Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour revalorisation

(255 résultats)
Il y a 3 ans et 89 jours

Melun : des aménagements pour la reconquête de l’île Saint-Étienne

De nombreux projets municipaux contribueront à la revalorisation de ce joyau historique de la ville de Melun.
Il y a 3 ans et 90 jours

Anne Hidalgo tente de convaincre les chefs d'entreprise lors d'un événement du Medef

PRÉSIDENTIELLE 2022. La candidate à l'élection présidentielle était l'invitée de l'organisation patronale cette semaine et a présenté son programme économique. Revalorisation du Smic, déploiement massif des énergies renouvelables, fiscalité... de nombreuses thématiques ont été abordées.
Il y a 3 ans et 91 jours

Le décret sur le Contrat d'engagement jeunes au Journal officiel

Le CEJ, qui prend le relais de la Garantie jeunes, s'adresse aux 16-25 ans (29 ans en cas de handicap) "ni en emploi, ni en études, ni en formation" et souvent hors des radars des institutions, auxquels il ouvre droit à une allocation mensuelle maximale de 500 euros s'ils respectent leurs obligations. "Le texte entre en vigueur le 1er mars 2022, à l'exception des dispositions relatives à la revalorisation de l'allocation versée au titre du contrat d'engagement jeune qui entrent en vigueur le 1er janvier 2023", précise le décret du 18 février.Le versement de l'allocation "peut être supprimé, tout ou partie, lorsque le jeune, sans motif légitime, est absent à une action prévue dans le cadre de son contrat d'engagement jeune ou ne peut justifier l'accomplissement d'actes positifs définis dans ce même cadre", souligne encore le texte.Selon l'Insee, le taux des 15-29 ans "ni en emploi, ni en études, ni en formation" était de 12,2% au quatrième trimestre 2021, soit près d'1,5 million de personnes.
Il y a 3 ans et 102 jours

Revalorisation exceptionnelle de 10% du barême kilométrique pour les impôts 2021

Conformément à l'annonce du Premier Ministre, le barème kilométrique sera revalorisé de 10 % pour l’imposition des revenus de l’année 2021.
Il y a 3 ans et 103 jours

Argan profite de la bonne santé des entrepôts en 2021

Son résultat net bondit à 668 millions d'euros, soit 140% d'augmentation, une explosion peu représentative car essentiellement due à la revalorisation de ses actifs.Le résultat net récurrent, plus représentatif pour une foncière, est en hausse de 8% à 111,9 millions d'euros. Pour 2022, Argan se fixe un objectif de +5% à 117 millions.Le président du groupe Jean-Claude Le Lan s'est félicité en visio-conférence d'une année "exceptionnelle", qui lui permet d'augmenter son dividende par action à 2,60 euros, alors qu'il tablait initialement sur 2,30.Argan a ouvert l'été dernier, sur une ancienne base militaire près de Metz, un entrepôt géant de 185.000 mètres carrés qu'il loue à Amazon et lui rapporte 9 millions d'euros par an.Carrefour reste de loin son premier client, représentant 31% de ses revenus locatifs, devant FM Logistic (8%), Casino (7%), Geodis (6%), Amazon, Auchan et Décathlon (5% chacun).Son patrimoine, valorisé à 3,75 milliards d'euros contre 3 milliards fin 2020, couvre une surface de 3,27 millions de mètres carrés contre 2,99 millions fin 2020.Décrié pour l'impact écologique de son activité, très gourmande en surfaces et contribuant à l'artificialisation des sols, le groupe revendique désormais de développer des sites moins polluants dans leur fonctionnement, grâce à des panneaux photovoltaïques sur les toits et des pompes à chaleur pour le chauffage.
Il y a 3 ans et 109 jours

Ouverture des inscriptions pour les Journées du Patrimoine de Pays et des Moulins

Les Journées du Patrimoine de Pays et des Moulins reviennent les 25 et 26 juin 2022 avec le thème Être et renaître. Cette année, l’accent sera mis sur le bâti ancien réhabilité, restauré et réemployé, mais aussi le recyclage, la revalorisation de ses apparats et matériaux, et le renouveau de certains savoir-faire. Au XXIe siècle, le patrimoine, en plus d’une valeur intrinsèque historique, prend une valeur écologique en luttant contre le gaspillage des matériaux en évitant le suremploi du béton et des métaux, et contre le gaspillage de l’espace rural par l’étalement urbain. Les prochaines Journées du Patrimoine de Pays et des Moulins mettront en lumière le patrimoine rural restauré, à l’usage réinventé, les savoir-faire et gestes du passé ou encore les matériaux réemployés, récupérés… Associations, collectivités, musées, artisans, particuliers ou professionnels du tourisme sont invités à ouvrir leurs sites à proposer des animations au grand public les 25 et 26 juin 2022. Inscription gratuite avant le 17 avril sur : www.patrimoinedepays-moulins.org
Il y a 3 ans et 110 jours

Précarité énergétique : des aides complexes peu efficaces et un manque d'accompagnement

Un constat partagé par Régis Largillier, ancien cadre de Schneider Electric et animateur de la chaire HOPE, en pointe dans la recherche de solutions pour contrer ce fléau qui touche près d'un Français sur cinq : selon lui, il faut un véritable "accompagnement" des familles les plus gravement touchées."Pour parvenir à un réel changement d'échelle sur le volet de la rénovation et de la lutte contre la précarité énergétique, l'information et l'accompagnement des ménages sont également indispensables", souligne ainsi la fondation Abbé-Pierre, qui constate que le réseau FAIRE, créé en septembre 2018 pour guider les particuliers, connaît encore de "nombreuses défaillances".Selon une enquête menée par la fondation au premier semestre 2021, appels non décrochés, délais de réponse à rallonge, erreurs dans les conseils délivrés sont monnaie courante.Un constat d'autant plus dommageable que, comme le relève M. Largillier, la "complexité" des différentes aides est telle, "que ce soit au niveau national, européen, ou même régional, que les gens ne comprennent plus rien, ne savent plus"."Ce qu'il faut, au-delà des aides, c'est qu'il y ait un accompagnement. Un accompagnement, avec des gens formés, qui connaissent les différents types d'aides, c'est essentiel", explique M. Largillier.Il s'appuie notamment sur une étude menée en 2020 par des chercheurs de l'université de Grenoble-Alpes sur la précarité énergétique dans l'agglomération de Roanne (Loire), lors de laquelle 78% des personnes sondées ont indiqué qu'elles ne connaissaient pas les aides financières à la rénovation thermique.Cette méconnaissance entraîne souvent un "non-recours aux droits" de la part des usagers, "parce que les droits sont peu connus, peu connus des usagers, bien sûr mais peu connus aussi dans l'ensemble des institutions, des travailleurs sociaux, des collectivités territoriales qui devraient accompagner les gens qui sont en précarité énergétique", souligne M. Largillier.La fondation Abbé-Pierre pointe par ailleurs l'évolution des dispositifs d'aides "qui gonflent les chiffres du nombre de travaux enclenchés en ciblant de simples "gestes" de rénovation, peu efficaces s'ils restent isolés (changer la chaudière, isoler les combles, changer les fenêtres...), au détriment de la performance à long terme d'une rénovation globale".La "honte" d'être précaireSelon une évaluation du plan France Relance menée par France Stratégie, organisme rattaché à Matignon, "86% des travaux financés avec MaPrimeRenov' ne concerneraient qu'un geste de rénovation (changement de chaudière, isolation...), les rénovations globales ne représenteraient que 0,1% des dossiers et les sorties de passoires 0,2%...", souligne le rapport de la fondation.Dans cette étude, France Stratégie estimait cependant que "certains mono-gestes peuvent être efficients, en permettant de dégager des économies d'énergie significatives", prenant l'exemple de l'installation des pompes à chaleur air/eau.En attendant de pouvoir changer réellement la donne par des travaux, le versement d'aides aux ménages pour le paiement des factures demeure crucial.De ce côté-là, le compte n'y est pas non plus, selon la fondation Abbé-Pierre, même si elle salue un élargissement du "chèque énergie" à "deux millions de ménages bénéficiaires supplémentaires et une revalorisation du chèque de 50 euros en 2019 suite à la crise du mouvement des gilets jaunes"."En 2020, le montant moyen du chèque énergie était toujours de 148 euros, alors que la facture énergétique pour le logement était en moyenne de 1.602 euros par an en 2019. En décembre 2021, un second chèque de 100 euros a exceptionnellement été envoyé pour pallier la hausse des prix du gaz et de l'électricité", rappelle la fondation.De plus, relève-t-elle, "le taux de non-recours concerne encore un cinquième des bénéficiaires"."Ceux qui en ont vraiment besoin ne l'utilisent pas", confirme M. Largillier, selon qui les ménages plus concernés ne souhaitent pas "être redevables de l'Etat" ou que cela se sache dans leur entourage : "il y a plein de raisons liées à la honte d'être précaire", voire la crainte de recevoir une lettre qui vient de l'Etat, annonciatrice d'une mauvaise nouvelle, comme un avis d'expulsion.Un aspect qui justifie d'autant plus le besoin d'"accompagnement", selon M. Largillier.
Il y a 3 ans et 112 jours

Le Gouvernement met en œuvre le blocage à 4% de la hausse des tarifs réglementés de l'électricité

Dans sa délibération du 18 janvier dernier, la Commission de régulation de l’énergie, autorité administrative indépendante, a proposé au gouvernement des tarifs réglementés de vente qui, conformément à la loi, reflètent les coûts d’approvisionnement sans mesure additionnelle. Les propositions de tarifs conduiraient à une très forte hausse : + 44,5 % HT, soit +35,4% TTC, pour les tarifs bleus applicables aux consommateurs résidentiels ; + 44,7 % HT, soit + 35,9% TTC, pour les tarifs bleus applicables aux consommateurs professionnels éligibles. Cette hausse s’explique principalement par l’envolée des prix sur le marché européen de l’électricité, elle-même notamment liée à la forte hausse des prix du gaz en Europe induite par la reprise économique et amplifiée par le faible niveau des livraisons de gaz russe.Le Gouvernement avait anticipé ce mouvement haussier et prévu plusieurs dispositions pour en limiter les effets :Le niveau de la taxe portant sur l’électricité (TICFE) est réduit de 95 % pour 1 an à son minimum possible prévu par le droit européen, soit 1€/MWh pour les clients résidentiels et assimilés et 0,5€/MWh pour les autres. Cette baisse, applicable à compter du 1er février, représente un coût budgétaire pour l’Etat de 8 milliards d’euros. Cette mesure fiscale permet de ramener la hausse des tarifs réglementés à 20,04% TTC pour les consommateurs résidentiels et à 20,88% TTC pour les consommateurs professionnels.De manière exceptionnelle et temporaire en 2022, le volume d’ARENH livré en 2022 augmentera de 20 TWh, afin que l’ensemble des consommateurs bénéficie de la compétitivité du parc électronucléaire français. Ce volume d’électricité à tarif régulé profitera à tous les consommateurs, particuliers, collectivités comme professionnels. Les fournisseurs répercuteront intégralement cette mesure au bénéfice des consommateurs, sous la surveillance de la Commission de régulation de l’énergie.La loi de finances autorise enfin le Gouvernement à s’opposer aux propositions tarifaire de la Commission de régulation de l’énergie à titre exceptionnel en 2022 et à en limiter la hausse à 4%. Les arrêtés publiés aujourd’hui mettent en œuvre ce plafonnement qui s’applique pour les consommateurs résidentiels et les petits consommateurs professionnels en métropole continentale et pour tous les consommateurs dans les zones non interconnectées (Corse et territoires ultramarins).Ce plafonnement permet de réduire la hausse moyenne des factures d’électricité des ménages à 38 €/an sur la facture d’un client résidentiel et environ 60 €/an pour un client professionnel. En l’absence de mesures, la hausse aurait été de 330 €/an pour un client résidentiel et de 540 €/an pour un client professionnel. Le bouclier tarifaire bénéficie à tous les français quel que soit leur fournisseur. La loi de finances prévoit en effet que tous les fournisseurs bénéficient d’une compensation en 2022 par l’Etat des charges qu’induisent pour eux le plafonnement des prix, à concurrence de l’effet du plafonnement appliqué aux tarifs réglementés. Ils pourront ainsi mettre en œuvre ce plafonnement et en faire bénéficier tous leurs clients.Ces mesures s’inscrivent dans un ensemble d’actions prises par le Gouvernement depuis plusieurs mois pour atténuer les conséquences de la hausse des prix des énergies pour les consommateurs, et notamment les plus modestes :Un chèque énergie exceptionnel de 100 € a été distribué au cours du mois de décembre 2021. Ce nouveau chèque aide les 5,8 millions de ménages qui avaient déjà reçu un chèque énergie en avril 2021 à régler leurs factures d’énergie. Ce soutien ciblé sur les ménages les plus en modestes représente une aide de près de 600 millions d’euros. Un nouveau chèque énergie sera adressé en avril 2022.Les tarifs réglementés du gaz ont été gelés à leur niveau du mois d’octobre 2021 durant toute la durée de l’hiver et au besoin jusqu’à la fin de l’année 2022. L’Etat prendra en charge le surcoût induit par ce gel pour les fournisseurs, conformément aux dispositions prévues dans la loi de finances pour 2022.Une indemnité inflation, d’un montant de 100 €, est attribuée aux 38 millions de personnes résidant en France dont le revenu net mensuel est inférieur à 2 000 €, entre décembre 2021 et février 2022, soit un soutien additionnel de l’Etat de 3,8 milliards d’euros. L’aide est versée en une fois par les employeurs aux salariés, ceux-ci étant intégralement compensés par l’État de ces versements via une aide au paiement de leurs charges sociales.Enfin, compte tenu de la hausse continue des prix des carburants, le Premier ministre a annoncé le 25 janvier 2022 une revalorisation de 10% du barème des indemnités kilométriques. 2,5 millions de foyers environ sont concernés par cette mesure dont l'effet sera rapide et direct dès leur déclaration d'impôt sur les revenus 2021 ou sur les bénéfices de l'année dernière. Cette revalorisation a vocation également à servir de référence, et donc potentiellement à se répercuter, sur les indemnités kilométriques directement versées par les employeurs à leurs salariés qui utilisent leur véhicule personnel.Le Gouvernement agit ainsi pour protéger le pouvoir d’achat des Français et la compétitivité de l’économie face à la hausse des prix des énergies.
Il y a 3 ans et 112 jours

Nathalie Arthaud propose d'augmenter le Smic à 2.000 euros nets mensuels

PRÉSIDENTIELLE 2022. Dans une interview pour la station de radio RFI, la candidate Nathalie Arthaud est revenue sur ses propositions concernant la revalorisation du Smic et de la retraite.
Il y a 3 ans et 117 jours

Concours international : Carpark Futures

Le concours « Carpark Futures » invite les jeunes architectes du monde entier à réfléchir au potentiel architectural, technique et environnemental d’une revalorisation des parkings souterrains, lors d’un challenge en 72 heures ! Jusqu’au 17 avril 2022. Ce concours ouvert aux architectes de moins de 40 ans, inscrits seuls ou en équipe, invite la jeune génération de […] L’article Concours international : Carpark Futures est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 122 jours

La CLCV demande des mesures pour le chauffage collectif

"Le tarif réglementé de vente du gaz ne s'applique plus depuis 2016 pour les contrats professionnels ou chauffage collectif" et "les mesures prises par le gouvernement en octobre de geler provisoirement le prix du gaz ne concernent donc pas le chauffage collectif des immeubles", souligne l'association dans un communiqué.Le Premier ministre Jean Castex avait annoncé fin septembre "un bouclier tarifaire" avec notamment un blocage du tarif réglementé du gaz, dont les cours se sont envolés sur les marchés.La CLCV met en avant les "oubliés" des mesures gouvernementales, citant le cas des locataires d'un bailleur social du Puy-de-Dôme alimentés par une chaudière collective à gaz. Leurs provisions de chauffage ont bondi de 65% sur un an, représentant "près de 800 euros par an à débourser pour un locataire d'un F4, pour une famille de quatre personnes".La CLCV "demande en urgence l'élargissement du chèque énergie à toutes les personnes concernées par la prime inflation et sa revalorisation".Le chèque énergie ne vise actuellement que quelque 6 millions de ménages modestes, tandis que l'indemnité inflation de 100 euros est beaucoup plus large, puisqu'elle concerne 38 millions de personnes."Il est indispensable de revoir le forfait charges ridicule inclus dans le calcul de l'APL (aide personnalisée au logement) qui est totalement déconnecté de la réalité", plaide l'association.
Il y a 3 ans et 138 jours

Les mesures et conséquences positives du projet de loi de finances 2022 pour les investisseurs dans le neuf

Le cabinet de conseil en investissement immobilier Amberstone fait le point sur les principales mesures de ce nouveau Projet de loi de finances 2022 et revient sur leurs conséquences positives pour les investisseurs dans le neuf.Une baisse de l'impôt sur le revenuLes différentes tranches du barème de l'impôt sur le revenu seront rehaussées de 1,4% en 2022. La revalorisation concernera l'imposition des revenus des ménages français pour 2021. Cette mesure est née en raison de l'augmentation des prix à la consommation et son objectif est de contrebalancer les effets de l'inflation. Le barème du taux neutre (prélèvement à la source) sera également revalorisé. “Cet avantage fiscal sert directement à maintenir un niveau de consommation et d'investissement des français”, déclare la fondatrice du cabinet d'Amberstone Béatrice Dossou-Yovo.Une exonération progressive de la taxe d'habitationDéjà réduite en 2021, la taxe d'habitation sera de nouveau abaissée de 65% pour les contribuables encore soumis à cet impôt local en 2022. La taxe d'habitation pour les résidences principales sera définitivement abrogée à compter de 2023, sauf pour les logements vacants et les résidences secondaires.Une augmentation du budget alloué au logementL'enveloppe attribuée au ministère du Logement augmentera de 7% et sera évaluée à 17,1 milliards d'euros pour 2022. Ceci représente une évolution de +6% en comparaison au budget de 2020. Ce montant intègre les aides à l'accès au logement (APL), l'hébergement d'urgence, l'urbanisme et les territoires de l'habitat. Le projet de loi de finances 2022 met également l'accent sur la rénovation du parc immobilier ancien et pour les constructions neuves, le ministère assure la continuité du dispositif fiscal Censi-Bouvard.Ma PrimeRenov' prolongéeAfin de continuer à promouvoir la rénovation énergétique des logements, le dispositif MaPrimeRenov' sera prolongé en 2022 avec un budget de 2 milliards d'euros. En septembre 2020, le gouvernement a initié cette mesure avec pour objectif de réduire les passoires thermiques du marché immobilier français. Accessible aux propriétaires occupants comme aux propriétaires bailleurs et copropriétés, l'ambition pour 2021 était d'engager 400 000 dossiers. C'est le double qui est espéré pour 2022.Le dispositif Pinel + en 2022La nouvelle loi de finances prévoit la prolongation du dispositif Pinel dans les mêmes conditions jusqu'à fin 2022. Cette prolongation s'inscrit en parallèle du plan de relance énergétique de l'Etat et affirme sa volonté d'améliorer l'efficacité énergétique des logements. Ces critères de performance correspondent à la norme environnementale RE2020 pour les logements neufs.Évolutions du marché immobilier au regard de ces nouvelles mesures pharesToutes ces mesures budgétaires du Projet de loi de finances 2022 contribuent à maintenir le pouvoir d'achat et l'investissement, dans une tendance inflationniste, notamment sur le marché immobilier.Pour Béatrice Dossou-Yovo : “le maintien de la Loi Pinel (Pinel +) prouve la volonté du gouvernement de maintenir la demande sur le marché de l'immobilier neuf et donc de maintenir ce marché attractif. En effet, le Prêt à Taux Zéro ainsi que la loi Censi-Bouvard complètent le tableau des mesures incitatives. Les particuliers deviennent eux-mêmes bailleurs : ils créent leur patrimoine privé transmissible, se constituent des revenus complémentaires à la retraite. D'un autre côté, l'Etat se soulage d'une production de logement qu'il ne peut assumer seul.”
Il y a 3 ans et 144 jours

Fabemi, acteur engagé dans l’écologie industrielle et les territoires

La démarche consiste à combiner fabrication de blocs béton bas carbone, économie circulaire et savoir-faire industriel du Groupe. Les blocs béton isolants Fabtherm® sont l’exemple même de l’engagement de l’entreprise dans l’écologie industrielle Made in France, et du développement d’innovations produits orientées clients, capables de répondre aux enjeux d’aujourd’hui et surtout de demain. De la fabrication au recyclage en fin de vie, les blocs béton Fabemi présentent une très faible empreinte carbone grâce à une politique de production-distribution locale, des choix forts d’approvisionnements au plus proche des usines et un procédé de fabrication sans cuisson avec un séchage naturel. Le transport des produits Fabemi sur une zone moyenne de 200 km autour des sites de production participe à la maîtrise de l’impact environnemental du Groupe. À l’échelle nationale, les implantations stratégiques de Fabemi permettent de réduire, voire de supprimer les livraisons/stockages/relivraisons et d’optimiser au maximum le transport des produits, majoritairement réalisé par la route.Un très faible impact carbone par nature Le Groupe Fabemi, entreprise familiale créée en 1961 à Donzère (Drôme), propose une offre globale de produits préfabriqués en béton pour les domaines suivants : Gros Œuvre, Voirie & Réseaux, Terrasse & Jardin. Fort de 60 ans d’expérience, Fabemi a su s’adapter pour proposer des produits préfabriqués performants et toujours conformes aux dernières réglementations. Les blocs isolants Fabtherm®, par exemple, contribuent à réduire l’empreinte carbone des bâtiments de l’ordre de 4 à 8 % par rapport à d’autres solutions constructives de référence sur le marché, permettant ainsi la réalisation d’ouvrages conformes au critère C de la RE2020 et de ses futurs seuils de 2025 et 2028. De plus, les géométries des blocs béton Fabemi sont optimisées pour faciliter leur mise en œuvre, tout en réduisant l’utilisation de matières premières (alternance cloison/creux). Les capacités isolantes peuvent être renforcées par une âme en mousse minérale isolante. C’est le cas des blocs isolants Fabtherm® Air Fabemi, dotés d’une mousse 100 % minérale qui leur donne une résistance thermique exceptionnelle (deux à huit fois plus isolants que des blocs traditionnels). Cette solution naturelle permet de construire tout en isolant, sans impacter le poids carbone de la façade, ce qui fait gagner du temps sur le chantier et apporte un gain de surface habitable. Les blocs béton Fabemi disposent de Fiches de Déclarations Environnementales et Sanitaires (FDES). Des données vérifiées et disponibles sur INIES qui permettent de calculer la contribution des produits, développés et fabriqués par le Groupe Fabemi, à l’impact environnemental de l’ouvrage à construire. Entièrement recyclables, les blocs béton Fabemi n’ont pas besoin d’être triés à l’issue de la déconstruction, les déchets gravats n’appelant aucune manipulation particulière. Après la démolition des bâtiments, ils deviennent recyclables à l’infini et revalorisables dans de nouveaux produits, en se substituant à une partie des granulats.Recyclage et revalorisation des bétons Au-delà de la production et la construction en circuit court, privilégiées en raison de l’impact des coûts de transport, le recyclage du béton et des déchets liés au bâtiment est devenu un enjeu majeur pour les industriels. Les rebus de fabrication de Fabemi, même dans de faibles proportions, représentent une source potentielle de granulats recyclés que l’entreprise envisage de réemployer en les réintégrant directement dans la fabrication de ses produits. Le Groupe encourage également la revalorisation des bétons issus de la déconstruction. Ainsi, Fabemi s’organise, avec le soutien de la Fédération de l’Industrie du Béton (FIB), afin de répondre à ses obligations liées à la Responsabilité Élargie du Producteur (REP). Le dispositif de REP implique que les acteurs économiques (fabricants, distributeurs, importateurs) sont responsables de l’ensemble du cycle de vie des produits qu’ils mettent sur le marché, de leur éco-conception jusqu’à leur fin de vie. Les filières REP permettent d’organiser la prévention et la gestion des déchets pour certains types de produits. L’objectif est non seulement de traiter les déchets produits, mais aussi de les prévenir en agissant sur l’ensemble du cycle de vie des produits.
Il y a 3 ans et 154 jours

Minima sous le Smic depuis janvier : environ "un tiers" des branches désormais en conformité

Sur la quarantaine de branches qui avaient des minima en dessous du Smic avant la revalorisation automatique du 1er octobre et appelées par le gouvernement à négocier, "environ un tiers" ont des minima conventionnels "au moins égaux au Smic", a indiqué Mme Borne, à l'issue d'une réunion avec les représentants de ces branches."Il faut saluer les branches qui ont conclu des accords dans des délais qui sont contraints", a-t-elle ajouté, citant notamment l'esthétique ou l'intérim ainsi que l'accord ouvert à la signature jeudi dans les hôtels-cafés-restaurants, avec des hausses mises sur la table qui "ne sont pas négligeables".La ministre a ajouté qu'"une grosse moitié" des branches étaient encore en train de négocier, indiquant que leurs discussions continueraient à être suivies "de près".Elle a aussi cité "trois branches dans lesquels le dialogue social apparaît clairement défaillant": la coiffure (106.000 salariés), les grands magasins (36.900) et le bois négoce (7.200), invitant les partenaires sociaux à "faire preuve de responsabilité" et prévoyant un "suivi rapproché".L'enjeu, a-t-elle souligné, "c'est l'attractivité des métiers dans un contexte par ailleurs marqué par des tensions de recrutement importantes".Les hausses successives du Smic ont pour effet de "tasser" les grilles salariales. Si le minimum conventionnel est inférieur au Smic, l'employeur doit combler l'écart. Mais lorsque les minima de branches sont rattrapés par le Smic, cela génère souvent une concentration accrue de salariés dont le salaire devient ancré sur le Smic. Autrement dit, même avec l'ancienneté, le salarié reste au salaire minimum.Avec la revalorisation automatique du Smic intervenue au 1er octobre, 89 branches se sont ajoutées aux branches non conformes. Et avec la nouvelle hausse automatique prévue au 1er janvier (+0,9%), 22 nouvelles branches vont s'ajouter à celles ayant un coefficient inférieur au Smic, a précisé le ministère du Travail.In fine, à ce jour, 63 branches, soit 36,8% des 171 branches suivies (4,7 millions de salariés) disposent d'une grille intégralement conforme.A l'inverse, 108 branches, soit 63,2% (près de 6,6 millions de salariés) ont une grille comportant au moins un coefficient inférieur au Smic, selon le bilan du ministère.
Il y a 3 ans et 161 jours

L’Unafo formule 12 propositions pour développer la production des résidences sociales

La semaine du logement accompagnéDu 7 au 10 décembre, l’Unafo organise la semaine du logement accompagné. Après une journée en présentiel pendant laquelle Emmanuelle Wargon, ministre du logement, a pu rappeler l’engagement du gouvernement de développer la feuille de route de la production des résidences sociales, des ateliers en digital continuent tout au long de la semaine.4 axes, 12 propositionsEn mai dernier, le gouvernement annonçait une feuille de route pour développer la production des résidences sociales, qui tarde à se mettre en œuvre. L’Unafo souhaite aller plus loin : c’est pourquoi elle a défini 12 propositions autour de 4 axes : développer la production des résidences sociales, conforter le modèle économique, favoriser l’accès au logement de tous et renforcer la gestion locative sociale et l’accompagnement.Pour développer la production, l’Unafo propose, de la même manière que pour les pensions de famille, de fixer un objectif de production de résidences sociales, évalué à 20 000 logements pour les 5 prochaines années. Par ailleurs, le plan de transformation des FTM doit être achevé d’ici la fin du prochain quinquennat.Pour conforter le modèle économique du logement accompagné, l’Unafo propose la revalorisation des aides à la pierre de l’État, la relance de l’engagement des collectivités locales, la garantie du montant de la redevance et la pérennisation, au-delà du plan de relance, de l’enveloppe de financements dédiée à l’adaptation du parc aux enjeux écologiques.Pour favoriser l’accès au logement de tous, l’Unafo estime nécessaire de renforcer les liens entre le logement accompagné et les services intégrés de l’accueil et de l’orientation (SIAO),d’organiser des états généraux du logement des jeunes en associant l’ensemble des acteurs pour lever les obstacles à la production et créer les garanties nécessaires, y compris en termes de ressources.Enfin, pour renforcer la gestion locative sociale et l’accompagnement, l’Unafo propose principalement de transformer l’Aide à la gestion locative sociale (AGLS) en une aide de droit pour toutes les résidences sociales et de revaloriser l’enveloppe budgétaire dédiée de 26 à 35 millions d’euros. Nous proposons également de créer une aide renforcée de 2 euros par jour et par personne pour permettre de financer les associations qui exercent des actions plus fortes visant à renforcer l’accès aux droits sociaux et sanitaires.
Il y a 3 ans et 172 jours

Neutralité carbone : L’Ademe propose quatre scénarii

L’Ademe propose quatre scénarii pour la neutralité carbone. [©Ademe] La question de la transition environnementale est plus que d’actualité et bien des secteurs doivent s’en saisir. Malgré la crise du Covid et les bouleversements économiques actuels, l’écologie fait partie des premières préoccupations des Français. Et ce, depuis plusieurs années. Surtout que selon le dernier rapport du Giec, nous n’allons pas dans la bonne direction pour juguler le réchauffement climatique. Sachant qu’à ce rythme, ce dernier pourrait atteindre les + 4°C en 2100. A l’aube d’une nouvelle échéance électorale, la trajectoire climatique que la France va emprunter peut évoluer et pèsera, si la question n’est pas trop éclipsée par d’autres thématiques dans les futurs débats. Pour accompagner la réflexion collective, l’Ademe vient de mettre en ligne le rapport “Transitions 2050 – Choisir maintenant, agir pour le climat”. Ce document de 687 pages dresse 4 scénarii pour atteindre la neutralité carbone en 2050 (il existe bien sûr des notes de synthèse plus digestes pour les moins courageux !). Et ce, conformément aux objectifs de la Stratégie nationale bas-carbone (SNBC) établis suite aux Accords de Paris et inscrits dans la loi française en 2019. Les quatre scénarii (S1, S2, S3 et S4) vont du plus ambitieux au moins contraignant. En effet, le S4 suit une trajectoire tendancielle, relative aux ambitions actuelles. Ils mettent en exergue des situations et des solutions concrètes. Et l’Ademe compte bien compléter son travail avec de nouveaux éléments sur le mix énergétique fin janvier 2022 et sur les impacts macro-économiques, fin mars prochain. L’écologie, une préoccupation majeure Dans ce rapport, aux côtés de l’alimentation, le mode de vie ou encore la mobilité et l’industrie, le bâtiment tient une place importante. En effet, ce secteur est un grand consommateur d’énergie (40 %) et est responsable d’un quart des émissions de gaz à effet de serre. Le S1, baptisé “génération frugale” mise sur une frugalité choisie, mais aussi contrainte. Ici, place à la préférence locale et à la sanctuarisation de la nature. « Les grandes villes sont délaissées pour les moyennes et les zones rurales pour plus de proximité, explique Valérie Quiniou, directrice exécutive, prospective et recherche à l’Ademe. Le bâti existant est optimisé. » Dans ce scénario, les logements vacants sont investis, les résidences secondaires sont converties en principales, et les locaux et anciens bureaux sont transformés en logements. Lire aussi :Enquête : Entreprises et industriels face à leurs ambitions environnementales « De fait, la construction neuve chute. Mais quand en 2015, il y a moins de 1 % de rénovations BBC, elles sont de l’ordre de 80 % en 2050. Et ce, en une seule étape, c’est-à-dire, un chantier. » Ici, la rénovation énergétique tient une place importante. Elle est massive et rapide. Côté industrie, une politique d’emploi devra être menée pour répondre à la notion de proximité. Le “made in France” et la low tech seront les axes d’investissement. Ce S1 permettrait, de façon générale, de diviser par plus de deux la demande énergétique. En développement les puits naturels (ou puits biologiques comprenant des espaces de biodiversités, de forêts…), la France atteindrait ainsi – 42 MteqCO2 en 2050. Et avec de nouveaux indicateurs, comme la qualité de vie et la prospérité prendraient le pas sur la notion de croissance. Le bâtiment et la rénovation énergétique au cœur de la transition environnementale Pour le S2, nommé “coopérations territoriales”, les villes moyennes sont à l’honneur et transformées de façon radicale. « Nous parlons de ville du “quart d’heure”, où l’usage du vélo et de la marche se fait facilement. Il y a un changement d’usage du bâti et une accélération de la rénovation énergétique pour atteindre 80 % de BBC, mais cette fois-ci par geste. C’est-à-dire, plus adaptée au rythme des ménages. » Aussi, les équipements sont mutualisés au sein des logements. Par exemple, l’électroménager est partagé entre les voisins. A l’échelle industrielle, ce scénario prévoit un fort accompagnement dans la décarbonation des sites, mais aussi pour le recyclage et la revalorisation des matériaux. Il y a ainsi moins de transport de marchandises. « Dans ce cas de figure, 80 % de l’acier, du plastique, du verre et du papier-carton viennent du recyclage. Il y a aussi un effort de réindustrialisation ciblée en lien avec les territoires. » Le S2 permettrait une réduction de 50 % des consommations énergétiques. Et en mixant, puits biologiques et technologie de captage de CO2 pour certaines industries, comme celle du ciment, la France atteindrait – 28 MteqCO2 en 2050. Entre frugalité et innovations technologiques Dans tous les secteurs, le S3 “technologies vertes” s’appuie plutôt sur de nouvelles technologies, le numérique et les innovations que sur un changement de vie. La biomasse est davantage exploitée pour la méthanisation, le bois énergie ou encore pour la fabrication de biocarburant. L’industrie a plus recours aux énergies décarbonées comme l’hydrogène en grande partie importé. Et 60 % de l’acier, de l’aluminium, du verre, du papier-carton et des plastiques viennent du recyclage. Au niveau de l’habitat, les Français favorisent les métropoles. « Nous sommes dans une logique haussmannienne de déconstruction/reconstruction à grande échelle. » Lire aussi :Dossier : Comment les industriels s’emparent du bas carbone ? L’accent est mis sur la rénovation énergétique, mais de façon moins ambitieuse. Seuls 50 % des chantiers sont équivalents à un BBC. Avec cette trajectoire, la consommation énergétique diminuerait de 40 %. L’aspect numérique étant ainsi plus important et donc plus gourmand en énergie. En 2050, comme les puits biologiques sont plus sollicités, la France atteindrait – 9 MteqCO2. Le S4, “pari réparateur” est un prolongement de notre mode de vie actuel. « Dans l’habitat, la rénovation énergétique est industrialisée par la préfabrication quand cela est possible. La moitié atteindrait des niveaux BBC ou passifs. » Le recours aux nouvelles technologies et à la domotique sert à la diminution de l’impact environnemental du bâti et la construction neuve est maintenue, tout comme l’étalement urbain. La décarbonation de l’industrie passe par le captage et le stockage de CO2 (CCS). Quel degré de désirabilité ? Ainsi, ce scénario mise tout sur ces technologies plus que sur les puits biologiques et la sobriété pour réparer l’impact environnemental. Selon les estimations de l’Ademe, elles consommeraient près de 6 % de l’énergie. En termes de ressources, 45 % de l’acier, de l’aluminium, du verre, du papier-carton et des plastiques sont issus du recyclage. Dans cet équilibre, en 2050, la France serait autour des 1MteqCO2. Avec ces différents “plans d’attaque”, plusieurs questions se posent. Dans les scénarii les plus en rupture, quel est le degré d’acceptabilité, voire de désirabilité de la société ? Comment articuler la transition écologique et la justice sociale ? Pour les S3 et S4, quel coût engendrent ces transitions technologiques ? Quand seront-elles assez matures ? Quid des émissions cumulées entre le moment où ces innovations sont démocratisées et aujourd’hui ? Chaque scénario comporte son lot de risques. Qu’ils soient sociétaux ou d’ordre environnemental. Mais suite à ces deux ans de travaux qui ont mobilisé plus de 100 personnes, l’Ademe rappelle qu’il y a des incontournables : la nécessaire accélération des choses. « Nous avons encore le choix, mais il faut choisir vite », explique Valérie Quiniou. Et Arnaud Leroy, Pdg de l’Ademe de conclure : « Plus nous prendrons des mesures tardives, plus elles coûteront cher. Les années 2020-2030 seront cruciales et la France doit rester à l’avant-garde de la question climatique ».
Il y a 3 ans et 175 jours

Résineo lance Résineo® Arbre en liège recyclé : une réponse complète aux enjeux des collectivités

S'appuyant sur les caractéristiques techniques de la gamme Résineo®, Résineo Arbre en liège recyclé pousse ainsi encore plus loin la démarche de respect de l'environnement portée par LRVision, au travers de l'utilisation de matériaux recyclés.Pour rappel, les granulats qui composent la gamme Résineo® ne subissent aucune transformation chimique et sont sélectionnés pour leur teinte naturelle, leur durabilité et leur résistance aux conditions extérieures. L'ensemble des revêtements Résineo® est né de travaux de Recherche et Développement pointus, menés au sein du laboratoire intégré.Résineo® Arbre en liège recyclé : une nouvelle référence respectueuse de l'environnementAu travers de son nouveau revêtement Résineo® Arbre en liège recyclé, LRVision confirme sa volonté d'innover sur des revêtements perméables, à la fois esthétiques mais également durables en favorisant la perméabilité de sols et le retour d'un cycle de l'eau pérenne dans les collectivités. « L'innovation constante de notre laboratoire permet aujourd'hui à LRVision de proposer des produits apportant des réponses concrètes aux nouveaux enjeux liés à l'urbanisation des territoires. », précise Guilaume Lemaire, Dirigeant de LRVision.Ainsi, avec le lancement de Résineo® Arbre en liège recyclé, LRVision apporte à la fois une réponse visant à développer la perméabilité des sols urbains, tout en s'appuyant sur la réutilisation de matériaux alliant liège recyclé et granulats de marbre millimétriques (récupérés lors de la fabrication de galets décoratifs).« Nous nous inscrivons dans une démarche durable intégrant la revalorisation des déchets issus du notre processus de fabrication, tout en conservant les propriétés techniques et avantages propres à notre gamme. », indique Guillaume Lemaire. « Le tout n'est pas simplement de recycler des matériaux, mais de le faire dans la continuité de la réponse technique apportée par nos produits aux problématiques rencontrées par les collectivités. »Une solution technique pour les tours d'arbre, à destination des collectivitésIssue de la gamme de revêtements de sol Résineo®, Résineo Arbre en liège recyclé répond aux besoins des collectivités grâce à une solution présentant plusieurs atouts :Drainant : évite la stagnation des eaux en surface et favorise la perméabilité des sols. Permet d'assurer une bonne alimentation des arbres et sous-sol en eau. Capacité drainante : de 15 à 25 L/seconde/m2Facile d'entretien : nettoyage au jet d'eau permet de nettoyer les déchets (mégots, etc.) et déjections animalesEsthétique : Valorisation des aménagements paysagers en combinant l'esthétisme de la pierre naturelle avec le liège recycléEn marge des propriétés techniques de ses revêtements, LRVision est attachée à des valeurs de proximité et de réactivité auprès de ses clients. Cela se traduit par le développement d'un réseau d'applicateurs agréés et formés par ses soins.Spécificité de sa gamme Résineo® Arbre : en réponse aux attentes des collectivités, sur ce produit, LRVision a développé un produit facile à mettre en œuvre.A terme, LRVision souhaite renforcer le développement de sa gamme Résineo® Arbre en matériaux recyclés en réutilisant des matières issues des spécificités géographiques locales.
Il y a 3 ans et 186 jours

L’État annonce un report du lancement de la filière REP de recyclage des matériaux "au plus tard" à début 2023

Le secteur du bâtiment, qui produit 42 millions de tonnes de déchets par an, soit autant que les déchets générés par les ménages, va disposer de sa propre filière de recyclage.Concrètement, des éco-organismes seront chargés de la collecte, du tri et de la revalorisation des déchets générés par le secteur dans le cadre de la loi AGEC relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire. Cette loi prévoyait une mise en oeuvre de cette filière au 1er janvier 2022.L'année 2022 sera finalement consacrée à la mise en place de la filière responsabilité élargie des producteurs (REP) "pour que les éco-organismes agréés puissent établir les conventionnements avec les collectivités et acteurs privés de la gestion des déchets de construction", a expliqué le ministère.Les soutiens financiers, qui lanceront réellement cette nouvelle filière, seront enclenchés "au plus tard le 1er janvier 2023", est-il précisé dans le communiqué.Le gouvernement publiera "d'ici la fin de l'année le décret fixant les règles et principes de cette nouvelle filière"."On estime que ce n'était pas possible de le faire plus tôt", a expliqué à l'AFP un porte-parole de la Fédération Française du Bâtiment.Les cahiers des charges des éco-organismes n'étant pas encore établis, impossible pour les acteurs du secteur d'adapter les leurs, alors que les commandes sont déjà prévues pour une partie de l'année à venir.Le ministère a lancé mercredi une concertation sur le projet de cahier des charges des éco-organismes. Le lancement de la REP sera "progressif dans son déploiement", indique le ministère."Même en janvier 2023, les financements ne seront pas à leur paroxysme, la filière se mettra en application sur plusieurs années", estime la FFB.
Il y a 3 ans et 192 jours

Courbevoie : le quartier des Reflets se métamorphose

Les travaux de revalorisation du quartier des Reflets se poursuivront jusqu’en 2023.
Il y a 3 ans et 216 jours

La taxe foncière a augmenté en moyenne de 28% en 10 ans, selon l'UNPI

L'augmentation s'est fait particulièrement ressentir dans des villes comme Nantes (+38%) ou Villeurbanne (+37%), et plus généralement dans les départements franciliens des Yvelines (+76%), du Val d'Oise (+37%) et de l'Essonne (+37%), souligne l'UNPI dans la 15e édition de son observatoire national des taxes foncières sur les propriétés bâties."Cette hausse résulte de la conjonction de deux augmentations: celle des valeurs locatives (revalorisation automatique de 6,1% en 5 ans) et celle des taux votés par les collectivités territoriales", a expliqué l'UNPI dans sa présentation à la presse.Le président de l'UNPI Christophe Demerson a déploré "une solution de facilité" de la part des élus locaux qui ont "besoin de recettes et se tournent vers les propriétaires".Angers (56,42%), Amiens (55,87%) et Grenoble (54,67%) affichent les taux de taxes foncières les plus élevés de France parmi les grandes villes, selon le classement de l'UNPI.La taxe foncière représente en moyenne 2,3 mois équivalents en loyer, jusqu'à 4 à 5 mois dans certaines villes moyennes, s'est insurgé M. Demerson."Et on pense que la hausse va se poursuivre, avec la suppression de la taxe d'habitation", a déclaré Christophe Demerson à l'AFP, qui estime que les élus locaux "anticipent déjà où ils vont chercher des recettes".Il dénonce également "l'inflation sur les frais de gestion sur les petites taxes" prélevés par l'État, comme la taxe sur les ordures ménagères ou la Gemapi pour la prévention des inondations.
Il y a 3 ans et 231 jours

Pouvoir d’achat : Bouygues promet un geste sur les bas salaires dès le mois de décembre

Face à l’envolée des prix de l’énergie et de l’essence, le groupe Bouygues SA (Bouygues Construction, Colas, Bouygues immobilier…) annonce, pour les bas salaires, des revalorisations collectives qui apparaîtront sur la fiche de paie de décembre.
Il y a 3 ans et 235 jours

Les fenêtres, éléments clés au service de la transition environnementale

La RE2020, réglementation environnementale appliquée aux bâtiments neufs qui entrera en vigueur début 2022, vise à améliorer la performance énergétique et abaisser les consommations des bâtiments neufs. Elle introduit notamment la dimension de « performance environnementale », en proposant de nouveaux indicateurs pour évaluer les impacts – en particulier le carbone – du bâtiment sur l'environnement, durant tout son cycle de vie. Elle intègre aussi la notion de « confort d'été » dans les logements et prévoit pour cela une unité de mesure dédiée, les degrés-heures d'inconfort (DH), qui repose sur une méthode de calcul incluant les effets du changement climatique sur les bâtiments. S'inscrivant dans le même calendrier, la loi Anti-Gaspillage pour une Économie Circulaire (AGEC) va renforcer les exigences de valorisation des produits, équipements, matériaux et déchets (PEMD) issus du bâtiment et celles concernant la circularité des produits neufs. La mise en place d'une filière de Responsabilité Élargie des Producteurs (REP) pour produits et matériaux de construction du bâtiment, va quant à elle introduire une prise en charge des PEMD, par des éco-organismes financés par les acteurs qui mettent les produits sur le marché. Pour fédérer les industriels autour de cette logique vertueuse, la Responsabilité Élargie des Producteurs prévoit également une réduction des contributions pour ceux qui proposent des produits écoconçus. Ces évolutions accompagnent la transition environnementale et s'inscrivent dans le paysage législatif et règlementaire issu de la COP 21, qui va structurer les activités de construction et de rénovation dans les années à venir. La filière se mobilise Les menuiseries extérieures et les produits de la baie sont directement concernés, parce qu'ils participent à la bonne isolation thermique des bâtiments, synonyme d'une plus grande sobriété énergétique. Mais aussi parce que les ressources naturelles utilisées pour leur fabrication sont à gérer dans un souci d'économie. Ainsi, pour répondre à ces exigences renforcées, il sera nécessaire, de développer une approche du « système fenêtre » en analyse de cycle de vie, ce qui signifie prendre en compte le carbone émis pour le produire et le déconstruire. L'usage des matériaux recyclés et la recyclabilité du produit en fin vie contribuent pleinement à cet objectif. La performance de la fenêtre elle-même pendant la vie du bâtiment reste bien évidemment un enjeu clé. La filière des menuiseries en PVC et en aluminium s'inscrit déjà dans cette logique, en proposant depuis quelques années des matériaux plus respectueux de l'environnement. Aidée par le développement accéléré de la filière de collecte et de revalorisation, qui permet de mieux prendre en compte les problématiques de recyclage et d'économie circulaire en incorporant plus de matière recyclée dans ses produits, cela l'amène actuellement à une proportion moyenne de 40%. En lien avec ces enjeux environnementaux, les épisodes récurrents de forte chaleur, même si 2021 a été atypique, font du confort d'été un objectif clé. Le changement climatique viendra renforcer cet enjeu et le placera probablement bientôt au même niveau que celui du confort thermique d'hiver. Les protections solaires – brise-soleil, persiennes coulissantes, fermetures, stores vénitiens extérieurs – constituent déjà une réponse efficace. Par ailleurs, on note l'émergence des verres « thermochromes », innovation qui permettra de conserver la transparence du vitrage tout en régulant les apports thermiques solaires, et donc de diminuer l'usage de la climatisation en été et du chauffage en hiver. Face au défi du changement climatique et de l'économie de ressources, le secteur de la fenêtre se mobilise en adaptant la conception de ses produits dans une dynamique soutenue autour de l'innovation qui sans aucun doute se poursuivra dans les années à venir. Solutions & Performances - Numéro 5 : « Menuiseries extérieures » PDF 1.56 Mo Consultez les éditions précédentes Inscrivez-vous !
Il y a 3 ans et 238 jours

Déficits et dettes publics: où en est la France face à ses voisins ?

La France, plus proche du Sud que du Nord de l'Europe...Fin 2021, la dette publique française pourrait culminer à 117,4% du produit intérieur brut (PIB), d'après les prévisions de printemps de la Commission européenne, ou à 116%, selon une projection plus récente du gouvernement. En Espagne, elle atteindrait 119,6%, en Italie 159,8%, et au Portugal 127,2%, d'après Bruxelles.Plus au Nord, le Danemark afficherait un ratio de dette publique sur PIB de 40,2% et les Pays-Bas de 58%. L'Autriche, elle, serait à 87,2%. Ces trois pays font partie du club des "frugaux", partisans d'une gestion stricte des finances publiques. L'Allemagne, de son côté, serait à 73,1%, soit plus de 13 points supplémentaires par rapport à 2019, fruit d'une dépense accrue pendant la crise.Ces quatre Etats pourraient atteindre ou passer sous les 3% de déficit dès l'année prochaine, pendant que la France serait à 4,7%, l'Italie à 5,8%, l'Espagne à 5,2% et le Portugal à 3,4%.... mais pas d'inquiétude à l'horizon"La comparaison ne veut pas dire grand-chose", tempère Gregory Clayes, économiste à l'institut Bruegel.D'abord car les Etats ont été très diversement frappés par la pandémie, l'industrie des services, centrale au Sud à travers le tourisme, ayant payé un très lourd tribut, appelant à des soutiens budgétaires plus forts."S'il n'y avait pas eu ces déficits, il y aurait eu encore plus de faillites en Italie, en France, en Espagne. Cela aurait mis à mal leur tissu économique et aurait créé une divergence de long terme beaucoup plus profonde", poursuit M. Clayes.Ensuite, les finances publiques de ces Etats montrent des réalités très différentes."Il existe plusieurs facteurs et caractéristiques qui rendent la dette française très différente de celle des pays du Sud", souligne Alex Muscatelli, analyste France pour l'agence de notation Fitch Ratings. Il souligne son importance sur le continent en tant qu'émetteur de dette, la taille de ses marchés de capitaux, et les taux d'intérêt d'emprunt plus bas qu'en Espagne ou en Italie.Sur la soutenabilité de la dette -la capacité à honorer les échéances de remboursement-, la situation française est par ailleurs sous contrôle grâce notamment à ces taux d'emprunt faibles et aux perspectives de croissance, avec 6% cette année et 4% l'an prochain attendus par le gouvernement. L'austérité, taboue pour l'heure en EuropeDix ans après la crise des dettes en zone euro, la crainte de casser la timide reprise prend le pas sur les velléités d'austérité budgétaire. L'UE "ne répètera pas l'erreur" qui avait plongé l'Europe dans la récession, a promis le 15 septembre la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.Les règles européennes de dette à 60% du PIB au maximum et de déficit à 3%, supposées être réimposées en 2023 après une pause liée à la pandémie, font par ailleurs l'objet de renégociations, de nombreux dirigeants les jugeant obsolètes.Pendant que le ministre français de l'Economie Bruno Le Maire évoque un "sérieux" financier dans le budget 2022 malgré des dépenses supplémentaires, l'Italie veut adopter une "politique expansive" l'an prochain, selon son ministre de l'Economie, Daniele Franco. Le pays vise un niveau de dette pré-pandémie "vers la fin de la décennie".L'Espagne, après avoir engagé ces derniers mois des mesures coûteuses comme l'indexation des retraites sur l'inflation ou la revalorisation du salaire minimum, vise un retour sous 3% de déficit pas avant 2025, s'engageant toutefois auprès de Bruxelles à mettre en oeuvre des mesures d'économies, notamment une réforme des retraites.Berlin veut se conformer dès 2023 à sa règle constitutionnelle de ne pas emprunter plus de 0,35% de son PIB chaque année. L'Allemagne, où des élections se tiennent le 26 septembre, a de la marge après quasiment une décennie d'excédents budgétaires.Les Danois, qui tablent sur une croissance de 3,8% en 2021 et 2,8% en 2022, ne prévoient pas non plus de mesures drastiques, mais une politique budgétaire "plus stricte".Pour Thomas Grjebine, du Centre d'études prospectives et d'informations internationales (CEPII), "il y aura une pression des pays du Nord pour réduire les déficits, ce qui est problématique s'ils ne relancent pas leur demande"."Un schéma plus vertueux consisterait pour eux à relancer leur consommation, ce qui permettrait aux pays du Sud de soulager leurs exportateurs", selon lui.
Il y a 3 ans et 243 jours

Minima de branche sous le Smic: de quoi parle-t-on?

Un salarié peut-il être payé en dessous du Smic?Non. Le Smic correspond au salaire horaire minimum légal en dessous duquel un salarié ne peut pas être rémunéré. Il s'applique à tout salarié majeur. Le salaire brut mensuel divisé par le nombre d'heures travaillées doit donc être au moins égal au Smic horaire (10,48 euros au 1er octobre).L'employeur peut être condamné à une amende d'un montant de 1.500 euros s'il verse au salarié une rémunération inférieure au Smic.Pourquoi le gouvernement appelle à revaloriser les minima de branche inférieurs au Smic?Si le minimum conventionnel est inférieur au Smic, l'employeur doit combler l'écart. Mais pour la ministre du Travail, Élisabeth Borne, avoir des minima en dessous du Smic est "un très mauvais signal" en termes d'attractivité, à l'heure de tensions sur le recrutement. Elle a appelé dimanche toutes les branches concernées à les "revaloriser".Les quelque 220 branches ont l'obligation de négocier périodiquement sur les salaires, mais pas d'aboutir à un accord. Certaines ont engagé des discussions et signé des accords à l'instar de la propreté ou du commerce de détail.Actuellement, selon le ministère du Travail, 45 branches ont un minima conventionnel inférieur au SMIC, une situation liée à la revalorisation automatique du 1er janvier pour 25 d'entre elles et plus ancienne pour les autres faute d'accord.La hausse du 1er octobre ne va pas arranger la donne: dans l'hôtellerie-restauration, où les discussions viennent de débuter, il y aura un décrochage de 75 euros par rapport à ce salaire minimum, qui sera versé aux cinq premiers niveaux de la grille salariale. Dans les transports routiers, "l'ensemble du coefficient est au Smic" sauf le plus haut "à un centime au dessus à l'embauche: 10,49 euros brut", déplore Patrice Clos, secrétaire général de FO Transports.Les branches concernées seront reçues par le ministère et une réunion de bilan sera organisée en novembre avec les partenaires sociaux interprofessionnels.La situation est loin d'être inédite. Selon la Dares, avant la revalorisation automatique de janvier 2020 qui avait concerné 2,25 millions de salariés (13% des salariés), 16% des branches présentaient un premier niveau de grille inférieur au Smic (contre 22% l'année précédente).Y a-t-il un risque de créer des trappes à bas salaires?Les salariés rémunérés au voisinage du Smic sont surreprésentés dans les métiers qui ont poursuivi leur activité durant le confinement, notamment les "deuxième ligne".Lorsque les minima de branches sont rattrapés par le Smic, cela génère souvent une concentration accrue de salariés dont le salaire devient ancré sur le Smic."Dans l'évolution de la grille des salaires, potentiellement même avec l'ancienneté, vous restez au Smic. Ca c'est un vrai problème", explique Mathieu Plane, économiste à l'OFCE."Le problème n'est pas forcément au niveau du Smic, mais sur le tassement des salaires autour du Smic", insiste-t-il, ajoutant qu'il s'agit d'agir "sur la dynamique des salaires, de recréer une progression de carrière et ne pas rester collé" au salaire minimum.Selon une étude de l'Insee de 2018, une augmentation de 1% du Smic rehausse les salaires de base individuels de 0,08% en moyenne, tandis qu'une hausse similaire des minima conventionnels les augmente de 0,14%.Pour les syndicats, qui mettent en avant les "deuxième ligne", la hausse automatique du Smic est clairement insuffisante. A la CGT, qui revendique un Smic à 2.000 euros brut, Boris Plazzi explique que l'intérêt d'augmenter le salaire minimum est que "ça touche tout le monde, petites comme grandes entreprises". Mais, dit-il, il faut aussi "ouvrir des négociations dans les entreprises et dans les branches" et "une hausse de l'ensemble des salaires" car "si on ne fait qu'augmenter le Smic on ne paye pas les qualifications".Pour la CFDT, "le vrai sujet c'est la revalorisation des minima de branche". Augmenter le Smic est "un pis-aller qui ne répond pas au problème", estime Luc Mathieu. Outre le fait d'"écraser les catégories hiérarchiques", la question de l'attractivité d'un certain nombre de métiers "ne se réduit pas à la question des salaires" et a aussi trait aux "conditions de travail, parcours, à l'articulation des temps..."."C'est en travaillant sur l'ensemble qu'on améliore la situation des travailleurs de deuxième ligne", dit-il.
Il y a 3 ans et 245 jours

Ce qu'il faut attendre du projet de budget 2022 du gouvernement

Une forte reprise économiqueLe projet de budget pour 2022 repose sur une prévision de croissance de 6% pour 2021 et de 4% pour 2022, soit une des reprises économiques les plus fortes de la zone euro, après certes une des récessions les plus massives en Europe (-8% en 2020).Le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, se félicite régulièrement que le taux de chômage ait retrouvé son niveau d'avant-crise (un peu plus de 8%), comme l'investissement des entreprises, et que la consommation des ménages ait rebondi.Réduction du déficitLa reprise va permettre au déficit public de se résorber un peu plus qu'anticipé. Selon les prévisions de Bercy, il devrait passer de 9,2% du PIB en 2020, à 8,4% cette année, puis 4,8% en 2022 (contre 5,3% attendu auparavant).Conséquence: le ratio de dette publique par rapport au produit intérieur brut (PIB) devrait lui aussi s'infléchir légèrement, à 116% en 2021, puis 114% en 2022. C'est toutefois encore un niveau record pour l'économie française, fruit de la politique du "quoi qu'il en coûte" édictée par le président de la République, Emmanuel Macron, pour faire face à la crise sanitaire.Les missions régaliennes à l'honneurLe budget de l'Etat devait déjà fortement progresser l'an prochain, d'au moins 11 milliards d'euros, à près de 300 milliards, selon le document d'orientation budgétaire publié en juillet. Mais ce sera finalement un peu plus, du fait de dépenses supplémentaires non encore prises en compte.Pour ce qui est connu, ce sont les ministères régaliens qui tirent leur épingle du jeu de la négociation budgétaire, avec +1,7 milliard d'euros pour les Armées, +1,5 milliard pour l'Intérieur ou +600 millions pour la Justice.L'Education est également bien dotée (+1,6 milliard après +4,3 milliards en 2021), notamment pour financer les revalorisations des rémunérations des enseignants. La Recherche voit aussi son enveloppe augmenter de 750 millions d'euros.Baisses d'impôtLe gouvernement maintient le calendrier des baisses d'impôts décidées avant la crise, mais ne souhaite prendre aucune nouvelle mesure fiscale dans le budget 2022.Les 20% de ménages les plus aisés verront ainsi leur taxe d'habitation encore réduite l'an prochain, après une première étape en 2021. Déjà supprimée totalement pour 80% des ménages, elle le sera pour tous les contribuables en 2023.De même, l'impôt sur les sociétés passera à 25% pour toutes les entreprises, dernière marche d'une réforme engagée en 2018, dans le but d'améliorer leur compétitivité.Deux inconnuesFait inédit, l'exécutif n'a pas encore arbitré deux mesures phares attendues dans le budget 2022: le plan d'investissement et le revenu d'engagement.Le premier, qui devrait être de l'ordre de 30 milliards d'euros, vise à investir dans des filières d'avenir et innovantes, comme l'hydrogène, les biotechnologies, les batteries électriques ou les semi-conducteurs.Emmanuel Macron devait le dévoiler initialement début septembre, mais sa présentation a été reportée à la mi-octobre. Officiellement, il s'agit de concerter davantage les filières industrielles concernées, mais le gouvernement doit aussi trancher son pilotage.La deuxième mesure est le revenu d'engagement pour les jeunes, dernière grande réforme sociale du quinquennat. Il vise à accompagner ceux qui n'ont ni emploi, ni formation, et qui en échange d'un engagement recevront un revenu, sans doute autour de 500 euros. Coût estimé: 2 milliards d'euros par an, selon le ministère du Travail.
Il y a 3 ans et 320 jours

Ipsiis : Entre efficacité énergétique et économie circulaire

Yves le Corfec, fondateur d’Ipsiis. [©Ipsiis] Dossier : Penser circulaire Interview : Ecima Découverte : Le label E2C Actualité : Naissance de Valobat Reportage : Zac le Square La notion d’économie circulaire s’applique de plus en plus à l’ensemble des secteurs d’activité. Dans le bâtiment, toutes les typologies d’acteurs sont impactées et s’organisent dans ce sens. L’Ecima, association européenne des fabricants de ouate de cellulose, représente les producteurs implantés sur le marché français. Rencontre avec son président Jean-Michel Bœuf. Depuis janvier 2021, le Cerema pilote un nouveau label : E2C. Ce dernier valide et accompagne les porteurs de projets dans la mise en place d’initiatives d’économie circulaire. Quelque 26 entreprises de fabrication de matériaux de construction ont annoncé la naissance d'un éco-organisme, baptisé Valobat. A Dreux (28), la Saedel est en charge de l’opération de la Zac le Square. Ici, l’aménageur a souhaité s’engager pleinement dans une logique d’économie circulaire. Depuis plus de nombreuses d’années, Yves le Corfec travaille dans le domaine de l’énergie et de l’environnement. En 2014, il évolue dans le monde du recyclage des déchets d’origine industrielle ou d’exploitation de matières premières. « Je me suis rendu compte que ceux-ci représentaient beaucoup de déchets inertes et nobles qui peuvent prendre une part importante dans l’économie circulaire, explique Yves le Corfec, fondateur d’Ispiis. Mais il faut faire bouger les lignes. Nous évoluons dans un cadre réglementaire et technique très compliqué. » Pour Yves le Corfec, l’année 2014 signe ainsi le début d’une nouvelle aventure autour d’Ipsiis. L’idée : proposer une solution technique qui va au-delà de la revalorisation des déchets. Celle-ci s’ancre dans une démarche d’efficacité énergétique, de protection du bien-être des habitants et d’économie circulaire. Lauréat du concours I-Lab du ministère de la l’Enseignement supérieur et de la Recherche avec le soutien de la BPI en juillet 2014, la start-up se lance définitivement quelques mois plus tard. « Nous nous sommes spécialisés dans la fabrication de mousse minérale. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 350 jours

Veolia et les élèves de l'École des Ingénieurs de la Ville de Paris repensent la ville d'après la Covid-19

La semaine s’est achevée avec une remise de prix aux projets étudiants qui pourraient voir le jour et redessiner la ville après la Covid-19 :1er prix, WELL C' HOME : Un projet d'onboarding game facilitant l'intégration des nouvelles et nouveaux salarié·es impacté.es par le télétravail.2ème prix, MASK HAS BIN : projet d’expérimentation, sur le parvis de la Défense, d’une collecte intelligente de masques dans un conteneur intégrant un processus de désinfection en vue d’une revalorisation. Sensibilisation du public aux enjeux environnementaux liés aux masques jetables dans un lieu comptabilisant jusqu’à 5000 passages par heure : aller au-delà de la simple collecte pour encourager la revalorisation. La bin contiendrait un système de désinfection des masques et, via une application, encouragerait le dépôt des masques via un système de points attribués à chaque usager.et deux coups de cœur : PROX'EAT : application collaborative permettant de commander un repas « maison » chez son voisin ou de de vendre ses petits plats à ses voisins NEIGH BEEZ' : application géolocalisée destinée à faciliter le rapprochement entre voisins via l’échange de servicesLes défis de la COVID 19 ont rendu indispensable l’émergence d’une ville plus résiliente et écologique, moins exposée aux risques sanitaires. Pendant une semaine, les élèves de deuxième année de l’EIVP se sont appuyées sur l’expérience de professionnels de la transformation écologique et sur leurs acquis pour mettre en œuvre le Design Sprint : une méthodologie qui vise à répondre à une problématique d’ingénierie à partir d’un prototype testé auprès d’utilisateurs.À l'issue de la semaine, 16 équipes d’étudiants ont présenté leurs projets devant un jury d’experts, au cours d’une cérémonie de clôture qui a récompensé les deux meilleurs projets et a décerné deux prix coup de cœur du jury. Pour Franck Jung, Directeur de l’EIVP, il est « primordial, dans un monde urbain en profonde redéfinition suite à la crise sanitaire en cours, d’intégrer au cursus d’ingénieur, qui plus est en génie urbain, les bons outils pour faire émerger des solutions via des projets de start-ups, d’association ou d’entreprises sociales et solidaires en les initiant, par exemple, au Design Thinking : partir des usages et des besoins des usagers avant d’envisager la conception. Cette semaine de l’innovation s’intègre ainsi parfaitement à notre récente réforme du cycle ingénieur·e qui vise à développer ce type d’approche ».Jean-Marie Lambert, Directeur Général des ressources humaines de Veolia déclare : « L’innovation permanente représente un levier pour que la transformation écologique devienne une réalité. Chez Veolia, nous concevons nos solutions avec comme objectif l’impact maximal qu’elles peuvent apporter à l’ensemble des parties prenantes : c’est cet esprit que nous voulons transmettre aux étudiants ».L’EIVP : L’École des Ingénieurs de la Ville de Paris (EIVP), située dans le 19ème arrondissement de Paris, est la Grande Ecole d’Ingénieur·e·s du Génie Urbain. Elle est la référence en matière d’enseignement et de recherche sur les thématiques d’aménagement et de management durable des villes. En 2020, elle a cofondé, avec l’EAVT, l’ENSG, l’ESIEE, l’IFSTTAR et l’UPEM, l’Université Gustave Eiffel. Chaque année, l’EIVP diplôme plus de 150 professionnels dont 110 ingénieur·e·s qui feront les villes de demain avec une approche transversale des projets urbains.
Il y a 3 ans et 354 jours

Les Fabricants de Menuiseries dressent le bilan de l’année écoulée et préparent l'avenir

L’occasion de faire un bilan de l’année exceptionnelle écoulée et de mettre en perspective ses projets. La valorisation de la fenêtre de qualité fabriquée en France, le recyclage et le développement durable restant des enjeux au sein de l’UFME, des actions seront déployées autour de ces axes forts.Une année dense qui a vu aboutir de nouveaux projetsAprès l’arrêt brutal des productions début 2020 dû à la covid-19, puis une reprise en « stop and go » pendant quelques mois, les carnets de commandes se sont à nouveau remplis dès juin 2020. La situation s’est par la suite compliquée avec les problèmes d’approvisionnement en matières premières, engendrant notamment des hausses tarifaires. Durant cette année très dense, l’UFME a accompagné ses adhérents au quotidien. En témoignent par exemple l’achat groupé de masques, le décryptage des protocoles sanitaires et leur adaptation aux métiers tout en poursuivant les objectifs fixés avant la pandémie :le lancement de la troisième phase de sa campagne de communication dédiée à la fenêtre PVC,la participation active dans l’élaboration des futures réglementations environnementales,l’amplification de la visibilité de la Charte UFME pour le recyclage des menuiseries,la mise en place d’un prochain CQP menuisier industriel,la gestion du label qualité QualiPVC Fenêtres,la valorisation de l’efficacité de la fenêtre dans la performance thermique du bâtiment.« La mobilisation massive de la filière, le dynamisme du bâtiment placé comme un secteur de poids et l’habitat devenu une valeur refuge où les performances des menuiseries ont un rôle essentiel à jouer, nous rendent optimistes pour l’avenir. L’UFME est reconnue comme un organisme professionnel inscrit dans une dynamique constante, tournée vers l’avenir. Nous poursuivons nos missions autour de deux piliers qui nous sont chers. Tout d’abord l’environnement. Nous lançons une marque dédiée à notre Charte pour le recyclage des menuiseries : FERVAM, Filière Engagée pour le Recyclage et la VAlorisation des Menuiseries. La mise en exergue de l’efficacité réelle des fenêtres dans la performance thermique des bâtiments reste au coeur de notre démarche. La fenêtre française possède tous les atouts essentiels pour atteindre les objectifs environnementaux. Autre mission, la revalorisation de la fenêtre française de qualité. Nous mettons en marche la troisième phase de notre campagne de communication destinée aux particuliers et ouvrons un groupe de travail dédié à la défense de la fenêtre PVC vers un public institutionnel. Nous allons collaborer activement aux campagnes sur les fenêtres bois financées par le CODIFAB. ». Bruno CADUDAL, Président de l’UFMEDe nouvelles ambitions pour les trois CommissionsCommission TechniqueLa préparation des échéances règlementaires de 2022 (RE2020 et loi AGEC) a été l’une des priorités ces derniers mois, au même titre que l’accompagnement des entreprises dans la dématérialisation des échanges de données. L’UFME finalise les études en cours, notamment avec la Filière Parois Vitrées, Volet carbone, pour parfaire sa compréhension des impacts futurs de la RE2020. Elle participera également à la mise en place du futur éco-organisme de la REP Bâtiment.« Plus que jamais, notre profession a besoin de développer le sourcing de matières premières issues du recyclage pour répondre aux enjeux environnementaux et travailler son indépendance vis-à-vis des matières premières vierges. ». Hugues DE FORGES, Président de la Commission TechniqueCommission Social et FormationParmi les missions menées, la mise en place d’un nouveau CQP Menuisier industriel Fabrication de fenêtres et de portes, essentiel à l’heure où le métier a fortement évolué. Après une phase d’expérimentation menée avec des salariés d'entreprises adhérentes volontaires pour monter en compétence, la première promotion s’est vue attribuer le CQP fin 2020. Ce dernier devrait être inscrit au RNCP (Répertoire National des Certifications Professionnelles) d’ici fin 2021.« Nous avons pour projet de structurer le réseau d'organismes de formation agréés en capacité de former à ce CQP. Un kit pour les candidats trop éloignés des centres par exemple, va également être élaboré. Nous souhaitons susciter des vocations et faire grandir le nombre de nos collaborateurs passionnés, pour contribuer à la pérennité de nos entreprises et de la fabrication française. ». Jean-Marc COMBES, Président de la Commission Social et FormationCommission CommunicationUne campagne de communication nationale a renforcé l’image de la fenêtre PVC vers le ménage français au travers d’une campagne pluri médias : presse, radio et surtout digital. Au total, le site choisirmafenetre.fr comptabilise 400 000 visites depuis le début de la campagne. En parallèle, le site ufme.fr dédié aux professionnels et prescripteurs, a été redynamisé.« Un Guide de la Fenêtre PVC va bientôt voir le jour pour accompagner les particuliers dans leur choix. C’est l’aboutissement d’un travail collectif dont nous sommes fiers. Nous allons également poursuivre la valorisation de la certification NF Fenêtre, et du label QualiPVC Fenêtre dont la gestion vient de nous être confiée. ». Patrick SAGE, Président de la Commission Communication
Il y a 4 ans et 0 jours

Prix du patrimoine paysager et écologique

La Fondation Etrillard lance la deuxième édition du Prix du Patrimoine paysager et écologique. Restaurer nos jardins pour penser demain. Doté de 30 000 €. Jusqu’au 11 juin 2021. Destiné à soutenir les projets de revalorisation des plus beaux domaines paysagers en France et en Suisse, ce prix favorise la transition écologique de ces espaces – […] L’article Prix du patrimoine paysager et écologique est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 60 jours

Villeneuve-Loubet : la société Eurovia en pointe sur la revalorisation

L’entreprise Eurovia, à Villeneuve-Loubet, mise sur le recyclage des matériaux issus de la déconstruction du BTP.
Il y a 4 ans et 62 jours

Une prime Covid pour les bas salaires aux contours incertains selon deux économistes

"Il y a un large consensus pour admettre que ces travailleurs devraient être payés plus mais au moment de sortir la somme individuellement, on risque de relativiser le travail qui est fait", juge François-Xavier Devetter, qui vient de cosigner avec Julie Valentin un livre sur "l'avenir des métiers du nettoyage dans une société juste" (Deux millions de travailleurs et des poussières, Les petits matins, 2021).Le gouvernement a annoncé lundi que les entreprises pourraient, comme en 2019 et 2020, à nouveau verser en 2021 une prime défiscalisée et exonérée de cotisations sociales d'un montant maximum de 1.000 euros à tous les salariés. Sont visés en priorité ceux dits de deuxième ligne qui touchent les plus bas salaires et dont la présence sur le terrain est indispensable en plein reconfinement dans seize départements dont l'Ile-de-France.Selon M. Devetter, ils représentent "de 3 à 5 millions de salariés" parmi lesquels les travailleurs du bâtiment et les chauffeurs-livreurs, "des métiers très masculins", ceux du commerce et l'ensemble des métiers liés au nettoyage et à l'aide à domicile, "qui sont féminisés". "Tous ces métiers sont à des niveaux de rémunération faibles, le plus souvent en-dessous de 1,2 SMIC mensuel. Les métiers féminisés ont en outre des temps de travail réduits.""Rien ne se fait sans eux"L'épidémie de Covid-19 a révélé que "rien ne se fait sans eux" et "jeté un éclairage très fort sur la faiblesse de leur rémunération. Non seulement, ils sont exposés mais ils sont à moins de 1.000 euros mensuels: c'était flagrant pour les aides à domicile"."La crise a montré aussi la dilution des employeurs, des donneurs d'ordre. Avec l'externalisation, il y a de plus en plus d'intermédiaires entre la personne qui travaille et tout le reste. Avec le Covid, cela se voit quand on cherche qui doit procurer par exemple les équipements de protection."Pour cette enseignante-chercheuse à Paris-1, la prime annoncée lundi et laissée à l'appréciation des employeurs pose problème. "Des gens pourraient ne pas en avoir du tout. Ceux qui sont multi-employeurs, à qui vont-ils la demander ? L'employeur renverra vers le donneur d'ordre".Pour Julie Valentin, "c'est une prime pensée pour des travailleurs à plein temps avec un employeur unique, pensée pour un travail typique qui n'est pas celui des salariés auxquels elle s'adresse".Parmi les pistes de revalorisation de ces professions, "il faut repenser le décompte du temps de travail", insiste-t-elle. "Il n'y a pas de prise en compte du passage d'une mission à une autre, du temps de récupération, du temps de concertation pour les aides à domicile.""Le temps d'intervention des aides à domicile chez les personnes est qualifié de +temps productif+. Comme la tarification est majoritairement horaire, ce sont ces temps productifs qui sont payés, les autres temps non, ou très peu", explique François-Xavier Devetter, de l'université de Lille. "Une demi-journée commencée doit être une demi-journée payée. Cela existe dans certaines conventions collectives un peu plus protectrices (arts et spectacles, audiovisuel)."Pour M. Devetter, "on fait venir quelqu'un pour faire un travail et c'est ce travail global qui doit être payé. C'est une manière de remettre l'employeur face à ses responsabilités". "Il faut aller vers une reconfiguration plus large de ces professions pour les déspécialiser."
Il y a 4 ans et 72 jours

Le gouvernement envisage une prime pour les travailleurs de la deuxième ligne

Selon une information du quotidien Les Echos jeudi soir, le Premier ministre "Jean Castex va demander aux branches professionnelles concernées de définir par accord les conditions de versement d'une prime sans charges qui pourrait être versée à certains salariés", à l'occasion de la troisième conférence du dialogue social prévue lundi.Interrogé par l'AFP vendredi, Matignon affirme que rien n'est "acté".Une autre source gouvernementale convient que cela fait partie des pistes de réflexion, mais qu'il "appartient au Premier ministre de décider".La ministre du Travail, Elisabeth Borne, a lancé début novembre une mission, confiée à Sophie Moreau-Follenfant, dirigeante du gestionnaire du réseau à haute tension RTE, et Christine Erhel, économiste (Cnam), sur ces travailleurs particulièrement exposés pendant la crise sanitaire et dont le rôle s'est avéré crucial pour la continuité économique (travailleurs du bâtiment, aides à domicile, vendeurs, gardiens...).Les deux femmes ont produit un rapport permettant de définir plus précisément les métiers concernés et d'enquêter sur les conditions de travail de ces salariés.Ce rapport, qui a été présenté vendredi matin aux partenaires sociaux, doit servir de base pour l'ouverture dans les branches de négociations devant aboutir à une amélioration de la rémunération ou de la formation de ces travailleurs.Un séminaire "début mai"Les auteurs ont croisé deux critères, l'exposition au risque Covid-19 (contact direct avec le public, les collègues, exposition aux risques infectieux) et la présence sur site pendant le premier confinement, qui ont permis d'établir une liste de 17 métiers.Quinze branches, qui "comprennent au moins 50% de ces métiers et pour lesquels l'effectif de salariés dits de deuxième ligne est supérieur à 30.000", ont été identifiées, a détaillé Mme Moreau-Follenfant.Elles totalisent un peu plus de trois millions de salariés de deuxième ligne, les plus gros effectifs se trouvant dans le bâtiment, les transports routiers, le commerce de détail et de gros à prédominance alimentaire, les entreprises de propreté.Les représentants de ces quinze branches seront conviés à un séminaire a priori "début mai", pour déterminer les sujets pouvant faire l'objet d'accords ou de concertations.Fin janvier, le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, s'était agacé d'un processus traînant en longueur. "Ça a trop duré, maintenant il faut accélérer. On veut des solutions concrètes", avait-il tonné.Début novembre, Mme Borne avait évoqué une revalorisation au long cours de ces métiers, affirmant que l'ambition n'était "pas d'aller sur des primes +one shot+", même s'il n'était pas question "d'écarter les primes"."Ce sont des métiers qu'on ne fait pas évoluer d'un claquement de doigt. C'est un travail de long cours qui a avancé assez vite en réalité", a souligné vendredi son entourage.La prime exceptionnelle de pouvoir d'achat, dite prime Macron, avait été décidée après la crise des "gilets jaunes" fin 2018. Cette prime, exonérée de cotisations sociales et d'impôt sur le revenu, pouvait aller jusque 1.000 euros.Plus de quatre millions de personnes en avaient bénéficié entre le 1er janvier et la fin juillet 2020, selon un point effectué par le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, fin septembre.
Il y a 4 ans et 80 jours

L'UFME accélère la mise en place du réseau de collecte et de démantèlement des fenêtres en fin de vie

Après avoir lancé en 2019 sa Charte d'engagement présentant les bonnes pratiques nécessaires à la collecte et à la maîtrise du traitement des déchets, elle intègre depuis octobre 2020 deux nouveaux chargés de mission environnement. Mathilde Crenn-Sutter (en charge des régions Ouest et Nord de la France) et Laurent Suet (en charge du Sud et de l'Est) renforcent ainsi le Groupe de Travail Environnement.Ils accompagnent les signataires de la Charte UFME dans l'atteinte de leurs engagements. Leurs premières missions visent à mettre en place des outils dédiés à la traçabilité et à la consolidation des volumes collectés et traités. Ces actions incluent des interventions sur le terrain auprès des acteurs de la Filière pour les aider à progresser quantitativement et qualitativement. La densification du réseau figure également parmi leurs priorités. En moins de quatre mois, plusieurs concrétisations ont déjà eu lieu : la liste des signataires volontaires est passée à 46, soit une augmentation de plus de 30%. Restant en veille sur les sujets environnementaux, leur mission est évolutive et s'adaptera aux futures révisions règlementaires et normatives.Créer et faire vivre une synergie entre les métiers et les régions : la clé de la réussiteDans un esprit collectif et collaboratif, Mathilde Crenn-Sutter et Laurent Suet se positionnent comme des facilitateurs dans l'identification et la mise en relation entre les différents maillons de la chaîne afin de préserver un circuit vertueux en boucle fermée.« L'enjeu principal repose sur la complémentarité des métiers concernés pour susciter une émulation. Nous sommes ouverts à tous les acteurs. Nous rencontrons des recycleurs, des entreprises spécialisées dans le vitrage, le PVC ou encore la quincaillerie, des points de collecte, des déchetteries, des communes et régions, afin de construire un maillage de l'ensemble du réseau sur tout le territoire. Une carte nationale est en cours d'élaboration et sera enrichie au quotidien pour identifier les points de collecte rapprochés. Ce réseau pérenne participera à l'augmentation des volumes de récupération. », s'accordent à l'unisson les deux chargés de mission.Regards croisés de signataires de la Charte UFMENelly Philipponnat, Directrice Bâtiment Durable Saint-Gobain Glass Bâtiment France« Le Groupe Saint-Gobain étant très impliqué dans les questions environnementales, et notamment celle de l'économie circulaire en matière de vitrage, notre adhésion à la Charte UFME était une évidence. C'est une démarche profonde, intelligente et pédagogique ancrée dans cet ADN dont nous partageons les valeurs. Au-delà de la signature, il est essentiel d'être présent dans la filière baie vitrée et de développer un recyclage complémentaire fenêtre et verre plat. Cela passe nécessairement par tout un travail de sensibilisation et de mobilisation des acteurs. La mise en relation est fondamentale pour faire connaître cette jeune filière dans chaque région auprès des lieux de collecte et de démantèlement. ».Yann de Bénazé, Président Profine France SAS« Profine a été l'un des premiers signataires de la Charte UFME. Le volet environnemental et recyclage fait historiquement partie de nos valeurs. En témoigne par exemple notre rôle précurseur de premier extrudeur gammiste à avoir inventé en 1994 le PVC stabilisé sans plomb. La valeur ajoutée de la filière animée par l'UFME réside dans l'impulsion qu'elle donne au recyclage des matières en fin de vie. L'enjeu est de taille, sa réussite repose sur la massification et la généralisation. La déconstruction des grands chantiers est lancée. Le défi sera donc d'élargir au maximum la collecte des matières en fin de vie jusqu'aux petits chantiers, sur l'ensemble du territoire. ».François Picart, Directeur Valorsol Environnement« Valorsol Environnement propose une traçabilité intégrale, du dépôt des déchets jusqu'à leur valorisation dans les filières certifiées. Nous avons développé plusieurs filières de valorisation des déchets qui peuvent bénéficier d'une seconde vie. Les menuiseries en font partie. Elles sont porteuses de matériaux à forte valeur, tels que le PVC, l'aluminium et le verre. Et c'est en cela aussi que leur recyclage s'avère compliqué. Il est indispensable de collecter les déchets entiers au plus près de la source afin de leur offrir la meilleure revalorisation grâce au travail de précision mené par les unités de démantèlement. La mise en relation entre les différents opérateurs constitue la grande force de la filière développée par l'UFME. ».Les dernières informations et la liste actualisée des signataires de la Charte sont disponibles à cette adresse. Dans la continuité du relooking de son site Internet, l'UFME mettra prochainement en ligne les fiches d'identité des signataires ainsi qu'une carte de France pour illustrer le maillage territorial. L'UFME travaille également sur une identité visuelle qui permettra aux signataires de rendre visible leur engagement.
Il y a 4 ans et 83 jours

Le Groupe Knauf engage ses clients dans l’Économie Circulaire du PSE avec Knauf Circular®

Knauf Circular® : la réponse aux enjeux réglementaires, économiques et environnementaux du recyclage L’avenir du plastique, la gestion des déchets et l’économie circulaire constituent les sujets phares des nouvelles réglementations qui se développent en France et en Europe. Les bases de ces nouvelles réglementations avaient été initiées par la Feuille de Route Économie Circulaire (FREC). Dans ce contexte, l’AFIPEB (Association Française de l’Isolation en Polystyrène dans le Bâtiment) prenait déjà un engagement volontaire visant annuellement une valorisation de 2500 tonnes de PSE d’ici 2025. Membre d’Elipso (association des entreprises de l’emballage plastique fortement impliquée dans une dynamique d’économie circulaire), Knauf Industries s’est aussi engagée à réincorporer 4000 tonnes par an de polystyrène expansé recyclé dans ses calages industriels et emballages de manutention, et ce d’ici 2023. Promulguée le 10 février 2020, la Loi Anti-Gaspillage pour une Économie Circulaire, dite AGEC, entre en application au travers de la publication des différents décrets.Pour la filière emballage, l’AGEC, et en particulier son futur décret 3R, imposera le recyclage, la réutilisation ou le réemploi des emballages et la réduction de l’emploi de plastiques vierges. Son objectif est de tendre vers 100 % de plastiques recyclés en 2025. Pour la filière bâtiment, elle imposera à partir du 1er juillet 2021, à toute entreprise, d’intégrer dans ses devis les informations relatives à la gestion des déchets de travaux de construction : les modalités, leurs coûts, les installations dans lesquelles ils seront déposés en fonction de leur typologie. Dès le 1er janvier 2022, une Responsabilité Élargie du Producteur ainsi qu’une éco-contribution (création d’un éco-organisme chargé de la gestion des déchets pour accélérer leur valorisation) seront mises en place. L’éco-contribution sera financée par un système d’écotaxes, modulées en fonction de la performance environnementale du produit. Et, enfin, la loi de Transition Énergétique pour la Croissance Verte (LTECV) ambitionne que la part du recyclage des déchets non dangereux devra atteindre les 65 % d’ici 2025. Knauf Circular®, en développant un service de collecte et de recyclage des déchets de PSE pour qu’ils soient réintroduits dans de nouveaux produits, répond totalement à ces exigences.Knauf Circular® : un service innovant pour la lutte contre le gaspillage, l’enfouissement ou la mise en décharge De par cette véritable opportunité économique et environnementale, le Groupe Knauf témoigne concrètement de son engagement en faveur de l’environnement et de sa volonté d’accompagner ses clients dans cette démarche. Knauf Circular® se destine à tous les utilisateurs de PSE : négoces en matériaux, entreprises du bâtiment, grandes surfaces de bricolage et alimentaires, professionnels de la mer, industriels et aussi déchetteries, permettant de collecter les PSE post consommation des ménages.Knauf Circular® opère la collecte sur sites des déchets propres de PSE : chutes de chantier d’isolation (hors déconstruction), caisses marée, emballages industriels et commerciaux, calages de protection…, commercialisés par Knauf ou non, pour les introduire dans une filière de collecte et de recyclage responsable, fiable, et garante de leur revalorisation en de nouveaux produits en polystyrène pour le bâtiment, l’emballage ou la vie courante. Pour s’assurer d’une valorisation optimale, vertueuse et suivie des déchets de PSE, il suffit pour l’entreprise qui souhaite bénéficier de Knauf Circular® de signer la convention prévue à cet effet. Cette prestation de service payante Knauf Circular® se traduit par la mise à disposition de sacs de 1 m³ de contenance (ou le cas échéant, d’un moyen de reprise plus conséquent) et de leur reprise sous 10 jours sur sites (chantiers, entreprises, points de regroupement...) pour un minima de sacs de PSE établi en fonction de la quantité de déchets de PSE générée par l’activité et le profil de l’entreprise (industriels, négoces, mareyeurs, déchetteries…). Knauf Circular® se veut d’une grande praticité d’utilisation au quotidien, avec des sacs faciles à porter, fermés et transparents qui seront enlevés sur site sur simple appel au numéro vert dédié. Lors de cette collecte, un bordereau de suivi des déchets sera délivré, pour preuve de traçabilité, justifiant du recyclage des déchets.Knauf Circular® : un service unique ouvert à tous les secteurs d’activité au niveau national qui apporte la garantie du recyclage du PSE Pour la phase pilote du quart Sud-Est de la France, Knauf Circular® s’est déjà traduit par la signature d’une cinquantaine de conventions en quelques mois et la mise à disposition de 10000 sacs dans les 4 usines pilotes du projet. Knauf Circular® s’impose à date comme la seule proposition de service de collecte et de recyclage du PSE en France avec un tel maillage du territoire et une telle proximité avec ses clients. Des investissements industriels d’un montant supérieur à 2 millions d’euros ont ainsi été engagés pour doter chacun des 18 sites en équipements de traitement du PSE collecté, offrant une capacité de recyclage annuelle de plusieurs milliers de tonnes de PSE. Knauf Circular® se traduit également par la création d’un poste au siège de l’entreprise en Alsace, pour assurer l’administration commune aux différentes entités Knauf de cette activité. Knauf Circular® apporte la preuve que le PSE est recyclable et recyclé. Il pérennise l’usage du PSE dans ses différentes applications en lui apportant une solution concrète de recyclage, totalement en adéquation avec les nouvelles réglementations. Cette action forte s’inscrit sur le long terme dans le cadre de la démarche de responsabilité sociétale du Groupe Knauf.« Nous développons les filières de collecte et de recyclage du PSE pour réduire l’utilisation de la matière vierge. Nos usines sont équipées de dispositifs de collecte et de recyclage des déchets d’emballages alimentaires et industriels et de chutes de chantiers du bâtiment. Grâce à la proximité géographique avec les clients, de plus en plus de déchets post-consommation et de chutes de production trouvent une seconde vie et entrent dans la composition de nouveaux produits Knauf, cales, panneaux d’isolation… Ceux qui s’avèrent impropres à une réintroduction dans nos productions seront retraités par des recycleurs partenaires en France ou en Europe pour devenir des biens de consommation courante ou des produits d’isolation pour le bâtiment. » Kurt Münder, PDG Knauf Industries« Le Groupe Knauf relève et relèvera plusieurs défis pour que la filière PSE entre concrètement dans l’économie circulaire. Aujourd’hui, avec Knauf Circular®, les utilisateurs sont assurés de la totale revalorisation de leurs déchets de PSE. D’autres programmes de recherche et développement viendront enrichir cette première initiative dans les années à venir. Des recherches sont en cours en matière d’écoconception pour favoriser le recyclage des matériaux en fin de vie. Knauf travaille également à augmenter la part de PSE recyclé dans ses produits neufs, qui doivent répondre aux exigences techniques et réglementaires de leur domaine d’application – bâtiment et emballage. De belles perspectives s’offrent à nous pour inscrire notre Groupe dans l’économie circulaire ! » Christine Muscat, DG Knauf FranceKnauf Circular® : un service simple et complet qui accompagne le client et valorise son action Toute l’actualité Knauf Circular® est à suivre sur le site dédié, www.knaufcircular.fr qui informe sur les modalités de reprises en fonction de la typologie de convention signée (négoces et entreprises de pose, professionnels de la mer, industriels et grandes surfaces, déchetteries) et sur les différents types de PSE collectés. Knauf y propose notamment une vidéo de présentation avec des témoignages clients issus des différentes activités (bâtiment, emballages, industrie). Le Groupe Knauf accompagne également les professionnels signataires de conventions Knauf Circular® pour qu’ils puissent porter haut les couleurs de leur engagement au travers de supports de communication dédiés ; des outils utiles et pragmatiques, qui reprennent les arguments justifiant de cette démarche concrète en faveur de l’économie circulaire du PSE.
Il y a 4 ans et 94 jours

Ecotech Ceram : De l’énergie en conteneur

Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. Ecotech Ceram stocke et transforme la chaleur en énergie renouvelable à travers un conteneur. [©Ecotech Ceram] La revalorisation de la chaleur émise par la production industrielle est un enjeu économique et écologique. La start-up française Ecotech Ceram a mis au point une solution permettant de stocker la chaleur ou le froid produit par l’industrie lourde. « Nous avons mis au point une solution de stockage de chaleur éco-efficace, qui permet de capter et de valoriser de la chaleur issue de l’industrie lourde ou de sources renouvelables, explique Antoine Meffre, son président, lors d’une présentation au CementLab. Le but étant ensuite de la réinjecter dans des procédés industriels et ainsi de réduire la consommation d’énergie. Nous avons conçu une solution robuste, modulaire et transportable. Il s’agit d’un conteneur isolé de l’intérieur, avec des céramiques réfractaires issues de l’économie circulaire. » En temps réel L’air chaud des cheminées est aspiré et envoyé dans le module nommé Eco-Stock. En plug & play, la chaleur peut ensuite être réutilisée sur place ou dirigée vers un autre site. Le concept permet de stocker jusqu’à 2 MWh à 600 °C. Ecotech Ceram propose à ses clients de qualifier leur gisement de chaleur, puis de dessiner et de monter l’installation technique, tout en apportant des solutions de financement. Lors de l’utilisation, une plate-forme web permet de suivre en temps réel les performances du dispositif. La distribution électrique pouvant s’adapter en fonction des besoins en puissance ou dans le temps de la destination finale. Cet article est à retrouver dans le n° 92 de Béton[s] le Magazine. [/abonnes]
Il y a 4 ans et 96 jours

Knauf Circular se déploie sur toute la France

Knauf et Knauf Industries (dont les marques Isobox Isolation et Isobox Agromer) lançaient il y a un an, sur le quart Sud-Est de la France, le service Knauf Circular : une initiative de collecte et de recyclage des déchets de PSE (polystyrène expansé), issus des chantiers de construction et de l’emballage. Fort d’une phase pilote concluante, Knauf Circular se déploie sur la France entière à partir de mars 2021. Knauf Circular opère la collecte sur sites des déchets propres de PSE : chutes de chantier d’isolation (hors déconstruction), caisses marée, emballages industriels et commerciaux, calages de protection…, commercialisés par Knauf ou non, pour les introduire dans une filière de collecte et de recyclage responsable, fiable, et garante de leur revalorisation en de nouveaux produits en polystyrène pour le bâtiment, l’emballage ou la vie courante. Pour s’assurer d’une valorisation optimale, vertueuse et suivie des déchets de PSE, il suffit pour l’entreprise qui souhaite bénéficier de Knauf Circular de signer la convention prévue à cet effet. Cette prestation de service payante Knauf Circular se traduit par la mise à disposition de sacs de 1 m³ de contenance (ou le cas échéant, d’un moyen de reprise plus conséquent) et de leur reprise sous 10 jours sur sites (chantiers, entreprises, points de regroupement…) pour un minima de sacs de PSE établi en fonction de la quantité de déchets de PSE générée par l’activité et le profil de l’entreprise (industriels, négoces, mareyeurs, déchetteries…). Knauf Circular se veut d’une grande praticité d’utilisation au quotidien, avec des sacs faciles à porter, fermés et transparents qui seront enlevés sur site sur simple appel au numéro vert dédié. Lors de cette collecte, un bordereau de suivi des déchets sera délivré, pour preuve de traçabilité, justifiant du recyclage des déchets.
Il y a 4 ans et 144 jours

4 entreprises s'associent dans le recyclage de menuiserie

REVALORISATION. Implantées dans le Grand Ouest, quatre entreprises ont décidé de s'allier pour monter une structure dédiée au recyclage des menuiseries en fin de vie.
Il y a 4 ans et 152 jours

Rémunérations dans le BTP à l'ère post-Covid

Hays, leader du recrutement spécialisé, dresse un état des lieux des tendances de recrutement et de rémunération dans le BTP post Covid-19.Tendances de recrutementProfils les plus recherchésConducteur de travaux / OPCChef de chantierCoordonnateur SPSCompétences les plus priséesFlexibilitéRésistance au stressEngagementTendances de rémunération"Malgré la crise, les rémunérations restent globalement stables dans le BTP. Néanmoins, on observe aujourd'hui une recrudescence des besoins sur certains types de postes, qui conduit, de fait, à une revalorisation salariale. Les profils concernés sont essentiellement les conducteurs de travaux et chefs de chantier en entreprise générale, ainsi que les coordinateurs travaux et coordonnateurs SPS en maîtrise d'œuvre."Cécily Bretel, Business Manager BTPDe leur côté, les professionnels évoluant dans le BTP sont confiants pour l'avenir puisque 82% d'entre eux estiment leur dirigeant capable de mener l'entreprise vers la réussite.**Enquête administrée par Hays en septembre 2020 auprès d'un échantillon de plus de 200 professionnels du BTP, issus de sa base de données clients et candidats.
Il y a 4 ans et 158 jours

Vers une hausse du Smic d'environ 1% au 1er janvier

La hausse du Smic doit être officialisée mercredi en Conseil des ministres. Début décembre, le Premier ministre Jean Castex avait indiqué qu'il n'y aurait "vraisemblablement" pas de coup de pouce au-delà de la revalorisation automatique, comme recommandé par le groupe d'experts, consulté avant chaque revalorisation.Le Smic bénéficie chaque année d'une hausse mécanique calculée selon deux critères: l'inflation constatée pour les 20% de ménages aux plus faibles revenus et la moitié du gain de pouvoir d'achat du salaire horaire de base ouvrier et employé (SHBOE).L'Insee a publié mardi les chiffres de l'inflation de novembre qui ressortent à -0,2% sur un an pour les 20% de ménages aux plus faibles revenus. Le gain de pouvoir d'achat du SHBOE, s'élève à 1,91% selon le groupe d'experts sur le Smic. En tenant compte de ces données, et de la neutralisation de l'inflation, la hausse du Smic serait donc de l'ordre de 0,955%.Dans son rapport annuel, le groupe d'experts, qui a toujours déconseillé aux gouvernements d'accorder un "coup de pouce", avait estimé que s'en tenir à la revalorisation automatique permettrait "un gain de pouvoir d'achat" supérieur à l'an passé, au vu de l'inflation.Le 1er janvier 2020, le Smic avait été revalorisé de 1,2%, sans coup de pouce pour 2,25 millions de bénéficiaires. Il s'établit actuellement à 1.219 euros net mensuels (1.539,42 euros bruts).
Il y a 4 ans et 167 jours

"Les réformes restent d'actualité" selon le rapporteur du budget

"C'est juste le calendrier qui est repensé à l'aune de la crise", explique le député LREM, en soulignant les limites de l'endettement massif décidé par l'exécutif pour empêcher l'effondrement de l'économie depuis mars dernier.Le débat sur une reprise de la réforme des retraites, en particulier, est réapparu dernièrement dans la majorité. La réforme du gouvernement avait engendré plusieurs journées de grèves et de manifestations fin 2019, début 2020.Pour Laurent Saint-Martin, "reprendre des discussions avec les partenaires sociaux, les débats au Parlement, sur la base du texte adopté en première lecture à l'Assemblée nationale, n'est pas réaliste et souhaitable. La situation a changé, les ministres aussi. Mais la réforme des retraites reste à notre agenda"."Le 'travailler plus ' sera une des clés afin de générer de la croissance", poursuit-il dans le JDD : "Cette notion, souvent décriée, n'est pas qu'une question de durée de travail. Mais aussi de nombre de personnes qui travaillent. La baisse du chômage structurel reste l'un de nos objectifs".Selon M. Saint-Martin, qui écarte l'austérité budgétaire, "il existe quatre leviers" pour commencer à diminuer la dette de la France : "Une remontée de l'inflation, ça n'est pas le cas aujourd'hui. Une hausse des impôts, on s'y refuse. Diminuer la dépense publique. Là, il s'agit de mener des réformes tructurelles efficaces et justes. Enfin, doper la croissance. C'est notre axe prioritaire et l'objet du plan de relance, qui doit l'accroître de 1,5 %"."C'est la croissance qui remboursera la dette, parce que l'économie, c'est une dynamique", a également estimé le sénateur LR Bruno Retailleau, interviewé à la mi-journée sur BFMTV.M. Retailleau, l'un des prétendants à une candidature de la droite à la présidentielle de 2022, a préconisé "un choc d'investissement" et "la revalorisation du travail, à travers la désocialisation et la défiscalisation des heures supplémentaires.
Il y a 4 ans et 175 jours

A Pélissanne, la médiathèque dans l’arbre de Dominique Coulon

Pour un budget de 3,34M€ HT, l’agence strasbourgeoise Dominique Coulon & associés a livré en décembre 2018 la rénovation et extension de la médiathèque de Pélissanne (Bouches-du-Rhône). Un projet de 982 m² auquel il convient d’ajouter l’aménagement du parc et la revalorisation d’un passage public (3 450 m²). Communiqué. La ville de Pélissanne est une […] L’article A Pélissanne, la médiathèque dans l’arbre de Dominique Coulon est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 187 jours

ISOVER renforce son engagement pour l’économie circulaire avec ISOVER Recycling

ISOVER a créé il y a plus de 23 ans son propre centre de revalorisation de rebuts de laine de verre issus de son site industriel d’Orange. Récemment, ce centre de revalorisation a évolué pour pouvoir également traiter les déchets de laines de verre provenant des chantiers de déconstruction et de rénovation et les transformer en calcin qui est ensuite réinjecté dans le processus de fabrication de nouvelles laines de verre. Ce procédé industriel unique permet à ISOVER d’avoir une part importante de matière recyclée dans ses produits, qui s’élève a minima à 40 % et peut atteindre jusqu’à 80 % dans certaines usines. La marque travaille très activement à augmenter la part de matériaux recyclés dans ses produits, avec l’objectif de la faire passer de 40 % en 2020 à 80 % à l’horizon 2030. La laine de verre issue de la déconstruction des bâtiments représente 75 000 t/an. Ce tonnage équivaut à des volumes très conséquents qui finissent, dans la plupart des cas enfouis sous terre. Avec la rénovation des bâtiments des années 70 et 80, on estime que la quantité de déchets de laine de verre va doubler d’ici 2030. Dans ce contexte, ISOVER a lancé son service de collecte et de recyclage, ISOVER Recycling dont l’objectif est d’éviter les enfouissements de laine de verre et favoriser leur recyclage. Cette démarche d’éco-conception est l’un des piliers de la politique engagée par ISOVER afin de réduire les déchets et de préserver les ressources naturelles. Développé avec des partenariats entre la marque et différents professionnels du secteur du recyclage (collecteurs, syndicats) et des entreprises de curage, ISOVER Recycling s’adresse autant aux marchés diffus qu’aux grands chantiers de rénovation. La démarche répond par anticipation aux enjeux de collecte des déchets de la laine de verre qui représentera plus de 150 000 tonnes par an à l’horizon 2030. Un gisement qui pourrait encore augmenter avec le plan de rénovation énergétique des bâtiments.
Il y a 4 ans et 198 jours

Bulldozair lève 4 millions d'euros pour démocratiser sa solution de collaboration digitale dans le BTP

Bulldozair propose une solution de suivi de chantier qui permet à tous les corps de métiers d'un projet de construction de se connecter : ingénieurs, conducteurs de travaux, mais aussi architectes, bureaux d'études et maîtrise d'ouvrage. Concrètement, les équipes sur le chantier ont accès à toute l'information liée au projet, peuvent gérer avec simplicité tâches, plans, planning, collecter la donnée et émettre des rapports automatisés directement depuis leurs smartphones. En parallèle, le management - grâce à la centralisation et l'analyse de ces informations par Bulldozair - est alerté sur les risques et les retards, et facilité dans sa prise de décision. A la clé, la revalorisation des métiers présents sur les chantiers, et l'amélioration significative de la gestion des projets, pour un gain de productivité de 25%.« PRO BTP est heureux de s'associer via PRO BTP Innovation à la levée de fonds de Bulldozair: "Nous sommes fiers d'accompagner cette solution de digitalisation du suivi des chantiers qui sert l'ensemble de la profession, de la TPE au grand groupe international. Ce faisant, PRO BTP montre encore une fois son attachement au service d'une profession et sa capacité à accompagner les innovations majeures de ce secteur. » Hervé Naerhuysen, Directeur Général de PRO BTP et Président de PRO BTP InnovationDes fondations solides pour s'attaquer au marché des petites entreprises... Forte de la transversalité de son modèle, la startup a rapidement séduit les donneurs d'ordres d'industries hétéroclites dont le potentiel de développement reste soutenu à l'instar de Carrefour, RATP, CHANEL, TOTAL, EDF, EIFFAGE APRR ou encore Bouygues Immobilier. Selon l'industrie et ses besoins, la plateforme est déployée pour la gestion de projet (comptes rendus, planning, process, collaboration documentaire) et le pilotage des chantiers (gestion des tâches, qualité, conformité, formulaires), ou encore l'audit de sites de production et opérations de maintenance.Avec ce nouveau tour de table, Bulldozair s'attaque au segment des petites et moyennes entreprises, avec pour objectif de tripler le nombre de ses clients d'ici 2 ans. Simple, universelle et collaborative, la solution de Bulldozair est aussi conçue pour accompagner la digitalisation des quelques 40 millions de PME des divers métiers du BTP à travers le monde.Nous avons été séduits par la vision transformative de Bulldozair qui arme les entreprises du secteur pour relever les défis opérationnels et financiers actuels et futurs et oeuvre en faveur de la collaboration de terrain et de la valorisation de ses métiers. Bulldozair est donc en totale adéquation avec les entreprises Proptech accompagnées et financées par Anaxago.” affirme Alexandre Heraud Investment Director chez Anaxago.… et lancer un chantier technologique ambitieux. Bulldozair double ses effectifs R&D et renforce son offre produit pour accélérer son avance technologique et étendre l'usage de la plateforme vers un outils de pilotage de projet de construction à 360°. Une accélération qui repose sur 3 piliers : Amélioration en continu de la simplicité d'usage et de l'ergonomie de la plateforme, en collaboration avec des utilisateurs sur le terrain et au bureau (chef de chantier, responsable travaux, managers...). Développement de nouveaux modules en self-service et d'intégrations étendues pour une expérience client optimisée, en fonction des besoins. Lancement d'une offre conçue pour les petites équipes.« Avec cette levée nous allons renforcer une équipe produit déjà sénior pour développer les fonctionnalités complémentaires demandées par des utilisateurs chez qui nous voyons une très grosse adoption. Notre plateforme sera encore plus simple, plus modulable et plus ouverte. Nous construisons un outil de pilotage à 360° des projets de construction utilisable par toute la chaîne de valeur et sur toute la durée d'un projet. »Maxence Lerigner, CTO et co-fondateur de BulldozairBulldozair, l'architecte d'une nouvelle approche de la collaboration dans le BTPEn outre, la solution mobile-native de Bulldozair dessine une nouvelle approche de la collaboration dans le BTP et permet à ses métiers - héritiers d'un savoir-faire traditionnel transmis oralement - de prendre le virage du numérique. Fer de lance de la Proptech, Bulldozair remplace les archaïques carnets de notes, rapports papier et aller-retours inutiles par des outils technologiques, au service de l'humain et de son savoir-faire, compatibles avec le travail de terrain.« La crise de la covid-19 intervient après plusieurs années de marges faibles, de productivité en baisse, et de difficultés à recruter dans le secteur de l'immobilier et de la construction. L'industrie est enjointe à se transformer. Pour cela il est nécessaire de porter un coup de marteau à la conception traditionnelle de son organisation. C'est précisément la mission de Bulldozair. »« Cette levée de 4 millions va nous permettre d'accélérer dans cette voie, tant d'un point de vue commercial que technologique »Ali El Hariri, CEO et co-fondateur de Bulldozair
Il y a 4 ans et 201 jours

Nouvelles dates pour Équipbaie-Métalexpo en 2021 et le Mondial du Bâtiment en 2022

BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMACe retour à Paris et ce nouveau calendrier biennal, en année paire, s'accompagnent d'une profonde transformation de l'évènement, avec un concept d'exposition totalement repensé et une offre digitale enrichie.Le vœu des professionnels exaucéGrâce à un travail en collaboration avec Viparis, propriétaire de Paris Expo Porte de Versailles, les organisateurs du Mondial du Bâtiment ont pu saisir l'opportunité de revenir sur le site historique des salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA. Ce retour permet de répondre aux souhaits des professionnels du Bâtiment, de la Construction et de l'Architecture d'un évènement plus convivial et à proximité du centre de Paris et de son offre de tourisme d'affaires.Parmi les conditions pour ce retour à Paris Expo Porte de Versailles, figurait une modification de la date de l'évènement. L'édition 2021 est ainsi reportée à l'automne 2022, ce qui devrait également minimiser les risques de décalages successifs en cas de prolongation de la pandémie actuelle, et faciliter la présence des exposants et visiteurs internationaux. Les trois salons se tiendront dorénavant tous les deux ans au mois d'octobre en année paire, en alternance avec ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO, les années impaires.Un évènement plus efficace et plus sobreEn 2022, les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA occuperont les espaces du Hall 1 au Hall 6, représentant une surface d'exposition de plus de 136 000 m². Cette surface étant inférieure à celle disponible au Parc de Paris Nord Villepinte, ce retour s'accompagnera par conséquent d'un chantier d'aménagement de l'offre et de la logistique de l'évènement.Ainsi, les exposants se verront proposer une nouvelle offre d'exposition, organisée autour de modules standards et de tailles de stand limitées. De plus, un projet logistique d'envergure aura pour objectif de réduire les temps de montage/démontage et de fluidifier les flux autour de la Porte de Versailles.Cette refonte de l'offre et de la logistique évènementielle apportera de multiples avantages aux exposants : choix de l'emplacement dès l'inscription, augmentation significative du retour sur investissement (ROI) par une réduction des coûts d'exposition et du passage à 4 jours pour tous les salons.L'autre enjeu est celui de l'évènement lui-même qui va devenir plus sobre et s'inscrire dans une démarche RSE, dans le cadre de la feuille de route que s'est donné Reed Expositions France. Le Mondial du Bâtiment sera le premier grand salon du secteur à mettre en œuvre une politique et des actions d'envergure pour la réduction de ses impacts : réduction et revalorisation des déchets, politique d'achats responsables, écoconception, restauration responsable….Une offre digitale de rupture « 365 jours/365 jours »Pour développer la visibilité des exposants entre deux éditions du Mondial du Bâtiment et leur permettre de préparer une rencontre conviviale et qualitative pendant les 4 jours de salon physique, les organisateurs de BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA ont également conçu une offre nouvelle d'outils digitaux. Elle a pour ambition d'augmenter le nombre de contacts et la notoriété des marques des exposants sur une période élargie : la mise en relation et la visibilité, cœur de métier des salons, sont maintenant étendues entre deux éditions grâce au digital.Disponible dès la signature de participation au salon physique, cette offre en rupture avec les pratiques du métier s'articule autour d'un mix de solutions digitales : des contenus multiformes disponibles sur les blogs - livres blancs, articles, nouveautés produits… - des tables rondes en live et en replay, des émissions et podcasts sur Batiradio, des moments interactifs avec des webinars et des conversations en ligne.Bien plus qu'un simple come-back à la Porte de Versailles, c'est la fédération du plus grand nombre d'acteurs du bâtiment que nous promettent la réinvention de l'évènement et son dispositif digital. Rendez-vous début 2021 pour la feuille de route détaillée !Pour Guillaume Loizeaud, Directeur de BATIMAT : « Quel plaisir et quelle belle perspective de pouvoir écrire avec la filière cette nouvelle histoire ! Le retour de BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA à Paris en 2022 s'annonce comme un grand moment de convivialité pour tous les professionnels. Complètement repensé sur le format d'exposition, en phase avec les grands enjeux, augmenté dans le temps grâce au digital, le Mondial du Bâtiment réunira le meilleur du salon et du virtuel. »Pour Yves Danielou, Président de l'Afisb : « L'Afisb, ses adhérents et tous les acteurs de la salle de bains ne peuvent que s'enthousiasmer à l'idée du futur Mondial du Bâtiment. Les conditions sont réunies pour en faire un vrai succès. Nous ressentons tous le besoin de moments de convivialité dans notre travail et nos relations professionnelles et Paris expo Porte de Versailles, en grande partie rénovée, les offre dorénavant aux visiteurs comme aux exposants. Ré enchanter ce grand rendez-vous du bâtiment suppose un véritable travail de renouvellement que le nouveau calendrier va permettre de mener. A la demande de nombreux exposants, nous allons ainsi améliorer l'offre commerciale, pour atteindre un meilleur coût/contact. »Pour François Frisquet, Président d'Uniclima : « Notre Profession se réjouit de cette nouvelle dimension que prendra la prochaine édition d'INTERCLIMA en 2022 avec un retour au cœur de Paris, en collaboration avec nos partenaires du Mondial : BATIMAT et IDÉOBAIN. Nous donnons donc rendezvous à tous les acteurs du confort et de l'efficacité énergétique pour découvrir le dynamisme croissant de notre filière. »ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPOFruit du dialogue constant avec les 6 syndicats partenaires (Groupement ACTIBAIE, FFPV, SNFA, UFME, UMB et Union des Métalliers), cette date a été choisie collectivement afin de répondre plus que jamais à l'objectif d'être le rendez-vous incontournable des professionnels de la menuiserie et de la métallerie. Elle en fera également le 1er salon de la reprise pour le secteur de la menuiserie.De nouvelles dates et une ambition renforcéePrévu en novembre 2020, le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO a été reporté en raison de la pandémie de la COVID-19 et de ses conséquences sur l'activité économique à la fois des fabricants, des installateurs menuisiers et des métalliers. Il sera désormais programmé en octobre tous les deux ans, les années impaires, en alternance avec le Mondial du Bâtiment, déplacé en octobre les années paires.Initialement placée sous la thématique de « La révolution positive du digital », la prochaine édition d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO (du 21 au 24 septembre 2021) sera d'autant plus tournée vers l'avenir qu'elle incarnera la digitalisation du secteur en proposant aux visiteurs une expérience unique et inédite sur le salon et une offre digitale renforcée.Une plateforme digitale en amont du salonLes organisateurs du salon créent ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO DIGITAL, une plateforme d'information et d'échanges lancée dès novembre 2020. Accessible en continu, rythmée par des rendez-vous mensuels, elle a pour objectif de fidéliser et d'amener la communauté des menuisiers et métalliers à se retrouver sur le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO en septembre 2021. Elle propose aux professionnels, en avant-première et en digital, de découvrir des vidéos de démonstration produits, des vidéos d'experts, des nouveaux produits et services, et des webinars proposés par les exposants du salon, dont une trentaine sont d'ores et déjà engagés sur ce nouvel outil. Autre initiative digitale, les exposants du salon sont également présents dans le tout nouvel annuaire des fournisseurs du Blog, qui vient compléter le site internet du salon.Guillaume Loizeaud commente ce choix : « Nous remercions les exposants d'ÉQUIPBAIEMÉTALEXPO qui nous ont montré leur confiance en nous suivant pendant cette période de réflexion. La rentrée de septembre 2021 devrait voir la filière rassérénée par les effets positifs du plan de relance et prête à se retrouver sur son salon. »Pour Bruno Léger, président du SNFA : « Nous sommes très reconnaissants envers Reed d'avoir négocié pied à pied pour obtenir ce magnifique résultat : le retour de BATIMAT à la porte de Versailles, les années paires, qui permet à ÉQUIPBAIE de se tenir dès l'année prochaine. ÉQUIPBAIE 2021 sera la première occasion pour toute notre profession de se retrouver autour de nos innovations. Je remercie tous nos adhérents exposants d'avoir été patients et de nous avoir fait confiance ».Pour Bruno Cadudal, Président de l'UFME : « Après des mois de crise sanitaire Covid-19, je suis heureux d'annoncer une bonne nouvelle à la profession conjointement avec mes partenaires du Pôle Fenêtre et les équipes de Reed Expo. La confirmation des nouvelles dates de la prochaine édition du salon d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO montre que notre filière, consciente de vivre dans un monde « d'après » Coronavirus, reste optimiste et dynamique afin que la reprise de nos activités soit durable. Les professionnels représentés au sein de l'UFME seront nombreux à se mobiliser pour le 1er salon de la menuiserie. »Pour Franck Perraud, Président de l'Union des Métalliers : « MÉTALEXPO est un des événements majeurs de la métallerie. Maintenir des liens forts avec nos partenaires et nos fournisseurs est essentiel en cette période incertaine. Je me réjouis que toute la famille de la métallerie puisse se retrouver en septembre 2021 »