes d’amélioration. Les ouvertures de procédure ont plus que doublé (+116%) et dépassent désormais le niveau du 3e trimestre 2019 (875 vs 828).La Corse accuse la plus forte augmentation du nombre de défautsLa région compte 54 entreprises en défaillance ce 3e trimestre contre 21 un an plus tôt soit une augmentation de +157%. Aucune autre région ne présente une dégradation aussi rapide.Dans quatre autres régions, l’augmentation des défaillances d’entreprises dépasse + 80%En Occitanie, les ouvertures de procédure sont en hausse continue depuis neuf mois. L’été marque même une accélération avec un bond de plus de 130% en août. Sur le trimestre ; la région enregistre 814 défauts (+91%).En Auvergne-Rhône-Alpes, la hausse des défaillances, ininterrompue depuis novembre 2021, est plus forte encore cet été 2022 (+87%). La région compte 1050 ouvertures de procédures.En Pays de la Loire, les défauts ont explosé de 314% en août. Sur trois mois la hausse est de 87% (360 procédures).La Normandie a enregistré un mois de juillet très dégradé (+138%) qui a pesé sur la tendance trimestrielle (82%).Trois régions enregistrent une dégradation comprise entre +60% et +80%La Bretagne a enregistré une augmentation de 103% du nombre de défaillances d’entreprises en juillet et 206% en août. A la faveur d’un bien meilleur mois de septembre, la région limite la hausse trimestrielle à +77% ;Le Centre Val de Loire a stabilisé les ouvertures de procédures en septembre mais sur le trimestre l’augmentation reste sensible (+71%).La Bourgogne-Franche-Comté fait à peine mieux que la moyenne nationale (+64%).Trois régions passent juste sous 60% En Nouvelle-Aquitaine, Ile-de-France et Grand Est, l’évolution du nombre de défaillances est comprise entre 58 et 59%.Provence-Alpes-Côte d’Azur, la meilleure performance régionale La région a contenu la hausse des défauts à 31% en août et sous les 5% en septembre. Dans ces conditions, sur trois mois, la région Provence-Alpes-Côte d’Azur contient l’augmentation à « seulement » 37%. Pour Thierry Millon : « L’hypothèse d’un volume de défaillances d’entreprises contenu sous la barre symbolique des 40.000 en 2022 reste à ce stade plausible mais compromise. Le risque de pénurie d’énergie et l’envolée des prix complexifient fortement l’équation budgétaire des prochains mois pour de très nombreuses entreprises, quelle que soit leur taille ou leur secteur d’activité. D’autant qu’au-delà des factures qui flambent, s’ajoute la problématique du remboursement des dettes (classiques et/ou PGE) ou auprès des Urssaf. Ces dernières ont joué un rôle tampon durant la crise mais, à l’instar du reste de l’économie, le retour à la normale prévaut et avec lui les échéances de règlement qu’il va falloir tenir. Par conséquent, en début d’année prochaine, les tribunaux pourraient retrouver davantage d’assignations déposées par l’organisme en action en recouvrement. La remontée des défaillances d’entreprises qui semble donc bien irréversible se poursuivra en 2023. Anticipation et prévention, resteront les mots d’ordre. »
Il y a 2 ans et 215 jours

Logement, Conso, Energie : portrait-robot des pires passoires thermiques classées G+

Logement G+, ça veut dire quoi ?La performance énergétique d’un logement est exprimée par une lettre, obtenue grâce au DPE. Les logements les plus efficaces et performants portent la lettre A et les pires la lettre G. D’ailleurs, tous les logements classés F et G sont considérés comme des passoires thermiques et sont les premiers ciblés par les interdictions de location dans la loi Climat et Résilience.511.000 logement classés G+ en France dont 191.000 en location actuellementUne majorité de maisons, construites avant 1948 et chauffées au gazLa Creuse, le Cantal, la Nièvre et l'Allier, départements avec la plus forte densité de "pires" passoires thermiquesPour Audrey Zermati, directrice stratégie du groupe Effy : « À partir de janvier 2023, les logements les plus énergivores ne pourront plus être mis en location**. Une interdiction qui concerne 191.000 logements (dont 140.000 en parc locatif privé). Pour les propriétaires-bailleurs, vendre leur bien n’est pourtant pas incontournable. Car au même titre que les propriétaires-occupants, ils ont accès à un panel d’aides financières pour rénover leur logement et ainsi changer rapidement de classe énergétique. À l’issue des travaux, le logement pourra ainsi rapidement être remis en location, en apportant aux occupants locataires un niveau de confort plus acceptable et des factures moins importantes. »Des maisons construites avant 1948 et majoritairement chauffées au gazOn dénombre à l'heure actuelle en France 511.000 logements classés G+. Parmi eux, 63% sont des maisons. Leur surface est le plus souvent comprise entre 60 et 100m2.La plupart de ces habitations ont été construites avant 1948 (60%). Il s’agit de bâtiments qui ne respectent pas les réglementations thermiques actuelles (RT 2012 voire RE 2020) et n’ont jamais été rénovés.Cela se ressent directement au niveau des énergies de chauffage utilisées, avec une surreprésentation de logements dotés d'installations à énergies fossiles. Ainsi, les passoires thermiques notées G+ sont majoritairement chauffées au gaz (46%) ou au fioul (33%).37% des logements G+ sont actuellement en location. A partir du 1er janvier 2023, il sera interdit de mettre ce type de bien sur le marché locatif ou de renouveler un bail sans faire de travauxSi la majorité des logements classés G+ sont occupées par leur propriétaire (63%), 37% sont aujourd’hui en location.Ces derniers sont concernés directement dès janvier 2023 par l’interdiction de location. A partir de cette date, il ne sera plus possible de proposer de nouveaux biens de ce type à la location ou de renouveler le bail d'un bien classé G+ déjà loué.Une proportion de logements G+ plus élevée dans la Creuse, le Cantal, l’Allier et la NièvreLes logements énergivores sont répartis de manière plutôt homogène entre les agglomérations urbaines et les zones rurales.Certains départements ruraux se distinguent toutefois par leur proportion importante de logements G+ : c’est le cas de la Creuse, du Cantal, de la Nièvre et de l'Allier. À l’inverse, les passoires thermiques notées G+ sont peu nombreuses dans les Bouches-du-Rhône, la Corse du Sud, la Haute-Corse, le Gard et l’Hérault.Sources*Observatoire National de la Rénovation Énergétique - Le parc de logements par classe de performance énergétique au 1er janvier 2022*Fidéli 2020, base des DPE décembre 2021-mars 2022 de l’Ademe***Au 1er janvier 2023, les dispositions ne s'appliquent qu'aux nouveaux contrats de location conclus à compter de cette date et en France métropolitaine pour les logements consommant plus de 450 kWh/m² en énergie finale
Il y a 2 ans et 215 jours

Logement, Conso, Energie : portrait robot des pires passoires thermiques classée G+

511.000 logement classés G+ en France dont 191.000 en location actuellementUne majorité de maisons, construites avant 1948 et chauffées au gazLa Creuse, le Cantal, la Nièvre et l'Allier, départements avec la plus forte densité de "pires" passoires thermiquesPour Audrey Zermati, directrice stratégie du groupe Effy : « À partir de janvier 2023, les logements les plus énergivores ne pourront plus être mis en location**. Une interdiction qui concerne 191.000 logements (dont 140.000 en parc locatif privé). Pour les propriétaires-bailleurs, vendre leur bien n’est pourtant pas incontournable. Car au même titre que les propriétaires-occupants, ils ont accès à un panel d’aides financières pour rénover leur logement et ainsi changer rapidement de classe énergétique. À l’issue des travaux, le logement pourra ainsi rapidement être remis en location, en apportant aux occupants locataires un niveau de confort plus acceptable et des factures moins importantes. »Des maisons construites avant 1948 et majoritairement chauffées au gazOn dénombre à l'heure actuelle en France 511.000 logements classés G+. Parmi eux, 63% sont des maisons. Leur surface est le plus souvent comprise entre 60 et 100m2.La plupart de ces habitations ont été construites avant 1948 (60%). Il s’agit de bâtiments qui ne respectent pas les réglementations thermiques actuelles (RT 2012 voire RE 2020) et n’ont jamais été rénovés.Cela se ressent directement au niveau des énergies de chauffage utilisées, avec une surreprésentation de logements dotés d'installations à énergies fossiles. Ainsi, les passoires thermiques notées G+ sont majoritairement chauffées au gaz (46%) ou au fioul (33%).37% des logements G+ sont actuellement en location. A partir du 1er janvier 2023, il sera interdit de mettre ce type de bien sur le marché locatif ou de renouveler un bail sans faire de travauxSi la majorité des logements classés G+ sont occupées par leur propriétaire (63%), 37% sont aujourd’hui en location.Ces derniers sont concernés directement dès janvier 2023 par l’interdiction de location. A partir de cette date, il ne sera plus possible de proposer de nouveaux biens de ce type à la location ou de renouveler le bail d'un bien classé G+ déjà loué.Une proportion de logements G+ plus élevée dans la Creuse, le Cantal, l’Allier et la NièvreLes logements énergivores sont répartis de manière plutôt homogène entre les agglomérations urbaines et les zones rurales.Certains départements ruraux se distinguent toutefois par leur proportion importante de logements G+ : c’est le cas de la Creuse, du Cantal, de la Nièvre et de l'Allier. À l’inverse, les passoires thermiques notées G+ sont peu nombreuses dans les Bouches-du-Rhône, la Corse du Sud, la Haute-Corse, le Gard et l’Hérault.Sources*Observatoire National de la Rénovation Énergétique - Le parc de logements par classe de performance énergétique au 1er janvier 2022*Fidéli 2020, base des DPE décembre 2021-mars 2022 de l’Ademe***Au 1er janvier 2023, les dispositions ne s'appliquent qu'aux nouveaux contrats de location conclus à compter de cette date et en France métropolitaine pour les logements consommant plus de 450 kWh/m² en énergie finale
Il y a 2 ans et 216 jours

Rénovation énergétique : l'Assemblée vote un crédit d'impôt contre l'avis du gouvernement

L'aide actuellement proposée aux propriétaires n'a pas permis d'atteindre son objectif, la Cour des Comptes ayant notamment indiqué qu'il n'avait permis en 2021 de faire changer de niveau de performance énergétique que de 2.500 logements, alors que son objectif était de rénover 80.000 passoires thermiques. Le gouvernement en convient mais ne souhaitait pas rétablir un système passant par un crédit d'impôt, jugé inefficace. "Je pense qu'il faut garder la prime mais l'améliorer, la rendre plus attractive", a estimé le ministre des Comptes publics Gabriel Attal devant les députés. Le camp présidentiel a cependant été battu d'une courte tête par les oppositions (92 pour, 88 contre) lors du vote d'un amendement déposé par Les Républicains, soutenu par les groupes de la Nupes (LFI, PS, EELV, PCF) et par le RN. Cet amendement demande au gouvernement de "revoir le dispositif MaPrimeRenov", pour qu'il finance davantage des rénovations globales plutôt que de petits travaux. Et, il prévoit la création d'un crédit d'impôt, sans fixer de seuil ni de taux. Il "ne supprime pas la prime existante, il demande la création d'un crédit d'impôt en plus", a fait valoir Véronique Louwagie, au nom du groupe de droite. Le deuxième amendement adopté vendredi, là aussi malgré un avis défavorable de l'exécutif, concerne les bénévoles. Il vise à transformer en crédit d'impôt une réduction d'impôt déjà existante pour les frais kilométriques qu'ils engagent dans le cadre de leur engagement associatif. Le gouvernement aura tout loisir d'inclure ou non ces amendements adoptés par l'Assemblée dans la version du projet de loi de finances qu'il devrait soumettre la semaine prochaine à la procédure de l'article 49.3 de la Constitution, qui permet l'adoption d'un texte sans vote, sauf motion de censure. Cette semaine, faute de majorité absolue, le camp présidentiel a subi une série de défaites lors de votes d'amendements au cours de l'examen du PLF. Avec en revanche l'aval du gouvernement, les députés ont porté à 3.500 euros par enfant à charge le plafond du crédit d'impôt pour frais de garde des moins de six ans, contre 2.300 euros aujourd'hui. L'Assemblée a ensuite rejeté, suivant l'avis du gouvernement, des amendements de divers bords prévoyant une déductibilité des intérêts d'emprunt de primo-acquérants d'un logement, dès lors que celui-ci répondait aux exigences de construction environnementale. Plus tôt, les députés avaient rejeté des amendements LR, soutenus par Marine Le Pen (RN), qui visaient à créer un crédit d'impôt pour les frais de stérilisation des chats. "Je ne pense pas qu'il faut une niche pour les chats", a lancé dans un sourire le ministre, tout en soulignant l'intérêt du sujet.
Il y a 2 ans et 216 jours

Très affecté pendant la crise sanitaire, AccorInvest voit son activité se redresser nettement

Sur les six premiers mois de 2021, le chiffre d'affaires n'était que de 500 millions d'euros, rappelle le groupe, investisseur et exploitant d'un parc immobilier de 782 hôtels dans 27 pays, dans un communiqué publié mercredi. Situé à 95% en Europe, mais aussi en Amérique latine et Asie, ce parc emploie 23.000 salariés.Après un premier trimestre 2022 encore pénalisé par la crise sanitaire, "l'activité a fortement repris" dans tous les pays, indique AccorInvest, autrefois pôle immobilier d'Accor qui n'en possède plus que 30%, un niveau de participation figé jusqu'en mai 2023.En juin, le taux d'occupation moyen du parc, constitué d'établissements économiques et milieu de gamme sous enseignes Accor (Ibis, Novotel, Mercure...) est remonté à 77%, restant toutefois encore de 7 points inférieur à celui de 2019, la clientèle internationale long courrier et l'activité d'affaires générée par les salons et les foires n'étant pas encore revenues.Le revenu par chambre vendue (RevPar) est "équivalent à celui de 2019, à périmètre constant", toujours en juin, avec un prix moyen au-dessus de 100 euros, soit 8% de plus qu'en 2019 à périmètre constant, indique AccorInvest. Quant à l'activité de juillet et août, elle a été meilleure que celle de 2019, "principalement grâce aux prix pratiqués", la tendance restant bonne en septembre, a précisé à l'AFP son PDG Gilles Clavié."Nous tirons aujourd'hui les bénéfices du plan de transformation qui a deux ans d'existence, grâce auquel notre marge se maintient malgré l'inflation et la hausse du coût de l'énergie", estime-t-il. "Avoir deux activités, l'immobilier et les opérations, c'est une grande force, cela nous permet d'engranger de la valeur et de nous redresser", affirme le PDG.Après avoir vu son chiffre d'affaires fondre de 70% entre 2019 et 2020, du fait de la crise sanitaire, le groupe avait souscrit un Prêt garanti par l'Etat (PGE) massif de 477 millions d'euros -qu'il commencera à rembourser en 2025-, et annoncé supprimer 1.900 emplois.AccorInvest, qui avait vu sa dette bondir à 5 milliards d'euros -elle a été ramenée à 4,2 milliards, a précisé M. Clavié -avait aussi dû procéder à une augmentation de capital du même montant exactement que celui du PGE, soit 477 millions d'euros.Tombée à 7,3 milliards d'euros "au creux de la vague", dit-il, la valeur des actifs est remontée à 8,5 milliards à fin juin, alors que 375 millions d'euros d'actifs ont été cédés, en Afrique et en Australie notamment, pour permettre au groupe de se recentrer sur l'Europe.
Il y a 2 ans et 219 jours

Le prix du marché de l'immobilier neuf se maintient malgré le contexte

Une dynamique qui reste positive sur l’ensemble du territoireEn France le prix moyen d’un appartement neuf est de 5.123€/m², un prix en constante augmentation depuis 2 ans (+10,9% en 2 ans et +6,5% en un an). Cette croissance est beaucoup plus forte pour le neuf que pour l’ancien qui enregistre une progression de +4,6% sur un an concernant les appartements.Aucune région ne fait exception à cette tendance positive. En effet, la demande se diffuse sur tout le territoire et particulièrement à la province qui continue d’attirer 8 futurs potentiels acquéreurs dans le neuf sur 10 selon l’Observatoire du Moral Immobilier de SeLoger.Les Hauts-de-France enregistrent la progression la plus spectaculaire avec +10,7% sur un an et +15,9% sur 2 ans (4.490€/m²). La croissance la plus faible concerne la Bourgogne-Franche-Comté (+1,6% vs 2021 et +4,1% vs 2020) avec un prix moyen de 3.617€/m² pour un appartement neuf.L’île de France qui concentre 18% des recherches des futurs potentiels acquéreurs dans le neuf n’est pas en reste côté prix avec une croissance de +3,5% en un an (+8% en 2 ans) et un prix moyen de 6.745€/m2.Un prix moyen 27% plus cher que dans l’ancienLe prix moyen d’un appartement dans le neuf en France (5.123€/m²) est 27% plus élevé que dans l’ancien (4.036€/m²).C’est également le cas dans les 10 plus grandes villes françaises. Parmi celles-ci, la plus chère est sans surprise Paris (15.564€/m2 dans le neuf vs 10.401€/m² dans l’ancien). “Le nombre d’appartements neufs à vendre dans la Capitale est très faible et entraîne mécaniquement une hausse de prix (+5% sur un an), à l’inverse de ce que nous constatons dans l’ancien qui enregistre une baisse de -0,8% sur les appartements” Pour Barbara Castillo Rico, Responsable des études économiques de SeLoger.Lille est de l’autre côté du classement avec un prix de 4.001€/m2 (3.547€/m² dans l’ancien). A noter que sur le segment du neuf, le marché bordelais est le moins dynamique avec des prix en baisse de -3,3% sur un an (bien qu’ils soient 1,5% plus élevés qu’il y a 2 ans) et atteignent 5.122€/m2 (4.837€/m² dans l’ancien). De la même façon, les prix stagnent à Lyon (+0,5% sur un an) à un niveau toutefois élevé (6.703€/m2 vs 5.367€/m² dans l’ancien).Pour Barbara Castillo Rico, Responsable des études économiques de SeLoger : « Les croissances de prix observées dans le neuf et l’ancien confirment la bonne tenue actuelle de ces marchés, même si le changement d’orientation de politique monétaire, (qui pousse les banques à resserrer le robinet du crédit) risque d’exclure une partie de la demande sur ces deux marchés. C’est alors le niveau de l’offre accessible (soit le nombre de biens à vendre) qui déterminera un éventuel impact sur l’évolution des prix dans les prochains mois. »
Il y a 2 ans et 219 jours

Les faillites d'entreprises explosent, le second-oeuvre et l'immobilier en difficulté

ANALYSE. Quasiment 9.000 entreprises françaises ont mis la clé sous la porte au 3e trimestre 2022, ce qui fait décoller le niveau de défaillances de 69% sur un an. Le secteur de la construction subit lui aussi une hausse des procédures judiciaires, même si celle-ci est toutefois moins rapide que la moyenne nationale. Mais certains segments d'activité paient un lourd tribut.
Il y a 2 ans et 219 jours

Big Bag’n Go devient EndLess

Le changement de marque et d’identité était une évidence à l’heure où tout évolue. [©EndLess] Septembre 2022 marque un nouveau tournant pour le groupe Big Bag’n Go qui devient EndLess1. Cette appellation « incarne bien sa mission : rendre accessible l’économie circulaire, en alliant pragmatisme et technologie. Ceci, pour faciliter la valorisation des déchets. Représentant un processus continu sans point final, telle la boucle vertueuse de l’économie circulaire. C’est aussi le reflet de la persévérance de ce groupe », peut-on lire dans le communiqué de presse de la marque. Un changement d’identité évident  Ce changement d’identité était une évidence à l’heure où tout évolue. Tant au niveau de l’entreprise, qui a fait l’acquisition, en 2021, de SOS Bennes et propose désormais une nouvelle offre globale. Qu’au point de vue du secteur, en pleine transformation, porté par de nouvelles règlementations et de nouvelles pratiques. Le groupe EndLess est une société française spécialisée dans la collecte, le tri et la valorisation de déchets de chantier. Son siège est situé à Montreuil-sous-Bois (93). Le groupe est co-dirigé par Arnaud Rongier et Thibaut D’Hau Décuypère. EndLess gère la collecte de plus de 155 000 m3/an de déchets (données 2021), en bennes ou en big bags. Et aussi les flux de déchets non dangereux et dangereux produits par les chantiers. Afin d’optimiser les flux logistiques et la chaîne de traitement, EndLess s’est doté d’un système propriétaire d’optimisation et de traçabilité des déchets. Qui permet des gains de productivité. Une démarche vertueuse qui contribue à la décarbonation des circuits de collecte. 1Qui signifie “sans fin”.
Il y a 2 ans et 219 jours

Vendée : les travaux de restauration du château d'eau de la zone industrielle nord de La Roche-sur-Yon sont en cours

Le chantier de réhabilitation du château d’eau de la zone industrielle au niveau de la commune de La-Roche-sur-Yon (Vendée) est prévu...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 219 jours

Sous-couches pour sols stratifiés et parquets contrecollés Isorom

En plus des qualités d’isolation et de confort acoustique, avec ce nouveau matériau XPS la performance de ces sous-couches ISOROM va au-delà des exigences des normes, notamment sur 2 aspects déterminants comme :La charge dynamique qui donne le nombre de passages avec une charge sans que la sous-couche ne s’écrase. La norme demande 10.000 cycles mini, ISOROM résiste à 250.000 cycles.La force de compression, qui donne la capacité à supporter une charge permanente et fixe, très important pour la résistance au niveau du clic de fixation entre 2 lames.Isorom Basic, la solution économique en mousse polystyrène XPSDisponible en rouleau pour équiper 20 m2 de surfaceCompatible avec les sols chauffantsIsolation acoustique 19 Db (norme 14 Dd)Épaisseur de 1,6 mmAdapté au fort trafic : > 250.000 cycles (nombre de passages avec une charge)Isorom Vap, avec pare vapeur intégré pour protéger le revêtement de sol contre l’humiditéDisponible en rouleau pour équiper 15 m2 de surfaceCompatible avec les sols chauffants Isolation acoustique 20 Db (norme 14 Dd)Film PET et adhésif intégré (Pare-vapeur)Épaisseur de 2 mmAdapté au fort trafic : > 250.000 cycles (nombre de passages avec une charge)
Il y a 2 ans et 219 jours

Près d'un logement francilien sur deux est énergivore, selon une étude

En vertu de la loi Climat et résilience, les logements les plus énergivores, sous le seuil de l'indécence énergétique, ne pourront plus être loués à partir du 1er janvier 2023. Suivront, en métropole, l'ensemble des logements de classe énergétique G en 2025, puis les F en 2028 et les E en 2034.Selon l'étude, 45% des résidences principales d'Ile-de-France entraient, en 2018, dans l'une de ces trois classes énergétiques. Un chiffre qui monte à 55% pour les logements locatifs privés, et à 48% pour les logements occupés par leur propriétaire.Les logements sociaux, gérés de façon plus centralisée, sont les meilleurs élèves avec seulement 29% d'étiquettes E, F ou G.L'étude a été réalisée avec les anciennes étiquettes énergétiques, basées sur les factures des utilisateurs. Le mode d'établissement des diagnostics a été réformé à la mi-2021 pour davantage tenir compte des caractéristiques objectives des bâtiments, et intégrer les émissions de gaz à effet de serre.Mais "les ordres de grandeur sont les bons, et s'ils doivent être ajustés, c'est plutôt à la hausse", assure Martin Omhovère, directeur du département Habitat à l'Institut Paris Région.Les logements privés font face à des difficultés particulières: ils sont souvent dans des copropriétés, où engager des travaux de rénovation peut être très fastidieux, et sont plus souvent occupés par des ménages modestes, qui n'ont pas les moyens de financer une rénovation ou d'absorber la hausse de loyer qu'elle entraînerait."Que ce soit dans le parc en propriété ou dans le parc locatif privé, il y a systématiquement un écart entre le niveau de vie des ménages qui occupent le parc énergivore et les autres", détaille Franziska Barnhusen, cheffe de projet à l'Institut Paris Région. "Ça montre que les personnes qui occupent ces passoires thermiques sont plus vulnérables", dit-elle.Les travaux de rénovation menés jusque-là sont peu efficaces et peu ciblés sur les logements qui en auraient le plus besoin, notent en outre également les auteurs.En cause, les dysfonctionnements des copropriétés, mais aussi le fait que les propriétaires de maisons individuelles mettent rarement les gains énergétiques au coeur de leurs projets de travaux.
Il y a 2 ans et 219 jours

Moins de logements à louer : à qui la faute ?

Que se passe-t-il ?Plusieurs réseaux d'agences interrogés par l'AFP estiment que le nombre de biens mis en location a diminué depuis un an.Foncia, spécialiste de la gestion locative, évalue cette baisse à 10%, le réseau d'agences Nestenn à 11%, la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim) à près de 15% et le portail d'annonces Bien'ici à 5% au troisième trimestre."Les grandes villes sont très affectées, mais ce ne sont plus les seules", affirme Olivier Alonso, président de Nestenn.Et la demande flambe encore davantage. Le promoteur Nexity a ainsi constaté "beaucoup plus de contacts supplémentaires par annonce. Au premier trimestre, on avait un tiers de demandes de location de plus que l'année dernière", a affirmé la directrice générale Véronique Bédague devant des investisseurs fin septembre. Selon Bien'ici, le nombre de demandes par annonce a même grimpé de 80% au troisième trimestre, encore davantage dans le Sud-Est.La chaîne se grippeL'assèchement de l'offre locative vient d'abord... des locataires eux-mêmes. Ils restent en effet de plus en plus longtemps dans leur logement."On a eu moins de départs de locataires, pour une raison qui est qu'il y a un attentisme dans la chaîne globale du parcours des Français", explique à l'AFP Jean-Marc Torrollion, président de la Fnaim.En cause : la difficulté accrue pour devenir propriétaire, avec la hausse rapide des taux d'intérêt, et le taux d'usure, au-delà duquel il est légalement interdit de prêter, qui exclut les emprunteurs les moins aisés."Environnement économique, instabilité, incertitude, taux d'usure qui ne monte pas aussi vite que l'inflation et donc les banques refusent des prêts (...) tout ça, de manière indirecte, contribue à ralentir le marché de la location", liste Laurence Batlle, présidente de Foncia ADB.Le neuf en panneLe ralentissement de la construction neuve commence également à peser.C'est un grief récurrent des promoteurs : depuis quelques années, les maires sont plus réticents à autoriser des constructions.Si les permis de construire atteignent actuellement des niveaux record, c'est une hausse en trompe-l'oeil, consécutive à un afflux de demandes en décembre 2021, avant l'entrée en vigueur d'une règlementation environnementale plus stricte.Et le nombre de chantiers commencés ne suit pas, avec une pénurie de matériaux et la flambée des prix de l'énergie qui freinent le secteur du bâtiment."Cette offre en moins, elle contribue à figer le marché", explique Mme Batlle."On ne peut pas acheter là où on veut aller, mais on a besoin d'y habiter, on a besoin d'un logement, et donc, ça se transforme en demande de location", selon Mme Bédague.Passoires thermiquesDepuis le mois d'août, les propriétaires de logements à étiquette énergétique F ou G, les plus énergivores, ne peuvent plus augmenter leur loyer.Et à partir du 1er janvier prochain, les logements "indécents" par leur consommation seront interdits à la location. Suivront, en 2025, l'ensemble des G de métropole, puis les F en 2028 et les E en 2034.Si la mesure est censée inciter les propriétaires-bailleurs à rénover leurs logements, des professionnels craignent que certains les retirent du marché.Selon un sondage auprès de professionnels commandé par la Fnaim, seulement 32% des propriétaires de logements F et G choisissent pour l'instant de le rénover ; et 26% de le vendre."Je pense qu'on n'a pas mesuré l'impact que ça pourrait avoir sur l'offre disponible dans le parc privé locatif", craint son président."On ne le voit pas encore, nuance Laurence Batlle. Mais c'est une tendance qui va forcément prendre du poids dans les années à venir."Locations saisonnièresDernier danger : la transformation d'appartements en locations touristiques de courte durée. Selon le sondage commandé par la Fnaim, 6% des propriétaires de passoires thermiques envisagent cette solution."Dans beaucoup de villes, la location saisonnière a pris le pas sur la location traditionnelle", témoigne Olivier Alonso, voyant une clientèle professionnelle se détourner de l'hôtellerie traditionnelle à son profit.
Il y a 2 ans et 220 jours

Bas-Rhin : démarrage des travaux d’extension de la ligne G du bus à haut niveau de service à Strasbourg.

La ligne G du bus à haut niveau de service à Strasbourg (Bas-Rhin) fera l’objet de travaux d’extension de 5,5 kilomètres...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 220 jours

Une maison panoramique en bois Kebony

La société de conception-construction HM DG INC a récemment achevé la réalisation d’une fascinante maison moderne nichée dans l’une des collines de Bel Air. Panoramique, elle offre une vue imprenable sur Century City, Downtown LA, le Hollywood Reservoir et l’océan Pacifique.Cette maison de cinq chambres, de près de 700 m2, est située sur un terrain d’un hectare dans un quartier protégé, habité de luxueuses demeures. Elle a été conçue par le directeur de HM DG, Hassan Majd, dont le cabinet a également construit la résidence, vendue près de 12 millions de dollars.L’extérieur de cette maison sur deux étages est recouvert, au premier niveau, d’un stuc de couleur sable et, au second, d’un bois modifié Kebony imprégné de minéraux, lesquels lui permettent de résister aux agressions climatiques et aux parasites. Ce matériau classé platine ne nécessite aucun entretien et sa couleur, en se patinant, évolue du doré initial à un beau gris argenté.À l’intérieur, l'entrée s'élève jusqu'à un volume à double hauteur surmonté d'un plafond en forme de pyramide inversée, et révèle un vaste mur de verre qui s'ouvre sur la piscine et le patio, dévoilant également une vue spectaculaire sur Los Angeles. Les portes coulissantes automatisées disparaissent complètement dans les murs, un choix parfaitement adapté au style de vie intérieur-extérieur de la Californie du Sud.Le salon principal comprend une cheminée suivie de deux chambres. La palette de couleurs met l’accent sur les tons chauds et organiques de la terre, avec des sols en calcaire adouci au premier niveau et en chêne blanc au second.Pour Hassan Majd : « Le raffinement est dans les détails de finition. Dans la cuisine et l'espace de vie informel, la menuiserie et les panneaux sont tous de la même essence. Ce choix unit l’ensemble de la maison et lui confère une sensibilité à la Alvar Aalto (architecte finlandais). »Au même niveau, au-delà de la cuisine et du patio, se trouvent également une salle de sport/bureau et un pool house/spa dans un bâtiment séparé doté de sa propre entrée.Un escalier mène de l'entrée principale au second niveau. Là, au centre, sous le plafond en forme de pyramide inversée, la pièce s’ouvre sur le niveau principal inférieur et offre alors une sensation d’intimité. Ce niveau supérieur, qui dispose de son propre accès à des patios permettant de vivre à l'intérieur comme à l'extérieur, comprend un salon informel, une salle familiale, une salle de jeux, la suite parentale et deux autres chambres.La chambre principale, qui s'avance au-dessus du patio, est à couper le souffle. « J’adore le fait qu'elle bénéficie de la meilleure vue de toute la propriété : un panorama imprenable sur Los Angeles et les collines d’Hollywood », poursuit Hassan Majd. La salle de bains principale est en marbre gris anthracite foncé avec une finition en cuir, et l'enceinte en verre est suspendue dans les airs avec une vue sur les collines d'Hollywood, Century City et au-delà : à la fois intime et décloisonnée.À l'extérieur, au niveau principal, des escaliers descendent de la piscine et du patio le long de la pente paysagée et offrent des points de vue supplémentaires.
Il y a 2 ans et 220 jours

Assa Abloy investit pour valoriser le savoir-faire industriel français sur son site de Longué-Jumelles

Cette stratégie ambitieuse, visant à pérenniser l’activité et les emplois du site ainsi que le savoir-faire industriel français, est soutenue par le plan gouvernemental France Relance. Avec ce programme, le site deviendra un centre d’excellence pour la fabrication des produits de quincaillerie architecturale. Valoriser le site de Longué-Jumelles et le positionner comme centre d’excellence à l’échelle du groupe ASSA ABLOY Le site de Longué-Jumelles est l’un des quatre sites du groupe ASSA ABLOY en France. C’est aussi un site historique du tissu industriel français, qu’ASSA ABLOY s’attache à faire vivre, en valorisant le savoir-faire de cette usine spécialisée dans la fabrication de produits de quincaillerie architecturale : poignées et butées de portes, poignées de fenêtre, patères, protection sur sols et murs, mains courantes, etc. Autre signe distinctif, sa fonderie de zamak, l’une des plus grandes en France ; cet alliage de zinc et d’aluminium permet de réaliser des composants techniques et des pièces à la fois de qualité et esthétiques. Reste enfin à noter que le site est triplement certifié Iso : 9001 pour le management de la qualité, 14001 pour le management environnemental et 50001 pour le management de l’énergie). L’usine produit déjà pour plusieurs marques du groupe ASSA ABLOY dont Vachette et JPM. Mais ASSA ABLOY veut aller plus loin : le Groupe ambitionne de faire de Longué-Jumelles un centre d’excellence pour la quincaillerie architecturale, au sein de la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique), à travers la R&D et la Fabrication. Le Groupe s’est également engagé à relocaliser la production de ses composants zamak en France, ce qui doit contribuer à la pérennisation des emplois. Devenir centre d’excellence permettra de faire rayonner le savoir-faire du site auprès des autres entités à l’étranger. Des composants zamak pour servir les besoins du groupe ASSA ABLOY Avec un volume de production de 1.600 tonnes de zamak par an en 2021, la fonderie dispose d’une réserve capacitaire qui permet de produire à des prix très compétitifs. Capable de travailler tous les types de composants zamak qui sont aujourd’hui achetés au niveau externe, la fonderie a vocation à fournir toutes les entités du groupe ASSA ABLOY en France ainsi qu’en Finlande, en Suède et en Angleterre. Pour atteindre ses objectifs, le groupe ASSA ABLOY est en train d’investir dans un centre d’usinage pour gagner en productivité, ainsi que dans de l’outillage avec notamment la création de nouveaux moules. Soucieux des conditions de travail de ses salariés, 250 personnes dont 150 en production, le Groupe a de plus prévu de développer des moyens ergonomiques afin d’intégrer la charge. Un plan d’investissement important soutenu par France Relance Dans le cadre de la montée en compétence souhaitée pour la création de ce centre d’excellence, ASSA ABLOY qui investit chaque année 800.000 euros pour la modernisation de son site de Longué-Jumelles, déploie un plan d’investissement plus important d’un montant total de 1.247.000 d’euros. Débuté en 2022, ce plan se poursuivra sur 2023. Afin de récolter les fonds nécessaires à la réalisation de ce projet, le dossier a été soumis au plan France Relance, qui a pour vocation d’accélérer les transformations écologique, industrielle et sociale du pays. Ce plan de relance exceptionnel déployé par les pouvoirs publics vise notamment à faire de l’industrie française un pilier de la relance économique, à soutenir sa transformation et sa modernisation. Au vu de sa forte valeur ajoutée pour le territoire français, ce projet de relocalisation a été sélectionné, et sera soutenu à hauteur de 50% soit 623.500 €. Cette stratégie de relocalisation engagée par ASSA ABLOY fait écho aux ambitions du plan France Relance avec une volonté commune, faire rayonner le savoir-faire industriel français.
Il y a 2 ans et 220 jours

Un hiver rigoureux, l'allié espéré par Moscou face aux Européens

Un hiver particulièrement froid et prolongé ferait à coup sûr les affaires du président russe Vladimir Poutine, estiment certains analystes, après que Moscou a drastiquement réduit ses livraisons de gaz à l'Europe en représailles contre le soutien occidental à Kiev.Ces dernières années, l'Europe occidentale a connu une saison hivernale particulièrement rigoureuse en 2010/2011 ainsi qu'un froid sibérien en 2018, lequel avait fait plusieurs dizaines de morts et provoqué de fortes perturbations dans les transports.Si cela se reproduit, dans le contexte de raréfaction du gaz russe, qui représente une part non négligeable de l'approvisionnement énergétique de certains pays européens, cela pourrait causer d'importantes difficultés avec pour possible conséquence d'émousser la détermination de l'UE à soutenir l'Ukraine."L'énergie est une arme à un coup et elle vient juste de tirer", déclare à l'AFP Eliot A. Cohen, historien de la guerre et expert en sécurité au Center for Strategic and International Studies de l'université américaine Johns-Hopkins.Pour tenter de prendre les devants, de nombreux gouvernements ont appelé ménages et entreprises à baisser le chauffage et à économiser l'énergie, dans le cadre d'un plan européen visant à réduire la consommation de gaz cet hiver d'au moins 15% par rapport à la moyenne des cinq dernières années.Prévisions dans le viseurLes Vingt-Sept ont aussi procédé au remplissage accéléré de leurs réserves stratégiques, quitte à devoir payer le gaz au prix fort à l'Algérie, au Qatar, à la Norvège ou aux États-Unis.Avec environ 90% des réserves remplies, l'UE s'estime désormais pourvue pour garantir la sécurité énergétique à ses citoyens.D'autant que les conditions météorologiques s'annoncent "normales", estime auprès de l'AFP Alireza Nahvi, chercheur associé au sein du cabinet spécialisé dans l'énergie Wood Mackenzie.Cette sécurité n'en reste pas moins précaire et un hiver plus rigoureux que d'ordinaire représente une épée de Damoclès.Face à cet enjeu, beaucoup de regards - dans les cercles industriels et politiques - sont tournés vers le Centre européen pour les prévisions météorologiques à moyen terme (ECMWF).Doté de super-ordinateurs capables de compiler les données des différents services météo nationaux, cet organisme est notamment chargé de produire – via son Service Copernicus sur le changement climatique (C3S) - des prévisions roulantes sur trois mois."Cette année, cette question revêt clairement un intérêt géopolitique", a déclaré à l'AFP Carlo Buontempo, directeur du C3S, à l'approche de la publication jeudi des prévisions pour la période novembre-janvier.S'il est encore trop tôt pour faire un pronostic parfaitement fiable, les premières indications disponibles esquissent un hiver globalement doux, avec toutefois un risque de vagues de froid précoces en novembre et décembre.La direction du vent"C'est la direction du vent qui compte. Si, de la mi-novembre à décembre, nous avons certains de ces vents forts en provenance de l'est et de la neige sur l'Europe, cela aura certainement un impact sur la demande de gaz, les prix et la géopolitique", explique M. Buontempo.En revanche, après un été marqué par des chaleurs record en Europe, l'océan Atlantique est plus chaud que d'habitude, et les phases de vent d'ouest pourrait préserver la douceur des températures.En cas de températures moyennes et en supposant une réduction de la demande de gaz d'environ 9% cette année, l'Europe s'en sortira sans perturbation majeure, a récemment calculé l'Agence internationale de l'énergie (AIE). Cependant, si "nous avons un hiver environ 10% plus froid que la moyenne, le système gazier européen se retrouvera sous pression", prévient Gergely Molnar, analyste gazier de l'AIE.Un facteur à ne pas négliger sera le niveau des stocks, principalement détenus dans des champs de gaz épuisés ou des nappes aquifères.Ces réserves ont beau être remplies à environ 90%, elles sont difficilement accessibles, car au fur et à mesure que les stocks s'épuisent, la pression diminue, rendant les derniers 30% difficiles à extraire.Une vague de froid tardive, en février ou mars, lorsque la pression sera faible, constitue le "talon d'Achille de la sécurité de l'approvisionnement en gaz européen", a mis en garde l'AIE.
Il y a 2 ans et 220 jours

La Cour des comptes exhorte à une meilleure gestion de l'immobilier universitaire

Deuxième poste budgétaire des universités après la masse salariale, le patrimoine immobilier est stratégique pour elles comme pour l'Etat, qui en détient actuellement 82%, indique ce rapport.Ils doivent "faire face à l'indispensable remise à niveau de ce patrimoine, dont un tiers est dans un état peu ou pas satisfaisant, et qui ne répond que rarement aux besoins de sobriété énergétique".L'immobilier universitaire représente 18 millions de mètres carrés de locaux, dont 78% sont consacrés aux activités d'enseignement ou sportives. Or si les universités "ont pris la mesure de l'enjeu d'une gestion efficace" de l'immobilier, "le chemin à parcourir reste long", relève la Cour des comptes.Elle estime que "la connaissance de ce patrimoine, qui s'est améliorée au fil des années, reste imparfaite" et que "trop souvent, les systèmes d'information choisis par les universités sont difficilement compatibles avec ceux développés par l'Etat".Par ailleurs, les universités n'ont pas les moyens de remplir leurs obligations d'entretien, car le financement de l'immobilier universitaire "reste défaillant", déplorent les Sages de la rue Cambon.En effet, si des programmes exceptionnels ont été mis en œuvre à la faveur des crises, "l'effet de rattrapage" de ces financements multiples "ne suffit toutefois pas à couvrir le besoin global", développent-ils.Le ministère de l'Enseignement supérieur estime à sept milliards d'euros le coût de la réhabilitation du patrimoine universitaire, dont 75% en lien avec la transition énergétique. Ce besoin est évalué à 15 milliards d'euros par France universités, qui regroupe les établissements.En outre, alors que la Cour estime qu'il ne peut y avoir d'autonomie des universités sans pleine propriété de leur immobilier, le rapport souligne que "la création de filiales immobilières des universités pourrait contribuer à une politique de valorisation plus active, à une gestion plus performante". Préconisant le recours à de telles filiales, elle encourage également dans ses recommandations à "effectuer un audit précis et contradictoire des montants de fonctionnement nécessaires pour remettre en état le parc universitaire".Elle recommande aussi notamment de "faire de l'immobilier l'un des volets principaux du dialogue stratégique et de gestion entre le ministère et les universités".
Il y a 2 ans et 221 jours

Rockwool partenaire du CiDB aux Neuvièmes Assises Nationales de la Qualité de l’Environnement Sonore 2022

En tant que partenaire historique du CiDB, acteur incontournable de la promotion de la lutte contre la nuisance sonore, ROCKWOOL a participé aux Neuvièmes Assises Nationales de la Qualité de l’Environnement Sonore 2022 les 27 et 28 septembre au Centre International de Conférences Sorbonne Université. L’édition placée sous le signe de l’investissement s'est proposée d’identifier les conditions pour lesquelles le bruit peut constituer un levier ou un frein à la transition écologique, à l’économie et à l’amélioration du bien-être.ROCKWOOL acteur du nécessaire investissement dans l’environnement sonoreLe bruit est néfaste pour notre santé et selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), les personnes vivant et travaillant dans les villes sont particulièrement vulnérables. Une isolation acoustique efficace est donc primordiale dans une maison ou autres bâtiments (tertiaires ou industriels) pour créer un environnement confortable et sûr.En participant aux côtés du CiDB aux Assises Nationales de la Qualité de l’Environnement Sonore, ROCKWOOL souhaite interagir avec les professionnels du secteur afin de travailler main dans la main aux solutions les plus innovantes pour se prémunir des nuisances sonores. C’est ce qu'a proposé l’événement en tant que carrefour de rencontres unique et le lieu d’échanges d’un important réseau de professionnelles de la sphère institutionnelle, des industriels et des entreprises, du monde associatif ainsi que des structures de recherche et des collectivités locales. Des solutions en laine de roche au service d’environnements intérieurs plus sains et plus silencieux pour une meilleure qualité de vieS’il n’est pas toujours possible de maîtriser les niveaux sonores à la source, une isolation acoustique de qualité peut être une solution intéressante. Le bruit extérieur provenant de la circulation routière ou des avions par exemple peut être considérablement réduit par une isolation acoustique correcte de la toiture ou de la façade.L’isolation acoustique peut aussi améliorer le confort acoustique et éviter les nuisances sonores provenant de l’intérieur d’un bâtiment Lorsqu'ils sont installés sur des planchers intermédiaires ou sur les murs intérieurs d’un immeuble d’habitation ou d’un complexe de bureaux, les panneaux d’isolation thermo-acoustique, sont particulièrement efficaces pour réduire la quantité de bruit pénétrant dans un environnement de vie ou de travail.En effet, grâce à la structure poreuse ouverte, la laine de roche ROCKWOOL est un excellent amortisseur de bruit hautement efficace par nature. De plus, grâce à leur stabilité dimensionnelle, les solutions d’isolation ROCKWOOL sont durables dans le temps et conservent leurs performances même au-delà de 55 ans, ce qui garantit un excellent confort acoustique tout au long de la durée de vie d’un bâtiment. C’est grâce à une innovation continue au cœur de sa stratégie que ROCKWOOL peut proposer des produits toujours plus performants.Avec le CiDB, identifier ensemble les axes de développement en faveur de l’amélioration de l’environnement sonorePour ROCKWOOL, Les Assises Nationales de la Qualité de l’Environnement Sonore étaient une occasion incontournable pour échanger sur les bonnes pratiques et les solutions novatrices en faveur de l’environnement sonore, mais aussi comprendre les besoins des consommateurs tels que les professionnels de la construction, les ERP, ou encore les établissements scolaires ou de santé.L’événement qui comprenait trois conférences plénières et 20 ateliers thématiques incluait également des ateliers professionnels et une exposition présentant les solutions et innovations des acteurs du secteur (métrologie, produits, logiciels, etc.). Environ 500 personnes étaient attendues sur les deux jours.Tristan Sacquet, Ingénieur Acousticien ROCKWOOL le rappelle : « En tant qu'acteur engagé du secteur du bâtiment et leader de l'isolation, ROCKWOOL a pour objectif de construire un avenir meilleur, avec des bâtiments plus sûrs, plus durables et plus résilients, notamment, sur plan acoustique. »
Il y a 2 ans et 221 jours

Ambitieux programme de requalification urbaine "Chelles-Foch" en entrée de ville de Chelles

En lieu et place d’une friche présente depuis plus de 10 ans située avenue du Maréchal Foch, en entrée de ville, à seulement 600 mètres de la gare du RER E qui relie Paris et de la future ligne 16 du métro, du centre-ville historique de Chelles et à proximité de nombreux commerces, l’opération Chelles-Foch s’intègre dans un environnement urbain dynamique.Programme mixte ambitieux répondant aux besoins du territoire, l’opération s’étendra sur 8.750 m² SDP et accueillera :Un bâtiment de 33 logements gérés par in’li et dotés d’une double exposition (et pour certains d’une triple) offrant une grande luminosité. Chaque logement bénéficiera d’un espace extérieur (balcon ou terrasse).Une résidence pour séniors de 117 logements (T1, T2 et T3), pour le compte de l’OPPCI Esprit Pierre Résidences (Groupe Spirit), qui sera gérée par Les Girandières, filiale du Groupe Réside Etudes. Adaptée aux besoins spécifiques des séniors autonomes, elle offrira une large palette de services : restaurant, coiffeur, salon de massage, salle polyvalente, salle de gym, services de linge… Un jardin d’agrément permettra aux résidents de partager des moments de convivialité et de profiter des espaces verts. Un programme à la croisée de l’hôtel, de la résidence gérée et du logement traditionnel, issu d’une réflexion approfondie autour des usages et du bien-être. Cette résidence pour séniors, souhaitée par la Ville, vient opportunément compléter le parcours résidentiel des Chellois.Un commerce en pied d’immeuble viendra compléter l’offre de services de proximité du quartier pour le compte d'AVM Holding.Une conception architecturale dans la pure tradition chelloiseL’architecte, MAIREA Architecture a su répondre aux attentes de la Ville en reprenant les codes de l’architecture chelloise traditionnelle (toitures en pente, façades en brique et pierre, modénatures) dans la continuité du tissu urbain local tout en respectant les contraintes du terrain. Trois axes ont guidé l’écriture architecturale : marquer l’entrée de la ville, créer un profil urbain et séquencer les bâtiments.Les labellisations environnementales visées par ce projetLa résidence services pour les séniors sera labellisée E2C1 et atteindra le niveau de performance énergétique RT2012-17%, et les logements seront eux certifiés NF Habitat HQE. Ces critères environnementaux s’inscrivent dans la démarche RSE de Linkcity et de l’ensemble de ses partenaires.Pour David MARQUET, Directeur Général Adjoint Linkcity Ile-de-France : « C’est un travail de longue haleine qui a été mené, intégrant notamment la réhabilitation complète des sols. Ce projet symbolise l’esprit partenarial de Linkcity : architecte, investisseurs, exploitant, entreprises, tous associés pour satisfaire la commune de Chelles et réaliser un projet ambitieux porteur pour le territoire. »Pour Benjamin STUTZMANN et Alexandre PARVEZ, respectivement Président et Directeur des Acquisitions chez SPIRIT REIM SERVICES : « Nous sommes très heureux de cette première acquisition pour le compte de notre fonds ESPRIT PIERRE RESIDENCES. Cette résidence correspond parfaitement à notre cible, à savoir un actif de qualité, sécurisé sur le long terme avec un exploitant de premier ordre. Elle répond aux exigences de la labellisation ISR du fonds, notamment en matière de réversibilité, qui se valorisera dans la durée grâce à la transformation en cours à l’entrée de Chelles et la desserte prochaine par le Grand Paris Express. »Pour Damien ROBERT, Président du directoire d’in’li : « In’li poursuit son engagement en faveur du développement de l’offre en logements intermédiaires en zones tendues, en Ile-de-France. Le partenariat avec la ville de Chelles est en ce sens exemplaire. Il s’inscrit dans une logique territoriale alliant offre de transport, développement urbain raisonné, services et logements. C’est grâce à ce type de démarche que nous répondrons aux défis du Grand Paris de demain ! »
Il y a 2 ans et 221 jours

Coup d'envoi de la formation des fonctionnaires à la transition écologique

Ce plan de formation "inédit" vise à former 25.000 hauts fonctionnaires d'ici 2024, avant que leurs collègues de la fonction publique territoriale (12.000 cadres) et de l'hospitalière (4.000) ne soient à leur tour formés "d'ici 2025".Le ministre de la Fonction publique Stanislas Guerini doit présenter les détails de ce plan dans la matinée, aux côtés des ministres de la Transition écologique Christophe Béchu, de l'Enseignement supérieur Sylvie Retailleau et de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher.Ce projet de formation "fait consensus" et constitue la "première brique du plan de sobriété énergétique", indique-t-on au ministère de la Transformation et de la fonction publiques.Concrètement, 220 directeurs d'administrations centrales suivront dès le 19 octobre des formations de vingt heures, théoriques avec l'appui de scientifiques "de très haut niveau", selon le ministère, mais aussi pratiques, via des ateliers portant par exemple sur le calcul de leur bilan carbone et l'étude des solutions possibles pour le réduire.Les fonctionnaires se rendront aussi sur le terrain pour "rencontrer des acteurs" -entreprises et ONG notamment- faisant face aux enjeux du réchauffement climatique, qui leur présenteront leur façon d'y répondre: une visite en forêt pour en montrer la résilience, par exemple."La formation est un préalable à l'action", ont encore souligné les ministères de la Transformation et de la fonction publiques et celui de la Transition écologique, qui ont travaillé de concert sur ces modules alliant questions de biodiversité, de climat et de ressources naturelles. Pour le gouvernement, les formations doivent "irriguer l'ensemble de l'administration publique". Ainsi des "coachs" -des agents des ministères, dans un premier temps- suivront individuellement les directeurs formés afin de les "aider à faire leur retour d'expérience" auprès de leurs équipes. Quelque 300 cadres-dirigeants, tels que des préfets et des ambassadeurs seront formés ensuite en janvier.Les premiers retours d'expérience permettront, selon les ministères, de "concevoir le meilleur plan" de formation pour les 25.000 agents suivants.Les futurs fonctionnaires seront également sensibilisés aux questions climatiques dès leur formation initiale, ont ajouté les ministères.
Il y a 2 ans et 222 jours

PERF-ACTEE : un nouveau guide interactif des solutions de pilotage énergétique et numérique des bâtiments

Disponible en ligne, ce guide pédagogique et intuitif permet aux territoires d’identifier les solutions d’économies d’énergie rapides et adaptées à leur contexte local. PERF-ACTEE est accessible gratuitement depuis le site Internet du programme national ACTEE.Une bibliothèque de solutions à gains rapidesPERF-ACTEE vient compléter la boîte à outils mise à disposition des gestionnaires de bâtiments publics par le programme ACTEE de la FNCCR.Sans équivalent, ce nouvel outil accessible en ligne a été conçu en lien étroit avec les acteurs de la filière du pilotage et de la gestion des bâtiments intelligents avec une approche spécifique de la rénovation énergétique, celle du pilotage énergétique et numérique. Il facilite grâce à un parcours intuitif, l’identification de méthodes et de solutions techniques adaptées aux différents types de bâtiments des collectivités.PERF-ACTEE recense plusieurs dizaines de fiches pratiques pour identifier les besoins, trouver des financements, cadrer les projets, lancer des travaux et conduire l’exploitation avec des résultats dans la durée. PERF-ACTEE demeure centré sur des solutions efficientes à gains rapides comme le souligne Danielle Mametz, Vice-présidente de la FNCCR en charge du programme ACTEE « L’urgence nous impose de privilégier des actions à faible investissement et dont les bénéfices sont immédiatement tangibles. Un simple système de pilotage ajustant le déclenchement du chauffage et de l’éclairage à l’utilisation réelle d’un bâtiment peut actuellement être amorti en quelques mois. »L’interface permet de filtrer et de prioriser les fiches proposées par niveaux de coût, temps d’implémentation et économies d’énergie. L’approche se veut pédagogique avec une prise en main de l’outil facilitée pour des non-experts.Un excellent support pour préfigurer son projet de rénovation énergétique en quelques clics, et disposer d’une première feuille de route à affiner ensuite avec l’aide d’un professionnel qualifié.
Il y a 2 ans et 222 jours

Le SDIS Rhône-Alpes plus sûr et plus efficace grâce à la modernisation des portes

Ces portes à fonctionnement automatique ont été conçus conformément à toutes les exigences de fonctionnement et de sécurité des directives européennes et aux normes du Comité européen de normalisation (CEN).Conception sur mesureAvec son design moderne et épuré, la porte Dynaco I-14P est l'une des portes sectionnelles isolées la plus stable et performante du marché. Sa grande flexibilité et sa personnalisation complète permettent d'installer cette porte dans pratiquement n'importe quel environnement, tant sur le plan fonctionnel qu'esthétique. La porte est constituée de panneaux isolés conçus sans pont thermique pour un coefficient de transfert thermique minimal, ce qui réduit les coûts énergétiques. La rupture du pont thermique réduit également la consommation d'énergie et le risque de condensation et de givre. Le panneau I-14P avec moteur IDO7 a une vitesse d'ouverture et de fermeture de 0,25 m/s et glisse sous le toit lorsqu'il est ouvert, créant ainsi un espace libre autour de l'ouverture de la porte et maintenant un accès complet.Sécurité de niveau supérieurLes 17 portes I-14P Panel installées au SDIS de la région Rhône-Alpes sont toutes équipées d'une barrière immatérielle, ce qui améliore le niveau de sécurité. Cette sécurité est constituée d'un barrage de cellules photoélectriques de 2,5 m de haut. Si un véhicule passe devant les cellules photoélectriques pendant que la porte se ferme, le dispositif de sécurité est immédiatement activé et la porte s'ouvre à nouveau. De cette façon, le bas de la porte ne peut jamais heurter le véhicule et le risque de dommages est fortement réduit. En outre, la version automatisée de la porte Dynaco I-14P a été choisie comme le choix le plus judicieux pour éviter les collisions et les dommages. Dans une caserne de pompiers, les délais d'exécution sont très courts et les pompiers doivent arriver sur les lieux très rapidement. Les portes qui bloquent temporairement le bâtiment sont donc à proscrire absolument.
Il y a 2 ans et 222 jours

Salon de la Copropriété, Lorenove Grands Comptes animera un atelier exposant

Les 8 et 9 novembre 2022, Lorenove Grands Comptes sera exposant du salon de la copropriété, au parc des expositions de la Porte de Versailles. Exposant assidu du salon de la copropriété, Lorenove Grands Comptes est une entité du Groupe Lorillard, qui rappelons-le, se dédie aux besoins spécifiques des copropriétés et des regroupements de copropriétaires.C’est un interlocuteur de choix pour évoquer l’ensemble des problématiques rencontrées sur ce sujet. Durant ces 2 jours, à son accoutumé, sur un stand de 36m², Lorenove Grands Comptes se tiendra à la disposition des acteurs de la copropriété. L’omniscience de la Copropriété Que ce soient les essais acoustiques, le respect de l’architecture des façades, la gestion des travaux, la complexité en milieu occupé, les difficultés d’intervention en IGH, etc. l’ensemble de ces notions, et bien d’autres encore, font partie des services et compétences de Lorenove Grands Comptes. L’entité va même plus loin et, est en capacité de fournir – en partenariat avec Lorillard Façades – l’établissement de diagnostic énergétique de façades afin de proposer un plan de rénovation énergétique de façade par l’extérieur. Ces travaux d’efficacité énergétique sont notamment aidés par le dispositif MaPrimeRénov, désormais accessible aux copropriétés pour les travaux réalisés dans les parties communes. MaPrimeRénov s’adresse à toutes les copropriétés achevées depuis 15 ans, au moins à la date de la notification de la décision d’octroi de subvention, qu’elles se situent en secteur diffus ou programmé et qu’elles présentent ou non des signes de fragilité ou de difficultés. Pour bénéficier de cette aide, les travaux des copropriétés doivent être réalisés à 75% minimum sur des résidences principales et permettre un gain énergétique de 35%.Pour les propriétaires bailleurs (personnes physiques ou titulaires d’un droit réel immobilier conférant l’usage d’un logement pour financer les dépenses en faveur de la rénovation énergétique du logement qu’ils mettent en location), les plafonds de ressources sont appréciés en tenant compte de la composition de leur ménage et de la localisation du logement qu’ils occupent à titre de résidence principale. Par ailleurs, les copropriétés fragiles et les copropriétés en difficultés peuvent bénéficier d’une prime complémentaire à l’aide MaPrimeRénov’ Copropriétés. Le montant de l’aide est égal à 25 % du montant des travaux et l’accompagnement à maîtrise d’ouvrage est également pris en charge à hauteur de 30% de la prestation. Depuis plus de 15 ans Lorenove Grands Comptes accompagne au quotidien les copropriétés dans la rénovation de leurs menuiseries, l’isolation des façades y compris lorsque ces projets nécessitent une intervention de désamiantage ou de déplombage via Protectéa. Cette antériorité et l’expérience des chantiers leur ont permis de constituer un ensemble complet de prestations, allant du diagnostic à la fabrication des menuiseries – dans les ateliers du Groupe Lorillard – puis à leur pose par des compagnons qualifiés RGE, jusqu’à la réalisation éventuelle d’essais acoustiques in situ pour justifier des performances annoncées. La force du Groupe Lorillard Lorenove Grands Comptes, simultanément fabricant et installateur, bénéficie de souplesses commerciales et industrielles qui lui permettent de limiter les impacts négatifs qui s’imposent dans la conjoncture actuelle. Sur le plan tactique, Lorenove Grands Comptes est à même de mener des opérations “coup de poing” lors desquelles le temps d’exécution de la pose est réduit grâce à la mobilisation d’un effectif important sur un temps réduit. Il leur est notamment possible de poser plus de 80 fenêtres en une seule journée. L’entité a également développé une ingénierie de chantier adaptée aux milieux habités ou aux chantiers en cœur de ville avec des particularités d’accessibilité et d’organisation délicates (stationnement et base de stockage réduits, coactivité, limitation des nuisances pour les résidents et l’environnement immédiat, etc.) Sur le plan technique, les menuiseries sont performantes et dotées des capacités thermiques et phoniques les plus efficientes. À ce titre, deux modèles seront exposés sur le stand. Une menuiserie aluminium à ouvrant caché qui offre des lignes très fines et apporte un maximum de lumière naturelle dans la pièce. Cette menuiserie est équipée de profils à rupture de pont thermique avec des barrettes isolantes sur le dormant et l’ouvrant, pour réduire les échanges de température intérieurs et extérieurs. Ceci évitant la condensation et le ruissellement d’eau. Menuiserie aluminium à ouvrant caché Également, un verrouillage par galets champignons constitue une sureté supplémentaire contre l’effraction et assure une protection efficace contre le levage par force de levier. Cette menuiserie possède également 3 joints pour une parfaite étanchéité et une meilleure isolation thermique.Pour plus d’harmonie et d’originalité, il est possible de choisir la bicoloration pour coordonner la menuiserie à la fois aux intérieurs et aux extérieurs. Une bicoloration qui est particulièrement pertinente pour les immeubles des années 1970 – dont les tons bois des menuiseries correspondent à la majorité des cahiers des charges – et qui offre alors aux propriétaires la possibilité de personnaliser le coloris intérieur de leurs menuiseries. Un coulissant monobloc en aluminium, équipé d’une tapée de doublage intégrée qui facilite le travail de pose en neuf, offre également une meilleure rigidité au cadre et une étanchéité parfaite. Ce coulissant est doté d’une excellente robustesse grâce à un dormant monobloc à rupture de pont thermique, assemblé en coupe droite par équerres collées et serties. Sa crémone multipoints à crochets et son dispositif anti-fausse manoeuvre lui garantissent un bon niveau de sécurité.Côté design, la finesse de son montant central de 38 mm et ses profils ultra fins offrent un rendu épuré et minimaliste avec un clair de vitrage maximum. Conforme à la norme PMR, ce coulissant est doté d’un seuil extra-plat, d’une hauteur de 25mm, ou proposé avec un dormant bas doté d’un recueil d’eau intégré et de drainages cachés.Enfin, son vitrage de 28 mm avec une couche basse-émissivité, un intercalaire isolant Warm-Edge et du gaz Argon (à très faible conductivité thermique) offre une isolation thermique optimale (coefficient Uw =1,6W/m².K). Ce coulissant sera disponible en 2 vantaux, 3 vantaux et jusqu’à 4 vantaux, pour des baies vitrées de grande largeur (jusque 6 mètres) selon les besoins et la configuration du lieu. C’est à l’appui de son expertise que Lorenove Grands Comptes animera un atelier exposant, le mardi 8 novembre à l’agora – de 11h30 à 12h – sur le thème « Remplacement des menuiseries :de l’approvisionnement aux bénéfices clients, un cycle de vie durable ».Cet atelier sera dirigé par Aurélien Hoellinger, responsable commercial Lorenove Grands Comptes. Cette intervention qui sera filmée pourra être visionnée par la suite sur les réseaux sociaux ; et amorcera la première étape vers une série de webinaires consacrés à la rénovation énergétique !
Il y a 2 ans et 222 jours

Vinci retrouve des niveaux de bénéfices d'avant-Covid et s'affirme à l'international

Porté par la reprise des voyages et des chantiers, le groupe a enregistré au premier semestre un bénéfice net de 1,9 milliard d'euros, supérieur à l'avant-pandémie de Covid-19 et plus que doublé par rapport à 2021.Le chiffre d'affaires semestriel du groupe est également nettement au-dessus des niveaux d'avant-Covid, à 28,52 milliards d'euros (+26% par rapport à 2021).Cette progression du chiffre d'affaires est due pour "un peu moins de la moitié" à l'intégration de Cobra IS, branche énergie du groupe espagnol de construction ACS acquise en 2021, a précisé Christian Labeyrie, directeur financier du groupe, lors d'une conférence de presse.Si le groupe est en croissance partout où il est présent, "l'arrivée de Cobra nous permet de nous développer de manière très significative, en péninsule ibérique et Amérique latine", a souligné Xavier Huillard, PDG du groupe. "Pour la première fois de notre histoire, l'international dépasse les 50% de notre activité totale, à exactement 53%", s'est-il félicité, y voyant l'aboutissement d'une orientation engagée depuis plusieurs années. La "quasi-totalité des pôles de métiers" ont dépassé leurs niveaux de chiffre d'affaires et de résultats pré-crise sanitaire, a relevé M. Huillard.Ces résultats sont supérieurs aux attentes des analystes, qui tablaient plutôt sur un chiffre d'affaires semestriel légèrement supérieur à 27 milliards d'euros, et un bénéfice net autour de 1,5 milliard."Les résultats et le cash-flow de Vinci Airports se sont redressés de façon spectaculaire grâce à l'accélération de la reprise du trafic aérien et aux effets des plans d'économies réalisées. Le trafic est désormais très proche de son niveau de 2019 dans de nombreuses plateformes du réseau", a noté M. Huillard.Le groupe a d'ailleurs légèrement relevé ses objectifs pour cette branche de son activité : il table désormais - hors reprise épidémique - sur "un trafic sur l'ensemble de l'année proche de 70% de son niveau de 2019 (contre 60% auparavant), conduisant à un résultat net et à un cash-flow libre positifs".Objectifs confirmés pour l'annéeLa branche construction, qui pèse pour près de moitié dans le chiffre d'affaires du groupe, a enregistré des revenus en progression de 10,7% à 13,45 milliards d'euros. Son résultat opérationnel, très saisonnier, s'élève à 254 millions d'euros, en hausse de près de 20% par rapport au premier semestre 2021.A l'image de l'ensemble du groupe, cette branche a été tirée par l'activité hors de France qui a grimpé de 18%, contre une croissance de 4% en France. Elle a réalisé plus de 50% de son activité hors de France pour "la première fois", selon M. Huillard.S'agissant du trafic routier, "Vinci Autoroutes enregistre un trafic supérieur à celui de 2019 tant pour les véhicules légers que pour les poids lourds", a commenté M. Huillard.Toutefois, "la tendance pour les véhicules légers est affectée par la hausse des prix des carburants", alors que pour les poids lourds, l'activité "reste bien orientée", a-t-il précisé.M. Huillard a réaffirmé la volonté de son groupe de contribuer à "décarboner le transport routier". "Toutes nos aires seront équipées en 2023 de bornes de recharge rapide", a-t-il indiqué, évoquant par ailleurs la participation de Vinci à un appel à projets piloté par la banque publique d'investissements Bpifrance, pour expérimenter plusieurs solutions de routes permettant de charger les véhicules, et surtout les camions, en roulant (ERS ou electric road system). La branche Vinci Energies a pour sa part enregistré une croissance de 8,3% de son chiffre d'affaires, à 7,75 milliards d'euros.Seule activité du groupe en recul, Vinci Immobilier (-2,1%) a pâti de "l'attentisme induit par la pandémie et le télétravail" pour l'immobilier de bureaux et de la hausse des taux d'intérêts, entre autres, pour l'immobilier résidentiel.Compte tenu de ces résultats et d'un carnet de commandes considéré comme bon dans la construction, le groupe a confirmé son objectif d'un résultat net 2022 supérieur à son niveau de 2019.
Il y a 2 ans et 222 jours

PLF 2023 : trois députés Renaissance, risquent d’accentuer la crise actuelle du logement

Dont acte ! Cette légitime réflexion aurait dû s’accompagner d’un intérêt tout aussi important porté aux entreprises impactées par chacune des décisions fiscales qui pourraient être proposées.Pour mémoire, la FPI rappelle que produire des logements collectifs neufs en PINEL présente les avantages suivants :Les logements PINEL produits à compter de janvier 2022 respectent la réglementation environnementale RE 2020 la plus exigeante au niveau européen voire mondial ;La construction de logements PINEL est pourvoyeuse d’emplois locaux (120.000 emplois par an) non délocalisables ;La vente des logements PINEL génère des ressources importantes de TVA pour l’Etat ;En accroissant le parc de logements locatifs, la production de logements PINEL participe à la mobilité nécessaire des salariés ;Être propriétaire d’un logement PINEL procure un complément de revenus non négligeable pour de nombreux ménages lors de la retraite.Or, un amendement a été déposé par les 3 députés de cette task force en vue de son examen en séance publique : il prévoit la fin du dispositif d’investissement locatif PINEL au 31 décembre 2023 au lieu du 31 décembre 2024, alors même que les évolutions apportées à ce dispositif par la précédente loi de finances pour 2022 ne sont pas encore entrées en vigueur et que les dernières modifications, par décret, datent de mars 2022.La FPI alerte sur cette initiative, qui prise sans concertation avec les professionnels du secteur et sur la base d’a priori déconnectés de la réalité, pourrait être lourde de conséquences :Elle introduit, une fois de plus, une insécurité fiscale préjudiciable au bon fonctionnement des entreprises qui ont besoin de stabilité : lancer un programme immobilier demande du temps et, en conséquence, de la visibilité que ne permet plus l’agitation fiscale actuelle.Cette insécurité fiscale est également pénalisante pour les particuliers, qui ont prévu, parfois de longue date, d’investir dans un bien de ce type en vue de le louer à un ascendant ou un descendant, faculté supprimée par l’amendement.Elle intervient au plus mauvais moment : sur le premier trimestre 2022, le nombre de logements proposés à la vente a chuté de 15% par rapport à 2021. L’effondrement que l’on constate depuis 2019 ne fait que s’accentuer en 2022. L’offre de logements neufs collectifs, aux performances énergétiques élevées, sobres en foncier et répondant aux attentes de nos concitoyens, va se réduire encore plus et amplifier une crise du logement annoncée sur l’ensemble du parcours résidentiel.Pour qu’un pays puisse se développer, il faut qu’une frange de la population soit mobile. Une offre satisfaisante sur le marché locatif permet d’y répondre et le dispositif PINEL y contribue fortement avec des logements de qualité. A l’heure où l’on parle de la réforme des retraites, la majorité des investisseurs en PINEL bénéficient d’un accroissement de revenus le jour de la retraite. Alors même que nos concitoyens peinent à se loger avec des loyers adaptés à leur budget, ce sont ainsi près de 60.000 logements destinés à être loués, sous plafonds de ressources et de loyers, par exemple à des jeunes actifs ou à des ménages à revenus intermédiaires aux activités professionnelles pourtant essentielles (infirmiers, enseignants, policiers...) qui ne verraient pas le jour si cet amendement était adopté.Outre les investisseurs et locataires directement concernés par les logements « PINEL », l’impact de cet amendement, s’il était adopté, serait encore plus massif : aujourd’hui, on retrouve en effet dans un même programme immobilier des logements PINEL, des logements en accession, des logements sociaux. Faire disparaître prématurément le dispositif PINEL empêcherait, par effet collatéral, la réalisation des programmes prévus et donc les autres logements, tels les logements sociaux que nous produisons massivement et ceux destinés au parcours résidentiel des Français.Pour Pascal Boulanger, président de la FPI : « cet amendement va à l’encontre de la stabilité fiscale tant souhaitée par tous les acteurs économiques. Je rappelle que le dispositif actuel a été modifié il y a à peine un peu plus de six mois. Comment voulez-vous que nos entreprises s’organisent dans de telles conditions et que les Français conservent leur confiance dans le pouvoir politique ? Le logement mérite mieux que de sombres tentatives de rabotage fiscal, dont les conséquences, non évaluées sur le plan économique et social, aggraveront le pouvoir d’habiter de nos concitoyens. »
Il y a 2 ans et 222 jours

Dans le prolongement des Assises du BTP, le PLF 2023 est l’occasion de répondre aux attentes des entreprises artisanales du bâtiment sur le volet fiscal

S’il était compréhensible que les Assises du BTP ne soient pas une instance à même de prendre des décisions engageant le budget de l’État, les parlementaires disposent, avec ce projet de loi de finances, d’une réelle capacité à agir. La CAPEB compte sur l’examen du PLF pour qu’il en ressorte des mesures concrètes à même de soulager l’inquiétude exprimée par ses adhérents, et plus largement des 557.306 entreprises artisanales du bâtiment.Ainsi, la CAPEB appelle les parlementaires à étudier avec la plus grande attention les dispositions suivantes à même de simplifier l’activité des entreprises artisanales du bâtiment, de maintenir le pouvoir d’achat de leurs clients et de booster la rénovation énergétique des bâtiments, tel que la CAPEB le défendait dans nos 26 propositions :Diminuer de moitié le reste à charge pour les ménages modestes et très modestes pour accélérer la rénovation énergétique du parc de logement avec l’octroi d’un bonus en cas de réalisation de travaux multigestes (ex : 1 geste chauffage + 1 geste isolation) ou de rénovation globale et pour les CSP + mettre en place un crédit d’impôt.En complément de l’actuel taux de TVA à 5,5% pour les travaux de rénovation énergétique, mettre en place une TVA réduite à 5,5% pour tous les travaux réalisés en Groupement Momentanée d’Entreprises (GME) constitué de plus de 3 corps de métiers. Cela incitera les entreprises artisanales de proximité à se constituer en GME pour réaliser des travaux complets et facilitera la vie des particuliers par la mise en place d’un interlocuteur unique de chantier.Financer un audit énergétique gratuit dès le premier geste réalisé par un particulier en vue d’élaborer un parcours travaux de rénovation énergétique pour le logement afin d’atteindre u niveau de performance de consommation souhaitable.Mettre en œuvre aussi rapidement que possible le programme OSCAR et notamment, ses volets simplifications et accompagnateur des professionnels, en le renforçant, le cas échéant, en fonction des premiers résultats constatés sur le terrain.Stabiliser le dispositif des CEE sur la durée de la cinquième période en évitant les « stop and go » successifs, notamment pour ce qui concerne les opérations « coup de pouce ».S’il est à saluer la création d’emplois au sein de l’Anah (25), la hausse de son budget (+500 millions d’euros) ainsi que celui de MaPrimeRénov (2,5 milliards d’euros) et la prévision de celui de MaPrimeAdapt (35 millions d’euros), la CAPEB appelle à la plus grande vigilance sur l’articulation de ces aides et les « réajustements » à venir sur MaPrimeRénov Sérénité. De même, concernant le projet d’actualisation du périmètre du taux réduit de TVA pour la rénovation énergétique - même si la CAPEB en comprend les raisons - il est essentiel d’éviter que celui-ci ne se restreigne alors que les solutions techniques alternatives n’existent pas.La transition énergétique ne pourra se faire sans les entreprises artisanales du bâtiment. Saisissons les opportunités qui se présentent pour agir vite et prendre les décisions qui s’imposent pour qu’elles puissent jouer pleinement ce rôle.
Il y a 2 ans et 222 jours

Sunlight : la pergola toit en verre qui fait tomber les frontières entre l'intérieur et l'extérieur

La nouvelle pergola toit en verre Sunlight s’avance sur le marché comme étant la première structure fixe, certifiée à la charge de neige aussi légère. Avec son design cubique, elle pousse le concept d'osmose avec le paysage à l'extrême. Son aspect tout verre, au charme absolu, permet une vue étendue à 360 degrés sur l'extérieur. Adossée ou autoportante, elle est la solution adaptée pour les terrasses mal exposées ou pour ceux qui souhaitent créer un espace fait de chaleur et de lumière naturelle, un jardin d’hiver, une extension de salle à manger ou un abri de piscine par excellence. Sa principale nouveauté : un toit en panneaux de verre feuilleté blanc stratifié et durci de 10 ou 12mm, transparent ou opaque, soutenu par des traverses (pannes) en aluminium, renforcés au moyen de profilés acier. Tant de caractéristiques qui ont permis de créer une surface tout verre avec le moins d’éléments d’encadrement possibles pour gagner en luminosité et en légèreté. Le pas moyen entre ces pannes est de 80 ou 95cm. Pour maintenir une protection solaire, la pergola toit en verre Sunlight peut également être équipé du store horizontal à toile enroulable Tensionata au-dessus et en-dessous du toit en verre. Dans la version ROOF TENS, la toile est complètement protégée dans un coffre moderne, en harmonie avec la structure.Comme pour nos autres produits, Sunlight peut être équipée de fermetures latérales type Vertika ou Line Glass.Elle dispose également d’un éclairage interne grâce à un système de bandeaux LED intégrés dans les traverses (pannes) du toit en verre comme sur le périmètre supérieur, qui rendent Sunlight fonctionnelle à toute heure.Son installation s’adapte à tous les types d’environnement grâce à 3 systèmes différents de fixation au sol. Son toit plat (incliné à seulement 2% pour un écoulement de l’eau à l’avant de la structure) et sa hauteur standard de 2500mm permettent d’adosser facilement la structure à la maison.Ses différences avec les pergolasSunlight est une pergola au toit en verre fixe, plus cosue. Les profils supérieurs sont, en effet, plus importants et les dimensions d’un module réalisables en 4 poteaux plus restreintes. Cela s’explique par un toit en verre plus lourd et la possibilité d’intégrer, sans dénaturer l’esthétique de base du produit, un store vertical Vertika et/ou vitrage panoramique Line Glass pour fermer complétement la pergola et assurer à son nouvel espace une protection au vent, au soleil latéral ou vis à vis.Structure principalement fixe et certifiée à la charge de neige, elle nécessite une demande d’autorisation. Pourquoi choisir la pergola toit en verre Sunlight ?Sa structure fixe en aluminium présente des performances exceptionnelles pour un usage annuel même en cas d’intempéries, assurant une résistance à la charge et une structure étanche. En effet, le toit étant fixe, des joints en dessous et au dessus du verre sont posés tout le long du périmètre et des systèmes anti-goutte, égouttoir et anti éclaboussures permettent un acheminement régulier de l’eau vers les gouttières, intégrées en façade. L’évacuation de l’eau est ensuite assurée par une colonne tubée de 80mm. L’ajout de joints et de profils spécifiques verrouillent les verres.Ce toit en verre fixe certifie la structure à la charge de neige et améliore le confort thermique par rapport à une pergola classique, limitant le passage de l’air.En cela, Sunlight se présente comme la première structure fixe modulable et évolutive. Sunlight est une pergola toit en verre qui peut être fermée par les systèmes de fermetures latérales habituelles comme le vitrage panoramique coulissant Line Glass ou le store Vertika. La grande variété de tissus (transparent, filtrant et occultant) permet d'obtenir le niveau de protection/intimité souhaité. Une fois fermée, Vertika disparaît complètement à l'intérieur de la structure, soutenant un design linéaire.Ce qui en fait l’intermédiaire idéal entre la pergola et la véranda, répondant à un besoin de luminosité et de confort thermique.Une réponse à une forte demande du marchéEn effet, ouvrant à 360° sur le panorama, sa structure fixe et son toit en verre, constitué de panneaux conçus dans les plus grandes dimensions techniquement possibles, permettent une haute résistance et une perception importante de luminosité. Ce qui en fait l’aménagement adapté pour créer une extension de maison sur une terrasse mal exposée ou encore un abri de piscine économiquement plus fiable. Le toit en verre, laissant passer les rayons du soleil, permet de maintenir efficacement la chaleur de l’air ou de l’eau.La protection solaire et l’intimité sont également des points importants conservés par l’intégration du store horizontal et verticaux en toile micro perforée dans la structure de la pergola au toit en verre.
Il y a 2 ans et 223 jours

Edilians enrichit sa gamme d’isolants avec FLEXIClean et SKINReflex, deux nouvelles solutions alliant économies d’énergie et confort d’été

Compte tenu de l’évolution des enjeux énergétiques et environnementaux, l’amélioration de la performance des bâtiments et leur adaptation, en neuf comme en rénovation, s’impose comme une priorité pour les rendre moins énergivores, préserver le confort d’été des occupants et limiter le recours systématique à la climatisation. Pour atteindre cet objectif, EDILIANS, soucieux de l’impact du changement climatique, enrichit aujourd’hui sa gamme d’isolants pour les couvreurs avec deux nouvelles solutions au service d’un écohabitat. FLEXIClean, l’alternative responsable pour l’isolation entre les chevrons Fabriquée en France, la laine de polyester FLEXIClean est un isolant écoresponsable obtenu grâce à la revalorisation de bouteilles plastiques d’origine européenne et française, post consommation. Outre une véritable traçabilité de la matière première utilisée, elle participe ainsi au recyclage d’une grande quantité de déchets plastiques puisque 250 bouteilles sont nécessaires à la production d’1 rouleau de FLEXIClean. FLEXIClean possède d’excellentes performances thermiques et acoustiques, certifiées par l’ACERMI et le CSTB, grâce à : – une faible conductivité thermique qui permet de réaliser des économies d’énergie, – un coefficient d’absorption acoustique α = 1 (1 correspondant à un matériau parfaitement absorbant) pour un confort optimal. Doté de propriétés imputrescible et hydrophobe, ce nouvel isolant écoresponsable possède, en outre, une excellente tenue mécanique qui évite son tassement et sa déformation dans le temps. De quoi garantir une isolation efficace et durable (durée de vie annoncée jusqu’à 50 ans par le CSTB) ! Afin de s’adapter aux profondeurs usuelles des chevrons en rénovation de toiture, FLEXIClean est disponible sous forme de rouleaux de 1,20 x 5,4 (6,48 m2) en deux épaisseurs de 80 et 105 mm. Léger, non irritant et sans dégagement de poussière, facile à découper, sa mise en œuvre s’effectue de façon simple, rapide et offre un véritable confort de pose aux artisans. Totalement sain, non toxique, et sans allergène grâce à son processus de fabrication dépourvu d’adjuvant et de liant chimiques, il bénéficie des classifications OEKO-Tex et A+ et contribue ainsi à réduire les émissions de Composés Organiques Volatils à l’intérieur des habitations et donc, à améliorer la qualité de l’air intérieur. SKINReflex, un isolant mince réfléchissant, complément d’isolation pour un confort absolu été comme hiver Produit de haute technologie breveté, SKINReflex est un complément d’isolation HPV respirant et réfléchissant destiné à améliorer les performances des isolants entre chevrons et le confort d’été. Il se compose : – d’un parement extérieur en aluminium pur réfléchissant, microperforé et armé d’un tissu de verre renforcé, – d’une membrane d’étanchéité, – d’une nappe isolante en filaments continus de verre de type E, – d’un parement intérieur en aluminium pur réfléchissant microperforé, – et d’une bande adhésive intégrée qui rend son installation facile et rapide. Cette conception unique confère à ce véritable produit respirant HPV et réflecteur de chaleur des propriétés exceptionnelles au service d’un véritable gain d’économie d’énergie, quelle que soit la période de l’année : – l’été, il laisse respirer la structure sans risque de condensation de par sa perméabilité élevée à la vapeur d’eau (Sd 0,06 m) et réfléchit jusqu’à 95% du rayonnement solaire, – l’hiver, ses fibres sont faiblement conductrices (0,029 W/mK, R = 1,70 m2.K/W selon EN 16012), – en toute saison, il protège et renforce l’isolant en sous-face (résistance à la traction R3) et assure l’étanchéité à l’eau et au vent (W1). Autant de caractéristiques qui permettent à SKINReflex de réduire les ponts thermiques jusqu’à 25% ainsi que la surchauffe de l’habitat (jusqu’à 3 fois moins de chaleur dans les combles). Proposé en épaisseur de 13 mm avec une résistance thermique de 1,7 m2.K/W, il convient à tous les types de bâtiments (maison individuelle, immeuble, construction bois). Ecran isolant, pare-pluie et non combustible (A2-s1,d0) sous avis technique du CSTB, SKINReflex d’EDILIANS constitue la seule solution pour pouvoir fermer au faîtage et à l’égout ainsi qu’autour des conduits de cheminées, et former ainsi une enveloppe continue et isolante autour de la toiture. Associés aux panneaux sarking de la gamme Sarkeo, FLEXIClean et SKINReflex permettent une rénovation performante avec un niveau de résistance thermique donnant droit aux aides de l’état, dès lors que leur résistance thermique combinée est ≥ 6. Fruit des études réalisées par EDILIANS sur l’influence de la couleur des tuiles sur la température en sous face de couverture, ces nouvelles solutions d’isolation illustrent la mission du récent Pôle Edilians Energie Environnement : créer des synergies entre les différents éléments de la toiture en développant une offre complète de systèmes. EDILIANS montre ainsi plus que jamais sa volonté de placer la toiture au cœur de l’écohabitat. www.edilians.com
Il y a 2 ans et 225 jours

L'économie française sur la corde raide cet automne

L'Institut national de la statistique a maintenu sa prévision d'une croissance de 2,6% pour l'année 2022, contre 2,7% prévus par le gouvernement.Pour y parvenir, l'Insee prévoit une hausse du produit intérieur brut (PIB) modeste au troisième trimestre (+0,2%, comme annoncé dès septembre), après un second trimestre dynamique (+0,5%), est-il précisé dans la note intitulée "Un automne lourd de menaces pour l'Europe".Mais l'incertitude plane sur les trois derniers mois de l'année en raison d'un "scenario international qui s'assombrit", a déclaré Julien Pouget, chef du département de la conjoncture de l'Insee lors d'une conférence de presse."Ralentissement du commerce international d'ici la fin de l'année, l'inflation qui reste élevée, des inquiétudes spécifiques à l'Europe sur les approvisionnements énergétiques, un resserrement des politiques monétaires en toile de fond avec une volatilité accrue sur les marchés", a-t-il énuméré pour illustrer les menaces qui pèsent sur la croissance française mais aussi mondiale.Rebond de l'inflationLa prévision d'une stagnation du PIB français au quatrième trimestre est donc un "scenario intermédiaire" qui inclut "la résilience" de certains indicateurs mais aussi les "craintes associées à d'éventuels arrêts de production" dans l'industrie.L'inflation, qui avait reculé en septembre à 5,6% sur un an grâce à la remise à la pompe notamment, devrait à nouveau diminuer légèrement en octobre puis "repartirait à la hausse" en novembre avec la fin progressive de la ristourne sur les carburants, pour atteindre 6,4% sur un an en décembre (contre 6,6% prévu précédemment), selon l'Insee.Sur l'année, la prévision d'inflation passe de 5,3% à 5,2%, bien plus maîtrisée que pour d'autres pays européens grâce aux "fixations des prix de l'énergie, leurs modalités et les politiques publiques mises en place", affirme M. Pouget.La hausse des prix pèse cependant sur le pouvoir d'achat des ménages qui devrait baisser plus que prévu en 2022 (-0,6% selon l'indicateur par unité de consommation, contre -0,5% escompté initialement).Sur le second semestre, le pouvoir d'achat devrait en revanche rebondir, selon l'Insee, à la faveur des revalorisations de salaires, de minima sociaux et des mesures de soutien. La consommation des ménages ne devrait progresser que très modérément, au profit d'un redressement du taux d'épargne.Si les mesures de soutien permettent de limiter les prix de l'énergie, c'est l'alimentation qui, depuis septembre, pèse le plus avec une inflation attendue en glissement annuel à près de 12% en fin d'année sur les produits alimentaires.L'Insee a enfin revu à la baisse ses prévisions pour l'emploi. Alors qu'il tablait sur une légère baisse du taux de chômage en 2022, l'Institut prévoit désormais une stagnation à 7,4%, liée en partie "au ralentissement de l'activité"."Les tensions succèdent aux tensions"L'incertitude sur l'activité au quatrième trimestre repose sur les craintes liées à l'approvisionnement en énergie, conséquences de la guerre en Ukraine et de la réduction par Moscou de ses livraisons de gaz à l'Europe."Les tensions succèdent aux tensions", a résumé Julien Pouget, énumérant une détente des cours du bois, du nickel ou du blé mais un accroissement des pressions sur le pétrole, notamment après la dernière réunion de l'Opep+, et sur le gaz.L'Insee n'exclut pas "un éventuel repli de l'activité en cas par exemple de contraintes fortes sur les approvisionnements" qui pourraient entraîner des arrêts de production.On observe ainsi une baisse "plus marquée" du moral des chefs d'entreprise dans les branches industrielles les plus dépendantes de l'énergie (chimie, métallurgie, papier, etc.).L'Institut prévoit un repli de l'industrie manufacturière et un ralentissement pour les services, qui pèseront dans le ralentissement général de l'activité au quatrième trimestre, après un troisième trimestre dynamique, selon les derniers indicateurs.L'Insee, qui ne fait pas encore de prévisions pour 2023, prévoit enfin que l'acquis de croissance pour l'année prochaine (la croissance en 2023 si le PIB trimestriel reste au niveau de fin 2022) serait de +0,2%, contre +2,3% fin 2021.
Il y a 2 ans et 225 jours

Plan de sobriété énergétique : le gouvernement décrète une mobilisation générale

Cela suppose de transformer durablement nos habitudes et nos comportements. C'est le sens du plan de sobriété énergétique présenté ce jeudi 6 septembre, en présence de la Première ministre, Élisabeth Borne, des membres du Gouvernement, et des représentants des différents secteurs d'activité.Neufs groupes de travail sectoriels ont travaillé tout au long de l'été pour bâtir des plans d'action sobriété sur-mesure, à partir des propositions remontant du terrain. Chaque groupe a pu aboutir sur des mesures simples et opérationnelles, applicables à très court terme. Garant du plan sobriété énergétique, l’État doit être à la fois exemplaire et levier. Il prendra toute sa part afin d'impulser un engagement collectif et solidaire, qui nous permettra d'atteindre l'objectif de réduire de 10% nos consommations énergétiques au niveau national sur les deux prochaines années. Plan d'action pour une organisation du travail qui prend mieux en compte l'objectif de sobriété énergétiqueDans un contexte marqué par l'accélération du changement climatique, la raréfaction des ressources et le conflit ukrainien, la transition énergétique de la France est plus que jamais la priorité. La France doit sortir de sa dépendance aux énergies fossiles et réduire de 40 % sa consommation d'énergie d'ici 2050. Cela suppose notamment de transformer durablement nos habitudes et nos comportements.Vous souhaitez participer à cette transformation collective et engager votre entreprise dans une démarche de sobriété énergétique avec l'objectif de réduire de 10 % d'ici 2024 les consommations.L'État vous accompagne sur la plateforme Les entreprises s'engagent www.lesentreprises-sengagent.gouv.fr/agir-pour/sobriete. Vous pouvez ainsi souscrire de manière volontaire à la mise en œuvre d'un plan en 15 actions de court ou moyen terme destinées à :économiser les consommations d'énergie dans le fonctionnement quotidien ;piloter les installations énergétiques ;soutenir et rationaliser toutes les mobilités durables liées à l'activité de l'entreprise ;animer vis-à-vis de toutes les parties prenantes internes (partenaires sociaux) et externes sur l'ensemble de la chaine de valeur (des prestataires aux clients) - cette démarche de sobriété énergétique qui devient incontournable dans tous les modèles d'affaires.Pour chaque action, l'engagement de l'entreprise, adapté à son contexte particulier, son activité et mobilisé dans le cadre du dialogue social, lui permet d'accéder à des ressources, guides, dispositifs d'appui et d'accompagnement, ainsi que d'être mise en relation avec des interlocuteurs conseils.La plateforme permet également de renseigner et d'actualiser périodiquement vos engagements en indiquant la trajectoire suivie pour chaque action à l'aide des indicateurs de référence proposés.La plateforme a également vocation à servir de centre de partage des bonnes pratiques que chaque entreprise est invitée à présenter et qui pourront servir d'exemples et de source d'inspiration à d'autres entreprises engagées dans cette démarche.Les actions anti-gaspillage1. J'applique les consignes de température dans mes locauxEn respectant des consignes strictes de température dans vos locaux et bâtiments professionnels et en démarrant au bon moment la période de chauffe, vous favorisez les économies d'énergie de votre entreprise : 19 °C pour le chauffage, 26 °C pour la climatisation, 16 °C pour un bâtiment inoccupé pendant 48 h (le week-end), 8 °C pour un bâtiment inoccupé plus de 48 h.2. J'agis sur l'éclairage de mes bâtimentsVous pouvez le faire de deux façons : en éteignant l'éclairage intérieur des bâtiments dès qu'ils sont inoccupés ; en réduisant l'éclairage extérieur (notamment publicitaire) et en l'éteignant au plus tard à 1 h conformément à la réglementation.3. Je réalise un diagnostic de performance énergétique de mes bâtimentsEn procédant ainsi, vous identifiez les postes où vous pouvez agir, comme l'isolation des infrastructures (sols, fenêtres, murs, etc.). Vous pouvez également installer des dispositifs de gestion technique de vos bâtiments.4. J'effectue un suivi précis de mes consommations d'énergieSi vous installez des outils de pilotage, de suivi, de mesure en temps réel des consommations énergétiques (eau chaude, gaz, électricité, etc.), vous en aurez une connaissance plus fine et vous pourrez faire le nécessaire pour les optimiser. Les actions en faveur de l 'efficacité énergétique5. Je favorise les solutions techniques moins énergivoresVous pouvez mettre en place des mesures à plusieurs niveaux : dans vos matériels (machines, équipements) ; pour vos télécommunications (terminaux, gestion des messageries) ; avec un éclairage basse consommation.6. Je développe des clauses de sobriété dans mes contrats avec toutes les parties prenantesVous pouvez engager vos fournisseurs, sous-traitants, clients dans des plans d'actions de sobriété énergétique via la contractualisation de clauses spécifiques.7. Je développe un système de chauffage autonomeVous pouvez mettre en place des dispositifs de chauffage autonome ou de récupération de la chaleur et installer, quand cela est possible, des pompes à chaleur, des panneaux photovoltaïques sur les surfaces de toitures ou des éoliennes.TélétravailPour les situations de crise énergétique, prévoir avec les partenaires sociaux une organisation en télétravail. Le télétravail pourrait être déclenché dans les situations d'urgence en cas de tension importante sur le réseau électrique, afin de maximiser les économies d'énergie liées à l'activité dans les bâtiments.Les actions en faveur de la mobilité durable8. J'encourage les mobilités doucesCette action peut se faire à plusieurs niveaux : en incitant en priorité à la négociation sur des mesures visant à améliorer la mobilité des salariés entre leur lieu de résidence habituelle et leur lieu de travail, à défaut en optimisant ou en créant avec les organisations syndicales un plan de mobilité employeur (PDME) ; en privilégiant les véhicules électriques à faibles émissions pour la flotte de votre entreprise ; en proposant des équipements de mobilité douce en alternative à la voiture ou en les mettant à disposition de vos salariés ; en prévoyant des installations nécessaires sur le lieu de votre entreprise et une formation à l’écoconduite pour les salariés, en les encourageant à réduire la vitesse lors de leurs déplacements professionnels ; en mettant en place des dispositifs de covoiturage et en encourageant le vélo.9. Je déploie les dispositifs d’incitation à la mobilité durable, en particulier le forfait mobilités durablesEn développant le forfait mobilités durables, vous pouvez inciter les salariés de votre entreprise à favoriser les moyens de transport en commun, le covoiturage, ou encore le vélo pour leurs déplacements domicile-travail. Vous pouvez aussi proposer aux salariés ayant droit à un véhicule de fonction un crédit mobilité leur permettant un usage professionnel et privé de modes de transport alternatifs (train, taxi, vélo).10. J’optimise tous les déplacements professionnelsVous pouvez regrouper les déplacements et supprimer ceux qui sont inutiles. Il est aussi fortement recommandé de donner des consignes claires de déplacement, comme de n’utiliser la voie aérienne que lorsque le temps de trajet par voie ferroviaire est supérieur à 4h pour un trajet simple ou 6h pour un aller-retour dans une même journée. Vous pouvez également privilégier les vols commerciaux à l’usage des avions privés.Les actions pour dynamiser la démarche de sobriété11. Je désigne un ambassadeur ou référent au sein de mon entreprise ou établissementDans chacun de vos établissements, vous pouvez nommer un ambassadeur ou une personne référente de la sobriété énergétique qui sera en charge de l’animation, du conseil, du contrôle des mesures décidées.12. Je sensibilise et forme les salariés aux écogestesPlusieurs actions peuvent être mises en place facilement, comme éteindre les appareils en veille, notamment les écrans ; optimiser les usages numériques pour limiter la consommation des appareils et des serveurs (privilégier l’audio à la vidéo lors des visio, l’archivage des messageries, la libération de l’espace sur les serveurs, dark mode, etc.) ; privilégier la recharge des appareils électriques en heures creuses.13. Je définis en concertation avec les partenaires sociaux une trajectoire de réduction de la consommation d’énergieL’objectif est de présenter une trajectoire de réduction de la consommation d’énergie de l’entreprise et le plan d’actions menées en faveur de la sobriété énergétique au comité social et économique ou aux délégués syndicaux. Vous pouvez prévoir une politique de sobriété sur les télécommunications, notamment avec des terminaux moins énergivores et une politique de gestion des messageries (éviter de trop stocker de messages, trier et nettoyer régulièrement sa boîte). Enfin, vous pouvez également engager l’entreprise de façon volontaire dans le dispositif ÉcoWatt.14. J’engage des plans d’actions pour réduire les pertes de matières par nature énergivoresCes pertes de matières sont une source de consommation d’énergie inutile. Elles sont également coûteuses dans le contexte actuel de hausse du prix des matières premières.
Il y a 2 ans et 226 jours

Bouches-du-Rhône : des travaux de maintenance sont en cours sur l’A8 à Aix-en-Provence.

Vinci Autoroutes procède à des travaux de rénovation des chaussées de l’autoroute A8 au niveau d’Aix-en-Provence...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 226 jours

Batimat : Les produits que vous avez (peut-être) manqués

Si Batimat a quitté le gigantisme du Parc des Expositions de Paris Nord Villepinte pour retrouver le parc des expositions de Portes de Versailles, mondial du bâtiment oblige, difficile d’en faire le tour. Pour vous, Batijournal revient sur quelques produits qui vous ont peut-être échappés. Style Inov : Styl’Inov Evolution Style Inov développe un nouveau profil de couverture à joints debout en acier galvanisé laqué pour la couverture/bardage. Le profil est façonné en usine remis directement au couvreur. Par sa conception, le temps de pose est divisé par deux estime l’entreprise. Stylinov Evolution est proposé en 6 coloris. Il affiche des dimensions de 0,5 mm d’épaisseur, de 29 mm de hauteur de joint, de 469 mm d’entraxe des joints. Sa longueur maximale est de 13m. Style Inov a engagé une démarche auprès du CSTB afin d’obtenir une fiche FDES. Le produit a été récompensé par le label SAGERET « ELU INNOVATION du BTP par les professionnels 2022 lors des élections des Produits du BTP 2022. Héméa : Le Club pro Hemea développe Club Pro hemea, une gamme de service pour les professionnels du bâtiment. Objectif : libérer du temps avec un logiciel de devis. L’entreprise assure que l’outil peut libérer entre 5 et 10 heures de temps par mois sur la réalisation des devis. Une base de prix est associée au logiciel qui permet aux professionnels de se positionner par rapport aux prix du marché. La base de données a été nourrie grâce à des audits réalisés auprès de centaines de professionnels. A côté de cela, ont été associés d’autres outils digitaux comme la signature électronique, des notifications d’ouverture qui permettent de voir quand et combien de fois un client a ouvert un devis. Une messagerie a été intégrée directement dans la plateforme afin de faciliter les échanges entre clients et professionnels. Héméa développe également une centrale d’achat de matériaux en ligne. Riou Glass : Store Vision  Riou Glass a développé un vitrage avec store intégré. Le produit est proposé en deux versions, avec lames ou Blackout (store plissé). Le store vision lame peut embarquer au choix, une commande manuelle slide ou à moteur solaire. Il est proposé en blanc, gris métallisé, ou beige. Le store Vision Blackout permet d’occulter complètement la lumière en journée. Il est disponible en commande manuelle par cordon, ou à moteur solaire. Les deux produits apportent également un bénéfice d’un point de vue thermique, solaire, sonore et sécuritaire promet l’entreprise. Alucobond ® Easy fiX  Alucobond a présenté son nouveau système de fixation invisible pour façade ventilée Easy fiX. Afin de garantir une plus grande liberté architecturale, le calepinage des cassettes peut être au choix, horizontal et/ou vertical. Le pliage lui, est réalisé par fraisage directement sur chantier. Cette petite particularité permet également d’assurer un meilleur taux de remplissage des camions à la livraison, et ainsi de réduire les émissions liées au transport indique l’entreprise. Les fixations par pincements sont invisibles et ne nécessitent pas l’ajout de rivets. Ce qui réduit l’épaisseur des cassettes de 31 mm. Edilteco : Politerm® R Produit de la gamme green d’Edilteco, Ploliterm®R est conçu à partir de polystyrène expansé 100% recyclé. Sa matière première est issue des chutes de découpe de bloc de panneaux sur les chaînes de fabrication. Les déchets sont récupérés, broyés et regranulés dans des diamètres de 2 à 5 mm, puis ensachés. Cet agrégat d’isolant est destiné aux mortiers et béton légers thermo-acoustiques pour la réalisation de chapes, ravoirages, rattrapages de niveaux, formes de pentes et remplissage. Il isole et traite thermiquement et acoustiquement les supports.
Il y a 2 ans et 227 jours

Pour son prochain budget, le gouvernement français table sur une croissance mondiale de 3,1% en 2023

Pour la zone euro, le Rapport économique, social et financier prévoit 1,5%, contre un maigre 0,3% dans les dernières prévisions de l'OCDE datant de fin septembre.Pour la France, le projet de budget 2023 du gouvernement est bâti sur un scénario de 1% de croissance."Les aléas autour de ce scénario économique sont particulièrement élevés", notamment en raison du conflit en Ukraine, souligne le gouvernement dans ce rapport transmis au Parlement dans le cadre de l'examen du projet de loi de finances 2023.Dans un contexte international difficile, "la contribution du commerce extérieur à la croissance du PIB serait nulle en 2022 et 2023", prédit le gouvernement, alors que le déficit commercial devrait se creuser à 156 milliards d'euros cette année, avant de se stabiliser à 154 milliards l'an prochain, en raison de l'envolée de la facture énergétique de la France.Le solde négatif des biens et services se dégraderait moins, passant de 73 milliards d'euros en 2022 à 68 milliards en 2023, grâce à un excédent des services qui augmenterait de 62 à 65 milliards.Le salaire moyen par tête accélérerait de 3,6% cette année, puis de 4,1% en 2023, rattrapant presque le niveau de la hausse des prix à la consommation projeté pour l'an prochain (4,2%)."Taux d'épargne toujours élevé"La consommation des ménages continuerait à progresser, mais moins vite, passant de 2,5% à 1,4% en 2023."Les comportements de précaution resteraient toutefois importants, ce que traduirait le maintien d'un taux d'épargne toujours élevé", à 16,3%, nettement au-dessus de la moyenne de la période de 2010 à 2019 (14,8%).Le rapport met en avant que, sans bouclier tarifaire ni remise carburants, la hausse des prix en France serait plus élevée de deux points de pourcentage cette année et de plus de 3,5 points en 2023.L'ensemble des mesures de soutien ont permis de stabiliser le pouvoir d'achat des ménages cette année, qui aurait sinon baissé de 3,5 points de pourcentage. Pour 2023, le pouvoir d'achat devrait augmenter de 0,9% contre une baisse supérieure à 3,5 points en l'absence de mesures.Parmi les soutiens au pouvoir d'achat figure aussi la suppression progressive de la taxe d'habitation, qui sera achevée l'an prochain.Le ratio de dépense publique devrait diminuer d'un point, passant de 57,6% du PIB cette année à 56,6% l'an prochain, la dépense publique reculant de 1,5% en volume (une fois retranchée l'inflation) "avec la quasi-extinction des dépenses de soutien d'urgence et la réduction des dépenses de relance".Le taux de prélèvements obligatoires diminuerait lui d'une demi-point de pourcentage pour s'établir à 44,7% du PIB en 2023.Sur le front de l'emploi, 2022 se terminerait avec 320.000 créations nettes. Le rythme ralentirait l'an prochain, avec seulement 115.000 créations nettes.Côté entreprises, le taux de marge progresserait légèrement l'an prochain, passant de 31,9% à 32,1%, soutenu par la suppression de la première partie d'un impôt de production, la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE).L'investissement devrait continuer à augmenter, mais sa progression ralentirait de 1,4% cette année à 0,9% l'an prochain.
Il y a 2 ans et 227 jours

Les réserves françaises de gaz sont remplies à 100% selon la Commission de régulation de l'énergie

"La campagne de remplissage des stockages pour l'hiver 2022/2023 se termine avec des stockages remplis à plus de 99%", a indiqué dans un communiqué la CRE, la France devenant ainsi le troisième pays européen après la Belgique et le Portugal à remplir au maximum ses capacités de stockage de gaz naturel.Avec 130 TWh, ces réserves, qui ont atteint un "niveau supérieur à la moyenne des dernières années", représentent "environ 2/3 de la consommation hivernale des PME et des particuliers" en France, détaille-t-elle.La Commission met en garde contre "des situations de tension néanmoins possibles en fonction des conditions du passage de l'hiver". "Un effort collectif massif visant à réduire nos consommations d'énergie, associant entreprises, administrations, collectivités et particuliers, est donc indispensable", assène-t-elle.Une vision partagée par les deux sociétés chargées du stockage, Storengy, filiale d'Engie, et Teréga: "Afin d'anticiper d'éventuelles situations de tension dans les mois à venir, une utilisation raisonnée des stockages ainsi qu'un effort de sobriété sur les consommations de gaz et d'électricité apparaissent nécessaires dès maintenant", ont-elles affirmé dans un communiqué commun."Ce taux de remplissage des stockages confirme la fiabilité du système et des infrastructures gazières françaises", a salué le PDG de Teréga, Dominique Mockly, dont l'entreprise stocke un quart du gaz en France, principalement sur des sites situés dans le sud-ouest du pays.Les trois quarts restant sont répartis sur 14 sites de stockage éparpillés sur tout le territoire et opérés par Storengy, dans des sites souterrains naturels tels que des nappes aquifères.L'objectif du gouvernement de remplir les capacités de stockage du pays en gaz naturel d'ici novembre est donc atteint alors que les exportations de gaz russe vers la France sont totalement taries depuis le 1er septembre.Il doit présenter jeudi son "plan de sobriété énergétique", visant à mobiliser tous les secteurs de la vie économique et sociale pour réduire de 10% la consommation française d'énergie en deux ans et aider le pays à affronter un hiver tendu.Storengy et Teréga ont insisté sur les deux scénarios envisagés pour cet hiver. "Un hiver moyen sans pointe de froid marquée, montre un système globalement équilibré", écrivent-ils même s'il y a "peu de marge de manoeuvre".Mais en cas de vague de froid sévère ou durable, "le déficit hivernal peut atteindre 16 TWh, ce qui représente 5% de la consommation hivernale", préviennent les deux entreprises. Des mesures de sobriété seront alors essentielles pour éviter les coupures et malgré cela, "toutes les sources devront alors être mobilisées" pour satisfaire la consommation.Outre la France, la Belgique et le Portugal, la Pologne a aussi ses réserves presque pleines, avec un taux de remplissage de 98,34% selon la base de données de Gas Infrastructure Europe. En moyenne, les pays de l'Union européenne ont rempli leur capacité de stockage à 89%, en anticipation d'un hiver inédit sans gaz russe.Le pays le moins bien loti est la Lettonie, avec 52,75%.
Il y a 2 ans et 228 jours

Travaux d’aménagement de la gare de Châtillon-Montrouge sur la future ligne 15 Sud du Grand Paris Express

Les travaux, d’un montant de 34,5 millions d’euros, ont démarré en mai 2022 pour une durée de 42 mois. Ils portent sur le gros œuvre, la réalisation d’escaliers en béton armé et les corps d’états architecturaux et secondaires de la gare, ainsi que sur le clos couvert du bâtiment voyageur en émergence.Conçue par Périphériques Marin+Trottin Architectes, la gare sera composée de cinq niveaux intermédiaires, dont une mezzanine. Elle se distinguera par sa série d’escalators menant du rez-de-chaussée jusqu’aux quais situés à 32 mètres de profondeur, ainsi que par son plafond artistique dans l’atrium. L’oeuvre, créée par l’artiste Laurent Grasso et Périphériques Marin+Trottin Architectes, sera composée de 2 750 lames imprimées en aluminium représentant un ciel.Sur ce chantier, 10% des heures seront effectuées en insertion sociale. Les équipes de Chantiers Modernes Construction mobiliseront également le fonds de dotation de VINCI, Chantiers & Territoires Solidaires, qui soutient des projets associatifs d’intérêt général liés à l’emploi et au lien social sur les communes traversées par des chantiers du Grand Paris Express.Cette nouvelle réalisation confirme l’expertise de Chantiers Modernes Construction dans l’aménagement de gares du Grand Paris Express. Elle s’inscrit dans la continuité des opérations également menées actuellement par Chantiers Modernes Construction, avec les travaux d’aménagement de la gare de Noisy-Champs (Seine Saint-Denis et Seine-et-Marne) sur la future ligne 15 Sud et des trois gares aériennes Palaiseau, Orsay-Gif et CEA Saint-Aubin (Essonne) situées sur le viaduc de la future ligne 18.
Il y a 2 ans et 229 jours

Soubassements et murs enterrés : Knauf présente 2 nouveautés bas carbone et 100% validées

Qu’il s’agisse d’isolation semi-enterrée ou enterrée, cette nouvelle offre Knauf bas carbone (FDES à l’appui), s’avère 100% validée puisque disposant de tous les justificatifs techniques nécessaires pour son emploi en pied de façade notamment dans les ERP et les bâtiments résidentiels et industriels (classement Euroclasse du panneau selon la réglementation incendie des systèmes d’isolation par l’extérieur).Une offre aux 4 références et 2 innovations L’industriel propose ainsi aux professionnels une gamme complète, afin de répondre à chaque besoin de chantier. Cette gamme est constituée de quatre références dont deux innovations : Knauf Périboard ULTRA+, Knauf Perimaxx ULTRA, Knauf Perimaxx Resist et Knauf Therm Soubassement SE. La première nouveauté, destinée à l’isolation semi-enterrée des soubassements, Knauf Périboard ULTRA+, qui remplace Knauf Périboard ULTRA 30 SE, est parfaitement en phase avec les exigences bas carbone et revendique une nette réduction de son impact CO2 grâce à l’utilisation de PSE recyclé lors de la fabrication du panneau isolant et à la certification PEFC du bois contenu dans le parement en bois-ciment. Knauf Périboard ULTRA+ affiche ainsi seulement 9 kg CO2/m2 sur tout son cycle de vie (ép. 90 + 10 mm R = 2,90 m2.K/W), soit la valeur la plus basse observée sur le marché pour une solution de ce type ! Panneau composite (1000 x 600 mm – soit 990 x 590 mm utiles) à bords feuillurés doté d’un parement lisse à bords biseautés, Knauf Périboard ULTRA+ se destine à l’isolation par l’extérieur des pieds de façade. Il s’applique sur les murs de soubassements (des catégories 1, 2 et 3 définies selon le DTU 20.1) sur maçonnerie de petits éléments, béton banché, béton préfabriqué et prémurs béton. Autre atout du Knauf Périboard ULTRA+, le complexe, qui revendique une réaction au feu Euroclasse B-s1, d0 (jusqu’à l’épaisseur 110 + 10 mm) est un tout en 1 comprenant une plaque de parement, et ne nécessitant pas de finition complémentaire, pour un appréciable gain de temps lors de la pose. Disponible en 8 épaisseurs (40/60/70/70/90/110/130/150/175 et 195 + 10 mm), Knauf Périboard ULTRA+ affiche des performances thermiques de 1,25 à 6,25 m2.K/W. La seconde innovation de la nouvelle offre Knauf, Knauf Perimaxx ULTRA, constitue une réponse idéale et optimisée pour l’isolation et le drainage des murs enterrés sur les profondeurs d’enfouissement les plus courantes (inférieures à 4 mètres), complétant ainsi judicieusement la solution Knauf Perimaxx Resist qui, elle, peut être mise en œuvre jusqu’à 8 m de profondeur. Knauf Perimaxx ULTRA est un panneau rigide (1265 x 615 mm hors tout, soit 1 250 x 600 mm utiles) en PSE moulé de couleur grise à quatre bords feuillurés comprenant un parement filtrant en géotextile, avec des plots de drainage en forme de losange pour assurer l’écoulement des eaux de ruissellement. Mentionnons que ce drainage intégré au panneau (capacité de débit de 1,26 litres/(s.m) sous pression de 20 kPa), se substitue totalement à l’ajout d’une nappe à excroissance indépendante pour parois enterrées, ce qui réduit le temps de mise en œuvre et les coûts. De plus, Knauf indique que Knauf Perimaxx ULTRA affiche une très faible capacité d’absorption d’eau et de vapeur d’eau, une garantie pour la durabilité des performances d’isolation dans le temps de la solution (Seulement 3% d’absorption en immersion totale ou par diffusion de vapeur d’eau à long terme). Si Knauf Perimaxx ULTRA dispose également d’une réaction feu Euroclasse E (isolant seul) selon le rapport de classement CSTB n°RA21-0102, il affiche une conductivité thermique de 0,0307 W/m.K et une résistance à la compression à 10% de déformation selon EN826 de CS (10) 100, soit 100 kPa minimum. Knauf Perimaxx ULTRA justifie d’une mise en œuvre validée par une Enquête de Technique Nouvelle et ses caractéristiques sont conformes aux Recommandations Professionnelles n°2 de la CFSE et certifiées par l’ACERMI. Knauf Perimaxx ULTRA se destine à l’isolation thermique par l’extérieur, le drainage et la filtration des eaux de remblais des parois enterrées des murs de catégories 1, 2 et 3 des ERP, bâtiments d’habitation, tertiaires industriels et agricoles. Il s’applique sur murs maçonnés de petits éléments, béton banché, béton préfabriqué, prémur béton et procédé de mur en éléments de coffrage isolant en PSE disposant d’une évaluation technique.Enfin, Knauf Perimaxx ULTRA se décline en 8 épaisseurs (68/88/108/128/148/168/188/ 208 mm) pour des performances de résistance thermique allant de 1,95 à 6,50 m2.K/W.Knauf Perimaxx Resist et Knauf Therm Soubassement SE, les autres solutions Knauf Pour répondre à un maximum de configurations de chantier, Knauf Perimaxx Resist et Knauf Therm Soubassement SE restent à la gamme. Le premier s’impose pour ses qualités de drainage intégré des eaux de ruissellement et se substitue aussi à l’ajout d’une nappe à excroissance indépendante pour parois enterrées , il revendique une profondeur d’enfouissement jusqu’à 3 niveaux de sous-sols soit 8 mètres maximum, pour des résistances thermiques allant de 1,85 m2.K/W (ép. 68 mm) à 6,15 m².K/W en épaisseur 208 mm.Pour les finition enduites ou enterrées, sans besoin de drainage, Knauf Therm Soubassement SE (panneau de 1200 x 600 mm), en plus de réduire les ponts thermiques, assure aussi une protection efficace du soubassement pendant la mise en place des remblais à faible profondeur. De forte résistance mécanique, il se décline en des épaisseurs optimisées pour répondre aux exigences réglementaires, avec une profondeur d’enfouissement maximale jusqu’à 2,40 m, pour des performances thermiques allant de 0,55 à 11,25 m2.K/W (pour des épaisseurs respectives de 20 et 400 mm).Guide de choix, cctp... : les ressources knauf disponibles Comme de tradition désormais, Knauf accompagne cette offre d’un guide de choix disponible en ligne. Un outil simple et interactif qui permet de s’assurer du choix de la meilleure solution pour l’isolation des soubassements et murs enterrés selon le type de bâtiment, la catégorie de mur et la valeur de résistance thermique recherchée.Ce guide se complète aussi d’une base de descriptifs types dans une bibliothèque technique riche de plus de 2500 références à intégrer dans les CCTP et de Knauf BatiChiffrage qui estime le fourni-posé, chiffre le coût du chantier, calcule les temps d’exécution indicatifs, …Le mot du Chef de Marché, Gérard PersuyCette nouvelle offre répond aux enjeux actuels de la conception des bâtiments neufs et de leur rénovation : réduction des impacts carbone des produits de construction, réduction des consommations d’énergie des bâtiments pour les chauffer ou les rafraîchir et durabilité des performances.
Il y a 2 ans et 229 jours

Lancement du Plan piscines 2 en Seine-Saint-Denis

Ce lancement s’est fait en présence de Stéphane TROUSSEL, Président du Département de la Seine-Saint-Denis, Jacques WITKOWSKI, Préfet de la Seine-Saint-Denis, Zaïnaba SAÏD-ANZUM, Conseillère départementale déléguée au Sport, et Stéphane BLANCHET, Maire de Sevran.Ce second plan fait suite au Plan piscines 1, de 2016 à 2022, ayant contribué à la construction de 3 nouvelles piscines (dont deux sous maîtrise d'ouvrage départemental) et d’en rénover 9, pour un investissement total de 40 millions d’euros.Accélérer la création de lignes d’eauSi le premier plan a permis d’éviter la fermeture de certains équipements et d’accentuer leur fréquentation, la remise à niveau des infrastructures et la réduction des carences en matière d’offre reste un enjeu majeur, nécessitant notamment une accélération dans la création de nouvelles lignes d’eau. Avec 37 piscines actuellement (39 à l’horizon 2024), la Seine-Saint-Denis compte moins de 60m2 de bassin de natation pour 10.000 habitants, contre 160m2 en moyenne régionale et plus de 260m2 en moyenne nationale. 7 communes sur 40 n’ont aucun équipement aquatique.Doté de 35 millions d’euros, dont 15 millions d’euros financés par la SOLIDEO (Etat et Région), ce second Plan piscines permettra non seulement de financer des projets liés à l’héritage olympique, mais aussi de poursuivre l’effort de rattrapage en matière d’équipements aquatiques dans tout le département. Il pourra s’agir à la fois de projets de construction et reconstruction, de réhabilitation lourde et d’extension, ou de rénovations et d’aménagements visant le développement des usages.Les villes et EPT qui le souhaitent pourront candidater tout au long du plan, qui durera jusqu’en 2028.Une attention particulière aux territoires carencés, à la sobriété énergétique et l’accessibilité des équipements Afin d’encourager les porteurs de projets à prendre en compte les priorités de politiques publiques que porte le Département de la Seine-Saint-Denis, des financements supplémentaires seront attribués sous forme de bonus dans plusieurs cas.Les projets situés dans de szones très carencées (aucune piscine ou carence supérieure à 2 bassins) ou carencées (carence d’1 à 2 bassins).Les projets intégrant l’ensemble des enjeux environnementaux : budget carbone maîtrisé, qualité de vie garantie, valorisation et renforcement des écosystèmes.Les projets allant plus loin que les normes réglementaires en matière d’accessibilité, mais aussi pour ceux qui favorisant l’accès bassins à tout.e.s avec la création d’équipements aqua ludiques.Pour Stéphane TROUSSEL, Président du Département de la Seine-Saint-Denis : «A deux ans des Jeux, l’écart entre les besoins en matière d’équipements nautiques et la réalité des infrastructures dont nous disposons en Seine-Saint-Denis reste un sujet de préoccupation majeure. Si notre premier Plan piscines a permis d’éviter la fermeture de certains équipements, d’en rénover et d’en construire, cet effort se poursuit et s’amplifie aujourd’hui dans la dynamique des JOP. C’est tout le sens de ce second Plan piscines que nous lançons avec Zaïnaba Saïd-Anzum, Conseillère départementale déléguée au Sport, et Emmanuel Constant, Vice-président en charge des JOP, avec le soutien de l’Etat, de la Région et de la SOLIDEO. Il n’y a pas de miracle : c’est avec des moyens et des actes que nous pourrons développer l’apprentissage et la pratique de la nage, si importants en matière de santé publique, de sécurité individuelle et de vie sociale.»
Il y a 2 ans et 229 jours

Vinci remporte un milliard d'euros de contrats pour lignes à haute tension au Brésil

Signés par la filiale Cobra IS, rachetée en 2021 au groupe espagnol ACS, ces contrats portent sur la conception et la construction de plus de 2.000 km de lignes de transmissions et de plusieurs stations, dont plus de la moitié dans l'Etat du Minas Gerais, près de Sao Paulo.L'un de ces contrats porte également sur l'exploitation et la maintenance pendant 30 ans de 1.080 km de ligne, pour 3,48 milliards de rials, soit 670 millions d'euros, selon un communiqué.Les travaux qui mobiliseront "plus de 5.000 employés" devraient s'achever fin 2027, précise le groupe.Dans le même Etat, mais dans la région d'Espirito Santo, 4.900 employés de Vinci construiront, également d'ici fin à la fin 2027, 980 km de lignes pour 2,0 milliards de rials (386 millions d'euros).L'international pèse désormais pour plus de la moitié dans l'activité de Vinci, qui a réalisé au premier semestre un bénéfice net de 1,9 milliard d'euros, supérieur à l'avant-pandémie de Covid-19 et plus que doublé par rapport à 2021, sur fond de croissance de 26% du chiffre d'affaires, à 28,5 milliards d'euros.L'acquisition de Cobra IS, qui a déjà installé "environ 32.000 km de lignes électriques" au Brésil en 20 ans, représentait "un peu moins de la moitié" de cette croissance des ventes, avait expliqué le groupe fin juillet, lors de la présentation de ses résultats.Le groupe s'attendait alors à un résultat net 2022 supérieur à son niveau de 2019.
Il y a 2 ans et 229 jours

3 métiers d’avenir dans la construction

Le secteur de la construction est sujet à de nombreuses évolutions, que ce soit à cause des nouvelles technologies ou des départs à la retraite. Au Québec, d’ici 2029, le milieu devrait d’ailleurs atteindre un niveau de pénurie de main-d’œuvre record, accélérant ainsi la création de nouveaux métiers dont voici les 3 plus prometteurs. Manœuvre en construction Bien qu’un emploi de manœuvre en construction demeure dans la partie « traditionnelle » du secteur, il est tout de même considéré comme une branche d’avenir. En effet, bien au-delà de l’utilisation des technologies, comme pour les deux prochains métiers, cette profession fait partie des piliers de la construction. On remarque tout de même une certaine évolution dans les compétences à acquérir pour prétendre à ce poste. En effet, les tâches sont variées et il est souvent demandé aux candidats d’être de plus en plus agiles, avec une faculté d’adaptation et de collaboration. Surtout parce que les professionnels occupant ce métier sont amenés à : – Charger et décharger les matériaux. – Monter des échafaudages. – Accompagner les ouvriers qualifiés dans la réalisation des travaux. – Niveler l’environnement de travail pour faciliter l’accès aux chantiers. Bien que ces tâches ne soient pas exhaustives, elles n’en demeurent pas moins plurielles. D’un point de vue plus général, les manœuvres en construction garantissent la bonne réalisation des travaux, en secondant le travail de leurs collègues. Un poste qui demeure donc essentiel au secteur de la construction. Quel est le diplôme nécessaire pour travailler comme manœuvre en construction ? Les recruteurs recherchent des candidats ayant obtenu leur certificat de compétences « occupation ». Toutefois, il est également possible de travailler comme manœuvre sans diplôme. Quel est le salaire d’un professionnel en manœuvre en construction ? Au Québec, le salaire pour un professionnel en manœuvre en construction est fixé selon les conventions collectives avec lesquelles il travaille. Spécialiste en domotique La domotique fait partie intégrante des nouveaux métiers tels qu’on l’entend dans cette expression. Bien qu’elle soit à 100 % liée avec les nouvelles technologies, elle fait également entièrement partie du métier de la construction. En effet, intervenant après la construction des bâtiments, le spécialiste en domotique s’intéresse particulièrement à la création d’un habitat intelligent, basé sur le concept de smart home. Son objectif est alors d’utiliser ses connaissances en matière de technologies et de sécurité pour rendre le bâtiment plus sûr. Il s’occupe de créer les systèmes de sécurité comme les alarmes, les détecteurs de bris de vitre, les caméras et autres capteurs. Selon le type de structures (résidentielle, institutionnelle ou professionnelle), il peut également être amené à réfléchir à l’automatisation totale d’un bâtiment. Doté d’un amour pour les nouvelles technologies, autonome et doué d’un esprit d’équipe, le spécialiste en domotique travaille avec l’ensemble des équipes sur le projet en construction, et l’intègre dans toutes les étapes. Quel diplôme est nécessaire pour devenir spécialiste en domotique ? Le futur spécialiste doit obtenir une attestation de formation prouvant sa spécialisation dans l’installation de systèmes d’habitation intelligente. Toutefois, cette attestation requiert l’obtention préalable : – D’unités de 3e secondaire en langue seconde et mathématiques. – D’une attestation d’équivalence à la 3e secondaire. – D’une attestation de réussite au test de développement général. Quel est le salaire d’un spécialiste en domotique ? À Montréal, un spécialiste en domotique perçoit en moyenne 47 000 $ annuel. Ce salaire est tout de même sujet à des fluctuations selon les entreprises. Coordinateur BIM Dans le secteur de la construction, le coordinateur BIM (building information modelling) est spécialisé dans le bâti immobilier modélisé. En d’autres termes, il utilise les nouvelles technologies pour générer un plan 3D du bâtiment à construire. Grâce à cela, il permet à toutes les branches de la construction de travailler collectivement en visualisant l’ensemble des structures, des mécaniques, de l’électricité et de la plomberie à mettre en place. Un coordinateur BIM doit alors posséder des compétences en conception 3D, mais également être agile, faire preuve d’adaptabilité, de communication et de management, puisqu’il coordonne et renseigne les différentes équipes de construction. Quel diplôme obtenir pour devenir coordinateur BIM ? Deux situations sont possibles. Le candidat peut se spécialiser en conception de maquette numérique durant son cégep. Il faudra toutefois faire attention à intégrer un cégep délivrant l’attestation d’étude collégiale correspondante. Une expérience dans le domaine de la coordination et de la construction sera un plus pour démarrer sa carrière. En revanche, si le candidat est ingénieur ou architecte de formation, il peut obtenir un DESS en BIM et innovations numériques pour approfondir ses connaissances et se former. Quel est le salaire d’un coordinateur BIM ? Dans la région de Montréal, un coordinateur BIM peut percevoir jusqu’à 48 000 $ annuel, en moyenne. Le secteur de la construction demeure un secteur d’avenir Au Canada, le secteur de la construction est en constante évolution, surtout avec l’arrivée des nouvelles technologies. De nombreux métiers émergent de plus en plus, sans pour autant mettre de côté les postes plus traditionnels comme les maçons ou les carreleurs qui demeurent essentiels au secteur.
Il y a 2 ans et 229 jours

La mer monte mais l'homme tarde à déménager faute de moyens

"On a décidé de relocaliser notre camping", actuellement à 50 m du rivage, "ici à 700 m de la mer pour éviter les inondations qui ont meurtri ce camping et prendre en compte le changement climatique, le recul du trait de côte", explique Jean-François Bloc, maire depuis 34 ans de Quiberville (Seine-maritime), une station balnéaire qui affiche 2.500 habitants l'été. Derrière lui s'affairent les pelleteuses sur le terrain du futur "camping nature" annoncé pour l'été 2023.Ce "repli stratégique" dans les terres face aux risques de submersion les plus importants est prôné depuis une dizaine d'années par l'Etat, après des décennies "où on a bétonné un peu partout", et accéléré ainsi l'érosion, selon un haut fonctionnaire. La tempête Xynthia en 2010 a marqué un tournant.La mise en œuvre de cette "relocalisation" demeure pourtant "très rare", souligne Stéphane Costa, référent scientifique de la stratégie nationale de gestion du trait de côte.Pour lui, il est "urgent" d'agir. D'ici à 2100, le niveau de la mer devrait augmenter d'un mètre environ. Et "au moins 50.000 logements" devraient être concernés en France par l'érosion et le risque de submersion, selon le ministère de la Transition écologique.Le recul du trait de côte, le maire de Quiberville en est plus que conscient. Il vient d'exproprier pour destruction une maison en bord de falaise. Ce n'est ni la première ni la dernière. Et le camping en bord de plage, poumon économique de la commune, a été inondé plusieurs fois dans les années 2000. La ville n'a plus le droit d'y laisser de caravanes l'hiver."En 1999, on a eu 140 caravanes qui flottaient. En 1977, j'ai vu la mer casser la route. Les morceaux de béton sautaient, c'était comme un bombardement. On peut assister à nouveau à ça", souligne M. Bloc. "Pendant des décennies, ce territoire comme tant d'autres, a lutté contre la nature. Aujourd'hui au lieu de faire des murs, mettre des pompes, on choisit d'enlever les équipements submersibles pour ouvrir la vallée à la mer", explique Régis Leymarie, délégué adjoint du Conservatoire du littoral de Normandie, coordinateur du projet.Après le déménagement du camping, le tuyau étroit (1,5 m de diamètre) par lequel la Saâne se jette actuellement dans la mer va être remplacé par un pont de 10 m de long. En 2025, le fleuve retrouvera ainsi un lit plus large, incluant l'actuel camping, et sa biodiversité. Les campeurs n'auront plus la vue sur la plage mais sur la vallée réconciliée avec le fleuve, régulièrement élargi par la mer, selon le maire qui est aussi conseiller régional.Ce déménagement effraie toutefois certains habitués aux revenus modestes. Ils craignent que leurs mobil-homes n'aient pas leur place dans le futur camping qui va monter en gamme. "Avec nos petites retraites, on n'aura pas les moyens", s'inquiète Monique Delépine, 70 ans, même si le maire promet une "attention particulière" pour les habitués.Sans fonds européens, pas de projetEt "un jour ou l'autre, il faudra (aussi) déplacer" la route littorale "très fortement menacée", avertit M. Costa.Ce projet est "une première étape", qui a déjà mis 10 ans à aboutir, souligne Nicolas Leforestier le président du syndicat des bassins versants de la Saâne.Il n'a dû son salut qu'à l'obtention de fonds européens. Le nouveau camping évalué à 8,7 millions d'euros a été financé à environ 70% par l'UE et 30% par les collectivités locales, selon le Conservatoire.Car en "France il n'y a quasi pas d'argent pour l'adaptation au changement climatique", constate M. Leymarie. Et "pour l'instant tout le monde se refile la patate chaude", estime aussi M. Costa.A 40 km de Quiberville, Criel-sur-mer mène aussi une "étude pour laisser entrer la mer". Mais au-delà du financement, "le repli stratégique, il va se faire où ?", alors qu'il faut également éviter l'artificialisation des terres agricoles, interroge le maire Alain Trouessin.Flambée de l'immobilierA Montmartin-sur-mer (Manche), David Lecordier, éleveur de moutons de prés-salés s'est fait lui aussi à l'idée de quitter son "cadre idyllique resté un peu sauvage". Le Normand a vu un hectare de la ferme héritée de ses parents partir à la mer et trois autres devenir inondables.Mais le prix que lui propose le Conservatoire du littoral pour racheter ses terres est loin de financer son projet d'achat de gîtes pour accueillir des touristes un peu plus loin du rivage. La flambée continue des prix de l'immobilier sur le littoral "n'arrange pas les choses", déplore-t-il."On va pas non plus aller à 20 km dans les terres", où l'immobilier est moins cher mais "où les touristes ne passent pas", argumente-t-il. Et sa communauté de communes n'a pas prévu de l'aider financièrement. Au total, "l'impact financier de l'érosion est estimé à plusieurs dizaines de milliards d'euros", selon l'Association nationale des élus du littoral (ANEL) qui "attend depuis longtemps les outils et les ressources nécessaires à l'adaptation à l'érosion côtière".Interrogé par l'AFP, le ministère de la Transition écologique indique "réfléchir" à la question des financements à long terme, qui pourront inclure le privé, et souligne avoir débloqué 10 millions d'euros en tout pour 2021-2024 pour Gouville-sur-mer (Normandie), Saint-Jean-de-Luz et Lacanau (Nouvelle Aquitaine). "S'il y avait eu plus de territoires matures, on aurait pu accompagner plus de territoires", assure-t-on.A l'exception du déplacement dans les terres de parkings à Saint-Jean-de-Luz et d'un poste de secours et une boutique à Lacanau, les 10 millions, même abondés par les collectivités, ne financent dans les faits pas de travaux de relocalisation mais uniquement l'étude du déménagement de campings, habitations, commerces, station d'épuration, selon les collectivités concernées.En attendant, Lacanau (5.000 habitants) projette une digue à 30 millions d'euros en co-financement, après avoir constaté "l'infaisabilité financière et juridique" du déplacement de 1.200 logements évalués à 300 millions d'euros en 2013.Et Gouville (2.300 habitants) vient à nouveau d'investir 650.000 euros dans d'énièmes enrochements au printemps sur sa plage, autorisés provisoirement par l'Etat, alors que la justice administrative doit se prononcer prochainement sur de précédents enrochements jugés illégaux par le préfet.
Il y a 2 ans et 229 jours

La mairie de Paris renonce à des constructions controversées au pied de la tour Eiffel

Destiné à végétaliser et à piétonniser les abords de la "Dame de fer", le projet OnE, présenté par la maire (PS) de la capitale Anne Hidalgo, suscite depuis des mois les critiques des oppositions municipales et des défenseurs de l'environnement.Il devait notamment entraîner l'abattage d'une vingtaine d'arbres, certains centenaires selon les écologistes. La mairie y a renoncé en mai dernier, après les protestations de plusieurs associations et personnalités.Elle a donc également décidé d'abandonner quatre constructions prévues. "Je vous annonce que nous annulons purement et simplement tout projet de construction au pied de la tour, tout en maintenant le projet paysager", a déclaré M. Grégoire au JDD."La philosophie d'ensemble reste la même", a insisté le premier adjoint chargé de l'urbanisme. 'Nous allons mettre en oeuvre 95% du projet OnE, c'est-à-dire une continuité paysagère du Trocadéro au Champ-de-Mars, fidèle au dessin d'origine, respectueuse du patrimoine, avec moins de voitures et plus de nature"."Nous ne cédons pas à la pression, nous souhaitons juste que notre projet ne soit pas parasité par des polémiques annexes. Disons que nous corrigeons les points irritants", a-t-il ajouté, en précisant que le budget du projet baisserait en conséquence de 107 à 100 millions d'euros."Très bonne nouvelle", a réagi auprès de l'AFP Christine Nedelec, de France nature environnement (FNE) Paris, "mais les permis (de construire) sont toujours d'actualité (...) on attend que les permis soient retirés". "On veut aussi la remise en état du site et sa préservation", a-t-elle ajouté."Satisfaction pour l'heure mais on reste vigilants", a renchéri Thomas Brail, du Groupe national de surveillance des arbres (GNSA), qui s'est félicité auprès de l'AFP de la "cohésion associative qui fait qu'on arrive à gagner".Lundi, les associations opposées au projet avaient manifesté devant les arbres objets d'un sondage sur l'étendue de leurs racines, la mairie voulant vérifier si des constructions étaient encore possibles à proximité.Réunies par Emmanuel Grégoire vendredi, elles avaient de nouveau protesté contre cette méthode, soulignant notamment que le fait de creuser des tranchées à la pioche au niveau des racines pouvait être fatal aux arbres.
Il y a 2 ans et 229 jours

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