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Il y a 3 ans et 182 jours

Cérib : Kairos, l’approche proactive de la maintenance

Article paru dans le n° 97 de Béton[s] le Magazine Le service Kairos proposé par le Cérib permet de mieux maîtriser la maintenance du patrimoine bâti.[©Cerib] Assurer la continuité de service des ouvrages, quelle qu’en soit la nature, est un enjeu majeur pour l’ensemble des gestionnaires. Afin de les aider dans cette démarche, le Centre d’études et de recherches de l’industrie du béton (Cérib) lance Kairos. Il s’agit d’une offre globale de services basée sur une approche proactive de la maintenance, tant des bâtiments que des infrastructures.« Diagnostic, prédiction et anticipation sont les trois impératifs requis pour assurer avec efficience leur gestion à long terme,explique Jonathan Mai-Nhu, responsable du département “Durabilité des ouvrages” au Cérib. Cette dernière doit donc reposer sur une démarche proactive pour anticiper leur durée de vie résiduelle. » Ainsi, Kairos permet aux gestionnaires de prolonger la durée de vie de leur patrimoine bâti, tout en anticipant et en optimisant les opérations de remise en état. « Les maîtres d’ouvrage ont bien pris conscience qu’il est essentiel de prévoir, le plus en amont possible, les opérations de réparation. Ceci, pour gagner en économie, mais aussi pour préserver, sur le long terme, l’image du bâtiment ou de l’infrastructure, dont ils ont la responsabilité. »  Une approche en trois phases successives La nouvelle offre de service du Cérib est en rupture avec les approches “réactives” traditionnelles de gestion des ouvrages. Destinée aux maîtres d’ouvrage, comme aux bureaux d’études et de contrôles, elle se base sur des opérations de réparation mieux anticipées, donc plus maîtrisées au niveau de leurs coûts. « Les équipes du Cérib peuvent intervenir directement, s’il s’agit d’ouvrages en béton, ou confier cette mission à des partenaires, pour les ouvrages mixtes, par exemple », détaille Jonathan Mai-Nhu. Sur site, Kairos débute par la phase “diagnostic”, avec une analyse visuelle de l’ouvrage et une évaluation de son environnement. S’en suit le prélèvement d’échantillons pour tests en laboratoire. Ce diagnostic a aussi pour vocation de déterminer les caractéristiques des matériaux (béton, acier, pierre…) et d’apprécier les indicateurs généraux de durabilité. La phase n° 2 est celle de la prédiction. Là, est mise en place la modélisation des phénomènes physico-chimiques à l’origine des dégradations observées. Ce qui permet de quantifier l’évolution des phénomènes dans le contexte environnemental réel de l’ouvrage. « C’est durant cette phase que le Cérib a mis en œuvre un nouvel outil, tel que S-Dream-Crete,dévoile Jonathan Mai-Nhu. Développé en partenariat avec le LMDC1de Toulouse, ce modèle numérique capable de rendre compte des mécanismes physico-chimiques considérés comme déterminants pour l’interaction de l’environnement avec l’ouvrage. Autrement dit, d’évaluer la durée de vie de celui-ci. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 223 jours

Goran Ostojic, nouveau directeur du développement de Wizzcad

Goran Ostojic est le nouveau directeur du développement de Wizzcad. [©Wizzcad] Goran Ostojic rejoint Wizzcad à la direction du développement. Cette nomination illustre la stratégie du spécialiste du conseil des acteurs de l’immobilier et de la construction dans leur transformation digitale à renforcer ses équipes. Ceci, pour accélérer son engagement auprès des acteurs du BTP. Mais aussi de tous les acteurs qui franchissent le cap du numérique. Le recrutement de talents se poursuivra sur les prochains mois, dans toutes les lignes métiers. Goran Ostojic aura pour mission d’accélérer la trajectoire de croissance de l’entreprise vers la scale-up1. « C’est l’âge d’or du numérique en France et dans le monde entier d’ailleurs, alors ceux qui savent que je n’aime pas m’arrêter sur ce que je sais ne sont pas du tout surpris de mon choix pour Wizzcad ! Leur plate-forme technologique est la plus avancée d’Europe en matière de BIM et leur solution digitale utilisée par bon nombre d’acteurs différents m’a séduit dès le départ. Elle dispose en outre d’un track2 record sans égal dans ce domaine d’avenir. L’entreprise est moderne et le bonheur au travail s’y ressent dès l’intégration. Je me réjouis donc de rejoindre cette équipe dynamique où il fait bon travailler et innover ensemble pour un monde de demain plus efficient ! », déclare Goran Ostojic. Son parcours Goran Ostojic dispose d’une solide expérience de plus de 20 ans dans le management, la stratégie, le commerce, le marketing et les technologies du numérique. Après des études de commerce, d’audit et de gestion d’entreprise, puis de management, il a débuté sa carrière chez Ecus, un fabricant français de solutions de protection électrique data center. Il décide ensuite de s’orienter vers un marché en pleine croissance et rejoint le premier fournisseur d’accès Internet, c’était alors les débuts du digital en France en 1998. Il est séduit quelques années plus tard par un éditeur de logiciels Alpi France, grâce auquel, en tant que membre du directoire, il oriente la stratégie vers l’automatisation des documents et le processus BIM. Depuis ce jour, sa perception de la modélisation des données du bâtiment et son souhait d’aller vers les solutions digitales n’a cessé de grandir. « Les seules limites que je vois à la digitalisation sont celles de notre vision », conclut Goran Ostojic. 1La scale-up est une start-up passée à l’étape numéro 2. D’où le mot anglais “Scale”, qui signifie “échelle” en français. De la start-up à la scale-up, le changement d’échelle se manifeste à tous les niveaux, car l’entreprise adopte volontairement une stratégie de croissance. A ce stade, l’offre et le business model sont validés. L’objectif d’une scale-up est donc d’être capable de changer d’échelle pour faire croître son business et son chiffre d’affaires de façon significative. 2Le track record désigne l’historique de vie d’une entreprise ou d’un fonds de placement.
Il y a 3 ans et 227 jours

Matterport et la Cour de cassation s'associent pour rendre accessibles des éléments du patrimoine français

Quatre salles emblématiques du patrimoine culturel français sont désormais accessibles grâce à leurs parfaites duplications numériques.« La Cour de cassation est une institution que les Français ont en partage. Cœur battant de notre justice, elle rend depuis plus de 200 ans des décisions qui façonnent notre société. Dans ce contexte de crise sanitaire, la proposition de Matteport de modéliser en 3D nos salles historiques, à titre gracieux, nous est apparue comme une très belle opportunité : une façon originale et innovante de mieux faire connaitre au grand public ce lieux chargé d'histoire et dont chaque détail architectural rappelle les valeurs auxquelles nous sommes tous attachés. », a annoncé Guillaume FRADIN, responsable du service de communication de la Cour de cassation. James MORRIS-MANUEL, directeur général EMEA de Matterport, a ajouté : « Ces jumeaux numériques des salles de la Cour de cassation sont de bons exemples de la haute précision de la technologie de Matterport. Il s'agit d'une véritable prouesse technologique en termes de modélisation spatiale 3D. En outre, nous avons introduit un outil d'édition, le Blur Brush, que nous avons utilisé pour permettre à l'institution de mieux contrôler les caractéristiques de confidentialité. Nous sommes très heureux de pouvoir apporter cette modeste contribution à la grande mission de partage du patrimoine humain au plus grand nombre de personnes possible. »La Constitution française a été promulguée le 4 octobre 1958. Depuis 2017, au soir de cette date anniversaire et à l'initiative du Conseil constitutionnel, les institutions françaises célèbrent les valeurs fondamentales qui sont attachées à la République. Des manifestations ludiques sont organisées afin de mieux faire connaître le droit, les valeurs dont il est porteur ainsi que son histoire. C'est aussi l'occasion de présenter de façon compréhensible par tous le mode de fonctionnement de la justice et la façon dont les lois régissent tous les aspects de nos vies : libertés, sécurité, économie, relations sociales… Matterport fournit ses technologies de visualisation 3D et de modélisation des informations du bâtiment (BIM) à de nombreux lieux historiques dans le monde, à la fois pour contribuer à leur préservation et pour rendre le patrimoine mondial plus accessible grâce aux jumeaux numériques. La technologie Matterport a été utilisée pour créer des jumeaux numériques de nombreux sites historiques tels que le musée Handel et Hendrix à Londres, la synagogue la synagogue de Carpentras et bien d'autres encore. Le jumeau numérique des salles de la Cour de Cassation va rejoindre la galerie Matterport.Pour faire la visite virtuelle, cliquez ici.
Il y a 3 ans et 248 jours

Schöck : Rupteurs virtuels et réels

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Le logiciel BIM de Schöck permet aux bureaux d’études de positionner les rupteurs de ponts thermiques en amont des projets. [©Schöck] La rupture de ponts thermiques est le métier historique de l’industriel allemand Schöck. Et celui-ci profite du rendez-vous de Rennes pour dévoiler sa dernière innovation. A savoir, un tout nouveau logiciel développé en partenariat avec l’éditeur Cype. « Ce logiciel va permettre aux bureaux d’études structures et thermiques de positionner les rupteurs de ponts thermiques en amont des projets, en fonction des performances recherchées », explique Rémy Wirth, chef de produits chez Schöck France. Il va autoriser le dimensionnement, l’implantation et l’optimisation du traitement des ponts thermiques. Ceci, dès la phase “conception du projet”.Intégrable dans le flux de travail OpenBIM, ce nouveau logiciel Schöck permet des modélisations aussi bien en 2D qu’en 3D. « Il est nécessaire de construire avec plus d’efficacité, d’acquérir de nouveaux réflexes de travail. » A n’en pas douter, ce nouveau logiciel est sur la bonne voie… En parallèle, Schöck présente sa nouvelle ligne de rupteurs Rutherma DFi. Celle-ci s’inscrit dans la continuité de la solution DF, qui reste au catalogue, mais se voit à présent réservée aux prédalles. Le DFi se caractérise en premier lieu par son nouveau corps isolant en Néopor (alliage de styrène et de graphite). Résultat : une conductivité thermique qui passe d’un λ de 0,035 à 0,031 W/m.K. L’innovation porte aussi sur la partie armatures. Celle-ci voit un positionnement inédit des aciers inox, qui a pour conséquence d’augmenter la reprise des efforts tranchants de 22 %, et des moments de 83 %. En même temps, le nombre d’aciers au ml diminue, ce qui réduit la conductivité thermique du rupteur. Et son empreinte carbone (car il y a moins d’aciers inox).  Courant juillet de cette année, cette nouvelle ligne DFi a obtenu son Avis technique définitif.« Nous avions anticipé la sortie de la RE 2020 »,conclut Daniel Costa, directeur commercial et markéting de Schöck France.  Sur Artibat : Hall 10A – Stand C47 Retrouvez l’ensemble du dossier sur les innovations d’Artibat
Il y a 3 ans et 287 jours

CIM : la 3D au service de l'environnement

Stimulés par la convergence du SIG 3D et de la modélisation BIM, les usages des maquettes 3D urbaines se diversifient et s'enrichissent de multiples applications de suivi et de simulation environnementale.
Il y a 3 ans et 334 jours

Palmarès du concours Les Génies de la construction

Les équipes d’élèves et d’étudiants des collèges, lycées et établissements du supérieur, encadrées par leur professeur, étaient réparties en quatre catégories (collège, pro, lycée, supérieur), pour réaliser un projet collectif et collaboratif de construction ou d’aménagement projeté vers un futur des territoires intelligents, durables et connectés, au travers des thématiques suivantes : le logement, la mobilité au sein des territoires et les déplacements, les activités humaines (culture, industrie, éducation, santé, commerce, agriculture, loisirs), la préservation de l’environnement, y compris la gestion de l’eau et des déchets, les énergies locales et renouvelables. Autant de sujets sur lesquels les élèves et étudiants étaient invités à travailler.Le concours, qui a pour objectif de mieux refléter la richesse et la diversité des métiers du bâtiment et des travaux publics dans toutes leurs dimensions, incarne les enjeux auxquels les acteurs de la construction et de l’aménagement du territoire doivent répondre, notamment en termes de transition numérique, technologique et environnementale. « Les Génies de la Construction ! » répondent aussi aux priorités du ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports et des professionnels de la construction, pour favoriser la promotion des voies de formation générale et professionnelle, qui sont toutes les deux des voies d’excellence et de réussite, et ainsi contribuer à une meilleure orientation scolaire et professionnelles des jeunes, donner du sens et concrétiser les enseignements.Une 17e édition « phygitale »La 17e édition des « Génies de la Construction ! » s’est de nouveau adaptée avec agilité au contexte de crise sanitaire liée à la Covid-19, avec la mise en place d’un dispositif exceptionnel, pour permettre aux équipes inscrites dans le concours d’aller au bout de leur projet.Afin de remplacer l’habituelle soutenance des projets devant un jury, à l’occasion d’une finale organisée en présentiel, les équipes projets ont été invitées à réaliser une vidéo de présentation de leur projet. Les dossiers ont été déposés sur une plateforme dédiée, afin que les jurys des différentes catégories du concours puissent évaluer les travaux à distance et sélectionner parmi les projets les lauréats du concours. Pour la deuxième année consécutive, des open badges ont été attribués aux lauréats et participants des catégories « lycée » et « sup ». Ces images numériques, qui fournissent un système d’accréditation, permettent de reconnaître des réalisations et des compétences, formelles ou informelles, acquises à l’occasion d’un projet. Pour les organisateurs du concours, il était important de promouvoir et de reconnaître l’engagement des jeunes dans les projets qu’ils ont conduits. 3.000 élèves engagés dans le concoursPour cette 17e édition du concours et malgré un contexte de crise sanitaire, 22 académies ont participé. Au total, ce sont 3 000 élèves et étudiants concernés, avec 104 classes dans 57 collèges, 15 lycées, 9 SEGPA et 23 équipes dans le supérieur.Comme à chacune des éditions, les projets ont été appréciés sur leur créativité, leur faisabilité et l’interdisciplinarité, ainsi que sur leur capacité à se transposer sous une forme réalisable pour être appliqués concrètement et sur leur aptitude à répondre aux problématiques suscitées par l’évolution des territoires.Le palmarès : huit projets lauréatsPrix catégorie « Collège »Le mot du jury : « Les projets étaient particulièrement variés et aboutis. Certaines équipes ont travaillé à distance, malgré les contraintes matérielles liées à la réalisation de maquettes réelles. La richesse des projets présentés repose sur une interdisciplinarité remarquable, ainsi que sur l’intervention de professionnels du BTP. Ces derniers ont permis aux élèves d’avoir une meilleure connaissance des métiers et des solutions techniques mises en œuvre aujourd’hui. »1er prix : collège Capouchine (Nîmes, 30) | Académie de MontpellierProjet « La maison bioclimatique »Le projet a été mené à la suite de la visite d’un lieu de vie alternatif. Il présente l’optimisation de l’espace pour une maison, comprenant trois chambres et une grande pièce de vie, en l’adaptant au climat méditerranéen pour avoir un très faible besoin en énergie et en s’appuyant sur différents systèmes bioclimatiques. Les élèves ont fait appel à une élève architecte, au responsable d’Alter Éco et aux « petits débrouillards ». Le choix des solutions techniques et des matériaux mis en œuvre repose sur une démarche scientifique, qui a conduit à la réalisation d’une maquette en respectant les étapes de construction et à une modélisation 3D.2e prix : collège Pierre Hyacinthe Cazeaux (Morez, 39) | Académie de BesançonProjet « La restauration du château de Buclans »À partir d’une étude historique et littéraire du château de Buclans (Jura), détruit par un incendie, ce projet en prévoit la restauration et la réhabilitation des locaux, en vue d’en faire, notamment, un lieu d’accueil d’une colonie et un espace culturel. Charpente, agencement, accessibilité, conception d’un escalier automatisé, gestion de l’éclairage et modélisation 3D ont été appréhendés par les élèves, en partie grâce à l’intervention de professionnels du bâtiment. L’exposé des élèves a entièrement été traduit en langue anglaise.3e prix : collège Joseph Julien Souhait (Saint-Dié-des-Vosges, 88) | Académie de NancyProjet « Le plan incliné d’Arzviller »À partir d’une étude historique et géographique, le besoin sociétal d’un plan incliné a été défini, ainsi que les fonctions auxquelles l’objet technique doit répondre. L’étude scientifique et mathématique a débouché sur la réalisation d’une maquette automatisée, intelligente et pilotée à distance, prenant notamment en compte les contraintes de fonctionnement et de sécurité.Prix catégorie « Pro » (Élèves de SEGPA, d’EREA et de 3e prépa pro)Le mot du jury :« Dans tous les projets présentés, la dimension interdisciplinaire apparaît nettement. De nombreuses solutions techniques présentes dans le secteur du bâtiment et des travaux publics ont été exploitées et mises en œuvre. »1er prix : collège Lubet Barbon (Saint-Pierre-du-Mont, 40) | Académie de BordeauxProjet « Extension d’un studio en éco-matériaux »Un petit studio a été réalisé il y a plusieurs années avec des matériaux adaptés pour l’époque. Le projet consiste à réaliser une extension, en s’appuyant sur l’éco-construction. C’est aussi l’occasion pour les élèves d’analyser l’ancienne construction, d’en identifier les points faibles et de découvrir plusieurs métiers et activités du champ professionnel « habitat », tout en étant acteurs de la réalisation de cette extension. Différents matériaux sont utilisés à bon escient et de nombreuses technologies actuelles du bâtiment sont abordées.Mention des « Meilleures interdisciplinarités et pédagogies »Collège Jean Moulin (Marseille, 13) | Académie Aix-MarseilleProjet « Réalisation d’une cabine téléphonique anglaise »Mention des « Meilleures dimensions chantier et environnementales »Collège de Grazailles (Carcassonne, 11) | Académie de MontpellierProjet « Projet KOKODO pour état d'urgence en cas de séisme »Prix catégorie « Lycée »Le mot du jury :« Les différentes équipes ont présenté des projets et des études particulièrement abouties. La thématique des territoires intelligents durables et connectés, ainsi que les enjeux sociétaux et environnementaux qui s’y réfèrent ont été très bien pris en compte. »1er prix : lycée Livet (Nantes, 44) | Académie de NantesProjet « Résidence étudiante »Le projet s’appuie sur la construction d’une résidence universitaire à partir de « containers » maritimes recyclés. De l’étude du problème sociétal de logement des étudiants à l’identification du terrain, ce projet a débouché sur la conception architecturale, les calculs de structure, les choix de matériaux, des simulations (notamment thermiques), ainsi que sur la modélisation de l’ensemble du projet. Les maquettes et simulations dévoilées sont en cours de réalisation voire de finalisation. La dernière étape, qui consiste au prototypage et à l’expérimentation sera menée, par la suite.2e prix : lycée Gustave Eiffel (Armentières, 59) | Académie de LilleProjet « Réhabilitation d’un château d’eau »À partir d’une contextualisation historique, ce projet concerne la réhabilitation du château d’eau du lycée, reposant sur la préservation de la ressource en eau. Les solutions de captage, filtrage, stockage et gestion de l’eau ont été envisagées, pour aboutir à la réalisation d’une maquette didactique fonctionnelle pilotée à distance.3e prix : lycée Saint-Nicolas (Paris, 75) | Académie de ParisProjet « Incubateur rue du Lac »Ce projet concerne la création d’un incubateur ou espace de co-working. Cet espace, prévu dans un immeuble neuf, occupe les deux derniers étages débouchant sur un toit terrasse. La fonctionnalité des espaces, l’étude des façades, la simulation thermique, le choix des matériaux et les solutions pour l’éclairage ont permis la réalisation d’une maquette immotique.Mention de la « Meilleure démarche pédagogique »Lycée Aragon Picasso (Givors, 69) | Académie de LyonPrix catégorie « Sup »(Étudiants de l’enseignement supérieur : STS, IUT, université, écoles d’ingénieur, écoles d’architecture...)Le mot du jury : « Les trois projets primés répondent parfaitement aux attendus du concours : mixité, interdisciplinarité, prise en compte de problématiques environnementales liées aux enjeux de la construction et de l’aménagement des territoires. Chacune des équipes primées a su réaliser un travail collaboratif dans une approche professionnelle, avec l’utilisation d’outils numériques maîtrisés et mettant en jeux des compétences pluridisciplinaires, qui ont permis de justifier les solutions constructives proposées. »1er prix ex aequo : université Cergy (Cergy, 95) | Académie de VersaillesProjet « Bâtiment à usage aéronautique »Le projet est celui d’un bâtiment à usage aéronautique, dont la conception porte sur deux grands halls, l’un destiné au stockage de pièces, le second à l’assemblage d’avions légers, complétés par un étage de bureaux. La recherche architecturale originale a été traduite par une maquette numérique a donné lieu à une étude structurelle, complétée par un phasage des travaux détaillé ainsi qu’une simulation thermique dynamique. Le projet est articulé autour de deux axes principaux : le développement durable avec la contrainte d’auto-suffisance du bâtiment et l’innovation avec l’utilisation au maximum du BIM.1er prix ex aequo : université Technologie Compiègne (Compiègne, 60) | Académie d’AmiensProjet « Smart ville »Le projet s'appuie sur le déploiement du « Métrocâble » à Grenoble, intégrant la notion de durabilité, de connectivité et d’intelligence. Il comprend une gare avec un réaménagement des voies de circulation, dont la création d'une piste cyclable, des quais multimodaux pour bus et tramways, un parking relais, des bassins végétalisés, un mobilier urbain (installations sportives, aires de jeux, « MétroVélo box »). La recherche documentaire, l’étude géotechnique, la modélisation, l’étude des matériaux et l’analyse de leur comportement mécanique ont été particulièrement appréciées. 3e prix : IUT Chambéry (Le Bourget-du-Lac, 73) | Académie de GrenobleProjet « Le prieuré de Bourget-du-Lac »Le projet a pour objectif la rénovation d’une des trois ailes du bâtiment du Prieuré du Bourget du Lac qui fut construit au Moyen-Âge. À partir de la réalisation de scans 3D de l'intérieur du bâtiment et de l’assemblage des nuages de points, un modèle numérique a été obtenu. C’est à partir de ce modèle que les plans nécessaires au permis de construire ont été réalisés. L’étude structurelle a permis la détermination des charges et la prise en compte des actions climatiques. L’étude thermique a permis une analyse au regard de la RT 2012. L’accès aux PMR a été envisagé. Cet ensemble se complète par la production de documents exploitables dans la perspective de travaux futurs envisagés par la Municipalité.Mention de la « Meilleure implication de l’établissement »IUT Belfort Montbéliard (Belfort, 90) | Académie de Besançon* Le concours Les Génies de la Construction ! est organisé en partenariat entre le ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, l’EFB (fondation École Française du Béton (EFB), la FFB (Fédération française du bâtiment), la FNTP (Fédération nationale des travaux publics), le CCCA-BTP (Comité de concertation et de coordination de l’apprentissage du bâtiment et des travaux publics) et en coopération avec l’ASCO-TP (Association pour la connaissance des travaux publics), ainsi qu’avec l’ASSETEC (Association nationale pour l’enseignement de la technologie), l’APMBTP (Association des professeurs des métiers du bâtiment et des travaux publics) et l’AUGC (Association universitaire de génie civil).
Il y a 3 ans et 337 jours

Se déplacer en toute sécurité

Organiser les flux de personnes dans les espaces intérieurs et extérieurs est devenu un enjeu à prendre en compte dans la conception, à l'appui de la modélisation, et dans le choix des systèmes d'accès.
Il y a 3 ans et 343 jours

Le nouveau Batimat sur la voie du succès

Déjà 200 inscritsLe retour attendu du salon BATIMAT dans le parc des expositions rénové de la Porte de Versailles, à Paris, trouve déjà son public. En effet, un grand nombre d’entreprises appartenant à différents secteurs, ont d’ores et déjà répondu présentes et réservé leur stand à 18 mois de l’événement !Sur les 200 exposants inscrits, 15% sont de nouveaux venus (voir Annexe, liste des exposants).Après seulement deux mois de commercialisation, BATIMAT enregistre déjà la réservation d’un quart des emplacements disponibles dans le pavillon 1 (Gros-oeuvre, Structure et enveloppe, Construction Tech®, Interior&Garden). Sur l’ensemble des pavillons occupés par BATIMAT, plus de 60% des stands de 54 et 99m² sont déjà préréservés.Les industriels du bâtiment plébiscitent la nouvelle formule de BATIMATLe retour à Paris a convaincu les entreprises qui avaient délaissé le salon lors du déménagement au Parc des Expositions de Villepinte, de revenir sur BATIMAT. La durée des salons - 4 jours - et le format d’exposition totalement nouveau, qui limite la taille des stands à 99 m² - avec la possibilité d’inclure un étage, ont également trouvé un écho positif auprès des entreprises.Au-delà de la simplification de la préparation de leur participation, celles-ci ont très bien accueilli de pouvoir choisir leur emplacement dès l’inscription et la perspective d’un retour sur investissement (ROI) en hausse.BATIMAT est le salon des innovations pour le bâtiment et l’architecture. Tous les décideurs, prescripteurs, installateurs-artisans s’y retrouvent pour choisir les solutions innovantes qui construisent les bâtiments d’aujourd’hui et de demain.Réparti sur 4 pavillons, le salon BATIMAT propose aux exposants des espaces d’exposition et de mise en valeur de leurs innovations.Pavillon 1Gros-oeuvre, Structure et enveloppe : isolation, étanchéité, structure bois/béton/acier, couverture, façade, Hors-site, organismes et services, Véhicules utilitaires.Thèmes phares : CLIMAT, ENVIRONNEMENTRénovation énergétique, modes constructifs industrialisés, matériaux biosourcés, végétalisation, biodiversité, construction durable, économie circulaire, solutions bas-carbone, photovoltaïque.Construction Tech® : outils et services de conception, modélisation, impression, services, appareils mesures, start-up.Thèmes phares : PRODUCTIVITÉ, USAGERS & HABITANTSSmart building, e-mobility, smart city, smart Lighting, IA, BOS, construction 4.0, Lean, digitalisation.Interior&Garden : revêtements de sols et murs, confort acoustique, éclairage architectural, placards et portes d’intérieur, aménagements extérieursThème phare : USAGERS & HABITANTSDesign, confort acoustique et visuel, bien-être, co-living, co-working, home office, créations, made in France.Pavillon 4Matériel de chantier et outillage : matériel de chantier, élévation, terrassement, échafaudage, coffrage, outillage, sécurité.Thèmes phares : MÉTIERS, ENVIRONNEMENTChantier zéro impact, chantier zone urbaine, matériel connecté, chantier RSE, chantier du futur, robotique de chantier. Un pavillon entier dédié à la démonstration des matériels et solutions dans une ambiance conviviale.Pavillons 5 et 6Menuiserie et fermeture : Menuiseries Bois/PVC/Alu, fermetures, protection solaire, composants, machines.Thèmes phares : ENVIRONNEMENT, USAGERS & HABITANTSL’économie circulaire, le recyclage des matériaux, le traitement de la lumière, smart home, confort, l’architecture des façades, le design et le Made in France.
Il y a 3 ans et 345 jours

Une application web pour esquisser les projets de construction

GoBuild! Est une application web intuitive pour faciliter, accompagner et industrialiser la phase esquisse d’un projet de construction. Elle s’adresse aux professionnels de la construction de logements collectifs (bureaux d’études, architectes, promoteurs…). L’application promet d’apporter une précision et une méthodologie dans la modélisation des projets par leurs volumétries et de les modifier à l’infini. GoBuild! recalcule instantanément chaque changement de paramètre. L’utilisation de béta données et de l’intelligence artificielle permet autant de simulations souhaitées. Type de logement, nombre de sous-sols, nombre de niveaux, surface type par logement, adaptation au sol, livrable Poids Carbone… et une multitude d’autres critères disponibles. Elle contribue à la prise de décision en fonction des besoins et objectifs : coût, bilan promoteur, impact environnemental… Rapide, intuitive, ludique, précise, exhaustive, personnalisable, l’application a été pensée et réalisée par des techniciens experts utilisateurs.
Il y a 3 ans et 353 jours

Les équipes BIMANDCO et Onfly seront présentes au BIM World 2021

Les équipes BIM&CO et Onfly sont heureuses de participer au BIM World 2021, en présentiel pour vous retrouver! Comme la première version en 2015 lors de l’annonce de la création de la plateforme publique bimandco.com, cette année nous avons prévu de frapper fort ! A cette occasion, nos équipes seront présentes sur deux stands, réaliseront trois ateliers et participeront à une conférence, dont les détails sont juste ici.   Un événement très attendu  Comme chaque année, l’entreprise éditeur de la solution Onfly sera présente pour cet événement pour partager et échanger avec l’écosystème d’experts et de passionnés BIM en France. Initialement prévue en octobre 2020, la rencontre annuelle a été décalée pour les raisons sanitaires évidentes que nous connaissons aujourd’hui. Avec près de 12.000 participants, 320 exposants, nous avons hâte de rencontrer les visiteurs qualifiés de ce salon, qu’il s’agisse d’architectes, d’ingénieurs, de maîtrise d’ouvrage, de bureaux d’études, mais aussi de fabricants de la construction.   Conférence avec notre CEO : “Modélisation, conception et objets – organisation de la production” Baptiste Mullie, CEO et fondateur d’Onfly, participera à une table ronde en compagnie de Claire Bruyère de Systra, Alexandre Mahfoud de Solideo ainsi que de l’un des Représentants Mba City. Cet échange sera l’opportunité pour Baptiste de partager sa vision du Design system du BIM: « Le Design system du BIM est un ensemble d’objets BIM réutilisables qui permettent de modéliser facilement une maquette structurée. »  Baptiste abordera les outils et l’organisation à mettre en place pour : optimiser la productivité des équipes de modélisation; simplifier la livraison d’une maquette de qualité, échangeable, aux informations exploitables. Retrouvez-nous à la conférence le 23 juin de 11:00 à 12:00 à l’Espace Congrès BIM World.   Deux stands pour nos deux plateformes A cette occasion, nous serons très heureux de rencontrer nos clients actuels et futurs via deux stands. Le premier stand BIM&CO sera un lieu dédié aux échanges avec tous les utilisateurs et intéressés de la plateforme bimandco.com, dont les fabricants. Le second stand sera quant à lui dédié à Onfly, l’outil au service des architectes, ingénieurs, constructeurs et bureaux d’études. Il s’agira de deux espaces distincts, mais tous deux dédiés aux échanges, aux rencontres et à des démos autour des problématiques BIM avec les meilleurs experts francophones. Se trouver sur deux stands distincts s’inscrit dans notre volonté de différencier les solutions bimandco.com et Onfly. Nous souhaitons simplifier nos échanges avec les collaborateurs intéressés, qu’il s’agisse de fabricants ou d’acteurs de l’AEC et bureaux d’études. Valentin Malemanche, Product Manager d’Onfly, commente : “Nous souhaitons amener les personnes intéressées à des stands où l’expérience utilisateurs leur est adaptée Chacun aura les réponses dédiées à son corps de métier. »   Atelier BIM&CO : “Retour d’expérience RE2020 : Exploitation de la donnée pour optimiser l’éclairage naturel”   Dédié aux architectes et bureaux d’études, cet atelier présentera comment appréhender au mieux l’exigence d’accès à l’éclairage naturel dans les logements neufs en exploitant les données embarquées dans les objets BIM, du générique au spécifique. Présenté par Ludivine Menez, Déléguée Technique à l’UFME et Laurent Lacroix, Business Development director chez BIM&CO, l’atelier aura lieu le 23 juin de 12:30 à 13:00 à l’atelier Violet. Vous pouvez aussi y accéder gratuitement ici !   Ateliers Onfly : “Gérer les niveaux de développement d’un modèle d’objet” & “Comment garantir la continuité de l’information à l’aide d’un référentiel ?” Le premier atelier portera sur comment gérer le niveau de développement du modèle d’une phase à une autre d’un projet, en ingénierie et maquette numérique. Lors de cet atelier, Rémy Maurcot présentera des exemples de solutions rapides et efficaces directement issues de l’expérience des clients d’Onfly.  Cet atelier aura lieu le 24 juin de 12:30 à 13:00 à l’atelier Violet.  Le second atelier d’Onfly, réalisé avec notre client Systra, sera dédié à tous ceux qui rencontrent des problèmes dans le déploiement, le suivi de sa démarche BIM, et la continuité de l’information tout au long de leurs projets, de la conception à l’exploitation. Louis Marie Borione, responsable programme innovation BIM, expliquera aux côtés de Valentin Malemanche, Product Manager de la marque Onfly, comment garantir cette continuité à l’aide d’un référentiel. Cet atelier aura lieu le 24 juin de 14:00 à 14:30 à l’atelier Rouge.   Pour ne rater aucune conférence ou atelier, nous vous donnons rendez-vous les 23 et 24 juin prochains, dans le Hall 6 porte de Versailles à Paris ! On a très hâte de vous rencontrer ! Alors, vous vous êtes déjà inscrits ? Vous pouvez le faire ici pour vous assurer de participer à l’événement BIM de l’année, et profiter d’un accès gratuit à tous nos ateliers !
Il y a 3 ans et 358 jours

Projet de recherche « Odyssée des matériaux en feu extrême »

L'un des objectifs est d'élaborer des matériaux et des assemblages de matériaux possédant une faible inflammabilité, protégeant des substrats variés et limitant la propagation du feu. Il s'agira également de comprendre les effets de la microgravité sur le comportement au feu de polymères FR en plus des hauts flux de chaleur.Ses travaux s'inscrivent dans la continuité du projet « FireBar-Concept » pour lequel le Professeur Bourbigot avait obtenu une bourse de l'ERC (European Research Council) en 2015 et qui visait à élaborer des matériaux et des assemblages de matériaux ayant une faible inflammabilité, protégeant les substrats et limitant la propagation de l'incendie.De l'UMET à l'IUF : 30 années de recherche consacrées à accroître la résistance au feu des matériauxLes travaux sur le feu et la résistance des matériaux de Serge Bourbigot font référence depuis de nombreuses années. Sa nomination à l'IUF en octobre 2020 vient distinguer l'excellence scientifique et académique de ses activités de recherche en chimie et matériaux.Avec les 15 chercheurs de son équipe (enseignant-chercheurs, chercheurs, ingénieurs, doctorants et postdoctorants), il concentre ses travaux actuels sur la résistance et la réaction au feu des matériaux polymères, sa volonté étant d'élaborer de nouveaux matériaux qui ne s'enflamment pas en cas de stress et de développer les propriétés d'ignifugation de matériaux existants. Il travaille aussi à la modélisation des comportements des matériaux et du feu dans un environnement agressif et complexe, et au développement de méthodes de caractérisation et de mesures originales. Ses travaux se déclinent autour de deux axes : (i) Procédés d'élaboration de matériaux additivés et de revêtements (synergie et formulation, extrusion réactive, nanocomposite, spectrochimie) et (ii) Similitude et modélisation (réduction d'échelle et analyse dimensionnelle, analyse cinétique, modèle de pyrolyse).Pour cela, le Professeur Bourbigot exploite le potentiel offert par les nouvelles techniques de simulation numérique qui permettent de toucher du doigt les limites de certaines idées et d'explorer d'autres champs d'investigation. En conceptualisant les protections au feu par des assemblages numériques et par la simulation, il peut définir et optimiser de nouveaux designs de multi-matériaux. Il aborde les aspects de similitude pour créer des scénarios 'feu' à échelle réduite. Cela lui apporte une grande flexibilité dans ses expériences et de la rapidité dans le développement de nouveaux matériaux performants.Trois domaines plus particulèrement investis en 2021En termes de domaines d'application, Serge Bourbigot et son équipe travaillent sur :le secteur du nucléaire - par exemple, pour contribuer à la longévité des centrales, ce qui requiert l'installation de systèmes et équipements spécifiques à base de matériaux adaptés au feu (clapets anti-feu, chatières, câbles ...) ;les batteries électriques telles celles installées dans les voitures ou les avions et qui nécessitent des protections spécifiques pour parer ou retarder le déclenchement de l'incendie en cas de prise de feu ;les milieux confinés où les charges thermiques croissent très vite et ont un très grand rayon d'action, sur des sites spécifiques type plateformes pétrolières ou raffineries où le feu se propage sous forme de jets, ou encore dans des espaces en microgravité comme au sein des fusées et de la station spatiale internationale.Sur ce point, un projet multi-partenarial est en cours, mobilisant des équipes de Centrale Lille, de Sorbonne Université et de Aix-Marseille Université. Déposé auprès du CNES, il regarde comment se comportent des polymères retardés à la flamme agissant en phase gaz (libération de radicaux libres phosphorés) ou en phase condensée (phénomènes d'intumescence physique et chimique).Diplômé de l'ENSCL (promotion 1990), Serge Bourbigot est docteur en spectrochimie, et habilité à diriger des recherches depuis 1993. Maître de conférences à l'ENSCL de 1995 à 1999, il devient professeur des universités en 1999 et rejoint l'ENSAIT de 1999 à 2003, avant de revenir à l'ENSCL en 2003 et depuis 2020 à Centrale Lille.Rattaché à l'UMET (Unité Matériaux et Transformation, CNRS UMR 8207), il est responsable de l'axe de recherche dédié à l'ingénierie des systèmes polymères et pilote l'équipe sur la réaction et la résistance au feu des matériaux.Il a participé au dépôt d'une dizaine de brevets.Le 1er octobre 2020, il a été a été nommé membre Senior de l'IUF (Institut universitaire de France) pour 5 ans.
Il y a 4 ans et 5 jours

Fabrication additive : Une technologie en cours de démocratisation

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine L’’impression 3D béton s’inscrit dans la stratégie bas carbone en France. [©Vicat] Dans la trilogie “Retour vers le futur”, sortie dès 1985, le réalisateur Robert Zemeckis nous fait voyager dans le temps. A bord d’une DeLorean DMC-12 quelque peu modifiée, Marty McFly et le docteur Emmett Brown explorent le passé, mais aussi le futur. Dans le deuxième opus, les protagonistes se retrouvent en 2015. Ici, les voitures volent et les pizzas sont prêtes en 2 s ! Tous les codes de la science-fiction dépeignant le futur sont réunis. Si la domotique et la notion de “maison connectée” y sont perçues, les bâtiments et leur architecture ne semblent pas trop avoir bougé. Pourtant, dans la vraie vie, si nos déplacements ne se font pas encore par lévitation, le monde de la construction a bien évolué. Parmi les innovations, la fabrication additive ou impression 3D béton fait de plus en plus parler d’elle. Notre n° 91 lui était consacré. En effet, la discipline ouvre une multitude de problématiques que les industriels, selon leurs expertises, tentent d’élucider. D’un point de vue matériau et matériel, la technologie demande un savoir-faire particulier : l’encre minérale, l’imprimante et les logiciels sont trois composantes d’un tout.  Un trio gagnant La majorité des technologies actuelles utilisent le principe de la dépose d’un cordon de béton en couche par couche. Le matériau mis en œuvre doit donc tenir en place pour supporter son propre poids et être assez fluide pour que les couches adhèrent entre elles. La matière doit aussi répondre aux besoins classiques de durabilité, de performances… De plus en plus d’industriels proposent des gammes dédiées à la fabrication additive, à l’image de Cemex, Ciments Calcia ou encore Vicat. Du côté de l’imprimante, plusieurs “camps” s’affrontent. Il y a ceux qui s’ancrent dans la lignée de la construction hors site. Ainsi, l’outil est installé en usine où elle imprime des éléments à emporter. C’est le cas d’industriels comme Soliquid et XtreeE. D’autres ont misé sur des imprimantes nomades qui se déploient sur chantier. La start-up Valenciennes Construction 3D ou Cobod s’inscrivent dans cette mouvance. Quelle que soit la technique adoptée, la buse et le dispositif d’extrusion sont des points sensibles. Enfin, les différents logiciels de pilotage et de modélisation, qui peuvent être imaginés par le fabricant de l’imprimante ou par un éditeur indépendant, permettent de faire la traduction numérique de la volonté architecturale. Une transition environnementale et numérique Plusieurs enjeux entourent la fabrication additive. La dimension environnementale intervient naturellement. Au cœur de la future RE 2020, la transition écologique de la construction fait partie de la stratégie bas carbone de la France. Les acteurs de l’impression 3D béton mettent en avant les avantages de leur discipline dans ce domaine. A savoir, l’optimisation des matières premières, la construction hors site et l’utilisation du bon matériau au bon endroit. L’impression 3D est aussi une résultante de la transition numérique de la construction. Cemex l’englobe ainsi dans ce qu’il appelle la « fabrication digitale ». Cette dernière peut répondre aux problématiques de pénibilité sur chantier avec moins de compagnons nécessaires in situ. Et en même temps, à la résolution de défis techniques dans la construction, que ce soit dans les formes architecturales ou dans la rapidité de conception. Reste à résoudre quelques freins : le coût, la réglementation ou encore la formulation vue sous le prisme de l’économie circulaire. Il reste encore de grandes avancées à accomplir avant d’atteindre une démocratisation de la fabrication additive. Korodur : « Une nouvelle liberté d’écriture » Créé en 1936, le groupe familial allemand Korodur fabrique et commercialise des solutions minérales pour sols industriels. A l’entrée de son siège, le nom Korodur s’inscrit en lettres géantes, imprimées en 3D ! En effet, depuis plus de 10 ans, l’industriel s’est lancé dans l’aventure de la fabrication additive. « En 2012, un de nos partenaires néerlandais nous a présenté Berry Hendriks, raconte Nikola Heckmann, présidente de Korodur. A ce moment-là, il lançait sa start-up Cybe et avait pour ambition de révolutionner la construction avec l’impression 3D. A l’époque, c’était fou, mais nous avons décidé de travailler ensemble en nous occupant de la partie matériau. » Avec son expertise dans la conception de mortiers, Korodur a pris le temps de trouver la bonne formulation. Le tout en utilisant un ciment à impact carbone réduit. « Le mortier à imprimer doit être à prise rapide, ne pas se déformer sous son poids et chaque couche doit adhérer sur la précédente. De plus, le matériau doit s’adapter à l’imprimante et au logiciel. Les trois fonctionnent ensemble. Après plusieurs mois de recherche, nous avons réalisé avec Cybe notre premier objet : un banc. » Korodur s’est associé à Cybe pour développer la fabrication additive. [©Korodur] Depuis, Korodur et son partenaire se sont lancés dans des projets à l’international. A Dubaï, ils ont réalisé un bâtiment dédié aux drones qui surveillent les pipelines. Au Japon, ce sont des toilettes publiques… Il y a aussi l’Afrique du Sud, la Nouvelle-Zélande et la France, avec une maison en Normandie. « L’impression 3D est intéressante et doit avoir sa place dans l’évolution de la construction. Elle donne une nouvelle liberté d’écriture pour les architectes et les designers. Mais répond aussi à des défis techniques pour la préfabrication, par exemple. »  Lycée Louis Loucheur : L’impression 3D dès le plus jeune âge Dans le cadre du programme “Espace d’innovation partagée”, le lycée professionnel Louis Loucheur, à Roubaix (59), a reçu une dotation de la Région Hauts-de-France. Une manne qui a permis à l’établissement de mettre en place une nouvelle matière à son cursus “gros œuvre” : l’impression 3D. « Nous avons acquis une Mini Printer de Construction 3D, explique Régis Schefller, enseignant au sein du lycée. Nous avons bénéficié d’une formation pour pouvoir être autonomes. » Aujourd’hui, le lycée travaille avec des mortiers de Parexlanko dédiés à l’impression. « Les élèves sont très curieux de ce que l’on peut faire avec. Nous espérons que cela représentera un atout pour promouvoir les formations dans le bâtiment et de montrer une autre facette de nos métiers. » A Roubaix, le lycée Louis Loucheur vient d’intégrer l’impression 3D béton dans son cursus de formation. [©Lycée Louis Loucheur] Saint-Gobain : Voici les clefs Fin avril 2020, Saint-Gobain a remis les clefs à d’heureux résidents d’une maison un peu particulière. A Eindhoven, aux Pays-Bas, ce bâtiment de 94 m2a été entièrement réalisé en impression 3D. Pour rappel, Saint-Gobain Weber Beamix conçoit des mortiers spéciaux pour cette application. Ici, 24 éléments en béton ont été préfabriqués, avant d’être acheminés in situ. Cette maison est la première du programme Milestone, qui en comptera 5 au total. Chaque nouvel habitat sera optimisé grâce aux enseignements tirés des précédentes mises en œuvre.  Aux Pays-Bas, Saint-Gobain a livré sa première maison imprimée en 3D béton. [©Saint-Gobain] Sivagami Casimir Retrouvez l’ensemble du dossier : Que seront les bétons de demain ? Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 94
Il y a 4 ans et 7 jours

La solution Myral désormais disponible sur BIMObject

Objectif : faciliter le travail des maîtres d’œuvre en leur permettant de télécharger gratuitement sur la plateforme en ligne les données pour leurs logiciels 3D. Le groupe poursuit ainsi son développement dans le BIM, initié il y a déjà plusieurs années.Les panneaux M32 dans leurs différentes finitions sont désormais accessibles sur le site internet BIMObject, plateforme mondiale de modélisation numérique référente. Une évidence pour Myral, dont le bureau d’études travaille déjà depuis plusieurs années à la modélisation des solutions sous le logiciel Revit.Pour Julien Bagnard, responsable du développement Myral : « Être présent sur cette bibliothèque numérique BIM est une étape naturelle de notre stratégie de développement. Elle s’inscrit dans notre volonté d’accompagnement des maîtres d’œuvre à planifier, concevoir, construire et gérer leurs projets avec des outils adaptés et complets. Avec BimObject, la solution Myral est rendue accessible au plus grand nombre ! »Le BIM : une étape naturelle au service des maîtres d’œuvre MyralGrâce à BIMObject, les informations sur les produits Myral sont désormais disponibles en quelques clics : résistance thermique du panneau ou du système, masse volumique, possibilités de pose… Ces données techniques sont téléchargeables pour être ensuite exploitées dans les logiciels de modélisation 3D.Cela répond à un besoin fort : celui des architectes, ingénieurs et autres professionnels de la construction. Tous vont pouvoir travailler librement et facilement avec la solution Myral, dans la droite ligne des outils numériques ou calepinages automatiques que le groupe propose déjà. Le but : améliorer les modélisations 3D pour des visualisations toujours plus réalistes !
Il y a 4 ans et 29 jours

Trace Software pousse encore plus loin la conception photovoltaïque avec l'application PV archelios PRO

Une gamme complète pour les professionnels du PV Comme les professionnels du PV n’ont pas tous les mêmes besoins en matière de conception, Trace Software a choisi de lancer en juin 2020 une nouvelle offre archeliosTM PRO élargie et adaptée à la taille de leurs projets et à leur activité (bureaux d’études, installateurs, développeurs ...) :archeliosTM PRO Free : conception de projets jusqu’à 36 kWc sans 3DarcheliosTM PRO Silver : conception d’installations jusqu’à 100 kWcarcheliosTM PRO Gold : dimensionnement de projets d’une puissance maximale d’1 MWcarcheliosTM PRO Platinum : dimensionnement de projets complexes illimitésSelon la version choisie, conception rapide, puissance de calcul, précision dans la simulation de production, environnement 3D, optimisation des installations ou encore outils 3D pour la conception sont autant de fonctionnalités qui dotent les utilisateurs d’un outil puissant et unique sur le marché des logiciels PV.Plus de possibilités de calcul et de modélisation sur la version 2021Parmi toutes les évolutions apportées sur la version 2021, les utilisateurs pourront bénéficier de plus de possibilités pour la prise en compte de paramètres règlementaires, tels que la limitation de la puissance injectée ou encore les seuils de production, mais aussi pour l’optimisation de projets de centrales solaires de grande envergure.Optimisations pour les grandes centrales Pour les concepteurs de centrales solaires, la capacité et les performances de calcul ont été largement optimisées afin de permettre la gestion de projets plus importants (jusqu’à 100 MWc soit un gain d’un facteur 10 par rapport à la version précédente). De plus l’export et la synchronisation entre SketchUp et archeliosTM PRO sont plus rapides et la sauvegarde des projets est désormais non bloquante (possibilité de travailler pendant la sauvegarde).Limitation de la puissance injectée Les utilisateurs pourront dorénavant répondre simplement aux exigences imposées sur certains projets. La prise en compte de la limitation de la puissance injectée est intégrée et affichée sur les rapports. Les pertes de production qui en découlent pourront être aussi visualisées.Seuils de production - Adaptation à l’arrêté tarifaire 202Le logiciel intègre la prise en compte de l’évolution des tarifs par seuil de production (nouvel arrêté tarifaire français 2021 en attente de publication).Evolutions sur la fonctionnalité 3D MaLes utilisateurs de la version archeliosTM PRO Platinum bénéficient d’une utilisation illimitée* du module 3D Map. Ils disposent ainsi d’une plus grande flexibilité de modélisation 3D de l’environnement sur les projets, avec l’assurance d’un crédit 3D Map toujours disponible. Dans la version 2021 d’archeliosTM PRO, les terrains issus de 3D Map sont modélisés avec une texture pour un rendu au plus proche de la réalité, et pour une visualisation réaliste de l’environnement. Le concepteur peut prendre en compte les paramètres de terrain sans contraintes de déplacement pour les sites les plus éloignés. Cette fonctionnalité permet aussi aux donneurs d’ordre de se projeter avec un projet personnalisé qui peut faire la différence lors la prise de décision finale.* en illimité sur la version Platinum uniquement, sur la base d’une utilisation standard jusqu’à 100KM2Mise à jour des bases de données météoLes bases de données météo par défaut (MétéoNorm) ont été actualisées afin d’intégrer des données plus récentes et fiables. Lors de la création du projet, le logiciel propose automatiquement la station météo la plus récente.Export de donnéesDes modèles de rapport d'étude archeliosTM PRO au format XLSX (générés à partir du rapport CSV) sont disponibles afin de guider le concepteur dans la représentation des données de son installation.Grâce aux développements permanents réalisés sur le logiciel archeliosTM PRO, Trace Software et Cythelia Energy dotent les professionnels du photovoltaïque d’un outil qui va au delà de la conception PV standard. Le logiciel se positionne non seulement comme un réel outil de management de projet mais aussi comme un support marketing.
Il y a 4 ans et 33 jours

APPLICATION PV ARCHELIOS™ PRO : TRACE SOFTWARE POUSSE ENCORE PLUS LOIN LA CONCEPTION PHOTOVOLTAÏQUE

Saint-Romain de Colbosc (76), le 28 avril 2021 – Trace Software International et sa filiale solaire Cythelia Energy ont le plaisir d’annoncer la sortie de la toute dernière version de la gamme de logiciels photovoltaïques archelios PRO. Application de la solution PV archelios Suite, archelios PRO permet de dimensionner tout type de projet solaire, de quelques kWc à plusieurs dizaines de MWc, sur toiture, en ombrière ou au sol. Une gamme complète pour les professionnels du PV Comme les professionnels du PV n’ont pas tous les mêmes besoins en matière de conception, Trace Software a choisi de lancer en juin 2020 une nouvelle offre archelios PRO élargie et adaptée à la taille de leurs projets et à leur activité (bureaux d’études, installateurs, développeurs …) : archelios PRO Free : conception de projets jusqu’à 36 kWc sans 3D archelios PRO Silver : conception d’installations jusqu’à 100 kWc archelios PRO Gold : dimensionnement de projets d’une puissance maximale d’1 MWc archelios PRO Platinum : dimensionnement de projets complexes illimités Selon la version choisie, conception rapide, puissance de calcul, précision dans la simulation de production, environnement 3D, optimisation des installations ou encore outils 3D pour la conception, sont autant de fonctionnalités qui dotent les utilisateurs d’un outil puissant et unique sur le marché des logiciels PV. Plus de possibilités de calcul et de modélisation sur la version 2021. Parmi toutes les évolutions apportées sur la version 2021, les utilisateurs pourront bénéficier de plus de possibilités pour la prise en compte de paramètres règlementaires, tels que la limitation de la puissance injectée ou encore les seuils de production, mais aussi pour l’optimisation de projets de centrales solaires de grande envergure. Optimisations pour les grandes centrales Pour les concepteurs de centrales solaires, la capacité et les performances de calcul ont été largement optimisées afin de permettre la gestion de projets plus importants (jusqu’à 100 MWc soit un gain d’un facteur 10 par rapport à la version précédente). De plus l’export et la synchronisation entre SketchUp et archelios PRO sont plus rapides et la sauvegarde des projets n’est plus bloquante pour travailler pendant la sauvegarde. Limitation de la puissance injectée  Les utilisateurs pourront dorénavant répondre simplement aux exigences imposées sur certains projets. La prise en compte de la limitation de la puissance injectée est intégrée et affichée sur les rapports. Les pertes de production qui en découlent pourront être aussi visualisées. Seuils de production – adaptation à l’arrêté tarifaire 2021 Le logiciel intègre la prise en compte de l’évolution des tarifs par seuil de production (nouvel arrêté tarifaire français 2021 en attente de publication). Evolutions sur la fonctionnalité 3D Map  Les utilisateurs de la version archelios PRO Platinum bénéficient d’une utilisation illimitée* du module 3D Map. Ils disposent ainsi d’une plus grande flexibilité de modélisation 3D de l’environnement sur les projets, avec l’assurance d’un crédit 3D Map toujours disponible. Dans la version 2021 d’archelios PRO, les terrains issus de 3D Map sont modélisés avec une texture pour un rendu au plus proche de la réalité et pour une visualisation réaliste de l’environnement. Le concepteur peut prendre en compte les paramètres de terrain sans contraintes de déplacement pour les sites les plus éloignés. Cette fonctionnalité permet aussi aux donneurs d’ordre de se projeter avec un projet personnalisé qui peut faire la différence lors la prise de décision finale. * en illimité sur la version Platinum uniquement, sur la base d’une utilisation standard jusqu’à 100 Km2 Mise à jour des bases de données météo Les bases de données météo par défaut (MétéoNorm) ont été actualisées afin d’intégrer des données plus récentes et fiables. Lors de la création du projet, le logiciel propose automatiquement la station météo la plus récente. Export de données Des modèles de rapport d’étude archelios PRO au format XLSX (générés à partir du rapport CSV) sont disponibles afin de guider le concepteur dans la représentation des données de son installation. Grâce aux développements permanents réalisés sur le logiciel archelios PRO, Trace Software et Cythelia  Energy dotent les professionnels du photovoltaïque d’un outil qui va au-delà de la conception PV standard. Le logiciel se positionne non seulement comme un réel outil de management de projet mais aussi comme un support marketing. À propos de Trace Software International et Cythelia Energy Depuis plus de 30 ans, Trace Software édite des solutions logicielles pour la conception et l’exploitation d’installations électriques et solaires, pour les professionnels du bâtiment et de l’énergie. Les solutions de Trace Software couvrent les besoins de la conception jusqu’à l’exploitation, en passant par le dimensionnement des réseaux. La société dispose d’une présence à l’international via des filiales en Allemagne, Espagne, Maroc et Chine, et des distributeurs agréés. Depuis plus de 20 ans Cythelia Energy accompagne ses clients sur leurs projets solaires photovoltaïques et smart grids. Leurs missions couvrent l’ensemble du cycle de vie des projets, depuis l’aide à la décision jusqu’à la mise en œuvre des solutions et leur suivi dans le temps. Le centre R&D de Cythelia Energy, développe la suite logicielle archelios commercialisée dans le monde entier. Cythelia Energy et Trace Software appartiennent au Groupe Trace, expert dans les solutions pour la conception électrique, le bâtiment, le BIM et l’énergie. Contact presse Trace Software International : Karine Pinson – kpinson@trace-software.com
Il y a 4 ans et 43 jours

Décryptage d'expert : Le BIM, un levier pour améliorer le bilan carbone des bâtiments

Plus qu'une technologie, il s'agit d'une méthode de travail reposant sur le partage d'informations fiables tout au long de la durée de vie d'un bâtiment ou d'infrastructures, autour d'une maquette numérique en 3D.Parmi ses nombreux atouts, le BIM devrait aussi permettre d'améliorer le bilan carbone des bâtiments et de favoriser la rénovation énergétique. Le point sur ces enjeux avec Matthieu FERRUA, directeur de la BIM Factory chez ENGIE Solutions.Pouvez-vous rappeler en quoi consiste concrètement le BIM ?Le BIM est une technologie de maquette 3D qui intègre des données sur tout le cycle de vie du bâtiment, de la conception jusqu'à la déconstruction, en passant par la construction, l'exploitation et la maintenance.Conceptualisé depuis les années 70/80, le BIM a pris son essor dans les années 2000 dans le domaine de la construction industrielle et via certains architectes novateurs comme Frank Gehry, pour faciliter la création de formes architecturales complexes. Ce type de modélisation existait déjà dans l'industrie aéronautique et automobile, mais n'a été utilisé que tardivement dans le secteur du bâtiment, où il s'impose progressivement depuis le milieu des années 2010.Le principal avantage du BIM est qu'il permet de coordonner les données de différents corps de métiers intervenant sur un même bâtiment, qu'il s'agisse de l'architecture, de la plomberie, du génie climatique, de l'électricité...C'est tout l'enjeu du « BIM Management » de s'assurer que ces données, géométriques et d'informations, soient cohérentes, bien ordonnées et partagées le plus en amont possible. Cette mise en commun permet d'anticiper, de mieux visualiser et de s'approprier les ouvrages.Pour le secteur du bâtiment, le BIM est la porte d'entrée dans l'ère de la digitalisation. Il s'agit de rattraper un certain retard car, en comparaison à d'autres secteurs industriels, le monde du bâtiment s'est peu transformé depuis les années 1950. Le BIM est en effet un immense atout pour améliorer la rapidité, la qualité et la modularité des constructions. C'est aussi une composante clé des jumeaux numériques de demain. Nous commençons seulement à en mesurer les bénéfices.En quoi le BIM peut-il améliorer le bilan carbone d'un bâtiment ?Le BIM est un formidable outil pour calculer le bilan carbone d'un projet.Concrètement, la technologie BIM permet de modéliser des « objets BIM », comme une prise, une vanne ou un pan de mur, en y intégrant de l'information, notamment la quantité de carbone associée.Chez ENGIE Solutions, nous avons commencé à utiliser cette technique, au travers de l'offre ValoBIM©, pour optimiser le potentiel de réemploi des composants de bâtiments existants et enrichir les écosystèmes d'économie circulaire.En amont de la phase de déconstruction, un diagnostic des ressources est effectué et intégré dans un modèle BIM, ce qui nous permet de réaliser un rapport exhaustif incluant une mesure du bilan carbone de chaque objet/ressource, afin les valoriser au mieux : réemploi, recyclage, ou récupération d'énergie par incinération. Cette qualification des composants, localisés et quantifiés, nous permet d'élaborer des scénarios de réemploi et d'optimiser le bilan carbone total du projet. Par exemple, sur le projet ENGIE Campus, des économies de 41 tonnes de CO2, soit 304 allers-retours entre Paris et New York, ont été identifiées sur une partie de la phase déconstruction, et plus de 7 372 tonnes d'économies potentielles sur le projet futur, soit 28 424 allers-retours Paris-Londres en avion.Nous utilisons également cette technologie en phase de conception des ouvrages, pour déterminer les gains carbone liés au choix des composants (béton bas carbone plutôt que béton classique, par exemple), de manière à la fois rapide et précise. Pour le dire autrement, le BIM nous aide à identifier les gisements d'économies carbone possibles et donc à faire les choix les plus pertinents d'un point de vue économique et environnemental.Tout ceci est encore très récent. Nous travaillons actuellement avec le SERCE[1] sur l'intégration de cette donnée carbone à l'ensemble de la chaîne BIM. Doit-on calculer le carbone du composant tel qu'il est vendu par le fournisseur ? après transport ? Quid de sa mise en œuvre, de son cycle de vie et de son potentiel de recyclage ? Autant de questions qui méritent des réponses harmonisées entre les différents acteurs du bâtiment.Qu'en est-il de la rénovation énergétique ?C'est un autre atout du modèle BIM pour la transition énergétique du bâtiment. Il permet de réaliser de manière très précise le bilan thermique d'un bâtiment existant ou projeté, à partir de calculs thermiques dynamiques alimentés par le modèle. En les intégrant à la maquette 3D, nous pouvons identifier facilement les travaux les plus pertinents pour améliorer les performances d'un bâtiment. Il s'agit par exemple d'identifier une zone de défaillance thermique ou bien une pièce où l'isolant est mal réparti.Cette méthode d'optimisation énergétique est encore en phase de recherche et développement. Nous l'avons pour le moment testée sur des bâtiments tertiaires d'ENGIE Solutions et les résultats sont prometteurs. Le développement de cette technologie à grande échelle devra prendre en compte les contraintes et spécificités propres à chaque bâtiment et la nouvelle réglementation thermique. Le BIM ouvre de belles perspectives pour l'avenir de la rénovation énergétique !
Il y a 4 ans et 43 jours

Strohm Teka, entreprise spécialisée dans les solutions globales pour la salle de bain, fait confiance à BIM&CO

Strohm Teka, marque axée sur des solutions intégrales pour les salles de bains,  fait confiance à BIM&CO pour la modélisation, diffusion et publication de ses objets sur la plateforme publique BIM&CO. L’entreprise souhaitait que ses différentes parties prenantes aient la possibilité de collaborer de manière plus efficace. Accompagner les parties prenantes dès le début du processus Aussi agréables à vivre que propices à la détente, les salles de bain de la marque transforment les routines d’hygiène quotidiennes en moments privilégiés, et ses collections de salles de bain s’adaptent aux différents styles de vie de ses clients. Ayant ainsi pour valeur la bienveillance de ses clients, Strohm Teka cherche également à faciliter le travail d’équipe de ses collaborateurs internes et parties prenantes. Sachant que l’interaction de toutes les parties impliquées dans les différentes phases du projet minimise le risque de conflits entre les différentes phases d’exécution, c’est pour cela que l’entreprise a fait appel à BIM&CO. Juan José Rodríguez, architecte de Strohm Teka et responsable du canal Construction, commente : “En tant que fabricant, nous voulions donc faire partie, et nous le faisons, de cette solution à l’origine du processus, en accompagnant toutes les personnes impliquées et en leur apportant un soutien lorsqu’elles en ont besoin.” Un partenariat au déroulement rythmé BIM&CO a marqué le rythme de ce partenariat avec des réunions hebdomadaires,  permettant à Strohm Teka de comprendre ce que signifie un objet BIM et l’enjeu de structurer leur équipe en interne pour avancer plus vite et construire leur patrimoine de données. Les deux entreprises ont défini au préalable la liste des produits prioritaires à modéliser en fonction de la demande des clients et de la stratégie commerciale de Strohm Teka. En ce sens, cette première phase de projet se constitue de 76 objets qui correspondent à 153 références différentes. Prochainement, Strohm Teka a l’intention d’agrandir cette bibliothèque et ainsi de continuer son pari digital. C’est par le biais du groupe privé sur la plateforme publique que BIM&CO a pu échanger de manière collaborative avec Strohm Teka, qui a pu suivre l’évolution et la définition de sa bibliothèque. Grâce au viewer en ligne, Strohm Teka avait accès à la géométrie de l’objet sans passer par un logiciel natif, et pouvait également consulter en ligne l’ensemble des paramètres et valeurs associées à chaque objet. Tri d’objets et mise en relation des parties prenantes : les défis rencontrés Le principal obstacle rencontré en ajoutant ses objets sur bimandco.com a été pour Strohm Teka de comprendre quelles sont les informations essentielles et nécessaires, utiles pour toute phase de projets ou pendant l’exécution des travaux. Le fait de devoir rassembler toutes ces informations et de « dire » ce que sont leurs produits s’est alors donc être un défi. D’autre part, il n’était pas évident au premier abord de comprendre comment mettre en relation les différents départements et leurs besoins dans le cadre de cette méthodologie. Au-delà d’identifier et de définir les paramètres nécessaires pour la bibliothèque de Strohm Teka, une des problématiques et difficultés du projet a été de compiler l’ensemble de l’information 3d et 2d pour lancer les objets en modélisation. C’est là ou Strohm Teka a pris l’initiative de lancer en parallèle son projet PIM (Product Information Management), pour faire l’inventaire de l’ensemble de la data et nourrir les objets BIM. D’ailleurs aujourd’hui, il est difficile de dire quel projet a été moteur de l’autre : en effet, les objets BIM ont permis aussi de dicter les informations utiles à recenser dans le PIM. Une expérience positive pour les deux entreprises Au cours de ce projet, Strohm Teka a appris que le processus de numérisation est essentiel pour appartenir à un groupe de travail spécialisé et hautement professionnel. Pour l’entreprise, cette méthodologie est désormais devenue une nécessité, et leur équipe a appris à l’adopter rapidement et efficacement. Pour Strohm Teka et BIM&CO, la simplification des projets grâce à la plateforme fait de ce partenariat un succès : “Comme tout projet, il y a des phases plus complexes dans lesquelles le soutien de spécialistes comme chez BIM&CO est nécessaire, qui permettent d’avancer et de tout terminer à temps. L’expérience a été positive et nous allons continuer à aller de l’avant.”, dit Juan José Rodríguez. Quant au choix de BIM&CO, Juan José ajoute : “Plus qu’une solution, nous avons opté pour une équipe qui nous a dit que ce projet était aussi important pour elle que pour nous, qui s’est impliquée et a veillé à ce que nos besoins soient couverts…”. Un dernier conseil pour les autres fabricants Lorsque Juan José souhaite conseiller les autres fabricants qui ont pris la décision de faire le saut numérique, il est préférable de ne pas attendre : “Tout saut ou changement dans un processus de production implique un effort et un dévouement total, mais il est surtout important d’établir un planning raisonnable et réaliste et une communication constante, une feuille de route qui nécessitera cette numérisation, mais le conseil est que le plus tôt sera le mieux.” Si vous êtes fabricants et voulez vivre la même expérience que Strohm Teka, cliquez ici pour en savoir plus sur la digitalisation de votre catalogue produits avec des outils et services intégrés.
Il y a 4 ans et 50 jours

Deux ans après l'incendie, le sprint final pour terminer la sécurisation de Notre-Dame

Vingt-quatre mois après le sinistre toujours inexpliqué qui avait ému le monde, les dernières sécurisations sont menées tambour battant dans l'édifice gothique de 850 ans, et autour du trou béant qu'a laissé la flèche en s'écroulant.Les appels d'offres ont été engagés et les architectes multiplient les diagnostics permettant d'établir un calendrier précis des travaux à partir de l'hiver prochain, indique l'Etablissement public chargé de la conservation et de la restauration, créé après l'incendie.Mille chênes débités sont en train de sécher pour reconstruire la flèche et la croisée du transept. Et deux chapelles-test ont été nettoyées, révélant les couleurs laissées par l'architecte Eugène Viollet-Le-Duc au XIXe siècle. Choisi par Emmanuel Macron pour conduire le chantier en cinq ans, Jean-Louis Georgelin, un général, a indiqué lors d'un déplacement début mars en forêt de Bercé (Sarthe) pour la sélection des premiers arbres: "Nous sommes dans les temps pour rendre la cathédrale au culte en 2024. Même s'il restera encore beaucoup de travail".Le président lui a confié l'Etablissement public, pour reconstruire la cathédrale "plus belle qu'avant". L'hypothèse d'un geste architectural contemporain pour remplacer la flèche détruite a été écartée.Entrelacs d'échafaudagesL'architecte en chef Philippe Villeneuve, grand connaisseur de la cathédrale, avait mis sa démission dans la balance si l'édifice n'était pas reconstruit à l'identique. Identique ne veut pas dire "fac-similé". Pour la charpente par exemple, il s'agira de choisir "un dessin proche" de la "forêt" disparue, précise-t-on à l'Etablissement public.Sur le chantier règne un entrelacs d'échafaudages, de filets et de bâches, où s'activent charpentiers, cordistes, échafaudeurs etc.L'heure est à la pose à 27 mètres de hauteur d'une soixantaine de cintres en bois sous les voûtes pour les consolider provisoirement. Un parapluie géant à la croisée du transept permettra d'assurer la mise hors d'eau.Depuis le démantèlement en décembre de l'échafaudage calciné qui entourait la flèche --40.000 tubes sciés un à un en six mois--, le danger d'un écroulement est écarté.La sécurisation a coûté 165 millions d'euros. Intempéries, travaux non prévus, interruptions (limitées) dues à la pandémie et surtout les nombreuses mesures et aménagements liés à la lutte contre les émanations de plomb ont provoqué quelques retards et surcoûts."L'école des bâtisseurs"Les équipes doivent passer par la douche et revêtir des combinaisons en raison des réglementations sur le plomb. Chaque jour.Le chantier, ou plutôt les chantiers (dont celui, très délicat, du nettoyage du grand orgue), ont mobilisé 15 métiers, 68 ateliers, 215 entreprises... Reste beaucoup à faire: sélection de pierres dans des carrières et leur pose pour remplacer celles endommagées, nettoyage de 24 chapelles, restauration des vitraux encrassés, reconstruction de la flèche, de la toiture, d'une partie de la voûte etc.Un partenariat avec une société de haute technologie, Autodesk France, permettra une modélisation numérique qui accompagnera toute la restauration et préparera les équipements indispensables (sécurité, ventilation, éclairage) dont aura besoin la cathédrale.Les quelque 833 millions d'euros de la collecte nationale et internationale (350.000 donateurs) sont encaissés ou font l'objet d'engagements fermes à 98%. Seront-ils suffisants pour les finitions au delà de 2024? Certains en doutent. Et il faudra anticiper un budget important pour l'entretien annuel.L'esprit d'équipe insufflé par le trio d'architectes, Philippe Villeneuve et ses deux acolytes, Rémi Fromont et Pascal Prunet, est salué unanimement et a eu raison de bien des obstacles. "Si le général est le chef d'orchestre, ils sont les premiers violons, à l'école des bâtisseurs du Moyen-Age", déclare Mgr Patrick Chauvet, archiprêtre de la cathédrale.
Il y a 4 ans et 55 jours

Pas de fac-similé pour la charpente de Notre-Dame de Paris

Deux architectes et un anthropologue ont entrepris un tour de France de deux mois pour aller à la rencontre de ceux qui construisent des maisons individuelles écologiques s'éloignant des modèles vendus clés en mains. A travers la mise en perspective de trente réalisations, cette étude est une invitation à penser et à fabriquer […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 56 jours

Visite virtuelle de la Tour Heinrich des Ponts-Couverts de Strasbourg

Numérisée en 3D, dans le cadre d’un projet d’étude mené par la DRAC Grand Est, en partenariat avec l’Eurométropole de Strasbourg et l’INSA de Strasbourg, la tour Heinrich des Ponts-Couverts, monument emblématique de Strasbourg, inaccessible au public, est proposée en visite virtuelle. Les Ponts-Couverts de Strasbourg, qui dans leur état actuel datent d’une reconstruction dans les années 1860, sont des vestiges des fortifications de la ville. Reconstruits une première fois au XVIe siècle, à l’emplacement des anciens ponts couverts (« gedeckten Brücken ») médiévaux, dont les plus anciens témoignages remontent au XIIIe siècle, ils ont perdu leurs toits et leurs galeries en bois depuis le XVIIIe siècle. Lisa Urfer et François Potentini, étudiants en 5e année à l’INSA, ont collaboré avec Maxime Werlé et participé à la numérisation 3D de la tour. Dans le cadre de son projet de fin d’études (PFE), Lisa Urfer poursuit des travaux de modélisation de la tour Heinrich. https://www.youtube.com/watch?v=7tRatINzri4  
Il y a 4 ans et 68 jours

Trimble Connect : Convivial et collaboratif

Trimble Connect est une plateforme d’intégration et de communication basée sur le cloud qui relie les bonnes personnes aux bonnes données, au bon moment. Trimble Connect fournit des informations actualisées et utilisables pour les projets prêts à être réalisés : visualiser, examiner et référencer les modèles Tekla, les plans et autres données dont vous avez besoin pour mener à bien un projet de construction.  Avec Trimble Connect, vous pouvez travailler à tout moment, n’importe où et depuis n’importe quel appareil – La plateforme est accessible. Vous travaillez toujours avec des informations fiables et précises. Trimble Connect peut être utilisé dans les différentes phases du processus de construction, lors de la coordination et de la conception mais également pour communiquer sur le chantier ou hors site ainsi que pour la gestion des activités et des tâches au cours du projet. Vous pouvez partager les modèles, les plans et tous autres documents de Tekla: Visualisation, révision, modèle de référence et archivage avec historique des révisions. Trimble Connect dispose d’interfaces utilisateur conviviales pour les postes de travail et les appareils mobiles (iOS et Android) et même pour les appareils de réalité mixte (MR). La plateforme vous aide à garder le contrôle des modifications grâce à une collaboration constante. Ainsi les révisions couteuses dues aux informations périmées ne sont plus qu’un mauvais souvenir.Trimble Connect relie les données tout au long de chaque phase du cycle de vie du bâtiment afin de respecter les délais et le budget du projet. Vous pouvez télécharger et partager des documents de plus de 50 outils standards de l’industrie ou ajouter vos propres outils grâce aux API (Application Programming Interface). Trimble Connect et les outils de workflow sont disponibles en 16 langues. Regarder la vidéo En savoir plus Logiciel Tekla de Trimble  Trimble produit les solutions logicielles Tekla, qui font partie du portefeuille de Trimble Buildings, pour les flux de travail Modélisation de l’Information du Bâtiment (BIM) et d’ingénierie structurelle avancés. La gamme de solutions Trimble pour la construction s’étend des stations totales aux logiciels avancés, dotant ainsi le secteur du bâtiment des outils nécessaires pour la transformation de la planification, de la conception, de la construction et du fonctionnement des bâtiments. Les logiciels Tekla sont au cœur du processus de conception et de construction. Ils s’appuient sur la libre circulation des informations, sur des modèles 3D réalistes et sur la collaboration. Pour plus d’informations sur les logiciels Tekla, rendez-vous sur : www.tekla.com
Il y a 4 ans et 68 jours

Tekla Structures pour l’industrie du béton préfabriqué

Le logiciel Tekla Structures de Trimble est une solution logicielle performante, orientée BIM, idéale pour les constructions en béton préfabriqué. Le logiciel intègre la conception et l’exécution ainsi que la fabrication et la gestion de projet. Vous pouvez ainsi rationaliser l’intégralité du processus de préfabrication du béton, du devis a la livraison. Les outils intuitifs de Tekla Structures, vous permettent de modéliser précisément n’importe qu’elle structure et d’utiliser les données extraites du modèle pour planifier et contrôler votre production. Ainsi, en coordonnant efficacement toutes les opérations de conception, de fabrication et de montage, vous sécurisez la qualité des informations transmises et réalisez vos projets de manière plus fluide, sans erreurs et sans gaspillage.  Regarder la vidéo En savoir plus sur Tekla Structures 2021 – Tekla Structures pour le béton préfabriqué Logiciel Tekla de Trimble  Trimble produit les solutions logicielles Tekla, qui font partie du portefeuille de Trimble Buildings, pour les flux de travail Modélisation de l’Information du Bâtiment (BIM) et d’ingénierie structurelle avancés. La gamme de solutions Trimble pour la construction s’étend des stations totales aux logiciels avancés, dotant ainsi le secteur du bâtiment des outils nécessaires pour la transformation de la planification, de la conception, de la construction et du fonctionnement des bâtiments. Les logiciels Tekla sont au cœur du processus de conception et de construction. Ils s’appuient sur la libre circulation des informations, sur des modèles 3D réalistes et sur la collaboration. Pour plus d’informations, rendez-vous sur : www.tekla.com
Il y a 4 ans et 68 jours

Tekla Structures pour la construction en béton

Trimble propose sa solution Tekla Structures pour la construction en béton. Vous disposez d’outils faciles à utiliser, à n’importe quel stade du projet, pour concevoir des modèles réalistes. Avec Tekla Structures, il est possible de réaliser plus rapidement les métrés. Toutes les informations étant intégrées au modèle 3D, il est plus facile de s’adapter aux modifications apportées au cours de l’appel d’offres. Vous réalisez ainsi des devis quantitatifs et des plannings avec la même solution. Toutes vos estimations sont donc des informations fiables. Avec Tekla Structures, vous pouvez modéliser et visualiser très facilement les armatures. La fonction de détection rapide des collisions vous permet de détecter et de corriger les défauts avant la mise en œuvre du chantier. Il est possible de créer des plans d’exécution (ferraillage) et des plannings précis, en évitant ainsi des difficultés lors de l’installation. Regarder la vidéo En savoir plus sur Tekla Structures 2021 Logiciel Tekla de Trimble  Trimble produit les solutions logicielles Tekla, qui font partie du portefeuille de Trimble Buildings, pour les flux de travail Modélisation de l’Information du Bâtiment (BIM) et d’ingénierie structurelle avancés. La gamme de solutions Trimble pour la construction s’étend des stations totales aux logiciels avancés, dotant ainsi le secteur du bâtiment des outils nécessaires pour la transformation de la planification, de la conception, de la construction et du fonctionnement des bâtiments. Les logiciels Tekla sont au cœur du processus de conception et de construction. Ils s’appuient sur la libre circulation des informations, sur des modèles 3D réalistes et sur la collaboration. Pour plus d’informations, rendez-vous sur : www.tekla.com/2021
Il y a 4 ans et 77 jours

L’impression 3d, l’alternative à l’injection plastique

L’impression 3D est une technique de fabrication offrant un résultat très précis. Cependant, elle est encore très peu utilisée pour concevoir des produits commercialisables à grande échelle. La grande majorité des objets en plastique que vous distinguez sur le marché ont été conçus suivant la méthode de production classique c’est-à-dire via les moules d’injection plastique. Découvrez dans cet article, le pour et le contre de ces deux techniques afin de décider laquelle est la plus appropriée à vos projets. Quels sont les points distinctifs entre le moulage par injection et la fabrication additive ? Peu importe la technique que vous utilisez, l’une comme l’autre peut vous aider pour votre prototypage que pour votre production. Elles ont chacune leurs avantages, mais vous devez réellement connaître ce qui fait leurs différences. •   Le moulage par injection C’est une méthode de fabrication traditionnelle qui permet de créer des pièces en injectant un matériau au sein d’une cavité. Au final, cela permettra de créer votre objet. En d’autres termes, le moulage par l’injection plastique donne la forme à votre produit par le biais d’un moule où est injecté le matériau fondu. Lorsqu’il se refroidit, vous pouvez récupérer l’objet solidifié à l’intérieur. •   L’impression 3D C’est une technique de fabrication additive, ce qui signifie que l’objet en question est fabriqué par addition de couches. Vous n’aurez pas besoin de créer un moule pour obtenir la pièce voulue. Il faut seulement un fichier 3D et le tour est joué ! D’ailleurs, il existe un large choix de technologies et de matériaux d’impression 3D sur le marché. Les avantages du moulage par injection Si vous avez un projet qui consiste à produire de gros volumes, avec précision et une bonne répétabilité, optez pour le moulage par injection. Vous aurez le choix entre de nombreux plastiques pour effectuer le moulage dont chacun amène ses propres propriétés en termes de poids, de coût et de flexibilité. Depuis son invention, il y a près de 150 ans, le moulage par injection a été l’unique pivot de la production industrielle. Avec le temps, elle a connu beaucoup d’amélioration, mais la chose à propos du moulage n’a pas du tout changé, c’est-à-dire le besoin d’outillage. Ainsi, la conception et la fabrication de l’outillage de moules d’injection deviennent de plus en plus complexes. Les avantages de l’impression 3D Utiliser la fabrication additive est une alternative plus avantageuse par rapport à la fabrication traditionnelle. Cette solution est parfaite pour créer des itérations. De ce fait, elle est devenue une technique de production fiable. Mais, le prototypage n’est pas du tout simple et rapide, ce qui fait partie de ces avantages. Avec le service d’impression 3D, vous pouvez imprimer votre projet pour le tester et effectuer toutes les modifications que vous voulez à l’aide du logiciel de modélisation 3D et l’imprimer à nouveau pour valider les modifications. Ainsi, la flexibilité de cette technique permet de gagner du temps, de l’argent tout en améliorant la création, notamment au niveau du design. En outre, si vous choisissez cette option, vous réduirez les pertes de matériau. Même si le moulage par injection laisse peu de déchets comparés à l’utilisation de machine CNC, l’impression 3D reste le grand gagnant dans cette catégorie. Elle utilise uniquement la dose de matériau nécessaire à la création de l’objet. En optant pour la fabrication additive, vous éviterez aussi d’avoir des soucis de stocks et d’inventaire. Vous créez vos pièces quand vous le souhaitez pour ne plus vous soucier de votre stockage. De même, les économies de coûts et de temps offertes par l’impression 3D sont particulièrement intéressantes vis-à-vis de la technique de moulage par injection. À quel moment utiliser ces techniques de fabrication ? Ces deux procédés de fabrication sont efficaces, mais tout à fait différents. Le choix dépend entièrement de vos attentes. Si le moulage par injection parait plus professionnel, les choses sont en train d’évoluer de nos jours et l’impression 3D devient une alternative favorable qui permet de réaliser des pièces très précises. •   Moulage par injection Vous ne pourrez jamais utiliser cette technologie sans avoir les équipements nécessaires c’est-à-dire des machines professionnelles qui effectuent le moulage par injection. Ainsi, la création de moules est plutôt onéreuse et n’est pas adaptée au prototypage. Il faudra créer un nouveau moule à chaque fois pour faire plusieurs itérations. D’ailleurs, les moules sont toujours en acier, ce qui complique un peu les changements. Malgré tout cela, si vous désirez créer de gros volumes, le moulage par injection sera la solution adéquate. •   Impression 3D Il existe plusieurs façons d’utiliser la fabrication additive. Vous pouvez, par exemple, acheter une imprimante 3D de bureau et utiliser les diverses technologies y afférents. Pour avoir un résultat plus professionnel, investissez dans des machines plus complexes comme celles qui utilisent le Frittage sélectif par laser. Le service d’impression 3D vous donne accès à de nombreuses combinaisons de finitions et de matériaux. Il suffit de charger le design 3D, choisir la technologie appropriée, le matériau et les finitions.
Il y a 4 ans et 78 jours

Geosophy lève 750.000 euros pour développer l'énergie souterraine au profit naturel de l'immobilier

A l'heure du renforcement des réglementations environnementales s'illustrant par la parution du décret tertiaire imposant des diminutions de consommation énergétique, l'innovation technologique proposée par Geosophy constitue une aubaine pour les propriétaires immobiliers. Le marché visé par Geosophy est de 50 millions d'euros par an en France.Les récents financements qu'a recueilli Geosophy lui permettent déployer son offre commerciale en s'appuyant sur son expertise et ses modélisations des énergies souterraines pour proposer des opérations de valorisation immobilière, opportunité inédite pour les industriels du bâtiment français, parfaitement alignée avec l'objectif d'une relance économique durable. En effet, en concevant un modèle innovant de valorisation tertiaire, Geosophy incite à repenser les espaces et les besoins. Exploitant la valeur méconnue des sous-sols, la start-up revalorise les biens immobiliers et met à profit sa fine expertise en faveur d'une transition énergétique fiable et sans écueil.Premier tour de tableGeosophy fait partie des 1000 solutions capables de protéger l'environnement qui bénéficient du Label “efficient solution” 2020 de la Fondation Solar Impulse. La start-up poursuit son ambitieuse trajectoire en bouclant avec succès son augmentation de capital de 550 000 euros en recueillant les participations de quatre associations dont Business Angels des Grandes écoles (BADGE). Ce premier tour de table révèle la noble stratégie que désire adopter le comité stratégique paritaire de Geosophy en s'associant à des acteurs reconnus de premier plan.« Nous avons souhaité faire appel à des investisseurs individuels pour nous accompagner dans cette phase de notre développement pour bénéficier non seulement de leurs capitaux, mais aussi de leurs conseils stratégiques et opérationnels, exigeants mais bienveillants, ainsi que de leur expérience et de leurs réseaux pour accroître notre notoriété et accélérer la dynamique de nos relations avec nos clients et nos fournisseurs » a déclaré Alice Chougnet, Présidente de Geosophy.Forts d'une expérience éprouvée dans la R&D et la gestion de projets appliquée aux services pétroliers, les fondateurs Alice Chougnet et Quentin Barral ont développé, grâce à leur savoir-faire et avec l'aide de laboratoires de recherche et d'industriels du domaine, une solution logicielle brevetée d'aide au choix d'une solution optimale de chauffage en hiver, climatisation en été, des bâtiments à base de géo-énergie.Un financement permettant une R&D de pointe au profit d'une transition énergétique fiable et sans écueil : au cœur de la deeptech et de la dataCette levée de fonds dédie les travaux de Geosophy en Recherche et Développement et permet de rendre sa solution opérable sur le plan commercial. La start-up concentre donc ses travaux de recherche et de développement selon 3 axes : la modélisation des sous-sols alliée aux besoins des bâtiments ainsi que la valorisation des biens immobiliers.En étroite collaboration avec l'Institut Français du pétrole et des énergies renouvelables, Geosophy tire profit de l'inertie thermique des sous-sols peu profonds caractérisés par une température constante de 12 à 15 degrés, source de chaleur l'hiver, et de fraîcheur l'été. En considérant les besoins des bâtiments couplés avec le potentiel énergétique de leurs sous-sols, Geosophy s'appuie sur ses travaux de recherche pointus pour appliquer ses modélisations à la géo-energie. La géo-énergie jouit des bénéfices de constituer une énergie locale, durable, gratuite, renouvelable et neutre pour le paysage. Forte d'autant d'atouts, elle entend être en mesure de satisfaire les nouveaux objectifs réglementaires.
Il y a 4 ans et 79 jours

Histoire de marque : Work4cad

Bati-Journal vous présente « Histoire de marque » : Work4CAD Yoann QUELLIEN, PDG de Work4CAD nous ouvre les portes de ses nouveaux locaux. Il revient sur l’histoire et le développement du groupe et nous présente les différentes entités et leurs synergies : CadWork, éditeur de logiciel 3D/CFAO CadCom, agence globale de communication CadDev, développement web/logiciel/mobile Capture4Cad, captation de données et modélisation 3D Toutes les informations sur w4c.group
Il y a 4 ans et 82 jours

14 acteurs de la construction Bois se rassemblent au sein du « Groupe Feu » pour élaborer une nouvelle solution de façade bois

Piloté par Bois HD, le centre d’ingénierie de l'école d’ingénieurs ESB - Bois & matériaux biosourcés, le collectif s’est constitué dans l’objectif de développer des solutions complémentaires à celles du guide « Bois Construction et Propagation du feu par les façades » édité depuis 2016. Une quinzaine de réunions de travail et des expérimentations menées par le laboratoire Efectis - agréé en résistance & réaction au feu - ont permis d’obtenir un Essai LEPIR 2 (Local Expérimental Pour Incendie Réel à 2 niveaux) qualifiant, en décembre 2020. Une réglementation qui pousse les entreprises à se regrouper pour développer de nouvelles solutionsLa réglementation impose l’obtention d’une appréciation de laboratoire attestant de la non propagation du feu par les façades. Cette appréciation est liée à la réalisation d’un Essai LEPIR 2 dont le coût est estimé à 40 000 €. Un budget difficile à réunir pour des entreprises de la filière bois.Durant 3 ans, le “Groupe Feu” a ainsi rassemblé l’association Ingénierie Bois Construction (bureaux d’étude bois), l’organisation professionnelle UICB (Union des Industriels et Constructeurs Bois) et les entreprises Bouygues Construction (78), CMB (79), Construction Bois EMG (22), FP Bois (40), Groupe ISB (35), Lignalpes (74), Maître Cube (75), PIVETEAUBOIS (85), Protac (22), Siniat (84) Sivalbp (74) et Techniwood (75).Cette mutualisation des expertises et des moyens avait pour objectif d’élaborer une solution optimisée d’un “complexe” : l'ensemble du mur, composé de la structure, du parement extérieur/intérieur et de l’isolation, en structure et bardage bois. Cette dernière devait permettre d’obtenir une appréciation de laboratoire relative au comportement au feu d’un élément de façade selon le §5.3 de l’IT249 : 2010 et conforme à l’arrêté du 7 août 2019 du ministère de l’intérieur et du logement.Après une recherche des facteurs influençants par des essais petite échelle, de la modélisation numérique et un premier essai LEPIR 2 d’orientation réalisé en février 2020, le “Groupe Feu” a obtenu, en décembre dernier, un essai LEPIR 2 qualifiant sur la conception de façade.Les atouts de la solution développée par le “Groupe Feu” :Limitation du débord des déflecteurs à 50 mm maximumUtilisation du bardage bois avec un classement de réaction au feu minima D-s2-d0Affranchissement du dispositif d’obturation de la lame d’airMise en œuvre des isolants bio-sourcés avec un parement à minima Euroclasse DEmploi de plusieurs types de bardage, y compris en aspect claire-voie si pose horizontaleCette appréciation de laboratoire est nominative et donc réservée en exclusivité aux membres du groupe. La solution constitue une alternative aux propositions recensées dans le guide « Bois Construction et Propagation du feu par les façades » et qui répondent à l’objectif de limiter la propagation du feu d’un niveau à l’autre d’un bâtiment ou de manière latérale.Yves-Marie Ligot, dirigeant d'un bureau d'études techniques spécialisé dans la construction bois et représentant de l’association IBC au sein du « Groupe Feu » est à l’origine du regroupement. Il revient sur les raisons qui ont conduit à cette démarche collaborative : « Les solutions référencées dans le guide sont efficaces techniquement mais difficiles à mettre en œuvre d’un point de vue opérationnel. Elles génèrent des coûts supplémentaires et compliquent la prescription. A titre d’exemple, l’installation de déflecteurs pour écarter la flamme de la façade augmente la dimension extérieure d’un bâtiment et le marque d’un point de vue esthétique. Le « Groupe feu » a permis de réunir des industriels, des concepteurs et des fabricants afin de trouver une solution « universelle ». Cette dernière permet de mettre en valeur le matériau bois en bardage et doit désormais être appliquée dans le cadre de projets concrets. Les retours d’expériences des différents participants permettront de procéder, au besoin, à des ajustements. Tous les acteurs qui ont pris part à cette démarche ont confirmé leur satisfaction. En fonction des évolutions règlementaires, le groupe pourrait ainsi être réactivé dans la perspective de nouveaux projets collectifs.La solution développée permet désormais aux entreprises du groupe d’enrichir leur offre dédiée aux bâtiments de grande hauteur, à certains établissements recevant du public et aux bâtiments d’habitation de 3ème famille. Ces derniers représentent une part importante du marché pour les entreprises de construction de la filière bois.Bois HD : un rôle de structuration et de pilotageCréé en 2012 par l’école d’ingénieurs ESB - Bois & matériaux biosourcés (Nantes), le centre d’ingénierie Bois HD accompagne chaque année 120 entreprises dans leurs projets de recherche, de développement et d’innovation. Ses activités sont réparties entre essais, innovation, ingénierie, modélisation et formation continue. L’objectif : stimuler la filière bois en contribuant à l’amélioration des produits et des process. Une démarche professionnelle récompensée par une augmentation de la portée et de la flexibilité de l’accréditation délivrée par le Comité français d'accréditation (Cofrac).Bois HD a été associé dès les prémices du projet afin d’en assurer le montage et la coordination.Amélie Roux, ingénieure R&D en charge du projet, détaille : “Nous sommes tout d’abord intervenus pour structurer le projet : établir le budget, mobiliser des participants, mettre en place un contrat de partenariat, organiser les échanges et déterminer les différentes phases. La réalisation d’un essai LEPIR 2 dans un laboratoire agréé nécessite la création d’une façade complète de deux niveaux - 7,10 m de hauteur par 5, 60 m de largeur - pour un coût d’environ 40 000 €. Grâce à la mutualisation des moyens, nous avons pu disposer d’un budget global de 100 000 € qui a permis d’engager les études, l’élaboration des prototypes, l’essai d’orientation et, finalement, l’essai qualifiant. Ce “Groupe feu” est un très bel exemple de collaboration au sein d’une filière bois qui monte en puissance, notamment dans la perspective des JO 2024.”Les différentes étapes du projet : septembre 2017 : lancement du groupe de travailfévrier 2018 – septembre 2018 : recherche de solutions, détermination des contraintes acceptables (surcoûts, aspect esthétique, pérennité des solutions…)octobre 2018 – mai 2019 : détermination et analyse des critères influençants (via simulation numérique par Efectis et réalisation d’un essai moyenne échelle type SBI chez Efectis - Belfast, en avril 2019),juin 2019 – janvier 2020 : conception du prototype de façadefévrier 2020 : réalisation de l’essai LEPIR 2 d’orientation chez Efectisavril 2020 – novembre 2020 : révision de la conception de la façade en fonction des résultats de l’essai d’orientationdécembre 2020 : Réalisation de l’essai LEPIR 2 qualifiant chez Efectis
Il y a 4 ans et 99 jours

Concevoir autrement les enceintes de centrales nucléaires

Toujours en construction, l’EPR de Flamanville fait partie des centrales nucléaires dites “de nouvelle génération”. Ici, réalisation de la double enceinte du réacteur, encore avant la pose du dôme de couverture. [©ACPresse] La sécurité des enceintes de centrales nucléaires est un objectif sociétal des plus importants, qui fait l’objet de nombreuses polémiques. De manière très schématique, il existe deux grandes approches dans la conception de ces enceintes :• L’enceinte constituée d’une paroi unique de grande épaisseur en béton armé. Et revêtue sur sa face interne d’une fine paroi métallique (appelée “liner” en anglais) • L’enceinte dite “à double paroi”. L’une, interne, est coulée en béton fortement armé et précontraint dans les deux directions (verticale et horizontale). L’autre, externe, est constituée d’un béton armé classique. Une lame d’air d’une épaisseur de l’ordre de 2 m séparent l’une de l’autre les deux parois . L’espace annulaire séparant les enceintes externe (à gauche) et interne (à droite) présente une épaisseur de l’ordre de 2 m. [©ACPresse] I – Qu’est-ce qu’une enceinte simple paroi munie d’un liner métallique ? Cette conception est la plus ancienne. Elle repose sur une vision très simple du rôle de l’enceinte. La paroi en béton armé est dimensionnée pour reprendre toutes les sollicitations extérieures accidentelles ou non. De son côté, le “liner” métallique assure l’étanchéité de l’enceinte vis-à-vis de gaz radioactifs. Qui susceptibles de s’échapper du cœur du réacteur, en cas d’accident. A priori pertinente et performante, cette conception a malgré tout été remise en cause. Il y a plusieurs dizaines d’années, notamment par l’ingénierie française. La principale critique reposait sur l’utilisation du liner métallique. Les reproches formulés étaient de deux ordres. Tout d’abord, la mise en place du liner était considérée comme longue et coûteuse. Car il fallait exécuter, avec le plus grand soin les soudures des plaques métalliques le constituant.  Dans les centrales nucléaires de nouvelle génération, la paroi intérieure de l’enceinte interne est doublée d’un liner métallique pour assurer une parfaite étanchéité. [©LNG Dunkerque] Ensuite, le risque de corrosion était potentiellement important, en particulier au niveau des soudures (zones propices à ce type de dégradations). Il générait des inspections fréquentes, longues et coûteuses de l’enceinte. Aussi, l’ingénierie française a décidé de développer un autre concept : celui de l’enceinte dite “ double paroi en béton”. II – Qu’est-ce qu’une enceinte à double paroi en béton ?  De conception plus récente, l’enceinte à double paroi repose sur plusieurs idées fortes. En premier lieu, la paroi dite “interne” doit être fortement armée et précontrainte (dans les deux directions). Ce choix a pour objectif d’assurer la résistance de l’enceinte vis-à-vis des pressions internes. Résultant de la rupture accidentelle du circuit primaire de réfrigération du cœur du réacteur (taux d’armatures important). Et l’étanchéité de l’enceinte vis-à-vis des fuites accidentelles de particules radioactives. Dans cette conception, la précontrainte bi-directionnelle est censée refermer toutes les fissures éventuelles générées lors du processus de durcissement du béton.  De son côté, la seconde paroi, dite “externe”, a pour rôle unique d’assurer la résistance de l’enceinte vis-à-vis des sollicitations extérieures (séisme, tempête, explosion, chute d’avion…). Enfin, la lame d’air présente entre les deux parois, aussi appelée espace annulaire. Elle est mise en dépression par un système de ventilation et filtration. Elle est conçue pour confiner, en cas d’accident, les particules radioactives de l’air, puis de permettre leur extraction.   Le diamètre et la densité d’armatures passives nécessaires à la construction des parois des enceintes nucléaires restent très importants… [©ACPresse] Toutefois, un problème subsiste. Un certain nombre d’enceintes conçues de cette façon ont présenté une fissuration traversante (sur toute l’épaisseur de la paroi interne). Cette dernière a été mise en évidence lors des épreuves décennales qui consistent à mettre sous pression gazeuse l’enceinte interne. Cette fissuration devrait être colmatée. Opération coûteuse qui posait, en plus, la question de la fiabilité de ces enceintes nucléaires… En conséquence, l’ingénierie française a pris une décision, pour les centrales à venir, dites “nouvelle génération”. Les enceintes de confinement adopteront “la ceinture et les bretelles” ! C’est-à-dire la double enceinte en béton avec, côté paroi interne, la présence d’un liner métallique. Il va sans dire qu’une telle solution a des conséquences économiques importantes. Avec une augmentation substantielle du coût de ces enceintes. Tout d’abord lié à leur construction (temps de construction accru). Ensuite à leur stratégie de contrôle (il faut suivre avec beaucoup d’attention l’évolution des soudures du liner métallique). Toutefois, cumuler “ceinture et des bretelles” ne s’avère pas si sécure qu’on pourrait le penser. En effet, la fissuration traversante de la paroi interne n’est pas annulée. Et une corrosion des soudures peut toujours survenir. Sans compter que l’acier se comporte assez mal, quand il est soumis à de fortes températures…  III – Y a-t-il de nouvelles solutions ?  Aujourd’hui, il n’est pas déraisonnable de penser que cette solution coûteuse pourrait être concurrencée par d’autres conceptions plus innovantes. Ces dernières passent, principalement, par l’analyse critique de la conception française initiale. C’est-à-dire celle d’une paroi fortement armée et précontrainte bi-directionnelle. En effet, ce choix technique a conduit à l’existence de fissures traversantes. Il est peut-être fondé sur une approche abusive quant à l’utilisation de la précontrainte. D’un point de vue historique, le béton précontraint a été inventée au début du siècle dernier par l’ingénieur Eugène Freyssinet. De manière très schématique, il s’agit d’éliminer les contraintes de traction au sein de la structure. En introduisant une compression (due à la précontrainte) dans la zone tendue d’une structure fléchie (poutre, dalle, voussoir…). Ce sont ces contraintes de traction que le béton n’apprécie guère, car à l’origine des fissures créées. Cette technique permet de construire des structures en béton ayant de grandes portées (la portée est la distance entre deux appuis). En général, la précontrainte remplace toutes les armatures de flexion. Dans le cas d’une précontrainte totale ou une grande partie de ces armatures ou dans le cas d’une précontrainte partielle. Ce qui est peut-être abusif, dans le cas des enceintes de confinement “à la française”, est d’appliquer une précontrainte bidirectionnelle sur un béton déjà fortement armé dans deux directions ! “Le mieux est l’ennemi du bien” dit le dicton. Serait-ce le cas pour les enceintes ? Même en utilisant un béton auto-plaçant, assurer le coulage des parois des enceintes nucléaires est un exercice délicat. Et peut conduire à des faiblesses structurelles. Que l’application de la précontrainte peut transformer en fissures. [©ACPresse] Une structure fortement armée dans deux directions est une structure composite à fort degré d’hétérogénéité mécanique. Le module de Young des aciers est cinq fois supérieur à celui du béton. Lors du durcissement du béton (accompagné de mécanismes physico-chimiques), cette hétérogénéité mécanique induit l’apparition de microfissures dans le voisinage des aciers de renfort. On applique la précontrainte bi-directionnelle sur cette structure hétérogène micro-fissurée. Celle-ci ne va pas refermer les micro-fissures, mais, au contraire, les propager : création de fissures plus longues et plus ouvertes. Ceci, d’autant plus que les câbles de précontrainte ne peuvent pas, être parfaitement alignés, induisent des moments locaux.  Enfin, il est utile de signaler qu’il est toujours difficile de bétonner correctement une structure. Dans laquelle les armatures passives (aciers de béton armé) et actives (précontrainte) s’entremêlent. Même en utilisant un béton auto-plaçant. Cette difficulté peut conduire à des faiblesses que l’application de la précontrainte peut transformer en fissures. Par ailleurs, la mise en pression de l’enceinte. Une pression d’un peu plus de 3 bar peut être appliquée à l’enceinte. Soit un peu plus que dans le pneumatique d’une voiture. Une possible fissuration pourrait générer les macro-fissures traversantes (par propagation des fissures préexistantes.  IV – Et si on abandonnait la précontrainte au profit des fibres métalliques ? Les conceptions innovantes, ou pouvant l’être, reposent sur l’abandon de la précontrainte dans la paroi interne de l’enceinte. Elles s’appuient sur l’acceptation de l’existence potentielle de fissures, qui seront contrôlées de telle manière qu’elles ne seront jamais traversantes. La seule façon d’atteindre cet objectif est d’utiliser des bétons de fibres et, plus particulièrement, des bétons de fibres métalliques. Ceci en combinaison avec les armatures traditionnelles. Les fibres métalliques sont mises en œuvre dans la structure de la même façon que les autres constituants du béton. Elles font partie de la composition du matériau. [©ACPresse] Les bétons de fibres métalliques ont une cinquantaine d’années d’existence. Ils sont aujourd’hui parfaitement connus et maîtrisés du point de vue technico-scientifique. De manière très schématique, les fibres jouent le même rôle que les armatures traditionnelles de béton armé vis-à-vis de la fissuration avec. Cependant, deux différences principales qui les distinguent :  • Les fibres sont mises en œuvre dans la structure de la même façon que les autres constituants du béton. Elles font partie de la composition du matériau ;• Les fibres métalliques sont efficaces vis-à-vis de fissures plus fines que celles contrôlées par les armatures. Ainsi, les fibres métalliques sont plus pertinentes que les armatures. Vis-à-vis des fissures liées au comportement en service de la structure. Les voussoirs des tunnels des lignes du Grand Paris utilisent maintenant des bétons sans armatures, mais additionnés de fibres métalliques. Ces bétons spécifiques ont une cinquantaine d’années d’existence. [©ACPresse] Associer armatures et fibres conduit donc à concevoir une structure à renforcement multi-échelles. En l’occurrence celle des fibres et celle des armatures. Un procédé très efficace vis-à-vis de la maîtrise de la fissuration : depuis les fissures les plus fines jusqu’aux fissures beaucoup plus ouvertes. La littérature internationale montre que le comportement mécanique du béton armé fibré est supérieur à celui du béton armé seul. D’autre part, l’utilisation des fibres (à un pourcentage élevé, nécessaire dans le cas des enceintes de centrales nucléaires) conduit à un réseau de fissures fines très souvent non connectées. Ce constat favorise l’apparition du phénomène de cicatrisation. Dans le temps, des fissures qui n’advient que pour des fissures très fines.  V – L’innovation passera aussi par l’emploi du Bfup La conception et le dimensionnement de la paroi interne de l’enceinte en béton armé fibré en remplacement de celle en béton armé précontraint pourraient constituer une première étape dans l’innovation. Une étape d’innovation n° 2 (qui se cumule à la première étape) serait l’utilisation de “coffrages”. Collaborants en bétons fibrés à ultra hautes performances (Bfup). Ces composites cimentaires sont à la mode et de plus en plus utilisés à l’international depuis plus de 20 ans. Ce sont des bétons de fibres qui ont des propriétés mécaniques. Et une durabilité très accrues par rapport aux bétons de fibres classiques. Un phénomène lié à la très grande compacité de la matrice cimentaire et à l’utilisation d’un pourcentage très important de fibres. Elément fin, durable et hautement résistant, les panneaux en Bfup peuvent constituer un coffrage perdu collaborant, en mesure de remplacer le liner métallique. [©DR] L’idée du coffrage collaborant en Bfup a une triple conséquence positive :– Un gain important de temps de construction, car le coffrage de l’enceinte reste en place ;– Un apport mécanique significatif, du fait d’un coffrage collaboratif aux propriétés mécaniques accrues ;– Un gain important en durabilité de la paroi, car le coffrage constituera une “peau” très étanche vis-à-vis du transfert de substances radioactives. D’une certaine manière, il remplacera en même temps le liner métallique interne.  Bien évidemment, il reste à évaluer la pertinence de ces deux étapes d’innovation possible. Ces dernières constituent un champ de mises en œuvre des connaissances acquises dans le domaine de la recherche et des développements technologiques. Ne pas évaluer leur intérêt pour les enceintes de centrales nucléaires serait dommage du point de vue socio-économique et de la sécurité.   Pierre RossiDirecteur de rechercheDépartement Mast-EMCGU (Matériaux et structures – Expérimentation et modélisation pour le génie civil urbain) et l’Université Gustave Eiffel – Ifsttar
Il y a 4 ans et 105 jours

ZW France annonce la sortie d'ARCHLine 2021

Dans cette version 2021, vous découvrirez de nombreuses nouveautés qui contribuent à accélérer et à améliorer le flux de travail de conception et de documentation.Les principales nouveautés :1. Fonction Pousser/Tirer: La fonction Pousser/Tirer, bien connue des utilisateurs de logiciels de conception 3D est désormais intégrée afin de vous donner toujours plus de possibilité et de fluidité dans la modélisation de vos modèles 3D. Utilisez cet outil pour créer des solides en 3D à partir de contours en 2D et transformez vos solides en bâtiment paramétrique en un clic !2. Références externes IFC, RVT, DWG, PDF… : Cette fonctionnalité permet de lier des fichiers IFC, RVT, DWG, PDF au sein du projet. L'utilisation de Xref est la meilleure option pour visualiser du contenu externe à des fins de coordination.Le fichier IFC, RVT, DWG, PDF est automatiquement mis à jour lorsque vous ouvrez le projet et peut être mis à jour à tout moment. De plus, le modèle importé est traité comme une unité. Le modèle est affiché en 2D / 3D et les données BIM associées peuvent être visualisées.3. Nouvelles classifications IFC :La classification IFC est un outil universel pour communiquer des informations BIM dans un format standardisé. Le système de classification permet aux différentes parties d'avoir une compréhension commune de tous les éléments. Divers systèmes de classification des informations sur les bâtiments sont utilisés au niveau international, (OmniClass - Etats-Unis, Uniclass 2015 - Royaume-Uni). En outre, vous pouvez classer les éléments en fonction de n'importe quelle norme nationale. ARCHLine.XP est prêt à intégrer toute sorte de matrice et convention BIM au format Excel. Il est également possible de gérer les normes industrielles et les bases de données personnalisées, afin de partager des données de la classification IFC avec tout le monde, même s'ils utilisent des logiciels différents.4. Calepinage intégré dans les styles : Une nouvelle fonctionnalité vous permet d'intégrer un style de calepinage complexe à un style de mur existant. Vous pouvez créer des systèmes de fixation et des structures complexes et les intégrer à des motifs de calepinage.5. Gabarits Métier : Un gabarit de projet est un environnement de départ pour un nouveau projet.Le gabarit contient les paramètres personnalisés par défaut pour le projet et détermine les unités de mesure par défaut, les styles, les calques, la structure des niveaux et du bâtiment et les mises en plans. Si le gabarit par défaut n'est pas tout à fait adapté à votre méthode de travail, vous pouvez le modifier selon vos propres besoins et l'enregistrer comme gabarit personnalisé. L'utilisateur peut créer ou enrichir ses propres gabarits.Plus de détails et d'informations, vidéos & tutoriels PDF sur : www.archline.fr
Il y a 4 ans et 112 jours

Helioz s’associe à BIM&CO en tant que content partner pour la modélisation d’objets BIM

Helioz Technologies est une entreprise croate, développant des solutions de configuration de produits pour les fabricants de produits architecturaux et mécaniques. La société propose du contenu BIM facilement utilisable par toutes les entreprises, contenant un grand nombre d’informations avec des propriétés spécifiques. C’est en février 2020 que la société Helioz est devenue partenaire de BIM&CO. Mia Velikanović, créatrice de contenu chez Helioz Technologies explique son parcours. « Je travaille chez Helioz depuis l’automne 2019. J’ai commencé à travailler avec des outils BIM à l’université. Cela m’a beaucoup intéressé  car le BIM aide à améliorer les processus, la communication et permet de faire le travail de manière plus rapide et plus efficace. » Les systèmes BIM sont pour elle le moteur de l’architecture et du génie civil. « Les outils BIM&CO sont simples et intuitifs dans leur utilisation, tout en étant très puissants et c’est ce que j’aime vraiment chez eux. » ajoute-t-elle. Les équipes d’Helioz Technologies sont également intervenues sur la création de contenu fabricant : les produits du fabricant Aiphone, spécialiste dans la fabrication de systèmes d’interphone, ont été modélisés au format BIM par leurs équipes.  La content creator d’Helioz, Mia Velikanović précise : « Les équipes de BIM&CO nous fournissent la donnée fabricant par le biais d’Onfly, ce qui représente un gain de temps significatif pour les deux parties concernées. Nous importons ensuite la donnée dans Revit par le biais du plugin BIM&CO, et créons la géométrie. Puis, les objets sont publiés au format Revit ou IFC sur bimandco.com ». Avant leur publication, les objets sont contrôlés par les BIM Content Specialists de BIM&CO et soumis à la validation finale du client. « Les technologies mises à notre disposition pour la création d’objets génériques ou fabricant nous permettent de réaliser un gain de temps, mais aussi de générer des objets à la qualité éprouvée », complète Mia Velikanović. Helioz profite d’autre part d’une visibilité accrue grâce à une page entreprise « Content Partner » dédiée, disponible en sept langues. Actuellement, plus de 120 objets génériques répondant à divers besoins (matériel médical, objets méthodes, éléments d’extérieur…) ont été publiés par Helioz sur bimandco.com : Voir les objets Helioz À propos d’Helioz – helioztechnologies.com – @HeliozMT Helioz Technologies développe et met en œuvre des solutions de configuration de produits pour les fabricants de produits mécaniques et architecturaux. Ils s’associent avec les meilleurs fournisseurs de technologie du monde pour le développement de contenu BIM 2D/3D et de produits mécaniques, afin de fournir la meilleure expérience digitale à leurs clients. Helioz Technologies crée des objets BIM simplifiés et riches en informations, utilisables par tous les groupes d’entreprises et contenant des informations et des propriétés spécifiques aux produits. À propos de BIM&CO – bimandco.com/fr – @bimandco Filiale du groupe Trace, BIM&CO est née en 2015 et bénéficie de plus de 30 ans d’héritage technologique dans le calcul, le traitement et la redistribution de la donnée technique. BIM&CO a pour mission de connecter tout corps d’état aux pouvoirs de la data, pour bâtir ensemble le monde de demain. BIM&CO met en place des solutions de gestion des données pour les ingénieries et fabricant, au-delà des barrières de langues, standards et formats. Pour répondre aux enjeux de la digitalisation des métiers de l’industrie, BIM&CO préconise une approche ingénieuse et maîtrisée du BIM, basée sur l’usage optimisé de la donnée partagée. Sa technologie d’harmonisation et de synchronisation s’enrichit quotidiennement pour permettre à tout corps d’état de disposer d’objets validés et de données connectées qualifiées, exploitables sur toute plateforme (dans tous standards ou formats). BIM&CO est un acteur global, présent à Paris, Bologne, Madrid et Montréal. BIM&CO s’appuie sur son réseau de partenaires pour construire une communauté de spécialistes. Contact Presse BIM&CO : press@bimandco.com
Il y a 4 ans et 127 jours

Le bureau d'études Construire renouvelle l'apport de l'ingénierie dans le BTP

Il propose de revenir à une conception plus traditionnelle de l'ingénieur : un professionnel qui s'efforce de faire progresser les technologies et le savoir-faire de son époque.L'ingénieur traditionnel est beaucoup plus rentable que l'ingénieur machine. Il cherche la meilleure solution par le bon sens et l'intuition, qu'elle soit standard ou non. Il utilise les normes comme un guide et non comme un frein.Lorsque la meilleure solution n'est pas standard, elle le devient. Ainsi, il gagne un temps précieux non seulement pour lui-même, mais également pour l'intégralité des équipes de construction.Une ingénierie traditionnelle et innovanteConstruire défend une ingénierie traditionnelle dont l'objectif est de perfectionner encore et toujours. C'est cette passion et cette soif de progrès technologique qui ont donné envie à Axel Sundermann et Xavier Laborde, lassés par le management entravant des grands groupes du BTP, de créer leur propre bureau d'études.Les capacités techniques de Construire permettent d'atteindre un niveau de flexibilité architecturale pour répondre au plus près aux souhaits du client.Le modèle développé par ConstruireConstruire défend la synergie architectes / ingénieurs, ticket gagnant du BTP. Cette alliance associe les 2 compétences complémentaires indissociables de la valorisation et de l'optimisation des projets : l'artiste qui fournit le rêve et le réalisateur.La mise en place de passerelles entre la réflexion architecturale et technique permet de configurer des détails constructifs en cohérence avec les concepts architecturaux.Inversement les ingénieurs développent des innovations techniques pour donner une plus grande dimension à la conception architecturale, comme ce fut le cas pour la construction en containers des années 90. Cette phase d'élaboration nécessite un important travail collaboratif dans lequel l'implication de l'ensemble des intervenants, y compris la maîtrise d'ouvrage, est indispensable.Construire promeut la construction paille et la construction en container maritime et développe d'autres techniques innovantes de construction écologique plus performantes que les techniques traditionnelles.Une ingénierie qui optimise la rentabilité des projets architecturauxPlus un projet est complexe techniquement, plus les économies réalisées grâce au savoir-faire des ingénieurs de Construire sont importantes ! Construire imagine et propose des solutions qui permettent d'optimiser les délais et les coûts de réalisation sans pertes en qualités architecturales.Construire s'appuie sur la modélisation numérique 4D, la réalité augmentée, des algorithmes d'optimisation de géométrie, de reconstruction numérique de l'existant à partir de photos ou vidéos et sur des calculs éléments finis. Ces outils viennent en support d'une bonne compréhension préalable des principes mathématiques et physiques qui constituent la base du savoir-faire des ingénieurs de Construire.Ceci permet à la fois d'optimiser les gains pendant la construction et de maintenir la qualité de l'ouvrage tout au long de sa vie. La rentabilité est optimale avec la solution la plus simple.L'évaluation par les ingénieurs de Construire peut permettre une réduction des coûts sans perte de qualité sur la durée de vie d'un ouvrage pouvant aller jusqu'à plus de 50 % par rapport au standard.Le prix cumulé d'un projet de la première pierre jusqu'au démantèlement est un indicateur assez fiable du coût écologique car il représente les dépenses énergétiques et donc écologique réelle de toutes les étapes. Un projet moins cher est un projet qui endommage moins la planète.Les ingénieurs de Construire pensent que construire écologique signifie améliorer la rentabilité et donc construire moins cher à qualité constante. Cette vision va à l'encontre des idées reçues, qui prétendent que l'écologie implique un surcoût.Les prestations de ConstruireElles vont des études en amont jusqu'au suivi des travaux.Les ingénieurs de Construire interviennent aussi bien en ingénierie générale qu'en ingénierie mono-technique : structure, énergie, électricité, VRD, fluides CVC, économie de la construction, bâtiments connectés, OPC.Construire souhaite devenir la référence de la réalité augmentée au service des particuliers. Celle-ci permet au client de visualiser sans surcoût le résultat architectural achevé avant même que les travaux n'aient commencé et donc de définir le projet au plus proche des besoins du client.Elle peut être utilisée par exemple dans le contexte d'une restructuration d'intérieur (agrandissement de salon, création de baies vitrées, …) ou dans le cadre de la construction ou de l'extension d'une maison individuelle.Construire développe la réalité augmentée au service des entreprises. Cette technique leur permet d'avoir accès à toutes les données relatives aux projets et aux différents composants à chaque étape de la réalisation sur place pendant la construction. Le maçon visualise chacun des parpaings qu'il doit installer de façon transparente, la réalité étant visible en vue de fond. Plus besoin de plans 2D en noir et blanc dont l'impression fini par coûter plus que les ingénieurs qui les dessinent !Construire souhaite également développer la réalité augmentée sur les marchés publics encore largement dominé par les plans 2D, 3D ou BIM traditionnels.Indépendants, pragmatiques et créatifs, les ingénieurs de Construire ont pour ambition d'allier innovation technique, simplicité, durabilité et réductions des coûts.
Il y a 4 ans et 161 jours

Fabrication assistée par ordinateur : l’importance de choisir le bon logiciel

Les logiciels de fabrication assistée par ordinateur (FAO) sont de plus en plus utilisés depuis quelques années pour faciliter le processus de conception industrielle. Le domaine de la conception d’édifices ne fait bien entendu pas exception. Vous êtes maître d’œuvre d’un projet de construction ? Découvrez l’importance de vous munir d’un bon logiciel FAO. Une gestion efficace des rapports de chantier S’il y a une tâche que le maître d’œuvre (architecte, ingénieur) n’a absolument aucun plaisir à effectuer, c’est la rédaction des rapports de chantier. Elle demande beaucoup de temps, de l’énergie et une vision d’ensemble de l’avancée des travaux. S’il est bien monté, le rapport de chantier peut épargner des erreurs parfois très coûteuses. Avec un logiciel FAO, toutes les informations concernant l’évolution du chantier sont renseignées. Il s’agit : des matériaux utilisés ; des changements opérés ; et des parties impliquées. En s’aidant des informations préalablement fournies, le logiciel de fabrication assistée vous permet de concevoir rapidement et facilement votre rapport de chantier, de le stocker en sécurité et de le partager à qui de droit. Vous pouvez découvrir la solution fao de TopSolid pour vous lancer. Une visualisation avancée du projet La fonction principale du logiciel de fabrication assistée par ordinateur est sans aucun doute de vous permettre une modélisation (2D ou 3D) de votre projet. Mais au-delà de cet aspect, il vous permet aussi de visualiser le projet dans son ensemble en prenant en compte des éventualités et des aspects auxquels vous n’auriez pas forcément pensé. Le logiciel vous permet de faire des simulations fiables dont les résultats pourront être utilisés pour orienter convenablement le projet. Un suivi amélioré des chantiers et des coûts Très pratique, le logiciel FAO n’aide pas seulement à la modélisation (2D ou 3D) des édifices. Grâce à des tableaux de bord souvent très détaillé, il permet d’avoir un aperçu clair : des marges et du seuil de rentabilité ; de la facturation en prenant en compte tous les aspects du chantier (matériaux, main d’œuvre…) ; et l’état d’avancement des travaux. À cela s’ajoute le fait que la mise à jour continuelle des informations (par heure ou par jour en fonction de vos préférences) vous permet d’être informé en cas d’évolution de la situation. Une productivité accrue grâce à l’optimisation du temps L’une des plus grandes contraintes de la gestion de chantiers se situe dans la gestion du temps. En effet, de nombreuses tâches qui doivent assurer la qualité, mais aussi la pérennité du bâtiment prennent un temps considérable à être réalisées. Avec leur automatisation, le logiciel de fabrication assistée par ordinateur vous permet de gagner plus de temps. De cette manière, vous consacrez moins d’heures de travail au remplissage des documents administratifs, ce qui vous donne la possibilité de passer plus de temps sur le chantier. Vous devenez donc plus productif, car plus impliqué personnellement dans la gestion des activités. Cela vous permet de gérer plus facilement votre chantier. En somme, le logiciel de fabrication assistée par ordinateur facilite la gestion de votre projet de construction à tous les niveaux, vous permettant d’être plus rapide et plus efficace. Vous pouvez ainsi prendre de l’avance sur les délais tout en garantissant un résultat à la hauteur des attentes de votre client.
Il y a 4 ans et 166 jours

AREP renforce sa direction Environnement et Numérique

Félix Pouchain rejoint l’équipe de direction Environnement et Numérique d’AREP en tant qu’expert modélisation et visualisation, avec... Cet article AREP renforce sa direction Environnement et Numérique est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 176 jours

Un logiciel BIM pour l'Architecture et la Construction Bois

Cette gamme comprend : Envisioneer Esquisse pour la modélisation 3DEnvisioneer Architecture pour la conception architecturale 2D/3DEnvisioneer Construction Bois pour la conception de bâtiments ossature bois, la réalisation d'extensions et de surélévations en bois ENVISIONEER ESQUISSEENVISIONEER ESQUISSE est un logiciel de modélisation 3D pour la conception architecturale de bâtiments, la réalisation d'extensions et de surélévation, les aménagements intérieurs et extérieurs, le paysagisme.Doté de fonctions d'export 2D/3D, de rendus réalistes et d'animations 3D, il est le compagnon idéal d'un logiciel de dessin 2D type AutoCAD.Points forts :Logiciel BIM- exploitation de la maquette numériqueSaisie et navigation encore plus simplesImport de documents PDFOptimisation qualité/temps de renduImport de terrains. Gestion des pointsBibliothèques de mobilier enrichies Import/ Export au format Sketchup et BIMAvec Envisioneer ESQUISSE, vous allez réduire significativement le temps nécessaire à la production de vos dessins d'avant-projets.+ d'info sur ENVISIONEER ESQUISSEENVISIONEER ARCHITECTUREENVISIONEER ARCHITECTURE ajoute à une puissance de modélisation bâtiment présente dans Envisioneer ESQUISSE, la souplesse d'un outil de dessin polyvalent.Il permet de faire un permis de construire et de calculer un quantitatif/estimatif du projet. Des fonctions de rendus réalistes et d'animations 3D complètent l'ensemble.Un logiciel complet qui allie la facilité de conception 3D au travers de fonctions architecturales élaborées et des outils 2D permettant d'enrichir vos plans de permis et d'exécution en y ajoutant du détail.POINTS FORTS :Logiciel BIM- exploitation de la maquette numériqueImport de documents PDFImport de terrain et gestion des pointsSaisie et navigation encore plus simplesOptions de cotation enrichiesExport vers l'étude thermiqueQuantitatif entièrement réviséCompatible RT2012 avec ArchiWIZARDUn logiciel CAO complet qui allie la facilité de conception 3D et des fonctions architecturales élaborées.+ d'info sur ENVISIONEER ARCHITECTUREENVISIONEER CONSTRUCTION BOISENVISIONEER CONSTRUCTION BOIS est un logiciel ossature bois pour paramétrer précisément les murs ossature bois, pour un chiffrage précis des projets et la réalisation des plans de panneaux (Pré paramétrage des bois 45x120/45x145, murs BBC, livré en standard).SIMPLE et RAPIDE de conception pour concevoir tous vos projets ossature bois, Envisioneer répond aux besoins de votre métier de constructeur bois, nécessitant l'usage d'un logiciel offrant une bonne souplesse dans le paramétrage de vos modes constructifs.Vous allez diminuer significativement l'exploitation du projet de l'esquisse vers la fabrication.Intégration du Module fabrication pour la création de plans de panneaux automatiques et de listes de débits. Avant l'arrivée de ce module, la création des plans nécessaires à la fabrication des panneaux d'ossature d'une maison individuelle pouvait durer 2 jours.Aujourd'hui grâce à ce nouveau module, cette tâche répétitive est réalisée en un seul clic! Vous obtenez ainsi, les plans de fabrication de vos panneaux d'ossature comprenant pour chacun : une vue de face et une vue de dessus du panneau accompagnées de cotations précisesainsi que la liste de débit permettant de détailler les longueurs et les quantités de chacune des pièces nécessairesPOINTS FORTS :BIM - exploitation de la maquette numériqueCréation automatique des plans de panneauxImport de documents PDFImportation de terrain et gestion des pointsNoms et Nos de panneaux automatiquesOptions de cotation enrichiesOptimisation qualité/temps de renduCompatible RT2012 avec ArchiWIZARDL'outil incontournable des professionnels du bois.+ d'info sur ENVISIONEER CONSTRUCTION BOISwww.a-doc.comDécouvrez la chaine YouTube A.DocVisionnez les tutoriaux vidéos consacrés aux logicielsd’architecture, de chiffrage et de calcul thermique...+ de 120 vidéos à voir !
Il y a 4 ans et 180 jours

Portrait : Hadrien Durand-Baïssas

Hadrien Durand-Baïssas (né en 1992) expérimente de nouvelles manières de créer et imagine des installations immersives qui nous plongent dans des univers enchanteurs. Rencontre. Après avoir travaillé pendant des années sur la figuration, à travers le dessin et la peinture, Hadrien Durand-Baïssas se consacre désormais à la conception d'installations immersives. Avec l’aide d’un logiciel de modélisation 3D, il imagine d'abord un décor mêlant sculptures, lumières et projections, dans lequel se dessine un parcours faisant de l’observateur le sujet central de la pièce. Une fois produites, ces installations immersives transcendent la réalité et évoquent des mondes fantasmatiques, témoignant ainsi d'un regain d'intérêt dans l'art contemporain pour le rêve. Muuuz : Quel est l'objectif de vos installations ? Hadrien Durand-Baïssas : Mes décors doivent ensuite prendre vie dans un lieu. Il s’agit d’aménager une salle telle qu’elle est représentée dans la modélisation 3D. Les lumières sont fabriquées à la main : composées par un ensemble de leds, de blocs d'acrylique et d’une puce de type arduino programmée pour réagir aux sons et aux mouvements des visiteurs. Si l’espace le permet, l’exposition pourra être organisée sous la forme d’un labyrinthe, un parcours ou une odyssée où le visiteur pourra voyager et interagir avec différentes installations, lumières et interactions dans une ambiance sonore adaptée. Quelle est l'atmosphère de tes installations ? Imaginez que vous vous promenez dans un rêve. Vous faites un reality check et vous réalisez que vous êtes conscient. Cependant, vos pieds sont bien ancrés sur le sol. Est-ce un rêve lucide ? Non, vous venez d’entrer dans un nouveau type d’exposition, celle d’une nouvelle génération, à mi-chemin entre une pièce de James Turrell, un brouillard d’Olafur Eliasson et un film de Christopher Nolan. J’essaie de réaliser les expositions que j’aimerais voir. Ce format interactif commence à être apprécié dans certaines villes, comme à New York où j’ai vécu pendant trois ans. À New York, dans des lieux comme la Artechouse ou le Zerospace, les limites entre art, technologie et réel deviennent floues.Pourquoi crées-tu des installations immersives ? J'aime le sentiment de vie. Tant que l'on est en mouvement, on est vivant. L'interaction est un principe qui n’a pas été suffisamment développé dans l’art. Aujourd'hui, avec tous les moyens dont les artistes disposent, il y a tant de possibilités qui s’offrent à nous, tant de combinaisons possibles dans ce monde en mutation. Je pense que nous sommes à l’aube de voir l’art profondément évoluer. Si un personnage du Cinquième élément ou de Blade Runner allait voir une exposition, je pense qu’il découvrirait des œuvres dans des décors immersifs hyper futuristes et très esthétiques. C’est en rêvant à expositions imaginaires que je crée des installations immersives qui plongent le spectateur dans des mondes envoûtants. Pour en savoir plus, visitez le profil Instagram et le site de Hadrien Durand-Baïssas.Visuels : © Hadrien Durand-BaïssasLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 217 jours

ARCHLine.XP, un nouvel outil BIM complet pour la maquette numérique

ARCHLine permet de modéliser et structurer une maquette 3D intelligente. Ce logiciel prend en charge tous les éléments inhérents à la réalisation d'un projet architectural, de la conception jusqu'à la collaboration avec une grande rapidité de réalisation.Des caractéristiques techniques nombreusesIl existe un grand nombre de fonctionnalités qui font d'ARCHLine.XP un logiciel complet permettant de réaliser des projets d'architecture et d'agencement dans leur intégralité.1. Certification IFC : ARCHLine propose l'import et export au format IFC 2x3 et offre des performances inégalées dans la qualité des échanges, notamment avec les logiciels les plus courants du marché tels que Revit et ArchiCAD. 2. Conception en 2D ou en 3D : Murs, portes, fenêtres et surface paramétriques... Tous les outils de dessin et de paramétrage d'objet intelligents sont disponibles avec import/export DWG, SKP, RVT/RFA.3. Un gestionnaire de niveau permet de maîtriser un projet dans son ensemble. Les hauteurs globale d'un bâtiment, les épaisseurs de dalles, les composants internes et les hauteurs de planchers, sont entièrement paramétrables dans un module complet.4. Modélisation du terrain : Import des points de géomètres, import du DWG en altimétrie, réglages du niveau NGF, modélisation des limites de terrain et des voies de circulation.5. Module MEP : ARCHLine, en version Pro intègre un module MEP (Mecanique, Électricité, Plomberie) pour vous permettre d'aller encore plus loin dans la conception de vos projets. Les outils MEP dans ARCHLine XP permettent aux ingénieurs de modéliser et de visualiser facilement tous les systèmes mécaniques, électriques et de plomberie, directement en 3D. Le tout au sein d'une maquette de bâtiment, en 3D également.6. Bibliothèque d'éléments : en plus de sa propre bibliothèque, ARCHLine fournit un accès direct gratuit et illimité à 3D Warehouse de Sketchup et à BIMObject.Rendu temps réel avec ARCHLine LiveARCHLine.XP peut être utilisé avec ARCHLine.XP Live, un logiciel indépendant d'animation immersif en 3D, permettant de se déplacer au sein de l'environnement d'un projet, et d'en faire le tour en profitant des textures, des effets du vent et de la lumière qui donne vie au projet.Plus de détails et d'informations, vidéos & tutoriels PDF sur notre nouveau site internet dédié : www.archline.fr
Il y a 4 ans et 225 jours

Gravure et découpe laser : ses applications dans le secteur du bâtiment

Du métal au bois, en passant par les textiles et le verre, la technologie laser permet de travailler sur une variété de matériaux et de produire diverses réalisations. Ainsi, elle s’avère utile dans différents secteurs de métiers, notamment celui du bâtiment. La technologie laser offre une polyvalence qui sera principalement mise en œuvre pour différentes sortes de travaux que nous allons découvrir sans plus attendre. Le modélisme architectural Une variété de matériaux pouvant être traités au laser, cette technologie s’avère donc particulièrement adaptée à la conception de maquettes architecturales. En effet, les matériaux de type papier, carton et mousse offrent de nombreuses possibilités pour la création de décors grâce à la découpe laser. Quant à la gravure laser, elle permettra d’apporter de la texture à vos surfaces pour un rendu plus réaliste. Enfin, pour la réalisation de vitrage, le laser permet la découpe d’une multitude de plastiques transparents et fins. Concernant le procédé de réalisation, il convient de réaliser au préalable la modélisation de toutes les pièces de la maquette à l’aide d’un logiciel avant leur découpe laser sur le matériau choisi. La réalisation de travaux de second œuvre La technologie laser permettant de découper et graver diverses matières, son usage est totalement adapté pour la mise en œuvre de travaux tels que la réalisation de portes, d’éléments d’ameublement ou de cuisine. Il en est de même pour de la décoration comme la réalisation d’une cloison moucharabieh ou la personnalisation d’un meuble grâce à la gravure laser sur bois permettant aussi de réaliser de sublime design. La réalisation de mosaïques En utilisant des carreaux de grès cérame ou tout autre matériau pouvant être découpé au laser, il est possible de fabriquer de très belles mosaïques. Qu’il s’agisse d’une douche à l’italienne, d’une crédence ou d’un plan de travail, il suffit de concevoir votre design graphique en amont et soumettre le fichier pour que le laser trace au plus profond du matériau pour le diviser avec délicatesse en plusieurs morceaux. De ce fait, le laser donne la possibilité de créer des objets et éléments au design unique pour une décoration des plus originales.   En conséquence, la technologie laser est devenu réellement utile au secteur de la construction et du bâtiment. Offrant à la fois une découpe claire et puissante d’une large palette de matériaux ainsi qu’une précision et personnalisation, elle permet la réalisation d’éléments et de maquettes uniques.  
Il y a 4 ans et 233 jours

Webinaire « La gestion des données BIM pour un bâtiment en réhabilitation lourde « 

Annalisa de Maestri, Directrice de VP I BIM (entreprise du Groupe Valode & Pistre) sera l’invitée du prochain Jeudi Prescription LIVE organisé par BIMobject France et Polantis le jeudi 22 octobre à 9h00. Annalisa de Maestri partagera son expérience sur la question de la gestion des données BIM pour un bâtiment en rénovation lourde avec l’exemple de l’hôtel Bagheera à Paris. L’hôtel Bagheera est hôtel particulier construit en 1751 qui doit répondre, aujourd’hui, aux standards hôteliers qui ont fortement évolués ces derniers années. Pour cela, Valode & Pistre a imaginé un projet qui s’articule autour de 3 interventions majeures : La réorganisation des espaces publics Des chambres de qualité associées à des circulations horizontales d’étage optimisées pour les clients de l’hôtel et performantes pour l’exploitation. Une gamme de services associés cohérente avec les attentes d’un hôtel 5 étoiles Pour cette transformation, le BIM est au cœur des échanges, avec une attention particulière à la définition des objets et aux données qui les composent.  Architectes, architectes d’intérieur, dessinateurs, ingénieurs, bureaux d’études, fabricants …, participez à ce webinaire ! Venez écouter et échanger avec Annalisa de Maestri et l’équipe de BIMobject. Inscription en ligne Les « Jeudi Prescription » sont organisés en partenariat avec le Club Prescrire. Annalisa de Maestri est ingénieur de formation inscrite à l’Ordre des Ingénieurs de Milan. Annalisa est depuis plus de 10 ans à la direction d’entreprises spécialisées dans le BIM et le digital appliqué aux métiers de la construction, y compris la synthèse d’exécution. Depuis 2019, elle dirige VPBIM, entreprise du Groupe Valode&Pistre, spécialisée dans le BIM Management, la Modélisation tous corps d’état, la synthèse et le développement d’outils d’optimisation et automatisation. Elle est également en charge des sujets de R&D et outils numériques pour le Groupe.   Vous souahitez plus d’information, n’hésitez pas à nous contacter : elise.monot@bimobject.com
Il y a 4 ans et 245 jours

Une journée en ligne autour de la massification de la rénovation

Alors que le salon ARTIBAT est repoussé d’un an, Jeudi 22 octobre 2020, les organisateurs et NOVABUILD proposent une journée en ligne dédiée aux solutions terrain pour faciliter la massification de la rénovation. Ainsi, alterneront des séquences de présentation des solutions innovantes portées par les 10 lauréats du concours CIRQ 2020 avec des séquences thématiques d‘experts de terrains et des retours d’expériences autour de : l’innovation pour massifier, la rénovation du patrimoine bâti, la massification dans le logement individuel et collectif, l’économie circulaire en rénovation. Marjolaine MEYNIER MILLEFERT, Députée et co-Présidente du PREB (Programme de Rénovation Énergétique du Bâtiment) et Sabine BASILI, Présidente du Programme national pour la qualité de la construction et de la transition énergétique, ouvriront cette journée. Elles nous présenteront le plan rénovation, les moyens alloués par le gouvernement grâce au plan de relance et les solutions proposées par les entreprises. Laurent ROSSEZ, Président de NOVABUILD, et Michel BROCHU, Président de la CAPEB Pays de la Loire, récompenseront en clôture, les 3 premiers lauréats. Les 10 lauréats CIRQ 2020 1er Prix du jury : Isol’En Paille : ISOL’en Paille produit sur mesure une gamme d’isolants de qualité adaptée aux besoins de la construction comme de la rénovation. La botte de paille est l’isolant low-tech open-source le plus abouti ! La Botte de 22, de dimensions innovantes, est une solution de bottes en paille de 22 cm d’épaisseur. Elle est produite dans une usine dédiée et respecte le cahier des charges des règles professionnelles de la construction paille. 2ème Prix du jury : AIR : Signée YLE Architectures, cette solution de végétalisation destinée aux cours d’immeubles haussmanniens garantit l’apport d’air frais dépollué dans les appartements grâce à un système de cheminées solaires basé sur le principe de tirage thermique. La création d’écosystèmes rafraîchissants avec des cours végétalisées selon un principe de strates végétales dépolluantes, couplée au réinvestissement des cheminées raccordées, assure une qualité de l’air optimale des différents lots habitat de la copropriété. 3ème Prix du jury : MAXEEM : Maxeem, plateforme de services numérique, agrège un ensemble de données permettant d’accéder à distance à des informations relatives au bâtiment (surface, nombre d’étage, année de construction…), d’évaluer son potentiel de rénovation, de structurer un préchiffrage travaux ainsi que le montage du plan de financement. Elle identifie les professionnels RGE à proximité pour faciliter la mise en œuvre des projets de rénovation énergétique. Les professionnels sont plus performants grâce à ces outils, développant la confiance avec les donneurs d’ordres. Ces trois lauréats se verront récompensés d’une journée de coaching par OmniGibus (agence spécialisée dans la « Formation Média Training et Prise de parole ») ainsi que d’une dotation de 2 000 € (pour le 1er prix) et 1 000 € (pour les 2ème et 3ème prix). ARTICONNEX : Articonnex apporte aux artisans du bâtiment des solutions pour améliorer leur gestion des matériaux et leurs investissements en machine tout en plaçant l’économie du circulaire au cœur du projet. Articonnex propose un triptique de solutions : une marketplace (revente de matériaux neufs et de réemploi – location d’atelier et matériels de chantiers), un premier entrepôt physique dédié au réemploi et un web magazine pédagogique. BATIRESO : Plateforme de digitalisation et de dématérialisation permettant de contextualiser les échanges entre donneurs d’ordre et entreprises de la construction. Cet outil en ligne est destiné à moderniser les process administratifs de lancement d’appels d’offre et de suivi de chantiers entre professionnels du bâtiment. BATIRESO permet de gagner en productivité en diminuant les tâches administratives liées aux échanges sur un projet de construction. BIModeler : Modélisation BIM semi-automatique des lots architecturaux sur REVIT en LOD 200 / 300 à partir du plug-in BIModeler. Cette solution se caractérise par le suivi de la prestation via une plateforme collaborative full web ainsi que le suivi et le contrôle du process par un expert en modélisation BIM. BIModeler permet une diminution des coûts et délais de modélisation ainsi que des erreurs humaines. BIModeler facilite l’accès au processus BIM. FEELBAT : Les capteurs DELTA Feel permettent de suivre l’évolution des fissures et mouvements d’un bâtiment ou ouvrage d’art via une application dédiée. Le système permet de démocratiser la solution, d’anticiper les désastres sur les balcons et bâtiments. Par leur taille et leur prix ils peuvent couvrir plus de zones que les capteurs actuels. L’ASSECHEUR : Ce procédé assèche tous types de murs : plein/creux, quel que soit le matériau à la suite d’un dégât des eaux : inondation, infiltration, remontées capillaires. Il s’agit d’un traitement naturel de l’humidité du mur : pas de produit chimique, pas d’onde magnétique. L’évolution technologique du syphon atmosphérique par l’utilisation de composants électroniques miniaturisés garantit un volume d’air circulant dans le mur est constant et suffisant pour l’assécher. MON Artiz : Cette initiative structure un réseau d’artisans sélectionnés sous une marque commune pour promouvoir la rénovation énergétique. Elle met à disposition une application numérique pour les accompagner dans leur quotidien et disposer d’une offre élargie par de nouveaux services innovants (possibilité d’intégrer une maquette BIM simplifiée, proposition de variantes pour une rénovation énergétique performante). We Love Réno : Plateforme web collaborative de gestion de travaux, de la gestion commerciale, jusqu’à la réception du chantier. Tous les intervenants du projet peuvent s’organiser, interagir et suivre en temps réel l’évolution du chantier. La plateforme intègre à la fois un CRM, les notices de travaux avec estimatif, un espace d’échange de documents, une planification du suivi de chantier ou encore l’organisation de rendez-vous BtoB. Rendez-vous sur ARTIBAT les 13, 14 et 15 octobre 2021 pour rencontrer « physiquement » les lauréats CIRQ 2020.
Il y a 4 ans et 251 jours

CIRQ 2020 consacre 10 startups spécialistes de la rénovation

ARTIBAT, salon d’affaires des professionnels de la construction de l’Ouest, et NOVABUILD, l’allié solutions climat des acteurs de la construction et de l’immobilier en Pays de la Loire, s’associent une nouvelle fois pour valoriser les solutions innovantes des startups de la construction. Jeudi 22 octobre 2020, relevons ensemble le défi de la décennie le temps d'une journée 100% en ligne 100% rénovation2020 est l'année zéro, celle d'un point de départ où la question de la crise climatique devient centrale. Part du problème, notre filière est donc aussi une part de la solution. ARTIBAT et NOVABUILD se sont donnés comme ambition avec CIRQ 2020 de faciliter la massification de la rénovation, une « solution climat » en réponse à l'atténuation et à l'adaptation au dérèglement climatique aujourd'hui nécessaire pour notre filière construction. Massifier suppose d'innover : une innovation à la fois technique et organisationnelle pour lever les blocages. C'est la raison pour laquelle ils ont lancé un appel à solutions pour faciliter la rénovation auprès de startups.Le jeudi 22 octobre, ARTIBAT et NOVABUILD vous invitent à un événement dédié aux démarches innovantes et aux retours terrain pour une rénovation de qualité, performante, sur les aspects thermiques, environnementaux et prenant en compte les usagers.Toute la journée, alterneront des séquences de présentation des solutions innovantes portées par les 10 lauréats CIRQ 2020 avec des séquences thématiques d‘experts de terrains et des retours d'expériences autour de : l'innovation pour massifier, la rénovation du patrimoine bâti, la massification dans le logement individuel et collectif, l'économie circulaire en rénovation.Marjolaine MEYNIER MILLEFERT, Députée et co-Présidente du PREB (Programme de Rénovation Énergétique du Bâtiment) et Sabine BASILI, Présidente du Programme national pour la qualité de la construction et de la transition énergétique, ouvriront cette journée. Elles nous présenteront le plan rénovation, les moyens alloués par le gouvernement grâce au plan de relance et les solutions proposées par les entreprises. Laurent ROSSEZ, Président de NOVABUILD, et Michel BROCHU, Président de la CAPEB Pays de la Loire, récompenseront en clôture, les 3 premiers lauréats.CIRQ 2020 consacre 10 startups spécialistes de la rénovationSélectionnés par un jury d'experts après un large appel à candidature, le dispositif CIRQ permet d'accroître la visibilité des porteurs de projets et startups qui innovent pour la filière BTP. L'édition 2020 a tenu toutes ses promesses avec une dizaine de dossiers sélectionnés, dont 3 projets particulièrement remarqués pour leur solution en matière de rénovation.« À l'image des startups que nous valorisons, CIRQ doit être agile et s'adapter au contexte qui l'entoure. Ce sera donc, en 2020, une édition 100% en mode virtuel pour parler de préoccupations réelles : Comment innover en rénovation pour des bâtiments plus respectueux de notre environnement ? »-Valérie Sfartz, directrice du salon ARTIBAT« La massification de la rénovation est un élément clé pour la réussite de la stratégie bas carbone du BTP et de l'immobilier. De nombreuses solutions existent et peinent à s'installer sur le marché. CIRQ sera l'occasion de leur donner de la visibilité et permettra à NOVABUILD de commencer à établir un catalogue de « solutions-climat» utiles pour les acteurs de la construction et de l'immobilier. »-Pierre-Yves Legrand, directeur de NOVABUILDZoom sur les 10 lauréats CIRQ 20201er Prix du jury :Isol'En Paille :ISOL'en Paille produit sur mesure une gamme d'isolants de qualité adaptée aux besoins de la construction comme de la rénovation. La botte de paille est l'isolant low-tech open-source le plus abouti ! La Botte de 22, de dimensions innovantes, est une solution de bottes en paille de 22 cm d'épaisseur. Elle est produite dans une usine dédiée et respecte le cahier des charges des règles professionnelles de la construction paille.2ème Prix du jury :AIR :Signée YLE Architectures, cette solution de végétalisation destinée aux cours d'immeubles haussmanniens garantit l'apport d'air frais dépollué dans les appartements grâce à un système de cheminées solaires basé sur le principe de tirage thermique. La création d'écosystèmes rafraîchissants avec des cours végétalisées selon un principe de strates végétales dépolluantes, couplée au réinvestissement des cheminées raccordées, assure une qualité de l'air optimale des différents lots habitat de la copropriété.3ème Prix du jury :MAXEEM :Maxeem, plateforme de services numérique, agrège un ensemble de données permettant d'accéder à distance à des informations relatives au bâtiment (surface, nombre d'étage, année de construction…), d'évaluer son potentiel de rénovation, de structurer un préchiffrage travaux ainsi que le montage du plan de financement. Elle identifie les professionnels RGE à proximité pour faciliter la mise en œuvre des projets de rénovation énergétique. Les professionnels sont plus performants grâce à ces outils, développant la confiance avec les donneurs d'ordres. Ces trois lauréats se verront récompensés d'une journée de coaching par OmniGibus (agence spécialisée dans la « Formation Média Training et Prise de parole ») ainsi que d'une dotation de 2 000 € (pour le 1er prix) et 1 000 € (pour les 2ème et 3ème prix).ARTICONNEX :Articonnex apporte aux artisans du bâtiment des solutions pour améliorer leur gestion des matériaux et leurs investissements en machine tout en plaçant l'économie du circulaire au cœur du projet. Articonnex propose un triptique de solutions : une marketplace (revente de matériaux neufs et de réemploi - location d'atelier et matériels de chantiers), un premier entrepôt physique dédié au réemploi et un web magazine pédagogique.BATIRESO :Plateforme de digitalisation et de dématérialisation permettant de contextualiser les échanges entre donneurs d'ordre et entreprises de la construction. Cet outil en ligne est destiné à moderniser les process administratifs de lancement d'appels d'offre et de suivi de chantiers entre professionnels du bâtiment. BATIRESO permet de gagner en productivité en diminuant les tâches administratives liées aux échanges sur un projet de construction.BIModeler :Modélisation BIM semi-automatique des lots architecturaux sur REVIT en LOD 200 / 300 à partir du plug-in BIModeler. Cette solution se caractérise par le suivi de la prestation via une plateforme collaborative full web ainsi que le suivi et le contrôle du process par un expert en modélisation BIM. BIModeler permet une diminution des coûts et délais de modélisation ainsi que des erreurs humaines. BIModeler facilite l'accès au processus BIM.FEELBAT :Les capteurs DELTA Feel permettent de suivre l'évolution des fissures et mouvements d'un bâtiment ou ouvrage d'art via une application dédiée. Le système permet de démocratiser la solution, d'anticiper les désastres sur les balcons et bâtiments. Par leur taille et leur prix ils peuvent couvrir plus de zones que les capteurs actuels.L'ASSECHEUR :Ce procédé assèche tous types de murs : plein/creux, quel que soit le matériau à la suite d'un dégât des eaux : inondation, infiltration, remontées capillaires. Il s'agit d'un traitement naturel de l'humidité du mur : pas de produit chimique, pas d'onde magnétique. L'évolution technologique du syphon atmosphérique par l'utilisation de composants électroniques miniaturisés garantit un volume d'air circulant dans le mur est constant et suffisant pour l'assécher.MON Artiz :Cette initiative structure un réseau d'artisans sélectionnés sous une marque commune pour promouvoir la rénovation énergétique. Elle met à disposition une application numérique pour les accompagner dans leur quotidien et disposer d'une offre élargie par de nouveaux services innovants (possibilité d'intégrer une maquette BIM simplifiée, proposition de variantes pour une rénovation énergétique performante).We Love Réno :Plateforme web collaborative de gestion de travaux, de la gestion commerciale, jusqu'à la réception du chantier. Tous les intervenants du projet peuvent s'organiser, interagir et suivre en temps réel l'évolution du chantier. La plateforme intègre à la fois un CRM, les notices de travaux avec estimatif, un espace d'échange de documents, une planification du suivi de chantier ou encore l'organisation de rendez-vous BtoB.Rendez-vous sur ARTIBAT les 13, 14 et 15 octobre 2021 pour rencontrer « physiquement » les lauréats CIRQ 2020.Au sein d'un espace interactif, l'événement CIRQ donnera la parole aux 10 lauréats 2020 qui présenteront leurs solutions et produits aux professionnels visiteurs pendant les 3 jours du salon.
Il y a 4 ans et 257 jours

Restauration de Notre-Dame : rND lance le projet d'étude de la charpente, flèche et toiture avec 4 grandes écoles

Au cours du premier semestre 2020, l'Association Restaurons Notre-Dame (rND) s'est dotée d'une « Commission de coopération scientifique, technique et universitaire » chargée de concevoir une nouvelle charpente en bois pour la cathédrale Notre-Dame de Paris.L'objectif de cette Commission est de porter le projet d'étude de la restauration de la charpente bois, de la flèche et de la toiture de la cathédrale Notre-Dame de Paris en s'appuyant d'une part sur des acteurs universitaires nationaux et internationaux ainsi qu'un groupe de trente étudiants dans le cadre du Master 2 Génie Civil « Architecture Bois Construction » et de PFE (Projet de fin d'études d'ingénieurs) et, d'autre part, sur un Comité d'Experts composés de professionnels des charpentes, des toitures et du patrimoine.Un prototype de charpente bois paramétrableL'ensemble de ces hypothèses encore imprécises, voire inconnues à ce jour, conduira la commission de coopération scientifique, technique et universitaire à concevoir un prototype de charpente en bois paramétrable, évolutif et adaptable en fonction des connaissances et réponses qui résulteront des études et diagnostics en cours. Toutes les options, quant aux types de matériaux bois, à la modélisation géométrique, aux fonctionnalités et l'adaptabilité pourront donc être envisagées. Les conclusions de ce projet d'études sont attendues pour le 1er trimestre de l'année 2021.Les acteurs du projet d'étudeLe projet d'étude, piloté par Franck BESANÇON, Président de la Commission Technique, Scientifique et Universitaire de Restaurons Notre-Dame et Gilles DUCHANOIS (ENSA Nancy), s'organisera en collaboration avec plusieurs grandes écoles, universités et laboratoire de recherches :ENSA Nancy : École Nationale Supérieure d'Architecture de NancyENSTIB d'Épinal : École Nationale Supérieure des Technologies et des Industries du BoisESB à Nantes : École Supérieure du Bois de NantesHTW SAAR : École Supérieure de Sarrebruck (Allemagne)MAP-CRAI : Centre de recherche en architecture et ingénierieLe LHAC : Laboratoire d'histoire de l'architecture contemporaineUne trentaine d'étudiants issus de ces établissements participeront au projet d'études soit dans le cadre du Master 2 Génie Civil « Architecture Bois Construction » soit dans le cadre de PFE (projet de fin d'études). Le lancement de ces cycles est prévu le 17 septembre prochain à l'ENSTIB d'Épinal (Amphithéâtre - 11h00) en présence des élèves, de Pascal JACOB, Président de Restaurons Notre-Dame, Franck BESANÇON et Gilles DUCHANOIS.Le « Comité d'Experts »Ce comité est composé de personnalités reconnues pour leurs compétences dans les domaines de l'histoire des patrimoines, des monuments historiques et de leur restauration, des études scientifiques et techniques, des métiers de la charpente, de la pierre et des toitures : Artisans et responsables d'entreprises, compagnons, ingénieurs.Le rôle des experts sera de donner de la crédibilité aux résultats des études. Ils pourront enrichir, préciser et limiter les sujets d'étude avant d'être engagés. Ils suivront également l'évolution des travaux et répondront aux sollicitations qui leur seront adressées. Ils apporteront dans leur domaine de compétences un regard libre et indépendant sur les études engagées. (conception et modélisation, fabrication, chantier, économie, numérique, patrimoine, filière métiers ...). Des experts du numérique, de la 3D et du BiM (Building Information Modeling) complètent ce comité et interagiront transversalement sur l'ensemble des thèmes.Les thèmes (sujets d'études) et affectationCe projet d'études se répartira en six thèmes d'études distincts qui permettront d'élaborer les différents scénarios de restauration attendus en fin de projet. Il s'agira également de travailler sur des modules paramétriques qui permettront de s'adapter à l'inconnu et aux aléas du diagnostic de l'état de la maçonnerie de Notre-Dame. Cela va concerner principalement : les points d'appui de la charpente et de la flèche, le choix d'une ou de plusieurs essences, de la forme et de la géométrie de la charpente, du poids total de la toiture, du choix du matériau de couverture ...L'idée est de « fouiller » parmi de multiples possibilités de restaurer en bois la charpente, la flèche ainsi que la toiture de la cathédrale Notre-Dame de Paris.Les élèves, les membres du Comité d'Experts et des autres commissions de l'association Restaurons Notre-Dame sont affectés à un ou plusieurs thèmes ci-dessous : Thème 1 : Assemblages bois de la charpente de Notre-Dame de Paris Thème 2 : Les effets gravitaires et climatiques sur la charpente de Notre-Dame Thème 3 : La fabrication de la nouvelle charpente de Notre-Dame (intégrant notamment la qualité des bois) Thème 4 : L'impact environnemental de la toiture de Notre-Dame de Paris Thème 5 : Exploration des possibles pour la charpente, la flèche et la couverture de Notre-Dame de Paris Thème 6 : Restauration d'édifices patrimoniaux, études de cas comparéesDes experts du numérique, de la 3D et du BiM (Building Information Modeling) complètent le Comité d'Experts et interagiront transversalement sur l'ensemble des thèmes.Un point d'étape est prévu le vendredi 18 décembre 2020 à l'ENSA de Nancy
Il y a 4 ans et 258 jours

TSD : Au-delà du métier, gérer les risques périphériques

Retrouvez cet article dans le n° 83 de Béton[s] le Magazine Pour les travaux de découpe des bétons, quelque 10 équipes de 2 personnes interviennent dans un rayon de 300 km autour du siège. [©Gérard Guérit] Implantée en périphérie de Tours, l’entreprise TSD a été créée en 1990 par Georges Gallerand, son dirigeant actuel. Initialement limité au sciage du béton, l’entrepreneur développe à partir de 2003 une activité de démolition lourde. A l’origine de cette démarche, l’annonce par le gouvernement de l’époque de la démolition de 250 000 logements HLM vétustes. Ce qui signifiait alors des besoins importants, en termes de moyens. Ces opérations mettront du temps à se mettre en place. Mais l’idée est lancée.  A ce moment, Georges Gallerand investit dans deux grosses pelles de démolition, une chargeuse, un concasseur…. Ceci, pour un total de 1 M€. Une somme importante pour une petite entreprise. Une croissance le plus souvent continue permet d’atteindre 50 salariés en 2019. Dont 10 équipes de 2 personnes dédiées exclusivement aux activités de sciage. L’entreprise possède les qualifications 1 113 (démolition technicité supérieure) et 1 143 (démolition par sciage et carottage technicité supérieure). Les équipes interviennent dans un rayon de 300 km autour du siège. Elles disposent chacune d’un fourgon équipé en camions-atelier. La moyenne d’âge est d’environ 40 ans. Le personnel est stable, ce qui permet d’assurer des formations et sensibilisations dans la durée. Et aussi pour les nouveaux arrivants qui sont appelés à suivre un parcours spécifique. Dans cette activité “naturellement” à risques, le personnel intègre très vite les mesures de prévention, liées à l’activité “sciage”. De l’avis du dirigeant, c’est au niveau des risques périphériques, que doivent porter en permanence les actions de prévention et de sensibilisation.   A l’école du sciage Appréhender le fonctionnement global d’un bâtiment, un principe de base qui doit être assimilé par les opérateurs.[©TSD] Il y a les risques “évidents”, et ceux auxquels on ne pense pas de prime abord. Ce sont ces derniers qui nécessitent la plus grande vigilance. Georges Gallerand explique : « Les travaux de sciage présentent par nature un danger réel, le personnel en est conscient et a intégré les procédures de sécurité liées à l’usage des carotteuses, des scies murales et des scies à câble. C’est au niveau des risques “périphériques” que nous devons en permanence faire porter notre attention ». Ces risques se situent d’abord au niveau de la manutention des blocs découpés. Par exemple, un voile en béton de 20 cm d’épaisseur, découpé pour la création d’une porte de distribution pèse 1 t. Ce sont donc les retraits des éléments découpés et fractionnés, les manutentions et la planification de ces opérations, qui doivent être pilotées. Lorsque les conditions d’accès et d’évacuation le permettent, l’entreprise utilise des palans, des chariots élévateurs, voire des moyens plus lourds lors d’interventions sur des ouvrages d’art. Les manutentions manuelles restent minoritaires et sont retenues en dernier recours. Pour pouvoir maîtriser tous les aspects de ce métier très spécifique, les nouveaux embauchés passent d’abord 12 mois en alternance entre le centre de formation de découpe du béton et l’entreprise. Mise en place par le Sned (Syndicat national des entreprises de démolition), cette formation qualifiante “CQP Scieur-carotteur du béton” apprend aux stagiaires à appréhender la compréhension de la structure du bâti, la connaissance de l’outil diamanté et du matériel associé, l’organisation et la préparation des chantiers, la manutention, le levage, l’évacuation des blocs et la gestion des déchets. Cette formation intègre aussi la prévention des risques physiques, l’habilitation électrique, le montage et démontage des échafaudages roulants et fixes, et les méthodologies de découpe en fonction des spécificités de chaque ouvrage. Cette démarche sur un an implique un investissement important de la part de l’entreprise, ainsi que la volonté d’un partenariat durable avec ses nouveaux employés. Des outils et des moyens Le traitement des bétons est réalisé soit directement sur chantier, soit sur une plate-forme de recyclage interne à l’entreprise. Accolé aux bureaux du siège de l’entreprise, l’atelier de maintenance résume à lui seul la multiplicité des cas de figure, chaque chantier étant un cas particulier. Des carotteuses électriques et hydrauliques, des scies murales électriques et hydrauliques, des scies à sol pour la découpe des bétons et des enrobés, des scies à câbles, des groupes électrogènes, des chargeurs de toute taille… justifient l’emploi à plein temps de mécaniciens pour la maintenance, les réparations et l’entretien. L’entreprise a investi dans un deuxième robot de démolition, pouvant être équipé de brise-roche, de grappins, de pinces et de godets. Elle possède au total une cinquantaine d’engins pour les travaux de démolition, soit des mini-pelles, des pelles, des mini-chargeuses, des mini-tombereaux... Tous les salariés sont en possession des Caces nécessaires à la conduite des différents engins, ainsi que des habilitations pour les chantiers particuliers : habilitation électrique, nucléaire, amiante SS4. Les chefs d’équipes sont formés en SST (sauveteurs secouristes du travail). Les équipes dédiées au sciage des bétons disposent d’une dizaine de fourgons, qui parcourent chacun 30 000 km/an. Le risque routier est au cœur des actions de prévention : sensibilisations aux risques liés à la consommation de cannabis, à l’alcool, à l’usage du téléphone… Le traitement des bétons découpés est une autre problématique de l’entreprise. TSD possède des concasseurs pour traiter les bétons sur chantier. Lorsque cette solution n’est pas possible, les bétons sont envoyés vers une plate-forme de recyclage, propriété de l’entreprise ou vers une plate-forme extérieure. Les bétons sont alors concassés et revendus, essentiellement pour des usages de remblais. « Dans la mesure du possible, nous nous efforçons de collecter les eaux de sciage, afin de les filtrer », explique Georges Gallerand. Les boues obtenues sont compressées dans des presses, puis éliminées sous forme de briquettes vers des décharges spécialisées. Des chantiers très préparés et contrôlés Le personnel de chantier est équipé de lunettes, de protections auditives, de combinaisons, de casques, de gants et de chaussures de sécurité, fournis par l’entreprise et régulièrement renouvelés.[©TSD] Sur les opérations très techniques, l’analyse des risques revêt un rôle primordial, d’où l’élaboration d’un PPSPS, en liaison avec le coordonnateur SPS et les animateurs sécurité. Des repérages sont réalisés en amont de chaque chantier, afin d’appréhender la structure de l’ouvrage, de déterminer les procédures de découpe, de manutention, d’évacuation… Et les moyens qui vont avec. « Les phases de manutention sont vraiment les plus dangereuses, insiste Georges Gallerand. C’est d’ailleurs tout l’art de notre métier. Nous réalisons des modélisations en 3D, tout est défini avec précision selon un phasage rigoureux. » Le matériel électrique est équipé de protections 30 mA en tête de ligne et la consignation de l’ensemble des fluides (électricité, gaz, eau…) est demandée pour toutes les phases de découpe. « En effet, même si les réseaux sont en théorie repérés, l’implantation réelle peut parfois varier par rapport aux plans d’origine, des modifications et des rajouts peuvent avoir été réalisés avec les années »,souligne l’entrepreneur. L’outillage électro-portatif, et en particulier les meuleuses, fait l’objet de formations et de rappels vis-à-vis des risques liés à son utilisation : inertie, éclatement des disques… Le personnel de chantier dispose de lunettes, de protections auditives, de combinaisons, de casques, de gants et de chaussures de sécurité, fournis par l’entreprise et régulièrement renouvelés. Les scies à câbles, très utilisées pour les découpes d’épaisseurs supérieures à 50 cm, nécessitent une prévention particulière, une rupture du câble pouvant provoquer des blessures très graves. En phase de fonctionnement, un périmètre de sécurité est mis en place tout autour des machines, le personnel dédié est formé à ce mode de découpe, ainsi qu’au contrôle permanent de l’usure des câbles. D’une façon générale, l’entreprise garde une dynamique d’investissement des matériels, pour plus de sécurité et confort pour ses opérateurs. « Nous réagissons très rapidement à tout comportement inadapté, conclut Georges Gallerand. Et nous n’hésitons pas à sanctionner et à re-sensibiliser, dès lors que nous constatons des manquements à la prévention. » Gérard Guérit Retrouvez cet article dans le n° 83 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 312 jours

Les 3 start-up lauréates du projet Numériser l'existant

Ces solutions digitales innovantes représentent une avancée technologique majeure pour accompagner les professionnels du secteur de la rénovation énergétique des bâtiments et ainsi faciliter et encourager les travaux. Un sujet plus que jamais d'actualité, évoqué lors de la dernière allocution d'Emmanuel Macron sur le plan de modernisation, ainsi que des débats de la Convention citoyenne pour le climat.Numériser l'existant : un challenge inédit pour des solutions numériques plus adaptées à la rénovation énergétique des bâtimentsParmi les thématiques des 9 projets du programme national PROFEEL, la « numérisation de l'existant » constitue le point de départ de toute opération de rénovation. Le numérique, et en particulier la modélisation 3D du bâti, est en effet un puissant outil de conception et de vente : il permet de raccourcir les process et rassurer les clients.« L'enjeu du projet est de réduire les coûts de numérisation, améliorer la qualité de la saisie et simplifier l'ergonomie des outils, pour les rendre plus accessibles aux professionnels concernés, afin de réaliser un diagnostic plus précis, rapide et économique au moment d'établir des scénarios de travaux de rénovation énergétique ». - Xavier Bernard, responsable de projets AQC, pilote du projetL'équipe du projet, porté par l'AQC et ADN Construction, a lancé à l'automne 2019 un challenge entre start-up. Celles-ci devaient proposer le développement d'une solution digitale sous la forme d'une plateforme web ou application pour smartphone ou tablette, interopérable avec les logiciels BIM, à destination des professionnels du bâtiment travaillant chez un client particulier (TPE et PME en priorité). 30 candidatures ont été reçues, dont 4 finalistes, puis 3 lauréats ont été choisis par un jury composé de professionnels du bâtiment et de l'innovation numérique, bénéficiant d'une dotation globale de 420 000 euros.Le programme PROFEEL, lancé en avril 2019 par le ministre d'Etat François de Rugy et sa secrétaire d'Etat Emmanuelle Wargon, est dédié à l'innovation technologique au service de la rénovation énergétique des bâtiments et s'inscrit dans le cadre du Plan initié par le gouvernement en 2018. Porté par 16 organisations professionnelles, il se compose de 9 projets opérationnels, qui visent à développer et apporter des outils et solutions concrètes et accessibles aux professionnels du bâtiment, en amont, pendant et après les travaux de rénovation.3 lauréats pour 3 outils innovants de numérisationBimeo et sa solution ARtoBuild, LevelS3D ainsi que WiseBim sont les 3 lauréats du challenge Numériser l'existant. Les start-up bénéficieront dans les prochains mois d'un soutien financier et technique du programme PROFEEL pour intégrer à leur solution de nouvelles fonctionnalités, qu'elles feront tester par étapes à des beta utilisateurs. Les premiers livrables des outils devraient être finalisés dès l'automne 2020, suivis de nouvelles versions ou fonctionnalités au 1er semestre 2021.Les 3 solutions lauréates :ARtoBuild de Bimeo Le scan 3D ultra rapide et précis en quelques clicsARtoBuild est une solution inédite développée par Bimeo, plateforme collaborative BIM, à destination des professionnels du bâtiment, récompensée en 2019 aux cérémonies du BIM d'Or et des Trophées de la Construction. Cette application, compatible avec le dernier iPad pro pour son capteur ultra-précis (technologie Lidar), permet de scanner en 3D simplement et rapidement n'importe quelle pièce.A partir de son interface, les pièces sont assemblées et la maquette numérique est générée au format. Le financement de PROFEEL permet à Bimeo de développer de nouvelles fonctionnalités, telles que la gestion de l'épaisseur des parois, l'ajout d'objets type radiateur, éclairage…, ou encore la possibilité d'annoter la maquette avec des cotations.S3D Capture de LevelS3D Appli, cloud et IA pour un rendu 3D completLevelS3D est une start-up fondée en 2012 par Yannick Folliard, labellisée JEI (Jeune Entreprise Innovante). Elle a conçu l'application mobile de numérisation S3D Capture, accessible et à bas coût sous forme d'abonnement ou offres à l'acte, compatible avec des smartphones et tablettes équipés d'un capteur de profondeur intégré (compatible sur l'Ipad pro). Basée sur la technologie de nuages de points, elle permet de scanner une habitation aussi facilement qu'en filmant, puis de générer automatiquement et instantanément le modèle 3D. Grâce au financement du projet, LevelS3D prévoit trois phases de développement des nouvelles fonctionnalités : prépositionnement des nuages de points, ajout de photos pour un rendu plus réaliste, et intégration d'IA pour identifier en 3D des objets et éléments du bâti.Plans2BIM de WiseBIM L'innovation unique qui transforme les plans 2D en 3DWiseBIM est une start-up issue du Commissariat à l'Energie Atomique et aux Energies Alternatives (CEA) créée en 2017 qui accompagne les gestionnaires de patrimoines immobiliers dans leur transition numérique du bâtiment vers le BIM. Plans2BIM, son logiciel en mode SaaS, en cours de déploiement, sera disponible sur abonnement ou par jetons. Basée sur des algorithmes, cette solution permet de transformer automatiquement et très rapidement en maquette 3D IFC n'importe quel plan architectural 2D, ainsi qu'éditer et enrichir la maquette, via la plateforme en ligne, sans avoir à se déplacer sur site. Le financement obtenu permet à la start-up de finaliser le développement du logiciel, dont des modules pour obtenir rapidement les dimensions d'intérêt ainsi que pour assembler les différents niveaux du bâtiment en une maquette unique.
Il y a 4 ans et 321 jours

« Nous lançons la première édition du concours Jeunes AFGC 2021 »

Gaël Le Bloa est président de la commission Jeunes de l’AFGC. [©AFGC] Comment vous est venue l’idée de faire un concours Jeunes au sein de l’AFGC ? Gaël Le Bloa : Déjà, les jeunes de moins de 35 ans sont les acteurs du génie civil de demain. Il était donc important pour l’AFGC de valoriser et d’accompagner leurs projets. Dès mars 2018, un groupe “Jeunes” a été initié. Formalisé en mars 2020 lors de l’assemblée générale de l’association. Et consolidé par la création d’une commission Jeunes, qui est entrée dans les statuts de l’AFGC. Ensuite, il était naturel de se projeter et de créer un concours. Nous souhaitons encourager aussi les vocations ! Le recrutement de forces vives dans le génie civil est estimé à plus de 200 000 personnes pour les 5 années à venir… C’est dire ! Comment se présente le concours ? Nous ciblons un public très large pour cette première édition. Qu’il soit étudiant en fin de cycle d’école supérieure ou encore jeune salarié dans l’ingénierie, du chantier ou de la recherche. Et bien sûr, être un jeune de moins de 35 ans ! Adhérents ou non de l’AFGC, chercheurs du secteur public ou privé. Ou encore jeunes salariés du milieu professionnel ou de l’administration. L’idée est de valoriser un sujet sur lequel le jeune aurait travaillé. Cela peut concerner, par exemple, une amélioration de méthode ou d’organisation sur un chantier. Une modélisation particulière en études, un projet de recherche…  Comment allez-vous sélectionner les dossiers ? Nous allons d’abord cibler les candidats, faire une pré-sélection. Depuis juin et jusqu’à octobre, ils peuvent envoyer un dossier de candidature, avec lettre de motivation, CV et résumé de leurs projets. Mi-octobre, la commission Jeunes se rassemblera pour établir la recevabilité des projets. Les candidats pré-sélectionnés pourront ensuite présenter sous la forme d’un article de 5 à 10 pages, d’une vidéo ou d’un poster leurs travaux. En mars 2021, il y aura la présentation orale, à Paris des candidats retenus par le jury. Ce dernier étant composé d’une dizaine de personnalités du domaine du génie civil : professionnels, scientifiques, enseignants… Les prix seront remis lors de la conférence génie civil 2021, organisée tous les deux ans par l’AFGC. Propos recueillis par Muriel Carbonnet Règlement disponible sur www.afgc.asso.fr