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Il y a 5 ans et 163 jours

Nouvelle tournée pour le Fischer Tour Truck

Avec ses 17,50 m de long, 6,25 m de hauteur et ses parois latérales extensibles, le Fischer Tour Truck est un centre de formation et de démonstration mobile. [©Fischer] Fort du succès rencontré lors de sa première tournée en France en 2018, le camion Fischer Tour Truck revient sillonner les routes de l’Hexagone du 6 au 21 février 2020. Aménagé en centre de formation et de démonstration mobile, ce camion propose des cours théoriques et pratiques sur les techniques de fixation. Au sein même du camion, des experts Fischer dispenseront un enseignement théorique en petits groupes, aux professionnels comme aux bricoleurs. Cette nouvelle tournée va permettre aux équipes Fischer de venir à la rencontre des utilisateurs, qui souhaitent développer ou approfondir leurs connaissances en matière d’ancrage. En outre, ces derniers pourront découvrir et tester les différentes gammes de solutions de fixation Fischer. Ceci, dans un cadre convivial et professionnel. Mais aussi partager des conseils pratiques et avisés avec les experts de la marque. Le Fischer Tour Truck : Un show-room mobile Ce camion de 90 m2 est aménagé sur mesure sur 2 niveaux. Avec ses 17,50 m de long, 6,25 m de hauteur et ses parois latérales extensibles, le Fischer Tour Truck est spacieux et fonctionnel. Tel un show-room de 60 m2, le rez-de-chaussée est dédié à la pratique et à la mise en œuvre des systèmes de fixation. De nombreux rangements et chariots permettent d’accueillir les différentes familles de produits. Et de réaliser des démonstrations dans des conditions réelles, grâce à des matériaux de construction intégrés dans les parois du camion. L’étage de 30 m2sert de salle de formation théorique. Equipée de tables, de chaises et d’un écran TV pour les présentations, elle peut accueillir jusqu’à 15 personnes assises. 
Il y a 5 ans et 164 jours

Mémorial Australien : Un béton blanc pour se souvenir

Il aura fallu 268 mannequins en forme de prisme triangulaire pour réaliser ce toit-terrasse de 1 300 m3. [©Bouygues Bâtiment Grand Ouest] En reprenant la ville de Villers-Bretonneux (80), en avril 1918, l’armée australienne stoppe la folie conquérante des Allemands arrivés aux portes d’Amiens. Depuis plus de 100 ans, les Australiens n’ont pas oublié leurs soldats disparus. Pour renforcer ce devoir de mémoire, le gouvernement du Continent Rouge a initié l’extension et la rénovation du Centre Sir John Monash. Au nom du général, qui a mené la bataille de Le Hamel, le site rassemble un cimetière du Commonwealth et un mémorial. Mais aussi, depuis le mois d’avril 2018, un centre d’interprétation. Ce dernier s’intègre à l’édifice existant et respecte la sobriété du lieu, tout en constituant une prouesse technique dans sa Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 166 jours

Achères Seine-Aval : Le festival des bétons

L’usine d’épuration d’Achères Seine-Aval (78) constitue un lieu expérimental formidable, en termes de béton et d’esthétisme architectural. [©ACPresse] L’usine d’épuration d’Achères Seine-Aval, dans les Yvelines, n’en finit pas de s’étendre, de se transformer. Aujourd’hui, ce sont les unités de traitement de la file biologique des eaux, qui parachèvent la refonte du site. Elles se divisent en deux zones : les ouvrages de traitement par biofiltration, réalisés dans un premier temps, puis l’ensemble du traitement membranaire. Cette partie s’organise comme un quartier urbain, avec ses rues, ses allées et ses bâtiments. L’identité visuelle y joue un rôle primordial. Le Syndicat interdépartemental pour l’assainissement de l’agglomération parisienne (Siaap), maître d’ouvrage de l’opération, ayant le souci de donner une représentation positive de l’activité de traitement des eaux. Quelque 46 panneaux traversés d’ogives de verre ont été préfabriqués par l’industriel du béton Naullet. [©ACPresse] D’où un important travail architectural de la par de Dominique et Giovanni Lelli, et de Luc Weizmann, qui souligne : « Achères est un lieu plutôt expérimental, en termes de béton. Il est un fil rouge pour ce matériau, un véritable festival des bétons ». Et Giovanni Lelli, de renchérir : « Nous avons essayé de pousser le béton dans ses retranchements, mais pas uniquement au niveau de sa résistance. Nous avons beaucoup travaillé le plastique. Toutefois, nous n’en sommes qu’aux prémices dans ce domaine. Pour réussir une opération de ce type, il est indispensable d’avoir un maître d’ouvrage, un maître d’œuvre et une entreprise, engagés. Ici, nous avons eu les trois… » Miroir, mon beau miroir… De manière détaillée, trois esthétiques fonctionnelles principales ont été mises en œuvre sur la partie “membranaire”. Tout d’abord, des panneaux en Bfup traversés d’ogives de verre, installés sur le long des passages couverts des bâtiments de production d’air. Puis, des garde-corps intégrant des fragments de miroirs en tant que granulats de parement sur les bassins d’aération. Et enfin, les panneaux en Bfup sensibles à la chaleur, positionnés en partie supérieure des mêmes bâtiments de production d’air. « Des gabions en partie réalisés avec des pierres et des fragments de béton recyclé habillent aussi les ouvrages propres au traitement membranaire, reprend Giovanni Lelli. Comme quoi, il existe mille manières de réutiliser le béton. » Les ogives de verre traversant les panneaux présentent une excroissance en forme de demi-sphère, donnant l’impression de gouttes d’eau à la surface du béton. [©ACPresse] Garde-corps et panneaux ont tous été préfabriqués par l’industriel vendéen Naullet (qui a rejoint le groupe Soriba en tout début de cette année). « Nous avons tout d’abord lancé la production des garde-corps », souligne Didier Gazeau, directeur de Naullet. C’est le mortier à ultra hautes performances i.design Effix Architecture de Ciments Calcia, qui a été mis en œuvre pour cette opération. Un Effix modifié pour pallier les éventuelles incompatibilités avec la silice du verre des miroirs (d’une épaisseur de 2 mm). Naullet a travaillé avec une matrice blanche additionnée d’oxydes de fer pour obtenir la teinte sombre attendue par les architectes. Des ogives de verre « Pour nous, la plus grande difficulté est venue de la mise en place des fragments de miroirs. Nous devions veiller à ce qu’ils se positionnent dans le bon sens sur la table de bétonnage », précise Didier Gazeau. Quel a été le “truc” pour y arriver ? L’industriel ne le dira pas… Après démoulage de chaque panneau, la surface vue était lavée avec un jet d’eau moyenne pression pour éliminer l’huile de décoffrage et la laitance présente sur les miroirs. Au total, Naullet a réalisé 80 garde-corps de 2,50 m de long, 1 m de haut et 5 cm d’épaisseur. Ceux-ci ont ensuite été fixés sur leur support, à l’aide de douilles Halfen et de tiges traversantes. Sans doute, les plus impressionnants par leur esthétique, les panneaux traversés d’ogives de verre ont nécessité une grande précision de réalisation. L’envers du décor… Les ogives de verre laissent filtrer la lumière, éclairant de manière naturelle les passages couverts. [©ACPresse] « Là, nous avons utilisé le Bfup BSI d’Eiffage. Normal, le client était… Eiffage TP. C’est la deuxième fois que nous assurons une préfabrication avec ce matériau. » De teinte blanche, celui-ci était additionné de fibres polypropylène. D’une épaisseur totale de 7 cm, ces panneaux de 6 m de haut pour 2,50 m de large sont traversés par des ogives en verre de 12 cm pour un diamètre de 80 mm. On en dénombre 160 par panneaux, qui compte comprend 46 unités, soit un cumul de 7 360 ogives. Toutes ont été coulées à la main par le maître verrier Olivier Juteau, dans son atelier de Gommecourt (78). Ces éléments ont été sertis dans la matrice en Bfup. « Nous avons entouré chaque ogive d’un matériau résilient de 1 mm d’épaisseur pour contrecarrer les effets de la dilatation et du fluage du béton », précise Didier Gazeau. Deux ans de R&D Le dernier type de panneaux préfabriqués en Vendée ne paie pas de mine, de prime abord. Il est de teinte claire et lisse, présentant un fini architectonique. Quelque chose d’assez classique, en résumé. Mais ce n’est qu’une façade : ces panneaux ont demandé deux année de R&D… « Prenant place en partie supérieure des bâtiments de production d’air, ces panneaux sont sensibles à la chaleur, ou plutôt au froid », dévoile Didier Gazeau. L’idée de ces panneaux thermo-chromiques vient de Giovanni Lelli. Ainsi, en été, lorsque la température extérieure est supérieure à 25 °C, ils sont blancs. Mais quand la température baisse, ils prennent une teinte plus chaude : brune, orangée ou rosée. « La nuance reste légère, mais elle est présente. » L’intensité maximale est atteinte aux alentours de 10 °C et reste stable en deçà. Toutefois, la réaction reste lente et plusieurs jours sont nécessaires pour voir les couleurs changer. Le travail en R&D a principalement consisté à faire évoluer l’addition thermo-chromique pour la rendre compatible avec le pH basique du béton. Garde-corps incrustrés de fragments de miroir. [©ACPresse] « En principe, elle ne marche pas à pH supérieur à 8… » En parallèle, la matrice cimentaire – l’i.design Effix Architecture de Ciments Calcia, là encore – a été modifiée pour l’occasion. Lors de cette dernière phase de préfabrication, Naullet a réalisé une soixantaine de panneaux de 6 cm d’épaisseur pour 7 m de haut et 2,50 m de large pour les plus imposants. Ceci, dans des formes trapézoïdales et rectangulaires. « Au totalité, l’ensemble de cette commande a nécessité près de dix-huit mois de travail en atelier », indique en conclusion Didier Gazeau. Frédéric Gluzicki Repères– Maître d’ouvrage : Syndicat interdépartemental pour l’assainissement de l’agglomération parisienne (Siaap)– Architectes : LWA – Luc Weizmann Architectes (mandataire) et Lelli Architectes– Groupement “génie civil” : Eiffage TP – GTM TP et Sobea Environnement– Préfabricant : Naullet (groupe Soriba)– Montant du marché : 777 M€– Délai : 2012 – 2017
Il y a 5 ans et 167 jours

Le campus de Saclay part en vrille

Guillerm Entreprise a fourni 43 volutes, qui encadrent la nouvelle halle multisports du campus de Paris-Saclay. [©Guillerm Entreprise] Dans un lieu où le savoir est d’or et l’excellence d’argent, la création d’une halle multi-sports au cœur du campus de Paris-Saclay se devait d’être à la hauteur de son environnement. Impulsé par l’Ecole polytechnique, sur la commune de Palaiseau (91), ce nouveau bâtiment renferme plusieurs espaces dédiés aux sports de combat. Alliant esthétisme et technicité, la halle multi-sports a été imaginée, après un concours, par l’agence d’architectes Stoffel Lefebvre. Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. 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Il y a 5 ans et 167 jours

Muriel Testud lance MT Béton

Muriel Testud lance MT Béton, qui assure la commercialisation multi-marques d’équipements pour la préfabrication. [©ACPresse] Trente ans dans le béton, et toujours l’envie d’aller plus loin. Ainsi, Muriel Testud est en train de franchir un nouveau pas en créant MT Béton. « Je suis sur le point de devenir agent multi-cartes indépendant. Ceci, dans la fourniture d’éléments complémentaires destinés aux unités de préfabrication de produits en béton », explique l’intéressée. Ce changement de statut fait suite à 22 années passées chez Quadra, en qualité de directrice commerciale. « Je reste en excellents termes avec Quadra et nous maintiendrons des relations collaboratives… » L’activité de MT Béton s’articulera autour de 5 pôles spécialisés, couvrant l’ensemble du territoire national. Ainsi que les Dom-Tom, la Suisse romande et la Wallonie, en Belgique. Le premier pôle sera celui des panneaux de démoulage de toute nature. « Je vais distribuer la marque allemande Wasa. Cette dernière fabrique des panneaux plastiques pleine masse. Mais aussi des panneaux en noyaux de pin recouverts de silicone ou pin tout court, reprend Muriel Testud. Quant aux panneaux en acier, ils seront issus des usines Oxycentre et Oxyshop du groupe français FLP. » Viendront ensuite les moules pour tout type de machines. Aussi bien pour presses, pour démoulage différé ou immédiat que pour la préfabrication sur mesure. Là, on trouvera les marques Stampi Sud (moules pour presses).  Saire (moules sur mesure) et Wasa Molds (moules polyuréthane pour dalles, margelles, pas japonais…) en feront partie. Et Lib (moules silicone pour balustres et objets sur mesure).  L’offre de MT Béton sera très cohérente Le 3e pôle regroupera les équipements destinés à l’amélioration des conditions de travail à l’entretien des matériels de production. Au programme, les machines Awitech (contrôle de l’air et aspiration des poussières en milieu confiné), et Alfacoustic (insonorisation des matériels bruyants). Sachant que ces marques proposent des solutions de climatisations d’espaces industriels. Par ailleurs, une ligne d’équipements sera proposée à travers la marque Malingue. Celle-ci construit des passerelles, des escaliers, des échelles à crinolines, des bacs de récupération des déchets .  « Une collaboration avec Claude Heinrich, de CH Conseil s’inscrira dans le cadre de mon 4e pôle d’activité, reprend Muriel Testud. Il s’agira d’un accompagnement pour les projets de bâtiments industriels, d’étuves à température et hygrométrie régulées et contrôlées, de racks de stockage. Mais aussi pour le traitement de surface des dalles et pavés. » Côté fournisseurs, on peut citer les marques allemandes Rotho (bâtiments, étuves, équipements optionnels de traitement des nuisances intégrés) ou KBH (systèmes de traitement de surfaces).  Enfin, le 5e pôle est aujourd’hui en cours de constitution et concernera le conditionnement de palettes (cerclage, par exemple). « L’offre de MT Béton sera très cohérente et réunira tout ce que l’univers de la préfabrication peut avoir besoin, côté équipements. Une sorte de “Puzzle de l’industrie du béton”, qui sera la signature de ma petite entreprise, conclut Muriel Testud. Avec MT Béton, je concrétise un rêve et j’espère réussir ce nouveau challenge ! »
Il y a 5 ans et 167 jours

NGE transforme son école interne en CFA

De gauche à droite : Françoise Courtois, responsable pédagogie et développement, Bruno Pavie, directeur des ressources humaines, Gérard Paul, directeur de Plate Forme, Antoine Metzger, président de NGE, et Gilbert Roux, vice-président de NGE et gérant de Plate Forme. [©NGE] L’équipe de direction de Plate Forme, l’école interne de formation du groupe NGE, a inauguré son nouveau Centre de formation pour l’apprentissage (CFA). Titre reçu avec les encouragements de Muriel Pénicaud, ministre du Travail. Cette reconnaissance consacre la qualité de son ingénierie pédagogique. Et permet de dispenser des formations diplômantes, reconnues par l’Etat. Il s’agit de la première école du secteur du BTP à être certifiée CFA, depuis la réforme de la formation professionnelle continue. « Nous sommes fiers de la reconnaissance du ministère du Travail et du soutien de Madame la Ministre Muriel Pénicaud. Cela confère à notre centre de formation Plate Forme, un statut de CFA, acquis grâce à plus de 15 ans d’expérience en formation professionnelle. […] En 2 ans, nos effectifs ont progressé de plus de 30 %. Après avoir recruté 2 000 salariés en 2018, nous prolongeons nos efforts avec un objectif de 10 000 embauches d’ici à 2024. L’attractivité grandissante de notre groupe, à laquelle Plate Forme participe pleinement, est devenue un facteur clef déterminant dans notre succès », indique Antoine Metzger, président de NGE. « Je salue la création du CFA de NGE, qui va permettre de former des jeunes aux métiers du BTP. Grâce à la Loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel du 5 septembre 2018, nous avons levé de nombreux freins pour faciliter la création de CFA. Ainsi que la mise en œuvre de l’apprentissage, une voie d’excellence, de passion et d’avenir », conclut Muriel Pénicaud, ministre du Travail.
Il y a 5 ans et 167 jours

Anne Thomas prend la direction d’Afnor Compétences

Anne Thomas est la nouvelle directrice générale d’Afnor Compétences. [©Afnor] Depuis le 1erjanvier 2020, Anne Thomas est la nouvelle directrice générale de la filiale formation et conseil du groupe Afnor. Elle succède à Pascal Prévost. « Je suis très heureuse de rejoindre le groupe Afnor et Afnor Compétences en particulier. Ceci, à un moment clef de l’évolution de l’organisme de formation référent en véritable partenaire de la transformation des organisations, du développement et de la reconnaissance des compétences », déclare Anne Thomas, directrice générale d’Afnor Compétences. Le parcours d’Anne Thomas Diplômée d’Audencia en 1995, Anne Thomas, 47 ans, a mené un parcours professionnel toujours orienté vers la transmission des savoirs dans des secteurs de services BtoB. Elle a conjugué des compétences de management, de développement de centres de profit et de marketing.  Après des débuts chez L’Oréal, Anne Thomas rejoint en 1997 l’institution “Les rencontres d’affaires”, qui deviendra l’organisme de formation professionnelle Comundi.  En 2003, elle intègre Reed Business Information, en assumant plusieurs responsabilités. Elle crée ainsi la fonction marketing au niveau du groupe avant de prendre la direction de la Business Unit presse. Fonction qu’elle poursuit jusqu’en 2016, après des changements d’actionnaires et la transformation de la société en Intescia. En 2018, elle rejoint la Fédération de Réseau Entreprendre et dirige la formation et les services aux associations adhérentes, jusqu’en octobre 2019.
Il y a 5 ans et 170 jours

Quand le béton se marie au végétal et à l’art

Richter & Associés ont signé le nouveau Centre de soins psychiatriques de Hauts-de-Queuleu, à Metz. [©Eqiom]Situé au cœur d’un poumon vert, l’ouvrage rend hommage à la nature. [©Eqiom]L’artiste Grégoire Hespel est intervenu avant le coulage et après le décoffrage pour créer différentes aspérités. Des détails qui soulignent le lien entre le bâtiment et la nature. [©Eqiom]De grandes ouvertures vitrées laissent entrer la nature et la lumière dans cette coque de béton protectrice. [©Eqiom] La Zone d’aménagement concerté des Hauts-de-Queuleu, à Metz (57) a été épargnée par l’urbanisation. Ici, le cabinet d’architectes Richter & Associés, prix de l’Equerre d’argent 2018, a dessiné un nouveau Centre de soins psychiatriques. Imaginé comme une coque organique, le bâtiment bénéficie d’un béton Eqiom à base de colorant vert (teinté dans la masse) et de CEM II de la cimenterie de Héming. Pour souligner le lien entre le bâtiment et son environnement végétal, les architectes en charge du projet ont fait appel à l’artiste Grégoire Hespel. Ce dernier est intervenu en créant des vides avant le coulage des éléments. Mais aussi, au moment du décoffrage, en utilisant un nettoyeur haute pression. Ainsi, à certains endroits, les granulats des murs ressortent, des textures se créent et les nuances de couleurs rendent hommage à la nature. Ces différentes aspérités renforcent l’aspect minéral de l’ouvrage… Si la coque en béton confère un côté protecteur au lieu, elle est tout de même ponctuée par des ouvertures vitrées. Celles-ci laissent entrer la lumière et donnent l’impression d’ouvrir le centre de soin sur la végétation alentour. Repères– Maîtrise d’ouvrage : Centre hospitalier spécialisé de Jury-les-Metz (Olivier Astier, directeur, Véronique Defloraine, directrice adjointe)– Architecte : Richter & Associés– Béton : Eqiom
Il y a 5 ans et 177 jours

La forme des algues comme modèle

assins, espaces bien-être… L’Aquaparc complète l’offre sportive de la communauté d’agglomération de la région nazairienne et de l’estuaire (Carene). [©Eiffage]Des poteaux en BSI d’Eiffage entourent les bassins du centre aquatique. [©Eiffage] La communauté d’agglomération de la région nazairienne et de l’estuaire (Carene) dispose d’un tout nouveau centre aquatique. Baptisé Aquaparc, cet équipement complète l’offre sportive de la région. Pour ce projet, l’agence Coste Architectures a dessiné un bâtiment tout en légèreté, en transparence et en luminosité. Pour encadrer les 2 000 m3 d’eau du centre, les architectes ont imaginé différents types de poteaux. Certains d’entre eux, en nombre réduit, ont été choisis pour supporter la couverture. Les 3 toitures des bassins sont ainsi portées par un maillage de 40 poteaux structurels réalisés en BSI (marque de béton fibré à ultra hautes performances d’Eiffage). Dans ce cas à fibres métalliques. Rappelant la forme des algues, ces poteaux hauts de 3 à 10 m ont tous le même diamètre structurel (35 cm) et sont parfois précontraints. D’autres éléments rythment la baie vitrée le long de la halle des bassins. Ces poteaux en BSI, cette fois-ci à fibres synthétiques, sont très fins et évoquent aussi la souplesse laminaire. Repères– Maître de l’ouvrage : Carene Saint-Nazaire Agglomération– Architecte : Agence Coste Architectures– Prestation de Via Pontis (Eiffage) : Fourniture des poteaux et laminaires en BSI blanc, gris clair et anthracite
Il y a 5 ans et 180 jours

Peau neuve pour la Cité numérique du Havre

Vue aérienne de la Cité numérique et Ecole de management du Havre. [©Groupe 6] La future Cité numérique et Ecole de management du Havre (76) affiche une architecture ambitieuse, qui relève du défi. Destinée aux acteurs de l’innovation et du numérique, l’infrastructure contiendra des espaces d’échange et de travail partagé. L’ADN numérique a été poussé jusqu’au bout. L’infrastructure a été conçue d’après un projet BIM à partir d’un modèle 3D intelligent. Ici, d’importants porte-à-faux et 9 étages composent le bâtiment. Un chantier aux dimensions hors-normes, puisque Cemex a livré 8 500 m3de bétons depuis les centrales du Havre et de Saint-Vigor-d’Ymonville (76). Bétons performants et esthétiques… Entrée de la Cité numérique et Ecole de management du Havre. [©Groupe 6] Les 4 mois de préparation au chantier ont permis de créer 10 formules de béton. Parmi elles, des bétons fluides, d’ordinaire réservés aux ouvrages de génie civil, ont été utilisés. Des résistances allant de C25/30 à C50/60 pour les plus performants ont été atteintes. Ces bétons répondent aux classes d’environnement XF, XA ou XS. Cette dernière protège de la corrosion induite par les chlorures présents dans l’eau de mer du Havre. Ainsi, Cemex a jonglé entre deux types de bétons. D’un côté, des bétons aux performances élevées pour répondre aux besoins structurels. De l’autre, des bétons architectoniques pour donner aux façades leur parement esthétique. Chantier de la Cité numérique et Ecole de management du Havre. [©Jacques Basile] Près de 21 000 m2 de surface plancher en béton ont été coulés et 700 t d’acier utilisées. Les porte-à-faux ont été complexes à créer. L’absence de niveaux constants du bâtiment laisse peu de place aux éléments de reprise d’effort. C’est pourquoi un grand nombre d’armatures et des bétons spécifiques ont été mis en œuvre. Afin de réaliser cette prouesse architecturale, près de 50 compagnons ont été mobilisés. Un projet d’envergure de 2 ans en flux tendu, qui verra le jour le 24 décembre 2019. Un joli cadeau de Noël en perspective pour la Ville, qui n’aura plus qu’à trouver l’emballage cadeau à la hauteur !
Il y a 5 ans et 181 jours

BigMat : L’opération “Béton Arty” récompensée

Pour créer un univers, Sheina Szlamka a su capter l’attention sur les artisans, en valorisant leur métier. [©BigMat] Il y a 8 mois, l’illustratrice et designeuse Sheina Szlamka a relevé, de façon pop, décalée et ludique, le défi de présenter une œuvre détournée par semaine sur Instagram. Nom de code : “Béton Arty, hors chantiers battus”, opération lancée par BigMat, pour mettre en valeur la manière, dont artistes et artisans s’inspirent. De l’univers du bâtiment à celui de l’art, il n’y a qu’un pas que BigMat a donc franchi. Objectif : détourner, en les intégrant dans son univers, des matériaux et produits de construction et les publier sur le compte Instagram de BigMat.  Béton Arty : Le négoce vu autrement Plusieurs mois après son lancement, “Béton Arty” a emporté l’adhésion des professionnels de la communication et du marketing. Et s’est vu récompensé par cinq prix, avant même la seconde phase de l’opération. Tout d’abord, le Grand prix de l’annonceur de l’année 2019, catégorie “Consumer”. Puis, Com-ent d’or 2019 de la communication impertinente, Com-ent de bronze 2019 de la communication digitale. Ensuite, le Grand Prix Social Media 2019, catégorie “Campagne Social Media”. Et enfin, le Trophée de la Communication 2019, catégorie “Meilleure action de communication Social Media”. La campagne “Béton Arty” a ainsi permis à BigMat de toucher plus d’un million de personnes, de multiplier par dix le nombre de ses followers sur les réseaux sociaux. Et d’augmenter de 40 % le trafic sur son site web.
Il y a 5 ans et 181 jours

L’Arbre Blanc de Montpellier

L’Arbre Blanc de Montpellier est une rencontre entre le Japon et la Méditerranée. [©Cemex]Cemex a fourni près de 7 850 m3 de béton pour ce chantier. [©Cemex]Cette tour est signée des architectes Sou Fujimoto, Nicolas Laisné et Manal Rachdi. [©Cemex] A l’image du mont Fuji, l’Arbre Blanc s’élève dans le ciel de Montpellier. Le bâtiment symbolise la rencontre entre le Japon et la Méditerranée. Cette tour est le travail de l’architecte japonais Sou Fujimoto, des architectes français Nicolas Laisné et Manal Rachdi. Sur 17 étages (50 m de haut), l’ouvrage dispose d’excroissances, telles les branches qui sortent de leur tronc pour mener leur vie vers les sommets du monde. La maîtrise d’œuvre a opté pour un béton blanc. Un blanc qui répond aux pierres du Sud. Sur ce chantier, Cemex Montpellier a fourni près de 7 850 m3 de béton. Dont 6 400 m3 de C25/30, 1 150 m3 d’hyper-fluide et de 300 m3 de béton à haute résistance. La rapidité de durcissement des bétons a facilité le gros œuvre. En effet, la solution de Cemex a pu garantir le montage d’un étage tous les 6 j, permettant un décoffrage rapide. Une façon de pouvoir répondre à l’imaginaire des architectes du projet. Repères– Maître d’ouvrage délégué/mandataire des travaux : GSA Réalisation– Architectes : Sou Fujimoto, Nicolas Laisné et Manal Rachdi– Béton : Cemex
Il y a 5 ans et 181 jours

L’élégante esplanade de la “Perle de France”

L’esplanade des Sablettes, à Menton a été remise au goût du jour. [©Birco France]Birco France a fourni des caniveaux en béton. [©Birco France]L’architecte a opté pour des caniveaux en béton de style Art Déco. [©Birco France] Il fait bon vivre à Menton. L’impressionnante fête des citrons, les maisons colorées en cascades qui semblent prendre de la hauteur pour contempler la beauté des douces vagues de la Méditerranée. Ou encore ses nombreux espaces verts… Autant de qualités qui font de cette ville la “perle de France”. Afin de lui conserver ce titre, l’architecte paysagiste Vincent Guillermin et Luc Albouy, architecte des Bâtiments de France, ont remis au goût du jour l’esplanade des Sablettes. Ils ont fait appel à Birco France pour des caniveaux de style Art Déco. Ceux-ci profitent d’un béton haut de gamme, d’une sécurité anti-soulèvement et d’une classe de sollicitation D400 adaptée aux voies de circulation. En effet, ce caniveau résiste à des charges, même importantes. Sur ce grand axe piéton, les différents acteurs du chantier ont aussi opté pour cette solution, pour son design actuel et résistant aux modes éphémères… « La grille design New Art avec ses volutes de style Art Déco allie une robustesse maximale à un design intemporel, explique Olivier Kuhlmann, directeur général de Birco France. Nous sommes fiers d’avoir mené ce projet à Menton, jumelée avec Baden-Baden, siège de notre maison-mère, en Allemagne. » Repères– Maître d’ouvrage : Ville de Menton (responsable : Guillaume Chauvin)– Architecte : Vincent Guillermin, architecte paysagiste– Réalisation : EMGC et TP Spada – Préfabricant : Birco France
Il y a 5 ans et 181 jours

Notre wishlist béton de Noël

Le “Miel Béton” produit par les ouvrières installées sur le toit de la mairie de Saint-Denis (93) Noël, la période préférée des enfants. Réputée pour sa magie, cette fête est toujours un moment unique. C’est aussi l’occasion de se faire plaisir, même pour les plus grands. Ainsi, l’équipe d’ACPresse vous présente sa liste de Noël. Aménagement extérieur Porte-bougie proposé dans l’ouvrage “Béton côté jardin”. [©Camilla Arvidsson] Mariola Gluzicki, directrice générale.Le béton vous inspire et vous avez un goût pour la création ? L’ouvrage “Béton côté jardin” de Camilia Arvidsson et Malin Nilsson rassemble ces deux idées. N’ayez plus peur de mettre la main à la pâte… Ou au béton du moins, puisque c’est vous qui allez créer vos objets. Dans un monde où la décoration ne cesse d’évoluer, nous avons décidé de proposer aux adeptes de la décoration un “Esprit jardin” dès 2020.  Instant gourmandise Le “Miel Béton” produit par les ouvrières installées sur le toit de la mairie de Saint-Denis (93) Frédéric Gluzicki, directeur de publication,L’urbanisation peut-elle être synonyme d’environnement ? Si l’on regarde sous l’angle de la gourmandise, la réponse est “oui” ! Sur beaucoup de terrasses de bâtiments publics, mais aussi sur les sites de nombreux industriels du secteur du béton fleurissent des ruches. Et, avec elles, des quantités importantes de miel. Pour ces productions locales, les abeilles butinent des fleurs poussant dans les villes, dans les carrières, à proximité des usines. Les miels sont excellents et les abeilles, en pleine forme. Le “Miel Béton” résume, à lui seul, cette nouvelle approche de l’apiculture. Alors, un petit pot, sous le sapin, semble pour Frédéric, être une bonne idée… Bulles de béton Les maisons-bulles, dans les Vosges, ont été pensées par les architectes suisses Pascal Häusermann et Claude Costy. [©DR] Monique Gelot, chargée de clientèle.Monique a fait le choix d’être dans sa bulle, mais au sens propre du terme… Construites dans les Vosges, les « maisons-bulles » ont été pensées par les architectes suisses Pascal Häusermann et Claude Costy. Composées d’une structure métallique et de voiles de béton projeté, elles ont été classées sur la liste des Monuments historiques en 2015. Béton Hi-Tech Enceinte du Pavé recouverte d’un graff du Street artiste Keny Kane. [©Alienor Gasperi / KENY KANE X Le Pavé X WYVI Agency] Muriel Carbonnet, secrétaire de rédaction et journaliste.Muriel aime allier technologie et béton. Elle rêve d’avoir une enceinte connectée du Pavé sous son sapin. Imaginée par Pierre-Axel Izerable, l’enceinte n’a rien à envier aux modèles plus populaires, puisqu’elle intègre toutes les dernières technologies. Au-delà de sa structure en béton, elle est aussi unique pour son design. Le Pavé a renforcé le côté urbain de l’enceinte, en ajoutant des graffs du Street artiste Keny Kayne. Ces derniers transforment l’objet industriel en véritable œuvre d’art. Brut “Gunkanjima – L’île cuirassée”, édité par Steidl. [©DR] Sivagami Casimir, journaliste.Sivagami voudrait découvrir les photographies d’Yves Marchand et Romain Mettre dans le  livre “Gunkanjima – L’île cuirassée”, édité par Steidl. La nature a totalement repris ses droits sur l’île japonaise Ha-shima, aussi appelée Gunkan-jima. Laissant l’ouverture à d’insolites photographies. L’île fait aussi partie des décors les plus impressionnants du film “Skyfall”, opus de la saga James Bond En images “Photographier l’architecture” édité par Pyramyd. [©Les éditions Pyramyd et Stéphane Asseline] Nadia Zanoun, responsable des abonnements.Nadia souhaite découvrir le travail de photographes. Ainsi, 15 d’entre eux sont à l’œuvre dans le livre “Photographier l’architecture”, édité par Pyramyd. A l’initiative de Karine Guilbert, cet album met en avant le travail de ces artistes de l’ombre, qui exercent la photographie d’architecture.  Sous les feux de la rampe Lampe “Eureka” de Déclik Déco. [©Déclik Déco] Léa Seroux, assistance de gestion.Léa voudrait éclairer son bureau avec la lampe “Eureka” de Déclik Déco. Cette dernière, posée sur son support en béton, est bien plus qu’une lampe, c’est un objet décoratif. Instant détente Fauteuil “Dumbo” en béton de Rendez-vous Déco. [©Rendez-vous Déco] Anthony Saintomer, assistant communication digitale.A la recherche d’originalité dans les objets du quotidien, Anthony pense avoir trouvé son bonheur grâce au fauteuil “Dumbo” en béton de Rendez-vous Déco. Créé dans un esprit scandinave, ce dernier trouvera facilement sa place dans votre intérieur et sera un atout majeur pour habiller votre espace. Gros bras Biceps en béton. Sid Lamara, responsable de clientèle.Sportif dans l’âme, Sid en veut toujours plus… C’est pourquoi, il espère cette année, obtenir des biceps et des fessiers en béton.
Il y a 5 ans et 182 jours

Le Grand Prix de l’urbanisme 2019 revient à Patrick Bouchain

Le 17 décembre dernier, Patrick Bouchain, architecte et scénographe a reçu le Grand Prix de l’urbanisme 2019. [©Mathias Wendzinski] Créé en 1989, le Grand Prix de l’urbanisme distingue chaque année une personnalité reconnue par un jury international. Il valorise l’action des professionnels, qui contribuent à faire avancer la discipline. Et à améliorer le cadre de vie des habitants de tous les territoires. Cette année, c’est Patrick Bouchain, architecte et scénographe, qui a décroché le Grand Prix de l’urbanisme 2019. Prix remis des mains de Jacqueline Gourault, ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, et de Julien Denormandie, ministre chargé de la Ville et du Logement. C’est une personnalité forte de l’architecture que le jury a honorée cette année. Figure de proue de la transformation de friches industrielles en lieux culturels et pionnier de la valorisation des lieux urbains délaissés, Patrick Bouchain a fait de la culture le fil rouge de son action. Né en 1945, il s’est ainsi distingué par ses projets de transformation des anciennes usines Lu en Lieu Unique (Nantes, 2000). Mais aussi de la Condition publique à Roubaix (2003) ou encore du Channel (Scène nationale de Calais, 2005). Le jury a aussi salué un architecte engagé à réinventer la ville avec ses habitants. En créant des programmes sur mesure pour et avec ses futurs occupants. Convaincu que « l’architecture est politique » Accordant une importance particulière à la vulgarisation de sa pratique, il pratique avec l’agence Construire (Nicole Concordet et Loïc Julienne) une architecture collaborative et pédagogique. Notamment par l’ouverture au public de ses chantiers, qui deviennent ainsi de véritables moments d’action culturelle. Convaincu que « l’architecture est politique», il a toujours conçu ses projets de façon à améliorer le quotidien du plus grand nombre. « Passeur militant, Patrick Bouchain a su inspirer des générations de praticiens. En témoigne le dernier pavillon de la biennale d’architecture de Venise qui a mis en scène des pratiques de l’urbanisme inspirées de ses pratiques. Sa position originale et singulière, dans un climat d’exacerbation des tensions au sein des territoires urbanisés, paraît plus utile que jamais», peut-on lire dans un communiqué de presse.
Il y a 5 ans et 182 jours

Fischer lance un foret à béton creux et aspirant

Nouveau foret creux aspirant FHD de Fischer. [©Fisher] Le foret creux aspirant FHD constitue la grande nouveauté Fischer de l’année 2019, dans le domaine du béton. L’outil arrive tout juste sur le marché. Il se caractérise par sa tige creuse, qui permet l’aspiration des poussières durant le perçage. Ainsi, plus besoin de nettoyer le trou en utilisant une pompe de soufflage, un compresseur ou un écouvillon. L’absence de poussière élimine aussi le risque de blocage ou de ralentissement lors du perçage. Mais surtout, le foret FHD devient l’accessoire indispensable pour une utilisation dans des espaces intérieurs sensibles, où la poussière doit être évitée. Hôpitaux, laboratoires, industriels alimentaires, tunnels en sont autant d’exemples.  Un aspirateur à poussière comme accessoire Le foret creux aspirant FHD reprend les fondamentaux de ce type d’outils. La tête dispose d’une pointe de centrage, assurant un positionnement précis. Sur le côté prend place un témoin d’usure. Mais ce sont les quatre taillants en carbure de tungstène, qui garantissent un forage rapide. Enfin, deux ouvertures placées en périphérie de la tête permettent l’aspiration des poussières. Celles-ci sont évacuées via la tige creuse du foret et le manchon situé en arrière, sur lequel on vient connecter un aspirateur de chantier. Le foret FHD est compatible avec toutes les marques de marteaux-perforateurs du marché à emmanchement SDS Plus et SDS Max. Quatre diamètres sont proposés dans la première version (12 à 18 mm) et sept, dans la seconde version (15 à 35 mm). L’aspirateur, Fischer l’a prévu dans son offre. Universel, il est destiné à aspirer eau et poussière. Des grands classiques sur les chantiers. Conforme à la classe de filtration M, le FVC 35 M – c’est son nom – offre une capacité de rétention des poussières de 99,9 %. 
Il y a 5 ans et 183 jours

Herige et BHR en négociations autour de 6 centrales à béton

Edycem et BHR sont en négociations pour le rachat de six centrales à béton de BHR. [©Edycem] Filiale béton d’Herige, le Vendéen Edycem vient de rentrer en négociations exclusives avec le groupe normand BHR. L’objectif est de faire l’acquisition de 6 de ses centrales à béton. Une démarche qui s’inscrit dans la stratégie de reprise des investissements externes d’Herige, au service de sa performance industrielle. Les centrales à béton concernées sont celles basées dans la Mayenne (53) et dans la Sarthe (72). A savoir, les unités de Château-Gonthier, Laval et Mayenne, dans le premier cas et La Chapelle-d’Aligné, Oisseau-le-Petit et Trangé, dans le second. Si les négociations aboutissent, cette acquisition permettra à Herige de renforcer son maillage géographique. Et ainsi de s’implanter sur deux départements sur lesquels il est aujourd’hui absent. Ceci, tout en poursuivant son essor commercial. En effet, l’activité “béton” constitue aujourd’hui un axe majeur de développement pour le groupe. L’ensemble de son périmètre emploie 35 salariés pour un chiffre d’affaires en année pleine d’environ 10 M€.  Le premier fournisseur de BPE régional A ce jour, la filiale Edycem compte 27 centrales, réparties sur 8 départements. Dans le détail, il est présent en Charente-Maritime (3 unités), dans Finistère (3 unités), en Gironde (4 unités), en Ille-et-Vilaine (2 unités). Mais aussi en Loire-Atlantique (2 unités), en Maine-et-Loire (2 unités), dans les Deux-Sèvres (1 unité) et, enfin et surtout, en Vendée (10 unités). Avec les 6 unités de BHR, Edycem serait à la tête de 33 centrales à béton, devenant ainsi le premier fournisseur de BPE régional en France, devant BHR… La finalisation de l’opération d’acquisition reste envisagée au plus tard pour le mois de mars 2020. Ceci, à l’issue de la consultation des instances représentatives du personnel. Par ailleurs, une nouvelle n’arrivant jamais seule, Edycem vient d’établir un record sur la centrale de La Rochelle. Cette unité vient de produire un total de 415 m3 de béton en une seule journée, pour livrer un dallage industriel à destination d’un hypermarché à Saint-Martin-de-Ré.
Il y a 5 ans et 183 jours

Une année 2019 à succès pour Peri France

2019 fut l’occasion de fêter les 50 ans de du groupe allemand Peri dans ses filiales. Et notamment Peri France. [©Peri] C’est en 1969 que le groupe allemand Peri a été fondé. L’année 2019 fut donc l’occasion de fêter les 50 ans de l’industriel dans ses filiales. Et notamment chez Peri France. L’année 2019 a été aussi celle de la Bauma à Munich, en Allemagne. L’occasion, cette fois-ci, de présenter sur près de 4 000 m2, ses réalisations et ses produits-phares : coffrages de dalles Skymax, échafaudage modulaire Peri Up, coffrages de voiles Maximo et Trio… Et en novembre dernier, Peri France exposait à Batimat, à Paris – Nord Villepinte. Et lançait en avant-première en France le coffrage Skymax. Ce dernier étant un système modulaire qui offre une souplesse économique et technique pour le coffrage de dalles. Tout en assurant une sécurité maximale. 2 000 projets ont vu le jour Ce qui ressort aussi de cette année 2019, c’est que la croissance de Peri France concerne aussi bien le résidentiel, le tertiaire que le génie civil. Grâce à ses agences (Lyon, Rennes, Strasbourg) ou dépôts (Marseille et Paris), le territoire français est couvert dans sa globalité au niveau commercial et projets. En 2019, ce sont plus de 2 000 projets qui ont vu le jour. On peut citer les tours Duo, en bordure du périphérique dans le XIIIeà Paris. Quant aux chantiers du Grand Paris, ils représentent pas moins d’une trentaine d’opérations utilisant différents systèmes. Comme à la gare des Ardoines sur le tracé de la ligne de métro 15 Sud, avec la réalisation de 600 ml de voiles architectoniques sur deux niveaux grâce à un portique roulant. Perspectives positives pour 2020 Autre point fort pour Peri France : ses nouvelles divisions “Accessoires” et “Echafaudages industriels”. La première lui permet de fournir aux entreprises systèmes de coffrages et d’étaiements, ainsi qu’accessoires au même moment sur le chantier. La seconde a permis à la filiale française de bien prendre ses marques sur le segment assez nouveau de l’échafaudage industriel, grâce au Peri Up Flex. Dont la nouvelle génération est 20 % plus légère que la version précédente. C’est ainsi que Peri France compte rester sur sa lancée pour 2020. « Nous souhaitons renforcer notre présence aux côtés de nos clients. Et améliorer notre niveau de service. L’industrie va aussi prendre une part importante de notre développement pour 2020», conclut Jean-Michel Gueguen, directeur général de Peri France.
Il y a 5 ans et 184 jours

Sept projets pour “Réinventer Le Havre”

Couvent des Gobelins, 85 rue des Gobelins. Propriété d’Alcéane. Projet : créer une trentaine de logements locatifs, dont une résidence senior. [©Ataub]Ancien cinéma, 99 avenue Foch. Propriété de la Ville. Projet : créer 14 logements mixtes et un salon de thé. [©Christophe Bidaud]Crédit Municipal, 38 rue Richelieu. Propriété de la Ville. Projet : créer un concept store dans le prolongement des Halles centrales. Des bureaux, du co-working. Et de l’habitat avec terrasses végétalisées. [©Dubernet Architectes]EM Normandie, 30 rue Richelieu. Propriété de la CCI. Projet : un complexe polyvalent, avec hôtel quatre étoiles, école Montessori, quelques logements, un centre de sport, un pôle santé, un restaurant, quelques commerces… [©Baumschlager Eberle Architekten]Centre régional Jeunesse et sport, 27 rue de la Mailleraye. Propriété de la Ville. Projet : une résidence de co-living, “77 unités de vie”, un coffee-shop, du co-working. [©Eben Architecture]Hôpital Flaubert, 55 rue Flaubert. Propriété du GHH. Projet : logements, crèche inclusive, siège de la Ligue… [©Architectes Corinne Vezzoni et Associés, FrédCéric Denise – Paysagiste HYL – Image YAM Studio]Halle aux poissons, quai de l’île. Propriété de la Ville. Projet : créer « un lieu de vie hybride dédié à la mer » avec un lieu culturel et festif, un lieu de restauration, d’économie sociale et solidaire, un lieu éco-responsable, une épicerie, des ateliers culinaires… [©Encore heureux] Avec “Réinventer Le Havre, Patrimoine mondial”, l’ambition de la Ville est d’impulser une nouvelle dynamique au centre-ville du Havre. Un programme mené en partenariat avec CCI Seine Estuaire, le groupe hospitalier du Havre, Haropa Port du Havre et Alcéan. Pour cela, 9 hauts lieux, inoccupés ou sous-exploités, ont été proposés dans cet appel à projets. Déjà, l’ancien cinéma de l’avenue Foch, le Crédit Municipal, la Halle aux poissons. Mais aussi, le Couvent des Gobelins, l’hôpital Flaubert, le Bassin du commerce, l’espace André-Graillot. Enfin, l’Ecole de management de Normandie et le Centre régional jeunesse et sport. Au total, 48 candidatures ont été déposées. Quelque 24 candidats ont été retenus pour la phase finale et 7 lauréats ont été désignés par le jury. Les candidats devaient apporter des propositions « créatives, avec de nouvelles façons de travailler et de vivre, et de nouvelles esthétiques», une « mixité des usages». Pouvant « renforcer l’attractivité du territoire ».  Sept lieux retenus pour de nouvelles fonctionnalités En tout, les projets sélectionnés vont générer à terme 120 M€ d’investissements privés dans le centre-ville.Dans le détail. Fermé depuis 2016, l’ancien cinéma, avenue Foch va se transformer en logements mixtes “habitat et des activités professionnelles”. En s’ouvrant sur une traversée piétonne et paysagère. Inoccupé depuis 2011, l’ancien Crédit Municipal se fera espace de co-working, de concept-store et de grands logements. Avec terrasses végétalisées. Une trentaine d’habitations locatives s’implanteront dans l’ancien couvent des Gobelins. Alors qu’une résidence seniors, des logements modulables et une crèche pouvant accueillir des enfants porteurs de handicap vont être créés dans l’environnement hospitalier Flaubert. Et que des espaces de co-working et des appartements partagés vont rajeunir l’ancien Centre régional jeunesse et sport. De plus, à l’Ecole de management de Normandie, un ensemble sera composé d’un hôtel quatre étoiles, d’une école Montessori1. Mais aussi, de logements intergénérationnels, d’un centre de sport pour familles, de restaurants et de commerces en circuits courts. Quant à la Halle aux poissons datant de 1952, elle se transformera en lieu de vie dédié à la mer, culturel et festif, et lieu d’économie sociale et solidaire. Avec une ouverture des portes, dès l’été 2020.  1L’éducation Montessori offre aux enfants la possibilité de développer leur plein potentiel, de créer leur propre parcours d’apprentissage, en s’appuyant sur leurs intérêts et en respectant leur rythme et leur personnalité. 
Il y a 5 ans et 184 jours

Girpav rachète Clôtures Nicolas

Clôture en béton Bacara Résille, issue de l’offre de l’industriel Méhat. [©Baglione] Filiale du groupe Baglione, l’industriel Girpav vient de faire l’acquisition de Clôtures Nicolas et de Vision Béton. En effet, après plusieurs années à la tête de ces entreprises familiales, Claire Lagrange et son frère Christophe Nicolas ont choisi de passer la main… Ce rachat s’inscrit pleinement dans la stratégie de Baglione de renforcer ses capacités de production. Avec l’usine Clôtures Nicolas, le groupe fait entrer dans son giron un outil industriel performant. En 2016, Clôtures Nicolas avait opéré un très important investissement dans son outil de production Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 188 jours

Bétons & Architectures : Les traducteurs de rêves

Le dernier Hors Série “Béton & Architectures” va bientôt paraître. [©ACPresse] Comment émergent les rêves ? Lorsque l’on parle d’architecture, la part d’imaginaire a une place prééminente. Du coup de crayon abstrait, à l’image de ceux de Frank Gehry, aux projections globales d’un idéal d’urbanisation, comme l’a fait en son temps Le Corbusier, chaque architecte a son propre univers. Une démarche particulière. Certains, comme Tadao Ando, vont s’intéresser aux formes. D’autres s’imprègnent du climat social et urbain du lieu d’accueil. Une philosophie qu’applique Manuelle Gautrand, par exemple. Comment traduire les rêves ? Dans le cadre d’une commande, l’architecte va coucher ses idées sous la forme d’un plan ou d’un dessin, et d’une note explicative. Une façon de traduire ses intentions. Et surtout de partager ses idées. Au-delà du beau, la question de la faisabilité est tout aussi importante. Tout l’objet de ce hors-série “Béton & Architectures” réside en ce point de convergence. Cette phase où le rêve rencontre la technique. Et plus précisément celle du béton. Quelles sont les possibilités ou les limites de ce matériau caméléon ? Comment donner vie aux rêves ? Dans ce numéro spécial, nous souhaitions engager une discussion entre deux métiers, éloignés et, en même temps, intimement liés : architecte et industriel. Réaliser le béton bleu de l’immeuble Trait d’Union (Paris, XIVe), imaginé par Charles-Henri Tachon, ou encore créer des éléments préfabriqués de 12 m de haut en une seule pièce pour l’agence Narcisse, demande un réel savoir-faire. Ce hors-série “Béton & Architecture” met en parallèle les rêves des architectes et la réponse des industriels. Une façon de voir le béton pour ses qualités esthétiques et aussi techniques. L’ouvrage sortira la semaine du 23 décembre. Il est déjà disponible en pré-commande –> ici. Sivagami Casimir
Il y a 5 ans et 188 jours

Eqiom teste le transport fluvial de ciment entre Rouen et Paris

Chargement du conteneur cimentier Eqiom sur la barge de transport fluvial. [©Haropa] Peu polluant, le transport fluvial consomme cinq fois moins de carburant que le transport routier et émet donc jusqu’à cinq fois moins de CO2 à la tonne transportée. Il réduit aussi les nuisances liées à la problématique de congestion routière…  A Grand-Couronne, près de Rouen (76), Eqiom dispose d’un centre de broyage, qui assure la fabrication finale de ciments. Une bonne partie de cette production est aujourd’hui acheminée par la route en direction de l’Ile-de-France. Elle représente jusqu’à 25 conteneurs de ciment vrac par semaine… Durant l’automne dernier, le cimentier a choisi de tester une alternative à ce transport routier. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 189 jours

Vicat baptise son navire de ravitaillement de la Corse

La Capo Cinto a été inauguré par Guy Sidos, Pdgde Vicat, d’Anne Cullere, marraine du navire, et des autorités religieuses locales. [©Vicat] Le mercredi 11 décembre 2019, Vicat a baptisé le Capo Cinto, son premier navire cimentier. En présence de Guy Sidos, Pdg de Vicat, de la vice-amirale Anne Cullere, marraine du navire, et des autorités locales, ce baptême marque le renforcement de l’activité du cimentier en Corse. Tout en améliorant la qualité de service offert aux clients insulaires de la marque.  Le groupe Vicat est présent depuis 100 ans dans les régions Paca et Corse. Avec 23 sites (cimenteries, centrales à béton, carrières et dépôts), plus de 300 collaborateurs et 1 200 emplois indirects. Sur le navire, deux équipages locaux et mixtes se relaieront.  Le Capo Cinto approvisionnera en ciment les ports corses d’Ajaccio, de Bastia, de Porto-Vecchio et de Propiano. Il pourra aussi se projeter vers l’Italie, et d’autres pays des côtes méditerranéennes. Ceci, depuis la cimenterie Vicat de La-Grave-de-Peille (06).  La Corse, un marché historique « La Corse est un marché́ historique et stratégique pour Vicat, explique Guy Sidos, lors de l’inauguration. Grâce au Capo Cinto, nous sommes fiers de pouvoir renforcer durablement notre activité sur l’île de Beauté. Ainsi que la qualité de service offerte à nos clients locaux. Ceci dans le respect de l’environnement. » Construit en 1997 sous le patronyme de Kurske, le Capo Cinto a été réhabilité en 2019. Il est équipé d’un auto-déchargeant autonome. Il est doté d’une capacité de 2 000 t, grâce à 14 cuves de 140 t chacune. Pour cette acquisition, Vicat s’est associé à Agency Bulk Chartering Rhône-Méditerranée (ABCRM), entreprise maritime familiale, sous la joint-venture Agency Bulk Chartering Vicat ( ABCV).
Il y a 5 ans et 189 jours

Imer France : Mobile STK, la centrale hyper compacte

La nouvelle centrale mobile STK d’Imer France a été déployée, pour la première fois, en France en plein centre de Marseille. [©Imer France] C’est le type de centrales idéal pour des chantiers urbains, qui conjuguent les contraintes, en termes d’espace, d’approvisionnement et de réduction des nuisances. Aussi, le nouveau modèle d’Imer France, la centrale mobile STK, a été déployé, pour la première fois, en France en plein centre de Marseille (13). A deux pas du Vélodrome et de la Cité radieuse de Le Corbusier. Un programme important de 58 000 m², intitulé 8eArt Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 189 jours

Ammann : Modernisation des draglines

Ammann modernise les installations de sotckage des granulats en étoile. [©Ammann] Pendant de nombreuses décennies, les stockages de granulats étaient organisés sous forme d’étoiles. Chaque case à granulats était séparée des autres par des murs en béton, le niveau de stockage étant géré par des draglines1 équipées d’un godet, qui ramenait les matériaux vers le centre du stockage. Un opérateur pilotait la dragline depuis la cabine située en haut des murs et permettait  ainsi les livraisons en continu, et une gestion simplifiée des différentes cases. Peu à peu abandonnées, les draglines restent utilisées par une petite part des centrales à béton françaises. Ammann propose ainsi à ses clients de moderniser et d’automatiser ces installations, grâce à sa gamme composée des draglines CES 15, CES 50 et CES 70. « Nous proposons de retrofiter l’ensemble de l’installation, en remplaçant la cabine, la flèche, le godet, le système de rotation et l’automatisme,explique Philippe Lewi, responsable des ventes béton chez Ammann. Lorsqu’une centrale à béton a été conçue sur ce modèle en étoile, pour la moderniser, on dispose de deux solutions. Il faut soit tout déconstruire et investir dans un type de stockage de granulats. En passant par les difficultés liées au génie civil, et donc aux permis de construire. Soit moderniser l’outil existant, comme nous le proposons. » C’est le choix qu’a fait Béton du Ried, pour son site de Krautergersheim (67). Et même si plus aucune centrale n’a été pensée en étoile depuis longtemps en France, Ammann capitalise sur son savoir-faire et réalise la rénovation des anciennes centrales, puisque l’industriel continue à maintenir et améliorer ces équipements. « Nous adaptons notre équipement aux besoins des clients, en modifiant la puissance du moteur, la longueur de flèche, la taille du godet… Et ceci, qu’importe la marque du précédent outil. Nous savons adapter nos connexions. » 1. Une dragline est généralement un équipement d’excavation utilisé dans le génie civil et les mines à ciel ouvert. Elle est aussi appelée “pelle à benne traînante”. Ce système mécanique à câbles sert à extraire les matériaux meubles, comme la terre, le sable, le gravier… Il agit en raclant le terrain. Par analogie, une dragline sur une centrale à béton est un équipement fonctionnant sur le même principe, plus simple mais automatisé.
Il y a 5 ans et 189 jours

HeidelbergCement cède une part de Ciments du Maroc

Bernd Scheifele est le président du conseil d’administration d’Heidelberg Cement. [©HeidelbergCement] HeidelbergCement a annoncé avoir vendu 3,6 % de ses parts dans Ciments du Maroc, pour une valeur estimée à 73 M€. Les acquéreurs sont des investisseurs institutionnels marocains, qui ont acheté en bloc le demi-million d’actions en vente. Avec cette transaction, HeidelbergCement reste tout de même l’actionnaire majoritaire de Ciments du Maroc avec 51 % du capital en sa possession. « HeidelbergCement va pleinement conserver sa position majoritaire de Ciments du Maroc. Et ceci, sur du long terme. C’est une des clefs de la stratégie de notre groupe, explique le docteur Bernd Scheifele, président du directoire du groupe HeidelbergCement Cette vente fait partie de notre plan d’optimisation de notre portefeuille d’investissement, permettant d’accélérer notre désendettement. Nous sommes toujours sur les bons rails pour atteindre 1,5 Md€ de recette d’ici la fin 2020. »
Il y a 5 ans et 194 jours

Charles-Henri Besnard : Les débuts de la préfabrication

Né en 1881, Charles-Henri Besnard a été élève à l’Ecole des Beaux Arts de Paris dans l’atelier André et dans le cabinet de Paul Gout (1852-1923). [©Fonds Besnard. CNAM/SIAF/Cité de l’architecture et du patrimoine/Archives d’architecture du XXe siècle] En 1919, à l’occasion de la Foire de Paris, Charles-Henri Besnard présente, pour la première fois au grand public, une maison préfabriquée en ciment armé. [©Fonds Besnard. Cnam/SIAF/Cité de l’architecture et du patrimoine/Archives d’architecture du XXe siècle] On voit ici les premiers panneaux préfabriqués d’une maison. [©Fonds Besnard. Cnam/SIAF/Cité de l’architecture et du patrimoine/Archives d’architecture du XXe siècle] La carrière de Charles-Henri Besnard est avant tout marquée par sa formation rationaliste auprès d’Anatole de Baudot. Après la Première Guerre mondiale, il est, en collaboration avec l’ingénieur Julien-Pierre-Bertrand Bessonneau, le précurseur de la construction préfabriquée. C’est en 1917 qu’il dépose au Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) un brevet d’invention relatif au “procédé de construction rapide d’habitations par l’emploi de matériaux en ciment armé préalablement préparés en série”. En 1919, à l’occasion de la Foire de Paris, Charles-Henri Besnard présente, pour la première fois au grand public, une maison en ciment armé. Montée en 11 jours sur l’Esplanade des Invalides, cette maison est la première habitation préfabriquée. Un procédé au service d’une église C’est l’édification de l’église Saint-Christophe-de-Javel qui permet à l’architecte de faire la démonstration marquante de son nouveau système de construction. [©Commons.wikimedia] Entièrement en béton armé, l’église Saint-Christophe-de-Javel est constituée d’éléments fabriqués et moulés à pied d’œuvre. [©Fonds Besnard. Cnam/SIAF/Cité de l’architecture et du patrimoine/Archives d’architecture du XXe siècle] C’est pourtant l’édification, en 1926, de l’église Saint-Christophe-de-Javel qui lui permet de faire la démonstration marquante de son nouveau système de construction. Entièrement en béton armé, l’édifice est constitué d’éléments fabriqués, moulés à pied d’œuvre et montés par l’entreprise Fourré et Rhodes. Occupant l’emplacement d’une chapelle en bois élevée en 1864 et détruite en 1920, les plans de l’église datent de 1921-1922 et le chantier de construction et de décoration s’échelonne de 1926 à 1934. En raison de la proximité des usines de construction automobile Citroën à Javel, l’église est placée sous la protection du Saint-patron des voyageurs. Son fronton est orné d’une statue de Saint-Christophe réalisée en béton par le sculpteur Pierre Vigoureux.  Charles-Henri Besnard mène également une carrière active en tant qu’architecte en chef des Monuments historiques, à partir de 1920. Débutant dans le cabinet de Paul Gout, il est chargé des Pyrénées-Atlantiques, des Landes, de la Dordogne, de l’arrondissement de Rambouillet, de l’Ecole militaire à Paris (en 1937), du Cher, de Carentan et de Saint-Côme-du-Mont (Manche) en 1945. Il restaure ainsi et construit de nombreux édifices, publics et privés et applique ses procédés dans la construction de nombreux ouvrages, parmi lesquels l’hôpital de Saint-Quentin, l’office national du tourisme sur les Champs Elysées ou la chocolaterie Poulain à Blois (actuelle Ecole nationale du paysage de Blois). Un legs, un mécénat Après la Première guerre mondiale, l’architecte se marie à Germaine de Quelen (1885-1977), issue d’une grande famille. Via un legs universel à sa mort, cette dernière décide de confier ses biens au Cnam, dans le but de créer une fondation qui honore la mémoire de son époux et qui aide l’innovation dans la construction. Une fondation intitulée “Fondation Germaine et Charles Henri Besnard de Quelen pour l’innovation dans la construction” est créée en 1980. Fin 2012, une équipe est ensuite nommée sous la présidence de Francis Guillemard, afin de donner une dynamique nouvelle, en lançant un Grand Prix de l’Innovation du “Mécénat Besnard de Quelen. L’innovation dans l’art de bâtir”. Muriel Carbonnet
Il y a 5 ans et 196 jours

Eqiom Bétons met en service une toupie haute sécurité

La toupie Econic d’Eqiom Bétons propose un haut niveau de sécurité en circulation urbaine. [©ACPresse] L’Econic peut être considéré comme le camion urbain le plus sécuritaire de sa catégorie. Il vient d’intégrer la flotte Eqiom Bétons dans une version toupie. Avec cet équipement Schwing Stetter, ce tridem affiche un poids en ordre de marche de l’ordre de 12,6 t, pour un PTAC classique de 32 t. De quoi transporter jusqu’à 8 m3 de béton. L’Econic est aujourd’hui utilisé dans le cadre d’une expérimentation menée en Ile-de-France avec Trans Route Béton, le partenaire transporteur d’Eqiom.  Construit par Mercedes-Benz, ce porteur est reconnaissable par la présence d’une cabine surbaissée. Celle-ci bénéficie d’une vitre panoramique et de portes à ouverture en accordéon (comme dans les autobus urbains). Ainsi, l’Econic propose une visibilité optimale. Le conducteur est à hauteur des obstacles et profite d’une vue directe parfaite sur le trafic urbain comme sur le chantier. Un avantage indéniable pour la sûreté des motards, des cyclistes et des piétons, ou des personnels de chantier.  Eqiom Bétons expérimente l’Econic en Ile-de-France  « Avec le camion-toupie Econic, nous apportons une vraie solution de sécurité à nos chauffeurs pour appréhender les angles morts, causes de nombreux accidents en milieu urbain,commente Hélène Roques, responsable logistique chez Eqiom Bétons Région Ile-de-France/Normandie. Le véhicule est aussi équipé de caméras 360° avec écran sur la planche de bord pour visualiser l’ensemble de l’environnement du camion. »L’Econic répond donc aux enjeux sécuritaires du monde du BTP, en particulier en agglomération. L’autre avantage de la cabine surbaissée est de permettre un accès plus facile. Et la présence d’un plancher plat à hauteur des trottoirs réduit les risques d’accident, en montée comme en descente de la cabine. A l’intérieur, les chauffeurs disposent d’un siège ergonomique. Les instruments de conduite sont ordonnés pour rendre la commande intuitive. Le volant bénéficie de touches multi-fonctions et d’un tableau de bord bien structuré. Enfin, l’Econic est équipé du système Sideguard Assist. Il s’agit d’un radar latéral qui signale au chauffeur, avec force de signaux sonores et visuels, la présence d’un obstacle mouvant ou non sur le côté droit du camion. Pour toujours plus de sécurité.
Il y a 5 ans et 196 jours

LafargeHolcim France déploie une flotte de toupies au gaz

Le premier camion-toupie roulant au GNV siglé LafargeHolcim est sur le point d’être mis en service sur la région de Toulouse. [©LafargeHolcim] C’est dans la région de Toulouse que sera mis en service le tout premier camion-toupie LafargeHolcim, fonctionnant au gaz naturel véhicule (GNV). Ce porteur vient tout juste d’être présenté sur le salon Solutrans, qui s’est tenu fin novembre à Lyon. Il n’est pas le premier camion de la flotte à être plus respectueux de l’environnement. S’inscrivant dans la démarche Lafarge 360, cette flotte compte aujourd’hui huit véhicules en circulation. Ceux-ci couvrent tous les domaines d’activité de LafargeHolcim. Ainsi, un camion-plateau pour le transport de sacs de ciment est en service en région Occitanie. Un camion-citerne à air pulsé assure Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 196 jours

Batimat, côté matériels #2

Le Hall 5B de Batimat a accueilli les constructeurs de matériels pour le BTP. [©ACPresse] Si, côté matériau béton, l’édition 2019 de Batimat n’a pas été un grand cru – lire l’article Batimat, côté matériaux #1 -, au niveau du matériel, les choses ont été plus positives. A quelques exceptions près, les acteurs du domaine avaient donné rendez-vous aux visiteurs dans le hall 5B. Mais pour atteindre le lieu, un des parcours menait à travers le grand hall 5A. L’occasion de croiser en chemin quelques exposants concernés par le sujet. Tels Creative Business Solutions, dirigée par Albert Fitoussi. D’autant plus que son logiciel phare Methocad fête cette année son 30e anniversaire. Champagne et petites douceurs gustatives étaient au programme. Mais aussi auditives pour accompagner cet instant de célébration. Créé en septembre 1989, ce logiciel permet de préparer ses chantiers : optimisation, planification des circulations, des mouvements des grues ou encore des rotations de coffrages. Un peu plus loin, en remontant l’allée, une halte était nécessaire pour échanger avec  BZB Projekt, un bureau l’ingénierie et d’architecture polonais, qui s’intéresse beaucoup au marché français… Arrivé dans le hall 5B, le visiteur n’avait plus que l’embarras du choix pour poursuivre sa pérégrination. L’univers du coffrage constituait une belle option, d’autant que l’essentiel des acteurs était là. Le premier de la liste, en respectant l’ordre alphabétique était Alphi. L’industriel savoyard a débuté sa semaine par la signature d’un partenariat avec le coffreur JeanFour. Objectif, distributer une offre de coffrages verticaux baptisée, en toute logique, VerticAL. Prolixe, Alphi a aussi conclu un accord de partenariat avec le spécialiste de l’étaiement lourd Fyx.  Des évolutions chez les coffreurs A présent, les bras de manutention de la banche-outil SC 1015 Box de Sateco sont moulés. [©ACPresse] Sur le même stand – celui du Pôle France Coffrage -, Mills dévoilait quelques innovations de produits. Tels un système de maintien des coffrages perdus en carton, un module de coffrage horizontal ou encore des évolutions autour de l’Escalib. Quant à Sateco, il mettait l’accent sur son principe “plug & play”. L’industriel faisait aussi le lien avec Resair, en exposant un de leurs produits. Cette jeune société assure le développement de réservations et des abouts de coffrage gonflables. Un concept original et très malin… Autre industriel français du secteur, Coffrages Cosmos a créé un adaptateur de superposition pour utiliser ses panneaux Aluminium Renforcé comme rehausses sur sa banche Cob 2000 EV2. Quelques allées plus loin, Hussor a levé le voile sur sa nouvelle identité visuelle et quelques nouveautés, côté accessoires de coffrages. Cette année, l’industriel partageait son stand avec Hussor Erecta. Ce dernier y présentait un singulier Plancher Escamotable pour sapine de levage. Servitech intègre Imer France SkyMax constitue une nouvelle approche du coffrage de dalles pour Peri [©ACPresse] SGB-Hünnebeck a mis l’accent sur ces solutions pour limiter la pénibilité au travail, en particulier grâce à l’utilisation de la peau coffrante Rezaplak Neo. Ce panneau en polypropylène, en 15 mm d’épaisseur, affiche un poids trois fois inférieur à celui d’eau peau en bois classique. Quant à Peri, il a exposé pour la première fois en France son tout nouveau coffrage de dalles SkyMax, lancé à Bauma, en avril dernier. Layher France, lui, a profité de Batimat pour faire un point sur son évolution, en tant qu’industriel. Avec 82 M€ de chiffre d’affaires, l’irréductible filiale française cultive sa croissance… En plus de présenter quelques nouveautés produits.  Quittant l’univers des coffrages, le visiteur pouvait basculer dans les autres gammes de matériels pour le béton. A commencer par Imer France. Celui-ci ne dévoilait pas tant des nouveautés produits que des services, à travers Servitech. Reprise par Imer France et Reynald Paris, l’entité a vocation à donner un second souffle à ce spécialiste du SAV en électro-portatifs et moteurs thermiques depuis 30 ans. Dans sa hotte, Servitech a apporté la distribution de la marque DeWalt auprès des loueurs.  Toujours plus de confort d’usage Le système Mover de Priomix se monte au niveau des roues de la remorque pour permettre de la manœuvrer sur chantier sans effort. [©ACPresse] Priomix présentait ses machines à vis pour la projection d’enduits et le pompage des chapes fluides. Mais c’est l’option “Mover”, qui retenait l’attention. Ce système permet de manœuvrer sur chantier les pompes sur remorque à l’aide d’une simple radiocommande. Une belle manière de lutter contre les troubles musculo-squelettiques (TMS). Une attente à laquelle a cherché à répondre Loxam aussi. Ainsi, le loueur a présenté un gant bionique Ironhand. L’idée est d’amplifier la force naturelle de la main, tout en réduisant les efforts de l’opérateur. L’avantage principal du gant bionique Ironhand est d’aboutir à une disparition du risque de troubles musculo-squelettiques (TMS). [©ACPresse] Wacker Neuson s’inscrivait, lui, dans une démarche plus sécuritaire et de confort d’utilisation. Ceci, avec l’ACBe, la première aiguille vibrante alimentée par une batterie intégrée dans un sac à dos. Enfin, Trimble a présenté et surtout fait tester son nouveau casque de réalité augmentée. Baptisé XR10, cet équipement est destiné à accompagner son logiciel HoloLens 2. Ceci, pour suivre les chantiers. Après cette visite orientée “matériels”, vous pouvez faire un retour en arrière pour (re)découvrir Batimat 2019, côté matériaux #1. 
Il y a 5 ans et 196 jours

Sateco poursuit le développement de sa SC 1015 Box

A présent, les bras de manutention de la banche-outil SC 1015 Box de Sateco sont moulés. [©ACPresse] Pas de nouveautés chez Sateco cette année sur Batimat. Mais des évolutions et des adaptations. L’industriel viennois apporte ainsi des réponses, en termes d’ergonomie et de composants sur sa banche-outil star, la SC 1015 Box. Ce sont des demandes, qui viennent des clients et du terrain.  Ainsi, les bras de manutention, de part et d’autre de la passerelle, sont à présent moulés et plus mécano-soudés. Une amélioration qui permet un gain de poids au niveau de l’outil Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 196 jours

Christian de Portzamparc “illumine” la galerie Kamel Mennour

Christian de Portzamparc, à gauche, et Kamel Mennour, le galeriste à droite, lors du vernissage de l’exposition “Illuminations”. [©ACPresse] En marge de ses projets d’architecture, Christian de Portzamparc a toujours peint et dessiné. Pour la première fois, la galerie parisienne d’art contemporain Kamel Mennour (VIe arrondissement) expose dans trois espaces distincts un ensemble de peintures intitulé “Illuminations”. Et ce, jusqu’au 18 janvier 2020. « Selon Christian de Portzamparc, il s’agit là d’une expérience pure de pensée de l’espace. Pure, parce que libérée du poids de la matière qu’implique la construction ou même l’installation », explique le galeriste Kamel Mennour. Retrouvez très bientôt dans notre rubrique “Pause Café”, l’interview de l’architecte et urbaniste, ainsi que la vidéo de l’exposition.
Il y a 5 ans et 196 jours

Accord de collaboration entre Alphi et Fyx

« C’est une belle collaboration, amenée à se développer dans les années avenir », explique Pascal Perrotin, directeur technique et R&D d’Alphi. [©Fyx] A l’occasion de Batimat, Alphi et Fyx ont signé un accord de collaboration. Filiale française du groupe belge Stabil, la société Fyx est spécialisée dans les gros étaiements orientés génie civil, les tenues de façades et les reprises de charges importantes. Son cœur d’activité est la réhabilitation des bâtiments ou de génie civil. « Ce sont un secteur d’activité et une branche, qui nous manquaient pour des besoins ponctuels. On monte en gamme et nous pouvons ainsi aborder de nouveaux projets en toute sérénité Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr Cette iframe contient la logique nécessaire pour manipuler Gravity Forms avec Ajax. jQuery(document).ready(function($){gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.gif' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} ); jQuery(document).bind('gform_post_render', function(event, formId, currentPage){if(formId == 3) {gf_global["number_formats"][3] = {"1":{"price":false,"value":false},"2":{"price":false,"value":false},"3":{"price":false,"value":false},"4":{"price":false,"value":false},"9":{"price":false,"value":false},"5":{"price":false,"value":false},"6":{"price":false,"value":false},"7":{"price":false,"value":false},"10":{"price":false,"value":false},"8":{"price":false,"value":false}};if(window['jQuery']){if(!window['gf_form_conditional_logic'])window['gf_form_conditional_logic'] = new Array();window['gf_form_conditional_logic'][3] = { logic: { 9: {"field":{"actionType":"show","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Soci\u00e9t\u00e9"}]},"nextButton":null,"section":null},5: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null},6: {"field":{"actionType":"hide","logicType":"all","rules":[{"fieldId":"4","operator":"is","value":"Particulier"}]},"nextButton":null,"section":null} }, dependents: { 9: [9],5: [5],6: [6] }, animation: 0, defaults: {"4":["choice_3_4_0"]}, fields: {"1":[],"2":[],"3":[],"4":[9,5,6],"9":[],"5":[],"6":[],"7":[],"10":[],"8":[]} }; if(!window['gf_number_format'])window['gf_number_format'] = 'decimal_comma';jQuery(document).ready(function(){gf_apply_rules(3, [9,5,6], true);jQuery('#gform_wrapper_3').show();jQuery(document).trigger('gform_post_conditional_logic', [3, null, true]);} );} if(typeof Placeholders != 'undefined'){ Placeholders.enable(); }} } );jQuery(document).bind('gform_post_conditional_logic', function(event, formId, fields, isInit){} ); jQuery(document).ready(function(){jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, 1]) } );
Il y a 5 ans et 196 jours

Rudy Ricciotti parle de “l’économie du béton” à Strasbourg

Portrait de Rudy Ricciotti. [©Agence Rudy Ricciotti] « Le béton est un matériau de redistribution de richesse, à l’instar de la farine avec le pain. C’est un matériau qui n’est pas rare, qu’on fabrique facilement sur toute la planète. » Voici les valeurs que prône Rudy Ricciotti, invité par le Cérib pour animer la conférence “L’économie du béton”. Organisé en partenariat avec l’Eurométropole de Strasbourg et la Fib, le rendez-vous s’est tenu mi-novembre dernier à la Cité de la musique et de la danse strasbourgeoise. Et a réuni quelque 300 participants. Mucem – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée.[©ACPresse] Le béton, un matériau que connaît et maîtrise très bien Rudy Ricciotti. L’architecte a d’ailleurs présenté plusieurs de ses réalisations. A l’image du Mucem de Marseille. Posé sur le port, ce musée prend la forme d’un vaste cube aplati de 72 m de côté, habillé d’une dentelle en béton. Une dentelle en Bfup (béton fibré ultra hautes performances) pour être précis, qui n’a aucune propriété structurelle. Ce rôle échoit aux 309 piliers arborescents porteurs composés du même matériau.  Représentation graphique du département des arts de l’Islam du Louvre De la même manière, Rudy Ricciotti a parlé du Département des arts de l’Islam du Louvre, à Paris. Repensé en 2012 avec l’architecte Mario Bellini, le lieu s’inscrit dans un écrin remarquable fait de verre et de béton. Pièce maîtresse du projet, une couverture ondulée figurant une sorte d’immense tapis volant. Dessous, quelque 3 000 œuvres, réparties dans deux espaces d’exposition reliés par un escalier monumental de 16 m de portée en Bfup. Le béton constitue aussi les parois et les 12 colonnes de soutien des planchers.  L’Alsace à l’honneur Façade de la Bibliothèque humaniste de Séléstat [©Ville de Selestat] Clin d’œil à l’Alsace, où se déroulait la conférence, Rudy Ricciotti a mis en avant deux de ses réalisations locales. A commencer par la Bibliothèque humaniste de Sélestat. L’enjeu de ce projet de rénovation lancé en 2014 visait à conserver le style néo-roman de l’ancienne halle aux blés. Ses 25 colonnes intérieures en grès rose en marque le style, sublimé par l’intégration en extérieur d’un monolithe constitué de verre et de béton d’une teinte comparable. « Un projet architectural entre héritage et modernité » souligne Rudy Ricciotti  Complexe culturel et festif Les Tanzmatten de Sélestat. [©Ville de Sélestat] Toujours à Sélestat, “Les Tanzmatten” constituent l’autre œuvre de l’architecte. Inauguré en janvier 2001, cet ensemble se décline en trois espaces distincts : une salle de spectacle, une galerie et une salle festive. En accord avec la nature, ce complexe de 2100 m2 est construit sur les berges de l’Ill. D’une grande transparence, il s’articule en grande partie autour du bois brut et du verre. Sa conception permet aux visiteurs d’admirer depuis l’intérieur les paysages, qui entourent l’édifice. 
Il y a 5 ans et 196 jours

Peri : Le futur du coffrage de dalle

SkyMax constitue une nouvelle approche du coffrage de dalles pour Peri. [©ACPresse] Dévoilé à Bauma, le SkyMax débarque pour la première fois sur un salon en France. Dernier-né de la marque Peri, ce coffrage pour dalles s’articule autour de panneaux coffrants de 2 m x 1 m, déclinés en deux versions : une classique cadre aluminium et CP bakélisé, ou un inédit cadre et peau composite. Mais l’originalité du système vient de la tête de décintrement, qui donne une méthode à la phase de décoffrage : on réalise l’opération par petites zones. Ainsi, ce dispositif assure le remplacement logique et sécurisé des étais de coffrage par des étais de séchage. Le système SkyMax est aussi taillé pour le futur de par l’utilisation de la technologie RFID. En effet, sur les panneaux en aluminium, ces dernières permettront à l’avenir de prendre en charge les processus logistiques, via une application correspondante. 
Il y a 5 ans et 197 jours

Resair lance l’about de voile gonflable

About de voile gonflant développé par Resair. [©ACPresse] Les abouts de voilessont toujours délicats à traiter, surtout entre deux nappes de treillis soudés… Sur Batimat, Resair a apporté une réponse originale, en proposant un about de voile gonflable. Le produit est issu du système Resair T, développé par la marque depuis quelque temps déjà. « Ce sont des éléments pour réservations techniques, à intégrer Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 197 jours

Socotec acquiert le logiciel Lago

Socotec a inspecté, ces 10 dernières années, plusieurs milliers d’ouvrages d’art en France et à l’international. [©Socotec] L’effondrement du pont Morandi, à Gènes, en Italie, le 14 août 2018, a marqué les esprits. En juin dernier en France, un rapport parlementaire constatait que 18 à 20 % des ponts hexagonaux présentaient un risque pour les usagers. Alors que l’effondrement d’un pont à Mirepoix-sur-Tarn1 (31) vient consolider ce constat, Socotec a acquis le logiciel Lago d’aide à la gestion des ouvrages. C’est un outil de référence de l’état de santé et des pathologies des infrastructures. Il pourrait apporter une réponse concrète aux acteurs concernés. Ce logiciel permet de recenser et d’analyser les ouvrages d’art et d’en suivre les évolutions. L’outil intègre aussi une base de données complète, apportant une aide au diagnostic. Quid de Lago ? Avec cette acquisition, Socotec renforce son positionnement dans le secteur de l’inspection et de la gestion du patrimoine des ouvrages d’art. Il est spécialisé dans le testing, l’inspection et la certification dans les domaines de la construction et des infrastructures. Le groupe a inspecté, ces 10 dernières années, plusieurs milliers d’ouvrages d’art en France et à l’international. Il commercialise désormais l’outil, en complément de missions d’inspections ou de diagnostics d’ouvrages d’arts. « Lago est le fruit de plus de 20 ans de développement, opéré par des spécialistes des infrastructures. Le logiciel est utilisé depuis plusieurs années sur le réseau routier et autoroutier français comme à l’international. C’est un produit de référence et sa base de données répertorie plusieurs centaines de pathologies. Il permet aussi de définir et d’optimiser les travaux d’entretien. Via son réseau de 150 agences, Socotec offre une expertise de proximité aux acteurs publics et aux sociétés d’autoroutes désireux de fiabiliser la gestion de leur patrimoine d’ouvrages d’art», explique Jean-Marie Steiner, directeur de Socotec. Il s’agit là clairement d’un enjeu de société.  1Rappelons ici que l’effondrement du pont de Mirepoix-sur-Tarn semble lié au passage d’un poids lourd au PTAC trop important et non au mauvais état de l’ouvrage.
Il y a 5 ans et 197 jours

BZB Projekt s’intéresse à la France

Bartłomiej Zgorzelski est le président de BZB Projekt. [©ACPresse] BZB Projekt est un bureau d’ingénierie et d’architecture polonais, installé à Łódź, dans le centre du pays. De manière simple, BZB signifie “Biuro zarządzania w budownictwie”… Et pour ceux – nombreux – qui ne maîtrisent pas la langue de Mickiewicz1, cela se traduit par “Bureau d’études dans la construction”. Le décor est planté. « En tant que BZB Projekt, nous concevons et aidons à maîtriser Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 197 jours

Le malaxeur RV12 d’Eirich passe à 500 l de capacité

Eirich a revu et corrigé son RV12, pour porter le malaxeur à une capacité de 500 l. [©Eirich] Eirich a revu l’un de ses best-sellers, le malaxeur RV12. Celui-ci atteint désormais une capacité de 500 l. Soit une augmentation de 25 %, lui permettant d’atteindre des gâchées de 333 l de béton vibré. Au passage, Eirich a revu l’ensemble de la machine, pour améliorer son efficience énergétique. De même, les matériaux et sa construction ont été étudiés pour réduire ses besoins en maintenance. De plus, son approvisionnement a été amélioré, afin d’en faciliter l’accès. Le RV12 peut être équipé d’un outil de mesure de l’humidité et de la température. Mais aussi du système LiveView, permettant de visualiser les gâchées, via une caméra. Disponible aussi, le système de nettoyage, qui peut être réalisé en version sèche ou humide. Ce qui permet un entretien facile, comme dans la précédente version. Bien d’autres choix sont à la disposition des clients, en fonction de leurs besoins.
Il y a 5 ans et 197 jours

BASF s’offre le service d’impression 3D en ligne Sculpteo

BASF acquiert le service d’impression 3D Sculpteo. [©Sculpteo] Mi-novembre, BASF a annoncé la signature d’un accord pour le rachat de l’entreprise française Sculpteo. Avec cette opération, le chimiste allemand entend s’étendre sur le marché de l’impression 3D. Depuis une dizaine d’années, Sculpteo propose un service en ligne de production de prototypes, d’objets et de séries de produits avec différents additifs et matériaux. L’entreprise s’adresse ainsi à plusieurs secteurs d’activités dans le monde. « A travers cette acquisition, nous permettons à nos clients d’accéder de manière plus rapide à nos solutions d’impression 3D, explique Dietmar Bender, directeur de la section “solutions impression 3D” chez BASF. En plus, ils pourront bénéficier d’un large service dans le domaine. » En effet, l’industriel allemand et Sculpteo, qui conserve ses équipes et sa direction, seront en mesure de proposer une offre complète, de la phase conception à l’impression finale. « Nous allons pouvoir bénéficier de la R&D de BASF, afin d’être plus innovants dans nos offres », complète Clément Moreau, directeur général et co-fondateur de Sculpteo. Et Dietmar Bender de poursuivre : « Avec Sculpteo, nous poursuivons notre volonté de promouvoir la fabrication additive – ou impression 3D – comme une technologie éprouvée pour la production industrielle de masse ». Après l’accord des autorités compétentes, l’acquisition devrait être effective dans les prochaines semaines.
Il y a 5 ans et 197 jours

Cemex Building Award 2019 : Le “revêtement eau et lumière” primé

Le “revêtement eau et lumière” s’adapte à la lumière ambiante et permet de signaler le parcours aux piétons de jour comme de nuit. [©Cemex] En novembre dernier, le “revêtement eau et lumière” a remporté le prix international “Construction Innovante” du Cemex Building Award. Chaque année, ce concours « récompense les architectes, maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre des bâtiments, infrastructures et aménagements durables au profit des générations actuelles et futures », peut-on lire dans un communiqué de presse. « Nous sommes fiers d’avoir été sélectionnés parmi les 32 projets présentés et les 14 pays en compétition. Et d’avoir remporté le prix “Construction innovante”. Cela montre notre capacité à proposer des projets novateurs, qui répondent tant aux défis de l’aménagement des espaces publics que de l’éco-responsabilité», indique Nora Laïchour, chargée de prescription et promotion chez Cemex France. Le “revêtement eau et lumière” en question Le “revêtement eau et lumière” est réalisé en béton drainant, avec inclusions luminescentes et colorées. Il s’adapte à la lumière ambiante et permet de signaler le parcours aux piétons de jour comme de nuit. Il a été mis en place en 2018 sur le parvis de l’école Lallier, à proximité immédiate de la future gare du Grand Paris Express L’Haÿ-les-Roses Trois-Communes (Val-de-Marne). « Avec l’appui de l’équipe R&D de Cemex, nous avons créé des inclusions composées de granulats luminescents, afin de produire cette signalétique. Le tout sans détériorer la capacité drainante du béton, évitant ainsi la formation de flaques d’eau», explique Lucia Alarcon Ruiz, responsable marketing et innovation produits chez Cemex Europe. L’industriel a utilisé du béton Nuantis Perméable, qui présente 10 à 25 % de porosité. Ceci, avec une drainabilité pouvant atteindre jusqu’à 15 l/m2/s. Terideal Segex a assuré la maîtrise d’œuvre du projet et BMC Diffusion (groupe Chryso) a fourni les granulats luminescents. 
Il y a 5 ans et 197 jours

Sika invente l’hydrofuge de masse en poudre

Le rôle d’un hydrofuge de masse comme le SikaControl WT 225-P est de réduire l’absorption capillaire des bétons. [©Sika] En poudre et non chloré : voilà ce qui caractérise le tout nouvel hydrofuge de masse SikaControl WT-225 P de Sika. De manière traditionnelle, ces adjuvants sont proposés sous une forme liquide, ce qui pose plusieurs difficultés. S’agissant de produits de niche, ces hydrofuges de masse sont utilisés dans de faibles volumes. De l’ordre d’une campagne de fabrication de béton de temps à autre… Mais, au niveau de la centrale, il est nécessaire de stocker ces produits, le plus souvent dans des fûts de 200 l, délicats à manutentionner. Il faut pouvoir les pomper le moment venu, à l’aide de pompes souvent mobilisées pour d’autres produits. Sans compter la gestion de la date de péremption.  Avec sa consistance en poudre, conditionné dans des sachets de 1 kg, le SikaControl WT-225 P élimine toutes ces contraintes. En particulier celle de la péremption, qui est de 2 ans. Produit marqué NF, cet hydrofuge de masse est à intégrer dans le béton au moment de sa fabrication en centrale. Réduire l’absorption capillaire des bétons « LeSikaControl WT-225 P s’introduit à la main au niveau de la ligne d’approvisionnement du malaxeur en matières premières. Comme on le fait déjà avec des colorants ou des fibres. Ce n’est pas nouveau ou exceptionnel comme manière de faire », rappelle Joachim Monge, chargé d’affaires BPE pour les univers Béton et Etanchéité de Sika France. Le rôle d’un hydrofuge de masse est de réduire l’absorption capillaire (eau ou autres agents). Et donc d’augmenter l’imperméabilité des bétons ou des mortiers, une fois ceux-ci durcis. Le SikaControl WT-225 P s’utilise sur des bétons étanches dans la masse (fondations, radiers, réservoirs). Sont aussi concernés les bétons soumis à une forte lixiviation. Tout comme à l’agression des eaux riches en sulfates de calcium, industrielles, les eaux de mer ou,a contrario, très pures. Enfin, les chapes, traditionnelles comme fluides ciment, ainsi que les enduits constituent des domaines d’application pour le SikaControl WP-225 P.
Il y a 5 ans et 197 jours

Coffrages Cosmos enrichit sa Cob 2000 EV2

Nouvel équipement de superposition Cosmos pour la Cob 2000 EV2. [©ACPresse] Coffrages Cosmos a assuré une jolie présence à Batimat, permettant à ses clients de venir échanger avec l’équipe et autour des produits. La banche Cob 2000 EV2 reste l’équipement phare de la marque et bénéficie donc de toutes les attentions. Ainsi, pour rendre service aux entreprises utilisatrices, Cosmos a créé un adaptateur spécifique pour utiliser ses panneaux Aluminium Renforcé Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 198 jours

Saint-Gobain finalise la cession DMTP à Frans Bonhomme

Le 29 novembre dernier, Saint-Gobain a finalisé la cession de DMTP pour une valeur de 70 M€, au groupe Frans Bonhomme. [©Frans Bonhomme] En juillet dernier, le groupe Frans Bonhomme était entré en négociations exclusives en vue de l’acquisition de Distribution de Matériaux pour les Travaux Publics (DMTP), filiale de Saint-Gobain Distribution Bâtiment France. C’est désormais chose faite. En effet, le 29 novembre dernier, Saint-Gobain a finalisé cette cession pour une valeur de 70 M€. Ceci, après avoir reçu l’avis de l’Autorité française de la concurrence. Et au terme du processus d’information et de consultation des instances représentatives du personnel.  De son côté, Saint-Gobain continue sa politique de cessions, alors même que l’objectif initial de plus de 3 Md€ fixé pour la fin d’année a, d’ores et déjà, été atteint. De l’autre, ce rapprochement fait du groupe Frans Bonhomme le leader de la distribution spécialisée en travaux publics, aménagement extérieur, assainissement non collectif et bâtiment. « Sur un marché de la distribution en pleine mutation, il renforce la dynamique de croissance et de transformation du groupe. Et ce, en mettant au service des clients des expertises métiers inégalées, une offre unique et une présence territoriale très dense », peut-on lire dans un communiqué de presse. Cela se traduira dans les prochains mois par l’enrichissement et l’accélération du plan de croissance transformationnel 2019-2023 du groupe Frans Bonhomme. A savoir, nouveau schéma logistique, meilleure adéquation des points de vente aux besoins des clients, développement des partenariats avec les fournisseurs. Ceci, en investissant en priorité sur la digitalisation, le développement des compétences et en s’appuyant sur une marque forte.