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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Acpresse Béton

(3871 résultats)
Il y a 2 ans et 123 jours

Eiffage Savare propose une mixité des matériaux en kit

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine Plancher bois collaborant dalle en béton développé par Eiffage Savare. [©Eiffage] Depuis son origine, il y a 40 ans, Savare est un expert de la construction bois, à la tête de trois usines basées en Normandie. Il propose des solutions sur mesure, des charpentes traditionnelles ou industrielles, des murs et des façades à ossatures bois. Ainsi que des poteaux, des planchers et des poutres en bois. Jusque-là, rien de moins normal. Mais en intégrant la branche Construction du groupe Eiffage en 2018, l’industriel s’est offert les moyens de passer à un échelon supérieur… Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 123 jours

SGB-Hünnebeck : L’esprit de l’escalier

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Le système ST’Air s’intègre à l’intérieur de la tour d’étaiement ST60 de SGB-Hünnebeck. [©SGB – Hünnebeck] Avec le système ST’Air, SGB – Hünnebeck élargit le champ d’application de sa tour d’étaiement ST60. Un classique dans sa gamme. ST’Air n’est autre qu’un escalier d’accès en colimaçon qui s’intègre à l’intérieur de la tour. Chaque niveau de 1 m se compose de 4 cadres identiques, d’une volée de 2 marches et d’une volée de 3 marches. Ces éléments se Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 123 jours

Retotub : Autour de quatre éléments

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Le nouvelle tour-échelle Retotub RT-50 MDS a été lancée fin 2022. [©ACPresse] Présentée en novembre dernier, la RT-50 MDS est la dernière-née de l’offre Retotub. Cette tour-échelle est en capacité de reprendre une charge de 5 t/pied. Quatre éléments de base la composent. Large de 1 m, le cadre-échelle n’excède pas Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 123 jours

Paschal : Extensions et améliorations de gamme

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Le coffrage léger NeoR a rejoint l’offre Pachal en 2022. [©Paschal] Chez Paschal, en 2022, le coffrage léger NeoR s’enrichit de nouvelles dimensions de panneaux (60 cm x 90 cm ou 150 cm) dédiés à la réalisation de poteaux. Donc pour une utilisation en coffrage en aile de moulin. Le Logo.3, lui, a vu l’arrivée d’un élément de 3,40 m de haut, parfait Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 123 jours

Outinord : Une B10000 déclinée en deux versions

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Banche-outil B10000 Integra d’Outinord. [©Outinord] Dernière-née des banches métalliques Outinord, la B10000 se décline en deux variantes, compatibles entre elles. Mais aussi avec la gamme B8000. Ainsi, la B10000 Integra est la banche de production. Elle se caractérise par sa tôle de fermeture arrière amovible, pour faciliter l’entretien. Elle peut bénéficier d’une puce Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 123 jours

Hussor : Du modulaire, à présent

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Les panneaux Modhussor sont compatibles avec les gammes de banches-outils H10 et H12. [©ACPresse] Une banche “TP” légère, c’est ainsi qu’Hussor définit sa nouvelle gamme de coffrages modulaires Modhussor. Affichant un poids de 100 kg/m2, la version acier est reconnaissable à ses deux raidisseurs verticaux, autorisant une pression de Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 123 jours

Hussor Erecta : La tour H18 comme produit phare

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. La tour d’étaiement H18 demeure malgré les années à la pointe de l’ergonomie et de la sécurité. [©Hussor Erecta] La H18 d’Hussor Erecta présente des dimensions au sol de 1,50 m x 1,50 m, de 1,50 m x 1,15 m ou de 1,15 m x 1,15 m. Cette tour d’étaiement se monte et se démonte en toute sécurité. De plus, son verrouillage Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 123 jours

Copac : Un moule de poutres bouleversant

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Copac a développé un nouveau moule de poutres qui révolutionne l’univers du coffrage. [©Copac Groupe] Préfabriquer des poutres sur chantier est peu sécurisant et nécessite un espace conséquent. La productivité est souvent limitée et la qualité insuffisante. Afin de résoudre ces problèmes, Copac bouleverse, pour ainsi dire, l’univers du coffrage avec l’apparition de son nouveau Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 123 jours

Xella / Ytong : Construction et rupture

Article publié dans Béton[s] le Magazine n°104 Le principe constructif de Xella/Ytong est intrinsèquement un rupteur de ponts thermiques. [©Xella/Ytong] Depuis fin 2017, la dernière génération de planelles Thermostop P6.5 (R de 0,59 m².K/W) et Thermostop P7 (R de 0,63 m².K/W) Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 123 jours

ThermoPrédalle également

Article publié dans Béton[s] le Magazine n°104 La ThermoPrédalle version KP1. [©KP1] Début 2020, KP1 a lancé une nouvelle ThermoPrédalle. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 123 jours

Foamglas : Le rupteur issu du verre

Article publié dans Béton[s] le Magazine n°104 Le Foamglas Perinsul HL est fabriqué à partir de verre recyclé. [©Foamglass] Foamglas Perinsul HL Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 123 jours

Hauts-de-Seine : Cibetec fabrique un lego à la “Pointe de Trivaux”

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Tous ces éléments ont été fabriqués sur mesure dans les ateliers de Cibetec à l’aide de coffrages métalliques et en bois. Un travail de collaboration étroit a été effectué avec l’entreprise de gros œuvre MTR. Pour cette dernière, cette conception en lego a nécessité l’emploi de tables d’étaiement, qui ont permis la mise en place des éléments sur le squelette central. Cibetec a participé à la construction d’un immeuble à Meudon-la-Forêt, préfabriquant des pièces en forme de lego. [© Cibetec] Lire aussi : Hauts-de-Seine : Des éléments préfabriqués en style Art Déco signés Cibetec Situé à Meudon-la-Forêt, l’éco-quartier “Pointe de Trivaux” est l’un des plus grands projets d’urbanisme de la ville. Entre écologie et construction, mêlant logements, services et commerces, ce nouvel ensemble s’étend sur 11 ha. S’inscrivant dans la deuxième phase d’aménagement, l’immeuble d’habitations en forme de losange offre une architecture contemporaine unique. Appelé “Bâtiment A”, il a été conçu par l’agence d’architecture Lambert Lénack. Et Cibetec a apporté sa pierre à l’édifice. Ce spécialiste du béton architectonique préfabriqué a réalisé les poteaux et les voiles structurels de ce bâtiment. Ainsi, 478 éléments en béton blanc, dont 126 prédalles de balcons, ont été construits. Quant aux 96 voiles en “L”, aux 168 linteaux et aux 16 poteaux, leur béton présente un aspect “cuir blanc sablé fort”. En forme de lego, les différentes pièces sont venues se greffer sur l’ossature centrale en béton, représentant les cages d’escaliers et dalles. Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 123 jours

Finistère : Quéguiner s’offre Smeg

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Smeg vient de rejoindre le groupe Quéguiner. [©Quéguiner] Le groupe breton Quéguiner a décidé de développer sa politique de croissance externe. Sous l’impulsion de Clément Quéguiner et des équipes dirigeantes, il vient de prendre possession de la Société morbihannaise d’entreprise générale, connue sous l’acronyme Smeg. Ce rachat doit permet d’asseoir les positions du groupe Quéguiner sur le marché breton du béton et en particulier, dans le Morbihan. « Ce nouveau maillage territorial nous permettra d’être au plus proches de nos clients morbihannais et de leurs chantiers », souligne Clément Quéguiner. Et de poursuivre : « L’intégration de Smeg au sein du groupe Quéguiner, nous en sommes certains, sera couronnée de succès grâce à la complémentarité industrie, négoce et transport ». Lire aussi : Finistère, Système constructif modulaire pour l’armée Société familiale créée en 1958, Smeg est aujourd’hui à la tête de deux centrales de BPE, d’une unité de préfabrication de blocs béton et d’un petit négoce spécialisé dans les matériaux pour le gros œuvre. A ceci s’ajoute une flotte de 19 véhicules de livraison. Avec un effectif de 33 personnes, basées sur les sites de Brech et d’Hennebont, l’industriel a réalisé un chiffre d’affaires de 10 M€ en 2022. De son côté, Quéguiner exploite 12 centrales des BPE, qui passent à 14 avec l’intégration de la Smeg. Surtout, ce groupe familial fondé en 1948 détient 8 sites industriels, 41 agences commerciales et plus de 200 camions de livraison. Présents sur 5 départements, il emploie 1 150 collaborateurs et réalise un chiffre d’affaires de 310 M€ (consolidé en décembre 2022). Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 123 jours

Rhône : Gonin TP se lance dans le béton de chaux

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. A l’aide de sa toupie Schwing Stetter, Gonin TP Carrières & Béton a livré 11 m3 de béton de chaux Saint-Astier pour rénover la ferme de Chatonday, à Saint-Pierre-de-Chandieu. [©Olivier Mermoz-Gonin TP] « Chaux devant ! Gonin TP arrive dans la production et la livraison de béton de chaux ! Notre objectif ? Répondre aux demandes et exigences de rénovation du bâti ancien. » Voilà ce qu’a déclaré avec entrain Olivier Mermoz, commercial chez Gonin TP Carrières & Béton. Spécialisée depuis 70 ans dans les travaux publics, la société s’est développée en se lançant, il y a 5 ans, dans le béton prêt à l’emploi. « Notre centrale de Saint-Clair-de-la-Tour, en Isère, produit des bétons de chaux depuis août 2022. Et nous ne comptons pas nous arrêter là ! » Ainsi, début décembre 2022, les propriétaires de la ferme de Chatonday à Saint-Pierre-de-Chandieu ont bénéficié de ses services. Dans le cadre de la réhabilitation d’un ancien corps de ferme en pisé et une grange datant de 1820. Il s’agit d’une éco-rénovation en matériaux biosourcés. Pour les accompagner dans ce projet, Gonin TP a livré 11 m3 de béton de chaux de consistance S3. Formulé sur la base de la chaux Saint-Astier NHL5, il intégrait des granulats de type 0/10. Le matériau a permis de couler une dalle sur l’ensemble du rez-de-chaussée. Dans un second temps, au premier étage, une autre dalle va être réalisée pour pouvoir créer d’autres pièces. Toutefois, à ce jour, aucune entreprise n’a été mandatée pour effectuer ces travaux. La métamorphose complète du bâti devrait s’achever d’ici la fin de cette année. Lire aussi : Rhône : Paschal, l’Ile O en symbiose avec le fleuve Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 123 jours

Doka : Universalité coffrance

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Panelife de Doka est un panneau de coffrage universel. [©Doka] C’est le panneau de coffrage universel Panelife qui fait l’actualité Doka. Léger, souple et lisse, il est proposé en deux épaisseurs (15 ou 18 mm) Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 123 jours

Calvados : Drive Béton revient vers le futur

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. “Robi”, le patron de Drive Béton, a fait décorer par le graffeur Déco Real sa nouvelle toupie évoquant le thème du film “Retour vers le futur”. [©Drive Béton] A l’origine, Robert Gantzer, dit “Robi”, était chaudronnier, spécialisé dans la réparation de centrales à béton sans les arrêter… Mais en 2012, il franchit un nouveau cap en ouvrant sa propre unité de production de BPE, à deux pas de Caen. L’outil fonctionne super bien et le chiffre d’affaires suit, mais on n’en saura pas plus… Amateur de fast-foods, Robi intègre sur sa centrale un distributeur automatique de béton, en juillet dernier. Ce service est accessible entre 16 h 00 et 22 h 00 la semaine et le week-end. Ce distributeur est à destination des particuliers et des professionnels, à partir de seulement 100 l de béton. Lire aussi : Calvados : L’Esitc de Caen annonce la réalisation d’un chantier éco-responsable Dans un souci d’originalité, Robi demande au graffeur Déco Real de customiser son installation. En grand fan du film du “Retour vers le futur”, mais aussi parce que dans l’opus 2, les héros font un voyage temporel en 2015 et découvrent des technologies de pointe, “Robi” l’a fait décorer autour de ce thème. Mais le “voyage” ne s’est pas arrêté là… « J’ai aussi acheté un Arocs 3245 8×4 gréé en malaxeur-pompe par le carrossier Cifa au lieu de le louer. » Rien d’original dans cet équipage : moteur Mercedes 6 cylindres en ligne type OM 471 de 12,8 l de cylindrée et d’une puissance de 330 kW/449 ch. Nettement plus fun est la décoration choisie, puisqu’elle reprend le même thème. Un logo Drive Béton orangé sur la proue, mais aussi et surtout Doc sur la porte-conducteur et un… hoverboard sur celle du passager. Une chose est sûre : à Caen et ses alentours, tout le monde connaît désormais Drive Béton et son camion ! Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 123 jours

Cruard Charpente : Hybridal, concept “prêt à poser”

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine Mise en place d’une Hybridal de Cruard Charpente sur un chantier de construction d’un immeuble de logements. [©Cruard Charpente] L’Hybridal est avant tout le fruit d’un travail inter-filières. A son origine, un groupe de recherche créé en 2014, réunissant Cruard Charpente, Jousselin Préfabrication et le consultant Julien Lebourgeois. Le produit, lui, a connu ses premiers essais en 2019, année du dépôt de brevet aussi. Sa commercialisation est active depuis le début de l’année 2021. Le plancher préfabriqué Hybridal consiste en un caisson fermé en bois de 2,40 m de large pour une portée allant de 6 à 15 m. Il renferme un complexe isolant, tout en autorisant le passage des réseaux. La hauteur des solives dépend de la charge d’exploitation attendue et, bien entendu, de la portée maximale. Elle va de 20 à 68 cm. Une dalle de compression à 50 MPa La partie supérieure des solives est recouverte d’un média de liaison (breveté) assurant une liaison par collage entre le bois et le bois de la dalle de compression. Ceci, en lieu et place des traditionnels connecteurs en acier. Ce dispositif assure une liaison continue parfaite et sans glissement. La mise en œuvre du béton, de type C40/50, est opérée dans l’atelier de préfabrication et non sur chantier. Après la pose du treillis soudé anti-fissuration (qui a aussi une action structurelle) et d’un petit coffrage périphérique, le béton est coulé sur une épaisseur minimale de 7 cm. Des crochets de levage et de manutention y sont intégrés. Prête à poser, l’Hybridal ne nécessite aucun coffrage complémentaire sur chantier, aucun coulage de béton, aucun dispositif d’étaiement en plus. Le produit est sous Atex A depuis 2020. Enfin, selon le référentiel de l’Ademe, l’Hybridal peut justifier d’une réduction de 134 kg.éqCO2/m2, en comparaison à une classique dalle béton de 20 cm d’épaisseur. Retrouvez le dossier “Bétons et mixité : Le bon matériau, au bon endroit” en cliquant ici Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 124 jours

Initiales BB par A2C Matériaux

Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Pose d’une Dalle BB d’A2C Matériaux sur le chantier de la tour Wood’Up, à Paris. [©ACPresse] C’est un futur décarboné que propose A2C Matériaux avec sa Dalle BB. Cette solution constructive inédite utilise le meilleur du béton et du bois. D’où ses initiales BB ! Le premier argument est de permettre aux utilisateurs de profiter de la construction hors site. En effet, la Dalle BB est préfabriquée en usine. Elle s’articule autour d’une dalle nervurée réalisée sur mesure. Pour réduire au maximum l’empreinte carbone, l’industriel met en œuvre une formulation de béton bas carbone et des armatures en acier recyclé. Entre les nervures prend place un isolant biosourcé à base de fibres de bois : le panneau Pavawall GF d’une capacité de 130 kg/m3, issu de l’offre Pavatex (groupe Soprema). En plus d’alléger et d’isoler l’ensemble de la structure, les panneaux autorisent l’intégration de réseaux (électricité, eau…). En usine, toutes les réservations sont pré-découpées dans l’isolant. Sur chantier, il ne reste plus qu’à positionner les câbles et autres conduites, et à les connecter les uns aux autres. La Dalle BB est livrée sur camion. Il suffit juste de la reprendre et de venir la positionner à son emplacement définitif dans le bâtiment. Comme on le ferait avec m’importe quelle prédalle classique. L’opération finale est le coulage de la dalle de compression, d’une épaisseur de 5 cm. Le béton préconisé est, ici encore, une formulation bas carbone. Mais un béton standard reste aussi utilisable. Une marque sous licence L’offre de Dalles BB se décline en une gamme complète d’épaisseurs oscillant entre 20 et 35 cm (dalle de compression incluse). Sous DTA depuis juillet 2022, elle affiche un bilan carbone final intéressant, de l’ordre de 27 kg.éqCO2/m2. A comparer aux 53,5 kg d’un plancher béton de référence… D’un poids de 350 kg/m2, la Dalle BB offre une portée allant de 6 à 10 m. L’année 2022 a été un excellent cru pour son développement. Pas moins de 33 000 m2 ont été préfabriqués et posés. Dont 7 000 m2 prévus sur e chantier de construction de la tour Wood’Up, dans le quartier Massena, à Paris. Une opération à découvrir en détail dans Béton[s] le Magazine n° 105 – Mars/Avril 2023 Enfin, Dalle BB est aussi une marque, dont A2C Matériaux propose des licences. A ce jour, les industriels Capremib, Rector et Techni Préfa ont signé un accord pour en assurer la préfabrication et la commercialisation. Des offres qui devraient être opérationnelles dans les mois qui viennent, le temps d’adapter les outils de production. Retrouvez le dossier “Bétons et mixité : Le bon matériau, au bon endroit” en cliquant ici Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 124 jours

Weber : Une exclusivité dans le béton de chanvre

Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Le béton de chanvre offre de nombreuses possibilités constructives. [©Lhoist/Saint-Gobain] Ce n’est un secret pour personne : Saint-Gobain Weber est un fabricant et un fournisseur de produits minéraux. Cette définition ne lui interdit pas pour autant d’être présent dans le domaine de la mixité.« Nous travaillons autour Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 124 jours

Juridique : Responsabilité en cas de perte ou corruption des données immatérielles

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Les entreprises ont l’obligation de protéger leur patrimoine informationnel. [©ACPresse] Il a fallu attendre le Data Governance Act pour que l’Union européenne, qui poursuit l’objectif de développer un marché responsable de la donnée, en propose une définition juridique. Cette dernière permet d’appréhender un nombre important de typologies de données : “la donnée constitue toute représentation numérique d’actes, de faits ou d’informations et toute compilation de ces actes, faits ou informations, en particulier sous la forme d’enregistrements sonores, visuels ou audiovisuels”. Même si le RGPD1 est sur toutes les lèvres, une donnée n’est donc pas forcément personnelle. Celle-ci peut avoir plusieurs natures et obéir à plusieurs régimes juridiques. Personnelle ou non, une donnée peut constituer un actif économique majeur, dont la perte, la corruption ou la simple indisponibilité peut se révéler catastrophique pour la société, dont l’activité dépend du traitement de la donnée. L’incendie en mars 2021 d’un datacenter de la société OVH en est le parfait exemple. De très nombreux sites Internet avaient été touchés par cette catastrophe. Et plusieurs entreprises avaient déclaré avoir subi des pertes, parfois, irréversibles de données. Ce qui a impacté de façon durable leur activité… Les traitements de données impliquent obligatoirement l’existence de risques et de responsabilités, qui peuvent être limités par des mesures de préventions idoines. Entre risques et responsabilités Ainsi, les entreprises ont l’obligation de protéger leur patrimoine informationnel. La perte, l’altération ou la corruption d’une donnée constitue à la fois un risque opérationnel, réputationnel et juridique. Ce dernier est sans doute le plus difficile à appréhender, car protéiforme. Il est la conséquence directe des multiples obligations, dont les entreprises sont les débitrices et qui peuvent être d’origine légale, règlementaire et/ou contractuelle. Lire aussi : Juridique : La clause de non-concurrence des salariés En cas de perte ou d’altération d’une donnée, les responsabilités qui seront mises en œuvre dépendront de la nature de cette donnée et de la nature de l’atteinte à la donnée. La multiplication des obligations légales et règlementaires rend difficile leur énumération exhaustive. Ainsi, par exemple, le RGPD prévoit que le responsable d’un traitement qui n’aurait pas pris les mesures de sécurité nécessaires s’expose à une amende administrative pouvant aller jusqu’à 2 % du chiffre d’affaires, dans la limite de 1 M€… Le code de la propriété intellectuel sanctionne, lui, la divulgation d’un secret de fabrique par une amende de 30 000 € et 2 ans d’emprisonnement. Le risque juridique est aussi contractuel. Un professionnel pourra voir sa responsabilité mise en cause si, en ne respectant pas une obligation contractuelle, il a provoqué un préjudice. Et les dommages et intérêts résultant de l’altération et/ou destruction de données ne sont pas négligeables. Les mesures de prévention Afin de se prémunir contre les risques inhérents aux traitements des données (stockage, accès, maintenance …), l’entreprise devra mettre en œuvre deux types de mesures de prévention. • En interne, elle devra cartographier les données et les classer selon leur nature, leur degré de sensibilité. C’est donc sans surprise que l’Annsi2 conseille aux entreprises de réaliser une cartographie, un inventaire de leurs données et des traitements qu’elles réalisent. Cette classification doit s’accompagner de la mise en place d’outils techniques adéquats pour assurer la protection des données (chiffrement, duplication, externalisation…) et de l’instauration de process de gouvernance et de gestion adaptés. Telle la création d’un plan de gestion de crise (en particulier pour garantir une continuité d’activité). • En externe, l’entreprise devra veiller à la conclusion de clauses de confidentialité, ainsi qu’à la répartition des obligations dans les contrats et aux clauses limitatives de responsabilités. Les rédactions trop générales et imprécises seront à proscrire. Le meilleur remède reste la prévention. Cette dernière inclut le fait de vérifier que la police d’assurance couvre bien les risques liés à la perte ou à l’altération des données considérées comme sensibles par l’entreprise. Olivier Javel Avocat à la Cour Cabinet 1792 Avocats 1Règlement général sur la protection des données.2Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information. Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 124 jours

Société francilienne de béton : Savoir dépasser le contexte local

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Zakia Benrezkallah est le responsable QSE de la Société francilienne de béton. [©SFB] A l’origine PME familiale créée en 1991, la Société francilienne de béton (SFB) connaît une croissance régulière. Elle emploie 35 personnes au niveau de ses unités de production de BPE. Mais fait aussi appel à des prestataires extérieurs pour assurer la livraison du béton, ce qui représente en moyenne 80 chauffeurs. Au même titre que le personnel salarié, ces prestataires sont sensibilisés et formés aux problématiques de sécurité et de prévention, tant au niveau des sites que sur la route ou lors des phases de livraisons sur chantier. Sur ce dernier point, le client envoie un protocole de chargement/déchargement. Ce qui permet de filtrer, de poser des questions complémentaires, afin de s’assurer que les procédures de sécurité sont compatibles avec la zone de livraison. Chaque unité de production dispose d’un plan de circulation, évitant ainsi toute co-activité entre les toupies, les engins de manutention et les piétons. D’une manière plus globale, on retrouve chez SFB la plupart des actions mises en œuvre par la profession, basées pour la plupart sur des recommandations éditées depuis plusieurs années par l’Unicem. Lire aussi : Val-de-Marne : La SFB ambitieuse et engagée Avoir un œil critique Le turn-over est faible, l’ancienneté importante, mais l’entreprise accueille chaque année des intérimaires, indispensables pour faire face aux périodes de forte production. Ces collaborateurs ponctuels sont accueillis, sensibilisés aux risques et formés à leur poste de travail, en suivant les mêmes procédures que les salariés intégrés : « Je les reçois en premier, afin de les informer sur les risques les plus importants, précise Zakia Benrezkallah, responsable QSE de SFB. Nous visitons ensemble le site et je leur remets un livret d’accueil. Ensuite, ils sont pris en charge par un salarié qui va les assister au début dans leur fonction. En parallèle, j’assure un suivi régulier les premiers jours… » L’ensemble du personnel, salariés et intérimaires, reçoit un package d’EPI, avec des tenues différenciées été/hiver. Des quarts d’heure sécurité sont organisés à intervalles réguliers. SFB a mis en place une procédure d’audit externe, mais aussi interne, en faisant visiter les centrales aux salariés des bureaux, en leur demandant d’avoir un œil critique, dans un contexte qui n’est pas leur lieu habituel de travail. Les retours d’expérience sont positifs pour tous. Gérard Guérit Une politique environnementale assumée Chaque barge de livraison de granulats évite les rotations d’environ 40 semi-remorques. Pour la plupart, les granulats sont issus de carrières situées en Ile-de-France. [©SFB] La prise de conscience environnementale de SFB passe par plusieurs actions au niveau des différents sites de production. La plus importante reste le partenariat signé avec Hoffmann Green Cement, producteur de liants ultra décarbonés. Il s’agit là d’un moyen simple pour améliorer le bilan carbone de l’entreprise… Autre évolution notable, la livraison des granulats se fait par barges pour les sites implantés en bord d’eau. Un transport fluvial de 1 200 t représentant l’équivalent de 40 semi-remorques. De plus, les granulats sont pour la plupart issus de carrières proches situées en Ile-de-France. Les eaux de process et de nettoyage suivent un cycle de retraitement en circuit fermé. L’évolution du climat et le développement récent de phénomènes de précipitations violentes ont poussé les dirigeants de SFB à investir dans des cuves de rétention de grande capacité. Ceci, afin d’éviter tout risque de débordement des eaux. L’implantation d’unités de production dans des sites urbains implique aussi une gestion spécifique vis-à-vis du bruit et des émissions de poussières. Les convoyeurs à bande sont capotés, les pistes régulièrement arrosées, le personnel est équipé de bouchons d’oreille sur mesure et intégrant des filtres. Des mesures de bruit et d’émissions de poussières sont réalisées à intervalles réguliers, des registres d’observations, de remarques, voire de plaintes, sont mis à la disposition des riverains. Un lieu de travail durable et solidaire Dans le prolongement de l’engagement au label RSE, SFB a adhéré au Pacte mondial des Nations Unies, qui définit 17 objectifs à atteindre à l’horizon 2030. [©SFB] Face aux défis environnementaux et sociétaux actuels, SFB décide d’aller plus loin et s’engage dès 2018 dans deux démarches volontaires : le label RSE de l’Unicem et le Global Compact des Nations Unies. « L’engagement dans la démarche RSE de l’Unicem nous a d’abord aidés à établir un état des lieux. Mais aussi à valider ce qui relevait déjà d’une RSE, sans même parfois en avoir conscience. Il nous a permis d’aller plus en avant sur les thèmes que sont la gouvernance, les droits de l’homme, les relations et les conditions de travail. Tout comme l’environnement, la loyauté des pratiques, les questions relatives aux consommateurs, les communautés et le développement local », détaille Zakia Benrezkallah. Et de poursuivre : « Cette première démarche nous a fait prendre conscience des enjeux mondiaux d’une entreprise, même à l’échelle d’une PME comme la nôtre. Dans le prolongement de notre engagement au label RSE, nous avons ainsi adhéré au Pacte mondial des Nations Unies, qui définit 17 objectifs à atteindre à l’horizon 2030 ». Ces objectifs aident à contribuer à une économie plus viable et plus ouverte. Ils sont souvent interdépendants et dépassent les problématiques basiques et immédiates d’une entreprise. Par exemple, ils visent à promouvoir et à respecter la protection du droit international relatif aux droits de l’homme. A veiller à ne pas se rendre complices de violations des droits de l’homme. A préserver la liberté d’association. A contribuer à l’élimination de toutes formes de travail forcé, de toute discrimination en matière d’emploi et de profession. A appliquer une approche de précaution face aux problèmes liés à l’environnement. A favoriser l’usage de technologies respectueuses de l’environnement. Ou, enfin, à agir contre la corruption sous toutes ses formes. De la théorie aux faits concrets Sur plusieurs sites, SFB a mis en place des ruches. Une contribution à la lutte contre l’extinction des abeilles et pour la préservation de la biodiversité. [©SFB] S’engager dans de telles démarches implique de les traduire dans des actions concrètes… En 2021, SFB fait appel à une entreprise “adaptée” pour traiter la gestion de ses déchets. Une réelle participation à la réduction des inégalités. « Ce n’est pas une action de communication et elle n’a pas été relayée auprès du grand public, souligne Zakia Benrezkallah. Nous faisons cela par conviction. » Toujours dans le cadre d’une démarche sociale, l’industriel du BPE a noué un partenariat avec le concept “Nos Quartiers ont du Talent”, un dispositif qui accompagne et parraine des jeunes issus de milieux modestes en recherche d’emploi. Ce partenariat permet de reprendre confiance en son avenir, mais aussi d’acquérir les codes du monde du travail, de valoriser ses compétences… A l’heure où nombre d’entreprises peinent à recruter du personnel qualifié et que le taux de chômage reste élevé dans notre pays, de telles actions ne peuvent qu’aider à améliorer une situation de l’emploi qui reste complexe. De même, SFB s’est engagé dans la récupération et la revente des bouchons de bouteilles en plastique. Opération destinée à financer l’achat de fauteuils roulants. Un partenariat a été finalisé en période de Noël avec le Secours Populaire. Il proposait aux salariés de l’entreprise de constituer des coffrets-cadeaux comprenant un vêtement chaud, un produit d’hygiène, une gourmandise, un mot ou une carte d’accompagnement, et destinés aux sans-abris. Cette politique environnementale et sociale passe enfin par des journées Portes ouvertes qui visent à sensibiliser les non-professionnels à la fabrication, à l’usage et à l’intérêt des ouvrages en béton. L’occasion de montrer au grand public quelques initiatives originales, comme la mise en place de ruches, afin du lutter contre l’extinction des abeilles. Ou encore la création de prairies florales favorisant la biodiversité… Des démarches qui étonnent souvent ce public, dans un environnement qu’il perçoit a priori comme uniquement industriel ! Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 124 jours

Henry Lossier : Un ingénieur suisse sorti de l’ombre

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. En 1912, Henry Lossier quitte Armand Considère et s’établit comme ingénieur conseil à son nom. Il se spécialise dans les structures en béton. [©DR] Henry Lossier (1878-1962) suit les cours de l’Ecole polytechnique fédérale de Zurich, dont il sort major de promotion en 1901. Sept ans plus tard, il s’associe avec l’ingénieur français Armand Considère pour travailler dans son bureau d’études. Il y développe les applications du béton armé. Ensemble, en 1908-1909, ils conçoivent notamment trois ponts en arc pour la ligne de tramway des Alpes-Maritimes vers Saint-Martin-Vésubie, à partir de Levens-Vésubie. Puis, le pont du tramway à Saint-Jean-la-Rivière (50). En 1912, Henry Lossier quitte Armand Considère et s’établit comme ingénieur conseil à son nom. Il se spécialise dans les structures en béton. Lire aussi : Armand Considère : Pionnier du béton, en mal de reconnaissance Comme ingénieur conseil Pont du Martinet à Lantosque, conçu par le bureau d’études d’Armand Considère et Henry Lossier. [©DR]Pont du tramway à Saint-Jean-la-Rivière, conçu par le bureau d’études d’Armand Considère et Henry Lossier. [©DR] Et la Première Guerre mondiale éclate. Henri Lossier s’engage en 1914, il est blessé en 1916. En 1917, il réalise les plans du hangar à dirigeables d’Ecausseville (50), appliquant le procédé constructif développé par François Hennebique. Ce hangar s’inscrit dans un rectangle de 150 m x 24 m, soit une surface au sol de 3 600 m2. En forme de voûte en plein cintre de 12 m de rayon, le bâtiment culmine à 32,50 m. Il est le troisième plus important ouvrage en béton armé du début du XXe siècle. Par la suite, l’ingénieur français Paul Séjourné prévoit la construction d’un pont routier au-dessus des voies ferrées à 2 km au Sud de Randan (63). Il y associe Henry Lossier, qui fait l’étude de ce pont en forme de poutre Vierendeel, de hauteur constante et à deux travées de 23 m et 17,80 m. Par la suite, il conçoit les cinq hangars aéronautiques de l’aéroport de Paris-Le Bourget, réalisés en 1921-1922. Ils sont agrandis en 1932. Endommagés en 1944, ils sont reconstruits à l’identique. Lire aussi : Le dernier hangar à dirigeables En 1921, la Compagnie de chemin de fer du Midi lui confie l’étude du pont de Castelnaudary (11) pour franchir ses voies sans appui intermédiaire. Le pont en arc sous-tendu de type bow-string est réalisé par l’entreprise Mallet en 1921-1922. Il a une portée de 41,40 m. Puis, il fait les plans du silo à céréales de la gare d’Arenc (13), comprenant 96 cellules de 100 t, réalisé entre février 1926 et août 1927. Lire aussi : Villa Hennebique : Le manifeste du béton armé Mise au point de la “précontrainte réglable” En 1917, il réalise les plans du hangar à dirigeables d’Ecausseville (50), appliquant le procédé constructif développé par François Hennebique. [©AAHDE] En 1927, il dessine le pont Louis-Saint ou pont de Souk-el-Arba, sur l’oued Mellègue, à Jendouba, en Tunisie. C’est un pont bow-string de 92 m qui détient alors le record du monde de portée pour ce type d’ouvrages. En 1930, associé avec les Établissements Fourré et Rhodes, il présente un projet d’autostrade entre la porte Maillot et la porte de Vincennes, à Paris. En 1935-1937, il conçoit le pont de Pouilly-sous-Charlieu (42), qui comprend trois arches de 63 m de portée. Il remporte en 1935 le marché de reconstruction du pont de Villeneuve-Saint-Georges (94). En 1937, associé avec l’architecte Georges Wybo, il réalise les plans du pont Cornudet, pour franchir l’Oise entre Neuville-sur-Oise et Jouy-le-Moutier (95). Ce dernier est inauguré le 2 juillet 1939. Le 9 juin 1940, il est dynamité par le Génie français. Après les premiers brevets d’Eugène Freyssinet sur la précontrainte, Henri Lossier va mettre au point ce qu’il a appelé la “précontrainte réglable”, système proche de ce qui a été plus tard appelé la “précontrainte extérieure”. Le second pont de Villeneuve-le-Roi/Villeneuve-Saint-Georges en voit la première application, en 1948-1950. En 1950, il étudie le pont de Saint-Julien-sur-Garonne, permettant de franchir la Garonne en une seule arche de 101 m. Henri Lossier est aussi l’auteur de très nombreuses publications techniques de référence en France, dont certaines ont été traduites. M. C. Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 124 jours

Landes : Etchart reconstruit le barrage de la Nasse

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Les premiers coulages de béton ont été effectués en janvier dernier, afin de reconstruire le barrage de la Nasse, à Léon. [©Cemex] Près du village de Léon, le barrage et la passerelle pédestre de la Nasse font peau neuve. Situés au milieu de la réserve naturelle du courant d’Huchet, ces deux édifices jouent un rôle essentiel. L’un régule le niveau de l’eau de la rivière, l’autre permet son franchissement. Construits en 1983, ces ouvrages étaient plus que vétustes. Réalisé en 2017, un diagnostic a mis en évidence des problèmes concernant la structure et son mode de fonctionnement. Un chantier débuté en octobre 2022 Le chantier de reconstruction a débuté en octobre 2022. Il est réalisé par le groupement composé d’Etchart Génie civil et maritime, de Montieux TP, d’Eviaa Marine et d’ID Verde. « Les travaux en rivière et de génie civil ont consisté à la création d’un nouveau barrage et de trois contre-seuils en palplanches, déclare Antoine Philippo, conducteurs de projets chez Etchart. Le génie civil du barrage est ensuite effectué en 2 phases, via des caissons de palplanches réalisés par les équipes de FFT Fondations. Ceci, afin de permettre à nos équipes de travailler dans la rivière et au sec. Elle fait office de fondation profonde à l’ouvrage béton. » Les radiers et les voiles sont coulés avec un béton CXB Génie Civil C30/37 XF1, formulé par Cemex. De quoi répondre aux contraintes de résistances et de classes d’exposition du barrage. A eux seuls, les radiers ont englouti 100 m3 de béton, mis en œuvre à l’aide d’une grue autoportée et avec une pompe à béton munie d’une flèche de 36 m. Lire aussi : Duhalde, “Notre partenariat avec Materrup va dans le bon sens” En ce qui concerne le génie civil, un clapet hydraulique sera installé, afin de réguler le niveau d’eau de l’étang. L’ensemble des seuils sera habillé d’un bardage bois, afin de s’intégrer au mieux dans l’environnement naturel. Des travaux qui doivent s’achever avant la période estivale. Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 124 jours

Charente-Maritime : Un port agrandi par Vinci Construction

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Le 7e port de pêche français bénéficie désormais d’un 3e bassin portuaire accessible 24 h/24. [©Département de la Charente-Maritime] Situé sur l’île d’Oléron, le port de pêche de La Cotinière a été réhabilité et agrandi. Rénovée en 1987, l’infrastructure portuaire s’est révélée trop petite pour accompagner la croissance de la production locale. Le programme de réaménagement a été porté par le département de la Charente-Maritime. Il a nécessité le coulage de plus de 11 000 m3 de béton. Débutés en février 2019, les travaux se sont achevés en mars 2022. Des opérations menées par plusieurs filiales de Vinci Construction (GTM Bâtiment Aquitaine, Vinci Construction Terrassement et Vinci Construction Maritime et Fluvial). Le défi principal était de créer un nouveau bassin portuaire de 4,3 ha. Un chantier soumis au rythme des marées a commencé dans un espace protégé. « Face à l’interdiction de recourir au minage, nous avons procédé par fracturation et extraction mécanique », explique Antoine Blandin, chef de service travaux chez Vinci Construction Terrassement. Pendant cette phase, 250 000 m3 de matériaux ont ainsi été excavés sous 1 à 5 m d’eau. Lire aussi : Nouvelle-Aquitaine : Une région dynamique La pièce maîtresse du projet concerne le nouveau quai de déchargement optimisé pour les bateaux de pêche. Long de 250 m et haut de 11 m, il est constitué de près de 500 pièces en béton préfabriqué, conçues par des partenaires locaux puis, assemblées sur site. « Les plongeurs sont intervenus pour les mettre en place, précise Nicolas Marsaud, directeur travaux chez Vinci Construction Maritime et Fluvial. C’est une responsabilité énorme, car les éléments en béton doivent être empilés avec des joints de 10 mm d’épaisseur. Il est essentiel de respecter une tolérance de plus ou moins 3 mm sur les 11 m de hauteur du quai… » En plus de l’infrastructure, le projet de modernisation du port de La Cotinière comprend la réalisation d’une nouvelle criée, un bâtiment de 11 000 m2. Sur deux étages, il permet de transformer, conditionner, stocker, vendre et exporter le poisson. Un atout qui permet ainsi de faire de La Cotinière, un port industriel et touristique majeur. Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 124 jours

Val de Loire : Cerc, emploi et formation

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Dans la région Centre – Val de Loire, près de 123 entreprises génèrent un chiffre d’affaires de 282 M€. [©ACPresse] 2 812 C’est le nombre de salariés et d’intérimaires de l’industrie des matériaux en 2021. Un chiffre en hausse depuis 2013. Une tendance qui se confirme sur les deux dernières années (+ 5,6 %). Elle place ainsi le Centre – Val de Loire comme la région le plus dynamique de France… 46 % Indique le pourcentage de salariés dans l’industrie des matériaux qui sont des agents de production. Les fonctions techniques et encadrements représentent 21 % des effectifs. Les fonctions administratives et commerciales affichent le même résultat. Enfin, les conducteurs et les agents de maintenance reflètent, eux, 7 % et 5 % des salariés. Lire aussi : Ile-de-France, d’après le Cerc, le secteur du bâtiment reste debout 103 Désigne le nombre de jeunes qui se sont initiés en 2021/2022 aux métiers de l’industrie des matériaux dans des centres de formation. Un chiffre en nette augmentation et qui représente près du double de l’année scolaire précédente (61 individus). Le métier de mécanicien d’engins a attiré 78 étudiants, et celui de la pierre et du marbre, 25. Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 124 jours

Pathologie : Les réactions sulfatiques – Partie II

Article paru dans Béton[s] le Magazine numéro 104 Ettringite différée massive (1), vue au microscope électronique à balayage. [©Lerm Setec] Lire aussi : Pathologie : Les réactions sulfatiques – Partie I 3 – Comment prévenir les réactions sulfatiques ? Différents paramètres chimiques interviennent dans la formation d’ettringite : teneur en sulfates et en aluminates, et leurs proportions relatives. Mais aussi en chaux (Ca(OH)2) disponible, qui a une influence significative sur la solubilité de l’ettringite. Ces paramètres varient selon le type de ciments et en particulier, la présence d’additions minérales hydrauliques ou pouzzolaniques (laitier de hauts fourneaux, cendres volantes, pouzzolanes). Le choix d’un ciment résistant aux sulfates est une condition essentielle à la limitation du risque de formation d’ettringite expansive, qui doit être associée à la mise en œuvre d’un béton compact limitant la pénétration des ions agressifs. Les textes en vigueur (FD P18-011, NF EN 206/CN, Fascicule 65) permettent Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 124 jours

Leviat Plaka : ITE et Fdes

Article publié dans Béton[s] le Magazine n°104 La solution Isotec de Leviat Plaka. [©Plaka] Evoluant aujourd’hui sous la bannière Leviat, comme les autres membres du groupe CRH Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 124 jours

Vicat mise sur Biosys, le bloc de chanvre qui respecte les habitude

Pose d’un bloc de chanvre à emboîtement (BCE) Bisosys de Vicat. [©Vicat] Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Biosys est la marque des systèmes constructifs biosourcés du groupe Vicat. Et le bloc de chanvre à emboîtement (BCE) en constitue le premier représentant. L’élément est aujourd’hui préfabriqué par l’industriel Vieille Matériaux, dans son usine de Mérey-sous-Montrond, dans le Doubs. « D’une épaisseur de 30 cm, ce bloc plein est réalisé à partir d’un mélange de chènevotte ou granulats de chanvre et de ciment naturel Prompt », explique Damien Rogat, directeur innovations appliquées de Vicat. La formule de ce béton de chanvre est protégée par un brevet… Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 124 jours

Fabemi : un système complet

Article publié dans Béton[s] le Magazine n°104 Fabemi a développé un système complet, dont fait partie la Rivtherm 25. [©Fabemi] Fabemi a développé Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 124 jours

Alkern : Le choix de la planelle

Article publié dans Béton[s] le Magazine n°104 Alkern s’appuie sur son Isoplanel pour assurer la rupture de ponts thermiques. [©Alkern] Sur le marché de la rupture thermique, Alken Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 124 jours

Spurgin Léonhart rajoute un béton vert à son offre

Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Spurgin Léonhart croit beaucoup dans la technologie de béton de bois TimberRoc développée par CCB Greentech. [©CCB Greentech] Pour Spurgin Léonhart, le bas carbone n’est pas du tout un effet de mode. Cela fait déjà plus de 4 ans que l’industriel du béton d’origine alsacienne s’y est engagé. « La presque totalité de nos produits est déclinable en béton bas carbone », indique Damien Guesnier, Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 124 jours

R – Technologie démarre son outil industriel

R-Technologie va passer en phase industrielle dans les semaines qui viennent… [©R-Technologie] Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Paul Cheminal a misé sur le procédé béton de béton de CCB Greentech depuis 2017. Année qui marque la naissance de la société R-Technologie, dont il assure la direction. Depuis, l’industriel a réalisé des éléments en petites séries Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 124 jours

Point P : Et la terre devient matériau de construction

Saint-Gobain Point.P développe son offre “Construire en terre”. [©ACPresse] Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine « Le gouvernement nous oblige à construire en bois. Sauf qu’en Paca, il n’y en a pas ! En revanche, nous avons de la terre… Que pouvez-vous nous proposer ? » Cette remarque a été faite par les promoteurs du projet Euroméditerranée à l’encontre du groupe Saint-Gobain. Celui-ci a ainsi Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 124 jours

Diasen mise sur le liège

Le Diathonite Thermostep.047 de Diasen est un mortier intégrant des fibres et du liège. [©Diasen] Du côté de Diasen, on pourrait presque jouer au jeu des sept familles. En effet, l’industriel italien a su bien décliner son offre Diathonite. Nous ne sommes pas ici dans le domaine des bétons, mais plutôt dans celui des mortiers. La solution qui retient l’attention s’appelle Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 124 jours

Alpes-Maritimes : Sols Azur embellit le cœur de la ville de Cannes

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Les travaux d’embellissement des Allées de la Liberté se poursuivent jusqu’en mai 2023. [©Groupe Sols/ Nico Gomez] Après avoir transformé le cours Félix Faure en une promenade piétonne conviviale, Cannes a poursuivi son vaste projet d’embellissement. Situés au cœur de la ville, les espaces publics des Allées de la Liberté sont en cours de rénovation. Dès février 2022, trois entreprises sont intervenues pour effectuer les travaux. La première, Urban NT, indépendante, fabrique et pose le mobilier urbain. Le second, UrbaTP, filiale du groupe Sols, intervient dans la création et la restauration des revêtements en pierre naturelle. Sols Azur assure du béton décoratif Esthétiques, nobles et façonnables, ces dernières offrent la possibilité de donner un caractère unique à ce projet. Quant à la troisième, Sols Azur, elle aussi appartenant au groupe Sols, elle s’est chargée du béton décoratif : un béton bouchardé à la teinte claire, délivré par Lafarge. Quelque 670 m3 de béton ont été coulés jusqu’à présent. Et 890 m3 vont suivre, afin de requalifier l’esplanade des Allées. La fin du chantier est prévue pour mai 2023… Lire aussi : Alpes-Maritimes, Lizée devient partenaire Ecopact « La ville de Cannes est ravie des travaux qui ont été réalisés à ce jour, précise Olivier, Caron, chef d’agence Sols Azur. Ce projet a été pensé par la maîtrise d’œuvre, agence APS, comme un vaste “salon urbain”. Actuellement, nous poursuivons ce chantier avec nos différents savoir-faire. L’objectif est de rendre cette zone piétonne plus chaleureuse et sécurisée, tout en conservant l’identité de Cannes. » Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 125 jours

CBS-CBT, un pionner de la dalle mixte bois-béton

Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Système D-Dalle de CBS-CBT en attente de la mise en œuvre de la dalle de compression en béton. [©CBS-CBT] Dans la mythologie grecque, Dédale est associé au Labyrinthe qu’il a construit à la demande du roi Minos pour y enfermer le Minotaure. Dédale est aussi le père d’Icare qui perdit ses ailes en cire à vouloir voler trop près du soleil. En Suisse, chez CBS-CBT, la légende est tout autre… D-Dalle n’emprisonne personne, mais vise à construire des bâtiments. Utilisant pour cela le meilleur du bois et du béton. La solution imaginée par CBS-CBT n’est pas nouvelle, puisque présente sur le marché depuis une vingtaine d’années ! « D-Dalle est beaucoup utilisée pour la réalisation d’écoles ou de bâtiments de bureaux », indique Hugo Labarrière, ingénieur études de prix chez CBS-CBT. Ceci, du fait des grandes portées importantes et sans appuis intermédiaires offertes par le produit. Cette solution constructive couvre des trames comprises entre 8 m et 18 m. A l’origine, D-Dalle est une extension de la dalle O’portune (assemblage de planches en bois décalées sur la hauteur, connectées avec des vis). La différence avec son aînée est l’incorporation d’une couche de béton sur la partie supérieure, donnant ainsi naissance à une ossature mixte. Compatible avec les bétons bas carbone Plus en détail, les planches utilisées peuvent être de différentes essences (épicéa, sapin, douglas…) et présentent une hauteur de 12 à 26 cm en fonction de la portée attendue. Elles sont décalées verticalement les unes par rapport aux autres et assemblées par vissage, donnant ainsi sa rigidité à l’ensemble.  Dessus et entre les planches s’insèrent des plaques en acier, dont le rôle est d’assurer la connectivité avec le béton à venir. Leur nombre dépend de l’isotropie recherché de la dalle. C’est le bureau d’études intégré de CBS-CBT qui le définit. Si la partie bois de la D-Dalle est préfabriquée en usine, le béton, lui, est coulé sur chantier. De type C25/30, avec une granulométrie limitée à 16 mm, il doit être à faible rapport E/C pour ne pas ramener d’eau libre à l’interface avec le bois. « Dans les faits, les caractéristiques du béton sont décrites dans l’Avis technique dont bénéficie notre D-Dalle », précise Hugo Labarrière. Et qu’en est-il d’une formulation bas carbone ? La D-Dalle n’est, en principe, pas incompatible, mais cet usage impose des tests de mise en œuvre complémentaires et la demande d’une Atex, le cas échéant. Retrouvez le dossier “Bétons et mixité : Le bon matériau, au bon endroit” en cliquant ici Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
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Loiret : BLM remplace une de ses trois centrales

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Basée à la Ferté-Saint-Aubin, la nouvelle centrale de BLM sera en mesure de produire 400 000 m3/an de BPE.[©Béton Logistique Maréchal] Fondé en 2008 et aujourd’hui filiale du groupe Nivet, Béton Logistique Maréchal poursuit son essor. En effet, l’industriel du BPE va inaugurer au printemps 2023 sa nouvelle centrale à béton. Située à la Ferté-Saint-Aubin, elle remplace l’ancienne devenue obsolète. Plus sûr en termes de sécurité, plus performant, cet outil industriel offrira davantage de produits spéciaux. Ce sera l’aboutissement d’un travail commencé en 2019 avec la recherche d’un nouveau terrain… « Nous tenions à rester sur la commune de la Ferté-Saint-Aubin, déclare Laurent Viton, chef de la centrale. Nous avons pu compter sur le soutien de la mairie durant toute cette étape. Nous sommes fiers et satisfaits d’avoir mis les moyens dans la construction de notre troisième centrale à béton. Une évolution qui permet de répondre aux problématiques d’aujourd’hui. » Lire aussi : Maine-et-Loire : Partenariat Hoffmann Cement et les Carrières Nivet Un malaxeur Teka TPZ Débutés en 2021, les travaux ont été confiés à l’industriel Stimm. La nouvelle centrale s’articule autour d’un malaxeur planétaire Teka TPZ de 2 m3, qui permettra une production annuelle estimée à 400 000 m3. Côté granulats, BLM a mis les moyens, puisque l’installation intègre 10 cases primaires au sol et 9 trémies secondaires sur la centrale, pour un volume global de stockage de 450 t. Une flotte de 7 toupies aux couleurs de BLM complète le dispositif. « Avec cette centrale, nous souhaitons développer notre présence dans le domaine des matériaux de construction autour d’Orléans. Nous faisons de nos clients, notre préoccupation première. » Implantées à proximité des zones urbaines, les 3 centrales à béton BLM répondent aux besoins des artisans et des entreprises du bâtiment situés dans un rayon de 35 à 40 km. Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
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Loir-et-Cher : Viano BTP s’envol au ZooParc de Beauval

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Réalisé par Viano BTP, le belvédère d’une hauteur de 10,50 m permettra aux visiteurs d’admirer les oiseaux. [©Viano BTP] Après l’inauguration de son dôme équatorial en 2019, le ZooParc de Beauval situé à Saint-Aignan s’est lancé dans la construction de la plus grande volière d’Europe. D’une superficie de 1,6 ha et d’une hauteur de 35 m, elle abritera plus de 500 oiseaux sud-américains. Un lieu unique conçu par le cabinet d’architecture Boitte, installé à Romorantin. A l’intérieur, le public circulera sur une passerelle longue de 255 m et sur des ponts de singe culminant entre 4 m et 9 m de haut. Ces derniers vont surplomber des rivières et des plans d’eau entourés de végétation. Sur le parcours, les visiteurs pourront observer les oiseaux grâce à deux belvédères. De plus, un restaurant panoramique sera installé au centre de la volière à 5,70 m de hauteur, fondé sur 10 pieux en béton armé descendant à 9 m de profondeur. Viano TP, en charge du gros œuvre Pour réaliser ce chantier qui a débuté en avril 2022, le parc a pu compter sur Viano BTP, en charge du gros œuvre. « Cette volière sera couverte par un filet en inox, précise Dimitri Marhoefer, chef de chantier chez Viano BTP. De très grandes valeurs techniques ont été amenées par l’ensemble des équipes. Nous avons à chaque fois apporté de nouvelles idées pour que tout soit parfait. Obtenir le sourire du directeur et des soigneurs est pour nous le signe d’un travail bien effectué. » Lire aussi : Centre–Val de Loire : Impacts sur la hausse des prix des matériaux Pour construire cet édifice, le choix des fournisseurs a été primordial et s’est basé sur la proximité. C’est ainsi que l’agence tourangelle de la Snaam a préfabriqué les armatures pour les passerelles piétonnes courbes en béton. Quant à Rapid Préfa (Vivonne – 86), il était en charge de la préfabrication des poutres et des longrines. Pour sa part, l’industriel Gallaud, spécialisé dans la construction de structures en béton, s’est occupé des prédalles. D’autres, comme SAS Armatures de Criquebeuf-sur-Seine ont fourni les armatures des poteaux de grande hauteur. Et le Viennois Béton Solutions a réalisé les voiles drapeaux, ainsi que les prédalles avec becquets. D’un budget estimé à 14 M€, le chantier participe à l’extension du parc et devrait lui donner une nouvelle dimension. « L’idée est que les oiseaux puissent voler sur de très grandes distances, conclut Rodolphe Delord, président du ZooParc de Beauval. Ce qui leur permettra de se sentir en totale liberté à l’intérieur. Les visiteurs seront immergés au milieu des oiseaux, dans un environnement totalement reconstitué. Un autre monde sera ainsi à découvrir au sein de ce parc animalier. » Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
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Secatol : « Innover est dans notre ADN »

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. De gauche à droite, l’équipe dirigeante de Secatol : Pierre-André Gilles, directeur général, Guillaume Gilles, directeur commercial, et Bertrand Gilles, directeur général et technique. [©ACPresse] Trois quarts de siècle. Voici le cap que vient de franchir Secatol. Fondée en 1947 à Poitiers (86), l’entreprise est aujourd’hui dirigée par la 3e génération de Gilles : Bertrand, Guillaume et Pierre-André. L’anniversaire est pourtant resté discret. « La situation géopolitique, la crise des matières premières, celle de l’énergie ne constituaient pas un contexte favorable pour organiser une fête », explique Pierre-André Gilles, directeur général de Secatol. Qu’à cela ne tienne, l’industriel a misé sur des journées techniques. De quoi permettre aux utilisateurs invités de découvrir les nouveautés du moment, et même un show-room inédit. Rien de tel que de pouvoir toucher le matériel. Un anniversaire est aussi l’occasion de faire un bilan sur le chemin parcouru. « Dans le fond, nous sommes fiers de ce que nous ont transmis nos aînés. Et nous avons su conserver l’ADN d’origine, témoigne Bertrand Gilles, directeur général et technique de Secatol. En même temps, nous avons réussi à saisir les nouvelles opportunités pour continuer à faire évoluer l’entreprise. » Il est vrai que les frères Gilles investissent en permanence dans leur outil de production. 3 500 m2 de panneaux photovoltaïques Située à Saint-Benoît, juste à côté de Poitier, l’usine Secatol se développe sur une superficie couverte de l’ordre de 10 000 m2. [©ACPresse]Secatol a beaucoup renouvelé son outil industriel : ici, une plieuse à commande numérique. [©ACPresse]La découpe laser est aujourd’hui la norme dans l’usine Secatol. [©ACPresse] Ainsi, 2021 a vu l’arrivée de deux Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 125 jours

Bétons et mixité : Le bon matériau, au bon endroit

Sur le chantier de la tour Wood’Up, à Paris, quelque 7 000 m2 de Dalles BB d’A2C Matériaux sont mis en œuvre pour réaliser l’ensemble des planchers de la construction. [©ACPresse] Dans le domaine des bétons, la mixité est devenue tendance. L’entrée en application de la RE 2020 n’y est sans doute pas étrangère. A cette occasion, certains ont même découvert qu’il était possible de formuler son béton autrement… Surtout – et c’est une bonne chose -, la mixité commence à devenir une réalité sur les chantiers et plus uniquement un vœu pieux qui n’aboutissait jamais. Il est vrai que l’adage clamé par la filière béton “Le bon matériau, au bon endroit” n’a jamais été autant d’actualité. D’ailleurs, les autres matériaux de construction n’hésitent plus à le reprendre, montrant que tout le monde est sur la même longueur d’onde ! Le succès grandissant de la mixité est lié au fait que cette approche permet d’agir à plusieurs niveaux. En remplaçant tel matériau par un autre, il devient possible d’agir sur l’empreinte carbone d’une construction. En même temps, on en profite pour préserver certaines ressources naturelles, tout en valorisant des co-produits qui n’auraient sans doute pas trouvé d’usage. Et, bien entendu, la démarche s’opère dans un cadre de proximité, dans le respect de l’économie circulaire. Le béton armé est un matériau mixte Les pages qui suivent permettent de se faire une idée de la richesse des solutions déjà existantes sur le marché – donc accessibles au plus grand nombre – en termes de mixité. Celle-ci peut être inhérente au matériau béton. C’est le cas dès lors que l’on remplace tout ou partie de la charge minérale par des éléments d’origine biosourcée par exemple. La mixité peut aussi être la manière de concevoir l’élément constructif. Un plancher dit “bois-béton” en est un beau représentant. De la même façon, la mixité se retrouve sur la construction en tant que telle, l’architecte ayant fait le choix d’y marier différents types de matériaux. Ce n’est d’ailleurs pas une démarche nouvelle en soi. Les constructions qui mélangent la brique ou la pierre et le béton ou l’acier sont légion dans nos villes. Enfin, est-il utile de rappeler ici qu’en soi, le béton armé est déjà et depuis toujours un matériau mixte, puisqu’il associe les minéraux de sa matrice avec l’acier de l’armature qui y est incorporé. Toujours “le bon matériau, au bon endroit”. Dossier préparé par Frédéric Gluzicki ABD System : Du lin pour des fondationsAgresta : La parole d’un précurseur   Alkern : Le miscanthus, granulat alternatif pour bétonsDiasen mise sur le liègePoint.P : Et la terre devient matériau de constructionDu polystyrène dans le bétonR-Technologie démarre son outil industrielSpurgin Léonhart rajoute un béton vert à son offreVicat : Le bloc de chanvre qui respecte les habitudes       Weber : Une exclusivité dans le béton de chanvreInitiales BB par A2C matériauxCBS-CBT : Pionner de la dalle mixte bois-bétonCruard Charpente : Hybridal, concept “prêt-à-poser”      Eiffage Savare : Une mixité en kitIntégral Bois System : Façade bois à structure béton intégréeDes solutions collaborantes Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
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Des coffrages et des étaiements qui savent innover

Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine. L’étai ST-Aluminium est entré au catalogue Alphi en 2022. [©ACPresse] Entre Batimat et Bauma, l’actualité du coffrage et de l’étaiement a connu quelques moments forts en 2022. L’occasion pour les industriels de dévoiler innovations et évolutions de produits, présentés dans les pages qui suivent… Dossier préparé par Arnaud Le Brun et Frédéric Gluzicki Alphi : En haut du Podium Altrad Coffrage & Etaiement : Une petite révolution Copac : Un moule de poutres bouleversant Coffrages Cosmos : Cob + Evo3, nouvelle banche-outil Doka : Universalité coffrance Hussor : Du modulaire, à présent Hussor Erecta : La tour H18 comme produit phare LPP: La tour MDS à tout niveau Mills : Davantage de sécurité collective Outinord : Une B10000 déclinée en deux versions Paschal : Extensions et améliorations de gamme Peri : Le balcon sans contrainte Retotub : Autour de quatre éléments Sateco : Assembler toujours plus vite… SGB – Hünnebeck : L’esprit de l’escalier Dossier préparé par Arnaud Le Brun et Frédéric Gluzicki Et les autres... Comme il est de coutume, tous les industriels du coffrage et de l’étaiement n’ont pas répondu présents à notre appel. Mais nous faisons le choix de les citer ici, car ils participent à l’offre du marché : Deko, Godon, Ischebeck, Metalusa, Meva, Noe et Ulma. Article paru dans le n°104 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 2 ans et 125 jours

Stradal : « Nous voulons proposer plus de solutions personnalisées »

Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine. Roberto Huet, président d’Eqiom et de Stradal. [©ACPresse] Déjà président d’Eqiom, vous avez accepté de prendre, en même temps, la présidence de Stradal. Pourquoi ce choix ? Une nouvelle réflexion sur le positionnement de Stradal et sa performance sur le marché ont conduit à nommer un nouveau président à la tête de cette entreprise française. Aussi, ai-je été très honoré que l’on me propose ce poste, que j’ai accepté. L’industrie du béton est un monde différent de ceux du ciment, du granulat et du béton prêt à l’emploi. Pour moi, c’est une façon de rester sur le qui-vive pour mieux comprendre l’aménagement des territoires, même si appréhender ce nouveau secteur d’activité me donne beaucoup de travail. Stradal a aussi près de 60 ans d’existence en France. Comment pensez-vous écrire la suite de cette histoire ? Stradal profite d’une belle image historique auprès de ses clients. Et mes prédécesseurs ont accompli Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Article paru dans le n° 104 de Béton[s] le Magazine. Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 125 jours

Victor Remère : Une bétonnière comme four à pain

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 104 Au sein de cet espace de création artistique à ciel ouvert, prend place une bétonnière. [©Victor Remère] A la ferme urbaine “Zone Sensible” de Saint-Denis (93), l’art contemporain pousse entre les salades, les courgettes, les tomates…. Le “fruit de l’imagination” du Parti poétique, qui a repris au printemps 2018, avec les Fermes de Gally, l’exploitation des dernières terres maraîchères du département. Depuis sa création en 2003, le Parti poétique, fondé par Olivier Darné, plasticien et apiculteur urbain, développe en France et à l’étranger, des projets artistiques pluridisciplinaires grandeur nature. Ces derniers véhiculent les thèmes de la nature, de la culture et de la nourriture. Cultiver devient un art ! Au milieu des légumes Ainsi, au sein de cet espace de création artistique à ciel ouvert, prend place une bétonnière. Au premier regard, on est interpellé. Que vient faire cet équipement de chantier au beau milieu des légumes ? Qui plus est, lorsqu’on se rapproche, on lit sur le cartel “La Machine à pain”. Là, c’est trop, on veut comprendre ! « “La Machine à pain” est un pied-de-nez aux chantiers qui peuplent la Seine-Saint-Denis. Une bétonnière est ici détournée pour assumer un autre rôle important : abriter la cuisson des aliments. Comme une projection de l’extérieur vers l’intérieur, je me suis inspiré du jardin des cultures du monde de “Zone Sensible” pour créer un objet qui connecte toutes les cultures du département : un four à pain », nous explique l’artiste Victor Remère, né en 1989, et créateur de l’objet. Universalité du pain Un poème sur le pain de Francis Ponge fait office de porte d’entrée, comme une mise en garde ou une invitation. Dans ce texte, le poète met en avant l’universalité du pain, « comme si l’on avait à sa disposition sous la main les Alpes, le Taurus ou la Cordillère des Andes ».  Il nous renvoie aussi à sa matérialité, à son ancrage naturel. Le pain est l’un des éléments le plus simple de la cuisine : des céréales, de l’eau et des levures suffisent à sa fabrication. C’est une micro-société naturelle, une ode à la sobriété. Au beau milieu des légumes, on retrouve la première bétonnière four à pain. [©Victor Remère] Au beau milieu des légumes, on retrouve la première bétonnière four à pain. [©Victor Remère] « Sensible à la richesse des paysages, je poursuis aujourd’hui mes recherches, mes travaux et mes explorations, en observant l’impact de l’activité humaine sur la faune et la flore », reprend Victor Remère. Et de conclure : « En réponse à “L’Horloge à légumes” installée sur le site de “Zone Sensible”, en 2020, “La Machine à pain” n’est pas autonome et son temps n’est pas linéaire. Là où l’agriculteur vient réveiller l’horloge le temps d’une saison, c’est le cuisinier qui réveille le four le temps d’un repas. Le pain devient vivant grâce à l’action combinée de l’homme, des arbres et du feu ». Un pied-de-nez amusant… M.C. Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 104 Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
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RER E : Aérolithys fait mousser la gare de Nanterre-la-Folie

Article paru dans Béton[s] le Magazine n° 104 L’Archipel, le nouveau siège de Vinci, surplombe en partie la gare RER E de Nanterre-la-Folie. [©ACPresse] L’Archipel, le nouveau siège de Vinci édifié à Nanterre, s’intègre pleinement dans les ambitions du groupe de BTP. L’une d’entre elles est la valorisation de sites urbains délaissés. D’où le choix d’implanter le bâtiment en bordure d’une ligne ferroviaire. Celui-ci surplombe même en partie les voies de la ligne E du RER, aujourd’hui en construction. En fait, l’Archipel abrite, au niveau de son rez-de-chaussée, l’entrée vers la future station Nanterre-la-Folie. A l’heure actuelle, les rails sont posés et les quais, en cours de réalisation. C’est dans ce contexte que vient d’intervenir Béton Mousse Technologie (BMT) pour permettre la mise à niveau des quais de la station. « Une des solutions envisagées au départ était Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !