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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Acpresse Béton

(3886 résultats)
Il y a 6 ans et 0 jours

Le béton s’invite à Batimat

Le béton face à la densité urbaine constituera un des fils conducteurs de la présente de la filière béton à Batimat. [©ACPresse] Dans un peu moins de cinq mois à présent, le Mondial du Bâtiment ouvrira ses portes au Parc des expositions de Paris Nord – Villepinte (93). Batimat en sera une des trois pierres angulaires (les salons Idéobain et Interclima étant les deux autres rendez-vous, qui se tiendront en parallèle). Il s’étendra sur quatre halls complets : 4, 5A, 5B et 6. Le Mondial du Bâtiment devrait mettre les petits plats dans les grands, en proposant un très important programme d’animations et de temps forts. « Du jamais vu en Europe », n’hésite pas à clamer Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment. Ce qui permet de dresser la liste des dix raisons incontournables de se rendre à Villepinte. Pêle-mêle, on peut citer “Une immersion dans la ville du futur”, “Découvrir les logements flexibles et réversibles” ou encore “Les solutions concrètes pour rénover et décarboner”… Mais un 11emotif peut être ajouté à cette liste : le béton. En effet, la filière vient de faire le choix d’une présence active à travers nombre de présentations durant toute la semaine du salon. “Le bon béton au bon endroit” constituera un des thèmes récurrents, placé dans le contexte de la future RE 2020. Les ateliers animés par ByBéton et le CementLab relèveront aussi les défis environnementaux et de densité urbaine. Ceci, en mettant en avant les toits-terrasses végétalisés, les toits-terrasses techniques, les réhabilitations lourdes et les questions liées à la surélévation des bâtiments. Enfin, côté recherche et innovation, un champ libre sera laissé au projet national Fastcarb ou la carbonatation positive des bétons. De quoi se convaincre que le béton est bien un matériau du futur… L’article Le béton s’invite à Batimat est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 0 jours

Edmatyer, nouveau lieur sans fil pour armatures

Edmatyer, le nouvel outil signé Edma, permet de lier les armatures béton de manière rapide, efficace et sans efforts. [©Edma] Edmatyer, le nouvel outil signé Edma, permet de lier les armatures pour béton de manière rapide, efficace et sans efforts. C’est un véritable appareil portable. Léger (1,2 kg) et compact, sa puissance de serrage peut s’ajuster de façon automatique, selon les dimensions des fers à assembler. Sont utilisés des bobines de fil de 100 m, ce qui représente environ 280 liens/bobine : ses capacités de liage vont d’un Ø de 12 à 24 mm. Il existe aussi en version XL pour les Ø de liens de 26 à 40 mm. Un Edmatyer correspond à quatre ouvriers, grâce à sa rapidité (0,8 s par lien) et son efficacité de liage. Il s’utilise à une température allant de – 5 °C à + 80 °C. Sa bobine est facile à mettre en place, tandis que le refroidissement du moteur se fait grâce un radiateur intégré. Sur batterie, ce lieur permet une durée d’utilisation de 3 h. Il est livré avec deux batteries haute performance lithium-ion de 14,4 V.  L’article Edmatyer, nouveau lieur sans fil pour armatures est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 1 jours

Le Centre An-Nour, plébiscité par nos abonnés

Centre An-Nour de Mulhouse (68) [©DR] A la rentrée prochaine sortira le hors-série numéro 23 de Béton[s] le Magazine, dédié à l’architecture en béton. Dans ce cadre, nous avons soumis aux votes de nos lecteurs treize réalisations pour désigner celle qui sera mise à l’honneur. A une large majorité, c’est le Centre An-Nour, qui a été plébiscité. Sise à Mulhouse, cette mosquée-cathédrale a été imaginée par les architectes de l’agence AMRS Architectes. Elle s’articule autour d’éléments préfabriqués en béton blanc, dont l’industriel BCS – Gherardi Construction a assuré la réalisation. Tous les détails de ce projet d’exception seront donc développés dans notre numéro spécial.  Le centre administratif d’Etterbeek, en Belgique, et le centre de soins psychiatriques de Metz occupent respectivement la deuxième et la troisième place du podium. Le projet belge est signé du cabinet d’architecture Jaspers-Eyers et Baeb. Et Vicat assure la fourniture du Bfup blanc pour la préfabrication des éléments d’habillage réalisés par la Manufacture des Bétons. Quant au centre psychiatrique, il se caractérise par des façades en béton brut de couleur verte, dont Eqiom fut le fournisseur. Le cabinet d’architecture Richter Architectes et Associés en est à l’origine.  Ces deux projets particuliers et l’ensemble des autres réalisations soumises à notre concours seront aussi présentés plus en détail, sur notre site Internet, au moment de la sortie du HS 23.  L’article Le Centre An-Nour, plébiscité par nos abonnés est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 1 jours

Sikafloor Spécial Balcons : Protection pour longtemps

Sika propose aujourd’hui Sikafloor Spécial Balcons, un nouveau revêtement acrylique imperméable de protection pour balcons. [©Sika] Fortement exposés aux intempéries, les balcons, loggias, escaliers et coursives… doivent être protégés par des systèmes de revêtements performants et imperméabilisants. C’est ainsi que Sika propose Sikafloor Spécial Balcons, un nouveau revêtement imperméable de protection pour balcons. La Sikafloor Spécial Balcons est une résine colorée, acrylique et prête à l’emploi. Souple et imperméable, elle possède une bonne tenue aux UV et aux racines. Elle forme un film continu et adhérent au support. Elle s’applique en 3 couches et est facile à mettre en œuvre. En neuf comme en rénovation, elle permet de réaliser des revêtements extérieurs de protection et de décoration. Cette résine se caractérise par une bonne adhérence sur béton, mortier et carrelage, une remise en service rapide (après 24 h à + 20 °C) et un allongement à la rupture de 200 % (7 j à + 23 °C). Pour une meilleure protection, on peut associer le Sikagard Protection Sol Mat au Sikafloor Spécial Balcons en couche complémentaire. L’article Sikafloor Spécial Balcons : Protection pour longtemps est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 5 jours

Du béton pour Notre-Dame-de-Paris

BBSF a livré 8 m3 de béton sur le site de Notre-Dame-de-Paris, à peine l’incendie de la cathédrale éteint. [©BBSF] L’information est restée quelque peu confidentielle. Ainsi, à peine l’incendie de la toiture et de la flèche de la cathédrale Notre-Dame-de-Paris éteint, se pose la question de la mise en sécurité du site. Nous n’en sommes pas encore aux polémiques pour savoir en combien de temps reconstruire ou avec quels matériaux… Avant toute chose, il faut assurer la stabilité de la cathédrale, dont la structure en pierre est gorgée d’eau. Il y a un véritable caractère d’urgence. Il faut réaliser une dalle de 40 m2pour 20 cm d’épaisseur. De manière naturelle, elle doit être en béton. Une seule et unique toupie de 8 m3est suffisante. La demande est précise : un C30/37 XF1 CEM II/A 42,5 R D20 S2. Et ce pour le lendemain, 6 h 30, au pied de la cathédrale. L’entreprise Avenir TP a multiplié les coups de fil, jusqu’à ce que Béton Bâtir Sud Francilien (BBSF) disent “oui” ! « On nous a même proposé de faire escorter notre toupie par des motards de la police nationale », souligne Franck Duval, président de BBSF. Pour un trajet vers 6 h 00 du matin, l’intéressé n’a pas jugé cela indispensable.  Le premier matériau livré sur la cathédrale Notre-Dame-de-Paris, dans le cadre de sa reconstruction, a donc été du béton. Certes, pour réaliser une dalle en béton destinée à supporter un échafaudage. Et ce béton est venu de la centrale d’Echarcon, petite commune située à 43 km au Sud de l’île de la Cité. « Nous n’avons pas vraiment vocation à livrer du béton dans Paris, mais à partir du moment que nous avons été sollicités, nous avons répondu présents », conclut Franck Duval.   L’article Du béton pour Notre-Dame-de-Paris est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 5 jours

Adim Est inaugure l’Omega, à Nancy

Conçu par le cabinet André et Moulet comme un bâtiment “signal”, qui se démarque dans le paysage urbain, l’Omega tire son nom de sa forme architecturale audacieuse. [©Marc Philippe] Filiale de développement immobilier de Vinci Construction France, Adim Est inaugure l’Omega, un bâtiment tertiaire qui marque l’entrée de la Métropole du Grand Nancy. Quelque 4 800 m2de bureaux nouvelle génération mêlent performance énergétique et confort d’utilisation. Implanté sur la commune de Laxou (54), l’Omegap possède une architecture toute singulière. Ce nouvel immeuble de bureaux (R+7) est au cœur d’une zone d’activité tertiaire dynamique, à proximité immédiate d’axes autoroutiers majeurs (A31 et A33) et à quelques minutes seulement de la gare TGV de Nancy. Sa réalisation s’inscrit dans le cadre d’un vaste projet de réaménagement urbain d’un terrain de plus de 45 000 m2. Jusqu’en 2009, ce  dernier était occupé par l’ensemble scolaire du lycée Saint-Joseph et laissé libre de tout occupant depuis. L’Omega est le premier immeuble tertiaire à sortir de terre sur ce site, qui conjuguera, à terme, bureaux, commerces et logements. Une architecture audacieuse Conçu par le cabinet André et Moulet comme un bâtiment “signal”, qui se démarque dans le paysage urbain, l’Omega tire son nom de sa forme architecturale audacieuse. Ainsi, ses façades sont imbriquées, composées notamment de murs-rideaux mixtes. Et d’un bardage métallique auxquels s’ajoutent, sur la façade Sud du bâtiment, des balcons munis de résilles brise-soleil à tous les étages. D’une durée de deux ans, les travaux ont été conduits par GTM Hallé et Sogea Est, toutes deux filiales de Vinci Construction France. Pour donner vie à l’opération conçue sous BIM dès la phase projet, les équipes ont travaillé à partir de modèles 3D pour les corps d’état et les études de vêtures extérieures. Un bâtiment intelligent  L’immeuble bénéficie d’une forte inertie thermique, grâce à son isolation ramenée par l’extérieur. Il est aussi doté d’un système de chauffage et de climatisation à volume de réfrigérant variable et d’un système de surveillance de la qualité de l’air dans les espaces de travail. Depuis septembre 2018, la direction déléguée Grand Est de Vinci Construction France et trois de ses filiales régionales – Adim Est, GTM Hallé et Sogea Est – en occupent 3 330 m2. Sur 5 des 7 niveaux, près de 150 collaborateurs bénéficient ainsi d’espaces intérieurs lumineux et modulables, qui privilégient le travail collaboratif, l’utilisation d’outils connectés et les échanges informels, avec la création d’un work café de 230 m2. L’article Adim Est inaugure l’Omega, à Nancy est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 5 jours

Deux nominations chez Spie Batignolles

Début 2019, Marine d’Anterroches a rejoint le groupe Spie Batignolles en tant que directrice de la communication et membre du comité exécutif. En parallèle, Aude Maury, directrice de la performance des achats, a été nommée au comité exécutif. Diplômée de Sciences Po Paris et titulaire d’un DESS à l’université Paris Dauphine, Marine d’Anterroches a débuté sa carrière en 1997 chez Capgemini, à la direction de communication du pôle Technology Services. Puis, de Capgemini Consulting. En 2011, elle rejoint le groupe Vinci pour prendre en charge la direction de la communication du groupe Soletanche Freyssinet et celle du pôle sols (Soletanche Bachy et Menard). Elle poursuit en même temps le programme Executive MBA de HEC Paris. Ingénieur généraliste diplômée de l’UTC, Aude Maury a commencé dans l’industrie automobile chez PSA en 1999, en tant que responsable achat projet véhicule. Puis, responsable achat série. Elle quitte le groupe automobile en 2008 au profit de cabinets de conseil où elle intervient en qualité de directrice de mission, au sein du cabinet Efeso. Puis, chez Ayming. En parallèle de ces missions professionnelles, Aude Maury effectue une formation à l’Ecole centrale Paris.  L’article Deux nominations chez Spie Batignolles est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 6 jours

Accor : Une nouvelle approche pour un hôtel en bois r+7

Un ouvrage qui ne passe pas inaperçu le long du boulevard périphérique parisien. [©Takuji Shimmura] En se rapprochant, la découverte de l’ensemble Jo & Joe continue d’attiser la curiosité. Le projet se définit comme une “open house”, un concept nouveau mis au point par le groupe Accor, qui cible principalement la génération des “millennials-minded”. Le but, pour la marque, est de s’implanter Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne sur le segment économique, à proximité des centres urbains, dans une ambiance décomplexée. Ce nouveau concept d’hospitalité hybride cible la clientèle del’hôtellerie classique et de l’auberge de jeunesse.La visite des lieux confirme l’impression extérieure. On est à cent lieues de l’hôtellerie classique et les auberges de jeunesse d’antan, dans une ambiance très ouverte et très communicante. L’hôtellerie standardisée paraît d’un coup terriblement démodée. Un seul regret, le nombre d’emplacements de parking, limité par le PLU à 17 places pour 85 chambres, alors que la localisation, à proximité immédiate de l’autoroute A6 et du boulevard périphérique, rend le lieu très facilement accessible en voiture. Repenser l’hôtellerie populaire Les bardages en aluminium anodisé ne laissent pas imaginer la structure en bois. [©Takuji Shimmura] Il n’y a pas que la convivialité et l’esthétique, il y a aussi les techniques retenues. Et les surprises s’additionnent tout au long de la visite de ce lieu si atypique. Déjà, la structure est en bois, en fait en CLT, ce qui n’est pas si courant pour un R +7, mais la conception de l’ensemble va très loin dans cette réflexion, à l’extérieur comme à l’intérieur du bâtiment.Le bâtiment conçu en forme de “U” accueille au rez-de-chaussée un jardin intérieur en communication directe avec l’accueil, le bar et le restaurant. Ces espaces très ouverts dialoguent en permanence par l’usage de matériaux et de formes que l’on retrouve à tous les niveaux : bois, acier, béton, formes souples et fluides, couleurs vives. Dans le jardin, des arbres fruitiers marquent la saisonnalité et renforcent ce rapport dedans/dehors. Le hall d’accueil, le bar et les restaurants innovent, en termes de décoration et de séparation des espaces. [©Takuji Shimmura] L’étonnement continue dans les étages, dans les circulations, comme dans les chambres et les dortoirs. L’usage de matériaux bruts, l’absence de faux-plafonds qui laissent visibles la plupart des fluides, est un parti pris design de la marque et de l’innovant studio de design Penson, qui permet aussi des gains significatifs de coûts lors de la construction. Les dortoirs, d’ordinaire basiques, bénéficient au niveau de chaque lit d’une certaine intimité, obtenue par des cloisonnements en bois laissé brut, des alcôves, des tissus… Cet aménagement ludique et chromatiquement saturé, qui semble en opposition avec les codes de l’hôtellerie classique, est un pari sur l’avenir et le renouveau de l’hôtellerie économique. L’article Accor : Une nouvelle approche pour un hôtel en bois r+7 est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 6 jours

Clap sur Béton des Fins

Le 6 juin, Mauro Béton inaugure son nouveau nom, Béton des Fins, et une nouvelle centrale à béton. [©Guillaume Médard] Depuis le début du mois de juin, Mauro Béton a opéré un changement de taille. Un changement de nom, Béton des Fins et de logo. Une évolution qui s’accompagne de l’inauguration d’une centrale à béton à La Motte-Servolex (73), siège de l’entreprise. Une nouvelle ère, pour un nouvel élan vers la conquête du leadership sur le marché de la production de BPE et de bétons spéciaux. La centrale a été imaginée comme un véritable projet d’entreprise, qui vise plusieurs objectifs. Avec un investissement de 2,5 M€, Béton des Fins a voulu se doter d’un outil performant, qui répond à toutes les demandes de ses clients. Notamment sur la livraison de bétons spéciaux. « Le show-room étant la vitrine du savoir-faire pour une aide à la décision efficace, indique l’industriel. Ouvert aux pros comme aux particuliers. » Ici, l’industriel a souhaité une centrale à béton respectueuse de l’environnement. Celle-ci s’ancre dans les dernières normes en la matière, avec la promesse d’un “zéro rejet”. Ainsi, 100 % des eaux de lavage sont recyclés et l’ensemble des eaux pluviales de voirie est infiltré dans le terrain par le biais de noues paysagères. « Une certification NF est en cours pour répondre à tous les besoins liés à la construction autoroutière. » Signée MG Lilienfeld et imaginée par l’architecte Gérard Palloix, la centrale représente bien les ambitions de l’industriel. Et ce, jusqu’aux silos, qui reprennent ses couleurs, le gris anthracite et l’orange. Pour rappel, Mauro Béton – aujourd’hui rebaptisée Bétons des Fins – est une société familiale créée en 1945. Implantée à La Motte-Servolex (73). Elle compte 16 collaborateurs et réalise près de 4,5 M€ de chiffre d’affaires. L’article Clap sur Béton des Fins est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 6 jours

Tubesca-Comabi présente Nano’Tower

Compact, le Nano’Tower permet une mise en place dans des espaces exigus, comme les ascenseurs. [©Tubesca-Comabi] Tubesca-Comabi présente Nano’Tower, un mini-échafaudage roulant, qui se monte et se démonte sans vis ni outil, en toute sécurité en moins de 1 mn. Et se charge dans le coffre d’un petit utilitaire. Ce mini-échafaudage est déplaçable par une seule personne, grâce son extrême légèreté et sa structure en aluminium (33 kg hors plinthes). Son faible encombrement (68 cm x 118 cm x 141 cm) lui permet de rentrer dans un ascenseur. Compact, il permet une mise en place dans des espaces exigus. Il est conforme au décret 2004-924 et répond aux essais de la norme EN 1004. Auto-stable grâce à ses roues déportées, le Nano’Tower accepte une charge maximale de 200 kg/m². Sa conception brevetée est issue de la R&D Tubesca Comabi. Conçu et fabriqué en France avec des matériaux d’origine européenne 100 % recyclables, il s’inscrit dans une logique de développement durable et de respect de l’environnement.Son plancher anti-dérapant intégré (102 cm x 60 cm) est doté d’un accès par trappe. Ce mini-échafaudage peut être réglé à quatre hauteurs, jusqu’à celle maximale de 3 m. Il est affilié à la lignée du X’Tower, l’échafaudage roulant télescopique sorti en 2016. L’article Tubesca-Comabi présente Nano’Tower est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 7 jours

Marion Verboom expose à la Fondation Cartier

La fresque en ciment blanc et les totems “Achronies” de Marion Verdoom à la Fondaction Cartier. [©Nicolas Brasseur] A l’entrée de la Fondation Cartier, à Paris, les visiteurs sont accueillis par une fresque monumentale en ciment blanc. Signée Marion Verboom, l’œuvre évoque une peau chromatique, qui répond à l’architecture du bâtiment. Dans le cadre de l’exposition “Jeunes artistes en Europe – Les métamorphoses”, la jeune plasticienne a façonné cette peau à partir de trois couleurs : l’or, le noir et le vert, qu’elle a composé par stratifications. « Pour l’application du ciment, j’ai travaillé à la main avec un mélange pâteux, explique Marion Verboom. Pour la finition et le lissage, je suis intervenue sur certaines zones en ponçage gros grain. » L’artiste a ainsi utilisé le ciment blanc Technocem 32,5 R SB de Ciments Calcia. C’est un matériau qu’elle aime employer dans son travail. « Il me permet de réaliser des éléments de type “rocaille”, une technique d’architecture et de décoration très particulière datant du XVIIesiècle. J’apprécie la plasticité et la facilité d’usage du ciment, simplement mélangé à l’eau, que je peux associer à loisir avec d’autres ingrédients comme des pigments. Et façonner en positif ou à partir d’un moule. » Quant au motif principal de la fresque, en forme de croix, elle s’inspire du bâtiment de la Fondation Cartier. Marion Verboom reprend « celui de la croix de Saint-André, un élément architectural fort, présent dans l’espace d’exposition,ainsi que d’autres motifs un peu plus libres, faisant écho au jardin, visible à travers les larges baies vitrées ». Maï-Marie Thiaw L’article Marion Verboom expose à la Fondation Cartier est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 12 jours

UNTEC : Le rendez-vous professionnels de la construction

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Il y a 6 ans et 13 jours

Point. P : Trois services BPE

Point.P facilite désormais sa gestion des livraisons béton. Ceci, avec la mise en place d’un bon de livraison digital, d’un service de géolocalisation de ses camions et d’un suivi GPS. [©Point.P] Avec une flotte de plus de 350 camions de livraison et 2 Mm3/an de béton prêt à l’emploi produits, Point.P facilite désormais sa gestion des livraisons béton. Ceci, avec la mise en place d’un bon de livraison digital, d’un service de géolocalisation de ses camions et d’un suivi GPS. Baptisés Gédéon (Géolocalisation, Dématérialisation, Béton), ces concepts complémentaires assurent un meilleur service auprès des clients. Ils facilitent aussi la gestion des plannings, garantissent la traçabilité du béton. Et enfin, font gagner du temps aux chauffeurs. Qu’est-ce que Gédéon ? Ainsi, le bon de livraison dématérialisé permet un suivi étape par étape de la livraison. Dès le lancement de la fabrication, le chauffeur reçoit un ordre de mission sur son smartphone. Jusqu’à son départ du chantier, il devra renseigner toutes les étapes de la livraison (heure de prise en charge, de départ, d’arrivée sur chantier, de réception et de déchargement, départ chantier). Toutes ces informations seront ensuite consignées dans le bon de livraison dématérialisé, qui sera envoyé par mail au client. Grâce à une interface, ce dernier pourra traiter les informations dans le bon de livraison dans le cadre de sa gestion de chantier.De plus, la géolocalisation des véhicules permet aux agents de planning de chantier de savoir où se trouve chaque toupie en temps réel. Et à quelle étape de la livraison. Elle leur permet ainsi d’anticiper la suite des opérations, notamment les chargements à venir, afin de gagner en temps.Enfin, le chauffeur trouve facilement le chantier sur lequel il doit livrer le béton prêt à l’emploi, grâce au service GPS. Il reste en contact permanent avec les équipes de gestion de planning.Gédéon sera déployé progressivement au sein des 95 centrales que compte Point.P en France. Et tous les chauffeurs seront équipés d’un smartphone. Par ailleurs, des formations internes sont organisées pour les agents de planning de chantier et les agents de production par une personne dédiée dans le but de maîtriser Gédéon. L’article Point. P : Trois services BPE est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 14 jours

Hoffmann Green Cement Technologies lève 15 M€

Basé à Bournezeau, en Vendée, HGCT bénéficie déjà d’une capacité de production de 50 000 t sur son site pilote. [©HGCT] Hoffmann Green Cement Technologies (HGCT) lève 15 M€, afin d’accélérer son développement et de lancer la construction de sa 2eusine de production en Vendée. Rappelons que l’industriel a développé une solution innovante, qui consiste à faire évoluer la composition même du ciment pour parvenir à une empreinte carbone divisée par 7 par rapport au ciment Portland. Cela permet la formulation de bétons très bas carbone garantis 0 % clinker pour la partie ciment. Cette solution préserve ainsi les ressources naturelles et permet la valorisation des déchets issus de l’industrie. Tout en favorisant l’économie circulaire et l’utilisation des ressources locales. Basé à Bournezeau, en Vendée, le 6ecimentier français bénéficie déjà d’une capacité de production de 50 000 t sur son site pilote et compte aujourd’hui une quinzaine de salariés. Cette 2e levée de fonds auprès d’investisseurs privés va lui permettre de construire une 2eusine à Bournezeau, augmentant ainsi sa capacité de production. L’article Hoffmann Green Cement Technologies lève 15 M€ est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 14 jours

XtreeE se déploie à l’échelle mondiale

XtreeE compte bien se positionner en un acteur majeur dans la croissance du marché de l’impression 3D. [©Plurial Novalia] La start-up XtreeE amorce sa stratégie de déploiement et annonce l’ouverture d’une nouvelle unité de production aux Emirats arabes unis. Depuis sa création en 2015, l’entreprise spécialisée dans l’impression béton 3D a bien évolué. Avec un site à Rungis, deux levées de fonds (1,1 M€ en 2017, puis 1 M€ en 2018) et l’entrée à son capital de Vinci Construction et de Shibumi International. Désormais, XtreeE part à la conquête du monde et compte déployer 50 unités d’impression 3D connectées à l’échelle internationale, d’ici 2025. Dont 2 installées en Asie, dans le courant de l’année. De plus, la start-up lancera la plate-forme “XtreeE printing as a service”, dès 2020, pour connecter ses clients à la communauté des concepteurs (architectes, designers et ingénieurs) et des imprimeurs 3D. Avec un marché estimé à 45 Md€ en 2027, XtreeE se prépare à répondre à cette attente.   Répondre au marché de l’impression béton 3D Créer pour apporter une nouvelle solution constructive plus performante, XtreeE participe à de nombreuses réalisations. Notamment avec les projets, Viliaprint [Lire notre article à ce sujet], Récif’lab (création de récifs artificiels) et St@tion4D [Lire BLM n°77, p. 25]. « L’ambition commune de l’équipe est avant tout environnementale, explique Alban Mallet, Dg d’XtreeE. Au moyen de ces innovations, il est en effet possible de construire mieux, et de concevoir des produits nouveaux, à même de répondre aux grands enjeux d’aujourd’hui et de demain. Si l’impression 3D permet, par la facilité avec laquelle elle est capable de fabriquer des formes à géométrie complexe, de réduire à la fois les coûts et l’impact global des procédés constructifs, elle rend aussi possibles des objets plutôt inattendus, au service de la biodiversité. » En effet, XtreeE affirme que ce procédé permettrait de réduire jusqu’à 70 % la consommation de ciment, dont la fabrication représente 8 % des émissions mondiales de CO2, selon Chatham House et WWF. L’article XtreeE se déploie à l’échelle mondiale est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 14 jours

BigMat : L’art du quotidien avec Béton Arty

”Weekend Ty-punch, lundi t’éponges”“Un poil de ressemblance (bébé)”“Un poil de ressemblance (père)”“Coude folie”“Pose de joints ou pause de juin ?”“Œuf de casque”“L’oiseau et les gants”“Balade à pince”“Plongeon carpé-viss锓Nuit étôlée” L’illustratrice parisienne Sheina Szlamka. [©BigMat] « Lorsque BigMat décide en septembre 2018 de repenser sa plate-forme de marque, avec un nouveau positionnement, nous avons cherché à remettre l’humain au cœur de son histoire », indique Ludovic Bonnet, directeur marketing, digital et communication France et communication Europe chez BigMat. Le fournisseur de matériaux de construction veut redonner à ses adhérents et clients leur lettre de noblesse. Qu’à cela ne tienne, il se dirige vers l’agence de création et de communication So Bam. Ensemble, ils donnent carte blanche à l’illustratrice parisienne Sheina Szlamka. S’inspirant directement de leur univers métier « Détourner des matériaux et matériels de construction pour les faire passer de l’échelle du bâtiment à celui d’œuvre d’art, m’a enthousiasmé », s’exclame l’artiste. Mais que faire ? « Les artisans étant suréquipés avec tablettes, smartphones… et surfant, sur les réseaux sociaux, il fallait s’adresser à eux par ce biais. Parce que les artisans sont les artistes du quotidien, qui contribuent à l’embellissement de nos cadres de vie, BigMat leur rend hommage, en offrant, durant 20 semaines, un espace de libre expression à l’illustratrice Sheina Szlamka sur Instagram », reprend Ludovic Bonnet. Parce que l’artiste parisienne se considère aussi artisane, qui passe par le papier, l’encre, les pinceaux… pour créer un univers, elle a su capter l’attention sur les artisans, en valorisant leur métier. « J’aime partager des clins d’œil avec les artisans, les bricoleurs et tous les curieux. Je leur propose une œuvre originale avec des objets et matériaux qu’ils connaissent, mais que je détourne, en leur offrant une nouvelle vie, un nouvel univers, une nouvelle forme, une nouvelle fonction.  » Mais comment cela s’est–il passé concrètement ? En collaboration avec l’agence SoBam, l’illustratrice s’est donc rendu en visite dans un magasin BigMat et a fait ses courses, si l’on peut dire. Les rayons “Visserie”, “Outillage”, “Accessoires”…, tout y est passé. Et là, les idées ont fusé. A sa petite échelle, Sheina Szlamka transmet du rêve, des idées positives et fait voyager. Un casque de chantier est devenu un “Œuf de casque”, une perceuse s’est transformée en plongeur, des gants de travail servent à faire voler une colombe. « Cette colombe aux gants bleus  est mon préféré. C’est la symbolique de la pureté et de la paix, de l’union… L’union entre artistes et artisans. » Mais c’est sans compter sur un pistolet pour joints, qui fait office de bouée canard, ou alors deux éponges qui sont telles des toasts grillés. La liste est longue… Les surprises aussi, à découvrir sur Instagram (@bétonarty). Et tous ces outils et matériaux, qui pourraient vous paraître compliqués, rebutants parfois, inaccessibles ou bizarres deviennent poétiques sous les pinceaux de Sheina Szlamka. Les artisans lui rendent bien sa créativité et sa poésie, à voir les commentaires sur Instagram. A vos smartphones… Une visibilité digitale exceptionnelle avant une exposition physique en automne à Bordeaux, lors de la 4ecérémonie de remise des prix des BigMat International Architecture Award. Muriel Carbonnet L’article BigMat : L’art du quotidien avec Béton Arty est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 15 jours

François Jallot à la direction “Sécurité – Structures – Feu” du CSTB

Etienne Crépon, président du CSTB, a confié à François Jallot la direction “Sécurité – Structures – Feu”. [©Nicolas Richez] Fort d’une solide expérience dans les domaines de l’ingénierie de la construction et de la prévention des risques, François Jallot a rejoint le CSTB. Il y dirige la direction “Sécurité – Structures – Feu”, succédant ainsi à Anne Voeltzel-Lévêque. Les activités de cette entité s’appuient sur l’ensemble des métiers du CSTB : la recherche et l’expertise, l’évaluation, les essais, la certification, la diffusion des connaissances et la formation. François Jaillota pour mission le développement d’une approche globale de la sécurité du parc bâti, vis-à-vis des risques liés à la solidité des structures et à l’incendie.Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, il pilotera et orientera les activités de la direction “Sécurité – Structures – Feu”, portant sur les enjeux d’intérêt général et au service des acteurs du marché. Ingénieur civil de formation (Insa Toulouse), François Jallot a occupé, depuis 1994, différentes fonctions managériales au sein du groupe Socotec.  L’article François Jallot à la direction “Sécurité – Structures – Feu” du CSTB est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 15 jours

Colloque Bâti’Frais

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Il y a 6 ans et 15 jours

Raoul de Parisot revient à la tête du Sfic

Raoul de Parisot reprend les rênes du Sfic, après y avoir été président de 201 à 2017. [©Sfic] Déjà président du Syndicat français de l’industrie cimentière (Sfic) entre 2015 et 2017, vice-président de Cembureau, l’Association européenne du ciment, depuis 2017, c’est tout naturellement que Raoul de Parisot revient à la tête du Sfic. Il succède à Jean-Marc Junon. Pour son 2emandat, il mettra à profit son expertise sur des thématiques telles que les quotas carbone, la transition énergétique et le rôle structurant des cimenteries dans l’économie circulaire. Ingénieur de l’Ecole des mines de Nancy, diplômé en sciences économiques et en sciences de l’université de Stanford, Raoul de Parisot débute son parcours au sein d’une raffinerie du groupe pétrolier BP. Il intègre ensuite le groupe Vicat dès le début des années 1980. Raoul de Parisot y effectuera l’essentiel de sa carrière. En tant qu’ingénieur production, directeur d’usine, directeur industriel, directeur pays. Puis, directeur général adjoint, et enfin directeur général délégué de toutes les activités pour la France, l’Italie et l’Espagne, avant de mettre à profit son expérience pour conseiller le président du groupe. L’article Raoul de Parisot revient à la tête du Sfic est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 16 jours

La fissuration des ouvrages en béton – Partie 3 – La prévention

Dans les pièces massives ou longues, les fissures de retrait peuvent être très ouvertes et doivent faire l’objet d’une analyse mécanique. [©ACPresse] Toutes les études le montrent, la prévention des fissures est significativement moins chère que leur réparation. Et pourtant, les risques de fissuration ne sont pas systématiquement analysés dans les projets de construction. Paul Acker montre ici comment on peut évaluer ces Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne L’article La fissuration des ouvrages en béton – Partie 3 – La prévention est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 16 jours

La fissuration des ouvrages en béton – Partie 2 – le diagnostic

La simple observation du tracé des fissures fournit souvent suffisamment d’informations (position, orientation, espacement) pour en comprendre la cause. [©Oxand] Dans la première partie, nous avons rappelé que certaines fissures relèvent du comportement normal d’un ouvrage en béton et montré pourquoi – et dans quelles limites – celles-ci ne dégradent pas la durabilité de Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne L’article La fissuration des ouvrages en béton – Partie 2 – le diagnostic est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 16 jours

Milwaukee étoffe sa gamme de marteaux démolisseurs filaires

Le nouveau marteau démolisseur Milwaukee K 1528 H développe une force de frappe de 39 J et une cadence de 1560 cps/mn. [©Milwaukee] Milwaukee étoffe sa gamme de marteaux démolisseurs filaires, avec trois nouveaux outils puissants et performants : K 1528 H, K 1530 H et K 1000 S. Ils sont destinés aux travaux de démolition dans le béton, la pierre, la brique ou l’asphalte. Les Milwaukee K 1528 H et K 1530 H sont deux nouveaux marteaux démolisseurs ultra performants dans la catégorie 15 kg. Ils développent une force de frappe de 39 J et une cadence de 1560 cps/mn, assurant ainsi une progression rapide dans les travaux de démolition de dalles de béton et de fondations. Leur design longiligne est idéal pour les travaux de démolition au sol et les burinages intenses. Le Milwaukee K 1000 S est un nouveau démolisseur SDS Max dans la catégorie 10 kg. Il est très proche des deux précédents modèles d’un point de vue ergonomique. Et est équipé d’un emmanchement SDS Max et d’une mécanique puissante, délivrant une force de frappe de 26 J et une cadence de 1 950 cps/mn pour une vitesse d’exécution du travail très rapide. Sa compacité est idéale pour les travaux de démolition verticale et les burinages intenses. Il est pourvu d’un variateur de vitesse électronique pour ajuster la cadence de frappe en fonction de la tâche à accomplir. Sa fonction Variolock rend possible l’orientation du burin sur 12 positions différentes pour trouver l’angle d’attaque optimal sur le matériau. L’article Milwaukee étoffe sa gamme de marteaux démolisseurs filaires est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 16 jours

567 Lanko Bloc & Brique destiné au montage à joints minces

567 Lanko Bloc & Brique, le premier mortier destiné au montage à joints minces de maçonneries en blocs de béton ou en briques de structure rectifiées. [©Parexlanko] 567 Lanko Bloc & Brique fait partie de l’offre “La sélection 100 % artisans”, conçue par Parexlanko pour répondre aux attentes des professionnels du bâtiment en “diffus”. Ce mortier polyvalent est facile à mettre en œuvre. Il assure un montage rapide, précis et efficace, tout en optimisant la consommation de mortier. En effet, ne nécessitant pas d’adjonction d’accélérateur à basse température, il offre une grande flexibilité d’emploi été-hiver. Pour s’associer aux différents matériaux de maçonnerie de destination, 567 Lanko Bloc & Brique se présente sous forme de poudre grise ou rouge. Il permet de réaliser des joints minces (1 à 3 mm) en construction neuve, maison individuelle et collectif. Classé M10, il est conforme à la norme NF EN 998-2 et satisfait aux exigences du DTU 20.1. Pour les briques de structure rectifiées en terre cuite, il bénéficie de procès verbaux d’adhérence réalisés sur une sélection représentative du marché “diffus”. L’article 567 Lanko Bloc & Brique destiné au montage à joints minces est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 16 jours

Betonstar : Hansa Location décroche l’exclusivité

C’est Hansa Location, qui distribue à présent Betonstar en France. [©ACPresse] Betonstar est un industriel turc spécialiste de la pompe à béton automotrice et stationnaire, du malaxeur-pompe et du mât de distribution. L’entreprise est née en 2008 et dispose aujourd’hui d’une usine, se développant sur 10 ha, basée à Izmir Torbali, sur la côte Ouest du pays. La gamme Betonstar compte en particulier neuf pompes automotrices, allant de la BST 20.90-4ZR, une machine équipée d’une flèche de 20 m, à la BST 58-14-7RZ, haut de gamme de la ligne avec sa flèche de 58 m.  Aujourd’hui, la marque turque a fait le choix de sortir de ses frontières nationales pour partir à la conquête de l’Europe. C’est le Polonais Hansa, qui a en décroché l’exclusivité de la distribution pour le marché européen. Ainsi, en France, sa filiale Hansa Location assure dès à présent la prestation de vente et le service après-vente, qui y est associé. Ceci, depuis sa base de Somain, dans le Nord. Bien que quelques machines Betonstar tournent déjà sur le territoire national, la première pompe vendue dans le cadre de ce nouveau partenariat est une BST 37.14-RZ. Elle vient d’être acquise par Delta Pompage. Une dizaine d’autres machines ont suivi le même mouvement et sont aujourd’hui livrées ou en cours de livraison. Sans compter celles encore, dont l’achat est encore en phase de négociation…  L’article Betonstar : Hansa Location décroche l’exclusivité est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 16 jours

Paschal : La relève s’appelle Neorast

Avec Neorast, Paschal dévoile le successeur potentiel de son Treillis. [©ACPresse] Neorast est le nom du tout nouveau système de coffrage vertical lancé par Paschal. Léger et polyvalent, il s’inscrit entre le Treillis et la Logo.3. Il est d’ailleurs compatible avec le premier. Et il n’est pas exclu qu’il le remplace à terme… Les panneaux du Noerast présentent une épaisseur de 7,50 cm, comme le Treillis. La principale caractéristique du produit est sa résistance : 50 kN/m2, soit 40 % de mieux que le Treillis. De quoi répondre à la majorité des besoins sur chantier. Ceci, pour un poids en recul de 25 %, toujours comparé au Treillis. Comme avec son aîné, l’assemblage entre panneaux se fait à l’aide d’une goupille. Mais la jonction par bride sera aussi possible. De même, les trous oblongs intégrés au cadre permettent un décalage entre panneaux, pour les ajuster en hauteur. L’élément de base est de 90 cm x 150 cm. Et le plus grand se développe sur 180 cm x 300 cm.  L’article Paschal : La relève s’appelle Neorast est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 22 jours

Fuite de laitance dans la Seine : Vinci a mené son enquête

Selon Vinci « les écoulements n’étaient pas du béton ». [©ACPresse] Il y a un mois, Europe 1 diffusait un reportage dans lequel Vinci est accusé d’avoir déversé du béton dans la Seine [Lire notre article à ce sujet]. L’entreprise avait alors admis une fuite de laitance en provenance de la centrale de Nanterre alimentant les chantiers du projet “e-déf, Eole-La Défense”. Après une enquête menée en interne, Vinci a diffusé ses conclusions. « Les premières constatations sur place ont permis de montrer que les écoulements n’étaient pas du béton mais de l’eau grise chargée de sable et de traces de ciment désactivé, c’est-à-dire ayant perdu ses capacités d’adhésion, explique l’entreprise dans un communiqué de presse. Une dizaine de mètres carrés de talus végétal ont été teintés par une fine couche grisée et un dépôt de sable comportant des traces de ciment sans cohésion s’est déposé en pied de quai dans le lit de la Seine sur une surface d’environ 20 m² et une épaisseur variable de 5 à 20 cm. La quantité de matière déversée dans la Seine est donc estimée à moins de 5 m3, contrairement aux milliers de m3 annoncés dans les médias. » Vinci a aussi annoncé avoir réalisé des prélèvements sur le point de déversement ainsi que quelques mètres en aval et en amont. La société affirme que les résultats de ces analyses montrent que les matériaux prélevés sont inertes et que les échantillons d’eau ne présentent aucune trace de pollution anormale en lien avec l’incident. « Vinci regrette vivement cet incident qui résulte de dysfonctionnements ayant conduit à une sous capacité des installations de lavage des bétons. La centrale de production de béton a été placée à proximité de la Seine, à 5 km du chantier, afin d’assurer une livraison de 80 % des matériaux par voie fluviale et ainsi minimiser le trafic routier et l’impact CO² lié aux transports par camion. Les bétons qui ne peuvent atteindre le chantier dans un délai de 2 h sont  systématiquement retournés à la centrale pour être désactivés. » Par courrier daté du 10 mai 2019, à l’attention de Madame Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, Vinci s’est engagé à remettre en état la partie de la berge de la Seine concernée après en avoir obtenu l’autorisation. « Celle-ci se fera en lien avec les services de l’Etat, le Port autonome et toutes les parties prenantes. » L’article Fuite de laitance dans la Seine : Vinci a mené son enquête est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 23 jours

Jean Nouvel, défenseur du béton sur Europe 1

Jean Nouvel défend le béton sur Europe 1 [©Christopher Ohmeyer/Wikipedia] Elections européennes obligent, toutes les émissions politiques étaient rentrées dans ce qu’on appelle la période de réserve. Pour ne pas influer sur les votes, Le Grand Rendez-Vous d’Europe 1 du dimanche 26 mai 2019 a donc choisi de ne pas parler politique. Du moins pas directement, en invitant l’architecte Jean Nouvel. Personnalité iconique, l’architecte a été récompensé du prix Pritzker en 2008, qui distingue le travail d’un architecte vivant ayant montré, à travers ses projets et ses réalisations, les différentes facettes de son talent. Et qui a eu un apport significatif à l’architecture… A Paris, Jean Nouvel est connu pour avoir construit l’Institut du Monde Arabe (1978). Mais aussi, la Fondation Cartier (1994), le musée des Arts premiers (2003) ou encore la Philharmonie (2015). A l’international, l’architecte vient de livrer le nouveau musée national du Qatar, dont la forme est inspirée par d’un rose des sables. En 2017, ce fut le musée du Louvre Abou Dabi, qui ouvrait ses portes aux Emirats arabes unis.  Le béton est un des matériaux les plus écologiques Sur Europe 1, “l’organisation de la cité” a constitué le fil conducteur de l’entretien menée par la journaliste Hélène Jouan, entourée de Nicolas Barré, des Echos, et de Romain Desarbres, de CNews. A la 30emn de l’échange, la question du béton a été abordée par Nicolas Barré : « Est-ce qu’on utilise trop de béton aujourd’hui ? On m’a parlé des tours qui nécessitent beaucoup de béton. Il y a aussi des projets de tours en bois, à la place du béton. Cela pourrait-il être une option. Finalement, est-ce qu’une tour peut vraiment être écologique ? » Et Jean Nouvel, de répondre : « Tout d’abord, je défends le béton. On dit toujours “du béton, du béton, du béton”, mais que ce soit en métal, en bois… ce sont toujours des bâtiments, des mètres carrées… Cette formule est un peu péjorative. Le béton est un matériau qui ne mérite pas ça ! » Hélène Jouan poursuit : « Mais le béton, c’est de l’eau, du sable. Ce sont des matières naturelles, dont on peut manquer… » Ce que confirme Jean Nouvel, quant à l’aspect naturel du béton :« Oui, mais le béton est un des matériaux les plus écologiques, de ce côté-là. Il est fait pour l’essentiel avec du sable… » Retrouvez l’intégralité de l’entretien avec Jean Nouvel, sur Europe 1 en suivant le lien. L’article Jean Nouvel, défenseur du béton sur Europe 1 est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 23 jours

Bertrand Collomb, l’ex-Pdg de Lafarge, est mort

Bertrand Collomb, l’ex-emblématique président de Lafarge, est décédé le 24 mai 2019. [©ACPresse] Bertrand Collomb est décédé le vendredi 24 mai 2019, dans sa 76eannée. De 1989 à 2003, il a été l’emblématique Pdg du groupe Lafarge, qu’il avait rejoint dès 1975. Puis il en a été le président, jusqu’en 2007, puis administrateur jusqu’en 2012. Bertrand Collomb avait conduit le développement international du groupe. Celui-ci était devenu ainsi n° 1 mondial du ciment, avec une présence dans plus de 80 pays. Dans le groupe Lafarge, Bertrand Collomb avait milité pour le respect des valeurs de développement durable et de l’environnement. Ancien élève de l’Ecole polytechnique (promotion 1960) et de l’Ecole des mines de Paris (licencié en droit), Bertrand Collomb a obtenu un PhD (docteur en philosophie) de management à l’Université du Texas. De 1966 à 1975, il occupe des postes dans l’administration au ministère de l’Industrie. Là, il est ingénieur du corps des mines à Metz (1966-1970), puis adjoint de Maurice Allègre, délégué à l’informatique. Ce dernier lui confie le développement de l’enseignement de l’informatique en France (1971-1973). Lafarge, un leader des matériaux de construction En parallèle, Bertrand Collomb fonde le centre de recherche en gestion de l’Ecole polytechnique. Il en céda la responsabilité à Michel Berry en 1974. Entre 1973 à 1975, il est conseiller technique dans des cabinets ministériels d’Alain Peyrefitte, puis de René Haby (éducation). En 2015, afin de respecter la limite d’âge usuelle de 75 ans, Bertrand Collomb avait pris la décision de ne pas se représenter à la réélection au conseil d’administration de LafargeHolcim. A cette occasion, Beat Hess, président du conseil d’administration du groupe suisse, avait déclaré : « A diverses positions, Bertrand Collomb a contribué au succès de Lafarge puis, de LafargeHolcim. Sous sa direction, Lafarge est devenu un leader du marché des matériaux de construction. Je souhaite le remercier au nom du conseil d’administration et de tous les collaborateurs ». L’article Bertrand Collomb, l’ex-Pdg de Lafarge, est mort est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 23 jours

Des étudiants imaginent une nouvelle vie pour la Maison Coignet

Près de 280 étudiants de l’ESTP Paris ont planché sur la réhabilitation de la Maison Coignet. [©ESTP] Quelque 280 élèves de 2e année à l’ESTP Paris ont planché durant 6 mois sur le thème “Une nouvelle vie pour la Maison Coignet” [Lire notre article à ce sujet]. Une initiative portée par la Chaire Ingénierie des bétons de l’ESTP, qui fête d’ailleurs ses 5 ans d’existence, en partenariat avec l’Ecole Française du Béton. Les étudiants des spécialités “bâtiment” et du bi cursus “ingénieur/architecte”, ont ainsi répondu à l’appel à projet lancé par l’association la Maison Coignet. Par groupe de 6, les élèves ont dû suivre 4 axes pour imaginer cette réhabilitation avec les enjeux de notre époque. La dimension sociale et sociétale, l’innovation, l’économie circulaire et l’image du béton/cadre de vie ont guidé ces mois de recherches. Encadrés par une équipe pédagogique (enseignants et professionnels), les étudiants de l’ESTP Paris ont aussi assisté à des conférences pour constituer leur projet. Au programme de ces rendez-vous, les thématiques de l’innovation, la réhabilitation, l’éco-conception, les smart building, le BIM, les nouvelles solutions constructives en béton ont été abordés. Par groupe de 6, les élèves ont dû suivre 4 axes pour imaginer cette réhabilitation avec les enjeux de notre époque. [©ESTP] Après une sélection parmi les 48 équipes, 8 ont été choisis pour soutenir leur projet devant les membres de la Chaire Ingénierie des Bétons. Deux ont été retenus : – La maison du Street Art : Ici, la Maison Coignet a été imaginée comme un grand atelier. Ce centre de formation pour les artistes de Street Art, met en lumière un lieu d’expression à l’échelle 1. – Le projet E-Coignet : Il décrit un écosystème où se mêlent innovation, recherche et éco-conception pour un retour de la nature en ville. Les lauréats porteront les couleurs l’ESTP Paris à l’occasion du concours “Les génies de la construction”, qui tend à sensibiliser les étudiants aux “territoires intelligents” et au développement durable de façon générale. Le jury composé de représentants du ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur, de professeur et d’acteurs de la construction remettra ses prix le mardi 4 juin. L’article Des étudiants imaginent une nouvelle vie pour la Maison Coignet est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 23 jours

François Coignet : Précurseur de la préfabrication

Située à Saint-Denis (93), la Maison de Coignet est Classée Monument Historique depuis 1998 et nécessite d’importants travaux de rénovation. [©Mossot] Né en 1814, François Coignet a favorisé l’essor du béton armé moderne en contribuant à la mise au point de nouveaux processus industriels de production et de commercialisation de ce matériau. Il a mis aussi au point le “béton aggloméré” sans addition systématique d’armatures. Son but était d’obtenir un matériau bon marché, mais solide. Cela rejoint son engagement social. Car François Coignet a joué aussi un rôle important dans le mouvement fouriériste prônant une société communautaire. Une série de brevets relatifs à la fabrication de la “pierre artificielle”, est déposée à partir de 1854. Issu de l’industrie chimique, Coignet décide alors Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne L’article François Coignet : Précurseur de la préfabrication est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 28 jours

La Rhodia – Dernières heures des bâtiments

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Il y a 6 ans et 33 jours

Le père de la Pyramide du Louvre, Ieoh Ming Pei est mort

Ieoh Ming Pei a signé la Pyramide du Louvre. [©ACPresse] Agé de 102 ans, l’architecte sino-américain Ieoh Ming Pei nous a quittés ce jeudi 16 mai. Il laisse partout dans le monde, de l’Asie au continent américain en passant par l’Europe, des réalisations, témoins de sa vision architecturale. Avec un dessin qui s’inscrit dans une modernité certaine, tout en flirtant avec le classicisme pour toujours rappeler les racines d’un projet et de son environnement. Né à Canton, en Chine, en 1917, il part en 1935 aux Etats-Unis où il obtient un diplôme du MIT et de design à l’Université d’Harvard. Là, il fait partie de l’atelier de Walter Gropius, fondateur du Bauhaus. Professeur assistant à Harvard, directeur d’architecture dans le cabinet Webb & Knapp, il enchaîne les missions avant de créer sa propre agence, I.M. Pei et associés, en 1955. Les projets se succèdent, tout d’abord aux Etats-Unis, puis partout dans le monde. [©ACPresse] L’architecte sera de nombreuses fois distingué pour son travail, notamment par un prix Pritzker en 1979, la médaille d’or de l’Institut américain d’architecture et en 1981, la Grande médaille d’or de l’Académie française d’architecture. Ieoh Ming Pei a notamment réalisé, la bibliothèque J.F Kennedy, à Boston (1982), la Banque de Chine, à Hong Kong (1989), ou encore l’annexe du musée historique allemand (2003) ou le musée d’art islamique à Doha (2008). Il y a des réalisations qui divisent les raisons. Ainsi, lorsque Ieoh Ming Pei propose une pyramide de verre à François Mitterrand pour repenser le Grand Louvre, les Français se passionnent, entre effroi et émerveillement… Plus d’une trentaine d’années après, qui imaginerait le Louvre sans sa Pyramide, majestueuse, et ses hordes de touristes, qui posent fièrement le doigt en l’air pour (presque) en toucher sa pointe. Qui pourrait rentrer sous la place du Carrousel, sans apprécier cette pyramide inversée de 180 t… Ces anecdotes de vie, cet étonnement lorsqu’on découvre le site pour la première fois et cet enthousiasme quand nous, Parisien, lui rendons visite, comme à une vieille amie, resteront dans la prospérité. Merci pour ces émotions M. Pei. L’article Le père de la Pyramide du Louvre, Ieoh Ming Pei est mort est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 34 jours

Cemfluid change de mains

Vincent Jaume vient de reprendre Cemfluid. [©Cemfluid] Cemfluid a été reprise par Vincent Jaume. Rattachée au groupe Mirbat depuis sa création en 2016, l’entité est spécialisée dans la production de chapes fluides ciment. L’opération s’est déroulée à la fin du mois de février dernier. « La reprise concerne la société et intègre tous les Avis techniques des chapes fluides Fullchap et Fullchap C, ainsi que la marque elle-même », confirme Vincent Jaume. La transaction comprend aussi le tout nouveau procédé d’isolation acoustique par projection Phonispray. Sont développement sera poursuivi. « Aujourd’hui, Cemfluid, ce sont 40 centrales à béton partenaires et 6 centrales mobiles en service sur le territoire national. Pour l’essentiel, dans le Sud de la France. ». Ce réseau est voué à se développer de manière plus conséquente. Afin d’atteindre cet objectif, Vincent Jaume adopte une nouvelle approche industrielle. Et ce, à travers la demande de nouveaux Avis techniques au CSTB. Ce qui sous-entend le développement de nouveau produits. La première chape fluide, qui bénéficiera de cette approche est la future Fullchap SPC. Annoncée pour l’automne dernier, cette C16-F3 sera finalement mise sur le marché courant 2019. La cession de Cemfluid a fait prendre du retard au dossier… L’article Cemfluid change de mains est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 35 jours

Peri : SkyMax et accessoires en développement

SkyMax constitue une nouvelle approche du coffrage de dalles pour Peri. [©ACPresse] Au niveau de son stand à l’occasion de la Bauma, Peri avait vu les choses en très grand, comme à son habitude. Le lieu était organisé autour une sorte d’arène de démonstration, dont le pourtour, une sorte de coursive en pente douce, dévoilait produits existants et innovations. C’est là, au niveau de la 3e ou 4e halte que le visiteur pouvait découvrir le SkyMax. Ce coffrage de dalles s’articule autour de panneaux coffrants de 2 m x 1 m, déclinés en deux versions : une classique cadre aluminium et CP bakélisé, ou un inédit cadre et peau composite. Mais l’originalité du système vient de la tête de décintrement, qui permet de donner une méthode à la phase de décoffrage : on réalise l’opération par petites zones. Ainsi, ce dispositif assure le remplacement logique et sécurisé des étais de coffrage par des étais de séchage. Une autre halte pouvait se faire en rez-de-chaussée, sous la coursive. Cette zone dévoilait ce que Peri appelle l’activité “Components” ou “Accessoires”. Afin d’aider ses clients, l’industriel propose toute une série d’éléments complémentaires au coffrage, regroupés en trois catégories. La ligne “A” réunit les accessoires classiques de coffrage, comme les étais de la marque. Vient ensuite la ligne “B”. Y sont rassemblés des produits dits “d’entrée de gamme” (étais, poutrelles…) destinés à la vente et pour des usages limités. Enfin, la ligne “C” compte les accessoires destinés à rester dans le béton, comme les cales d’armatures, les goupilles de fixation… Ces produits ont été sélectionnés par Peri et certains sont même fabriqués spécialement pour lui. L’idée de l’activité “Components” est de proposer tout ce dont les clients peuvent avoir besoin sur leurs chantiers et que Peri pourra livrer en même temps que le coffrage. L’article Peri : SkyMax et accessoires en développement est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 35 jours

La fissuration des ouvrages en béton – Partie 1

Les pionniers du béton armé n’ont guère été confrontés aux questions de durabilité. Celui-ci a donc conservé une image de matériau “éternel” jusque dans les années 1960. Mais cette image n’est plus, tombée, non pas à cause des fissures (qui n&rsquo;avaient conduit à aucune pathologie notable), mais à cause de la trop forte porosité des bétons d&rsquo;après-guerre, qui utilisèrent à grande échelle la bétonnière. [©DR] Certaines fissures sont inévitables dans un ouvrage en béton : les fissures de flexion, qui font partie du fonctionnement mécanique des poutres en béton armé, et certaines fissures de retrait, en peau et dans les angles rentrants. Dans cette première partie, nous expliquons comment identifier ces fissures et s’assurer qu’elles ne présentent aucun risque pour les armatures et pour la durabilité de l&rsquo;ouvrage. La partie II, à retrouvez prochainement, montrera comment identifier, expliquer et traiter les fissures qui présentent un risque. 1 &#8211; Pourquoi certaines fissures sont inévitables&nbsp;? Deux types de fissures, au moins, sont inévitables dans les ouvrages en béton armé (BA) : les fissures de flexion dans les poutres et les fissures de peau dues aux retraits du béton. On les identifie grâce à leur position et à leur pattern (forme et paramètres géométriques) qui en constituent une véritable signature [Lire description dans l’encadré “Les fissures de fonctionnement du béton armé”]. Lorsque les règles de l’art sont respectées, ces fissures n&rsquo;altèrent pas la durabilité de l&rsquo;ouvrage, parce que ces règles (de dimensionnement, de formulation et de mise en œuvre) ont pris en compte les questions de durabilité et ont été, au fil de l&rsquo;expérience (plus d&rsquo;un siècle, en France), ajustées, corrigées, calibrées pour cela. L&rsquo;essentiel est de contrôler l&rsquo;ouverture des fissures, car, au-dessus d’un certain seuil, la protection des armatures contre la corrosion cesse d&rsquo;être assurée. Les règlements du BA définissent donc des classes d’environnement et fixent, pour chacune de ces classes, des limites aux ouvertures de fissure. Les Eurocodes, par exemple, limitent une ouverture à 0,3 mm sous combinaison quasi-permanente pour des surfaces de béton exposées aux intempéries extérieures courantes. Ces fissures sont nécessaires au fonctionnement économique du béton armé&nbsp;: en effet, quels que soient son âge et sa résistance, un béton fissure dès qu&rsquo;il atteint un allongement de l’ordre de 0,15 mm/m (150 x 10-6 ou 0,15 ‰). Or, tant que le béton ne fissure pas, l’allongement de l’acier reste égal à celui du béton et sa tension ne dépasse donc guère 30 MPa, soit à peine 10 % de ses capacités. Le béton armé n’aurait donc pas du tout la performance mécanique qu’on lui connaît (ni son coût&nbsp;!), si on n&rsquo;acceptait pas que le béton des poutres BA soit fissuré. 2 &#8211; Pourquoi, en dessous d’une certaine ouverture, ces fissures sont-elles sans danger&nbsp;? Aujourd&rsquo;hui, on peut expliquer la pertinence physique de cette valeur de 0,3 mm de la manière suivante : sous l&rsquo;effet des variations climatiques (température et hygrométrie) et des précipitations, la teneur en eau dans la fissure et dans les pores qui l’entourent, varie en permanence de manière cyclique. Quand il pleut, l’eau peut pénétrer dans les fissures de surface et lorsque l’humidité augmente ou la température baisse, de l’eau peut condenser dans les fissures les plus fines. Or, en dessous d’une certaine ouverture, les forces capillaires sont telles que l’eau liquide ne peut se déplacer, ou alors uniquement vers des pores plus fins, mais jamais vers la surface. Exemple de faïençage de la façade d’un immeuble parisien. [©ACPresse] Et comme l’air et la vapeur ne véhiculent pas d’ions, les mouvements d’eau et d’humidité ne peuvent pas modifier la chimie locale, en particulier la teneur en chaux et le pH du matériau, qui sont essentiels à la protection des armatures. S’agissant de la carbonatation, plusieurs études ont montré que la fissuration n’ajoutait rien à l’effet de la porosité (il suffit de penser aux ordres de grandeur respectifs : la porosité d’un béton, qui carbonate, dépasse 15 % du volume total, la fissuration n’atteint jamais 0,2 %). Par contre, au-delà d’une certaine ouverture, les forces capillaires ne sont plus suffisantes et l’eau peut circuler à l’intérieur de la fissure et déplacer des ions (processus de lixiviation), ce qui peut conduire, à terme, à une chute du pH et, par suite, à la corrosion des armatures. Un processus que l’on ne sait plus maîtriser. C&rsquo;est pourquoi ces valeurs limites doivent être respectées. En même temps, ceci montre que toute autre fissure, de retrait par exemple, tant que son ouverture reste dans les mêmes limites, ne met pas non plus en danger la durabilité de l’ouvrage. Les fissures de fonctionnement du béton armé Les schémas de fonctionnement des différents éléments de structure en béton armé (poutre, dalle, poteau, tirant, etc.) sont connus. Ils sont à la base des calculs de dimensionnement Fissuration du tirant: En partie courante, on est toujours en traction simple, et, sauf dimensionnement particulier (et alors non économique), le béton est toujours fissuré. Les fissures sont planes, parallèles et régulièrement espacées. On peut montrer que cet espacement est compris entre une fois et deux fois la longueur d’ancrage des armatures (qui varie de 30 à 60 cm selon leur diamètre). En fait, on constate que la dispersion des espacements est très faible, le plus souvent parce que les fissures se localisent sur les armatures transversales (cadres ou épingles) qui constituent, pour ces fissures, des points d’amorçage. Fissuration du tirant.[©Paul Acker] Fissuration de la poutre isostatique (typiquement sur deux appuis simples) : celle-ci est fissurée dans la partie inférieure de la zone centrale (en longueur, la distribution des tractions a l’allure d’une parabole, donc elle est maximale au centre et est relativement uniforme dans le tiers central) et l’on peut affirmer, en fonctionnement normal, trois choses de plus : Fissuration d’une poutre isostatique. [©Paul Acker] a - Les fissures ne doivent pas remonter au-dessus de l'axe neutre (en vert), au-dessus duquel le béton est en compression (en bleu). Seul, l'acier est en traction (en rouge).b - elles sont espacées de manière régulière, de 20 à 60 cm selon le diamètre des armatures, elles-mêmes liées à la taille de la poutre et à l’espacement des cadres) ;c - leur ouverture doit être inférieure à 0,3 mm, parce que le règlement a été conçu et calibré pour cela.Tout écart par rapport à ces trois règles est dû à une autre cause. Fissuration de la poutre hyperstatique (poutre continue ou encastrée sur ses appuis) : la zone des tractions inférieures est juste un peu moins longue (la parabole des moments est décalée vers le haut, avec des pics sur les appuis), et on a des tractions en face supérieure au niveau des appuis. Ces fissures sont moins visibles que les précédentes. Soit parce que la dalle est en béton et collabore dans une plus grande largeur (table de compression). Soit parce qu’une fissure se localise dans l’angle avec le poteau du niveau supérieur. Dans les ponts, ces fissures aux appuis sont plus sensibles aux variations climatiques. Sur les dalles, les fissures sont plus rapprochées, donc d’autant moins ouvertes. [©ACPresse] Le cas de la dalle : pour l’essentiel, le fonctionnement est celui de la poutre, sauf que l’axe neutre étant le plan médian, les fissures sont peu profondes (< d/2, où d est l’épaisseur). Et, par conséquent [Lire encadré “Le séchage du béton”], la distance entre deux fissures ne peut pas dépasser l’épaisseur de la dalle. Elles sont donc plus rapprochées que dans les poutres et d’autant moins ouvertes. &nbsp; 3 &#8211; Pourquoi la peau du béton est-elle toujours fissurée&nbsp;? S&rsquo;agissant du retrait de dessiccation, il faut mettre à part le cas des bétons de hautes performances (BHP) et des fibrés de fibres à ultra hautes performants (Béfup). Lorsque le rapport E/C initial est inférieur à 0,40, la seule hydratation du ciment fait chuter l’humidité interne et, dès que celle-ci passe en dessous de l’humidité ambiante, ces bétons ne perdent plus d’eau par dessiccation. Ces bétons font bien du retrait (retrait d&rsquo;auto-dessiccation), mais ce retrait est uniforme et ne génère pas (ou très peu) de contraintes internes, ni d’effets de surface. Ce type de retrait ne provoque des fissures que lorsque le béton est coulé en place (ou coulé en plusieurs phases) par un effet de retrait gêné, qu’on appelle restreinte et qu’on peut quantifier par le rapport entre la rigidité mécanique de la pièce qui fait du retrait et celle de la structure qui s’y oppose. L’analyse élastique d’une plaque présentant un angle rentrant montre que la contrainte, au voisinage de cet angle, tend vers l&rsquo;infini. C&rsquo;est la raison pour laquelle, avec et sans armature, l’amorce d’une fissure existe toujours dans ce type d&rsquo;angle, pour peu que le retrait soit gêné. L’armature n’empêche pas le départ de la fissure, mais elle peut seulement en limiter l&rsquo;ouverture. [©Lafarge] Par contre, les bétons qui ont des rapports E/C initiaux supérieurs à 0,40 sont toujours en déséquilibre avec l’humidité ambiante. Le processus de séchage peut durer plusieurs décennies et le retrait produit d’abord des tractions en surface [Lire encadré “Le séchage du béton”]. Ainsi, sur un voile de 20 cm d’épaisseur, la profondeur de ces fissures ne peut dépasser 5 cm (car il ne peut y avoir de tension en surface sans compression dans l’intérieur pour équilibrer ces tensions), leur densité reste donc élevée et leur ouverture rarement visible. Ce n’est pas le cas sur les pièces de plus grande épaisseur ou sur les dallages, où ces fissures apparaissent alors à l’œil, sous la forme bien connue de faïençage. 4 &#8211; Pourquoi les fissures dans les angles rentrants&nbsp;? Sauf dans le cas (improbable dans les conditions du BTP) d’une sollicitation parfaitement isotrope, les équations de la Mécanique des solides montrent qu’au voisinage d’un angle rentrant (c’est-à-dire supérieur à 180°, côté béton), les contraintes tendent vers l&rsquo;infini. Le séchage du béton Evolution de la teneur en eau dans un mur en béton. [©Paul Acker] Le processus de séchage du béton, qui génère un retrait, est extrêmement lent. Dans un mur, par exemple, il se déroule en deux phases : dans une première période (courbes A, B et C), il n'affecte que la surface et ne génère que des fissures de peau, dont la profondeur ne peut pas dépasser la profondeur tendue, soit moins de 1 cm au bout de 5 j, de 2 cm au bout de 3 semaines, 4 cm à 3 mois et 8 cm à un an. La seconde phase (courbes C, D et E), pendant laquelle le séchage est traversant, dépend de l'épaisseur du voile : pour un voile de 16 cm d'épaisseur, il commence au bout d'un an et dure plus de 10 ans. Pour un voile de 32 cm, il faut multiplier ces chiffres par 4 et, pour une épaisseur de 1 m, par 40. Comme il est très délicat (et coûteux) de réaliser des arrondis à toutes les arêtes concaves, on a donc, sous la moindre sollicitation (le retrait n’est jamais nul, ni totalement libre), une amorce de fissure dans tous ces angles. Il faut ajouter que l’amorce de la fissure intensifie la concentration de contrainte (l’angle passe de 270° à 360°) et que sa propagation ne fait que déplacer la singularité, même si c’est, bien sûr, vers une situation qui réduit l’énergie élastique. Renfort d’armature sur un dallage désolidarisé au droit d’un poteau. [©Lafarge] C&rsquo;est la raison pour laquelle le DTU Mur prévoit toujours des renforts d’armatures aux angles des portes et des fenêtres. En fait, de tous les angles rentrants. Il suffit “d’oublier” un seul renforcement, sur un voile de bâtiment, pour que la fissure, sous l’effet du retrait gêné par son support (encastrement en pied), se localise à cet endroit. En horizontal, sur les dallages et les chapes, on a le même problème, au moindre contour de poteau, de fondation, de cheminée&#8230; Le fait que la fissure déplace la singularité géométrique avec elle explique pourquoi ces fissures peuvent être longues (et donc ouvertes et visibles), même pour de faibles valeurs du retrait du matériau. C&rsquo;est pourquoi, ces fissures dépendent beaucoup plus de la géométrie et des conditions aux limites mécaniques (encastrements et frottements) que des propriétés du matériau. Paul Acker, consultant*Ancien directeur de recherche à l’Ifsttar*Ancien directeur scientifique chez Lafarge L’article La fissuration des ouvrages en béton &#8211; Partie 1 est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 35 jours

Trimble : un Webinar dédié aux activités du béton coulé sur site

Bureaux d’études et entreprises, tirez profit de la maquette BIM avec le logiciel Tekla Structures spécialement conçu pour répondre à vos activités du béton coulé sur site. Suivez gratuitement et en rediffusion ce webinar où vous découvrirez&nbsp;: La modélisation simple et intuitive des éléments bétonLa génération de quantitatifs issus du modèleLa production de plan de coffrageLa modélisation du ferraillage 3DLa gestion et le phasage des coulages bétonLes outils pour les coffrages horizontaux&nbsp;et&nbsp;verticaux En effet, les logiciels Tekla vous permettent de planifier et gérer efficacement, de communiquer clairement et de couler le béton efficacement. Ils augmenteront votre productivité au bureau et sur le chantier, vous gagnerez du temps dans la planification du coulage et des métrés. Avec les fonctionnalités uniques de Tekla pour la manutention du béton, le logiciel permet aux entreprises de rationaliser leur travail de la pré-construction au coulage, vous serez ainsi assuré de réussir tous vos projets. Visionner l’enregistrement du webinar. L’article Trimble : un Webinar dédié aux activités du béton coulé sur site est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 35 jours

La gouvernance de Colas évolue

Hervé Le Bouc reste président du conseil d’administration, tandis que Frédéric Gardès devient directeur général du groupe Colas. [©Colas – Franck Juery] Le conseil d’administration du groupe Colas a décidé de séparer les fonctions de président et de directeur général. Ainsi, Hervé Le Bouc reste président du conseil d’administration. A 48 ans, Frédéric Gardès devient directeur général de Colas. Diplômé de l’Ecole centrale de Paris et de Polytechnique Stockholm, le nouveau Dg a débuté sa carrière en 1994 en tant qu’ingénieur travaux chez Bouygues Offshore. Entre 2002 et 2011, il poursuit son parcours chez Saipem à des postes de direction de grands projets internationaux. C’est en 2011, que Frédéric Gardès intègre Colas en tant que directeur de GTOI, filiale du groupe à La Réunion. Il prend ensuite les rênes de la direction régionale Océan indien, en 2013. Puis, dès 2015, il devient directeur général adjoint Europe du Nord et Moyen-Orient. En mars 2018, il a été nommé directeur général international de Colas. L’article La gouvernance de Colas évolue est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 35 jours

Les carottes ne servent pas qu’au beau teint

Le groupe de recherche du professeur Mohamed Saafi développe un nouvel additif à base de nanoparticules de carottes pour un béton plus résistant et plus écologique. [©Fond photo créé par freepik &#8211; fr.freepik.com] Les carottes à la vinaigrette, le bœuf aux carottes, le gâteau de carottes… vous l’aurez compris, la carotte se mange à toutes les sauces. Riche en vitamines et en nutriments, elle améliore la vue, donne bonne mine ou rend aimable paraît-il… Tous les bienfaits de ce légume n’intéressent pas que les gastronomes et les professionnels de la santé. Et quand les ingénieurs s’en emparent, c’est pour rendre le béton plus solide et plus écologique. La recette prend forme au sein de l’université de Lancaster, au Royaume-Uni, sous la houlette du professeur Mohamed Saafi et en partenariat avec l’industriel Cellucomp. Elle combine des nanoparticules de fibres de carottes (légumes-racines en général&nbsp;: carottes, betteraves), issues de l’industrie alimentaire au ciment Portland classique. «&nbsp;Ce mélange bénéficie de meilleures propriétés mécaniques et de micro-structures, et permet de moins utiliser de ciment, explique Mohamed Saafi. Cela réduit la consommation d’énergie et d’émissions de CO2 dans le processus de fabrication.&nbsp;» En effet, cette formulation joue sur plusieurs tableaux. Contrôler la performance du béton Les chercheurs ont pu démontrer que les nanoparticules de légumes-racines augmentent la quantité de silicate de calcium hydraté – substance qui contrôle la performance du béton – et stoppent l’apparition de fissures. Durant les essais de validation, le dosage de ciment Portland a ainsi été réduit de 40 kg/m3 de béton. Dans une industrie qui souhaite considérablement diminuer ses émissions de CO2, cette innovation compte bien s’imposer comme une solution efficace. De plus, le groupe de recherche, qui durera encore 2 années, tentera de montrer que les nanoparticules de légumes-racines peuvent être ajoutées sur des structures existantes, pour renforcer la résistance des bétons. « Nous estimons que les feuilles à base de nanofibres végétales surpasseront les autres solutions de réparation, telles que la fibre de carbone. » L’étude du professeur Mohamed Saafi dispose d’un financement de 224 802 € du programme européen Horizon 2020. A l’issue de ces 2 ans de recherche, le groupe compte approfondir les connaissances acquises durant les tests de validation de principe et optimiser les performances du béton. Et ce, pour trouver la recette parfaite applicable au secteur de la construction. L’article Les carottes ne servent pas qu’au beau teint est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 35 jours

Xella lance Yfotor, une nouvelle armature métallique

Xella lance Ytofor, une armature métallique conçue pour renforcer les murs maçonnés et leur conférer un comportement mécanique supérieur. [©Xella] Xella lance Ytofor, une armature métallique conçue pour renforcer les murs maçonnés. Cette solution permet la suppression des chaînages en mur coupe-feu et améliore la résistance mécanique des murs en maison individuelle. Constituée d’une maille de 14 câbles d’acier tressés renforcés par de la fibre de verre, Ytofor s’intègre dans le joint de colle entre les blocs de béton cellulaire pour réaliser une structure de maçonnerie plus durable. A la fois très résistante et très souple, cette armature conditionnée en rouleaux est facile à stocker, à transporter, à dérouler et à découper. Sa mise en œuvre est très simple pour les maçons. L’article Xella lance Yfotor, une nouvelle armature métallique est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 36 jours

Ultracut A4 : Nouvelle vis à béton signée Fischer

Aujourd’hui, Fischer enrichit sa gamme de vis à béton Ultracut, avec une nouvelle référence : l’Ultracut. [©Fischer] Aujourd’hui, Fischer enrichit sa gamme de vis à béton Ultracut, avec une nouvelle référence : l’Ultracut A4. Cette dernière est e, acier inoxydable, ce qui garantit une très haute protection contre la corrosion. Elle assure donc une haute performance dans les zones humides et les applications en extérieur. Cette nouvelle vis à béton permet une installation encore plus rapide, plus facile et plus sûre.Son embout rouge est renforcé pour une installation encore plus sécurisée. Sa géométrie spéciale en dents de scie permet une coupe rapide dans le béton. Aucun trou préalable de perçage n’est nécessaire pour sa mise en œuvre dans le sol et le plafond. L’ancrage sans expansion garantit des distances au bord minimales.Rappelons que la vis à béton Ultracut dispose d’une géométrie renforcée du filetage, qui permet une installation et un démontage faciles. Et assure des charges admissibles nettement plus élevées. Elle répond aux catégories de performances sismiques C1 et C2, garantissant les plus hauts standards de sécurité.  L’article Ultracut A4 : Nouvelle vis à béton signée Fischer est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 36 jours

Dany Escudié nommée présidente du Conseil scientifique du CSTB

Dany Escudié vient d’être nommée présidente du Conseil scientifique du CSTB. [©CSTB] Dany Escudié vient d’être nommée présidente du Conseil scientifique du CSTB. Avec pour mission d’accompagner le développement des partenariats avec les laboratoires de recherche, de renforcer les complémentarités et de promouvoir l’interdisciplinarité. Directrice de recherche au CNRS, Dany Escudié est spécialiste de thermique et d’énergétique. « Elle souhaite contribuer à la valorisation des compétences pluridisciplinaires du CSTB et à leur articulation avec le monde académique. Elle ambitionne aussi d’accompagner l’évolution des plates-formes et grands équipements d’essais, qui soutiendront, aux niveaux national et international, le rayonnement du CSTB dans le domaine de la recherche », peut-on lire dans un communiqué de presse. Nommée pour 5 ans à la présidence du Conseil scientifique, dont elle est membre depuis sa création, Dany Escudié aura pour principales missions :&#8211; d’acompagner le développement de la vision prospective du CSTB ;&#8211; de développer des partenariats avec les laboratoires ;&#8211; de contribuer au pilotage scientifique de ses plateformes d’études et d’essais ;&#8211; d’accompagner le renouvellement du Conseil scientifique.Titulaire d’un doctorat de thermique énergétique (université de Rouen) et d’un doctorat ès sciences physiques (université Claude Bernard Lyon 1), Dany Escudié débute sa carrière à l’Ecole centrale de Lyon (LMFA). Elle y développe des programmes de recherche dans le domaine des écoulements turbulents réactifs.En 2003, elle élargit ses compétences au sein de l’Insa de Lyon, où elle prend la direction du laboratoire Centre de thermique (Cethil), avant de rejoindre le département Energie durable de l’Agence nationale de la recherche (ANR), qu’elle dirigera de 2011 à 2014.Membre de plusieurs conseils d’administration et conseils scientifiques, Dany Escudié accompagne les orientations scientifiques et techniques de plusieurs organismes, à l’image de l’Institut des sciences de l’ingénierie et des systèmes (Insis) du CNRS, dont elle a présidé le Conseil scientifique de 2015 à 2018. L’article Dany Escudié nommée présidente du Conseil scientifique du CSTB est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 36 jours

Green Bloc : Dispositif anti-attentat, lauréat au concours Lépine

A l&rsquo;intérieur de ce module se cache un bloc en béton armé renforcé, ayant une forme d’étoile avec des pointes en acier. Idéal pour bloquer une route et contre toute attaque bélier. [©Jean-jacques Lavoine] Imaginé par l’entrepreneur Jean-Jacques Lavoine et ses fils, Edouard et Noé, le Green Bloc est un bloc anti-attentat “déguisé” en jardinière. Il a obtenu la médaille d’argent du concours Lépine et le 2eprix décerné par la préfecture de Paris. Développé après les attentats de Nice (juillet 2016), le Green Bloc est un plot de 1 m3pour 850 kg, recouvert d’un bardage en bois ou acier et qui fait office de jardinière. Mais lorsque l’on ôte l’enveloppe, à l&rsquo;intérieur de ce module se cache un bloc en béton armé renforcé, ayant une forme d’étoile avec des pointes en acier. Idéal pour bloquer une route et contre toute attaque bélier. L’habillage extérieur des quatre parois est entièrement personnalisable, soit en bois, ou en acier, ou en plastique recyclé. Peuvent apparaître un support publicitaire ou plus simplement le blason de la ville dans laquelle il est installé. « C’est la solution de défense pour nos villes », indique Jean-Jacques Lavoine. Alliant sécurité et esthétique naturelle, le Green Bloc est personnalisable et s&rsquo;intègre dans les aménagements urbains. « Objectif : pouvoir bloquer de manière rapide, esthétique et efficace une route. » Ce bloc contient sur le dessus un bac à fleur, ou autres, de 300 l à garnir selon le choix du client. L’article Green Bloc : Dispositif anti-attentat, lauréat au concours Lépine est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 37 jours

Un iceberg de béton dans les égouts de Londres

Thames Water, entreprise de traitement des eaux au Royaume-Uni, a découvert un bloc de 105 t de béton dans les égouts de Londres. [©Thames Water] C’est sur une véritable montagne de béton que sont tombées les équipes de Thames Water, société de traitement des eaux au Royaume-Uni, lors d’un contrôle des égouts. En plein cœur de Londres, dans les conduits datant de l’époque victorienne, un bloc de 100 m de long et d’environ 105 t s’est formé, comme un iceberg dans les profondeurs de la capitale britannique. «  En temps normal, les blocages sont causés par du gras, de huile ou encore des lingettes humides…, explique Alex Saunders, en charge de l’opération d’évacuation. Ce n’est pas la première fois que nous faisons fasse à une masse de béton, mais c’est certainement la pire ! D’autant plus que le matériau s’est figé sur un égout victorien. » Près de trois canaux sont bouchés à la jonction des rues Goswell et Hall au Nord de la ville. L’évacuation manuelle du béton a déjà commencé et devrait perturber le trafic routier durant 2 mois. L’entreprise a ainsi investi dans des outils de coupe, des marteaux pneumatiques et des jets haute pression pour en venir à bout. Thames Water indique qu’une enquête est menée pour trouver le responsable de ce blocage, dont l’opération pourrait atteindre plusieurs milliers d’euros. L’article Un iceberg de béton dans les égouts de Londres est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 6 ans et 149 jours

Christian Munck, directeur commercial France de Rector Lesage

Christian Munck vient d'être est nommé directeur commercial et prescription France de Rector Lesage, industriel du spécialisé béton dans le domaine du bâtiment. L'article Christian Munck, directeur commercial France de Rector Lesage est apparu en premier sur Portail du Groupe ACPresse.