Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Acpresse Béton

(3871 résultats)
Il y a 2 ans et 84 jours

Volvo Trucks France poursuit ses promotions “Iron Women”

Volvo Trucks France et Ras Intérim ont lancé le programme “Iron Women – Agir au Féminin”. Huit femmes ont été formées au métier de conductrice de poids lourds.
Il y a 2 ans et 85 jours

Léon Grosse, actionnaire majoritaire de Techniwood

Léon Grosse annonce une prise de participation majoritaire au capital de Techniwood, acteur clef de la construction hors site en bois.
Il y a 2 ans et 85 jours

Eqiom incorpore des sédiments fluviaux dans le ciment

Grâce à son projet industriel Sedicim, Eqiom valorise les sédiments fluviaux dans le ciment. Une démarche originale qui a attiré la curiosité du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires.
Il y a 2 ans et 85 jours

Afocert fait signer sa charte par le secteur du BTP

Afocert, l’association française des organismes de certification des produits de construction, a mis en place une charte de qualité construction.
Il y a 2 ans et 85 jours

Saint-Gobain agit pour la santé de ses équipes

Saint-Gobain renforce le pilier “Prévention” de sa politique de santé. Le groupe lance #jeprendssoindemoi, son programme national de sensibilisation.
Il y a 2 ans et 85 jours

Décès de l’architecte engagé Roland Castro

Figure de Mai 68 et connu pour son engagement à gauche, l’architecte Roland Castro s’en est allé à l’âge de 82 ans.
Il y a 2 ans et 90 jours

FUSIOVRAC de Cem’In’Eu, ciment à empreinte carbone réduite

Cem'In'Eu lance FUSIOVRAC, un ciment à empreinte carbone réduite de 30 % par rapport à un ciment Portland pour tous vos chantiers.
Il y a 2 ans et 91 jours

BME France, nouvel actionnaire de Valobat

Valobat accroît son capital avec l’entrée d’un nouvel actionnaire distributeur : Building Materials Europe (BME) France.
Il y a 2 ans et 91 jours

Mesdames, rejoignez le secteur du ciment et du béton

La GCCA, dont les entreprises-membres opèrent dans le monde entier, mène une campagne de communication pour encourager davantage les femmes à rejoindre le secteur.
Il y a 2 ans et 91 jours

Trois nominations chez Xella France

Xella consolide son équipe commerciale avec les nominations de Grégory Gnidach, d’Ingrid Quantin et d’Arnaud Porte.
Il y a 2 ans et 92 jours

Les femmes combattantes du béton

Pour marquer la Journée internationale des droits des femmes, Béton[s] le Magazine donne la parole aux “combattantes du béton”. Des vidéos à découvrir tout au long du printemps.
Il y a 2 ans et 92 jours

Conexpo-Con/Agg

CONEXPO-CON/AGG est le plus grand salon professionnel de la construction, dédié aux machines, travaux, produits et services de construction. Le salon présente différentes catégories de produits pour les secteurs de l'asphalte, du béton, des matériaux de construction, des composants d'équipement, des engins et véhicules de chantier, ainsi que des solutions de transport, de bâtiment et de génie civil.
Il y a 2 ans et 94 jours

Brevet chinois pour Hoffmann Green Cement

Hoffmann Green Cement vient d’annoncer la délivrance d'un brevet chinois pour son ciment 0 % clinker H-Eva.
Il y a 2 ans et 98 jours

Julien Antoine, Dg de bouygues Bâtiment IDF-HS

Julien Antoine a été nommé directeur général chez Bouygues Bâtiment Ile-de-France – Habitat Social. [©Bouygues] Julien Antoine devient le nouveau directeur général de Bouygues Bâtiment Ile-de-France – Habitat Social, acteur majeur du logement social en Ile-de-France depuis plus de 60 ans. Il rejoint l’équipe de Thierry Fisarol, directeur général délégué de Bouygues Bâtiment Ile-de-France, et Philippe Jouy, directeur général de Bouygues Bâtiment France. « Depuis mon arrivée, j’ai pu apprécier au quotidien le formidable état d’esprit des plus de 1 000 collaborateurs qui composent les équipes d’Habitat Social ! Une attitude cruciale pour poursuivre nos engagements à construire, rénover, entretenir… de façon durable. Tout en préservant le climat et la biodiversité, ingrédients indispensables à l’harmonie de demain. La haute satisfaction de nos clients et de nos partenaires restera évidemment le fil rouge de notre action au quotidien ! » Un parcours au sein de Bouygues Bâtiment Nord-Est Diplômé de l’Institut national des sciences appliquées (Insa) de Strasbourg, en 2004, Julien Antoine a débuté sa carrière au sein du groupe Bouygues. Ceci, en tant qu’ingénieur travaux sur la région Grand-Est. Puis, a gravi les échelons. En 2015, il a été nommé responsable commercial. Et en 2017, il a été directeur régional Alsace – Bourgogne – Franche-Comté. Puis, son périmètre s’est étendu au Grand Est et au Luxembourg.  Lire aussi : Avec Bouygues Bâtiment Ile-de-France, Anne est au 7e ciel ! Julien Antoine a travaillé 18 ans avec l’équipe de Bouygues Bâtiment Nord-Est, afin de renforcer l’ancrage régional par des mesures et des engagements d’intégration partenariats sociaux. Une expérience acquise sur plusieurs projets au service de clients publics et privés. En particulier, les chantiers emblématiques comme le Grand Nancy Thermal, les Black Swans à Strasbourg, la tour Sigma à Dijon et le Parlement européen… Un savoir-faire précis, des innovations et des approches concrètes lui ont permis de contribuer à mener à bien ces projets diversifiés et attractifs pour le territoire. Autant d’opérations en faveur de la biodiversité et de l’économie circulaire. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 99 jours

Atlas et la Fiiac soutiennent l’économie de la construction

Le ministère du Travail, du Plein-Emploi et de l’Insertion s’engage avec la filière économie de la construction, en signant un Edec avec la Fiiac et Atlas. [©Atlas] Le ministère du Travail, du Plein-Emploi et de l’Insertion s’engage pour l’attractivité de la filière “économie de la construction”. Avec la Filière ingénierie de l’immobilier, l’aménagement de la construction (Fiiac) et Atlas, l’opérateur de compétences des services financiers et du conseil, il a signé un Engagement de développement de l’emploi et des compétences (Edec) des économistes de la construction. Celui-ci a pour objectif de répondre aux besoins importants de recrutement dans la filière. D’ici 2030, quelque 3 000 postes seront à pourvoir. Dès aujourd’hui, la filière cherche à recruter 1 300 personnes. Lire aussi : Economie : Quand la reprise se heurte à la crise des matières premières En effet, les professions de la filière sont directement concernées par les mutations environnementales et technologiques. Les nouveaux procédés accélèrent le besoin de recruter pour les 400 entreprises de la filière, qui emploie déjà 16 500 salariés. Il était important pour Atlas de s’engager avec l’Etat, comme l’explique Solange Chappelart, directrice branches et partenariat. « Nous travaillons au quotidien avec la branche des économistes et des géomètres pour répondre au mieux à ses besoins et à ses ambitions. Atlas s’engage aux côtés de l’Etat pour anticiper les mutations des métiers et les défis liés aux transitions numérique et écologique. »   Objectif ? Répondre aux enjeux du secteur à l’horizon 2030. L’objectif de cet Edec est de répondre aux problématiques que va rencontrer la filière d’ici 2030. Cela passe par l’accompagnement des entreprises dans la diversification de leur mode de recrutement. « Au regard des mutations de la branche, il est indispensable de mettre en place des actions concrètes pour favoriser l’attractivité des métiers, notamment auprès des jeunes. Certifications, expérimentations et formations innovantes sont autant de solutions à déployer pour permettre l’emploi durable des salariés », précisent Philippe Gronnier et Yves Sarrat, co-présidents de la Commission paritaire nationale de l’emploi et de la formation professionnelle de la Fiiac. Le montant global de ce projet s’élève à 380 000 €, avec un soutien de l’Etat à hauteur de 33 %. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 99 jours

Le site Internet de Rector fait peau neuve

Plus intuitif est doté de nouvelles rubriques, le nouveau site internet de Rector est conçu pour réduire son empreinte carbone. [©DR] L’environnement réglementaire et les exigences des acteurs de la construction évoluent sans cesse. Par conséquent, Rector a procédé à la refonte de son site Internet, afin de guider au mieux les professionnels du BTP dans leur choix de systèmes constructifs. Ainsi, dès la page d’accueil, la recherche de solutions est classée par thématique : RE 2020, bas carbone, thermique, acoustique … Pour chacune d’elles, le spécialiste de la préfabrication béton présente à la suite ses systèmes et produits adaptés. De plus, le nouveau site Internet de Rector propose une recherche par type de projets. Résidentiel neuf, non résidentiel neuf et rénovation sont mis en avant pour orienter plus facilement les visiteurs en fonction de leur besoin. Lire aussi : Rector Lesage obtient le label engagé Afnor RSE Une démarche environnementale  En plus d’être un véritable outil de présentation de l’offre globale de la marque, le site bénéficie d’une nouvelle rubrique “RSE”. Engagé dans cette démarche depuis 2 ans, le groupe présente ses innovations bas carbone, ainsi que l’obtention du label RSE. Son niveau confirmé par l’Afnor fait de Rector le premier industriel du béton à être distingué. Le nouveau site Internet a été repensé pour réduire son empreinte carbone par rapport à l’ancienne version. En effet, le choix de l’hébergeur actuel utilise, aujourd’hui, 78 % des énergies renouvelables. Un objectif qui va passer à 100 % en 2025. Afin d’alléger son site, Rector a aussi hébergé toutes les vidéos sur YouTube. Le tout offre une navigation rapide performante et en phase avec les ambitions de l’entreprise. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 99 jours

Hoffmann Green Cement s’associe avec Belin Promotion

Les équipes de Hoffmann Green et de Belin Promotion lors de la signature du contrat. [©Hoffmann Green Cement Technologies] L’industriel Hoffmann Green Cement Technologies (HGCT) s’associe avec Belin Promotion, promoteur immobilier basé dans le Sud de la France. Et surtout spécialiste de l’aménagement urbain et du développement de centres commerciaux. Pendant 3 ans, Hoffmann Green lui fournira ses ciments décarbonés sans clinker. Ces derniers permettront la formulation de bétons pour la réalisation de logements collectifs et tertiaires à Toulouse, Bayonne ou encore Bordeaux. Ces ouvrages seront durables et respectueux de l’environnement, pour le bien-être des futurs résidents. Lire aussi : Partenariat entre Hoffmann Green Cement et le Belge Eloy « Ce contrat de 3 ans permet de renforcer notre carnet de commandes. Aussi, nous pouvons étendre notre empreinte commerciale au Sud-Ouest de la France » explique, Julien Blanchard, co-fondateur de Hoffmann Green Cement Technologies. Et Paul Henri Belin, président de Belin Promotion, de se réjouir de ce partenariat : « L’utilisation du ciment Hoffmann Green nous permettra de réduire drastiquement l’empreinte carbone de nos programmes immobiliers. Ce contrat renforce notre raison d’être, qui est de concevoir des résidences toujours plus respectueuses des générations futures et en harmonie avec l’environnement ». Hoffmann Green, expert du liant décarboné Fondé en 2014, l’industriel Hoffmann Green Cement Technologies, basé à Bournezeau en Vendée, est un expert du liant bas carbone. L’empreinte carbone de ses solutions est 6 fois inférieure à celle de ciments traditionnels. Avec un site de production 4.0, alimenté par un parc de trackers solaires, l’industriel produit son ciment à froid, avec 0 % de clinker et en limitant sa consommation énergétique. « Nous nous réjouissons d’avance de suivre les programmes immobiliers 0 % clinker de Belin Promotion, entreprise familiale avec qui nous partageons la volonté de minimiser l’impact environnemental du secteur de la construction », conclut David Hoffmann, co-fondateur de HGCT. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 100 jours

FFB : Lancement d’un observatoire des prix

Olivier Salleron, président de la FFB, se réjouit du lancement d’un Observatoire des prix des matériaux de construction. [©ACPresse] C’est officiel ! Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, a confirmé le déploiement d’un Observatoire des prix des matériaux de construction. « Dans un contexte de forte volatilité des prix, les entreprises du BTP sont légitimement préoccupées par l’évolution des coûts », a stipulé le ministre. Un signal d’alerte, lancé lors du comité de crise du BTP de la Médiation des entreprises et lors des Assises du BTP, qui porte ses fruits.   Lire aussi : FFB : Alerte générale sur le logement neuf Une nouvelle réjouissante pour la FFB.  « Les crises à répétition ont fragilisé les artisans et entrepreneurs du bâtiment, précise Olivier Salleron, président de la FFB. Il est maintenant indispensable que toute la filière prenne sa part de l’effort, afin d’assurer sa survie. L’outil dévoilé par Bruno Le Maire, qui permettra de mieux anticiper les évolutions de coût de construction, arrive donc à point nommé. » Une meilleure visibilité sur les prix Placé sous l’égide de l’Insee, cet outil d’analyse des coûts de production des matériaux de construction sera essentiel. Il permettra aux entreprises d’établir leur devis en connaissance de cause et à leurs clients d’avoir une meilleure visibilité sur les prix finaux. Cependant, la FFB rappelle que la pleine réussite du dispositif implique la participation de l’amont de la filière, industriels et distributeurs. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 100 jours

Immobilier neuf : La Normandie, n° 1 des recherches

Située dans le Gard, Uzès se classe n° 1 du Top 20 des villes les plus recherchées pour investir dans un logement. [©ACPresse] A l’heure à la crise du logement neuf, constat alarmant invoqué par la FFB, Valorissimo vient de réaliser une étude autour des tendances du marché de l’immobilier. Expert de l’habitat neuf, il met en relation promoteurs et prescripteurs à travers sa place de marché B2B. Ainsi, en termes de recherches de biens, l’année 2022 a été marquée par l’émergence de certaines régions. Et c’est en Normandie que la variation a été́ la plus importante, à + 66,8 % entre les semestres 1 et 2, en termes de recherches de biens neufs. Deuxième région sur ce podium, le Centre – Val de Loire, avec une augmentation de + 61,7 %. La Bretagne achève ce classement avec une variation de + 17,7 %. Quant aux zones qui connaissent historiquement les plus fortes recherches, elles restent ou connaissent une diminution : Ile-de-France (+ 6,66 %), Auvergne – Rhône-Alpes (- 5,49 %) et Provence – Alpes – Côte d’Azur (- 22,8 %). Lire aussi : Logements neufs : Une crise historique pour la FFB « Nous observons l’émergence de régions, telles que la Normandie, le Grand Est ou encore le Centre – Val de Loire, confirme Emma Leca, directrice générale de Valorissimo. Les investisseurs plébiscitent ces zones, en particulier pour leurs prix accessibles, autour de 200 000 € [pour un logement neuf moyen] et un potentiel de rendement intéressant. Cette tendance est liée au contexte actuel, avec une capacité de financement inférieure à celle de 2021. Nous pensons que cette tendance se poursuivra en 2023. » Si l’on prend les villes les plus attractives pour les investisseurs, Thonon-les-Bains (74) affiche 16 934 recherches en 2022. Elle est suivie par Cergy (95) et ses 10 335 recherches, et Bussy-Saint-Georges (77) avec 10 282 recherches. Uzès, ville la plus recherchée Valorissimo s’est ensuite intéressé à la variation du volume de recherches par ville, afin d’en ressortir un Top 20 [des villes ayant au moins 1 000 recherches par semestre]. La palme revient à Uzès (30), avec une augmentation de +168,8 % ! « Cette ville du Gard bénéficie d’une position géographique avantageuse, à 25 km de Nîmes, 40 km d’Avignon ou encore 80 km de Montpellier, détaille Emma Leca. Elle est intéressante pour investir dans une résidence secondaire. Et figure parmi les plus beaux villages de France… » Lire aussi : Les Français, leur logement et la rénovation énergétique Arrive en seconde position de ce classement, Honfleur, dans le Calvados (+ 88,9 %). Elle devance Narbonne (+ 74,7 %), ville située dans l’Aude. Les trois dernières villes du ce Top 20 sont Reims (51) à + 3,7 %, Strasbourg (67), à + 3,4 %) et, enfin, La Roche-sur-Yon (85) à + 2,05 % de hausse des recherches. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 100 jours

Saint-Gobain : 2022, année de tous les records

Benoit Bazin, directeur général de Saint-Gobain. [©Saint-Gobain] Le groupe Saint-Gobain peut avoir le sourire. Pour lui, l’année 2022 est celle de tous les records. D’abord, son chiffre d’affaires bondit de 15,9 %, passant de 44,2 à 51,2 Md€. Son Ebitda grimpe de 14,9 %… Quant à son résultat net courant, il passe de 2,82 à 3,34 Md€, soit une hausse de 18,5 %. « Dans un environnement géopolitique, énergétique et macro-économique perturbé en 2022, le groupe Saint-Gobain a su, une nouvelle fois, dégager des résultats records. Au cours des quatre dernières années de transformation, il a été optimisé en profondeur. Un tiers périmètre a changé et plus de 60 % de nos résultats sont désormais réalisés en Amérique du Nord et dans les pays émergents », explique Benoit Bazin, directeur général de Saint-Gobain. Et de poursuivre : « Je suis confiant que 2023 sera une bonne année pour Saint-Gobain […]. Ceci, en nous appuyant sur la force de notre modèle opérationnel, dans un contexte de ralentissement de la construction neuve. Mais d’une bonne résilience de la rénovation. Dans ce contexte, nous visons en 2023 une marge d’exploitation comprise entre 9 % et 11 %. En ligne avec les objectifs de notre plan “Grow & Impact” que nous avons définis pour la période 2021-2025 ». La chimie de la construction fait des étincelles ! Ainsi, s’inscrivant dans ce plan, les années 2021 et 2022 marquent une accélération des résultats. Les solutions durables représentent près de 75 % des ventes du groupe, en forte croissance interne de + 10 % en moyenne annuelle. En parallèle, Saint-Gobain devient un leader mondial dans la chimie de la construction, avec 5,3 Md€ de chiffre d’affaires annuel. Ceci, grâce à une forte dynamique interne et à ses acquisitions récentes. Dans le détail, on retrouve Chryso, GCP Applied Technologies, Brasprefer et Matchem au Brésil, Urumix en Uruguay, Impac au Mexique, IDP Chemicals en Egypte, Choksey Chemicals en Inde et Best Crete en Malaisie. En aparté, Urumix constitue la première implantation de Saint-Gobain en Uruguay. Enfin, le résultat d’exploitation du groupe (5,34 Md€, à + 66 % vs 2021) est désormais bien équilibré entre les trois zones géographiques : 30 % en Amérique du Nord, 32 % en Asie & pays émergents et 38 % en Europe occidentale. Lire aussi : Chryso : Au cœur de la stratégie de Saint-Gobain Plus en détail côté “chimie de la construction”, l’intégration des nouveaux entrants se déroule bien. L’ensemble des synergies est validé ou en cours d’exécution. Dans ce cadre, GCP projette un Ebitda de 170 M$ (160 M€) en 2023, sa première année pleine au sein de Saint-Gobain. Quant à Chryso, il voit une croissance de + 20 % de son chiffre d’affaires, avec maintien de ses marges et l’ouverture d’une 5e usine d’adjuvants en Inde. Siège de Saint-Gobain, à La Défense, près de Paris. [©Gilles Trillard/Saint-Gobain] Une belle économie de CO2 Une excellente tendance de ventes et de résultats tirée aussi par la décarbonation du secteur de la construction. Saint-Gobain a d’ailleurs apporté sa pierre à l’édifice, évitant l’émission d’environ 1,3 Md de t de CO2 durant la vie des solutions vendues sur une année. Et de réussir trois premières mondiales. Tout d’abord, une production zéro carbone de vitrage en France. Idem dans le domaine de la plaque de plâtre en Suède. Enfin, une production très bas carbone (- 93 %) dans la production de laine de verre en Finlande. De quoi entrevoir de belles perspectives pour 2023. Dans un environnement géopolitique et macro-économique incertain, le groupe devrait continuer de surperformer ses marchés. Ceci, grâce à la pertinence de son positionnement stratégique au cœur des enjeux énergétiques et de décarbonation. Durant l’année qui vient, l’attention de Saint-Gobain sera focalisée sur la consolidation de son très bon niveau de performance opérationnelle. Toutefois, il anticipe un ralentissement modéré́ de ses marchés, avec une situation contrastée. Entre baisse de la construction neuve sur certaines zones géographiques et bonne résilience globale de la rénovation. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 100 jours

Rep : Ecominéro ouvre la contractualisation

Le déploiement de la Rep continue et les opérateurs de déchets vont pouvoir contractualiser, avec l’éco-organisme Ecominéro, dès le 1er mars.[©Ecominéro] La nouvelle filière du recyclage des déchets prévue le 1er janvier 2023 a été repoussée de cinq mois, pour un démarrage effectif au 1 er mai. Le déploiement de la Rep continue et les opérateurs de déchets vont pouvoir contractualiser, avec l’éco-organisme Ecominéro, dès le 1er mars. Ils auront jusqu’au 17 mars pour adresser leur dossier complet en vue d’obtenir son soutien financier. L’éco-organisme de la filière minérale précise que les dossiers réceptionnés après le 17 mars ne sont pas assurés de bénéficier du soutien à partir du 1er mai, en raison des procédures nécessaires à la vérification de leur conformité. Ceux-ci seront repoussés au 1er juin. « Je remercie les producteurs qui ont massivement adhéré́ à Ecominéro. Plus de 1 300 entreprises nous font confiance. Je précise, à l’intention des entreprises qui n’ont pas encore adhéré́, qu’il n’est pas trop tard ! Elles peuvent encore le faire, afin de se mettre en conformité́ au plus tôt. Avec Ecominéro, elles ont la garantie que leur éco-contribution servira à financer un large réseau de déchetteries et de plates-formes de recyclage », explique François Demeure dit Latte, directeur général d’Ecominéro. Lire aussi : Rendez-vous Ecominéro : Ouvrez vos agendas ! Ecominéro propose un accompagnement sur mesure L’objectif d’Ecominéro est de constituer le premier maillage de points de reprises. Celui-ci permettra d’offrir aux entreprises et aux artisans une solution simple et de proximité pour collecter et recycler les déchets inertes du bâtiment. « Nous comptons sur l’engagement de tous les opérateurs de déchets inertes pour intégrer notre réseau de collecte au plus vite. Si leur dossier est complété avant le 17 mars, nous leur garantissons un soutien financier à compter du 1 er mai 2023 », insiste François Demeure dit Latte. Ainsi l’éco-organisme accompagne les opérateurs de déchets dans cette nouvelle étape décisive de la Rep, en organisant des webinaires. Et en mettant à disposition des professionnels de nombreux outils pédagogiques pour faciliter leur compréhension du process de contractualisation.  Les prochains webinaires auront lieu : • Mercredi 1er mars de 14 h 00 à 15 h 00 ;• Mardi 14 mars de 11 h 00 à 12 h 00 ;• Mardi 28 mars de 11 h 00 à 12 h 00. Lire aussi : Le démarrage de la filière Rep repoussé au 1er mai 2023 Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 104 jours

Carat, le liant carbo-négatif de Vicat prend de l’ampleur

Depuis octobre 2022, le ciment Carat de Vicat est utilisé dans les bétons à empreinte carbone réduite coulés sur le chantier du siège régional de Léon Grosse. [©ACPresse] Une couleur plus que surprenante pour du béton a fait son apparition sur un chantier de grande envergure à Bron (69). Une teinte noire qui s’estompe après le coulage et qui est due au premier liant carbo-négatif : Carat. Celui-ci permet de formuler des bétons avec une réduction de près de 90 % de l’empreinte carbone. Une recette concoctée par Vicat qui expérimente, pour la première fois, ses performances à grande échelle, sur le chantier de construction du siège régional de  Léon Grosse. Baptisé “8e chemin”, ce projet, mélangeant bureaux et logements, est le fruit d’une relation de confiance entre le cimentier et l’entrepreneur. Une collaboration qui a débuté en novembre 2021 et qui s’est amplifiée ces derniers mois. « Cette idée de construction a commencé en juin 2022, précise David Poulain, directeur de l’agence de Lyon de Léon Grosse. Et dès octobre 2022, nous avons pu couler les premiers bétons bas carbone Carat. » Au total, 850 m3 de béton à empreinte carbone réduite seront nécessaires sur ce chantier. Ils serviront à la création des planchers et de quelques voiles de l’édifice. Lire aussi : Vicat : Carat, un bijou carbo-négatif Un liant qui stocke durablement le carbone En ce qui concerne la composition de Carat, elle se caractérise par une diminution du taux de clinker dans le ciment. Ce clinker est substitué par un ajout du biochar, matériau biosourcé reconnu pour fixer durablement le carbone. Cette addition répond aux attentes de la RE 2020, qui encouragent à stocker le carbone biogénique dans les bâtiments. Pari réussi, Carat bénéficie d’un bilan carbone correspondant à un niveau d’émissions nettes négatif de – 15 kg éq CO2/t. Grâce à sa solution, le groupe Vicat enrichit ainsi sa gamme de bétons bas carbone Deca. De plus, le liant carbo-négatif conserve l’ensemble des propriétés et des usages d’un ciment traditionnel de type CEM II. « Expérimentation qui est couronnée de succès jusqu’à présent, déclare Laurent Legay, directeur des marchés et des offres chez Vicat. Nous avons un comportement des bétons qui est conforme aux attentes. Nous sommes satisfaits de sa performance et de sa mise en œuvre par les équipes de construction de Léon Grosse. » La collaboration technique entre Vicat et Léon grosse s’est accentuée ces derniers mois sur le chantier du “8e chemin”. [©ACPresse] A l’heure actuelle, la solution Carat n’est pas disponible sur le marché. Une fois la certification Atex obtenue, Vicat envisage sa commercialisation. « Nous sommes en cours de procédure. En attendant, nous travaillons avec des partenaires sur des opérations pour lesquelles l’assureur accepte de couvrir ces projets innovants. Après validation, nous pourrons généraliser l’utilisation de ce liant, partout en France, sur de nombreux chantiers », conclut Laurent Legay.   Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 104 jours

Liebherr : Des malaxeurs pour les bétons de demain

Grâce à la commande ultra moderne du malaxeur de laboratoire, tous les paramètres sont ajustables et peuvent être sauvegardés. [©Liebherr] « Les malaxeurs de laboratoire permettent une recherche systématique de solutions et de réduire les essais. Ils peuvent fournir des bases pour des prises de décision bien précises. Notre objectif est de permettre aux développeurs de nouvelles recettes de béton de pouvoir réaliser leurs propres essais pratiques grâce à cette technique. » Voilà ce que résume l’industriel Liebherr. Et il ne se contente donc pas de fournir des installations de malaxage, mais aide ses clients à répondre à toutes leurs problématiques concernant la technologie de malaxage. Ainsi, les “bétons du futur” peuvent être développés avec ses malaxeurs de laboratoire. Ces outils permettent des essais de malaxage à petite échelle. Mais possèdent aussi un système de commande innovant pour tous les paramétrages du malaxage. Lire aussi : Liebherr : Betomix/Mobilmix revisitée Deux types de malaxeurs Deux types de malaxeurs sont disponibles : à cuve annulaire ou à deux arbres horizontaux. Ces outils de laboratoire offrent les mêmes processus techniques que ceux utilisés pour la production de masse. Cela signifie que lors des essais de malaxage à l’échelle du laboratoire, les séquences de sollicitation et de mouvement sont réalisées à l’identique. Ces aspects ont été pris en compte dans le développement des nouveaux équipements. Le malaxeur à deux arbres horizontaux DW 0.06/100 est conçu pour le malaxage distributif. Celui à cuve annulaire RIV 0.06/100, pour les tâches de dispersion exigeantes. Et dispose d’une vitesse de rotation variable et réglable de manière séparée et indépendante de la vitesse de rotation des tourbillons. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 104 jours

Molinel : Des vêtements professionnels personnalisables 

Vêtements professionnels personnalisés signés Molinel. [©Molinel] Molinel est une entreprise spécialisée dans les vêtements personnalisés pour les hommes et les femmes.  En 2022, il réalise un chiffre d’affaires de 46 M€. Avant de rejoindre le groupe Manufactors Invest en 2023 qui est co-dirigé par Ingrid Goutagny, présidente, et Fady Perche Bassila, directeur général. Fort de son expérience, le site Molinel Lyon maîtrise toutes les étapes de la cotation au bureau d’études, en passant par l’atelier pour les prototypes, les services lancement et approvisionnement. L’industriel couvre l’ensemble des besoins en vêtements professionnels, tels que le BTP, l’industrie, la logistique, les travaux en extérieurs… Ou bien des services à la personne. Lire aussi : “Moovy” de Molinel : Le confort en couleur La fabrication spéciale Selon la typologie de clients, il existe deux pôles. Le premier se nomme “Fabrication spéciale”. Il est dédié aux distributeurs, afin de répondre à leurs besoins à 3 niveaux. 1 • La solution de customisation : une personnalisation simple uniquement sur les EPI au catalogue. Possibilité de mettre différents marquages patronymes ou des logos comme l’écusson sérigraphié, brodé ou par transfert. Le client peut aussi ajouter des bandes colorées. 2 • La solution d’adaptation : le client peut choisir auprès du distributeur les couleurs, les tissus et constructions sur les cols, les empiècements, les poignets, les poches genouillères… 3 • La solution de création : création de modèles uniques pour les entreprises via les distributeurs. Molinel propose des solutions pour le design, l’ergonomie et la protection. Les grands comptes Le deuxième pôle se nomme “Grands comptes”. Il est réservé aux entreprises industrielles, aux services et aux collectivités. L’équipe Molinel “Grands comptes” analyse les besoins et les risques, propose des styles, développe la collection… Un accompagnement sur mesure divisé en 5 étapes. 1 • Ecouter : les responsables commerciaux effectuent différents audits pour identifier tous les besoins (métiers, normes…). 2 • Imaginer : à partir des cahiers des charges, les stylistes créent des planches tendances et des croquis de modèles. 3 • Concevoir : les croquis sont transcrits avec des logiciels de conception et de dessin assistés par ordinateur. 4 • Réaliser : les experts vérifient que les modèles répondent bien aux normes métiers exigées. 5 • Distribuer : les opérations sont coordonnées en interne, selon des procédures fiables : prise de tailles, dotations, gestions des stocks. Le service logistique réalise à la demande des paquetages individuels et propose aussi une solution de recyclage, à travers son programme (Objectif 2e Vie), qui permet de revaloriser les vêtements professionnels usagers. En 2022, les deux pôles “Fabrication spéciale” et “Grands comptes” ont respectivement généré un chiffre d’affaires de 6,6 M€ (avec un peu plus de 1 M de pièces vendues) et de 9,9 M€. Soit un total de 16,5 M€ . D’ici 3 à 5 ans, l’objectif est d’atteindre les 20 M€ de chiffre d’affaires. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 105 jours

Logements neufs : Une crise historique pour la FFB

Grégory Monod est le président du Pôle habitat de la FFB. [©FFB] « Crise sévère », « rouge vif », « situation irrespirable », les mots du président du Pôle habitat de la FFB, Grégory Monod, traduisent le constat alarmant de son institution. En présentant les chiffres de la construction neuve pour 2022 et les perspectives 2023, il n’a entretenu aucun suspense : « Nous sommes face à une crise historique ». S’il y avait eu un rebond en 2021, avec une progression de la construction de maisons neuves en secteur diffus de 22,1 %. La chute n’est que plus forte en 2022, avec 96 000 unités achevées. Le recul est de 31,3 % en un an. Soit le pire exercice depuis 16 ans. Au niveau géographique, la baisse est générale. Seules les régions Paca et Corse notent des chutes inférieures à 20 %. Lire aussi : Coup de froid dans le logement neuf Le constat est à peu près similaire pour les maisons neuves du secteur groupé, qui reculent de – 22,2 %, avec 6 105 unités. Un résultat inférieur de 1 000 unités par rapport au pire résultat de ces 20 dernières années. Dans le logement collectif, les ventes fondent à 95 937, soit un recul de – 14,1 %. Ramenant à des données équivalentes à celles de 2020, en pleine crise du Covid. Du côté des annulations, 16 % des opérations ont été annulées, le plus fort taux depuis la création de ces données en 2017. D’autant plus alarmant que pour le dernier trimestre, le taux atteignait 21,6 %. Des causes multiples Les autorisations terminent l’année en progression de 3,1 %, mais le dernier trimestre montre un effondrement à – 25,5 %. Alors que les mises en chantiers affichent – 3,8 % , ces données bénéficiant encore de l’anticipation de la RE 2020. Pour 2023, la FFB s’attend à une chute des autorisations à – 21 % et les mises en chantier à – 9 %. Lire aussi : Unecp-FFB, La profession de chapiste va être reconnue à son juste statut La Fédération attribue ces résultats à une inflation réglementaire, conjuguée à une inflation conjoncturelle. Ainsi la suppression de l’APL accessibilité, et le rabot du PTZ de 40 à 20 % et sa suppression des zones B2 et C seraient en cause. Jusque-là, les taux d’usure anormalement bas pratiqués par les banques permettaient de couvrir cette inflation. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Dans le même temps, la RE 2020 et les coûts des matériaux sont venus apporter une inflation conjoncturelle. Ainsi, si ce sont les marges qui ont été premièrement impactées, les prix de vente le sont aussi désormais. Ils ont progressé de + 13,9% entre 2020 et 2022, alors que sur la même période, les surfaces n’ont augmenté que de + 0,9 %. Un appel à un Bouclier du logement Pour répondre à cette crise, la FFB en appelle au gouvernement, en proposant la création d’un “Bouclier logement”, sur le modèle des “Boucliers énergie et tarifaires”. Pour cela, l’institution propose de prolonger le PTZ jusqu’à fin 2024. De le rétablir à 40 %, et ce, sans discrimination géographique. De rehausser de 25% le plafond des opérations prises en compte pour le calcul du montant du PTZ. Mais aussi, de lancer un crédit d’impôt de 15 % sur les premières annuités d’un emprunt pour contrebalancer les augmentations induites par l’introduction de la RE 2020. Et enfin, de restaurer le dispositif Pinel dans sa version 2022. Et de supprimer l’exclusion de la maison individuelle de celui-ci. Dans le même temps, la FFB souhaiterait la collaboration des établissements de crédit. Ce qui pourrait être favorisé par la révision mensuelle des taux d’usure. Et un assouplissement des contraintes imposées par le Haut conseil de stabilité financière (HCSF). Enfin il faudrait une mobilisation des industriels et des filières dans l’analyse de production des matériaux de construction lancée fin janvier par Bercy. Afin notamment de favoriser une plus grande anticipation des évolutions des prix des matériaux. En conclusion, Grégory Monod a insisté sur le fait que la construction neuve n’a « pas connu de crise aussi forte, sans doute depuis celle des subprimes. Les entreprises vont devoir s’adapter pour résister à la crise. Il faut donc réagir très vite et lâcher un peu la bride pour aider à l’investissement des particuliers ». Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 105 jours

Brutalisme et Modernisme en Pologne

[©Zupagrafika] Tour en forme de marteau, logements en panneaux préfabriqués, soucoupe volante cosmique, monolithes en béton brut… Ce sont quelques-unes des constructions de l’ère socialiste qui ont remodelé les paysages urbains polonais détruits pendant la Seconde Guerre mondiale. L’ouvrage bilingue (polonais et anglais) “Brutal Poland” permet d’explorer l’architecture moderniste et brutaliste érigée dans l’ancienne République populaire de Pologne. Mais aussi et surtout, de construire de manière ludique certains de ces édifices les plus emblématiques. En effet, la deuxième partie du livre contient neuf modèles réduits en papier pré-découpés et pré-pliés à assembler avec des instructions faciles à suivre. Tout ce dont vous avez besoin, c’est de la colle ! Richement illustré de photos et de textes informatifs, “Brutal Poland” fournit un aperçu précieux des bâtiments et de leur histoire. Editeur : ZupagrafikaAuteurs : David Navarro, Martyna Sobecka et Anna CymerPrix : 36 €TTC Retrouvez l’ouvrage sur le site de l’éditeur. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 106 jours

La Capeb publie un livre blanc pour jeunes et artisans

La Capeb a publié un livre blanc “Entreprises artisanales du bâtiment et génération Z, un duo gagnant”. [©Capeb] Pour la Capeb, c’est clair : il faut allier entreprises et génération Z. D’ici la fin de la décennie, cette génération, née entre 1997 et 2010, représentera un tiers de la population active. En ce sens, elle représente une véritable opportunité pour les entreprises du secteur de la construction. D’ici 2030, il y aura plus de 200 000 départs à la retraite et près de 190 000 postes à pourvoir dans la rénovation énergétique. Face à ces constats, la Capeb a publié un livre blanc intitulé “Entreprises artisanales du bâtiment et génération Z, un duo gagnant”. Elle y présente une nouvelle dynamique nécessaire à la rencontre entre ces deux partis. Pour la Capeb, génération Z et artisans du bâtiment doivent allier leurs compétences respectives. Intéresser les jeunes pour relever des défis avec toutes les générations Lire aussi : Capeb : Bilan 2022 et propositions 2023 Aujourd’hui, les jeunes ont plutôt une mauvaise image des petites entreprises artisanales du bâtiment. Ces dernières restent pourtant l’un des premiers employeurs d’apprentis. Le livre blanc de la Capeb espère rassembler ces jeunes et ces entreprises, qui ont mutuellement beaucoup de choses à s’apporter. La transition environnementale, numérique et sociétale est un enjeu majeur des années à venir. Les jeunes travailleurs ont grandi avec ces idées et technologies-là et leur approche peut compléter la vision de leurs ainés. Les artisans du bâtiment travaillent passionnément, en apportant une vraie qualité de vie au quotidien. La génération Z et les artisans du bâtiment, ce sont finalement deux âmes sœurs qui ne se sont pas encore rencontrées. Mais rien n’est encore perdu. Ensemble, ils pourront atteindre de nouveaux sommets. Pour télécharger le livre blanc, cliquez ici ! Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 106 jours

Fabemi adapte son offre de blocs béton

Le groupe Fabemi a intensifié la décarbonation de sa production. [©Fabemi Fabemi a adapté son offre de blocs béton aux exigences de la RE 2020. Ce qui en fait des systèmes constructifs parfaits pour bâtir ou rénover des bâtiments durables et respectueux de l’environnement. Au sein de la gamme de blocs isolants Fabtherm, trois sont dotés d’une âme en mousse isolante 100 % minérale. Ils sont ainsi deux à huit fois plus isolants que des blocs béton traditionnels. Ils contribuent à réduire l’empreinte carbone des bâtiments de l’ordre de 4 à 8 % par rapport à d’autres solutions constructives. De plus, ils permettent la réalisation d’ouvrages conformes au critère C de la RE 2020, et de ses futurs seuils de 2025 et 2028. Lire aussi : Fabemi : Un système complet Une gestion éco-responsable En accord avec les directives de la RE 2020 sur la réduction des émissions de CO2 dans le bâtiment, le groupe Fabemi a intensifié la décarbonation de sa production. La démarche consiste à créer une synergie entre fabrication de blocs béton bas carbone, économie circulaire et savoir-faire industriel. « Les blocs béton Fabemi sont l’exemple même de l’engagement de l’entreprise dans l’écologie industrielle Made in France. Et du développement d’innovations produits orientées clients, capables de répondre aux enjeux d’aujourd’hui et surtout de demain », indique la marque. De la fabrication à la fin de vie, leur empreinte carbone est minimisée grâce à une production locale (impact du transport très faible) et à un procédé de fabrication sans cuisson. Les blocs sont produits avec des granulats provenant de carrières situées à proximité des usines Fabemi, séchés naturellement. Et utilisés sur des chantiers proches des unités de production. Ce qui limite le transport et donc l’impact environnemental.  Fabemi met l’accent sur le recyclage En utilisant des granulats recyclés Sølar, Fabemi préserve les ressources naturelles. Ces granulats sont composés d’un assemblage de produits de carrières (ressources primaires) et granulats issus de la valorisation. Une partie de la production des usines de La Trinité (06) et de Vitrolles (13) intègre ces granulats en partie recyclés. Fabemi travaille pour étendre l’intégration de ce matériau éco-responsable à l’ensemble de ses sites de production. De plus, les blocs béton Fabemi sont entièrement recyclables. Après la démolition des bâtiments, ils deviennent revalorisables dans de nouveaux produits, en se substituant à une partie des granulats. Pour finir, ces blocs béton disposent de Fdes. Des données vérifiées et disponibles sur la base Inies qui permettent de calculer la contribution des produits à l’impact environnemental de l’ouvrage à construire. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 106 jours

Tony Garnier : Jusqu’au bout de ses utopies

Tony Garnier (1869-1948) est une figure emblématique de l’architecture et de l’urbanisme lyonnais. [©Archives municipales de Lyon/www.archives-lyon.fr] Considéré par Le Corbusier comme un pionnier de l’architecture et de l’urbanisme modernes, Tony Garnier (1869-1948) demeure encore assez méconnu. Confronté dès son plus jeune âge aux conditions de vie des ouvriers de la soie dont ses parents sont proches, il va vouloir très tôt, au travers de sa passion, l’architecture, trouver un moyen de répondre au problème social du logement. Inventer une nouvelle façon de penser le logement sera l’une de ses préoccupations majeures. Après des études classiques couronnées par le grand prix de Rome, il élabore les plans d’une “Cité Industrielle” (1899-1904) de 35 000 habitants entièrement en béton armé et verre. “Tusculum” ainsi nommée est le prototype d’une ville imaginaire, impliquant la séparation et la dissociation des fonctions de l’habitat et du travail, ce qui le démarque des autres élèves de la Villa Médicis. Exposé en 164 plans précis, ce projet influencera par la suite les modèles théoriques d’urbanisation des premières années de l’Union soviétique. Lyon, son principal chantier L’organisation de l’hôpital Grange-Blanche Edouard Herriot (actuel Edouard Herriot) est le reflet des principes hygiénistes appliqués à l’architecture. [©Archives municipales de Lyon/www.archives-lyon.fr]Exposition internationale de 1914 aux abattoirs de la Mouche et marché aux bestiaux (actuelle Halle Tony Garnier). [©Archives municipales de Lyon/www.archives-lyon.fr]Le quartier des Etats-Unis est organisé comme une cité en miniature. [©Archives municipales de Lyon/www.archives-lyon.fr] Attaché à ses racines, Tony Garnier revient à Lyon, sa ville natale, et y réalise de grands ensembles qui, semblables à des fragments de son dessein initial, optent pour des solutions industrielles, par l’emploi de structures de béton armé, voire métalliques, dans un langage épuré alliant la Méditerranée à la modernité. Lors de l’arrivée d’Edouard Herriot à la mairie de Lyon en 1905, de grands travaux sont confiés à Tony Garnier, en particulier dans l’Est lyonnais, théâtre de la principale extension urbaine de la ville à cette époque : les Abattoirs de la Mouche et marché aux bestiaux (1909-1928), le stade de Gerland (1914-1926), l’Hôpital de Grange-Blanche (1911-1933). Pour réaliser cet ensemble hospitalier, Tony Garnier s’inspire de la disposition de l’hôpital de Copenhague et des établissements sanitaires de la “Cité Industrielle”. Il adopte le système pavillonnaire, intègre la nature et crée un réseau de souterrains destiné au transport des malades. Le terrain s’organise sur trois niveaux où sont hiérarchisés les services généraux, les pavillons, de forme simple, en béton, et le service des contagieux. Pour le quartier des Etats-Unis (1919-1933), premier ensemble “Habitations à Bon Marché (HBM)” de France, sa mission est d’ériger une cité expérimentale. L’ensemble du projet prévoit des immeubles de 5 étages en béton, entourés d’espaces verts et accueillant des commerces à leur rez-de-chaussée. L’aménagement est alors révolutionnaire pour des logements destinés aux revenus modestes : gaz, électricité, vide-ordures… La réflexion architecturale de Tony Garnier se caractérisera toujours par l’adoption de principes formels et typologiques forts, tels la recherche d’un rapport intérieur-extérieur et d’îlots dits “ouverts”, qui inspireront plus tard l’architecture et l’urbanisme. Ses maîtres mots sont le fonctionnalisme, l’espace, la lumière et la verdure. Entre 1930 et 1933, il conduit son dernier grand chantier, celui de la construction de l’Hôtel de Ville de Boulogne-Billancourt (92). Les façades révèlent les fonctions respectives des deux bâtiments avec l’utilisation de pierre de Comblanchien pour la partie réception et l’utilisation du béton bouchardé pour la partie bureaux. L’édifice n’est pas sans rappeler la tour d’horloges de la “Cité Industrielle”. Muriel Carbonnet Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 106 jours

L’industrie cimentière recrute à Viva Fabrica !

Le Sfic et l’EFB font découvrir aux jeunes générations la filière ciment et béton sur Viva Fabrica ! [©Alamy] Recruter et accompagner les jeunes talents. Tel est l’enjeu essentiel pour une industrie cimentière en pleine mutation. Ainsi, le Syndicat français de l’industrie cimentière (Sfic) et l’Ecole française du béton (EFB) se mobilisent à l’occasion de la nouvelle édition de Viva Fabrica ! Ce rendez-vous se tient, du 23 au 26 février 2023, aux Usines Fagor-Brandt, à Lyon (stand D1 pour la filière). Et vise à faire découvrir aux jeunes le monde industriel. Aujourd’hui, l’industrie cimentière est en première ligne pour répondre aux enjeux de décarbonation. Pour mener à bien cette transformation, elle doit s’appuyer sur une nouvelle génération de talents qui façonneront l’industrie de demain. Ecrire une nouvelle page du récit industriel « Contrôle des émissions, économie circulaire, biodiversité, captage du carbone, notre filière fait face à de nouveaux défis. Et se réinvente pour écrire une nouvelle page du récit industriel, explique Laure Hélard, déléguée générale du Sfic. Faire émerger de nouvelles compétences et former les jeunes générations aux nouveaux métiers liés à l’environnement et la qualité n’est pas un besoin, c’est une nécessité. Dynamique, innovante et engagée pour un monde responsable, l’industrie cimentière figure au premier rang pour repenser notre société. Et ce, grâce aux jeunes, car ce sont eux qui feront le monde de demain ! » Sur le front de l’emploi, la filière doit relever un double défi. D’une part, améliorer l’attrait du secteur industriel pour répondre à ses besoins actuels. D’autre part, accompagner la montée en compétence des collaborateurs. Lire aussi : Le Sfic récompense deux cimenteries vertueuses en matière de sécurité-santé La filière ciment et béton s’inscrit dans une dynamique d’évolution pour répondre aux nouveaux grands défis sociétaux. Comme renforcer l’attractivité des métiers de l’industrie auprès des femmes. Ou proposer une grande variété de métiers avec de nombreuses perspectives de carrière. Ou encore, intégrer les nouvelles technologies pour la transition écologique et énergétique. Sans compter les défis liés à la diminution de l’empreinte carbone de ses matériaux. Avec un objectif de réduction de 80 % d’ici à 2050. La filière ciment et béton doit renouveler ses équipes Confrontée à une pyramide d’âges vieillissante, la filière ciment et béton doit aussi renouveler ses équipes pour des métiers en tension, tels que conducteurs d’engins, techniciens de maintenance, rondiers, opérateurs de salle… Pour porter cette nouvelle révolution industrielle, de nouveaux métiers sont en train de voir le jour ou connaissent de fortes évolutions dans les compétences attendues. Technicien de valorisation des combustibles alternatifs, technicien logistique combustibles et matériaux de substitution, technicien environnement sont autant de professions indispensables. Enfin, l’industrie cimentière emploie de multiples profils, à différents niveaux de qualification. Cela va du CAP au niveau ingénieur. De quoi en faire un secteur dynamique, riche en opportunités et en évolution de carrière, apte à répondre à chaque attente. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 107 jours

Sika lance SikaCem-50 Fibre Végétale

SikaCem-50 fibre Végétale constitue une alternative éco-responsable à l’emploi des micro-fibres polymères utilisées sur le marché. [©Sika] Sensible à son impact environnemental, Sika développe, depuis plusieurs années déjà, des produits présentant des avantages environnementaux pour l’ensemble de la chaîne de valeur. Dans ce cadre, l’industriel lance aujourd’hui SikaCem-50 Fibre Végétale. Une fibre naturelle 100 % végétale pour mortiers, bétons, chapes et enduits. Cette micro-fibre en cellulose biosourcée, issue de forêts européennes durablement gérées, génère un réseau de fibres encore plus dense. Ceci, pour une meilleure résistance à la fissuration précoce. Lire aussi : Ineos rachète à Sika les adjuvants MBCC  SikaCem-50 Fibre Végétale constitue une alternative éco-responsable à l’emploi des micro-fibres polymères utilisées sur le marché. Les bétons fabriqués avec ces fibres sont aussi plus faciles à recycler, après le lavage des outils de bétonnage ou en fin de vie des ouvrages qu’ils ont permis de réaliser. Une faible dose permet de créer un réseau fibré de très haute densité, pour une meilleure limitation du faïençage et des fissurations dus au retrait plastique à jeune âge. Des essais ont montré une baisse de 68 % de la fissuration globale par rapport à un témoin non fibré. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 107 jours

Cemex reçoit une toupie 100 % électrique

La toupie électrique Volvo FMX est mise en service dans l’unité de production de béton prêt à l’emploi de Spandau, à Berlin. [©Volvo Trucks] C’est inédit ! Un Volvo FMX a été livré à Cemex, lors d’un évènement spécial à Berlin, en Allemagne. Il s’agit de la première toupie 100 % électrique et donc zéro émission au monde fournie par Volvo Trucks. Ce véhicule intégrant des batteries est le dernier développement d’un accord signé entre les deux industriels en 2021. Une collaboration qui vise à réduire les émissions de carbone et à améliorer la productivité dans le domaine de l’électromobilité. « Nous sommes ravis de franchir une étape supplémentaire dans le partenariat avec Cemex, déclare Roger Alm, président de Volvo Trucks. Ensemble, nous allons travailler à la mise en œuvre d’un transport neutre en C02 dans le secteur de la construction. Nos camions électriques ne produisent aucune émission et leur fonctionnement silencieux améliore l’environnement des personnes travaillant sur les chantiers. » Lire aussi : Cemex décarbone le transport de ses matériaux de construction Un partenariat au service de l’environnement La Volvo FMX peut être utilisée durant une journée entière de travail avec une seule recharge pendant la pause. Dès à présent, cette toupie électrique est en service dans la centrale à béton de Spandau, à Berlin. « Notre partenariat avec Volvo dispose d’un énorme potentiel pour contribuer à la décarbonation de notre entreprise, précise Fernando Gonzáles, président de Cemex. Le déploiement de notre premier camion de béton prêt à l’emploi entièrement électrique constitue un progrès important dans cette voie. » Dans le cadre de son programme Future in Action, Cemex a réaffirmé sa volonté de devenir un industriel à zéro émission nette d’ici 2050. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 107 jours

Partenariat entre Hoffmann Green Cement et le Belge Eloy

Le partenariat permettra à Hoffmann Green et Eloy de procéder à des essais techniques spécifiques. [©Hoffmann Green Cement] Hoffmann Green Cement vient de signer un partenariat avec le groupe belge Eloy, pour développer la construction décarbonée en Belgique. Actif dans la construction et le traitement des eaux, le groupe Eloy se soucie depuis toujours de son impact environnemental. L’entreprise liégeoise fut l’une des premières à disposer de son propre recyparc, dès les années 1990. Situé à Bierset, son écocentre lui permet aussi de briguer une place de choix sur les marchés où la circularité est importante. Eloy se veut être un acteur de durabilité et a inscrit dans sa stratégie transversale l’objectif de diminuer de 30 % son impact environnemental à l’horizon 2027. Lire aussi : VM Matériaux distribue le ciment H-Iona d’Hoffmann Green  Technologies 0 % clinker d’Hoffmann Green Cement Ce partenariat permettra aux deux acteurs de procéder à des essais techniques spécifiques. Et d’élaborer ensemble des formulations de bétons fondées sur les technologies 0 % clinker d’Hoffmann Green Cement. Les premiers projets-pilotes de construction avec du ciment Hoffmann en Belgique sont prévus dès le premier semestre 2023 dans la province de Liège. Ceci, afin de tester ce nouveau produit, tout en familiarisant les équipes chantiers d’Eloy. « Après la Suisse et le Royaume-Uni, les ciments Hoffmann Green continuent leur expansion à l’international, grâce à ce partenariat conclu en Belgique avec Eloy. Groupe familial historique avec qui nous partageons de nombreuses valeurs, dont la volonté de décarboner le secteur de la construction. Il s’agit d’une étape importante dans notre processus de collaboration avec Eloy. Afin de promouvoir nos ciments 0 % clinker en Belgique », déclarent Julien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs de Hoffmann Green Cement. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 108 jours

Lancement de la Base de données nationale des bâtiments

La BDNB établit une fiche d’identité personnalisée avec plus de 250 informations disponibles. [©BDNB – CSTB] Nadia Bouyer, présidente du programme Profeel, Etienne Crépon, président du CSTB, et Philippe Estingoy, directeur général de l’AQC, ont présenté la Base de données nationale des bâtiments (BDNB). Pour chacun des bâtiments résidentiels et non-résidentiels, localisés en France métropolitaine et Corse, la BDNB établit une fiche d’identité personnalisée avec plus de 250 informations disponibles. Elle constitue une photographie exhaustive de l’état du patrimoine français, à un instant donné. Elle sera actualisée à intervalles réguliers, permettant ainsi de suivre l’évolution du parc. Et d’aider à sa rénovation. Lire aussi : Baromètre Inies : Toujours plus de données  Le programme Go-Rénove Le patrimoine bâti en France métropolitaine représente 38 M de logements et près de 1 Md de m² de locaux tertiaires. Face aux défis du changement climatique et des évolutions sociétales, ce patrimoine devra faire l’objet d’une rénovation d’une ampleur sans précédent. Compte tenu des enjeux techniques et économiques, il est nécessaire que le pays, mais aussi chaque territoire et chaque propriétaire, puisse élaborer sa stratégie de rénovation. Mais aussi suivre son exécution et mesurer ses effets. Pour répondre à ce besoin, les acteurs de la construction regroupés dans le collectif Profeel ont souhaité développer un outil utilisant les avancées du traitement massif de données et de l’intelligence artificielle. A savoir, le programme Go-Rénove, dont le maître d’œuvre est le CSTB. Le projet comportait deux parties : la récupération et la consolidation de toutes les données disponibles sur le bâtiment. Ainsi que la mise en ligne des premiers services applicatifs en soutien à la rénovation pour les particuliers et les bailleurs sociaux. D’une richesse inégalée Pour mener à bien ce projet, le CSTB a agrégé et croisé les données d’une trentaine de bases issues d’organismes publics. Ceci, pour constituer une cartographie fiable du parc immobilier métropolitain. Un algorithme prédit les valeurs probables des données manquantes. Et des modèles physiques simulent les performances de chaque bâtiment, en particulier sa consommation d’énergie. C’est ainsi que le CSTB a constitué une base de données des bâtiments d’une richesse inégalée. En effet, pour chaque bâtiment, la BDNB renseigne son histoire administrative, sa morphologie ou les matériaux utilisés pour sa construction. Mais aussi ses équipements techniques, son mode de chauffage, une estimation de son étiquette DPE, sa valeur verte… La BDNB intègre aussi les consommations énergétiques publiées en open-data. A l’heure actuelle, 3 niveaux d’accès sont prévus :• BDNB Open sur data.gouv.fr : données et téléchargement en libre accès ;• BDNB ayants droit : les propriétaires de données fixent les règles de diffusion ;• BDNB Expert : pour les travaux de recherches et d’expertises du CSTB. Accessible à tous les acteurs et transparente dans les méthodes de calcul utilisées, la BDNB constitue la première base publique et ouverte, de référence. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 108 jours

Knauf Fibra, les innovations 2023 pour l’isolation des sous-faces de dalles béton

Knauf Fibra, un isolant laine de bois signé Knauf. [©Knauf] Les isolants laine de bois Knauf Fibra franchissent un nouveau pas avec 2 innovations pour la décarbonation de la construction :• Une nouvelle labellisation Karibati “Produit Biosourcé, Filière Française”, venant s’ajouter aux performances bas carbone de la gamme.• De nouveaux justificatifs permettant de réduire l’épaisseur et l’impact carbone des dalles béton, grâce aux performances acoustiques et feu des isolants.Seule solution labellisée biosourcée pour l’isolation des sous-faces de dalles des grands bâtiments, la gamme Knauf Fibra dispose de Fdes vérifiées et disponibles sur la base Inies.La mention “filière française” du label souligne la provenance locale du bois utilisé par Knauf Fibre, seule usine de laine de bois en France, site certifié chaine de valeur PEFC. En savoir plus : https://www.knauf.fr/focus-produit-isolant/knauf-fibra-nouveautes-decarboner-dalles-beton-isolant?mtm_source=acpresse&mtm_medium=newsletter-media&mtm_campaign=FIBRA2023&mtm_content=native Concerne les gammes Fibralith, Fibra Ultra (ép. jusqu’à 150 mm), Fibra Ultra+ (ép. jusqu’à 225 mm), Fibrastyroc+ Phonik (ép. jusqu’à 180 mm)
Il y a 2 ans et 114 jours

Eqiom mise sur le tracteur électrique Volvo Trucks

Le nouveau tracteur électrique d’Eqiom, en partenariat avec le transporteur Mauffrey. [©Eqiom] Via son partenaire historique Mauffrey, l’industriel Eqiom adopte son premier tracteur Volvo Trucks [Lien vers https://www.acpresse.fr/onze-toupies-electriques-volvo-trucks-livrees-au-danemark/] FH Electric. Celui-ci approvisionnera ses centrales à béton franciliennes d’Alfortville (94) et de Tolbiac (Paris). Ce tracteur de 44 t à motorisation électrique est doté d’une citerne pulvé plate de 39 m3 et de 6 batteries d’une capacité totale de 540 kWh. Il parcourra une partie de l’Ile-de-France pour assurer le transport de ciment. C’est la suite logique de l’engagement de la marque aux côtés de Mauffrey, déjà souligné et récompensé par l’Ademe en 2022 dans le cadre du programme EVE (Engagement Volontaire pour l’Environnement). Inscrit dans la démarche Eqiom R En optant pour ce nouveau véhicule plus respectueux de l’environnement, Eqiom apporte nouvelle une solution pour diminuer les émissions de CO2 générées par ses moyens de transports. A travers cette initiative, l’industriel répond aux engagements pris auprès du dispositif Fret 21. Celui-ci s’inscrit pleinement dans sa démarche Eqiom R – Construisons durable. Son programme qui soutient la transformation environnementale du secteur de la construction. Lire aussi : Eqiom rend visible sa démarche anti-carbone « L’arrivée de ce nouveau camion dans notre flotte concrétise notre engagement fort pour une logistique vertueuse, déclare Yann Lafillé, responsable du pôle Route et Fluvial chez Eqiom. Nous sommes fiers de pouvoir compter sur des partenaires à notre écoute. Avec qui nous trouvons des solutions adaptées à chacun de nos environnements. Sur la région parisienne, la solution électrique ne faisait pas de doute. Pas d’émission de CO2, ni d’autres polluants, aucune nuisance sonore. Avec ce nouveau tracteur Volvo et le groupe Mauffrey, nous poursuivons le développement de notre logistique responsable. » Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 114 jours

Lafarge ouvre sa 2e ligne de production d’argile activée

Site industriel de la cimenterie Lafarge France de Saint-Pierre-la-Cour, en Mayenne. [©ACPresse] Depuis le début du mois de février 2023, une nouvelle ligne de cuisson est entrée en service au cœur de la cimenterie Lafarge de Saint-Pierre-La-Cour, en Mayenne. Résultat d’un investissement de 40 M€ du groupe Holcim et lauréat d’un financement France Relance, cet équipement met en œuvre la technologie Holcim ProximA Tech. Ainsi, il est prévu pour la production à grande échelle d’argile activée, qui vient se substituer au clinker dans la constitution des nouveaux ciments EcoPlanet (CEM II/C et CEM IV). Ce qui contribue à réduire de moitié leur empreinte carbone par rapport à un ciment Portland traditionnel CEM I. La majorité du CO2 lié au ciment provient de sa fabrication. Traditionnellement, la calcination du mélange argile-calcaire à 1 450 °C est très émissive de CO2 (décarbonatation du calcaire). Dans ce processus, 40 % du total des émissions sont liés à l’énergie nécessaire à la calcination et 60 %, à la réaction chimique naturelle de décarbonatation. Pour sa part, l’additif ProximA TechZéro est obtenu par cuisson à température beaucoup moins élevée. Environ 800 °C et qui génère très peu de CO2. Lire aussi : Lafarge France lance Concrete Direct L’installation de Saint-Pierre-la-Cour va aujourd’hui encore plus loin, grâce à un processus industriel inédit n’émettant quasiment aucun carbone. Ceci, grâce à la réutilisation de la chaleur fatale du four principal de la cimenterie. Et à l’emploi exclusif de combustibles alternatifs non fossiles. En majorité, de la biomasse issue de boucles locales d’économie circulaire… ProximA Tech, une technologie d’argile activée brevetée Cette étape est rendue possible par une toute nouvelle technologie propriétaire développée par les équipes de Lafarge France et du Holcim Innovation Center, installé près de Lyon. Baptisée ProximA Tech, la technologie permet la transformation de l’argile kaolinique, une ressource locale abondante, en un additif décarboné pour la production des ciments. Lorsque les conditions de production sont optimisées comme à Saint-Pierre-la-Cour, les émissions de carbone sont proches de zéro, offrant un additif très fortement décarboné : l’argile activité ProximA TechZero. Lire aussi : L’usine Lafarge La Malle passe à la biomasse Outre Saint-Pierre-la-Cour, l’usine de La Malle dans les Bouches-du-Rhône assure aussi cette production. L’installation existante a aussi fait l’objet d’investissements importants. Au total, avec ses deux unités, Lafarge France va pouvoir produire, dès 2024, plus de 2 Mt de ciments “ProximA inside”. Des ciments pour l’Ile-de-France et la façade Ouest Les ciments EcoPlanet produits à Saint-Pierre-la-Cour alimenteront le marché de la construction de la façade Ouest, ainsi que l’Ile-de-France. « En industrialisant ce nouveau composant des ciments bas carbone EcoPlanet, Lafarge France et le groupe Holcim poursuivent leur engagement. Celui de faire progresser le secteur de la construction vers des modes constructifs moins carbonés, conclut François Petry, directeur général de Lafarge France. Pour répondre aux enjeux écologiques de nos clients, nous réinventons le ciment. En valorisant des ressources abondantes localement et à faible empreinte carbone. » Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 114 jours

Le Tapis-Glisse, un convoyeur lève-tuiles au service des artisans

Dans sa version en longueur fixe de 8 m, le Tapis-Glisse présente un poids de 70 kg grâce à sa structure légère en aluminium. [©LMat49] La manutention et l’acheminement des matériaux de couverture représente un travail pénible pour les couvreurs. Pour relever ce défi quotidien, l’industriel LMat49 répond avec une solution originale, le Tapis-Glisse. Ce convoyeur lève-tuiles mobile a été conçu pour diminuer la fatigue et la pénibilité liées à la manutention des tuiles et des ardoises par les couvreurs. Solution de levage efficace, le Tapis-Glisse permet ainsi de réduire les risques d’accidents et de blessures. Tout en améliorant la rapidité et l’autonomie des couvreurs. Grâce à sa bande transporteuse tournant en continu, les matériaux peuvent être chargés par petits paquets et sans effort. Il évite les charges lourdes et les gestes brusques. Ainsi que les montées et descentes du sol au toit. Quand rapidité rime avec efficacité En plus de la rapidité d’installation en seulement quelques minutes, le Tapis-Glisse s’avère aussi très efficace lors de l’acheminement des matériaux. En moyenne, une palette de tuiles est montée en 12 mn ! Avec une économie de plus de 30 mn/j en comparaison avec des solutions de levage traditionnelles, il améliore la productivité des artisans et optimise le temps passé sur chaque chantier. Un facteur important à prendre en compte lors des travaux de couverture est la densification des zones pavillonnaires qui rend l’accès aux maisons de plus en plus difficile. Dans sa version en longueur fixe de 8 m le Tapis-Glisse présente un poids de 70 kg grâce à sa structure légère en aluminium. Et du fait de son moteur démontable, il est simple à transporter. Lire aussi :  Nemetschek investit dans la start-up Kewazo Autonomie et flexibilité Son système de roues amovibles lui permet de se faufiler dans des endroits exigus et difficiles d’accès. Et aussi d’être déplacé le long de la toiture pour y faciliter la répartition des matériaux. Son faible poids et son emprise réduite au sol évitent toute détérioration des jardins et bien des soucis avec les propriétaires. Enfin, la période actuelle avec les hausses des prix et les difficultés d’approvisionnement pointe l’importance pour les artisans de surveiller leurs dépenses par chantier. Notamment les frais liés à l’amortissement et entretien des engins. Ou encore la gestion de locations, souvent complexes et impactées par les aléas rencontrés sur les chantiers. Le Tapis-Glisse offre une flexibilité maximale, car il se transporte directement sur la galerie d’une camionnette. Il permet ainsi aux artisans de travailler de manière autonome, sans dépendre de la gestion de machines de location. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 114 jours

Champion, champion de la protection

Champion propose un espace dédié aux EPI. [©Champion] Le groupe Champion place l’univers des équipements de protection individuelle (EPI) au cœur de sa stratégie. En mettant en avant ses différents produits. Il propose des espaces chaleureux dédiés dans leurs points de vente. Des services sur mesure, tels que la personnalisation des vêtements professionnels. A savoirgilets à haute visibilité de signalisation ou casques avec possibilité de mettre des noms. La protection anti-chutes avec vérification des harnais sur l’état général, le fonctionnement, la résistance. Ou encore la protection auditive avec les casques anti-bruits, les bouchons jetables, moulés ou sur mesure. Ceci, grâce au diagnostic fait par un technicien Champion qui se rend sur le site du travailleur. Ainsi que par l’accompagnement d’experts EPI, formés au Syndicat national des acteurs du marché de la prévention et de la protection (Synamap). Neufs experts EPI « Dans le domaine de la sécurité des salariés, il ne s’agit pas de commander en ligne des vêtements, des gants ou des chaussures de sécurité. Il est essentiel que nos clients puissent trouver des réponses claires et précises à leurs interrogations en matière d’équipements de protection individuelle », détaille Antony Pereira, directeur marketing et commercial de Champion. Et de poursuivre : « Nos neuf experts EPI, répartis sur l’ensemble de nos points de vente, sont formés pour apporter des conseils techniques. Leur niveau de compétences permet d’accompagner les entreprises dans l’évaluation des types d’EPI qu’elles doivent adopter pour leurs équipes ». Lire aussi : EPI et EPC, l’innovation aide à réduire le risque Risques à prévenir, conditions de travail, tâches à réaliser, composition des produits utilisés, normes en vigueur sont autant d’éléments à prendre en ligne de compte. « Tous les critères sont étudiés. Que ce soit les nuisances sonores, le maniement d’outils ou de produits dangereux, le risque de chute ou de projection. Notre rôle consiste à apporter des conseils personnalisés et des solutions sur mesure. En témoignent nos prestations à la demande pour les moulages des protections auditives avec prise d’empreinte. » Ou encore la validation de conformité et le renouvellement des harnais pour le travail en hauteur, le paquetage des colis pratique pour les grandes entreprises… Des show-rooms attractifs Champion joue avec les matières, les couleurs et les stocks pour mettre en scène ses différents articles. [©Champion] Champion joue avec les matières, les couleurs et les stocks pour mettre en scène ses différents articles. Les espaces sont délimités par du parquet pour une ambiance chaleureuse. Et il y a des mannequins d’expositions afin de mettre en valeur les EPI et mieux se projeter. Le groupe Champion se démarque aussi par la disponibilité immédiate des références, dont 20 000 modèles sont en stock. De même, pour la satisfaction de ses clients, il propose 7 000 solutions sélectionnées auprès des fournisseurs spécialistes de renommée dans l’univers EPI. Les gammes de protection individuelle en environnement de travail sont diversifiées et pour toutes les parties du corps. On y retrouve les lunettes, les masques pour la tête, les pantalons de travail, les vêtements anti-froid pour le corps et enfin, des rangers et des chaussures de sécurité pour les pieds. Ainsi, Champion propose des vêtements aux matières légères, ergonomiques, résistantes et pour toutes les morphologies, avec des styles modernes et colorés. Disponibles sur son site Internet ou via le guide de choix et de conseils. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 115 jours

Une belle année pour presque tous les matériels

Les matériels pour le béton ont reculé de 13 % en 2022. [©ACPresse] Les ventes de matériels destinés au BTP ont connu une belle envolée en 2022. En unités, toutes catégories confondues, 58 200 équipements ont trouvé preneur, contre 55 000, un an plus tôt. Soit une progression de + 6 %. C’est ce que vient d’annoncer le Syndicat des entreprises internationales de matériels de travaux publics, mines et carrières, bâtiment et levage (Seimat) à l’occasion de sa présentation “bilan et prévisions”.   Les équipements pour le béton en recul de 13 % Le chiffre d’affaires généré par ces transactions, lui, a progressé de près de 15 %, passant de 2,7 Md€ à près de 3,1 Md€ (estimation). Toutefois, derrière ce bilan flatteur se cache bien des disparités, dont les matériels pour le béton ne sortent hélas pas grandis ! Avec 907 unités vendues – toupies, malaxeurs-pompes et pompes à béton confondus -, le marché montre un recul de 13 %. Un an plus tôt, le cumul avait atteint 1 045 unités. Lire aussi : L’activité des matériaux continue de s’effriter Plus dans le détail, les toupies passent de 897 unités à 780 (- 13 %). Les pompes automotrices grimpent, elles, de 5 % (65 unités contre 62). Ce qui n’est pas le cas des pompes stationnaires de chantier, qui s’effondrent de 38 % (10 unités en 2022, contre 16 un an plus tôt). Quant aux malaxeurs-pompes, ils ne présentent pas un résultat bien meilleur, perdant 26 % (52 unités contre 70) ! L’année 2023 globalement stable Pour les matériels destinés au béton, le Seimat s’attend à une année 2023 toujours en retrait. « On estime à 850, le nombre de machines qui devrait être vendues d’ici la fin de l’année », souligne Olivier Saint-Paul, vice-président Bâtiment du Seimat et président de PL2M (groupe Putzmeister). Et de poursuivre : « Ce recul attendu s’explique en grande partie par la difficulté, pour les constructeurs, d’obtenir des châssis pour y monter leurs équipements… » Ce n’est donc pas une baisse de la demande qui est en cause, mais bel et bien, une difficulté pour y répondre. Les autres matériels pour la construction devraient mieux tirer leur épingle du jeu. En effet, le Seimat prévoit « une année globalement stable, avec un marché attendu autour des 58 000 unités », conclut Davy Guillemard, vice-président travaux publics et président de Volvo CE France. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 115 jours

WCA : une année compliquée pour les cimentiers

Ian Riley est à la tête de la World Cement Association. [©WCA] Lors de la 6e assemblée générale de la World Cement Association (WCA), Emir Adiguzel, directeur de l’association a présenté ses perspectives pour l’année 2023. En comparaison aux deux années qui ont suivi la pandémie de Covid, et sa forte hausse de la demande, l’année 2023 devrait être une année difficile pour l’industrie cimentière. En particulier, sous l’influence d’une inflation mondialisée, l’augmentation des prix du fret maritime. Et les fortes fluctuations du marché de l’énergie. Cela devrait conduire les producteurs de ciments à augmenter, de manière graduelle, leurs prix de vente. Lire aussi : Carbon Upcycling Technologies rejoint la WCA Dans un second temps, Emir Adiguzel a insisté sur le fait que de nombreux acteurs majeurs internationaux allaient continuer à diversifier leurs investissements sur des marchés émergents. Ce qui, à l’inverse, devrait créer des opportunités pour les acteurs de ces marchés émergents, Chine incluse. A commencer par la possibilité de s’établir sur le marché européen. En investissant dans les entreprises les plus abordables ou en montant des partenariats. GCP comme membre corporate associé En parallèle, les entreprises européennes de taille intermédiaire auront eu l’opportunité de développer leur portefeuille industriel, en investissant dans les actifs délaissés par les majors. Contraints par les régulateurs de la concurrence lors d’opérations massives de rachat. « Nous ne nous attendons pas à une progression du volume global de ciment produit. Mais nous nous attendons à des prix en hausse à des taux à deux chiffres. Puisque le prix de l’énergie aura un impact fort sur le coût de production du ciment », explique Emir Adiguzel, directeur de la WCA. En marge de son assemblée générale, la WCA a annoncé qu’elle accueillait en tant que membre corporate associé l’industriel GCP. « Cet adjuvantier partage avec la WCA la volonté d’aider les producteurs de ciment et de béton tout autour du monde. Son but est d’atteindre le zéro émission, ce qui est une énorme priorité pour nos membres, explique Ian Riley, Pdg de la WCA. Avec l’intégration récente de GCP au sein de Saint-Gobain Construction, nous espérons pouvoir travailler ensemble. A l’expansion du rôle que peut jouer la chimie dans la réduction de l’impact environnemental du secteur de la construction. » Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 115 jours

Mills : Davantage de sécurité collective

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Mills sécurise encore plus le montage de coffrages de planchers avec le garde-corps GCC. [©Mills] Associé à la tour d’étaiement Touréchaf et aux poutrelles MP3, le garde-corps GCC Mills permet de monter et de démonter en protection collective un coffrage horizontal traditionnel (composé de poutrelles) reposant sur des tours d’étaiement. Le GCC Mills Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 115 jours

LPP : La tour MDS à tout niveau

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. La tour d’étaiement MultiErgo de LPP intègre un plancher à chaque niveau. [©LPP] La tour d’étaiement MultiErgo de LPP s’articule autour de structures métalliques modulaires servant d’étais et assurant la reprise de 8 t/pied. Elle n’autorise pas l’installation d’un plancher sans la mise en place préalable d’un cadre. A l’inverse, le démontage d’un cadre courant Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 115 jours

Altrad Coffrage & Etaiement : Une petite révolution

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Altrad lance sa tour d’étaiement Altralight. [©Altrad] En 2022, Altrad Coffrage & Etaiement a opéré une petite révolution dans le monde des étaiements, avec le lancement de sa tour Altralight. Rejoignant sa grande sœur, la HD 320, cette nouvelle tour d’étaiement Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne