Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Bati journal

(5302 résultats)
Il y a 5 ans et 141 jours

Colle pour tout faire sur les membranes EPDM

Griffon lance une nouvelle colle à usage professionnel, l’EPDM MAX, qui fixe les membranes EPDM sur de nombreux supports en leur conférant une étanchéité hors pair. Résistante à l’eau, à l’humidité et aux intempéries, l’EPDM MAX Griffon peut aussi servir lors de travaux de réparation. Sans solvants, elle colle et/ou rend étanches tous les EPDM européens fixés sur une grande variété de matériaux comme le bois, le métal, le béton, la pierre et la mousse isolante rigide. Ce produit d’une efficacité exceptionnelle sert également à réparer les déchirures sur l’EPDM, et à rendre étanches les jonctions entre l’EPDM et d’autres supports. Elle présente une puissance de collage élevée (110 kg/cm2) associée à une résistance exemplaire à l’eau, aux intempéries, aux UV et aux écarts thermiques (– 40 °C à + 100 °C). Facile et rapide à appliquer sur des surfaces verticales comme horizontales, le produit offre une prise très rapide. Après 24 heures de pose, les éléments collés sont manipulables et la colle affiche une prise définitive au bout de 48 heures. Autres avantages : l’EPDM MAX ne rétrécit pas et ne forme pas de bulles.
Il y a 5 ans et 141 jours

Nouveau lanterneau d’éclairement zénithal et d’aération naturelle

BLUETEK innove avec Slick inside carré, nouveau lanterneau d’éclairement zénithal et d’aération naturelle pour les toitures plates et couvertures des bâtiments tertiaires, les logements collectifs et l’habitat individuel, en neuf ou en rénovation. Ce lanterneaú se décline dans 2 modèles pour répondre à tous les besoins : Slick inside carré fix pour l’éclairement zénithal, Slick inside carré Air pour l’aération naturelle. Il bénéficie d’une costière blanche en polyester avec une isolation thermique renforcée. Disponible dans de multiples dimensions, il transmet 54 % de la lumière, isole des bruits extérieurs et résiste aux chocs (1200 joules). En fonction des exigences d’isolation thermique, il est équipé d’un double ou d’un triple vitrage feuilleté. Grâce à ce vitrage performant et à une étanchéité à l’air élevée, le lanterneau apporte lumière et aération naturelle aux pièces situées sous un toit plat. Pour une grande discrétion, le mécanisme d’ouverture est invisible, puisque le vérin à chaîne est intégré à la costière.
Il y a 5 ans et 142 jours

Interview de Damien Quidet – Responsable pôle construction Itech

En direct d’Eurobois sur notre plateau Bati-journal TV, nous rencontrons Damien Quidet, Responsable du Pôle construction chez Itech qui nous présente le logiciel ACORD (Assistant de calcul par ordinateur). Invité : Damien Quidet – Responsable du Pôle construction, Itech
Il y a 5 ans et 142 jours

La Parole à French Timber sur le salon Eurobois 2020

Rencontre et découverte de French Timber au salon Eurobois. French Timber est une association qui œuvre depuis 2007 au développement des exportations françaises des sciages et produits bois français. Invités : Florence Perrucaud – Présidente de French Timber Thomas Seve – Trésorier de French Timber
Il y a 5 ans et 142 jours

Fondation France Bois Forêt Pour Notre Patrimoine

En direct du salon Eurobois 2020, nous rencontrons sur notre plateau Bati-journal TV : Michel Druilhe – Président de France Bois Forêt, Jean-Emmanuel Hermes – Directeur Général de France Bois Forêt, Bernard Lechevalier – Rédacteur en chef d’Atrium, patrimoine et restauration qui nous présentent la Fondation France Bois Forêt pour Notre Patrimoine et du lancement du concours « Forêt, bois et Patrimoine » Invités : Michel Druilhe – Président de France Bois Forêt Jean-Emmanuel Hermès – Directeur Général de France Bois Forêt Bernard Lechevalier – Rédacteur en chef de Atrium, patrimoine et restauration La Fondation FRANCE BOIS FORÊT pour notre Patrimoine Concours Forêt, bois et Patrimoine
Il y a 5 ans et 142 jours

Aménager, c’est assembler

En direct d’Eurobois 2020 sur le plateau Bati-journal TV, avec nos invités nous allons parler d’aménagement, d’assemblage, d’agencement et des dernières tendances dans ce domaine. Invités : Christophe Chenu – Gérant, Blum France Jean-Luc Fuchs – Gérant, Hettich France
Il y a 5 ans et 142 jours

Entretien avec Gil Ferrier, Enseignant Génie Industriel Bois au Lycée Professionnel Filière Bois

Aujourd’hui nous rencontrons sur notre plateau Bati-journal TV, Gil Ferrier – Enseignant Génie Industriel Bois au Lycée Professionnel Filière Bois Joseph constant à Murat, qui est venu accompagner de ses élèves dans le but de faire découvrir le salon Eurobois. Invité : Gil Ferrier – Enseignant Génie Industriel Bois au Lycée Professionnel Filière Bois Joseph constant à Murat
Il y a 5 ans et 142 jours

Le numérique et les métiers du bois

Actuellement au salon Eurobois 2020, nous allons parler avec nos invités d’un sujet d’actualité : le numérique et les métiers du bois. Invités : André Charignon – Menuisier-agenceur, Les Ateliers Charignon Laurent Mazies – Directeur Biesse France Regis Blandin – Directeur commercial, 2020 Technologies Mathieu Hugon – Responsable IEMAE (Institut européen de la menuiserie, de l’agencement et de l’ébénisterie), Les Compagnons du Devoir
Il y a 5 ans et 142 jours

Interview de Denis Roblin de Cadwork 04

En direct d’Eurobois 2020 et présenté par Stpéhane Miget, nous rencontrons sur notre plateau Bati-journal TV Monsieur Denis Roblin, Directeur Vente France chez Cadwork 04 ; un éditeur de logiciel pour la construction. Invité : Denis Roblin – Directeur Vente France,Cadwork 04
Il y a 5 ans et 142 jours

Conséquences du changement climatique sur la gestion forestière

Ce matin, en direct du salon Eurobois 2020, nous allons parler d’un sujet qui nous tient tous à cœur : les problématiques autour du changement climatique et de la gestion forestière. Pour en parler, nous recevons : Tancrède Neveu, Directeur délégué de Plantons pour l’Avenir et Samuel Resche, Chargé de mission Forêt FIBOIS Auvergne Rhône-Alpes. Invités : Samuel Resche – Prescripteur bois – Fibois-Auvergne-Rhône-Alpes Tancrède Neveu – Directer délégué, Plantons Pour l’Avenir
Il y a 5 ans et 142 jours

Où trouver les Zones de présomption de prescription archéologique ?

Sur l’ensemble du territoire national, le Code du patrimoine prévoit que certaines catégories de travaux et d’aménagements font l’objet d’une transmission systématique et obligatoire au préfet de région afin qu’il apprécie les risques d’atteinte au patrimoine archéologique et qu’il émette, le cas échéant, des prescriptions de diagnostic ou de fouille. Les catégories de travaux concernés sont : les zones d’aménagement concerté (ZAC) et les lotissements affectant une superficie supérieure à 3 ha, les aménagements soumis à étude d’impact, certains travaux d’affouillement soumis à déclaration préalable et les travaux sur immeubles classés au titre des Monuments Historiques (livre V, article R. 523-4). Créés par la loi du 1er août 2003 relative à l’archéologie préventive, les zones de présomption de prescription archéologique (ZPPA) se substituent aux zones de saisine instituées par la loi de 2001 qui elles-mêmes succédaient aux périmètres de protection archéologique pris dans le cadre du décret 86-192. L’Atlas des patrimoines recense des zones de présomption de prescription archéologique et des zones de sensibilité archéologique. http://atlas.patrimoines.culture.fr/
Il y a 5 ans et 142 jours

Un atelier de faïencerie du xviiie siècle exhumé à Rouen

Une équipe de l’Inrap intervient depuis fin septembre 2019 sur la rive gauche de la Seine à Rouen, à l’emplacement de l’ancien CFA Lanfry, dans le cadre d’un projet immobilier porté par le groupe Edouard Denis. Cette fouille permet d’étudier les vestiges d’une manufacture de faïence du XVIIIe siècle et de la filature qui lui a succédé au XIXe siècle. Dans les archives, peu d’indications sont fournies sur la faïencerie, en dehors de l’existence de deux fours, que les archéologues ont refait sortir de terre. Plutôt bien conservés, ces deux fours forment un ensemble solidaire, comprenant des parties souterraines – chambre de chauffe et alandier/foyer, ainsi que des pièces dites de service. Deux d’entre elles s’organisent autour des foyers et servent à leur entretien. Elles communiquent par des escaliers avec d’autres salles situées à l’arrière, destinées à la préparation des fournées. L’usure des revêtements de sol révèle le cheminement des ouvriers. Le bâtiment des fours dans sa totalité est estimé à 15 mètres de longueur sur 8,80 mètres de largeur ; de manière inattendue, les fours eux-mêmes sont aménagés directement au contact de la rue Saint-Julien. Diverses zones d’activité se dessinent à proximité des fours. Au nord, une vingtaine de fosses regorgent de matériel d’enfournement brisé, de morceaux de fours détériorés et de fragments de vaisselle, de vases, de fontaines murales, de jardinières et de bénitiers à différents stades de leur élaboration, certains portant déjà les décors peints. Au nord-ouest, une rangée de bacs, maçonnés ou simplement creusés dans le sable du sous-sol, sont enduits d’un revêtement blanc. Après leur abandon, ils sont comblés par des rebuts de fabrication. Au sud, les vestiges d’une maçonnerie circulaire indiquent l’emplacement probable d’un moulin à broyer les émaux. Sur le même alignement, un long bâtiment de plus de 20 mètres de longueur sur 6 mètres de largeur est divisé en quatre pièces ; l’une d’entre elles au moins livre un dépôt d’argile. Des bacs à argile ont été également retrouvés autour de ce bâtiment. Enfin à l’ouest, à la limite du jardin de la faïencerie, les archéologues ont identifié plusieurs fosses circulaires contenant des résidus argileux. Après la cessation d’activité du dernier faïencier en 1796, une filature est construite. Cet établissement est constitué d’un très grand atelier de près de 40 mètres sur 15 mètres, divisé en deux nefs par une ligne de piliers. S’y accolent des structures imposantes en calcaire destinées à servir de socle à de lourdes machines. Un bâtiment de plus petit gabarit est prolongé par une cave profonde et une autre plus modeste qui a servi de soute à charbon. Photo : La salle de préparation des fournées en cours de fouille, au premier plan la chambre de chauffe et l’alandier du four nord Paola Calderoni, Inrap Aménagement : Groupe Edouard Denis Contrôle scientifique : Service régional de l’archéologie (Drac Normandie) Recherche archéologique : Inrap Responsable scientifique : Paola Caledroni, Inrap
Il y a 5 ans et 143 jours

Interview de Nicolas Honore de Simpson Strong Tie

En direct du salon Eurobois 2020, nous rencontrons sur notre plateau Bati-journal TV : Nicolas Honore, Ingénieur prescription chez Simpson Strong Tie qui va nous parler des dernières actualités de la marque. Invité: Nicolas Honore – Ingénieur prescription chez Simpson Strong Tie
Il y a 5 ans et 143 jours

L’outillage portatif libère des contraintes chantier

En direct du salon Eurobois 2020 sur le plateau TV Bati-journal TV nous rencontrons Pierrick Auboiron, Président SECIMPAC (Syndicat des entreprises internationales de l’outillage portatif et des consommables) avec qui nous allons parler d’outillage électro-portatif. Invité : Pierrick AUBOIRON – Président SECIMPAC
Il y a 5 ans et 143 jours

Le bois et le patrimoine

Invités : Philippe JARNIAT – Responsable de marchés L’Ameublement Français Jérôme CARRAZ – Responsable de l’institut de la charpente et construction bois Les Compagnons du Devoir Sébastien FLEURY – Conducteur de Travaux SAGA Agencement
Il y a 5 ans et 143 jours

Interview de Christophe Chenu à Eurobois 2020 – gérant Blum

Aujourd’hui nous recevons sur notre plateau Bati-journal TV, installé à Eurobois, Christophe Chenu, Gérant de Blum France qui va nous parler de Blum, société spécialisée dans la conception / fabrication de charnières, coulisses et solution pour un meuble relevant. Invité : Christophe Chenu – Gérant de Blum France
Il y a 5 ans et 143 jours

Les énergies renouvelables, de plus en plus compétitives

A l’occasion des Assises de la Transition Energétique, l’ADEME a publié une mise à jour de son étude 2017 sur les « Coût des énergies renouvelables en France ». L’éolien terrestre et les centrales au sol photovoltaïques sont aujourd’hui des moyens de production d’électricité compétitifs vis-à-vis des moyens conventionnels : pour les installations mises en service entre 2018 et 2020, les coûts de production pour l’éolien terrestre seront compris entre 50 et 71 €/MWh et 45 et 81 €/MWh pour les centrales au sol photovoltaïques, alors que les coûts de production d’une nouvelle centrale à gaz à cycle combiné sont compris entre 50 et 66 €/MWh. Ainsi, sur la période 2015-2020, les coûts de production de ces deux technologies devraient baisser respectivement de 18 et 40%. Ces résultats confirment ceux de la publication de la Commission de Régulation de l’Energie de février 2019, qui constate, par exemple, que 30% des projets de centrales au sol de grande taille ont un coût moyen de 48€/MWh. Chez les particuliers, les solutions bois énergie offrent des coûts de revient moins élevés et donc globalement plus compétitifs que leurs concurrents conventionnels : entre 62 et 129 €/MWh contre une fourchette de 129 à161 €/MWh pour le fioul et de 99 à 115 €/MWh pour le gaz. Les pompes à chaleur géothermiques se rapprochent de la solution gaz avec des coûts de production entre 81 et 126 €/MWh. Le même constat est observé pour les pompes à chaleur air/eau dont les coûts de production sont respectivement compris entre 87 et 143 €/MWh. Néanmoins, le développement des solutions EnR chez le particulier nécessite le maintien des aides publiques. En effet, même les solutions les plus compétitives (bois énergie et géothermie), peinent à se développer à cause de barrières freinant le passage à l’action (le coût de l’investissement initial est particulièrement élevé). Dans le collectif, hors subvention, les solutions EnR ayant le plus fort potentiel de développement (biomasse, solaire thermique ou géothermie de surface) sont plus coûteuses que les solutions gaz : la biomasse (51-96 €/MWh), le solaire thermique sur toiture (64-165 €/MWh) et la géothermie de surface (88–140 €/MWh) ont un coût supérieur à ceux d’une chaudière gaz (51-85 €/MWh). La géothermie profonde (15 -55 €/MWh) et la récupération de chaleur sur UIOM (15-29€/MWh) ont, elles, des coûts de production très compétitifs, mais leur potentiel de développement est plus limité et elles nécessitent le développement d’un réseau de chaleur pour être exploitées; leurs coûts de production ne sont donc pas directement comparables à ceux d’une chaudière gaz en pied d’immeuble.
Il y a 5 ans et 143 jours

Cadre de vie en bois local

En direct d’Eurobois 2020 à Lyon sur notre plateau Bati-journal TV. Premier invité, Fabrice Poncet, Gérant de La Fabrique avec qui nous allons parler d’un sujet qui intéresse tout le monde : le cadre de vie et plus précisément, la cadre de vie avec du bois français. Invité : Fabrice PONCET – Gérant La Fabrique
Il y a 5 ans et 143 jours

Un site dédié aux métiers de l’électricité

Le site « www.metiers-electricite.com » développé par le SERCE a pour objectif de faire découvrir aux jeunes, à leurs parents, ainsi qu’aux enseignants des métiers qui contribuent concrètement à l’aménagement du territoire et à l’amélioration du cadre de vie, en permettant l’émergence de nouveaux usages. Il présente une trentaine de métiers, accessibles via de nombreuses formations initiales diplômantes ou des CQP créés à l’initiative de la profession. Il décrit les principaux secteurs d’activité de la profession et sa capacité d’innovation pour proposer des solutions qui répondent aux nouveaux enjeux environnementaux et sociétaux. La présentation et les référentiels des diplômes, des informations sur la formation continue, des actualités et des vidéos complètent le site. Accueil
Il y a 5 ans et 147 jours

Forum International Bois Construction 2020 : découvrez le programme !

La 10e édition anniversaire du Forum International Bois Construction aura lieu du mardi 14 au jeudi 16 avril 2020 au Grand Palais de Paris, à deux pas des Champs-Elysées. La construction biosourcée face à l’impératif de la neutralité carbone. Cette année, le Forum bois Construction portera le message de l’architecture biosourcée au cœur de la métropole et de la capitale. Aujourd’hui, la construction biosourcée représente un réel enjeu si on veut atteindre l’objectif européen de la neutralité carbone. Neutre en carbone, la construction biosourcée représente un gisement d’activité créative et locale. Cette révolution constructive ne se fera pas en opposition avec le tissu et les pratiques du Bâtiment, mais en synergie. Sous l’immense serre en métal et en verre d’un Grand Palais minéral porté par une forêt de pieux en chêne, le Forum place sa dixième édition sous le signe de la fraternité constructive. Découvrez le programme FBC 2020 > inscrivez-vous pour participer au salon >
Il y a 5 ans et 148 jours

Partenariat entre l’Agence Qualité Construction et l’Association pour le Développement des Immeubles à Vivre Bois

 Signature le 30 janvier de l’accord pour mener conjointement des actions liées au développement et à la qualité des constructions bois.  Philippe Estingoy, directeur général de l’Agence Qualité Construction (AQC), et Frank Mathis, président de l’Association pour le Développement des Immeubles à Vivre bois (ADIVbois) ont signé le 30 janvier 2020 à Paris un accord-cadre visant à mener conjointement des actions liées au développement et à la qualité des constructions bois.  Le contexte Pour réduire la pathologie dans la construction et la rénovation de bâtiments, des actions sont menées régulièrement par les acteurs du bâtiment réunis au sein de l’AQC. Leur mise en oeuvre nécessite la participation de nombreux organismes concernés par la qualité. Il en résulte divers travaux généralement menés par des groupes de travail ou en accord plus directement avec les organismes concernés.  Les experts de la Commission Technique d’ADIVbois ont engagé des études et essais pour accompagner le développement d’immeubles démonstrateurs « à vivre bois ». Ces travaux contribuent depuis 2016 à la levée des freins, pour la construction d’immeubles bois. Dans ce cadre, le Club des Industriels ADIVbois, lancé en 2019, a vocation à accompagner cet essor en termes d’évaluation technique et réglementaire.  Ce partenariat prend aussi place au moment où de nombreux projets seront développés en bois, dans la perspective des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, portés par France Bois 2024.  Les engagements des deux signataires  Les deux signataires, par cet accord, décident de participer conjointement aux actions de qualité des constructions proposées par l’AQC et présentant un intérêt commun dans les domaines de l’observation, de la prévention et de la communication.  ADIVbois participera aux actions de l’AQC destinées à réduire la pathologie des constructions bois. L’AQC apportera son expertise dans les groupes d’experts, notamment le Club des Industriels ADIVbois, destiné à accompagner les industriels de toutes les filières de la construction à développer en amont des procédés ou des produits adaptés aux spécificités de la construction bois.  Pour mener à bien le programme d’actions, les signataires se sont réciproquement engagés à : informer des actions qui peuvent concerner leur partenaire dans les domaines de l’observation, de la prévention et de la communication,animer des travaux,apporter toutes les informations nécessaires (retours d’expériences, compétences, …), favoriser la mobilisation des relais de diffusion des actions sur tout le territoire. © AdivBois – Philippe Estingoy, directeur général de l’Agence Qualité Construction (AQC), et Frank Mathis, président de l’Association pour le Développement des Immeubles à Vivre bois (ADIVbois)
Il y a 5 ans et 148 jours

L’innovation au service des pros : Zoom sur les dernières nouveautés Simpson Strong-Tie

Publi-info Les dernières innovations Simpson Strong-Tie reflètent l’ADN de l’entreprise : faciliter la connexion bois, de l’étude à la pose des connecteurs. Garantir la résistance au feu des sabots Dès 2012, avant même l’évolution de la législation sur le sujet, nos ingénieurs ont réalisés des tests au feu grandeur nature sur nos assemblages. Des essais complémentaires sont effectués régulièrement sur les sabots d’épaisseur 4 mm en laboratoire pour compléter nos certifications de tenue au feu et simplifier les calculs des bureaux d’étude. Ainsi, depuis janvier 2020, la tenue au feu des sabots GSE en 4 mm sur béton est marquée CE. Faciliter la pose des connecteurs Référence idéale pour la fixation d’assemblages bois-bois, la vis SSH défie les solutions classiques de clouage en réduisant le temps de mise en œuvre sur chantier. En comparaison avec une fixation par cloueur classique, le temps de fixation d’un sabot est réduit de 40%, et peut aller jusqu’à 80% pour la pose d’équerres. Dotée d’une pointe anti-fendage, elle ne nécessite aucun pré-perçage et garantit une haute performance de l’assemblage. La vis SSH bénéficie d’un revêtement Impreg+, une exclusivité Simpson Strong-Tie qui lui assure une durée de vie de plus de 15 ans en extérieur. Cette innovation Simpson Strong-Tie promet à l’utilisateur une rapidité, une performance et un confort à la pose de sabots, d’équerres et de pieds de poteaux. https://www.simpson.fr/
Il y a 5 ans et 148 jours

Lancement de la 19ème édition du palmarès architecture aluminium Technal

TECHNAL lance son 19ème PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL. Pour cette édition 2020, la marque française met le cap sur la nouveauté en l’ouvrant pour la première fois à ses clients fabricants-installateurs implantés en France et dans les pays francophones. De la métopole aux DOM-TOM, en passant par le Maghreb, le Bénin, le Cameroun, le Togo, le Québec…, tous les architectes ayant réalisé un ouvrage avec des menuiseries en aluminium TECHNAL pourront désormais concourir. Cette évolution majeure confirme l’envergure nationale et la valorisation du PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL au-delà des frontières. Il mettra en lumière le matériau aluminium, noble, durable et esthétique, et contribuera à la promotion de l’architecture, de l’innovation et du design. Un jury d’experts indépendants les récompensera à travers six catégories : habiter – logements collectifs ; habiter – logements individuels ; étudier – culture et enseignement ; découvrir – loisirs et centres sportifs ; réhabiliter – rénovations et extensions, et travailler – tertiaire, bureaux, équipements publics, commerces et industries. Le « PRIX 4114 », en référence au Club du même nom, distinguera le projet qui aura recueilli le plus de votes auprès de la communauté «4114». Une reconnaissance pour l’architecte primé par ses pairs. Tous les lauréats participeront au concours international TECHNAL « WATA 2021 » (WORLD ARCHITECTURE TECHNAL AWARDS). Les acteurs de l’architecture ont jusqu’au 17 avril pour s’inscrire sur le site www.technal-palmares.com.
Il y a 5 ans et 149 jours

Enquête « Les Métiers de l’Immobilier et le Bois »

L’École supérieure des Professions Immobilières ( ESPI) a réalisé, en partenariat avec l’UICB et le Codifab, une enquête auprès des professionnels (et futurs professionnels) de l’immobilier sur leurs connaissances de l’utilisation du bois dans ce secteur. L’enquête distingue d’emblée deux types de profils : ceux qui s’intéressent au bois, et ceux qui sont moins enthousiastes à son égard. Les résultats de l’étude révèlent que le matériau est globalement bien perçu d’un point de vue écologique et esthétique. En revanche, certaines idées reçues persistent, surtout parmi les interviewés qui se déclarent peu intéressés par le matériau. Ainsi, ils sont 65 % à penser que la construction bois participe à la déforestation. La question de la sécurité en cas d’ incendie marque une grande différence dans la perception du matériau entre les deux profils de personnes interrogées. Par ailleurs, le bois apparaît comme un matériau adapté pour les zones sismiques et favorisant la qualité de l’air intérieur. Découvrez les résultats de l’étude Photo : Stéphane Chalmeau
Il y a 5 ans et 149 jours

Cadwork, éditeur de solutions logicielles 3D CFAO, spécialiste de la construction bois, la menuiserie et l’agencement

Publi-information OPTIMISATION et CALCUL STATIQUE, les grosses nouveautés cadwork en exclusivité ! OptiPanneaux et C-Faster. OptiPanneaux s’adresse à toutes les entreprises qui mettent en œuvre tous types panneaux (agenceurs-menuisiers, charpentiers, constructeurs de bâtiments bois) et qui souhaitent optimiser la matière utilisée pour commander au plus juste. Un outil économique et écologique. C-Faster, calcul statique avec cadwork.  » Vous avez la 3D de votre projet ? Alors vous avez votre modèle de calcul !  » La liaison de calcul/dessin 3D la plus poussée du marché pour un logiciel constructions bois. Une liaison directe de calcul statique avec cadwork. C’est une solution simple pour éviter les doubles saisies. Ainsi les utilisateurs dessinent et calculent leurs projets simultanément. Un must-have pour quiconque fait de la construction bois et mixte bois/métal. Stand Hall 6G10 www.cadwork.com C FASTER OPTI-PANNEAUX
Il y a 5 ans et 149 jours

Un site du haut moyen âge et une occupation mésolithique à Pontarlier

À Pontarlier dans le Doubs, l’Inrap a mis au jour une occupation mésolithique (9600 à 5500 ans avant notre ère) et un site du haut Moyen Âge (Ve-XIe siècle) entièrement conservé, une découverte majeure pour la compréhension de la dynamique de l’habitat rural médiéval. Un vaste habitat rural du premier moyen-âge Les premiers éléments de datation indiquent une fondation de l’ensemble au cours de l’époque mérovingienne (Ve-VIIIe siècle). Plusieurs habitations se déploient sur environ 8 hectares pendant une période relativement courte (moins de 200 ans environ). Les vestiges sont principalement des trous de poteau, témoins d’anciens édifices domestiques et agricoles, mais aussi de petits bâtiments excavés, pouvant être des annexes de l’habitat ou des structures de stockage. Mesurant entre 200 et 300 m2, les bâtiments sur poteaux sont imposants et suivent des plans jusqu’alors peu documentés. Les comparaisons les plus pertinentes se situent en Suisse alémanique et en Allemagne (Forêt Noire, Bavière). L’activité économique principale du site semble être l’élevage : en témoigne une vaste zone de boucherie identifiée en contre-bas du site auprès d’une source aménagée. Sur les traces des chasseurs-cueilleurs du mésolithique À Pontarlier, cette période est représentée par du matériel en silex (outillage et déchets de taille) abandonné par les Mésolithiques. L’essentiel de ces restes témoigne d’activités de taille qui relèvent de la fabrication d’armatures microlithiques (petits éléments retouchés, de forme géométrique, fixés sur les hampes de flèches en pointe et en barbelure). Ces armatures sont des marqueurs culturels, c’est-à-dire que leur type va varier selon les périodes et les cultures. Ainsi, les restes retrouvés permettent de dire que le site est occupé durant toute la durée du Mésolithique entre 9600 et 6000 avant notre ère. Dans cet intervalle, plusieurs phases se distinguent. Si le site est fréquenté de façon discrète au début de la période, l’occupation semble s’intensifier pendant la seconde moitié du Premier Mésolithique, entre 8500 et 7400 avant notre ère. Deux datations obtenues sur coquilles de noisette carbonisées confirment ces observations avec une première située entre 8353 et 8278 et une seconde entre 7498 et 7323 avant notre ère. Les types d’armatures dominants sont alors les triangles scalènes et les pointes de Sauveterre. Ces éléments, qui traduisent des influences culturelles méridionales (culture du Sauveterrien), se rencontrent également à la même période sur les gisements situés en bordure du Jura (à Ruffey-sur-Seille ou à Dammartin-Marpain, par exemple). Pour la fabrication de ces armatures, les tailleurs semblent privilégier l’utilisation de silex locaux présents dans un rayon de 10 km autour de Pontarlier, ainsi que des matériaux plus lointains provenant notamment du plateau lémanique. Les chasseurs du second mésolithique A ces groupes sauveterriens vont succéder les chasseurs du Second Mésolithique, qui occupent le site entre 7500 et 6000 avant notre ère. Ces groupent modifient leurs techniques de taille et adoptent une méthode de débitage des lamelles par percussion indirecte (qui s’oppose à la percussion directe utilisée durant la phase précédente). Les lamelles sont transformées en armatures caractéristiques de forme trapézoïdale. Une partie de ces lamelles vont également être aménagées de plusieurs encoches, destinées notamment à la régularisation des hampes de flèche (lamelles dites « Montbani »). Ces changements techniques semblent s’accompagner d’une modification dans les stratégies d’approvisionnement avec une utilisation majoritaire de silex provenant de la bordure du premier plateau jurassien, les affleurements les plus proches se trouvant dans la vallée de la Loue. Globalement, la nature des vestiges évoque une multitude d’occupations courtes qui se succèdent au même endroit sur un intervalle de temps relativement long. Ce type d’occupation peut en partie s’expliquer par la position stratégique du site, à la fois situé au débouché du décrochement de Pontarlier (axe de passage majeur qui permet de traverser le massif du Jura d’ouest en est) et en bordure de la vaste zone humide de la Chaux d’Arlier qui pouvait constituer un secteur de chasse privilégié. Le passage au Néolithique et au mode de de vie d’agriculteur-éleveur semble marquer l’abandon du site. Source et photo : InrapAménagement : Communauté de communes du Grand PontarlierPrescription et contrôle scientifique : Service régional de l’Archéologie, Drac Franche-ComtéRecherche archéologique : Inrap Responsable scientifique : Michel Gazenbeek, InrapResponsable du secteur mésolithique : Jean-Baptiste Lajoux, Inrap
Il y a 5 ans et 149 jours

Déclaration d’ouverture des monuments historiques

Pour bénéficier des avantages fiscaux liés à l’ouverture au public de son monument, le propriétaire d’un monument historique ouvert au public est tenu de déclarer au plus tard le 29 février 2020. Le formulaire de déclaration des conditions d’ouverture pour l’année 2020 est disponible sur le site de la Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi (DIRECCTE) de chaque région. Pour que l’immeuble soit considéré comme ouvert au public, il doit satisfaire les conditions fixées par l’arrêté du 27/02/2008, à savoir être ouvert à la visite : Soit 50 jours par an, dont 25 jours non ouvrables, au cours des mois d’avril à septembre inclusSoit 40 jours pendant les mois de juillet, août et septembre. https://www.entreprises.gouv.fr/tourisme/ouverture-au-public-des-monuments-historiques
Il y a 5 ans et 149 jours

Refonte et d’extension du musée d’art et d’histoire du Judaïsme

Ouvert en 1998, à l’initiative conjointe du ministère de la Culture, de la Ville de Paris et des institutions du Judaïsme, le musée d’art et d’histoire de Judaïsme (mahJ) a pris une place importante dans le paysage des institutions muséales françaises. La qualité de sa collection, sa politique d’expositions temporaires, une offre de médiation très large, une riche programmation dans son auditorium permettent au public de découvrir l’universalité des productions artistiques et culturelles issues du judaïsme. « Musée de France » installé dans l’hôtel de Saint-Aignan, conçu par Pierre Le Muet (1591-1669), chef-d’œuvre d’architecture du XVIIe siècle mis à disposition par la Ville de Paris, le mahJ est aujourd’hui présidé par Mme Dominique Schnapper, sociologue, membre honoraire du Conseil constitutionnel, et dirigé par Paul Salmona. Après deux décennies ayant permis d’accueillir plus de deux millions de visiteurs, le mahJ s’est engagé, avec le soutien du ministère de la Culture et de la Ville de Paris, dans une ambitieuse redéfinition de son parcours muséographique fondée sur un nouveau projet scientifique et culturel approuvé en 2016. Ce projet permettra de renforcer les points forts de cette institution originale dévolue au judaïsme comme fait de civilisation et ainsi de montrer l’ancrage très ancien des juifs en France, remontant à l’Antiquité dans certaines régions ; de faire connaître le processus républicain d’émancipation et d’intégration des juifs dans la nation ; de mettre en valeur l’originalité du franco-judaïsme depuis le XIXe siècle ; d’accorder une place accrue au judaïsme du bassin méditerranéen, en particulier maghrébin et levantin ; d’évoquer l’arrivée massive des juifs d’Afrique du Nord dans les années 1960 ; et de rendre compte de la vitalité du judaïsme dans la France d’aujourd’hui. Il permettra de magnifier une collection unique en Europe par sa richesse et son caractère international (France, Italie, Europe centrale et orientale, Maghreb, Levant…) et parmi les plus belles au monde ; de présenter une remarquable collection contemporaine dans un cadre mieux adapté ; et de rendre les œuvres plus accessibles grâce aux technologies les plus récentes. Il s’accompagnera d’une extension des espaces de l’hôtel de Saint-Aignan visant à augmenter les surfaces dévolues à la collection permanente et aux expositions temporaires, ainsi que celles des réserves muséales. Ce projet est à l’étude par la Ville de Paris, propriétaire de cet édifice classé au titre des Monuments Historiques et situé dans le secteur sauvegardé du Marais, afin de déterminer les contours de cette opération qui sera financée par les pouvoirs publics ainsi que par des soutiens privés et devrait être achevée à horizon 2026. Photo : Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
Il y a 5 ans et 149 jours

Onze nouvelles Maisons des Illustres

Le ministère de la Culture a créé le label Maisons des Illustres en 2011. La neuvième campagne de labellisation a eu lieu en novembre 2019. Le label est attribué aux maisons qui conservent et transmettent la mémoire de femmes et d’hommes qui les ont habitées et se sont illustrés dans l’histoire politique, sociale et culturelle de la France, dans le respect des valeurs de la République française. Elles font le lien entre histoire locale et histoire nationale, saisie de l’intime et grand récit, héritages transmis et création artistique. Ces maisons ouvrent leurs portes aux visiteurs au moins quarante jours par an, présentent un programme culturel adapté à tous les publics, et certaines sont accessibles aux personnes en situation de handicap. Le label participe ainsi au projet d’éducation artistique et culturelle et de démocratisation culturelle par un patrimoine de proximité au cœur des territoires. Il s’inscrit aussi dans les réseaux gérés par le ministère de la Culture : Musées de France, Villes et Pays d’art et d’histoire, Jardins remarquables, Patrimoine européen, Architecture contemporaine remarquable. 11 nouvelles maisons ont été labellisées en 2019 : La Maison de Marie Noël, à Auxerre (89, Yonne), Bourgogne-Franche-Comté ;Le Musée des émaux et de la mosaïque, ancienne demeure de Jean-Félix Bapterosses, à Briare (45, Loiret), Centre-Val de Loire ;La Maison Verlaine, à Metz (57, Moselle), Grand Est ;Le Château d’Edouard Salin, à Laneuville-devant-Nancy (54, Meurthe et Moselle), Grand Est ;Musée Yves-Saint-Laurent, à Paris (75, Paris), Île-de-France ;Musée Jean-Jacques Henner – Guillaume Dubufe, à Paris, (75, Paris), Île-de-France ;Atelier Chana Orloff, à Paris (75, Paris), Île-de-France ;Maison Jeanne d’Albret, à Orthez (64, Pyrénées-Atlantiques), Nouvelle Aquitaine ;Villa Antonine, à Béziers (34, Hérault), Occitanie ;Hôtel Fayet, à Béziers (34, Hérault), Occitanie ;Villa « Les Lauriers Roses » – musée Jean Aicard-Paulin Bertrand, à La Garde (83, Var), Provence-Alpes-Côte d’Azur. Le réseau compte désormais 245 lieux labellisés. Pour l’année 2018, on estime les entrées à 3,3 millions pour 162 sites ouverts à la visite.
Il y a 5 ans et 149 jours

Aurélie Cousi : directrice de l’architecture

Sur proposition de Franck Riester, ministre de la Culture, le Président de la République a nommé en Conseil des Ministres Aurélie Cousi directrice, adjointe au directeur général des patrimoines, chargée de l’architecture à compter du 1er février 2020. Polytechnicienne, ingénieure en chef des ponts, des eaux et des forêts, Aurélie Cousi exerce depuis 15 ans au sein de l’Etat, ses établissements publics et les collectivités dans les domaines de l’aménagement, l’urbanisme et la construction publique, où elle a pu observer et porter les mutations sociétales sur les enjeux environnementaux et sociaux et la fabrication de la Ville. Elle a été cheffe de la mission immobilière auprès du Préfet de région à la direction régionale et interdépartementale de l’écologie et de l’aménagement d’Ile-de-France de 2007 à 2009, créée pour mobiliser le foncier Etat en faveur du logement en développant des projets urbains sur des délaissés routiers, avant d’être nommée en 2010 directrice adjointe en charge de la stratégie opérationnelle à la direction de l’immobilier de l’établissement public Paris-Saclay, en charge du pilotage des projets de construction des grandes écoles et universités. En 2013, Aurélie Cousi est nommée conseillère en charge de l’urbanisme au cabinet du maire de Paris, où elle a notamment accompagné, à compter de 2014, le lancement de l’appel à projets innovant « Réinventer Paris ». De 2015 à 2017, elle exerce les fonctions de cheffe du service de l’aménagement à la direction de l’urbanisme de la Maire de Paris. Depuis juillet 2017, elle était directrice générale adjointe en charge de l’aménagement au sein de Grand Paris Aménagement. Aurélie Cousi succède à Agnès Vince, architecte-urbaniste générale de l’Etat, dont le Ministre salue l’action menée depuis 2014 à la tête du service de l’architecture, ainsi que celle de Corinne Langlois, architecte et urbaniste en chef de l’Etat, sous-directrice de l’architecture, de la qualité de la construction et du cadre de vie, qui en a assuré l’intérim depuis novembre 2019. Parmi les missions qui lui seront confiées, Aurélie Cousi aura notamment la charge de piloter la politique publique de l’architecture, en veillant à soutenir et à valoriser la qualité et l’innovation architecturales, avec une attention particulière aux enjeux de transition écologique et de développement durable. Les conditions d’exercice de la profession d’architecte et le développement de la filière économique de l’architecture seront au cœur de sa mission. Elle sera aussi pleinement impliquée dans l’accompagnement du réseau des 20 écoles nationales supérieures d’architecture et de leurs 19 800 étudiants. Elle se verra enfin confier par le directeur général des patrimoines des missions transversales spécifiques relatives à l’architecture et aux patrimoines.
Il y a 5 ans et 150 jours

EUROBOIS : Un flot de nouveautés et surprises du côté de chez Blum !

Cette nouvelle édition du salon EUROBOIS s’annonce une fois de plus riche en découvertes. Coup de projecteur sur le stand Blum qui nous réserve cette année encore un florilège d’innovations ! Après une année 2018 forte en annonces, avec notamment la première présentation mondiale des solutions pour façades minces EXPANDO T, l’édition 2020 d’EUROBOIS n’est pas en reste, bien au contraire. Ce ne sont pas moins de 4 grandes innovations qui seront présentées cette année par Blum France. Un flot de nouveautés qui fera sans nul doute le bonheur de tous les visiteurs professionnels. De la machine au logiciel en passant par de nouvelles solutions d’agencement, Blum vous réserve un stand interactif de plus de 250m² où se mêleront à la fois des démonstrations techniques, des présentations produits et un espace unique en son genre qui ne manquera pas d’inspirer les visiteurs ! Rendez-vous sur le stand 6G56 – 6J56 pour découvrir en exclusivité l’espace Blum. https://www.blum.com/fr/fr/
Il y a 5 ans et 150 jours

Le démarchage téléphonique pour la rénovation énergétique bientôt interdit

En 2019, plus de 1 000 établissements de tous les secteurs d’activité, pratiquant le démarchage téléphonique, ont été contrôlés par la DGCCRF, conduisant à la sanction de 77 démarcheurs, pour un montant total d’amende de 2,3 M€, soit un montant triplé par rapport à l’année 2018. Dans le monde du bâtiment, une entreprise commercialisant des équipements connectés pour la maison, a notamment été sanctionnée d’une amende de 87 600 €, une entreprise spécialisée dans les travaux de rénovation énergétique, a elle été sanctionnée d’une amende de 74 943 €. Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, a indiqué qu’une proposition de loi visant à encadrer le démarchage téléphonique et à lutter contre les appels frauduleux, portée par Christophe Naegelen, sera examinée en seconde lecture le 30 janvier 2020 à l’Assemblée nationale. Elle devrait permettre des avancées concrètes pour mieux protéger les consommateurs et faciliter le travail d’enquête des agents de la DGCCRF. Dans un contexte où les plaintes ont augmenté de 20% entre 2018 et 2019, l’interdiction complète du démarchage téléphonique dans le domaine de la rénovation énergétique sera un signal fort. Cette mesure, travaillée par le Gouvernement en lien avec des parlementaires, les professionnels et les associations de consommateurs, renforcera la protection des consommateurs, qui doivent pouvoir continuer à investir en toute confiance dans la rénovation énergétique de leur logement, avec le soutien des aides publiques. Elle s’inscrit dans le cadre du plan de lutte contre la fraude à la rénovation thermique lancé en novembre dernier avec les ministres Julien Denormandie et Emmanuelle Wargon.
Il y a 5 ans et 150 jours

Programmation pluriannuelle de l’Energie : de la visibilité, mais le développement de certaines filières est compromis

Le Gouvernement a présenté, ce 20 janvier, un projet révisé de Programmation pluriannuelle de l’Energie (PPE), qui est soumis à la consultation publique jusqu’au 19 février prochain. Véritable feuille de route énergétique de la France pour les dix prochaines années, ce texte va permettre d’accélérer le déploiement des énergies renouvelables mais devra être accompagné de nouvelles mesures. Parmi les points positifs, le texte trace des perspectives ambitieuses de développement de la chaleur renouvelable, ce qui marque l’importance de ce secteur dans la stratégie de décarbonation de notre mix énergétique. Dans un contexte de gel de l’évolution de la trajectoire de la taxe carbone, le Syndicat des énergies renouvelables (SER) se félicite de la stabilisation du Fonds Chaleur à 350 M€ à partir de 2022 si aucune évolution de la fiscalité carbone n’intervient d’ici là. De la même manière, la PPE confirme que les biocarburants de première génération resteront un levier essentiel de décarbonation du secteur des transports. La PPE permettra aussi aux filières électriques de poursuivre leur dynamique de développement, avec des rythmes de 1 850 MW par an pour l’éolien terrestre et de près de 3 000 MW par an pour le solaire photovoltaïque. La contribution de l’hydroélectricité restera, quant à elle, essentielle, avec des marges de progression plus limitées mais réelles et clairement identifiées. Pour la filière du gaz renouvelable, la version révisée de la PPE est une déception. Le SER regrette que le projet révisé maintienne un objectif de 6 TWh de biogaz injecté en 2023, ce qui représente un recul par rapport à la PPE actuellement en vigueur. En l’état, la PPE est donc décorrélée de la dynamique observée sur le terrain, où les projets se développent rapidement. En parallèle, la trajectoire de baisse des coûts pour les projets qui seront développés à travers les appels d’offres reste trop brutale et risque de compromette le développement des projets futurs. La PPE représente par ailleurs une véritable occasion manquée pour deux filières désormais condamnées par l’absence de perspectives de développement. « Avec la non-poursuite des projets de cogénération bois, la France se prive à la fois d’un moyen efficace de lutte contre le changement climatique et d’un levier important pour structurer l’amont de la filière forestière. Et avec l’absence de soutien à la géothermie électrique disparaît également la possibilité de développer une filière de production locale de lithium, et cela au moment précis où la France souhaite jouer un rôle de premier plan dans le développement d’un outil industriel pour les batteries » regrette Jean-Louis Bal, président du SER. Source : SER
Il y a 5 ans et 150 jours

L’Éoloscope : un outil pour des projets éoliens exemplaires

Lors des Assises Européennes de la Transition Energétique qui se déroulent actuellement à Bordeaux, France Nature Environnement présente avec ses partenaires, l’ADEME et Boralex, acteur majeur de l’éolien en France, l’Eoloscope Terrestre. Cet outil va permettre aux citoyens, aux collectivités ou à tout autre acteur de comprendre les enjeux environnementaux de l’énergie éolienne, évaluer la performance environnementale d’un projet de parc éolien, participer à sa gouvernance ou à la concertation autour de celui-ci. Objectif : contribuer au développement d’une filière éolienne vertueuse, pilier de la transition énergétique. L’Eoloscope veut favoriser l’implication de tous les acteurs autour du développement responsable et exemplaire de la filière, en favorisant le dialogue, les relations de confiance, un processus d’amélioration continue des pratiques et des connaissances. La réussite de la transition énergétique, dont l’éolien est une pierre angulaire, est de la responsabilité de tous les acteurs.
Il y a 5 ans et 151 jours

Bati-Journal TV vous donne rendez-vous à Eurobois du 04 au 07 février 2020 !

À l’occasion du salon Eurobois à Lyon, Éditions des Halles, réalise en partenariat avec les organisateurs de l’événement et avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt une nouvelle édition du plateau Bati-Journal.TV. Ce plateau TV, animé par le journaliste Stéphane Miget (rédacteur en chef de Planète Bâtiment et 5façades), sera situé au coeur du salon Eurobois. Vous retrouverez, au programme de cette nouvelle édition; des émissions, des événements et des interviews autour des grandes thématiques du salon : la première transformation, la deuxième transformation, l’agencement, le matériau bois ou encore l’outillage. Dès le mardi 4 février, retrouvez toutes les émissions sur bati-journal.tv, eurobois.net, franceboisforet.fr et sur les sites des médias partenaires. PROGRAMME DU PLATEAU TV* Mardi 04 février 10h00 – Cadre de vie en bois localFabrice Poncet – La Fabrique 11h30 – Discours inauguration 13h30 – Le bois et le patrimoinePhilippe Jarniat – L’Ameublement FrançaisSébastien Fleury – HASAPJérôme Carraz – Les Compagnons du Devoir 14h30 – L’outillage portatif libère des contraintes chantierPierrick Auboiron – SECIMPAC 15h45 – La parole à EumaboisJuergen Koeppel – Eumabois 17h00 – Les Trophées Eurobois Mercredi 5 février 10h00 – Conséquences du changement climatique sur la gestion forestièreSamuel Resche – Fibois Auvergne-Rhône-AlpesTancrède Neveu – Plantons pour l’Avenir 11h00 – Le numérique et les métiers du boisAndré Charignon – Les Ateliers CharignonLaurent Mazies – Biesse FranceRégis Blandin – 2020Mathieu Hugnon – Les Compagnons du Devoir 13h00 – Aménager, c’est assemblerChristophe Chenu – Blum 14h00 – La parole à FRENCHTIMBER 15h00 – Les grandes tendances de l’industrie bois 15h45 – Valoriser les métiers du boisBénédicte Muller – Fibois Auvergne-Rhônes-AlpesCécile Gueux – Pôle EmploiMathieu Hugnon – Les Compagnons du DevoirRaphaël Moronnoz – Menuiserie Moronnoz 16h45 – Concours Innovation La Canopée Jeudi 6 février 10h00 – Le douglas, d’ingénierieSabrina Pedrono – France Douglas 11h00 – Construire autrement : le design global avec le boisPhilippe Jarniat – L’Ameublement FrançaisSolène Jacques – I CosaChristophe Chenu – Blum 12h00-12h45 – Mixité des matériaux dans l’agencement 13h30-14h15 – Évolutions des normes environnementales dans le bâtiment : les impacts sur l’usage du boisJacques Bouillot – Eiffage ImmobilierJean-Denis Forterre – CAPEB Rhône-Alpes 14h15-15h00 – Wood Surfer x AménagementAnna Ader – Wood SurferAlice Heras – Journaliste 15h00 – Comment faire pour être informé des évolutions de mon métier ?Nicolas Digaire – Les Compagnons du Devoir 16h – Scierie 2025par Maurice Chalayer Vendredi 7 février 10h00 – Industrie 4.0Christophe Chenu – BlumLaurent Mazies – Biesse FranceRégis Blandin – 2020Michel Loyer – Finega Group 11h00 – Formation et industrieGwénaël Gehin – AFPIA Nord EstLaurent Mazies – Biesse France 12h00 – Sécurité et pénibilité du travailleurFrédéric Weidish – AuwärterEmmanuel Troccon – A2CPhilippe Gouget – ALD Construction 13h15 – La plateforme de mutualisation des poseursPhilippe Jarniat – L’Ameublement FrançaisFrédéric Sorret – HASAPCoralie Lemire – Lito Production 14h00 – La parole à Anne-Catherine Loisier 16h00 – Concours des Jeunes Charpentiers *Ce programme peut être soumis à modification. Un événement organisé par Éditions des Halles et Eurobois, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt et en partenariat avec Wood Surfer et L’Atelier Bois. Suivez toute l’actualité du plateau TV sur Twitter avec @bati_journalTV
Il y a 5 ans et 154 jours

RE 2020 : le grand retour des convecteurs électriques ?

La ministre de la Transition écologique et solidaire Elisabeth Borne a abaissé le coefficient de conversion de l’électricité en énergie primaire, arbitrairement, à 2,3 (contre 2,58 aujourd’hui). Le choix de valeurs artificiellement basses pour ce coefficient et son contenu carbone risque de conduire à un recul important dans la performance énergétique des bâtiments. L’Association négaWatt dénonce un choix qui favorise une électrification massive des usages sans se soucier des possibles émissions de CO2 associées. L’impact climatique du chauffage électrique sera réduit de 210 à 79 gCO2/kWh. Même avec des valeurs plus réalistes de 2,58 et 210 gCO2/kWh, n’importe quelle pompe à chaleur performante affiche un meilleur bilan qu’une chaudière gaz récente qui émet 240 gCO2/kWh. En favorisant aussi aveuglément l’électricité, la RE2020 risque de signer le retour du convecteur électrique dans les bâtiments neufs, soit un bond en arrière de plus de 15 ans en matière d’efficacité énergétique. Ces valeurs s’ajoutent, dans le cadre de la future RE2020, à l’abandon d’un objectif sur le bilan Bâtiment à énergie positive, ce qui marque la fin de l’ambition de ces bâtiments. Pour l’association négaWatt, il n’est pas trop tard pour que le gouvernement prenne la bonne direction en maintenant le coefficient d’énergie primaire à 2,58 et en conservant le même contenu carbone de l’électricité que dans l’expérimentation E+C- qui a préparé la RE2020, soit 210 gCO2/kWh, en accord avec les réalités physiques.
Il y a 5 ans et 155 jours

18 Logements éco-responsables avec toitures terrasses étanchées à froid

Associés, Jean-Marc PORCHE, architecte, et Karine MAURY, promoteur, cherchaient à développer en France les habitats passifs construits à partir d’un système de coffrage polystyrène/béton. Ils se sont lancés dans la conception et la commercialisation de leur projet de quartier éco-responsable il y a trois ans. En 2018, un premier programme s’est mis en place sur la commune de Luzarches (95). Un terrain d’environ un hectare a été acheté à un propriétaire privé. Livré début 2020, il accueille seize logements en R+1 et deux plain-pieds (de 92 à 175 m2), associés à 18 garages en structure bois. Chaque maison intègre une toiture terrasse. Pour recouvrir les toitures terrasses et les garages, l’architecte souhaitait une membrane d’étanchéité en EPDM. Synonyme de pérennité, elle était en totale cohérence avec le projet global. Firestone Building Products a proposé de mettre en œuvre la solution Rubbergard Epdm sous avis technique. Durable au-delà de 50 ans et recyclable, elle participe à la réduction de l’empreinte carbone du chantier. Exempte de substances nocives, elle permet de récupérer les eaux pluviales pour l’arrosage des jardins potagers partagés. Elle est compatible avec les systèmes de végétalisation et photovoltaïques proposés aux futurs propriétaires. La rapidité d’installation sans flamme constituait également un critère clé. Les maisons étant conçues à partir de blocs coffrants en polystyrène expansé, la pose à froid se révélait un gage de sécurité. Photo : EQUER – FIRESTONE BUILDING PRODUCTS
Il y a 5 ans et 155 jours

OCÉWOOD : une croissance au profit d’une économie circulaire, écologique et humaine

Après quatre années de recherche, OCÉWOOD® a développé en 2017 une deuxième génération de lames composites, composées de PVC recyclé et d’anas de lin. Ce résidu agricole de la culture du lin a été revalorisé par OCÉPLAST pour remplacer la farine de bois. Par cette démarche volontariste dans l’économie circulaire, l’entreprise contribue à réduire la part de déchets PVC enfouis ou rejetée dans la mer. Pour faire du recyclage une solution esthétique, OCÉWOOD® s’est associé à l’agence de design 6° Designers pour la conception de nouvelles gammes. Une collaboration récompensée du Prix Janus 2019 des composants et matériaux. Délivrés chaque année par l’Institut Français du Design, les Janus viennent honorer les entreprises et les collectivités qui s’inscrivent durablement dans une démarche de progrès au service de la Personne, de l’Industrie et de la Cité. Pour accompagner sa croissance en 2020, OCÉWOOD® investit sur tous les fronts : R&D, agrandissement du site de production, nouveaux outils, industrie 4.0, digitalisation… avec comme fil rouge, l’innovation au service du consommateur.
Il y a 5 ans et 155 jours

Les solutions Sto conformes aux nouvelles exigences réglementaires de protection incendie

Les systèmes proposés par Sto pour l’ITE, les produits techniques et d’embellissement des façades, bardage ventilé, répondent aux nouvelles dispositions réglementaires qui sont entrées en vigueur le 1er janvier 2020. Les solutions sont soit conformes au Guide de Préconisations ETICS-PSE, soit quasiment incombustibles ou qui font l’objet d’une Appréciation de Laboratoire (APL) basée sur un essai LEPIR2.
Il y a 5 ans et 155 jours

Pour une dépose totale des menuiseries conforme au DTU 36.5

LOUINEAU propose une solution globale pour la dépose totale conforme au DTU 36.5. Après la commercialisation, il y a plus de dix ans, de la première Patte de Rénovation en Dépose Totale (PRDT), l’industriel enrichit son offre avec trois nouveaux systèmes : la Patte Renforcée de Rénovation en Dépose Totale (BTRDT),la Cornière Filante de Rénovation en Dépose Totale (CFILRDT),le Guide de perçage. Ils peuvent être fixés sur tous les types de supports constructifs afin de mettre en œuvre des menuiseries PVC, Aluminium et Bois. L’offre possède un brevet pour son « bossage », qui garantit le contact intégral de la tête de vis sur le système de pose conformément au DTU 36.5. Elle s’adapte à tous les chantiers en couvrant une large plage d’épaisseurs d’isolation de 60 à 200 mm.
Il y a 5 ans et 156 jours

La cathédrale de Clermont-Ferrand examinée sous toutes les coutures

Une importante opération de restauration de la cathédrale de Clermont-Ferrand est programmée par la DRAC Auvergne-Rhône-Alpes à partir de 2021, pour trois ans. Les travaux concerneront la restauration des couvertures et des terrasses des bas-côtés pour un montant estimé à 8 millions d’euros. Une étude en plusieurs volets, qui a été confiée en août 2017, à l’architecte en chef des monuments historiques a permis de constituer un bilan de connaissances sur l’état du monument. Le volet documentaire est constitué d’un relevé géométral complet de la cathédrale (ensemble de plans, coupes et élévations au 1/100e et 1/250e tiré d’après un scan et une orthophotographie) ; d’un relevé photographique de l’ensemble des espaces ; d’une nomenclature de l’ensemble des espaces de la cathédrale ; d’une base de données documentaire recensant l’ensemble des fonds archivistiques connus sur l’édifice ; d’une base de données iconographique ; d’un fonds d’archives numérisé ; d’une synthèse bibliographique et d’une synthèse historique. L’édifice a aussi fait l’objet d’un bilan sanitaire via un reportage photographique renseignant l’état actuel de l’édifice et de ses pathologies ; un tableau synthétique précisant l’état de chaque type d’ouvrage, bâti ou mobilier, espace par espace ; des planches graphiques de synthèse, niveau par niveau. Visuel : Raphaël Drizard, architecte DPLG – 2A8 SARL d’architecture/DRAC Auvergne-Rhône-Alpes/CRMH
Il y a 5 ans et 156 jours

Mise au jour du premier site antique de Bastia

Préalablement à la construction d’un habitat résidentiel, la prescription d’une fouille archéologique par la Drac de Corse a permis de mettre au jour un ensemble de vestiges antiques remarquables dans la commune de Bastia. Révélé par un agent du Service régional de l’archéologie, le site occupe les premières terrasses qui dominent la plaine littorale bastiaise. La fouille en cours d’achèvement a révélé deux habitations caractérisées, l’une et l’autre, par la présence d’un imposant foyer bâti qui confirme leur vocation domestique. L’un d’eux, par son plan carré et sa position quasi centrale dans la pièce, pourrait constituer un lointain ancêtre du fucone, le foyer traditionnel corse. Alors que l’une des deux maisons est d’aspect modeste, la seconde se distingue par le soin apporté à sa construction et l’originalité de son plan architectural. Cette habitation, dans un état de conservation remarquable, se définit par une grande pièce presque carrée autour de laquelle se répartissent des annexes, dont une pièce en enfilade de type galerie. Au-devant de cet ensemble, une cour enclose se développe sur trois paliers qui constituent un accès, au caractère ostentatoire, à la pièce carrée. Un ensemble d’éléments qui laisse présumer la présence en ce lieu d’une famille de la classe dirigeante. Ce site livre un rare exemple d’unités domestiques pour la fin de l’Antiquité en Corse (IVe -VIe siècle de notre ère), époque pour laquelle les édifices religieux sont mieux documentés. Une telle organisation semble annoncer un phénomène mieux caractérisé pour la période médiévale : l’émergence de structures d’habitat centrées sur la pièce à vivre ; unités familiales circonscrites dont le regroupement est à l’origine du processus de formation villageoise. Par l’originalité de son plan, l’une des deux maisons fouillées pourrait se rapprocher de certains exemples de maisons-tours connus pour la fin de l’Antiquité en Méditerranée orientale et en Afrique du Nord. De telles demeures de notables ont-elles été édifiées en Corse, à une époque d’intenses relations avec l’Afrique ? Les textes attestent notamment, dans la seconde moitié du Ve siècle, l’exil sur le territoire insulaire d’évêques africains bannis par les rois Vandales. La fin de la fouille et l’étude prochaine des données de terrain alors collectées devraient permettre de préciser ces hypothèses. Source : Inrap Contrôle scientifique : Service régional de l’archéologie (Drac de Corse) Recherche archéologique : Inrap ​ Responsable scientifique : Samuel Longepierre, Inrap Photo : Roland Haurillon, Inrap
Il y a 5 ans et 156 jours

Pays de Rohan, Saint-Nazaire et Béziers reçoivent le label « Villes et Pays d’art et d’histoire »

Franck Riester, ministre de la Culture, sur proposition du Conseil national des Villes et Pays d’art et d’histoire, a attribué le label “ Villes et Pays d’art et d’histoire ” à trois nouveaux territoires et d’étendu le label de deux territoires déjà labellisés. Le label Pays d’art et d’histoire est attribué au « Pays des Rohan », territoire assis sur un périmètre historique correspondant à l’ancienne terre de pouvoir de la famille de Rohan pendant 700 ans d’histoire. Le Conseil national salue le long processus de fédération entre les communes autour du projet de label, dans lequel il voit la garantie d’un projet durable, de même qu’il reconnaît la richesse du projet culturel, construit à partir d’une diversité patrimoniale et de la prise en compte de l’art contemporain. L’attention portée à l’architecture du XXe siècle viendra renforcer la cohérence de ce projet tourné vers l’avenir. La candidature de Béziers au label Ville d’art et d’histoire est l’aboutissement d’un long travail de mise en valeur de son patrimoine – ses nombreux hôtels particuliers notamment -, de ses musées et de ses espaces publics, valorisés par des installations d’art contemporain. Le Conseil national salue la pertinence de cette requalification du patrimoine et de l’espace public, ainsi que la volonté d’inscrire la ville dans la contemporanéité via la création artistique et architecturale. Avec l’obtention du label Ville d’art et d’histoire, Il voit des atouts certains pour la renaissance de la ville. Ville de la Reconstruction, à l’important patrimoine industriel, Saint-Nazaire peut aujourd’hui, grâce à l’obtention du label Ville d’art et d’histoire, exprimer plus fortement le plaisir et la fierté retrouvée de ces habitants d’être Nazairiens. Elle porte une attention particulière au lien entre patrimoine et création, en développant l’art dans l’espace public. Le Conseil national salue l’ambition et la qualité de la politique culturelle de la ville, formalisée par plusieurs conventionnements avec la direction régionale des Affaires culturelles (DRAC). Il reconnaît en outre dans le patrimoine de la ville des éléments d’intérêt national. Une première convention Ville d’art et d’histoire avait été signée par la ville d’Auxerre en 1995. L’extension du territoire labellisé à la Communauté d’agglomération (CA) de l’Auxerrois, – désormais Pays d’art et d’histoire – permettra de faire rayonner le label sur un territoire de 29 communes. Le Conseil national souligne le rôle déterminant qui sera celui de la CA dans l’accompagnement des communes, afin que puissent se développer la connaissance et les politiques de préservation des patrimoines et du paysage. La dimension de la création artistique mérite également d’être présente dans le projet. En proposant d’étendre la Ville d’art et d’histoire de Langres, labellisée en 1985, et renouvelée en 2016, au Pôle d’équilibre territorial rural (PETR) du Pays de Langres, les élus ont répondu aux préconisations qui avaient été formulées par le Conseil national en 2016. Le label Pays d’art et d’histoire rayonnera désormais sur un territoire composé de trois communautés de communes (CC), soit 168 communes. Le Conseil national salue l’ambition de cette extension au regard de son étendue, et souligne l’importance du lien à établir entre le PETR et les 3 CC dans le cadre de la mise en œuvre des outils de gestion et de planification garants de la qualité du territoire. Photo : pont de Saint-Nazaire – Wikimédia commons – Pouick44
Il y a 5 ans et 156 jours

Repose et restauration d’un monument sculpté à la Cathédrale Notre-Dame d’Amiens

En grand péril, un groupe sculpté de la Cathédrale Notre-Dame d’Amiens, œuvre du sculpteur Nicolas BLASSET, menaçait de se désolidariser du pilier auquel il est fixé. D’abord sanglé, le monument a été étudié de manière approfondie afin de comprendre les causes de sa fragilisation et de définir les moyens à mettre en œuvre afin de le conforter de manière pérenne. Au début d’année 2019, il a été très précautionneusement démonté et déposé de manière à pouvoir accéder aux éléments qui le relient au pilier. Les travaux ont consisté à une reprise de la structure porteuse, pour assurer la stabilité et la pérennité de l’œuvre, ainsi qu’une restauration pour révéler la qualité exceptionnelle du monument : nettoyage, mise en valeur des vestiges de la polychromie ancienne, restitution d’éléments disparus mais connus par la documentation (par ex., crosse de saint Claude), amélioration de la lisibilité des inscriptions. D’une durée de deux mois, les travaux financés par l’État propriétaire de l’édifice se sont élevés à 41 500 euros. L’opération a été réalisée avec le soutien du Conseil départemental de la Somme (Conservation des Antiquités et Objets d’art). L’entreprise Arthema est intervenue sur la restauration du monument associée et l’entreprise Charpentier PM, d’Abbeville sur la maçonnerie et la taille de pierre. Source : Drac des Hauts de FrancePhoto : Claude Pierre