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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Acpresse Béton

(3884 résultats)
Il y a 5 ans et 227 jours

Assistance Béton et Contrôle (ABC) devient Silys

Assistance Béton et Contrôle (ABC) devient Silys. [©Silys] Depuis 2005, Assistance Béton et Contrôle (ABC) œuvre dans le domaine des laboratoires d’essais béton et matériaux. Implantée à Béziers, l’entreprise a choisi de changer de nom pour devenir Silys. Contraction de Silicium et d’analyse, le patronyme de Silys doit mieux incarner la diversification des activités de l’entreprise. Si le contrôle et les essais sur béton et matériaux liés à la construction sont toujours les activités principales de Silys. L’entreprise intervient aujourd’hui dans toutes les étapes de la construction.  De la prescription à la création du projet, du conseil sur la fabrication des matériaux, à l’analyse dans le suivi de projet, ainsi qu’à la vérification de structure. L’entreprise s’adresse essentiellement aux prescripteurs, utilisateurs et producteurs de matières premières dans l’industrie du BTP. Sur les petits comme les gros chantiers. Portée par une équipe de sept techniciens et gérée par Thomas Jordy, l’entreprise est devenue une référence dans l’Aude, le Gard, l’Hérault et les Pyrénées- Orientales. En 2020, Assistance Béton et Contrôle, devenue Silys fêtera ses quinze ans.
Il y a 5 ans et 230 jours

Le ministre Julien Denormandie sur Batimat

Visite attendue sur Batimat le 4 novembre de Julien Denormandie, ministre chargé de la Ville et du Logement. [©DR] Le ministre chargé de la Ville et du Logement Julien Denormandie se rendra lundi 4 novembre à partir de 16 h 30 sur le salon Batimat. A cette occasion, le ministre se verra remettre le rapport de Bernard Michel, président de l’association Real Estech, et Robin Rivaton, directeur général. Ce rapport aborde le sujet de la transformation numérique de la construction et de l’immobilier. Il rencontrera aussi les acteurs du secteur numérique. Dans un premier temps, Julien Denormandie visitera l’espace numérique de la FFB, l’espace “Chantier du futur” et le stand de Michel Chevalet “Ma maison pour agir”. Puis, il inaugurera l’espace “Hors-site”. Ce sera pour lui l’occasion de se familiariser à une nouvelle vision centrée sur la préfabrication, qui s’apparente à un grand saut culturel. Enfin, il rencontrera les start-up de l’espace “Construction Tech”, avec une visite immersive du démonstrateur. Un visite très attendue par le secteur de la construction.
Il y a 5 ans et 231 jours

Trophées de la chaux 2019 : les gagnants sont…

Ciments Calcia et Socli ont récompensé les lauréats des Trophées de la chaux 2019 : Savoirs d’Antan Bâtisseurs d’Avenir, Paramelle et Bounéou. Ciments Calcia et Socli ont profité du Salon du patrimoine culturel pour récompenser les lauréats des Trophées de la chaux 2019. La nouvelle édition de ce concours national a ainsi distingué 3 entreprises : Savoirs d’Antan Bâtisseurs d’Avenir, Paramelle et Bounéou.Les Trophées de la chaux 2019 étaient ouverts aux entreprises et artisans à travers un de leurs chantiers, effectué en cours d’année dans les domaines de la restauration ou de l’éco-construction. Et réalisé avec de la chaux Ciments Calcia ou Socli. Une vingtaine de candidatures ont été déposées entre le 25 octobre 2018 et le 19 janvier 2019.A cette occasion, Socli a été labellisée “Entreprise du Patrimoine Vivant” (EPV). Attribué pour 5 ans, ce label distingue des entreprises françaises “au savoir-faire rare, renommé ou ancestral, reposant sur la maîtrise de techniques traditionnelles ou de haute technicité et circonscrit à un territoire”.  Les gagnants sont : • Premier prix : Entreprise Savoirs d’Antan Bâtisseurs d’Avenir – Lusigny-sur-Barse (10) Le premier prix a été attribué à Olivier Berthaut pour la restauration d’un bâtiment situé dans l’enceinte d’une ancienne abbaye à Montieramey (10). Dotation 5 000 €. • Deuxième prix : Entreprise Paramelle – CapDenac-Le-Haut (46) La dextérité n’attend point le nombre des années comme l’a démontré le jeune entrepreneur de 27 ans, Fabien Paramelle, en restaurant une maison de pierre à Figéac, dans le Lot (46).Dotation 3 000 €. • Troisième prix : Entreprise Bounéou – Estigarde (40) Joël Bounėou a concouru aux Trophées de la chaux 2019, avec une restauration d’envergure : celle, extérieure et intérieure, d’une habitation traditionnelle des années 1830.Dotation 2 000 €.
Il y a 5 ans et 231 jours

Turbosol : Nouvelle pompe à béton tout terrain

La TB 100 C est destinée aux travaux dans les zones compliquées d’accès. [©Turbosol] L’Italien Turbosol expose en particulier sa nouvelle pompe à béton sur chenilles TB 100 C. Cette dernière est facile à utiliser sur n’importe quel chantier, mais elle est surtout destinée aux projets, nécessitant de fréquents déplacements. D’une construction hydraulique classique et solide, cette pompe à béton bénéficie des dernières évolutions techniques, lui assurant une productivité optimale, avec tous types de béton. Manœuvrable avec sa télécommande, TB 100 C permet de travailler en toute sécurité dans des zones difficiles d’accès, comme les souterrains. Elle assure un pompage du béton à des débits allant de 70 m3/h à 105 m3/h. Le tout avec une taille maximale de granulats de 40 mm.  Hall 5D Stand E47
Il y a 5 ans et 231 jours

Leica Geosystems : Visualiser et indexer

Le BLK3D de Leica Geosystems capte et documente la réalité. [©Leica Geosystems] Le BLK3D de Leica Geosystems est un système de capture et de documentation de la réalité. Il permet de visualiser et d’indexer des données en 3D. De manière pratique, l’utilisateur prend une photo, à la suite de quoi, il peut mesurer tous les éléments, qui apparaissent dessus. Des algorithmes de détection d’arêtes permettent d’assister dans la sélection du bon pixel pour la mesure. Le traitement d’informations sur l’appareil signifie qu’aucune connexion n’est nécessaire. Une fois prises, les images mesurables permettent à tout utilisateur de “voir” derrière les murs, les plafonds et même les dalles, afin de créer des mesures requises, qui éliminent les imprévus et réduisent les erreurs.  Le BLK3D permet de créer des plans compatibles CAO. Les images peuvent être attachées à chaque mur du plan, ce qui aboutit à une documentation progressive des projets. Cette nouveauté a permis à Leica Geosystems de décrocher un Award de l’Innovation.  Hall 5A Stand P 96
Il y a 5 ans et 231 jours

L’Unecb devient l’Unecp

L’Unecb-FFB va devenir l’Unecp-FBB. [©Unecp] Signe des temps, l’Union des entrepreneurs de carrelage du bâtiment (Unecb) a décidé de changer d’identité, pour devenir l’Union nationale des entrepreneurs carreleurs, chapistes et projeteurs de polyuréthane (Unecp). Et ce, toujours au sein de la FFB. « Ce nouveau nom reflète mieux la diversité des métiers de nos adhérents, explique Nadège Ombe Njiamo, secrétaire générale de l’Unecp-FFB. La chape et le polyuréthane sont deux éléments essentiels des marchés de nos adhérents. Il est donc normal que notre syndicat affiche ces différents savoir-faire. » La chape se fait un nom Pour le moment, l’Union ne dispose pas de données chiffrées du nombre de chapistes présents dans ses rangs, puisqu’ils étaient jusque-là répartis chez les carreleurs et les maçons, en fonction des autres activités éventuelles de l’entreprise. Mais ce changement de nom n’en reste pas moins un symbole du développement de la chape et de l’importance prise par celle-ci sur les marchés de la construction. La chape sera d’ailleurs au cœur de l’actualité de l’Unecp-FFB en 2020, puisque l’Union travaillera à l’entrée en traditionnalité des chapes.
Il y a 5 ans et 231 jours

LafargeHolcim investit 1,5 M€ à Chevrières

La modernisation de l’installation de traitement de Chevrières s’inscrit ainsi dans un vaste plan d’investissements mené par LafargeHolcim partout en France. [©LafargeHolcim] Fin octobre, LafargeHolcim a inauguré la nouvelle installation de traitement de granulats sur le site de Chevrières. Ce qui a amélioré les performances techniques et environnementales de ce pôle de matériaux majeur pour l’économie de la construction dans l’Oise.  D’un montant de 1,5 M€, cet investissement a permis de rénover l’ensemble de la ligne de traitement des matériaux bruts, qui convergent vers le site (criblage, nettoyage, calibrage et stockage). Tout en mettant en œuvre les dernières technologies disponibles, comme l’automatisation totale du poste de pilotage. Il en résulte un gain de production, pouvant aller jusqu’à 20 % par rapport à l’ancienne installation, qui se voit porter ainsi à 600 000 t/an. Atténuation des nuisances sonores et visuelles Pour l’environnement proche et les riverains, les nouveaux équipements atténuent déjà les nuisances visuelles et l’impact paysager, grâce à des installations plus basses (7 m de hauteur en moins). Puis, réduisent les bruits de fonctionnement, en particulier grâce à un nouveau système de crible doté de toiles polyuréthane (moins bruyantes qu’en métal). Enfin, abaissent la consommation énergétique du site (moteurs électriques à meilleur rendement, mise en place de variateurs…). La modernisation de l’installation de traitement de Chevrières s’inscrit ainsi dans un vaste plan d’investissements mené par LafargeHolcim partout en France. Celui-ci est de 300 M€ sur 4 ans (2017-2021). L’ensemble des sites de l’industriel rattachés à Chevrières représente 25 emplois directs et plus de 100 emplois indirects.
Il y a 5 ans et 232 jours

Trophée Béton Pro : Les lauréats

A la maison de l’architecture, à Paris, les membres du jury du Trophée Béton Pro ont récompensé 10 projets. Pour sa 2e édition, le concours organisé par Bétocib et le Cimbéton a reçu pas moins de 204 candidatures. Sous la présidence d’Etienne Tricaud, architecte-ingénieur et président de Bétocib, le jury a ainsi évalué la qualité architecturale et constructive des ouvrages. La réflexion en termes de pertinence de la mise en œuvre du béton, d’usage, d’esthétique, d’intégration dans le site, de performance structurelle et environnementale ou encore de durabilité… A l’issue d’une 1ère sélection, 25 dossiers ont été distingués, concourant pour la dernière ligne droite. En plus des 10 lauréats, le soir de la remise des trophées, 3 autres projets ont été couronnés d’une mention spéciale expérimentation et du prix du public via Facebook.
Il y a 5 ans et 232 jours

Saint-Gobain acquiert les mortiers de Celima Group au Pérou

Saint-Gobain continue son développement au Pérou avec l’acquisition de la division “mortiers” de Celima Group. [©Saint-Gobain] Saint-Gobain continue son développement sur le continent Sud-américain. Le groupe a annoncé l’acquisition de la division “mortiers” de Celima Group, au Pérou. Un marché sur lequel Saint-Gobain est déjà présent depuis 2014, via sa marque Weber. Un marché péruvien en progression Cette division “mortiers” opère depuis trois usines, situées à Lima, capitale du pays, Arequipa et Trujillo. En 2018, elle a généré 25 M€ de ventes et compte 100 employés. Cette acquisition est dans la droite ligne de la stratégie de Saint-Gobain, qui veut s’installer dans les pays émergents. Le groupe est déjà un acteur majeur au Pérou dans d’autres secteurs. Cet achat va lui permettre de renforcer sa position dans une région à la croissance rapide.
Il y a 5 ans et 232 jours

Loxam : « Vers des équipements plus légers et des matériels électriques »

Thierry Lahuppe, directeur de l’environnement technique chez Loxam : « Avec nos matériels connectés, nos clients peuvent avoir connaissance des situations dangereuses dans lesquelles les machines qu’ils ont louées pourraient se trouver ». [©Michel Roche] Quelle est l’offre de Loxam en matière de matériel pour le béton ? Thierry Lahuppe : Elle s’organise en trois parties. D’abord, le petit matériel manuel pour la coupe, la perforation, le rabotage, le sciage, et le matériel léger, comme les bétonnières de chantier, les élévateurs de charge manuels mécaniques… Cette offre se trouve à l’interface entre le gros œuvre et le second œuvre et est disponible dans le réseau généraliste de Loxam. Nous l’avons densifiée, avec 50 000 unités proposées à la location Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 233 jours

Isabelle Spiegel, nommée directrice de l’environnement de Vinci

Isabelle Spiegel est nommée directrice de l’environnement de Vinci. [©Vinci] Isabelle Spiegel est nommée directrice de l’environnement de Vinci. Elle rapportera à Pierre Coppey, directeur général adjoint. Elle aura pour mission de mettre en œuvre la nouvelle ambition environnementale du groupe. Ce dernier met un point d’honneur à prendre en compte l’environnement à chaque étape des projets et tout au long du cycle de vie des ouvrages. Isabelle Spiegel a plus de 20 ans d’expérience dans le secteur de l’environnement et du développement durable. Tout à la fois dans le conseil et dans le management opérationnel. Ingénieur de l’école nationale supérieure des Mines de Douai et de la Technische Universität Berlin, elle a débuté sa carrière à la Chambre de commerce et d’industrie de Boulogne-sur-Mer. Elle a conseillé durant près de 15 ans les clients de la société PricewaterhouseCoopers (PwC). Elle a ensuite vécu deux années en Chine, afin de développer l’activité changement climatique et responsabilité sociale de PwC. A son retour en France, elle a dirigé des groupes de travail internationaux, conduisant à des publications du World Buisness Council for Sustainable Development sur les impacts environnementaux dans le domaine de l’immobilier et du bâtiment. A partir de 2015, elle a intégré la société d’ingénierie Arcadis, où elle a dirigé les activités environnement en France. Elle s’est occupée aussi de la branche dédiée au développement de nouvelles offres de services, innovation et transformation de la région Europe et Moyen-Orient.
Il y a 5 ans et 234 jours

Achim Carstanjen, nouveau gérant d’Heco-Schrauben

Achim Carstanjen est devenu le nouveau gérant d’Heco-Shrauben [©Heco-Shrauben] Le fabricant de vis allemand Heco-Schrauben a désigné un nouveau gérant en la personne d’Achim Carstanjen. Il succède à Guido Hettich. Ce denier continuera d’assumer jusqu’à fin 2020 la responsabilité de projets importants et du site de production en Roumanie. Puis, entrera au conseil consultatif comme deuxième représentant des associés familiaux Hettich. Heco-Schrauben passe ainsi d’une direction familiale à une organisation plus classique. Achim Carstanjen, 54 ans, a acquis une longue expérience dans la direction de PME au sein de l’industrie automobile et du secteur de la sous-traitance du bâtiment. « La qualité des produits et l’éthique entrepreneuriale sont une priorité absolue chez Heco, premier innovateur dans le secteur de la fixation. Je m’engage à faire perdurer cette culture et à la renforcer pour servir de base à une croissance saine de l’entreprise », déclare Achim Carstanjen.
Il y a 5 ans et 238 jours

Unibéton lance sa première toupie au gaz

Unibéton a mis en service sa première toupie à motorisation GNV sur la région de Bordeaux. [©HeidelbergCement] “Pour vous, je roule au gaz”. Unibéton annonce la couleur. La dernière-née de ses toupies vient tout juste d’être mise en service à Bordeaux. Ce véhicule s’inscrit en droite ligne de l’engagement de l’industriel en faveur du développement durable. Et traduit aussi son implication à réduire l’empreinte environnementale de l’ensemble de ses activités… Pour Unibéton, il s’agit aussi d’une première. Le véhicule a été développé en partenariat avec Tratel, la filiale transport du groupe HeidelbergCement France, qui en est propriétaire. « Nous avons fait ce choix, car nous avons la volonté d’acquérir notre propre expérience », explique Catherine Barbier-Azan, directrice marketing et communication d’HeidelbergCement France.  Le second partenaire de ce développement est le constructeur de poids lourds Scania. Le porteur fourni est un G 410 B8X4*4NA, équipé d’un moteur Euro 6 de 13 l de cylindrée de 410 ch/ 300 kW, offrant un couple de 2 000 Nm. Alimenté au gaz naturel pour véhicules (GNV), il affiche une autonomie de 250 km et un indice de pollution Crit’Air 1. La conception a privilégié le gain de poids, pour maximiser la charge utile. Celle-ci s’élève à 18,8 t, soit l’équivalent à 8 m3 de béton.  Une cuve à béton Liebherr Le véhicule destiné au BPE est un tridem, dont l’essieu arrière est directeur. Cette configuration aboutit à un châssis plus court. Un choix qui permet une plus grande maniabilité, du fait d’un rayon de braquage réduit (9 m entre murs). Résultat : une plus importante mobilité urbaine. « La solution “tridem” offre la possibilité de relever un des essieux arrière, quand la toupie roule à vide. Ceci réduit la traînée du véhicule », précise Catherine Barbier-Azan.   Côté cuve de transport, Unibéton a opté pour la Liebherr HTM 905. Ce classique de la marque allemande présente un volume nominal de 9 m3 de béton. Il bénéficie d’un entraînement hydraulique via la prise de force du camion. Son système de rotation plus compact offre, lui aussi, un gain de poids et une maniabilité optimisée. In fine, le véhicule en ordre de marche affiche un PTAC de 14,2 t. Unibéton n’a pas souhaité une cuve à entraînement électrique, toujours pour des questions de poids. « Le moteur gaz proposé par Scania développe une puissance suffisante pour assurer la rotation de la cuve à pleine charge, quelle que soit la qualité du béton. Exactement comme le font les véhicules à motorisation Diesel. » Un simple plein de gaz donne à la toupie d’Unibéton une autonomie de 250 km. [©HeidelbergCement] Deux nouvelles toupies BPE pour 2020 Ainsi, la nouvelle toupie GNV d’Unibéton additionne les avantages. Disons plutôt qu’elle les “soustrait”… En effet, les émissions de CO2 sont réduites de 15 à 20 %. Et même jusqu’à 90 % en cas de fonctionnement avec du biogaz. Les particules fines reculent de 25 %. Quant aux oxydes d’azote (NOx), ils sont inférieurs de 50 % par rapport au Diesel. « Outre ces émissions polluantes restreintes, notre toupie minimise les émissions sonores,reprend Catherine Barbier-Azan. Son fonctionnement silencieux est limité 72 dB, soit deux fois moins bruyant qu’un moteur traditionnel. Cette aptitude permet une exploitation de jour comme de nuit, sans gêne pour les riverains. » Dernière subtilité, Unibéton a équipé sa toupie du système de récupération des eaux de rinçage Awaywash de Jonesco. Ce dispositif participe à la propreté sur chantier, en permettant le recyclage plutôt que le rejet de ces eaux chargées. « En test sur la région de Bordeaux, cette toupie à motorisation au gaz devrait être complétée par deux autres véhicules du même type, conclut Catherine Barbier-Azan. Ceux-ci devraient rejoindre notre flotte durant le premier trimestre 2020. »
Il y a 5 ans et 238 jours

Nouvelle ligne de valorisation pour LafargeHolcim à Port-la-Nouvelle

LafargeHolcim a installé une nouvelle ligne pour la valorisation des déchets solides broyés. [©LafargeHolcim] LafargeHolcim et l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie ont inauguré, début octobre, une nouvelle ligne de valorisation de déchets solides broyés (DSB) à la cimenterie de Port-la-Nouvelle (11). Cette installation contribue à la montée en puissance d’une filière locale de combustibles solides de récupération (CSR) élaborés à partir de déchets non dangereux. Et s’inscrit dans le développement de l’économie circulaire en région Occitanie. Cet investissement de 7,5 M€, a été réalisé avec le soutien de l’Ademe. IL permet à la cimenterie de viser un taux de substitution des énergies fossiles de plus de 90 %. Il relève de la démarche “Lafarge 360” pour réduire les émissions de carbone du groupe. Et pour économiser des ressources naturelles. Pour une solution locale grâce à LafargeHolcim   LafargeHolcim développe l’utilisation de combustibles alternatifs et valorise en matière et en énergie les déchets dans les fours de ses cimenteries. Ce qui lui permet de réduire ses émissions de CO2 d’origine fossile. Ce procédé s’appelle le “coprocessing”. La cimenterie apporte aussi une solution locale aux entreprises de la région pour la valorisation des déchets non recyclables. Depuis 1988, la cimenterie de Port-la-Nouvelle utilise comme combustibles alternatifs des déchets industriels. Tels que des pneus usagés, des farines animales ou encore du bois industriel pour alimenter son four chauffé par une flamme à 2 000 °C. Cet engagement en faveur de l’environnement s’est traduit par l’installation d’un premier atelier de valorisation des déchets solides broyés, inauguré en mai 2011. Ce qui a permis à la cimenterie de porter son taux de substitution aux combustibles fossiles à plus de 60 % en 2018. Chaque type de déchets valorisés fait l’objet de contrôles et d’une procédure rigoureuse d’acceptation. La fiabilité des procédés est contrôlée par la Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (Dreal).
Il y a 5 ans et 238 jours

Emily étoffe sa gamme de godets-malaxeurs

Emily étoffe sa gamme de godets-malaxeurs à béton. [©Emily] L’industriel breton Emily élargit sa gamme de godets-malaxeurs à béton. Ainsi, sa ligne Cima passe à 10 modèles, avec l’arrivée de 4 références complémentaires. A savoir, une entrée de gamme de 150 l, un 200 l, un 700 l et un haut de gamme de 800 l. Il s’agit ici de volumes utiles de béton sec sans eau.  Les nouveaux arrivants reprennent tous les éléments, qui ont fait le succès des modèles déjà existants. A commencer par une conception de la vis de malaxage en acier Hardox. De série, ces équipements incluent un godet monocoque d’une épaisseur de 8 et 10 mm. Celui-ci est protégé par une grille de sécurité avec vérins à gaz et coupure du malaxage lors de l’ouverture, et coupe-sacs intégré. Les paliers bénéficient d’une triple étanchéité et, côté transmission, un double graissage est réalisé, pour une étanchéité optimale. La transmission se fait par chaîne renforcée et couronne d’entraînement pleine. Enfin, une goulotte de vidange d’une longueur de 2 m complète l’offre. Des godets-malaxeurs développés pour les chantiers Les godets-malaxeurs à béton Cima se montent sur tous les engins porteurs, grâce à un attelage boulonné. Le mélange est rapide et homogène avec deux sens de rotation au choix. Le réglage de la trappe d’ouverture est assuré depuis la cabine. Tandis qu’un repère de niveau pour le béton est gravé sur la coque du godet, afin qu’il soit durable dans le temps. Fabricant d’outils de manutention depuis plus de 45 ans, Emily compte aujourd’hui plus de 100 collaborateurs. Installé dans le Finistère, il réalise un chiffre d’affaires de 19 M€. Il a reçu quelque 30 récompenses liées à l’innovation. Ses godets-malaxeurs à vis Cima ont été conçus pour des utilisations exigeantes, aussi bien en bâtiment, qu’en travaux publics.
Il y a 5 ans et 239 jours

By Béton : et si on parlait béton sur Batimat ?

Une petite partie d’échecs en béton connecté ? [©ACPresse] La filière béton prend position sur Batimat à travers l’entité By Béton. Au programme, un cycle d’une quarantaine d’interventions sur les sujets, qui animent les professionnels de la construction. La réduction de l’empreinte carbone, la digitalisation, l’économie circulaire, le recyclage des bétons, la construction de la ville de demain, la formation et l’apprentissage sont autant de sujets abordés (voir le programme complet plus bas, dans la page). Architectes, bureaux d’études, enseignants, collectivités, entreprises, industriels, start-up du CementLab et associations professionnelles assurent ces interventions, pendant toute la durée du salon. Ces prises de parole ne dépassent pas les 30 mn et se présentent comme un dialogue.  Le stand By Béton est aménagé au sein d’un espace “vintage” de 100 m2. Un lieu qui se veut à la fois zone d’exposition et aire d’accueil et d’échange. By Béton l’a voulu éco-conçu, avec une large place laissée au réemploi. D’où aussi le choix de l’association Emmaüs pour en assurer l’habillage et la décoration… Au-delà des mini-conférences, By Béton invite enfin les visiteurs à vivre deux expériences fortes. Tout d’abord, la découverte d’un échiquier en béton connecté. Ensuite, l’impression 3D d’une forme complexe dans du gel avec la start-up du Soliquid. Rendez-vous hall 6, stand G 108 du lundi 4 novembre au vendredi 8 novembre. Programme de la Filière Béton sur Batimat • Lundi 4 novembre - Les enjeux bas carbone • Mardi 5 novembre - Economie circulaire et innovation • Mercredi 6 novembre - Architecture et logement • Jeudi 7 novembre - La ville de demain • Vendredi 8 novembre - Apprentissage et formation 11 h 00 à 12 h 00 - Temps fort - Future réglementation environnementale, confort d’été du bâtiment. Où en sommes-nous ?Le collectif “Isolons la Terre contre le CO2” et les professionnels du bâtiment se regroupent pour étudier les pistes visant à limiter les émissions de gaz à effet de serre par les bâtimentIntervenants : Olivier Servant (Isolons la Terre contre le CO2), Amandine Debrand (Bastide Bondoux) et Rodrigue Leclech (Pouget Consultants) 12 h 30 à 13 h 00Airium : l’isolation minérale au service de la construction bas carboneIntervenant : Julien Guiganti (directeur Airium chez LafargeHolcim) Injection de mousse isolante minérale Airium de LafargeHolcim, dans un bloc béton. [©LafargeHolcim] 13 h 00 à 13 h 30Le bon béton au bon endroitIntervenant : Alain Birault (ByBéton) 15 h 00 à 15 h 30Bétons à faible impact environnemental dans l’industrie du bétonIntervenant : François Jacquemot (Cérib) 15 h 30 à 16 h 00Lafarge 360 - concevoir et construire des bâtiments bas carbone et circulaires. La preuve par l’exemple.Intervenants : Florent Dubois (ingénieur Développement & Construction durable de LafargeHolcim) et Amor Frigui (chef de marché gros œuvre de LafargeHolcim) 10 h 00 à 12 h 00 - Temps fort -Workshop du CementLab : l’industrialisation et la digitalisation du chantier.Des start-ups - Hiboo, Révolubat, DCbrain, Ermeo, WizzCad, AOS, Dispatcher,  Clovis et Matières grises - communiquer sur le chantier du futur. En même temps, le CementLab accueille la Chaire Construction 4.0 de Centrale Lille dans sa session. 12 h 00 à 12 h 30 Réaménagement du parc urbain de Chanteraines (92)Un projet pensé “économie circulaire”, avec une réflexion urbanistique au service de l'usagerIntervenants : Joseph Abdo (Cimbéton) Farid Chikh (département des Hauts-de-Seine) 12 h 30 à 13 h 00Réhabilitation des friches industrielles : exemple d’économie circulaire dans les territoiresIntervenant : Stéphane Rutkowski (directeur de Vicat Circulère) 13 h 00 à 13 h 30Projet Agrobloc : intérêt des constituants agro-sourcés pour les produits en bétonIntervenante : Suzanne Le Thierry (Cérib) 13 h 30 à 14 h 00Résidence “Le Onze” à Chartres (28) : économie circulaire et écologie Industrielle territoriale - Le recyclage des bétons de déconstructionIntervenants : Patricia Festivi (présidente de Procivis 28) et Fabio Mastroianni (directeur du développement de Procivis 28) La résidence Le Onze, à Chartres, mixe les matériaux : béton, terre cuite et bois. [©ACPresse] 14 h 00 à 14 h 30 Comment anticiper la déconstruction d’un bâtiment et évaluer le potentiel de réemploi et réutilisation des matériaux ?Intervenante : Marie-Dominique Bogo (Batirim) 14 h 30 à 15 h 00Le béton recyclé : un puits de carbone ? Retour sur le Projet National FastCarbIntervenants : Xavier Guillot, (Irex) et Laurent Izoret (Atilh) 15 h 00 à 15 h 30La valorisation des déblaisIntervenante : Camille Neuville (Eqiom) 15 h 30 à 16 h 00Economie circulaire : l’industrie du béton s’engage sur les territoiresIntervenants : Marjorie Petitpain (Cérib) ou Philippe Francisco (Cérib) 16 h 00 à 16 h 30Les objets BIM et les besoins de sémantique - Le projet Boost Construction, soutenu par le CSF IPCIntervenant : Rémy Lannoy (Cérib) 16 h 30 à 17 h 00Chantier pilote de déconstruction intelligente avec réutilisation des bétons recyclés : La Maillerie (Hauts-de-France)Intervenante : Guillaume Cremoux (Eqiom) 10h à 10 h 30Le projet Janus et sa conception de la ville, dans une approche “Cradle to cradle”Intervenante : Jamila Bentrar (Métropole de Lille) 10 h 30 à 11 h 00Viliaprint : projet de 5 maisons en impression 3D béton, à Reims (51)Intervenant : Alain Guillen (XtreeE) 11 h 00 à 11 h 30Eco-construction les avantages du béton bio-sourcéIntervenant : Marco Cappelari (Vicat) 11 h 30 à 12 h 00Un béton performant, double peau avec isolation intégrée en BretagneIntervenant : Pierre Chomette (architecte/Chomette Lupi & Associés Architectes, membre de Betocib) 12 h 00 à 12 h 30Construction hors site : résidence étudiante Aziyadé, à La Rochelle (17)Intervenants : Frédérik Dain (Hobo Architecture) et Patrick Soubiran (Cir) 12 h 30 à 13 h 00La maison abordableIntervenants : Pascal Navaud (président du réseau La Maison Abordable) et Mélanie Shink (Ciments Calcia) Module préfabriqué en béton du système La Maison Abordable. [©La Maison Abordable] 13 h 00 à 13 h 30Béton et impacts environnementaux : les outils pour anticiper la future RE 2020.Intervenant : Audrey Lapouge (Cérib) 13 h 30 à 14 h 00ABC Premier Bâtiment Démonstrateur Autonome de France : une réponse à des enjeux concretsUne approche globale de l’habitat durable, une amélioration concrète de la vie des utilisateurs et des méthodes et techniques de construction.Intervenant : Thierry Juif (Bouygues Construction) 14 h 00 à 14 h 30Construction hors site en logement social : projet Emmaüs, à Agen (47)Intervenants : Frédérik Dain (Hobo Architecture) et Patrick Soubiran (Cir) 14 h 30 à 15 h 00 - Temps fort -Transformation de bureaux en logements : retour d’expérience avec le projet de la rue Mouzaïa, à ParisIntervenant : Patrick Rubin (Canal Architecture) 15 h 30 à 16 h 00Conception et réalisation de 200 logements sociaux Adoma CCD HabitatIntervenants : Frédérik Dain (Hobo Architecture) et Patrick Soubiran (Cir) 16 h 00 à 16 h 30Maison bas carbone : solutions mises en œuvre au regard du label E+C- Exemple de la maison témoin de Guipavas (29)Intervenants : Samir Guerouali (Point P) et Régis Croguennoc (Trécobat) 10 h 30 à 11 h 00Ville de demain : les sous-sols de la Place d’Italie, à ParisIntervenants : Alien Coussot et Enzo Sessini (architectes, et lauréats du Trophée Béton Ecole 2018)  11 h 00 à 11 h 30 - Temps fort - Requalification architecturale : la réhabilitation de la Tour Montparnasse, à ParisIntervenant : François Pellegrin (architecte) 11 h 30 à 12 h 00Les routes du futur du Grand Paris : résultats des travaux sur les visions prospectives de l’ArepIntervenant : Etienne Tricaud (architecte-ingénieur) 12 h 00 à 12 h 30Végétaliser le bâtiment : pour une ville plus vertueuseIntervenante : Association des toitures végétales (Adivet) Toit végétalisé sur le collège Ada Lovelace, à Nîmes. A Plus Architectes. [©ACPresse] 12 h 30 à 13 h 00Présentation du “Guide des prescriptions techniques du béton apparent”Intervenant : Roland Merling (Bétocib) 13 h 30 à 14 h 00Le bon béton au bon endroitIntervenant : Alain Birault (By Béton) 14 h 00 à 14 h 30Surélévation de bâtiments : une solution de rénovation énergétique et construire la ville de demainIntervenant : Didier Mignery (Up Factor) 15 h 00 à 15 h 30Reconvertir un bâtiment pour réduire l'empreinte environnementaleIntervenant : Philippe Osset (Solinnen) 15 h 30 à 16 h 00Présentation du dernier “Guide de gros œuvre du béton”Intervenants : Yannick Ondo (Cogeci) et Cimbéton 16 h 00 à 16 h 30Et si la construction en béton pouvait dépolluer nos villes ?Intervenant : Roland Merling (Ciments Calcia) 16 h 30 à 17 h 00Euroméditerranée à Marseille : quelle démarche environnementale ?Intervenant : Axelle Aimard (Euroméditerranée) et Jérémy Joubert (Envirobat) 17 h 00 à 17 h 30Bâtiment, santé, qualité de l’air intérieurIntervenante : Claire-Sophie Coeurdevez (Medieco) 10 h 00 à 10 h 30L’écologie urbaine, un nouveau paradigme et un enjeu pour les industries de la constructionFace à la croissance démographique et l'urbanisation, le retour de la nature en ville est une piste favorisant le bien-être de l’homme dans son environnement. Comment les industries de la construction s’y préparent-elles ?Intervenante : Sandrine Mansoutre (directeur de l’Ecole Française du Béton) 11 h 00 à 12 h 00 - Temps fort - Orientation professionnelleDes professionnels répondront aux questions des jeunes et des élèves en quête de leur avenir. Ils viendront parler de leur métier, de la formation et surtout de la façon d’arriver au métier qui les passionnent tant. Quelle orientation pour… - Etre maçon ?Intervenant : Clément Lelièvre (Les Compagnons du Devoir- Etre chercheur ? Intervenante : Laure Ducoulombier (Chaire Construction 4.0) - Etre ingénieur dans un bureau d’études ?Intervenant : Dominique Vié (directeur du Centre des Hautes Etudes de la Construction)- Etre ingénieur dans l’industrie ? Intervenante : Sandrine Manoutre (chaire Ingénierie des bétons)- Etre conducteur de travaux ? Intervenante : Dominika Gond (ESTP) 12 h 00 à 12 h 30Chaire Construction 4.0L’acte de construire et les métiers qui vont avec sont en pleine transformation : l'industrie 4.0 inscrit la digitalisation dans toute la chaîne de valeur de l’acte de construire.Intervenante : Laure Ducoulombie (Bouygues Construction) 12 h 30 à 13 h 00Do it Yourself ! Construis et utilise ton imprimante 3D Béton La construction du futur, elle se prépare aujourd’hui, avec les jeunes et les enseignants. Retour sur l’expérience des lycées Livet et Appert, qui proposent à leurs élèves de construire une imprimante 3D béton.Intervenants : Marianne Mobèche (enseignante en BTS Génie Civil au Lycée Livet, à Nantes), Denis Le Roux (enseignant en BTS CRSA au Lycée Appert, à Nantes). Témoignage d’un élève de BTS CRSA (Conception réalisation de systèmes automatiques) 13 h 00 à 13 h 30Qu'est-ce qu'un bâtisseur maçon ?La tête, la main et le cœur ! Voilà qui résume le métier de bâtisseur maçon. Venez découvrir ce métier, tout à la fois ancré dans les traditions et dans la modernité. Intervenant : Clément Lelièvre (Les Compagnons du Devoir)  13 h 30 à 14 h 00 Les Olympiades des métiersLes Olympiades des métiers reste le plus grand concours des métiers au monde. Il met en valeur les métiers de la construction. Intervenant : Vincent Simon (secrétaire générale adjoint UMGO) Les Olympiades des métiers reste le plus grand concours des métiers au monde. [©DR]    
Il y a 5 ans et 239 jours

Evolution de la gouvernance du groupe Imerys

Réuni le 21 octobre dernier, le conseil d’administration d’lmerys a nommé son président Patrick Kron, en qualité de directeur général du groupe. [©Imerys] Le groupe de minéraux industriels Imerys annonce le départ de Conrad Keijzer, son directeur général. Dans la foulée, Patrick Kron, actuel président du conseil d’administration d’Imerys, devient directeur général, pour une période intérimaire. Le temps pour le groupe de s’organiser et de recruter un nouveau Dg. Le conseil d’administration en a profité pour confirmer son soutien aux objectifs stratégiques exprimés lors de la Journée investisseurs du 13 juin dernier. D’autant plus, que la performance commerciale du groupe est en dessous des attentes. En effet, les conditions de marché se sont détériorées au cours du 3e trimestre, entraînant une baisse de ses volumes de ventes plus forte qu’anticipée. L’impact de cette baisse n’a été que partiellement compensé par l’effet positif des actions engagées sur les prix de vente et sur les coûts. En conséquence, Imerys a revu à la baisse sa prévision de résultat courant net sur l’exercice 2019, qui devrait être en retrait d’environ 20 % par rapport à 2018. Le groupe continue de donner la priorité à la réduction des coûts et à la génération de trésorerie, sa structure financière restant solide.
Il y a 5 ans et 240 jours

Fdes collective pour les produits et systèmes préfabriqués en béton

Quelque 90 % des produits et systèmes préfabriqués en béton disposent d’une Fdes collective vérifiée pour anticiper la future RE 2020. [©Fib] Quelque 90 % des produits et systèmes préfabriqués en béton, destinés au bâtiment disposent d’une Fiche de déclaration environnementales et sanitaires (Fdes) collective. Et ce, établie par le Cérib, à la demande de la Fédération de l’industrie du béton (Fib). C’est un enjeu majeur pour anticiper la future Réglementation environnementale (RE 2020).  Les Fdes vérifiées de la plupart des éléments de maçonnerie en béton étaient déjà disponibles dans la base Inies. Neuf nouvelles Fdes collectives ont été approuvées. Elles couvrent les principaux produits destinés au secteur du bâtiment dans différentes conditions de mise en œuvre. A savoir, les murs à coffrage intégré (MCI), les murs à coffrage et isolation intégrée (MC2I), les prédalles en béton armé et précontraint. Puis, les dalles alvéolées, les poteaux en béton armé et les poutres en béton précontraint. D’autres Fdes vérifiées seront mises en ligne sur la base Inies dans les semaines qui viennent. Et ce, pour quatre types d’escaliers préfabriqués en béton, pour les panneaux architecturaux pleins et à isolation intégrée, pour les poutrelles en béton. Ainsi que pour les tuiles en béton. Le configurateur Environnement IB L’ensemble des Fdes collectives a été établi sur la base des unités fonctionnelles les plus représentatives des solutions constructives préfabriquées en béton. Afin de permettre leur ajustement en fonction des projets, Environnement IB (le configurateur des Fdes collectives de l’industrie du béton) a été développé par le Cérib. Et ce, pour les murs à coffrage intégré (MCI). Puis, les prédalles en béton armé et précontraint, les dalles alvéolées, les poteaux en béton armé et les poutres en béton précontraint. Il est conçu pour permettre des évaluations environnementales des bâtiments aisées, rapides et adaptées par les bureaux d’études. Il permet de produire des Fdes configurées au format PDF, des fichiers Excel reprenant les indicateurs environnementaux par modules et paramètres de configuration. Ainsi que des fichiers XML standardisés pour importer les résultats des configurations dans les logiciels d’ACV bâtiments agréés.  Environnement IB, comme les Fdes des produits préfabriqués en béton, seront accessibles directement sur la base nationale Inies. Consulter les Fdes établies par le Cérib ici.
Il y a 5 ans et 241 jours

Parexlanko lance une nouvelle gamme dédiée au biosourcé

Parexlanko a sorti, le 24 octobre dernier, le tout premier produit de sa gamme Parnatur. [©Parexlanko] A l’été 2013, Parexlanko lance le projet Ibis. Financé pour 4 ans par l’Ademe, il a permis de concevoir un corps d’enduit plus durable dédié au bâti ancien. Performant aussi bien en intérieur qu’en extérieur. « Il y a peu de produits dans ce domaine, explique Anne Daubresse, responsable pôle prospectives, méthodes et formulation. Ibis est une saga en 6 saisons et trois prototypes, autour d’une réflexion sur les matériaux biosourcés, la réduction de l’impact environnemental et l’épuisement des matières premières. » Pour ce projet, la R&D de Parexlanko a travaillé sur une combinaison chaux-chanvre. Au Centre d’innovation Parex (CIP), à Saint-Quentin-Fallavier (38), l’équipe s’est fixée plusieurs objectifs, afin de Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 241 jours

A Vendre Centrales à béton, chez Bouygues Construction Matériel

A vendre : Centrale à béton AMMANN ELBA CBT60 (sans silos) – Malaxeur 1 m3 – Trémie : 4 x 20 m3 – Automate : RSAI Mise en service en Septembre 2017 (moins de 20 000 m3 fabriqués) POUR TOUS RENSEIGNEMENTS Tél : +33 7 60 78 24 36 Mail : g.kahlalou@bouygues-construction.com A propose de Bouygues Construction : Acteur global de la construction présent dans 60 pays, Bouygues Construction conçoit, réalise et exploite des projets dans les secteurs du bâtiment, des infrastructures et de l’industrie. Leader de la construction durable – responsable et engagé – Bouygues Construction fait de l’innovation sa première valeur ajoutée : une «innovation partagée» au bénéfice de ses clients, tout en améliorant sa productivité et les conditions de travail de ses 56 980 collaborateurs. En 2018, Bouygues Construction a réalisé un chiffre d’affaires de 12, 358 milliards d’euros
Il y a 5 ans et 241 jours

Un béton “vert” est-il possible ?

L’usage généralisé du béton n’est pas sans conséquence, que ce soit sur les émissions de CO2, surtout liées à la fabrication du ciment, ou sur la production de déchets minéraux Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 241 jours

Mur(s) de Berlin : Le béton de la liberté

D’avril à juillet 2015, sur le parvis de la gare de l’Est, une trentaine d’œuvres sur béton étaient offerts au regard des voyageurs et des passants sur des structures métalliques conçues par le sculpteur américain Adam Steiner. Une collection unique que Sylvestre Verger fait voyager à travers la France et le monde. [©ACPresse] Sylvestre Verger, commissaire d’expositions et collectionneur de fragments du Mur de Berlin : « Ces morceaux en béton représentent le béton de la liberté. L’art a gagné ! » Ici, face à la fresque de l’artiste brésilien LM7. [©Olivier Borst] Un homme, Sylvestre Verger, commissaire d’expositions, se procura des fragments du Mur de Berlin après la chute et devint le collectionneur de cette période. Puis, pour diverses raisons, il les vendit, mais resta le spécialiste du Mur et le propriétaire d’une trentaine Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 244 jours

Jérémy Gobé s’expose à la Fondation Bullukian

“Les Témoins” de Jérémy Gobé s’exposent à la Fondation Bullukian, dans le cadre de Biennale d’art contemporain de Lyon, du 18 septembre 2019 au 5 janvier 2020. [©ACPresse]Les œuvres de Jérémy Gobé sont exposées dans le jardin de la Fondation Bullukian. [©ACPresse]Charlotte Famy, directrice générale Saint-Gobain Weber, et l’artiste Jérémy Gobé. [©ACPresse]Les “Témoins” prennent la forme de tétraèdres, de cubes, de sphères. [©ACPresse]Jérémy Gobé a habillé une des façades de la Fondation Bullukian des mêmes motifs texturés que ses “Témoins”. [©ACPresse]Le matriçage a reçu une patine irisée métallique aux reflets vert ou violet. [©ACPresse]Le matriçage est très marqué, donnant à la texture toute sa profondeur. [©ACPresse]Matrice qui a permis de texturer la façade de la Fondation Bullukian. [©ACPresse]Le matriçage de la façade se développe sur trois étages et constitue une installation permanente. [©ACPresse]Des centaines de carrés aux nuances métalliques couvrent désormais un mur de la Fondation Bullukian. [©ACPresse] Depuis la mi-septembre et jusqu’au 5 janvier 2020, l’artiste Jérémy Gobé expose à la Fondation Bullukian, à Lyon (69). Et, en parallèle, au monastère royal de Brou, à Bourg-en-Bresse (01). La particularité des œuvres présentées est d’avoir été conçue dans le cadre de sa résidence d’artiste au sein du site de Saint-Gobain Weber, à Servas (01). Une démarche initiée par Charlotte Famy, directrice générale de l’entreprise et grande amatrice d’art. « J’aime beaucoup l’art, la sculpture. Je visite beaucoup d’expositions. C’est une passion pour moi. » Une première expérience avait déjà été tentée avec l’artiste Fabienne Teyssier-Monot. Cette dernière a réalisé une œuvre avec une partie du personnel de Saint-Gobain Weber : le “Solide Fluide”, un élément en forme d’icosaèdre, polyèdre constitué de 20 facettes triangulaires. L’œuvre est aujourd’hui exposée dans le hall du siège de Saint-Gobain Weber, à Brie-Comte-Robert (77).  Des enduits, des techniques de matriçage « L’expérience réussie avec Fabienne Teyssier-Monot nous a donné envie d’aller plus loin et d’accueillir un artiste en résidence d’entreprise. » C’est ainsi que Jérémy Gobé est arrivé à Servas… « J’ai voulu créer une aventure humaine. Un rendez-vous entre l’univers de l’entreprise et le monde de l’art », poursuit Charlotte Famy.Durant sa résidence, l’artiste a échangé avec les équipes de production de Saint-Gobain Weber, côtoyé le pôle R&D, appréhendé les matériaux. Les enduits de façade, les techniques de matriçage, la richesse des pigments ont plus que retenu son attention. Ils ont même été à la base de son travail. L’origine de ses “Témoins”. « Ma démarche artistique se nourrit de rencontres, avec des hommes, avec des matériaux,explique Jérémy Gobé. Mes Témoins sont la matérialisation, la preuve de ses rencontres. » Le Cerveau de Neptune Tétraèdres, cubes pleins, cubes évidés, sphères : au total, l’artiste a créé cinq séries de Témoins. Les objets sont texturés, dessins inspirés du corail marin appelé Cerveau de Neptune. « Je veux montrer la nature d’une manière très visuelle. C’est aussi un hommage aux coraux que le béton détruit… »Il y a un peu d’ironie dans ce choix assumé ! Les Témoins affichent une patine métallique aux reflets vert ou violet en fonction du point de vue et de l’orientation de l’éclairage. « Dans l’océan, le couleur du corail vient des algues, qui vivent en symbiose avec lui », indique Jérémy Gobé. Dans le cas des Témoins, la teinte est issue d’une gamme de pigments développée pour l’occasion. Cette finition métallique devrait rejoindre le catalogue Saint-Gobain Weber dans le courant de l’année 2020.  Le développement de nouvelles matrices Au-delà de l’exposition, la présence de Jérémy Gobé sera pérennisée à la Fondation Bullukian. En effet, l’artiste a habillé une des façades du bâtiment des mêmes motifs texturés en Cerveau de Neptune que ceux présents sur ses Témoins. Des centaines de carrés aux nuances métalliques couvrent désormais un mur sur une hauteur de trois étages, constituent ainsi une installation permanente. Enfin, l’exposition à la Fondation Bullukian marque un peu le couronnement de l’accueil en résidence de Jérémy Gobé. Toutefois, elle ne clôture pas toute collaboration. « Nous allons travailler avec Jérémy au développement de nouveaux dessins de matrices, dans le cadre de la ligne », conclut Charlotte Famy.  F. G.
Il y a 5 ans et 245 jours

Un noir luminescent pour sublimer le béton

Les ouvertures sont l’interface avec la ville, une zone d’échanges entre un extérieur ouvert et un intérieur plus intime, mais qui se dévoile. [©ACPresse] “Quelle belle couleur que la couleur noire, l’envers obscur de nos rêves”. Est-ce cette citation, tirée de l’ouvrage “En attendant la montée des eaux”, roman signé Maryse Condé, qui a guidé le cabinet Lan Architectes dans le choix de la teinte des bétons du Théâtre du Maillon, à Strasbourg ? Ou bien est-ce une autre considération ?« Le noir donne une plus grande abstraction aux choses », justifie Francisco Martinez, architecte en charge du suivi du chantier. Cohérent pour un lieu d’expression et de concept, par définition…  Situé dans le quartier de Wacken, au Nord de Strasbourg, le nouveau Théâtre du Maillon sera investi par une compagnie théâtrale, qui occupe aujourd’hui un hall du Parc des expositions, mitoyen. « Cette troupe aime occuper des lieux singuliers, sortir des murs… C’est cet esprit de théâtre, qui a guidé le projet. » D’une manière générale, un théâtre suit une certaine logique, linéaire. Il y a un espace public, qui figure l’entrée, puis la salle principale et, enfin, les coulisses. Le Maillon, lui, est évolutif, flexible. Il reprend une trame urbaine. Cinq grands espaces modulent le lieu : une cour d’entrée au Sud, une grande salle de 750 places avec gradins rétractables, un espace de convivialité, une salle secondaire de 250 places et un espace logistique au Nord.  Une simplicité trompeuse D’immenses ouvertures carrées, de 6 m de côté, percent les voiles. La lecture de l’échelle du bâtiment en est perturbée.[©ACPresse] A cela s’ajoute une cour ouverte de stockage. Des “rues” divisent ces zones, qui chacune, peuvent être ouvertes ou fermées. Une partie des murs intérieurs est mobile. Ainsi, la petite salle peut constituer le prolongement de l’espace de convivialité… Et la cour, devenir un espace de représentation en plein air. Une enveloppe en béton noir ceint le lieu, sans le confiner. D’immenses ouvertures carrées, de 6 m de côté, percent les voiles. La lecture de l’échelle du bâtiment en est perturbée. « Ces ouvertures sont l’interface avec la ville. »La zone d’échanges entre un extérieur ouvert et un intérieur plus intime, mais qui se dévoile.  L’entreprise belfortaine Albizzati assure les travaux de construction du nouveau théâtre. « Ce projet est très exigeant en termes de précisions sur les bétons. Les façades sont trompeuses, simples en apparence et très complexes dans les faits », explique Alain Albizati, gérant de l’entreprise éponyme. Coulés en une seule levée, les voiles se développent sur une hauteur de 14,20 m. A chaque fois, ils intègrent deux ouvertures sur la hauteur. Pour leur coulage, l’entreprise a loué des banches TP de Sateco, car elles autorisent la mise en place de contre-peaux coffrantes et sont adaptées à des coulages de grande hauteur. Un partenariat à cinq  Coulés en une seule levée à l’aide de banches TP de Sateco, les voiles se développent sur une hauteur de 14,20 m.[©ACPresse] « Le travail de préparation des banches a été fait en partenariat avec Hans Coffrage, une entreprise vosgienne avec qui nous collaborons régulièrement », souligne Alain Albizati. Les voiles intègrent un dessin de poteaux et de poutres en bas-relief, séparé des parties planes par des joints en creux. Pour certaines, les contre-peaux de coffrage sont à usage unique. D’autres voient quelques réutilisations, compte tenu d’une répétitivité de la trame des façades.  Les encadrements des ouvertures bénéficient d’un travail préparatoire tout aussi précis. De tailles imposantes, les mannequins, qui y sont insérés avant bétonnage, nécessitent un contreventement important. Tout comme les voiles de grande hauteur, après décoffrage. « Ce chantier est un véritable partenariat à cinq entre l’architecte, le bureau d’études, le fournisseur de béton, l’adjuvantier et nous-même, l’entreprise. »Car, si la mise en place des outils coffrants est un morceau de bravoure, le béton des voiles en est un autre… En premier lieu, il est auto-plaçant, entraînant toute une cohorte d’exigences. A commencer par une ouvrabilité limitée à 2 h, avec un but précis : ne pas risquer d’augmenter la pression dans le coffrage du fait d’un démarrage de prise tardive…  Un duo plastifiant – superplastifiant « Chaque campagne de bétonnage voit la mise en place de 45 à 65 m3de béton. La vitesse de montée du béton dans le coffrage est de l’ordre de 2 m/h, cadence ajustée par la tension enregistrée sur les tiges traversantes, serrées à la clef dynamométrique », explique Alain Albazati. Ces tiges sont au nombre de 154, réparties selon une maille régulière et précise sur l’ensemble des 200 m2de coffrage !  « Le béton noir représente un volume total de 1 700 m3, contre 1 400 m3de béton classique de classe de consistance S3, détaille Hervé Richet, chef de secteur Bas-Rhin Sud chez Eqiom Bétons. Il s’agit d’un C 30/37, d’une résistance réelle mesurée supérieure à 40 MPa. Ce choix a permet d’optimiser un peu l’épaisseur des voiles, en amont des travaux. Celle-ci oscille entre 35 et 45 cm.Pour répondre au cahier des charges imposé pour le béton noir, Eqiom a travaillé de concert avec BASF CC, le fournisseur des adjuvants. Et la palette était riche. L’ouvrabilité et la fluidité ont été gérées par un duo plastifiant – superplastifiant. « Pour ce faire, nous avons proposé un couplage MasterPolyheed 520 et MasterGlenim Sky 841 »,dévoile Dominique Cuadras, responsable de secteur Centre-Est BASF CC. Et Michaël Nowak, ingénieur technico-commercial BASF CC de poursuivre :« Cette synergie a permis d’obtenir de manière concomitante une bonne réduction d’eau, et une consistance fluide et homogène. Les effets d’émulsion ont été minimisés, évitant les phénomènes de bullage ou les traînées inesthétiques ». Sublimer le noir Les voiles intègrent un dessin de poteaux et de poutres en bas-relief, séparé des parties planes par des joints en creux.[©ACPresse] Clef de voûte du projet, la teinte noire a été obtenue par l’introduction du pigment MasterColor 100 Noir Intense, lui aussi issu du catalogue Master Builders Solutions (BASF CC). Beaucoup plus prononcé qu’un noir classique, ce pigment apporte la profondeur et l’éclat attendus par l’architecte. Teinte encore renforcée par l’emploi du MasterPel 795. Quatrième constituant BASF CC du béton, cet additif apporte une protection contre les efflorescences, tout en intensifiant la couleur et l’aspect brillant du béton. « La MasterPel 795 empêche la formation de carbonate de calcium en surface et limite la pénétration de l’eau dans le béton, augmentant d’autant sa résistance aux cycles de gel/dégel », poursuit Michaël Nowak. Enfin, pour sublimer la teinte noire, une fois les bétonnages achevés, l’ensemble de l’enveloppe sera revêtu du MasterPel 300. Cet agent assure la double fonction d’hydrofuge et d’oléofuge. En phase aqueuse, non filmogène, il sera appliqué par pulvérisation. Et apportera une protection complémentaire contre les efflorescences pour un béton plus noir que jamais, lisse et lumineux. Un vrai décor de théâtre… Frédéric Gluzicki
Il y a 5 ans et 245 jours

PERIN & Cie présente Air’Bloc®

En 2016, PERIN & Cie unissait son savoir-faire industriel à celui de Ciments Calcia pour développer un système constructif breveté novateur : Air’Bloc®. Son secret ? Un bloc béton rectifié complété d’une âme en mousse isolante, Air’Mousse®, 100 % naturelle et recyclable. Fabriquée avec un mélange à base de ciment, d’eau et d’air. Avec une densité 17 fois plus légère que le béton classique, qui lui confère d’excellentes propriétés thermiques, proches des isolants polystyrène actuels. Air’Bloc® offre une résistance thermique R = 1,04 m².K/W, qui répond ainsi à la réglementation en vigueur RT 2012, mais aussi à la future RE 2020. Ajoutons que l’inertie thermique du béton assure un confort thermique en été comme en hiver, qu’il soit mis en œuvre en habitat individuel ou collectif. Air’Bloc® produit dans le respect des normes en vigueur, certifié NF th, bénéficie également d’un Avis technique. Mis en œuvre en pose collée, Air’Bloc® réduit drastiquement le coût moyen de la maçonnerie isolante pour les maîtres d’ouvrage. Avec une atténuation des bruits de 44 dB (sans doublage), Air’Bloc® satisfait pleinement aux exigences de confort acoustique, aux règles de calculs parasismiques (EC8), ainsi qu’à la réglementation incendie propre au logement collectif. Air’Bloc, le bloc révolution. [©Perin & Cie] Un bond de géant pour la construction RE 2020 Fabriqué localement et transporté sur de courtes distances, Air’Bloc® est l’allié d’un environnement préservé, et la réponse au Label E+ C-. Sa très faible empreinte carbone, seulement 17,5 kg éq CO2 /m², garantie par une Fdes vérifiée, disponible auprès de la base de données Inies, est un argument efficient pour tous les maîtres d’ouvrage, souhaitant élaborer leurs ouvrages dans le cadre de la RE 2020. Air’Bloc® apporte à performance de mur équivalente, une réduction potentielle de l’épaisseur totale de la paroi, en réduisant l’épaisseur du doublage. C’est la garantie d’avoir 3 % au minimum de surface habitable supplémentaire, par rapport à une maçonnerie courante. Air’Bloc® est en passe de devenir l’acteur incontournable, qui permet de répondre aux critères de l’exemplarité énergétique et environnementale, quel que soit l’usage du bâtiment. Produit localement et distribué sur toute la France au travers d’un réseau d’industriels du béton, Air’Bloc® est un condensé d’innovation. Pour en savoir plus : www.airbloc.fr
Il y a 5 ans et 245 jours

Batimat : Demandez le programme !

Hall 6, Parc des expositions Paris Nord – Villepinte à l’occasion de l’édition 2017 de Batimat. [©ACPresse] Batimat se tiendra du 4 au 8 novembre prochain au Parc des expositions Paris Nord – Villepinte. Plus de 1 500 exposants seront sur salon. A cette occasion, un programme complet a été réalisé, dont une trentaine de conférences. Parmi elles, la remise des Green Solutions Awards de Construction21 ou encore des tables rondes, qui aborderont les nouvelles tendances. Le salon accueillera de nombreuses démonstrations, des évènements partenaires ou encore des visites guidées. En effet, le Mondial du bâtiment a préparé des parcours de 1 h 30 selon différentes thématiques. Un point d’honneur a été mis sur l’environnement et le bien être des acteurs du bâtiment. Au programme : appréhender le bâtiment et la mobilité, inventer les nouveaux logements, s’adapter à l’évolution, généraliser l’emploi des technologies. Mais aussi, former les individus et améliorer leurs conditions de travail, industrialiser les process, concevoir avec une empreinte carbone réduite ou nulle. Et enfin, utiliser des solutions renouvelables.  La sélection de la rédaction Edition 2015 du salon Batimat. [©ACPresse] En effet, les visiteurs pourront s’intéresser à des parcours dédiés aux solutions renouvelables et non productrices de déchets. Ces parcours se tiendront du lundi au jeudi de 14 h à 15 h 30 et partiront du Hall 6. Les stands de Préfa France, Constalica, Besteel ou encore Waste Box, pour ne citer qu’eux, seront présentés lors de ces visites. La filière bois sera, elle aussi, à l’honneur et mettra en avant les produits et services pour la construction. Les stands de Piveteaubois, Pour moi c’est le bois, France Douglas et d’autres encore feront partie des visites. Celles-ci se dérouleront de 14 h à 15 h 30, le départ aura lieu depuis Hall 6. A l’heure où l’empreinte carbone est un enjeu majeur pour les industriels, Batimat a prévu des évènements consacrés à cette problématique. Les solutions de façade, de couverture et de protection solaire pour développer le bâtiment bas carbone seront au centre de l’attention. Les guides vous donneront rendez-vous du mardi au vendredi de 11 h à 12 h 30, avec un passage sur les stands de Futurol, Technal, Edilians ou encore Armor] Enfin, le Mondial du bâtiment a fait le choix de s’intéresser à l’industrialisation des process de construction et de rénovation. Batimat prévoit de faire un détour sur les solutions de conception numérique, le BIM, la digitalisation de l’existant et tout ce qui se réfère au digital. Les visites auront lieu du lundi au jeudi de 11 h à 12 h 30. Les stands visités seront ceux de Soriba, en passant par Trimble et d’autres, pour finir chez Reynaers Aluminium.  Nul doute que ce programme vous permettra de découvrir de nouvelles pépites et pourquoi pas même, de changer votre quotidien. Retrouvez le programme en détail Retrouvez ACPresse à Batimat
Il y a 5 ans et 246 jours

La nature sous toutes ses formes

La Maison de la Nature s’inscrit dans le projet du nouvel Espace naturel départemental du Var. [©ACPresse] « Tout art est une imitation de la nature », disait le philosophe Sénèque. De sa conception à sa réalisation, la Maison de la Nature s’inscrit bien dans cette idée. Elle prend ses quartiers dans le nouvel Espace naturel départemental du Var, un poumon vert de 130 ha, niché entre les communes de La Garde et Le Pradet. A lui seul, ce lieu concentre tout le champ lexical de la nature. « Nous voulions façonner un espace sur unCet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 246 jours

Layher France : A partir de matériaux recyclés

Layher lance sa BatiCale. [©Layher] En général, un bout de basting fait souvent office de cale sur chantier… Aujourd’hui, Layher France innove avec une cale armée réalisée à partir de matériaux recyclés. Baptisé BatiCale, cet accessoire peut être utilisé sur tous les types de sol. Il offre une capacité portante de 10 t. Côté pratique, les cales Layher sont empilables grâce à leur système d’ergot breveté. Aucun clou n’est nécessaire pour fixer les platines. Trois zones d’appui sont possibles et une cale peut accepter jusqu’à 2 platines. L’autre innovation s’appelle Flexbeam. Il s’agit d’un système de poutres éclissables en aluminium et d’étriers, permettant la construction de plates-formes suspendues. Les poutrelles offrent une capacité de charge 3 fois supérieure aux modèles acier existants… Elles disposent de jeux de perforations pour la mise en place des étriers à différents niveaux. Ces derniers permettant la suspension, le réglage et l’amarrage à l’ouvrage. Le système Flexbeam est en mesure de recevoir tous types de structures (échafaudages, bois, passerelles…).  Sur Batimat : Hall 5A Stand P96
Il y a 5 ans et 246 jours

Cem’In’Eu récompensé d’un Award par l’International Cement Review 2019

La conception d’unité de broyage de Cem’In’Eu a été récompensée par l’International Cement Review. [©Cem’In’Eu] Cem’In’Eu a été récompensée aux Awards de l’International Cement Review 2019. Et ce, dans la catégorie “Station de broyage de l’année”. Ces prix récompensent, chaque année, les réalisations remarquables de personnes, d’équipes et d’organisations. Ainsi que leurs performances exceptionnelles dans diverses activités du secteur du ciment. Cem’In’Eu est ainsi distinguée pour la conception d’une station de broyage, notamment par rapport à l’efficacité énergétique, à l’utilisation de combustibles de substitution, aux taux de substitution du clinker, à la santé et à la sécurité. L’usine primée est celle d’Aliénor Ciments, située à Tonneins, entre Bordeaux et Toulouse.  « Etre récompensé pour notre première usine et nos ciments normalisés est un honneur et une grande reconnaissance, explique Vincent Lefebvre, Pdgde Cem’In’Eu. Nos pairs saluent ainsi l’originalité de notre démarche et notre capacité à proposer un modèle économique totalement repensé, afin de réduire au maximum l’impact de notre activité.» Pour la start-up française, cette récompense devrait accélérer son développement, elle, qui s’appuie sur des propositions de « petites unités de production compactes et standardisées. Implantées au plus proche des bassins économiques régionaux, avec un rayon d’actions d’environ 200 km ». Cem’In’Eu projette l’ouverture de quatre autres usines en France, chacune embranchée au réseau ferré ou accessible par voie d’eau. 
Il y a 5 ans et 246 jours

Trophées Fimbacte : De l’or pour Eqiom

Eqiom a reçu 2 Trophées d’or à l’occasion du festival Fimbacte. [©Eqiom] Le 8 octobre dernier, à la Cité de l’architecture et du patrimoine, à Paris, Fimbacte a remis ses Trophées du cadre de vie 2019. A l’occasion de la 24e édition de son festival, l’organisme a remis 2 prix au cimentier Eqiom. Le groupe a été récompensé dans la catégorie “Secteur projets économie circulaire” pour Sapphire. Cette entité s’attache au recyclage des déchets dans le process de fabrication du ciment. Elle recycle plus de 350 000 t/an de déchets sur 3 cimenteries et possède 3 plates-formes de pré-traitement. « Notre volonté est d’améliorer en toute sécurité la substitution énergétique par la combustion de déchets, en favorisant les ressources recyclées et être un acteur reconnu dans l’économie circulaire des régions, explique Christophe Bignolas, directeur exploitation ciments chez Eqiom. Notre approche mixte mêle le process industriel, les enjeux de transition énergétique et l’ancrage local. Aujourd’hui, notre niveau de substitution est d’environ 60 % – contre une moyenne nationale de 40 %. Certains de nos sites sont même proches de 80 %. Notre ambition est de progresser encore pour atteindre 70 % en moyenne. » Eqiom a aussi reçu le Trophée d’or dans la catégorie “Secteur communication interne et RH” pour l’organisation d’une convention nationale. Un rassemblement interactif et ludique pour dévoiler à ses collaborateurs sa stratégie future : “Ambitions 2025”. « La volonté d’Eqiom était de leur offrir une manière originale et dynamique de s’approprier notre vision de l’entreprise », commente Christian Pimpie, chef de marché distribution ciments chez Eqiom. Une initiative qui a regroupé 250 collaborateurs du groupe.
Il y a 5 ans et 246 jours

ACPresse l’incontournable de Batimat

Toute l’équipe d’ACPresse sera présente à l’occasion des 60 ans de Batimat. [©ACPresse] A Batimat, il y a bien un stand incontournable ! ACPresse sera au rendez-vous Hall 6 – Allée N – Stand 40, pour vous faire découvrir ses magazines. Mais aussi, son tout nouveau site Internet www.acpresse.fr. Venez tester, naviguer ou ouvrir votre compte avec l’équipe. Toute la semaine, nous vous invitons sur notre stand, afin de découvrir votre nouvel outil d’information et par la même occasion, rencontrer l’équipe rédactionnelle et commerciale. Comme tous les deux ans, Batimat accueille les professionnels du bâtiment au Parc des expositions de Paris Nord – Villepinte. Du 4 au 8 novembre 2019, l’innovation, les nouvelles technologies et des temps de convivialité rythmeront cette semaine. De plus, le salon fête ses 60 ans ! Des noces de diamant qui tombent à point pour reconquérir le cœur des acteurs du secteur. Les équipes du Mondial du bâtiment ont prévu plusieurs parcours “découverte”. Des visites seront organisées tous les jours, selon les différents profils et des thématiques bien précises. A l’image des thèmes “concevoir des modes constructifs à empreinte carbone réduite ou nulle” ou encore “des solutions renouvelables non productrices de déchets”. Des conférences permettront aussi d’approfondir le sujet. Jeudi 7 novembre, Karibati animera un colloque sur le biosourcé, alors que plusieurs ateliers et tables rondes ponctueront la semaine.
Il y a 5 ans et 246 jours

ATDV : Ligature automatique

Le Pisto40-MK est la nouvelle génération de pistolets à ligaturer d’ATDV. [©ATDV] ATDV présente le Pisto40-MK, un pistolet à ligaturer de nouvelle génération. Cet outil permet de lier des armatures et des gaines électriques d’un diamètre de 12 mm à 40 mm. Léger et ergonomique, il est très facile à utiliser. Axée sur le confort du travail, son utilisation évite les douleurs aux poignets, liées aux mouvements répétés. Le Pisti40-MK est cinq fois plus rapide qu’une ligature manuelle. La batterie coulissante, plus performante (18 V – 4 A/h), permet l’augmentation du nombre d’attaches, jusqu’à 5 000 par charge de batterie. Il est possible de rajouter une rallonge au sol, permettant de travailler debout. L’actionnement de la commande électronique sur la rallonge engendre une ligature. Sur Batimat : Hall 5B Stand T51
Il y a 5 ans et 246 jours

Les pigments et les colorants

Le béton brut s’affiche de plus en plus. La teinte choisie permet d’en tirer la quintessence esthétique. [©ACPresse] Quelles sont les deux grandes familles de pigments ? Il existe deux familles de pigments de coloration : les “naturels” et les “synthétiques”. Cet article se focalisera surtout sur l’utilisation des pigments synthétiques, les plus utilisés pour la coloration des bétons. Ces pigments sont obtenus à partir Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 247 jours

Ecocem fête ses 10 ans en France

Unité de production Ecocem de Fos-sur-Mer. Durant ces dix années d’existence, le site aura vu sa production augmentée par deux fois, pour atteindre 650 000 t/an aujourd’hui. En 2018, l’histoire d’Ecocem France s’est même accélérée avec l’ouverture d’un second site, à Dunkerque (59). A cette occasion, ArcelorMittal a fait passer sa participation au capital d’Ecocem France de 30 à 49 %.  A l’heure actuelle, l’usine tourne à un régime soutenu, quelque 600 000 t/an de laitier sortant de son broyeur. Mais le site dispose encore un peu de réserve, comme celui de Fos-sur-Mer d’ailleurs. En cumulé, ces deux unités offrent une capacité de production de près de 1,5 Mt/an. Au-delà, ce potentiel peut encore être augmenté de manière simple et rapide avec l’installation d’un 2e broyeur à Dunkerque.  Des applications chapes fluides dès demain Depuis la création d’Ecocem en France, le laitier moulu mis en œuvre dans les bétons a permis d’économiser plus de 4 Mt de CO2, dans le secteur de la construction. Et demain ? Ecocem France entend apporter des solutions pour d’autres applications. Le toute nouveau site Internet que l’industriel vient de mettre en ligne donne quelques pistes donne quelques pistes à ce niveau. La rubrique “Produits/Innovation” en révèle quelques-uns. Ainsi, les mortiers, enduits et autres sont aujourd’hui une réalité. Viennent ensuite les liants géotechniques, dont le béton projeté s’annonce déjà comme un produit novateur [Lire article “Ecocem lance le premier béton projeté au laitier”]. Les produits pour le traitement et la valorisation des sédiments pollués s’inscrivent dans une logique similaire. Il y a les chapes fluides. Le laitier moulu présente un potentiel très intéressant pour le coulage de chapes fluides. La recherche du groupe a d’ailleurs mis au point une nouvelle formulation de liant à base de laitier Ecocem à cet effet. La chape fluide obtenue est aujourd’hui lancée aux Pays-Bas par Ecocem Benelux. Et mise en œuvre sur des chantiers de bâtiments industriels, de centres commerciaux, ou d’habitats individuels et collectifs. Enfin, il ne faut pas oublier le CEM III/C, déjà certifié NF par l’Afnor. 
Il y a 5 ans et 253 jours

Wacker Neuson se sépare de son activité “truelle”

Truelle auto-portée Wacker Neuson CRT 48 L-PS. [©Wacker Neuson] Wacker Neuson cède son activité “truelle mécanique” au groupe suédois Husqvarna. Spécialisé dans la fabrication de matériel pour la construction, l’industriel allemand compte se recentrer sur ses autres gammes, afin de mieux rationaliser son portefeuille de produits. « Notre stratégie 2022 met nos clients au centre de tout ce que nous entreprenons, explique Martin Lehner, président du groupe Wacker Neuson. Nous avons décidé de nous concentrer sur nos classiques, comme le matériel de compactage, de vibration, de mise en œuvre du béton ou les petits matériels. » L’industriel continuera la vente de truelles mécaniques jusqu’en 2020, en accord avec Husqvarna. Passé cette date, Wacker Neuson s’occupera toujours de la maintenance et de la mise à disposition de pièces détachées. « Dans cette activité, nos clients existants auront le même niveau de prestation qu’ils ont toujours eu », conclut Alexander Greschenr, directeur scientifique de la marque.
Il y a 5 ans et 253 jours

GCC et HGCT, partenaires dans les ciments décarbonés

Julien Blanchard, président de HCGT, et Jacques Marcel, président de GCC, lors de la signature de leur partenariat technique commun. [©ACPresse] Hoffmann Green Cement Technologies (HGCT) est le petit industriel du ciment qui monte. Et surtout, qui veut faire baisser l’empreinte carbone des bétons… « Le CSTB vient de nous transmettre un document, faisant état d’un taux de CO2 compris entre 170 et 200 kg pour notre ciment H-UKR », confirme Julien Blanchard, président de HGCT. Le chiffre exact sera précisé dans les semaines qui viennent. Afin de poursuivre son développement dans cette voie, l’industriel vient de signer un partenariat avec l’entreprise de construction GCC. « Faire émerger des solutions constructives bas carbone s’inscrit dans notre politique de construction durable et de transition énergétique », indique Jacques Marcel, président de GCC. Et de poursuivre : « La volonté de GCC est aussi de pouvoir proposer une réponse “béton” à la demande des clients en matière de constructions durables et décarbonées ». GCC se définit avant tout comme un bétonnier, c’est-à-dire comme une entreprise utilisant du béton. C’est là son savoir-faire. Ses équipes sont rodées à la mise en œuvre du béton. Ses matériels sont destinés à cet usage. Aussi, dans son organisation actuelle, GCC n’a pas vocation à construire avec d’autres matériaux… Etre pionnier dans les ciments décarbonés « Une construction en bois représente un surcoût de 15 % en comparaison à la même réalisation en béton classique,estime Jacques Marcel. Il faut que chacun en soit conscient… » Quant à une alternative avec le ciment H-UKR d’HGCT, matériau qui est l’objet du partenariat, elle renchérirait la même construction que de 3 %. Sans compter que cette dernière pourrait afficher un critère C2 dans le cadre du label E+C–, du fait d’une division par cinq de l’empreinte carbone du ciment constitutif du béton… Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr Cette iframe contient la logique nécessaire pour manipuler Gravity Forms avec Ajax. jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } ); Frédéric Gluzicki
Il y a 5 ans et 255 jours

Saint-Gobain cède Saint-Gobain Building Distribution Deutschland

Saint-Gobain a finalisé la cession de la société Saint-Gobain Building Distribution Deutschland au groupe Stark. [© Saint-Gobain] Saint-Gobain a finalisé la cession de la société Saint-Gobain Building Distribution Deutschland au groupe Stark. Cette opération fait suite à l’approbation de l’autorité de la concurrence européenne obtenue le 6 septembre dernier. “La finalisation de cette opération marque une étape importante dans l’exécution par Saint-Gobain de la stratégie d’optimisation de son portefeuille : avec plus de 3 M€ de cessions en chiffre d’affaires réalisées ou signées à ce jour, l’objectif annoncé pour fin 2019 est d’ores et déjà atteint”, peut-on lire dans un communiqué. En 2018, Saint-Gobain Building Distribution Deutschland a réalisé un chiffre d’affaires 1,924 Md€ pour un résultat d’exploitation de 21 M€. Cette cession s’est effectuée sur la base d’une valeur d’entreprise de 335 M€.
Il y a 5 ans et 257 jours

“Nuit Blanche” : Eqiom, partenaire de Pierre Larauza

Retrouvez au parc de la Villette, la sculpture-documentaire de Pierre Larauza. Avec la participation d’Eqiom.[©Eqiom] Ce samedi 5 octobre, le programme de la “Nuit blanche” s’étalera de 19 h 00 à 7 h 00 du matin à Paris et en banlieue. Une nuit pour découvrir des musées, des expositions, des installations éphémères… Côté béton, nous avons retenu la sculpture-documentaire intitulée “30 août 1991, Tokyo” du plasticien Pierre Larauza. Elle sera visible en plein cœur du parc de la Villette (XIXe arrondissement). Pour faire court, cette installation propose une reconstitution historique grandeur nature du saut en longueur de l’athlète Mike Powell, à Tokyo, en 1991. Tout en invitant le public à s’y mesurer, en sautant dans un vrai bac à sable… Un projet ludique au croisement de l’art, du sport et du documentaire. Parmi les partenaires de Pierre Larauza, on peut citer Eqiom. Le cimentier a fourni le béton coulé en place et le sable pour réaliser l’œuvre in situ. « Nous sommes fiers d’accompagner Pierre Larauza dans cette démarche artistique innovante et permettre ainsi aux Parisiens de vivre une expérience artistique unique », déclare Mathieu Morel, responsable produits spéciaux chez Eqiom Bétons région Ile-de-France – Normandie. Et Sahar Seifi, animatrice produits spéciaux, d’expliquer : « Nous avons proposé à Pierre Larauza un ciment CEM III très écologique. Puis, la formulation s’est effectuée dans notre centrale de Pantin. Nous avons fourni 4,5 m3de notre Béton Plancher Renforcé, qui a été coulé ensuite en place ». A cette occasion, Béton[s]le Magazine a interviewé Pierre Larauza, en plein montage, sur son œuvre présentée à la “Nuit Blanche”. Le plasticien Pierre Lazaura, lors du montage de la sculpture-documentaire, qui sera présentée à La Nuit Blanche du 5 octobre. [©V. Manuel Ramos, entreprise de nettoyage WORLD NET] Pouvez-vous nous parler de votre installation, qui sera présentée toute la nuit du 5 octobre, dans le cadre de la Nuit Blanche, à Paris ? Pierre Larauza : Au sens propre, c’est une installation, mais je préfère parler de sculpture-documentaire. Thèse que je défends dans mon doctorat. Dont c’est la dernière année. Dans mes œuvres, je reconstitue au plus proche possible. un événement historique. J’ai choisi de mettre en scène le saut en longueur de Mike Powell. En effet, le 30 août 1991, à Tokyo, l’athlète réalise, avec 8,95 m, le saut en longueur le plus long de l’histoire. Toujours imbattu à ce jour. J’ai recrée toute l’installation sportive datant de 1991 : la piste d’élan, le bac à sable, 8 paires de chaussures en plâtre synthétique reprennent les différents moments du saut…  Le public ne verra que l’installation, il n’y a pas d’images d’époque. Par contre, il y aura des archives sonores de l’évènement présenté par Patrick Montel, commentateur de l’époque, spécialiste de l’athlétisme. Les visiteurs seront ainsi immerger à Tokyo, au moment même où le sportif effectue son célèbre saut en longueur, battant le mythique record de Bob Beamon, de Mexico, en 1968. Ce qui fait sens, c’est que j’ai rencontré Mike à Los Angeles, au printemps denier, pour échanger avec lui de ce moment.  Pourquoi avoir choisi le béton dans votre sculpture-documentaire ? P. L. : Le béton est le matériau de prédilection de l’architecture. Avant d’être artiste, j’étais architecte. De plus, j’aime les connotations de ce matériau : la résistance, la puissance, la force… Tout comme le saut de Mike. Et le fait que cette nuit ait lieu à l’automne et en plein air, nécessitait un matériau pérenne. Parmi vos partenariats, on peut citer le cimentier Eqiom. Comment s’est passée votre rencontre ? P. L. : Lors de mes recherches d’un partenaire cimentier, j’ai été attiré par l’ouverture d’esprit d’Eqiom sur son site Internet. J’ai envoyé un email. Et Elisabeth Latapie, la directrice de la communication, m’a recontacté rapidement. Après plusieurs échanges téléphoniques et une visite du leur show-room à Montreuil-sous-Bois, j’ai été conseillé sur le choix des matériaux. Et leurs équipes se sont vraiment mises à mon service. Malgré le fait que ma sculpture-documentaire soit éphémère et ne dure que la nuit du 5 octobre. Petite anecdote, en plus du ciment, Eqiom m’a fourni le sable. Elles ont commencé par me proposer un sable ordinaire 0/4, mais il n’était pas assez sécure pour les sauts du public. Le cimentier a donc été cherché loin dans un de ses entrepôts un autre sable 0/2. J’ai pu compter sur le cimentier jusqu’au bout.  Propos recueillis par Muriel Carbonnet Informations pratiques :Le samedi 5 octobre 2019, de 19h à 3hParc de la Villette, entrée au 211 avenue Jean Jaurès, puis rejoindre le parvis du restaurant “My Boat”, à côté des Folies du parc de la Villette (Folie L5), près du canal.
Il y a 5 ans et 258 jours

Décès de Roger Taillibert, l’architecte du stade olympique de Montréal

Pour accueillir les Jeux olympiques d’été de 1976, la ville de Montréal confie la réalisation du parc olympique à l’architecte français Roger Taillibert. Ce dernier édifia un stade omnisport ellipsoïdal couvert, en béton préfabriqué, de 65 000 places. Ouvert au centre, ce stade est surmonté d’une tour inclinée de 175 m de hauteur. La plus haute au monde. [©Wikipédia] L’architecte français Roger Taillibert (1926-2019) est décédé le 3 octobre dernier, à Paris. Il était surtout connu pour ses grands équipements sportifs. On lui doit, entre autres, le Parc des Princes (France), les installations olympiques de Montréal (Canada) ou le Khalifa Stadium (Qatar). Elu à l’Académie des beaux-arts en 1983, président de l’Académie en 2004 et 2010, président de l’Institut de France en 2010, il était aussi membre de l’Académie des sports. Roger Taillibert avait étudié l’art égyptien à l’Ecole du Louvre. Puis, avait fait l’École des Beaux-Arts, avant de devenir un spécialiste de constructions dédiées au sport. Tout d’abord, il fut architecte en chef et conservateur du Grand Palais. Ensuite, architecte en chef et conservateur du Palais de Chaillot. Enfin, architecte-conseil des Emirats Arabes Unis et de la Ville de Tripoli, au Liban. Retrouvez l’article hommage dans Béton[s] le Magazine n° 86, à paraître en janvier 2020.
Il y a 5 ans et 258 jours

Une nouvelle certification pour Edilteco France

Damien Vincent, responsable du site et Marie Chevailler, responsable QSE. [©Edilteco France] Edilteco France obtient une certification ISO 9001 pour son usine de Sèvremoine (49). À l’origine de cette certification et à l’instar d’Edilteco Italie, une volonté du groupe d’uniformiser les méthodes de travail sur ses sites. L’unité de production, située à Sèvremoine, spécialisée dans la fabrication et la commercialisation des granulats de PSE pour mortiers et bétons légers, mortiers légers prêts à l’emploi, ainsi que des systèmes d’ITE, s’est lancée il y a 4 ans dans une démarche qualité. Ses efforts se sont concrétisés par une certification Acermi pour ses plaques de polystyrène (PSE). Cependant, le site de Sèvremoine ne s’est pas arrêté là. Afin de répondre aux exigences ISO 9001, l’usine a recruté un responsable qualité. Ainsi, des contrôles supplémentaires ont vu le jour, notamment sur l’ensemble de sa chaîne de production. L’écrit prend une place plus importante dans la structuration de l’activité. « On écrit ce que l’on fait, puis on le met en lien avec les objectifs de l’entreprise elle-même » déclarent Marie Chevailler, responsable QSE et Damien Vincent, responsable du site. Cette collecte d’informations vient aussi faciliter la transmission du savoir, tout comme l’intégration des nouveaux collaborateurs. Edilteco voit en cette certification l’opportunité de développer une relation qualitative avec ses clients.
Il y a 5 ans et 259 jours

Tremco-Illbruck devient RPM Construction Products Group Europe

Tremco-Illbruck, filiale du groupe RPM, devient RPM Construction Products Group (CPG) Europe. [©Tremco-Illbruck] L’Américain RPM International, dont Tremco-Illbruckest la filiale, réorganise ses activités européennes, en les regroupant au sein d’une nouvelle entité baptisée RPM CPG (Construction Products Group) Europe. Elargissant sa palette d’activités, cette dernière devient un groupe généraliste, fabricant de produits de construction, avec une forte spécialisation dans les métiers de l’étanchéité et de l’isolation. Elle conservera ses marques et ses organisations commerciales dans ses diverses activités : Tremco, Illbruck, Dryvit, Nullifire, Flowcret et Vandex. L’entité régionale est composée de huit divisions différentes : Royaume-Uni, France – Espagne – Portugal et Italie, Benelux, Suisse, Allemagne – Autriche, Scandinavie, Europe de l’Est et Turquie- Balkans. Tandis que les entités régionales s’effacent au profit de celles de ce nouveau groupe, RPM CPG Europe devient l’unité coordinatrice des principales marques de produits de RPM, réparties en cinq segments : étanchéité, collage et isolation (Illibruck, Tremco et Dryvit), protection feu passive (Nullifire), sols (Flowcrete) toiture (Tremco) et imperméabilisation (Vandex et Tremco).
Il y a 5 ans et 259 jours

Chryso Tera, un offre d’adjuvants pour la production de voussoirs

L’offre Chryso Tera se concentre sur 3 indicateurs de performances spécifiques à la production de voussoirs de tunnels. [©Chryso] Avec l’offre d’adjuvants Chryso Tera, l’industriel Chryso propose des produits et un service dédiés à la fabrication de voussoirs pour tunnels. Cette offre se distingue par sa capacité à répondre aux critères spécifiques du tunneling et par son service sur mesure : Chryso Tera Lab.  En plus des indicateurs de performance traditionnels du béton, l’offre Chryso Tera se concentre sur 3 indicateurs de performances spécifiques à la production de voussoirs. Tout d’abord, la bonne mise en place du béton (optimisation du remplissage du moule, comportement à la vibration). Ensuite, le nivellement du béton (moules arrondis, obtention d’une surface homogène). Enfin, la qualité de la finition (qualité des parements, facilité de talochage du béton). Petit plus, le Chryso Tera Lab constitue un accompagnement personnalisé, de la phase de diagnostic à la finalisation du projet, afin d’optimiser sa production. Ainsi, des experts techniques de l’industriel conseillent les clients pour répondre aux problématiques de fabrication et aux contraintes chantiers associées. Cette nouvelle offre de service se caractérise par une série d‘essais réalisés en laboratoire. Trois tests ont été réalisés pour le développement d’adjuvants : Tera Sim, Tera Finish et Tera Compac. 
Il y a 5 ans et 260 jours

Pont de Noirmoutier : Réhabilitation sans mise à sec

Opération de coulage du béton à la pompe sur le pont de Noirmoutier. [©Caroline Kim] Pour la réhabilitation du pont de Noirmoutier (85), l’entreprise Charier a associé de nouvelles semelles en béton, des coques en fibre de verre et du béton projeté. Le tout sans mise à sec. Sur les deux piles centrales, les batardeaux d’origine, très endommagés, sont encagés dans une nouvelle semelle. Plus de 400 m de canalisations séparent le lieu de déchargement du béton et la pile du pont. Formulé par Edycem et de consistance S4, le béton est mis en œuvre à la pompe par les équipes d’Inter Service Pompe (ISP). La colonne où circule le béton compte une cinquantaine de coudes. Trois pompes se relaient pour faire avancer les 2 300 m3 de béton, qui seront nécessaires à l’opération. A l’arrivée, des plongeurs guident la flèche de pompage. A la hauteur du marnage, les piles seront équipées d’une jacket FX-70 de S&P, une coque en fibre de verre fabriquée sur mesure. Entre cette coque et le pont, est coulé un ensemble de coulis époxy et de mortier subaquatique de réparation. L’utilisation de cette solution sur un ouvrage routier en béton est une première en France. Caroline Kim Découvrez le reportage complet en exclusivité dans le prochain numéro de Béton[s] le Magazine à paraître.
Il y a 5 ans et 260 jours

Ciments Calcia remet à plat son offre de ciments en sac

La gamme rénovée de ciments en sacs signés Ciments Calcia décline à l’envi les clins d’œil. [©HeidelbergCement] Visionnaire. Rapide. Endurant. Maniable. Tenace. Incontournable. Superbe.Non, ce n’est de moi que l’on parle, mais de la toute nouvelle ligne de ciments en sac, mise sur le marché par Ciments Calcia. A travers ces qualificatifs, l’industriel vient de repenser le positionnement de ses produits, en leur donnant un trait de caractère. Celui qui résume leur spécificité première. « L’idée était de donner un coup de peps à nos ciments, en travaillant sur le bénéfice qu’ils apportent à l’artisan. Et en leur transmettant une valeur d’usage lisible et compréhensible par tous », résume Catherine Barbier-Azan, directrice marketing et communication de HeidelbergCement France.En effet, l’emballage constitue le premier élément vu par l’utilisateur, avant même le produit. Il permet de le protéger et de le transporter. Mais surtout, l’emballage est un espace d’information, le point de contact clef de la relation avec le client. Grâce à leurs nouvelles identités visuelles, les ciments de Ciments Calcia deviennent, en quelque sorte, plus humains, plus empathiques…  Les ciments VisionAir réduisent l’empreinte carbone Sac du nouveau ciment bas carbone VisionAir de Ciments Calcia. [©HeidelbergCement] La véritable nouveauté de cette gamme est l’arrivée d’une offre à empreinte carbone réduite. Elle est identifiée par la dénomination “VisionAir” (et non “visionnaire”, comme orthographié en début d’article). Réalisée selon des process de fabrication nécessitant moins de clinker, la ligne compte quatre références : deux ciments et deux mortiers. « Elle couvre la quasi-totalité des applications classiques du BTP, reprend Catherine Barbier-Azan. Avec ces ciments, Ciments Calcia s’inscrit dans l’objectif du groupe HeidelbergCement de réduire l’ensemble de ses émissions de 30 % d’ici à 2030. Puis, d’atteindre la neutralité carbone pour le matériau béton à l’horizon 2050. »Ainsi, le VisionAir Baticia est un ciment pour formuler des bétons destinés à tous les usages du bâtiment. Le VisionAir Foncia est le pendant pour les bétons en milieu agressif. Vient ensuite le VisionAir Flexia, le mortier de montage avec air entraîné. Quant au VisionAir Poncia, il n’est autre que l’exi-Bati Ponce, le mortier de montage allégé thermique à base de pierre ponce.  Des ciments sont fabriqués en France Disponible depuis le 10 septembre dernier, la gamme rénovée de ciments en sac signés Ciments Calcia décline à l’envie les clins d’œil et les phrases d’accroche. L’industriel a même créé toute une ligne d’objets en béton symbolisant les usages. Le rhinocéros figure assez bien la ténacité. La chaussure de sport fait penser à la rapidité. Quant aux lunettes de soleil, elles renvoient à la beauté, à l’esthétisme. Et pour encore plus retenir l’attention, Ciments Calcia a voulu des textes d’accompagnement sans ambiguïté. Les plus limpides possible pour les utilisateurs.  Deux des six nouvelles références des ciments en sac signés Ciments Calcia. [©HeidelbergCement] Un produit pour ses travaux courants ? Tablez sur “l’Incontournable” Technocem.Nécessité de décoffrer en un temps record ? Choisissez le “Rapide” Ultracem.Résister aux agressions extérieures ? Missionner les “Tenace” Duracem, Duracem HR ou Ultracem PM.Miser sur l’esthétique ? Là, l’offre est plus large. Tout d’abord, les “Superbe” Technocem Blanc ou Ultracem Blanc. Mais aussi les trois “Superbe” Effix Arca, Effix Arca Active et Effix Créa. Pour une excellente durabilité ? L’allié s’appelle “l’Endurant” Fondacem.Et pour obtenir des mortiers souples, onctueux et simples à mettre en œuvre ? Adoptez le “Maniable” Baticem.A travers cette remise à plat de son offre, Ciments Calcia met aussi en avant le côté “local” de ses produits. « Tous nos ciments sont fabriqués en France, avec des matières premières locales, dans une démarche de valorisation des circuits courts et de l’économie circulaire », conclut Catherine Barbier-Azan.   Frédéric Gluzicki